NEW LINE CINEMA et METRO-GOLDWYN-MAYER

Transcription

NEW LINE CINEMA et METRO-GOLDWYN-MAYER
NEW LINE CINEMA et METRO-GOLDWYN-MAYER-PICTURES présentent
Une production SUNSWEPT ENTERTAINMENT
Un film de THEA SHARROCK
EMILIA CLARKE – SAM CLAFLIN
JANET McTEER – CHARLES DANCE – BRENDAN COYLE
Chef Costumière Jill Taylor
Musique Craig Armstrong
Monteur John Wilson, ace
Chef Décorateur Andrew McAlpine
Directeur de la Photographie Remi Adefarasin,bsc
Producteur délégué Sue Banden-Powell
Produit par Karen Rosenfelt, p.g.a
Alison Owen, p.g.a
D’après le roman de Jojo Moyes Me Before You
Scénario Jojo Moyes
Durée : 1H50
Sortie le Mercredi 22 juin 2016
NEWSROOM: warnerbros.fr/newsroom
Tous nos dossiers de presse, communiqués, actus, projections de presse…etc…
DISTRIBUTION PRESSE
WARNER BROS. France
115 avenue Charles de Gaulle, 92200 Neuilly sur Seine
CONTACTS
Eugénie Pont
Carole Chomand & Sabri Ammar : 01 72 25 10 83 / 11 16
Catchline :
L'adaptation du best-seller de Jojo Moyes avec Emilia Clarke (GAME OF THRONES) et Sam Claflin
(HUNGER GAMES). Une magnifique histoire d'amour contrariée par la force du destin.
Tiré du best-seller "Avant toi" de Jojo Moyes, ME BEFORE YOU réunit Emilia Clarke
(GAME OF THRONES) et Sam Claflin (THE HUNGER GAMES). Le film est réalisé par Thea
Sharrock, qui signe ici son premier long métrage.
SYNOPSIS
On rencontre souvent le grand amour quand on s'y attend le moins. Et il nous entraîne parfois là où on
ne pensait jamais s'aventurer…
Une charmante petite ville de l'Angleterre rurale. Si elle est originale et artiste dans l'âme,
Louisa "Lou" Clark, 26 ans, n'a aucune ambition particulière. Elle se contente d'enchaîner les
boulots pour permettre à ses proches de joindre les deux bouts.
Jeune et riche banquier, Will Traynor était un garçon plein d'audace et d'optimisme
jusqu'à ce qu'il se retrouve paralysé, suite à un accident survenu deux ans plus tôt. Devenu
cynique, il a renoncé à tout et n'est plus que l'ombre de lui-même.
Autant dire que ces deux-là auraient pu ne jamais se rencontrer. Mais lorsque Lou accepte
de travailler comme aide-soignante auprès de Will, elle est bien décidée à lui redonner goût à la
vie. Et peu à peu, les deux jeunes gens s'éprennent passionnément l'un de l'autre. La force de leur
amour pourra-t-elle survivre à leur destin qui semble inexorable ?
NOTES DE PRODUCTION
Vivez intensément
"On n'a qu'une vie. Notre devoir est de la vivre le plus intensément possible", lance Will Traynor
dans AVANT TOI. Son conseil s’adresse à l’exubérante Louisa "Lou" Clark, son aide-soignante
de 26 ans qui semble avoir pris ses marques au travail et qui déclare être heureuse dans la petite
ville d’Angleterre au charme désuet où ils ont grandi tous les deux. Mais Will, qui n’a que 31 ans,
sait de quoi il parle… et peut-être même mieux que quiconque.
"Pour le dire simplement, il s'agit d'une histoire sur la puissance de l’amour et sa capacité à vous
transformer", résume la réalisatrice Thea Sharrock. "Tout sépare les deux protagonistes : ils viennent de
deux milieux très différents et n’auraient jamais dû se rencontrer. Et c’est ainsi que le conte de fées commence".
Jojo Moyes, auteur du best-seller dont est tirée cette histoire d'amour exemplaire, a adapté
son roman pour le grand écran. "C’est une histoire à la fois simple et complexe", poursuit la réalisatrice.
"Dans le scénario et dans le livre, Jojo réussit à rendre accessibles les situations les plus denses et chargées en
émotion, alors que les deux personnages apprennent à se connaître et s'engagent dans un périple qui les
transformera à jamais".
"Voir cette histoire passer du livre à l’écran est un peu comme un rêve qui se réalise", avance Jojo
Moyes. "Grâce au jeu des comédiens et à la magnifique direction d'acteurs de Théa, je peux vous dire que les gens
qui verront ce film retrouveront la même intrigue et les mêmes personnages, mais qu'ils en retireront aussi quelque
chose d'autre, d'un peu différent. Les spectateurs projettent leur propre vécu, leurs espoirs et leurs craintes, et à mon
avis, ils seront transportés dans l'univers de Lou et de Will".
"Cela fait longtemps que Jojo porte en elle ces personnages, et notamment Lou. Je tenais donc vraiment à
ce que nous trouvions le ton juste", ajoute Thea Sharrock.
"Les mises en scène de théâtre ont fait de Thea une artiste très respectée au Royaume-Uni et j’avais
également vu son travail pour la télévision dans la plus pure tradition britannique. Du coup, quand je l’ai
rencontrée, je m’attendais à une femme qui ait l'air vraiment 'British' ", se souvient la productrice Karen
Rosenfelt, avec un sourire. "Au lieu de ça, elle s’est enfoncée dans un gros fauteuil rembourré, les jambes pardessus l'accoudoir, et on a passé plus d’une heure à aborder toutes sortes de sujets, le cinéma, en passant par le
théâtre et la littérature. Puis, on a parlé du projet et les choses ont suivi leur cours. J’ai aimé son humanité et son
raffinement non dénué de simplicité, et surtout elle correspondait parfaitement à mes attentes pour cette histoire".
Autrefois, l’univers de Will était sans limites : il n'aspirait qu'aux sensations fortes et cela
fait désormais deux ans qu’il vit en reclus. Depuis que son corps l'a lâché à cause d’une blessure à
la moelle épinière, il habite – l'usage du mot "vivre" lui étant insupportable – dans la maison de
campagne de ses parents. De son côté, Lou n’a presque jamais quitté sa petite ville de province et
le simple fait de se rendre sur le vaste domaine des Traynor – le "château", comme le surnomment
les habitants du coin – est en soi une aventure. Et pourtant les deux jeunes gens se rencontrent,
par un coup de chance ou un coup du sort...
Emilia Clarke incarne Lou, jeune fille attachante et curieuse de tout. "Ce qui m’a intéressée
dans ce projet, c'est l’écriture de Jojo Moyes, d’abord dans le livre, puis dans le scénario", raconte l’actrice. "Dès
la première page, j’ai été captivée, si bien que j’étais totalement emballée à l’idée de jouer un personnage aussi
charmant et sincère, anglais jusqu’au bout des ongles, dont le parcours est extrêmement séduisant".
À ses côtés, Sam Claflin, dans le rôle de Will, avoue avoir lui aussi été attiré par la plume
de l’auteur. "L’écriture elle-même était magnifique et le thème qui accompagne ce personnage extrêmement
complexe était parfaitement amené : ça m’a beaucoup fait réfléchir. Et c’est un argument qui a largement pesé dans
ma décision".
"Le roman de Jojo m’a émue grâce à la tonalité originale des personnages et la sincérité des émotions qu'il
décrit", intervient Karen Rosenfelt. "J’ai adoré sa façon de soulever les questions les plus complexes et les plus
personnelles, et j'ai été sensible à sa foie en la vie. J'ai été totalement happée par le livre et je l'ai lu d’une traite, en
visualisant immédiatement le film dans mon esprit, ce qui se produit rarement".
Comme elle, la productrice Alison Owen s’intéressait à cette histoire depuis longtemps.
"J’ai lu le livre quand il est sorti et je l’ai adoré. Jojo sait créer des personnages formidables et possède une
connaissance intime de la vie et de l’âme humaine. Elle écrit en faisant preuve d’une empathie incroyable pour ses
protagonistes", précise-t-elle. "Du coup, quand Karen m’a contactée pour me demander de m'engager dans le
projet, j’ai été très heureuse d’accepter, parce que tout me plaisait : l’histoire, Thea, Emilia et Sam. Ça a été une
décision rapide".
"Quand on tombe amoureux de quelqu’un au point de voir sa vie totalement bouleversée – quand rien
n'est plus jamais comme avant mais qu'on prend conscience, dans un moment de lucidité, qu'on n'aura peut-être
pas d’avenir avec l'être aimé –, les émotions sont à leur comble", avance Thea Sharrock "En tant que
réalisatrice, je me sens privilégiée de pouvoir entraîner vers ces sentiments extrêmes des acteurs désireux de me
suivre. Nous nous sommes tous consacrés corps et âme à ce film, comédiens et techniciens, et nous nous sommes
embarqués dans ce projet tous ensemble, entre rires et larmes. Cette expérience s’est révélée foncièrement libératrice".
