reglement des championnats d`europe
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reglement des championnats d`europe
B) Si le challenger officiel est incapable ou ne désire pas s’engager dans un combat contre le champion d’Europe, ce dernier défendra son titre contre la personne la mieux classée du plus haut rang disponible sur la Liste Officielle. C) Dans les douze mois à partir de la date à laquelle le champion d’Europe a gagné son titre, il s’engagera à faire au moins deux “défenses” obligatoires pour défendre son titre. Par la suite, il s’engagera à faire au moins deux “défenses obligatoires” pendant chaque période successive de douze mois. D) La durée du temps accordée pour une défense obligatoire qui dépasse les 6 mois réglementaires sera déduite du temps de la successive défense obligatoire. REGLEMENT DES CHAMPIONNATS D’EUROPE Article 1 - Introduction En conformité avec les conditions suivantes : tout bouxeur aura le droit de lancer un défi pour le titre de champion d’Europe. Ces défis, pour les boxeurs en droit de se présenter, doivent être faits par l’Association Nationale affiliée du boxeur. Article 2 - Rôle du Conseil E.B.U. Les Championnats d’Europe seront contrôlés par l’EBU, par l’intérmediaire du Conseil EBU, qui sera responsable du déroulement de ces championnats en conformité avec ce Règlement. Article 3 - Eligibilité Pour pouvoir participer à un championnat européen un boxeur doit remplir les conditions suivantes : a) avoir au moins 20 ans Article 5 - “Défenses volontaires” Un champion d’Europe pourra défendre son titre européen seulement contre un boxeur de la Liste Officielle et seulement dans la mesure où le fait de defendre le titre volontairement n’empêche pas le champion européen de remplir ses obligations concernant les “défenses obligatoires” de son titre. L’organisateur ou le boxeur qui renonce à la rencontre, sera sanctionné par une amende de EURO 3.300. Article 6 - Organisation des championnats b) être domicilié at ressortissant d’un pays européen c) être licencié par une Association Nationale affiliée d) avoir l’approbation du Conseil EBU e) ne pas être tenant d’un Titre Mondial de n’importe quelle Fédération. Article 4 - “Défenses obligatoires” A) Un champion d’Europe défendra son titre dans un combat avec le challenger officiel dans les six mois suivant l’acquisition du titre ou de l’avoir défendu avec succès. 1 A) “Défenses obligatoires” (i) Suite à la nomination, par la Commission des Classements, du Challenger Officiel ou, si nécessaire d’un remplaçant, les deux boxeurs qui doivent se rencontrer pour le titre et le promoteur approuvé par le Conseil pour organiser la compétition auront trois mois pour faire les préparatifs nécessaires pour l’organisation du combat. Le promoteur en question avertira le Conseil EBU des préparatifs et enverra les doubles des contrats passés avec les deux boxeurs et le pourcentage dû, 2 comme défini dans l’article 22.6.2 du Statut, qui sera dans tous les cas payé par le promoteur et non par les boxeurs ou l’un et l’autre des deux. (ii) Les contrats seront approuvés par écrit par l’Association Nationale affiliée du boxeur licencié. Les contrats doivent être présentés au Conseil EBU au moins 20 jours avant la date du combat faute de quoi le Conseil EBU aura droit d’empêcher le déroulement du combat. (iii) Sauf avec l’autorisation écrite du Conseil EBU, ni un champion d ‘Europe ni un challenger au titre soit officiel ou autre, ne boxera à moins de 28 jours avant la date prévue pour le titre européen. (iv) Un combat pour un titre européen, pour lequel la date et le lieu ont été fixés, ne peut pas être reporté sauf dans des circonstances exceptionelles et avec l’approbation du Conseil E.B.U. (v) Sauf ce qui est prévu au susdit paragraph (iv) -dans le cas où une défense obligatoire du titre Européen, dont laquelle la date et le lieu ont déjà fixés, ne peut pas avoir lieu pour n’importe quelle raison, le Conseil EBU peut, à son absolute discretion, éliminer la compétition pour le titre européen lorsqu’il l’estime juste. B) “ Défenses volontaires“ (iii) Si une proposition de “défense volontaire du titre“ ne reçoit pas l’approbation du Conseil EBU, tout contrat qui pourrait avoir été conclu entre les deux boxeurs, le managers et un promoteur ser a nul et non avenu. (iv) Pour dissiper toute équivoque, un champion européen qui défend volontairement son titre avec succès ne verra aucun changement concernant ses obligations par rapport à la défense obligatoire de son titre. (v) Si le champion d’Europe ne réussit pas dans la défense volontaire de son titre, le challenger qui réussit remplira les obligations du champion d’Europe précédent, en défendant obligatoirement son titre dans le six mois à dater de la dernière défense obligatoire bien que le Conseil EBU ait le droit de prolonger la période s’il le considère nécessaire. (vi) Un champion européen qui gagne le titre pendant une défense volontaire doit défendre son titre sous forme obligatoire avant toute défense volontaire du titre. C) – Information Générale i) Si entre la date de la nomination du Challenger Officiel par la Commission des Classements et la date limite du combat le Champion d’Europe ou le Challenger Officiel perd un combat pour un titre national, les conditions seront les suivantes : Au cas où : (i) Un champion européen qui souhaite défendre son titre volontairement doit d’abord obtenir l’approbation du Conseil E.B.U. Le palmarès complet du challenger en perspective sera soumis pour approbation par son Association Nationale affiliée au Conseil E.B.U. (ii) Si le Conseil EBU donne son approbation pour la défense volontaire du titre, le Champion d’Europe ne s’engagera pas à défendre son titre contre tout autre adversaire avant le combat approuvé. (a) le champion d’Europe subirait une défaite, son adversaire sera qualifié pour rencontrer le Challenger Officiel dans un combat pour le titre européen, ou (b) le Challenger Officiel subirait une défaite, sauf s’il y a une autre décision de la part de la Commission Classement, ce qui est à son entière discrétion, il sera remplacé par le boxeur plus haut classé disponible qui accepte la désignation de Challenger Officiel. 