bosc de l`humour à l`encre noire

Transcription

bosc de l`humour à l`encre noire
BOSC
DE L’HUMOUR À L’ENCRE NOIRE
MUSÉE TOMI UNGERER – CENTRE INTERNATIONAL DE
L’ILLUSTRATION
17 OCTOBRE 2014 / 1ER MARS 2015
Relations avec la presse
Service communication des musées
Julie Barth
julie.barth@ strasbourg.eu
Tel.: +33/ (0)3 88 52 50 15
www.musees.strasbourg.eu
DOSSIER DE PRESSE « BOSC. DE L’HUMOUR À L’ENCRE NOIRE»
MUSÉE TOMI UNGERER – CENTRE INTERNATIONAL DE L’ILLUSTRATION, 17 OCTOBRE 20I4 – 1ER MARS 2015
1.
PROJET
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2.
PARCOURS DE L’EXPOSITION
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3.
REPÈRES BIOGRAPHIQUES
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4.
ÉDITION
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5.
AUTOUR DE L’EXPOSITION
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6.
INFORMATIONS PRATIQUES
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7.
VISUELS PRESSE
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DOSSIER DE PRESSE « BOSC. DE L’HUMOUR À L’ENCRE NOIRE»
MUSÉE TOMI UNGERER – CENTRE INTERNATIONAL DE L’ILLUSTRATION, 17 OCTOBRE 20I4 – 1ER MARS 2015
1. Projet
Il est grand temps qu’un musée public français rende hommage à Bosc (1924-1973), l’un des plus
grands dessinateurs d’humour et de satire que la France ait connu au XXe siècle. Il est l’un des pères du
dessin d’humour moderne, inspirateur entre autres de Bretécher, Cabu, Copi, Reiser et Wolinski, ami de
Chaval, Folon, Sempé et Tetsu.
Son œuvre, qui a traversé les modes et les années, compte plus de trois mille dessins publiés dans des
journaux français et étrangers, et de nombreux albums. Bosc a décortiqué son époque et a pressenti la
nôtre. Avec une intuition lucide et d’un trait minimaliste, il nous livre un univers à la fois poétique et
rempli d’une douce amertume. Les grands axes de son œuvre qui s’attachent à commenter l’amour, le
couple, le sexe, la société, la politique, sont coutumiers à l’univers du dessin satirique mais dégagent
cependant un profond sentiment d’absurdité.
L’exposition propose 250 dessins originaux et documents, provenant essentiellement de collections
privées françaises et étrangères ainsi que d’institutions publiques comme la BnF et le Musée Calvet
d’Avignon. Les différentes sections du parcours montrent les thèmes majeurs de la critique sociale et
politique du dessinateur ainsi que le contexte du dessin d’humour en France de cette époque.
L’exposition est accompagnée d’un catalogue édité par les Musées de la Ville de Strasbourg.
En parallèle à l’exposition « Bosc. De l’humour à l’encre noire », la Bibliothèque des Musées (MAMCS)
présente des albums et des dessins de Bosc de la collection A. Damman.
Commissariat : Thérèse Willer, conservatrice du Musée Tomi Ungerer – Centre international de
l’Illustration
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DOSSIER DE PRESSE « BOSC. DE L’HUMOUR À L’ENCRE NOIRE»
MUSÉE TOMI UNGERER – CENTRE INTERNATIONAL DE L’ILLUSTRATION, 17 OCTOBRE 20I4 – 1ER MARS 2015
2. Parcours de l’exposition
Section 1. « Petits riens »
La vie de tous les jours est l’un des thèmes privilégiés par les dessinateurs satiriques, et par Bosc
également : les « Petits riens », une expression qui reprend le titre d’un de ses livres, pointent l’absurdité
de l’existence. Pour illustrer la modernité dont les effets contribuent à ce non-sens, l’artiste a recours à
un répertoire d’images très variées : l’univers urbain, les gratte-ciels, la conquête de l’espace, le drive-in,
la télévision, et d’autres encore. Le dessinateur imagine ainsi des scènes empreintes d’un humour noir
allant jusqu’au cynisme, des hommes qui errent désemparés dans un univers qui les dépasse : un
passant va se pendre dans une foule indifférente, un téléspectateur décapité contemple sa propre tête,
un homme porte l’autoportrait de l’artiste au bout d’une pique...
Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre (Paris Match, n° 586, 2 juillet 1960, p. 107)
Encre de Chine à la plume et collage avec photographie de Brigitte Bardot, 24,3 × 29,2 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
Section 2. « Mort aux tyrans »
« Les vrais humoristes ont toujours les mêmes cibles : les flics, les militaires, les brutes, les religieux, les
riches, les puissants, les bourreaux. » (Wolinski)
Bosc en effet déteste toutes les tyrannies. Elles revêtent de nombreuses formes dont il se plaît, en une
vision anarchiste, à faire la critique. Celle de la guerre et de l’armée est particulièrement virulente, une
conséquence sans doute de son passé de militaire. Les conflits, notamment la guerre d’Algérie, l’ont
même traumatisé au point de s’illustrer, torturé par l’ennemi. De sa critique politique émergent, entre
autres représentations caricaturales, celles de de Gaulle, qui était devenu l’une de ses cibles privilégiées
et dont il soulignait l’autoritarisme. Le pouvoir industriel incarné par le patronat, social ou encore
religieux, fait l’objet chez Bosc d’une satire grinçante.
Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre (La bombe et les secours), s. d.
Encre de Chine et lavis d’encre grise, plume, 31,3 × 24 cm. Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
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DOSSIER DE PRESSE « BOSC. DE L’HUMOUR À L’ENCRE NOIRE»
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Section 3. « J’aime beaucoup ce que vous faites ». Bosc et l’art.
La musique, le théâtre, la peinture, sont des thèmes récurrents de l’œuvre satirique de Bosc. Parmi ses
dessins les plus acerbes figure la critique de l’art contemporain, de la fonction d’artiste ou encore des
critiques d’art (J’aime beaucoup ce que vous faites). Mais il n’épargne pas non plus les œuvres célèbres
de l’histoire de l’art dont il se moque en les parodiant et en les détournant, comme dans la série
significative de « L’Angélus » de Millet.
Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), « J'aime beaucoup ce que vous faites » (J’aime beaucoup ce que vous faites, Paris,
Denoël, 1985, p. 111). Aquarelle sur papier, 31,5 × 26,5 cm. Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
Section 4. « Je t’aime »
« Au-delà d’une vision machiste, les couples de Bosc semblent irrémédiablement voués à
l’incompréhension, à l’incommunicabilité, même lorsqu’ils ne se disputent pas. » (Nelly Feuerhahn).
Dans de nombreuses saynètes illustrées, Bosc donne en effet de la femme, du couple, de l’amour en
général, une vision désenchantée et sans illusions. Quelques dessins érotiques, dont certains sont
restés inédits, complètent cette section.
Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), « Tout, mais pas ça » (Lui, n° 52, avril 1968, p. 115)
Aquarelle sur papier, 29,2 × 20,8 cm. Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
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Section 5. « Bosc & Cie »
Cette section du parcours évoque les illustrateurs qui ont influencé Bosc, ses contemporains et ses
héritiers dans le domaine. Comme tous les dessinateurs de sa génération, il admirait les cartoonists du
New Yorker pour leur style graphique, Saul Steinberg avant tout autre, Charles Addams, auquel il a
rendu hommage dans l’un de ses dessins, Virgil Patch également. Le trait à l’encre noire, sobre et épuré
au point d’en devenir laconique, qui est sa marque de fabrique, leur doit beaucoup. Il a ensuite évolué
dans le contexte particulièrement foisonnant de l’illustration dans les années 1950 à 1970 dont
témoignent entre autres Chaval, Desclozeaux, Effel, Folon, François, Henry, Loup, Morez, Mose, Puig
Rosado, Searle, Sempé, Siné, Tetsu, Trez. Parmi les héritiers de Bosc on compte Brétécher, Cabu, Copi,
Reiser et Wolinski. Et une nouvelle génération de dessinateurs se réclame de lui comme Dominique Boll
qui tel un calligraphe chinois trace ses dessins et met en scène le vide avec un art consommé.