"Je suis devenue quelqu’un de complètement différent grâce à toi". – Lou
Sans ambition particulière, originale et artiste dans l'âme, Lou travaille dur comme
serveuse dans un petit café pour aider sa famille à joindre les deux bouts. "Louisa Clark est une
jeune fille insouciante et satisfaite de sa vie", signale Emilia Clarke. "La première fois qu’on la découvre à
l’écran, elle travaille au Buttered Bun Café, servant du thé et des scones. C’est une très bonne serveuse, elle apprécie
les clients et c’est visiblement une fille douce et attentionnée qui a à cœur de bien faire son boulot".
Mais les temps sont durs et Lou perd son travail. Consciente que son salaire est vital pour
sa famille, mais que ses compétences sont limitées, elle annonce à son conseiller Pôle Emploi
qu’elle serait prête à accepter n’importe quel boulot. Son naturel enjoué est toutefois mis à
l’épreuve quand elle doit affronter un nouveau défi dans sa vie professionnelle, en devenant
l’aide-soignante et la demoiselle de compagnie de Will Traynor. Autrefois sportif, le jeune homme
est désormais entièrement dépendant des autres suite à un accident survenu deux ans plus tôt, qui
a radicalement bouleversé sa vie.
"Lou vit chez ses parents avec sa sœur, son grand-père et son neveu dans une toute petite maison d'une
toute petite ville", reprend la réalisatrice. "Mais sa mère est sans emploi, et son grand-père et son père aussi.
Son maigre salaire est donc leur planche de salut. Cela n’entame pas pour autant sa nature optimiste".
Pour trouver une actrice capable d'exprimer ce tempérament enjoué malgré la pression,
les productrices ont fait un large casting. "On a vu des centaines de filles et j’ai communiqué par Skype
avec Emilia pour ce rôle. Mais, sincèrement, quand elle est arrivée pour l’audition et qu’elle a joué la première
scène pour son bout d’essai, on a eu l’impression que Lou Clark venait d’entrer dans la pièce", se rappelle Thea
Sharrock. "Je me souviens d'avoir secrètement envoyé un message à Karen Rosenfeld qui disait simplement, 'On
l’a trouvée'. On n'a pas hésité une seconde. Elle dégageait la même énergie que Lou, elle était tout simplement une
bouffée d’air frais".
Emilia Clarke s’est bien entendue avec la réalisatrice, dont c’est ici le premier long
métrage. "Thea est la meilleure, je l’adore. On n'aurait jamais pu deviner que c’était là son premier film",
souligne l’actrice. "Elle nous a donné l'impression que travailler avec elle sur ce projet, avec un sujet aussi
délicat, était facile et c'est bien la preuve de son intelligence, de son intégrité et de son éthique professionnelle. Elle
donne énormément d’elle-même, elle a toujours le sourire et elle est constamment de bonne humeur pour nous mettre
à l’aise – et c’était contagieux. Je n’ai jamais eu l’impression de travailler".
Quand Lou et Will se rencontrent, la jeune femme comprend rapidement qu’il n’est plus
l’accro aux sensations fortes d’autrefois, qu’elles soient physiques ou mentales. "Will est un homme
qui semble avoir été partout, avoir tout vu et tout connu, et Lou est son exact contraire", fait remarquer
l’actrice. "Quand ils font connaissance, elle est naïve et franche, et elle a un regard sur le monde qui lui est
étranger. Elle est d’une maladresse éhontée et décomplexée, et elle le fait rire. Grâce à elle, il est amené à prendre
conscience que la vie peut être belle et pleine d'espoir".
Bien que Will ait renoncé à tout, Lou est déterminée à lui montrer que la vie vaut la peine
d’être vécue. Mais cet ancien "maître du monde", comme le décrit Jojo Moyes, va donner du fil à
retordre à la jeune femme, pourtant indéfectiblement optimiste. "Ils partent du mauvais pied",
explique l’auteur. "Will était le genre de type à sauter d’un avion et à escalader des montagnes, déterminé à
profiter de la vie au maximum. Mais en raison d’un accident totalement fortuit, il dépend désormais des autres et il
estime qu'il ne peut plus continuer ainsi, étant donné tout ce qu'il perdu".
Sam Claflin confie qu’il a eu envie de jouer ce personnage principalement à cause des
difficultés physiques auxquelles Will est confronté. "Au départ, j’en savais très peu sur l’univers dans
lequel Will gravite ou sur le genre d'histoire qu'on allait raconter", note l’acteur. "Mais le parcours du
personnage est forgé par ce qu'il a vécu. Ça m’a ouvert les yeux".
Pour incarner Will, l’acteur n’a eu le droit de bouger que la tête, un doigt et un pouce – le
résultat de deux ans de kinésithérapie intense. "Il a reçu les meilleurs soins, le meilleur suivi médical et la
meilleure assistance possible", reprend l’acteur. "Mais il ne veut plus recevoir d’aide. Il a pris sa décision".
Jusqu'à sa rencontre avec Lou.
"Elle est totalement différente des filles qu’il a connues", fait remarquer Alison Owen. "Il a toujours
fréquenté des gens très privilégiés, élégants et appartenant à l'élite, que ce soient ses petites amies ou ses collègues de
travail, alors que Lou a du tempérament, et qu'elle est vive et excentrique. Il n’a jamais rencontré quelqu’un
comme elle auparavant".
"C’est la première fois que quelqu’un dit [à Will] ce qu’il pense", ajoute Claflin. "Elle n’a pas de mal
à le contredire et je crois qu’il apprécie sa franchise et qu'il l’admire. Grâce à elle, il change. Elle lui ouvre en
quelque sorte les yeux et lui permet de voir le monde différemment. Et lui aussi, il lui ouvre les yeux sur le monde
au-delà du petit village où elle vit. Il veut qu’elle se sente libre et qu'elle profite de la vie".
La réalisatrice admire la capacité de Claflin à interpréter les différentes facettes du
personnage. "Will peut se montrer totalement odieux et désobligeant, il n’y a pas de doute à ce sujet", dit-elle
en riant. "Je voulais un acteur qui dégage une chaleur innée, du charisme et une formidable gentillesse pour que la
métamorphose de Will soit crédible. Et Sam y est parvenu sans difficulté".
Pour le rôle, Claflin a notamment dû perdre du poids – "presque une vingtaine de kilos" en
tout, précise-t-il –, parce qu’au bout de deux ans d’immobilité, il est logique que la masse
musculaire [de Will] ait fondu. Mais malgré sa tétraplégie, il a toujours l’esprit aussi vif.
"Il fallait que je sois raccord avec les capacités intellectuelles de Will, parce que son esprit fonctionne
toujours aussi bien qu’avant, et que c’est un homme très intelligent", poursuit l’acteur. "Sous cette carapace, c’est
aussi une âme sensible, même si, au début, c’est loin d’être évident".
Surtout pour Lou, qui fait les frais de l’humour tranchant et pince-sans-rire de Will dès
leur première rencontre.
Comme dans tous les films romantiques, l’un des points les plus importants était
l’alchimie qui devait se produire entre les deux acteurs principaux. "Une fois qu’on a sélectionné nos
comédiens, on a réuni les heureux élus pour une lecture", indique Thea Sharrock. "C’est là que tout allait se
jouer. Dès que Sam et Emilia se sont rencontrés, la directrice du casting et moi nous sommes regardées, sachant
qu’on avait trouvé le couple idéal".
Pendant les répétitions, "plus on parlait de ces personnages et de leur nature profonde, plus on
apprenait à vraiment se connaître tous les trois", reprend Thea Sharrock. "Et au cours du tournage, Sam n’a
jamais hésité à prendre le temps d’aider Emilia à se préparer pour ses scènes [sans lui], car elle est presque tout le
temps à l’écran".
"Emilia et moi avons failli jouer ensemble à quelques reprises déjà, mais ça ne s’est jamais fait pour
diverses raisons, emploi du temps ou autre", nous apprend Claflin. "Ça semblait être le timing parfait et le
projet idéal, sans compter qu’elle est la partenaire parfaite [pour ce film]".
"Sam est un homme hyper attirant", raconte l’actrice. "C’était génial de lui donner la réplique. Ça
n’a jamais été aussi facile de jouer avec quelqu’un : il se donne énormément et c’est tout simplement merveilleux".