4 3 ii) Un boxeur ayant été accepté comme Challenger à un titre européenne ne pourra pas prévoir des combats avec un autre adversaire que le champion d’Europe ou du Monde à moins de dépasser le poids limite de 500 grammes pour la catégorie de poids en question. Elle sera également responsable pour assurer le versement des sommes dues, par jurisdiction, si nécessaire. Le Superviseur doit arranger le paiement aux boxeurs et le boxeur visiteur sera payé le jour immédiatement après la rencontre, avant son départ et toujours en ligne avec les termes des contrats. Article 7 – Offres de bourse C) Les offres de bourse seront envoyées au Secrétaire Général A) B) Au cas où aucun contrat ne serait déposé au Conseil EBU dans les trois mois qui suivent la nomination du Challenger Officiel, le Secrétaire Général de l’EBU informera toutes les Associations Nationales affiliées qu’à partir de ce moment les offres de bourse sont demandées pour un combat entre le Champion d’Europe en question et le Challenger Officiel. (i) (ii) (iii) Les offres de bourse seront soumises au Secrétaire Général et annoncées en EURO. Les bourses seront payées dans la devise du pays où se déroulera le combat. Le taux de change sera calculé le jour du combat et si ce jour n’est pas ouvrable le taux du jour ouvrable immédiatement précédent sera utilisé. Le taux à utiliser sera le taux d’achat de l’EURO, dans le pays où se déroule le combat, d’une banque citée sur la liste des banques approuvées par le Conseil EBU. Cette liste est conservée par le Secrétaire Général. Si, suite à des négociations privée, il y a accord pour que le paiement soit effectué autrement que dans la devise du pays, toutes autres devises approuvées par le Conseil EBU pourront être utilisées. Le Secrétaire Général est en possession de la liste de ces devises. Le taux d’échange pour la conversion de l’EURO vers une devise convenue sera sur le prix d’achat d’une banque dans le pays de la devise convenue, selon la liste tenue par le Secrétaire Général. L’Association Nationale affiliée du pays où se deroule la compétition sera responsable pour assurer le paiement des bourses, sans tenir compte si la compétition avait été proposée ou non aux offres de bourse. 5 de l’EBU dans les 21 jours suivant la communication d’un demande d’offres de bourse aux associations nationales affiliées. Toutes les offres de bourse seront soumises des promoteurs par l’intermédiaire des Associations Nationales affiliées et seront envoyées par distribution spéciale. Les offres de bourse préciseront une période maximum de 60 jours pendant laquelle la compétition sera annoncée. En soumettant une offre de bourse le promoteur accepte de payer les frais de voyage et d’hébergement de trois personnes (boxeur, manager et entraîneur), pendant trois jours pour les boxeurs visiteurs. D) Si : (i) aucune offre de bourse n’est reçue dans la période spécifiée ou (ii) l’offre ou les offres reçues sont considérées par le Conseil de l’EBU, à son absolue discretion, d’un montant insuffisant ; alors le Secrétaire Général sollicitera à nouveau des offres de bourse en avertissant les Associations Nationales affiliées. Dans ces cas, le Conseil EBU peut donner instructions que les offres de bourses doivent être reçues dans un temps considéré convenable. E) Aucun combat ne sera approuvé par le Conseil EBU à un orgaisateur, à moins d’être licencié par une Association Nationale affiliée. F) Les offres de bourse doivent comprendre tous les droits supplémentaires et, en particulier, doivent comprendre l’éventuelle transmission télévisée, transmission radio ou projection du combat par film ou par tout autre moyen : la somme à recevoir par tous les boxeurs sera nette de toute taxe fédérale, nationale ou municipale). 6 G) En soumettant une offre de bourse au Secrétaire Général, l’Association Nationale affiliée doit joindre une lettre comportant le texte suivant (à défaut de cette déclaration l’offre sera considérée comme nulle et non avenue). B) Le Conseil E.B.U. nommera un Superviseur qui agira en tant que surveillant global pour l’organisation de chaque compétition européenne. Il remplira sa fonction en tant qu’Officiel responsable de toutes affaires concernant l'EBU pour chaque compétition de cette sorte sauf pour la désignation du vainqueur. C) Un systè me de rotation sera mis en oeuvre par le Conseil EBU sous la direction du Président des Associations Nationales affiliées pour nommer l’Arbitre, le Superviseur et les Juges aux Championnats d’Europe. D) L’Arbitre, le Superviseur et les Juges doivent être contactés par un représentant de l’Association Nationale affiliée immédiatement après leur arrivée dans la ville où se déroule le combat. L’Arbitre, le Superviseur et les Juges ne séjourneront si possible pas au même hôtel que les boxeurs. E) Dans tous les cas le chronomètreur sera licencié et nommé par l’Association Nationale affiliée dans le Pays où se déroulera le combat. F) Au moins deux places auprès du ring au premier rang seront réservées aux membres du Conseil EBU lors des Championnats d’Europe. L’Associat ion Nationale affiliée, dans le pays où se déroule le combat, prendra les mesures nécessaires auprès du promoteur. DECLARATION CONCERNANT LES OFFRES DE BOURSE Notre Association déclare avoir reçu une caution de EURO 6.500 du Promoteur Monsieur………………..