Communiqué - SIX media marketing inc.

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Communiqué - SIX media marketing inc.
Communiqué
Pour diffusion immédiate
Le nouvel album disponible 8 avril
Montréal, avril 2014 – Les disques Justin Time sont fiers
d’annoncer, pour le 8 avril prochain, la sortie de Set the World
on Fire, premier album de Brent Johnson, guitariste de blues et
de rock qui vit à La Nouvelle-Orléans. Sur cet album, Johnson
est entouré de Bill Blok (basse, chœurs), de John Perkins (batterie)
et de Wayne Lohr (claviers), ainsi que des guitaristes de renom,
Alvin Youngblood Hart qui ajoute sa touche magique sur trois
pièces et Sonny Landreth maître légendaire de la guitare slide,
qui contribue à une pièce.
Réalisé par Brent Johnson, Set the World on Fire a été enregistré
et mixé au studio The Music Shed, à La Nouvelle-Orléans, par
Ben Lorio. « Ma musique plonge ses racines dans le blues, bien
sûr, mais je ne suis pas un puriste, explique Johnson. En fait, je
ne veux pas en être un : quand j’écris de la musique, je m’inspire
à la fois de mes propres expériences et des styles musicaux qui
ont bercé mon enfance. Je ne veux surtout pas avoir la prétention
d’affirmer que j’ai vécu le même type d’expériences que les
vieux bluesmen ; et ça me semblerait ridicule d’essayer d’écrire
comme eux. Je cherche plutôt à transposer dans mes propres
pièces la passion que charrie le blues, son côté cru, honnête, sa
faculté de transmettre de l’émotion. C’est ça, mon but. »
BRENT JOHNSON
Set The World On Fire
www.facebook.com/brentjohnsonband
Pour écouter Don’t Make a Sound
Source :JustinTime
Informations : Patricia Clavel
SIX media marketing inc.
514 544-7013
[email protected]
70, rue Molière suite 201, Montréal
(Québec) H2R 1N8
514.544.7013
www.sixmedia.ca
Et ce but, le guitariste l’atteint de façon magistrale dans le bien
nommé Set the World on Fire, un album incandescent qui
enflammera ses auditeurs avec son mélange de guitare électrique
et de slide. Des 11 chansons qu’il propose, 7 sont des pièces
originales, les 4 autres sont des reprises des classiques Meet Me
in the Morning (Bob Dylan), Meet Me in the Bottom (Howlin’
Wolf), As the Years Go Passing By (Albert King) et The Hucklebuck
(Paul Williams).
Brent se décrit comme « un amant de toujours de la guitare ». Il
ajoute : « J’adore les auteurs-compositeurs, et j’ai toujours écrit
des chansons. » Malgré son appétit pour tous les genres musicaux
et son amour incontesté du blues, Brent Johnson, si on insiste
un peu, admet que ses musiciens favoris sont le guitariste
éclectique Chris Whitley, de Houston ; Ian Moore, originaire
d’Austin au Texas, qui mêle lui-même parmi ses influences la
musique world, le blues et le folk ; et les piliers de la musique
britannique Elvis Costello et Joe Strummer. En fait, Brent explique
que sa musique préférée est « crue, honnête et un peu sale ».
Véritable prodige de la guitare, dont il a commencé à jouer à
l’âge de quatre ans, Brent Johnson, natif du sud du Texas, a
toujours su ce qu’il voulait faire de son talent. Bercé dès son
enfance de styles aussi variés que le blues, le jazz, le rock, le
punk, le country et la musique world, Brent se destinait déjà à
une carrière de musicien quand sa famille a déménagé à La
Nouvelle-Orléans, alors qu’il était adolescent. Rien d’étonnant,
donc, à ce que le légendaire Louisianais Bryan « Braille Blues
Daddy » Lee ait reconnu, dès la première écoute, la virtuosité
du jeune garçon, sa passion pour la guitare et son amour pour
le blues. Si bien qu’à 22 ans, Brent Johnson s’est joint au Bryan
Lee and the Blues Power Band, groupe avec lequel il a enregistré
des albums et fait des tournées nationales et internationales au
cours des 10 dernières années.