Lou n’est bien sûr pas la seule à devoir affronter Will et ses choix de vie. Sa mère, Camilla
Traynor, fait de son mieux pour réprimer ses inquiétudes toutes maternelles avec un sang-froid
très anglais, même si elle n’a toujours pas surmonté l'accident dont son fils a été victime. Comme
tout parent, le père, Stephen Traynor, désire surtout que son fils soit heureux. Mais, mieux que sa
femme, il comprend tout simplement que Will a peut-être atteint ses limites. Pour camper ce
couple, la production a choisi Janet McTeer, grande actrice sur les planches et à l’écran, et Charles
Dance, acteur et cinéaste de renom.
"J’apprécie cette histoire parce qu’elle a plusieurs facettes", intervient Janet McTeer. "Il ne s’agit pas
d’une simple histoire d’amour entre ces deux-là [Lou et Will] mais d'une réflexion sur ce qui donne du sens à
l'existence. Cette notion de classe sociale, et les préjugés qui en découlent, sont aussi très anglais ".
"Camilla, mon personnage, est incroyablement snob", relève l’actrice. "Et ce serait très facile de la
juger là-dessus, mais ce qui m'a vraiment séduite dans ce film, c’est qu'au fil de l’histoire on perce la carapace des
personnages pour les découvrir tels qu’ils sont. En fin de compte, Camilla, effrayante au premier abord, est tout
simplement une mère, mais une mère qui souffre atrocement et sa seule façon de gérer la situation est de se montrer
adulte et plutôt distante".
Quand Lou débarque dans la vie des Traynor, avec sa joie de vivre et son effet positif sur
Will, l’attitude de Camilla s’adoucit, comme celle de son fils.
"C’est une histoire émouvante qui parle de choses graves, mais qui est aussi très drôle", affirme Dance.
"Lorsque Louisa arrive dans cette famille au fonctionnement compliqué, elle apporte avec elle un peu d’excentricité,
car elle est un rien farfelue. Mais elle donne l’espoir à Camilla de voir Will changer d’avis, alors que mon
personnage a dépassé ce cap et a accepté la décision de son fils, et même s’il ne supporte pas cette perspective, il
l’aidera à y parvenir".
Dance a été heureux d’accepter le rôle pour pouvoir travailler à la fois avec Thea
Sharrock et Janet McTeer. "Thea possède une réputation impressionnante en tant que metteur en scène et je
voulais travailler avec elle", souligne l’acteur. "Quant à Janet McTeer, je l’adore et j’ai toujours souhaité jouer
avec elle sans jamais pouvoir le faire. C’est tout simplement une grande dame de théâtre, d’une intelligence
fulgurante et redoutable, et une merveilleuse actrice".
"Charles et moi nous sommes croisés pendant des années sans jamais travailler ensemble, en fait. C’est
sans doute l’un des rares acteurs à être plus grand que moi, pour commencer", déclare Janet McTeer en riant,
"et on s’est vraiment bien entendus. C’est un homme absolument charmant".
La réalisatrice ne cache pas que le jeu des deux acteurs "est incroyablement émouvant. Ils ont
réussi à restituer la douleur que les Traynor éprouvent face à l'adversité – quand un parent prend conscience que ce
qu’il ou elle souhaite n’est pas forcément ce qu’il y a de mieux pour ses enfants. Il faut parfois les laisser libres de
faire ce qu’eux seuls pensent être le mieux".
Alors qu’à une époque Will avait visiblement beaucoup d’amis, Nathan, son infirmier
ergothérapeute, est à présent son seul point d'ancrage, en dehors de ses parents. Stephen
Peacocke tient ce rôle, rare Australien parmi une distribution essentiellement britannique.
"Nathan sert d’aide-soignant à Will, d’ergothérapeute ou, si l'on préfère, d’infirmier", explique
Peacocke. "Mais tout bien considéré, c’est peut-être le seul à le côtoyer vraiment depuis son accident et ils
partagent aussi une certaine complicité. En fin de compte, Nathan est le pote à qui Will peut tout dire".
Afin de permettre à Peacocke et Claflin de se préparer pour leurs scènes, l’acteur
australien précise qu'ils ont "reçu l’aide de deux charmants ergothérapeutes, Ruth Peachment et Gaynor
Willmoth. Quand on est dans la situation de Will, on ne peut absolument rien faire tout seul. Tous ces petits
gestes auxquels on ne prête plus attention – comme se gratter le nez, s’étirer, s’asseoir, se lever d’une chaise –,
Nathan doit les faire pour Will. Une grande confiance règne donc entre ces deux garçons. Dès que c’est possible, il
y a un peu d’humour dans leurs échanges et c’est l’une des grandes qualités du scénario. Ils peuvent plaisanter entre
eux et Will a l’esprit plutôt vif, si bien qu'à mon avis, je Nathan apprécie cette connivence".
Tandis que Lou commence à percer la carapace de Will, ils se mettent à sortir à
l’instigation de la jeune femme qui veut lui montrer qu’il existe une vie en-dehors des murs où il
s’enferme. D’une promenade autour du château des Traynor à une course de chevaux en passant
par un concert de musique classique, leur amitié se développe à chaque sortie. Will finit même
par accepter d’assister au dîner d’anniversaire de Lou avec sa famille, dans leur modeste maison :
il y rencontre Patrick, la seule personne à ne pas sembler apprécier la complicité évidente qui
existe entre Lou et Will.
"Patrick est le petit-ami de Lou depuis environ sept ans et c’est une situation confortable qui lui convient,
si vous voyez ce que je veux dire", annonce Matthew Lewis, qui campe le rôle. "C’est aussi un coach privé
obsédé par la forme physique. Il a monté sa boîte et a remporté le titre régional de meilleur entrepreneur deux
années de suite, ce qui le pousse à devenir de plus en plus sportif. Désormais, il envisage de passer ses vacances à
participer au triathlon Viking en Norvège en compagnie de Lou. Dans son esprit, et peut-être dans celui de Lou à
un moment donné, ils vont passer le reste de leur vie dans cette ville, se marier, avoir des enfants et tout ira pour le
mieux".
"L’arrivée de Will dans sa vie", poursuit-il, "ouvre brusquement les yeux de Lou aux possibilités et
aux opportunités que le monde a à offrir en-dehors de cette ville… et loin de Patrick".
Dans l'entourage de Lou, on trouve également Bernard, le père de Lou, incarné par
Brendan Coyle, sa mère Josie, campée par Samantha Spiro, sa sœur et meilleure amie Katrina
(surnommée Treena) interprétée par Jenna Coleman, et le grand-père que joue Alan Breck.
Parmi les anciennes fréquentations de Will, on rencontre Alicia, son ex-petite-amie
(Vanessa Kirby), et Rupert, un ancien collègue et ami (Ben Lloyd-Hughes). Quant aux fans de
comédie britannique, ils pourront apprécier une brève apparition de Joanna Lumley, vedette
d’ABSOLUTELY FABULOUS, qui incarne une convive particulièrement peu discrète au
mariage auquel assistent Lou et Will.
"Partons quelque part, n’importe où, rien que toi et moi".
– Lou
L'histoire d'AVANT TOI se déroule presque entièrement en Angleterre et l'essentiel du
film y a d'ailleurs été tourné. Les collaborateurs de Thea Sharrock, comme le directeur de la
photographie Remi Adefarasin et le chef-décorateur Andrew McAlpine, ont travaillé avec la
réalisatrice pour traduire à l'écran les lieux minutieusement détaillés qui figurent dans le livre et le
scénario de Jojo Moyes. Ils ont fidèlement reconstitué, pour les besoins du film, l'environnement
dans lequel évoluent Lou et Will, que les fans du livre ont eu le plaisir d'imaginer depuis la
publication du roman en 2012.
Pembroke, au Pays de Galles, a servi de cadre à la petite ville que surplombe le manoir
des Traynor, et où les Clark vivent dans une petite maison nettement moins spectaculaire. Les
scènes du Buttered Bun Café ont également été tournées sur place, ainsi que les extérieurs de la
maison de Will, filmés à Pembroke Castle lui-même, demeure de légende qui a vu naître le roi
Henry VII et dont les fondations remontent à 1093.
"J'avais entendu parler de Pembroke Castle au nord-ouest du Pays de Galles", confie McAlpine.
"C'est un endroit assez unique car il s'agit du château idéal, même s'il se trouve à proximité d'un village animé.
J'avais ainsi à portée de main tout ce dont j'avais besoin pour représenter les extérieurs de la demeure des Traynor,
et le parfait contraste avec les propriétés voisines".
L'abbaye de Whytham, résidence privée située dans le comté de l'Oxfordshire au sud-est
de l'Angleterre, a campé Grantchester House, demeure des Traynor dans l'enceinte du château.
Tous les plans extérieurs des abords immédiats de la maison et ceux représentant l'intérieur de sa
partie principale y ont été tournés et McAlpine y a reconstitué l'atmosphère convenant à cette
famille aisée mais discrète.
