les juifs portugais en amerique hollandaise p0rto rico, iles

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les juifs portugais en amerique hollandaise p0rto rico, iles
LES JUIFS PORTUGAIS EN AMERIQUE HOLLANDAISE
UN VOYAGE DE VALISKE AUX ORIGINES DE LA PRESENCE JUIVE
EN AMERIQUES (4 PAYS VISITES)
P0RTO RICO, ILES VIERGES (USA), SAINT CHRISTOPHE ET
NIEVES, ARUBA (PAYS BAS), CURACAO (PAYS BAS)
Fiche technique :
Dates : du jeudi 28 janvier au lundi 8 février 2016 (groupe 1)
& du jeudi 11 février au lundi 22 février 2016 (groupe 2)
Durée : 11 + 1 jours
Frais de participation tout compris : 2900€ (chambre d’hôtel double ou twin et
cabine double ou twin intérieure sans hublot) ou 3100€ (chambre et cabine double ou
twin avec vue mer – hublot pendant le voyage en Mer des Caraïbes), vols réguliers
A/R Paris - San Juan - Paris, croisière de 8 journées à bord d’un bateau de luxe de/à
San Juan en passant par les Iles Vierges (USA), Saint Christophe-et-Niévès, Aruba
(Pays-Bas) et Curaçao (Pays-Bas), hôtel 4**** et cabine 4****, 3 à 5 repas par jour,
transferts et navettes aéroport – centre-villes et ports – centre-villes, riche programme
culturel à San Juan et dans toutes les villes visitées, large choix de divertissements,
visites de sites et rencontres avec les communautés juives sur place, conférences,
assurance complète dont celle d’annulation Mondial Assistance, accompagnement et
animation de VALISKE, taxes portuaires, pourboires obligatoires de 12$ par jour,
documentation personnalisée, cotisation annuelle VALISKE (30€).
Supplément chambre individuelle : 700€ (sans hublot) et 800€ (avec hublot)
Date limite d’inscriptions : le 1er septembre 2015 dans la limite de places disponibles.
Attention : les deux groupes sont limités à 25 participant(e)s au maximum.
Acompte : 900€ à verser à l’inscription avant le 1er septembre 2015.
Régime alimentaire général diversifié ou kasher selon votre choix au même prix (pas
de supplément pour les repas kasher, merci d’indiquer votre option lors de
l’inscription).
Juifs dans les Caraïbes
Synagogue portugaise de Curaçao, la plus ancienne en trois Amériques
Dans le cadre de sa théorie de « pureté de la race » limpieza de sangre, le gouvernement espagnol, dès 1501,
interdit à tout musulman, juif ou converti issu de ces deux groupes, ainsi qu'aux hérétiques chrétiens
(protestants de l'Europe du Nord-Ouest) de pénétrer en Amérique espagnole. Dès 1506, les autorités
ecclésiastiques de l'île d'Hispaniola voient arriver les « Hébreux » (ebreos en espagnol) et remarquent la
présence de nouveaux-chrétiens dans les flottes des conquistadores.
La France avait adopté une politique identique à celle de l'Espagne vis-à-vis des nouveaux chrétiens
"insincères", donc suspects de Marranisme - Marranes. En effet, le retour des chrétiens à la religion juive
était un pêché. Mais dans les Caraïbes françaises (Martinique, Guadeloupe, Saint Domingue, Cayenne), des
considérations d'ordre économique se heurtaient à la moralité religieuse dominante (catholique). Les Jésuites
s'opposèrent fermement à l'installation des Juifs. En 1681, à la Martinique, ils soumirent un "Mémoire contre
les Juifs", affirmant que " les Juifs Luis, Lopez et Abraham étaient des Apostats qui, auparavant, avaient
embrassé le catholicisme.
Dans les iles britanniques (Jamaïque et Barbade), les sépharades y furent naturalisés bien avant les Juifs
d'Angleterre. La loi de 1747 permit à tous les Juifs (et aux protestants) nés à l'étranger d'être naturalisés
britanniques s'ils résidaient dans les colonies depuis sept ans en prêtant serment selon une formule non
chrétienne. Espagnole depuis 1494, la Jamaïque fut conquise par l'Angleterre en 1655 pour devenir
officiellement colonie britannique en 1670. Elle fut durant deux siècles le plus grand exportateur de sucre
canne à sucre au monde grâce à la pratique de l'esclavage. Lorsque les Anglais cédèrent le Suriname aux
Néerlandais, par le traité de Breda, ils tentèrent d'attirer en Jamaïque des planteurs de cet endroit en leur
promettant "une quantité de terre double de celle ordinairement allouée aux autres planteurs" pour la culture
de la canne à sucre et de l'indigo. Les efforts des Juifs dans l'agriculture y étaient fortement découragés.
