L`UNION AGRICOLE DU FINISTERE DU SAMEDI 01 AU SAMEDI

Transcription

L`UNION AGRICOLE DU FINISTERE DU SAMEDI 01 AU SAMEDI
i 1?. M a i * l f m
ET MARITIME
Organe Républicain Démocratique et Régionaliste de l'Ouest
P a r m l B a M & t
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AnaonoM
«^MoUunH
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sort reçue» au bureau iu
tournai et, A Parie, dam toutes le» Agence»,
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'DlraoUur t Léon L K
S J L S O D I D Z
Commerçants & Industriels
Le Socialisme & la Propriété
Rosée d'Argent
(Populaire
du 20/6/1923)
Donc, selon le député socialiste, la petite
propriété ne sera pas supprimée ; mais fatalement, un )our ou l'autre, les résulta s obtenus dans les exploitations socialisées amène
raient les petits propriétaires à joindre leurs
efforts et leurs biens aux efforts 4e la collectivité.
Ceci est écrit en mal 1913. Mais nous nous
permettons de douter do la sincérité le l'écrivain socialiste. Eh ^ffet pourquoi che o'if «.-il à
amadouer ainsi le petit propriétaire ? Tout
Simplement parae que sans lui, la révolution
t ' e s t pas possible. Et le même citoyen Corn>p4PB4tf«rel nous le disait dans 1 Humanité du
t b octobre 1920.
« L*h socialistes des villes pourraient par tin
•oap de Main, devenir les maîtres de leur cité,
pwèéder les bétels de ville, les préfectures,
las ministères, v o i r e m ê m e t ' E i y s é n
; avoir
en
nité
du 9 juin
1920).
Voici dono nos socialistes invités à se transmains la polioe et l'armée, leur triomphe feeioimer en aorouatea. De l'adresse, de l'adresse,
rslt de eeurte durée si les masses rurales léur
toujours de l'adresie...
'étalenthostiles... •
Désormais, nons sommes fixés. Il sera bien
Il estdono bien évident que si Compère-Moalffloile à no» socialistes, en dehors des injurel se fait le défenseur momentané de la petite
propriété paysanne, ce n'est qne pour les be- re» dont ils se servent oontre nos amis et noua
d'éluder la question. Ce qu'ils veulent, c'est la
soins la oause, par calcul électoral, et pour
suppression pure et Bimple de la propriété,
tnieux assurer le triomphe de la révolution.
mai» la crainte de l'eieoieur étant pour eux
• t pour qu'il ne reste auoun doute sur les
le oommenoemem de la sagesse, ils n'osent
ntenUdns des socialistes, nons allons mettre
pas avouer ouvertement leurs intentions.
sous les yeux de nos lecteurs de longs extraits
d'un article paru dans l'Humanité du 11 avril
Nos cultivateurs, aveo juste raison ont le
1980 sous la signature d'un des membres les
droit de se méfier.
plus in&uentfl du parti Boclaliste, le citoyen
Olivier BERTIIOCJ
Itaoul Verfeull :
a Oui, Compdre-Morel a raison : le socialisme, pour triompher, doit avoir l'appui ou
tout au moins la neutralité bienveillante de la
paysannerie... Cette neutralité bienveillante,
« u même simplement Indifférente, n'existe
p u à l'heure actuelle. Les habitants des campagnes, dans leur ensemblo, nous sont hostiEun abardaex a viz cost, du-hont, war ribl ar mor,
les, il serait puéril de le nier... Le m o j d e
MI «un ti plouz, nur barz yaounnk a s k r i v a . . .
paysan appréhende notre a>rive« au p avoir
A r pcoc'li a rena dre hull. Au hrol oa laoueu.
Les paysans redoutent l'avènement du octaA n auat ou disviar. Ar vugulu ha, an c o n c i u gann.
lisme, parée qu'ils n'Imagineut qu<- >
-oru
Itsme au pouvoir conl-querait toui biou Uu j Kalon ar bai a oa c u r u « . . ha konlakoud« o vignunod
tmivernement révolutionnaire qni ferait oela
i grada m e e'balen seac'k-korn. K vuzellou
l i r a i t aussi w t bUayé.
a j d a « mu» d i n * keantyi ar marc'kad)
j tMMwlm«,
VwrwUtion
par " I f ( W « 4 ft « W o r t » , o I f « m A w & t . . .
Pag©
Bretonne
GlLi-Arc'hant
,
On ftbon«m «n
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4» «JtafM mais.
frNTMM
I0*UM*M, M M /vati
T t U t P H O N B , N* •
Admit TéUrrttkivu i Union, Quimperlé
Nation des moyens de production et d échange
Hen iwe doa evet dour eus feunteun burzudus
varml lesquels se trouve la terre.
a entan an eneou a garantez-bro. Buhez ar
« Il y a intérêt d'autre part, k ce que le sol barz n'eo ket atao buhez frank, Peuraliesa e
soit cultivé collectivement et à ce que dispabUnedan a r e i krisoe'h eget bini an diweza trouraisse, dans la mesuro du possible, le mor[c'her brag
cellement actuel. Je sais tout cela, mais Je dis
qu'il faut teair compte, pour le salut de la Lavaret a rean oa o skrlva... pa erruas an e dî
eur plac'hig.. En • vugaleaj doa diskouezet eur
Révolution elle-même, de certains états de
Wella<*n evit Gliz-Arc'h.int. Hogen an c'heriou hag
APPEL DE LA FÉDÉRATION «hoses, de certains états d'esprit.
« La Révolution est sûre de durer et de ar brezel doa Iakaet ennan an digoun diouti.
DE8 GROUPEMENTS INDUS- réussir...
si elle sait désarmer et prévenir
r ar meax, gant hi zad, e talc'he eun tiegez.
TRIELS A COMMERCIAUX DU les dellances et les haines... Cest à cette be- NWea fell
ket d'in ledanaat e C'hlac'har en eur venll
sogne
qu'il
nous
faut,
dès
à présent, nous
FINI8TÈRE.
evel ma ve dleet Gliz-Arc'hant. Eur berlezen oa.
employer. Je ne crois pas, quant à moi, èi
Setu aze krak ha berr mennoz an holl.
l'hostilité permanente du paysan si nous sale ménager. Laissons-lui la terre qu'il
— O tremen meus da wellet aze hag oun deuet
Nous avoDS, les premiers, accepté vons
travaille et nous gagnerons sa raison, & défaut
en ti d'aa gourc'hemenni evit da gountaden
le sacrifice des deux décimes. Sup- de son cœur.
peua skrivet er gazeten !... Da drugarekat ran,
e Opportunisme 1 objectera-t-on peut être
mignonez, a greiz va c'halon. Paonaz eur pennadik !
portons ce sacrifice dignement.
Cet opportunisme a été pratiqué en Russie. Il
Si vous payez 1.000 francs d'im
Goude int a gomzas eus a vil dra : ar vro, an
n'est autre chose que du réalisme.
dud, o bloaveziou kenta... ha tam ha tam sonnen
• On ne passera pas du régime «apitaliste
pôts, vous en payerez 1.200. Gela
ar garantes a dregernas kement en o c'halonou
régime socialiste sans que soient prises des
ne veut pas dire que vous soyez au
ma tauzas, d'an disparti, ar re man ar eil on egile.
mesures de transition que l'orthodoxie conobligés d'appliquer la même règle damne peut-être, mais que la nécessité comKarantez peleacTi eraaout?. . Aman, kuzet •
d'arithmétique à votre chiffre d'af- mandera ».
j kalonou an dud yaouank!... Ne gredan ken tenna
ménager le paysan, être opportuniste
faires et, si vous faites 30.000 francs neSavoir
; va alan rak tad ar plac hig ne fell kot d'ezan
pas pa»ler d'un socialisme qui comporte
d'affaires, de porter ce chiffre a l'appropriation de la terre par la Nation. Evi- e timeztent. Goulen a ra eul labourer d o u a r . . .
36.000 pour payer vos 200 francs. demment, c'est la doctrine pooiaiiste, l'ortho- — Petra deus eilgeriet ar b a r z ? Gant, tad Glizdoxie condamne ee« demi-mesures. Mai« le
[Arc'hant
Du calme et de la tenue.
salut de la révolution exige imperie sement •'man ar lurnez. Ra vezo evurus va muia karet
Nous sommes en France, et DOUS le saorlflce momentané de la doctrine et de« gant eur c'houer, ha me. micherour reuzeudik,
id- es xooidMstes.
barz-baleer, a vezo evurus ive, tost d'ezi dre ma
sommes des Français.
R. Verfeuil oes'ar ê e pas en ¡-i beau chemin:
[c halon.
«es co illdenoes sont â enregi-tr«r. Voiai qu'il
— Hag hi ? - N e lav r netra ! Onela 'ra hepken I
revie t a la charg« dans ¡'Humanité du 28 iuia
Avat an A w e n ' zo foug enni. Lavaret a rea
19^0 :
dear'h d'ar burz : « Houg da c'hloax evit sallet
Le» bo chevik* ent triomphé rarce qu'ils
Dious Bri-iz hualet gant ar Fall«ntez hag an
oui tu, très habilement, en bons opp -rtuntstes
qu'ils sont qu nd o'est nécessaire, gAgDer a
[Trubarderez I
• Mal* pour amener lea p a y s « » ! à aes
« opl nieas, et à aotr* parti, il a c eux les paysans. C'est ce qu'il faut faire en
Taan C A R O F F
Frauce... Atais pour amener les paysans A nos
• faut pan tenr perler ceterae c e peut
TH \I>U» TION
« partor aux o o v i e r s de Grenelle ou
opinions et d notre parti, il ne faut pas leur
« 4e Ménilmentant. •
parler comme on peut parler aux ouvriers de
Raeal V E R F E U I L
Grenelle ou de Menilmontant. I y a de» choses
f B v m t t l i M 4 a eS « a i M i * ) .
à leur due, la première est oeile-oi : le sociaUn matin du mois d'août, là-bas, sur le
cia.ibme au pouvoir respectera la petite proDans notre p i r a t e r article * u r t
tocialls
bord de la mer. En une chaumière un jeune
priété... Ce n'est pas tant que oela contraire à
», n->u* avons donne de
tei et la propriété
barde l'crluait. La paix réf/nail partout Le
ta doctrine...
textes que i'auouni non"'Mini'c-ol"« un p u
soleil était joyiux
L'août tans ¿gai. Les
« Le socialisme ne ne prepo-c pas de dé- enfants et les oiseaux chantaient.
périmés Le< citations qu* nou. avions n..i
pouiller les travailleurs du léger bien que
pruntéel avaient au moin« le :n<-rlt" 'l'être
Le cœur du barde ¿tait heureux... 't pourquoique» uns peuvent avoir, mais au contraire
claires et nettes, ne laissant auoua dont* ;ur
tout net amis croyaient que son cœur ¿tait
de ieur donner le large bien-être qui le.nr
ee que r é s e r v â t à no< cultivateur*, les révoglac¿ Ses livres restaient muettes devant la
manque. Je pais bien qu'on aboutira A , e rélutionnaires, si on Jour ils devenaient les maîbeauté des femmes. Son esprit était plut haut,
sultai que par la col eotivisatlon de .a protres du pouvoir.
dans la Cour de l'Awen (la Muse).
priété cessant d'être caplta.lste pour devenir
•Mais voilà, la doctrine socialiste gône énorentln sociale. Mais cet:e transformation ne se
mément nos révolutionnaires pour amener la
Lui aussi ai ait bu l'eau merveilleuse qui
fera pas en un jour, et elle serait compromise
elasse paysanne à leurs Idées. Aussi tentent-Ils
enflamme les âmes de l'amour du pays. La
et
peut-être
même
empêchée
ai
nous
ne
mépar de nouvelles formu'es do masquer le fond
vie du barde n'est pas toujours une vie heunagions pas certains intérêts momentanément
de leur pensée. Au oours de cet article, nous
reuse.
Plus souvent son destin est plus amer
légitimes et certaines situations. Le salut de la
•errons nos sooia istes aux prises entre eux,
que celui du dernier laboureur.
Révolution est à oe prix
l'essayant à se mettre d'acconl sur ane forMénager momentanément certains Intérêts
Je disais qu'il
¿crlvait...
quand arriva
mule mitigée, acceptable pour les aiversairas
et eertainei» situations : voilà la doctrine sodans sa maison, une jeune fille. En son ent o m m e pour les partisan» de la propriété.
cialiste.
fance, il avait une préférence pour
GlizM. Compère-Morel définit ainsi la doctrine
Arc'hant. Cependant les villes et la guerre
El pourtant, ne voyons-nous pas nos socia•oelallste :
avaient mis en lui l'oubli d'elle.
listes ilnistériens bondir, lorsqu'à travers le
e Droit de propriété pour les petits exploidépartement, nous aill mons que ces Messieurs
tants maintenus en possession de leurs lopins
A la campagne, avec son pire, elle habitait
tieununt deux langages : l'un pour les villes
de terre, comme en Russie, en attendant qu'ils
une maison. Je ne veux pas élargir son
où UOB purs révolutionnaires flattent les haiviennent d'eux-mêmes, librement, sans conangoisse en vantant Qlii Arc hant comme il
nes, ies appétits et les ambitions ; l'autre pour
trainte, attirés par l'txoraple, sous l'inl iunce
serait
dù. C'était une perle. JoiLà sans détour
le» campagnes, ea omottant de parler de la
des résultats obtenus dans leurs exploitations
l'opinion de tous.
révolution et «n faisant miroiter aux cultivasocialisées, joindre leurs biens et leur* efforts
teurs la douoeur d'une existence par la possession de leurs petites fermes.
Ajoutons toutefois que le siuoère, mais brutal langage du citoyen Verfeuil fit scandale
dans les milieux sooia.istes eux-mêmes.
Comment, uu militant Boolallste, et non des
moindres so permettait d'écrire ce que tout
bon socialiste pense et pratique î C'était abominable. Ou n'avait pas idée d'un pareil gaffeur.
Pour aUénuer uu peu l'effet déplorable de
se* cyuiquof conseils, Verfeuil, en termos plus
adouci?, nous donne sous une forme dlll'erente un même raisonnement.
Ei cette « forme » la voioi i
e Ii faut nous garder de leur parler (aux
pay ans) un langage excessif ou qui leur parait tel. On peut présenter un même raisonnement, sous des formes différentes. Ce n'est
pae de la loyauté, o'est de l'adresse ». (Huma-
Itou ils P*ru*t 4h V m
OiHAOriOH, IDMHltTHATIQ*
* 4M/KM CM»
A QUIMPERLK, Plaae Nervo, a* • M *
I l t w é r t cintiMtun Supplément
aux biens et aux efforts de la collectivité. •
Ut «frMMMMRM M P*Un) Ammic, Mnf NUMI]
VERRE
On jmm f « i n w r
AHM M M IM (HTMIM j w h
m »«ora «N OriuMi «N nandcU-fxuU m iX^MTECR,
M. Léon L I S E R R E
f J m f i r N
« «MIWHTU.
toute 1 étendue du domaine bretonnant, sont
peu à peu devenus dialectaux ou sous-dlalectaux, connus seulement les uns dans telle localité, les autres dans telle autre localité, et
Inconnus surtout ailleurs. Tels sont par exemple kozgor a serviteurs » (autrefois « clan o,
u famille » ) mil « bête » maintenant uniquement dans l'usag» à Sarzeau (Morbihan),
braouao'h a terreur > et koaro'h « chanvre »
resté en vannetais, heure « matin • aotenn
or rasoir », «ter « sens, signification » , eerz
« escarpé » en trécorois, kos (1) « taureau »
ator a terre que l'on travaille la seconde année »
et aroun a bruit, tapage » à Ouesant et à
Molène, melz « intelligence » en Cornouaille,
etc. Des centaines de mots exoellents, purement bretons et celtiques, sont dans ce cas.
Parfois, après être devenus dialectaux et
sous dialectaux, les mots celto-bretons sont
sortis de l'usage. Tel • été la sort, par exemple, de goanag a espérance
enep « face, visage » owerln « plèbe • et de bien d'autres que
l'on retrouve dans le» textes moyen-bretons.
Souvent ils ont été remplacés par des termes
français : goanag pa. esperane, enep par
bizaah, fas.
Eutln un certain nombre de mots sortis de
l'usage et que l'on ne retrouve pas dans les
textes moyen-bretons sont conservés dans les
nom? des lieux. Tels sont, par exemple, ledenez « presquîie » , psnn-tlr « cap » buorx
< enclos pour les bêles à cornes » , gotrlva,
o'hoariv,* « théâtre », koum, kom (2) (masc.)
a vaitoii
Cet emic-ttement actuel des ressoarces du
bietou, émiettemeut qui frappe précisément
lu partie la meilleure da son vocabulaire, caile
qui ul vieui du celtique, est une seoonde
oauee de faiblesse vis-à-vis du français. C'est
uu appauvrissement qui facilite (qui justifie
même aux yeux des Ignorants) l'Intrusion
dt-s termes étrangers. La langue littéraire
commune do.t réoupérer tous eee mots. C'est
pai des aé las cie textes modèles sur des sujets
intéressants destinés aux enfants des écoies,
où cas mots reliés eutre eux par le solide
clmeùt de la syntaxe seront commentés et expliqués eu note, que l'oa refera peu à peu de
toute cette poussière nne langue véritable,
riche, unie, cohéreute et forte, en un mot ca
que le breton serait resté s'il n'avait pas été
pendant dix siècles complètement abandonné
par las olasses dirigeantes, par l'élite Intellectuelle de U Bretagne.
Refaire
u n eélite
intellectuelle
b r e t o n n a n t e . — Tout le monde est d'accord sur la nécessité et l'urgence d'enseigner
le breton dans las écoles. Mais cela ne suffit
pas. Maintenant plus que jamais en Europe
une laDgue ne peut se maintenir et prospérer
que si sa conservation, son développement et
sa culture sont assurés par une élite. C'est
l'existence d'une élite qui fait la force et
l'unité du gailois, du polonais, du tchécoslovaque, du catalan. Une langue qui n est pas
parlée par u.;e élite est sans aucun prestige (3)
aux yeux du peuple qui la parole et son exis,
tence, fut-elle enseignée dans les écoles, restera préoalre.
O;, pour te moment, 11 n'y a pas d'élite intellectuelle bretounante. La presque totalité
des bietounants cultivés le sont uniquement
au point oe vuo français et langue frangalee.
— En passant par là je t'ai vue et je suis
Au point da vue bretou et langue bretonne, ils
pour le conte que tu as ne s'é èvent pas au-dessus du simple paysan
venu ts filldler
publié dans le journal/ - Merci, amie, de
illettié, et même souvent ils restent au-deetout mon cœur. Iiepose-toi, un instant!
eous, parce que la culture étrangère qu'ils ont
reçue a eu pour résultat de les débretonniser
Après ils parlèrent de mille choses : du et de leur fuire en partie désapprendre leur
pays, du monde, de leur enfance, et peu à
langue. Il faut avoir le courage de constater
peu la chanson de l'amour retentit tellement
ce lait profondément attrlsiaut et mortifiant,
en leurs cœurs que se fondirent au dépari,
si l'on veut sérieusement y porter remède.
ceux-ci l'un dans l'autre.
Sans doute il se trouv. ça et là des bretonnauls
qui, à leur culture française acquise à l'école
Amour, oà es tu? Ici, caché dans le cœur
au collège, au séminaire, ont réussi & ajouter
des jeunes gens. Je n'ose plus respirer car le
par leurs effoits personnels une culture brepire de la jeune fille ne v*ul pas qu'ils s unis
tonne.
Mais cr sont des exceptions, des Isolés
sent. Il demande un laboureur.
non pas seulement dans lenr propre pays'
mais au sein de leur propre famille.
— Qu'a ripondu le barde?...
Avec le pire
de Gliz-Acchant
est la sagesse. Qu'elle soit
Or quelques Intellectuels, prêtres ou laïques,
bien heureuse, mon aimée, avec le laboureur,
épars g« et là au milieu de la msdse paysanne,
et moi, petit ouvrier,
barde voyabond, je
ne sulMsent pas. Ils sont impuissants parce
serai heureux, près d'elle par mon cœur.
qu'ils août trop peu nombreux, parce qu'ils
Et elle?...
Elle ne dit rien. Elle pleure.
L'Awen au contraire est folle de joie.
Elle
disait hier uu barde : « Secoue ton chagrin
pour regarder dit côté de la Bretagne entravée
par le Mal et la Trahison.
Pour redevenir des Bretons
en et p it et en vé ité.
Les deux paragraphes qui suivent sont empruntés à la revue « B r e i z A t a ô » Ils posent
fort bien deux questions de la résolution desquelles dépend tonte restauratisn de l'Esprit
breton.
V o c a b u l a i r e Celto-llretoii. — L'absence pendant dix siècles d'une élite de langue
b r e t o n n e et p a r suite, d'une littérature, o eu
pour résultat, non seulement la s e g m e n t a t i o n
dlal ctale qui est u n e p i e m f è r e cnu r d e
f . i b .-s • MI tout f i i f ce d'une Ungut- ny.<nt
m
ti- o
<-1 >'un'té <iu ti nç.i?. m o i r u r .
"
i|Tjl • I » «• il l ' I " | ) l l - i n (
iltu (juui loniéqui ut i'émleitement ou
vooabuialre breton. Je veux dire par là qu'une
foule de mots bretons d'origine purement
MUl<n«i mutffiolo c q i b m « t troplcyfo dAQR
A B O N N E M E N T S (VU AM
«almperl« (Tille)
Finistère et départemental llmii
tropiiôs«»*«
Autres d é p a r t e m e n t s . . . , . . . . . . il.
Colonies et étranger
9 If
9-i
10
12 -
dance en langue bretonne de La Villemarqué (4).
Si l'ont veut relever le breton, lui assurer les
travaux et la culture dont 11 a besoin pour
vivre et prospérer, il faut viser à reformer une
élite Intellectuelle bretonne, une société bretonne, c'est-à dire un groupement de familles
aisées et Instruites de langue et de culturo
bretonne. C'est dans les villes les plus privilégiées au point de vue bretonnant du Léon
et du Bas-Tréguler qu'il faut d'aberd travailler
à constituer cette élite. Une élite urbaine est
absolument indispensable à la vie et à l'avenir
de la langue bretonne (lire à ce sujet dans
Dauzat La Vie du langage, chapitre intitulé 1«
développement des langues nationales, les
pages 196-204 traitant des conditions de la
formation des dites langues avec exemple de
la langue nationale eu Angleterre, France,
Espagne, Allemagne, Italie) (CL le même auteur, Peyohologle du langage, Paris, 1912, les
pp. 143-7].
Le Réveil Breton
Dans notre dernier numéro du journal nous
avons donné le sommaire du Réveil Breton,
revue régionaliste qui sert aussi de bullatiô
aux membres de la Fédération régionaliste de
Bretagne.
Ce numéro, des plus Intéressants, est vendu
3fr. (expédition franco) aux bureaux de l'Union
Agricole et Maritime à Quimperlé.
N O T A — Le Réoeil est fourni gratuitement,
quatre fols l'an, aux personnes qui adhérent
à ladite Fédération régionaliste, en payant la
cotisation de 10 fr. par an,
D I H U N A M B . — (Sommaire de Février 10U).
Boute zo re ; Dereu-mistr ha mestrezed skol
Breiz Izel ; Donezonou ; Ur lezen hag e sel er
baizanted, fi. L . ; Petra e lar kloh en overcn,
/. Kerilis ; En glom hag er jiboesour, dastumet get klaskoar ; A gleï hag a zeheu ; Goleu
dé, Golvannig ; Arthur Rlchemont ha Jann
d'Ark, J. Brangili.
Gwenedis lennet « Dihunamb « ba hui eùé
tnd ag er hanton Arheuaù. En destumadeu zou
groeït aveltoh get skrivagnerlou er guel an.
Skriù d'en eutru Andrew Mellac, 10, rue
c du Gaz » en Orlant.
Eur blead 20 reàl aveit Breih ; 2 skouid aveit
Bro Frans ; eur skouid b& poar real aveit er
broieu aral.
L E FURETEUR
BRETON
Administrateur : 99, Boulevard Brune,
{10 fr. par an)
PARIS
SOMMAIRE du n'72 qui oient de paraître :2 fr.50
B. P. : Les observations de Regnault Dorléans,
écrivain breton. — T . Un autre Villiers de
Isle-Adam. — G. Martin : Le premier contingent noir de l'armée française. Les « hussards américains » de Saint Domingue à
Nantes en 1793. — J. de Cli* : La ville franche
et le port de Morbihan (tfâG-lGiS).
— La
Bière.
Réponses et Questions diverse».
Gesta et légenda.
Illustration : Fédram, la ché de l'île.
?. ' »
. Le régionalisme et les arts régionaux bretons à. l'exposition de
N a n t e s e n 1 0 2 4 . — Bien que ma compétence ne soit pas bien grande en cette matière,
mais avec l'espoir d'enoourager mon ami,
Louis Le Floch, toujours si dévoué à la cause
Bretonne dans ane voie excessivement intéressante pour notre petite Patrie, j e dirai qu'il
me semble particulièrement opportun d'adjoindre à l'Exposition Nationale de Nantes une
exposition des arts régionaux bretons.
Tout d'abord, la question du régionalisme,
si controversée en France, et à laquelle les
travaux assez récents du Congrès National de
régionalisme et l'approche de l'Exposition Internationale des Arts appliqués modernes de
Paris 1925 ont donné une ampleur nouvelle, a
toujours présenté pour le cas particulier de la
Bretagne, une importance exceptionnelle. L a
situation ¿excentrique de. la province armoricaine, r&Uachée la dernière à l'ancien royaume
sont isolés, parce qu'ils manquent de moyens
de France, lui a valu de conserver jusqu'à nos
d'action et d'étude (livres, revues, bibliothèjours une langue, des tncEurs, uu oaractère
quej, parce qu'ils manquent de renseignements
particuliers, et dq donner aux .produits de ses
sur les meilleures méthodes d'action et de mille petites industries un cachet personnel
travail, trop souvent aussi parce qu'ils manqui les faisait rechercher pour leur caractère
quent do loisirs pour agir et pour travailler.
souvent curieux et amusant.
Eux disparus, rien ne reste, et leurs travaux,
De ce régionalisme très prononcé, il faut que
s'ils ont pu travailler, tombent dans l'oubli.
<"
—
Et quand les travaux sont manuscrits, Ils sont
(4) Nous avons communiqué oe passage à
détruits par les parents et héritiers. Ainsi ont
disparu certaines œuvres de G. Mliln et la M Pierre de la Villemarqué, flls du Barde,
et demeurant à Keranaquer, en Quimperlé.
presque totalité de l'oeuvre de Combeau, l'un
Voiol oe qu'il nous fait l'honneur de nous
des meilleui s écrivains du Léon. Détruite de
communiquer :
la même fwçon la très précieuse correspon-
t Je lis dans le Breiï-Alao p- 387, sous co titre : R e -
( I ) L>e kos vient kole, kojen. Voir R e v , oelt". 1908,
p 71 (article de 1.01b.)
(>) K o u m bras, K o u m blhan, K o u m o u , K o m «
A n a , i.D. Ua saint) Komou, Dome do lieux de09 le Finis-
tire.
( ? ) Cstte question du f proaiigo » eat czpltale. Voir i ce
•ujot lea page i o # " l i S dn le P a y o h o l o g l e d a s fOUlOG,
de G t UOB (• T ediiion, ene, i f i f . D pruc meiurer
1* lerrmr d « regioi «lutea qui oai adop'4 le irangeig pour
HtiKue ttici. lie <i<- teure COBK'6« CI de icura publications
Mu«u itii f..;»a d. raieTor Ic bieiea eux yeux des populailoiie
. .! .
-I. •.. L
' J • Ii
i- tua ¿ l u y u i l e r l e p r o o h a e n e o r e d e l a p a r t
d e I a u t e u r d e o e p a r a g r a p h s qui f a i t o x a « *
t e m e n t 1« m i m » q h o s e ,
. ^
Union
AyHwlu
faire une élite Intellectuelle bretonnante : a Et
quend les travaux sont manuscrits, ils sont détruits par les
parents et héritiers. Ainsi ont disparu e t c . . . » .
Je déclare a»oir classé m o i - m ê m e tous les papiers d e
mon père après sa mort s t m e o u e le 8 d ' é e m b r e <893.
Je n'ai pas trouvé dans ses manuscrits de c o r r e s p o n d a n c e en langue bretonne. Je possède d'assez nombreuses
lettres écrites par des amis en général e n français ou en
bretoa ; ou par dis prêtres. Rien n'a été détruit d *
mon vivant puisque j'ai tout
Oc c o r r e s p o n d a n c e proprement dite lettre* d'un
c6t-, réponse* d e 1 autre, II a'en exista pa«, autrement Je
I aurai* déjA publ ée Mais d e * lettre* en breton, s a n s
l a o o n t r e p a r t i e , int0re**«roBt-clle* beaucoup le p u b l i «
quand il ( ' a g i t f t exemple d e lettre* c o n t e n a n t la publicatiaa d*a i n j i a l e e d e la p r o p o g e t l o » 4 r - t a f o i e a breton,
ou de lettre* sur la Fondation da F a t z d a B r e i z ? . , ,
trttan ai8«C0f» S ''
nous saohlons tirer parti : tout en étant une
préparation, une aorte d'avant-proiet de ce
q u e la Bretagne p o u r r a présenter à l'Exposition
Internationale de Parti, la réalisation du programme des organisateurs doit de plus âtre
pleinement approuvée parce qu'elle aura lieu
a u seuil môme de l'Armorique, dans une de
n o s grandes villes, aujourd'hui émanoipôe,
mais qui conserve encore malgré le temps et
les hommes, des vestiges de monument», des
ruines de vieux châteaux, des ooutumes et un
peu de cette ambiance qui donnent & notre
terre natale son caractère profondément pittoresque. Elle engagera l'étranger à faire le premier pas vers cette contrée dont il admirera
les plus beaux ou les plus curieux produits,
dont 11 goûtera les plus délicieuses spécialités,
vers oe pays de légendes, qu'il ne connaît sans
doute pas encore.
Evidemment, nul ne pourrait avoir la prétention de tracer s u r quelque coin du cours
Saint-Pierre, une image de la Bretagne, telle
qu'elle puisse donner aux visiteurs une impression parfaitement exacte de ce qu'il pourrait
voir ohex nous. Mais dans le cadre du vieux
Château, l'union entière de toutes les bonnes
volontés mises au service de la cause bretonne, peut faire surgir une de ces expositions
qui frappent, Intéressent ou ravissent les visiteurs. et les marquent d'Impressions et de
aentlments profonds.
Pour rendre plus attrayante cette image de
notre pays, n'ayons crainte d'y accumuler
toutes les choses curieuses de notre Histoire
ou de la vie looales.
Interrogeons le passé. Renseignons-nous sur
les industries, les arts qui, dans notre région,
o n t été autrefois prospères. Faisons-les revivre
sous les yeux des ourieux, avec tout ce qu'elles
avaient de traditionnel, dans un cadre approprié. C'est peut-ltre le moment de voir pourquoi elles ont périclité, et, les faisant de nouveau connaître, de leur rendre leur ancienne
Vogue. Combien de main-d'œuvre se perd au
jourd'hui, en tant que femmes, enfants, vieil
lards, mutilés de guerre, qui pourrait rendre
facilement la vie aux industries locales ruinées
ou appauvries ?
La braderie, la dentelle ont connu en Bretagne une période de pleine prospérité. Les
eoktumes paysans étalent autrefois la plus ravissante floraison des travaux à l'aiguille et au
crochet et les pardons étaient alors, grâce & la
variété et à l'originalité des costumes, las plus
oelles expositions de dentelles et de broderie.
11 fut un temps ou chaque Bretonne, depuis la
lentille demoiselle portant robe à volants et
hennin, Jusqu'à la bergère en sabot*, savait Hier, broder, faire de la dentelle. Aujour
d hui, oes arts périclitent.
La tapisserie bretonne a connu également un
long m o m e n t de prospérité. Qa en admire
•noore aujourd'hui de maglflques spécimens
dans de nombreux musées, et le nom de
• point it Nantts » est un vestige de la réputation que s'étalent acquise nos artisans de
Jadis. Comme la dentelle, elle disparaît. L'exposition de Nantes sera l'oocasion de ressusciter
ces formes de l'art populaire dont nul ne méconnaît la saveur et dont chacun déplore ia
disparition.
P l u s près de nous, étudions les arts qu'il
nous est donné de voir encore aujourd'hui. Je
n insisterais pas sur les arts architecturaux
« p u i s le menhir de granit sombre, piqué de
lèpre verte et d'or, dretsé tout droit au milieu
ues landes, Jusqu'aux calvaires, Jusqu'aux
• t ' i s e s , J u s q u ' a u x antiques manoirs de pierre
fle taille aux tours surmontées de créneaux
«rou.ants, aux larges murailles
flanquées
a «enanguettes, dont on ne peut hélas, songer
• transplanter les nobles silhouettes sur une
plaee publique. Je ne m'étendrai pas non plus
s u r 1 a r t du meuble sculpté, auquel la Sûreté
• u ® 0 » « • nos antlqnes chines a contribué
puissamment à donner les formes nettes, simples, mais belles, si ce n'est pour demander
que I on écarte l'imitation trop lâche et qu'on
insiste s u r les exemples faisant effet du plus
p u r style régional.
One bonne place devra fitre réservée aux
industries de la faïence et de la porcelaine,
aveo une intéressante page d'histoire véoue
oe cet art t le vieux tourneur d'écuelles en
terre rouge devra précéder le tourneur de
Kaolin ; enfin, un atelier moderne enseignerait
aux curieux les seerets de l'industrie des
faïences de Quimper.
N'oublions pas pour terminer de chatouiller
ÏÎkEi
étraD
.
f e r s en exposant aussi la
rannoation de nos produits culinaires si réputés : les poissons, les spécialités de bonbons,
•nHn, les orlpes. Ah, que Je suis sûr que ces
Crtpes dorées, qu'une gentille fouesnantaise
ferait sauter dans la poôle, sauraient décider
• l u s d un un g o u r m e t à venir passer l'été en
Bretagne. Les orépes en dentelles, d'autre part
n'ont pas leur égal dans le monde.
Ce sont là quelques idées encore bien imprécises ; mais que chacun se mette à l'œuvre
• I , répondant à l'appel du Comité, s'applique
K „ ! V ? U »
f " 1 * c o n 8 t i t u " h Nantes,
1 mage de la Bretagne, la plus belle et la plus
Vivants, afin qu'elle soit plus aimée.
...
Clet LOUARN.
GIBOULEES
fcoe b u I n » html En re«é ! L«f.r. fl»«.,i | 0 „|g e ,
rUMIO» M rayai» Im cbimpi. U ciel brume«
U Ml, I * aurt, Im t*iii, w.f.iti l««lneu*
On lerpuiias WIIUDU ««« la tournant* alltfa I
jW«qoM la Tlaux Pfathui Joat u rigueur abrè/ra
ala (aiioaa-lul U oitua ta ailla col» ambreux
«t, tant Mlall ««'Il an, u fait aa vam la ai*««.
fumalwai 1m piutita fujaat i«ua 1m aroadt«
A»sIom Im aafaat. j.leux da no. faabalta,
Mais «ta I Natra rooéa ait ceurts at va flair.
Sa loe» ! aa larn t «a tlat an «plrM aaranlfai I
Bstt la baujuat I C'ait Mars «ai fait, t»le| unit
AytîI, <al n formai la paît« au* «iboulèis.
Paul PHILIPPON
Les Dits d'un Paysan
Le» assolements
Connaissant la dominante des différentes
plantea qu'il enltlve et la natnre de son aol, Il
•et aisé à l'agriculteur d'établir un assolement
rationnel pour aea onltures.
L'assolement est l'alternance des cultares
«nr nn m i m e sol. Deux plantes qui ont la
« 6 m e dominante ne devront pas, en principe,
ae succéder Immédiatement sur le même sol.
Cette pratique n'est possible qu'en restituant
a n sol les éléments nutritifs enlevés par la
culture précédente.
C'est done la condamnation d'un Uficheux
assolement enoore pratiqué dans certaines
•a ni pagnes et particulièrement dans le Morbihan, lequel consiste à faire succéder un seigle * un seigle et & continuer pendant des
U Q f c s cette culture sur le m i m e 8 qJ. en Intercalant seulement, tous les trois ans. une avoine
ou un sarrarin entre deux seigles et en ne donnant au sol, comme fumure, que le teil s tu, au
fumier composé en majeure partie d'ajonc et
genSt mélangé« & u n pan de famlar et & beau
coup de mottes enlevées à la surface des bil
lous et pleines de racines de chiendent et
d'oseille.
Il faudra que le cultivateur tienne compte
pour l'établissement de ses assolements, de la
natnre du sol, des exigences des plantes et
aussi de leur mode de végétation. Les céréales,
par exemple, sont des plantes épuisantes et
salissantes. Epuisantes parce qu'elles occupent
le sol très longtemps et exigent une quantité
Importante de tous les éléments nutritifs du
sol pour prospérer; salissantes, parce que leur
mode de culture ne permet guère la destruction
des mauvaises herbes qui poussent A leur
ombre.
Les plantes sarclées, au contraire, permettent
le nettoyage du sol par des binages répétés et
des sarclages, et les légumineuses, dont la végétation est rapide et envahissante, étouffent
tout ce qui pousse sur le sol qu'elles occupent.
Ces planies sont pour cela dénommées nettoyantes. Elles sont, de plus, améliorantes en
ce sens quYlies vivent surtout d'azote atmosphérique qu'elles emmagasinent m ê m e e n q u a n tité supérieure à leur consommation, laissant
ainsi dans le sol une réserve d'un des éléments
les plus indispensables à la végétation.
L'agriculteur avisé aura donc Intérêt à établir
son assolement de façon qu une plante nettoyante succède à une plante salissante, afin do
contrarier, autant que possible, le développe
ment et la propagation des mauvaises herbes.
L'assol- ment met l'agriculteur dans l'obligation de s'intéresser à plusieurs cultures. Sa
situation rappiochée ou éloignée de» centies
d'écoulement des produits de la ferme sera un
élément de plus à considérer dans l'établissement d'un assolement lémunérateur.
L'assolement ratlonel doit fatalement aboutir
à la disparlt.on de la Jachère nue encore pra
tiquée dans quelques fermes, sous prétexte de
laisser reposer la terre. L'assolement, bien
compris, est pour le sol le meilleur des repos,
puisqu'il lui permet de récupérer, par certaines
cultures, les éléments que des cultures précédentes lui ont enlevés. Un bon assolement
vaut une demi-fumure.
La Jachère ne sera utile que dans le cas où
on voudrait nettoyer le sol des mauvaises
herbes (chiendent, avoine ù chapelets, oseille)
qui l'envahissent. Dans ce cas, il est évident
qu'une année de Jachère pendant laquelle le
soi est retourné plusieurs fois, routé, hersé,
rel té, est salutaire pour une t rre envahie par
les mauvaises herbes. C'est le seul cas où cette
opération soit avantageuse.
Il existe plusieurs types d'assolements. Je ne
parlerai pas de l'assolement biennal, dans
lequel le blé succède invariablement tous les
deux ans à des plantes sarclées ou à des légumineuses. Cet assolement est très épuisant et
il ne peut donner de résultats convenables que
par un apport important d'engrais naturels et
commerciaux.
L'assolement triennal est moins épuisant,
mais ne constitue pas encore le type à conseiller dans les fermes d'une certaine étendue.
Il consiste à cultiver, la 1" année des plantes
sarclées remplacées la 2' année par une céréale
d'hiver, laquelle sera remplacée, elle-même, la
3' année, par une céréale de printemps, peur
revenir la 4* année k une plante narciée.
L'assoiement quadriennal comporte ia 1" an
née, une plante sarclée; la 2' année, une céréale ; la 3« année, un trèfle au fourra e annuel; la 4« année, une céréale de printemps,
pour revenir, la 6« année, au point de départ.
Cet assolement pratiqué uans les granJes
fermes de certaines régions de France, n'est
guère en usage chez nous
En Bretagne, suivant les débouchés, U est
établi plusieurs types d'assolement. J'en slgualirai deux : 1* celui des cultivateurs qui fournissent les marchés de grands centres, ainsi
composé :
1" sole : pommes de terre, petits pois, haricots, betteraves ou rutabagas.
2» sole : froment, seigle ou avoine.
3« soie : trèfle incarnat, vesce, jarosss eu
serradelle.
4* sole : choux pommés, choux fourragera,
choux fleurs ou choux de Bruxelles.
6* soie : pommes de terre, etc...
Des cultures dérobées de navets fourragère,
de coiea, de moutarde blanche, de vesce, de
seigle fourrager etc... sont pratiquées entre
ces cultures, les disponibilités en engrais le
permettent.
> Les fermes éloignées des centres urbains
pratiquent souvent l'assolement suivant :
1" sole : pommes de terre, betterave, rutabrga ou sarrazin.
2« sole : froment, seigle ou avoine.
S' sole : trèfle incarnat ou serradelle.
4» sole : choux fourragera ou colza d'hiver.
6' sole : pommes de terre, etc...
Si l'ensemble des terres d'une ferme est
d'une fertilité A peu près uniforme et susceptible de recevoir toutes les cultures, le cultivateur aura intérêt à partager ses terres en 4 ou
6 séries égales, suivant qu'il désire faire do
l'assolement quadriennal ou quinquennal, et à
établir entre ces séries un roulement approprié.
S'il dispose d'une superficie telle qu'il ne
peut tout cultiver convenablement, fauta de
main-d'œuvre, Je lui conseille d'adopter l'assolement suivant qui lui donnera les meilleur«
résultats t
1" sole : pommes de terre, betterago, rutabagas. ou autres
EHoa plantes sarcléec, ou sarrazin.
2* sole i b é. seigle ou avoine.
8* sole : partie trèfle I n c a r n a t ; partie iuxerne
ou trèfle violet.
4» sole : après trèfle incarnat,, choux fourrage», navets ou colsa.
sole : pommes de terre, et«;,,.
La partie de la 3* sole réservée au t r l l e violet
constituera la Jachère cultivée. Cette culture
pourra occuper le aol pendant 2 ans 1/2. La
3« année on enfoniera la dernière coupe de
trèfle, avec une fumure minérale appropriée et
on aura ainsi la terre idéale p o « r a n * culture
ue froment.
S'il s'agit de luserne, elle pourra occuper
plus longtemps le sol. Mais qu» oe soit après
trèfle ou après lueerne, on évitera bien de fumer au fumier de ferme en défrichant, car,
alors, le blé verserait certainement.
Le trèfle violât ainsi que la luzerne enilchls
sent le soi en azote. Grâce à leur« racines pivotantes, ils puisent surtout leur nourriture dans
le sous-sol, laissant disponibles pour les oultures suivantes les éléments nutritifs de la
couche arable. Par suite de leur végétation
rapide et de leurs coupes répétées, les mauvaises herbes se reproduisant par graines, ne
peuvent arriver ft se développer complètement.
Ce «ont donc des plantes essentiellement a m é liorantes et nettoyantes et leur culture est à
conseiller vivement dan» toutes les frime»
d une certaine importance.
Elles mettent également à la disposition du
fiUltivatyur une mpsse considérable d'excellent
fourrai« vert et sec permettant l'élevage (Tua,
plus nombreux bétail et pur conséquent, la
production d'une plus grande qua tité de fumier, base de toute culture Intensive.
BROAD.
Pour Assurances
Incendie, Accidents, Vie
D .
A
. S .
Tribunal Correctionnel de Quimperlé
*dp^sseHousk;eui8Fum°'Pont-
Audienoe du S7 février
Chronique Régi-<nale
Tarir d e s C h e m f a s d u F e r .
— Son
augmentation partira du 10 mars.
C h a m b r e d e C o i n m e r e e d e Quimp e r . — Le Ministre du Commerce et de
l'Industrie adresse la lettre suivante à la
Chambre de Commerce ;
Paris, ¡e 23 Février 1924.
Le Ministre du Commerce et de I industrie à Monsieur Le'Piésideut de
Iv Chambra de Commerce
de
Quimper.
Pa ml (es me.ures employé» pour amener
la baisse du franc, une prati iua fréquemment
usitée consiste, pour l'étranger il acheter en
France, sur le marché a terme, des matières
premières produite» à l Etranger fto les que la
laine, le coton, le cuivre etc,„.) . n ne déposant, comme couverture qu'une minime somme représentant seulemeut une (fraction de la
valeur de la marchandise.
Ceux de nos nationaux qui consentant des
ventes ft terme duns ces conditions se couvrent
le plus souvent du rl»que quM courent en
faisant ces opérations ; ils «e portent acheteurs
dans les pays d'oilglne, d'une quantité de
marchandises correspondante à celle qu'ils
ont vendue.
Or, ils «.ont tenus de décaisser, ponr des
sommes considérables, en devises étrangères,
qui sortent de Frauce *v*nt même qu« le
montant des achat* faits par les étranger«
n'ait été acqu té.
Il en résulte une demande Inusitée de devises étrangères el une b ils e correspondante
du franc, dont l'acheteur éiranger béuitlcie
lorsque le terme fixé pour ses achats est arrivé .
Il importe de parer immédiatement à ces
maneiuvres dont l'effet à une répercussion
de» plus dangereuses sur la valeur de notre
devise nationale
En conséquence, Je vous prie de vouloir bien
dénoncer ces pratiques aux industriels, négociants et courtiers de votre cireonscrip ion. II
T a lieu de les inviter, de la manière la plus
pressante, à exiger, toutes les fois que des
achats seront faits aupiés d'eux par de- étrangers, ia couverture totale et préalable du montant de ces achats.
Je ser«i «bilgé ,ie me tenir au courant des
mesures que vous ..urez prise» et. le cas
échéant, des instructions que vous aurez adressées pour que des pratiques aussi dangereu.-es
que celles signalée» ci dekus ne soient plu» désormais poasibi.es.
Je suis assuré que vous été« vous-même
trop profoudéuient pénétré de l'impéileuse
nécésslté qui s'a tache à assur ;r la d fense de
notre devise natlanale, p )ur ne pas prendre
immédiatement, en vous inspirant des directives ci dessus, les mesures que mon Département considère comme particulièrement urgentes.
•idSi
Quimperlé- — Vagabondage. — Le mardi 19
février, (es gendarm s trouvèrent dan* le bol«
de KCrisole, Loul- Hénaff, natif de Gourin et le
mirent en état d'arrestatlo". pour vagabondage.
Héniff, qui est un falbl ' d'esprit comparait devant ses juges à l'audience de ce jour. Ceux-ci
l rom>ncent un acquittement en sa faveur, le
célit n'étant pas suillsainment établi.
— Lt T<>ullec Jean, garçon boulanger, dont le
casier judiciaire est dijà orné de 16 condamnations pour vol et vagabondage est poursuivi
pour mendicité et défaut de carnet antrhopométrique. Il sa voit condamner à un mois de
prison.
— Le Strat J e m . garjon meunier, ayant aussi
b condamnations, dont la dernière remontant è
décembre 1923 où le tribunal de Lorient, lui
avait infligé 40 jour» de :>rison pour vagabondage, c o m p t a i t aujourd'hui pour 'e mime
motif devant Itsjug^s d-i Qu>mp* lé, qui lui
octroient 1 moW de prison.
mm
PUNOS -
MUSIQUE -
INSTRUMENTS
iiaitan Fondit to
u.
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'X-ACCORDKOB
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PIANOS
DE
LA MAISON
(, Cours it la BÔve
PLKYXJ
TELEPHONE
4-21
MnaanaaMaMMaaaHHMMM
Foire»
de la Sem*
ne
Lundi i mars 19U. — Brasparts, Brest,
Brlec Châteauneuf. Croion. Hôpital-Camfrout,
Pena-\ P^onéveï Poraay, Ploudlry, Plouyé,
Ploaévet, Pouldergat. Poullaouen, Pontivy.
Mardi 4. — Arxano, Lecronan, St PierreQnilblgnon, Mebrand, Quistiaie, PlounévezMoédec.
Mercredi t. - Bannalee, Daoutas. Blllant,
Lanallls, La foigeët. Ploulg-eau, Naisln, Ingnlniel.
Jeudi $ - Chftteau'ln Hue goat. La RocheMau-lce. M«sp»ul, Piouguia, Pont Croix P o i t l'Abbé. S»int Thégon'iec. Locmlne Calanhel.
Vendredi 7 - Pouldavid, Saint-Sauveur,
Plumâliau. Béga d.
Samedi S - Morlaix, Pi meseat.
Quimperlé
9, R u e d a s K o o l e a , f
Q T J I M P B R L É
Montres-Chronomètres de Précision
Lll» — L O \ 4 à L \ E S
0>IÉ(»A -
U\H
POP -
ZÉNITH
RÉVEILS : 15 Fr.
Carillons Wesmlnster : 350 Fr.
BIJOUTERIE
- OrioLt - 3WCva.r»t
X
X
X
I
K
BAL A GRAND ORCHESTRE
Par la Musique symphonique Violons ils Lorient
Ouverture du Bal i 1 8 heure«
Pêohe
fluviale.
La société de pêche
v La (iaule bannaieccolse • a immergé, le 21
février. 20 000 « u f s fécondés de truites, dans
les rivière* du pays. Tout le monde a Intérêt
à réprimer ie braconnage qui détruit une richesse
nature le de la région. Une surveillance active
de nos rivières et ruisseaux sera exercée par
les garder de la société qui n'hésiteront (pas à
poursuivra les braconniers de profession et
même lea amateurs qui. au moment des foins,
déssèchent les ruisseaux et détruisent tous les
poissons sans distinction de taille.
Melgven
Médaille
d'honneur
agricole»
»
U. J . Crall, a obtenu cette médaille p a r arrété
en date du 17 février.
Taupes
Fouines
Martres
Putois
Renards
Loutres
Lapins
R. de C.
Quimperlé
N° 514
achetés au plus haut prix par
sont
H. HOTTE, 18, n e Savary. Quimperlé
S
B
A
A
S
S
S
Moèlan . .
, Carne*»
de mariage».
A
I
j . ..
— IM lundi 8 mars
Simple
Police.
- A l'audience du ai
à > heures, en l'église paroissiale de Moê'an sera
Février courant tes condamnations suivantes
béni le mai i»ge de Mile Isabelle Quillon. de
ont été prononcées : ivresse. 4 ; tapage nocturne.
Ke sécol, avec M. Joseph Carleu de Salat-Ta4 ; défaut d'éclairage (voitures et (bicyclettes) s mec, et de Mlie Marie Anne Le Dœuff, de Ke12 ; d vigation d chi n, 1 ; divagation de bétail | r a m p e l u n , avec M. Matburln QulUou. de Ker«
1 ; embarras de la voie publique, 2 ; uriner sur séco . Les rep«s f e r o n t servis chez M. Lan«
la rue, 4 ; mauvais traitement envers un anidrem à Merrien. Tous aos voeux de bonheur.
mal domestique, 1 ; défaut de plsque, 1.
Ser-rio»
pharmaceutique.
— Demain,
dimanche, le Service Pharmaceutique sera
assuré par la Pharmacie QUI BOURG, rue Sa*
vary.
Gentleman Irlandais
M. Tanguy
LANGRÉE
S a l l e L o u i s MONCHICOURT
4HOMNKMKRT A LA LECTURE MUSICALE
K4déné
- BIJOUTERIE -
Le Mardi-Gras 4 Mars courant
— Echange
Pacage.
— Pour avoir enfreint l'article J8,
du décret du 31 décembre 19z2, le 31 février, sur le pacage des animaux sur la vole
publique, Françoise, de Keryoff, a récolté un
pro eés-verbal.
Jau ; »lté,lef«Beau
voyez
Choix
a4eai ,„,„4
u
et lee Prix de la
Ville de Bannaleo
LORIENT
Aecord* — Réparations
littéraire el commercial et l e ç o n « d «
violoncelle.
S'adresser à M. K. J. Ma« Geofhegai,
Ty-Brei*, Morlaix.
Avant d'acheter
convo jué 'a section locale de la Ligue des
Droits de l'homme, le dimanche 3 février, et
9*n« doute i<prês un discours bien senti. Il flt
t o t e r un ordre du Jour demandact RUS parlementaires républicains 11 de repousser les m e sure? actuellement en discussion devant les
Chambres, c'est-à-dire de s'unir aux socialjstea
et aux communlst-'s pour faire éohec au Gouvernement au risque de provoquer une catastrophe financière. Voilà où en arrivent defl
Lomm-s qui par ambition ou anticléricalisme,
8'affliiont ft des ligues plu9 ou moins maçonmsantes. Ils perdent toute indépendance ; Ils
deviennent entre le& mains de la frano-maçonnerie de véritables esclaves qui doivent être
prêts à toutes ies besognes. M. Tanguy en sait
quelque chose.
x.X.
O L L I V A U X
FAOTEUR
A v i s d u S e r v i c e V i c i n a l . — Pour parmettre Its travaux de cylindrages, et surtout
afla d'éviter tout acciiem, la route dis la gare,
entre le quai et in pont de Moi an, eat barrée
depuis vendredi dernier, t» février, et es pendant une dizaine de jours.
un B I J O U
une M O N T R E
]
Union commerciale
et
industrielle
— L'assemblée générale, annue le des memb es
de l'Union commerclals et Industrielle de
r a r r o a d l s ^ m e n t de Quimperlé, se tiendra Le
samedi 1** mars prochain. & 20 heures, à la
Mairie de Quimperlé, «aile des Mariages.
Ordre du jour : Admission de nouveaux
membres ; compte rendu moral et financier
de la Société pour l'année 1923 ; compte rendu
de la réunion de la Chambre de Commerce de
Quimper du 16 février l^Stt. concernant les
mesu es à prendre pour la défense du franc
et. les nouvet ux ImpO s projetés ; vœux divers
à émettre, ouverture à toutes propositions.
Baunale*
et le» c o a a a a i « é « f . —
Oq n'a pas oubliéf que M. Tanguy, déférant
aux ordres de la frano-maçonnerie, fonda naguère à Bannalee, une section locale de la
Ligue des Droits dt l'homme. Il en devint le
Président et choisit comme secrétaire l'instituteur Karsulec dont les idées communistes
n'étaient un secret pour personne. M. Tanguy
affirmait ainsi sa sympathie pour les doctrines
de désordre qui ont couvert la Russie de
r u h e « et de sang. Ses sentiments n'ont pas
rlia'>j-é. Il s'est, „ oh
lui-même de nous le
fa„
l roi-ver lor« de la réunion qu'il a présiiûe le
ol>na>iohe 3 février, à la Mairie.
De uis qu'il est question des élootions, les
radioaux et radicaux-socialistes sont divisés.
Toujours d'accord quand il s'agit de < manger
du curé
ou d'entraver l'action bienfaisante
de l'Eglise; ils sont moine unanimes dans les
questions qui touchent aux intérêts supérieurs
du p, ys. Quelques-uns conservent enoore un
oertain patriotisme et uo peuvent se résoudre
à faire obstruotion au moment où la f r a n o a a
tant besoin du oonoours de tous ses enfants.
C'est la raison qui a décidé M. Adolphe Chéron
et quelques autres parlementaires à se séparer
de leurs amis et ù rompre avec le parti radical
Mais la plupart des radioaux et radioaux
socialistes demeurent obstinés dans leurs erre
m e n t s ; ils s ' a p p ^ e n t a constituer le bloo des
gauches avoo les socialistes -it les communistes.
iM d'acco i aveo eux ils font opposition au*
mesures d<>jà prises ou proposée» actuellement
par lo gouvernement pour le relèvement de
nos Ûnanoes. Ils semblent vouloir entraîner la
Franoe à la banqueroute pour y déohalner la
guerre olvile et y introduire ensuite le bolohevlsmo.
La Ligue des Droits de l'homme ne pouvait
manquer d'Intervenir et d'emblée elle s'est
ialliért au bloc des gauohcs. aooep'ant ainsi d>
rnaroher dans it* sillage de» internationaliste. 4
D'ailleurs pouvalt-ll en éire autrement? Pou
vait-o - compter Hur Iti patMotinme d'une Liguqui im3 fait gioire d'avoir défendu Dreyfu.\
Caillai«, Malyy, Mariy?
d b w n u t m mot d ' o f l w , M» Tanguy ï v W
J
RIEC-SUR-BELON
MARDI 4 MARS AU 80IR
A l'oooasion du C&rn&val
Bal à grand Orehestr«
SALLE ROUAT
Pont-Ave»
Cidre».
— Cidre vieux : 159 & 169 fr. la
barrique ; eldre nouveau : 300 à 220 fr. ; cidre
pour la distillerie : 100 fr. Les prix s'entendent
nu, rendu à destination ; II faut encore «Jolie r les droits de régie.
Le cidre nouveau est rare ; anssl le vlenx cidre trouve preneur & des prix assea élevés
malgré sa médiocrité.
(La Revue
VInhale).
Nétez
Réunion
de»
chef» de famille
ca-
tholique».