"Camilla est une femme intelligente, bien que profondément triste, elle a bon goût et elle a les pieds sur
terre", résume-t-il. "Sa capacité à allier bon goût et sens pratique se reflète dans la manière géniale dont elle a
transformé les écuries en annexe pour Will, et où elle espère qu'il va pouvoir vivre confortablement".
Même si les intérieurs de la propriété ont été tournés à l'abbaye de Whytham, l'intérieur
de l'annexe a été construit aux studios Pinewood et filmé de sorte qu'on puisse le croire
directement relié au bâtiment principal. Pour représenter subtilement les bouleversements subis
par cette famille jusque dans ses murs, le décorateur a utilisé les mêmes tons dans la maison que
dans l'annexe : "une palette de gris-vert, comme une vague rugissante pendant l'orage", détaille le décorateur.
L'annexe constitue dorénavant l'univers de Will et c'est là qu'il rencontre Lou pour la
première fois. "Dans l'annexe surgit ce papillon appelé Lou, habillée de façon originale et très colorée",
reprend McAlpine. "J'ai donc recouvert les murs d'une teinte sombre assez douce qui souligne la beauté de la
pièce de façon élégante. Je me suis volontairement freiné afin qu'à chaque fois que Lou pénètre dans la pièce, ce soit
une explosion de couleurs".
Dans l'annexe, tout a été aménagé pour faciliter la vie de Will. "Les dimensions de l'annexe
ont été dictées par les besoins d'un homme en fauteuil roulant. J'ai également conçu son lit afin qu'il ait l'air le plus
confortable possible, le genre de lit que Camilla aurait pu faire faire sur mesure à Londres par les meilleurs
fabricants de literie. Et les grandes baies vitrées ont été conçues pour Will, afin qu'il se sente dans le même cadre
que celui de son enfance", poursuit-il.
Les décors de la propriété des Clark ont aussi été créés aux studios Pinewood. "Quand on
voit où vit Lou, on se rend compte qu'il s'agit d'un endroit où l'affection qui y règne permet de surmonter les
difficultés du quotidien : c'est la maison d'une famille anglaise de milieu modeste, fière de sa place dans le monde",
ajoute-t-il.
C'est à Harrow, dans la banlieue nord-ouest de Londres, que les extérieurs de la maison et
de la rue des Clark ont été tournés. Une maison privée à Esher dans le Surrey a été utilisée pour
représenter l'établissement Dignitas en Suisse et l'hippodrome historique de Sandown Park a servi
de décor à deux séquences : l'une située dans un hippodrome et une autre dans la zone
d'enregistrement d'un aéroport. Sandown Park, qui accueille toujours des courses hippiques de
nos jours, a ouvert ses portes en 1875 et a été l’un des premiers champs de courses en Angleterre
à faire payer un droit d'entrée à tous ses visiteurs.
Chenies Manor House, manoir du XIIe siècle situé dans le Buckinghamshire, a servi de
cadre à la cérémonie de mariage et à la réception à laquelle Lou assiste en compagnie de Will. Les
auteurs du film ont exploité sa splendeur bien particulière, en filmant notamment en plan large le
cocktail suivant la cérémonie, afin de mettre en avant les 22 cheminées en brique toutes décorées
de façon différente et les magnifiques jardins environnants.
En dépit des joyaux que recèle la campagne anglaise, c'est lorsque Lou et Will partent en
vacances ensemble que les paysages deviennent franchement exotiques. Une partie de l'île de
Majorque aux Baléares a représenté l'île Maurice, évoquée dans le film, et plusieurs séquences ont
été tournées au Barceló Formentor Hotel ainsi que sur la plage avoisinante.
"C'est un endroit magnifique, d'une grande sérénité", commente McAlpine. "On y trouve une baie
assez similaire à certaines de l'île Maurice". La flore y est néanmoins différente, ce qui a représenté un
vrai défi pour le décorateur : "Il y a à Maurice une sorte de pin très particulier si bien qu'on a dû en planter
presque 600 autour de l'hôtel et ajouter des pelouses supplémentaires pour rendre la végétation un peu plus
luxuriante et authentique".
"Quand j’étais petite, ma mère m’a acheté une paire de petites bottes
brillantes en caoutchouc et je ne voulais plus les enlever.
J’adorais porter mes petites bottines et mes super collants abeille,
à rayures jaunes et noires". – Lou
Ce n'est cependant ni la maison de maître ni l'île paradisiaque qui marqueront les esprits,
mais le personnage de Lou lui-même. Pour la costumière Jill Taylor, elle est "un peu extravagante
sans tomber dans le ridicule. Une fille singulière qui aime les vêtements et les couleurs et qui apprécie d'assortir les
tenues entre elles".
À un moment du film, Lou raconte même à Will que lorsqu'elle porte une paire de
chaussures bien particulière, son petit ami dit qu'elle ressemble à un "lutin drag queen". Pour Jill
Taylor : "Certains vêtements ont pour elle la même valeur qu'un objet d'art – et c'est quelque chose qu'elle
apprécie".
La costumière s’est d’abord mise à travailler le personnage de Lou tout simplement en
observant les jeunes autour d'elle : "J'ai commencé à faire attention à la façon dont les jeunes filles s'habillent
dans les rues de Londres. Ce qu'on trouve dans les magasins est assez osé et j'y ai puisé beaucoup d'inspiration",
raconte-t-elle.
Tout s'est fait très naturellement, ajoute Jill Taylor : "J'ai rencontré Emilia, nous avons discuté et
sommes parties faire les magasins, ça a été aussi simple que ça ! Nous avons pris des tonnes de vêtements à essayer
et, heureusement, elle a bien voulu jouer le jeu !"
Tandis que Lou privilégie en général les imprimés bariolés et les textures duveteuses, de
ses pulls en maille à ses chaussures à fleurs, deux robes ont été spécialement créées par Jill Taylor
pour les scènes où les circonstances obligent Lou à s'habiller un peu différemment.
"Pour la séquence où elle emmène Will à un concert de Mozart, la robe rouge était très importance",
commente la costumière. "J'ai dessiné quelques croquis, j'ai fait faire la robe et celle-ci tombait parfaitement
sur Emilia. C'est la première fois que le personnage de Lou a l'air raffiné".
Mais ce n'est pas la dernière : "Nous avons aussi confectionné une robe pour la scène du mariage.
Elle a une coupe similaire à la robe rouge mais a été taillée dans un tissu complètement différent". Et dans un
imprimé coloré bien entendu.
Les costumes élaborés pour le personnage de Will étaient beaucoup plus simples : "Pour
lui, on savait que les vêtements devaient avoir l'air de coûter cher tout en étant très simples, élégants et luxueux
dans leur minimalisme. Au début du film, avant son accident, Will arbore un costume Armani. Mais ensuite, il
porte beaucoup de cachemire, des cotons très doux, des vêtements faciles à enfiler et à enlever, ce qui est très
important pour lui", commente Jill Taylor.
Il porte néanmoins un smoking lors de la séquence du concert, seul moment où l'on
entend de la musique classique.
Le reste de la bande-originale d'AVANT TOI se conjugue soigneusement à la partition
signée Craig Amstrong afin d'évoquer les sensibilités et les élans du cœur décrits dans le film. Des
chansons connues rythment le film, telles "Thinking Out Loud" et "Photograph" d'Ed Sheeran,
"Unsteady (Erich Lee Gravity Remix)" de X Ambassadors, "Till The End" de Jessie Ware, et
"Not Today" d'Imagine Dragons.
"La musique de Craig et les chansons que nous avons choisies ont une importance capitale dans le film",
analyse la réalisatrice. "Elles se font l'écho de ce qui se joue entre Lou et Will, à chaque étape et revirement de
leur relation".
"Qu'il s'agisse de Lou et Will, ou d'AVANT TOI, pour moi ça signifie littéralement 'qui j'étais avant
de te rencontrer' ", révèle Jojo Moyes. "Cela renvoie à la manière dont chacun est transformé par l'autre. Lou
est intimidée par cette propriété et par le statut social de ces gens avec qui elle doit travailler. Elle est profondément
mal à l'aise. Quant à Will, il ne veut pas d'elle et il fait de son mieux pour se montrer vraiment pénible et ne pas
lui céder de terrain. Ces deux-là n'auraient jamais dû se rencontrer mais plus ils apprennent à se connaître, plus ils
apprécient les forces de l'autre. Il se rend compte que, d'une certaine manière, elle est aussi prisonnière que lui, en
raison de ses propres attentes et de sa propre histoire. Finalement, c'est Will qui la pousse à être plus ambitieuse, à
vouloir plus de la vie, mais il ne peut le faire qu'après qu'elle-même lui a ouvert les yeux, et son cœur".
