PllTANGES TRDN CARROUGES MERLERAULT
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PllTANGES TRDN CARROUGES MERLERAULT
' • " * " 4«URNAL OE LtRNE v sont habituellement distribuées, représen- Caisse de orédit agricole. — L'assemblée géUne auto abandonnée sur la route. — DiLES ROTOURS Paris et tenter de sauver au moins l'honneur de la France. Puis le Président rappela le rôle A propos de la Soirée. — Nous recevons la tent une aide généreuse et un gros sacrifice nérale a eu lieu uiiuunche à Lanuiiges, sous manche dernier, ver» 18 heures, passant sur la présidence de M. Lilunchet, assisté de M. de là commune qui doivent être compensés la route Paris-Granville, les gendarmes Keryactif de M. Jauneau dans la formation de mise au point ci-après que nous insérons d'auhuel et Percot apercevaient, près du passage l'Union cantonale, son ièle pour la société des tant plus volontiers que notre bonne foi a été par l'effort suivi et intéressé des cultivateurs Fleuridas. Le bnan accuse en recolles et dépenses une a amener leurs animaux, aux foires. a niveau de la Vieille-Poste, à l'entrée d'un Vétérans dont il avait la gardé du Drapeau, surprise : Nous espérons que cet appel sera ente til*.. et somnie de 1.907.389 fr. 85, aveu a la rubrique chemin de terre, une automobile de grande son assiduité à suivre nos réunions, et la cons« Monsieur le Directeur, pronts et pertes, une somme de 15.148 fr. 90. que la foire du 19 Mars prochain mon'.iera, force, de marque •-Rolls-Royce., -portant à cience qu'il apportait à remplir' son mandat « Il a paru dans votre journal, le programme 1 ar le nombre et 'a qualité des animaux ame- Les parts souscrites s'élèvent à 203.700 fis. picr cartonné sur lequel figurait lo numéro Une nouvelle jeunesse à 62 ans municipal, tout le temps que sa santé lui per- d'une soirée fantôme qui n'existera que dans Plus de maux de reins, plus de douleurs Prêts eu cours : à court terme, 366.600 fr.. à nés, que les cultivateurs comprennent bien •ï.365 W W l. mit de se déplacer. l'imagination maladive de quelques personnes, leurs intérêts. moyen terme, 714.O05 fr. 15 ; à long ternie, Intrigués, les' représentants de l'ordre se M. Jauneau avait supporté la peine terrible 608.416 fr. 75. renseignèrent sur la présence en ce lieu du « J'avais eu, il y a quelques années, une qui l'avait frappé en plein cœur avec le pa- sans doute très spirituelles, de la commune. bal de la mi-carême. — N'oublions pas que Capital social " : 127.520 fr. ; réserve, dit- véhiculé-, une voiture de maitre, a v e un» très forte crise de maux de reins, écrit M. D..., triotisme qui animait les vieux soldats de 1870, • Je fais appel à votre haute courtoisie nour le dimanche 22 mars, dans la salle des fêtes, 70.013 fr. 95. plaque d'identité au nom de : Gumaelins A à M iSeine-et-Oise). C'était comme d'innom- consolé à la pensée que le sacrifice de son insérer la mise au point suivante : à 21 heures, il y aura un grand bal paré et brables'coups d'épingles. De plus, j'éprouvais cher enfant avait vengé l'affront que, 45 ans « Tous les jeunes gens de la société du travesti avec le concours d'un irèa bon or- L'intérêt servi sera de 3.50 %. MM. Bliuicliet, lioquebrune-Cap Martin, villa Agda. Ils apprirent du garde-barrière que la voiune fatigue continuelle dans les genoux. plus tôt, lui avait infligé l'aveugle et injuste Foot-Ball tiennent à faire savoir qu'ils sont chestre-jazz. Nous espérons qu'il y aura un Amelin et Cousin sont maintenus administracomplètement étrangers à la rédaction du fac- grand nombre de costumés. On peut se pro- tours ; MM. le D' Tremblin et Chahut sont ture avait été abandonnée sur le coup d» midi J'essayai Kruschen. Je suis extrêmement satis- latalité. tura en question. par deux jeunes hommes, lesquels, aprè= avoir fait du résultat : les maux de reins ont comPuis la vieillesse était venue avec son cor- « En formant notre société, nous avons vou- curer des costumes chez M. Poirier, mercier, nommés censeurs. Après les remerciements aux membres dé- démonté le réservoir à essence, d'uni" conteplètement disparu, mes articulations sont re- tège do douleurs et d'infirmités Ses dernières à des prix très modérés, costumes de style devenues souples et j'éprouve une sensation années furent particulièrement pénibles. Il lu procurer à la jeunesse l'occasion de se di- ou originaux. Prix des entrées, 5 fr. par per- voués du bureau, et au conseil d'administra- nance de 120 litres, lui avaient demandé sa de bien-être général. Naturellement, je continue supporta la souffrance avec une résignation vertir d'une façon à la fois intelligente et sonne seule, ou 8 fr. par couple. Buvette et tion, M. Fleuridas commente les résultats des brouette, pour transporter à Sainte-Gauburge l'usage de Kruschen, et malgré mon âge (je toute chrétienne, un courage vraiment stcïquc, saine sans nous occuper de tous les ragots qui buffet dans la salle. Bataille de serpentins. caisses agricoles pour 1935. Les prêts sont le récipient. Ayant essuyé un refus, ces indivais sur 62 ans) je continue les sports que résignation et courage qui ne furent pas sans peuvent courir et que nous méprisons souve- Une excellente tenue est toujours exigée à moins nombreux, a cause de la crise- et aussi vidus répandirent, dans le fossé environ une . pur la crainte qu'ont les agriculteurs le ne vingtaine de litres d'essence et essayèrent à j'aime : bicyclette, aviron et