— Dimanche, 24 février, à deux
heures de l'après-midi, a'est tenue, à Nérea, U
réunion annuelle des chefs de famille catholiques du doyenné de Riec-aur-Bélou. Le
nouveau président, M. Demimuid Treuïlle de
Beaullou, a voulu, en entrant en fonction,
donner lul-mlme la conférence. Après avoir
lu le procèi verbal de la dernière séance,
M. le Président a tenu, pendant nne heure,
sous le eharme de sa parole elalrc et a t u a d e ,
139 auditeurs, venus de tontes les paroisses du
doyenné, parmi lesquels noas avons remarqué
M. le Rectecr de Névez, M. le Curé de Rlce*
sur-Béljn, MM. les Reetenrs de Moèlan et do
Pont Aven, M. le D* Le Lonôt, maire de P o n t Aven ; M. «tienne de Solnalnlhac, ¡du Selon j
M. René Rodallee, de Kerllsqnldle ; M. Tanguy, de Kerlaouen; M. Bonrhls, de KernN
valgae, M. Louis Nicolas, gl», de Kernatoas,
etc. Le sujet de la conférence était : L'éducation des enfants. « L'enfant, nous dit, en snbs*
tanee, le conférencier, l'enfant Sst t Dien,
d'abord ; les parents ne sont qne des délégués... Avant tout, l'éducation doit dono être
chrétienne, le but de 1« r i e étant de gagner le
Ciei. Pour ce qui regarde (es science» profanes,
l'important est. non pas de boarrer le cervea«
de l'enfant de toutes sortes de connaissances
précises sur ce qui peut lui être utile dans U
carrière qu'il doit s u i v r e . . . ».
fin terminant, le conférencier fait l'éloge de
l'exeellente revue, ïïaole et Famille, oit tes
parents peuvent trouver tous les renseignement« nécessaires, pour les aider dans leur
tâche, et prie M. Olivier, de Pont-Aven, secrétaire de l'Association, de prendre les noms
d -s nouveaux abonnés.
Kernével
Bri» de c a r r e a u x . — Le 10 février dernier, veas 17 heure«, les npousés Rejrf L e
JBlhan, 18 aos.
KcragfetU; r f f c O w p r ,
deVjjMm
S-ult»
aelaJRécrioxiAle
A c t e t d » mftfchandlc «s par d * s
K t r ^ t y e r « . L e procureur général, près
la Cottr de Renne», ayant fait procéder à une
enquête près des maires et des personnalités
agricoles de l'arrondissement, il eu résulte
qu'il n'a été constaté, nulle part, de faits de
hausse provenant d'acheteurs étrangers et notamment d'Allemands. Plusieurs enquêté« se
contestent d'attribuer la hausse & l'élévation
perstotefite des tarifs de transport.
Ç#U$iep r u r a l e s è t u r b a i n e s
du
F l a & M t a e . ^ (Acte de prêt). — « Avtz-vous
besoin de MWO fr. pour compléter votre bétail,
deflû.000 fr. podr achever de payer votre feime
que vous avez achetée à bon compte, adressezvou» 4 la Caisse rurale de votre Commune ;
1« CodmU de la Caisse jugera votre cas, et
peut voua donner cet argent, vous demandera
d» signer un acte ainsi conçu : « Le soussigné
Yves Kerdanvad, cultivateur & Lesloo'h commune de Steirodet, et Corentlne Dizéol, son
épouse qu'il autorise (o'est dono qu'Yves est
marié), également soussignée, reconnaissent
avoir reçu de la Caisse rurale de Steirodet la
somme de trois mille francs, pour être employée h augmenter leur cheptel. Cette somme
rapportera des intérêts à 6 fr. 0/o payables au
1 * Janvier, et sera remboursée par annuités
de 800 fr. et le reste la cinquième année. Ils
donnent en garantie le cautionnement solidaire de Guillaume Avalou, cultivateur à Mesguen, en Steirodet, également soussigné.- Fait
et signé 4 Steirodet, le 8 mars 1924 •>.
Là-dessus un petit timbre de 3 fr. également paraphé, et vous emportez la somme
qui vous permettra de réaliser, aveo les fourrages que vous avez si abondante, un bénéfice de 600 fr. l'année et plus. Quelle belle
Invention, dites-vous I. S b l oui, faites en
en votre profit.
Pour tous renseignements, s'adresser à M.
Souabaut, 7, rue Vis, Qulmper ou à l'abbé
L s Mel, viealre à Kerfeunteun, ou & M. de
Massol, Lannlron, Ergué-Armel.
Assises du
Flnlstèr*. -
La s e s s i o n
des assises du Finistère pour le 2* trimestre de 1924 s'ouvrira le lundi 28 avril,
& Quimper, sous la présidence de M. Dollia du Fresnel, conseiller à la cour d'appel qui sera assisté de MM. Gérontes, juge
etDonnart, juge suppléant au tribunal
de Quiznper.
V. C. I. — Réunion, aujourd'hui samedi, a
«0 heures, salis de la Mairie.
DP Prat-Bescond
10, rue Brouzio, QU1MPERLE
ont l'honneur d'informer leur clientèle qu'elles viennent de reoeveir
un G r a n d Cbolx de Tissus, dans
les dernières Nouveautés, pour la
saison, ainsi que les garnitures en
alons, boudes, boutons et toute
leroerie fantaisie.
Grand assortiment de Costumes,
R o b e s et Manteaux pour Enfants.
Lingerie, Layettes.
i C e r s s j o s et V a r e u s e s p o u r
S
»«•M.
Chemises, Cols,
p o u r Hommes.
Cravattes,
ExfoilioB de toute Confection sur Mesures
TRAVAIL SOIGNÉ
P R I X
M O D É B â S
kflufe ounrt tous lis Dimanches
L ' a r g e n t soelaltsto et les radloaux.
En vain, M. Coffrant défend-il le parti radi
cal de toucher à,l'argent allemand. Nous avons
expliqué la dsrslirs fois, avec textes d l'appui,
c o m a e n * Frlédrleh Adler et Tom Schaw, lnvtttnl les partit ouvrier* de tous les pays à
prélever éu fond» tar hors calites, à
organiser
d*t eolbcU» générale* et d consacrer
ces rest q u c e s 4 la caftte du toclalismc en
Allemagne
tin Front». Çà c'est autrement précis et intéressant que la caisse de Rédéné et pour qui
eqnoait l s cartel, préparé entre socialises et
rsdlestu, la i n c l u s i o n est claire.
VQiei ce q u » * 1 _ . « oujci i*. „«»wpu
.
ministère radical-socialiste, comprenant,
si,possible, plusieurs socialistes, voilà *» que
les Allemands sont arrivés & souhaiter dt toutes leurs forces, comme les prémices et la
Jojteos« préparation de leur revanche.
voeu*... ç'esfc quelque chose, mais ce
n'Mt |»oint assez. Ba l'occurence, les vœux sont
accompagnés de bonnes espèces sonnantes et
tn^«siMintMi recueillies par vole de souscription publique chez les Allemands que l'on dépeint comme insolvables. Certes,t tous les coalisés' du- cartel des gauches ne reçoivent pas les
aahsldss avec un égal égoïsme. M. Herrlot et
soi» entourrage immédiat affectent des mines
digoutfes. Il faut être socialistes pour pratiquer à un tel degré l'Internationalisme ûtnan«Isr* MalLlt* radicaux mettent tout de même
la nudn dans la main pleine d'argent allemand,
des socialistes prébendés par le
Vorwaerts.
Aueun donle n'est possible pour les Français :
tout bulletin de vote accordé au mois de mal
prochain, & un eandldat radical, socialiste ou
communiste, constituera au appoint & la cause
allemande.
Electeurs français, lorsque l'heure sonnera
de mettre votre bulletin de vote dans l'nme,
songes que tout suffrage donné aux amis de
M. Herriot ou bien aux socialistes servirait la
cause de l'Allemagne qnl ne veut pas payer
ses dettes et qui poursuit sa revanche militaire.
Joseph DENAIS.
Qulmperlé
Zë Catholique
C o f f r a n t . — M. Cof-
frant s'ébahit devant les affirmations de Maurice Barrés, pour qui le Catholicisme
est l'essence même du Patriotisme.
M. Coffrant no
nous donne pas, lui, de définition du catholicisme. Il se contente de nous dire que la Religion Catholique est composée de croyants
comme lui, tandis que le parti catholique comprend les cléricaux comme moi. On le volt,
c'est simple I Mais qu'est au juste un clérical ?
Je crains bien que ce ne soit guère autre
choss que ce que le catliéchlsmc nous dit du
caUiollqm, lequel, simple individualité, est uni
à son curé, lequel est . uni à l'évôqueS Ieqnel
«n dernier llau est uni an Pape, hiérarchie
plue on moins rldncnlisée pa,r les croyante
au genre de
Coffrant.
M. Coffrant, 3sns doute muni de ses degrSa
théologiques, à défaut du diplôme de licencié
en droit qu'il ne pnt décrocher, nous doit une
définition plus originale du « catholique ». 11
nous démontrera l'évolution du m o t . . . comment depuis Jésus-Christ pour arriver à Camille, le nom et la chose ont changé de signification. 11 précisera l'époque où les clercs
(prêtres, évêques, pape) devinrent pour le3
vrais croyants des rouages Inutiles, dont on ne
doit jamais manquer de dénaturer les actes, et
contre lesquels tous moyens sont bons s'il
s'agit do détruire le respect que leur portent
les populations. Certes, M. Coffrant rend â
l'Eglise de signalés services, en émondant son
arbre vieilli, et il ne faudrait pas s'étonner que
le Pape, enfin rendu à la raison, n'emploie le
bel et grand Camille, comme chasse-gueux à
St-Plerre de Rome, afin d'en expulser tous ces
compromettants cléricaux. De Garibaldien le
voici devenu gendarme pontifical. Ne lui ménageons pas l'avancement 1
*
Notre théologien nous fixera uussl sur ce
qu'il entend par République,
mot que que
M. Le Lonédcc traduirait, sans doute, evec
nous, par Rea Publloa : Chose Publique, appartenant à tous. M. Le Louédec croit avoir des
lettres et se trompe : noua aussi. Cette Chose
n'est pas Publique. Elle appartient à un petit
nombre, et surtout point à ces damnés catholiques!
Tulle la conception radicale, tel le dogme
de M. Coffrant... Inclinons nous. Mais, nous
aurons besoin de toute notre attention pour
bien saisir la relation nécessaire existant entre
« catholiques » et « traîtres d la Patrie,
embusqués, profiteurs»
Dire que chez les ca'holiques, il n'y a t
point eu de défaillances, serait sans doute,
exagéré, mais les leur attribuer toutes en
bloc, pour décerner un brevet d héroïsme
aux libres-penseurs, parce que libres
penseurs,
paraîtra sans doute hasardé.
La rédaction du Bonnet Rouge, par exemple, était-elle catholique ? et les défaitalstes du
Quotidien le sont ils ?
Et ne peut-on penser, avec quelque raison
que la guerre et l'état catastrophique permanent qui en découle ne sont plutôt dûs aux
intrigues de la juiverie Internationale et de
cette finance cosmopolite qui, pour en finir
avec la France, attaque notre crédit, et s'apprête à arroser ses auxiliaires naturels, les
radicaux - socialistes, avec les fonds de la
trahison ?
g.
Patronage»
laîquos
! — La semaine
dernière j e m'étais permis de faire remarquer
oomment la nouvelle appellation de patronage
laïque appliquée à l'fissor Quimperlois
dénotait la prétention de vouloir embrigader d'office dans cet essai da patronage, tous lea eiôves des écoles publiques. J e m'attenlais à une
réplique sérieuse, mon attente a été déçue.
L'Echo s'est borné & répéter ses lieux communs. J e dois dire tout de même que mon
attention a été retenue par la première phrase.
J'ai voulu en pénétrer le sens, en essayant de
voir comment « des défauts peuvent arriver â
percer chez quelqu'un les yeux de ceux qui
osent le regarder ». J e n'y ai vu que du bleu.
Un jour ou l'autre, il faudra réunir en volume
les phrases lapidaires échaopâes êi la p:umn de
M. Coffrant. Ce volume suffi-a oertes 4 ,e faire
entrer à l'Aoadémie. Ce sera poar lui UDO situation qui cadrera bien aveo ses préteniiouu I
Mais passons. J e relève au passage cette
affirmation si souvent contredite par les faits,
que l'écoie laïque respecta ia oonscience des
enfants et la liberté des parents. Qu'on relise
les discours d'inauguration de l'Essor, on verra
que le laïcisme est essentiellement anticatholique aussi bien qu'anticlérical. D'ailleurs, qui
no sait que chaque jour l'enseignement, sous
toutes ses formes, peut fournir à un professeur antireligieux l'occasion d'essayer de communiquer à ses élèves, ses théories antireligieuses.
Evidemment 11 fallait que M. Coffrant, pour
disculper ses amis, entonne une fols de plus
son refrain sur la pression cléricale. Refrain
démodé autant que ridiculo dans la bouche
de gens qui, paroe qu'ils disposent du pouvoir, ont entre les mains tous les moyens de
pression et d'arbitraire. Nous les entendons
crier qu'on les étranglo, au moment môme où
on les voit s'installer, comme des coucous
dans les maisons confisquées aux catholiques.
Ils crient quand Ils entendent u.i prêtre rappeler aux parents catholiques, le devoir do
fairo donner a leurs enfants, une éducation
chrétienne; et toujours pour se défendre, ils
accuseront les catholiques dos fautes dont ils
se sontent coupables.
Mais, comme à Quirnperlé il serait facile de
contr,
la fausseté des faits qu'ils allèguent.
,'la Lli
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. , , , . „ „ ,) „ „
llo
SB wvont
ctvttc
lo OU -au
^eapu ia ruaooaaoo
dénie „er ur. oanard auquel les intéressés ne
tarderont pas à couper les ailes.
Pour ce qui concerne les patronages il sorait
pourtant facile de Jouer un sale tour à tous
ces cléricaux, ce sorait de citer des noms de
jeunes gens qui seraient obliges d'y rester
malgré e u x . Nos laïques ne peuvent pas
comprendre qu'on puisse rester libromont
dans une œuvre catholique. C'est qu'ils ne
comprendront Jamais la différence totale qui
existe à ce point de vue entre les deux genres
do goupements.
Dans le groupe laïque, on se stnt obligé
d'inBcriro d'office les élèves d'école primaire
supérieure ot les fils de fonctionnaires.
Dans les patronages Catholiques oe sont les
Jounos gens oux-mêmes qui vont s'insorlre
librement et qui quittent aussi librement le
Jour où ils ne veulent pas observer les conditions d'admission.
Le grand moyen d'action des laïquos, o'est la
pression et l'abus du pouvoir. Pour le montrer
il n'est pas nécessaire d'allor à Cascadeo. N'en
avons nous pas des exemples sous les yeux à,
Qulmperlé? Toute l'action laïque à. Quimparté
est elle autre chose qu'un abus de pouvoir?
Confiscation des Ursulines, pression exuroée
sur los fonctionnaires pour lesobligerè mettre
leurs enfants dans dos écoles ou les patronages laïques, obligation faite à dos élèvn.-, de
verser des cotisations pour un group4 dout ils
no veulont pas, faveurs accordées aux amis
que l'on place dans les postes avautag ux,
profits personnels que l'on retire comme libraire des sorvices municipaux, publications
d'arrêtés contra oeux qui no plaisent pas.
D'ailleurs la question qui nous ocoupe a déjà
fait l'objet de réclamations puisque nous
voyons un député M. Pouziu poser cotte question à M. 1e Ministre de l'Instruction Publique
en novembre 1923 : « Est-il exact qu'une circulaire ordonne aux directeurs d'établissements universitaires de créer dans leur établissement une sooiété sportive dont seraient
obligés de faire partie les élèves mêmes externes ? Or le mlnistro a répondu » que l'obligation de faire partie de l'assoolation sportive
d'un établissement d'enseignement n'est pas
Awteùte et Maritime d u
imposée aux élèves et que l'affiliation à des
sociétés sportives extra-universitaires, n'est pas
interdite ».
Comme peur nos laïques il n'y s a oempteç
que ce qui est administratif, j e livre cette réponse à leurs réflexions.
X...
•oï"
FAITES-VOUS
E.
L
HABILLER
CHEZ
MM
E G U E N N O f J
TAiLLKUR
2,
place des Capuolns
QVIMPERLÉ
BONNE COUPE \ j BONNE
QUALITE
Mel'lsur marché que partout ailleurs
Essor
Quimperlois.
— A l'occasion de
la matinée de bienfaisance organisée dimanche
24 par le patronage laïque, on peut féléciter
les acteurs et actrices groupés autour de MM.
Vazel et Biétry pour lexcellente inte--prôtation qu'ils ont donnée de l'œuvre de Dickens,
Nicolas Nicklebiy. Comme toujours, l'assistance a foit goûté vision et violoncelle de
M. Rousï-elie et de Mie Richoux.
Nous répéterons avec un Journal local, combien sont détestables, en tout temps, i'accoustique de la salle des Halles, et «n hiver, la
température de pôle nord qui y régna. Les
acteurs de Dimanche n'ont certes oas été sani
le remarquer. S'ils s'unissaient à nous, pour
persuader la municipalité l'abandonner l'expropriation dus Ursu'hes et de coanan'er c 1
qu'il faudrait de* 400.000 frano-« sa Tiflis, ii
exhausser les halles, d'un oei et ooafortabh
étage, c'est-à-dire d'une ,-a'lo do fêtes, comme
il en faut une à Quirnperlé ? . . .
A propos
dos
Vrsuliues.
M FranSois Ropert, conseiller municipal, nous prie de
dire que dans le vote émis parle Conseil relativement & l'offre de 400.000 francs, aux ayants
droit, il s'est abstenu ainsi que MM. Jelm
Peyron, Salie et Génot. Dont acte «t respectueuses félicitations.
Au « Quotidien a. — Pour l'édification
des rares acheteurs quimperlois du Quotidien,
dussent MM. Coffrantet Le Louédec, vendeurs de
ce journal, gémir de mon Indiscrétion, signalons sa campagne en faveur de la revision du
procès de Goidski, ce juif polonais du Bonnet
Rouge, condamné à 8 ans de travaux forcés, en
1917, par le 8« Conseil de guerre. L'ex-lévite
Gueraut que nous vîmes à QulmperlS, répand
sur le sort de ce traître, des larmes pleines
d'onetion, comme on sait en verser à ia Liaue
des Droits de l'Homme.
f
HORLOGERIE, BIJOUTERIE, ORFÈVRERIE
|J. LE~G0FF
H09L00ER
2, PLACE GAMBETTA (Haut de la rue Savarf)
Q U I M P E R L Ë
i
i
MONTRES
PENDULES,
REVEILS
A TOUS LES PRIX
BAGUES, PROMESSES,
ALLIANCES
BOUQUETS FLEURS O'ORANQERS POUR MARIEES
C A D E A U X P O U R MARIAGES
R . du C, Qulmperlé n- 1838
CV\\V\\\\V\\\\\\V\ AkWWVWVWWWVuC
Méchants
bruits.
— M. Pierre Boulben, bottier, ru« des Ecoles, engagé pour la
durée de la guerre, fut réformé nv 2, en septembre 1910, d'abord i titre temporaire, puis
finalement à titre définitif SI M. tyoulben s'en
était donné la peine, s'il avait f a i l l e s démar
ches nécessaires, s'il ne s'otalt soigneusement
abstenu de toute demande, il eut «té pensionné
comme tout le monde. Mal*, n'ayant pas cru
devoir présenter aucune réclamation, il ne
touche en réalité, nulle pension ou allocation
à ' <tre mi itaire ou civil. Ceci dit, pour mettre
u j terme aux bruits malveillants, que d s gens
intéressés ont fait eirVAer sur so i co npte et
ip r e o r ^ n t a u t comme à charge ù ses conci
toyen*.
Mocaër, Tnuliou, Tramcnurt. Guernec, Gué
guen, Le Goff, Gouzien, Tréguler.
Le coup d'envoi sera donné à 14 heures.
{Communiqué)
Grand bal travesti, — Dimanche soir à l'occasion du carnaval,aura Ueu sous les halles
Saint-Michel, un bal travesti organisé par l'U.
S. Q. Prix d'entrée : 2 francs.
C.P. S M. — Les jeunes gens s'étani liait
Inscrire pour passer l'examen du C. P. S. M.
sont priés de bien vouloir fournir d'urgence
au secrétaire de 1U. S. Q. les renseignements
suivants : Nom et prénoms, date et lieu de
naissance, (Commune, Canton, Département)
classe de recrutement, cainton de recrutement,
et n- dans ce canton, bureau de recrutement,
domicile de la famille, brevets demandés.
latat-Civil.
— Naissances.
— DeniseMario Le' Théon, 4, rue la Motte-Piquet. —
AnnoUe-?erriae-Ro3alie Jolis, Loge-Daniel.
— Yvette-Marie-L'juiso Prat, rue CornicDuchâae. — Hubert-Jean-Louis Février, h
Rosoado. — François-Louis-An toi ne Eaizin,
au Bea .bols. — Marcel Quinio, & Toui anTerriennou.
Publications de Mariages. — Jean-GuiiiaumeMarte Tou.liou, mécanicien, au Poteau Vert
et Mane-Louiso-Josf.puiue Lienry, couluriôre,
au bou-g d-j Guidai. - Guillaume Madec,
sabotier, au bourg de Gui iel et Marie Françoise Le D ire, sans profession, à Guidel. —
Victor Honoré, hor.og'ir. 12, rue de l'Hôpital
et Lôa-Maria Aadroia, sans profession, à
Guiugamp.
Décès
— Marie-Marguerite-Constance L*
M<juë , 29 ans, sans virofession, -'puuse PierroMaruj Dani.il, 2, ru i A i i;au — Louis t Evea,
75 ans, a l'H »spici. - F rançon La G-un, 71 ans,
cultivateur à r H ) - p ' j j . - Marie-Marguerite
Guillou 4a a n s eé.iiwtaire, 10, p'.inv; àiia'»Michei. - Joséphine M >:la, tii an-«, ménagère,
a l'Hospice. — Julien draagou,o 34 ans, cultivateur à Cioh irs-Ûirnoôt, époux da Giéunntine Richard, a Kergant, décédé à l'Hospice.
Horlogerie Bijouterie
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ouôt'
sa*-eM'
IHflUlUUU
M Â DIfiD U ?femme
Tour d'Auvergne, provient le oublio
qu elle a repria ses occupations et se rendra, comme par le passé, à tout appel.
^fl.UES <Sr MUNITIONS DE
Arzano
Abonnés
de » JDihunamb v. — Les
abonnés de la revue bretonne
Dihunamb "
«ont priés d'adresser à M. Mellac, 10, rue du
Gaz, Lorient, le montant de leur année en
cours, !?oit3 francs.
Etat- Civil. — Naissances : Roger Le
Gluatieo, da Kerygunn. — Valentin C o r n i c ,
de K e r i a r e c . — B e r n a d e t t e Henriot, de
Buzedou.
Promesses de mariages : J u l i e n
Moûta-
g n e r , de f o n t Scortr, et Helène Cloarec,
de K e r v e n . — F r a n ç o i s Corderooh de S t Dudeo, et Louise Esvan, de T r e u s o o i t . —
P i e r r e D i i i >1, drt Poat-Scorft « t J e a Q a e
Le Goff, de K e r y h u e l .
Etat-Civil.
Guilligomare'k
- Naissances. - Mathurin
Loriû'.-au, de K*,rouann^o. — Pierre Gloaneo, de Kerlt;gan.
Mari« Le Lan, de
Coat-er-houoh. — Agnès Ev^no, de Ker.oq u a t . — Mévenna Larolu, de Kerlfrgan.
Décès. — Germain Le Gall. d • Kèriouaoh.
— Maurice i u i g o u r s , du b o u r g . — Agnes
Guilloux, de Kerloquet.
Rédéné
La caisse ??? Ce n'est pas de celle da
M. Harin qu'il s'agit, mais de eeUe que s'est
colléa sur le ventre, ne brave Coffrant et sur
laquelle 11 tape i. tour de bras pour attirer les
baJauds. « Camelote royaliste I réaction cléricale! ranl tau! p a u ! vrran! » Au moment où
le parti rat'cal pactise aveo les communistes
qui ont, plein les mains, l'argent de Shaw et
d'Aider, il est. bon de détourner l'attention. Il
n'y a qu'un petit ennui, c'est que la caisse de
Ré lé né n'exis •« p is le moindremeut. Voici en
effet ce que nous écrit le Directeur du Comité
de propagande des Bons Journaux, propagande
rendue plus intense, en effet, depuis le Congrès
de la Bonne Presse :
Rédéné, 19 février.
C h r o n i q a » sportive.
— Lorient Sports
(2) bat U. S. Q. mixte) par 3 buts â 0. Dimanche dernier l'U. S. Q. ne put opposer à Lorient Sports qu'une équipe mixte aomposéa de
I joueurs de 1' équipe et 6 de seconde. Cette
équipe &t malgré tout, très bonne contenance
devant les (orientais qui durent s'employer à
fond pour marquer leurs 3 buts. La défense
qulmparlolse et la ligne de demie, jouèrent
avee un courage digne d'éloges. Le Goff et
Guernae fournirent une trôs Jolie partie et c'est
à eux que l'on doit de n'avoir pas enregistré
un score plus élevé. Tréguler dans les bois fit
du bon travail et les 3 buts rentrés ne peuvent
lui être Imputés. La ligne d'avants composée
de Jeunes Joueurs, manqua de cohésion «t seul
Buzénat s y Ut remarquer par ses efforts personnels. Cl dessous la composition de 1 équipe :
Royer, Euïénat, L. Tréguler, J . Daniel, R. Daniel, AuffnSdou, Guernoc, Mottaln, Le Goff, Ropert, J . Tréguier.
Monsieur le Directeur,
On tient à vous donner quelques rense gnements à p opos de la a prétendue caisse noire
de Rédéu,'! ».
L'Echo l/R Bretagne pré end que des tracts
auraient été distribués dans le-i communes
voisi'.es. C'est un pur mensonge, ies tracts ont
été distribues ùans quelques in.tUo.n^ ¿ u
déué. 30 eu tout.
Par le -<ot « l i b é r a l i t é * » on n'a pas voulu
dire du „• jut qu'il y avait ici une caisse et
qu'on invitait la population à y déposer des
sou^ ; mais on invitait la population à acheter
les bons journaux, i s'abouuer aux bons journaux qui piéchcnt 1 union da tous les Français.
Or l'Union Agricole a toujaurs prêché cette
union désirée et a toujours aussi défendu le
droit.
Veuillez croire. Monsieur le Directeur, aux
sentiments dévoués de l'auteur des tracts causant tant de foin.
Le Directeur du Comité,
Nous n'avons donc pas à répondre à des
questions Idiotes et à des Insinuations enfantines. Si les propagandistes de Rédéué me
font l'honneur de me considérer comme un
Journaliste défendant les idées d'ordre et
d'union entre les citoyens, m'en vais j e leur
défendre de prendre intérét à la diffusion do
ce journal ? N'est ce pas votre correliglonnalre
politique, le Citoyen de M. Le Bail, qui insère,
comme e'est son droit et cela très fréquemrneut, cet appel : < Lisez et faites lire le Oltoyen s.
U. S. Q. (1) eontre équipe nigre du a Libéria ».
— Ce mutch tant atteudu de lu population
Quimperlolse aura ieu, demain dimanche, 2
mars. No is connaissons dès à présent la com
positiou de l'équipe nô«re. Son capltaiue Lou
verture Jouant au postn de demi e ntre est le
pilier du l'équipe. Officier eu second ù bord du
« Libéria ». ce joueur est un descendant direct
de Toussaint Louverture, le fameux défeuseur
de Saint-Domingue. Kiritara, Kouii-Bali et
Dinl-Garbanaba sont internationaux dans leur
pays Aussi 11 est Inutile d'inslstor sur la valeur de cette équipe dont nous donnons cidessous la composition : Kiritara, Amadou,
Koull Bail, Bafouios. Gri-Gri, Breï ma-Diop,
Louverture, Fil de Ba*, Dinî-Garbanaba, Rakoto, Kaliba.
A eette équipe, l'U. S. Q. opposera l'équipe
ci-dessous, la plus forte qu'elle puisse aligner
& l'heur« actuelle ? Euzépat, Ropert, Roger,
Si l'avant-dernler numéro ne contlent.-M pas
cette Invite pressa tel a Profitez dis maintenant
pour faire propager le Citoyen a Nous pensons
bien que la meilleure méthode de propagande
est l'iibonnement, et que pour l'obtenir il faut
le solliciter. Le Citoyen fait il & un acte en
soi hlâmxble ? Vous ne faites jamais cela vous,
ou vos amis pour vous, À Vkcho ?
N'empêche qu'avec tout cela, voici la cinquième fois que nous posons nos questions :
Depuis l'avènement de la municipalité
actuelle, quelle maison fournit exclusivement
les
imprimés ù la mairie ?
L imprimerie
de l'Union Agricole a '-elle,
depuis cet avènement, été mise à même de présenter ses prix ?
,
Une telle adjudication
est elle ou non
légale?
Ne doit on pas attribuer pour cause à l'absence d'adjudicattan,
le fait que M. le
ilaire,
déjà imprimeur, t'est fait Libraire et Papetier ?
M. Pierre Bouibe i n entend nullement par
8& iropre co 'dulte blftmer la grande majorité
île nos réf'irmés de auerre, m*ls, ayant le mérite de ne rien coAtur à la Natioa, il entend
qu'on le reconnaisse.
Saint-Thurien
P ê c h e , — J e a n . . . , 22 ans, domestique, à
Kertsu, le 24 février,-avait tendu six jj^oès flfe
fond, dans l'isole au lieu dit Poat-'Crearâi.
Le lendemain quand vers 7 h. 30, Il rëlirïtl
ses lignes, il eut la désagréable surprise de
les voir confisquer par les gendarmes qui le
guettait et il s'en fut tout, penaud, non sans
avojr été gratifié d'un prooès verbal.
CHASÎE
Bannalec
Grand
mariage.
— Mercredi 27 février,
a 11 heures, en l'église paroissial«. Mademoiselle Noëlia Biger, fille du sympathique notaire,
épousait le docteur Lefranc, ancien Interne
des hôpitaux de Paris, chirurgien du Sanatorium de Roscoff.
•
L'église était magnifiquement décorée par les
soins des employés de M Paul Le Oraad, de
Quirnperlé, Madame Le Grand y mit la dernière
main. Toutes sortes de plantes vertes et de
fleurs blanches (oeillets, lilas blancs, boules de
neige, azalées, acca da. karitia, drasena, phénix,
formaient un ensemble eharmant.
Un long cortège d'invités, de pjerentt et
d'amis rem glissaient l'église et la tribune eiiemême était comble, lorsque au bras de M*
Biger, s'avança la Jeune mariée, tout« charmante sous ses loDgs voiles blancs, et M. Lafrane
accompagné de sa sciur Mme Païen, de Piérin
(Côtes <iu Nord).
La bénédiction nuptiale fut donnée par M. 1«
chj"olne Lvfranc. de Malestrolt, oncle du ¡>ôu\eiiu mnFié. Dans une touchante allocution U
rappe la la grandeur du mariage chrétien.
Une nouvelle vie s'ouvra devant •ous.dit-U,
aux Jeunes époux, vous aller former une bnioa
dans les liens sont indissolubles en ce monde.
Vous vous proposes d'être heureux ensemble.
Pour cela, vous voulez toujours vous aimer et
vous aider mutuellement. Le meilleur nioyeu
d'atteindre votre but c'est de deman<ler sincèrement à Dieu de s'associer avec vous', afin
que sa bénédiction ne soit pas une sorte de
formalité, mais une réalité ».
Et M. le chanoine Lefranc, rappelle que c«
n'est que dans l'observation de la loi d« Dieu,
dans la fidélité aux pratiques rellgienees qu'est
la source du vrai bonheur. Pals, aprèaun éloge
délicat de la nouvelle mariée, élevée chez le*
religieuses de Nantes, où elle a laissé le melN
leur souvenir, de ses habitudes chrétiennes, Il
nous donne quelques détails du docteur Lefranc
qui a toujours m-né une vie conscacrée au
travail et à l'accomplissement du devoir. A ta
mobilisation, dragon & Nantes, il partit immé<
diatement pour le front. Pendant le recul fran«
gais à la Fère-en Tartenolse, désigné pour
garderies blessée français, qui allaient être
fait prisonniers, avant l'arrivée des Bochea, il
réussit à les faire évacuer grtee A son sangfroid. Sa belle conduite lii valut la croix d«
guerre.
Depuis. 11 a appliqué son intelligence et «or
énergie à se créer une situation enviée, et le
?Spè itil SieEie a ViûaOïfc à'iïïft'îàVSÛÏ SpÊc'A\t
le Sanatorium de Roscoff, dont le doctera Lefranc coutribue à issurer la renommée et It
succès.
«s
Maintenant il ne sera pins seulà lutter contr«
les difficultés de la vie ; sa compagne le secondera; elle lui créera un intérieur oft il se reposera où 11 sera heureux : « Chera Jeunes gent,
dit M. le chanoine en terminant, puisque tout
vous présage un avenir heureux, serves les
desseins de la Providence, répondez & ses vues,
menez une vie sérieuse et utile à tous dans
l'accomplissement de tous vos devoirs, et vous
trouverez un bonheur durable môme en cett«
vie ».
M. Joncour, curé de Bannalec, célébra ensuite ia messe.
Le service d'honneur était fait par M. André
Chardon et Mlle Simonne Cenévet; M. Raymond Coadou et Mlle Elise Daniel; M. Emile
Barat et Mlle Yvette Canévetj M. Ren« NIhouaze et Mlle Yvonne Coadou.
Les témoins de la mariée était M. Coadou
minotier, aux Gorrêts, en Qulmperlé,etcelul du
marié, M. Albert Lefranc, industriel & Sury.
Cantal (Loire), frôre du marié.
Au cours de la cérémonie plusieurs morcenux de musique le Déluge de
Saint-Saint.
l'Adagio de la Sonate Pathétique
de Beethoven
sorlio de Boëlman exé utés par violon, violoncelle et harmonium, p usieura chants, un Aoe
Maria et un O Salutarit de Oounod, exécutés
par Mme Jeanne de Guardla professeur de
chant, à Lorient.
A la sortie, aux abords de l'Eglise, il y avait
foule sur la place pour le défilé.
Un banquet de 40 convives, eut lieu chez M. '
Biger.
Aux nouveaux mariés nous renouvelons nos
souhaits de bonheur et nos compliments à
notre ami M* Biger.
Cloliars-Carnoët
Auto
contre
cycliste.
— Dahs l'aprèa-
mldi de vendredi, S2 février, M. Brangoulo,
34 ans, prepriétaire à Kergant, s'en revenait &
bicyclette dn marché dé Qulmperlé. Arrivant &
Ker Anna, il aperçut une .charrette stationnant
aur l'accotement droit 4« la route, M» fin«?
Vitré
£b Protection
du Tricot
à lm main
— Au c o u r s de l'assemblée générale de
r « Union des Industriels et
Commerçants
vitréens » M. J e a n Choleau, f a b r i c a n t de
b o n n e t e r i e à Vitré, p r é s i d e n t de la Fédération régionaliste- de Bretagne » a exposé
la proposition de loi de M. Victor Constant, d é p u t é d.e la Loire, relative à la
protection de la dentelle à la m a i n et son
extension à la p r o t e c t i o n du trioot à la
main.
La question intéressait plu» particulièr e m e n t Vitré qui, do tous t e m p s a été un
c e n t r e d e s p l u s i m p o r t a n t s de la fabrication à l'aiguille d'articles de laines, et en
particulier de l'article e n f a n t s .
Les Chambres de Commerce, dit le conf é r e n c i e r , les associations syndicales ont
émis des avis contradictoires s u r l'opport u n i t é de la proposition de M. Constant,
m a i s il y a u n e forte m a j o r i t é en f a v e u r
de la protection de la dentelle à la m a i n .
En s e p t e m b r e d e r n i e r , M. Choleau avait
saisi de la question la « Fédération régionalisé de Bretagne », au cours de son congrès de Quimper. Celle-ci, où sont nomb r e u s e s les a d h é r e n t e s dentellières, s'est
r a n g é e à l'avis de M. Constaut et, inno
JrjroM*« — Rencontré & la Grande Lande, vation, a d e m a n d é que la m e n t i o n disen Clohars-Carnoèt, le 21 février, à 10 heure.0,
tinotive porte indication du lieu de fabrien état complet d'ivresse, par les gendarmes,
cation.
Louis..., de Kerez, en Quimperlé, a reçu le
M. Taurines, député, r a p p o r t e u r de la
royal oadeau d un p. v.
proposition de loi, a déposé u n texte qui
donne satisfaction, et à M. Constant et
Me é l a n
aux Chambres de Commerce du Puy et
Au Tribuuml.
— Mercredi 27. à l'audience
régionaliste
civile. M* Frédéric Barbe, fils, nommé notaire d'Alencon, et à la « Fédération
à MoéUn, p*r décret présilentiei, eu d*te du
de Bretagne ».
19 février 1924, & la suite de la démission de
Ne peut-on, dit M. Choleau, faire un
M* Barbe, son père, a prêté sermeut eu cette
r a p p r o c h e m e n t e n t r e la dentelle à la m a i n
qualité. .VI* Btrbe, père, exerça les fondions
et le tricot à la main, toutes deux i n d u s notariales de 1886 à 19M. succédant lui m£me
& sou père qui les occupa de 1847 à 1880, après tries du foyer, toutes deux d o n n a n t aux
o u v r i è r e s q u i s'y livrent u n salaire apson beau frère. M' Gorré juer, nommé eu 1835,
préciable ? Ne peut-on faire u n a u t r e r a p et qui, de Lothéa, transporta l'étude à Moëian.
p r o c h e m e n t e n t r e les f r a u d e s dont sont
Paisse le Jeune notaire, qui continue cette
honorable liguée d'officiers ministériels, vavictimes le tricot à la main et la dentelle
quer lui aussi de longues années à sou o£Qcel
à la m a i n ? Qu'on n'aille pas oroire surtout q u e n o u s avons l'intention de dresPont-Aven
ser
l'un oontre l'autre le tricot m é c a n i q u e
O r a n d * Cmrmlcmde.
— Le mardi i
et
le
trioot main ; l'un et l'autre s o n t nébars, une grande oavalcade est organisée à
cessaires,
ils r é p o n d e n t à des besoins et
Pont Aven :
à des g o û t s différents.
A 14 heures. — Défilé de travestis avec le
C o m m e n t défendre le tricot à la m a i n ;
concours de la Lyre Pont AvennoUe.
cette i n d u s t r i e qui, à Vitré, e u t autrefois
A l'issue du délité, danses bretonnes au son
du biniou.
des j o u r s de gloire et de prospérité sans
Le soir, à 20 heures, Orand bal travesti.
égale, et qui, a u j o u r d ' h u i enoore, oooupe
u n e p a r t i e i m p o r t a n t e de la population
Nixon
feminine
MtMt-Ciril.
— Naissance. — J e a a n e
En d e m a n d a n t h MM. Constant et TauThairon. Kôrigazul.
rines d ' a j o u t e r aux textes de leur pro
position de loi et r a p p o r t les m o t s ; trioot
Kornévol
à la main.
Mon*ce»
à s a huiteier.
— M* Baron,
Un a u t r e moyen qui p o u r r a i t se concihuissier k Banaaleo, s'étant présenté, le
lier aveo le p r e m i e r serait la création par
18 fétrier, vers lô h. «0, chez Ie3 ôuoux
u n e « f u t u r e Chambre syndioale de la
Laurent, de Lande-Calvez, pour piaoar.ler
bonneterie de Vitré » d'une m a r q u e ool
une afflohe relative & saisie mobilière,
lective syndioale qui, en facilitant la disfut reçu assez mal par les saisis. Sitôt
tinction e n t r e les deux m o d e s de fabriqu'il eut exposé le but de sa visite, Mme
cation serait en m ê m e temps, u n e réLaurent, 51 ans, s'adressa & son mari
clame p e r m a n e n t e p o u r le t n o o t de Vitré.
oorame p o u ç r e n o o u r a j a r : « Allons AlM. Cnoleau oonolut en s o u h a i t a n t q u ' u n
fred 1 », puis elle maroha sur l'offloier
j
o
u
r proohe les n o m b r e u x f a b r i c a n t s do
ministériel, le traitant de voleur. Elle
bonneterie de Vitré s'unissent en v u e de
ajouta qu'avant la vente, elle préviendrait
M. le Prooureur de la République afin la proteotion et de la vulgarisation des
produits si r e n o m m é s J e leur vieille Inqu'il visita les lieux, objets du litige aveo
dustrie.
le voisin Nioolas. Puis elle tenta d'arraMon f o r t l ' A m a u r y
cher l'affiche qu'il s'apprêtait à coller à
la porte. L'huissier observa qu'il n'avait
Le b a t t e do Léon
Darochec.
—
point peur. Alors, Laurent, lui-môme,
L'Inauguration de ce buste, qui sera l'œuvre
du bon scu pt ur breton, Louis Nicot, aura
h o m m e de 52 ans, loin de «»aimer son irHeu, au prochain Pardon, le premier dlmanritable épouse, intima à M. Baoon, l'ordre
de sortir. Mme Laurent profitant de oe eh« île juin 1924.
Faire parvenir les souscriptions au trésorier,
que l'offloier ministériel tournait le dos,
M. Duvanel, artiste peintre, t , rue Leelerc, Palui envoya une poussée en l'injuriant de
ris (14'j ou au journal La Bretagne à Pari», 11,
plus belle. Ses olameurs attirèrent la prérue Saint Augustin, Asnières.
sence du oharron de Lan Kerouao, M.
Ponr tom renseignements s'adresser au SeYves Durand, 51 ans, qui travaillait à crétaire du Ceinlté : Docteur Larcher, 1, rua dn
Lanrintin, à 100 métrés de là, oh-z M. NiDôme, Paris (lfl«).
•olas. Malgré le témoigaage de oe dernier,
Parts
l e s époux Laurent alllrment avoir traité
A n Cercle
Celtique.
— Dimanche 17
l'huissier aveo la plus grande douoeur et
février aux salons du Progrès, rue Lccourbe,
s'ôtre opposés très poliment à l'apposidanses bretonnes et nndernus, chants bretons
tion de l'afûohe l
et françnls. Beaucoup le blgondènes et da eastelîlnolses. Chants français et bretons, o«s derniers p»r MM. Le Cuaff et Le Roy. Bu somme
Querrlen
très intéressante matinée.
A « a * lumière.
— François, 18 ans, cultivateur à Oennec, ci -jalt qu'à son âge on
lyon
; "
voyait assez clair pour se passer de lanterne.
Lei <lmrn de S etagne.
— M. Sullian
Le 25 février à 19 h, 20, les gendarmes ne l'en
Collin, dt légué de la F. R. B. pour la Lgonnalie
ttsdktai ?23 de sti oreUh, lonqa'Hs !s rez- a présHé le 17 février, au restaurant Oaud, le
eontrêrent, sur la route de U. C. en Trémeven.
banquet-/hiver de cette soelété bretonne. Une
t
p trtie de coucert a suivi, au ir 'tirant de laQu' û p s r
quelle M. Yves Pavec a donné la; ¿oie celtique.
l a i a a o i * a * du 80• C e s — Les an
Cannes
dans poilus du 89' territorial sont Invités & asV
i
l
l
a
JBxoeltior.
— Lettre suit Incessister à la réanlon qal se tiendra, salle Bersamment.
nard, me Bile Frôron & Quimper, le dimanche
8 mars prochain, A 10 heures du matin.
Ordre dn Jour : renouvellement du bureau,
organisation du banquet, questions diverses.
gonlo prit la gauche, et entendant une auto
corner derrière lui, bien que la route fut assez
large. Instinctivement 11 voulut traverser pour
prendre «Làreft«. A ce moment il fut happé
par l'auto du 1> Leiort, qui maigri b sang-froid
da chauffeur, ne put éviter la collision. Le
panne Brangaulo dût probablement cogner
la tîta an radiateur et vint s'affaler anr le garde
erotie. Anatltôt son anto arrlté, le D< Le/ort,
eonstata que la victime était dans le coma et
teignait de l'oreille: Aidé de personnes qui se
trustaient A proximité, il transporta la victime,
pat son auto, chez M. Bernard, adjoint-maire,
au bourg, où les premiers soins lui furent prodigués. Le lendemain. M. Brangouto fut dirigé
sur l'hôpital de Quimperlé, oû les praticiens
qui le soignaient avaient bon espoir de le sauver, mais malheureusement, la fatalité s'en
étant mêlée, la victime ayant une congestion
polmonaire, tout espoir fut perdu. Aussi succombait elle mercredi dans l'après-midi, laissant nne jenne veuve dans le désespoir et
3 petits orphelins en bas fige, l'aîné ayant daus
les 3 ans.
M. Brangonlo est le neveu de M. Joseph
Tanguy, le sympathique conseiller d'arrondisment et. gendre de M. Joseph Ricturd, ancien
adjoint au Maire de Clohars-Carnoët, disparu
à.'Salonique,. pendant la grande guerre.
A sa veuve éplorée. aux familles Brangoulo,
Tanguy et Richard, l'Union Agricole offre ses
pins sincères condoléances.
exemptées de la taxe sur le chiffre d'affaires et
sont, ou contraire, expréssément visées par
l'art 63 de la loi du 25 juin 1920,
En conséquence, l'arrê'.é entrepris a Cté annulé
et la contrainte dCcercís centre 1* bailleur a
été déclarée valable.
Il a été demandé au ministre :
I a Si l'impôt sur le chemin d'affaires (art. 63
et 64 de la loi du 25 juin 1920) est applicable
aux villas ou immeubles loués dans les stations
balnéaires ;
2- SI le propriétaires de villas ou immeuble?
loués meublés dans les stations balnéaires, est
passible, lui rentier, d'une patente de loueur
meublé.
Le ministre a répondu ;
« qu'ils soient ou non assujettis & l'impôt
cédu'aire sur les bénéfices industriels et commerciaux et agissant en qualité de propriétaires ou de locataires, les loueurs de villas ou
dappartement meublés sont redevables de
l'mpfit sur le chiffre d'affaires aux taux de
3 0/0 ou de 10 0/0 si leurs villas ou appartements ont été classés dans la deuxième ou
première catégorie par les commissions compétentes. Cette règle qnl procède des dispositions de l'article 63 de la loi du 25 juin 1920,
alinéa 1' et 2', se trouve confirmée par le texte
impératif voté par la Chambre des députés dans
sa première séance du 21 )uin 1921 au cours
de la discusión du projet de loi tendant à modifier certaines dispositions relatives & la taxe
sur le chiffre d'affaires.
« En ce qui concerne les loueurs de villas ou
d'appartements meublés non classés, 11 conconvient de distinguer entre ceux qui sont cotisâmes & l'impôt sur les bénéficces Industriels
L ' a s c e n s i o n d e l a livre.— La livre de et commerciaux, comme tenanciers d'établis48 en avril 1922 monte à 72, en janvier 1923, sements aménagés spécialement pour la locaà 85,6 en décembre 1923, pour atteindre 96 et tion et auxquels un personnel de service est
affecté, et ceux qui ne le sont pas. Les premiers
plus en janvier 1924. Elle a clôturé jeudi à
tombent sur le coup de l'art. 59 de la loi du 25
104 francs.
juin 1920 et sont sommls à l'impôt sur le chifLa Limitation d e s Exportations. —
fre d'aflaires au taux de 1, 10 0/0 ; les seconds
Le Journal officiel a publié hier matin un dé- en sont exempts, comme n'appartenant à aucret rendu snr la proposition du ministre des cune des catégories de redevables visés par le
finances, et instituant des droits de sortie ad
dit article.
valorem de 10 0/0 sur les chevaux, juments, et
« Conformément à la jurisprudence du Conpoulains, & l'exception des animaux de race seil d'Etat le propriétaire visé dans la question
^ Inscrits au livre généalogique, chevaux destinés doit être considéré, comme exerçant la profesà la boucherlâ, mules et mulets, Anes et fines- sion dp « loueur de chamcbre ou appartements
ses ; 16 0/0 sur les fromages de toute sortes et meublés », et 11 est redevable, par suite, des
les légumes secs } de 10 0/0 sur les légumes droits prévus par le tarif des patentes pour
frais et d* 8 0/0 sur les fourrages.
cette profession.
Le Journal officiel a publié un autre décret,
Du Journal de Dinard
rendu sur la proposition du ministre du commerce, prohibant la sortie des laines et cotons
C l a s s e 1 0 3 4 . — Le premier contingent
et de leurs déchets, mais ne visant pas ces fils
de la classe 1924 sera appelé à partir du
et tissus et leurs produits manufacturés.
10 mal.
a Le ministre de l'Agriculture rappelle de
nouveau que les exportations de bétail sont
interdites depuis le 6 avril 1923 et qu'en dehors
PARLEMENT
de la France, de ses colonies et de la Sarre
compiise dans 1b territoire douanier français,
aucune exportation ne serait tolérée par l'adChambre
ministration des douanes qui est chargé d'exerLea
projets
financiers
du gouvernement,
cer à cet égard la surveillance la plus vigivotés par la chambre, ne devant devenir délante ».
finitifs qu'après le vote du Sénat, l'Union
«. »
Agricole en donnera alors le texte.
Les Allemands continuent de rafler en Franœ
- La Chambre s'occupe de la répression de
bestiaux, chevaux, denrées alimentaires. Le
la
hausse illicite. La Chambre discute un progouveruemenl élève les taxes sur certains produits exporté«. Est ce suffisant en face de la jet de loi ayant pour but de modifier les art.
baisse du franc ? Ne pourrait-on interdire toute 412 et 42'J uu code pénal et d'Instituer la déclaration obligatoire des ententes commerciales
sorti* de denrées ali mentaires, pendant un,
deux, trois mois ? Est-ce trop demander aux ou industrielles, M. Engerand s'élève contre ce
rétablissement déguisé de la législature de 1916
expéditeurs de s'abstenir pendant ce temps de
La meilleur moyen dit-il, de combattre la vie
s'enrichir aux dépens de leurs concitoyens, et
chère est d'intensifier la production et de reve
de se prêter à l'^ff ilement organisé par nos en
nlr & l'époque où ta France se bufiisalt & elle
nemln de tontes -ortes eu coï icldnnca avec les
même. M Constant proteste contre toute déterélections, ufin da pousser la Nation d m s les
mination
du bénéfice chez les commerçants.
bra- de» Partis de Gauche partisans de toutes
Lu
prix
d«
la vie n'est établi que par le gros
Us abdications ?
manufaetudrr et le pro lucteur II ajoute que
c'es; au con>o.':joiatenr à faire la police de la
A la dr<tc du 26, U ministre de '.'Agriculture vie chèm. A tretols ou m.rchaudalt. La classe
démrni qu'au une sortie de bétail *>t eu lieu, ouvrière a perdu ces saines habitudes; des mé•n raison de l'inierdiotion visée plus haut. nagères achètent à prix élevés aes denrées que
Dont aote I
• les bourgeois n'osent et d ailleurs ni peuvent
\ t t e n t i o u a u x p i è e e s s u i s s e s t — plus aborder ». Cela déch Une les colères des
socialistes et la constatation est pourtant juste.
Uu certain nombre de pièces suisses de 0 fr 10
— Le Gouvernement et la Chambre se refucirculent en ce moment. Comme elles sont
sent & instituer un débat sur la mort do Phiassez semblables par la couleur et la dimension
à nos anciennes pièces de 0 fr. 50, o.i ne sau- lippe Daudet, à la suite d'une interpellation
Buisson, président de la Ligue des Droits de
rait trop y faire attention.
l'Homme et du Citoyen, toute heureuse de
L a v i e c h è r e . — Il n'est pas qu'au seul
i occaslou qui se présente pour donner à croire
romè.ls contre la vie chère. Ses causes sont
aux popnlatlons, dans la personne dn Royaliste
complexes. L'une d'elles est la préférenec attriDaudet, que sa sollicitude s'étend & tout le
buée paf toutes les ménagères, tous les gourmonde. Daudet est en effet un gros morceau et
mets R tel ou tel morceau et le dédain affiché cela fera bleu dans nne discussion, pour M.
pour tel. ou tel autre. A Bruxelles, nn maître
Guernut.
de la cuisine française, Panl Bouiilard, aborSénat
dant le douloureux problème du beefsteack, a
Lô Sénat vote une loi sur les incompatibimontré qu'il y avait un moyen de le résoudre.
lités parlementaires, interdisant à tout foncC'est de ne pas manger toujours de beefsteack,
tionnaire public da faire partie des Assemrien que du b«efstoack,.. C'e. t do ne pas déblées parlementaires, ainsi qu'à tous ceux
daigner ce que les sots appellent l?s v bas morexerçant une fonction dans une société financeaux ». C'est do permettre aux bouchers de
vendre intégralement leurs bœufs, leur; • mou- cière faisant appel à l'épargne et au crédit.
Parmi ces fonctionnaires, 11 n'est fait exceptous et leurs veaux. C'est de ne pas« croira
tion que pour les ministres et souB.-nscrétaires
qu'il n'y a dausK-n bœuf qua du filet on du
ii'JS'S.V
Ç'f^t justement là. è n ot» ivi^. nin'jl
rxizskssk,
dsas :>P resa qxs ds resz&!cps, ->
y avait réforme à faire: la stabi, 4( ^ ministédans un mouton t «e du gigot. C ent de revenir
è la vieille culsln» da nos pères et de faire rielle aurait tout à gagner, si les* ministres
étaient pris en dehors du Parlement.
mijoter sur le feu de braves ragokts dé Socratiques. de bonnes daubes nourrissantes et
onctueuses, de bons sautés de veau et de fins
EXTERIEUR
mire ton».
Les enquêteurs anglais et américains se sont
L o c a t i o n s . — Par circulaire du Garde
rendu compte que seule l'Allemagne débardes Sceaux, ministre de la Justice, en date du
rassée de sa dette intérieure par l'avilissement
2 février 1924, il est fait savoir que 1RS loca- du marck et en présence d'une dette extérieure
taires dont l'entréo en jouissance est posté- pour réparations, de 132 milliards, a voulu
rieure t. l'année 1914 et désirant connaître
faire échouer leur plan.
quoi loyer était payé par leurs prédécesseurs,
M. Mac-Dounald reniant son ministre de l'inU n r e p r o c h e qui s e r e t o u r n e c o n - celte année-là, doivent adresser au Juge de
térieur, après les scènes gallophobes de mardi,
paix de leur canton une requête motivée, afin
t r e s o n a u t e u r , — Plus de 0 milliards de
aux Communes, assure vouloir exécuter le
bénéfices de guerre ont été recouvrés depuis 1020. d'en obtenir ordonnance les autorisant à se traité do Vcr-ailles. Cependant, sa décision de
faire délivrer, par l'Enregistrement, un extrait
— a Avant de deman 1er de nouveaux impôts,
réduire à 5 0/0 la taxe de 26 0/0 sur les imporrelatif à leur location. Il sera payé à cette
faites payer ceux qui existent. • Ainsi s'expritations allemandes en Angleterre, cause un véadministration 1 fr. pour recherche de chaque
mait M. Herriot, chef du parti radical, à la
ritable émoi chez les industriels britanniques.
année
et
0
fr.
50
pour
chaque
extrait,
outre
le
séance de la chambre du 20 Janvier dernier.
L'Angleterre perd ainsi une vingtaine de milpapier timbré.
Sous une forme très générale, le conseil de M.
lions de livres sterling par an, et abandonne
Herriot est très acceptable, et nombreux sont
V i l l e s m e u b l é e s . » Le loueur de villas son point de vue protectionniste. De plus, elle
les simples citoyens qui, comme vous et mol, meublées qui ne fait pas une profession de cette
peut craindre l'importation chez elle, de marsont tentés de lui donner raison.
location est-il redevable do l'impôt sur les bé- chandises allemandes & bon marohé.
Mais un examen plus attenlli des faits et la
néfices. insdustrlels et commerciaux et de la
— La démission du cabinet Theumis ouvre
suite des débats parlementaires nous appren- taxe sur le chllre d'affaires?
une crise grave en Belgique, et aura son retennent qne certaines situations sont moins simtissement en France. La convention économiC'est cette question que le conseil d'Etat vient
ples que le laisserait croire le eonseil de M.
de trancher à l'occasion du recours d . n t il était que franco-belge est à terre. Ou parle cepenHerriot.
dant d'une combinaison dans laquelle, sur les
saisi pat le ministre des finances contre un
Le Ministre des Finances ne fit aucune dif- arrêté du conseil de préfecture de la Charente- Instances du Roi, rentrerait M. Theumis et l'on
ficulté à avouer que 6.464 millions de bénéfices Inférieure, déclarant non imposable M. Masslou
assure que les sentiments francophiles des
de guerre n'avait pas été payés. Mais il indiBelges ne sont pas entamés.
qui avait loué la villa meublée qu'il possède à
quait en mOme temps comment se décompoRoyan.
sait cet arriéré. Le passage vaut d'être cité,
Le conseil d'Etat déclare dans EOQ arrêt
Mercuriale
du 22 février
1924. —
d après le Journal officiel du 27 janvier :
qu'aux termes de l'art 59 de la loi du 25 juin
T
a
u
r
e
a
u
,
le
kilo.