Ceux non originaires de l'île et non naturalisés ne pouvaient légalement posséder qu'un seul esclave. Ils ne
pouvaient embaucher des non juifs sous contrat. C'est pourquoi seulement quatre planteurs juifs possédaient
des plantations importantes. Participer au commerce était encore plus difficile. B de Caseres et deux autres
Juifs sépharades demandèrent la permission de se livrer au commerce. Les négociants chrétiens soutinrent
qu'"ils étaient un peuple si subtil en matière de commerce et qu'eux et les leurs étaient si bien implantés chez
d'autres nations qu'il ne faudrait pas attendre longtemps avant qu'ils ne monopolisent le commerce pour en
faire bénéficier d'autres colonies ou patries".
Finalement, les autorités leur permirent d'y résider "s'ils habitaient déjà dans l'île et s'étaient comportés à la
satisfaction générale pendant des années". Ceci valait également pour d'autres colonies. À la Jamaïque et à
Niévès,en 1680, les non-juifs blancs se plaignirent que les Juifs, négociants pour la plupart, "cassent les
prix"... Lorsque le Surinam fut cédé aux Hollandais, en 1667, et à l'arrivée des Sépharades expulsés des
Antilles françaises, la situation empira.
La situation des Juifs dans les iles hollandaises est une exception sous bien des aspects. En 1652, la
Compagnie des Indes Occidentales, néerlandaise, signe un contrat avec David Cohen Nassi (1612-1685),
autorisant les Juifs à cultiver la terre à Curaçao mais leur refusant la liberté religieuse pleine et entière ainsi
que l'autorisation de se livrer au commerce. Ce Nassi, alias Joseph Nunes Da Fonseca et Christovao de
Tavora, était un "converso" (converti, nouveau-chrétien) ayant vécu au Brésil néerlandais avant de repartir à
Amsterdam, bien avant la chute du Brésil néerlandais en 1654.
À ce titre, il avait bénéficié du statut créé en 1629 par la Compagnie néerlandaise des Indes occidentales
pour encourager la colonisation dans le Nouveau Monde : le candidat recevait un domaine et s'engageait à
attirer cinquante colons dans les trois ans.
L'île de Tobago, au large du Venezuela, avait été colonisée par des juifs hollandais d'Amsterdam dès 1622,
dans le sillage de l'ancienne présence hollandaise autour des salines de Punta d'Araya, puis par des juifs
granas de Livourne en 1660, emmenés par Paulo Jacomo Pinto, au moment où les juifs décident de se
regrouper sur la Côte Sauvage (Amérique du Sud).
Au XVIIe siècle, le nombre de Juifs granas dans le port de Livourne est multiplié par trente, passant de 114
en 1601 à environ 3 000 en 1689, mais c'est dans les années 1660 que Livourne centralise les réfugiés,
persécutés par les autorités espagnoles à Oran. Alors que la plupart parlent espagnol et n'ont jamais connu
d'autres pays, l'Amérique du Sud semble un lieu de regroupement idéal.
Les juifs arrivent dans un Surinam colonisé par le planteur de sucre anglais Anthony Rowse, de la Barbade,
qui s'était installé en 1650 avec 2 000 esclaves amenés de la Barbade, sur les ruines d'une colonie
hollandaise des années 1620. Ils sont noyés dans un vaste côte-sauvage franco-anglaise que la Hollande
achète en 1666 à l'Angleterre, en échange de New York. Dans les 40 années qui suivent, les hollandais
développent progressivement le sucre à leur tour.
La colonie de Surinam compta 96 % d'esclaves à partir de 1694 et vit sa population opérer un « métissage »
entre sépharades et non-Juifs africains. En 1684, la population juive comptait 232 membres et 2 fois plus
d'hommes adultes que de femmes. Les néerlandais y possédaient 1298 esclaves.