natation. II réconforter et soutenir le dévouement de rainement. l'entrée. rembourser. En raison de la diminu- 1 aide de deux perches, d'emporter 'le réserin'arrive inènie de courir un 500 m. pour avoir chaque instant dont furent entourées ses der• Veuillez agréer. Monsieur le Directeur, Grande soirée récréative. — Une grande soi- pouvoir tion des subventions, M. Fleuridas tait un voir. Yy pouvant parvenir, ils réussirent enmon train ! Bref, un vrai grand-papa Krus- nières années. l'expression de mes sentiments distingués. rée récréative est en préparation avec un à ceux qui ont des disponibilités pour fin a se faire prêter une brouette par M Mèchen ! » — Lettre»n° 2.731. • Pour la Société de Foot-Ball. très beau programme, qui comprend cumine appel' Avec M. Bastard auquel il était lié par une les placer dans les caisses agricoles, ce qui che et à se rendre à Sainte-Gauburge Si vous avez des rhumatismes, Kruschen ancienne amitié, disparait, en M. Jauneau, pièce : Monsieur Jojo, charmante comédie eu permettrait • Le Capitaine >L. BEIUURD. » d'augmenter le nombre et l'inïr.oiLa brouette a été retrouvée, avec I» réservous en débarrassera, parce qu'il dissout, l'a- une des dernières ligures de l'ancien Putanun acte avec rôles mixtes. Puis un très beau tance des prêts. voir contenant encore 75 litres de carburant cide inique et facilite son élimination régu- ges. Les habitants des communes voisines se choix- de chansons, duos, saynettes, monoloHABLOVILLE a la gare, ou les gendarmes apprirent qùS les M. Blanche! remercie M. Fleuridas, M. Amelière. Kruschen stimule le foie, les reins'' et rappelleront avec -sympathie, les visites qu'il gues, etc. Sauf avis contraire, cette soirée de la Mairie. — Les producteurs de lin, vlte-pfesidem et il. rreinoiit, seoreia.re- deux hommes constatant qu'ils n'avaient pa= ! 'intestin. 11 aide votre organisme à se débar- leur faisait chaque semaine, pour leur ap- blé,Avis ainsi qu'ils en tout avisés d'autre part, aura lieu dimanche 29 mars à 21 heures, dans trésorier, assez d'argent pour se rendre à Granvîllc" les maires présents et l'ussistau.-e. rasser de tous les résidus do la digestion et porter leurs commandes, avec une bonhomie pur des In salle des fêtes. Qu'on se le dise. articles publiés dans la presse locale Le bureau est constitué comme suit : Hrésl avaient pris un billet pour Caen. Je la nutrition. Votre sang redevient pUr et affable et souriante qui lui faisait des amis de et par des affiches" récemment apposées, deREUNION CANTONALE A la suite des investigations ues brigades dent, M. Blanchet ; vice-président, M. Amefort, et vous retrouvez une vraie jeunesse, tous ses clients et une probité, commerciale vront, cette année comme l'année dernière, OE LA FEDERATION NATIONALE de Ste Uauburge et de Caen. l'auteur de cet Un ; secrétaire-trésorier, M. Paul Frémont. Kiijte d'énergie et de bonne humeur." qui lui conciliait leur confiance. déclarer a la mairie les surfaces emblavées CATHOLIQUE abandon a été découvert. C'est un .nomme Sels Kruschen, toutes pharmacies : 9 fr. 75 ei lo résultat de la récolte de 1935. Ces déclale flacon, 1G fr. 80 le grand llacon (contenant Le dimanche 22 mars, à 15 h. 30, se 'tiendra §/»*»»•%%%%%»%**/»»*»%%*%%•%%%*,* Bellemondez Fernandèz, espagnol, '21 an« rations, dont U sera délivré récépissé seront marchand de tissus, sans domicile 120 « petites doses ».) reçues au secrétariat de la mairie tous les à Trun, en la salle des fêtes, une réunion can- Pêche de l'Etang des Noés Bellemondez, chargé par un garagiste parijours sauf dimanches et jeudis, du 15 au tonale de la Fédération Nationale Catholique sien daller a Caen i éprendre une voiture M. ABEL LAINE (Ligue Castelnau). 3! mars, de 11 h. à 13 h. et de 17 h. à 19 h. avait ou 1 idée d'uband nner en cours de route Au moment même où les A. C. de Putanges Le maire insiste auprès de ses concitoyens Adhérents, amis, sympathisants du canton : La pêche de l'étang des Noës situé entre lauto a lui confiée, mais d'emporter le réCANTON DE et le bureau'de l'Union cantonale accompa- producteurs de blé pour qu'ils fassent tous hommes, femmes, jeunes gens et jeunes filles,0 Carrouges, St-Martin-des-Landes et Llgnlères servoir et son contenu. La gare ayant r.-fusé gnaient leur Vice-Président à sa dernière de- cette déclaration dont l'utilité ne leur échap- vous êtes tous invités à venir entendre M aura lieu le dimanche 22 mars et iours sui- de prendre l'essence en bagages, force lui fut Levavasseur. avocat à Alenoon. vants. meure, leurs camarades de Menil Gondouin pera, pas. a lui et a son compagnon d'abandonner le rérendaient les derniers devoirs à l'un des leurs, Ils bénéficieront d'ailleurs de la fran- A la tin de la réunion, le Père Lautour, misVente sur place de poisson (gros et détail). cipient et les 75 litres de carburant. sionnaire en Afrique, donnera une très intéM. Abel Laine.' médaillé militaire. chise sur le blé destiné à la consommation Au cours de ses récents déplacements, BelleAu cimetière, M. Dubars, Président de la familiale. Cette franchise, accordée sur pré- ressante conférence illustrée de projections en mondez n'ayant pas fait viser son carnet de 762» section des Médaillés militaires, représen- sentation du récépissé délivré lors de la dé- couleurs. PUTANGES Au marché. — Messieurs les cultivateurs, nomade a fait l'objet d'un procès-verbal et tant le Président des A. C, prononça le dis- claration, s'étend à 3 quintaux par personne NEAUPHE-SUR-DIVES fréquentant le marché de Carrouges, sont pré- par ailleurs, cinq infractions au Code de là (enfants compris) vivant sur l'exploitation. cours suivant : Séance récréative. — Le Patronage Sainte- venus que les marchands de beurres et d'œufs Honte ont été relevées contre lui, pour lesquels Nécrologies Thérèse, de Neauphe-sur-Dives donnera sa preferont leurs achats, de bonne heure, le mardi il a verse séance tenante 271 francs de caution CIEL » Mesdames, Messieurs, mière séance, le dimanche 22 mars 1936. 