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Im B r int chaud Po Journal-club pour le praticien Journal-Klub für den Praktiker npunkt en Une sélection du journal-club pour le praticien de la Clinique de Genève / J.-H. Saurat Eine Auswahl des Journal-Klubs für den Praktiker der Genfer Klinik / J.-H. Saurat über neue Modelle und damit neue Therapiemöglichkeiten. Und auf solche hoffen natürlich Ärzte und insbesondere auch betroffene Eltern. Malassezia: des espèces sont pro-inflammatoires, d’autres non! [J Invest Dermatol 2001;116:769] Sind Hämangiome beim Säugling als Metastasen der Plazenta zu verstehen? [Arch Dermatol 2001;137:559] [Arch Dermatol 2001;137:559] Les concepts sur la pathogénie des hémangiomes du nourrisson sont en pleine mutation. Ces dernières années, on a insisté sur le contrôle de cette prolifération vasculaire par des facteurs angiogéniques et son blocage par les stéroïdes et l’interféron ␣. Mais quelle est l’origine de ces cellules? Tout commence par l’observation d’une augmentation de l’incidence des hémangiomes après une grossesse lors de laquelle un prélèvement de villosités choriales a été pratiqué. On soupçonne que la manoeuvre a permis la migration hématogène de cellules choriales. Ceci incite à rechercher dans les hémangiomes l’expression de marqueurs immunohistochimiques placentaires. Dans ce travail, 4 marqueurs des microvaisseaux du placenta sont retrouvés dans 66 hémangiomes, quel que soit leur stade. Il s’agit de marqueurs spécifiques absents dans d’autres proliférations et/ou malformations vasculaires. Les auteurs proposent deux hypothèses pour expliquer cette similitude hémangiomes/placenta: la première est la colonisation du derme par des angioblastes qui se différencient de façon aberrante en microvaisseaux placentaires; la seconde est plus simplement l’embolisation du derme par des cellules placentaires. Dans les deux cas, il y a une analogie fonctionnelle et temporelle entre la vascularisation placentaire et les hémangiomes. Ceci ouvre la voie d’études sur de nouveaux modèles et donc de nouvelles thérapeutiques. En attendant, ceci permettra au clinicien d’alimenter son discours pour rassurer (?) les parents. Die Kenntnisse in Bezug auf die Entstehung von Hämangiomen beim Säugling sind stark im Wandel begriffen. In den letzten Jahren war man der Überzeugung, dass diese Wucherung von Blutgefässen durch angiogenetische Faktoren bestimmt wird und mit Steroiden und ␣-Interferon gehemmt werden kann. Wo aber kommen diese Zellen her? Es wurde beobachtet, dass nach Schwangerschaften, bei denen eine Chorionzottenbiopsie durchgeführt worden war, die Inzidenz von Hämangiomen erhöht war. Die Vermutung liegt nahe, dass sich bei diesem Eingriff Zellen des Chorionepithels über die Blutbahn verbreiten können. Dies hat eine Gruppe von Forschern veranlasst, Hämangiome auf die Expression von immunhistochemischen Markern der Plazenta hin zu untersuchen. In dieser Forschungsarbeit wurden bei 66 Hämangiomen in unterschiedlichen Stadien 4 Marker von Kapillargefässen der Plazenta festgestellt. Es handelt sich dabei um spezifische Marker, die bei anderen Wucherungen und/oder Fehlbildungen der Gefässe nicht vorkommen. Die Autoren stellen für die Erklärung dieses Zusammenhangs zwischen Hämangiom und Plazenta zwei Hypothesen auf: Die eine geht von einer Kolonisation der Dermis durch Angioblasten aus, die sich zu anomalen Kapillargefässen der Plazenta differenzieren, die andere von der Bildung von Blutgerinnseln in der Haut duch Zellen der