Ainsi débuta le Mariage de Surinam, où s'opéra un métissage engendrant une population afro-européenne en
mesure de revendiquer des origines blanches par la lignée paternelle. Les relations extraconjugales et
conjugales entre Juifs d'origine européenne et personnes africaines n'étaient pas rares.
Le gouvernement sépharade autonome, le « mahamad », décida de classer ses membres libres (donc, non
esclaves) soit comme « jehidim » (en hébreu: membres, juifs à part entière), soit comme « congregantes »
(en portugais : assemblés, intégrés), juifs de « deuxième classe », considérés comme « non-blancs » ou
blancs inférieurs par suite de leur mariage avec un non-blanc, suivant la hiérarchie de l'Eglise calviniste
néerlandaise (de l'époque). Les africains esclaves n'entraient pas dans ces deux catégories.
Or, en 1663, le mahamad menaça d'Excommunication tout Juif qui circoncirait (donc convertirait dans la
religion juive) tout enfant mâle issu d'une union avec une non-juive. Mais cette menace n'eut aucun effet
notable. Dans les années 1720, la communauté juive approuva ouvertement la tendance des hommes
sépharades à prendre des concubines africaines et demanda que leur progéniture soit considérée comme
juive35. Un certain Joseph Pelegrino, en 1720, avait engendré trois enfants hors mariage (Simha, Jacob et
Mariana). Ces enfants étaient considérés comme juifs par la communauté juive de Surinam. Inquiet de leur
futur statut au regard des autorités, il en informa le tribunal...qui accéda à sa requête. Les enfants furent
déclarés "libres de tout esclavage" et légitimés en tant que véritables descendants. On retrouve ce
comportement dans les Antilles françaises où les enfants issus d'unions entre sépharades et africaines non
juives étaient élevés en tant que juifs, même si la Loi juive ne reconnaît pas leur judéité, puisque non issus
d'une mère juive.
Commençait alors une autre conception de la "judéité" puisque les pères (et non plus les mères juives) la
transmettaient à leurs descendants. Mais, lors des offices à la synagogue de Surinam, les mulâtres juifs
étaient cantonnés à un certain endroit, sans qu'on les autorisât à participer activement aux cérémonies ou
offices, ce qui les incita à créer parallèlement leurs propres institutions et cérémonies. L'élite sépharade était
donc tancée. Dès 1790, les dirigeants sépharades constatèrent la vive opposition des Juifs mulâtres, peu
importants en nombre, mais de plus en plus revendicatifs. Leur chef, Joseph, fils de David Nassi ayant été
inhumé sans les honneurs dus à son rang, les "kleurlingen" (gens de couleur) demandèrent qu'il le fût selon
la tradition juive. Non seulement ils n'eurent pas satisfaction mais leur confrérie, Darhei Jesarim (la Voie des
Justes) fut dissoute. Des sépharades blancs avaient contribué à sa création en 1759.
Curaçao, colonie néerlandaise dès 1634 vit arriver des Juifs, tolérés à la condition qu'ils cultivent la terre et
créent des plantations sans s'adonner au commerce. Or, la Compagnie des Indes Occidentales (en abrégé, la
WIC) les soupçonna de commercer avec la mer des Antilles. En effet, existaient dans cette région des
réseaux familiaux. Cependant, les Néerlandais semblèrent fermer les yeux et laisser faire. Les Néerlandais
utilisèrent à cet effet une enclave de la côte du Venezuela, Tucacas, centre commercial peuplé de Juifs et de
Chrétiens de Curaçao pour obtenir des quantités considérables de cacao et de tabac. Les Juifs exportaient ces
denrées vers Amsterdam. Ils participaient aussi au commerce entre Curaçao et d'autres parties du Nouveau
Monde et importaient des Pays-Bas des toiles de lin d'Allemagne, du vin de Madère et de Bordeaux, de la
cannelle et du poivre des Indes Orientales. Les sépharades utilisèrent leur connaissance de l'espagnol et du
portugais pour commercer (légalement et illégalement) avec les colonies espagnoles voisines.