17 mars, jour de la foire, au lieu du lende- a la mairie de Sainte-Gauburge. >- Mes chers camarades, Un charretier est écrasé par sa voiture. — Au programme : « La Farce du Cuvier », main mercredi 18 mars. Avis d'adjudication. — Il sera procédé le M. ISAIE BASTAHD Dans la soirée de lundi, M. Tremblay Gaston. comédie en un acte de Gasslen. de Bruliés ; o 11 y a .quelques semaines, nous accompa- 4'i Dimanche 22 Mars, à 9 heures du matin en ans, cultivateur, demeurant à Giel, effec- c Une Marraine dans l'embarras », comédie de CHAHAINS Le Jeudi 5 mars avaient lieu dans l'église de gnions à sa dernière demeure l'un des nôtres, la mairie do Sainte-Gauburge. à l'adjudication Bris de clôture. — Le tribunal d'Alençon a sous l'utanges, les obsèques do M. Isaïe Bastard, Léon Bizot, et sa tombe est à peine refermée, tuait un transport d'engrais de la gare de J. Romain Le Monnier ; » Bluets », opérette. pli cacheté, des travaux d'entretien du infligé 50 fr. d'amende, pour avoir pénétré en Cimetière jneien adjoint au Maire, Président du Con- qu'il me faut adresser un dernier adieu à Montabard à Giel. Chants, monologues, etc., etc. et du Monument aux Morts de Steseil Curia!, Chevalier du .Mérite agricole. Pré- notre, camarade Abel Laine, au nom de la 782e Au lieu dit le Calvaire d'Houay, commune A i li.. ouverture de la salle, et à 2 h. 1/2, brisant une vitre au domicile de son ex-amie Gauburge. Le cahier des charges est déposé sident d'honneur de la Compagnie des Sa- Section des Médaillés Militaires, et au nom de Ri, et pour une cause que l'enquête n'a lever du rideau. où il venait chercher son mobilier, à Bernard a la Mairie où les intéressés pourront en prenpeurs-Pompiers, et de la fanfare municipale. des A. C. du canton de Putanges dont le Prési- pu encore préciser, M. Tremblay a été ren- Qu'on se le dise ! Tous à Neauphe-sur-Dives, Petit, 31 ans, carrier, ayant demeuré précé- dre connaissance. . Les habitants de Putanges et des environs dent est retenu à Putanges pour l'inhumation versé par son attelage et a roulé sotis la voi- le dimanche 22 mars. demment à Chahains. tétaient rendus nombreux pour accompagner de M. Jauneau, le Vice-Président de la Sec- ture. n^?„'HCiX'" "S , é v - r i e /' - M a r i a B i ! : Courges FONTAINE-LES-BASSETS Relevé aussitôt, M. Tremblay qui avait le JOUE-DU-BOIS -.-. sa dernière demeure cet enfant du Pays dont tion cantonale. Roland, boucher a Ste-Gauburge et Gérault bras gauche fracturé et le thorax enfoncé, est En appel. — La Cour de Caen a confirmé le ..Accident d'auto. — M. Bernard Bordct, 55 Suzanne-Gàrmaine, comptable à Mayenne. la longue existence fut toute de travail, do « Né à Ste-Croix-sur-Orne le 6 février 1892, mort presque immédiatement. jugement du Tribunal correctionnel d'Argen- ans, gérant des Magasins Réunis à Dijon, qui probité et de dévouement à la chose publique. fixé LA GENEVRAVE ensuite à Ménil-Gondouin, Abel Laine vé- Le défunt relevait de maladie, et était d'une- tan qui avait condamné Joseph Baloche, 2-i Les cordons du poêle itaient tenus par MM. Avis de la mairie. — M. lé maire porte à la toujours parmi vous. Aussi, je n'ai pas à santé très précaire. Il est à présumer que c'est ans, journalier sans domicile, à six mois de renversa M. Louveau avec son auto, a été . Le Sassier-Boisauné, Conseiller Général ; Graf- cut vous" retracer son existence qui vous fut fa- au cours d'un étourdissement qu'il a trouvé prison, pour vol d'une montre valant 235 fr. condamné par le tribunal d'Alençon, à 16 fr. connaissance de ses administrés que' là touri'et, Président des Anciens Combattants du milière. Je n'ai pas a vous rappeler l'aménité cette mort tragique. Il laisse une veuve et d'une chevalière valant 240 fr. et d'un rasoir d'amende avec sursis pour délit, et 4 5 fr. née de la commission chargée de vérifier l'éCanton : le D" Bosnières ; V-imont, notaire ; pour contravention au code de la route. lagage et l'enlèvement du gui passera dans la son caractère, l'.exquise bonté de son cœur deux enfants mineurs. mécanique d'une valeur de 10 francs, au préVerrier et Lange. Avant do donner l'absoute, de commune le- 1er avril prochain. qui lui attirèrent de nombreux amis, et le renjudice de M. et Mme Bodey, demeurant à SAINT-PATRICE-DU-DESERT IL le Doyen do Putanges, en termes émus, daient sympathique a tous ceux qui l'appro= Fontaine-Ies-Bassets. -.dressa un dernier adieu au Président de son chaient. Chasseurs acquittés. — Le tribunal d'AlenECHAUFFOUR çon a prononcé, mercredi, l'acquittement de onseil curia!, et rappela les dons nombreux BAILLEUL ..Séance récréative. — Dimanche 15: maïsy à « Mais permettez-moi de vous dire, en quel- t A M I 0 h O t MM. Coussin, Bedel et Drouin, ainsi que de 20 •lue l'Eglise et la Paroisse devaient à la gêné- ques h., salle paroissiale, l'illusionniste-Rbbertv mots, quelle