…….en tant que garantie de l’organisation du combat : ……………………….………. contre………..…………..………… Cette caution sera confisquée par l’E.B.U. si, pour quelle qu’en soit la raison, le Promoteur n’organise pas le combat. H) Le boxeur (champion ou challenger) qui renonce à un championnat d’Europe, “ SAUF“ pour des raison indépendantes de sa volontée, -après l’adjudication des enchères - devra payer une amende de EURO 3.300. Dans le cas où cette décision ne sera pas respectée, le boxeur sera exclu du classement européen. Article 8 – Répartition de la Bourse A) Au cas où un championnat européen est soumis aux offres de bourse, cette bourse sera divisée comme suit : • • 60% au Champion 40% au Challenger Article 10 – Arbitres des Championnats Européens B) Au cas où le titre est vacant, la bourse sera divisée sur la base de 50% à chaque boxeur. Article 9 – Officiels A) Les rencontres de Championnats d’Europe, malgré les lieux du déroulement, seront dirigées par un Arbitre (sans bulletin) et trois Juges neutres, dont la décision sera définitive. 7 A) Chaque année les Associations Nationales affiliées enverront par le canal du Secrétair e Général de l’EBU à la Commission des Officiels une liste des Arbitres estimés compétents à arbitrer sous les auspices de l’EBU. B) Avant de certifier que l’Arbitre est reconnu par l’EBU, le Secrétaire Général doit posséder le “curriculum vitae“ de chaque c andidat qui indique clairement son expérience en tant que dirigeant de combat. 8 C) Les Arbitres ayant été désignés pour un combat et qui n’ont pas donné satisfaction pourraient être retirés de la liste des Arbitres reconnus par l’EBU, après consideration du cas par la Commission des Officiels approuvée par le Conseil EBU, suite à un rapport par le Superviseur présent au combat. Article 13 – Perte du titre a) S’il perd le combat quand son titre est en jeu. D) Les Arbitres n’auront pas le droit d’arbitrer après l’âge de 65 ans. b) S’il perd un combat qui se déroule sous les conditions prévues pour un Championnat et recon nu de ce fait par l’EBU ; Article 11 - Frais de voyage et frais d’hébergement des Officiels c) S’il ne soumet pas aux formalités de la pesée qui devra se dérouler le jour avant la rencontre entre le 18h00 et le 22h00. d) S’il défend, ou essaie de défendre son titre, en dehors de la jurisdiction de l’EBU. e) Si une mesure disciplinaire de suspension lui est imposée pour une période qui dépasse les 6 moins par son Association Nationale affiliée ou par l’EBU. f) Si à cause d’une maladie, d’un accident ou pour une autre raison il est inapte à boxer et, sans préjudice à ce qu’on a dit ci-devant, s’il ne peut pas ou il ne veut pas participer à un combat pour le titre européen, dont la date et le lieu ont été fixés, l’EBU a la faculté d’éliminer cette compétition lorsqu’il l’estime juste. g) S’il abandonne son titre à cause de son poids trop important ou pour toute autre raison. h) Si sa conduite en tant que boxeur est considérée comme incorrecte par le Conseil EBU. i) S’il participe à un combat pour son titre national et le perd. j) S’il a un résultat défavorable d’un contrôle anti- doping. k) S’il est battu dans une rencontre disputée au poids du championnat pour la catégorie dans laquelle il est Champion par un boxeur dont la citoyenneté, la nationalité et/ou la license de boxe le qualifie comme un possible contendent pour le Championnat EBU. A) B) Les Arbitres et les Juges auront le droit de recevoir le paiement de leurs frais de voyage en 1ère classe par le train, ou par l’avion si c’est justifié. En plus, l’Arbitre et les trois Juges recevront chacun une prime de EURO 700 tout compris. Le Superviseur recevra les mêmes frais de voyage et d’hébergement que les Arbitres et les Juges. Il recevra du promoteur une prime de EURO 500. Tous les frais d’hôtel, de pension et les primes dues aux Arbitres et aux Juges seront payés par le Promoteur à la pesée. Les frais du Superviseur seront payés en même temps. Un Champion d’Europe perdra son titre dans les conditions suivantes : Article 12 – Forfait du titre Si un champion ou un challenger refuse de respecter la décision du Conseil EBU concernant l’organisation d’une rencontre de championnat, quelle qu’en soit la raison, il pourrait subir les sanctions suivantes : a) être dépossédé de son titre, ou b) être déclaré comme inacceptable en tant que Challenger pour un Championnat d’Europe avant l’écoulement d’un an de la date de l’avertissement à l’EBU de son incapacité à combattre. 9 Le boxeur le mieux placé sur la liste officielle après le Challenger Officiel sera nommé le Challenger à le rencontrer dans un combat pour le titre vacant. 10 Article 14 - Procédure pour questions disciplinaires Article 18 – Matches Revanches Le Président, en accord avec les vice- Présidents, aura le pouvoir de suspendre un boxeur pour une infraction clairement établie aux règles EBU. Il désignera une Commission Disciplinaire composée par 3 membres du Conseil plus un membre de la Fédération du boxeur. Le boxeur, ou son représentant, sera admis à l’audience. La décision de la Commission sera definitive. (A ) Aux Détenteurs de titre ou aux Challengers qui doivent boxer pour un titre il leur est interdit de garantir un combat retour dans le cas d’un changement de mains du titre. Article 15 – Licences Internationales Aucune Association Nationale affiliée ne peut délivrer une licence à un Boxeur, Manager ou Organisateur avec licence d’une autre Association Nationale affiliée sans avoir obtenue au préalable l’autorisation écrite de cette Association Nationale