BOLL (BOLL, Dominique dit) (né en 1962), "Le pêcheur", s. d.
Pinceau et encre de Chine sur papier, 33 × 50 cm. Collection de l’artiste ©Boll
Et aussi …
Dans le parcours, une vidéo diffuse en boucle le court-métrage d’animation français « Voyage en
Boscavie », réalisé en 1958 par Jean Herman et Claude Choublier d’après les dessins de Bosc et qui fut
couronné par le prestigieux prix Emile-Cohl.
À la Bibliothèque des Musées (MAMCS) sont présentés quelques dessins impertinents et drôles de Bosc
en relation avec le livre et la lecture, sous le titre « Bosc à la bibliothèque ».
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3. Repères biographiques
30 décembre 1924 : naissance à Nîmes (France) de Jean-Maurice Bosc.
Années 1940 : CAP de tourneur-ajusteur.
1er septembre 1944 : après avoir fait partie d’un chantier de jeunesse, il signe un engagement de
quatre ans pour servir à la Compagnie mixte de transmissions.
Novembre 1945 – février 1948 : engagement en Indochine.
Novembre 1952 : premiers dessins parus dans Paris Match (n° 193). C’est le début d’une collaboration
de dix-huit ans avec le magazine, qui publiera 628 dessins de lui. À partir de cette date, il travaille pour
de nombreux journaux français et étrangers.
1953 : The Best Cartoons from France, Simon & Schuster, États-Unis, première publication de ses
dessins dans un recueil collectif.
1954 : Cherchez la femme et Wird eingefahren !, recueils collectifs chez Diogenes Verlag, Zurich, qui
publiera de son vivant vingt-huit ouvrages, dont vingt recueils collectifs.
1955 : Gloria Viktoria !, Buchheim Verlag, premier livre entièrement consacré à Bosc.
Juin 1956 : Petits riens, Hazan, premier livre entièrement consacré à Bosc en France.
1958 : prix Émile-Cohl pour le film d’animation Voyage en Boscavie (réalisé avec Claude Choublier et
Jean Herman).
1959 : Mort au tyran et Boscaves au feu, Jean-Jacques Pauvert.
1965 : Les Boscaves, Denoël. Grand prix de l’humour Lui pour le dessin « Mon château… Mon cul ! ».
Installation à Antibes et travail de la céramique.
1968 : La Fleur dans tous ses états, Éd. Tchou ; Si de Gaulle était petit, Éd. Jean-Jacques Pauvert.
Octobre 1970 : grand prix de l’humour noir Grandville pour Je t’aime, (Albin Michel, 1969).
1972 : grand prix de l’humour de la ville d’Avignon.
3 mai 1973 : décès à Antibes de Jean-Maurice Bosc.
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4. Édition
Catalogue de l’exposition : Bosc
ISBN : 9782351251133
Ouvrage broché en langue française
160 illustrations, 192 pages
25 euros
Inclus dans le livre, le DVD de « Voyage en Boscavie » film d’animation réalisé par
Claude Choublier et Jean Vautrin à partir des dessins de Bosc (prix Émile-Cohl 1958).
Le catalogue, introduit par deux essais de Nelly Feuerhahn, chercheur au CNRS et rédactrice en chef
de la revue Humoresques, et Thérèse Willer, conservatrice du musée Tomi Ungerer, rassemble une
sélection de 160 dessins organisés selon une logique visuelle et thématique qui permet de raconter
en images aussi bien le contexte politique que les obsessions « bosciennes ».
Un texte d’Alexandre Vialatte – une des fameuses chroniques de La Montagne (6 décembre 1970) –
démontre brillamment le caractère universel et atemporel de l’œuvre.
Sommaire
« Bienvenue en Boscavie ! » Nelly Feuerhahn
« Bosc & Cie » Thérèse Willer
« Exposition de Bosc et condition nasale de l’homme » Alexandre Vialatte
Dessins
Repères biographiques
Liste des dessins, livres et périodiques
Extraits des textes
Alexandre Vialatte, « Exposition de Bosc et condition nasale de l’homme » article publié dans La
Montagne-Dimanche le 6 décembre 1970 et repris dans Vialatte à La Montagne, Paris, éditions
Julliard, 2011.