fut, pendant la guerre, là" Bal de la Mi-Carême, — A l'occasion de la M. Cèves, .vérificateur' des indirectes, poursui'. osité du défunt et dont bon nombre de fidèles brillante de celui que les Médaillés Mi-Carême,- grand bal organisé par les An- vis, à' là requête de M. Margot, pour chasse et sa troupe donneront une représentation " ignoraient l'origine. Monsieur Bastard, en militaires conduite Tout le monde voudra voir ce spectacle déétaient fiers de compter parmi eux. ciens Combattants, le dimanche 22 mars, à sans autorisation. effet, était d'une exquise et parfaite discrétion. concertant et mystérieux, présenté par des 20 heures. « A la mobilisation générale, Abel Laine était, Sa piété était sincère, ardente, à toute incorporé artistes d'une adresse et d'une dextérité proROUPERROUX au..60* bataillon de Chasseurs à TOURNAY-SURDIVES preuve, lt n'avait pas la fol bruyante et ta Pied, et prlt.part à tous les combats, aux baOu lait mouillé. — Mme Vve Monteil, née digieuses. TRUN pageuse de certains ; mais était animé de la tailles de géants que l'armée française, déUn dangereux personnage. — Le dimanche Anaïs Genuit, 63 ans, cultivatrice,. a comparu Prix des places : 4 et 3 fr. Enfants; 1 fr. :oi robuste d'un simple chrétien et d'un Bos- bordée, livrait aux trop nombreuses légions Comice Agrioole Oanional. — Les agricul- S mars, vers 21 heures, Henri Garambois, 17 Cinéma. — Samedi soir, salle des fêtes, la teurs ii les eieveurs du canton de Trun sont ans, ouvrier agricole à Mlguillaume, après mercredi devant le tribunal d'Alençon, pour suet. qui n'admet aucune • discussion, aucun allemandes -qui. envahissaient le territoire. des Grands Films donnera.-'au profit informés que le concours du comice agricole avoir consommé avec un individu connu sous mouillage, de lait dans la proportion, de 30 -%.- tournée Joute, aucune critique, et remet sa raison et de la cantine scolaire, le film délicieux : » Des le début il payait ' de sa ' personne, sa conscience entre les mains de l'Eglise ca- puisque le 4 octobre 1914 il était blessé à la cantonal aura lieu cette année à Trun ; il esi le surnom de « Lulu », sortit avec celui-çi_du Elle a été condamnée, à un mois.de prison, « Prenez garde a la peinture ». Deux- docufixe - au cinq juillet pour coïncider avec la débit tenu par M. Bisson. « Lulu » lui deman- 300 fr. d'amende et à l'affichage du jugements mentaires et actualités mondiales. tholique-, seule dépositaire de la doctrine du tête par un éclat d'obus II continuait à se bat- fête Saint-Pierre. Ils sont priés de faire bon da alors de rester avec lui. Comme Garambois •»%»»»%%»»%? -." divin Maître, seule héritière de sa puissance, tre bravement, vrai chasseur a pied, digne accueil aux quittances qui leur seront pré- refusait, l'autre insista, le tirant par le bras En vrai chrétien, M. Bastard était un travail- du corps d'élite en MENIL-FROGER où il servait, et le 4 juin 1915, sentées sous peu par le trésorier. Une somme et lui disant qu'il « y avait un coup à faire », CANTON DU leur acharné. Nous n'insisterons pas sur cette recevait une nouvelle Défaut de déclaration, — Le nommé B., culau genou '-oit. d'environ neuf mille francs sera distribuée qu'on pouvait prendre « la caisse » dans la r particularité de son caractère, car plusieurs Une première citation blessure tivateur, demeurant à Ménil-Froger, s'est vu à l'o dre de son batailaux lauréats. Le programme indiquant le salle du café. Mais le jeune homme ne se générations ont pu prendre en exemple sa tédresser procès-verbal par les gendarmes du en date du 8 août 1016. rendait hommage montant exact des prix paraîtra ultérieure- prêta pas à cette aventure, voyant cela, nacité au labeur qu'il s'imposait comme un lon, Merlerault, pour détention de revolver non ment. à sa bravoure et à son dévouement. • Lulu » le menaça de mort s'il parlait.. devoir, qu'il remplissait sans • contrainte, na- « Toujours sur la brèche, il était, le 9 avril déclaré. / LE BUREAU. Garambois s'éloigna seul, mais, il mit par turellement, avec plaisir. 1918, enterré par l'éclatement d'un obus de la suite la gendarmerie au courant de ces LE MERLERAULT • Un bon chrétien est toujours un bon Fran- gros Arrestation. — Le 9 mars, les gendarmes ont faits qui furent d'ailleurs reconnus exacts par calibre et le 2 novembre suivant, le comçais, et nous avons tous présente à la médu 14» groupe de Chasseurs à Pied arrêté le nommé Georges Jean, 48 ans, ma-le dit « Lulu », qui s'appelle en réalité Lu- Séance récréative. — A l'occasion de la remoire, la sympathique gratitude qu'il témoi- mandant ANTON DE nœuvre, qui avait à purger une peine d'em- Cien- Schumermans, 27 ans, et travaillait mise de la Croix de chevalier du; Mérite de le citait à l'ordre de la formation dans les gnait aux Anciens combattants, dont il fut le l'ordre Diocésain, par Monseigneur l'Evêque élogieux que je suis heureux de re- prisonnement de 2 mois pour vol. chez M. Lefrançois, à Tournay. premier membre bienfaiteur, et la patriotique termes de Sées, à Mlle Leconte, directrice du Pensionfour la mi-oareme. — A l'occasion de la attention qu'il apportait à entretenir le monu- produire :• nat, une séance récréative sera gracieusement « Tireur d'élite, pendant les combats du H mi-carême, le dimanche 22 mars, dans la salle ment aux Morts, perpétuant ainsi parmi nou3 offerte par les Elèves aux Parents et Amis de au 24 octobre-1918. a