3.00
à
0.00
;
bœuf de
Cet arriéré comprend :
1920 l'impôt sur le chiffre d'affaires est dd, no« 2.600 millions non recouvrés en vertu de tamment par les personnes qui habituellement
bouoherie, le kilo, 3.&0 à 0.00 ; vaohe de
l'article 15 de la loi du 31 Décembre 1918, qui
bouoherie, 2.40 à 2.50 ; vaohes laitières,
ou oocaslonnément, accomplissent des actes
a, eu effet suspensif aux pourvois devant la
relevant des profession assujetties è l'impôt sur
500 à 1.000 ; g é n i s s e s et vaohes pleines,
Comisslon supérieure.
les bénéfices industriels et commerciaux insti600 à 1.600 ; poro, le kilo, 5.20 k 5.60 :
643 millions non recouvrés en vertu de l'artué par l'art. 1- de la loi du 31 juillet 1917. Il
m o u t o n , 3.50 à 3,60 ; v e a u , 4.40 à 4.70 ;
ticle 3 de la loi du 7 mars 1921, accordant un
ajoute, d'une part, que les bailleurs de villas
f r o m e n t , les 100 kil. 98 à 100 ; seigle, 72 &
effet suspensif aux demandes de taxes.
meublées sont égslement passibles du dit im400 millions faisant l'objet de sursis en vertu
pôt alors mâma qu'ils n'assuraient pas le ser- 75 : orge, 88 à 90 ; s a r r a s i n , 88 à 90
avoine, 63 & 65 ; p o m m e s de t e r r e , les
de l'article 19 de la loi da 20 Juin 1990.
vices des lieux loués et d'autre part, que les
Au total, actuellement, 5,643 millions non affaires afférentes au logement n« sont paa
100 kil. 50 à 52 ; foin, les 500 kil. 165 à 175 ;
AU JOUR LE JOUR
Ploneseat
J l s a i f * de miduillet,
— Dimanche 17
ffvrier, M. P. Trémlntln, maire, a remis, ft
l'issue de la grand'messe, la médaille d'hon»
nenr et dn Travail de la Marine Marchande, &
deux Je nos vieux lonps de mer :
M. Louis Kermo&l, de Ponlfoen, 73 ans, dont
57 de navigation ;
M. René Pieyber, de Goas-Vlan, 40 ans de
navigation.
Félicitations & ces denx braves.
Languldio
Bibliothèque
acolmire.
— M. Joseph
Quillerme, maire de Laognldlc, du Comité de
Direction de la F. R. B. nous communique la
délibération suivante dn Coaseli municipal,
digne de servir d'exemple à toutes les muni
cipalltés bretonnes :
Connaissance est donnée au Conseil d'une
demande des instituteurs et institutrices de
Langroix qui sollicitent une subvention communale en faveur de la bibliothèque scolaire
dés écoles de cette iooalité.
Le Conseil après en avoir délibéré, vote, &
cet effet, un erédlt spécial de 100 fr. au titre
de l'exercice 1924, en exprimant le vœu que
cetia bibliothèque serve de préférence au développement moral et professionnel des enfants, par 1'aahat des ouvrages techniques et
historiques concernant notamment les travaux
manuels, les travaux agricoles et horticoles, la
Langue, les coutumes et l'histoire de la Bra»
recouvrés en vertu de dispositions législatives
diverses.
Il faudrait ajouter encore encora 1 milliard
environ qui. na peut être perçu en vertu de la
Ici ricenic'du SOjuin 1923, par laquelle Bjons
avons accordé aux mobilisés la faculté de demander le rembouraemement des Impositions
établies sur les affaires qu'ils avaient pu faire
au lendemain même de leur démobilis.atloD.
Voilà ce que comprend l'arriéré, dont on fait
toujours état. Mais si l'on veut bien regarder
n,on seulement ce qui reste & recouvrer, mais
aussi ce qui! a été recouvré, on constatera, monsieur Herriot, que de 1916 & 1$19, pendant la
période où se réalisaient les bénéfices de guerre,
il n'a été encaissé que la somme dérisoire de
1. 328 millions, alors, qu'avec la législature
actuelle, depuis 1920 jusqu'au 31 décembre
1923, a été perçue la somme considérable de
9 . 446 millions.
C'est donc nous qui avons recouvré les bénéfices de guerre. Voua ne pouvez pas soutenir
le contraire.
Encore un argument auquel le Bloc des Gauches devra renoncer. Il espérait bien exploiter
ce non paiement sur les bénéfices de guerre.
Mais voilà que le reproche se retourne contre
lui. il eu est d'ailleurs ainsi de presque tous
les griefs que M. Herriot, ses amis et ses associés formulent & l'adresse des hommes et dos
partis qui but travaillé à là restauration nationale.
Il est bon, croyons-nous, que nos amis et
nos propagandlses connaissent les chiffres cidessus et sachent quel cas il faut faire des conseils de M. Herriot.
A. ALBARET
paille, 110 à 120 ; son, les 100 kil. en gros,
62 ; au détail, 70 ; f a r i n e du pays, 128
à 130 ; de l'extérieur, 131 à 133 ; b e u r r e ,
la livre, salé, 6.75 à 7.25 ; doux, 6,00 à
e.EQ ; œ u f s , ia douzaine, 4.00 à 4.50 ; p o u lets, la couple, vieux, 26 à 2S ; j e u n e s ,
15 à 17 ; oidre p u r j u s , 160 à 170 : o r d i n a i r e ,
ordinaire, 120 à 140.
MAISONS D'ARTISTE^ EN BRETAGNE
La « Vie à la Campagne » consacre dans son
numéro 248, sous la signature de son directeur Albert Maunjene, deux Monographies
admirablement Illustrées à denx Maisons d'Artistes ; Çlairefontalne, Logis d'Artiste Parisien
à Madame Maufra à Karostin-en-Saint-Pierre,
Qulberon (Morbihan) et Ty Santez Anna, Maison d'un Enlumineur. La première monographie vous montre comment un peintre a tiré
parti d'une des rustiques Maisons » de paille »
d'un village de la presqu'île de Quiberon, en
la rendent suffisamment confortable pour
être habitée d'abord l'Eté, pui3 toute l'année
et comment il a arrangé intérieurement cette
Maison avec des meubles régionaux et des
bibelots, mis en valeur avec ce goût très tin
du citadin qui se compose un intérieur aux
champset considère les productions rustiqv.es
et objets d'autrefois aveo tout i'intérêt qu'elle»
comportent. Dans la deuxième monographie
vous voyez comment mystique dans sa foi
passionnée de breton, un délicat imagier qui,
dans ses œuvres, perpétue la tradition moyennageuse et affectionne ia massivité des intérieurs de manoir aux robustes architectures
intérieures, a composé le oadre de sa vie
familiale dans un décor de façades de lits
clos, de coffres, de berceaux et de rudes
ustensiles ménagers qui font, dans une reconstitution intégrale d'un logis d'Armor du
XVIII* une manière de petit musée privé.
La "Vie à la Campagne" a d'ailleurs publié
dans sa série Numéros exeptionnels un Admirable Volume-Album ; Maisons et Meubles
Paysans et Bourgeois (200 gravures, prix û
francs.) dout iei quelques exemplaires qui demeuent s'épuisent rapidement. "Vie à La Campagne" consacre en outre dans chacun de ses
Numéros, une description illustrée à une Maison des Champs, (Cottage, Villa, Gentilhommière, Château, etc.) ses Jardins, ses Elevages, ou Culture, etc. Les adaptions dont elle
a été l'objet comme centre d'activité d'un domaine rural ou comme exemple concret de la
mise en valeur d'une exploitation. Vous lirez
de plus |avec intérêt par ces temps de via
chère et de Production Intensive profitable,
toute une série de préoieux conseils, par le
Texte et par l'Image, à la façon du Cinéma,
qui grave ô jamais le sujet dans la mémoire.
Vous constaterez que « Vie à la Campagne >»
remplit intégralement son Rôle de Conseiller
et de Réalisateur immédiat des Productions,
des Revenus et des Economies. Prix un
numéro 248. — 3 fr. 50. Librairie Hachette,
79 Boulevard St-Germain, Paris (VI-).
LA REVUE
HEBDOMADAIRE
Publie dans son numéro du S3 Février -192u
Après les funérailles de Lénine, par A. do
Monzie, sénateur du Lot.
Jusqu'au bout de la chaîne (I), par Joseph
Conrad.
Conférences de la Société des Conférences
Ce qu'en penserait Louis XIV, par M. Louis
Bertrand.
BALZAC. IV. Le Roman dt la vie " L'Etrangère ", par M. André Bellessort.
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scieur de long, de Rouzlc-Pofts.et J o s e p h Colin,
meunier a n Moulin R e n é , tous de Nizon, ent r è r e n t RU débit FlaÔ, à l a Croix-KerangfllCornée, en Kernévcl. S o a d a l n . un c o n s o m m a t e u r , Joseph Hervé, du Lentéo. dans la m6ir.fi
somtmune. vint t r o u v e r L e B l h a n e t l u i û t
m o l r qu'il était « capable
pour lui. I l l ' i n vita, iia plus, il s o r t i r . L o r s q u e les deuz c h a m pions furent s u r l a route, A r m a n d P o r t a i ,
beau*frèra d u débitant, décocha deux coups
de poing ft Le B l h a n , en pleine figure. Celui-ci
M s e défendit point. De r e t o u r a u débit,
P o r t a i attribua e n c o r e des coups de poing à
Qoaper et le mit à la porte, i l le suivit ensuite
Bar la route, lui bailla un s u p p l é m e n t de coups
de poing e t le terrassa. Hervé e t P o r t a i o n t
eaaeé des c a r r e a u x en se b a t t a n t e t Le Blhan
ausal, si bien que L e FlaO veut faire payer la
a i s e a u x trois Jeunes gens cités plus haut, y
c o m p r i s Colin, qui n'avait pris aucune part &
la s e i n e . Ils y c o n s e n t i r e n t tous trois.
DRAPERIES • •
•
• • HAUTES NOUVEAUTÉS
A. LE DÉROUT
Tailleur pour Ville
Q U I M P E R L É
& Campagne
(Maison Le Roch)
Sca^r
Smut
—
collier.
Surpris
le 21 février,
•ans collier le chien de J o s e p h de K e r g r o a c ' h ,
• rapporté un petit verbal à son m a î t r e .
Vml
de lapina.
— R i v l e r Charles, de
Kernescop, a porté plainte c o n t r e i n c o n n u s
qui dans la nuit du 13 au 14 février, a é t é v i e
Mme d'un vol de 2 femelles de l a p i n s et de 14
petits lapins Agés de 3 e t 4 s e m a i n e s . R i v l e r
M t l m e son préjudice & 100 f r a n c s .
Ad»\v\\\\\\\\\\vv\\\\\\\\\\\v\\\\\\\\\\
Alexandre CUZIAT
Chirurgien-Dentiste
de la Faculté de Médecine de Paris
81, Ni Smrj
QUIMPERLÉ
Consultations tous les jours à QUIMPERLÉ, sauf le MERCREDI à BANNALEC.
Qulmper
Déport
dm M. Cmxmumrmttm.
—
Vendredi soir, 22 février, au Cercle du Poilu,
u n banquet réunissait les m e m b r e s de VU. B. C.
en u n r e p w d'adieu offert & M. Cazenavette,
p r o c u r e u r de l a R é p u b l i q u e , appelé au parq u e t de la Seine. A u d e s s e r t , M. l'abbé Cadiou, vioe président, c h e v a l i e r d e la Légion
d'honneur, retraga l'œuvre du P r é s i d e n t , m a gnifia s a fidélité à la devise de l'Association
• Brtudeur atao / • et lui décerna los titres de
Président
d'Honneur e t de B r e t o n .
Success!-
v e m e n t , prirent la parole MM. S t r e l l u , secrét a i r e g é n é r a l , colonel Dizot, a b h " Henry,
vioalre à B r i e c , M. R o u y e r , publiciste à Q u i m perlé. M Garediwotte rendit & son tour h o m mage à l a Bretagne et aux Bretons. « L a
B r e t a g n e aera t o u j o u r s , dit-il, u n s t e r r e de
b e a .té e t de Icy&utê, la t e r r a des c œ u r * fidèles, de la volonté et de la fcénacltô indomptables, J e m'enorgueillis d'avoir été, pondant
la g r a n d e t o u r m e n t e , un m o d e s t e soldat b r e ton ; c'est a v e c r f g r e t que ¡je quitte m o m e n t a n é m e n t la t e r r e b r e t o n n e , qui s e r a peut-ôtre,
un J o u r , le b ^ v r e sû,r e t déftnitlf où, j e v i e n drai c h e r c h e r l e r e p a s a u milieu de m e s a m i s
b r e t o n s »,
Pour le costume local. — Deux cent
cinquante j e u n e s filles du Blgorre o n t fondé
l'Association
da Rioeil.
E l l e s n e porteront
plus a u x fêtes que l e traditionnel c o s t u m e
p y r é n é e n . . . Chaque année, le s e r m e n t qu'elles
en o n t fuit sera répété au pied du vieux chflteau de Lourdes.
E n Bretagne, l e port du costume b r e t o n ,
dans les grandes occasions de la vie, n'a réuni
j a m a i s que très peu d'adhérents e t d'adhérentes. depuis 1898, année du Béveil de la Bretagne. Quelque soin i l s apportèrent à rester
dans une note sobre, bien que riche, l'épithête de déguisé s ne leur fut pas ménagée. E t
pourtant, lorsqu'on visitait, à Quimper, d i m a n c h e dernier, l'exposition de poupées bretonnes, organisée au théûtre par ies Dames et
Demoiselles des P . T . T . , exposition très soignée, c o m m e exactitude et présentation, on ne
pouvait que soupirer après l e J o u r où nos
computriotes sa m e t t r o n t bien dans la tête
que, c o m m e les Slaves e t les B a l k a n i q u e s , en
général, on peut faire usage du costume courant pour l'oi dlnaire de la vie et s'astreindre
au c o s t u m e national dans les grandes c i r c o n s tances. Quelle allure nos élégants traditionnalistes l u i donneraient 1 Mais, pour avoir
réellement le droit de le porter, le p r e m i e r
des devoirs à r e m p l i r est d'apprendre sa langue nationale et m ê m e de la réapprendre et de
la c o m p l é t e r . Nous s o m m e s c e r t a i n s que le
personnel des P o s t e s e * t , en général, b r e t o n
des pieds à la t ê t e . . . Que pour le prochain
bal des P. T . T . les danseuses portent la c o s t u m e et ne dausent qu'avec des cavaliers bretons et parlant b r e t o n
c o m m e elles.
S o c i é t é d e s C o u r s e s . — L& Société des
c o u r s e s do Quimper a fait depuis q u e l q u e s
a n n é e s un g r o s eil'ort pour l ' a m e n e r a la période de prospérité actuelle, m a i s une récente
circulaire de la Société sportive d ' e n c o u r a g e m e n t m e n a c e de lui retirer s e s allocations s'il
n'est pas fait u n eflort s u r le propre b u g i a t
de la S o c i é t é des c o u r t e s pour d o n n e r u n e
s u b v e n t i o n équivalente à c e l l e de la S p o r t i v e
( s u b v e n t i o n de 5000 francs).
Foire Exposition de (¿uiitipcr et
de l'Ouest de la F r a n c e . — Ln premié
re Foire J í s p o s i i i o n qui se tiendra <Ju 13 au 21
A r r i l à Quimper ea* appelée couicin nou» J e
disions dans notre précédents articles à obten i r un succès magnifique.
E n effet, les demandent affinent n e toutes
parts, e t nous s o m m e s ob Iges de foire c o n naître aux m a i s o n s qui seraient susceptibles
de venir grossir ie n o m b r e des E x p o s a n t s Vendeurs de se Imiter, i o s places é i a n t assejz rest r e i n t e s P o u r ce motif, te Comité d'initiative
Sera obligé dans quelques J o u r s du u c plus a c cepter aucune d e m a n d e , quoique l'emplacem e n t soit assez grand pour donuer satisfaction
aux demandes arrivées j u s q u ' à ce j o u r .
Nous faisons r e m a r q u e r aux exposants Vendeurs, que la F o i r e Exposition aura lieu dur a n t toute l a semaine de Pilques. P a r t a n t du
dimanche 13, j o u r des R a m e a u x , m a r d i 15,
Grande F o i r e Annuelle ; J e u d i 17, inauguration
Officielle ; Vendredi 18, distribution des récompenses, dimauche 20, j o u r de P â q u e s , et lundi
21, lundi de Pilques.
Pendunt toute cette semaine la foule sera
considérable pour visiter l ' e n s e m b l e de l a
Foire Exposition de l'Agriculture, de l ' I n d u s trie et du c o m m e r c e .
T o u s E x p o s a n t s et Visiteurs e m p o r t e r o n t un
bon souvenir de Dotre ville. Nous apprenons
au dernier m o m e n t , que certaines m a i s o n s
d'appareils e t d'installations électriques uuus
feront des surprises féeriques, vraiment dignes
de Quimper.
Tours
Xes Bretons
d e Touraine.
Psrîs
s la Stlle
<rarc&G. — Tuée-
a Fédération
Bretonne de Touraine ».
Au cours de sa p ¡ e i n i ó r e réunion, elle a désigné c o m m e p r é s i d e n t notre exellent a m i ie
Docteur P e r q u i s ( d e Merdrignuc) e t c o m m e
s e c r é t a i r e général le Docteur Lemagourou.
t ' ê m p ! c ; ! régulier
«U> t*M4Mtír.ñfel¿<
dore Botrel 8 ' s i t fait e n t e n d r e à P a r i s lu d i manche 24 février, dans la salle des C o n c e r t a
du boulevard R*<pall, 101, à H h e u r e s e t le
mardi ÎG, à 15 h e u r e s , î t l a S a l l e Gaveau, r u e
La Boétie au profit de la « Chapelle
de la Re-
SlMÔH
de la Marne » ; cette dernière
connaissance
e ci t s d i c p c n c s b ï e p o u r
séance à laquelle assistaient les m a r é c h a u x e t
généraux vainqueurs de la Marne f a t présidée
p a r Mgr Charost a r c h e v S q u e de Rennes e t o b tint 'o p'us légitime s u c c è s .
[ l'hygiène,
Z,a Bretagne à
Paris.
— Notre coufrùre et ami Louis Beaufrére d i r e c t e u r d e la
Bretagne tï Paris vient d i t r a n s p o r t e r s e s b u reaux. 8 rue P e r n e l l e IV% face & la t o u r S a i n t Jacques.
t
REMERCIEMENTS
as o o
A
M
A
N
DM
A
R
I
E
qui donne au Cidre labelle couleur
MÉDAILLE
rroa
EXPOSITION
AMAND M A R I E
INTCRNATIOuaif. si le cidre s'engraisse
file.setue
ou d u r c i t
RÉSULTATS
MERVEILLEUX
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M. &
M. M A U D U I T , l e u r s
E n f a n t s e t t o u t e la F a m i l l e remercient bien sincèrement les personnes qui ont assisté aux obsèques de
Mademoiselle Odette MAUDUIT
déoédée à Quimperlé le Jeudi 21 Février 1924, dans sa 23 e année, munie
des Sacrements de l'Eglise.
Ainsi que celles qui leur ont témoigné leur sympathie en cette
douloureuse circonstance.
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n o m b r e u x Bretons de T o u r a i u e possédaient,
avant guerre, u n e 'association d u n o m de
l'Ajonc dont le siège était a T o u r s ;
Nous s o m m e s heureux d'apprendre que grfiae
aux elïjru» de quelques B r e i o u s de T o u r s une
nouvelle association groupera b i e n t ô t nos compatriotes de T o u r a i u e qui sout aux e n v i r o n s
de 10 à 15. 000.
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d'Honneur, P v é s i i c n i d'Initiative de la F o i r e
Exposition de Quimper, Président d¿ l a F é d é ration Mutualiste a u F i n i s ère, Directeur de la
Bretagne
Commerciale,
aura le plaisir de nous
faire uue Conférence sur « Les B i e n f a i t s d e s
F o i r e s E x p o s i t i o n s . » qui se font eu F r a n c e e t
à l'étranger.
Nous aviserons l e s intéressés sous q u e l ques j o u r s de la date et du lieu où doit se t e n i r la dite Conférence.
L a situation û n a n c i e r e a c t u e l l e de la Société
La Fédération des Bretons de Touraine se
des courses de Q u i m p e r , en raison des g r o s s e s
p r o p o s e de venir en aide aux compatriotes dans
dépenses taites pour a m é n a g e r l'hipodrome à
le besoin, de reveiller et de cultiver le sentiûtre un des plus b e a u x de la région de l'ouest,
m e n t national p a r le rappel des traditions brene p e r m e t pas de prélever s u r ses r e s s o u r c e s
tonnes.
propres une pareille s o m m e . Auxsi ie C o m i t é
Chuque année, des p r i x seront accordés a u x
des courses, réuni le m a r d i 36 février, a déci lé
de faire appel à la b o n n e volonté des c o m m e r enfants a p p r e n a n t l'histoire de Bre ague ou l a
ç a n t s e t industriels de Quimper, pour a r r r i v e r
langue, dans les familles b r e t o n u a u t e s , a u x
& réaliser une s o m m e équivalente a la s u b v e n personnes portant le costume breton habitueltion de la Société sportive d ' e n c o u r a g e m e n t .
lem nt. Un service solennei s e i a céléb é égaleNous c o m p t o n s s u r uu g é n é r e u x effort d e s
m e n t tous ies ans pour ies b r e t o n s m o r t s & la
c o m m e r ç a n t s e t industsiels de Q u i m p e r p >ur
guerre.
m a i n t e n i r ie bon renon de la Société des cour- ,
La Fédération
compte installer un b u r e a u d e
s e s de Quimper.
I r e n s e i g n e m e n t q u i sera a n n e x é à son f o y e r
I breton.
Lt Comité
S" RIVIÈRE k C ¡ \ (Quimperlé).
T o u s nos vœux accompngnent l a nouvelle
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Aveo entrée en jouissance du
1 « février 1924.
Les oppositions au paiement du
prix d» la présente vente devront
être formées au plus tard dan» les
dix jours qui suivront la présent©
insertion renouvelant oe'le parua
dans le même journal le 16 février
1924. Elles seront reçues en l'étude
de Ma PARBEAU, notaire à Lorient.
Pour deuxième insertion,
Signé : P A R B E A U ,
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.
9H
10
12 -
— Ayez pitié de moi — Si je trouve trop dur
Je rends gr&ces à Dieu de l'avoir mis sur
barde Taldir venait de faire paraître une revue
Si l'on ne trouvait p l u t , dans ion décor mystique,
aller toujours après vous — Ayez pitié de moi.
mon chemin, sou amitié me fut d'un grand
mensuelle entièrement rédigée eu breton. Elle
Ni menhir, ni d o l m e n .
réconfort aux heures sombres elle fut àussl
Si l'on n'entendait plus le c h a n t mélancolique
avait nom « Ar Vro ». Nous nous déiectious à
S
il
vient
à
moi
refuser
(de)
grimper
sur
mon
ma sauvegarde bien souvent, et c'est en y sonDes rustiques monlins sur les bords de l'Aven I
la lecture de la prose et des vers qu'elle puCalvaire - Ayez pitié de moi — S'il vient à
geant que j'écrivis un jour :
bliait. Nous décidâmes d'adresser & son direcSi la hache frappait les ehScet millénaires
mon ûme pauvre se noyer dans le doute —
teur, nos premières productions. Jaffrennou
Yaun KaUoo'h, da galon oa leun a garantez
De ce pays breton,
Ayes pitié de moi.
les accueillit avec bonne grfice, se montra très
Ha da ene henvel ouz garreg da enez,
Si la foudre tombait sur ces liauz légendaires
indulgent pnur nos écrits. Le premier nom des
Que sont chaque clocher et chaque clocheton !
S'il vient à moi donner ma malédiction à
Enni a lugerne eur sklerijeun dispar,
J e a n - P i e r r e Calloo'h
e bretonnants de Sainte Anne d'Auray » qui
ma pauvreté — Ayez pttté de moi — S'il vient
En eur sellet outi, va spered, en arvar
Si l'aile d'un bateau, j a t e b . barque ou goélette,
parut dans « Ar Vro » (en février "j905), fut
War vor diroll ar bed, a dec'has aliez
à moi. ô mon Dieu, nier votre amour — Ayez
Au gré de l'Océan,
c<-lui de Job an Drouz \or, au bas d'un conte
Diouz ar garreg a laz, gant bras trubarderez.
pitié de moi !
Na ae balançait plus ainsi qu'une mouette,
En parlant Ici de Jean-Pierre Calloc'h —
intitulé a Er Bolom Ixan s qui avait obtenu un
En octobre 1905 11 entre au grand séminaire
Dans le t e n t où se perd le cri du goéland I
flme religieuse et forte, cœur noble et généreux,
second prix au concours des « Récits de Noël ».
de Vannes, en compagnie de trente de ses conP
o
u
r
l
e
r
e
l
è
v
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m
e
n
t
n
a
t
i
o
n
a
l
d
e
l
a
Il resterait toujours quelque l j r e touchante
Imagination délicate et brillante — je <e vouD»ns le numéro de mars de la même revue
disciples. Il me fait part de sa détermination
Un Brizeux, u n Botrel,
drais songer qu'à l'ami dont je suU hépirè et à
nous lûmes un petit urtlcie du même auteur
et me prie de ne pas l'oublier dans mes pri- B r e t a g n e . — Une généreuse Galloise,
Pour chanter tendrement la comp'ainte émouvante
Miss
Alix
Mallt
Williams,
dé3irant
faquinte ans d'iatlmité. d'émotions partages annonçant la parution de • Dihunamb » revue
ères. Il termine sa missive par ces phrases
Que l'Océan rredonne ainsi q u ' u n ménestrel.
qui ne oonnurent pas es refroidissements d'un
foudée par Loeïz Hcrtieu et Mellac. pour les
breton es : « War Ar Hobl, war Dihunamb, voriser pratiquement les œuvres, les
•eut Jour.
Car sa vieille beanté, le poète la garde,
Bretons du Morbihan. Et je me permets ici, de
sociétés f t les hommes qui luttent aveo
war Ki oaz an Morbihan, » u'tun eus gwelet
Comme un amant jalouz...
Je le vis pour la première fols un .voir d'ocrectifier une petite erreur commise par Léon
neme keierer mat diwarbenn pez hon mignon
dévouement pour l'enseignement du
Ecoutez, comprenez le chant berceur d u b a r d e :
tobre de l'an 1900. dans lu cour du Petlt-SémlLe Berre, dans la remarquable étude qu'il a
Trouz-Mor : a Evit Doue hag ar Vro! » Daoust
Breton, la diffusion de l'Esprit celtique,
La Bretagne si noble est dans son ebant si doux !
naire de Sainte-Anne d'Âuray. I av*li onze ans,
consacrée à Jean-Pierre Calloc'h voir le " Réhug ar memes tra a vezo gret evit va hlul-me :
le main-tien de nos Traditions, a daigné
Fernand E R O U A R T
était déjà grand, robuste et comm<- wilié dans
veil timon " Juillet Août- eptembre
1921A
« Eoid ar Feiz I u hig a vo c'hoarlet en Ruez verser en banque une somme importante
1« granit de l'Ile de Qrolx, laquelle il avait
l'heure où naissait « Dihunamb », mon ami
ar Gioac'h bben mlz du. Labourât a ran start
qu'elle a chargé le Barde Taldir de parquittée le matin même, pour répondre aux ain'était p.s abbé. Il faisait sa rhétoiique.à
warm. (Lettre du iO septembre 1905) Il serait
tager au mieux. Une première réparti•Ira dess.ens et, ci oyait il, à l'appei de Dieu,
Sainte-Anne d'Auray, il avait quinze au* et
intéressant de retrouvir le manuscrit de cette
car 11 avait le désir d être prêtre.
tion de fonds a été faite entre :
salua p i r un poème, dédié au Barde Laboureur
pièce qui fut jouée par les Jtunes gens de l'Ile
Il se mit au travail avec ardeur, et doué d'une
(Loeïz Herrieu), la naissance de la pubicatlou.
de G oix
Le Gorsed des Druides et des Bardes ;
mémoire et d'une (acuité d'assimtiatlou éton
Le numéro de juin 1905 d' « Ar Vro » le con
L'Union Agricole et Maritime n'a cessé de
La Fédération Régionaliste
(Unvaniez
La
langue
brotonne
l'intéresse
plus
que
ja
santés, 11 obtint, dès le début de ses études, tient; il a pour titre « Dihunamb » et est siArvor) ; L'Union Régionaliste (Kevredigez tenir ses lecteurs au courant du fonctionnemais.
De
Vakncs
11
m'écrit
le
1"
janvier
1906
;
1m meilleurs notes en français, latin et grec.
gné« Bleiinor » pseudonyme que lejeuae poèia
d Je te promets bien uue si le Bon Dieu me Breiz) - Le Comité de Défense des Intérêts ment et de l'évolution de la Mutualité dans
Pendant les années scolaires 1901-1902, je
adoptait. Il est regrettab e q .e cette belle
fait, un jour, lagiàce d'être prêtre, 11 n'y aura
Bretons; Les Bleun brug et Feiz ha Breiz-, notre département. Elle a fait connaître aussi
n'eus guère de relations avec lui. C était une
poésie, de même qu'une autre intitulée a Hu
rôle que cette institution, fondée et admipas
beaucoup
de
p
êtres
à
aimer
Breiz
lzel,
Le oongrès Panceltique de Quimper 1924; le
habitude, & Sainte-Anne d'Auray, de se grouper neeh » (Ar Vro, avril 1905}— la première écrite
nistrée par des travailleurs, entend joner
autant
qu»
mol...
Je
viens
de
termiaer
nae
entre écoliers d'une même région ; les OroisllLa Revue Dihunamb, à Lorient ; La Revue dans la loi sur les assurances sociales dont le
par Bleimor — ne figurent pas dans le recueil
man ère de drame, sur la descente des Anglaislons faisaient bande à part, de mime, les Fide ses poèmes : A Genoux.
Brihez Brtiz, à Brest; La Revue Arvorig, Parlement a été saisi, dans les conditions que
Hollandais à Groix, en 1696, le 14 juillet, an
nistérlens, dont j'étais. Notre amitié date de 1903.
nous avons Indiquées.
Pour pouvoir collaborer à ces diverses re
soir, (cc-t 'hlstolie). Duguay Trouln y joue le à Guingamp ; La Revue Breiz Atao, à
A cette époque, nous faisions notre seconde et
Rennes ; La Revue les Annales de Bretagne ;
Or, la discussion de cette loi — de ce projet
vues,
Calloc'h
s'adonna
â
l'étude
des
différents
rfile
de
libérateur
d'une
famille
Uroistllonne,
oseupions, généralement tous deux, les prede loi — a été ajournée.
dialectes
bretons.
Pendant
ses
vacances,
il
étu
Le
journal
l'Union
Agricole
;
La
Bretagne
livrée
par
un
traître
de
Juif
aux
ennemis
de
la
mières places, en dissertation française. Ce fait
La Fédération mutualiste du travail, présifol. Ma pièce est populaire, dans les grandes Touristique, St-Brieuo ; Breuriez-veur ar
nous rapprocha et fut le principe de cette Inti- dlalt le breton de l'Ile de Groix, notait les
dée par M. Robert Perdon, profondément
expressions
bretonnes
grolslllonnes,
recueillait
largeurs,
sans
purisme
et
sans
emphase.
Je
Brezoneg
(Académie
bretonne);
St-Brieuo
mité que lea mêm- a aspirations, les mêmes
émue de cette décision, vient de protester,
vais tâcher de la faire représenter à Groix, k
Emgleo St-Iltud ((Société d'éditions breamoars, aussi les mêmes privations, les mêmes des tsrmes bretons an usage dans son Ile et en
avec véhémence, contre une telle procédure
P&ques prochaines, mais je crains bien de ne tonnes) St-Pol-de-Léon ; Le m o n u m e n t de
Inquiétudes devaient re&serrer dans 1a suite et composait un vocabulaire que j'ai eu le plaisir
qu'aucune raison ne justifie et qui ne tend
de
retrouver
aptès
guerre.
En
avril
1905,
Il
pouvoir
réussir,
faute
d'acteurs.
Je
ne
t'en
nope être d ' a v a l grand charme. C'est a ce mo
Bleimor.
qu'à retarder indéfiniment l'octroi aux tram'exprimait, dans une de ses lettres, 1« regret
promets paa un exemplaire, ma pièce ne sera
ment qne J'assistai à l'éveil de la vocation
On exanimera impartialement-les devailleurs d'un droit qui ne peut leur être disde
ne
pouvoir
m'éerlre
a
dans
notre
vieille
pas
imprimée
et
ne
sortira
d'ait
eurs
pas
de
poétique de mon ami. Je pos^dals un petit
mandes de subvention d'autres œuvres
cuté.
Groix. Job, (l'abbé Joseph Larboulette) veut à
ouvrage traitant de la prosodie
française; langue de Brels, mais je ne la possède pas
Voici les principaux passages de l'ordre du
encore
assez
à
fond
pour
lui
faire
exprimer
méritantes
ayant
insorit
la
défense
du
toutes
forces
la
faire
jouer
chez
lui.
Ça
le
reCalloc'h le lot et sitôt la Muse le visita. U
jour
qu'elle a adopté : « Le projet de loi sur
toutes
les
nuances
de
pensées
que
je
veux
garde. Je doute, quant à mol, qu'elle y soit
breton à leur programme, dans la meécrivit, en français, des vers qui firent l'admiles assurances sociales ne pouvant être applidire
».
Et
dans
cette
mèaie
lettre,
il
me
mettait
comprise
et
y
est
du
succès.
Kenavo,
Bloavee
sure
des
crédits
disponibles.
ration de ses maîtres et de ses condisciples.
qué qu'après nn vote de la Chambre des Déen garde contre les idées du a Sillon » qui
matl Prie pour mol, comme je prie pour toi i>.
J'ai conserve pieusement quelques poôines
(Communiqué)
putés, du Sénat et la publication d'un règlecommençai
à
s'infiltrer
parmi
la
jeunesse
breSa
pièce
fut
jouée,
en
avril
1907,
à
Groix,
il
datant de ce temps-là.
ment
d'administration publique peut être mis
tonne : a Ce n'est pas sans tristesse que je t'ai
me l'aunonce, en ces termes : « Ma pièce « Er
L'Union Régionaliste Bretonne tint, si j'ai
en discussion immédiatement. Sa date d'applivu planter là, le vieux compagnon de tes luttes
Flamanked
o
&
été
représentée
trois
fols
à
bonne mémoire, en ltíüO, ses assises à QuimL'Union Agricole s'est vu attribuer cent cation restant éloignée, 11 sera possible, d'ici
écollàres pour le Roi, mais enfla puisque
Groix et le sera bientôt à Plouhinek par les
perlé. An conrs des fêtes magnifiques qui y
f
r
a
n c s . . . Nous en remeroions vivement là, d'envisager les modalités utiles pour troul'amour de Brefs te reste tout aussi fort qu'aus Pautred Sant Geneg ». Je la mets actuelleenrent lien, j'entendis la vieille Mac'harit Fulup
trefuls, et l'amour du Christ, nous avons enTaldir,
qui sait apprécier notre œuvre, ver les ressources néesssaires d'autant que
ment
en
breton
de
Vannes
pour
'a
présenter
an
et les bardes de Tg Kaniri Bretz chanter en
core, Dieu merci quelques attaches communes
et cela d'autant plus que l'intervention celles-ci se trouvent assurés dans la proporconcours de l'Union Régionalisle Bretsnne. »
breton, je vis représenter le «Mystèrede Saintet de toi seul dépendra qu'elles soient solides. °
de Miss Alix Malt Williams nous ramène tion de 99 0/0 par le projet lui-même.
Ayant appris par « un journal frauduleux» ma
Gwtnolé j» et « Ar Vesventi », par la troupe de
Il m'expliquait pourquoi il ne pouvait adhén r
a La Fédération mutualiste du travail se
réussite au P. C. N., Il ne félicite de moa sucau dolmen de Merthyr, où nous fûmes
Plonjean. Et Je sentis naître en mol un vif
aux opinions de Marc bangnler — l'avenir lui
sonvenant
: 1* de toutes les déclarations faites
cès
et
ajoute
:
a
Cela
va
te
donner
dn
loisir
reçu barde, on 1901, par l'archidruide successivement,
amour pour la Bretagne et pour la langue bredonna raison : < Sangnler a une confiance Illile 9 décembre 1922, à la Sorpendant les vacances pour travailler, aveo
tonne. Je résoins d'infnser un peu de cet amour
Hufa-Môn, et où nous fîmes connaissance bonne, par M. Mlllerand, président de la Rémité« dans ie peuple. J'aime le peuple, le bon
nous,
de
ton
bord,
au
relèvement
de
la
patrie
I Jean-Pierre Calloc'h. J'avais au collège, parmi
des patriotes galloises qu'étaient les de- publique ; le 24 juin 1023, à Lyon, par le
peuple de France, profondément, parce que je
bretonne. Il serait ofilciel que Mgr Dubourg
mes livre de classe quelques ouvrxges bretons, le sais bon au fond, mais quand je songe aussi
moiselles Williams, d'Aber-Clydaoh, Talministre actuel dn Travail, à la séance de clô •
les oeuvres de Brlaeux, le Bartaz Dreix de la à sa variabilité, à cette légèreté caractéristique est nommé à Rennes. Un atout de p us et un
y-bont
on-Usk.
Nous
ne
nous
doutions
ture du 13« congrès n a t i o n a l e la Mutualité ;
fort dans notre jeu » (lettre du 30 juin 1900 .
Vlllemarqné, Beprtd Brtitad de Luxel et les de notre nation, eh bien! franchement j'hésite
de tous les engagements pris antérieurement
certes
pas,
alors,
que
notre
propagande
premières poésies de Taldlr : An Hirvoudou, à faire de lui, le maître absolu de sa destinée.
Le U avril 19J7, je reçois une missive veà Lille, Valence, Strasbourg, Montluçon, Moucellique
dût
recevoir
de
l'une
d'elles,
à
An Deten dlr. C'étaient là des ceuvres prohibées, Bt d'ailleurs toutes ces questions de politique
nant de Itergonan en Plouharnel [Morbihan),
Quimperlé, vingt-trois ans plus tard, le lins, etc., et par les différents ministres du
I Sainte-Anne d'Auray, car 11 était défendu, française deviennent à mes yeux d'une petitesse
u Goaret a peus, moarfat. e omb bat lakeet, tri
précieux encouragement que nous rece- Travail, le pj.sldent et le rapporteur de la
d'avoir en sa possession, des livres ne portant
mlz-so, er mez deus hon K oerdl e Gwened- »
inimaginable, quand il s'agit de notre Breiz
commi9slon des assurances sociales; MM. Jourpas le « Nihlt Obstat s du Supé leur. Je me aimée : Doue rag holl, mes Breiz warlee'h : et
Le gouvernement de Combes, venait en effet,
vons aujourd'hui et qui tranche sur l'in- dain, Daniel Vincent, Peyronnet ; le rapporrappelle qne pour avoir enfreint cette défense e'est nne véritable Joie pour mol que de peuser
de faire chasser, par les gendarmes, da leur
différence hélas I trop commune de nos
teur du projet de loi sur les assurances so— nn surveillant découvrit un jour, dans le
demeure,
les
clercs
du
Grand
S
minaire
de
oompatriotos pour les choses de la Bre- ciales ; se refuse à croire que tous ces engaque sur ce point tu es en pleine communion
eaaler de Calloc'h, les Orientale* de Victor
Vannes, et l'ancienne abbaye bénédictine de
tagne.
d'idées avec ton vieux Jean-Pierre (lette du
gements et déclarations, aujourd'hui méconHago — mon ami fut puni d'un pain sec et 30 avril 1906).
Kergonan, leur donnait asi e. Au lendemain de
nus par leurs auteurs mêmes, ne soient plus
Cette
indillérence
des
meilleurs
Bretons
d'an Joar de retenue après la distribution des
l'inveutaire de la chapelle du Séminaire, CalAu
cours
des
grandes
vacances
de
1905,
lors
met les plus déterminés propagandistes que des chiffons de papier.
prix. Malgré le règlement, Je communiquai ces
loc'h, encore sous le c.iup de l'indignation dont
d'un
voyage
à
Lo>
lent,
il
achà
e
le
Bartaz
Taldir
La Fédération mutualiste du travail deœuvres bretonnes A Jean Pierre, et dès la predéoordalt son cœur, au souvenir du saciilège
dans l'impossibilité de publier par ce
de Jaffrennou : « J'ai lu ce livre, m'ecrit-ll, et
mande
donc instamment au gouvernement, à
mière lecture, 11 s'enthousiasma pour U langue
commis, écrivit une magnifique poésie que
temps de papier très cher, les œuvres la commission
j'en
al
é
é
chaimé.
Il
y
a
là
dedans,
les
banades assurances sociales et au
de ses pires.
J'ai sous les yeux.
qu'on leur réclame de tout côté, sans Parlement de revenir sur leur décision et de
lités de la littérature irançaise — qui oct le
Elle
est
dédiée
au
«
Grand
Outragé
»
et
Les premières années de ce siècle virent le
leur donner les moyens matériels d'y tenir les promesses faites précédemment au
mérite d'êtsejtral ées en langue bretonne. —
commence par cette strophe :
réveil dn sentiment breton qui a continué à se
subvenir.
L.'B.
Cest le petit nombre. Le reste du livre est
pays et que l'ensemble des travailleurs attend,
manifester, dans l'ordre Intellectuel social et
essentiellement celtique pour le fond et la
avec une impatience qui pourrait devenir danC'est fait I Ils ont souillé ton seuil de leur présence,
éoonomlqne sous l'énergique impulsion des forme. C'est la partie Intéressante de l'ouvrage.
B u h e z - B r e l z . — (Somviaire de février 1 $S4) gereuse, la solution sans cesse retardée ».
Le képi sur la tête et le fusil au poing,
VaVie, Loth, JaSrennou, Le Berre, Herrleu, J'ai In aussi avec beaucoup d'intérêt les deux
— Breiz dilezot : lioè Bro Erechi Maronad
Nous ne voulons pas ajouter un mot à l'orIls ont vaincu, puis insulté notre impuissance,
Mellac, l'abbé Le Bayon, Cholean et d'autres préraees d'en-téte. Celle de Le Gofllc me piail
Kouimik Arvor ; Taldlr ; La langue nationale dre du jour si énergique adopté par la FédéLe eiel était trop haut et les chouans trop loin.
qui ont en nne Influence Indéniable snr la forau Pays de Galles ; Tywl Jones ; Sousoriptlon
davantage, elle a paru dans la < Quinzaine ».
ration mutualiste du travail. Nous en reparJLfoa P A X 1 UJt
mation bretonne de Calloo'h, do même quelpour le monument Calloo'h ; KouBb va c'haLes traductions en vers frangals, sauf une ou
lerons.
.
Docteur
en
Médecine,
ques professeurs dn Petit Séminaire de SainteJoseph PELLE,
lon, Al Lay ; L'Art Celtique (suite) J. Bouilli ;
deux, sont assez... h u m l . . . h u m ! . . . (Lettre
(A Suivre)
Anne d'Auray, parmi lesquels je citerai l'abbé du 20 août 1903).
Un dernier mot à Mêven Mordiern, J. Loth /
Président de l'Union Mutualiste
Le Maréchal qui, sous le nom d'emprunt de
La Reine Anne (suite) : Le Quyader; Bllzig
du Finistère (à Brest)
A
ta
Un
de
Juillet
1905,
après
avoir
obtenu
le
« Blel Lann Vans » venait d'éorlre < Konsk
(Kendalo'h)
:
Fanch
al
Lay
;
Une
oellule
de
dlplOme de bachelier ès-lettres, nous quittâmes
P a g e
B r e t o n n e
Broi» l$*l» que nous chantions en chœur penl'organisme breton (suite) Ch. Le Goflic ; Les
le petlt-sêmlnalre de Sainte Anne-d'Auray, où
dant nos promenades. L'exemple étant contaéorivaiuR bretons du Pays de Vannes (M.
La première assemblée semestrielle de 1924
nous
avions
vécu
des
jours
heureux
sous
gieux, J'adressai, pendant les vaettnces de
NOury) P. O. ; La Bretagne vue par un gallois
des présidents et des délégués des sociétés de
l'égide
de
maîtres
aussi
savants
que
dévoués.
Pttques 1903, d Calloc'h, qui séjournait à Qrolx,
(suite) : i)' Diverrès i Chronique, bibliographie secours-mutuel, de retraites et d'entr'aide,
quelques mauvais vers bretons, les premiers Jesn-Plerro, désirait entrer au grand-sémi*
(Rin ich Gros) ; biihoat inwllet
Dlreolion : P. Mocaà'r, 17, rue de Breit, Lan- affiliées ft l'Union Mutualiste du Finistère,
nairo
de
Vannes
;
J'avais
l'Intention
de
ms
que J'ai écrits. U me répondit : « Ta bouquines
derneau.
aura lieu le dimanche 9 mars, à 9 heures du
roudre
à
hennés
nour
y
commencer
des
études
le breton. Je voudrais aussi pouvoir le faire,
Msr itoulennaa dlaltuia • peu dó ici ksihel
matin, & la salle de la Mutualité, & Brest.
Annéo, i2 fr. ; Etranger, 20 francs.
de
médecine.
Mais
a
ant
de
nous
béparer»
mais Je n'ai pss de livres de Cornouallies; J'ai
Hou péet truhft éotitin
Ordre dn jour : 1' Lecture du procès-verbal
nous
Jurtaies,
au
pied
de
lu
statne
de
la
paMai da dV|B ha k o u e h t l n b latdd er pitied
<té I Lorient Jeudi dernier. Dans mes pérégride ta 2« assemblée générale de 1923 ; 2- exposé
tronne
de
In
Bretagne,
d'être
fidèles
à
cette
amitié
Hou
p<ot
trubô
douctn
nations laborieuses k la devantnre des libraires,
de la situation morale et financière ; S* rapD'UN " « L E DE fiUERRE" * BOTREL
J'ai fini par découvrir le • Bartaz Taldlr * de née an eotlège. Nous tînmes p.irole, En quelque
Mai goanna ma halon h a mar kollaa me netb
port de la commission de contrôle ; 4* compte
lien
que
le
destin
nous
conduisit,
l'oubli
ne
se
JaSTennou avec la traduction en vers français,
Hou p4et iruhé d e h r l a
rendu de l'assemblée générale de la Fédéradressa
Jamais
entre
nous.
Calloc'h
m'adressa
Noire ami Théodore Botrel donnait l'autre
écossais, anglais, ete... que sais-Je mol ! Je ne
Mar k a r a s r i galet mont beprtd ar Hou lerb
fréquemment des lettres chaque fois que les
soir une •• T elllée bretonne" i Lille. Le s accès tion ; 5' désignation du lieu de l'assemblée
Hou póet trulli dlQeia.
l'ai paa acheté, mais je ms le procurerai tût ou
en fut considérable Bn plus des " Etudiants générale d'octobre ; 6' renouvellement du tiers
tard. I l tu vas I Lorient, ses vacances-ci, tu le circonstances nous éloignèrent l'un de l'antre.
Mar da d'eia ba dicati plgneln ar ma b a l r a r
Il me faisait part de ses Joies, de ses trisbretons " des Facultés catholiques qui firent au sortant des membres du Bureau ; 7- modifitrouveras A la librairie de l'Arsenal... s (Lettre
Hou p4et trutil dohein
cations aux articles 9, 14, 22 et 23 des statuts ;
tesses,
de
ses
ponsées,
de
ses
désirs.
C'est
en
barde errant une belle ovation, un Jeune aveudn M avril 1903).
Mai da d e l à Inéanti peur em veubeln en s r t a r
8* nomination des membres de la commission
puisant danB ces souvenirs que J'apporte ma
gle
de
guerre
flamand
—
qui
villégiatura,
Hou piet Iruhé dohein
Bn lvM, année de notre rhétorique, nous contribution à l'histoire de sa vie si brève et
de contrôle ; 9- affaires diverses.
l'an derniers, mu Pays des Monlins — euf la
découvrîmes un condisciple qui partageait nos pourtant si admirable, toute remplie par
Etant donné l'Importance de l'ordre du jour»
Mar da d'eia ba raie ma malloh d'eia feulante
délicate et touchantt psnsie d'envoyer à Botrel
sentiments à l'égard dn breton. Il devint incon- l'amour de Dieu et de son pays. On ne saurait
Hou piei truhò dohein
les société sont Instamment priées de se faire •
les
émouvantes
strophes
que
Voici
;
Mar da d'ein, o mem Doua, nahein Hou taxante
tinent notre ami. C'était Joseph Larboulette,
représenter.
mieux comparer, comme l'a fait Léon Le Berre,
Hou piet truhé dohein !
Ah I si les ajoncs d'oi en désertaient las pentes,
de Pleuhlnee, aujourd hul prêtre dans le diocèse
Pour le Bureau :
l'fime de Calloc'h qu'à « un monaetirc, à une
Bleimor (J.-P, CALI.OCH.)
Si l'on n'r voiait plu»
de Vannes, et .qui illustre la littérature breLe Secrétaire ginéralt
de ce» lauru celtique» dont le» disciples de
A travers Ua genêts, lea capricleuaaa sentea
TRADUCTION
tonne sous le pseudonyme de Job an Drout , Kalm KHI et d'illud parsemèrent nos eûtes », de
3. PIRIQU.
lit les chemln.4 courir eatre de MauU u l u s I
Yor. Tous trois, nous résotftmes d'étudier la
ces moustlers s'élevaient, chaque jour, la prière
vieille langue maternelle. Je réussis à me pro- et le chant. Je n'ai pu découvrir, dans ses
SI ta flot Itumoyant na contait pin« sa peine
A la brisa de tner,
enrer la êrammairt bretonne de l'abbé Hingant
Soua dialecte da Croix : inédit
lettres, nn seul mot de révolte contre le ProOu si U vent d'Ouest, retenant son haleine,
et loe Leaique» fmnçalt breton et breton franSi je demande repeser lorsqu'il est nécessaire
vidence, même aux Jours les pins mauvais qu'il
Ne refilait plus u voix A ce troublant concert 1
i
fois de Le Gonidee. Calloo'h découvrit la Oramtraversa, et ils furent nombreux. Il se soumet
marchir — Avez pille de mol — S ii vlen,t A
mafce bretonne dn di ileete de Vannes, par lee avee résignation aux épreuves qne le Maître lui
moi (me) salir dans la vas s du péehi — Aysz
81 U source qui rive an flafic de lajcnontsgin
0ëjtf t de remonté d« Guingamp» —
nfehée OnlUevlc et Le OoC. Ge furent nos pro- «ntole et M oeese dé rfpéter t
S* t a r i u a i t un jour,
pttté (te mot.
Le 12 mars, à 8 heures, prêè It gkre de Roa«
fits» MAM. mit O futt dfcutro «rue nOat
S'il ne restait plus rteo de l'sntiqua B « u » o « „
porden, le dépôt acb^ttra t
jkdjftlrtonf et que nous vQellons imiter, .Le
U j R i t i tra«a jreit Heu Irvul sbeh(Fift-tt-Ginm*)
8 « m ftmbw '*ct>*!> d 4« »on Bot» i ' A m w 1
Si faiblit mon c«wr et i< je perds ma force
8b j j g é r c contient un Supplément
HISTOIRE DU
' NE AMITIÉ
Chronique Mutualiste
Hou péet truhê dohein
Ayez pitié de moi
Chronique Régionale
i ' l n nombre limité, dea chevaux de selle
de 4 ans, particulièrement qualQes (dragons,
légères, artilleurs tète, artilleurs selle, cob-
artUleurs) ;
S- Des olievaux d'Attelage de 4 à 8 an«, trait
léger ; taille 1 .n. 62 à 1 m. 00 ; poids moyen
900 kilos.
3- I n nombre limité, des chevaux d'attelage
d e 4 f e 8 « n i , t r a i t moyen: taille t m. 54 à
1 m.
5 poids moyen 575 kilos. — Trait lourd,
taille 1 m. 54 & 1 m. 64 ; poids moyen 6 » kilos.
Chevaux hongres et juments nés en 1916,
1917,1918,1919,1980.
A s s e m b l é e G é n é r a l e du g r o u p e
d a s C a i s s e s R u r a l e s et Ouvrières du
Finistère et de l a Caisse Centrale
d e C r é d i t . — Le nombre des délégués des
Caisses Rurales du Groupe du Finistère réunis
ft Landerneau pour l'Assemblée Générale annuelle a montré que l'oeuvre est bien vivante
La réunion était présidée par Monsieur Le Vicaire Général Cogneau. Président du Groupe.
Bien des ehoses Intéressantes ont été dites,
appel a été (kit & chacun pour la propagante ;
elle a été peu active en 1923 où l'on s'est Burtout consacré & la fondation de la Caisse Centrale. Cependant 5 caisses nouvelles ont été
créées: A Esquivlen, à Henvle, & Landévarzeo,
A Trénécc et a Combrlt.
Ou rapport de l'Inspecteur nous avons reten u les chiffres suivants : caisses inspectées,
14 ; total des mouvements de fonds ; 2.600.000
(dont 666.000 pour Gulpavas, 667.000 pour Briec
096.000 qour Kerfeuteun) total 1.165,000 francs,
total des passifs, 1.130,000
Ces chiffres mettent en évidence l'importance des affaires traitées par les caisses rurales et l'étendue des services qu'elles rendent.
Us montrent également que les communes qui
n'ont pas de Caisse Rurale se privent d'une
organisation qui est de la plus grande utilité
Ils s e peuvent done que les Inciter à en fon.
der.
L'utilité de la caisse rurale est Incontestable.
Pour ses emprunts elle encourage l'épargne et
la détourne de certains placements dont le
moins qu'on puisse dire est qu'ils sont hasardeux ; par ses prêts, elle facilite l'occasion & la
propriété, le perfectionnement des exploita
tlons et aide le pdlt artisan aussi bien que le
gros propriétaire enfin, elle donne aux prêteurs
et aux emprunteurs le maximum de garantie.
L'assemblée générale du groupe a été suivie
de celle de la Caisse Centrale de Crédit du
Finistère. Celle-ci est très Jeune, en pratique,
•lie n'a que quelques mois d'existence, mais
les Caisses Rurales ayant compris de suite
combien elle leur est utile, elle a eu des débuts qui assurent son succès pour l'avenir.
Son mouvement de fonds a été de 700.000 fr.
•Joutons qu'au 16 février le mouvement pour
1924 a atteint en un mois et demi : 400.000 fr.
L'ensemble des ces résultats permet de juger ce que l'on peut attendre du Crédit Mutuel organisé, d'après ces principes de Caisses
Rurales.
Souhaitons au groupe du Finistère de poursuivre sa tAche et de savoir d'attirer des dévouements nouveaux amenant des fondations
nouvelles, car l'avenir moral et économique
de la France repose snr le développement de
l'esprit d'association et snr celui des ouvres
sociales. Il n'est pas exagéré de dire que les
(laisses Rurales sont au premier rang de celleel.
m i * * * * * * * * * * * * * *
v o y s z le B e a u C h o i x
• t les P r i x d e la
- BIJOUTERIE-
LANGRÉE
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Rflontres-Chronomàtres de Précision
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LO\GL\F,S
OMÉGA. * UNIC
P O P — ZfiNlTH
R É V E I L S : 15 Fr.
OâPilloni
Wesmlnster
: 350
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BIJOUTERIE
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O r i s i t
—
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HAUTES NOUVEAUTÉS
A. LE DEROUT
Tailleur pour Ville I Campagne
Q U I M P E R L É (Mm Le Rocb)
A V I S , — L'Administration des chemins de
fer de l'Etat a l'honneur de rappeler an public
que|l'art. 71 du décret du 11 Novembre 1917 in
terdit notamment d'entrer dans les voitures
sans avoir pris u a billet, ainsi que d'occuper
une place d'une classe supérieure & celle à
laquelle le billet donne droit ou d'effectuer un
parcours supérieur à celui que comporte ce
billet, sans avoir préablement payé le suplément.
L'inobservation de ces prescriptions formelles ayant donné lieu à des plaintes nombreuses,
M. les voyageurs sont informé que toute infraction constatée donnera lieu à un procès verbal
et fera l'objet de poursuites correctionnelles.
Qulmperlé
Rue des Kooles, 6
I
D R A P E R I E S
foire«
dm 1«
Semaine
Lundi 10 mars 19»4. — Landudec, P l u m e r got, Pont-Scorff.
Mardi 11. — La Feulllée, Plabenneo, P o n t Aven, P uvigner.
Mercredi 1t. - Cbftte.aulin, Landivisiau,
Molgvtm, Plougouven, Scaôr, Bubry.