Emilia Clarke espère que le film touchera les spectateurs comme le roman avait ému ses
nombreux lecteurs : "Pour le dire simplement, je voudrais que les gens gardent de ce film un peu de la joie
qu'on peut trouver dans la vie et dans l'amour. C'est une histoire qui touche les gens quand ils la lisent, qui nous a
tous touchés en tournant ce film, et j'espère donc qu'elle touchera tout autant les spectateurs du film".
"Le film pose de nombreuses questions, surtout en ce qui concerne mon personnage", raconte Sam
Claflin. "J'espère que les gens vont en parler et voudront peut-être en savoir plus. Il y a beaucoup d'histoires vraies
tout aussi tragiques et dignes de susciter l'admiration que celle de Will et Lou : je pense que le film aborde ces deux
aspects et souligne aussi le côté exaltant de cette aventure".
C'est à Thea Sharrock que revient le mot de la fin. "Il y a en Lou une certaine légèreté et un
humour qu'il est très facile d'apprécier. On est également témoins de moments tendres et assez inattendus entre Lou
et Will quand ils font vraiment ressortir le meilleur chez l'autre. Si on va au cinéma pour voir une histoire
d'amour toute simple, je pense que l'objectif est atteint : le spectateur sera satisfait, il rira au cours du film et peutêtre même versera-t-il une larme à la fin… Et avec un peu de chance, si nous avons été à la hauteur du livre de
Jojo et de ses nombreux fans, on peut espérer que cette aventure ne sera pas oubliée de sitôt".
DEVANT LA CAMÉRA
Comédienne de grand talent, EMILIA CLARKE (Louisa “Lou” Clark) a séduit le public
grâce à ses rôles et à sa beauté.
Elle a récemment été citée à l'Emmy pour la deuxième fois pour son interprétation de
Daenerys Targaryen dans la série GAME OF THRONES. Elle a encore été nommée à l'Emmy
et au Critics Choice Television Award pour la même série en 2013. Une sixième saison est
diffusée depuis avril 2016.
Elle a récemment achevé le tournage de VOICE FROM THE STONE d'Eric D. Howell,
avec Marton Csokas, où elle campe une infirmière qui vient en aide à un garçon hanté par une
force maléfique.
Elle a campé Sarah Connor dans TERMINATOR GENISYS d'Alan Taylor, aux côtés
d'Arnold Schwarzenegger, Jason Clarke, et Jai Courtney. Toujours au cinéma, elle s'est produite
dans DOM HEMINGWAY, avec Jude Law et Demian Bechir, et SPIKE ISLAND de Mat
Whitecross.
En 2013, à Broadway, elle a campé Holly Golightly dans la reprise de "Diamants sur
canapé".
Diplômée du Drama Centre London, elle a obtenu un rôle dans la série DOCTORS, puis
dans le téléfilm TRIASSIC ATTACK. Elle a grandi dans le Berkshire et vit actuellement à
Londres.
Depuis l’obtention de son diplôme à la London Academy of Music and Dramatic Art en
2009, SAM CLAFLIN (Will Traynor) a participé à de nombreux projets prestigieux. On le
retrouvera bientôt dans THEIR FINEST HOUR AND A HALF de Lone Scherfig, face à
Gemma Arterton et Bill Nighy, autour d'une équipe de tournage qui tente de monter un film
divertissant en pleine Seconde guerre mondiale.
On l'a vu récemment dans HUNGER GAMES LA RÉVOLTE, avec Jennifer Lawrence,
Liam Hemsworth et Josh Hutcherson. On le retrouvera bientôt dans FRIDAY où il campe le
footballeur anglais Robin Friday.
2014 a été une année riche pour Sam Claflin. Il a tourné dans THE RIOT CLUB de
Lone Scherfig, d’après la pièce londonienne "Posh", avec Max Irons, Douglas Booth et Holliday
Grainger. Il a également joué dans LES ÂMES SILENCIEUSES de John Pogue, face à Jarred
Harris, et dans la comédie romantique LOVE, ROSIE, avec Lily Collins.
En 2012, il s'est produit dans BLANCHE NEIGE ET LE CHASSEUR de Rupert
Sanders, où il incarnait le Prince William aux côtés de Kristen Stewart, Charlize Theron et Chris
Hemsworth. Il a de nouveau endossé le rôle dans LE CHASSEUR ET LA REINE DES
GLACES. Un an plus tôt, il s’est illustré sous les traits de Philip, un jeune missionnaire
romantique, dans le quatrième volet de la saga PIRATES DES CARAÏBES, PIRATES DES
CARAÏBES – LA FONTAINE DE JOUVENCE mis en scène par Rob Marshall.
Côté télévision, il a joué dans plusieurs séries remarquables. En 2013, il s'est illustré
dans MARY & MARTHA de Richard Curtis, destiné à sensibiliser l'opinion publique sur le
paludisme. En 2012, il a campé Jack dans WHITE HEAT, portrait de sept amis de 1965 à nos
jours. On l'a aussi vu dans UNITED, avec David Tennant, Dougray Scott et Jack O’Connell,
autour du footballeur Duncan Edwards qui, en 1958, a été tué lors du crash d'un avion.
En 2010, il s'est illustré dans la minisérie LES PILIERS DE LA TERRE, adaptée du
roman éponyme de Ken Follett, aux côtés d'Eddie Redmayne, Hayley Atwell et Ian McShane,
puis dans l’adaptation saluée par la critique de "À livre ouvert" de William Boyd, qui a obtenu le
BAFTA de la meilleure série dramatique. La même année, il a joué dans LOST FUTURE, avec
Sean Bean et Annabelle Wallis.
Immense comédienne anglaise, JANET MCTEER (Camilla Traynor) a été deux fois
citée à l'Oscar et a décroché un Tony, un Olivier Award et un Golden Globe. Au théâtre, elle
s'est produite dans "The Grace of Mary Traverse" et "Oncle Vanya", qui lui ont valu des citations
à l'Olivier Award. En 1997, elle a décroché un Olivier et un Tony pour son interprétation de
Nora dans "Maison de poupée" d'Ibsen.
Après ses débuts à Broadway, elle a joué au cinéma dans LIBRES COMME LE VENT,
qui lui a valu sa première nomination à l'Oscar et un Golden Globe. Elle revient ensuite à
Broadway dans "Mary Stuart", saluée par la critique. En 2012, elle est citée à l'Oscar et au Golden
Globe pour ALBERT NOBBS. Parmi sa filmographie, citons LA DAME EN NOIR,
DIVERGENTE 2 : L'INSURRECTION, ANGELICA, FATHERS AND DAUGHTERS, et
MALÉFIQUE dont elle assure la narration. Elle a récemment tourné dans PAINT IT BLACK
d'Amber Tamblyn.
Côté petit écran, elle a été citée à un Critics's Choice Award pour THE HONOURABLE
WOMAN et au Golden Globe pour THE WHITE QUEEN. Elle a encore campé Clementine
Churchill dans AU CŒUR DE LA TEMPÊTE. Elle a récemment tourné dans BATTLE
CREEK.
En 35 ans de carrière, CHARLES DANCE (Stephen Traynor) s’est produit à la fois au
cinéma, au théâtre et à la télévision. Côté cinéma, on l'a vu dans THE IMITATION GAME,
avec Keira Knightley et Benedict Cumberbatch, DRACULA UNTOLD, LA FEMME AU
TABLEAU, FRANKENSTEIN, ENFANT 44, et ORGUEIL ET PRÉJUGÉS ET ZOMBIES.
Il a récemment tourné dans le cinquième volet d'UNDERWORLD et le remake de
GHOSTBUSTERS.
Parmi sa filmographie figurent PLENTY de Fred Schepisi, SUR LA ROUTE DE
NAIROBI mis en scène par Michael Radford, GOOD MORNING BABILONIA de Paolo et
Vittorio Taviani, GOLDEN CHILD – L’ENFANT SACRÉ DU TIBET réalisé par Michael
Ritchie, ALIEN 3 de David Fincher, LAST ACTION HERO de John McTiernan, HILARY
AND JACKIE réalisé par Anand Tucker, MICHAEL COLLINS de Neil Jordan, GOSFORD
PARK de Robert Altman, KABLOONAK réalisé par Claude Massot, pour lequel il a été sacré
meilleur acteur au Festival du film de Paris 1996, DÉSACCORD PARFAIT d’Antoine de
Caunes, THE CONTRACTOR mis en scène par Josef Rusnak, THERE BE DRAGONS de
Roland Joffé, VOTRE MAJESTÉ réalisé par David Gordon Green, LE SANG DES
TEMPLIERS de Jonathan English, avec Derek Jacobi et Brian Cox, MIDNIGHT’S
CHILDREN adapté de "Les Enfants de minuit" de Salman Rushdie par Deepa Mehta.