exécuté des tirs très des fêtes, à 21 heures, grand bal paré et trale culte de la reconnaissance et la Religion du l'Ecole. précis sur des groupes ennemis qui cher- vesti avec le concours d'un très bon orchestré C A N T O N DE Souvenir. • "" Celte petite fête aura lieu le dimanche 22 chaient à s'infiltrer dans nos lignes. » jazz. Entrées : 5 fr. et 8 fr. par couple. DanGACE '•;; : .. ; Enfin M. Bastard avait enraciné au cœur mars, à 14 h. 30, à la salle des fêtes du MerleMon cher Abel,: les Médaillés militaires et ses anciennes et modernes. Une excellente te"amour do sa petite Patrie, au point que lui, les<•Anciens rault. Elle sera présidée par Monseigneur Le- Comice agricole cantonal. — Le président combattants dû Canton de Qu'annue sera exigée a l'entrée. Buvette avec boismodeste et effacé quand sa personne était en ges étaientflers d'avoir dans leurs rangs un sons froides et chaudes, sandwiches. On peut conte, vicaire général et directeur de l'Ensei- du Comice- agricole du canton de Gacé fait question, était rempli d'ambition, quand il gnement chrétien. -....-.: savoir à Messieurs les Sociétaires que. l'Asqui avait si magninauement accompli se procurer de très beaux costumes originaux -agissait de son cher Putanges, de son bon soldat semblée générale aura lieu à la mairie de CARROUCES son devoir. Aussi, c'est avec une profonde et de style chez M. Poirier, mercier, rue de NONANT-LE-PIN renom, de ses intérêts et de sa prospérité. Gacé, siège du Comice, le samedi 21 mars 1936, émotion que nous présentons à votre famille la République à Trun, à des prix très modéSéance récréative, — Venez tous, le dimanLongtemps il restera dans notre souvenir, nos sincères condoléances, et qu'en nous in- rés. Passer les commandes de suite sans tar- che 15 mars, à 20 h. 30, salle paroissiale de Société des Courses. — L'Assemblée générale à quinze heures. et pendant longtemps encore il nous man- clinant une dernière fois devant votre dé- der pour être sûr de les recevoir en temps. Carrouges, assister à la séance récréative que de la Société des Courses aura lieu à la Mairie En conséquence, les intéressés sont invités luera de voir cette silhouette si familière de pouille mortelle, nous vous adressons le sudonneront les Jeunes de Carrouges et St-Mar- de Nonant-le-Pln, le Dimanche 22 Mars 1930, à y assister en plus grand nombre possible. notre ancien Putanges, se fendant a son tra- prême hommage des Médaillés militaires ' et Société de tir, — Résultats des séances d'en- tin-des-Landes. Le programme en sera parti- à 8 h. 3/1 du matin. Un couple gai. — Iules Meignen, 42 ans, vail, déjà courbée vers la terre qu'il avait des Anciens combattants du canton do. Pu- traînement. culièrement soigné. Un beau drame couronné Ordre du jour : Reddition des comptes 1935 ; et la femme Marie-Louise Robic, tant aimée, tant travaillée, et s'arrêtant de tanges ». Dimanche 16 Février : Série fixe de 8 balles par l'Académie Française, une désopilante co Programme 1936 ; Budget 1936 ; Affaires di- manœuvre, ont été surpris en état d'ivresse, dans les temps en temps pour parler à ses amis, échanau Lebe! à 200 m. Leclerc, 66 ; Hamel, 61- ; médié, d'Intéressants intermèdes vous feront verses. rues de Gacé, par les gendarmes. Comme leur ger avec eux quelque bon propos de fin NorLe présent avis tient lieu de convocation. Aux' familles de MM. Bastard. Jauneau et Quandïeu, 60 ; Andrieux, 55 ; Rossa, 53 ; Le- passer une délicieuse soirée. était par trop bruyante, ils ont été mis mand, leur distribuer les conseils avertis de Abel mière, 51 ; Mallet, 46 ; Diard, 42 ; Leplat, 31. Pharmacien de service. — Dimanche pro- Les Courses auront lieu cette année le Di- gaieté Laine, à ceux qu'ils laissent derrière à l'abri et gratifiés du procès-verbal d'usage. =on expérience frappée au coin du bon sens et eux, nous apportons l'hommage do nos sinDimanche 23 Février : Même tir que ci-des- chain 15 mars, M. Delachienne. manche 7 Juin. .-:-::• Pareille mésaventure est survenue lé 9 souvent; très souvent, leur proposer ses ser- cères et cordiales condoléances. sus avec primes. Hors Classement : Leclerc, mars, à Jean Guillandre. 35 ans, ouvrier ' agrivices qu'il était heureux de rendre avec son 05 ; Prodhomme. 63. Amicale Scolaire. — L'Amicale Scolaire dorn cole. habituelle discrétion. \" Quandieu, 58, bouteille d'Asti offerte par nera deux séances, l'une en soirée le Samedi -*%*J. B L A N C H A I S A la chine. — Lundi, Jean Rehel, 29 ans, M. Dauphin ; 2°, Gauvin, 511/10, bouteille Gra11 courant, à 20 h. 30, et l'autre en matinée, allait de maison en maison demander l'auves, (Mme Baron) ; 3», Mallet, 51 1/9, paquet le lendemain, à 16 h. 30. PUTANGES Vétérinaire à LA FERTE-MACE •• - • • M. LOUIS JAUNEAU de biscuits (Caïffa) ; 4», Leplat, 50 ; 5', Diard, Consultations à Carrouges, tous les mercre- Au programme : Orchestre ; » Niquedouille mône. Prévenus, les gendarmes l'arrêtèrent Soirée récréative. — Le dimanche 15 mars,- 47 ; 6", Marie, 41 ; 7», Hamel, 39. malade » ; « La Cheminée qui..fume » ; et lui dressèrent procès-verbal pour mendiLe lendemain, la même foule, aussi nomdis, jusqu'à 10 heures, Hôtel Saint-Pierre. la salle des fêtes de ' l'Hôtei-de-Ville, la Dimanche 1" Mars : Série fixe de 8 balles au comédies ; saynètes enfantines ; comiques ; cité et défaut de carnet anthropométrique. breuse, accompagnait la dépouille mortelle de en fanfare municipale offrira une