Jeudi 1t. — Carhaix, Ouipavas, Hanveo,
Moélan, Pieyber-Ghrist, Pionéour-Lanvern,
Langoélan.
Samedi 13. — L&nderneau, Le Faou, Morlaix, Quimper, Insinzao.
un B I J O U
une M O N T R E
U
Nous noua permettrons de faire remarquer
que durant et après la guerre, l'Union Agricole
et t plutieurt fois revenue sur cette question du
reboisement en Bretagne, par le pin sylvestre,
maritime, ou Douglas, selon les conditions des
lieux, en vue, non pas de fournir
l'Angleterre
de poteaux de mines, mais pour alimenter des
usines de papier, autres que le papier à ciga
rette, et s'affranchir
ainsi de l exportation
étrangère des pûtes. Depuis six ans, Montagnes
Noires, Monts d'Arrêt, dtnes de toute sorte,
eussent fourni un contingent sérieux qui per
mettrait aux propriétaires de journaux
de
souffler, un peu sur la durs route qui partit de
30 fr. les cent kilos de papier journal pour
arriver à 1S0 fr... D'autre part, si les bureaux
nous avaient permis, en supprimant des formalités, en donnant à des projets
d'électrification,
la réalité des encouragements prodigués du
haut de la Tribune, la région de Quimperli
aurait, vu ses besoins en charbons,
pétroles
essences, etc., diminuer de sérieuses façons /
Que d autres régions eussent subi le même sort l
On ne verrait pas la livre anglaise à t06 fr. 50 /
. N o t a r i a t . — L'examen des candidats notaires du département du Finistère, aura lieu
& Quimper, au siège de la Chambre des notai
res de cet arrondissement, rue Toni-al Laér
n* 6 le Jeudi 3 Avril 1024, à neuf heures du
matin.
Les candidats devront faire parvenir leur
dossier à Monsieur le Président de la Chimbre
des notaires de l'arrondissement de Quimper*
le dimanche 30 Mars 1034 au plus tard.
Avant d'acheter
Q
grand profit pour notre cabotage, en lui don
nant des frets d'aller avec assurance de frets
de retour en charbon.
Or, si l'on exploite tous les bols de pins, qui
auront bientôt disparu, on ne se préoccupe pas de
resemer ou replanter, Il y aura donc, sans tarder, un arrêt forcé des exportations et un
manque de fret qnl pèsera sur notre armement
U Importe de remarquer, en plus, que tous
les pins s'embarquent comme poteaux de mines, alors que les plus gros se débitaient au*
trefois en planches de couvertures ou planches
de caisses pour l'emballage des boîtes de oon
serves alimentaires, d'où l'obligation de faire
venir ces bois de très loin, et augmentation
du prix de revient.
La Chambre, Justement préoccupée de cette
situation, grosse de conséquences,
Emet le vcqu :
Que M. Le ministre du Commerce s'enteade
avec son collègue de l'Agriculture pour parer
à ce danger et trouver les moyens les plus
propres à obtenir le reboisement en plus mari
times des terrains impropres à d'autres cultures, et qui deviendraient par là une source de
richesse pour notre département.
ZLfEixrat
R e b o i s e m e n t . — Au cours de sa dernière
réunion, la Chambre de commerce, de Qnimper, sous la présidence de M. Emanuel Delàeluse, assisté de MM. Alavolne, Le Page, Canet,
Sériera, Bonduelle, Habrlal, Moysan et Rivière,
a pris la délibération suivante :
An nombre des moyens proposés pour le relèvement du franc figure avec raison l'intensification des exportations dans les pays & change
élevé. Cest en se procurant de la sorte des de»
visas étrangères que l'on ramènera notre monale à sa vraie valeur.
U Importe donc de veiller à ce que les arttfiles faisant l'objet de nos exportations, non
seulement ne viennent pas à manquer, mais
croissent chaque jour en nombre.
U se fait actuellement dans nos ports bretons
des expéditions considérables de poteaux de
gUaes pour l'Angleterre. Ces expéditions, en
f l u qu'elles faVeriieat le commerce, sont d'un
Conaeil
Munioipal.
— Dimanohe matin. à » h. 30. le Conseil s'est réuni sous la
présidence de M. Le Louédec, maire.
Etalent présents : MM Tanguy. B. Legrand,
Honoré, Génot, Peyron, Bernard, Quyader.
P. Le Grand, Le Gall, Morren, Tamio, Keraudren.
M. Bernard est désigné comme secrétaire
de séance.
- Caisse d'Epargne. — Les comptes de la
Caisse d'Epargne, pour l'année 1923, ayant été
approuvés par le Conseil des Directeurs, le
Conseil ratifie,
— Les pouvoirs de MM. Prosper Le Mao,
Le Bourhls, Tanguy, Texier «t Morsau sont
renouvelés.
— M. Coatval remplacera M, Bossé, démissionoalre.
— M. 0 . Legrand, conseiller municipal, est
appelé, en cette qualité, à remplacer M. Jean
Peyron, également démissionnaire.
Hospiee et Bureau de Bienfaisance. — Le
Conseil approuve certains crédits complémentaires votés par les Commissions administratives.
Achat de terrain. — Après avis de la Commission des Travaux, le Conseil décide de
céder, ti M. Le Thœuff, propriétaire au
Licbern, un terrain en bordure de la route.
Le prix en est fixé à 2 fr. M le métré carré.
Crédits complémentaire». — Le maire demande au Conseil, de vouloir bien approuver,
pour couvrir oertains crédits dépassés, le
vote d'une somme de 41.180 franos Cette
somme, dit-Il, est couverte par dos disponibilités de trésorerie. Le Conseil approuve.
Expropriation des Urtulines. — Cette expropriation devant entraîner divers frais, le
Maire demande 1'ouverlure d'un crédit de
1.000 francs. Adopté.
Demande Ansquer. —Mme Ansquer, femme
de servioe è l'école des filles, fait savoir au
Conseil, qu'ayant été alitée pendant un mois,
son service a été assuré par une autre personne qu'elle a payée. Elle demande dono que
Bon traitement lui soit maintenu, pendant
cette pqrte « t tempe, Le ftmjivil lai a e w r d »
«»tfof»'otWn,
i
Compteurs d'eau — D'-ccori &vec i* Gom
mission dtis Kinancei-, l'Ansembl-'-e d' Oidi nue
les recettes provonaat d« lu vente dm co ^pteurs d'eau sera imputée s u r l'article M du
budget 1V23, (travaux remboursable^.
Cette
reoette aura sa contre-partie en dépense à
l'artlole 83 du budget.
Quant à la dépense relative aux divers accessoires et aux appareils d'essais, qui s'élève
& 823 fr 40. elle sera imputée sur l'article S4
du budget (servioe d'entretien).
Honoraires.
Après avis de la Commission
des Finances, le Conseil approuve le paiement
des honoraires de M' Bot, avoué, s'élevant &
la somm • da 650 francsBordereau Q. — Le Conseil élève de 100 francs
à 200 fraqos, le traitement du préposé en chef
deTootroi pour i'ótabUsseme it de ce bordereau.
Déplacement. — M. Courrier, conducteur des
travaux de la ville, »'étant rendu & Paris pour
étudier la question des compteurs Aster, le
Conseil lui alloué une sómma de 100 francs
pour dépenses diverses.
Cette somme sera prise s u r l'article 33, du
budget (service des eaux).
Pupilles de la Nation. — Le Maire donne
lecture d'une lettre de M. Driart, demandant
à ce que l'indemnité acoordee aux Puollles de
la Nation, soit portée de 800 francs à 1200 francs.
La Commission des Qnaaces ayant donn* un
avis défavorable, (le Conseil maintient la subvention d" fl!)0 francs.
Sapeurs-pompiers.
— L'assemblée vo^a le
oredii necessaire a l'acHai d'une tenue pour le
oa.'ltaine de <a Cie des Sapeurs-Pompiers.
Non-valeur. — Le Conseil admet en nonv a h u une somme -le 123 franos, pour prestations, jugée irrécouvrable.
Haras. — Mme veuve Guillou, propriétaire
de la station des H<ras, demande te maintien
d'une indemnité complémentaire de 200 francs.
Approuvé
Entretien des villes et villages. — P a r suite
de t établissement du nouveau pian de la ville,
le Maire demande à ce qu'une somme de
9000 franc* seit votée pour diverses dépenses.
Le Conseil donne un avis favorable.
Radiophonie. — Le M*Ire donae lecture d'une
lettre d'ua Directeur d u a» Société de radiophonie, demandant à ce que 1- Conseil muni*
Cipal vote une somme de 2 300 francs pour
l'installation d'un appareil à la Mairi*.
La Commission dos Finances, ayant rejeté,
le conseil suit son t-xemplo, se basant s u r ce
que cet appareil n'est d aucune utilité (appareil
transformant des radiations thermiques ou
lumineuses en énergie méoaaique ou sonore).
Indemnité de logement. — L'indemnité de
logement legiemauuiro est Hooordde à M. Calvez instituteur.
Cantines Scolaires. — Le Conseil décide que
deux f u n nos de pius seront affeotéaa au service des caatln-H- l u ecoles.
Demande d augmentation de traitement.— Les
femmes de servioo des BOOIMS voionl leur traitemeut mensuel por.') de 150 fr. à <00 f anos.
Salle de théâtre — M Houorr! «lemandn à
Itisialier une saiWi de tii-à-.re à Quimpurié,
mais à une conoliiion o'col que a vi>ie lui
acoo-de une subventioa anuuetl« da fi :.00 fr.
pendant 15 ans.
La Commission des finances a do.tné un
avis favorable de principe, Quimperie manquant de salle confortable pour les troupes
de passags.
Après lecture par le Maire, des conditions
de M. Honoré, M. Peyron fait observer que
dans le traité à passer, il y a quelque chose
qui lui semble un peu anormal, en ce sens
que la Ville, votant une subvention doit pas«
s e r i a p r e m i è r e ' e t que M. Hoaoré ne devra
pas donner la priorité & une troupe de passa**
si la Ville, le même Jour, avait besoin de la
salle. Il serait juste de mettre dans les clauses
que le propriétaire, lorsqu'une troupe devra
passer, sera dans l'obligation de d mander
au maire, s'il peut disposer de la salle ce
jour-là.
M. le Maire. — C'est une convention à laquelle M. Honoré se conformera, sans aucun
doute.
M. P. Le Grand. — Je demande le renvoi
de oeite affaire aux commissions compétentes.
M. Peyron. — Sans nous opposer a ia proposition de M. Honoré, qui ne peut que donner satisfaction & la population, 11 serait bon
qu'il fournisse des plans et devis qui seraient
soumis à la Commission des Travaux qui les
eiudieraient, puis ia Commission des Finances
statuerait sur l'indemnité demandée par M.
Honoré, que je reconnais être très raisonnable.
M Ke'audren.
— On n« peut pas engager
une somme sans garantie, m u s croyei vous,
Monsieur le Maire, que les finances de la Ville
puissent faire fac* à cette dépense T M. Liot
noas disait encore hier : • Pas de dépenses
nouvelles pour cette année •.
AI. Peyron. — I-:t-ce que en encaissent les
reoettee, nous ne pourrions pas rentrer dans
nos fonds T M. Houoré demande 6.000 francs,
Il est à presumer que si les entrées aoua
restent, la Ville n'aura guère de frais.
M le Maire. — C'est une affaire comprise en
CE sens. Du reste, M. Honoré nous démontre,
dans sa demande, les frais énormes supportés par la Ville, toutes les fois qu'il y a une
séance aux Halle*.
M. Keraudren. — Ce n'est pas lui qui peut
nous démontrer cela.
Après cette discussion, à laquelle quelques
autres conseillers ont présenté certaines observations, le Conseil adoste en principe la proposition Honoré mais renvoie l'affaire à la Commission des Travaux pour étudier tes plans «t
devis.
L'ardre du Joar étant épuisé, M. P. Le Grand
demande qu'une démarche soit faite auprès
de l'Administration dea Postes pour hâter lea
travaux actuellement en cours à l'effet d a
nouveau service télégraphique souterrain.
U demande également au Mairw de prendre
un arrêté interdisant le passage de la rue
Isole aux automobilistes.
M. CWnot, au nom de l'Pnton Commereiai« et
Industrielle, qui, dans sa dernière réunion, a
émis le vssu que le oadran de l'église de la
Haute-Ville soit éclairé, demande au Maire de
faire le nécessaire auprès du Directeur d*
l'usine à gas. Le nécessaire se"a fait.
M. E. Legrand, demande un meilleur éelairage de la rue Ducoaldio.
A ce sujet, le Maire donne des explications au
Conseil.qul manifeste & l'unanimité son mécontentement sur l'éoiairage de la Ville. Le Conseil
est loin de prendre à partie le Directeur de
l'usine de Qulmperlé, qui, raute de personnel,
ne peut faire mieux, mais bien la haute Direction, qui ne fait pas le nécessaire pour que le
service soit assuré consolenoiousement.
M. Bernard fait observer que l'an dernier, &
la session de février, il avait été décidé en
principe, qu'un crédit serait porté au budget
Additionnel pour que les sapeurs-pompiers
soient munis d'un complet cuir pour les inoendles
M. le Mai'e répond que o^tte dépense e«t
inserì te au budget additionnel, si les ressources
le permettent.
% « n p W r « r o u a d * o t en w t fe qrxwtftm
d u V fcctrur,
Le M ùrn ni répond que l'adir inistration d^s
postes
«¡jcore rfp : adn à la lettre qu'il
iui » adress a ,
La séance est ensuite levée et le Consei se
îéunit en comité secret.
P. B . . .
*
«
*
N D. L. R. — V nous semble que le Conseil
Municipal délibérant sur la demande de M Ho
noré pouirait stipuler que la subvention à lui
comentie pour 15 ans. serait suspendue de
plein droit, au jour où la Ville s'étant fait
construire une Salle de fêtes, au dessus des
Halles, ou ailleurs, en recevrait les clefs, tous
travaux terminés. Il ne faudrait pas renouveler
les imprudences de stipulations consenties jadis, à aes sociétés exploitantes, telle la Société
du Qai. qui prolonge des services forcés, au
delà, de la période om ce a dits services devaient
normalement expirer
L.B.
I T Prat-Bescond
10, rus Brouzic, QUIMPERLE
ont l'honneur d'informer leur clientèle qu'elles viennent de recevoir
un G r a n d Choix d e T U s a s , dans
l«s dernières Nouveautés, pour la
saison, ainsi que les garnitures en
galons, boucles, boutons et toute
Mercerie fantaisie.
Grand assortiment de Costumes,
Robes et
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-
-m
CHASSE
*r
G*rn»t
d» mariage.
— Le lundi 17
mars, a 10 heures, e s l'égli e paroissiale de
Sainte-Cr<'ix. sera béui le mariage de Mlle
Anna Coroller, place de Lov gnon, avec M
Emile Ravallec de Kertanguy, en Mollac. Les
repas seront servis chez M. Landrein, boalevard de la Gare. Tous nos v a u x de bonheur.
S m W o « ph*rm«o«afiqa0. — Demain,
dimanche, le service pharmaceutique sera
assuré par la Pharmacie LE NAOUR. place
Cainot.
Trévoux
Inemmdi»
p a r imprudence.
— Au
Gullly-ar-men le 20 février, le petit domestiqua
de Mme Herlédan. Jean-Louis Troadec, U ans
se coucha vers 21 heures, dans la grange ser
vant d'écurie. Le lit se trouvait à gauche, en
entrant dans le bfltlment. contenant de la paille.
Jean Louis avait suspendu une lampe tempête
A une vieille fourcha non emmanchée, plantée
dans le mur à c6té du Ht. S'étant endormi sans
avoir éteint, il fut révei'lé par la fumée. La
lampe était tombée, le pét-ole s'était répandu
et la paille avait pria feu. Effrayé l'enfant ra
massa la lampe. la jeta lehor». puis alla au
puits tirer un sean d'eau, mais il ne put y par
venir, et les Inmmes montaient toujours
Affolé 11 réveilla ses patrons, mais l'incendie
avait déjà atteint le toit du grenier. On réussit
k faire sortir de l'étable 20 bêtes à cornes. Au
bout d'une demi heure enviroa, le toit s'est
effondré et les 10.000 kilos de foin furent con
sumés. Une assur»iice globale an Soleil de
15.000 francs dont 1000 pour le fourrage cou
vr« le sinistre s'élevant à 4000 francs. Le hangar
appartient & M. Furie, de Beux. Le jeune
Troadec subit lui-même un préjudice de 60 fr,
envi on. par lu p?rte dVffets d'habillement.
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Fouines
Martres
Putois
Renards
Loutres
Lapins
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R. de C.
Quimnerlé
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Melgven
A.A.
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• sont achttés au plus haut prix par
M. HOTTE, 18, rue Savary, Quimperli
Abandon
d'attelage.
— Où es-tu, Joseph, Paotr Meil N^o ? demandait la gendarme,
le 27 février, ft 17 h. 45, devant le débit Philippe. Aussitôt Joseph sortit de «s cabaret pour
boire l'amère potion du procès-verbal que lui
tendait un gendarme, celui ci venait de trouver
le véhicule du dit Joseph, abandonné, las roues
non enrayées et <• cheval non attaché.
Né vez
Droits
BUT l e ael étranger.
— L'éq M^ge du bateau de Néve« qui avait d û
acquitter 8.000 fr. de droits» do douane, sur
1« sel embarqué par lui au Portugal, lira
avec plaisir cet extrait d'une lettre adressée
par M. le Ministre des Pnancies, à M. I n k a n ,
député du Finistère.
M. Inizan avait dès le commercement de
d é c e m b r e dernier, appalé l ' a t t e n t i o n d u m i n i s t r e
sur cette affaire : « Jai décidé
d'autoriser,
à titre exceptionnel, le paiement des droits sur
la base du tarif minimum (6 fr. par 1000 kg)
bien quen droit strict, la taxe applicable soit,
depuis la dénonciation
de l'accord
'rancovortugais celle qui figure au tarif
général
18 fr, les 100 kg Dans ces conditions la tonne
de sel étranger reviendrait maximum à 85
(60 + S5 = Sâ fr j prix qui se rapprocherait
sensiblement du coût minimum de sels français
(90 fr/
J'ajoute que les intéressés devront être informés que cette facilité ne leur sera pas re»
nouvelée. et qu ils auront à prendre leurs dispositions avant l'ouverture d« la prochaine
campagne de piche, pour constituér des èelt
étrangers en entrepôt dans deux ports d'armement ou dans les ports français se trouvant
sur la route qu'ils suivent pour se rendre au
Maroc.
Veuillez agréer
etc..,
b Ministre
le Directeur
S'gni : MARGERIE
" — " —
Alexandre CUZIAT
Chirurgien-Dentiste
de la Faculté
Briê d• clôture.
— D'un commun accord, Il avait été convenu entre M. Daëron
Louis, maréchal-ferrant, et aes voisins, les
époux G
que ces derniers céderaient au
premier une partie libre de leur maison au
lieu de la moitié d'une cave de la dite maison
Un procès fut fait par l'huissier.
Le 19 février dernier, M. Daëron ayant reçu
dn charbon, déposa f.a marchandise dans la
par le convenue et où se trouvait le matériel
for'In des époux G
puis mis un cadenas
avec chaîne â la port» d'entrée.
L<>. 22 février il trouva à la porte de sa maison d'habitation, cad»*nas et chaîne, Ses soupçourt se portant sur les é . o u x G . . . , 11
il •a dépqpé M « ftairto k la g t n d a r i s t r t ee q a j « ou»
• • r i non «D(jutte,
de Médecine
31, roi Savary
de
Paria
QUIMPERLI»
Consultations t o u s les j o u r s èt QUIMPERLÉ, sauf le MERCREDI à BANNALEC.
IMelgven
Pas de guides...
le 27 février, 115 h.,
près de Kerancorneo, dans les mains de René,
du Goariot, en Iiernével, trannquillement
assis au-devant de sa voiture de sable attelée
de trois chevaux, dont deux de front. Prooôsveroai A l i Heures, près de Ty Nevea, en
Lanirec, avatar, à Louis Gaon, et à Jean
Boussard, charretiers de la maison Bondrielle,
qui lui n'avait que doux chevaux. Louis s u r s
un autre, P. V. pour défaut de plaque d'identité.
Seaêr
PorBomn»
à 2a a a i i t o , — M. Corentin
Jainet expéditeur de volailles et oiufs a ex«
pedié, durant février et par six fols, de la
marchandise à un commerçant d'Auberviliers, pour une somme totale de 1.960 f r . 30.
Inquiet du silence gardé *ur ses demandes d*
payement M. Jamet, envoya à plusieurs repri-os, son frère, garde republioaia, à la
Caserne du Château d'Eau, réclamer aAn argent Mais, la militaire trouva, c h u q i î f f o i s ,
pt<rte cio.>»e. De plus, il apprit que cnevaux
<-t voitures eiaient vendus, les emp oyés enK^Ueaet ics c; «aller» a'Aubervilliers muni*
d'autres fournisseurs. Il a porté plainte.
•«T
FAITES-VOUS
E .
Bannalee
Cheaae a n tuail.
— Joseph floaper se
moqne des règlements sur la ehasse. Propriétaire à Kerbore'h il ne vint pas au marché de
Qulmperlé, le vendredi 21. mais, vers les midi
• t demi. 11 ss mit en chasse aux environs de
sa „emenre. Le gendarme passant lui demanda
S'il était autorisé è détruire pies et eorbeaux.
Il répondit que non, mais qu'il allait en demander la permission à M. le Préfet. Hélas,
c'était trop tard 1
—n-i-rn-roynwàwin
L E
2,
HABILLER
CHEZ
G U E N N O U
TAILLEUR
plaoe des Oapuolns
QUIMPERLÉ
BONNE C8DPE i | BONNE QUALITE
Mel'leur marché que partout allleura
Quimper
Congrèa
eucharistique.
— Dimanche
21 février, s'est terminé le Congrès eucarlstique
cantonal. Durant la semaine, Mgr Lnmérasd,
protonotaire apostolique a donné I«s instrnstions à St-Mathleu et à la Cathédrale, et à ln
salle Jeanne d'Are eurent lieu les s chances
d'études. Le jeudi une grande procession d'en*
fants des écoles (4175 enfants) et d'un groupe
d'enfants de chœur (180), parmi lesquels ceux
de Ste-Croix de Qulmperlé, sous la conduit«
de M. l'abbé Jaco ot, et des élèves du GrandSéminaire fut le cent r * d'une pieuse attraction*
Le Dim; nche après vêpres, rouvelle procès»
sion, avec cette fois le concours des grottpes
de Jeunesses Catholiques et des cliques de noa
patronages. On remarquait lea clairons dea
I JbrçleB* aux ordres de H- i'abbé JLf Roux Snr
U parcours, 1« Parc, le quml 4a SttTr, le« n u
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P a i e d» t r o u p e . Il sera procédé le 14
mars 1924, & la Mairie de Qulmper, à la passation d'un marché pour la fourniture du pain
de troupe dans cette place.
Effectif de base : 680
Pour tous renseignements, s'adreeaer & la
Sous-Intendance Militaire de Qulmper.
Lea déclarations d'Intention de soummlssion*
lier doivent parvenir à cette Sous-Intendance
avant la 9 mars, 18 heures.
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PIAMOS -
MUSIQUE -
INSTRUMENTS
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LORIENT
Accord» — Réparation*
Paris
V a r o qui ? - M. Raymond Poincaré présidera, le 30 mars, le banquet de clôture du
congrès du parti républicain démocratique et
social dont il est président d'honneur.
A cette occasion, le président du Conseil
prononcera le grand discours de politique g é nérale qui est attendu dans les milieux parlementaires avec la plus grande impatience,
avec une plus grande, encore, si possible, par
tout le pays. U faut, en effet, que M. Poliioaré
choisisse entre l'Union Républicaine Nationale
et le Bloo des Gauches. La première a fait la
majorité qui lui a permis de réaliser sa politique extérieure. Le aeoond ne tend qu'à supprimer cette politique et ses conséquences et
à faire le Jeu de|l'Allemagne. Cependant, profitant de la faiblesse du l'Union Républicaine qui
n'a pas su exiger le renvoi de Mauri ou-y, des
Préfets favorisent les menées des Gauches, M.
Polnoaré laisse faire. L'écheo de ceux qui l'ont
défendu, alors que le* Radicaux et Socialistes
se coalisaient contre lui, de ceux qui ont bravé
l'impopularité à la veille de* élections, pour
preudre les mesuras fiscales qu'il solicitait,
l'échec enfin de gens lionnétes et propres, lui
serait-il indifférent? Il est temps qu'il le dise, j
et que l'on sento en France, que le gouverne
ment est avec les Bons Bergers, contre les
Mercenaires stipendiée par la caisse d'Adler et
•
JUIN PROCHAIN
•
OUVERTURE
£ t < o m b * a a d o Troilua
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d r a g o n . — Il est fort probable que. lorsqu'il
nous reviendra de Parla, oft les démarches de
M le Préfet l'ont consigné pour le moment
ehez l'antiquaire, qui a'en était rendu acquéreur, il ne rejoindra pas son ancien emplacement, p r i s du vieux clocher de Beuzlt. & la
Ûranée-Palud, où il se trouvait dans la propriété privée de Kerloret
Il semble qu'il sera réédlfié à l'entrée du
Musée départemental de Qulmper, où tout le
monde sera admis A le visiter.
Trédanlel
M a r i a g e . — Le 19 février dernier, a été
béni, en l'église de Trédaniel et dans l'intimité,
le mariage de Mlle Jeanne Coroller, fllle de
l'émlnent chroniqueur d'Histoire Bretonne
M. Coroller, en son vivant président de la
section de Littérature et d'Histoire de la P. R B.
récemment décédé, et de Madame née de Facy
de Beaumont, aveo M. Lhasaln du ûuerny.
La nouvelle mariée est e l l e - m ê m e une des
personnalités les plus dévouees du m o u v e ment breton, fille compte parmi les meilleurs
auteurs féminins de Bretagne, et ses travaux
d'Htatoire ont rendu à la Cause de signalés
aervioea.
Au nouveau foyer breton qui s'e«t fondé
nos meilleurs vœux, ha ra vezo da viken, gant
ar priejou nevez, spered ar Quenn ha skiant
eut he galvtdiges A
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G. LANDREIN, propriétaire
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Paille (avoine & blé) pressée
Bu foin pressé et faottelé
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et de
X a Brotmgn».
— L'Assemblée générale
du 37 Février avait réuni, chose extraordinaire
au Havre, une assemblée nombreuse. Après
lecture des expoxls administratifs et financiers
de MM. Le Folles et Bourdon, secrétaire général et trésorier général de cette association
régionale et philanthropique, on procéda au
renouvèllement du tiers du Comité, puis M.
Ernest Kérambrun. avocat et président de la
soéiëté. remit au Docteur Co'y vice-président
un superbe objet d'art, acquit par une souscription p pulalre, faite & l'occasion de la no-
CRÈME
SIMON
rinCEQ destinili à la consommation, tris vite fermenUlUnW tant avec lee Feiment
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tion Elle se fera à éteinte de f-'ux,
au plus oflrant et dernier enchéris- ser è Mme GUILLERME. au moulin M. Corbière, rue Savary, Quimperlé.
S'adresser Usine à Gaz, Quimperlé.
seur, en la présence comme en du Ter, Plœmrur (Morbihan).
l'absence de M. RenéTALLEC, culti4
vateur, demeurant et domicilié à Etude de M LE GAIJ.IC, notaire
à Rosporden
Kerloa en la commune de Bannaleo,
appelé h y assister en sa qualité de
subroge-tuteur de la mineure Anns-Olive Euphrasie-Françoise LE
GOC et du mineur Jnsfph René LE
par Adjudication Volontaire
GOC ci-dessus qualifiés.
LE JEUDI 20 MARS 1924
Dressé par l'avoué poursuivant
d U heurts
soussigné.
A Quimperlé, le 7 mars 1924.
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Tribunal,
4.009 fr.
CETTE VENTE a été ordonnée
ar jugement du tribunal oivil de
luimperlé, rendu en la chambre
u conseil dudit tribunal, le 10 janvier 1924, enregistré.
Elle est poursuivie à la requfite
de : 1* Mme Marie TANGUY, veuve
de Joseph LE GOC, cultivatrice, demeurant et domiciliée à Kerguyader, en la oommune de Bannaleo ;
2- M. François LE Goo, époux de
Marie-Jeanne H EU HT, cultivateur,
demeurant et domicilié à PontGuen, en la oommune de Bannaleo ;
8- M. Joseph LE GOC, époux de
Olive HEURT, cultivateur, demeurant et domioilié & Keramboyeo, en
la commune de Kernôvel ; i• M.
Jean OLLIVIER, oultivateur, demeurant et domioilié à Keroué-K^ryannic, en la oommune de flannaleo,
agissant en sa qualité de tuteur
datif de la mineure Anna Olive-Euphrasie Françoise LE GOC, sa niéoe,
née du mariage de Henri LE GOC
veo Marie-Jeanne OLLIVIER les
«IX dértrtt* 15' Mme M»rte-Rçtne*
Î
DOULEUR
a l'honneur de prévenir le public qu'il
trouvera dans ses Magasins :
dhmbUntlom
couverte en ohaume, ouvrant au
midi par une porte et une fenêtre.
2* C i * p e t i t * e o a r i » oourerte
en chaume, t u pignon oouohant de
ladite maison.
3* Un» petite cour au midi des
dits b&timents.
4' Et v a oourtil
nommé ar gla
ten, ayant fossés couchant el nord
et turon midi.
Cette propriété donne du nord
sur ohemin, du levant sur propriété
BOURHI3, du midi sur ohamp à M.
René VALEGANT, et du oouohant
•ur champ à M. Louis EVEN.
Elle figure au plan oadaHtral «ou»
le n' 515 P, de la aeotion F et oontiect sous fonds environ onse ares
soixante sept centiares.
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LE SAMEDI 29 MARS 1924
D I E PETITE
Docteur en Chirurgie Dentaire II. S.A.
Diplômé de l'E, D. F. de Paris
De Profundis I...
Etude de M*
PITON, avoué Pauline GOAPER, veuve en pre& Quimperlé, 12, rue de Quimper
mier mariage de Henri LE GOC et
épou*e actuelle de M. Valentin
MARC et ledit M. Valentin MARC,
son mari, cultivateurs, demeurant
ensemble et domiciliés à Ty-Névez»
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tutrice et de co-tuteur du mineur
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ladite Marie-Reine Pauline GOAPER.
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PITON, avoué, demeurant à Quimperlé,
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décidée à Quimperlé le Lundi 3
Mars 1924, dans sa 85« année, munie
des Sacrements de l'Eglise.
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mination au grade de chevalier de la Légion
d'honneur pour sa brillante coduite au front.
La soirée ae termina, par une partie concer-r
tante ou MM. Charles Castln, du grand théâtre
du Hivre, le Docteur Julien Le Noën, de (Concarneau, Delpit, Géo Nattale, Rlvoal, Mme Jégo
et Mlle Marie Louise BelleDger se firent applaudirent dans des oeuvres de Théodore Botrel,
Yves Le Stanc, Jos Parker, Léon Durocher
Ambrolse Thomas etc. Charles Bellanger récita
le Biniou des Tranchées, de O.-L. Aubert,
directeur d e l à Bretagne Touristique
et nos
compatriotes se séparèrent après le chant du
Bro go? ma tadou, du barde Jaffrennou Taldlr.
2.76
B.OO
St-Mathlcn, du Chapean-Rouge et Kéreon, lea
malsons étalent pavoisé^a au* couleurs national«* Le St-Sacrement porté par Mgr Duparc,
fit halte à St-Mathleu. U soir, ft la Cathédrale,
allocution très goûtée de Sa Grandeur qui remercia Mgr Lemérand et le nomma chanoine
d'honneur de la Cathédrale.
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Q U E E L E C T O R A L E , le raid so- tu viendras? corde cum Ltonis, avec un cœur
de lion, te joindic au petit groupe de jeunes
cialiste de samedi et dimanche, la I; g«'iis
que nous voulons former et que se donréponse de M. Cadic, Plaire de nera pour mission de défendre jusqu'au bout,
sans lâcher pied, la c îlture Citlio ique et celQuerrien. au Citoyen Quiniou.
tique eu Bretagne. Pius tard, nous parlerons
longuement de touies ces choses. Je compte
Fur toi, pour être mon frère d'armes, dans ces
.1 I i 1 ! V
batailles que nous ferons et qu'on nOMs fera
il 11
très iudes. Gourenner, lemm da bluen! .11 terminait cette longue missive, par ces phrases
Jeaii-Pterre Calloe'h
bre:onnes : « Kenavo, Léon ker. Kred mat
[Suite)
emon ganld a greiz kalou en da bo^niou. Me ive
am eus bet deiziou ha noziou ka et ha lui,
aboue ni beus kuiteet dou-r beniget Sautez
Et sa lettre se continuait ainsi : « Avel ar
Anna. Mes Doue ha Zent hor Bro, an deus va
vuez en deus la gaset te ivez. siouaz ! pell
c'houfortet bepred. Me o fed hirio evidout, ha
dlouz da vroig Kloh ars, pell inemb diouz
sant Léon, d i batrom ive. Skriv eul llzcr hlr,
Breiz-Izel, rak NaoneJ dija n'eo ken Breizdigor da galon d in, lavaf d'in da boaniou. En
Izel. An esper am eus koul kou le e kuTZ
eur c'halon karantezus c lcouezo da gomzou.
c'hoas da vro e.vel araok, hag en aheg d'an
Ha na vern pe ra a zigouesso ganid te, pe
dra se e skrivan d'id, evit ma teuîmp <la
ganin, kred start emon bepred da vignon da
vout, e karantez Brcizig, mignoned start
viken en Doue ha Brciz, Yann ». (Lettre du
evel kent. FizUns am eus eunout da glevut
Il avril 1910).
va mouez ha du reskont dezi.. Digas a ran
L'Union Régionaliste Bretonne tint ses assid'id gant al lizer mau. leor Erwan Berthou
<r Dre an Delen hag ar C horn-lloud ... Brao tre ses d'nlver, eu 1910 à Vitré. A cette occasion,
il fait la connaissance de JaflYennou, Le Berrc,
eo, evidoun m ; ato, te tien miro en envor
deus da vlgnoa koz Bleimor . . Kiss a ran Delafargue « Les congressistes n'étaient pas
ive d'an Aotrou n Eitourbillon, 'vit K. B. B. nombreux, me raconte-t-il. mais cela n'a pas
mal marché ma gré tout. L'exposition des
eur zon, dio werz l u va fez-c'hoa 1 » En deu
p o iuits bretons a été très suivie U-s séances
Ycnour. » Il terminait sa lettre en me diviut
publiques aussi, c.ù tout le monde se levait
qu'il recevrait : « mo.irf.t .l'ar c'henta ;»a
quand éclatait le a Rro Goz ma Zadou «...
dorn miz here an urzlou vihauna (ordres
Ici ma situation de bureaucrate me donne pas
mineurs). Eur beden, an deiz-se, va Léon
mal de loisirs que j'emploie à compulser les
ker evit an ueb n ' i n k i i u ket, dirag Duue, c
« Annales de Bretagne » extraits de la bibliovignon : « Ar Gou enuer
Da vignon da
thèque municipale de Vitré, des vo urnes bre
vlken en hor Zalver J . C. : Bleimor. »
tons
que me prête Jean C .oleau, notre éconoIl comptait revoir son Ile, aux grandes vamiste de VU. R. B. J e continue à recueillir
cances de 1907; il dut i r-parer le brevet élédes documents pour ma future « Histoire de
mentaire, à Kergonan, avec quatre vingts d e
llle de Groix »... Je suis en correspondance
ses condisciples, afin d'être instituteur lih e
avec
le cointe de Lantivy au sujet des Etats de
dans une paroisse mortdhat.naise. « Pegouls e
Bretagne. Qu'est ce que tu penses de la ques
ielimp eudro d'an Enez kurrt, kuzet duze en
tion ? It me parait qu'il y a quelque chose à
dremwel etouez ar tvagt-nnou ? •> Pour tromper
faire de ce côté. » It me donne des nouvelles
l'attente, 11 chante le « Bro goz ma Zadou «MU
de
nos anciens condisciples de Sainte Anne
milieu d'un bois de sapi s « natit peva voar
d'Auray, p usiears d'entre eux viennent de re
n'ugent Gall lia Hreto
Da vigtiuu
gane
cevoir lu prêtrise.
ar pozlo ), holl ar ce-* 1 a gemeie au d h k a i :
Lui aussi, désirait gravir les degrés de l'autel,
Pegen kaerI »
olT ir le Saint Sacrifice de la messe dans ces
Le Grand-Séminaire le garde deux années. Il
petites chapelles de nos campagnes :
est le plus jeune des élèves. Gomme il lui faut
eucore vivre une vingtaine de mois avant d'en
Bout er beleg gredus arsau doh an noter
trer à la caserne, ses maîtres lui trouvent un
li kenig en aburh, o douster I
poste de professeur dans une institution libre
O douster !
de Paris. Le votià dans ta C<pitaie il ne se
plaît gué e dans cet'c immense ville « aux
Cette douceur, il ne la connaî ra pas. Un rè
tourmentes fataies ». L'étude et la p 1ère occuglemeut inexorable commun aux grands sémipent sa pensée. Au sortir des sanctuaires piinaires bretons, lui interdit les Saiuts-Ordres.
vllégiés de Paris, il aiine à diriger ses pas veis
11 m t confie les motifs de son exc.usiou dans
les quais de la Seine, pour y fouilier .es boî es
une lettre datée du 20 août 1911...
des bouquinistes. Il expédie au r e c e u r de Groix
« Je vais rentrer dans le monde, gagner du
quantité de livres, pour constituer une bibliopain pour mes frères et soeurs et pour ma mère
thèque paroissiale. Il consulte les Archives
qui attuiut ses 00 ans et ne peut guère pius tra
Nationales, y recherche des document» en vue
vaitler pour les nourrir. A ma sortie de caserne
d'écrire une histoire de I lu- de Groix. Il possé
je préparerai mon brevet pour devenir probadait avant la déclaration de la guerre, un vo.u b i e m m t instituteur libie, peut-être à G o u . . .
mineux cahier reufe inrnt le fruit .te ses découLe motif de mou excludo r n'a rien de désho
vertes; il s'en est servi pour retracer la v c de :
norant, tu le vols... Ma mèie n'en sait rien
En Eutru Uzel, person G roi (IG95 17l7j publiée
encore, ou va lui apprendre la triste nouvelle
par tranches dans la Croix de l'Ile de Groix, en
ces jours-ci. Quel coup pour e l l e ! J e te de1908. En cas de mort, m'a t-ii répété, je veux
mande, cher Léon, un bout de prière pour les
qne ces documents soient remis au D' Vincent,
miens et moi. Je vais en avoir tant besoin,
médecin militaire qui rédigea j idis une notice
(juand même, avec ia grâce de Dieu, je ne me
sur l'Ile de Groix. J'ignore ce que sont devenues
découragerai pas. » Il était bien de cette race :
ces pièces précieuses, si pati mment recueillies.
Que rien ne peut dompter quand elle a dit :
Au printemps de 1909, il quitte la Capitale
pour se rendre au collège Salut Joseph, de
[je veux. Unizeux)
Reims. Là, il occupe un modeste poste et pour
Il quitte la caserne, à la fin de septemh e
oublier ses misères, il écrit des poésies pour
1911
Son rêve d'être instituteur libre, dans son
Dihunamb,
des artic'es po^r le Réveil lireton
île, ne se réalisera pas non plus. L'exil loin
de Loeïz Herrieu et Mellac, pour la Croix du
de la Bretagne, l'attend. Le 2 février 1912 il
Morbihan du r'-gretté Xavier Iiostin, le fou
me fait savoir qu'il se trouve à l'Institution
gueux polémiste catholique qui vient de mouSaint Joseph de Mesnlères ^Seinr Infé iuuiv).
rir. C'est à Reims que vire t le jour : l'urdonel
« Ayant commis la bêtise de venir ici, sans fixer
d'emb hun offanseu, pièce en un acte, dont j'ai
à l'avance et d'une façon formelle les condi
retrouvé le manuscrit et « Jiudiunt Groai.pc Er
tinns de mon entrée dans la maison, j e me
Menak Tudi, hoari souehus e pe.up loden .. dont
suis vu au bout du compte, forcé d'accepter la
je ne possède que quelques feuillets.
plac ; du comptable qui venait de partir. Et me
En octobre 1909, il me fait « assavoir » qu'il
voici depuis novembre, alignant chiffre s u r
est depuis un mois à Vitré, soldat de 2' c asse,
chiffre, fourré jusqu'au cou dans la comptabi
au 70' d Infanterie, 7' compagnie. J'en ai pour
llté, en partie double dont je n'avais pas même
deux ans dans cette abjecte caserne, infernale
idée avant d'y venir. Je ne sais pas si j'en ai
école de dégradation des Bretons... et des
davantage depuis. C'est un travail écrasant.
autres. Je ne suis pas malheureux : bons chefs,
Pas une minute de repos, même le dimanche.
bons camarades. Mais quelle immoralité I...
Je n'ai pu faire qu'un article de journal depuis
J'ai demandé à faire le cours des illettrés, et je le
que je suis là, alors que j'en avais fait d'iuuomfais, en breton, à quarante bretonnants. Prie
brables à la cascrnc... l u as du savoir que
pour que Je leur fasse un peu de bien, au point
t'Hermine était morte. C'est ce qui m'a fait
de vue chrétien et breton. Cest dé'icat, car il
transporter mes pénates au « Clocher lireton »
m'est interdit de leur parier de lelig on. Mais :
dont je compte devenir plus tard ie collaborateur
assidu, puisque notre projet de revue à
« Le breton dans les mots brave l'autorité... »
nous, momentanément du moins, a éclioué
La Icître qu'il m'adressa, le 11 avril 1910,
faute de ressources. »
jour de ma fêle, serait A citer tout entière. Il a
Nous avions, en tiTci conçu le dessein de fou •
versé en elle, tous le« trésors de son cœur
der une revue mcusuclle pour le pays de Cord'ami. Ayant appris que je souffrais phy iquenouallles, sur le modelé de Dihunamb.
Elle
ment et surtout moralement, il trouve les plus
aurait eu pou; titre ; Ar C'horn Boud.
douces expressions pour me réconforter, pour
A cette époque, es Séparatistes bretons, Le
m'encourager. Il me fait parvenir le remar
Mercier d'Eriu, Louis Le Houx,etc. tentent de le
quablc livre de Blanc de Saint Bonnet : La conquérir à leurs Idées, li raille spirituelleDouleur. « Ce livre, me confle-t-li, avec mon
ment la doctrine
de ces «frères de Bretagne
Imitation, me suit partout. Il est un peu dûr ù
égarés dans le brouilla d », leu démontre le
lire, mais les pensées sont si belles, elles te
danger que ferait courir à notre chère province
feront du bien. » Il me demande où j'en suis
la réalisation de leurs conceptions. « Au point
de mes études : « J'ai hâte de te voir revenu
oe vue breton, le seul auquel Je me sols j a en Bretagne. Alors, nous reprendrons, quelmais placé pour écrire Ici, (Pa/s Breton du PU
ques uns des rêves d'adolescent commencés à juin l'JU), le séparatisme est plus qu'une chl
Sainte-Aune, rCves do résurrection et de granmère Irréalisable, c'est un rdve Indéniable, une
deur pour U Patrie aimée, sauf Dieu, plus que nuée pour parler le langage k la W O de, c'cat
Bs Numéro contient un Supp'enwt
I)
l a
S J L 3 4 J D D I
«¿MHMMMU M p*Unt 4'CMMM, muf CMMN]
limu tu purum du J « m im i f it >JU|M meto.
On rubonnt «» bnrtc* injcurmU. ON ptut «'«TNWR
lt«limint, MM irait ton* leu« Ut bnrmu» it put
«w tntort a » « t r a u « n i u n mandat-potu «* Dirttítur,
W. Léon LE SERRE platt l i r w » OnUmptrU.
D l r a o u u p s Léon LE » K R I M
nÍDAtrriOM, ADMIMISTHATIOP « AMKQHOBM
A QUIMPERLE, Pia«« Nervo, o* • Ma
R I L I P H O N I , N» m
Aértu. Tilifraakuiu, , Union, QulmP«Flè
une erreur proioude et tune te'q il iaut co:n
ba tre. Inlassablement, nous la combattrons ! »
Il s'ennuie grandement à Mesnières, et désire
trouver un poste • Paris qui lui permettrait de
pré,.are une lietncc quelconque, l'h stoire prob a b e m e n t ; après réussite, il essaierait de se
caser en Bretag e, comme inofesseur secondaire libre : « J'aurais aussi du temps pour
écrire les livres bretons et français que je rêve ».
Il me prie de l'aider à découvrir la situation
qu'il doit occuper.
Après trois ans de séparation, je le revois à
Paris, en juillet 1912, il retourne en Bretagne.
Il avait grandi, mesurait 1 m. 35, avait le buste
large, la tête puissan e, avec la mâchoire inférieure légèr. ment proéminente, le regard clair,
la ligure énergique, une physionomie de penseur et de lutteur. Un pli de souffrance marquait le fiont. Il avait conservé son enthousiasme de jadis, avait foi dans l'avenir. Il me
tient compagnie tout un apiès-midl et m'ap
prend la prochaine parution, à Lorient, d'une
revue d'Action Bretonne, « la plus vivante de
toute la Bretagne, à sympathie catholique ».
Yves Le Dioerderen aurait la direction principale; elle s'appellera <• Briitia », c'est le nom
vieux celtique de la Bretagne, d'après d'Arbois
de Jubainville et René Le Roux qui font autorl:é dans la matière. Les principaux collaborateurs seront Nleven Mordiern et ton serviteur.
De confiance, j'ai fait mettre ton nom de guerre
parmi ceux des collaborateurs. Un peu plus
taid. Il m écrivait de Groix i « Le premier numéro de Britlia va paraître. Tu connais sa ligne
de direction. Le jour où, elle cessera d'être ce
qu'il est entendu qu'elle sera, j'ai dit à Diberder
que je tue séparerai publiquement de lui
N us ferons, en doctriue et en littérature bretonne tout le catholicisme et les actes de foi
que nous voudrons. La revue ne recevra aucun
article qui puisse porter ombrage à l'orthodoxie
la plus stricte. Cela a été dit et redit. Ma colla
boration n'a été acquise qu à ce prix ».
Et voici que j e reçois, en septembre 1912.
coup
sur coup
pto:>ieurA m i s s i v e s d e J e a n -
Pierre. « Je n-' retourne plus i Mesnières. Vols
au gslop, s'il y a encore quelque poste vacant
à l'Ecole supérieure de Commerce et présente
moi. comme candidat. Réponds-moi, illico.
C'est t r è s pressé ».
Continuant mes étud s de médecine, à Paris,
j'étais alors interne dans ce grand établissement
d'instruction de l'Avenue de la République. En
l'absence du directeur, le sympathique M,
Wiriath, je m'adresse à MM. Dupuis et Etevé
sous directeur et surveillant général. Je leur
expose la requête de mon ami, et sur ma recoinmanda'ion sans même l'avoir vu, ils acceptent sa collaboration.
Léon
PA.LAV2L
Docteur en Médecine,
(A Suivre)
Bretonne
B ï t E I Z
i V T A O !
Da studierien bretón Raozon, liadvodet
goude ar Brezal vraz
Ar broadou braz, gant fulor,
Evid difenn « ar gir Euor »
O deuz 'n cm daget pevar bloaz
Ha kalz pe neubeud int bet waz ;
Mez d' o heu , ar broiou dister
Zo eat ive d'ar brezel ter.
Poloniz lia Bohemianed,
Rournaniz ha Greslined,
Finia diz ha Tud Lettoni,
Armenianiz, tud Arabi,
Ukruniz ha Yoogo-Slaved
Vid o frankiz a oa savet.
Eur bern poblou, dlsanve dcc'h,
Hirio a zo kiset d an nec.'h,
Mez iaou mk int vid ar Frankiz
N:Í n'int ket daré en peb G 2 ;
Gant al liberte, vid c'hoari,
A reont peb a reveulzi.
Er c'heid-zc, en Kuz Heol ar Bed
E ma pobladou ar C'helicd
O deuz skuiilet o gwad dre holl
Vid harz ar Frankiz dond da goll :
Tud ar Sitos lia tud Iverzon,
Tud Keumri hag ar Vro vreton.
Hlnt en om gann war bep tachen
Pa zo cun gwasket da zlfcun ;
Vid ar re all c labouront
O hunan en cm ankoueont;
Pi-'u nn cuz gwclet ar gwenan
O tibí i o mel o hunan ?
D'ar gear e tistro' r Brciz id
Karget a lore... lmg a wad,
Mond a ra d'e dammlk labour
En p e n ar bed, vel eur Gcdour,
E dal war ar memez ero
Ec'h adkrog c vuez c'houcro.
Mez ar ouenii ze zo nivarvel I
Reveulzi, Kerne/, na Br<zil
N'ali hlj il anc'i war he men,
Heurta, bouia. ze a zo veo I
Petra ra d'eomp an hanó?
Ar Frankiz zo'ii hou c'halono.
Evcl ma oa Volt an taol chao
Hon B eiz a chorno Breit atao,
Varc'hoa* e vo vel ma oa kent,
Med he spered, kresket e vent,
A tintro. uhel ha digor,
Evel eur Tour-Tan war ar mnr.
Jaffiennou TALDIR
MeUrz içlp
TRADUCTION
Bretagne toujours !
Aux Etudiants Bretons de Rennes,
regroupés après la grande Guerre.
Les grandes nationt, avec furie, pour défendre le « point d'Honneur « se sont battues
quatre ans et peu ou beaucoup toutes ont
souffert ; mais à leur suite, les petites nations sont allées aussi à la guerre.
Polonais et Bohèmes, Roumains et Grect,
Finlandais et Lettons, Arméniens et Arabes,
Ukrautens et Yougo-Slaves, pour leur liberté
se sont levés.
Des tas de peuples, inconnus hier, aujourd'hui sont portés aux nues, mais ils sont un
peu jeunes pour la Liberté, ils ne sont pas
mûrs pour elle ; de leur liberté, en guise de
jouet, ils font chacun une révolution.
Pendant ce temps, à l'Occident du monde,
les peuplades des Celtes ont répandu partout
leur sang pour empêcher la Liberté de sombrer ; les gens d'Ecosse et d'Irlande, les gens
de Galles et ceux de Bretagne.
Ils vont se battre sur fous les champs-clos
où quelque opprimé appelle au secourt ; ils
travaillent pour autrui
et s'oublient euxmêmes ; a-t-on jamais vu les abeilles manger
leur propre miel ?
Le Breton retourne chez lui chargé de lauriers... et dt sang, il reprewl son petit travail
au bout du monde, tel un guetteur, et le front
courbé sur le même sillon, sa vie amère recommence.
Mais cette race-là
tion.
ni Famine,
est immortelle!
ni Guerre
ne peuvent
Révolul'ébran-
1
A B O N N E M E N T S (V« IM
«almperlé (ville)
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Finistère e t départements limll
Irophes
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Autres départements.. ••••••••¿i* 10
ColonleB et étrange*
12 »
Heure d'été. — Elle entrera en vigueur,
dans la nuit du 29 au 30 mars, pour la France,
la Belgique et la Hollande. L'Angleterre n e
s'exécutera que dans la nuit du 12 au 13 avril
T r a i n d e m a r é e » — Depuis le i " mars,
un train de marée supplémentaire quittera
Quimper, le soir, à 17 heures, avant le
train 130 et emportera la m a r é e pour les
au-delà de Redon vers Nantes et le Centre.
Le train 130 emportera désormais la marchandise pour les au-delà de Nantes vers Bordeaux, au départ de Douarnenez.
Le train de marée d u soir facilitera l'évacuation des arrivages de la matinée et des
premières heures de la soirée, spécialement
des merlans.
Horaire du train ; Départ Quimper, 17 h. ;
Lorient, 18 h. 50 ; Auray, 19 h . 45 ; Redon,
21 h. 7 ; Savenay, 21 h. 54 ; Nantes, 23 h. 11.
•
•
«
Le syndicat des mareyeurs et expéditeurs
de Bretagne et de Vendée a tenu son assemblée générale samedi dernier 1«' mars, à
Brest, sous la présidence de M. Henri Gadel,
président du Syndicat.
Au cours de cette réunion, diverses questions concernant la corporation ont été étudiées.
Société archéologique du Finistère
— Dans sa dernière séance. M. Le Guennec
préseute de la part de son collègue M. Le Goaziou. un rarissime opuscule imprimé à Paris
en 1576 par Jacques Kerver. C'est une traduction en langue bretonne du fameux catéchisme
du Père Canisius, triductioa faite dans le but
d'arrêter les progrès des doctrines calvinistes.
Cette traduction ainsi que celle d'un autre petit
catéchisme pronal qui lui fait suite, est l'œuvre
d'un prêtre carhaisien, Gilles de Saisy-Kérampuill, recteur de Ctéden Pouer et seigneur de
Bigodou, près Morlaix. Gilles de Kérampuill a
également composé des
« Heures
Bretonnes
»
doQt on connaît seulement deux exemplaires.
Il est mort à Rennes en 1573. L'Union Agri.
cole en a récemment parlé.
M. Troalen, agent-voyer d'arrondissement,
Telle elle était avant le coup-de-chîen,
telle
signale la menace de destruction qui pèse sur
notre Bretagne reste Bretagne toujours. Demain
les ruines de l'église de Saint-Colomban à
elle sera comme hier ; mais son esprit, élargi,
Quimperié. La Société est d'avis d'attirer sur ce
brillera, haut et ouvert, comme un Phare sur
point l'attention de M. le Maire de Quimperié.
la mer.
M. Troalen annonce d'autre part la récente
trouvaille au cours des travaux d'adduction
d'eau, au Rouas, d'une cachette de fondeur
contenant des armes de bronze qui ont été
déposées, partie dans un coffre du chantier et
partie au bureau même de M. Troalen. C'e.t
S u r les b o r d s d u r u i s s e a u a l l o n s r i r e r c e soir I . . .
ce dernier lot que nous avons vu. Il y a là de
L ' b i » e r a est f a n p t u s d o u i et in p a i i s i p r o f o n d e .
N o u s i r o n s l e n t e m e n t , le c c e j r e m p l i d ' e s p o i r
très beaux spécimens de l'art celtique des
Nos baisers se u l c l a n t à la r u m e u r d e l o n d e
Gaëls du IX' au III- siècles : des haches, des
pointes de lances et de flèches, un morceau
S u r les b o r d s d u r u i s s e a u a l l o n s r ê » e r c e s o i r ! . . .
très reconnaissable de cuirasses, parsemé de
Nos pas s arrêteront s o u s l'égide d u s a u l e
la répétition des cercles de l'Existence, un glaive
L ' o m b r e nous vêtira d ' u n cdaste m a n t e a u noir
El t u m e l t r a s ton I r o n t a u c r e u x d e m o n é p a u l e
identique à ceux du Musée de Dublin le tout
naturellement en bronze, coulé, pour les haS u r les b o r d s <iu r u i s s e a u a l l o n s r ê i e r c e s o i r . . .
ches et les pointes, dans des moules de boue
J e c h a n t e r a i p o u r toi l ' a m o u r e u s e c h a n s o n
desséchée ; pour le débris plus délicat de la
Et p o u r m é n a g e r d e m a i n l ' h e u r d e n o u s r e v o i r
cuirasse, dans un moule de cire. Tous ces
S o u f f r e q u e j * te m è n e « u s e u i l d e t a m a i s o n . . .
objets, qui Jont en bronze, étaient réunis dans
ENVOI :
une petite cachette située à 0°40 ou 0~50 de
E c o u t e ce q u e d i t l a b r i n s I
profondeur, Les recherches faites à l'entour
S a h a r p e te p o r t e u n b a i s e r . .
n'ont pas donné de résultat. M. Troalen a fait
U n p a r l u m dont la s e n t e u r grise
part à M. Waquet de sa découverte.
S u r ta Itrra »a se p o s e r I
M. Troalen a également fait part de la déM e s s a g e r d i s c r e t et f i d i l e
V e r s loi s ' e n r c l e à tire d ' a i l e ,
couverte de pierres sculptées dans le parapet
Le s o u i l l e a r d e n t d e m a f e r r e u r . . .
effondré du quai Brizeux, b la suite da l'inciAs t u s e n t i sa d o u c e h a l e i n e
dent de la camionnette, accident relaté par
T r a T e r s a n t le m o n t e t l a p l a i n e
1 Union Agricole. M. Troalen a bien voulu nous
S ' a r r ê t e r s u r ton i r o n t r ê t e u r ?
communiquer à ce sujet, les renseignements
PAULUS
puisés dans une notice rédigée en 1877 par M.