Côté télévision, il s'est illustré dans THE JEWEL IN THE CROWN, REBECCA,
NICHOLAS NICKELBY, FINGERSMITH, BLEAK HOUSE, qui lui a valu une citation à
l'Emmy, CONSENTING ADULTS, THIS SEPTEMBER et NEVERLAND. Tout récemment,
il a joué dans la série GAME OF THRONES dans laquelle il incarne Tywin Lannister. Il a encore
tourné dans l'adaptation des "Dix petits nègres" d'Agatha Christie, avec Sam Neill. On le
retrouvera dans DEADLINE GALLIPOLI et la minisérie CHILDHOOLD'S END.
Sur scène, il a joué à de nombreuses reprises avec la Royal Shakespeare Company,
notamment dans les rôles titres de "Henry V" et "Coriolan", ainsi que dans les pièces
londoniennes "Good", "Le long voyage dans la nuit" avec Jessica Lange, et "Shadowlands", qui
lui a valu le London Critic’s Circle Award du meilleur acteur.
Charles Dance a fait ses débuts en tant que scénariste et réalisateur avec LES DAMES
DE CORNOUAILLES, interprété par Judi Dench et Maggie Smith, toutes deux citées aux
European Film Academy Awards.
BRENDAN COYLE (Bernard Clark) a été cité au BAFTA, à l'IFTA et au Primetime
Emmy pour son interprétation de John Bates dans la série DOWNTON ABBEY. Par ailleurs, il
a décroché trois Screen Actors' Guild Awards.
Au cinéma, on l'a vu dans UNLESS, CHRISTINA NOBLE, L'OMBRE DU MAL,
CONSPIRACY, THE JACKET, PERRIER'S BOUNTY, LE GÉNÉRAL, AILSA et THE
MARK OF CAIN.
Côté théâtre, il s'est illustré dans "The Weir" au Royal Court Theatre, qui lui a valu un
Olivier Award et un New York Critics' Theatre Award, "Mojo", "Pygmies in the Ruins", "The
Changing Room", "Philadelphia here I Come", "Force and Hypocrisy", “The Late Henry Moss”,
à l'Almeida, “Battle Royal” et “Buried Child” au National Theatre, “The Bear” au Gate de
Dublin, et “The Ragged Trousered Philanthropists” au Sheffield Crucible.
Pour le petit écran, il a joué dans LES PIÉGEURS, REBEL HEART, FLESH AND
BLOOD, MEURTRES EN SOMMEIL, SUSPECT N°1, NORD ET SUD, SHAMELESS,
AFFAIRES NON CLASSÉES, GHOST SQUAD, TRUE DARE KISS, LARK RISE TO
CANDLEFORD, OMAGH, STARLINGS et SPOTLESS.
STEPHEN PEACOCKE (Nathan) s'est surtout fait connaître pour son interprétation
de Brax dans la série SUMMER BAY. On l'a vu ensuite dans plusieurs films, séries et pièces de
théâtre en Australie. Cette année, il tient le rôle principal de la minisérie WANTED.
Récemment, il s'est produit dans HERCULE, avec Dwayne Johnson, John Hurt et Ian
McShane, et WHISKEY TANGO FOXTROT, avec Tina Fey et Margot Robbie.
Il a grandi à Dubbo, en Nouvelles-Galles du Sud, et a étudié la communication à la
University of Newcastle.
Alors qu'il était en convalescence pour une blessure suite à un match de rugby, il a passé
une audition pour une pièce, ce qui lui a permis de décrocher d'autres rôles par la suite.
MATTHEW LEWIS (Patrick) s'est imposé grâce à son interprétation de Neville
Londubat dans la saga HARRY POTTER.
Originaire de Leeds, il a entamé sa carrière à l'âge de 5 ans dans plusieurs séries télé, mais
c'est grâce à un casting sauvage six ans plus tard qu'il a décroché le rôle tant convoité de Neville
Londubat. Grâce à ce personnage malheureux, attachant et héroïque, Lewis a désormais un
public fidèle.
On l'a aussi vu dans la série THE SYNDICATE qui lui a valu une nomination au TV
Choice Award. Peu après, il s'illustre dans THE RISE, avec Timothy Spall, Vanessa Kirby et
Luke Treadaway.
Il a fait ses débuts dans le West End londonien dans "Our Boys" de Jonathan Lewis, avec
Laurence Fox et Arthur Darville.
En 2014, il joue dans BLUESTONE 42, comédie dramatique autour d'une unité de
déminage envoyée en Afghanistan. Il est à l'heure actuelle à l'affiche de RIPPER STREET et de
HAPPY VALLEY.
JENNA COLEMAN (Katrina “Treena” Clark) s'est imposée comme l'une des
meilleures comédiennes de sa génération. Elle a cette année joué le rôle-titre de la série
VICTORIA, autour de la reine du même nom, de son accession au trône jusqu'à son mariage
avec le prince Albert.
Elle campe aussi Clara dans DOCTOR WHO, qui lui a valu une nomination au BAFTA.
Toujours pour le petit écran, on l'a vue dans DEATH COMES TO PEMBERLEY, avec
Chiwetel Ejiofor, et DANCING ON THE EDGE de Steven Poliakoff.
En 2012, elle est à l'affiche de ROOM AT THE TOP, puis interprète Annie Desmond
dans TITANIC, écrit par Julian Fellowes.
On l'a aussi vue dans le blockbuster CAPTAIN AMERICA : FIRST AVENGER et sur
scène dans "The Actor" au National Theatre.
SAMANTHA SPIRO (Josie Clark) s'est formée à la Webber Douglas Academy of
Dramatic Art. Au théâtre, on l'a vue dans “A Christmas Carol” au Noel Coward Theatre”; “Di
and Viv and Rose” au Vaudeville Theatre; “Kafka's Dick” au Theatre Royal Bath; “Macbeth” et
“La Mégère apprivoisée” au Shakespeare’s Globe; “Filumena” à 'Almeida Theatre; “Company”
au Sheffield Crucible; “Chicken Soup with Barley” au Royal Court Theatre, qui lui a valu une
citation au Natasha Richardson Award lors des Evening Standard Theatre Awards en 2011 ;
“Hello Dolly” au Regent’s Park, qui lui a valu un Olivier Award en 2010; “Beaucoup de bruit
pour rien,” également au Regent’s Park; “La Nuit des rois” au Donmar/Wyndhams; “Funny
Girl” au Chichester Festival; “The Family Plays” au Royal Court Theatre; “Two Thousand
Years” au Royal National Theatre; “Petite musique de nuit” au Chicago Shakespeare Theatre; “Le
songe d'une nuit d'été” au Crucible; “Bedroom Farce” à l'Aldwych West End; “Merrily We Roll
Along” au Donmar, qui lui a valu un Olivier Award en 2001; “Comme il vous plaira” au
Crucible/Lyric; “Jumpers” au Birmingham Rep; “Cleo, Camping, Emmanuelle and Dick” au
Royal National Theatre; “Roots” au Watford Palace/Oxford; “ Comme il vous plaira” au West
Yorkshire Playhouse/Bristol Old Vic; “Teechers” et “On the Piste” au Hull Truck/No 1 Tour;
“How the Other Half Loves” au Theatre Royal, et “Le songe d'une nuit d'été et “Tons of
Money” au Mercury Theatre.
Pour le petit écran, on l'a vue dans PLEBS, PANTO!, TRACEY ULLMAN SHOW,
LONDON SPY, THE WRONG MAN, ROCK AND CHIPS, AFTER YOU'VE GONE, BAD
EDUCATION, GRANDMA'S HOUSE, COUPLING, COLD FEET : AMOURS ET PETITS
BONHEURS, DIVISION ENQUÊTES CRIMINELLES…
Au cinéma, elle a joué dans A RUNNING JUMP, TOMORROW LA SCALA !, FROM
HELL, COR BLIMEY ! et BEYOND BEDLAM.
DERRIÈRE LA CAMÉRA
THEA SHARROCK (Réalisatrice) signe ici son premier long métrage.
Grande femme de théâtre, elle a remporté le prix James Menzies-Kitchin en 2000 pour sa
première mise en scène de "Top Girls", montée dans le West End. Elle a ensuite été nommée
directrice artistique du Southwark Playhouse pendant trois ans – s'imposant alors comme la plus
jeune d'Angleterre dans son domaine -, puis directrice artistique du Gate Theatre à Notting Hill.
Depuis, elle a mis en scène de nombreux spectacles pour l'Almeida, le Donmar, le Royal
National Theatre et d'autres salles du West End. Elle a monté “Equus,” avec Daniel Radcliffe et
Richard Griffiths (également à Broadway); “Le Misanthrope,” avec Keira Knightly; “Heroes,”
avec John Hurt; et “Cause Célèbre,” avec Anne-Marie Duff à l'Old Vic. Sa mise en scène de
“After the Dance” au National Theatre lui a valu huit prix importants.