soirée récréaEtat civil. — Naissance : Femande-Alieefusil Gras tube en 5 »/» 5 à 50 ni. : Leclerc, intermèdes nombreux. M. Louis-Simeon Jauneau, ancien conseiller tive à ses membres honoraires. Assemblée générale des victimes de la guer- Rendez-vous comme de coutume à . l a salle Thérèse-Yvonne Morin, le C mars, chemin du municipal de Putanges, Vice-Président des Au programme : c Les Tics », pièce comi- 73 ; Lemière, 74 ; Andrieux, 74 ; Dauphin, 70 ; re, — Le dimanche 29 mars, à 15 heures, se Hcuzard. Programme détaillé sur. affiches. Moulin. Leplat, 70 ; Marie, 70 ; Diard, 69. A. C, membre du Conseil curial, ancien com- que en un acte, de S. Ternoise et A. Verse ; Dimanche 8 Mars : Tir de championnat à tiendra en la salle de la mairie l'assemblée battant dé 1670. Publication de mariage : René-Albert-HenriPLANCHES « Le Bébé Centenaire », pièce comique en Recouvert du drap tricolore, escorté des 1 acte, de H. Farémont .Chants, monologues, 50 m. dans les 3 positions, 5 balles dans cha- générale des victimes do la guerre. La réu- Obsèques. — M. Eugène Morrière; dont on Alcide Piehe, boucher à Gacé, et Amioie-Luque position : l", Leclerc, 143, bouteille de nion sera présidée par les élus du canton. deux drapeaux des A. C. et des Vétérans de morceaux de piano et violon,' cienne-Rosine Lambert, sans pro/ession, au célébré les noces d'or le 25 du mois der1S70. le cercueil pénétra dans l'Eglise, les cor- Entrées, 4 fr. Demi-place pour les enfants. Champagne offerte par M. Marie ; 2", Quan- M. Dufresne, secrétaire général de la Sous- avait vient de mourir a l'âge de 76 ans. ' •' Fidelalre (Eure). dons du poêle tenus par MM. Graffet, Prési- Location chez M. Guédou 0.50 en sus. Entrées dieu, 132, bouteille bordeaux blanc (M. Le-Préfecture d'Argcftan, et M. Lesur, d'Alen- nier, Décès : Marie-Madeleino Fouilleul, • Veuve Hamel, 128," cadenas (M. Nor- çôn, seront' à la disposition de tous ceux qui Les obsèques ont eu Heu jeudi au milieu Rocher, dent des A. C. du Canton ; Davy-Lahurie, Se- gratuites pour les membres honoraires sur franc) ; 3», sans profession, 89 ans, le 7 mars, rue e d'une très nombreuse afthience dans laquelle rétaire général ; Chesnel, délégué communal; présentation de leurs cartes. Guichet à 20 h. 30. mand) ; 4 , Lemière, 127, blague à tabac (M. auraient • besoin de renseignements. de Rouen à l'Etablissement Ste-Marie. on remarquait M. Gauchard, maire ; de nom•Fleur}') ; 5», Marie, 127, 2 fr. ; 6», Diard, 120 ; Les Anciens Combattants sont Invités à cette et Gaston Lange, ancien combattant. Une pro- Rideau à 21 heures. : •".'•' réunion. Les sociétaires seront convoqués in- breux conseillers municipaux, et M. Dubu, "K Leplat, 113 ; 8", Serres, 110. Avis aux Cultivateurs. — Déclaration d'emfonde émotion s'empara do l'assistance quand maire et conseiller général de Ste-Gauburee. Le Président blavures et de récoltes : Le Mairie de Gacé on vit un vieillard, anc'en combattant de 1870, Le Chef, Dimanche 15 Mars continuation du tir de dividuellement par le secrétaire. Nous prions la famille du défunt d'agféer Ordre du jour : Compte-rendu moral et invite les cultivateurs produisant du blé à marchant à grande peine, quitter les stalles du 9 h. à 11 h. S. Série fixe de 8 balles au Lebel à LÉVÉSOUE. OARÊiOC. déclarer avant le 1er Avril, à la Mairie de la •-hceur pour venir tenir le drapeau des Vété200 m. Primés. (Hors Classement : Leclerc et financier par le camarade Godet, trésorier : nos bien sincères condoléances. élection du bureau. SAINTE-GAUBURGE Commune où se trouve le lieu de l'exploitaïans' et rester quelques moments encore, les Fanfare municipale, — L'assemblée géné- Prodhomme). A l'issue de là réunion : visite au monu- Tirs au stand de Sainte-Cauburge. — Les lion : 1» La superficie des terres ensemencée;.; derniers, avec son dernier frère d'armes de rale de la Fanfare municipale, qui n'a pu Le Comité informe les Sociétaires qu'un de Tannée terrible. avoir lieu le dimanche S mars, aura lieu le nos membres passera prochainement à domi- ment, appel des morts, dépôt d'une gerbe de S'.O.R. de l'école de Gacé effectueront, des'tifs 2» la surface des terres labourables ;'3° la Enfin, pour terminer, vin d'honneur au fusil Lebel, le dimanche 15 mars, de ffheu- quantité de blé récoltée l'année précédente sur Au cimetière le Président des A. C, en ter- dimanche 15 mars à 11 h„ en la salle de cile percevoir les cotisations et espère i.u'un fleurs. chez le camarade Godet. bon accueil lui sera réservé. res à 12 heures, au stand de Sainte-Gauburge, leur exploitation. rues élevés, signala la douloureuse coïncidence l'Hôtel-de-Ville. Le bureau compte sur la bonne volonté de route d'Argentan.' Ordre du jour : Rapports moral et financier. • Le Maire : L. THIGGUST, qui, 15 ans plus tôt, voulait que le premier Foire aux bestiaux, — A l'occasion de la tous pour que, par l'union et la concorde, la discours qu'il eut à prononcer, était pour sa- Renouvellement du bureau, s'il y a lieu. Préparation militaire. — Tirs du 8 mars : . Conseil municipal. — Séance du 3 mars 1935, foire aux bestiaux qui aura lieu a Trun le section soit et reste belle, sous la présidence do M. Trigoust, maire. Préluer les restes glorieux de Louis Jauneau, un Préparation militaire de Moullns-la-Marche : Le Chef : CARÔOU. • jeudi 19 Mars, le Maire invite tout particulièieune héros tombé aux Eparges, qui venait 1. Berchet, 58 pis. ; 2,-Bidet, 