Ce village de Tucacas comprenait dix-sept maisons et une synagogue. Un certain Jurriaan Exteen alias Jorge
Cristian se prenant pour "le marquis de Tucacas " y édifia un palais somptueux
Porto Rico
Porto Rico, c'est tout d'abord un soleil généreux, une atmosphère de fête permanente et tout un éventail
d'activités sportives. La côte s'étend sur 437 km de plages splendides, paradis des nageurs et des plongeurs,
mais aussi des adeptes de farniente au soleil. L'île propose tous les styles de logements à ses visiteurs, depuis
les campings au charme rustique jusqu'aux hôtels de grand luxe. En s’éloignant un peu des grands centres
touristiques, on découvre un mélange étonnant de races et de cultures. Porto Rico est une île des Antilles à
l'histoire particulièrement riche, carrefour des civilisations espagnole, amérindienne, africaine et américaine
qui lui ont un visage unique.
Les premiers Juifs arrivent avec le deuxième voyage de Colombe qui découvre Porto Rico le 19 novembre
1493. Les Anussim (Marranos) ne peuvent pas pratiquer à cause de la Sainte Inquisition, mais loin de San
Juan, dans le centre montagneux de l’ile, beaucoup s’identifient au passé juif et pratiquent le cryptojudaïsme.
Le traité de Paris de 1898 met terme à la guerre américano-espagnole et l’ile passe sous la domination des
Etats Unis. Les Juifs découvrent la liberté de conscience et la liberté de mouvement. Beaucoup de gens
arrivent du continent nord-américain. A partir de 1933, beaucoup de Juifs viennent de l’Allemagne et puis
de toute l’Europe fasciste ou/et occupée. Dans les années 1950, les Juifs fuyent le communisme de Cuba et
retrouvent le même environnement historique, culturel, économique et humain commun aux deux iles. Plus
tard, les Juifs hispanophones fuyant de nombreuses dictatures sud –américaines contribuent au
développement économique, notamment commercial et culturel de l’ile.
A présent, c’est la plus grande communauté juive dans les Caraïbes qui compte plus de 3000 personnes
regroupées dans trois courants : orthodoxe, conservatif (massorti) et reformé (libéral).
Histoire
Depuis que les premiers hommes abordèrent ses rivages il y a plusieurs milliers d’années, l’île de Porto Rico
a abrité des Indiens, espagnols, africains et anglais. Les espagnols ont eu la première et la plus grande
influence dès leur arrivée en 1493. Durant les 400 ans de leur présence, les espagnols y implantèrent leur
langage et leur culture. Ils ont bâti des villes et villages, des forteresses et des églises, des phares et le
système de routes. Ils ont amenés des esclaves venus d’Afrique pour travailler dans les champs, qui en
retour, ont contribué au pays en l’enrichissant avec leur culture, langage, musique et nourriture.
Culture
Près de 4 millions de gens vivent sur l’île de l’enchantement, dont plus d’un million dans la région
métropolitaine de la capitale San Juan seulement. C’est une société vibrante, moderne, bilingue, et
multiculturelle qui a été moulée selon les influences hispaniques, africaines, indiennes et américaines. Les
résidents de Porto Rico ont beaucoup en commun avec leurs compatriotes du continent américain mais ils
ont su garder leur héritage hispanique particulier.
A voir
Tout le vieux San Juan est intéressant à découvrir. Le lieux touristiques incluent la forteresse El Morro, Casa
Blanca - la maison ancestrale de la famille Ponce de Leon, la Fortaleza- le plus vieux manoir exécutif de
l’hémisphère ouest, la Place San Jose, le musée Pablo Casals, la place Quincentennial, la cathédrale San
Juan, la place d’armes, le passage de la Princesa. A Ponce, seconde ville de Porto Rico, vous trouverez la
place Las Delicias, le parc de pompiers, la maison Armstrong- Proventud, le musée d’art de Ponce, le musée
de musique, le château Serralles (rhum et musée) et El Vigia. Une réserve naturelle, Las Cabezas, est une
autre attraction de San Juan, de même que l’observatoire d’Arecib. Les réserves forestières de
Phosphorescent Bay à Parguera de Guanica et de Guajataca sont impressionnantes. La forêt tropicale d’El
Yunque est à découvrir. Enfin, les distilleries de Rhum, le parc de Rio Camuy, une plantation de café
restaurée, et l’Hacienda Buena Vista près de Ponce sont d'autres visites à ne pas manquer ainsi que les sites
indiens de Tibes et Caguana à Ponce et Utuado.