Plazenta. In beiden Fällen ist sowohl die funktionelle als auch die zeitliche Übereinstimmung zwischen der Durchblutung der Plazenta und der Bildung von Hämangiomen gegeben. Diese Erkenntnis ebnet den Weg für weitere Studien Avec les compliments des éditions S. Karger, Bâle Mit den besten Empfehlungen des Verlags S. Karger, Basel Malassezia spp.: Gewisse Spezies sind entzündungserregend, andere nicht! [J Invest Dermatol 2001;116:769] Man unterscheidet heute 7 Malassezia-Spezies, deren Pathogenität derzeit mit mindestens den folgenden zwei Methoden untersucht wird: Die erste Methode umfasst die Probenentnahme von gesunder und pathologischer Haut, die Kultur der Keime und anschliessend eine morphologische und physiologische Analyse der Kolonien. Damit können Daten gewonnen werden, die miteinander korrelieren; so kann zum Beispiel festgestellt werden, welche Spezies Pityriasis versicolor verursacht (d.h. M. glo7 Downloaded by: 78.47.27.170 - 2/7/2017 10:08:26 PM Les hémangiomes du nourrisson sont-ils des métastases placentaires? On décrit actuellement 7 espèces de Malassezia. Le rôle pathogène de chacune est analysé par au moins deux approches. 1) Par le prélèvement sur peau normale et pathologique, puis culture et identification morphologique et physiologique des colonies, on recueille des données corrélatives, par exemple: quelle est l’espèce associée au pityriasis versicolor? (C’est M. globosa; voir Journalclub de Dermatologica Helvetica 8/2000.) 2) L’autre approche est d’analyser l’effet pathogène potentiel de chaque espèce par des tests in vitro ou in vivo. Dans l’étude japonaise publiée dans le Journal of Investigative Dermatology, les auteurs ont mesuré les cytokines pro-inflammatoires (IL-1, IL-6, IL-8, TNF-␣, MCP-1) libérées par des kératinocytes cultivés en présence de 4 espèces (M. furfur, M. pachydermatis, M. sympodialis et M. sloofiae). M. furfur était le seul des 4 à ne pas induire la libération de cytokines. Pour les autres, une libération variable était observée, le M. pachydermatis étant le plus inducteur. Il est probable que ces recherches vont finalement fournir une base physiopathologique convenable à la dermatite séborrhéique. Journal-club pour le praticien Journal-Klub für den Praktiker Le Staphylococcus aureus préfère l’ambiance Th2: la cause de la colonisation dans la dermatite atopique? [J Invest Dermatol 2001;116:658] Le Staphylococcus aureus colonise 90% des lésions de dermatite atopique (DA). Les mécanismes de cette colonisation, connue depuis des décennies, sont restés mal compris: on a impliqué une meilleure adhésion aux cornéocytes. Mais quelle est la cause de l’affinité de S. aureus pour les cornéocytes de la DA? Dans cette étude, l’équipe de Donald Leung démontre, chez la souris, que l’environnement inflammatoire qui résulte d’une réponse immunitaire de type Th2 (celui de la DA) favorise la colonisation par S. aureus, alors que l’environnement inflammatoire qui résulte d’une réponse immunitaire de type Th1 (celui de la dermite allergique de contact ou du psoriasis) ne favorise pas la colonisation par S. aureus. Ainsi, plus que les antibiotiques locaux, c’est le contrôle durable de l’inflammation Th2 qui est le vrai traitement de la colonisation par S. aureus ... ce que l’on commence à confirmer par l’utilisation prolongée des immunosuppresseurs topiques comme le FK-506. 