53 ; 3. Vitré, 49. sents : MM. Langevin et Moulinet adjoints ; Bal de la Mi-Carême. — La fanfare munici- iement les cultivateurs de la région à présenHameau, Herbinière, Mercier, Philippe, Baildormir son dernier sommeil dans sa terre naPréparation militaire de Sainte-Gauburge animaux et leur rappelle qu'ils sont ™ Saillie des vaches • (100 tale. Puis il retraça la carrière militaire du pale organise pour le 22 mars courant, à ter des d'y mètres, S balles), cible ronde : 1. Mérel. lot, Hambert, Bienvenu, Levallois. trouver des marchands en nombre" Absents : MM. Fossev et Blin, excusés ; vénéré disparu, jeune soldat de.1870, incorporé 21 h., en la salle des fêtes de l'Hôtel-de-Ville, assurés 43 pts. ; Ribot, 41 ; Wattelier, 32. assurée par la POUDRE VALLAOE au 7» Hussards, l'un de ces régiments de cava- un bal travesti à grand orchestre. Entrées, suffisant, leur donnant la possibilité de faire S. A. G., adultes (200 mètres, 8 ïalles), cible Dourdoigne et Thérln, "non excusés. M. HamPrix 10 fr. dans tt«» b. pharmacies. Labor bert, à l'unanimité, est nommé Secrétaire. . lerie sacrifiés d'avance et dont les efforts dé- i fr. pour les personnes non travesties ; per- du commerce aux meil-eures conditions. ronde : 1. Laine. 44 pts. ; 2. Doucet, 40. Mais pour aider au développement des afReynier, Mas-d'Agenals (Lot-et-Garonnei sespérés avaient pour but de rétarder la mar- sonnes travesties, 2 fr. La salle sera spéciaSilhouette : Laine, 53 pts. ; Mar/e, 40 ; PinTravaux divers, résultats des appels d'offaires et au succès des foires, il faut que les che des hordes prussiennes pour permettra lement illuminée. çon, 43 ; Viel, 20. fres. — M. le Maire procède à l'ouverture des cultivateurs se persuadent que les primes quiLo Chef : CARfàou. aux restes de l'armée de so reformer sous « Un vrai » grand-papa Kruschen ! ut P- PllTANGES s TRDN MERLERAULT GACE CARROUGES CHAPITRE VIII — Pitit, pitit, pitit... Heureusement, tout a été préparé soigneuseclare Céline. Elle acceptera votre jujubo parce cède le docteur. Mais les temps ont changé. ment par la nourrice. Le berceau a été trans— Allons ! taisez-vous, Edgar I intervient le qu'elle vous connaîtra Lien. D'ailleurs, la Le règne, du saucisson est fini. Celui du porté dans la chambre de Céline. Le dérangecrabe a commencé. Or, il faut- vivre avec son docteur Marois. On croirait que vous appelez Sidonie a demandé la permission d'aller voir ment sera voici. minime. ,. son fils, qui est assez gravement malade. Génédes poulets pour leur donner à manger. Une femme de chambre a préalablement ou- siècle ! /; Céline, qui n'a rien dit jusque-là, s'approche ralement, quand une nourrice parle de son — Comme elle dort bien ! vert la porte. \s. nourrice sèche solennelle- — Je n'en vois pas du tout la nécessité, proenfant, c'est d'un poupon qu'il s'agit. Le fils Avant de se séparer pour le sommeil, le frère à ce moment. D'un air dédaigneux, elle regarment s'avance. Sur ses deux bras tendus, le nonce tranquillement Céline. de Sidonie fait son service militaire. et la sœur se sont arrêtés devant leur filleule, '•' poupon est couché. C'est un énorme paquet de La nourrice s'est assise , le bébé, qui tout à de tous ces liommes, dont les efforts ont été dont la respiration régulière, la figure calma mousseline, de rubans et de dentelles. l'heure était horizontal, est devenu vertical. Il vains. Décidément, il n'y a qu'une femme pour — Revenez-nous le plus tôt possible, a sup- et les petits poings posés sur le drap font leiir comprendre l'âme d'une enfant I D'un seul plié Mlle Parchez... ouverts II est vraiment très Joli. Le admiration. Le médecin, qui s'était pourtant promis à anezlesetyeux la bouche sont fins. Les sourcils sont mot, elle essaie de faire comprendre à Jacque- — Dans deux jours et deux nuits, je serai là. — Comme elle est gentille ! et comme nous lui-même de demeurer calme, ne peut répri- bien dessinés. line tout ce qùo son cœur nourrit d'affection Ce sera vite passé. L'ovale de la figure est d'une mer de grands cris : ljaimons I délicate. La carnation est d'une fraî- pour elle : - Lorsqu'elle a sa grande robe blanche et son Ali ! si elle était sûre que la nuit se passera — Oh I... Est-il permis de r saucissonner • coupe — Garagadin I Garagadin I Garagadin I lui bonnet avec de longs rubans, Sidonie a un air sans cheur remarquable. On chercherait longtemps Céline pourrait s'abandonner un bébé de cette façon 1 Que dis-je, un saucis murmure-t-elle d'une voix grave et mystérieuse presque distingué. Pour partir, elle a mis une toute encombre, par Germaine ACREMANT à la joie d'avoir cette enfant près d'elle! son ? C'est une mortadelie ! Pauvre gosse ! une petite fille plus ravissante. comme s'il s'agissait d'une formule magique. robe à carreaux, un chapeau démodé; de gros Au lieu Bien entendu, sur ces personnages qu'elle d'être une simple cousine, elle jouerait vous lui mettez une camisole de force. 