Informations utiles
Aéroport: Aéroport Luis Muñoz Marin (SJU) situé à 14km au nord-est de San Juan.
Superficie: 8,897 km2 (3,435 miles carré).
Affaire: Heures de bureau: De 9h00 à 18h00 du lundi au vendredi.
Capitale: San Juan.
Climat: Climat tropical chaud. Les températures varient peu dans l'année. Plus frais dans les hautes terres.
Vêtements: Vêtements tropicaux légers. Un léger imperméable est nécessaire.
Devise: Le dollar américain (USD).
Douanes: Les droits au niveau des marchandises hors taxes sont identiques à ceux en vigueur aux ÉtatsUnis.
Economie: Porto Rico a peu de ressources naturelles, même si on y a localisé du nickel et du cuivre. La
fabrication a dépassé l'agriculture comme principale source de revenu suite à un intensif programme
d'industrialisation mis en place par le Gouvernement. Les fruits frais et les légumes sont cultivés pour
l'exportation. Le tourisme est la principale industrie de service et a bénéficié d'une croissance continue ces
dernières années.
Electricité: 110 V, 60Hz.
Exigences d’entré et de sortie: Veuillez consulter le site internet officiel de l’office de tourisme de Porto
Rico.
Santé: Les services médicaux sont compétents mais chers; une assurance santé est recommandée.
Jours fériés: Jour de l’An (01 janvier), Epiphanie (janvier), Jour de Martin Luther King (janvier), Jour des
Présidents (février), Emancipation des esclaves (mars), Vendredi Saint (mars-avril), Jour de José de Diego
(avril), Jour des morts au champ d'honneur. (mai), Jour de l’indépendance américaine (04 juillet), Jour de la
Constitution (juillet), Anniversaire de Barbosa (juillet), Fête du travail (septembre), Jour de Colomb
(octobre), Fête de l’Armistice (novembre), Jour de la découverte de Porto Rico (novembre), Jour de l’Action
de Grâce (novembre), Noël (25 décembre).
Langue officielle: Anglais et espagnol.
Statut politique: Etat associé aux Etats-Unis.
Population: 3,9 millions d’habitants environ.
Religion: 85% de catholiques et des minorités juives et évangéliques.
Sécurité: Rien de différent des autres endroits de la planète: respecté quelques règles élémentaires. Méfiezvous en sortant des restaurants le soir et évitez les plages la nuit. Ne laissez rien dans votre voiture.
Achats: Les magasins sont ouverts de 09h00 à 18h00 tous les jours et le dimanche de 11h00 à 17h00. Les
paiements par cartes de crédits sont largement acceptés.
Frais de services et taxes: Il n’y a pas de taxe de départ Les taxes d’hébergement varient selon le type :
Paradores-7%. Hôtels-9%. Hôtels avec casinos-11%. Tout compris-5%. Les frais de services variant entre
8% et 15%.
Télécommunication: Le code international pour appeler Porto Rico est le +1 787.
Heure: Heure GMT -4 toute l'année. Pas de passage à l'heure d'été/d'hiver.
Transports: La conduite se fait à droite. Les panneaux de signalisation sont en espagnol, les distances sont
indiquées en kilomètres et l’essence vendue au litre. Les limites de vitesses sont par contre en miles par
heure.
PLUS D'INFORMATION: http://www.seepuertorico.com/ (en anglais ou espagnol)
Archipel néerlandais
Les trois îles sont communément appelés les îles ABC et font parties de archipel néerlandais avec une
superficie totale de 925 km². Par contre, Aruba ne fait pas partie des Antilles néerlandaises. Cette dernière
demeure toutefois membre de la Fédération néerlandaise d'outre-mer et du Royaume des Pays-Bas. Ce
groupe d’îles est à quelque 60 km au nord du Venezuela, en dehors de la ceinture d’ouragans. L’île d’Aruba
est située à l’ouest de Curaçao, Bonaire à 48 km à l’est de Curaçao et Curaçao, située entre Aruba et Bonaire
au nord du Venezuela, constitue la plus grande île des Antilles néerlandaises, et aussi la plus importante (76
% de la population des Antilles néerlandaises). Elle mesure 60 km de long, par 11 km de large, et son cheflieu est Willemstad; cette ville est également la capitale des Antilles néerlandaises.