affiliée. Article 16 – Règles de Boxe Le Conseil EBU essaiera de standardiser les règles qui seront reconnues par tous les pays où l’Association Nationale est affiliée à l’EBU. Ces règles seront reconnues par chaque Association Nationale affiliée qui devra s’assurer également que ses membres licenciés respectent ces règles. Article 17 – Champions Aucun boxeurs n’a le droit de posséder simultanément un titre Européen dans deux catégories de poids. (B) Toute clause dans ce sens dans un contrat sera nulle et non avenue. (C) Sauf dans circostances spéciales (selon une décision du Conseil EBU), il n’est pas permis à deux boxeurs de boxer l’un contre l’autre consécutivement pour un Championnat. Article 19 – Championnats du Monde Au cas où un Champion d’Europe ou un Challenger Officiel serait nommé à boxer pour un Championnat du Monde (et si ce combat l’empêche de respecter ses obligations à faire une défense obligatoire de son titre européen) il doit abandonner sa position. Article 20 – Prix Une ceinture de championnat sera remise au gagnant d’un Championnat d’Europe dès qu’il gagne son premier titre européen. Article 21 – Les règles de championnats et de boxe pourront être adaptées en circumstances spéciales et exceptionnelles par une majorité de 2/3 de votes du Conseil EBU. Un boxeur ayant gagné un second titre devra décider quel titre il désire conserver et l’autre titre sera déclaré immédiatement vacant. 12 11 EUROPEAN BOXING UNION REGLES DE BOXE Article 1 – Le Ring 2.2 Les gants utilisés aux Championnats d’Europe et Epreuves Eliminatoires seront conformes au modèle avec pouce joint et pèseront 8 onces pour les catégories de poids mouche au poids super-welter compris, et 10 onces pour toutes autres catégories. Les lacets seront noués sur le dessus du poignet. 2.3 Les seules bandes autorisées aux Championnats d’Europe et aux Eliminatoires seront : 1.1 L’enceinte ou Ring se composera d’un carré de 5,5 mètres minimum et de 7,3 mètres maximum de côté – ces dimensions seront mesurées entre les cordes. 1.2 Le plancher doit être solide avec un planchéiage convenable et doit déborder d’au moins 0,6 mètres de chaque côté. Le plancher doit être recouvert d’une toile épaisse et bien tirée sous laquelle doit être placé un tapis de feutre ou d’autre matière similaire d’une épaisseur entre 1,5 centimètres et 2,5 cm, dans le but de réduire les conséquences de chutes. Le feutre doit s’ètaler sur tout le ring y compris les bords du ring en dehors des cordes. Les piliers de coin et les tendeurs devront être protégés par rembourrage suffisant. 1.3 L’enceinte du ring sera entourée par quatre rangs de corde solide d’un diamètre de 3 cm minimum et de 5 cm maximum, enveloppée d’une matière douce et lisse ou d’autre matière similaire qui ne cause aucun dommage aux boxeurs. Ces cordes seront tenues à 0,3 mètres des piliers et seront espacées unifor mément sur une hauteur de 1,3 mètres du plancher. Les quatre cordes de chaque côté seront liées par un ruban plat en deux endroits situé à un tiers de leur longueur. Article 2 – Gants et Bandages 2.1 Les gants et les bandages seront en conformité avec le modèle reconnu par l’EBU et seront fournis à la charge du promoteur. Quatre paires de gants égaux seront remises au Superviseur à la pesée. 1) Du ruban adhésif long de 6 pieds (1.828 mètre) et large de 1 pouce (0.025 mètre) qui ne doit pas être enroulé mais mis à plat sur chaque main sans recouvrir les phalanges du boxeur. 2) Des bandes longues de 6 pieds (1.828 mètre) et large de 2 pouces (0.05 mètre) pour chaque main pour toutes les catégories de poids, à l’exception du poids moyen et supérieur pour lesquelles catégories il faut 8 pieds (2.438 mètres) de ruban adhésif et 8 pieds de bandes à chaque main. 2.4 Les bandes doivent être mises aux vestiaires sous la surveillance de l’arbitre ou du Superviseur qui le tamponnera et mettra sa signature. 2.5 On ne doit rien porter sous les gants à l’exception des rubans et bandes permises. Le ruban adhésif doit être mis par dessus la bande et non pas directement sur les mains du boxeur. Article 3 – La tenue du boxeur 3.1 Les boxeurs doivent boxer dans la tenue réglementaire et doivent être soignés dans leur apparence générale. Les barbes sont tolérées seulement avec l’approbation de l’arbitre. 3.2 Tous les boxeurs doivent porter une protection sous le short. 13 14 3.3 Les chaussures de boxe doivent être soules, les semelles lisses sans clous ni bosses. Ni les semelles ni les talons ne doivent être durs. 3.4 Si, pe ndant un round, un lacet de gant ou de chaussure se défait, l’arbitre le nouera. Pendant ce temps, l’adversaire doit se retirer dans un coin neutre. 3.5 Les gants seront mis sous la surveillance de l’arbitre ou du Superviseur. 3.6 A l’exception d’une quantité raisonnable de vaseline blanche (la quantité étant à la discrétion de l’arbitre) aucune matière grasse n’est permise ni sur le corps ni sur le visage. Selon les dispositions de l’article 22 l’application de tout autre produit sur toute partie du corps est formellement interdite. 4.2 Les combats seront de 12 reprises de 3 minutes chacune et la pesée se déroulera 30–24 heures avant la rencontre, sur une balance contrôlée pour sa précision dans l’heure qui précède la pesée ou comme convenu par le Superviseur. L’heure de la pesée sera déterminée par le Promoteur. Le Challenger sera pesé en premier. Les boxeurs seront pesés sans le short. La pesée sera dirigée par le Superviseur. 