Rames, ip-u-2)
A. de Miniac, ingénieur ordinaire des Ponts et
Chaussées. Voici ce qu'en dit expressément M.
de M niac : « Après ces vicissitudes (La Ligue)
une période de calme permit à la ville de s'étendre et au commerce de se développer. Vers 16X0,
les murailles furent démolies et les matériaux
qu on en tira servirent à la construction de reL e s C h â t e a u x d e T u u r a f n e e t d u vêtements des berges des rivières et d'un quai
U l ê s o i s e u a u t o m o b i l e . — Quatre cirde navigation qui occupe l'extrémité amont du
cuit« au départ de Tours (placo de la Gare.)
pont actuel »>.
Deux circuits au départ do Bloi» (Place de la
Ces lignes appellent plusieurs réserves.
Gare), du t " avril au 19 octobre 1924.
D'abord les remparts démolis en 1680, ne deEn vuo do permettre la visite rapide et pravaient être qu'un simple mur de ville et non
tique des plus intéressants ohateaux des
de sérieuses fortilleations. En effet une e n bords de la Loire, lu Compagnie d'Orléans
quête relevée en 19'21, par notre collaborateur
organise les circuits ci-après :
Daniel Bernard, à la Chambre des Comptes de
Au départ do Tours. — A) Tours, Loches,
Bretagne, & Nantes (1) et remontant à 1495, déChenonceaux, Amboise, T<»urs. Prix par
montre clairement qu'à cette époque, les remplace : 34 francs. Départ à i) heures. Retour
parts n'étaient déjà plus en maint endroit,
vers 18 h. 45 ; b). Tours, Viilandry, Azay-Iequ'un souvenir lointain. Peut-être des parties
RidPau, Chir.on, Ussé, Langçois, Cinq-Mars,
en subsistaient-elles dans la basse-ville, tout
Luyues, Tours. Prix p a r pUce : 35 francs, proche du monastère, en 1680. C'est d'ailleurs
drpart à 9 heures. Retour vers 18 h. 30 ; C).
vers cette époque que Dom Charrier, abbé
Tours, Chenonceaux, Amboise, Tours. Prix
commendetaire de Saiute Croix, entreprend la
par place : '25 francs. Départ à 13 heures.
réédiiicatlon de l'abbaye, jusque là de style roRetour vers 18 h. 30; d). T o u r s , Luynes,
man, et en fait un beau spécimcn de l'archiCinq-Mars, Langeais. Azay lo-Rtdea.u, Viilantecture classique. Dès lors, on s'explique la
dry, Tours. Prix par place : 20 franev. Départ
présence dans le parapet, de débris de cornià 13 heures. Retour ver« 18 h. 30
ches sculptées, provenant sans doute des d é Au départ do Blois — 1. Blois, Cboverny,
molitions de l'abbiyc et mélangées à celles des
Ohambord. Blois. Prix par piace : 15 Jrancs.
remparts.
Départ fi 13 heures. Retour vers 17 h e u r e s ; II.
M. Waquet soumet le programme de deux
B.ois, Chatnbord, Chevorny. Chaumont, Blois.
excursions projetées pour la belle saison. L'une
Prix par place : 22 francs. Départ à 18 h e u r e s ,
aura lieu dans la région de Concarneau, Pontdelour vers 18 h. 45. P o u r la location des
Aven et Bmnalec ; la deuxième fera visiter les
places iun franc par place) ot l'indication d e s
monuments des communes de Briec, Edern,
jours de mise en marche, s'adresser : a u x
Lango en et Landudec. Il est à désirer que les
gares de Tours ot de Blois ; aux Bureaux spéexcursionnistes s'inscrivent plus nombreux
ciaux du Service automobile, 8, boulevard
que l'année dernière où leur nombre trop resBê-anger, Tours et 2, Place Viotor-Hu^o,
treint a causé un certain préjudice aux flaau*
Bloia ; à la gare de Pans-Quai d'Orsay ; à ces de la société.
l'Agence de la Compagnie d'Orléans, 16, Boulevard des Capuciues, a u Bureau do Rensei(I) Et non ani Archives du Finistirt, comme nous
gnements, 126, Boulevard RasRail, Paris. '
Citions dit ptr erreur dans le Quille itn Touriste, édite pt(
It «jndiwl d'imtiRtiM.
ler sur son roc : il est vain de secouer, de
pousser ! Que nous importe le nom ? La Liberté
habite dans nos coeurs.
Sur les bords du ruisseau
Chronique Régionale
U n e e x c u r s i o n h i s t o r i q u e . — La a Société Cambrienne » d'Archéologie doit se rencontrer 1« 19 août prochain avec la locléti Poiymathlque du Morbihan pour visiter avec elle
les grands monuments préhistoriques de Carnac et de Lohmarlalc er, Cette excursion scientifique aura Ueu sous la direction de M. Salomon Relnach membre de l'Institut de France,
conservateur du Uusie des Antiquités nationales d* Saint-Qermaln-en-Laye.
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O r i a t
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des trois dernières années diminaée de 10 0/Q.
que des pommes de terre de primeur accnm
pagnées d'un certificat émanant d'un groupe
ment professlonel habilité à cet effet par le
directeur des services agricoles du département sISge du département. ¿>
Les droits sur l e s t r a n s p o r t s d e
p o m m e s . —• Le double décime ne sera pas
appliqué aux droits sur les cidres et aux droits
de circulation s ni les pommes à cidre.
MM Alexandre Duval et Join-Lsmbert, députés de l'Eure, avalent, par un amendement
au projet de loi soumis à la Chambre, demandé que le double décime ne frappe pas les
droits de circulation sur les cidres et fruits à
cidre.
En offet une loi du 22 février 1918 a Boumls
les fruits à oldre et à poiré oiroulant hors du
oanton de récolte et des cantons limitrophes,
ou ^ destination des villes de plus de 4 000 habitants, aux mêmes droits et formalité que
les oidres et poirés.
Sur l'intervention do M. Alexandre Duval
cet amendement a été admis.
Las droits qui pèsent déjà si lourdement
sur les acheteurs de pommesda nos (Villes no
seront donc pas augmentés, si le Sénat admet
comme le Gouvernement et la Chambre, l'initiative des députés de l'Eure.
E x p o r t a t i o n d e s c h e v a u x . — La
Chambre syndicale du commerce des chevaux
de France porte le déficit de notre effectif che
valin & 100.000. Le diott de sortie de 10 0/o ad
valorem, institué le 16 février est Insuffisant et
iuopérant contre les ravageurs de nos foires. Il
faut porter ce droit 4 30 0/o au minimum et
l'exiger en or, comme nous avions été obligés
de le payer nous-mêmes pour les chevaux
achetés en Amérique il y a huit ans.
Main d'oeuvre I r l a n d a i s e . — A titre
d'essai, un premier contingent sera réuni pour
être réparti dans quelques départements, purml
lesquels se trouve celui de l'Orne.
Aucun Irlandais ne consentira s'expatrier
pour gagner des salaires Inférieurs & ceux qui
suivent :
150 4 200 fr. plus nourriture et le logement
pour un homme adulte ; 120 4 1S0 fr. pour un
jeune homme ; 100 4 120 fr. pour une temme.
f o i r e s de la S e m a i n e
Lundi 17 mzrs. — Douarnonez, Ouilvlnec,
•uimiliau, Lanmeur, Ploudalmczeau, Sizun,
Qourin, Auray.
Mardi 19. — Lambézelleo, Peumerit, Plouénour-Ménez, Telgruc, Le Faoufit, Plouray,
Hostrenen.
Mercredi 19. — Dirinon, Ploaré, RelecqKerhuon, Kernascléden, Bubry (St-Yves), Le
Vieux-Marché.
Jeudi 20. — Chateauneuf, Huelgoat, Plou
guerneau, Plounôvez-Lochrist, Pont-Croix,
Hosporden, Eté', Lézardrieux.
Vendredi 31. — Loqueffret.
Samedi SS. — Loe-Eguiaer-Saint-Thégonneo,
Pouldreuzio, Le Saint.
M u r â t
Gentleman Irlandais leçons anglais
donnerait
•XXXXXXMXX
P r e r o f s t i o a do f e r a t f * . — Le décret
du 9 novembre 1919, article premier alinéa
premier« accorde une prorogation de bail d'une
année à tous les fermiers et métayers mobilisés qui n'ont été mis à même de reprendre sur
place la direction de leur exploitation que pos
térteurement au 1" septembre 1917, & la seule
condition que leur bail prenne (In ou ait corn
aeneé I courir dans la période du 1** janvier
au Si décembre 1920. Ce texte ne fait aucune
distinction entre les baux qui ont commencé
à courir avant la déclaration de guerre et
ceux qui ont été conclus ultérieupement.
(Cour de Cassation, 9 janvier Î92't
L e t r i c o t à l a m a i n . — Nos lecteurs eL
ceux du Rioeil Breton liront avec Intérêt le
rspport de M. Choleau sur la protection de
la dentelle & la main {et sur l'extension de
la proposition Constant.au tricot à la main. Ce
rapport lu au Congrès de la F. R. If , à Qui m
per, en septembre, a été également communiqué 4 l'assemblée générale de Ylnion des in
duitriel» à Vitré. M. Choleau Intervient, de
plus, prës des Chambres de commerce, groupements professionnels, députés, autorités
compétentes etc., et reçoit en ce qui concerne
la protection du tricot à la main d'excellentes
promesses des députés Constant et Taurines.
Les coupures des C h a m b r e s
de
c o m m e r c e » —-, Des réclamations sont parTenues de Lorlent 4 la Chambre de Commerce au sujet du refus d'accepiatlon par quel
ques commerçants ainsi que par certaines administrations, des coupures de 2 fr., i fr., cin
quante centimes, émises soit par la Chambra
de Commerce de Lorlent et du Morbihan, soit
par le» autre» Chambre» de Commerce de
France.
Nons croyons devoir rappeler à ce sujet que
les billets en question ont toujours cours et
doivent être acceptés en paiement par les com
mariants et Industriels ainsi que par toutes
les administrations publiques.
Un avis qui sera inséré dans toute la presse
fera connaître ultérieurement la date à partir
de laquelle ces coupures cesseront d'dtrc acceptées. Mais un certain délai sera accordé
ce moment aux porteurs des petits billets à l'effet pour eux d'obtenir leur échange soit contre
des billets de la Banque de France.
D R A P E R I E S
•
•
•
•
•
HAUTES NOUVEAUTÉS
A. LE DËROUT
Tailleur pour Ville & Campagne
QUIMPERLÉ
(Maltón l e Roed)
L'exportation
d e s pointues
do
t e r r e . — Le Journal Officiel a publié le dé.
cret suivant :
« Est rappporté, en ce qui concerne les pommes de terre de primeur exportées du 1" mars
au 1" mal, la dérogation & la prohibition de
sortie, édicté, par le décret du 12 juillet 1919.
« Toutefois, des exeptlons 4 cette disposition pourront être autorisés moyennant le
payement d'un droit de sortie de 10 0/q ad
valorem, et sous les condltlous cl-aprds, qui
oarront être modifiées ultérieurement, si
esoln est, par le ministre des Finances,
• Ne seront admises 4 l'exporta*Ion, jusqu'à
houvel avis et daus la limite d'un contingent
qui, pour chaque région de production, ne
pourra dépasser U moyenne de« exportations
E
littéraire et commercial et l e ç o n s d e
violoncelle.
S'adresser à M. K. J. Mao Geoghegan,
Ty-Breiz, Morlaix.
Qulmperlé
Obsbques.
— 11 est toujours pénible le
spectacle des funérailles, même d'un Inconnu
Uu sentiment de tristesse, plus grand encore,
vous saisit, lorsque vous vous trouvez en présence du convoi d'une jeune tille, que vous la
saviez, hier, pleine de santé et souriant à la
vie toute de promesse. Au<si, les foules qui ont
assisté, ces derniers temps, aux obsèques de
Mlle Odette Mauduit, et, dimanche dernier,
celles de Mlle Eugénie Even, morte« toutes
deux, aux environs de la viugtiême année, ne
dissimulaient elles pas leur émotion. Des larmes et des fleurs ont été répandues sur ces
tombes prématurément ouvertes et cela, avec
d'autant p¡us de sincérité et de sympathie dou
lonreuse, que ces deux jeunes filles n'avalent
jamais refusé leur concours aux organisations
des oeuvres de bienfaisance, notamment à la
cavalcade, il y a deux ans, et qu'elles étaient
comme le sourire gracieux de notre Ville. En
ces pénibles circonstances, nous prions leurs
familles d'agréer nos très sincères condoléances
Servie«
pharmaceutique.
— Demain,
dimanche, le service pharmaceutique sera
assu'é par la Pharmacie HAtiltlAL, plate
Saint-Michel,
Arzano
Irresee,
— Lo forgeron François Enlz*n,
de la rue du Temple, & Pont-Scorll', observait
la rotation dus globos célestes, ie 4 mars, I
17 heures, près l'entréo du bourg d Arzano,
au travers do ses lunettes d'ivrogne, il tomba
d admiration à ce spectacle auquel le ravirent
les geudarmos.
Pacage.
— Six vaches, appartenant ét
Pierre, uo Keriarec, brouta'ent l'herbo du
grand chemin, le K mars, a 10 h. 40. Que
n'étttient-ellos dans lo champ de Pierre î
Trémôven
Fermeture
tardive.
— Mathurin, débi
tant à la Lande-des-CliSUaigniers, servait &
boire a une dizaine d'altérés, dimanche sol
9 mars. Los gendarmes lui servirent un p.-'
Baye
Défaut
d'éclairage.
— Le 11 mars,
19 h. 45, Louis de Poul-Tréou, n'avait pas de
lanterne à sa bicyclette. P. V.
— Jean de Locqultlec, s'est va dresser la
même contravention pour le même motif.
— Pierre et Alexandre, du même village que
le précédent, se trouvait dans le même cas.
Le Trévoux
Arrestation,
— Le 7 coarant, vers 12 h. 30,
Mme Malcoste, de Castel-Névez, s'absenta de
chez elle ponr vaquer a ses occupations, laissant sa porte simplement fermée au loqaet.
Profitant de cette absence, son neveu, Cyrille
Malcoste, 21 ans, de Bannalec. pénétra chez
elle et subtilisa un portemonnale contenant
deux billets de 6 francs et quelque menue monnaie.
Arrêté quelque temps après par les gendarmes. Malcoste commença par nier mais, confronté avea plusieurs témoins, 11 finit par passer des aveux. Il a également avoué être l'auteur d un vol de 32 francs au préjudlae de M.
François Mouchicourt, ouvrier peintre, avenue
de la Gare 4 Bannalec.
Malcoste a des antécédents déplorables. Il
sort d'une colonie pénitentiaire. Il aurait dépensé le produit de son vol en s'amusant 4
l'occasion du Carnaval.
Conduit deyant M. le Procureur d« U République, |1 h <tl ensuit« ieroué,
•<>4
• 4M
faites-
vous
habiller
chez
E. L E G U E i M N O l
2,
place
de*
Capuolns
QUIMPERLÉ
BONNE COBPE ; | BONNE QUALITE
Msl'lsur marché que partout ailleurs
Bannalec
Mort accidentelle.
- Samedi 8 mars,
vers midi, M. Bourhls, du Querneo, trouva,
dans son champ, le cadavre de la veuve Baocon, 63 ans. Il prévint aussitôt le fils de la
victime, Alain B*ccon, commis épicier au
Verger Ferreo. Immédiatement, lecadavrà fut
retiré du I o j s ô où il était étendu sur le dos»
les Jambes repliées et le bras gauche sur la
poitrine ; près de lui, la canne et la coiffeCette femme habitait avec sa tille, Mine Le
Dœuff, ménagère à Stang-Hael, depuU 4 mois.
Elle ia quitta le 6 au matin pour se rendre au
Verger Ferreo, voir son llls Louis, permissionnaire. Vers midi, elle se trouvait à StangQuorneo, au débit Mestrlo, où elle mangea et
but surtout- Elle s'en alla vers les 14 h. et so
dirigea vers son but. à travers champs. Maladive et un p' u saoûle, elU sera tombée du
talus qu'elle voulait escalader. Le cadavre
avait le bras et la jambe fracturés.
Circuit
oyclisto.
— Le grand circuit !
cycliste annuui « Aquila », organisé par M. H.
Jiquel, du Bmnaico, sur un parcours environ
de 100 à 150 kilomètres, sera dispuLe le U uiai
prochain Ce circuii comprendra de nombreux
prix. Les prix et ie parcours seront donnés
ultérieurement.
Apres la pisciculture À Baunaleo»
— Le « Deuxième Cougrés National de
l'Etang • organisé par l'Union des Syadloats
de l'Etang ot les Services Commerciaux
de la Compagnie d'Orléans a tenu ses assises
les 14 et 15 février, au Siège de la Société des
Agriculteurs de trance, sous le haut patronage
de M. le Ministre de l'Agriculture.
Cette manifestation présentait un Intérêt
considérable du fait qu'elle devait fixer les
progrès réalisés depuis le Congrès de 1918 et
établir le9 directives à suivre pour développer
rationnellement l'élevage et l'engraiskement
du poisson dans nos étangs. Depuis cette époque on a importé en France des races de
poisson d'élite, de grande précocité, pouvant
aveo une exploitation bien comprise tripler
et plus la produotion de nos eaux privées.
D'autre part, tout en continuant l'élevage
de ces types étrangers perfectionnes, des
recherches vont ótre poursuivies, notamment
par l'Ecole des Baux et Foiêts de Nancy, en
vue de l'amélioration de nos races française
qui, & m'en pas douter, donneront de* produits excellents, mieux adaptes 4 nos eaux.
Les Congressistes oui examine en outre les
perfectionnements S apporter au transport
du poibson vivant et à l'organisation commerciale ils la vente afin de permettre au
consommateur d'être approvisionne régulièrement et dans de bonnet* conditions par les
p lucipaux marchés du Payn.
Cette interessarne manifestation a ainsi
réalisé le programme tracé qui était de rechercher les moyens propres à développer la
production piscicole de nos étangs on vue de
•'amélioration de l'alimentation nationale et
de l'abaissement du coût de la vie.
Clohars-Curno&t
M . * >1»' M A U O U i r , 14, r u e dos Ecoles, Quunperie, p r é v i e n n e n t le punito
qu'ils exposeront Dimaucbe proohain,
10 Mars, toute la j o u r n e e , u n e trôs g r a n d e
quantité de C h a u s s u r e s p o u r F e m m e s ,
Hommes, Enfants, Fillettes et Garçonnets,
a des prix exoeptionneis. Grand ohoix de
souliers v e r n i s
Allons, j e u n e s g e n s et j e u n e s l i l e s ,
n'hasitbE pas a venir tous au bourg.
Speoialité de C h a u s s u r e s sur m e s u r e s .
La Maison se oharge d« toutes les Réparations.
Hlec-sur-Bélon
Carnet
do mariage.
— Le lundi 17
mars, a 10 fheures en l'eglise paroissiale de
Riec-sur-Béloa sera béni le mariage de Mile
Marie GUrreo, de Lanirébelleo, aveo M. François Tocquet de Ruai en Treguno. Les repas
seroni servis chez Mme Garreo a LanJrébelieo. Mlle Marie Qarrto est la s e u r de notre
ancien employé, Thameo Qarreo, mutilé de
guerre, deceiie peu de temps après ia Otdiure
des hosiliileB Aux Jeunes (lancés, nos meli*
leurs vesux de bonheur.j
Sans lumière...
une volturo à 2 roues,
sa .s lanterna, appartenant à Youen, de LijouTrjbelieo, circulait par nuil obscure, sur ies
19 h. 40, ie 5 mars; moi» le gendarme circulait
au»M.
Divagation.
— Les deux chevaux d»
Peu Pont-Avon couraient »ur la grand'route,
sans jock yn, ie 9 mars, a 11 h. 45.
Vol d'e£Tets. — Lo 19 décembre 1923,
Joseph Qouimelon, 28 ans, garçon boulanger
chea M. Lo Villaiii, rue du Cimetière, & PontAven, étant soutirant, quittait M. Haoul, boulanger au oourg de Rino, où il exerçait alors son
métier. Le 4 mars, de retour a Kiuo, il constata ia disparition d un veston et d'un pantalon. On acouse du vol un garçoa boulanger,
surnommé Le Boi des Menteurs. Ce dernier so
serait fait régler le 1B février et serait allé &
Lorlent.
Caisso
looalo
du Crédit
agrioolo.
— Los Sociétaires de la Caisse looale du Crédit
agricole du oanton de Pont-Aven, sont convoqués, en Assemblée générale annuelle, le
dimanche 30 mars prochain, à 9 heures du
matin, salle Louis Quémar, au bourg de Rleosur-Bélon.
Ordre du jour ; Compte-rondu des opérations
au cours du l'anime 1923 ; paiement des intérôis sur parts ; questions diversos.
Mutuello-Betail.
— Les membres de
la Sooioté d'assurances la Mutuelle Bétail de
Ritc-sur UéIon sont convoqués en assemblée
générale annuelle lo dimanche 80 mars, Cl
9 heures du matin, salle Louis Quémar, au
bourg, pour entendre la leoture du rapport
financier de l'exercice eoou>é et faire toutes
propositions utiles sur le fonctionnement de
la Caisse.
Syndicat
d'Elevage.
— Los membros
du Syndioat d'élevage du canton do PontAven, Bont priés do su réunir le dlmanehe
10 mars, à 9 heures du matin, salle Louis
Quémart & KqreO, pour l'emmen do diverses
questions Içs intéressant.
— Sont égalnment invités h y assister les
m-inbri s du eyndicat dr.s Agriculteurs de
l'arrondissement de Quimpené (groupement
de Rlrc-sur-Eélon^. Au cours de cette réunion,
M. le Secrétaire général dn Syndicat des
Agriculteurs de l'anondlssement de Quimperié fera une conférence sur les Assurances
mu.uelies agricoles coatre les accidents»
\izon
Pas vacoiné...
Joseph Gaudln, 59 ans,
raccomo îeur de parapluies, vaisselle, faïences,
de Basse-Indre, près Nantes, portait le 3 mars,
& 9 h. 15, sur une route d- Nizon, une petite
caisse en bois et de vieux péplni, mais sur sou
carnet, nulle mention de vaccination. Gaudin
ne se réjouit pis de soa mépris des découvertes de Jeum.r, c*r il est trôs gêné du p.-v.
que cela lui rapporte.
Névez
JPas de lanterne
pour éolairer les haridelles de Oorentin, de Kervraô en Trégunc, le
9 mars, ô 23 h. 15.
JEolairons...
tant que nous y somme?,
où oous courons lo risque l'avoir comme Olivier, de Knrado, en faut«, sur sa becane, ie
9 mars, à 23 heures, les soucis d'un p.-v.
f e r m e t u r e tariive.
— La nuit avait
paMee depuis longtemps du la couleur Isabelle
au noir foncé, quand le 9 mars, à 22 h. 25, la
débitant« de boissons de ¡¿roaz-Keranrun se
décida à fermer sa porte.
Alexandre CUZ1AT
Cliirurg'ien-Dent iste
de la Faculté
de Méd-cine
31, rua Savary
de
Paris
QUIMPERLÉ
Consul'ations t o u s les j o u r s à QUIMPERLÉ, sauf le MERCREDI à BANNALEC.
.w\\\\\\\\\\\v\\\\\\\\xv\\\\\v\v\\\\\v
Scaêr
Société
de pScheure
à la ligne. —
La société « La gaule d« l Isole » qui s'est
fondée pour le repeuplement des rivières et la
répression du braconnige a immergé le 6 mars
da s la rivière de l'Isole, dix mille œufs de
truites communes. Les adhérents de cette société se sont engagés mutuellement i déaenser
tons les braconniers.
Plusieurs gardes assermentés surveilleront,
les rivières jour et nuit et tous ceux qui seront
trouvés soit à vider la rivière, ou pêcher avea
des engins (Qlets, ligne de fond, chaux, etc,)
seront traduits en correctionnelle,
Bienfaisance.
— Aux mariages de M.
Vigot avee Mlle Le Gall ; M. Kerhervé aveo
Mlle Le Goc ; M. Fou sard avec Mlle Duigou,
on a recueilli respectivement 6 fr. 65 20 fr 05
20 fr. 65 au profit lu Bu eau de Bienfaisance,
No» meilleurs vceux aux nouveaux époux.
Prime
à la Natalité.
— Ont roçu la
prime h la Natalité eu février : Mmes Capl
taine, de Kervars ; Jégou, du Bourg ; Le Reste,
de Keranguen ; Toupin, du Fermou ; Monfort,
de CoadigoU.
JPas do plaque.
— Louis, de Kerméas,
passant près de Kerignon, le 3 mars, a 11 h.,
regretta de n'avoir point de plaqua de contrôle.
l
HQüLOßERIE, BIJOUTERIE, ORFÈVRERIE
!IJ. LE GOFF
y
j
HOHLOQER
Í
2, PUCE 6AM8ETTA (Haut de la rus Savary)
i
Jacques et Marie Louis Harnay. — Foussard
Lucieu et Anne Le Daigou. — Le Naour Yves
et Marie Louise Bteien. — Fraval Jérûme et
Marie-Françoise Lsscoat.
Magiset Joseph
et Marie Cozlc.
Décés. — Le Bihan Joseph, 36 an9, célibataire, de Kervennou. — Le Beux Mathurin,
8 ans, du Bourg. — Thomas Marie-Louise,
22 mois, du Bourg,
Pour Assurances
Incendie, Accidents, Vie
P. A. S.
»divssez-»ous ¡ Ä
FUR,0 p< ,t
Rosporden
Athlétisme
— Nous sommes très heureux 0 annoncer, que par suite d'une décision
de ia commisbi m sportive des Patronages du
Sud-Finistère, un concours d'athletisme par
société, aura lieu è Rosporden, le dimanche
30 mars.
Nous .'avons que VEtoile Sportive Rospordinoise, t'occupe activement, de. rehausser
l'éclat de ce concours en faisant faire le déplacement à tous les patronages environnants.
Des deialis complémentaires seront donnés
ultérieurement.
<oncarneau
Légion
d'honneur
— Dans la promotion au ministère d-j riastructioa publique et
d^-s Bo^ux A-ts, nous relevons ,ia nomination
au grade d officier de ia Légion d'honneur, de
M. L^guûl Gérard, l'artiste peintre si Qdèle &
Concaïueau. dont il a reproduit en de nombreuses loue» t 4.4 app*eciees, ies divers aspects et les scènes si colorées de la vie courante de nos pôcheurs.
Ua'il veuille bien agréer nos félicitations !
Syndicat
des patrons
pSohoura
et armateurs.
— Aux termes de la loi du 19
avril 1910, le« indemnités à acorderaux participant embarqués snr les bateaux armés ponr la
pêche au large et à a petite pêche appartenant
soit à des patrons ou à leur veuves, soit à des
armateurs ne pos»4dant que des bateaux d'un
tonnage inférieur à 50 tonneaux, prennent
cours du jours de leHr mise à terre.
Cette loi de 1910 ayant ainsi limité le tonnage des bateaux à admettre au bdneflee immédiat des allocations de la caisse de prévoyance,
il en résulte que dés qu'ua navire atteint 50
tonneaux l'armateur et mime le patron doivent supporter les charges de ces allocations.
Les patrons et armateurs, considérant que
cette limite du tonnage des bateaux admis au
bénéfice immédiat des allocations, et qui était
alors rarement atteint à cette époque, est une
cause d'empêchement de constrnction de bateaux de 50 tonneaux et plus, off. ant plus de
sécurité pour ceux qui les montent et nécéssalras actuellement & la pécha an large (thon, langouste, sardines, sur les cOtes du Maroc et de
a Mauritanie) et même de bateaux de moins de
50 tonneaux, en raison des prix élevé des constructions maritimes qui obligent les marins
voulant posséder un bateau & faire appel 4 des
actionnaires pouvant posséder un bateau de
50 tonneaux et qui devront supporter ainsi les
charges de ces allocations.
Vu les charges déjà très loardes incombant k
l'armement (taxes d'armateurs, snr le chiffre
d'affaires, etc et qu'aggrave cette stipulation.
Emettons le veu que la loi soit modifiée et
que la limite du tonnage des bateaux admis au
bénéfice immédiat des allocations de la Caisse
de Prévoyance soit porté de 50 à 100 tonuaaux.
1,11, , III
B g g B B « M M — — B
Q U I M P E R U f i :
Taupes
Fouineg
Martres
BAQUES, PROMESSES, ALLIANCES
Putois
j BOUQUETS FLEURS DO
' BANBERS POUB MARIEES
Renards
CADEAUX P O U R HARLAGES
Loutres
i j Réparations d'Horlogerie soiguées garanties Í Lapins
I
|j
- " -
PKNDULE8,
À TOUS LKS PRIX
M O N T R E S ,
REVEILS
K. do a
Quimperlé
N* 814
K. du C. Qulmperlé n- 1828
Vol Ûtgrant.
- Le 'J5 février, Yves Lutta , ilmuiiBiiqne chez M. Jean Burel, à Kersao,
en Scaér, se trouvait indispose. Vers 18 h. 30,
Mme Burel lui ayant apporté à mauger le
lal-sa seul. U quitU son lit et alla tout droit,
sur ses bas. dans la chambre d>j son camarade, "Yves SaïaSln, cumine lui domestique, au
1" étage de la maison, Il lui enleva une
somme de 111 fr.. composée d'un billet de
100 'r., d'uu de 10 fr. et d'un de 1 fr. Cette
soi îme était enfermée dans un portefeuille
qui se trouvait dans U poche d'un paletot suspc, du à un clou, près du lit. Le vol commis,
il alla à St-Quonole, où il arriva vers 19 b. Il
échaugen ses billets aux debus Le Moigne et
Toulgoat, où il prit du cidre et diverses marchandises, puis, afin de laisser sa femme ignorante du vol, il cacha le reste de l'argjnt
dans un talus, près de sa demeure, et, le lendemain, 1« dépensa aux débits Berthelot et
Trévaren. Le soir, 11 était complètement ivre.
Salafin ne s'aperçut du vol que lo S mars.
Lucas, arrêté lo
refusa de marcher et on
dut l'embarquer au train.
MUt-Ciril
du mois do février
i9Z4.
— Naissances. — Le Moing Joseph, du Bourg.
— Capitaine Emilie, de Kervars. — Cotten
J n an et Cotten Marguerite (Jumeaux) du Moulin Trôgman — rtivlar viarie-Purrine, do
Kenesco*. — J<W'iu l\ig.»r du Bo irg. —
Guiban H.inri, du Vo len. — Le IViste Jeanne,
de Koranguen. — Toupin Mari-i-Loui-ie, du
Fermou. — Jeannès Alain, du Moulin-du-Pont.
— Bihôrec Môlanie, du Saint-Jean. — Cohennec Marie-Françoise, de Créménet. — Le Duigou Adrlenne, deCrémen-ît. — Petit Henriette,
de Bividuel. •—Monfort Albort, de Coadigou.
— Le Fioch Marie-Madeleine, de la gare de
Coa'loc'h. — Lan Hoari, de Kerédec. — Bo
cha i R 'lié, de Casca ieo. — Le Dé LouisMar e, do Toyal.
Mariages. — Pensec Yves ot Marie Yvoune
L* Duigou. — Si îquii Joseph et i\iarie-Anno
Bon vio. — Hinvier Ta hurin ot Louise Calvary. — Kerhorv4 Jean-rtene et Marie-Louise
L« Goc. - Vigot Auguste et Anna Lo Qall Ntrjlc Charles ot tout»« L« Dec, « Flotte?
sont achetés au plus haut prix par
M. HOTTE, 18, rus Savary, Quimperlé
Quimper
Meeting
des familles
nombreuses.
— Bimanche. à l'Hôtel de France, eut lieu le
meeting annoncé. MM Paul Simon, Balanant,
Imzan, Bouilioux-Lafont, plusieurs maires et
Conseillers Géuéraux. dont M. Le Louédee
sont présents. Par oont r e M. Lt- Bail qui se
trouvait à Châ'eaulin, n'est pas venu apporter
ici les raisons uui militent en faveur de son
opposition au vote familial. M. Le Louédeo
pense le remplacer, mais il remet ses explications à uno date ultérieure, ce qui nous lait
oourir ie risque de ne le? ouïr jamais. Peutêtre M. Le Bail et lui n'ont-ils à fournir que
des raisons tirées de leur terreur de ce qu'ils
appellent la réaction. En ce cas, c« sont eux
les réactionnaires, s'ils ne veulent pas d'an
progrès souhaité par la majorité de leurs
concitoyens. D'un tout autre avis se sont
montrés les députés démoorates,! Paul Simon
et Balanant, qui ont toujours été, ainsi que
M. Inizan et M. Jadé, absent, les partisans|
du vote familial.
M. l.orin, notaire à Qnipavas, prépare un rappon rès documenté sur le vote familial Le
vote Umiual n'est que la oonséquence logique
de la Révolution instituant le suflrage universel. C'est ce suffrage universel qu'il faut enlin établir pour que ne subsiste plus le oon*
tresens actuel.
M. Lorin réfute toutes les critiques formulées contre le vote familial, grÂoe auquel
le gouvernement suivra une politique de la
natalité. Les lois auront une réperoussion
sur les mcuurs et sur l'hygiène publique.
EUes combattront le taudis et les maladies
populaires. Elles réserveront les bourses
d'instruction publique aux enfants des familles nombreuses. En oe qui concerne les
fonctionnaires, elle» poseront le prlnclpf
qu'à, mérito égal l'avancement apparttanârt
au père do famille, eto.
*
S u ^ j p A é m e p I
fâuito
d e
1«,
IRécrioxietla
T a x e d'armateurs. — Grâce a MM.
Jean Jadé. Paul Simon et Battflflfcfcadminls,t ration
pas M j ^ H l f des taxes
d«rmateurs et l a m e a d g B M y a f t o r i j a n t les
720 tr. aux d e m i - s o i d j H r ne sera pas retiré
Ainsi le déclare une lettre du sous-secrétaire
d'Etat aux finances, M. d'Aubigny.
I^a m i s s i o n
hydrographique
de
Q u i b e r o t i . — La mission hydrographique
du lieutenant de vaisseau Ardon, dans les
parages Lorient-Qniberon-Belle-Isle, reprendra
ses travaux le 1 " avril prochain et explorera
1« zone Groix Les Glénans, Qulberon, HouatHcedic, les Cardinaux.
*
V-3
' •
Tribunal Correctionnel de Quimperlé
Audience du 11 mars 192-i
Guilligomarch. — Tenue de débit clandestin.
Quel est le citadin qui se promenant & la cam
pagne, en -été, n'est pas allé dans une ferme
boire du cidre qu'il a généreusement payé ?
Le fait pour un cultivateur 4 « donner ainsi A
boire occasionnellement à un promeneur constitue-t il »s tenue d'un débit clandestin ? Tel
est le litige soumis au tribunal correctionnel
par la poursuite intentée par le Ministère
public coutre Mme Pavec, cultivatrice à Guisquër, en Guilligomarch. Cette dame, à qui une
voisine, la jeune Noëlle Padellec avait volé
une montre, porta plainte & la gendarmerie
contro la voleuse. Le père de l'enfant furieux
de voir que sa fille était inculpée de vol par
suite de la plainte de Mme Pavec, dénonça
cette dernière comme ayant vendu du cidre à
lui-même et à deux autres personnes, alors
qu'elle ne tenait pas débit.'Mme Pavec a été
poursuivie devant le tribunal correctionnel
pour avoir ouvert un débit de boissons sans
autorisation préalable, ni déclaration. Mais &
la suite d'une habile plaldoirie de M* Fournis,
avoué, Mme Pavec a été acquittée.
Bannaleo. — Chasse au fusil. — Goapper
Joseph, propriétaire à Kerborc'h, avait, dit il,
l'intention de demander l'autorisation de chasser les corbeaux. Mais, avant d'avoir demandé
cette autorisation, il se livra ¡1 ce sport. H a
été condamné à 50 fr. d'amende, ù la confiscation du fusil et au coût d'un permis de
chasse général.
Quimperlé. — Vagabondage.
— Le père Le
Duigou est un vagabond professionnel. A peine
sorti de prison pour purger une condamnation pour c c délit, il se fait de nouveau attraper. Il ira encore passer trois mois à l'hôtel
de la rue de Brémond d'Ars.
Guilligomarch. — Ouverture de débit sans
autorisation. — M. R . . . . exploite & Gullligo
march un débit qui était avant lui exploité
par des parents. En prenant la suite, il aurait
dû faire une déclaration Pour ne l'avoir pas
faite, il est condamné à 16 fr. d'amende avec
sursis. 11 n'avait pas non plus chez lui, une
aftiche de la loi sur l'ivresse. Il est condamné
pour cette contravention connexe à une
amende de 5 francs.
P o n t - A v e n . — Coups et blessures. — Nos
lecteurs s'e souviennent certainement de cette
bataille qui eut lieu à Pont-Aven, le jour de
Noël daus la rue St Guénoié d'abord, sur la
lace de la Mairie et enfin dans le débit de M.
E
ancéau, dans la rue de Concarneau, entre
M. Hémon, d'une part et M. Le Bloc'h, père,
M. Le Bloc'h, fils, et M. Horellou. D'après M.
Morvan, adjoint au maire de Pont-Aven, une
centaine de personnes avaient assisté à la
scène qui s'était passée sur la place. Après
plaidoiries de M* Fournis, avoué pour M.
Hémon, et de M' Bot, avoué pour MM. Le
Bloc'h, père et fils et pour M. Horellou, M.
Hémon est acquitté pour le délit de coups et
blessures. MM. Bloc'h, père et fils et M. Horellou sont condamnés chacun à une amende de
25 fr. M. Hémon qui avait eu le tort, au cours
de la bataille de sortir de sa poebe un révolver
est condamné & 16 fr. d'amende pour port
d'arme prohibé.
K e r n é v e l . — Outrages et rébellion
envers
o/ficier ministériel. — Les époux Laurent, de
Lun-Kérouac'h, en Kernével sont depuis plusieurs années en procès avec leur vo.sin,
Nicolas, de Lan-Iatin. Ils perdent tous leurs
procès, mais se refusent à exéenter les juge
ments qui sont rendus contre eux. Force est
donc à Nicolas d'avoir recours au ministère de
l'huissier. Or, à chaque fois que M* Baron,
huissier à Bannalec, est allé chez les époux
Laurent pour leur signifier des actes, il a été
l'objet d'insultes et de violences de la part de
Mme Laurent qui excite également son mari
contre lui. Fatigué des procédés dont les époux
Laurent usent à son égard, M. Baron a porté
plainte. Le Tribunal a condamné Mme Laurent & 15 jours de prison avec sursis.
• M M M M É M M
PIANOS -
MUSIQUE -
INSTRUMENTS
Maison Fondit en 1860
G.
OLLIVAUX
Fac
f£UR
EX-ACCOHDElilt
DR
d e
P i a n o s
LA
MAISON
4 , Cours de la Bôve
PLEYBf
LORIH
Accords — Réparations — Echange
ABONNEMENT
A
LA
LECTURE
MUSICALE
TELEPHONE
Chronique
4-21
Electorale
Çu»lqne»polmti.
— Ne p o u v a n t e n t r e p r e n d r e une réfutation oomplète, dans ce
n u m é r o , des dires de nos leaders sooial i s t e s , n o u s r e m e t t o n s à la s e m a i n e p r o c h a i n e et p o u t - ê t r e & d ' a u t r e s , la s u i t e d e
c o q u i n o u s s e m b l e d e v o i r r é p o n d r e aux
assertions des f u m i s t e s brestois. Nous
p r i o n s n o 3 a m i s d e bien v o u l o i r c o n s e r v e r
cette série qui leur sera, nous l'esperons,
Utile à o o n s u l t e r , à l ' o o o a s i o n . En tout c a s ,
s a m e d i n o u s p e n s o n s q u e l'Union
Agricole s ' é t e n d r a l o n g u e m e n t s u r le socialisme
agraire,
tel q u e les b o n s a p ô t r e s l'ont
e x p o s é à la n a ï v e t é d e s p e t i t s p o s s é d a n t s
d e s c a m p a g n e s , f e r m i e r s et o u v r i e r s
a g r i c o l e s . N o u s d i r o n s a u s s i q u e l l e e s t la
d o o t r i n e d e s R é p u b l i c a i n s d é m o c r a t e s on
la m a t i è r e et n o u s p a r l e r o n s d e la plusvalue.
A c h a q u e j o u r suflit sa p e i n e .
Nous n'observons pas l'ordre dos c o n f é r e n c e s et p r e n o n s l e s o b j e o t i o n s ç a et là
et les m e t t o n s e n " italiques
".
Le Bloc National : 1' n'a pas su
faire
rendre gorge aux enrichis de la guer re ; 2° il
n'a pas procédé à la révision des marchés de
guerre.
1» ENRICHIS DE GUERKE. — M. D e l a c h e n a l , d é p u t é d e la S a v o i e , fait r e m a r -
quer que c'est sous la législature de 1914,
c o m p o s é e en m a j o r i t é d ' é l é m e n t s d e s
g a u c h e s , q u e l'Etat a p a s s é les m a r c h é s
scandaleux qui ont bénéficié à ceux qu'on
e s t c o n v e n u d ' a p p e l e r les profiteurs de la
guerre. Ce s o n t les m i n i s t r e s d e s p r e m i e r s
g o u v e r n e m e n t s d e la g u e r r e , A l b e r t T h o m a s , en tAte, qui o n t p a y é h d e s p r i x très
exagérés les industi iels chargés de tra
vailTer pour U défense n*tiopije. Devant
d e YUiwn
les s o m m e s formidables acoordées aux
i n d u s t r i e l s , les o u v r i e r s d e s u s i n e s d e
g u é r r e , n e s e s o u v e n a n t p a s aqgey. q u ' e u x
aussi étaient mobilisés, réclamèrent sans
cesse de nouvelles
augmentations de
salaires.
Or, d è s s o n a r r i v é e à la C h a m b r e , le
Bloo National v o t e l ' i m p ô t s u r les b é n é f i c e s de g u e r r e et c e t i m p ô t a d é j à r a p p o r t é à l'Etat p l u s de d o u z e m i l l i a r d s .
2° RÉVISION DES MARCHÉS. — Le
juillet 1920, la C h a m b r e d e s D é p u t é s a d o p t a i t
u n p r o j e t d e l®i c o n c e r n a n t la dite r é v i s i o n . T r a n s m i s au Sénat, le 30 d é c e m b r e
s u i v a n t (n- 675) c e p r o j e t l'ut l ' o b j e t d ' u n
r a p p o r t p r é s e n t é le 8 j u i l l e t 1921, p a r
M. le s é n a t e u r S i m o n n e t (n• S9S) i n s c r i t
à l ' o r d r e d u j o u r d e la s é a n c e d u 31 j a n v i e r 1922, il f u t a j o u r n é . Le texte, p r o p o s é
p a r la c o m m i s s i o n d u Sénat et établi en
c o l l a b o r a t i o n a v e c lo G o u v e r n e m e n t , d i f f è r e p r o f o n d é m e n t de c e l u i de la Chambre.Le 7 m a r s 1922, tut p r é s e n t é e à la Cham hre
par M. F o u g è r e , u n e p r o p o s i t i o n do r é s o l u t i o n , i n v i t a n t le G o u v e r n e m e n t s d e m a n d e r au Sénat d e tulter 1 • v o t e d u
p r o j e t d e loi s u r la r é v i s i o n d e s m a r c h é s
de g u e r r e . . .
C'est d o n o le Sénat radioal q u i s ' e s t m i s
à la traverse d ' u a e loi v o t é e , huit m o i s
a p r è s les é l e c t i o n s d e 1919, et q u i e x i g e a i t
la r é v i s i o n d e tous les m a r c h é s p a s s é s
p a r l'Etat, p e n d a n t la g u e r r e , p o u r u n e
s o m m e supérieure à c e u t m i l l e f r a n c s ,
d e f a ç o n à c e q u e les b é n é f i c i a i r e s d e c e s
m m o h é s r e s t i t u a s s e n t t o u t e la p a r t i e d e
leur b é n é f i c e d é p a s s a n t le 1 0 % . P o u r q u o i le
Sénat radioal n e d é g a g e - t - i l p a s l a p a r o l e
q u e , a s s u r e le c i t o y e n G o u d e , s'était, d è s le
début, donnée Albert Thomas, de reviser
les m a r c h é s q u e les c i r c o n s t a n c e s l ' o b l i g e a i e n t à a c c e p t e r les y e u x f e r m é s ? Et à
c e p r o p o s , parlant de la c a r e n o e d e n o t r e
a r m e m e n t au d é b u t d e la g u e r r e , le cit o y e n G o u d e o u b l i e d e n o u s d i r e q u e l s en
étaient les r e s p o n s a b l e s
11 p r é f è r e
parler des
b é v u e s d e l'Etat-Major o u
d e s c o m m i s s i o n s d e l ' A r m é e , m a i s se
g a r d e b i e n d e r e l a t e r la p a r t q u e d a n s
oe d é s a r r o i a v a i t l ' i n t e r n a t i o n a l i s m e il
ohard d u G o u v e r n e m e n t q u i retenait loin
des directions des h o m m e s c o m m e Fooh,
C a s t e l n a u , Mangin e t c . . . , e t o . . .
Le Patriote Jaurès ne croyait pas à l'envahissement de la frontière Est, mais bini à
celui de la Belgique.
L'Etat-Major
s'obstinait d surveiller l'Est et d négliger
la Belgique.. Il ne voulait pas d'artillerie
lourde,
pour être plutôt rendu A Berlin. En 1917,
si on avait laissé faire Painlevé,
la
guerre
était finie.
Le c i t o y e n G o u d e p r e n d b i e n g a r d e d e
r a p p e l e r q u e les a m i s d e Jaurès a v a i e n t
détruit n o t r e s e r v i c e d e r e n s e i g n e m e n t s
et d e c o n t r e - e s p i o n n a g e m i l i t a i r e , p e r m i s
au b u d g e t d e la g u e r r e a l l e m a n d d e d é p a s s e r le n ô t r e d e q u a t r e m i l l i a r d s , p r ê c h é le s a b o t a g e et l ' i n d i s c i p l i n e
Le citoyen Goude se vante de oe q u e Jaurès
avait t o u j o u r s c r u à l'attaque p a r la Belg i q u e , a l o r s q u e l'Etat-Major d é f e n d a i t
n o t r e f r o n t i è r e Est. S'il était s i n c è r e il
dirait p o u r q u o i . . . Il a v o u e r a i t q u e la
politique de guerre du g o u v e r n e m e n t
i m p o s a i t à c e t État-Major d e ne p a s g a r n i r
la f r o n t i è r e b e l g e p o u r n e pas p r o v o q u e r
l ' A l l e m a g n e à la v i o l a t i o n d e la B e l g i q u e .
En q u e l q u e s j o u r s i0 à 12 c o r p s d ' a r m e e
f u r e n t t r a n s p o r t é s en B e l g i q u e et r a n g é s
en bataille à C h a r l e r o i , s a n s q u e le C o m m a n d e m e n t se f u t d é c o u r a g é un m o m e n t du c h a m b a r d e m e n t d e sa c o n c e n t r a t i o n
de p r e m i è r e ligne, p r o d u i t p a r le r e c u l
de 10 k m s u r la f r o n t i è r e Est. et d u d é r a n g e m e n t de t o u s s e s p l a n s initiaux.
Quelle e s t la c a u s e d e s é c h e c s d e Charl e r o i , de M o r a ' g e s ? L ' i n f é r i o r i t é d e n o ' r e
matériel r é s u l t a n t d u m a n q u e d o c r é d i t s .
Et, si n o u s a v o n s é t é o b l i g é s d e r e s t e r
d a n s les t r a n c h é e s j u s q u ' e n 1917 la faute
en est à q u i ? A u x r a d i c a u x - o o i a l i s t e s q u i
avaient refusé de voter oes crédits.
Le c i t o y e n G o u d e a p a r l é d e s p o s s i b i lités o ù s'était t r o u v é P a i n l e v é d e f a i r e la
p a i x e n 1917.Sont-ellesdans l ' a v e r t i s s e m e n t
d o n n é p a r cet é t r a n g e m i n i s t r e , à l'Allem a g n e , d u haut de la T r i b u n e , q u ' a u c u n e
o f f e n s i v e d ' e n v e r g u r e n e serait e n t r e p r i s e ,
oe qui revenait à dire q u e n o u s abandonn i o n s la partie et q u e la c a p i t u l a t i o n
n'était p l u s q u ' u n e s i m p l e f o r m a l i t é ?
Sont elles d a n s le r e f u s d ' é o o u t e r les p r o p o s i t i o n s J e Sixte d e B o u r b o n , au n o m d e
l ' E m p e r e u r C h a r l e s ? Sont elle d a n s la d i f fusion des feuilles i m m o n d e s qui c o n t a m i ne 70 u n i t é s et q u i n e o e s s è r e n t q u ' a v e c la
dictait
de C l é m e n c e a u et la m e r v e i l l e u s e J j n p r i s e d e Pétain s u r le m o r a l de
l ' a r m é e ? L'Etat-Major a v a i n c u en d é p i t
d e s d i f f i c u l t é s q u e lui c r é è r e n t les Socialistes. Et c e t t e v i c t o i r e , les s o c i a l i s t e s
l'ont s a b o t é e . Ils o n t tout fait p o u r l'Allem a g n e à ¡ ' a r m i s t i c e et le c i t o y e n G o u d e
r e p r o c h e a u j o u r d ' h u i à F o c h d e ne p o i n t
l ' a v o i r d é s a r m é e . Si l'Etat-Major o s e , les
s o c i a l i s t e s le b h l m e n t ; s'il s e r e c u e i l l e , ils
l ' a g o n i s e n t de s o t t i s e s ; s'il se r e m e t en
m a r c h e , ils l ' a r r é l e n t ; s'il est v i c t o r i e u x ,
ils s a b o t e n t la v i c t o i r e . Voilà le P a s s é . . . .
Dans le P r é s e n t , o n les v o i t la main d a n s
la m a i n d e s Adler et d e s Sha\Y, p o u r sa
b o t e r les é l e c t i o n s , et ils n e r e f u s e n t pas
d e lier p a r t i e a v e c cette flnanoe i n t e r n a t i o n a l e q u i fait n o t r e v i e c h è r e .
La vie cliére n'arrête pa3 sa marche a.',rendante. .. Mais les désillusions pleuvent sur
es travailleurs
votait pour une
Chambre
qui devait ramener les beaux
jours.
Il est c e r t e s p l u s facile d e t r o m p e r le
P e u p l e q u e d e le n o u r r i r ! D'où v i e n t en
effet la vie o b è r e ? Elle v i e n t d e la t e n s i o n
de notre change français, tension déjà
e x i s t a n t e q u a n d s'ost r é u n i e la n o u v e l l e
C h a m b r e , et c e t t e t e n s i o n est c a u s é e :
(a) p a r la t r o p g r a n d e é m i s s i o n d e p a p i e r - m o n n a i e d e M. Klotz, radical s o c i a
liste, et a p p r o u v é e a v e o u n e i n c o n c e v a b l e
légCreté p a r la C h a m b r e de 1914. A l ' h e u r e
aotuelle, il y en a p o u r 37 m i l l i a r d s .
(b) p a r l ' e x c é d e n t d e s d é p e n s e s s u r les
r e o e t t e s . En 1915, le m o n t a n t d e s p r e m i è r e s a t t e i g n a i e n t p r è s d e q u a t r e f o i s le
m o n t a n t d e s s e c o n d e s et c e n'est pas la
d i s c r é t i o n d e MM. les i n s t i t u t e u r s , socialistes, p o u r n e p a r l e r q u e d ' e u x , q u i f a c i litera les é o o n o m i e a .
(cl p a r l ' i n e x é c u t i o n d e s e n g a g e m e n t s
l'Union
d e 1 A l l e m a g n e . Or, n o u s s a v o n s ,
Agricole l'a d é j à p r o u v é , q u e la v i c t o i r e
r a d i o a l e - s o o i a iste est l ' a b a n d o n d e n o t r e
o r é a n c e . Ce sera d o n o p i r e q u e m a i n t e
nant. Le g o u v e r n e m e n t d e M. P o i n o ré
r é p a r e autant q u ' h u m a i n e m e n t on p e u t
le faire, la sottise h u m a n i t a i r e q u i n o u s
e m p ê c h a en 1918 d e d i c t e r la p a i x d e Berlin, et d e n o u s a s s u r e r les g a g e s n é c e s s a i r e s . Les s o c i a l i s a s d ç 1918 é t a i e n t *
A p l m l e
et
Marâtime
g e n o u x d e v a n t W i l l s o n . A u j o u r d ' h u i le
Citoyen G o u d e r e p r o c h e a u Bloo National
dé n ' a v o i r p a s o p é r é le d é s a r m e m e n t d e
l ' A l l e m a g n e ! Mais M. Alasson à T r é m é v e n , c o m p a r a i t le p a u v r e Boohe,. à u n
f e r m i e r t a l o n n é p a r s o n c r é a n c i e r , installé c h e z lui, et g ê n a n t sa . o r o d u c t i o n . . .
On n ' e n est p a s à u n e c o n t r a d i c t i o n p r è s
c h e z les s o o i a h s t e s . C o m m e n t les m e s u r e s
b o n n e s h i e r s e l o n M. G o u d e , s o n t - e l l e s
mauvaises aujourd'hui selon M Masson ?
(fi) p a r la f l u c t u a t i o n d e s c h a n g e s . I l
n o u s faut i m p o r t e r la p l u s g r a n d e p a r t i e
d e s o h a r b o n s , textiles et p e t r o l e s . Ces
achats n o u s les p a y o n s en « d o l l a r s »
p o u r l ' A m é r i q u e , en « p o u n d s » p o u r
l ' A n g l e t e r r e . P r e n o n s l ' e x e m p l e d e la liv r e . Elle v a u t 25 f r a n c s à l'état n o r m a l .
Mais v o i c i la g u e r r e : la l i v r e et le l o u i s
s o n t r e m p l a c e s par d e s billets n o n r e m b o u r s a b l e s en or. La m o n n a i e d e v i e n t u n e
marchandise
q u e l c o n q u e d o n t le p r i x
m o n t e si elle e s t très d e m a n d é e et b a i s s e
si p e r s o n n e n'en veut. C'est c e q u ' o n a p pelle le c h a n g e .
Si l'on r é f i é hit q u ' e n 1919. la F r a n c e a
v e n d u à l'étranger p o u r e n v i r o n 5 milliards 1/2 et q u ' e l l e lui a a c h e t é p o u r 23
m i l l i a r d s , o n c o m p r e n d la d e m a n d e d e
m o n n a i e é t r a n g è r e q u ' e l l e a d û faire et la
h a u s s e e f f r a y a n t e q u i en est r é s u l t é e . Au
lieu de v a l o i r 25 fr. la l i v r e e s t a u x e n v i r o n s de li)0 f r . D o n c les c h a r b o n s , les
textiles, les p é t r o l e s a u g m e n t e n t d e p r i x .
(e) par la loi d e 8 h e u r e s . J u s t e m e n t le
m o m e n t o ù c e t état d e g u e r r e é c o n o m i
q u e s u c o é d a i t à la g u e r r e d e s a r m e s , est
c e l u i c h o i s i p a r les s o c i a l i s t e s , p o u r faire
v o t e r la loi d e 8 h e u r e s . T o u t est r a r e ,
tout est c h e r , t o u s les a p p é t i t s s o n t d é c h a î n é s , n o s r é g i o n s du Nord à r e f a i r e
c o m p l è t e m e n t . . . A l o r s q u ' i l faut travailler plus, o u d é c i d e d e travailler m o i n s .
Industrie, c o m m e r o e ,
c h e m i n s de fer
s o n t o b l i g e s d ' e m p l o y e r un p e r s o n n e l plus
n o m b r e u x et d é p e u s a n t d a v a n t a g e . Natur e l l e m e n t le p r i x d e s t r a n s p o r t s et d e s
marchandises augmentes.
f) par les t r o p n o m b r e u s e s d é r o g a t i o n s ,
a c o o r d é e s par les m i n i s i r e s c o m p é t e n t s ,
à la p r o h i b i t i o n m o m e n t a n é e de s o r t i e d e
c e r t a i n e s d e n r e e s , a u m a n q u e de s u r v e i l
l a n c e q u i laisse s e p r o d u i r e d e s rafles
c o m m e c e l l e d e s c h o u x - f l e u r s d e St-Pol,
o ù c e l l e q u e l'on signalait hier s u r les
l é g u m e s e x p é d i é s de Par s en Angleterre,
p o u r ne c i t e r q u e c e l l e s à. La C h a m b r e d u
I31oo National ne p e u t ê t r e a u t r e m e n t
r e n d u e r e s p o n s a b l e d e la c a r e n c e d e s
P o u v o i r s P u b l i c s en o e s m a t i è r e s q u ' e n
tant q u ' e l l e s'est r e f u s é e à p r e n d r e le
p o u v o i r , et à o b l i g e r VI. P o i n c a r é , à lui
d o n n e r autant d e s i i t i s i ' a c t i o n A l ' I n t é rieur qu'il e s t p l e i n e m e n t a l o u e r
d a n s l e s question«« e x t é r i e u r e » . La
C h a m b e, en a d o p t a n t la loi d u 21 o c t o b r e 922, et en d é c i d a n t q u e es s p é c u lations illioites s u r les d e n r é e s et m i r
c h a n d i s e a ne seraient, p l u s p o u r s u i v a b l e s ,
si elles n'avaient été c o m m i s e s a v a n t le
23 o c t o b r e 1922, e n t e n d a i t ren Ire au c o m m e r o e sa l i b e r t é d ' a c t i o n .