Histoire
L’Espagnol Alonso de Ojeda et l’Italien Amerigo Vespucci au service de l’Espagne approchèrent des côtes
de l’Amérique du Sud en abordant en 1499 les îles d’Aruba, de Bonaire et de Curaçao. L’explorateur Alonso
de Ojeda prit possession des trois îles au nom de l’Espagne. Les Hollandais, avec la création de la première
Compagnie des Indes occidentales en 1621, s'arrogèrent le monopole de la traite pour le compte des
Espagnols et, dès 1634, possédaient déjà les îles de Saint-Martin, Saint-Eustache, Aruba, Bonaire et
Curaçao. Les Hollandais importèrent plus d’un demi-million d’esclaves aux Antilles et au Surinam, mais
l’île de Curaçao en reçut la quasi-totalité. Après l’abolition de l’esclavage en 1863, il y eut les importations
de travailleurs sous contrat venus des Indes britanniques, de l’Indonésie et de la Chine, mais il y eut
également beaucoup de métissages dans les îles néerlandaises: Aruba (Vénézuéliens, Saint-Martinois,
Américains), Bonaire (Anglais et Américains) et Curaçao (Sud-Américains, Britanniques antillais,
Américains, Français antillais).
Culture
Ce sont des colons hollandais, des marchands qui bâtirent la capitale, Willemstad, à l'image de l'Amsterdam
qu'ils avaient laissé derrière eux. Puis vinrent une multitude d'immigrants et de négociants en provenance
des quatre coins du monde (Amérique, Europe, Moyen-Orient et Asie) - les 50 nationalités qui cohabitent
sur l'île de Curaçao lui ont donné une atmosphère cosmopolite et décontractée, fruit d'un melting-pot
particulièrement réussi. A Aruba, les gens sont spontanés et pleins d'énergie, ils sont aussi très fiers d'un
héritage multiculturel particulièrement riche légué par les colons hollandais, espagnols et portugais, et par
les Indiens d'Amérique du sud. Enfin, Bonaire est l’île la plus tranquille. Elle a parfois l'air un peu assoupie,
mais l'ambiance qui y règne est décontractée et authentique. A la tombée de la nuit, tout est calme. La
capitale de l'île, la ville portuaire de Kralendijk construite par les néerlandais, n'a qu'une seule artère
principale, et la plupart des habitants et des visiteurs de l'île n'ont pas l'intention d'y changer quoi que ce soit
!
Les trois îles sont des paradis ! Elles sont toutes de taille réduite mais offrent un éventail d’attraits
touristiques avec chacune ses spécificités.
ARUBA : Aruba est fière de ses longues plages de sable fin – Palm Beach et Eagle Beach sont deux des
plus belles plages de toutes les Antilles, avec des kilomètres de sable blanc. L'infrastructure hôtelière y est
très développée, avec des hôtels de tous styles équipés de tout le confort moderne. La vie nocturne y est
aussi bien remplie avec une multitude de cabarets, de bars, de restaurants et surtout de casinos. La mer qui
l’entoure est délicieusement tiède et limpide, et abrite une faune fascinante. Tout autour d'Aruba, 42 sites
exceptionnels accueillent les passionnés de plongée sous-marine. On peut y découvrir des épaves de la
Seconde Guerre mondiale et aussi des coraux d'une beauté rare. Les amateurs de sports nautiques seront eux
aussi comblés et les randonneurs seront comblés en découvrant une variété incroyable de plantes et animaux
sur des sentiers spécialement aménagés dans la réserve naturelle qui couvre plus d'un cinquième du territoire
de l'île. Enfin, Aruba est aussi célèbre pour son superbe terrain de golf de 18 trous.
BONAIRE : C’est un havre de paix et de sérénité pour tous les amoureux de la nature, et particulièrement
pour les plongeurs sous-marins du monde entier. La mer limpide qui entoure Bonaire atteint facilement 30
mètres de visibilité. Plus de 80 sites sont spécialement aménagés pour que ces derniers s'adonnent à leur
passion. Les récifs coralliens commencent à six mètres à peine du rivage et affleurent pratiquement à la
surface. Plus au large, l'océan est plein de toutes sortes de poissons auxquels les pêcheurs chevronnés aiment
se mesurer. Bonaire possède aussi un parc national de 55 km2 où l'on peut admirer plus de 195 espèces
d'oiseaux et une faune et une flore tout simplement uniques. Les randonneurs apprécieront les sentiers, pour
la plupart des chemins de terre, qui leur feront découvrir les lacs salés de Bonaire et le lac de Goto, envahi
de flamants roses. A Bonaire, on a l'impression que le temps s'y est arrêté.