8 Staphylococcus aureus bevorzugt die Th2-Umgebung: Ist das der Grund für die Keimbesiedlung bei Neurodermitis? cette diminution d’un risque dont ils n’avaient pas imaginé l’existence; maintenant ils vont peut-être poser la question... [J Invest Dermatol 2001;116:658] Bei Neurodermitis sind 90% der Läsionen mit Staphylococcus aureus besiedelt. Diese Tatsache ist zwar schon seit Jahrzehnten bekannt, die ihr zu Grunde liegenden Mechanismen hat man aber nie ganz verstanden: Es wurde stets eine bessere Adhäsion an die Korneozyten vermutet. Was aber ist der Grund für diese Affinität von S. aureus für die Korneozyten bei Neurodermitis? In dieser Studie haben die Forscher um Donald Leung gezeigt, dass bei der Maus eine Entzündung als Immunantwort vom Typ Th2 (wie bei der Neurodermitis) die Besiedlung durch S. aureus begünstigt, wohingegen eine Entzündung alsImmunantwort vom Typ Th1 (zum Beispiel beim allergischen Kontaktekzem oder bei Psoriasis) eine solche Besiedlung nicht begünstigt. Dies entspricht der Beobachtung, dass eine Entzündung vom Typ Th2 und damit eine Infektion durch S. aureus mit lokal angewandten Antibiotika wirksam behandelt werden kann. Man ist nun dabei, dies durch die topische Langzeitanwendung von Immunsuppressiva wie FK-506 zu bestätigen. Moins de risque de diabète insulinodépendant chez les atopiques [Lancet 2001;357:1749] Les méthodes de la recherche clinique qui alimentent la médecine factuelle («evidence-based medicine») autorisent toutes les questions et fournissent toutes les réponses, même à des problèmes dont la pertinence en pratique quotidienne semble douteuse. En voici un exemple, publié dans un journal que l’on dit «prestigieux». La question: comme le diabète insulinodépendant (DID) est une maladie impliquant une réponse immunitaire Th1, alors que la dermatite atopique (DA) implique une réponse Th2, les deux maladies devraient s’exclure. La réponse: l’incidence cumulative de la DA jusqu’à l’âge de 15 ans est de 13% chez les enfants atteints de DID, et de 20% chez les non diabétiques. L’intérêt pratique: on peut douter que les parents d’enfants atopiques soient soulagés d’apprendre Geringeres Risiko für die Entwicklung von Typ-1-Diabetes bei Patienten mit atopischer Neurodermitis [Lancet 2001;357:1749] Die Methoden in der klinischen Forschung, die ganz auf die beleggestützte Medizin («evidence-based medicine») ausgerichtet sind, erlauben jede Frage und liefern alle Antworten, selbst bei Problemstellungen, deren Relevanz und praktischer Nutzen fragwürdig scheinen. Hier ein Beispiel, das in einer bislang als renommiert geltenden Fachzeitschrift publiziert worden ist. Frage: Da Typ-1Diabetes mit einer Immunantwort vom Typ Th1 verbunden ist, Neurodermitis jedoch eine Immunantwort vom Typ Th2 auslöst, kann ein gleichzeitiges Auftreten dieser beiden Krankheiten ausgeschlossen werden? Antwort: Die kumulative Inzidenz von Neurodermitis bei Kindern bis 15 Jahre beträgt 13% bei Patienten mit Typ-1-Diabetes und 20% bei Nichtdiabetikern. Der praktische Nutzen: Es ist fraglich, ob Eltern von Kindern mit Neurodermitis erleichtert sind, von diesem verminderten Risiko zu erfahren, von dem sie nicht einmal wussten, dass es besteht. Vielleicht beginnen sie ja überhaupt erst jetzt, sich darüber Gedanken zu machen… Le Wall Street Journal s’intéresse au psoriasis: une bataille de «biotech» et une révolution conceptuelle [Lancet 2001;357:1842] [N Engl J Med 2001;45:2489] Une révolution se prépare dans la conception que nous avons du traitement du psoriasis. Elle provient des firmes de biotechnologie qui commercialisent (ou vont le faire) des produits qui, dans l’ensemble, bloquent un élément de la réponse