En effet, p o u r m e n e r à b o n n e fin d e s
o p é r a t i o n s c o m m e r c i a l e s , il faut l ' i n d e p e n d a n o e , l'actio i et la s é c u r i t é . O i a ne
veut p a s dire q u e l'Industriel o u l ' E x p é d i t e u r p u i s e se p e r m e t t r e d ' a l l u m e r un
p a y s . Il y a m a l h e u r e u s e m e n t m a n q u e d->
c o n s c i e n c e chez b e o u o o u p , devant l'appât
du gain, o o m m e il y a c h e z l ' a c h e t e u r a
n ' i m p o r t e q u e l p r i x , un d é c h a î n e m e n t
d ' a p p é t i t s et d e m a t é r i a l i s m e q u i s o n t
d ' a i l l e u r s tout-à fait d a n s la n o t e d u Paradis s o c i a l i s t e . Chez les u n s c o m m e c h e z
b s autres, i y a m a n q u e de tenue morale
et de d i s o i p l i n e i n t é r i e u r e . La v i e c h è r e a
b e a u c o u p p l u s de c o r r é l a t i o n q u ' o n n e
pense, avec l'absence de vie religieuse,
b i e n c o m p r i s e , c h e z b e a u c o u p t r o p de n o s
contemporains.
(A suivre).
d u
1 5
M a r e
I M A
posséder, au-dessous de trente I!I Pourquoi
trente, o* oa* vingt, dix, deux pent-fitre, citoyen Gol'c ? Voilà ce qui serait intéressant à
savoir 1 Où commence et où Unit la propriété
socialistn ? où commence et finit t'injustico
sociale?
Or, aujourd'hui cette transmission de la propriété noblo ou bourgeoise dans les mains
paysannes, s'opère, surtout depuis la guerre,
d'une façon rapide. LVisance de nos ruraux
leur permet d'acquérir 'a terre, ¡¿ans hnurt.
Bans ¡njiiRticf, par le plus légitime des moyens :
l'achat Et ainsi, ils se sentent ch' z eux.
M. de Pou!piquet,à Mellac prouva cela et blet:
d'autres choses ot la réunion se termina d-!
façon houleuse A Querrien, M Cadic, le sympathique et très dévoué maire de cett* c o m mune, opposa le bon sens aux raisonnements
du citoyen Quiniou. Ce fut le dimanche h la
salle Prat l' n'était bruit depuis quelques
temps à Q icrrie i, que de cette conférence.
Jeudi, par l-s soins de quelques fonctionnaires
et principalement de MM. les instituteurs,
l'honorable M. Porner exempt", 20" convo
cations tnviron avsient, ete, mi«e- à la po>ti\
Uo a>scz grand nombre d'électeurs y avaient
r> pondu.
Le bureau fut fO"mé de M. Guittemo'. conseiller d'arrondissement, a'-si'-té d^ MM <:harles Barc >t P erre J A gou. assesseurs.
Le citoyen pérora p us d'une hpure sur les
d i v e ^ e s questions d'ensemble que nous envisageons dans notre article de lê'.e, sans oublier
la question axrair.', puis le président ¡onnf la
paro e a M Cidic, dont voici le discours, en
subsUaco :
« Mes arnis. vous avpz lai-«é le citoyen Qui
niou à peu près tranq i'.le Vous n'avez p is aKi
envers lui, comme ses amis agissent à Brest,
envers leurs ennemis, lorsqu'ils veulent prendre la paroi -, c > s t une bonne leçon pour lui 1
(.Applaudissements).
Le ciioy.-n Q uniou, nous disait que les écoles
devaient être gra'uitris et obligatoires, car
dans le cerveau d'un ilis du paysan et l'ouvrier,
il y a peut Cire de quoi faire un Président de
la République, un Dépuié ou Sénateur, un
Savant, un Artiste. Là-dessus, j e pense c o m m e
lui. Mais il a oublié de nous dire où il trouvera
l'argent pour entretenir ce» éco'es a intégrales»,
R»po->d z citoyen Quiniou! (Applaudissements).
LE CITOY EX — Je répondrai tout a l'h-urnl
M. CADIC — Le citoyen Quiniou nous a
pa<-le d-. ''A iemaiine qui doit payer, mais qui
n'a pas la capacité de le fnire en ce moment.
Le Boche trouve bien le moye.n de ivf-ure rapidement sa flotte de commerce, de refaire ses
armements, de dépenser pour entretenir la
résistance dans la Rhti% mais il ne trouv- pas
d'argent pour les réparations.
(Applaudissements)
Les ouvri-rs qui ont fait la guerre dans les
usines étaient lit à l^ur place, j e ne dis pas le
contraire ! Mais ce qui était injuste, c'était de
les payer 15 et 20 fr. par jour, alors que le
pauvre cultivateur dont vous p'aignez le sort
en en moment, se faisait casser la g . . . à cinq
sou» par j o u r . Voill le point de départ de la
vie chère, I {applaudissements . Le citoyen Quiniou a par e es im ô » indirects qui représentent donZ'1 millions, .-oit 300 fr. par ¡ê'e
d'habitant. Ii n o u v e ce a exagéré. Cependant
il esi p*rti-aa de toutes les dépenses telle
1'augmentaiion d^s fonctionnaires. Pour parer a ce- ue en-es, il ne veut pas voter d'impôts ! Croy z - v o u - qu>; cela dure longtemps
aies- ? R p o n V z moi. Citoyen !
L e i ï o t e « . - Je répondrai tout-â-l'h ure.
M. aoic. — Ces messieurs socialistes ne
sont que des bourgeois ! Lorsque Coude a débuté dans la politique, il faisait ses conférences en tenue d'ouvrier. Il est maintenant b en
habillé, il a canne à pomme d'argent et chaque jour fait conduire son fi s, a l'école, en
auto.
Allons à Lorient, si vous le voulez Nous
voyons IA le camarade directeur des Moulins
Coopératifs qui, lui aussi se promène en auto
de luxe. A Çuiinp^rié ? li j a eu là, dans le
temps, lu Citoyen Ouillou. dit Le Frisé à qui,
il ne manquait rien, bien que p»-tit commis
sans le sou, la veille et subitement millionnaire. Si un pauvre s'était présente chez lui.
Pillards.
- La moisson s'annoncn bi'-n
pour lui deinmder un tuorc-au d • pain, peutet les cnmnpH sont en plein rapoort. Tout
ôlre le lui au ait-il refu-é Voilà les Patrons
Irait le mieux du monde si da* nu-tas du
sociau.-t m !
corbeaux, oorneilles et chouca- n? s'aD*t.Ui*nt
Vou<t z vous un exemple du socialisme pra
trop fréquemment de ci, de là, sur les guère ts.
tique,? Voyez le> verreries d'A bi. Les ouvriers
Il en part môme dos bandes do la Bourse du
avaient renvoyé les ingénieurs, mais no pouTravail ou de la Mairie d^ Brest, mais comme
van rien faire sans eux. ils les ont rappelés.
ils sont très modernes et ont peur de se fatiAujourd hui, étant en desaciord, ils ont mis
guer, ils se font, dit on, véhic 1er par les
le feu à l'usine. Qu'en tensez-vous, citoyen
autos municipaux q n te compôr-i Nardoi
Quiniou ?
met à leur disposition. C'est ainsi que nous
L e c i t o y e n . — Ce n'est pas du socialisme!
vîmes apparaître dès saraidi soir sur ta c o n M. CAD fi — Les socialistes, lorsqu'il se prétrée, les citoy -ns Qou le, Mis-on, Q uniou, Le
genterunt aux élections de 191'J, avaient dit,
Goïc qui se parUgè-ent U bs-tognv
dans leur programme, que le, cultivateur, avec
Q'. verra, d'autre part, la séance de la salle
ju>te raison, se plaignait de ce que ses proGali.o à Q limperlé, samedi soir. Masson la
duiiséta'.en' axés, et que dans ces condition.-,il
quitta de bonne houre po-'r s i endre a Pontfallait taxer .ous lo-^au' res produits. Prenons la
Aven, en compagnie de } Ouïe.
Dépêche de Drest du G juin 1918 A la première
I-• salle Correlie tu, d'afjor I as«er vide, 3e
page, j e vois qu'il s'agit de la axatior. des
garl.ft lentement d'auditeurs qui ibiissfnt par
fraises. Pr «nous le numéro du ti juin. Il
constituer un public as»' z nombreux, mais
contient la vettrede M. le Maire de PlougHStelque ne réussit pas à convaiucro le talent oraDaoulas, au Citoyen Maire do ¡a ville Bre.-t,
loiro de nos socios. Non, sans une certaine
protestant coutre cette taxation.
ainurtumo, M. Masson constata lui-même, qu'il
Ceri-es et «uignes furent égale uent taxées
n'avait pas de chance a Pont Aven et qu'il y
par arrêté du 15 juin. J'ai fail alors U compatrouvait toujours auditoire houleux sinon hosraison euire la profession le foi des c m d i d a t s
tile.
socialistes t U conduite a l niniitraiive du
L a c o n t r a d i c t i o n f u t a p p o r t é « Ji d i v e r s e s reCamarade llcrva«.iu t, t'ai>ant luac.lons ie
prises par MM. Lomenec'h et W'tiut, souteMaire de Ur. st Qu'eu peu:- z vous, citoyen
nus par l'approbation d'une grande pariio du
Quiniou ?
public. Nos apô'res ont quitté Pont Aven, fort
LH C i t o y e n . . . lien ajommut evel eur pesk.
déçus d« cet accueil et peu oonflants dans
M. OADIG. — Le citoy-u Q uniou vous a dit
l'avenir de ia Cité Future à Pont-Aven.
tout-à-l'heure que la Terre serait laissée au
Mellac reçut la visite du citoyaa Le Qoïc,
petit propriétaire ot au formler. Je vais lui po
qui prona naturellement le socialisme agraire
ser une qu- stion : Vou-' n'êtes pas sans ignoen l'amadouant quelque peu, co nme il devait
rer, citoyen, quo les domestiques et les jourle fairo à Locuno.é en compagnie de Goude.
naliers Hg"icolos sont assez nombreux. Qu'ostNous reviendrons et amplom int sur cette
ce que vous all--z faire do ceux-là V Allez-vous
question. Co itentoQs-nous d* dira qu» o-i que
les Ihis-er regarder c o m m e des bâtards ?
les Citoyens offreut. aux oul ivateurs est à s'y
L E C I T O Y E N . — Je vous repondrai tout-àméprendre co quo les Fl'Wolu'ionnairei russes
l'heure
ont ofl'ert aux moujiks. Ils ne disent pas
M. CADIC. — Le oitoyen Quiniou est venu
eil'rontômont, à la vérité, mais là est le but
ici au nom du Parti Socialiste, tel le pêcheur
caché ot voici le système qu'ils n'osent avouer !
pour prendre le poisson. Il vous doune un
L'Etat s'emparodela propriété pourla donner
a^pàt, Mais: prenez garde I Dau* cet appât est
à celui qui la oultive. Mais c o m m e d'autre part,
caché un hameçon. J'ailais oublier de vous
11 est interdit àceiui-oi d'en posséder plusqu'il ne
dire quo parlant aux campagnards, ils se garpeut cultiver, il s'en suit que des commissions
dent bien do vanter la Révolution ot de tout
spéciatos, remettront de tomps à autres les
briser. Ils sont doux c o m m e des agneaux.
choses en état, oo qui veut dire que les fruits
Quant aux ministros travaillistes, dont le cidu travail seront socialisés dès lors qu'on roll
toyen Quiniou faisait tout à l'heuro l'éloge, il
rera à l'agriculteur lo surplus de ce qui lui ost
n'y a qu'à regarder co qui so passe eu Anglestrictement nécessaire. D.i p'.us, l'Etat collecterre. Tant qu'ils sont simplo3 députés, ils
tiviste, Jouant le rôle d'un directeur do coopé
sont anti-militaristes, mais devenus ministres
rative et supprimant l'intermédiaire, vendra
ils sont férocement militaristes. Voyoz Ram«
lul-mêmo directement au consommateur et
say Maodoaald : il commande aujourd'hui des
ristournera, a son gré, le prix de i& vente du
valssoaux de guerre dont 1 Angleterre n'a nul
réquisitionné, oe qui supp.-iin i toute ilborté
besoin pour sa défense I Le Citoyen Quiniou
c o m m e r c i a l et toute cononrrenoe Pour en
faisant l'éloge de Jaurès veut que ce dernier
arriver là, on coufl>quera purement et simpleait signale, à 1 Etat-Major, l'envahissement
ment les propriété-! dos ohÊUelaias 111, celui
par la B 'tgique, qu'il avait tout prévu et que
qui no travaille pa*, ne devant ni manger, ni
ces pr^vis ons etaient en désaccord avec ce les
posséder, etc
olo ..
de « t Etat-Major. Admettons-le.
Mais, si
C- lte '-xproprialion concerno seul ment lus
l'Etat-Major B'est trompe, Jaurès n'a-t il pas
« châtelains p, qui ont ries trentaines de
assuré de son r.ôlé que les camarades boches
fermes III aillrme le oitoyen Qoïc. Il oublie de i ne marcheraiunt »j&s un cas de guerre ?
iUer I« nombre de fermes qvi'ua seul p p u ^ a I
J e m résume. Lo oitoyen Quiniou vous a
dit do mettre dans l'urne le bulletin socialiste.
Quant à moi. permettez-moi de vous dire également ma façon do penser. Ne votez pas pour
les Socialistes I Mettez dans l'urne les noms
de ceux qui ont soutenu le ministèrel Poincaré
dans toutes ses luttes. Tous les partis y sont
représentés sauf les deux extrêmes I »
Le Citoyen Quiniou et les pédagogues qui
l'entouraient, trouvèrent l'heure trop avancée
pour répondre c o m m e l'avait promis le socio
brestois. Des cris formidables de Vive P o i n caré l Vive le Maire ! achevaient de les persuader que leur retraite s'imposaient. Aussi
no restèrent-ils pas entendre le bel éloge de
M. Poi.icaré f u t par notre ami O. Berthou,
arrivant juste à ce moment de Locunolé, et
qui fut lui aussi très acclamé e f t r è s applaudi.
Nous croyons savoir, que M. Cadic se propose de conférencier encore, et cette fois en
breton, à Querrien même, sur le socialisme, et
si le temps le lui permet, avant les élections,
il portera la bonne parole dans les communes
environnantes en commençant par SaintThuri-n et Mell ic.
A Saini-Thnrien, ce fut le citoyen Quiniou,
sal
L Gaii.ii y eut pour contradicteur M.
Gorvan. de/I7évenou, qui lui ;aussi rétorqua
ses arguments de la b-lie façon.
A i."cunot-, salie P z-îou-c, la réunion était
an oncee pour 9 heur-s. O. Berthou, arrivé
avec - e s amis un quart d'heure avant, c o m me. ça cette reunion lovant un public restreint
et compose en majeure partie d'ouvriers agrico i s. Notre ami flr. ressortir le programme
extérieur de vl. Poincaré, ia nécessité du gage
de la Rhil'- et il allait réfuter le socialisme
agraire, lor-que les citoy- ns Goude et Goïc firent leur en t.rée.sa'ués par les applaudissements
de quelques ga-ç >ns de ferme enrégimentés
par un j-ut.e pédagogue- Comme ils avaient
loué la salie. Bei hou dut interrompre son e x posé. Il était 0 h. 20 Les deux Citoyens, Goïc
d'aboi d, Goude ensuite, tinrent le crachoir
j u - q u ' à pius oe 11 heures. On y parla suriout,
le premier, de socialisme agraire qui plut aux
jeunes domestiques, lesquels ne possédant
rien, e-péraient toucher un peu de cette terre,
et le secona de la politique do Poincaré, prisonnier, paraît-il, de sa majorité 111 Quand
Berthou demanda la parole à son tour, on la
lui accorda, mais, le viliégiaturiste de Carantec
s'avisa d'un expédient... Sous prétexte de
prendre des noms pour la formation d'un conute socialiste à Locunolé, il invita ses auditeurs à le suivre dans la cour, et par cette
dérobade peu courageuse et en tout cas, discourto'se, il s'épargna les vérités qu'il prévoyait.
Disons à ce sujet que partout nos missionnaires socialistes se sont efforcés de recruter
des adhoreats. Ils ont pu ainsi rassembler à
Locunolé une moyenne de deux ou trois types
qui les lâcheront certainement le j o u r où ils
se rendront compte de leur sottise.
A Trémeven. le Citoyen Masson, parla devant de rares auditeurs, sous une; grange. M.
Sosthèae David, ancien j u g e de paix, ancien
conseiller général, lui posa quelques questions
embarrassantes dont il se tira mal aisément.
A Arzano, la conférence annoncée n'eut pas
lieu, et les Démocrates qui s'y étaient rendus
ne rencontrèrent pas l'adversaire. A Guilligomarc'h, bavardage d'un isolé devant| queiques
enfants:.
Eu somme, cette grande et multiple attaque
de notre arrondissement, par les lorces socialistes, re-tera sans résultat. Ces orateurs
n'ont apporté aucun argument nouveau qui
n'ait été détruit cent fois dans ce journal ou
ailleurs. Il reste à nos amis à organiser la
défense et un peu d'entente aura raison de
ces c o ' b e a u x piilards, de ces capitalistes déguisés eu ai ôt.-esdu Prolétariat I
Le citoyen Goude a dit quelque part, durant
sa tou: nee, que, depuis 14 ans, il n'avait pas
passé cinr dimanches en famille. Or, le Citoyen, dont chacun connaît la fortune rondelette acquise depuis le temps où il était c o m mis au port autrement que par le travail des
mains, villégiature chaque année à Carantec,
a l'époque dos vacance, et la raquette de Mlle
Goude est célèbre sur les terrains de tenci3
les plus mondains. Déjà millionnaire, il tira
de la « )) o.<ise o notre éphémère concitoyen
Gui lou, dit ità Frisé, ancien saute-ruisseau au
Cri du l'duple, en lui assignan pour domaine
les Assurances Maritimes (Franco Anglaise,
Lutetit, France
Transatlantique,
Phare
de
France). Ou setonno que ledit Guillou qui,
jadis, teDta de faire de ia région quimperloise son fief, ue se soit pas joint cette fois,
à la bande. On dit qu il a encore du plomb
dans l'aiie depuis 1920...
U. A.
Maison de Confiance {ondée en 1902
Horloge^ Bijouterie
L GAMBERT
HORLOGER
DIPLOMÉ
I, VUKÉ VT DU JUHY D'ETAT
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QUIMPERLÉ
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Réparations soignées & garanties
ARMES & MUSITIOXS DE CHASSE
^uiuiperlé
Réunion
socialiste.
— Vers 11 heures,
samedi soir, le citoyen-député Goude terminait ses critiques, contre le Bloc National,
dans une réunion, salle Gallic.
M. Le Louédec. maire radical-soctalistc do
Quimperlé, félicitait c conférencier de sou bel
e x p o s é . . . lorsque notre ami IJerthou lui demanda la paiolc pour la contradiction, Cette
visite inattendue d'un démocrate troubla, à
Hassan
tel point, M. le Maire qu'il en resta c o l . . .
Goude lui criait : « Continuez ! . . . »
Au milieu d'un silence relatif, notre ami fit
le procès du Bloc des Gauches, des révolutionnaires, qui se prétendent les défenseur* de la
classe prolétarienne, avec les bourgeois radi
eaux qu'ils ont tant houspillés dans leurs
réunions et leurs journaux.
M. le Maire, en président Impartial, interrompt l'orateur pour raconter à l'auditoire
cette anecdote, célèbre dans la ville de Quimperlé, que le» Démocrates, depuis 20 ans, combattaient
M. Le Louideo, parce qu'il serre la
main des ouvrier» 1
Ironiquement, Berthou fait remarquer que
la fable de La Fontaine, Le Loup et l Agneau,
se renouvelle et qu'il était bien difficile, aux
enfants au aux jeunes gcus d'il y a 20 uns de
combattre M. Le Louédec, la Fédération des
Démocrates
n'existant que depuis une douzaine d'années.
Parlant de la revision des marchés de
guerre, notre ami montre que, seul, le Sénat
est responsable, puisque lo Quotidien, journal
du Bloc des Gauches, dit, dans sou numéro du
28 février dernier :
« Une loi, qui prescrit la revision des marchés de guerre, dort au Sénat.
«r Cette loi permettrait de récupérer des centaines de millions sur les mercanti» gui, sans
vergogne, out pillé le pays pendant que les
soldats se faisaient tuer pour sauver la
France I »
Et, avec force le journal termine :
« L'Inertie des sénateurs est Ici oompllce
des bandits Nous en aurons raison I »
Se tournant vers Goude, notre ami lui dit
de demander aux sénateurs radicaux, qui sont
les élus des socialistes, de vouloir bien sortir
de leur Inertie et de faire voter cette loi.
Mais, toute vérité n'est pas bonne à dire.
M. Goude, qui, déjà, donnait des signes de
nervosité et ne voulait pas de ce petit jeu de
démolitions du Bloc des Gauchis, devant une
assemblée composée en major.té d'ouvriers,
donne le signal du ch>hut. Les pédxgoKUes se
distinguent en particulier. Qu'attend le parti
socialiste pour citer ces jeunes Messieurs à
l'ordre du Jour ?
Goude, Quinlou, M. Le Louédec apostrophent
le contradicteur qui, d'ailleurs, ne se laisse
pas émouvoir et réplique du tac au tac.
Et Goude termine la réunion en invectivant
les Démocrates, cependant que notre ami,
très entouré dans une salle attenant à celle de
la réunion, entretenait les électeurs des procédés habituels des socialistes et promettait
de donner uue leçon à ces derniers sans trop
tarder.
Sépulcres
b l a n c h i s . — Ca n'est pas
chez M Le Louédec, a i n >m sia: 'illeatif, qu'on
devrait parler de choses blanchies. Getto couleur
rappelle troo d'ancienne-* a m o u r s royales, pour
que M. CofTrant ne joue en en parlant, d a n s
YEcho, le rû!e du giff-mr p û n a n t la corde
d a n s la maison du Pondu. D > tout Blanc qu il
était, M. Le Louédec a gri-tonn-i «t moisi j u s q u ' a u x c o u ' e u r s iniéci-ies du H i l i o a l i s m e .
M. Coffrant cite l'Evangile, les P i u - i s l e n s et
les Sépulcres, et c o m m i nous s o m m e s en
carême, il évoque le o r u c i l l a m - m t . . . Nous
s o m m e s , parait-il, l'héritier des Pharisiens.
S u r quoi se fonde l ' H o m m e de B ol-t pour établir notre généa'ogte? Sur la supoositton que
les Cléricaux ont succédé aux Pharisiens, et
Camille de rééditer t r i o m p h a l e m e n t la différence qu'il suppose e n t r e Clérical et Catho
lique, et de nous reprocher do n'avoir > as
r e p r o d u i t la suite de l'article du Progrès du
Finistère.
La suite ? la voioi en r é s u m i : le Parthe r e n dait justice aux excellentes trouvailles de Camille à se* d i - H n / u o s nuancés entre 1- Parti
et la Religion oathollques. 1 a d m e t t a i t , au s u r
plus, la victoire, a u x procinines é eoiiois, d e
tous les catholiques républicains et rnôm lai
ques. Il d e m a n d a i t si uao telle victoire mut
trait la Répub'ique en p é r i l . . . La définition
d'un répubiic-tin biin laïqu \ a n i m i de véritables convictions républicaines et laiques.
mais
vrai catholique, tel \1. Coffrant, impiique-t-elle,
demandait-il, pour un tel catholique, l obligation
de laisser aux p i r t i - a i s de la religion t - i m a
{celle qui ne suppose ni dogmes, ni
prêtres),
tou3 les m a n d a t s ? Ne se réservera-t-ii rien,
alors qu'il est lui-tnô no « intéressé d la bonne
marche des affaires »? Sjuhaitcra-t-il eut avenir, où selon la Défense laique, l'idée laïque
deviendra la Religion suoré.n-) ? EU bi-m !
Monsieur Camille Coffrant I un tel catholique
ne serait pas s e u l e m e n t laique mais il serait
c o m m e le dit Le Parthe une poire et nous dirons, nous, une poire blette, mûce pour tous
les gâtismes. Or.ce ne sont pas des poires que
les Catholiques de 1924 et leur expérience en
a fait a u t r e chose que des « badauds ». Q iant
a u x sépulcres blaDchis ou plutôt aux mudf rnes p h a r i s i e n s . . . nous on connaissons qui
passent d a n s la rue et d o m i n e n t à la mairie.
Là ils espèrent être aisé.rvçot confondus, au
J o u r des élections g r â c e & leur ca hoiicisme
floffranllen,
avec les ^ens a n i m é s des meii/aures intentions pour la religieuse tra iition
de la cité.
L, B.
-An Patronage
Saint-
Colomb an. —
trotf anidáis, pour un citoyen de Pontoisn, etc.
Cette petite pièoe f u t renduo b r i l l a m m e n t .
Au cours de la séance, M. Etienne Guyot
dit avec h u m o u r un t r è s joli monologue. M.
I. Tréguier, e n t r e p r i t u n e conversation téléphonique brillante el vécue.
En conclusion, succès complet p o u r le patronage Saint-Golomban et félicitations a u directeur, M. l'abbé Mélanaon.
L'art
à l'éoole.
—• Jeudi G mars, i\ la
mairie de Quimperlé, devant une centaine
d'auditeurs appartenant surtout au monde des
Ecoles M. Le Bars, professeur à l'Ecole Normale de Quimper, secrétaire de la section finistérienne de la Société française
de l'art A
l Ecole conférencia sur la décoration des classes, et obtint le plus vif succès.
. E í a í - C t v i l . — Naissances. — MadelelneMarie-Louise Le Meillour, 1, rue Terre deVannes. — Marie-Joséphine Bourhls, ft l'Hospice. — Anne-Marie Françoise Pérennou, à
Pont Rifiousse. — Denise Marie-Louise Le
Moing. 9, rue du Bourgneuf. — Louise Le
Bomiu, au Roalls.
Publication de mariage. — Guillaume PierreMarie G luzien, tailleur d habits, 10, rue Savary
et Ma leletne-Rose Le Ny, sans profession, à
Méullmontant.
Décès. — Eugénie Marie-Louise Even, 21 ans,
sans profession, célibataire, 3, place Hervo. —
Anonyme Le Théon, route du Faouët. —
Anonyme Cadiou, 20, place St Michel. — Marie
Ansquer, 19 ans, domestique, célibataire, à
l'Hospice. — J u l i e n n e Uergé. 81 ans, sans profession, il Hospice. — J o - e p h Déaudlc, 76 ans,
eu tivateur, a l'Hospice.
Bftye
Pacago.
— Lé 10 courant, sur la route de
G. C. N° 62 près du bou g de Baye, la vache
de Louise, journalière au bourg, paissait librement sur l'accotement de la route P. V.
— Il en est de néme de Menée, j o u r n a l i è r e &
Baye qui avait laissé sa vache divuguwr sur la
route.
Meltac
Incendie.
- A Kergoat, en l'absence de
M. Le Nrtour, propriétaire le feu s'est déclaré
vendredi. 7 mars, vers 16 h. 30. dans une
lande à proximité de la ferme. Environ dix
j o u r n a u x de laude ont été la proie des flammes
qui ne p u r e n t être domptées, près de la maison,
que giûce ù l'arrêt propice
'un talus. Le
tocsin sonna et les pompiers de Quimperlé
f u r e u t avertis et t i a n s p o r t é s sur les lieux par
ie camion iéquisitionné de M. J o u a u . Quand
ils arrivèrent, l'incendie était éteint. Les causes du sinistre sont dues à l'imprudence de
deux j e u n e s vanniers, du Rouas, qui, en
traversant la lande, y avaient jeté le bout de
leurs cigarettes.
Bannalec
A b a n d o n d'attelage.
— René, cultivateur a Kervinic à Bannalec, se trouvait le 10
mars, ù Kerbombai de, eu Riec-sur-Belon, conduisant une charrette de oable attelée de 3
chevaux II eut la malencontreuse idée d'aller
b o m b a r d e r uu coup de cidre sans avoir attacher ses chevaux. Les gendarmes survinrent
et lui dressèrent procès-verbal.
Brigneau
Médaillé
d'argent
du
travail
—
Les établissements Louis Biret, à Brigneau,
viennant de voir décorer de la médaille d h o n neur eu argeut du travail trots de leurs e m ployées ce sont .\lmes Foglas, uée Loiliction ;
Le Moiag, uée N j lenuic ; Tanguy, née Le
Pez uuec. A ces dames nos meilleures félicitations.
¡V'évez
. R e s t i t u t i o n d'objets
pie e x . — On as
souvient de l'étrange ue ouverte que firent, le
9 te vrier. quatre marins pécheurs dans un
chêne creux de Tréguno, il s'agissait d'objets
du culte (ciooire' tuunle et chape.et losaire)
a p p a r t e n a n t à l'ég.ise de Névez. M. Rioual a n cien vicaire il Nevez, actuellement recteur au
P o n t de buis les a reconnus formellement.
L enquête terminée, M. le Hrocuieur a ordonnée >a restitution de ces objets du culte à
l'ég.ise de Nevez, et le détenteur, est venu les
remettre au recteur dimanche dernier 9 mars.
Quimper
U n i o n Bretonne
dea
que le prochain t r i m e s ' r e accusera un tonnage supérieur
du double an moins ii celui
llgu'a t plus h a u t pour les sables de la baie
du Kernic
F.alnt«Pol-de-Léon
Lob Courses.
— Elles sont fixées au dim a n c h e 25 mai, sanf le cas où le? élections
législatives auraient lieu à cette dâte.
C h a n s o n bretonne,
•—Nous ' .Appelons
q u e samedi, ¡¿à mars, à 20 h. 30. conféreiiciera
M. D,i ttin correspondant de l'Institut, doyen
de la Faculté des, Lettres de Reúnes, sur la
Chanson bretonne, avec le gracieux concours
de Mme du Marche et de Mlle Yvonne Plateau.
Les Jeunes g e n s du P a t r o n a g e Saini-Coiotnban ont offert une séance artistique au benefico
de Y Avant-darde
Quimperloise.
La roula des
g r a n d s J o u r s so pressait d a n s la nulle
L,ikèa.
— La réunion des anciens élèves
M. Gadon, curó-archipréiru de Sainte Croix,
présidait.
est fixée u Dimanche 30 ma s. Entrée au pensionnat à 8 h. Le nauquet e^t fl.\é a 9 'ranos p . r
Au p r o g r a m m e , la désopilante oorné lie 'Militaire : Loriot. Cotte fantaisie comique fut
tête. S adresser u va nt ie 27 m a r s a M. .'ccuuome.
Interprétée avec un entrain on iiabl • par vj l{
lillilviouc
Brévini, d a n s le ' 6 « du capiiai-ie t i n ioh M
bien n o m m é pour son e m b a l l e m e n t Le 'Ole t
Obsèques.
- Hier matin, vendredi U
de Loriot, le b r o d e u r , qui veut des galons et
m u s ont eu leu, au Gullviocc, les ob-èqut»
s'en trouve f o r t e m b a r r a s s o , f u t i n t e r p été
de M. Paul Chacun, i u d u s t i i f l au Gunvmec,
aveo un n a t u r e l parfait par M L T t é g u i e r .
decéiié dans sa 52« année. Le di f u n t qui JouisM. Jean Pellotior, le s e r g e n t - m a j o r , c o m p l é sait de la sympathie généia.c, était le beautait aveo M. F. L a u d e n , un Joune soldat, le
père de M. Jézéquel, négociant, quai Brlzeux.
q u a t u o r d'artistes associés aux a v e n t u r e s b u r Nous offrons aux familles Chacuu et Jézéquel
lesques de leur c o m p a g n o n Loriot. L'auditoire
les condoléances d'un vieux condisciple du
a ] fait u n c h a l e u r e u x succès à ce lever de
défunt au Pensionnat Ste-Marie, de Quimper.
rideau.
Ensuite, les m e m b r e s du p a t r o n a g e reprél'IoucNcat
s e n t è r e n t l'opèretto on 3 actes : De Voyage en
L'embranchement
du Kernio
Chine, do Labiche et Deiacourt (18G5), dèli
Nos lecteurs li-ont avec intérêt le relevé suicleu8e m u s i q u e do François Bazin où se revant des diverses m a r c h a n d i s e s transportées
m a r q u e n t d ' h e u r e u s e s mélodies et des passas u r l ' e m b r a n c h e m e n t des c h e m i n s du fer déges restés oélèbrea c o m m e « Cinq
cailloux,
p a r t e m e n t a u x reliant la g a r e du Kernic \
trois cailloux », ou encore le f a m e u x duo
celle de Plouescat-Ville, pondant le,- 3 prebouffe : « Je suis Breton ». Cette opérette f u t
miers mois de la mise en applicat on des nout r è s bien r e n d n e par les acteurs et aussi par
veaux tarifs a p p r o u v é s par M. lu P r é f e t û la
suiie du voto du Cori.-oil Uéneru 1 . e'est-à-diro
l a Chorale de Ste-Croix. A noter le c h œ u r des
du 13 octobre 1923 au 13 j a n v i e r 1ÜM.
matolots d a n s le dolioieux déJor du 3» acte s u r
Résidus pour l'agriculture, 1.020 t o n n e s ;
le pont de la Pintade : Une foulo do matelots,
S is de potasse, 200 t o n n e s ; u h a r b o u s ot
petits et g r a n d s , sous les o r d r e s de Martial
divers, 220 tonnes ; Sabios calcaires do la Baie
(Etienne Uuyot).
du Kernic, 7<i0 tom.es Total, 2.240 tonnes.
Il f a u d r a i t citer tout ie m o n d e pour rappoLe c h a r b o n mi« fi p a n , le reste des expédiler le succès m é r i t é de cette phalange do j e u tion < étaient destinoes ti l'Agriculture et i la
nes artistes. Cependant, une inemion particufertilisation des torres à faible r e n d e m e n t .
Ce re.sulUt prouve à l'evidonce la nécHSPé
lière est due & It. Brévlni, d'un c o m i q u e si na— s u r t o u t a notre époque de crise économiturel, d a n s le rûie do Pompéry, Lonis T r e g u i e r
que — do cet e m b r a n c h e m e n t d é p a r t e m e n t
dans celui de l'enseigne Henri de
Kernoisan,
et Justillo les diverses décisions du Conseil
pariait officier ; i F. Lauden, béguo a souhait,
Général, c o m m e les initiatives qui les ont
dans le personnage d Alidor d» Uosinville ; au
proposées.
notaire Bonntteau, à M. Y. Guyonvarc'û, un peu
Nou» no serons pas démentie en a f f i r m a n t
L e b i l a n d o l a XIIe
législature
( 1 9 1 0 - 1 9 2 4 ) . — La socUlé d'études et d'informations économiques 287 boulevard SaintGermain a publié ce bilan, au prix de 10 f r .
Le lecteur y trouvera un tableau général de
l'activité parlementaire de cours des q u a t r e
tl> rniéa os nnnées.
l ournir aux h o m m e s politiques et a u x j o u r nalistes un résumé aide mémoire des multiples réformes accomplies ou entreprises par la
Chambre actuelle, r nseigner l'opinion publique sur l'état des questions politiques, économiques, sociales qui sont portées devant le
Parlement, tel est l'objet du livre.
Le souci d'exactitude, la méthode rigoureuse
avec lesquels la Société s'efforce de travailler
sont une garantie du caractère sérieux et i m partial de l'ouvrage. Uu ordre très simple de
classification des problèmes depuis ceux qui
intéiesseiit l'agriculture ou la restauration des
régions dévastées j u s q u ' à ceux qui concernent
fa législation civile ou pénale en r e n d r a l'étude
attachante et la consultation facile.
Le Conque!
Gûndarmorio.
— M. Yves Cadie, gendarme départemental, originaire de Quimperlé,
vennnt des brigades d'Alger, a pris son service
dans notre ville, en remplacement de M. Priol,
n d m i s à faire valoir ses droits ù la retraite, et
est actuellement garde champêtre au Conquct.
Lorlcnl
JPriso d e commandement.
— Le nou-
veau préfet marilime, contre-amiral Adhémar
de Cramsac, a pris possession de son c o m m a n dement, lundi 10 m a r s .
Pontivy
Nouveau
curé.
- Nous a p p r e n o n s la nomination comme curé-archlprètre de Pontivy
le notre ami, M. l'abbé Joseph Guillou si dévoue aux lettres bretonnes. Sincères félicitations.
¡V'antee
X a s Bretons
bretonnanto.
— L'Association amicale des Br.-tons Bretonnants de la
région na taise a tenu, dimanche dernier, au
« Foyer Breton », rue des Réformes, 14, à Chantenay, une intéressante réunion sous la présidence de M. Le Corre, industriel, i.e bureau a
été ainsi composé : Président. M. Jean Marie
Le Berre, e n t r e p r e n e u r de menuiserie ; vicepi ésidents, M VI. Le Corre, industriel et Donnait ancien notaire ; secrétaire, M. Reungoat,
adjudant de gendarmerie en retraite ; trésorier,
M. Huech, commis comptable.
On a adopté e principe d'une grande manifestation b . e t o n n e vers 1« 30 m a r s .
L'Entraide bretonne devra renseigner, orienter, soute,iir, piacer tous les Bretons qui émigré vers Paris et qui feront appel à sesservices.
Placement gratuit, toutes corporations, et
personnel do-nesti jue, 30, rue Beaubo ,rg. 30,
Paris f3*j Téléphone : A chives 08 17 Métro
Arts et Métiers.
Chambre
Vendredi 7 mars, M. Poincaré a parlé de sa
ligne de con luite tant a l'intérieur qu'à l'exterieur Sa. politique portait s u r la défense d e s
institutions répuolioanes, *e maintien dos lois
scolaires, exception faiio pour los trois d é p a r tements alsaciens el lorrains, 'application des
lois aux Cong-egalions, avec autorisation pou.r
Co igrégatiuiis missionnaires et ho^piialièr' s.
Ce p r o g r a m m e portait au si s u r i'applioiitOfl'
do la loi de sepa-H ion" w c Associations cultuelles. l'amélioration " îs m s i t u â t on b u d g é
taire, les reformes ad>m l'stratives, les s t a n ' " s
t.t lovoirs des fonctionnai-es, la f o n d a t i t i
d'une m a j o r i t é rèpub inaino et nationale qui
ne f û t ni a dioite ni ¿1 g a u c h e prisonuière des
exilâmes.
E .Un, la politique extérieure était baséo s u r
la necessito de maintenir i'; ff,>rt eu vue de
'exécution complète des traites.
Ce prog a m i n e a eto rompu« avec l'aide de
la majorll- qui, de uis 4 ans a s a u v e g a r d é
l'or 1 ru . u o e n et maint m le- droits des
tr-,iié- - a u - j i nais iimucoi- U |itix.
El'H H, d ' a u re |»,i t, a o i pli u • . œ \ • p i Kieil
ne. ¡vit
lil " a fai f u :
u pu n il vu f] «nei- •
aux e g - « lut-ut un "u
meraire-, p u s par
a Ch iili)re pr.CMiio>e, a n ê w n< I l'ii fl,Uon,
crei- I an liar ls d im
nouveaux, s u p p r i m é
tous les comptes i-peciaux.
Dan» les régions libérees. elle u abouti h la
reconstruction do GOO.OUO maisons, de 20.000
usines, cle 4,î>00 kilomètres do voies forrées de
8,000 kilomètres de routes.
La m a j o r i t é a voté aussi des projets qui
améliorent s i n g u l i è r e m e n t le s t a t u t de l'agriculluro.
Elle a organisé notre situation militaire, ob
tenu des r é s u l t a t s d a n s le domaine des assurances et de prévoyance, des rotraites o u vrières, du c o m m e r c e et dos a u t r e s b r a n c h e s
de l'activité nationale.
— La C - a m b r e raliflo le traité relatif il la
Bessarabie conclu h P a r i s , le 2!) octobre 1920,
entre la France, l'Empire Britannique, l'Itane
et lo Japon et la R o u m a n i e . Les mtHfils des
bons de la Defunse Nationale el ceux du T r é s o r
fi échéance d'un an, n ' e n t r e r o n t pas en c o m p t e
pour la d é t e r m i n a t i o n possibles d« l'imi Ot
général s u r le revenu La discussion principale
roule s o r la h a u s s e illicite. M. Kiolz sianalo
les cours des denrées pratiquées aux halles ot
dans la rue, avec des différences de prix i onsidérables qui varient . ntre 30 et 450 0/0. Une
botte de poireaux vendu» 2 trancs aux lianes
ont revendue 6 ù 6,50 dan> certains q u a r t i e r s .
Le sucre dit M. Bai the, est p ^ s é a 5 fr. 20 le
kilo t t ont dit que d'ici peu, h a t t e i n d r a 8 et
mOme 10 francs le kllog.
Née Marie-Anna LE 8 A O U T
déoédée à Saint-Nicolas le 20 Mars
1923.
De Profundis I...
DE LA PART DE LA FAMILLE
FflRI)
Pédo>
4
AVIS
lin rlpmanrip u n
de JarUH UCWdllUG d i n l e r s . S'adresser à
M. Manière, ancien notaire, 60, quai
de l'Odet, à Q u i m p e r .
Mercuriale
du
LA
MARS
REVUE
1924.
—
HEBDOMADAIRE
Continue dans son numéro du V Mars
La publication
des
Conférences de la Société des Conférences
Les Tendances
Jean S a r m e n t ,
nouvelles
au Théâtre,
BALYAC,
(IV La France et le
Balzac, par M. A n d r é Bellessort.
par M.
Paris
de
A b o n n e m e n t pour la d u r é e des c o n f é r e n c e s
Trois mois, 1 6 f r a n c s
A b o n n e m e n t avec primes p e n d a n t la d u r é e des
conférences
Six mois, 2 8 fr. — Un an, 5 2 f r .
PLOiN, 8, r u e Garancière — PARIS
Le numéro : 2 fr.
LA MODE
'le Journal vraiment mode-ne et pratique de U Femme et de Ì" Maison.
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Avct les patrons de ta Mode Pratique,
vous Jerez
toutes
vos
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LA
M O D E
P R A T I Q U
100 fois ce qu'elle
79, B"! St-Germiun,
Un nouveau ciédlt américain de cent mil
lions de dolíais est accordée pour uue année
11 la Banque de Fiance. Cette nouvelle a causé
la vive îeprlse du franc, dont nous p a r l o n s
ailleurs, ù New-York et à Londres.
Le Reischtag est sor le poiut d'ôtre dissous.
Avant de le renvoyer dans ses foyers, le chancelier Stresemann lui adresse ces paroles s t u péfiantes après les déclarations d ' a n t a n :
« Beaucoup de gens croient avoir tout dit
quand ils se sont écriés : Déchirons le traité
de Versailles! En réalité, le traité de Versailles u de réels avantages pour l'Allemagne, et il •
vaut mieux que pas de traité du tout I «
Le gouvernement français vient de publier
un Livre j a u n e sur la question de notre sécurité. Les négociât ons f r a n c o b i i t a n n i q u e s ten
dant a délendie les puissances alli. es c o n t r e
l'agression éventue le de l'Allemagne y sont
inexorablement retracées, de janvier 1919 à
décembre 1923. On doit constater que j a m a i s
la France ne lu auuexiouiste, et que, s u r t o u t
si le pacte de garai) ie n'a pas été signé ce fut à
cause des mauvaises volontés d'outre-Manche.
Le président de la République ottomane
munde au chef des m u s u l m a n s Hindous que le
calilat réside dans l'Assemb ée Nationale T u r que. Les Arabes proposent cette dignité au roi
Hussein ; les Marocains, à leur sultan; le calife
dépossédé et le sultan révoqué sou prédéces
seur, protestent égalemens et s'en réfèrent &
un congrès panislamique.
|
Jea
alimentaires cLî première
rapporte
i
7
Taureau, le kilo. 3.00 à 0.00 ; bœuf de
boucherie, le kilo, 3.50 à 0.G0 ; vache de
boucherie, 2.50 à O-oO ; vach'es laitières,
500 à 1.100 ; génisses et vaches pleines,
6U0 à 1.600 ; porc, le kilo, 5.20 à 5.60 :
mouton, 3.60 à 3,75 ; v e a u , 4.50 à 0.C0 ;
f r o m e n t , les 100 kil. i00 à 102; seigle, 70 a
80 : orge, 88 à 90 ; s a r r a s i n , 91 h 93 ;
avoine, 60 à 68 ; p o m m e s de terre, les
100 kil. 60 à 68 ; foin, les 500 kil. 170 à 180 ;
paille, 110 à 120 ; son, les 100 kil. en g r o s ,
65 ; au détail, 75 ; f a r i n e du pays, 134
à 136 ; de l'extérieur, 137 à 139 ; b e u r r e ,
la livre, salé, 7.c0 à 7.50 ; doux, 6,50 à
7.00 ; œ u f s , la douzaine, 4.00 à 4.50 ; p o u lets, la couple, vieux, 31 à 35 ; j e u n e s ,
1S à 20 ; cidre p u r j u s , 160 à 170 : o r d i n a i r e ,
ordinaire, 140 à 150.
T a x e s u r les» é t r a n g e r s . — Ou se rappelle que sous le titre ' Dinurdais
d'élection"
1 Union Agricole préconisait à ta date du 23
février dernier .une taxe sur les étrangers séj o u r n a n t eu France. Cette idée fait uu chemin et 1 Ouest Eclair publiait jeudi u u e lettre
d aOoiuie M'écouisunt de fortes taxes de séjour
et une élévation tres sérieuse du prix du passeport Ces mesures s'imposent avec l'arrivée
des beaux jours. La vine de P a n s , a déjà agi
dans ce sens et il y a longtemps que l'Ailemague a donné l'exemp.e.
A c h e t e u r s é t i u u g e r s . — Daus les
marchés a terme conclus avec les étrangers,
par nos commerçants et industriels, la mar-'
ehanuise leur est facturée eu francs au c o u r s
du j o u r de la livraison. Alais entre ce j o u r et
cciui du paiement, le chaude s'eat encore aggrave De telie sorte que l'acheteur é t r a n g e r
réalise ua uouble beuetlce à notre d é t r i m e n t :
1 0 il achète la marchandise française au q u a r t
de sa vaieur puisque le f r a n c ne vaut plus
0 fr. 25 ; 2* il beuellcie encore de la dépréciation survenue entre la dâte de la livraison et la
d&te île l'é. héance.
l'eudant ce te me-là, le fabr.cant qui a épui
sé tout sou stock de matières premières pour
executei les grosses c o m m a n d e s qu'il ava|t reçues, ne peut remplacer ce ,-tuck s'il s'-*
de
marchanuises qu'on ne trouve plus en F" Uice,
qu'en les faisant venir de l'étranger t j les
p . y a n t quatre fois plus clier qu'elles ne valent
par suite du cliauge.
Il serait cependant bien simp e d'obliger le
ven leur à faire payer à vue fa marchandise
liv ée à l'étrauger, par échange immédiat des
devl es étrangères au co.i.s du jour at d'obliger aussi le vendeur a déclarer q u o t i d i e n n e ment au Ministère du Commerce les affaires
traitées pour que celui ci .-.e rende compte de
l'état d approvisionnement d u pays et procede
à des in erdici ous un,ne liâtes d'i-xpoi tatiou
s' J"KC q ie les besoins d la consommation
iliié icure ne sont p us as urés
tor
Places, t r è s peu roulé,
i u n u état neuf, belle occasion, avantageuse. A V e n d r e p o u r double emploi.
S ad. Librairie de l'Hermine, 41, r u e du
Casino, D m a r d .
Sénat
n i r e n a i d e à ses c o m p a t r i o t e s .
SERVICE ANNIVERSAIRE
Madame François TANGUY
Une loi votée par le Sénat porte de 577 à 589
le n o m b r e dos députes. Ces douze sièges se
r e p a r u s s e n t aiusi : Aisne, 1; Ardennes, 2 ;
Marne, 1; Vosges, 1; Moselle, 1; Haut-Rhin, 1;
A ger, 2; Con.-iantine, 2; Oran, 1.
La bataille contre ie f r a n c tourne à notre
avauiage. En tiois j o u r s la livre a passe de
116 fr. a 97 f r . 05, grâce, s a n s doute, à ia sagesse tardive de certains b a n q u i e r s anglais et
américains qui se se sont aperçus, qu'a travers
notre UcVise, ^eurs confrères a A m s t e r d a m et
de Milan m a n œ u v r e s par le synuicat u u e r n a tlunai pi o allemand, ailaitles r o u i e r e u x aussi
Mais ia cauae principale de ce succès relatif
est d û e a l'ene.rgic el a la tenacilé de M. Poincare. La France a u r a raison ne la specnlation
é t r a n g è r e qui eu faL-ant baisser le f r a n c , sème
chez nous, la punique de -a vie chère atin ue
r a m o n e r au pouvoir les partis de gauctie qui
dispenseront l'Allemagne de toute l e p a r a t i o n .
Q u a u J le Senai a u r a voté les m e s u r e s financières, si pénibles soient-elles au premier
abord, la livre s o l l o n d r e r a encore.
Lu Sénat, s'il faut en croire M. Beranger.
r a p p o r t e u r de la commission est hoauie aux
deciets lois M. Boraujier ne croit pas non
p.u 3 a l'etlioaute ue l'occupation de la R u h r ,
M. Puincctie l e t o r q u e que pour l'annee 1924,
les rec-lie.-, totales sont evaluees, d a u s la
R u n r a 4 mnliarus dont 3 K e u v e n i è i r e consacres
aux réparations. Espérons que le Sénat s'exécutera, car n y va du saïui national.
L ' e n t r ' a i d o I t i o t o n u e . — A Paris vient
de se reconstituer uue association composée
u u i q u e m e n t de Bretons dout le but est de ve-
t
Vous ôtes-$riés de vouloir bien
a s s i s t e r au Service a n n i v e r s a i r e qui
sera oélébré, en l'église paroissiale
de Notre-Dame de FAssomption, de
Quimperlé, le Mercredi 19 Mars
1924, à 9 h . 30 du m a t i n , p o u r le
r e p o s de l'âme de
La Chambre seralt-elie prorogée?
— L'Intransigeant
annonce la po.-sibilité d une
Assemb ee Nationale à Versailles pour voier
une pioioga ion d'uu an des pouvoirs de la
C h i m b e , a c t u e l l e : cela pour p e r m e t t r e de
faire aboutir devant les deux Chambres, ayant
la nouvehe consultation électorale, les projets
fiscaux, la r é l o i m e Jes pensions, les lois militai, es et le projet sur les assurances sociales.
Ne serait il pas d désirer que cette assemblée nationale p'uiite de son congrès, pour
doter la France d'une Constliutioa Régiunallste. portant entr'autres r é f o r m e s l'abrogation du P a i e m e n t Central, l'extension des
t.oiiseit» Généraux de la Région, et l'organisation d'assembiee* professionnelles consultatives «i justapusiie» a ce Conseil ?
l'urist
Bal
des Provinces
françaises.
—
Mercredi 13 février au soir, d a u s les Salons
lu Continent I, sous la présidence de M Le
T r o c q u e r , eut lieu le g r a n d bal des Provinces françaises. La note bretonne y f u t très
marquée.
C'était écrit la Bretagne, à Paris, la Bretagne
qui dominait et l'e.-saim multicolore des BiKoudennes, dos Pont-Avenoises, Trécorroists,
Alréennos et Malouine« offrait le plus delicieux coup d'œil, complété par des g r o n p e s
non moins c h a r m a n t s d'Alsaciennes,
Normandes, Niçoises, Limousines, Arlésiennes,
Berrichonnes, AnKevines, Basquaises etc., voire
m ê m e une descendante de l'antique Pilotée,
véme à la grecque, et r e p r é s e n t a n t probablement Marseille.
Les c o s t u m e s nationaux des h o m m e s , étaient
moins n o m b r e u x mais n'en avaient pas m o i n s
grande al.ure.
Et ce f u t c o m m e u n merveilleux voyage a
t r a v e r s notre belle Fraoce. Les bons et h a biles s o n n e u r s do biuious Le Bouc et Le
Quellec firent se d é r o u l e r de sinueuses gavottes et de gracieuses dérobées ; les f r è r e s
J e h a n et Loïc Kerneval c h a n t è r e n t et d a n s è r e n t avec leur ta en habituel La Sabotière
do Botrel ; les Limousins e u i e n t un légitime
succès avec leur bourrée, le P d é l é , etc., aux
sons de la vielle et de la c h a b r e t t e ; un q u a tuor de Basques a u x c o s t u m e s éclatants exécuta, au son do la Chirula, i a i n t i z a n a pika,
etc., aveo une m e s u r e et un ensemble p a r f a i t s ; q u a n t a u x danses chantées des Alsaciennes elles f u r e n t l o n g u e m e n t acclamées
c o m m e elles le m é r i t a i e n t .
Combattants
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tauts, lors de sa dernière réunion, a dés gué M.
Pierre Buriu raemüre de l'Oilke u i t i o u U des
mutilés comme président, eu r e m p l a c e m e n t
de M Cazenavette.
M. Durand, a d m i n i s t r a t e u r de l'Union, a été
désigné comme secrétaire, el M, Phiiipou, d i recteur du Cercle du Poilu.
Le bureau do l'Uuion bretoune des combattan s est désormois c mposé comme suit :
Présldein, M. Uuriu ; v.ce-présidents, MM.
1 abbé Cadiou et Albert le Uati ; secrétaire, M.
Durand ; trésorie.', M. Piriou ; directeur d s
fêtes, M Strullu ; directeur du cercle 'à Poilu,
M Phil ipon j administrateurs, M vl. 'Le R u m e u . \ Le Péti Ion, Lozacineur, Jczéquel. Faroux, Mmes L naru e t O i h o u
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Bofln, Je vote familial est essentiellement
démocratique.
L'ordre du jour suivant a été voté.
« Les memt.res de VU. F. P. M., r^uala en
assamblée s-ioérale, à Quîmper, salie Liot, le
9 mars 1924. après avoir entendu MM. Morucoi, Lorin, Bouilloux-Lafont, Paul Simon,
Balanant, Le Louédec, Talbot et Inizan.
* Décident île réclamer des candidats nux
élections Ugis'atlves. l'engagement écrit,
préols et iorinel de voter : 1" la péréquation
des charges aveo toutes ses conséquences ;
r le vote familial ; S- d'aocopter de se tenir
en relation directe et constante aveo l'U.F.F.N.
et de s'inspirer des suggestions de celle-ci au
cours de la proohalno législature ;
« Renouvellont les Vœux votés à CMteaulln
et l'adresse de remerciements au prôiet, au
gouvernement et au Parlement ;
« St votent le projet de résolution de M.
de Dleuleveult. »
CABINET
Nice
— Samedi 1- mars, à Nie», la
bénédiction nuptiale a fit« donnée par M, l'abbe
Trochu, à M. René Loyer, banquier à Rennes
et à Mlle Simonne LotDjMrd, fille du Trésorier
payeur général, chevalier de ln Légion d'Honneur. Nous adressons aux jeunes époux nos
meilleurs vœux.
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Robert a prononcé i'élo*tj des Jeunes lauréates
dont voioi les noms avec le chiffre des suffrages qu'flllP8 ont recueilli».
Mlle* G u r m i h e Prere, (50 714 voix), 85. r U °
de Sivrng, p a r|q ; Jeanne Duhamel, (41795
voix), 20 -ue Oudlnot, Paris ; T.au-enc« Auvray, (83 132 voix) Boix-ja-ôm« (B'jre) ; Mar
th Not>l*t, (30 863 voix), V*Hingh*m, près
Lllla (Nord) ; Anna Martel, 24 411 voix), Bord e a u x ; Lucie U n d i n e t , (SHnyolx), route do
Paris. Gurtret ( O f u p r ) .
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d è o é d é e à Q u i m p e r l é , le V e n d r e d i
7 Mars 1924, d a n s s a 21« a n n é e ,
m u n i e de3 S a o r e m e n t s d e l'Eglise.
eut lieu, A la cathédrale, la cérémonl« d'inauguration du monument élevé à la mémoire
des 56 prêtres et M séminaristes t'u diocèso
de Qulmper, tombés au champ d'honneur.
Le ohanoine Bellec, cure de Reeouvrance
anolen aumônier militaire, chevalier do la
Légion d'honneur, célébra le service solennel.
L'évéque de Quimper et île Léon prononça
une émouvante allocation, exaltant, avor son
éloquence coutumière, l'esprit de aacritlco
sous toutes se.< formes.
Après 1« Requiem, Mgr Duparc bénit le mo
miment.
Le drapeau des vétérans porté par M. Tanguy Blger, «vec sa garde d'honneur. àVhtl pris
plaoe dans le chœur. Un grand nombre dVo
oléslastlques, la foule des fidèles et les délégations des écoies chrétiennes emplissaient le
nef.