CURACAO : Curaçao a toujours été une île pleine d'animation et un important carrefour commercial et
culturel. Curaçao possède aussi 38 magnifiques plages, rivages animés et bien dégagés ou petites anses
isolées et baignées de soleil qui émaillent la ligne côtière et ses rochers escarpés. La Réserve
océanographique de Curaçao est un véritable paradis pour la pratique de la plongée et du tuba. Il y a
beaucoup d’autres activités telles que la pêche, la planche à voile, le ski nautique et même le golf, avec de
superbes infrastructures. Curaçao est aussi une île animée avec ses casinos, discothèques et restaurants
typiques ou internationaux. La musique est reine à Curaçao et toute l'île vibre au son de la salsa, du reggae et
de la tumba, une musique locale qui vaut le détour et qui crée une ambiance typiquement latino montrant
que l'Amérique du sud n'est jamais bien loin. A l'intérieur des terres, une réserve naturelle permet d’admirer
une flore et une faune absolument uniques aux Antilles. Pour les adeptes d'écotourisme, le grand Christoffel
National Park (18 km2) est un but d'excursion incontournable, avec ses espèces protégées d'iguanes et ses
minuscules daims caractéristiques de l'île. D’autres attractions de l’île permettent de nager avec les requins,
de visiter un élevage d'autruches ou l'aquarium de mer. Enfin, un des attraits majeurs de cette île reste ces
délicieuses liqueurs limpides, aux irrésistibles reflets bleus, verts, rouges et orangés. Elles sont faites avec
les oranges amères importées de Valence, en Espagne…
Renseignements utiles
Aéroport: A= Aéroport Queen Beatrix B= Aéroport Flamingo C= Aéroport Hato.
Superficie: A= 193 km2, B=288 km2, C= 444 km2.
Affaire: Il convient de porter une tenue d’affaire et la ponctualité est primordiale. Heures de bureau : du
lundi à vendredi de 7 h 30 à 12 h et 13 h 30 à 16 h 30.
Capitale: A= Oranjestad, B= Kralendijk, C= Willemstad.
Climat: Chaud tout au long de l'année, avec une température moyenne de 28°C mais agréablement fraîche
toute l'année grâce aux vents alizés. La principale saison des pluies s'étend d'octobre à décembre. Ces îles se
trouvent en dehors de la ceinture des cyclones des Caraïbes.
Vêtements: Vêtements légers pendant la journée. Un veste ou chandail pour le soir et vêtement de pluie
pour les averses.
Devise: A= Florin arubais (FA), B et C= Florin des Antilles Néerlandaises (NAG). Les Dollars US sont
acceptés partout.
Douanes: A= Les articles suivants peuvent être importés sans encourir de droits de douanes: 200 cigarettes
ou 50 cigares; 1 litre de spiritueux ou 2,25 litres de vin ou 3 litres de bière; 2 cadeaux d'une valeur de 1.100
FA. B et C= Les marchandises suivantes peuvent être importées par les personnes de plus de 15 ans sans
encourir de droits de douane : 200 cigarettes ou 50 cigares ou 250 g de tabac; 2 litres de boissons
alcoolisées; une quantité illimitée de parfum; cadeaux d'une valeur maximum de 100 NAG.
Economie: Aruba et Curaçao attirent beaucoup de touristes. Les services financiers offshores et les
raffineries de pétrole sont aussi importants pour toutes ces îles.
Electricité: A= 110 V, 60 Hz, B et C= 127/120 V, 50 Hz.
Exigences d’entrée et de sortie: Veuillez consulter le site internet officiel de l'office de tourisme de chacune
de ces îles ou nous contacter.
Santé: Aruba est fière de son hôpital Dr. Horacio Oduber, un établissement de santé doté d’un personnel
médical de bonne réputation, de 280 lits et d’un équipement moderne. Bonaire a un hôpital de 60 lits et de
nombreux médecins. Les services de santé à Curaçao sont de première qualité et l’île maintient un standard
élevé.