immunitaire. Tous ces produits ont été présentés au congrès sur le psoriasis à San Francisco en juin 2001, dans un contexte autant scientifique «qu’entrepreneurial» ... en ligne directe avec Wall Street. Quels sont ces produits, Avec les compliments des éditions S. Karger, Bâle Mit den besten Empfehlungen des Verlags S. Karger, Basel Downloaded by: 78.47.27.170 - 2/7/2017 10:08:26 PM bosa, siehe Journal-Klub in «Dermatologica Helvetica» 8/2000). Bei der zweiten Methode wird das pathogene Potenzial jeder Spezies mittels In-vitro- oder In-vivo-Tests untersucht. In einer im «Journal of Investigative Dermatology» publizierten japanischen Studie haben die Autoren die proinflammatorischen Zytokine (IL-1, IL-6, IL-8, TNF-␣, MCP1) gemessen, die durch Keratinozyten freigesetzt wurden, welche ihrerseits in Anwesenheit von 4 Spezies (M. furfur, M. pachydermatis, M. sympodialis und M. sloofiae) gezüchtet worden waren. M. furfur war die einzige Spezies, die keine Freisetzung von Zytokinen auslöste. Bei den anderen wurden unterschiedlich viele Zytokine freigesetzt, wobei M. pachydermatis die stärkste Wirkung zeigte. Es ist anzunehmen, dass die Erkenntnisse aus dieser Arbeit endlich eine angemessene pathophysiologische Wissensgrundlage zur seborrhoischen Dermatitis liefern. Journal-club pour le praticien Journal-Klub für den Praktiker Was Wall Street mit Psoriasis am Hut hat oder: Biotechfirmen wetteifern – und revolutionieren damit die Behandlung der Psoriasis [Lancet 2001;357:1842] [N Engl J Med 2001;45:2489] Es steht eine Revolution in der Behandlung der Psoriasis bevor: Und zwar geht sie von den Biotechfirmen aus, die Präparate vertreiben (oder künftig vertreiben werden), mit denen ein Element in der Immunantwort gehemmt werden kann. Diese Präparate wurden alle im Juni 2001 in San Francisco am PsoriasisKongress vorgestellt, wobei neben dem wissenschaftlichen vor allem auch das Interesse der Wirtschaft sehr gross war (wie die direkte Linie zur Wall Street zeigt…). Worum handelt es sich bei diesen Produkten, und was verspricht man sich von ihnen für die Behandlung der Psoriasis? Die am weitesten entwickelten Präparate wurden kürzlich in zwei Publikationen diskutiert: Infliximab (Remicade®, Centocor) ist ein hybrider monoklonaler Anti-TNF-␣-Antikörper, der für die Behandlung der CrohnKrankheit und der chronischen Polyarthritis zugelassen ist. Die im «Lancet» veröffentlichte Studie zeigte bei rund 82% der Patienten eine Verbesserung des PASI um mehr als 75%. Infliximab ist das am weitesten entwickelte Präparat, denn es erzielt, wie die Studie belegt, bereits in einer Dosierung von 5 mg/kg an den Tagen 0, 15 und 45 auch in der Behandlung der schweren Psoriasis gute Resultate. Alefacept (Amevive®, Biogen) ist ein rekombinantes Protein (LFA3IgG1), das die Bindung von LFA3 an den CD2-Lymphozytenrezeptor hemmt und damit die Aktivierung von T-Lymphozyten beeinträchtigt. In den PsoriasisLäsionen sind viele T-Gedächtniszellen zu beobachten, die CD2 überexprimieren. Der LFA3-Teil von Alefacept bindet an diese Zellen, während der IgG1-Teil an CD16 bindet, den Rezeptor für das Fragment Fc␥ der natürlichen Killerzellen. Dadurch sterben die T-Gedächtniszellen ab und das Immunsystem wird gezielt unterdrückt. Die im «New England Journal of Medicine» veröffentlichte Multizenterstudie schloss 229 Patienten ein. Das unmittelbare Ergebnis der Studie ist nicht spektakulär, allerdings konnte bei den Patienten, die auf die Avec les compliments des éditions S. Karger, Bâle Mit den besten Empfehlungen