Elle a également réalisé HENRY V, avec Tom Hiddleston, et un épisode spécial de la
série CALL THE MIDWIFE. Elle a dirigé Richard Griffiths dans sa dernière prestation pour
"The Sunshine Boys", avec Danny DeVito au Savoy Theatre, avant de mettre en scène son
premier spectacle musical “The Bodyguard,” à l'Adelphi. Le spectacle partira ensuite en tournée
mondiale. Elle a récemment dirigé Miranda Hart et Kevin Spacey dans son premier one-manshow, "Darrow", à l'Old Vic.
JOJO MOYES (Auteur du livre/Scénariste) est l'auteur d'une douzaine d'ouvrages dont
les best-sellers "Avant toi", "Après toi", "Jamais deux sans toi". Ses livres ont été traduits et édités
dans 40 pays. Elle a été sacrée romancière romantique de l'année à deux reprises et a été nommée
auteur de l'année en Allemagne.
Elle a été dix ans journaliste pour l'Independent et le South China Morning Post, relatant les
événements à Belfast, la rétrocession de Hong Kong ou la mort de la princesse Diana.
Elle vit dans une ferme avec son mari et ses trois enfants.
Pour la Fox, KAREN ROSENFELT (Productrice) a produit LA VOLEUSE DE
LIVRES, PERCY JACKSON : LA MER DES MONSTRES, ALVIN ET LES CHIPMUNKS :
À FOND LA CAISSE.
Elle a également produit récemment MAX. Elle a assuré la production ou la production
exécutive de la saga TWILIGHT, THE BIG YEAR, PERCY JACKSON : LE VOLEUR DE
FOUDRE, MARLEY ET MOI, ALVIN ET LES CHIPMUNKS, LE DIABLE S'HABILLE
EN PRADA et YOGI L'OURS.
Pendant seize ans, Karen Rosenfelt a travaillé chez Paramount, où elle a supervisé la
production de LE CLUB DES EX, PROPOSITION INDÉCENTE, JUST MARRIED (OU
PRESQUE), SAVE THE LAST DANCE, COACH CARTER et LOLITA MALGRÉ MOI. On
lui doit encore LES RAZMOKET et BOB L'ÉPONGE ainsi que LES DÉSASTREUSES
AVENTURES DES ORPHELINS BAUDELAIRE.
Elle a fait ses débuts comme assistante de l'agent Sue Mengers chez ICM. Puis, elle a été
engagée chez Jerry Weintraub Productions, et MGM.
ALISON OWEN (Productrice) est l’une des plus importantes productrices de cinéma et
de télévision britannique. En 1998, elle a été citée à l'Oscar et obtenu un BAFTA pour
ELIZABETH, drame historique de Shekhar Kapur, sur un total de sept nominations à l'Oscar et
douze au BAFTA. Elle a collaboré avec Debra Hayward, ex-directrice du cinéma chez Working
Title, avec qui a elle a monté une nouvelle structure de production, Monumental Pictures, fin
2014.
ITV Studios Global Entertainment a récemment acquis une part minoritaire dans le
capital de Monumental Pictures qui distribue les contenus télévisuels de la société.
Antérieurement, sous l'égide de son ancienne société, Ruby Film and Television, elle a produit
DANCING ON THE EDGE de Stephen Poliakoff, avec Chiwetel Ejiofor, Matthew Goode,
John Goodman et Jacqueline Bisset, JACKSON BRODIE, DETECTIVE PRIVE, avec Jason
Isaacs, ou encore TEMPLE GRADIN, avec Claire Danes, David Strathairn, Julia Ormond et
Catherine O’Hara, qui a raflé 7 Emmy Awards, dont ceux du meilleur téléfilm, TOAST, unitaire
avec Freddie Highmore et Helena Bonham Carter dont la première a eu lieu lors du Festival de
Berlin 2011, et SMALL ISLAND, drame historique produit en 2009 pour lequel elle a obtenu un
Emmy international. Alison Owen produira prochainement une nouvelle adaptation des "Quatre
filles du docteur March" et THE LANGHORNE SISTERS.
Elle a récemment produit TULIP FEVER, adaptée du roman de Deborah Moggach par
Tom Stoppard et réalisée par Justin Chadwick, avec Christoph Waltz, Alicia Vikander, Dane
DeHaan et Judi Dench, LES SUFFRAGETTES de Sarah Gavron, avec Carey Mulligan, Helena
Bonham Carter, Brendan Gleeson et Meryl Streep, présenté au festival de Telluride, THE
GIVER – LE PASSEUR de Phillip Noyce, avec Jeff Bridges et Meryl Streep, et DANS
L’OMBRE DE MARY : LA PROMESSE DE WALT DISNEY de John Lee Hancock, avec
Emma Thompson, Tom Hanks et Colin Farrell.
Plus tôt dans sa carrière, elle a produit JANE EYRE, réalisé par Cary Fukunaga, avec Mia
Wasikowska, Michael Fassbender, Jamie Bell et Judi Dench, TAMARA DREWE de Stephen
Frears, en sélection officielle du Festival de Cannes 2010, SYLVIA de Christine Jeffs, avec
Gwyneth Paltrow et Daniel Craig, PREUVE IRRÉFUTABLE, adaptation de la pièce de David
Auburn réalisée par John Madden et interprétée par Gwyneth Paltrow, Anthony Hopkins et Jake
Gyllenhaal, DEUX SŒURS POUR UN ROI, d’après le best-seller de Philippa Gregory, réalisé
par Justin Chadwick et interprété par Scarlett Johansson, Natalie Portman et Eric Bana, et
RENDEZ-VOUS À BRICK LANE, réalisé par Sarah Gavron, avec Tannishtah Chatterjee,
Satish Kaushik et Christopher Simpson.
Elle a encore assuré la production exécutive de la comédie horrifique SHAUN OF THE
DEAD d'Edgar Wright, LES CHÈVRES DU PENTAGONE de Grant Heslov, avec George
Clooney, Kevin Spacey et Ewan McGregor, L’ÉTRANGE HISTOIRE D’HUBERT de Steve
Barron, avec Pete Postlethwaite, le téléfilm Is Harry on the Boat de Menhaj Huda, et HAPPY
NOW de Philippa Collie- Cousins.
Elle a produit pour Working Title POUR L’AMOUR DE ROSEANNA de Paul Weiland,
YOUNG AMERICANS, réalisé par Danny Cannon, avec Harvey Keitel, MOONLIGHT &
VALENTINO en 1995, écrit par Ellen Simon et réalisé par David Anspaugh, avec Kathleen
Turner, Whoopi Goldberg et Gwyneth Paltrow, et son premier long métrage HEAR MY SONG,
écrit et réalisé par Peter Chelsom : le film a été nommé au Golden Globe et à plusieurs BAFTA
et a remporté le Prix de la meilleure comédie aux UK Comedy Awards. Par ailleurs, Alison Owen
a été nommée au Prix de la meilleure jeune productrice par la Producers Guild of America.
Monumental Pictures a plusieurs projets en cours, dont l'adaptation du roman "How to
Build a Girl" de Caitlin Moran et une nouvelle transposition de "La mégère apprivoisée".
SUE BADEN-POWELL (Productrice exécutive) a tout récemment produit ORGUEIL
ET PRÉJUGÉS ET ZOMBIES et HEAVEN IS FOR REAL de Randall Wallace. Elle a aussi été
productrice exécutive sur ELYSIUM de Neill Blomkamp, avec Matt Damon et Jodie Foster. Plus
tôt dans sa carrière, elle a produit deux films avec Ricky Gervains : THE INVENTION OF
LYING, avec Jennifer Garner et Gervais, et CEMETERY JUNCTION, avec Ralph Fiennes,
Emily Watson et Gervais, coréalisé par ce dernier et son associé Stephen Merchant.
Tout au long de son parcours, elle a été productrice d'ABÎMES de David Twohy et de
L'ŒIL PUBLIC de Howard Franklin, ou encore productrice exécutive de DR. DOLITTLE, avec
Eddie Murphy, UN ÉLÉPHANT SUR LES BRAS de Howard Franklin, avec Bill Murray,
SIMPATICO de Matthew Warchus, avec Nick Nolte et Jeff Bridges, d'après la pièce de Sam
Shepard, et THE BOX de Richard Kelly, avec Cameron Diaz et James Marsden, d'après la
nouvelle de Richard Matheson.
Elle a encore coproduit EQUILIBRIUM, BOYS AND GIRLS, ANDRE et
CHATTAHOOCHEE, assuré la supervision de production de BRIGHT ANGEL et la direction
de production ou la régie générale sur NOMADS, 1969, OBJECTIF TERRIENNE, et RADIO
FLYER. Elle a entamé sa carrière comme chargée de production sur RUNAWAY TRAIN
d'Andrei Konchalovsky, avec Jon Voight, ou encore sur LE TEMPS DU DESTIN de Gregoy
Nava, avec William Hurt et Timothy Hutton.