4.3 Si un boxeur ne peut entrer dans la limite de la catégorie, il aura un délai de 2 heures pour un nouveau pesage. Il pourra être repesé autant de fois qu’il le demande, dans ce délai. Il doit rester dans l’enceinte où se déroule ce contrôle et il n’est pas autorisé à utiliser le sauna. Si le boxeur n’arrive pas au poids limite dans les deux heures on aura les cas suivants : (a) Si c’est le Champion qui dépasse le poids et qu’il perd la rencontre, le Challenger est déclaré Champion. 3.7 Selon l’article 22.1.4, un boxeur portera son protège- dents en permanence pendant la boxe. (b) Si c’est le Champion qui dépasse le poids et qu’il gagne la rencontre, le titre est déclaré vacant. Article 4 – Catégories de poids et la Pesée (c) Si c’est le Challenger qui dépasse le poids, le Champion garde son titre, quelque soit le résultat du combat. 4.1 Catégories de poids : Mouche : Coq : Super-Coq : Plume : Super-Plume : Légers : Super-Légers : Welter : Super-Welter : Moyens : Super-Moyen : Mi-Lourds : Lourds Légers : Lourds : jusqu’à Kgs 50,802 = 112 livres jusqu’à Kgs 53,525 = 118 livres jusqu’à Kgs 55,338 = 122 livres jusqu’à Kgs 57,152 = 126 livres jusqu’à Kgs 58,967 = 130 livres jusqu’à Kgs 61,237 = 135 livres jusqu’à Kgs 63,503 = 140 livres jusqu’à Kgs 66,678 = 147 livres jusqu’à Kgs 69,853 = 154 livres jusqu’à Kgs 72,574 = 160 livres jusqu’à Kgs 76,205 = 168 livres jusqu’à Kgs 79,378 = 175 livres jusqu’à Kgs 86,184 = 190 livres au-dessous de Kg. 86,184= 190 livres 15 4.4 Le poids exact des boxeurs sera communiqué sur le ring immédiatement avant le combat. 4.5 A l’occasion du pesage, le Médecin officiel désigné par l’Association Nationale affiliée procédera à une visite médicale afin de déterminer si les boxeurs sont aptes à combattre en fonction des exigences médicales. Article 5 – Les Soigneurs 5.1 Le nombre de seconds n’excèdera pas quatre. Pour l’interprétation de cet article, les seconds comprennent toutes les personnes qui aident un boxeur pendant le déroulement d’un combat. 16 5.2 Avant chaque combat le Chef - Soigneur qui aura la responsabilité du coin du boxeur doit se présenter à l’arbitre. Les Soigneurs doivent respecter les ordes de l’Arbitre. Pendant les rounds ils doivent garder le silence, ils ne doivent pas donner des conseils ou aider leur boxeur et ils ne doivent pas rentrer dans le ring. Toute infraction à cet article ou aux autres Régles de Boxe par ces soigneurs peut amener la disqualification du boxeur. 5.3 Un Chef-Soigneur qui souhaite faire abandonner son boxeur, pendant le déroulement du combat, devra jeter une serviette dans le ring. Il ne doit pas faire ce geste quand le Boxeur nest à terre et pendant que l’Arbitre fait le compte. Article 6 – Le Superviseur Prendre la responsabilité, en général, pour le déroulement du combat et s’assurer au mieux que les organisateurs du combat ont respecté toutes les régles et réglements de l’EBU. Article 7 – Inspecteurs 7.1 L’Association Nationale affiliée nommera deux inspecteurs qui seront assis à chaque coin afin de s’assurer que les règles et règlements sont respectés, et fonctionner comme agents de liaison avec le Superviseur si nécessaire. Article 8 – L’Arbitre 8.1 L’Arbitre, pour chaque combat, sera nommé par l’EBU et aura la responsabilité de diriger le combat. 6.1 Un Superviseur sera nommé par le Conseil EBU pour officier à chaque combat. Le Superviseur sera un membre du Conseil EBU ou cité sur la liste des Superviseurs rédigée par l’EBU pour ce travail. Le Conseil EBU fera fonctionner un système de rotation pour la nomination des Superviseurs. 6.2 Le Superviseur devra : 6.2.1 6.2.6 Diriger la rencontre conformément à la liste des contrôles émise par le Conseil EBU – à publier et à modifier de temps en temps. 6.2.2 Informer et coordonner les fonctions des Officiels avant le combat. 6.2.3 Ramasser et conserver le score des Juges, round par round, pendant le combat. 6.2.4 Annoncer les résultats des scores des Juges à la fin des combats au speaker approuvé du ring. 6.2.5 A la fin du combat faire un rapport sur le combat et fournir une copie du rapport au Secrétaire Général dans les 7 jours. 17 8.2 Avant le combat, l’Arbitre et le Superviseur rendront ensemble visite aux boxeurs et à leurs Chefs-Soigneurs dans les vestiaires et leurs donneront les instructions ou conseils nécessaires au bon déroulement du combat. 8.3 Dans le ring, immédiatement avant le combat, l’Arbitre appellera les deux boxeurs au centre du ring pour les instructions finales, leur demandera de se serrer la main et leur donnera l’ordre de commencer à boxer dès que la cloche sonnera. Les boxeurs se serreront également la main ainsi qu’à la fin du combat avant l’annonce du gagnant. 8.4 L’Arbitre pourra, avec ou sans un avertissement préalable, disqualifier un des boxeurs, ou les deux, suite à une infraction aux règles par les Boxeurs ou leurs Soigneurs, ou pour toute autre raison qu’il considère comme irrégulière. 8.5 L’Arbitre, avec ou sans avertissement au public, pourra déclarer “Sans Décision“ s’il considère que le public se conduit d’une manière nuisible au bon déroulement du combat. 18 8.6 L’Arbitre pourra arrêter le combat s’il considère qu’un des boxeurs est surclassé ou s’il n’est pas apte à continuer. 8.7 Dans le cas d’un “ Knock Down“, l’Arbitre commencera immédiatement à compter à haute voix de 1 à 10 à la vitesse d’un par seconde et de façon à être entendu par le boxeur à terre. Un compte sera également effectué par le Chronométreur à haute voix et en vue de l’Arbitre. Quand le compte “ un“ est prononcé, une seconde se sera écoulée depuis le moment où le boxeur est à terre. 8.8 La sonnerie de la cloche à la fin du round, à l’exception du dernier round, ne devra pas interrompre le compte d’un boxeur à terre. Si le boxeur reste à terre pour le compte de 10 il sera déclaré “ Knock Out“. S’il est prêt à continuer à boxer, la cloche ayant sonné, il doit retourner dans son coin, et le nombre de secondes que le round a dépassé les trois minutes sera déduit du repos d’une minute. 