« L’homme de Bosc est piteux, grégaire, calamiteux et sans avenir professionnel. Pas sans avenir
tout court : il est de toutes les époques, plus particulièrement de toutes celles où l’homme est un
produit de série. Nous nous reconnaissons tous dans son humble aventure. »
Nelly Feuerhahn, « Bienvenue en Boscavie »
« […] De cet état dépressif est issu l’univers boscave – et son identité a valeur universelle. Il permet
à Bosc de mener un combat jubilatoire contre l’absurdité et les faux-semblants du statu quo social.
Derrière la légèreté de l’amusement, l’humoriste opère une dénonciation permanente des formes
socialement orchestrées de l’absurde, des guerres, de la fascination des apparences, de l’avidité du
pouvoir, de la fatuité, de la difficile quête d’amour partagé. Les retournements avec inversion brutale
des rapports de force se font aux dépens du personnage – de la sorte, l’autodérision, très présente
chez Bosc, est projetée sur les victimes qui l’incarnent. L’art de la chute chez lui est d’abord fondé
sur la sidération, le paradoxe, la figuration de l’impossible, des jeux avec des angoisses totalement
irréalistes qui en rêve seraient des cauchemars. D’ailleurs, l’exposition révèle un dessin inédit, non
daté, représentant une séance de torture à l’électricité qui emprunte sa forme à La Leçon
d’anatomie du docteur Tulp de Rembrandt (1632). Bosc se mentionne à la troisième personne dans
un texte crayonné en légende : « Depuis son inculpation, les nuits de Bosc sont peuplées de
cauchemars. Il se voit torturé par ces soldats qu’il a injuriés si méchamment. Il a essayé de traduire
graphiquement. »
Son monde est peuplé d’antihéros, qui, quand bien même incarneraient-ils la force de l’autorité, et
plus particulièrement politique ou militaire, sont ridicules, voire criminels en toute bonne conscience,
avec de surcroît le sentiment du devoir accompli. De tels types humains, acharnés à vivre dans
l’aveuglement un malheur de marionnette, mettent en scène la médiocrité et les impasses de la
bêtise, notre médiocrité, notre bêtise… L’épopée calamiteuse des Boscaves interpose un prisme qui
diffracte les inconséquences de notre monde et transpose la difficulté de Bosc à vivre sa vie. Avec
ces histoires – suprême élégance avant de disparaître –, Bosc lance une bouteille à la mer et
accomplit le destin qu’il s’était tracé quelques années plus tôt… Le dessinateur se plante le porteplume dans le cœur . »
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Thérèse Willer, « Bosc et Cie »
« À l’exemple de tous les artistes de sa génération, Bosc découvrit à cette époque les cartoonists
américains et fut marqué par leur art. De Saul Steinberg, il était un fervent admirateur, de Virgil
Partch, il appréciait la ligne concise et le sens de l’humour pince-sans-rire. À Charles Addams,
créateur de la célèbre et macabre Family Addams dont il aimait l’humour noir, il a même rendu
hommage graphiquement en détournant une scène drolatique dessinée par l’Américain dans un
numéro du New Yorker du 2 février 1957. Le trait à l’encre noire, sobre et épuré au point d’en être
laconique, qui est devenu la marque de fabrique de Bosc, leur doit incontestablement beaucoup.
Mais il résulte aussi d’un croisement d’influences, puisées dans le contexte particulièrement
foisonnant et diversifié de l’illustration française à cette époque. C’est en premier lieu un livre de
Mose, en juin 1952, qui déclencha chez l’artiste l’envie de faire du dessin d’humour. Puis Bosc se
hissa rapidement au niveau de ses aînés, sans cesser cependant, avec modestie, de leur vouer une
grande admiration. De toute évidence, l’humour vache d’un Chaval, publié depuis 1946 dans Paris
Match, le non-sens et l’absurde nourris de surréalisme d’un Maurice Henry, qu’il remplaça en 1959
dans les pages de France Observateur, ou encore l’imagination d’un André François, dessinateur
créatif aux multiples formes d’expression, contribuèrent à l’évolution de son style graphique.