Ce monument placé à colé de l'autel de
Notre-Dame-de-Lourdes, est constitué p.tr une
superbe mosaïque, œuvro du grand peintre
Maurioe Denis.
Un s'accorde généralement & trouver cette
ceuvre belle. Nous ferons quelques réserves.
Non pas que comme Doin V- rkt.H'dont Maurioe
Denis préfaça "Le tourment de Dieu" nous
n'aimions pas la mosaïque bysantine, mais le
classique de pierro blanche nous déplaît dans
cette cathédraie de granit. Pourquoi n'a-t-on
pas empioyô plutôt, la pierre roan de l'Aber ?
De plus, le brax droit du ChrNt agenouillé, et
soutenant le prêtre-soldat mourant, est t--op
long. Enfin, si les inscriptions sont bien choisies, aucune n'est en langue bretonne, et cependant cette langue fut la languo maternelle
des trois quarts de ces victimes de la guerre I
de l'HOpital CirU
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Le Socialisme Agraire
Les Socialistes veulent supprimer la propriété rurale.
QôUde et Masson veulent aussi cette suppression••••••
Mais ils n'osent le dire.
Ils trompent les paysans pour gagner leur confiance.
Le fiasco des Socialistes dans l'arrondissement de Quimperlé et particulièrement à Querrien»
Il y a quinze j o u r s , les socialistes brestois y
ont h a r a n g u é la population agricole d e l'arr o n d i s s e m e n t de Quimperié, non pas, disaientils, p o u r solliciter leurs bulletins de vote a u x
prochaines élections léeislatives, mais pour
leur exposer la politique agraire du parti socialiste.
J'ai eu l'occasion d'assister à l'une d e C6S
r ô u n ' o n s et à m a g r a n d e surprise. J'ai e n t e n d u
exposer non pas la doctrine collectiviste, telle
qu'elle m'avait été autrefois enseignée par M.
Charles Qide, mon p r o f e s s e u r dVcot'omi* politique, & la Faculté de Droit de Pa-i*. mais un
s y s t è m e de r é f o r m e s a g r a i r e s qui ne portaient
a u o u n e atteinte & la petite prooriété rurale. J e
m e suis dit : Il y a donc deux sortes de socialistes : les doctrinaires, les purs, e t l e i électoraux.
L'Echo (le Bretagne
écrivait e n 1919. alors
q u e M. Le Bail avait exclu M. Le Louédec de
]a liste de candidats & la députation : c II y a
deux républiques, la vraie et oelle de M. L e
Bail ». J e suis tenté de d i r e après lui : « i y a
d e u x s o c i a l i s m e a g r a i r e s celui d-*s pur* doc
trlnalres et oclul du M M . Boude et Masson ».
De l'exposé d u s y s t è m e des o r a t e u r s socialistes, j'ai tiré alors oette c o n d u c a : ou bien
les léaders brestois qui sont v e n u s discourir
d a n s n o t r e région ne soDt pas socialistes, o u
bien ils t r o m p e n t s c i e m m e n t le paysan en lui
exposant, p o u r g a g n e r sa conûauo«. des Idées
et u n e doctrine qui vont & r e n c o n t r e des idées
et d e l a doctrine d u parti socialiste. Ceci
m ' a m è n e à e x a m i n e r deux questions piinci
pales :
1* Quelle est la dootrine a g r a i r e d u parti sosialiste ?
2- Quelle est le s y s t è m e a g r a i r e exposé d a n s
l'arrondi-wement de Q u i m perlé par les socialistes de Brest ?
Doctrine
Socialiste
P o u r connaître la doctrine socialiste, et partloulièrement la doctrine collectivisto, il f a u t
lire les o u v r a g e s d e Karl Marx, ce profond
p e n s e u r et s u r t o u t oet a g i i a t - u r d ' h o m m e s
qui a conçu le s y s t è m e qui porte a u j o u r d ' h u i
son nom. La première f o r m e du m a r x i s m e
celle d u moins qui a fait d u m a r x i s m e un
m o u v e m e n t populaire, date d u M a n i f e s t e
communiste, publié par Marx et Engels >n
1848 e t traduit p r e s q u ' i m m é d i a t e m e n t d a n s
toutes les langues de l'Europe. Ces idees f u
r e n t reprises et s i n g u l i è r e m e n t précisé«« p a r
M a r x d a n s son g r a n d o u v r a g e s u r le Oapltal,
publié, le p r e m i e r volume, en 18G1
Quelle est la doctrine de Marx s u r la propriété ?
Le m a r x i s m e : c'est la socialisation de t o u s
les m o y e n s de production. Tout doit être nationalisé, l'industrie, le c o m m e r c o , les b a n q u e s ,
la t e r r e .
Quelle est la doctrine socialiste au point de
vue agraire ?
La propriété Individuelle doit disparaître.
Les propriétaires du sol s e r o n t expropriés e t
la t e r r e fera retour à la collectivité. Silo s e r a
t e m p o r a i r e m e n t concédée a u x Cultivateurs. A
l'expiration d u t e r m e fixé, l'Etat r o n t r e r a en
possession de la t e r r e et la ooncédera a nouv e a u . Il bénéficiera ainsi de la plus value d u
(toi.
Le cultivateur exploitant ne s e r a pas libre
de disposer, c o m m e il v o u d r a de seB recolles.
Il d e v r a les livrer à l'Etat, qui e n fera la
répartition e n t r e les citoyens.
Et pour d e m o n t r e r que Je n'exagèro pas, Je
olte des textes e m p r u n t é s t a n t aux g r a n d s
chefs d u socialisme, disciples ue Marx, qu'aux
décisions adoptées par les socialistes réunis
en congrès.
L a doctrine socialiste e s t oontenue toute
entière d a n s la résolution adoptoe p a r le
XII« conguès national d u parti socialiste.
« Déclaration d'inalióuabiiité de la TERRE
DESORMAIS RECONNUE P R O P R I E T E
SOCIALE E T COLLECTIVE, o'est-à-dire
retour immédiat è la collectivité de toutes
les propriété» terriennes, eoi et sous-sol,
• n temps qne nué-propriete. L'usufruit sera
ma&ptenu é tous ceux dee propriétaires qui
cultivent par eux-mémee sana employer de
salariés agricoles. La Jouissance des biens
qu'ils détiennent sera reprise aux proprié,
taires qui ne cultivent pas eux-mêmes pour
être attribuées, par les communes, é tou»
Ua travailleurs agricoles t Journaliers, met a f o r a et fermiers ».
En 1894, Engei», le principal disciple do
Marx, disait qu'il était impossible do conserv e r l a propriété en t a n t q u e prò jri- t i individ u i l e . « Si l'on veut maintenir la petite
propriété d'iute f a t o n permanente, on tente
l'imposaïklo, « a aaerifie les yrlnelpes, o n
l i t i u t r k i t i u k r i n »,
' r ' e t t j tfijatrino ept é g a l e m e n t « q x f t f s put 1«
belge Vanderveld, qui, dans son livre sur le
socialisme agraire, éorlt : « L.expropriation
«apitaliste des petits producteurs, propriétaires de leurs moyens de travail, est la
condition préalable de l'avènement du collectivisme ».
Nous n'avons cité Jusqu'ici q u e des a u t e u r s
é t r a n g e r s . Les socialistes français sont-ils p a r tisans de la m ô m e doctrine ?
Incontestablement. C'est le grand J a u r è s
dont nos socialisas brestois s e disent les diacMps oui Hans un discours à la C h a m b r e
(Journal Officiel du 4 Juillet 1917), disait :
« Cette suppression (la propriété) noua la
réclamons pour la monde paysan, oomme
pour le m o n d e i n d u s t r i e l » .
C W Vaillant qui au Co ia-rè» d« S f -Etienne,
pn 1909 n^oe'amaU : « Nom devons dir° que
la propriété individuelle agraire, doit inévitablement disparaître, la petite oomme
la grande propriété ».
C'est jMftn Bon qui k l a C h a m b r a dl°ait le
27 février 1919 : « Le fameux droit de propriété, nous ne le connaissons pas Nou • le
nions . . . . le droit de propriété n'est pas
encore détruit, mais on le détruit peu A
p e u ». or/lclel. 27 février 1919
Ce «ont enfin tous 1ns m e m b r e s d u g r o u p e
socia'lst* au P a i e m e n t qni a u mois .l'octobre 1933. ont e x n r e s s é m e n t a p p r o u v é et signé
la m o n t ion s u i v a n t » :
« Le Parti oonflrme qu'il doit toujours
condamner la propriété, soue ses formes
capitalistes, et qu'en réalisant l a propriété
sociale des grands moyens de production
il veut aller jusqu'à la racine même des
iniquités pour fonder solidement un droit
nouveau et par lâ même révolutionnaire ».
La doctrine socl»I|stp t«nd dono à la suppression d> la propriété. Nous ne nous a t t a r derons pas ici à ' a discuter Disons s e u l e m e n t
qu'elle s'est trouvée en contradiction avec les
données les plus o»rtaines de la science et avec
les faits, et. que là où elle a été appliquée, elle
produit les effets les plus désastreux ;
En Russie, par l'|nst.aur»*ion de ce q u e l'on
appelle le gouvernement des soviets, on a mis
en pratique la d o c t r l n - de Marx, en tout natlo
n a i l s a n t : les b a n q u e s dé» février 1918 l'Industrie et le c o m m e r c e par dAc-et du 30 juin 1911.
la t e r r e par le chapitre II de la Constilu ion.
A titre d o c u m e n t a i r e , citons ici le passage de
la constitution qui p r o c ' a m e la nationalisation
du sol :
« P o u r réaliser la socialisation de la t e r r e la
propriété privée de la te r e est abo'ie, toutes
'es t e r r e s sont déclarées propriété nationale e t
sont remises aux t r a v a i ' l e u r s . s a n s aucun«
espère de rachat, s u - les bases d'une r é p a r t i tion éRalltalre en u«u fruit ».
Dirons, en nsssant. qu'an congrès de T o u r s ,
(Décembre 1»20» le socialisme français a donné,
par 3 000 voix c o n t r e 1 MO, sont adhésion à la
d o c t r i n e bolcheviste.
L a f a i l l i t e du 8 o o l a l l s m e
Quelles ont été les conséquences de l'application des principes collectivistes en Bu«nir ?
Héla«, o n ne In sait que troo. n Un« misère
e f f r o y a b l e sévit d a n s cet i m m e n s e p a y s qu
était a u t r e fol* 1« grenier de l ' E u r o p e , d i t
E. Martin Saint-Léon. Dans les usines, le tra
vall f u t presque c o m p l è t e m e n t s u s p e n d u , le
c o m m e r c e socialisé fonctionnait d a n s des conditions déplorables, les particuliers passaient
le plus clair de leur t e m n s à e r r e r de b u r e a u x
en b u r e a u x pour solliciter des certificats ronstatam qu'ils avaient besoin de tel ou tel o b j e t
ou d a n s les d é p ô ' s publlos pour y q u é m a n d e r
dos produits g é n é r a l e m e n t a b s e n t s .
Dans les villes, la famine e s t devenue
chronique ot Nansen a révélé au m o n d e les
s o u f f r a n c e s Indicibles d e toute u n e popula
tlon torlurée. Dans les c a m p a g n e s la paysan
n'a plus produit le blé et les l é g u m e s qu«
d a n s les q u a n t i t é s s t r i c t e m e n t Indispensables
à son alimentation. En vain a-t on fusillé,
pendu, O'ganisé des expéditions répressives,
aveo mitrailleuses contre les villages récalcitrants. La nécessité a été plus forte que tout
et il est évl ient q u e le s y s t è m e économique
bolohevi3te avait fait faillite e t qu'il fallait
l'abandonner.
Les socialistes russes o n t été obligés de r e venir on arrière, d e co d a m n e r leur propre
théorie. P o u r l'agriculture p a r exemple, un
décret du 21 m a r s a s u p p r i m é la réquisition
totele des céréales e t denrées agricoles q u i
était la rèKle. Les p a y s a n s ne sont p l u s t e n u s
de livrer q u ' u n e partie de leurs produits
(H0 million» 4e pound» contre 4SS millitn» «n
19S9) ; tout le s u r p l u s d e m e u r e leur propriété
et peut être v e n d u s u r le m t r o h é .
Le oômmeroe s t .'indus.rie sont d s v t n u i
d a n s l a p l u p a r t d M b r i A o k « ] p u r » ftffftltt
p r î v f e «t saptfeitstts,
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Itow tUprnrum 4a i» m éu i» ét «tefM auto.
On r * i M M m Smcm» dMjoMr*«i. On
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IfNtoMMNi, MNJ rrvis d*nt tout l u bnrmum 4» pttU
m tn*or» m « l e m m i m wumdat-potU a» DiruUnr,
M. Léon LR B I R R I pltutMtrt» à M m f r U ,
Système agraire
exposé par M M . Goude et M a s s o n
Ha dldanni eur vaouez gez
A walc'h he di h a d hep repoz.
La dootrine socialiste telle qu'elle a été conçue par l'Allemand, Karl Marx e t enseignée
p.*r s e s disciples e s t é v i d e m m e n t celle d e
MM. Coude e t d e Masson. Ils l'ont exposé et
l'exposeront encore a u x o u v r i e r s d e B r e s t ,
où ils disent' aux c o m m u n i s t e s : • N o u s
s o m m e s aussi révolutionnaires que vous. »
Mais depuis que les élections se font au
sorutin de liste, depuis que les socialistes sont
obligés de solliciter les suffrages des p a y s a n s ,
ils se g a r d e n t bien d'exposer, & ces n o u v e a u x
électeurs, la p u r e doctrine du parti et de leur
dire : « La terre que v o u s exploites, que vous
avez reoueillie de vos parents qui l'ont exploitée a v a n t vous, ou que v o u s avez acquise des
économies p r o v e n a n t d e v o t r e travail, n e
s e r a plus à v o u s Elle v a devenir l a propriété
de l'Etat qui p o u r r a v o u s la concéder t e m p o r a i r e m e n t , m a i s qui p o u r r a aussi la concéder à d'autres. »
Ils leur tiennent u n tout a u t r e l a n g a g e . • On
v o u s a dit que n o u s étions des révolutionnaires, on v o u s a dit q u e n o u s voulions v o u s
enlever vos terres, on v o u s a d i t q u e n o u s
voulions «upprimer la propriété. Mensonge
q u e t o u t oela. Nous voulons l a t e r r e a u x
p a y s a n s . Nous la voulons d a n s l'ordre et d a n s
la légalité. Les g r o s propriétaires seuls, ceux
qui n'exploitent pas eux-mflmes, s e r o n t dépossédés de leur terre, m a i s v o u s , petits cult i v a t e u r s , v o u s garderez t o u j o u r s l a p r o priété d u s o l que v o u s cultivez. Vous petit
propriétaire qui n'exploitez pas v o u s - m i m e s ,
v o u s n e serez pas exproprié, mais si votre
f e r m i e r améliore v o i r e propriété, il lui s e r a
a t t r i b u é , à sa sortie, u n e i n d e m n i t é de plusvalue. »
MM. Coude et Masson, en d é c l a r a n t q u e les
socialistes ne v e u l e n t pas I» suppression d e
la petite propriété r u r a l e n e disent dono
pab la vérité Ils ont tort, d'après les socialistes doctrinaires q u i n e r e c h e r c h e n t pas des
sièges au P a r l e m e n t et qui n'ont pas intérêt à
t r o m p e r les p a y s a n s pour c a p t e r leurs bulletins de v o t a .
« Notre devoir est d'expliquer a u x p a y s a n s
les situations, de leur m o n t r e r l'impossibilité
de conserver leur propriété en t a n t que p r o priété privée, écrivait M. E a g e l s , en 1894, d a n s
un article de la Freue Zeit ».
MM Coude et Masson ont allli & ce devoir.
« Nous ne devons pas, môme en apparence,
et o i o i u e n t a u e m e n t c o m m e m o y e n d e propag a n d e . dissimuler a u x paysans la vérité, disait Vaillant, au Congrès de Saint Etienne, en
1909. Nous devons dire que la propriété individ u e l l e agraire doit inévitablement disparaître,
la petite propriété c o m m e la g r a n d e . »
Cela, MM. Qoude e t Masson évitent de le
aire. Bien plus, ils disent m ê m e le contraire.
Ils p r o m e t t e n t a u x cultivateurs des r é f o r m e s
pour g a r a n t i r la petite propriété p a y s a n n e .
a En p r o m e t t a n t ces r é f o r m e s , dit Engels,
ou rend aux cul i v a ' e u r s ie p i r e d e s servloes
et l'on perd la dignité du parti ».
(J'eai dur pour nos deux leaders brestois.
• Le p e n l le p us grave que nous puissions
courir en i n t e r v e n a n t p a r la loi au profit de la
petite propriété paysanne, disait J a u r è s , & la
Chauibr« en 1897, oe s e r a l i | i e lui d o n n e r l'Illusion qu'elle peut même ain»i protégée, indéfloiment se prolonger et indéfiniment d u r e r ».
MM. Goude e t Maa-on, en disant a u x cultivateurs de ûos régions qu'ils i n t e r v i e n n e n t p a r
la loi au P a r l e m e n t , au profit de la petite propriété font, d'après J a u r è s , c o u r i r u n g r a v e
péril au socialisme.
Ne n o u s faisons pas cependant illusion. 81
a p r è s avoir t r o m p é les p a y s a n s pour g a g n e r
leur confiance, nos socialistes d u Finistère
réussissaient à s ' e m o a r e r d u pouvoir, n u l
doute qu ils n'appliquent, en ville, c o m m e à la
c a m p a g n e , le vrai régime socialiste en supprim a n t toute proprii-te privée.
Mais le sp^ctso e donné i>ar la population
de U u e r r i t n qui a é o e r g i q u e m e n t applaudi
son Jeu'>e maire, lorsqu'il l'a mis en g a r d e
contre les socialiste» et contre ceux qui s'allient à eux d a n s un but électoral est v r a i m e n t
r é c o n f o r t a n t . Les boolalistes n'ont rien à faire
chez nous.
Dans un prochain article, n o u s opposerons
à la politique destructive du so' lalisme, le prog r a m m e agraire ddM Républicains Démoorates
qui a u r a pour effet d'intensifier la production
agricole e t de m e t t r e un pou plus de j stice
et d'équité parmi les travailleurs de la t e r r e .
Hag e n d r o d'ei c'bouez vad ar p r a d ,
E sko, e sko w a r he d i l h a d .
r . M.
JEOVUNIS
Oe Numéro contient un Supplément
Voir d a n s c o s u p p l é m e u t . l a fin d e
r i U S T O I R E D'UNK AMITIE p a r l e
D' P a l e a u x e t l a c h r o n i q u e é l e c t o rale.
t, I l ' { (1 1
Pag© Bretonne
E R
P RA D
Tostlk d'am zl ez eus eur prad,
Hadet ennan bluuniou c'houes-vad.
flag e kreizig ar pradlg glaa
1 rsd, a red dour sklaer sur was,
W a r g l u n a r H t * «an h a l e g e a
W w t f im« h» bnden,
h « t mt d flhkttl
Ar vas kannerez 'ia e n d r o ,
Diskanet sklltr gant an ekleo.
Ha demdost d'ei w a r a r m a n blod
He flac'hig koant a gav he lod
'N e u r c'hoari gant he foupanig,
'Tiskl bcza d'he zro m a m m l g .
An daolen-man brao ' m eus kavet,
Satu perak ' m eus he iivet.
L. Gourlet BODSPERN
TRADUCTION
I- E
P R É :
Tout proche de ma maison il y a un pré —
Semées dedans des fleurs
parfumées,
Et au milan de ce pré vert — Court,
l'eau claire d'un
ruistelet.
ombre) une vieille
incessamment.
court
femme
—
A l'Occident en feu le soleil qui se coucbe
Fait ruisseler son sang dans une écume d ' o r ;
Et I* Brenn aux crins roux, terrible, darde etcor
Vers le rouge horizon sa prunelle farouche.
Le sol est mou, suant le sang chaud qu'il a bu ;
Et les chefs de9 h'ymris, de la hSch* armés, «rates,
A l'appel d o karnyx, rassemblent tous les braves
Autour des étendards, par race et par tribu.
— Sa
Des crSnes chevelus plantés au bout des pique3
Ont un éclair lugubre au fond de leurs yeux morts
Une bave qui conle, épaisse, fait un mors
A leur bouche tordue «n des rires cyniques.
En jouant avec sa petite poupée - apprenant
à être à son tour, une petite
maman.
Je l'ai trouvé — Et
Ce tableau gracieux'là
voilà pourquoi je l'ai peint.
q u e M. l'abbé Pierre Batany, d e Plogonnec,
professeur de troisième, a u collège dé Lesneven. vient de s u b i r avec succès, l e Jeudi
supérieur
13 mars, les épreuves d u Diplôme
d'études celtiques, devant l a Faculté des Lettres de Rennes. C o m m e matière d'option,
M. l'abbé Pierre Batany, avait pris ce sujet :
« Histoire du Parlement de Bretagne ».
M. l'abbé Batany, j a d i s étudiant d e l'Université Libre d'Angers, f u t très dévoué d u r a n t
son séjour, en cette ville, à l'Association d ' E t u diants Bretons, appelée « La Nation de Bretagne » Il s'y m o n t r a dès le d é b u t iort é p r i s d e
ladgue b r e t o n n e et d'études celtiques. Bretonn a n t de naissance, il se perfectionna ' d a n s
l'étude de sa langue maternelle e t y adjoignit
celle du Gallois. Depuis qu'il occupe la chaire
de troisième à Lesneven, u n cours d e b r e t o n ,
de littérature et histoire b r e t o n n e s existe p o u r
ses élèves. Nous ne pouvons donc qu'offrir &
cet ecclésiastique, vraiment patriote, no»i cordiales félicitations et nos vœux les meilleurs,
pour son avenir p a r m i les dévoués de la Brait gne.
L e R r e t s g n e t o u r i s t i q u e , r e v u e dea
intérêts b r e t o n s (Sommaire du 15 mars l$ît>)
T r e b a u d e . et ses légendes, Ch. Le Goffic ; Les
sentiers de la tftte, Q.-L. A. ; Appel a u x a r t i sans, Mugda î u r ç u i s , Botidoux (suite). O.-L.
Aubeit;
Charles Cottet, Auguste
Dupouy;
T e s t a n t e t Seult, M. Courtecuisse ; E c h o s ,
Hoël ; Brest, 6on Passé, son Avenir, Jean
Sannier ; Bn Bretagne : l ' I n d u s t r i e hOtelièra
relèvera l a France, J. Uerpe ; Morlaix et s a
région, J. Philippe ; P a y s a n s et p a y s a n n e r i e s ,
Marie-Paule
Salonne.
Bretagne, 24 f r . ; F r a n c e el Colonies, 25 f r . ;
Union postale, 30 f r a n c s .
Directeur O.-L. A u b e r t , 10, r u e C h a r b o n nerie, 10, St-Brieuc.
L e s C a h i e r s du T e r r o i r . — (Sommaire
de mars 1934). — L a déchéance d e Merlin :
H. Queilgars ; Notre concours littéraire ; L a
nuit s u r le m a r a i s ; J. Dalimier ; A u v e r g n e
et littérature ; Alexandre Bordot ; Un miraola
d'Henri Gheon, J. de Roincé ; Le c h e m i n d u
b o u r g : E. Lefivre ; Bleïmor X. ; La r é s u r r e c tion d'Approdite, M. Bigot ; Chronique ; U n
nouveau Brizeux est-il né ? A, M.
Rédaction 1. lmpasse.Rallier-du-Baty,(l-et-V.)
BOTREL et TALDIR
Leurs chansons les plus populaires
(O Soniou ar poblusa)
2' SERIE, 1 f r . 28 ; FRANCO 1 f r . 60
Nous p r é s e n t o n s a u j o u r d ' h u i a u public l a
deuxième série d ' u n e collection de c h a n s o n s
populaires en musique,
œ u v r e s d e deux d e
nos meilleurs b a r d e s , Théodore Botrel e t
Taldlr J a f f r e n n o u .
Cette œ u v r e d e p r o p a g a n d e
répondait,
oroyons-nous à un besoin, ot comble u n e la«
cune. Aussi y a v o n s - n o u s a p p o r t é t o u s nos
soins. N o m b r e u x sont nos compatriotes qui
se voyaient d a n s l'impossibilité de se p r o c u r e r
les b o n n e s c h a n s o n s do notre pays, oar il
fallait s'adresser à plusieurs é d i t e u r s , e t le
prix de revient en devenait fort onéreux.''
Dans un petit v o l u m e élégant et bon m a r ché, ils a u r o n t s o u s la main des œ u v r e s Choisies. qui p o u r r o n t être c h a n t é e s partout; a u x
concerts, aux pardons, a u x m a r i a g e s e t e n
famille.
L'Ouest Eclair p a r la p l u m e d e l ' é m f n e n t
critique J e a n des Cognets, n o u s a félioité
d'avoir innové d a n s le g e n r e en u n i s s a n t le
français e t le breton : de cette façon Qallos
et Bretonnants y t r o u v e r o n t l e u r c o m p t e ,
pulsqu'aussi bien la Bretagno e s t u n p a y s
bilingue où sont inséparables la l a n g u e de la
g r a n d e Patrio et celle do la Petite.
L'Editeur.
F. GUYON, St-Brieuc
Chansons do Botrel. — 13, L a Veillée b r e t o n n e ; 14, L a c h a n s o n d u P â t o u r ; 15, L a
oruelle Berceuse ; 16, L e Couteau ; 17, L e
Tricot de laine ; 18, Le g r a n d L u s t u l e r u ' ; 19,
La Fileuse ; 20, L a petite M a m a n ; SI, J é s u s
chcz les B rotons ; 22, ICénavo 1 ; 23, Les deux
F r è r e s d ' A r m e s ; 24, Dors, m a m goz A r v o r .
Chansons de Taldir. — 9, Bioaves mad't ;
10, Me ADvez e u r g o u l m i k ; 11, Klemgan a r
barz koz ; 12, Ma bro a zo duze er p e l l d e r ; 13,
K o l l e t a m etiz m a m e s t r e z ; 14, B krelz nozveziou h i r a r g o u a n ; 15, K a n o m p a r festou
noz ; 16, Ar o'hloarek laouank.
Pc Ç f t t e , n o u s arrivé «in petit r s t i e l l
«fr
-,
Tout à-coup, les Gaulois, l a lourde épée en maia,
S'ébranlent d'un pas sourd, et, sinistres emblème«,
Au-dessus dea cimiers dressant leurs faces blSuea,
Les vaincua 7oient, gisant et mort, l'Orguail ramais.
Fernand G R A N / E R
1 7 janvier if 20.
2>lplôme s u p é r i e u r d ' é t u d e s c e l t i q u e s , — Nous s o m m e s h e u r e u x d ' a p p r e n d r e
FERNAND G r a n l e r , L e s O i s i v e s , L e s
Rubis, Eludes poétiques. Editions des Tablettes de
ttalnt-Rapliaûl 1 9 2 3 .
12 -
Or le Breon. chef gauloia, sous son maateau de peaux,
Les bras velus croisés aur sa vaste poitrine,
Et les poils hér:s9<i autour de la narine,
Voit les ennemis fuir comme de Tils troupeaux.
Le battoir va à l'entour — Son refrain répété, clairement, par l'écho.
sur la mousse molle
trouve sa part,
9«*
10
L'A L L I A
Et autour d'elle, le parfum excellent du pré
— Elle frappe, elle frappe sur tes
vêtements.
Et près d'elle,
fillette charmante
9»
pièces rares, q u e l q u e s odes e t quelques s o n nets seulement, et c'est avec u n t o u t j e u n e
poëte toute l'évocation r o m a n t i q u e , si ce n'est
le Parnasse de Lecomte de Lisle, des Poëmes
barbares. Si les descriptions de F e r n a n d Granler ne sont pas aussi puissantes q u e celles
de de Lisle, elles en ont l'objectivité, la coul e u r , le relief. Comme chez ce Breton d o n t les
hasards de l a naissance m i r e n t le berceau é
la Réunion, ce sont les légendes e t les civilisations anciennes, le. Passé d e l'Occident e t
celui d e l'Orient, que Granier illustre d ' u n
verbe déjà puissant, personnel, en n n r y t h m e
précis et martelé. Ce q u e son vers veut d i r e ,
il le dit e t t o n s l ' e n t e n d e n t , m ê m e ceux q u e
ferait reculer d'abord une érudition p r o f o n d e .
Ses Glaives t r a n s p e r c e n t , ses Rubis étincelient.
Ces r u b i s ont de voluptueux reflets e t cette
sensualité élégante q u i va dn n a t u r a l i s m e n n
symbolisme. Nous a i m o n s m i e n x peut-être
le poëte dans la manière b a r b a r e e t voici
1'« Allia ».
L. B.
Sur le bord du ruisseau, une saulaie — Répand l'ombre tachette de son boqueteau.
Et sous (cette
Lave ses hardes
ABONNIMINTttVMAB
C o i m p e r i « (ville)
..*....a;
Finistère e t d é p a r t e m e n t s limit
trophes
Autres département«...«
t.
Colonies et é t r a n g e r . . . . . . . . . . .
Chronique Régionale
C a i s s e s r u r a l e s et u r b a i n e s du Fin i s t è r e , — Fondation, — E h bien l oui ;
c o m m e n t voulez-vous que j e réponde à t a n t d e
lettres me disant toutes le m ê m e refrain : «
Mais dans ma c o m m u n e j'ai demandé aux gens
au courant des choses : ils m ' o n t affirmé qu'il
n'y avait pas ici de caisse Rurale ».
Ayez donc l'obligeance de p r e n d r e pour vous
cette réponse collective. Collective, oui, j e
maintiens mon expression '.collective. Ah 1 voua
voulez que soit collective la seule réponse laite
par une collection. E h I bien, celle ci s e r a tout
de même collective, p a r ce qu'elle e s t faite à
une collectivité.
Ah I Votre c o m m u n e n'« pas de Caisse R u r a le 1 Je vous crois facilement puisqu'il n ' y a
q u e 10 Caisses R u r a l e s à fonctionner d a n s n o tre grand et beau d é p a r t e m e n t . Mais c'est u n
m a l h e u r pour votre Paroisse qu'elle n'ait p a s
de Caisse Rurale. Votre c o m m u n e e s t a i n s i
dans le cas du m e u n i e r dont le moulin est s u r
une petite rivière, et qui n ' a ni vanne ni étang.
Un p a q u e t d'eau passe ft h u i t h e u r e s
du m a t i n : le menier e n t e n d t o u r n e r son mon»
lin et vient vite alimenter la meule. Quand 11 s
versé dans la t r é m i e n n q u i n t a l de froment :
catastrophe 111. . . Plus d'eau l le p a q u e t a fini
de passer I Mais, meunier < Sans-Souci » ; q u e
ne fais-lu pas u n étang ?
Cela se fait u n étang I On y emmagasine d e
l'eau p u i s . . . . q u a n d on a b e s o i n , . . . . q u a n d o a
est prêt, on m o u d 1
Mais j e vous assure qu'il est encore b i e n
plus facile de faire u n e Caisse R u r a l e . T r o i s
signatures venant de m a i n s qui o n t d u dévouement et de la b o n n e volonté y sutftsent. Mais
vous-même, vous u n des braves gens d e l a
c o m m u n e , honnête, b o n travail leur, feon Chrétien, trouvez-en deux a u t r e s : p r e n e s des sta! t u t s que vous enverra volontiers M. Souabant
! .7 rue Vis Q u l m p e r ; une petite r é u n i o n a n
. Bourg, si vous le voulea t vous signas les sta*
t u t s «n (rlpto exemplair», e t , t o u t s i n p l s m f O ^
soit en argent sont priés de les adres er
d'urgence à M. Jean Choleau, président de la
Fédération Régionaliste de Bretagne,
96, 4 rue
Poterie Vitré (l. et V.), qui groupera les envois et les fera parvenir aux destinataires.
Qu'ils reçoivent dès maintenant les remerciements de leur camarades de l'Armée du
Rhin.
Que les futurs soldats appelés en Paj's Rhénans envoient donc le plus tdt possible et sans
affranchir : nom, prénous, adresse en Bretagne, profession, aptitudes utilisables pour les
soirées recréalvtes et unité d'affectation à
l'adresse cl après : Centre de ralliement
des
soldats et marins bretons, foyer du soldat, sec
teur postal 77.
Un Officier Breton
k Caisse est fondée. Elle peut tout de suite
commencer & emprunter et & consentir des
prit«.
Dans le mois 11 faudra alors faire timbrer et
enregistrer ceo statuts, en déposant un exemplaire au greffe de la justice de paix, un se*
tond au greffe du tribunal de commeree, le
troisième vous reste pour vos archives. Faites
publier la fondation nouvelle dans un journal
local, dont un numéro sera légalisé et enregist r é . . . . et voilà votre Caisse Rurale parfaitement légale.
Pour avoir plus de sécurité, vous voudriez,
peut-être un conférencier, atln de bien exposer
la chose & vos compatriotes ; adressez-vous
donc & M. l'abbé Le Mel, vicaire à Kerfeunteun,
secrétaire du groupe.
X X X ^ X X X j f X X X X
X X X
X X
vieill'' femme qui gardait, sur le côteau, quelques vaches maigres, et, avee ls politesse
sympathique des habitants du pays :
c Ces pkrres que vous voyea, nous dit-elle,
sont les restes d'un ancien moulin : l'eau lui
venait de toutes les « grées » de.Bains et dans
les nuées d'orage, son étang était vite rempli.
« Un jour, 11 y a bien longtemps de cela,
il y eut, dans le levant, du côté de la Ferrière,
une grande bataille, où bien des chrétiens
furent tués.
« Lo sang coula comm* de l'eau, et, sur la
lande, il y avait de grandes mares de sang
où les chiens de la Buissoanaie et de Penguily
venaient boirn.
« L'étang du Haut-Drouzec en fut rempli
jusqu'au bord, et, pendant trois jours et trois
nuits, les roues du momin tournèrent dans
le sang.
« Si bien que personne, en Cournon, ne
voulait manger de cette farine là, et que le
moulin a été ensuite abandonné pour toujours ».
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P o n t
'
C h a m b r e de C o m m e r c e de Qulm-
p e r . — Au cours de sa séance tenue à Qulmper le samedi 15 mars 1924 sous la présidence
de M. Emmanuel Delécluse.
La Chambre de Commerce a décidé d'envoyer le télégramme suivant k M. Poincaré
Président du Conseil, Ministre des affaires
étrangères.
« La Chambre de Commerce de Qnlmper
félicite chaleureusement M Poincaré Président
du Conseil, Ministre des affaires étrangères,
d'avoir par sa persévérance et son énergie,
obtenu les décrets loi qui vont lui permettre
de réaliser les économies nécessaires pour
assurer l'équilibre du budget s.
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Vice-Président,
Jh. ALAVOINE.
Décret d'interdition d'exportation des cuirs (1).
— La Chambre de Commere proteste contre le
décret du 25 janvier 1924 qui interdit l'exportation des peaux brutes et ouvrées, et, estimant
que cette nomvelle atteinte à la liberté du commerce ne peut avoir pour conséquence que
d'exposer un grand nombre de travailleurs au
chômage et d'entraîner pour une industrie
éminemment française la perte de ses marchés
étrangers.
Demande instamment l'abrogation pure et
simple du décret dont 11 s'agit.
Réorganisation
du service téléphonique. — La
Chambre invite le Parlement et les Pouvoirs
Publics, à prendre les dispositions nécessaires
en vue de remédier à la crise du service
téléphonique et d'assurer son développement
sans qu'il en résulte de charges nouvelles pour
les finances publiques.
A cette effet recommande la collaboration de
l'état avec l'industrie et les finances privées,
seuls capables d'enprunter les sommes nécessaires à la réorganisrtion des téléphones en
France.
Foyer du soldat
«
X
L'Institut P o l y t e c h n i q u e do B r e t a -
g n e d e R e n n e s . — Un exemple à suivre.
— Le Conseil municipal de Lorlent vient, dans
sa séance du 1 " mars, de décider, sur la proposition de M. Labes, Maire de Lorlent, de continuer, fc l'Institut Polytechnique de Bretagne de
Rennes, l'allocation d'une subvention annuelle
de 800 francs et d'adjoindre k cette subvention
denx demi-bourses de 2D0 francs à mettre au
concours chaque année en faveur de jeunes
Lorlentals.
On ne peut que féliciter pleinement M. Labes
et lea conseillers municipaux de Lorient de ce
double geste : 11 y a lieu de souhaiter que cet
exemple soit suivi par toutes les municipalités
de nos centres commerciaux et Industriels de
Bretagne, par les Chambres de Commerce et
tons les groupements commerciaux et syndicats professionnels. LlutlstutPolytechnique de
Bretagne due à l'initiative féconde de M. L.
Bahon-Ranlt, avec ses deux sections, Institut,
d'Enseignement Commercial et Institut de
Chimie, est une création qui s'imposait ; il y a
lieu non seulement de le soutenir mais de le
mettre & même de poursuivre largement son
programme auquel est Intiment lié l'essor, l'avenir économique de notre si riche ét si belle
Bretagne.
L e s Q*unes s o l d a t s b r e t o n s en P a y s
R h é n a n s . — On nous écrit : L'Incorporation
de re- crues au début de novembre va amener,
en Pays Hhenans un grand nombre (le Jeunes
soldats bretons. En particulier, nous recevrons
k Mayence un contingent assez important,
Vouirlez-vous faire connaître par la vole de
votre journal que nos jeunes computrlotes
trouveront ici des camarades soucieux de
leur faciliter l'acclimatement? Ii existe déjà &
Mayence (et on cherche à les établir dans les
antres garnisons oh se trouvent des Bretons
en nombre Important), des salles de lecture
et de réunions oh ils pourront se rencontrer
et lire des Journaux du Pays.
Nous comptons d'autre part organiser pour
cet hiver et dés l'arrivée des recrues des scéance* récréatives. Tous les appelés qui ont quelques aptitudes pour Jouer d'un instrument,
pour chanter, fklre des causeries, dire des
poésies ou jouer des pièces en Français ou en
Breton, dessiner des programmes ou brosser
des décors, de même que ceux qui, par leurs
connaissances, peuvent aider k l'Instruction de
leura camarades illettrés, sont priés de se
mettre dès maintenant en relation avec nous
pour éviter une mise en train lonjours longue.
Il* sont priés d'auirc part d'apporter des recueils de chansons bretonnes, partes postales
Illustrées et autre matériel peu encombrant,
pouvant servir à orner les salles de réunions
et & organiser les soirées, Ceux qui viennent
k Mayence en particulier, pourront profiter
de leur voyage pour y apporter les différents
objets dont la Fidératlod
négionaliste
de liretogne a demandé la réunion aux adresses cl»
«prés :
, MM. Vallée, M rue St-Beuolt à Salnt-Drleui
Mainguy, k la grande-Fabrljjue ft Onlmgump ;
Eveu, notaire Tréguler ; .lames Bonlllfl k
KarUiz-Perroa-GuIrrec ; Mallvet à l.oudiac; A.
Mellaa, 19 rue du ttac ft Lorlent ; Léon Le
Berre k Quimperlé ; Louis Le Floch place de
Brest è Qulmper ; fi Guéguen pharmacien, rus
de Nantes à Saint-Nazalre : Choleau, 12 rue
de U Visitation k Kenues; Bellauger, 6, villa
St-Aoch Le Havre ; Albaret U rue PJantay u t A Angers ; Brou tel le, 6 route de Parigai au Mans. Les donateurs qui n'auraient pas
fncort adressé leurs offrandes soit en naturt,
Cette tradition, quelques autres encore, des
noms de lieux restés dans ce pays, rappellent
seuls de souvenir de Ba Ion.
Du monastère, II ne reste cul vestige.
£1 le ebamp de bataillf, où périrent par
mil'¡ers les soMatu de l'empereur Charies. 6ht
d venu le champ de cours«--, où se réunis
saient nagnères damos élf gantes et prome»
neurs joyeux pour assister aux fêtes de Bains.
S .
aveugle.
— Une s o m m e de
de 50 francs est accordée à titre de subventon
au « Foyer du soldat aveugle t dont le siège social est à Pa. ls. 64 rue du Rocher.
Crise des Changes. — Sur rappport de M.
Béziers, la Chambre de Commerce de Qulmper
vient de prendre sur cette importante question
une nouvelle délibération ainsi formulée :
La Chambre de Commerce continuant à s'attacher désespérément à la défense du franc.
Considérant que des emprunts nouveaux
surtout en devises étrangères (livres, dollars)
sans Indication de change maximum de renboursement, ne peuveut être que des pullatifs
d'un effet heureux, mais seulement momentané et craignant que ses emprunts en devises
étrangères n'alennt comme conséquence fluaie
une nouvelle dévalorisation du franc, si le rem
boursement n'en est pas de suite assuré.
Considérant que le véritable remède consiste
dans des économies strictes et nombreuses k
réaliser avec beaucoup d'énergie.
Confirmant les vœux précédemment émis au
cours de ses séances des 26 janviers et 10 février 1924 :
« Pas de nouvelles inflations fiduciaire, consolidation de notre dette Ilotante, pas d'emprunts nouveaux, cession des monopoles
d'Etat e t c . . . »
Emet le vœu :
Que le Gouvernement fasse de l'assainissement de n o j finances publiques le but principal de sa politique.
— Nous apprenons que la Chambre de Commerce vient de décider sous réserve des autorisations à Intervenir l'Installation d'un posta
récepteur de Téléphonie sans Fil.
Des dispositions seront prises pour la transmission dans les différents centres Maritimes
et Commerciaux de sa circonscription des nouvelles intéressant les Industriels et Commerçants ainsi que pour la communication aux
différents Ports du Littoral des prévisions
du temps donné par la tour Eiffel.
J F o i r a s do l a
Semaine
Lundi 24 mars 192-1 — Pleyber-Chrlst, Lo
Relecc], Rlec-sur-Bèion, Brech.
Mardi 23. — Commana, Gouézec, Irvillac,
Lannóanon, Meilars ("Canfori), Saint-Divy,
Saint Marc, Saint-Poi-de-Léon.
Mercredi 20. — Coray, Crozon, Pestivien,
Runan.
Jeudi 27. — Bervcn, La Cloître, Gouesnou,
PlouKastel-Daoulas,Saint Eloy.Noyai-Pontivy.
Vendredi 28. — Lampaul, Langoien.
¡Samedi 29. — Lo Faou, Plouvorn.
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£ • ( « c a m e n r s d » rivière.
— Colonne« Pierre, 19 ans s'est vu dressé procès verbal,
le 15 courant pour pdche la nuit avee engin
prohibés. Les filets ont été confisqués.
Le 16 courant, les gendarmer en tournée de
nuit, aperçurent un filet tendu dans la rivière
prés de Québlen. L'ayant retiré, un saumon
s'y trouvait pris. Le tout a été confisqué. Le
saumon a été vendu p ir les soins de M. le receveur d'enregistrement.
Servioe
pharmmeeutigu».
— Demain,
dimanche, le Service Pharmaceutique sera
assuré par la Pharmacie GUIBQURG, rue Savary.
Clohai «-Carnott
M. * M»* M A U D U I T , 14, r u e des I s o les, Quimperlé, préviennent le publio
qu'ils exposeront
Dimanche prochain,
23 Mars, toute ¡ a j o u r n é e , une très grande
uantité de Chaussures pour F e m m e s ,
âo m m e s . Enfants, Fillettes et Garçonnets,
à des prix exceptionnels, ô r a n d choix da
souliers v e r n i s
Allons, j e u n e s gens et j e u n e s âlles,
n'hésitez pas à venir tous au bourg.
Spécialité de Chaussures sur m e s u r e s .
La Maison se charge de teutes les Réparations.
Dannalec
Concouru. — Les concours de pouliches
de 1, 2 et 3 an« et de poulains de 1 an dans le
Sud-Finlstêre organisés par la Socié é hippique d'élevage du Su<I-Finistûre auront lieu à
Bannalec le mardi 25 courant à 9 heures ponr
l'arrondissement de Quimperlé.
Les engagement* pou- toutes les catégories
seront reçu» par M. Cabillic. secrétaire de la
Société Hippique 9, rue de Rosmadec, à Qulm
per, k partir du 10 mars de 9 à 13 hpures Us
ne seront plus acceptés à partir du 15 mars
Lea pièces à fournir au moment de l'engagement sont les suivantes :
1- Pour tous les animaux, le certificat d'orl»
glne ;
2' Pour les poullehes. une déclaration eertl
flunt qu'elles n'ont pas été saillies avant leur
troisième année ;
3- Pour les peullches de 3 ans. la carte de
saillie de l'année où l'engagement de les faire
saillir par un éta1 on de l'Stat approuvé on au
torisé.
Les droits d'engagement sont de 30 francs
par animal pour les éleveurs non sociétaires
et de 0 francs pour les sociétaires.
FAITES- VOUS HABILLER
CHEZ
••4
E. LE GUEl\i\OU
TAiLLBUR
2, plaoa des Capuolns
QUIMPERLÉ
Redonnait»,
J . DES MARS
24 septembre 18&9).
A»n l è r e s
Mmrlag».
— Madame Louis Beaufrère, et
notre prédécesseur à l'Union Agricole, actuellement directeur de ia Bretagne à Parts, fait
part du mariage de Mlle Marguerite Marie,
leur fille, avec M. André Vldlou. L'Union
Agricole se fait l'Interpr«te de ses lecteurs et
abonnés pour offrir aux jeunes tancés lenrs
meilleurs votux auxquels elle joint iris cordialement les siens.
A C H A T de V I E U X L I V R E S , plain* peau. Prix
m
Hennebont
Vno
b&êiliqao
cambriolée.
—• Des
cambrioleurs ont pénétré par effraction dans
l'antique basilique de Notre Dame du Vœu.
Tous les troncs ont été vidés de leur contenu
qui était Important. Les fonds déposés à la
sacristie ont disparu également.
(1) Qua la Chambre do Cemiuorce da Quimptr permette
4 un profaoe 4e l'étonner qu* l'on pul»»« bu tnitteu d* latij
de délibération* m*r<(u4M «u coin «Je la sigMn si du boa
s>n», tiuuTor, dan» celi* (twsliom dee nitrii, U ddpUlianto
«ote d'igttt«ui» ijuo 'e» oaneaiii du 1« buurgcelsis
l'Ielle pourraientfacilementeipfulter coatis olla. I.03 sipeditauri de peaux brutew et uOfrSc« n'ont-il« pu oêiti «uxa&,
pour pouToir «otapter leraangua-*-|aga«rd'un moment ?
VulMt-ila dona un ti grand laaanf*oleDt a *e 4ue bajilc la
UHI de In ¿liauiiure, fabriquée en Franc», atea lei p/taut
da noi animaux uuitlâi ? £1 n* peufiQt-lla tonjereer laure
outrjere pour préparer Uranlièrenice*«aiie aux fabricuui»
IrjDfoI» da abaannra, A'uaoitfoa fatMgirtmtnl utlutivì
l eur place aur la« rrarchii étranger» «a résupArera fit« «'il«
maintiennent laura traditi«» d aotjviié at 4a esultatala al ila
auraient 1a uUiiaMlan d'afoir, as a'inaUnant deva&t U <M9«t, «oatnbné a «arigbtr la Nation et non qiUttuJt-xB*
««iMftut.
f», t), L. R,
Si vous ttôs allé de Redon k la flaollly par la
vieille route, aUandounée aujourd'hui, que
suivaient nos pères, après avoir dépassé le
grand vlllayu do Binon et la vallée fraîche où
eoule lo ruisseau mlraouleux de Saint-Laurent,
au milieu dea grandes landes de Gu4e et de
Branguineul, avant de descendre & Cournon,
vous avpj remarqué peut Aire, sur la droite,
une longue coullôe triste et déserte. Ce repli,
perdu dans les bruyères, c'est la vallée du
H ut-Drouzeo. Tout au fond, quelques ruines
éparses, les débris d'une chaussée détruite,
arrêtent le ruisseau qui s'épand au-delà de
•ea rive» et forme un maréoa^e abandonné.
Redon
X.« bataille
do
Ballon
(Béa).
Itouh y renoontrimes, un jour d'hiver, une
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d e p l a ç a * . — Jean 20 ans, mtunier k Ké^angoc, lu 10 mars n'avait pas encore
acheté de plaque de contrâle pour sa blcy
dette.
D i r a ^ a t i o n d'animaux.
— La truie
Ii René, de Kercoray le 10 mars, déterrlorait
l'ucootement de la route sur une longueur de
80 mètres environ P. V.
Quimperlé
Mariage.
— M. et Mme Victor Honoré,
les photographes bien connus nous font part
du mariage de M. Victor Honoré, leur flls, horloger, ruo de l'HOpital-Frémeur, avec Mlle
Jane Audroln. Cette union a été bénie en la
collégiale do N. D. du Bon Secours, de Gulngamp, le mardi 18 mars «924 & 11 heures du
matin. Aux pajents nos très sincères félicitations et aux jeunos époux nos meilleurs vœux.
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Msi'leur marché qua partout ailleurs
IVôvcz
Va vol do plant.
— Le 16 eourant, M.
Bergé, habitant Pont Aven, se rendait à Kerdruc en Névez, ofi U a propriété. Il constata la
disparition d'un bem camélia haut de 60 centimètres environ. Ne sachant sur qui porté
ses soupçons il a porté plainte contre.Inconnu.
LORIENT
selon f o r m a t . S'adreseer
aux b u r e a u x de l'Union
Agricole.
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Vire, N* 90
ovjwmss
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LA G U E R I E c e r t ^ n e
radicale de la hernl®
u t J L l u ' J " 1 ' par le port du bandage ne peut
être obtenue au'en adoptant le nouvel appareil sans ressort muni de la merveilleuse
pelote h compres- M
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sion souple de I f l . I l L A 0 1 i l S p é o J - *
liste de P a r i s , 4 4 , B ' Sébastopol, (anoi.
n* 63A Cet appareil, le seul reconnu officiellement par le corps Médical, assure séance
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D'il
[il
J e a n - P i e r r e Calloc'h
{Suite, et fin)
Aux premiers jours d'octobre 1912, j'avais le
plaisir de partager ma chambre avec Cnlloc'h.
Je la revols, cette modeste pièce avec so.i parquet ea briques rouges, avec ses murs nus, ses
deux armoires, ses deux lits, ses deux tables.
Nous rapprochâmes ces dernières et assis en
l'ace l'un de l'autre, nous reprîmes nos entretiens do jadis. Heures suaves 1 ellas s'écoulaient
sans que nous nous apercevions de leur fuite.
C'est que le pays tant aimé que nous avions
quitté était généralement le thème de nos conversations. Nous nous faisions part de nos
projets : conquérir surtout cette indépendance
après laquelle plus que tout autre le Breton
aspi rc, cette liberté qui nous permettrait de
réaliser nos rêves d'adolescents, de travailler
îk la gloire de Dieu et de la Bretagne.
.le me 1 appelle que s'étalaient, sur sa table,
bien en évidence, les Saints Evangiles, et la
Bible en latin, ses lectures favorites ; il s'en
pénétrait et comprenait que la vie est une
petite chose, un temps de sacrifice, et qu'il
importe de songer à ses fins dernières.
Il lisait constamment, aimait surtout les livres écrits en bon breton comme les <• Notennoti diwar ben ar Gelted ho:, o istor hag o
stuenadur » d'Abhervé et de Meven Mordiern,
et des ouvrages où il était parlé de la Bretagne.
Le jeudi et les jonrs de congé, je l'accompagnais soit à la Bibliothèque Nationale, soit a
celle de l'Arsenal, soit aux Archives Nationales.
11 aimait vivre dans cette atmosphère de travail
qui est celle des salles d'études.
Ayant connu l'adresse de René Le Roux qui
habitait alors Paris, Il lui rend visite, se lie
d'amitié avec le savant autant que modeste
celtlsant. Celui-ci lui prête différents volumes
notamment les romans préhistoriques des frères
Rosny, les romans celtiques de Rambaud et de
Cahun, les œuvres de Stevenson, de Ruydard
Kypling, l'Incite à écrire, en langue bretonne,
des livres d'inspiration celtique, lui indique
les meilleurs textes bretons, en prose, de façon
ù s'assimiler complètement le vocabulaire et
la syntaxe de notre langue. De concert avec
quelques-uns de ses amis, il veut fonder une
ligue « Ar Brezoneg Reo » qui aurait pour but
la défense et l'enseignement du breton. Il en
élabore les statuts — ils existent encore — et
les soumet à notre bon vieux mnître M. Loth
qui les approuve. Un des grands regrets de
Jean-Pierre Calloc'h était de ne pouvoir assister
aux cours de langues celtiques de l'érudlt professeur du Collège de France. M. Loth l'honorait de son amitié, et désireux de l'avoir comme
élève, déplaçait l'heure de ses cours. Malheureusement Calloc'h retenu par son service, à
l'Ecole Supérieure du Commerce, ne pouvait
s'y rendre. Le soir venu, je lui résumais la
leçon que j'avais entendue. Il m'aidait ft rédiger
pour le « Pays Breton » un compte-rendu des
conférences faites sur les Pays Celtiques, par
M. Morvrcn-Goblet à l'Ecole des Hautes Etudes
Sociales. Aux heures de loisir, il écrivait pour
« Brittia » des poèmes bretons plein cl émotion
et de pensées où s'épanchait toute son Sme
religieuse éprise d'idéal. Beaucoup des pièces
en vers que renferme le recueil « ¿ r en Dculin »,
lurent composées sous mes yeux, dans cette
chambre de l'avenue de la République, il les
traduisait en français et les transcrivait sur un
gros cahier où se trouvaient les premiers vers
français et bretons écrits au collège. D'autres
poèmes dont j'ai retrouvé quelques fragments
devaient y figurer. Il rédigeait en français de
longues nouvelles d'inspiration bretonne, elles
avalent posr titre « Le Ya-u de Gwaron »,
« l'Etrange aventure de Job an Ozac'h Mcur » ;
je le vis terminer une étude sur « Les Pêcheurs
Bretons en Mauritanie », il la destinait au
« Correspondant ». Peu de temps avant la
guerre. Il me fit lire le premier chapitre d'un
roman d'aventures qu'il avait imaginé « Les
Trois marins de Croix » dont l'action se déroulait au temps de la Compagnie des Indes.
II ne demeurait oisif un seul instant, échangeant une ample correspondance avec quelques
amis, notamment .avec MM. René Le Roux et
Yves Le Diberder. sans oublier sa mère à
laquelle il ne cessait de témoignait son amour,
mère admirable qui sut garder devant la douleur une grandeur d'âme dont hérita son fils.
Il lui donnait de ses nouvelles très fréquemment, lui faisait parvenir à chaque iin de
mois les quatre cinquièmes de ses moigres
émoluments, pour faire vivre la nombreuse famille qui se reposait sur l'absent à Kerclavestig.
A rencontre de Brlzeux auxqu«l il ressemble
par certains côtés, Paris, cette ville active, tentatrice et fiévreuse ne l'éblouit pas. Il y conservera la pureté de son âme et de son corps, ses
piétés et ses ferveurs. Je ne crois pas qu'il ait
mis une seule fois les pieds dans un théâtre de
la capitale. Les coacerts Touche et Lamourcux
le virent quelquefois; Il aimait la musique. Il
prenait plaisir h me Jouer, sur une flûte qui ne
le quittait guère, des airs bretons qu'il avait
entendus ou recueillis, ou qu'il réussissait &
déchiffrer. 11 en composaft et je conserve quelques chansonnettes bretonnes mises en musique
par lui.
Amoureux du calme et de la solitude, il aimait à prier dans les lieux où son âme s'épanouissait à l'olse. La Chapelle des Bénédictines
de la rue Monsieur était le sanctuaire qu'il préférait. Je la découvris après une lecture d'En
Houle de Hay*mans, et j'y conduisis Jean
Pierre Calloc'h. Très souvent, le dimanche
nous allions y entendre la messe et les jours de
la Semaine Sainte de 1014 nous y suivîmes les
offices chantées en grégorien, par les religieuses. 11 remplissait fidèlement ses devoirs
de chrétien, et jamais II ne cacha ses convictions religieuses, ne rougit de sa fol. Il disait
vrai quand 11 écrivait tes phrases : « Dans le
milieu où je suis forcé de vivre (il s'agit de
l'Ecole supérieure de Commerce où se rencontraient des Esprits forts) pour avoir dès le
début exposé, avec Insolence que j'étais réactionnaire et clérical, pour avoir expliqué sans
douceur à quelques cuistres que si l'on ahordait Irrespectueusement devant mol certaines
.{•estions, je dégageais & l'avance toute rrspotisablllté au sujet de diverses exploration': de
braies uuxquellefc pourrait se livrer mon pied,
durant, dis je, que je me faisais traiter Ici de
« sacristain, de calotin » de « curé manqué »
(les aimables garçons ne savaicut d'ailleurs pas
ù quel point ils tombaient juste) et quo je répondais luxueusement à ces Injures, de jeunes
vicaires de mon pays, dont plusieurs lurent
mes bleus à Suinte-Aune, me boubardalent
•ntlclétical. C'est philosophique la vie I .. Et
dans son allocution ù ses élèves a l'Ecole supérieure de Commerce, le jour de la distribution
des prix
12 Jul let 1018 — l'excellent M. VV1
rlath. le directeur qui portait la plus grando
estirao à Cullec'h, avait raison de s'écrier :
a Le réconfort dan* une vie qui n'était pas
unie, Il 1« puisait d«<>i une foi ferme, aimée,
U i s a r Udrlt* d*» »si^trei, qu'il pratiquait,
sans ostentation, malfj aussi sans respect b u .
main, cette pire forme de la lâcheté. »
Je lui connus très peu de relations à Paris.