8.9 Pendant le combat l’interprétation de ces règles, ou le règlement de tout point, sera à la discrétion de l’arbitre. 9.2 Le chronomètreur enregistrera le nombre de secondes qu’un boxeur est à terre, et indiquera le compte de secondes d’une voix audible et en vue de l’Arbitre. Dans le cas d’un “ Knock Down“, la durée d’un seconde environ doit s’écouler entre le moment où le Boxeur est à terre et le moment où le Chronomètreur prononce “ one“. Article 10 – Le Médecin Officiel 10.1 Dans un combat de Championnat, deux médecins expérimentés en médecime de sport seront nommés par l’Association Nationale affiliée pour garder une place permanente auprès du ring. Le doyen des deux médecins nommés sera le Médecin Chef et indiquera sa place à l’arbitre. Il pourra être consulté par l’Arbitre, si nécessaire, pour avoir son avis médical. 10.2 Les deux médecins pourront intervenir de leur propre gré pendant la minute de repos entre les rounds pour examiner un boxeur dans son coin et donneront des conseils à l’arbitre concernant tout problème médical qui pourrait créer un danger sérieux pour un boxeur, et/ou ils pourront recommander l’arrêt du combat à l’arbitre. 8.10 La décision de l’arbitre est finale et sans appel. Article 11 – Les Décisions Article 9 – Le Chronomètreur 11.1 Le résultat d’un combat de boxe pourra être comme suit : 9.1 Les devoirs du chronomètreur sont : - de donner l’ordre aux Soigneurs de quitter le ring avant le début du combat. - d’indiquer, avec la cloche, la début et la fin des rounds . - d’indiquer, sans la cloche, quand il reste 10 secondes et 5 secondes au temps de repos entre les rounds. - Le chronomètreur ne devra jamais déduire de temps pendant un round sans une indication à cet effet par l’arbitre. 19 11.1.1 Victoire au points (par une décision d’au moins la majorité des Juges) 11.1.2 Victoire par K.O. 11.1.3 Victoire par abandon 11.1.4 Victoire par K.O.T. (l’Arbitre arrête le combat) 11.1.5 Victoire par arrêt sur blessure 11.1.6 Victoire par disqualification 20 11.1.7 Match nul (par décision d’au moins la majorité des Juges ou dans le cas de trois décisions différentes) 11.1.8 Un verdict de “Sans décision“. 11.1.9 Match nul technique (si la rencontre est arrêtée avant la fin de la 4e reprise pour blessure provoquée par irrégularité accidentelle) 13.2 13.2.1 11.1.10 Décision technique (si la rencontre est arrêtée après e la fin de la 4 reprise pour blessure provoquée par irrégularité accidentelle). 11.2 Une décision particulière de “ No contest“ peut- être donnée par l’arbitre seulement dans le cas d’un arrêt du combat dû à une cause extrême : ex. endommagement sérieux du ring, un orage pour un match prévu en plein air, invasion du ring, etc…Dans ces cas le statu des deux boxeurs ne sera pas modifié. Article 12 – Les Juges 13.3 Le gagnant sera le boxeur ayant la majorité des décisions pour lui. Dans le cas qu’un combat, dont le titre est vacant, termine en match nul, il sera repété en termes brefs. 13.4 Toutes les bullettins de pointage dûment remplis selon les indications ci-dessus seront jointes au rapport officiel envoyé par le Superviseur à l’EBU. Article 14 – Langue Internationale de la Boxe 14.1 Article 13 – Attribution des points 13.1 Les points seront attribués pour les “ attaques“ . Les coups propres et directs avec la partie phalange du gant d’une des deux main sur le devant ou les côtés de la tête, ou au dessus de la ceinture de l’adversaire (la ceinture est une ligne imaginaire au niveau du haut des os de la hanche) : pour les “défenses “ - esquiver, protection en garde – ou s’échapper. Quand les boxeurs sont autrement à égalité, la majorité des points sera donnée au boxer qui montre le meilleur “style“, adresse et efficacité ainsi que les mouvements les plus réussis en “ attaque“ et “défense“. 21 Les trois Juges attribueront un maximum de 10 points à la fin de chaque round au meilleur boxeur en conséquence. Si le round est évalué à égalité les boxeurs auront dix points chacun. Il faut éviter l’égalité si possible. 13.2.2 L’enregistrement des points pour chaque round sera fait immédiatement à l’encre, ou avec un crayon marqueur sur les cartes fournies à cet effet. Aucune modification ou ajout ne seront faits à ces résultats. 12.1 Trois Juges seront nommés par l’EBU pour chaque combat. 12.2 Les trois Juges calculeront les points du combat, round par round, en conformité avec les principes de l’article 11. Ils rempliront les cartes de points et donneront leurs cartes à l’arbitre qui les remettra avec sa propre carte au Superviseur à la fin de chaque round. Les combats de boxe seront calculés de la manière suivante : Dans tous les pays où la Boxe est dirigée par l’EBU, seulement les cinq mots suivants seront utilisés par l’arbitre pendant les combats : (1) (2) (3) (4) (5) 14.2 “Stop“ “Box “ “Break“ “Time“ “Le nom du boxeur“ (l’utilisation du nom du boxeur indique qu’il a commis une faute – ex : coup irrégulier, se tenir, etc…). Le compte sera prononcé par l’Arbitre en anglais. 22 Article 15 – L’ordre “ Break ” 16.6 Dans le cas où un boxeur est blessé par une irrégularité décisive et non intentionelle après la cloche signifiant la fin de la quatrième (4) reprise, il y aura donc une décision technique en faveur du boxeur qui mène aux points, selon le pointage des juges au moment de l'arrêt du combat par l'arbitre. Le pointage de la reprise non terminée, au cours de laquelle le combat a été arrêté, sera fait en incluant dans la décision et en tenant compte de la déduction éventuelle de points. Dans le cas où un boxeur est blessé par une irrégularité non décisive dans les quatre premières reprises et que cette même blessure est aggravée par la suite par des coups réguliers, il y aura la même décision technique. 