Dans le petit monde de l’illustration, les artistes se connaissaient tous. Ils illustraient en effet les
mêmes sujets dans les mêmes journaux, travaillaient pour les mêmes éditeurs, se recommandaient
les uns les autres auprès d’eux. Sempé se souvient : « Nous étions toute une bande de dessinateurs à
démarcher, proposant çà et là notre production. ». Morez, Sempé et Bosc se téléphonaient par
exemple quotidiennement pour commenter les dessins du New Yorker et les comparer avec les
leurs. »
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5. Autour de l’exposition
Pour consulter la programmation détaillée (dates et horaires) : www.musees.strasbourg.eu
La classe de 4ème année de l'atelier d'illustration de la HEAR a été invitée à s’associer au projet de
l’exposition “Bosc. De l’humour à l’encre noire” pour créer des illustrations originales. À découvrir au
musée et sur internet : http://bosc-off.tumblr.com/
En 2014
VISITES « ŒUVRES CHOISIES »
Mercredis 22 et 29 octobre à 15h
VISITES COMMENTÉES
Les dimanches 23 novembre, 14 décembre et 18 janvier à 15h
FÜHRUNG IN DEUTSCHER SPRACHE
Samstag 10. Januar um 15.00 Uhr
LE TEMPS D’UNE RENCONTRE
Mercredi 3 décembre à 18h : « Bosc et Ungerer : dessins contre la guerre »
avec Thérèse Willer, conservatrice du Musée Tomi Ungerer.
En 2015
JOURNÉE D’ÉTUDE SUR BOSC
Mercredi 4 février à l’Auditorium des Musées de la Ville de Strasbourg (MAMCS)
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6. Informations pratiques
Musée Tomi Ungerer – Centre international de l’Illustration
Lieu :
2, avenue de la Marseillaise, STRASBOURG
+33 (0)3 69 06 37 27
Tram : République
Horaires :
Tous les jours de 10h à 18h – sauf le mardi
Des horaires spécifiques sont réservés aux groupes accueillis par le service éducatif des musées ou
par les guides de l’Office du Tourisme de Strasbourg
Visites de groupes (dans la limite des places disponibles)
Pour toute visite de groupe de plus de 10 personnes,
la réservation est obligatoire au 03 88 88 50 50 (du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30)
Prix d’entrée de l’exposition:
Tarif normal : 6,5 euros
Tarif réduit : 3,5 euros
Gratuité :
moins de 18 ans
carte Culture
carte Atout Voir
carte Museums-PASS-Musées
carte Édu’Pass
visiteurs handicapés
étudiants en art et en histoire de l’art
personnes en recherche d’emploi
bénéficiaires de l’aide sociale
agents de la CUS munis de leur badge
Gratuité pour tous :
le 1er dimanche de chaque mois
Pass 1 jour : 12 €, tarif réduit 6 €, (accès à tous les Musées de la Ville de Strasbourg et à leurs
expositions temporaires),
Pass 3 jours : 18 €, tarif réduit 12 €, (accès à tous les Musées de la Ville de Strasbourg et à leurs
expositions temporaires),
Museums-PASS-Musées – 1 an, 300 musées : tarif individuel 82 euros, tarif familial 149 euros
(accès à plus de 300 musées, châteaux et jardins en France, Suisse et Allemagne).