REMI ADEFARASIN (Directeur de la photographie) a éclairé ELIZABETH de
Shekhar Kapur, avec Cate Blanchett et Geoffrey Rush, qui lui a valu une nomination à l'Oscar et
un BAFTA.
Il a enchaîné avec ONEGIN, avec Ralph Fiennes, CHEZ LES HEUREUX DU
MONDE de Terence Davies, avec Gillian Anderson, POUR UN GARÇON de Paul et Chris
Weitz, et EN BONNE COMPAGNIE de Paul Weitz, avec Scarlett Johansson.
Il a signé la photo de plusieurs épisodes des séries FRÈRES D'ARMES – qui lui a valu
une citation à l'Emmy – et BAND OF BROTHERS : L'ENFER DU PACIFIQUE.
En 2004 et 2005, il a éclairé deux films de Woody Allen, MATCH POINT et SCOOP,
tous deux avec Scarlett Johansson. Puis, il a assuré la lumière d'AMAZING GRACE de Michael
Apted, et ELIZABETH : L'ÂGE D'OR de Shekhar Kapur.
Adefarasin a collaboré avec Ricky Gervais et Stephen Merchant pour CEMENTERY
JUNCTION. Il a encore fait équipe avec Paul Weitz pour MON BEAU-PÈRE ET NOUS et
avec Ricky Gervais pour le "documenteur" DAVID BRENT : LIFE ON THE ROAD.
Il a récemment éclairé ORGUEIL ET PRÉJUGÉS ET ZOMBIES de Burr Steers.
ANDREW MCALPINE (Chef-décorateur) a cofondé sa propre troupe de théâtre,
Commonstock, qui lui a permis de collaborer à de nombreux spectacles au cours des sept
dernières années. Il a ensuite travaillé pour plusieurs metteurs en scène de théâtre et de
chorégraphes, comme Sally Potter, Richard Alston et Pip Simmons.
Diplômé en beaux-arts, il a reçu une bourse Gulenkian pour créer des œuvres pionnières
en matière d'holographie. Le recours à l'illusion l'a ensuite amené à travailler avec Juan Munoz à
la Tate Modern de Londres et avec les architectes Branson et Coates avec qui il a monté "Journey
through the Body" pour le Millenium Dome. Il a récemment collaboré à des hôtels adeptes du
développement durable.
Il a collaboré à SID AND NANCY d'Alex Cox, LA LEÇON DE PIANO de Jane
Campion, qui lui a valu un AFI Award et un BAFTA, CLOCKERS de Spike Lee, LA PLAGE de
Danny Boyle, HALF A YELLOW SUN de Biyi Bandele, QUARTET de Dustin Hoffman et WE
WANT SEX EQUALITY de Nigel Cole. Par ailleurs, il a collaboré à de nombreux spots
publicitaires.
JOHN WILSON (Chef-monteur) est l'un des plus importants monteurs anglais. On lui
doit le montage de BILLY ELLIOT, WILD GENERATION et LA VOLEUSE DE LIVRES. Il
a également monté 13 épisodes de la série DOWNTON ABBEY et le long métrage LONDON
ROAD, avec Tom Hardy et Olivia Coleman.
Il a commencé par le documentaire, avant de rencontrer Peter Greenaway avec qui il
noue une collaboration fructueuse : il monte ses documentaires musicaux, ses émissions
artistiques pour la télévision et cinq longs métrages comme MEURTRE DANS UN JARDIN
ANGLAIS (1981) et LE CUISINIER, LE VOLEUR, SA FEMME ET SON AMANT (1989).
Il collabore ensuite à BILLY ELLIOT en 2000 (13 nominations au BAFTA et trois à
l'Oscar, une au BAFTA, et une à l'American Eddie). Il est alors coopté à l'American Cinema
Editors ACE.
En 2006, il monte WILD GENERATION de Nicholas Hytner, d'après la pièce d'Alan
Bennett. Pour la télévision, il inscrit son nom au générique de HENRY V de Thea Sharrock.
Après avoir collaboré au SECRET DE GREEN KNOWE de Julian Fellowes, il entame
une collaboration avec Fellowes, Liz Trubridge et Brian Percival, pour DOWNTON ABBEY,
qui lui vaut des nominations au BAFTA, à l'Emmy et à l'Eddie.
JILL TAYLOR (Chef-costumière) a été citée au BAFTA et au Broadcast Film Critics
Award pour MY WEEK WITH MARILYN, avec Michelle Williams, Kenneth Branagh et Judi
Dench. Elle a encore été nommée à l'Emmy et au Costume Designers Guild Award pour MOI,
PETER SELLERS de Stephen Hopkins.
Elle a longtemps travaillé pour Woody Allen, qu'il s'agisse du RÊVE DE CASSANDRE,
SCOOP et de MATCH POINT, ou encore pour Gurinder Chadha (IT’S A WONDERFUL
AFTERLIFE et LE JOURNAL INTIME DE GEORGIA NICHOLSON).
On lui doit encore les costumes de PROOF de John Madden, JOHNNY ENGLISH et
PILE ET FACE de Peter Howitt, BORN ROMANTIC et THIS YEAR'S LOVE de David
Kane, et THE FULL MONTY de Peter Cattaneo.
Plus récemment, elle a conçu les costumes de THE RYAN INITIATIVE de Kenneth
Branagh, avec Keira Knightly, Chris Pine et Kevin Costner; GUNMAN de Pierre Morel, avec
Sean Penn, Idris Elba et Javier Bardem, et CRIMINAL – UN ESPION DANS LA TÊTE d'Ariel
Vroman, avec Kevin Costner, Ryan Reynolds, Alice Eve et Gary Oldman.
Lauréat du Golden Globe et du Grammy, CRAIG ARMSTRONG (Compositeur ) a
signé des musiques pour le cinéma et pour ses propres albums. On lui doit les partitions
complexes et sensibles de THE MAGDALENE SISTERS de Peter Mullan, ELIZABETH :
L'ÂGE D'OR de Shekhar Kapur, LOVE ACTUALLY, écrite et réalisée par Richard Curtis et
UN AMÉRICAIN BIEN TRANQUILLE de Phillip Noyce. Il a collaboré avec d'importants
réalisateurs comme Oliver Stone et Richard Curtis. Il a obtenu un Grammy de la meilleure
musique originale musique pour RAY de Taylor Hackford et l'Ivor Novello Award pour UN
AMÉRICAIN BIEN TRANQUILLE de Phillip Noyce.
Tout récemment, il a signé la partition de DOCTEUR FRANKENSTEIN et
SNOWDEN d'Oliver Stone, ainsi que LOIN DE LA FOULE DÉCHAÎNÉE de Thomas
Vinterberg.
Il a fait équipe pour la première fois avec Baz Luhrmann pour ROMÉO + JULIETTE,
qui lui avait déjà valu un BAFTA ainsi qu'un Ivor Novello Award. Ils se sont ensuite retrouvés
pour MOULIN ROUGE ! qui lui a valu le Prix de composition de l'American Film Institute, un
Golden Globe de la meilleure musique originale de l'année et un BAFTA de la meilleure musique
de film. Par la suite, il a signé la musique de GATSBY LE MAGNIFIQUE de Baz Luhrmann,
pour laquelle il a été nommé au Grammy Award.
On lui doit encore la partition de TIME OUT d'Andrew Niccol, WALL STREET :
L'ARGENT NE DORT JAMAIS et WORLD TRADE CENTER d'Oliver Stone et NEDS,
écrit, réalisé et interprété par Peter Mullan.
Après avoir fait ses débuts avec la Tron Theatre Company de Glasgow, il a écrit de
nombreuses partitions pour le Scottish Ensemble, le London Sinfonietta, le Scottish Chamber
Orchestra et le Royal Scottish National Orchestra. On lui doit ainsi “The Tempest” et “A Broken
Heart" pour la Royal Shakespeare Company.
Parmi ses œuvres orchestrales, citons "Gesualdo" pour le Scottish Opera ou encore "The
Lady from the Sea", qui a été monté dans le cadre du festival d'Edinburgh.
Il a enregistré deux albums solos pour le label de Massive Attack, Melankolic, "Piano
Works" et "Memory Takes My Hand", où se produisent le violoniste Clio Gould et le BBC
Symphony Orchestra. Son dernier album, "It's Nearly Tomorrow", réunit Paul Buchanan de The
Blue Nile, Brett Anderson et Chris Botti. En 2010, il a été fait Officier de l'Empire britannique
pour services rendus au monde de la musique.

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