16.7 Dans le cas où un boxeur est blessé par une irrégularité non décisive dans les quatres premières reprises et que cette même blessure est aggrav ée par la suite par une irrégularité non intentionelle obligeant l'arbitre à arrêter le combat, alors la décision technique sera identique à celle définie dans l'art. 16.6. 15.1 Cet ordre doit être prononcé si : 15.1.1 Les deux boxeurs se tiennent. 15.1.2 L’un des boxeurs tient l’autre et l’empêche de boxer. 15.1.3 Les deux boxeurs se tiennent et ne boxent pas bien. 15.2 Le mot “ Break“ est prononcé : les boxeurs doivent alors se séparer immédiatement et reculer visiblement un pas en arrière. 15.3 On devra éviter la séparation des boxeurs par la force si possible. Art. 16 - Décisions en cas de blessures et/ou irrégularités 16.1 En cas de blessures et, si nécessaire, en cas d'irrégularités, l'arbitre peut demander l'avis du médecin avant de décider l'arrêt du combat. Toutes les décisions sont soumises à la seule appréciation de l'arbitre, lequel est dans tous les cas la seule personne compétente à déterminer l'arrêt du combat. 16.2 Si la blessure, qui oblige l'arbitre à arrêter le combat, a été causée par un coup régulier, alors le boxeur blessé sera déclaré perdant. 16.3 Si la blessure, qui oblige l'arbitre à arrêter le combat, a été causée par une irrégularité intentionelle, alors le boxeur fautif sera disqualifié. Dans le cas où le boxeur blessé est en état de continuer le combat, alors le boxeur fautif recevra un avertissement avec déduction de deux (2) points. 16.4 Dans le cas où un boxeur est blessé par une irrégularité non intentionelle, l'arbitre aura le droit d'avertir son adversaire avec une déduction d'un (1) point. 16.5 Si la blessure, qui oblige l'arbitre à arrêter le combat, a été causée par une irrégularité non intentionelle avant la cloche signifiant la fin de la quatrième (4) reprise, alors le résultat de ce combat sera un match nul technique. 23 16.8 Les coups bas non intentionels n'entraînent pas la disqualification. C'est à l'apprécation de l'arbitre de donner un avertissement, lequel entraîne une déduction d'un (1) point et de laisser le temps au boxeur lésé de reprendre ses forces, mais au maximum cinq (5) minutes. Dans le cas où un boxeur est blessé et que selon l'arbitre il s'agit d'un coup bas intentionel et qu'il ne peut plus continuer le combat, alors le boxeur fautif sera disqualifié. Dans le cas où l'arbitre, après avoir consulté le médecin, est d'avis que le boxeur ayant reçu un coup bas, pourrait continuer le combat et que celui-ci refuse de combattre, alors il perdra le combat par abandon. 16.9 Les événements inattendus Dans le cas où l'arbitre, après avoir consulté le médecin, doit arrêter le combat d'un boxeur qui s'est blessé lui- même ou qui a été bl essé par ses entraîneurs, alors le boxeur perdra le combat par arrêt sur blessure. Dans le cas où l'arbitre, après avoir consulté le médecin, est d'avis, le boxeur blessé pourrait continuer le combat et que celui-ci refuse de combattre, alors il perdra le combat par abandon. 24 Dans le cas où, selon la décision de l'arbitre on ne peut pas continuer le combat pour des raisons qui ne sont pas en rapport avec l'activité sportive dans le ring, par exemple interruption du courant, endommagements du ring, force de la nature ou d'autre événements inattendus, alors le combat sera arrêté et la décision sera la même que celle définie dans l'art. 16.6. Article 17 – Un boxeur est à terre 17.1 Un boxeur est considéré “à-terre” par l’Arbitre: 17.1.1 Quand une partie de son corps, à l’exception de ses pieds, touche le plancher. 17.1.2 Quand une partie de son corps touche les cordes du ring afin de se faire aider ou pour se relever. 17.1.3 Si un boxeur est mis hors su ring, ou tombe accidentellement et n’est plus en possibilité de reprendre le combat dans les 10 secondes comptés par l’Arbitre, il sera déclaré K.O. (compté à la limite). 17.4 Un KO technique sera déclaré par l’arbitre quand un des deux boxeurs est surclassé. 17.5 Au cas où un Boxeur est mis à terre, ou si es l cordes l’empêchent de tomber, l’Arbitre fera toujours un compte de 8 avec l’aide du chronomètreur selon l’article 8.7 même si le boxeur se lève avant la fin du compte. Si l’arbitre juge que le boxeur qui se rèleve de ce compte court un danger pour sa condition physique, il arrêtera le combat sans avoir fini le compte de 8. Dans ce cas la décision sera: “Arrêt de l’arbitre” ou “K.O. Technique”. L’arrêt d’une rencontre de la part de l’Arbitre à la suite de blessure n’est pas un “K.O. Technique”. 17.6 Dans le cas d’un Knock Down l’Arbitre comptera les secondes à haute voix à la vitesse donnée par le chronométreur, et donnera un compte visible avec ses doigts jusqu’à la dixième seconde comprise. La décision “K.O.” est donnée en disant “Ten Out” et le mot “Out” doit suivre immédiatement le mot “Ten”. 17.7 L’Arbitre est également autorisé à arrêter un combat à tout moment. 17.1.4 Si un boxeur est mis en dehors du ring et en dehors des bords extérieurs du ring par un coup régulier il y aura un compt e de 20 secondes pour le boxeur, avant de le déclarer K.O. 18.8 Le Boxeur ou son second peut abandonner un combat qui est devenu trop inégal. 17.2 Dans le cas d’un “knock Down”, l’Arbitre doit commander au boxeur debout d’aller dans le coin neutre et il doit y rester jusqu’à ce que l’Arbitre lui donne l’ordre de recommencer à combattre. Si ce Boxeur quitte le coin neutre avant d’être appelé à boxer, l’arbitre arrêtera le compte jusqu’à ce que le boxeur retourne au coin neutre. A la reprise du compte l’Arbitre recommencera à le seconde même où le compte s’est arrêté. 