Plus d’informations : www.museumspass.com
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BOSC
DE L’HUMOUR À L’ENCRE NOIRE
MUSÉE TOMI UNGERER - CENTRE INTERNATIONAL DE L’ILLUSTRATION
17 OCTOBRE 2014 - 1er MARS 2015
LISTE DES VISUELS TÉLÉCHARGEABLES SUR LE SITE
WWW.MUSEES.STRASBOURG.EU
1. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre,
(J’aime beaucoup ce que vous faites, Paris, Denoël, 1985,
p. 55, s.d. [première version : Homo sapiens, Zurich, Diogenes Verlag,
Ein Diogenes Tabu, 1957, p. 40] [au verso : esquisse du même dessin])
Aquarelle sur papier 38,3 × 28,5 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
Demande à adresser à :
Service communication
des Musées de la Ville de Strasbourg
Julie Barth
2 place du Château, Strasbourg
[email protected]
Tél. + 33 (0)3 88 52 50 15
5. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre
(J’aime beaucoup ce que vous faites, Paris, Denoël, 1985, p. 101), s. d.
Aquarelle sur papier 32,3 × 25 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
6. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), « J'aime beaucoup ce que vous
faites » (J’aime beaucoup ce que vous faites, Paris, Denoël, 1985, p. 111)
Aquarelle sur papier 31,5 × 26,5 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
2. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre,
(DG et Paris en bouteille), inédit, s. d.
Encre à la plume et collage sur papier 38 × 28,5 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
3. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), « Salon de beauté »
(Minute, n°12, 22 juin 1962, p. 12)
Encre de Chine à la plume et collage de photographies de
Pauline Carton et Brigitte Bardot sur papier 35 × 26 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
4. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre, s. d.
Encre de Chine à la plume sur papier 25,3 × 32 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
7. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), « Tout, mais pas ça »
(Lui, n° 52, avril 1968, p. 115)
Aquarelle sur papier 29,2 × 20,8 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre,
(J’aime beaucoup ce que vous faites, Paris, Denoël, 1985, p. 15), s. d.
Encre rouge et encre de Chine à la plume sur papier 27 × 20 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
8.
9. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre
(Paris Match, n° 586, 2 juillet 1960, p. 107)
Encre de Chine à la plume et collage avec photographie de Brigitte Bardot
24,3 × 29,2 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
10. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre,
15. Claire Bretécher (née en 1940), « Salade de saison »,
11. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre,
16. BOLL (BOLL, Dominique dit) (né en 1962), "Le pêcheur", s. d.
(Sud-Ouest Dimanche, n° 1237, 29 avril 1973, p. 14)
Encre rouge et encre de Chine à la plume sur papier 32 × 25,2 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
(La bombe et les secours), s. d.
Encre de Chine et lavis d’encre grise, plume 31,3 × 24 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
[Salades de saison n° 15], 1971
Encre de Chine, plume et lavis 33 × 27 cm
Collection Michel Lieuré © Claire Bretécher
Pinceau et encre de Chine sur papier 33 × 50 cm
Collection de l’artiste ©Boll
12. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre, s. d.
17. Georges Wolinski (né en 1934), sans titre, s.d. [années 1960)]
13. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), « L’arbre extraordinaire »
18. Georges Wolinski (né en 1934), sans titre, s.d. [années 1960)]
Encre de Chine au pinceau sur papier 32,3 × 26 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
[Alles bloss das nicht, p. 53, Zurich, Diogenes Verlag Tabu], 1954
Encre de Chine et collage sur papier 38,3 × 28,3 cm
Collection privée © 1954 by Diogenes Verlag AG, Zürich
14. Bosc (Jean Maurice Bosc, dit) (1924-1973), sans titre
(Punch, septembre 1959, p. 232)
Encre de Chine à la plume 23,3 × 32 cm
Collection Alain Damman © Ayant droits Famille Bosc
Encre de Chine sur papier vélin 37 × 21 cm
Collection BNF © Georges Wolinski
Encre de Chine sur papier vélin 37 × 21 cm
Collection BNF © Georges Wolinski
19. Chaval (Le Louarn, Yvan dit) (1915-1968),
« Vous ajouterez 1 demi-livre de sade et 1 litre de bordeaux, supérieur », s. d.
Encre de Chine et plume sur papier Canson 24,5 × 32 cm
Collection Christian Dalmau © Christian Dalmau ayant droit
20. Mose (Depond, Moïse dit) (1917-2003), sans titre, vers 1960
Encre de Chine, plume et lavis sur papier 27,5 × 22,5 cm
Collection Jean Rubak © Mose

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