11 Cette, fois, Jacqueline secoue son apathie. bas à côtes. Elle porte un filet bourré de pro- à la véritable maman. Mais, précisément parce serait cent fois mieux si vous le laissiez gigo- ignore, ellepromènedes yeux étonnés. Elle regarde à droite et à gauche, prend un air visions pour le voyage et un paquet de papier Anselme.qui ne déteste pas dtafflrmer sa qu'elle n'est pas habituée, elle a peur que quelMlle Parchez a répliqué si durement que le ter comme un crabe dans des tricots respec- supériorité sur les autres, use d'un moyen effrayé et se met à grogner. gris, maintenu par des cordes. Elle a sous le que chose trouble son bonheur. tant la liberté de son corps... docteur Marois regrette presque d'avoir été La nourrice est obligée de l'emporter. bras son parapluie qui est déteint et dont une qui lui a réussi la veille pour faire sourire Elle se déshabille et se couche rapidement. aussi net : — Un crabe 1 En lui tapotant le menton, il dit On s'aperçoit alors que le valet de chambre, baleine est cassée. Elle est absolument ridicule. Très vite elle s'endort. — Je n'ai pas besoin de vous dire, madeCéline est interloquée par cette expression, Jacqueline. d'une voix.de fausset indéfinissable : debout dans l'embrasure de la. porte, répète En la voyant sous cet accoutrement, Anselme Combien de temps dure la sérénité de sa moiselle, ajoute-t-il, que je souhaite de tout qui l'a saisie à la gorge. pour la troisième fols : a détourné les yeux, mais il n'a pas pu éviter chambre ? Elle n'en sait rien. Tout d'un coup, — Bozour I Bozour I Boiour I cœur que vous ayez raison. Vous voulez que — Vous croyez donc que nous avons adopté elle entend des cris. Il doit être cinq heures qu'elle lui serrât la main. Mais Jacqueline ne bronche pas. nous entourions d'affection Jacqueline. Je n'ai un crabe î C'est à un crabe que nous promet— Mademoiselle est servie... lias encore vu ce poupon et déjà l'en raffole. Il tons do réserver un jour notre fortune ? An- — Vous n'y connaissez rien, s'exclame M" Pendant que les uns et les autres se dirigent Jusqu'au dernier moment, Céline lui a de- du matin. Elle ouvre les yeux en criant : me semble que je suis rajeuni de vingt ans. selme, c'est d'un crabe que tu es le parrain. Alpènc. Laissez-moi faire. Vous allez voir... vers la salle à manger, le docteur Marois se mandé des renseignements concernant Jacque- — Ne pleure pas, mon petit oiseau, je viens. Un rayon de luno répandait une lueur pâle. Le notaire se place devant l'enfant et, tout penche vers Mlle Parchez : Je me rappelle l'époque où. entre deux visites C'est d'un crabe que, mol, Mlle Parchez, je line : Drapée dans sa longue et large chemise de au bout de la ville, il m'arrlvait de rentrer suis la marraine. Vous aile', un peu fort, doc- en grimaçant, chantonne : — S'éveille-t-elle la nuit quelquefois ? A nuit, avec sa tête ronde d'où pendaient, sous ' _ Votre domestique a dû bien s'amuser de — La petite flfille... rentille... zentille... chez moi, rien qu'une minute, pour embras- teur. J'ai la prétention d'être auiourd'hui une nous voir faire les idiots autour de Jacqueline. quelle heure faut-il lui donner son lait 1 les oreilles, deux nattes maigres, Céline resser mon gosse... des personnes les mieux- portantes de la ville. zentillc... — Jamais elle no s'éveille. C'te p'tite chatte semblait à un fantôme : Jamais Je n'ai été considérée par mes parents Jacqueline conserve son air placide. Le doc- Céline goûte mal ce genre d'obsorvation : Lo docteur Marois songerait-il à cacher son dort comme un petit ange. A cinq heures du Je vais te donner ton lolo, ma chérie. <:motion ? Il donne une dernière claque dans comme un crabe. J'ai été saucissonnée, com- teur, qui a haussé les épaules, se croit fort de — Quoi! Vous trouvez que j'ai fait l'idiote ? matin, olle ouvre en même temps ses yeux et — L'électricité allumée, la vieille demoiselle. me vous le dites... Après quoi, j'ai grandi son expérience. Jadis il avait le talent d'égayer C'est gai ! le dos du petit Chornctz en disant : son bec. Elle pleure parce qu'elle a faim, c'te reculo de surprise. Elle a vu l'heure. Il est ses fils en leur criant : dans des robes de batiste et de dentelles. Je — Vous n'avez jamais connu ça, hein I esMais le médecin la console en lui disant : p'tite chatte I On lui donne son biberon. Elle minuit. Déjà elle avait pris lo biberon. Mais veux qu'il en soit de même pour Jacqueline. — Acroucrou, acracra, aer.cri pèce de célibataire. -^_ Ne vous fichez pas. Tous les parents font se précipite dessus comme la pauvreté sur le impossible de le donner déjà ! Rien no trouble Mais ces mots, particulièrement spirituels, lés idiots près de leurs enfants. Plus ils les monde. Et elle se rendort, c'te p'tite chatto. —11 est évident que, moi -aussi, j'ai été Lo pharmacien avoue qu'il. n'a jamais eu plus la santé d'un enfant que le déséquilibre n'ont aucun effet sur Jacqueline : l'occasion d'imaginer quels seraient ses senti- saucissonné, ajoute Anselme. aiment, plus.ilSîle font..Nos « acroucrou », nos Sidonie a disparu. Il est sept heures du soir. — Moi aussi, annonce tranquillement le no- — A votre tour, monsieur Chometz, essayez... « pitit, pitit », nos « garagadfn. », sont la meil- Ansolme propose à sa sœur de « souper » le des habitudes. ments pour un enfant lui appartenant II sait Le pharmacien ne.s'est jamais trouvé dans plus tôt possible afin d'aller coucher de bonne seulement qu'il reçoit volontiers les bambins taire. une pareille circonstance. Il fait pourtant de leure preuïft-qus, déjà nous adorons notre en- heure. Il leur faudra se lever pour le biberon. — Moi aussi, déclare le petit Chometz. oui entrent dans sa boutique. (i iuiur<) fant, Jacqueline. — Ma fol, je le reconnais, moi aussi I con- son mieux en disant : " — Jacqueline n'aura pas peur de vous, déFeuilleton du Journal de l'Orne Ng 9 a l'Ombre des Célibataires . 1 - • • — • • •