18.1 Dans le cas d’ un compte simultané la décision sera déclarée “Sans Décision”. 17.3 Si un boxeur abandonne pendant la période de repos entre les deux rounds, il sera déclaré perdant par abandon au round suivant. 25 Article 18 – Double Comptage Article 19 – Coups Réguliers 19.1 Un coup régulier est un coup donné avec le poing fermé et avec la partie phalange du gant. Ce coup devrait frapper le devant ou les côtés de la tête ou le corps au- dessus de la ceinture. (La ceinture est une ligne imaginaire entre la partie supérieure du corps et la partie inférieure en dessous des côtes). 26 Article 20 – Coups Irréguliers Un boxeurs ne doit pas: 20.1.1 20.1.2 20.1.3 20.1.4 20.1.5 20.1.6 20.1.7 20.1.8 20.1.9 20.1.10 20.1.11 20.1.12 20.1.13 20.1.14 20.1.15 20.1.16 20.1.17 20.1.18 Frapper en-dessous de la ceinture. Faire semblant d’avoir été frappé en- dessous de la ceinture. Appuyer sur son adversaire et le pousser vers l’arrière. Pousser la tête de l’adversaire vers l’arrière avec le gant ouvert et frapper avec l’autre. Tenir Se cacher derrière les gants pour éviter de boxer. Frapper l’adversaire à terre pendant qu’il essaie de se relever. Tenir son adversaire ou prolonger un corps-à-corps. Tenir son adversaire d’une main et le frapper de l’autre. Frapper avec l’épule, la tête ou utiliser les genoux. Frapper avec l’intérieur ou la partie basse de la main, le poignet ou le coude. Frapper ou gifler avec gant ouvert. Donner un coup de revers. Presser son adversaire sur les cordes. Donner volontairement un coup bas. Donner un coup pivot (ex: Jeter le bras et le poing en extension tout en pivotant). Insulter son adversaire, lancer des jurons ou parler inconvenablement. Se baisser en- dessous du niveau de la ceinture de l’adversaire. Article 21 – Avertissements – Disqualifications 21.1 Les Boxeurs doivent toujours obéir aux ordres de l’Arbitre. 21.2 L’arbitre pourra faire des remarques aux boxeurs pendant un round sans pour autant indiquer une faute qui mérite un advertissement ou une disqualification. Il est à l’Arbitre décider si donner au Boxer un avertissement ou le disqualifier. 27 21.3 Un boxeur disqualifié quelle qu’en soit la raison, pourra se faire déduire toute, ou une partie, de sa bourse à la discrétion du Superviseur. Dans ce cas le Superviseur a le droit d’encaisser l’argent retenu et le remettra au Secrétaire Général. Après étude des rapports de l’arbitre, du Superviseur et de tout membre présent du Conseil de l’EBU, le Conseil de l’EBU décidera de la répartition de l’argent de la bourse à sa discrétion absolue. Article 22 – Sauvegardes Médicales 22.1 L’utilisation des médicaments et des autres produits interdits par l’EBU, quelle que soit la manière de la prise, est formellement interdite. Le seul stimulant permis est l’eau froide. La liste des substances interdites sera toujours en accord avec la liste des substances interdites par le Comité Internationale Olympique. Le Médecin Chef nommé au combat founira l’adrenaline et, si toute autre produit est utilisé à l’exception de la vaseline blanche, le boxeur sera disqualifié. 22.1.1 Les contrôles anti-doping obligatoires doivent être effectués après le combat sous la direction de l’Association Nationale affiliée. Tout boxeur qui ne se soumet pas à ces contrôles s’exposera aux sanctions citées au Règlement des Championnats EBU et les résultats de tous les contrôles doivent être communiqués à l’EBU dans les 15 jours qui suivent le combat. 22.1.2 Repos obligatoire. Tout boxeur perdant par K.O. provoqué par un coup à la tête ne sera pas autorisé à boxer pendant la période d’un mois et après ce temps il devra subir d’autres examens médicaux. Dans les cas de blessure, les autorités médicales de l’Association du Boxeur décideront une période supplémentaire de repos. 22.1.3 Hémostatique. Le seul hémostatique autorisé est l’adrénaline 1/1000 qui sera fourni obligatoirement par le Médecin Chef nommé au combat. 28 22.1.4 Protège-dents. Il est recommandé que le protègedents (port obligatoire) soit fabriqué par un dentiste qualifié et que les deux boxeurs aient un protègedents de réserve dans leurs coins pendant le combat. Si le protège-dents tombe de la bouche d’un Boxeur pendant un round il sera remplacé au moment décidé par l’Arbitre. Si le Boxeur recrache son protège- dents intentionellement il aura un avertissement par l’Arbitre et s’il refait le même geste il lui sera déduit un point. 22.1.5 Tous les rapports médicaux demandés par l’EBU doivent être remis à l’Association Nationele affiliée, au moins trois jours avant le combat, et ils doivent être vérifiés par le Superviseur. 22.2 Mesures imposées aux Arbitres. 22.2.1 L’Arbitre ne devrait jamais permettre qu’un boxeur soit frappé quand il ne peut pas se défendre. 22.2.2 Les Arbitres devraient subir un examen médical chaque année. L’acuité visuelle requise pour un arbitre est de 24/20 pour chaque oeil sans lunettes. 22.2.3 Les Arbitres doivent adhérer aux recommandations médicales du Comité Médical de l’EBU. 22.3 Retrait de la licence. Si le Médecin Officiel, ou les Officiels responsables retiennent qu’un boxeur laisse apparaître des signes de commotion cérébrale, la licence de ce boxeur sera retirée, même si l’examen médical ne met pas en évidence un traumatisme cérébral. 22.4 L’acuité visuelle ne doit pas être inférieure à 5/10ème pour un oeil et 1/10ème pour l’autre oeil avec un champ visuel normal et il ne doit pas être myope à plus de 4 dioptries. Article 23 – Réclamations 23.1 Toute réclamation d’un boxeur concernant un combat doit être présentée au Secrétaire Général dans les 7 jours qui suivent le combat. 29