Jours fériés: Jour de l’An (01 janvier), Jour du Croes (janvier, Aruba), Lundi de carnaval (février, B et C),
Jour du drapeau (mars, Aruba), Vendredi Saint et Lundi de Pâques (mars-avril), Jour de la Reine (avril),
Jour du travail (mai), Jour de l’ascension (mai), Jour du drapeau (juillet, Curaçao), Jour des Antilles
(octobre, B et C), Noël (25-26 décembre).
Langues: Néerlandais et Papamiento. Anglais et Espagnol.
Statut politique: A= membre indépendant du Royaume des Pays-Bas, B = Municipalité à statut particulier
et C = État autonome au sein du Royaume des Pays-Bas.
Population: A= 94 000 B= 14 000 C=152 700.
Religion: Catholiques, Pentecôtistes, Protestants, Méthodistes, Juifs
Sécurité: Les îles ABC sont sécuritaires mais des précautions élémentaires s’imposent. Ne laissez pas vos
effets personnels é la vue dans une voiture, Laisser vos papiers et objets de valeur dans le coffre de l'hôtel.
Achats: Lundi au samedi de 8h00 ou 9h00 à midi, et de 14h00 à 18h00.
Frais de services et taxes: Une taxe de départ doit être payée aux différents aéroports. Le pourboire est
généralement apprécié, quelques restaurants ajoutent automatiquement 10 à 15% et les taxis 10%. Les hôtels
ont des frais de service de 12% apparaissant sur les factures et une taxe gouvernementale additionnelle de
7%. Sur Bonaire uniquement, Il y a 5% de taxe sur tous les produits et services (taxe NAOB).
Télécommunication: Le code international pour appeler A= est le 297 et pour B et C= 599.
Heure: Heure GMT -4 toute l'année. Pas de passage à l'heure d'été/d'hiver.
Transports: Transport public facile et relativement peu cher à Aruba et Curaçao. A Bonaire, il est conseillé
de louer une voiture. Pas de service de ferry entre ces îles.
Plus d'informations pour bien préparer votre voyage
http://french.aruba.com
http://www.infobonaire.com (en anglais)
http://www.curacao-tourism.com/ (en anglais)
www.bethisraelaruba.com
www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/vjw/aruba.html
www.shalomlife.com/news/13713/abcs-of-the-jewish-caribbean
http://en.wikipedia.org/wiki/Cura%C3%A7ao_synagogue
www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/vjw/aruba.html
www.snoa.com/snoa.html
http://en.wikipedia.org/wiki/History_of_the_Jews_in_Puerto_Rico
Notre avant programme
J1 : RDV du groupe à Roissy et départ pour San Juan en vol régulier, une escale (pas de vol direct de Paris)
J2 : arrivée à San Juan, visites et rencontres, Kabalat Shabbat (rite réformé), soirée de Shabbat, hôtel ****
J3 : visites de l’ile de Porto Rico, concert, hôtel ****
J4 : suite de visites de l’ile de Porto Rico, embarquement et départ en Mer des Caraïbes en bateau de luxe
J5 : traversée de la Mer des Caraïbes (divertissements, animations sur le bateau, piscine etc)
J6 : Iles Vierges (USA) : visites de l’archipel, plage
J7 : Saint Christophe et Névés : visites
J8 : Aruba : visite de l’ile et rencontres avec la communauté juive locale
J9 : visite de Curaçao, rencontre et visites : la plus ancienne synagogue en Amériques, Kabalat Shabbat
J10 : traversée de la Mer des Caraïbes (divertissements, animations sur le bateau, piscine etc)
J11 : arrivée à San Juan, départ pour l’Europe en vol régulier
J12 : vol transatlantique et arrivée à Paris
Agrément de tourisme du Secrétariat d’Etat au Tourisme
Immatriculation ATOUT France IM067110016
Membre de l’Union Nationale des Associations de Tourisme
Assurance Multirisque Professionnelle GROUPAMA no 721409760002
Assurance de tourisme: Mondial Assistance
Garantie financière: Société Générale SA
SIRET: 501 570 618 00014 / Code APE: 9499Z
Association VALISKE
BP 20013, 67131 Schirmeck, France
+33 (0)3 88 97 86 02
[email protected]
www.valiske.com