des Verlags S. Karger, Basel Therapie ansprachen, eine Langzeitremission erreicht werden, die eine behandlungsfreie Zeit von bis zu einem Jahr erlaubte. «Es gibt kein anderes Medikament, mit dem eine Remission erzielt wird, die so lange andauert», betont G. Krueger, einer der Autoren dieser Arbeit. Viele andere Wirkstoffe befinden sich derzeit in der «Pipeline» – warten wir gespannt auf die Publikation erster Studienergebnisse. Und das Revolutionäre an der ganzen Sache: Mit den neuen Produkten wird nicht nur eine mehr oder weniger komplette, sondern vor allem eine dauerhafte Remission angestrebt. Man spricht von «long-term management», da durch die gezielte Unterdrückung der Immunzellen in den Läsionen eine viel spezifischere und damit auch länger anhaltende Wirkung erreicht wird als mit Cyclosporin oder Methotrexat. Es ist also nicht abwegig anzunehmen, dass bis in ein paar Jahren die Behandlung von Psoriasis aus einer monatlichen oder dreimonatlichen Injektion eines oder mehrerer dieser Präparate bestehen wird. Die unerwünschten Wirkungen dieser Immunsuppression bleiben noch zu untersuchen, die aktuellen Daten sind jedoch durchaus ermutigend. 11 Downloaded by: 78.47.27.170 - 2/7/2017 10:08:26 PM et est-ce une révolution conceptuelle? Les produits les plus avancés ont fait l’objet de deux publications récentes. L’infliximab (Remicade®, Centocor) est un anticorps monoclonal chimérique anti TNF-␣ commercialisé pour le traitement de la maladie de Crohn et de la polyarthrite rhumatoïde; dans l’étude publiée dans le Lancet, l’amélioration de plus de 75% du PASI était obtenue chez 82% des patients. C’est le plus avancé des produits puisqu’on peut déjà le prescrire dans des psoriasis graves à la dose de 5 mg/kg/semaine aux jours 0, 15 et 45 selon l’étude citée. L’alefacept (Amevive®, Biogen) est une protéine recombinante (LFA3-IgG1) qui bloque la liaison de LFA3 sur le récepteur lymphocytaire CD2; ceci interfère avec l’activation des lymphocytes T. Dans les lésions de psoriasis, il y a une grande quantité de lymphocytes T mémoire qui surexpriment CD2. La portion LFA3 de l’alefacept se lie à ces lymphocytes, alors que la portion IgG1 se lie au CD16, le récepteur de fragments Fc␥ des lymphocytes «natural killers», d’où apoptose des lymphocytes T mémoire, soit un effet immunosuppresseur «ciblé». L’étude rapportée dans le New England Journal of Medicine est multicentrique; chez 229 patients l’effet immédiat n’est pas spectaculaire, mais chez les patients qui répondent, une rémission prolongée sans traitement de près d’un an est obtenue; «nous n’avons pas de médicament qui produise une rémission si prolongée», dit G. Krueger, l’un des auteurs du travail. De nombreux autres produits sont dans le «pipeline», mais il convient d’attendre les premières publications détaillées des résultats. La révolution annoncée: avec les nouveaux produits, on cherche non seulement à induire une rémission (plus ou moins complète), mais surtout à la maintenir longtemps. On parle de «long-term management», car en exerçant un effet suppresseur ciblé sur les cellules qui entretiennent les lésions, on exerce un effet plus spécifique, donc plus durable qu’avec la cyclosporine ou le méthotrexate. On peut ainsi prédire que dans quelques années, la stratégie de traitement du psoriasis comportera l’injection mensuelle ou trimestrielle de l’un ou plusieurs de ces produits. Il reste à analyser les effets secondaires de cette immunosuppression, mais les données actuelles sont plutôt encourageantes.