A part M. Ren£ Le Roux, dont il recherchait
le commerce, il aimait ù rendre visite et à prêter son concours ù Louis Le Moal, président
du Cercle de Saint-Yves, a Saint-Denis, où se
rencontraient un grand nombre de Bretons
disséminés dans cette plaine de Travail aux
portes de la Capitale. Grâce a un de ses compatriotes et ami. M. Firmin Davigo, étudiant
en Médecine, Il fit la connaissance do l'abbé
Léonce Petit, qui le présenta à Léon Bloy (1),
le « monstre catholique»,l'auteur du Désespéré,
de La Femme Pauvre, de Quatre ans de captivité à Cochons-sur-.Marne, un des prosateurs et
des penseurs les plus éminents de ce siècle.
Calloc'h admirait ce remarquable et intraitable
écrivain, cet observateur aveugle de la doctrine
de l'Eglise, cet amant du Moven-Age et qui
possédait ù un très haut degré'la résignation,
cette première vertu chrétienne. Le tempérament de Léon Bloy lui plaisait, 11 découvrait
en lui quelques traits de sou caractère.
Ses préférences politiques allaient à Charles
Maurras qu'il considérait comme un maître,
comme uu logicien hors pair; il avait grande
joie a lire les articles pleins de verve de Léon
Daudet, le directeur de l'action Française. Je
ne crois pas qu'il ait varié au point de vue
politique. Je l'ai connu royaliste au collège :
royaliste, il demeira jusqu'il sa dernière heure.
Vrai chrétien, vrai Breton, il fut aussi l'ami
Idéal. Lorsque le 20 juillet 1914, il m'accompagna jusqu'à la gare de l'Est — j'allais en
Meurthe et-Moselle, près de la frontière du
Luxembourg, remplacer pendant trois semaines
un de mes amis qui y exerçait la médecine —
nous ne jugions pas une guerre si prochaine.
En nous serrant la main, nous nous dîmes au
revoir, en nous promettant de nous retrouver
en Bretagne, pendant nos vacances Hélas ! 1 au
revoir devait être bien long. La guerre éclate
brusquement et dés les premiers jours d'août,
je me trouve isolé du reste de la France par
la brusque avancée des Allemands en Belgique
et en poys luxembourgeois. Je dus subir pendant cinquante-deux mois, les rigueurs de
l'occupation, sans pouvoir donner aux mieus
signe de vie. Ma famille, mes amis me crurent
mort. Les premières dépêches officielles annonçaient que Villerupt, ma résidence, avait été
brûlée et les habitants fusillés par l'ennemi.
Calloc'h s'inquiéta de mon sort, désira savoir
ce que j'étais devenu. Il écrivit a ma sœur,
s'adressa au Ministère de la Guerre. Il se proposait de s'adresser au Préfet de Meurthe-etMoselle qui ferait faire une enquête parmi les
survivants de Viilerupt : < Dans le nombre, il
y aura bien quelqu'un qui pourra nous renseigner. .. Si Palaux est mort, ce sera un compte
à régler entre les Bochcs et moi. Nous étioas
amis depuis 14 a u s ; à Sainte-Anne d'Auray
nous avons fait nos études ensemble, dans la
même classe, et après nous être perdus de vue
un an ou deux, voici que nous nous étions retrouvés à Paris en 1911. Quand viendra l'heure
de tirer mon coup de fusil, je me souviendrai
de ces choses... Adieu, cher Monsieur, je vous
demande un bout de prières. Je vais en avoir
tant besoin {lettre du M novembre. 19tj, communiquée par il Tonnerre, de Douclanj.
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Chronique
|
Electorale
ELECTIONS
LEGISLATIVES.
— L e Conseil des M i n i s t r e s a fixé
les élections législatives au 11 M a i .
Suppression des listes incomplèt e s a u x é l e c t i o n s l é g i s l a t i v e s . — ¡,e
journal officiel du 18 mars promulgue la loi
modifiant la loi du 12 juillet 1019 sur l'électiou
des députés.
D'après cette loi :
Toute liste doit obligatoirement comprendre
un nombre de candidats é^al àcelul des députés
à élire dans la circonscription.
La présentation des listes incomplètes est
interdite.
t Les Hstcs sont déposées à la préfecture après
l'ouverture de la période électorale et. au plus
tard, douze jours avant celui du scrutin.
La préfecture enregistre la liste et son titre.
L'enregistrement est refusé à toute liste por
tant plus ou moins de noms qu'il y a de dépu
tés à élire, ou portant le nom de candidats appât tenant ù une autre liste enregistrée dans
la circonscription.
Dans le cas de dérès de l'un dei candidats,
une déclaration nouvelle de-candidature remplaçante pourra être exeptlonnellement reçue
jusqu'à minuit, le troisième jour avant" le
scratin.
Si le ren placement du candidat décédé ne
peut avoir lieu dan» 1« délai légal, lors du
dépouillement du scrutin et des calculs nécessaires ù la répartition des sièges, il n'est pas
tenu compte des voix données au candidat décédé.
« La moyenne est obt nue, ce retranchement
fait, en divisant le total des voix qu'ont rasLes Bocbes m'out épargné, et lui un mardi
semblées les c»n> idats d«meutés su- la li.-te
de Pûques fleuries, le 10 avril 1917, en brav.-, il
par le nombre de ces candidats
tombait glorieusement à Urvlllers, eu défen
« Lorsque le nombre des voyants n'est pas
dant :
supérieur au tiers des inscrits, ou si aucune
liste
Iné Ivomog, he douar, lie merlicd hag be bleu
n obtient le quotient élec orul, aucun candidat n'est proclnmé élu.
Je ne doute pas que sa dernière pensée ne fut
Les articles 7. 8. et 11 du 12 jull et 1910 sont
pour sa mère et pour ses am s qui le pleurent.
abrogés
Et certainement, le Maître qu'il a si bien servi,
Çuolqueti
pointa
(suite). - Nous contisa vie durant, écouta la dernière prière de
l'héroïque guetteur, la Vierge Marie et Suinte
nuons sous ce t i t r \ la rpfntatio" des ohj cAnne la bonne patronne des Bretons pour
lions socialistes contre le Bloc National. Nous
laquelle il avait un culte spécial, l'ont assisté à
avions, dans le dernier numéro, passe en
sa dernière heure :
revue six points relatifs à la vie chère et à ses
causes. Le lecteur est prié de s'y reporter. Voici
Euvus er rc varù hag e varù e Doué !
quelques autres causes de cette cherté :
U) La nou-utllisation do notre domaine coLéon
JPAL
AUX.
lonial. Depuis 19ir>, notre balance commerDocteur en iMédecine,
ciale est défectueuse. Ce déficit, bien qu'en
voie de dégression, est de 110 milliards. Là,
est une des causes de la baisse du franc.
Or, nous sommes tributaires des frets étrangers, lesquels, pendant la guerre surtout,
atteignaient des taux vertigineux et donnaient
iit:u il des assurances maritimes proportionnées ft leur élévation et que connut p r o b a blement le Citoyen Guillou, par exemple. Depuis la guerre, les frets sont restés des plus
élevés et nous nous obstinons à nous ravitailler il l'étranger. Si nous avions mis en
valeur notre empire colonial, merveilleusement abondant en toutes ressources, nous
aurions évité les frets étrangers, le payement
obligatoire en or et en argent, les emprunts
ruineux. Rien no nous manquerait, si nous le
R. de C.
voulions, en denrées alimentaires et en maQuimperlé
tières premières, tel cet alfa dont on pourrait
N° 814
(excusez le marchand de papier !) faire du
papier journal qui reviendrait fi un peu moins
de 1 800 fr. la tonne I Nous sommes routiniers ! Sur vingt milliards d'importation en
sont achetés au plus h a u t prix par
1S)21, deux milliards neuf cent millions représentent la part colonialo. et encore, plus de
la moitié provient do l'Algérie. Quand on
pense que notro empire colonial représente
plus de dix millions ot demi de kilomètres
carrés I L'an dernier, un de nos compatriotes
S u . i t © dLe l a
IRêcrioriGile
de l'Indo-Cbine, colonisateur ti la Tortue,
le Qulmperlols, M. Lo Nestour, parlait, dans
l'Union Agricole mCmo. des {rossouroes aliCrédit Mutuel e t C o o p é r n t i o n A g r i mentaires qu'mno exploitation ra»ionnello de
c o l e . — La Commission de l'Agriculture »le
notro domaine maritime indc-chinois Jetterait
lu Chambre des Députés v e n t -l'adopter définisous la formo do conserves do poissons
tivement, sur le rapport de M Inlzan, la prode touto sorte sur nos marchés françaisposition rie loi de MM. Jean Jadé. Paul Simon.
Et ce bloc africain qui part de la| Mô
Bulanant et Inlzan, tendant a m o l l f i e r l n loi
ditorranôo pour aller jusqu'aux rivos du
du j août 1920 sur le crédit mutuel et la coopéCongo ? On y rencontre de tout : le blé, la viration agricole.
gno, lo coton, las laines, les cafés, les cacaos,
Le texte définitif de cette proposition qui
les graines oléagineuses, les caoutchoucs, les
recule sensiblement l'âge limite pour le remboursement des prêts sera sans doute voté
viandes do boucherio, les fruits exotiques,
très prochainement sans débat par la Chambre
sans parler dos gisomonts do minorai, inexdes Députés,
ploités pour la plupart, et des fo'Ats où se
rencontrent toutefi los essences. L'esprit coA p p r e n t i s m é c a n i c i e n s d e Torient.
lonial fait totalement défaut à la métropole.
Y sont admis les jeunes Carriou, de QuimNous no savons pas établir nos prix do roperlé, Guesbel, Le Beux, et Mlnlou, de Moëlan.
vient, assurer dos débouchés, transformor les
méthodos de direction, améliorer le |régime
I t i n é r a i r e d e e y l i n d r a g e . —• Le cy- douanier do façon il ce quo les produits de
lindre ir lii fonotionn»™. du ï \ nu 20 mars nos colonies concurrencent victorieusement
sur le chemin île grande communication
los produits étrangers sur les marchés do la
tr C2, entre Baye et Saint-Ouarneau.
métropole. U faudrait, surtout, quo l'FUat,
dans
nos colonies, encourage l'initiative priJEcolo primaire
sapùrieture
de
jeuvée. Or, Jusqu'ici, l'Etat n'a su qu'onvoyor,
nes FUI es. — Mesdames les Membres holà-bas, don fonctionnaires ot des agents du
noraires et actifs de U Association Amicale drx
llic et y exercor ses routines ot son esprit do
anciens Mènes, sont Invitées A assister a la
Matinée récréative que les élèves de 4- et .1'
monopolo,
année donneront Jeudi 27 Mars, a 3 h. 1/?, au
() Los monopoles d'Ktnt. Parlant des bénéprofit de leur flcole tflleule do Comlncs.
llcos exagéré» de* granda suorlers telle la
hausse criminelle dos sucres, opéréo autour
(i) Lion Bloy ( tit^k-lU t-J. I'oétr et parapbliwire cade la lUflluerie Say, le Cltoyon Uoudo prôno la
Itiolique, — ce p'rifourdin fut ua hoinmn de riclle »»leur
nationalisation des moyens do production.
inr Icqusl le* puli.aolS eonemln qu'il avait mordui firent
Tout lo monde commît les boaux résultats do
la conspiration du «llonce t.. D'une riole .ee inouïe, il n«al
l'exploitation do l'Ouosl-Etat, depuis 1907 Nous
pri« comme rd*olutlon dit « namjutr ttseitlitlltmtnl do
nous b o r orons à conhldûrer, a u j o u r l'hul, le
modération, d'Otr» toujours imprudent et de rtmfUieir toute
m*surt far un ferfituel &thordement »... S«* ®u«e Iril monopole des allumette" que lo Sénat vient
d'abolir. Tout le monde, on F'anoo, est «on.
abondante, im pleine de iOlirex et de noulTrsncei Se« p>e1t'*<i fur'ni lus
m m, dit, «gnims lui, tes Btrblï vaincu de.pulîJ longtemps de leur p«u de vu- !
d Aut»»|U, •( Uj Yfd*l|,.
N, fl, l, H,
leur. IÇIlo? w n t mal
qt r « v j m e H t j
Taupes
Fouines
Martres
Putois
Renards
Loutres
Lapins
01
H. HOTTE, 18, rue Savary, Quimperlé
i
1924
plus cher quo les allumettes ^importées de
l'Etranger, les « suédoises », par exemple.
Cette exploitation d'Etat Ignore les fonds
dont elle dispose, comme toute exploitation
d'Etat, d'ailleurs, dont 11 est difficile d'établir
10 bilan et le produit n e t . . . Où en serait une
entreprise privée, dans ce cas ? L'Etat demande aux contribuables de dresser leur inventaire avant do faire une confession sincère au contrôleur des Directes I Bien plus,
11 l'exige sous la menace de la p i i s o n . . . Mais
ce qu'il demande à ses régnicoles, il lui est
impossible de le fournir.
Cependant, le ministre des Finances avoue
qu'il fabrique pour 43 millions d'allumettes et
qu'il en fait venir if. par importation, c'est-àdire qu'il donne à l'Etranger commission de
fabriquer un objet, de consommation dont il
interdit, la production en F r a n c e ! Il est vrai
que ce lot lui revient à meilleur marché que
s'il était pratiqué par lui mfime « sensiblement
meilleur marché », avouait le ministre, à la
Chambre, le '¿0 février dernier. Ces socialistes
vont dire que, s'ils étaient au Pouvoir, ils en
finiraient avec la routine, qu'ils modifieraient
l'outillage défectueux, eto. L'exemple russe
est toujours là, comme le montre plus haut
M. Fournis, pour mettre en relief l'incapacité totale, pour l'Etat, de marcher avec le progrès,
son inertie foncière et caractéristique se traduisant par des bureaux et de la paperasse.
Une autre cause de non-production, c'est la
carence d'une maind'œuvre, cependant attitrée
et grassement payée. Sur 2yâ jours ouvrables,
assure lo ministre, il n'y a eu, aux usines
d'Aubervilliers, pour la citer seule, que 227
jours de présence. Est ce ie Citoven Goude
:[ui fera taire le» chignolles ? et ôtera-t-il aux
dancings l'attrait qu'ils exercent sur la jeunesse ouvrière ?
Oû aurait aimé à savoir son opinion sur la
façot: dont se répartit le-travail dans ces usines d'Etat. D'après los aveux du ministre,
voici comment cela se passe. Depuis 1902 les
ouvriers des deux sexes ont le droit absolu
de choisir le poste à leur convenance. Si un
poste devient vacapt, chacun peut l'essayer
durant trois jours ! C'est ainsi que dans une
manutacture, une machine moderne pour ia
fabrication des tisons, s'est trouvée pendant
cent jours passer par trente-quatre ouvrières I
li est certain qu'avec un pareil système, aucun bénéfice tiré de l'accoutumance de l'employé et de sa compétence ne peut être envisagé. L'histoire no nous dit pas, si au surplus
la pauvre machine soviétisée, n'a pas été complètement détraquée et mise au rebut. Mais
comme c'est le conuibuable qui paie... Si, en
eil'et, des industries ruinées de telle «orte ne
vont p a - d r o i t ù la banqueroute comme irait
le simple particulier, c'est que leur avoir est
constamment renouvelé par l'inépuisable impôt.
Le monopole des allumettes noua a semblé
typique. De celui-là on peut j u g e r les autres.
Non I l'Etat ne doit se môier de rien produire. Son rôle est un rô:e de protection, de
surveillance et te perception d'itnpOt. Si >es
spéculât-urs des raffli-erie» |Say outpôche ("et
ils l'on f*it) il y a dans l'arsenal des lois, des
ctiâliuienis sulfl an>s. sous forme d amendes et
•le prison, mais si l'Eiat se mettait lui-même
raffl eur, a quel tai.x i.n ver rions-cous pas
uioutei u e denrée mr. flee t.t peut ôi.e inconsommable ?
L augmcni'ttion des impôts volés par la majorité de 1U19 n'a grevé que les l'elils... La taxe
sur lit dufjre d'.filtres ^èse de tout son poids
sur le consommaUur des dusses laborieuses.
La v-.iU'i est quo la, Ubamb. e ue ltfl'J n a pas
augmenié les uepen. e.- de i E <u. E le le» a réduit»)- 'Je 7 milliards 600 nin.ions, puisque les
dépenses m i . e s et m u . a i r e s q u i e n i 9 i 9 , dépassaient 19 milliards, n'atteignent aujourd'hui quo 11 milliards 400 millions. S il a fallu
émettre des impôts nouveaux c'est que la
Chambre précédente avait laissé un budget se
cùitirant par 31 milliards de de pense contre
8 milliards do recettes.
Dans rétablissement des nouveaux impôts
les riches n'ont pas été épargnes. Aussi l'impôt
global sur le revenu et l'impôt sur les successions furent Usés dès 1920, à des pourcentages
d'autant plus élevés que le montant de la succession ou du revenu est plus considérable.
Us ont atteint jusqu'à 50 0/0 du revenu global"
et jusqu'à WD 0/0 du capital pour l'impôt sur
les successions. Le 26 octobre 1922, M. de Lasteyrie déclarait du haut de la tribune que
197 contribuables payaient d eux seuls 273 millions par an a l'Etat au seul titre do l'impôt
global sur le revenu. Par contre, des dégrèvements appréciables furent accordés aux pères
do famille proportionnels au nombre de leurs
enfants. L'art. 6 do la loi du 2:î juin 1920 porte
l'abattement à 1 impôt générai 'à 6 QOu francs.
Son art. 7 porta la réduction du revenu imposable des contribuables ruinés à 3.000 francs
au lieu de 2.U00, et le benelice de cette déduction fut étendu au veuf ou à la veuve ayant à
sa charge un ou plusieurs enfants issus de
leur mariage avec le cot joint décédé. La déduction fut portée de l.(XX) à 2.000 francs par
tête d'enfants mineurs, et à l.bOO par personne
à la charge du contribuable au-delà de la cinquième.
La loi du 30 mars 1923 stipule que loute personne dont lo revenu n'excède pas 7.000 francs
somme majorée, s'il y a lieu, des déductions
spéciales pour charges de famille, n'est pas
imposable à l'impôt généial. Par là même
les salariés frappes à l'origine par l'impôt des
salaires inventé par Caillaux, se trouvent pour
la plupart exonérés, bien qu'en pratique l'administration refuse d'admettro la généralisation de ces exemptions.
La loi du 25 juin 1920 a exonéré d'impôt général les mutilés, veuves ot ayants-droit des
morts de la guerro, pour los pensions dont ils
sont titulaires en vertu do la loi du 31 mars
1919. En outre, les majorations d'impôt ne
sont pas applicables aux contribuables qui ont
plus de 40 'J/o d'invalidité do guerre, non plus
qu'aux contribuables dont les enfants sont
morts à la «uerro.
La Chambre du Rioc National, respectueuse
des situations médiocres, a, par une extension de l'art. î de la la loi du 20 juin 1918, réduit lo montant do l'impôt lui-même, pour les
contribuables dont le revenu imposable n'est
pas supérieur à 10.000 fr. d'après le nombre
de personnes à leur charge, si bien quo le
cliof d'une famille do huit enfants et au dessus possédant ce chiM're, ost totAloment exonéré.
On voit donc qu'il n'est pas juste de dire
quo los Impàts votés par la majorité du Bloc
National n'ont grevé quu los Petits D'ailleurs
la plupart des députés qui se sont ralliés au
Bloc des Gauchos, socialistes compris, ont voté
tous les impôts nouveaux sans exception,
même celui du chltlVe d'affaires.
Or donc, les Citoyens firent lo procès de 1a
taxe sur le chiffre d'atlairos. Nous avons entendu, notamment, le citoyen Goudo, s'efforcer
de démontrer que los petits seuls en souffraient,
tous les échanges étant frapnéH depuis la matière brute Jusqu'au proiuit fini, arrivé dans
lus dernlftros mains,
M
car io çiîitrro 4'»ffa|r«> w t à « w
s û r le plus impopulaire des impôts. La Chambre de, 1919 le trouva en panne, dans le prog r a m m e fiscal inachevé de la législature radicale-socialiste de 1914. Eut elle tort ou raison
de la faire revivre ? L'avenir le dira. En tout
cas, ceux-là mCme qui l'inventèrent, et dont
les survivants dans la Chambre nouvelle la votèrent eux aussi, exploitent cette impopularité
contre cette Chambre. Nulle taxe DO présente
plus cependant les caractéristiques do ce que
serait le régime socialiste. Substituant la réalité
à la personnalité do l'Impôt elle implique l'inquisition, érige, l'agent du fisc en juge d'instruction. Elle a rejeté vers les parties extrêmes
une multitude de braves gens qui excédés,
voteraient plutôt pour les Soviets, pratiquant
ainsi la politique de Gribouille qui de peur
d'être mouillé, se plonge dan* la rivière.
Avouons-le, le fait quo cet impôt de consommation croit en fonction des quantités consommées est antisocial, lo contribuable étant
frappé non selon ses moyens, mais selon ses
besoins. Plus une famille est nombreuse, plus
elle sera taxée, et c'est là la profonde injustice
de cet impôt.
Les Socialistes ont vite fait de donner le
change aux masses sur la paternité de la taxe
sur le chiffre d'affaires, et ils ont beau jeu
pour se scandaliser : La vérité est qu'il s'agit à
l'heure actuelle de boucher un trou pratiqué,
par eux-mêmes, dans le budget, depuis les
folies d'Albert T h o m a s La situation budgétaire
est telle qu'il ne s'agit pas de savoir si l'on
pourrait obtenir par tel ou tel système une
plus juste répartition des charges fiscales,
mais de chercher les moyens de faire donner
au pays, sans le ruiner, un effort fiscal maximum.
Et quel était le meilleur moyen d'y a r r i v e r ?
L'impôt progressif sur le revenu ? Ne tend-il
pas cet impôt à devenir exceptionnel, à frapper les personnes en fonction de qualités, sans
égard pour le rôle économique ou financier
du contribuable 1 Cet impôt limitera forcément l'effort vers l'augmentation de la fortune
personnelle ? Et que dire du moyen simpliste
accrédité près du Peuple des villes et des
campagnes pour nos conférenciers socialistes
de l'Impôt sur le Capital ? Ne dévoreront-ils
pas, tous deux, ces impôts, l'un progressif sur
le revenu, l'autre sur l§ Capital, la matière
fiscale elle même. ? Qu'en pensez-vous Citoyens Goude. Masson, Quiniou, hag ar-re ail
a du ganeoc h ? ri s'agissait de boucher un trou
11 s'agit encore à l'heure qu'il est de boucher
un trou :
Sans doute, nous aurions pu taxer la consommation superflue, le luxe des théâtres,
des dancings, des cafés et restaurants de luxe
des maisons de prostitution, des prostituées
assez r e c o n n a i s s a n t s aux signes e x t é r i e u r s . . .
Tout cela présente, certes, des avantages sociaux et moraux, mais amènerait fatalement des tarifs prohioitifs qui viendraient p»utôtre à bout de la matière fiscale elle-même.
Le sacrifice, très dur, mais d'essence éminemment temporaire, demandé h la Nation,
requiert l'effort de tous, même de celui-là
qui ne consomme que les objets nécessaires à
la vie. La justice et l'équité doivent passer
après le rendement à plein, rendu nécessaire
par la carence du Boche. Et cela seul justifie
la taxe sur le chiffre d'affaires, pour « ce moment pénible que nous traversons ». D'ailleur.-, ICI, encore, le riche est réellement plus
fr .ppé que le pauvre, puisque plu3 l'objet sera
ouvré, plus il aura passé par des intermédiaires successifs, plus il supportera d'impôt
él- vé. La charge M-cale supporteo par le consommateur sera donc progressive, selon la
qualité de ses achats et partant selon la fortune, dans l'ordre normal des choses. D'ailleurs, la taxe de luxe de 10 0,0 n'atteint que le
consommateur û-ial.
La taxe sur le chiffre d'affaires a rapporté
trois milliards en 1923. On a parlé de le remplacer pardes taxes à la production ou par des
taxes cumulatives à un certain stade de la
production. En février dernier, le Sénat a voté
le remplacement de l'impôt sur le chiffre
d'affaires, dans le commerce de charbon, par
un impôt à la production. Ce n'est pas à nous
de dire, si ce remplacement n'est pas à souhaiter et à borner aux objets de consommation superflue ou de luxe, dès qu'une ère de
paix financière régnera, dans le Monde, d'une
laçon stable et définitive. Mais pour le m o m ent, telle qu'elle se comporte, le chiffre d'aifairee doit être considérée, comme une contribution patriotique apportée par les Riches
comme par les Mumbles, et dont les dernières
décisions de la Chambre ont adouci, quelque peu, le mode trop draconien de récupération. En tout cas, ce n'est pas à ceux qui réservent leur indulgence pour les Hoches, à
protester!
(A r.uivre).
Alexandre CUZIAT
Chirurgien-Dentiste
de la Faculté
de Médecine
de
Paris
31, m Savary -;- Q U I M P E R L É
'
Consultations tous les j o u r s à Q0IMPERLK, sauf le MERCREDI à BANNALEC.
vvxvxvxvvxvvxxvxxxxvNwvxvxvvwvxvvxxvi
Familles
Quimperlé
Nombreuses— Le Maire de
Quimperlé invite tous les chefs de familles de
4 enfants et p'us, à venir le plus tût possible,
à la Mairie, pour en faire la déclaration.
Recensement
de la Classe 1925. —
Le Maire de Quimperlé invite les j e u n e s
gens qui sont nôs du l " janvier au 3i
décembre 1905, à se présenter immédiatement à la Mairie s'ils ont leur domicile dans la commune.
Ceux qui ne sont pas nés à Quimperlé
devront se munir de leur acte de naissance ou .du livret de famille de leurs
parents.
Les parents ou tuteurs des jeunes gens
momentanément absents, malades ou encragés doivent faire la mfime déclaration
Cette obligation ¡est prescrite par 1a loi."
X,® premier pas Danlop. — L» deralflnate s'est conru à Rennes dimanche dernier.
Nous sommes heureux de pouvoir féliciter nos
concitoyens dont les noms suivent et qni ont
décroché les troU premières places : RoMc, de
Rédéné, 10 ans, arrive premier on 1 heure 33
minutes KOsecoudesD'Jégou, de Salnt-Thurlen.
3* Cadorat, de Quimperlé. Ils se rendent tous
trois il Paris pour la finale, aussi nos vœux les
accompagnent.
Vol d ' E f f e t s . - Mercredi soir, 19 mars,
Mlle Françoise Formentin, employée chez M.
Le Gall, directeu du Syndicat Agricole, s'est
«perçus de la disparitition de deux jupes dont
l'une usagée, en slpsga uuie, et l'autre toute
neuve, eu cachsmlre, garnie de velours, qu'elle
•Tilt suapsijdu à la porte de sa chambre, sltuie
t * $9uxi«m« <it»ga,
-
Dédaignant une troisième jupe, le voleur la
laissa et préféra s'accaparer d'un sac fi main,
en cuir noir, contenant une somme de '22 fr. et
quelques objets d'une certaine valeur.
Mlle Formentin, qui estime son préjudice de
450 & 500 franc», a déposé une plainte au Commissariat de Police qui a ouvert une enquête.
d mt local, qui n'en déplaise à M. Le Berre
n'est point le même que celui de l ' E c a i r .
L'Eclair a dit la vérité et nous aussi.
Voilà
pourquoi nous disons la même chose, il reste
donc à déduire, 6 Union 1 qu» c'est vous qui
avez menti et voilà tout. » (Echo du 21 mars).
Ainsi l'Echo veut nous faire croire & la dualité de la correspondance de nos confrères à
'¿•ss'jriTrjrjrjrj'jjjnrw^aJCKMjrsjrsjrjrjr Querrien. 11 trouve que la ressemblance des
I
deux textes est un cas fortuit, une coïncidence!
Là dessus, M. Coffrant pataugeant dans une
de ces phrases dont il est coutumier, nous
parle de courtoisie, de droit absolu, des relations
fort aimables, dn correspondant de l Eclair, à
Querrien. avec M. Cadic. Une ligne avant, il
vient de nous dire : « Quant au correspondant
de l'Eclair, nous l'ignorons » et, il s'empresse
HORLOGER
d'ajouter que ce correspondant est aussi en
relations courtoises avec lui même. Alors, il ne
PLACE fiAMBETTA (Haut ds la rue Savary)
l'ignore p a s . . . Qu'est-ce que cette salade?
Eu tout cas, voici les deux textes qui prouQ U I M P E R L É
vent bien une commune organe :
HORLOGERIE, BIJOUTERIE, ORFÈVRERIE
J. L E ~ G 0 F F
2,
MONTRES,
PENDULES,
REVEILS
A TOCS LES P R I X
BAGUES, PROMESSES, ALLIANCES
BOUQUETS FLEURS O'ORANGERS EOUR MARIEES
C A D E A U X POUR MARIAGES
K. du C, Quimperlé n- 1828
" a\\\\\\v\\\\\\v\v . w w w w v w v w v v v n
Poivrot.
- Le T o u l l e c F r a n ç o i s , 49 ans,
o u v r i e r b o u l a n g e r , s a n s d o m i c i l e llxe,
p é r o r a i t le 17 m a r s , h 19 b e u r e s , s u r la
S l a c e Car ot. La p o l i o e i n t e r r o m p i t s o n
i s c o u r 8 en le m e t t a n t a u v i o l o n m u n i oicipal p o u r y o u v e r sa b o i s s o n .
Rtat- C i v i l .
— Saitsancts.
— MarieJoséphine
Nicolas, place Suint-Michel. —
Marie-Louise-Renée Le Moir-g, 10 rue de
Quimper. — Maurice-Edouard-Fra' çois Marie
Rop ert, 2, place Nationale. — Antoinette Marie
Eugénie et H^nrie'lte-MMrie Franooi^p Guily
(jUmeilles) Bellevue.
Publication de mariage
— Auguttc-Ma io
Cornou menuisier,
iue Corric-finrhên» et
Marie-Jeannt Flécher, i-aus profession. 25, rue
du Couedic.
Mariagt. — Emile-Joseph Ravalée. quartiermaître fusilier, à JCertanguy. en Meilac rt
Anna Joséphine Coroller, couturière, place
Lovignon.
Décès. — Marie-Louie-Philomône Jaffrt ( zou,
»3 ans, ménagère, veuve de Pinrre-Jos-ph Le
Oofl', au Pont de Moëlan. — Victoire Jeanne
Marie Blandin, 3r» ans. épouse de FrançoisMario de Cadenet, à Kér sole.
DRAPERIES •
•
• • HAUTES
•
NOUVEAUTÉS
A. LE DÉROUT
Tailleur peur Ville & Campagne
Q U I M P E R L É
(liaison Le M )
Edition Quimperloise
OU SAMEDI 22 MARS 1924
Quimperlé
A propos
do la reunion
£e
LonédecGoude-Quiniou.
— il paraît que nous aurions considéré l'intervention d'O Berthou,
salle Gallic, c o m m e ua triomphe « sillonniste »,
et 14-dessus l'Echo de se voiler la face devaut
notre prétention. Or, cette prétention là l'auteur de notre compte-rendu ne l'eut jamais.
Que dit en résumé ce c o m p t e - r e n d u ? Que
Berthou est arrivé o o m m e le citoyen Qoude
achevait son réquisitoire contre le Bloc National. Berthou, ayant demandé la parole, fit &
son tour le procès du Bloc des Gauches, interrompu par M. Le Louédec, lequel ne laissa
pas échapper l'occasion déplacer son petit leitmotiv : « il y a 20 ans, vos amis... etc., etc.,
A l'aide du Quotidien, ce qui ne fut pas sans
contrarier M. Coll'raat et l'ancien chantre de
St-Corentin, son acolyte, Borthou, montra que
le Sénat radical seul s'opposait à la révision
des marchés de guerre. Cela déplut a Goude
qui déchaîna le chahut et le chahut s'appelle
en style Coffrant une • mise en boite ». b'expression, pour une fois est juste, itnugintzvous un auditoire d'aveugles louédéciïtes,
considérablement chauilés, mené par une
poigaée de pédagogues, dont le sieuf Guiguen, pour ne pas le nommer, sifflant les
cinq doigts dans la bouche, c o m m e les derniers de ses g a m i n s . . . Cela n'einpûcha pas
Berthou, de placer quelques bonnes vérités
et la mise en boite, fut, de l'aveu de M.
Coffrant • pénible u.
Echo de Bretagne. — L'orateur est attentivement écouté et ses paroles ont l'approbation
de la majorité de la salle, quand 11 traite la
question agraire et le droit de tous les enfants
ù l'instruction gratuite à tous les degrés. »
Eclair du Finistère. — L'orateur fut très
attentivement écouté et ses paroles reçurent
l'approbution de la majorité de
l'assistance,
notamment lorsqu'il traite la question agraire
et le droit pour tous K-s enfants à l'instruction
gratuite ft tous les degrés. »
Ces textes ont donné lieu à un petit exercice
scolaire. On a changé le temps des verbes et
remplacé certains mota par d'autres. Que voulez-vous objecter après cela à la rumeur pu
blique, attribuant leur paternité au même
maître d'éu le, compagnon d'armes de M Catherine. déguisé en gars de Querrien, en ripu
blicain, eu témoin, selon les nécessités de la
copie ? . . .
Sous ces divers masques, l'ancien lieutenant,
ayint laissé l'Union Sacrée avec l'uniforme,
chante pouiilc à M Cadic, qui, lui aussi, rc.
tour des tranchées, s'est etïorcé jusqu'ici, et
souvent avec plein succès, de maintenir cette
Union. Il est vraiment plaisant de voir notre
pédngogue regretter le temps de l'honorable
M. Gallic. Que ce dernier ait emporté l'estime
de ses concitoyens, nous le croyons, nous
au-si, et l'en félicitons. Mais nous ne pensons
pas qu'il soit très« a'se de voir interprêter
cette estime et ces regrets, par un tel pa' égéryste, surtout à l'heure, où M. Cadic s'est aflirm -, de si éloquente et admirab'e façon, un
p triote convHii cu et uu défenseur rie la propriété. contre les utopies révolutionnaires.
Nous pensons plutôt que le discours du Maire
de Querrien, ,-era le point de départ de 1 Unlon >
sans arrière pensée, de tous les honnêtes gens,
atin qu'au jour des élections prochaines, le
SociHiisrae ri çoive uu de ces échecs dont ses
Apôtres se souvien dront longtemps I
Obsèques.
— Hier, vendredi, 21 mars,
aprè> iniui, à S t e - O o i x , ont eu lieu les obsèques de Mme, Joseph d'Alberti de Cadenet,
femme du sympathique comptable des usines
do Korisole. Six petits enfants partagent cette
rude épreuve. Nous as>urons M Joseph de
Cadenet et sa famille de toutes nos condoléances.
Naissance.
— M. et Madame Louis Le
Naour, phaimaclen, à Quimperlé, font part de
la naissance de leur fi>s Louis. Compliments
et vœux.
A r r e s t a t i o n . — Le 20 mars, les gendarmes ont rencontré près de la Plaine, Salaûn
René, 63 ans. marin pêcheur, actuellement
sans profession, natif de Riec »ur Bélon.
N'ayant aucun j apier ni certificat, il a été
mis en état d'arres tation pour vagabondage
SJmplo J P o l i c e .
D.ins on audience du
20 mur.-, le Tnbuiial <io "impie police a pronon
cé l»-8 con damnations suivantes :
Tapage nocturne, 2 ; ivresse publique, 5 ;
abandon de voitures, 1 ; voitures non éclairées,
3 ; bicyclettes sans lumière. 3 ; chien sans collier, i ; divagation d'animaux , 3 ; uriner sur
la voie publique, «.
Bal do la. A l i - C a r ê m e . - Nous rappelons aux membres du l'U.S.Q. qui désireraient
soumissionner pour la buvette lu bal travesti
de la Mi-Carême, que leurs soumissions devront être déposées au siège de la Sociéié,
Café Marion, place des Ecoles, avant mardi
prochain, 8 heures du soir.
— La 2- équipe se déplacera 5 Beuzec. Départ en camionnette à 12 heures, place Nationale
Sont convoqués : Tréguier, L, Royer, J. Daniel, Habrial, R. Daniel, Auffrédou, Mortain,
Savary, Chassetuilier, Jambon, Jean Tréguier.
Locunolé
Rosporden
a S a doigt,
il i e u r montro
la
porte
Concours d'athlétisme et
Festival.
e t leur ruppollo
loa région
do lm plus
— Dimanche 30 mars 1924, au Vélodrome de
élémentaire
politesse...
Voilà le geote
l'Aven, Concours d'Atlétisme et Festival par
prêté à M. Pezeonec, par M. Coffrant. Ce peste
Société, organisé par VBtoile Sportive, avec le
r
a en effet beaucoup d'éléganco. Malhou euseconcours de la Phalanae d'Arvor. de Quimper ;
inent ce n'est pas tout-à-fait cela. Nous somla Jeanne d'Are, de Quimper ; le» Jongleurs et
mes sortis, de la salle, après que M. Pezennec
VAvant-Oarde, de Quimperlé ; l'Hermine Coneut été emporté, par les bras robustes d'un
carnoise et la Jeanne d'Are, de Pont l'Abbé.
A |11 h. l o . - Grand défilé ds toutes les
facteur. Nous sommes sortis, parce que MM.
sociétés. Départ place de la Gare.
Goudo et Goïc, après avoir accordé la parole à
A 13 h. — Départ des sociétés pour le VéloBerthou, le mirent en boite, selon l'expression
diome.
do M. Coffrant en entraînant au-dehors, la
A 13 h. 30. — Concours d'athlétisme.
poignée de garçons de ferme enrégimentés par
Seniors : 100 mètres plat» — 400 mètres —
un jeune pédagogue. Lo prétexteétait de pren1500 mètres — 1000 mètres relai — Sauts et
dre les noms pour la formation du comité
Poids.
socialiste.
Juniors. — 60 mètres plats — 200 mètres —
800 mètres relai — Saut» et poids.
Berthou avait d'ailleurs, avant l'arrivée tarMintmes : 40 mètres plat» — S iuts — Lancer
dive des citoyens, exposé la doctrine démode
la grenade — Traction à la eorde.
cratique, c o m m e au Relecq, dimanche, NarA 16 h.
110 mètres haie — Traction & la
don, Quiniou et Bourgot, devancèrent Balacorde pnur seniors, juniors et minimes — Balnant retardé par une panné d'auto. Les Citolets — Pyramides et mouvements d'ensemble.
yens ayant loué la salle, il était juste que
A 1 7 h. — Charge finale pour lecture du
DOtre ami s'interrompît... mais il eut été plus
palmarès.
juste encorejque les Citoyens entendissent sa
300 athlètes — 150 musiciens.
réplique.
Prix des places : Tribunes, 4 fr. ; Tirages,
3 fr.; Pelouse, 2 fr.
Quant au rôle de M. Péz*>nnec dans cette
Avec un tel piogramme, si le temps veut
histoire, elle est assez comique, pour qu'il ne
bien se mettre de la partie, nous verrons ce
s'en vante guère. A qui fera-t-on croire que,
Jour là grande foule & Rosporden. Le public
dans le groupe des premiers arrivants, ce
pourra en effet voir un 110 mètres haies avec
boucher-restaurateur n'ait reconnu son ami
20 à 25 partants dans ebaqua catégorie. Les
Le Berre et M- Fournis, à qui, i! eut sans doute
tractions à la corde et les autres épreuves se
à Uaire...Est-ce la première fois que le Cidisputeront également avec un nombre très
élevé des gagés, aussi le Comité aura de grosses
toyen-bistro nous rencontrait ? Oserait-il
difficultés pour obtenir un classement parfait
l'assurer ?
mais nous savon» à l'avance que cela n'est pas
N'avait-il pas plutôt la berluo ? Peut-être, et
au-dessus de ses forces.
sa voix plus couverte que jamais, lo donnerait à croire, étalt-il souffrant ? Le vrai est
qu'il se rendit compte, de façon suffisante,
que sa salle étant louée pour une réunion publique et contradictoire, ceux qui y venaient
étaient qualifiés pour la commencer. Cet hôte
étrange ne tarda pas d'ailleurs à y porter !e
Chambre
trouble, interrompant à tout bout de champ,
La Chambre a adopté, parmi une série de
sans essayer de comprendre. Il se retrouva
projets de loi d'intérêt local, celui qui tend à
dans son élément, lorsque Le Goïo l'eut salué
autori>er dans le département du Finistère la
d'un « Bonjour Citoyen ! » do la plus pure traconstruction de deux ponts, l'un sur la rivière
dition révolutionnaire. Il écouta le prône de j La Pensé, l'autre sur la rivière l'Klorn, destiLe Goïc et le sermon de Goude, sans broncher
nés respectivement à permettre le passage du
mais, ce prêche terminé « son feu devint plus
chemin de grande communication numéro 58,
ardeut » poétise VEcho ».
de St-Pol-de-Léon à Taulé et du chemin de
La présence des brestois l'autorisait maintegrande communication numéro 33, de Brest à
nant à;nc plus feindre de méconnaître celui qui
Sizun
« tant de fois lui fit les honneurs de sa feuille o
— Vendredi et samedi, la Chambre a voté
et. de sa •> sacrée plume » et les lui fera encore,
le projet réprimant la hausse illicite.
s'il plait à Dieu I M Pezennec, était en pleine
Voici quel est le texte modifiant l'article 419.
ébullition, quand mué en colis postal, il fut
Tous ceux : !• qui par des faits faux ou calomenvoyé se a distanner » dans son cabaret,
nieux, semés sciemment dans le public par
ainM que nous le disions au début. Tels sont
des offres Jetés sur le marché à dessein de
les faits n'en déplaise à Camille !
L. B
troubler les cours par des sur-offres faites
aux prix que demandent les vendeurs euxmêmes, par des voies ou moyens frauduleux
Tréméven
quelconque; 2* ou ceux qui agissant individuelLa rage,
— Lundi, une truie, mère de
lement ou par réunion ou coalition auront
onze petits cochnns appartenant à M. Riou,
exercé ou tenté d'exercer sur le marché une
cantonnier, au Moulin d'Argent, a été prise,
action dans le but de se proourer un gain qui
soudainement, étant en liberté, d'un a-cès de
ne serait pas le résultat du jeu naturel de
rage. Elle partit à travers champs et ce ne fut
l'offre ot de la demande, seront punis d'un
emprisonnement de deux mois à deux ans et
qu'après une poursuite effrénée, qu'on parune amende de 8.000 à 100 000 francs. Le trivint à l'enfermer, à <a nuit, dans sa soue.
bunal pourra de plus prononcer contre les
Dans ses accès de rage, la pauvre bête mit en
coupables la peine de l'interdiction de séjour
pièce, des sacs de semence, qu'elle trouva sur
pour 2 ans au moins et 5 ans au plus.
son chemin, et se serait même attaquée aux
personnes, si on ne se fut mis à l'abri. Le vé— M. Fabry, rapporteur du projet sur l'orga| térinaire, M. Lanoien, ayant été appelé, dia- nisation de l'armée, a lu son rapport à la
' gnostiqua la rage et ordonna d'abattre la truie,
Chambre, le mardi 18 courant Eu voici les
ce qui fut f&it.
prinoipaux traits : ai divisions ; t6 corps d'arUne vache achetée par M Son, de Be g-armée ; 20 régions démobilisation; utilisation
Roz, à M. L . . . de Log Ivy, vendredi dernier,
sans fanion, des troupes coloniales. Le rappora donné également des signes non équivoques
teur ainsi que M. Maginot, miaistre de b î
de la terrible mala lle.
guerre, insistent pour la discussion immédiate,
la tâcha étant urgente, car l'Allemagne cultive
l'idée de Revanche. Naturellement le socialiste
Boncour critique l'organisme nouveau et déclare qu'il ne votera pas le passage à la discussion des articles. Ces dispositions sont ,votées
DIMANCHE 3 0 MARS COURANT.
le mercredi.
Salle Louis M0NCHIC0URT, BAL
DU
— Le nombre des députés est ramené de
LA MI
CAREME
à grand o r c h e s t r a
626 à 584. En Bretagne, seules les Côtes-dup a r la M u s i q u e S y m p h o n i q u e d e L o n e n f ,
Nord subissent une modification : elles n'auraient plus que 8 députés au lieu de 9.
violons.
PARLEMENT
Ville de Bannalec
OUVERTURE A 30 HEURES
NOTA.
S e a a c » r e c r é a t i v e . — Les Quimperlois
apprendront avec p aisir que le Comité de
l'U.S Q. vient de décider l organisation p r o chaine d'une séance récréative. Le succès des
seancos précédentes, dû à une boune organisation et au talent des artistes de la Société,
est déjà un sûr garant do réus-ite pour l'U.S.Q.
qui, cette fois-ci, veut encore se surpasser en
présentant au public un programme minutieusement établi. Nous reviendrons d'ailleurs
prochainement sur eu sujut.
Chronique
Sportive.
— U. S. Quimperloise {h et lîeuzfc-Snorts
(1) font
match
nul 0 à U. — Quoique j o u . nt avec plusieurs
reuipluç ,nts VU. S. Q. domine légèrement en
1" mi temps.
A la reprise, l'i/. S. Q ne joue plus qu'à dix
uu joueur blessé ayant quitté le terrain. Deux
au res joueurs sont blessés dans lu ligne d avunts. Le ligne d'attaque devenant trop faible
p o u r e pé er marquer, «es Quimper.oi. ubaudouneui iolleusive pour *e maintenir sur une
M. ColFraut rrgrulie que noua ayions cru dedéfensive serrée Beuzec attaque à fond et
voir nous abstenir. Nous avons sur les réubombarde Qulmperié pendant toute eette
nions prétendument, contradictoires, notre
ml-temps rnuis la défense Quimpurloise est
façon de voir. Telles qu'où ies organisa, à la
bouuts et Roger, Le Goff et Le baron se tirent
m o d e de Brest, elles ne sont que des attrapeadmirablement de toutes les passes critiques.
nigaud, où ii ne s'échange guère que des inLa tlu est .-îtTlée sur le match nul.
jures personnelles, et la contradiction n'y
Lu défende Qulmperioise, produisit une
est que de l'obstruction. Les paroles, d'ailgrosse impression sur les spectateurs, notamleurs, «'envolent et les éorlte restent. A près
ment le nouveuu garde but Le Baron qui pour
de 50 ans, j'ui assiste & pas mal du réunions
ses débuts dans l'équipé fit une partie magnlpubliques, et j ' y ai j o u é mou r ô l e . . . Jo n'ai
ilque, ne commettant aucune faute et opérant
jamais vu qu il en soit sorti guère autre chose
de nombreux arrêts difficiles.
que du d é s o r d r e . . . A mon âge, mieux vaut «
Uuernec et Guégaiu fournirent un travail
assister de son lit » c o m m e dit M. Colirant.
ctliuace dans la ligne de demis. Avant que la
Daus le sommeil la plume s'aiguise, et il n'est
ligne d'avants ne fut démantibulée, Mauduit,
pas pour la mienne, de joio comparable, &
Bietrl et Moc*cr formèrent une triplette très
celle de pratiquer, au matin, quelque bonne
dangereuse, qui avec un peu de chance aurait
pouctlon dans le ballon gonllo de ia Défense
dû murquer eu 1" mi-temps.
laïque.
L stru liés intéressuut de revoir ces deux
Kl puisque nous voici yur le ohapitre des
équipes aux prises, dimanche prochain à Parcréunions publiques, que diront les électeurs
Rliu.
d'un Louédec, de le voir pxôtcr l'autorité de
Beuzec-Sports (2; bat U. S. Q. (t, par 3 buts à 0.
son nom, aux théories du niveilerneut social
U. S. Q. (», et E. r. S.
font matcn nui.
préoonise par ses hûles l Comment, c'est le
U. i>. (J.
contr* Heuzec Sports i / — Cette
m i m e Louédec, ami Uu certains gros a p i c u l rencontre ser.i pour ce» deux équipas la 4' de
teurs, bourgeois, propriétaire et rentier, gui
la saison, i .hucune d'elle compte à I heure ncmet ia maiu dans ia main u'hommes dont le
' tueiie une victoire à sou actif et dimunche derrôvo est d'égaliser les fortunes et de socialiser
nier A Beuzec ,e résultat de la paitle iut nul,
la Nation ? Si la place do quelqu'un n'est pas
i aucune équipe n ayant réussi ùi murquer. Les
dans une tulle rouniou publique, avec de luis
; deux équipes sont de valeur sensiblement
alliés, c'est bien coile de ,vl Lu Louedec. Mai*
égaie et toutes deux animées du même désir
quelles'boutes ne boirau-il pas pour être déde va ncie, nous prévoyon donc à Parc Rnu.
pute, pour pouvoir dire : « Je suis candidat »?
pour diinuiiche prochain, uue des parties les
plus intéressantes de. lu saison.
£« compagnon
d ' a r n u do M
Ca~
Sont convoqués : Euzé at, Mauduit, Ropert,
tàramo,
— * Pour Querrltn et pour
SuintOr voeu, Toultuu, uut&uia, Le Querace, QouJ f t f f i w faisionj la ¡turolv à {tû/fi
iwwpm*
s!«0i l<t ttoff, Ro(«r> U tiaron,
Le chien-loup prit la fnits et Mlle Ben ne
put remarquer s'il avait nn collier. Quant à
l'autre chien que l'on put attacher dans le
poulailler, il n'en avait i a i .
Mils Fornier estime sea préjudice & 168 fr.
La gendarmerie s ouvert une enquête pour
retrouver les propriétaires des ehlena.
partir
band
de
—
On
li
dansera
heures,
l'après
midi,
avec un piano
à
Jazz-
nouveau.
l'onl-Aven
üfaarais
ûla. — Le 20 mars, vers 20 heures, Mme veuve Le Bot, 65 ans, journalière,
demeurant place de la Mairie, rentrait chez
elle. Son fils Louis, âgé de 28 ans, qui était
uu peu pris de boisson, lui chercha querelle.
Comme elle ne répondait pas, il lui donna
une gilUc, puis lui porta p usieurs coups de
poing sur la tête et à l'épaule droite, ainsi
que plusieurs coups de pied sur différentes
parties du corps, notamment à la jambe
droite, p j l s la saisissant par le cou, U essaya de 1 étrangler.
Mme But put se dégager et s'enfuir, mais
elle dut passer la nuil dehors.
Interrogé, Louis Bot, qui e^t marin da commerce. et a déjà une condamnation à un mois
de prison pour coups et ble-sures, avoue
avoir reproché à sa mère d'être ce soir-là en
état J'ivresse, mais nia l'avoir frappée. L'enquête se poursuit.
PIANOS -
MUSIQUE — INSTRUMENTS
Mairott Fondit «n
tS6o
G. OLLIVAUX
FACTEUR
BX-ACCOHOEDH
DE
DE
PIANOS
LA
MAISON
4 , Cours de l a Bôve
LOKIËNT
Accords — Réparations
ABONNEMENT
A
LA
P L U YK<
— Echange
LECTURE
MUSICALE
TELEPHONE
—
Vingt-oing
1
IV'évez
laptns
sont
tnés
4-21
par
deux ohxoxtw. — Le 14 mars, vers 17 heures,
M.le Anna lien, domestique chez Mlle Fornier, propriétaire à Kerunruu. s'apprêtait &
soigner les poules et les lapins, lor»qu°en ouvrant la porte du pou ailler-clapier, situé à
une centaine de mètres de ia maison d'hubitution, elle constata la présence d un chienloup. d'un chleu berger griffon, et s'ape^ut
que tous les lapin», ru o o m b r » «la ¡11, étalent
tais.
jusqu'à 10 fr.; au-dessus, majoration de 0 fr. 10
par b fr. ou fraction de 5 fr.
Automobiles. — L'impôt est remanié. II sera
de 36 fr. ou 48 fr. par cheval vapeur selon que
les voitures seront à deux places ou & plut d e
deux places.
Pour les sidecars, l'impôt sera de SQ fr. et
à 120 fr. pour les cycles-cars.
La taxe ainsi conçue sera simplifiée, tout en
étant augmentée de 20 0/0 environ.
Tabaos. — Le prix des tabacs est porté à
37 fr. 50 le kilo pour le tabac ordinaire. Il a été
entendu que le paquet de tabac gris ne sera
pas vendu plus cher que 1 fr. 25.
Par décret, le prix des cigares, cigarettes et
tabac de luxe sera élevé.
Le prix du tabac à priser est porté à 26 fr.
le kilo.
Ohlflre d'affairer — Le double décime portera sur la taxe du chiffre d'affaires, mais 11 ne
sera exigible des redevables appelés à bénéficier du forfait aux termes des dispositions du
projet de loi modifiant le régime fiscal applicable au petit commerce et à la petite industrie qu'après la promulgation de ladite loi.
Fonde de oommeroe, navlree. — Les ventes
ou cessions de fonds de commerce devront
être enregistrées.
Les ventes de navires sont réglementées de
façon à éviter les fraudes fiscales.
Les insuffisances constatées en matière d'évaluations immobilières donneront lieu k expertise.
Ohèques. — Les chèques ne pourront être
tirés que sur un banquier ou agent de change
ou caissier du Trésor ayant provision préalable.
Paiement de coupons. — Les établissements
bancaires ne pourront payer de coupons que
s'ils possèdent une autorisation du ministre
des Finances.
Le bordereau de coupons. — Les banques
ne paieront plus de coupons sans production
d'un bordereau portant le nom et l'adresse du
bénéficiaire.
Ces bordereaux seront classés dans les banques, où les agents du fisc pourront les c o n sulter.
Timbre» poste. — Lettres et paquets clos
maintenus à 0 fr. 25, cartes postales ordinaires, 0 fr. 15, cartes postales ordinaires avec
cinq mots, 0 fr. 10.
Facture», 0 fr. 20; imprimés (départ en
nombre), 0 fr. 94 ; imprimés urgents, 0 fr. 05 ;
droit de recommandation, 0 fr. 50 ; lettres
adressées à l'étranger, 0 j r . Ii ; doublement
des taxes pour les expéditions de j o u r n a u x ;
correspondance pneumatique, 0 fr. 75.
Téléphones. — La conversation taxée sera
établie sur tous les réseaux. La taxe sera
de 0 fr. 15 par communication pour les abonnés et de 0 fr. 25 pour les non-abonnés.
L'abonnement sera de 150 francs pour les
petits réseaux, de 200 francs pour les réseaux
de plus de 2 000 abonnés, de 200 francs pour
le réseau de Paris.
Un minimum de perception sera exigé. Il
sera de 500, de 1.000 ou de 2.000 communications. suivant l'importance du réseau.
Chemins de fer. — Les C 1 " ayant modifié
leurs tarifs l'impôt du double décime séjour
sur ces tarifs.
{A suivreJ.
t
REMERCIEMENTS
Les Familles de Cadenet, Blandin, Lelièvre, Farinian, Duvivier, Rousseau, Rioland et toute
la famille remercient bien sin-
c è r e m e n t les p e r s o n n e s
assisté aux o b s è q u e s d e
1 Al umettes communes en bois soufrées
1.000 fr. soit 0 fr. 0 j par 50 allumettes.
2 Allumettes tisons 3.2U0 fr. soit un peu
plus de 0 fr 15 par 50 allumettes.
3- Allumettes en cire de plus do 40 » / • de
longueur, 3.500 fr soit 0 fr. 15 et demi par 50
allumettes.
4- Autres allumettes 200 fr. soit 0 fr. 10 par
50 allumettes.
Le prix des allumottes no sera toutefois pas
augmenté.
Mardi et mercredi continuation des projets
fiscaux votés par 151 voix contre 23. Nos lecteurs sont priés de se reporter au résumé que
nous insérons ci-dessous, de oes mesures nouvelles.
Le» mesures
fiscales.
— Voioi le résume des plus importantes de ces mesures
Double déolme. — Seront exemptés de cette
taxe les taxes sur les poids et mesures, les
timbres de quittances et les droits sur les vins,
les cidres, les bières et les poirés, les droits
do douano, les impôts sur le sel, le sucre, la
chicorée et les cales.
Lo droit de timbre. — Il sera perçu sur les
affiches un uroit allant de 0 fr. 15 à 0 fr. 60,
scion la dimension. Au delà de 120 décimètres
carres, lo droit sera augmenté de 0 fr. 30.
Le droit do timbre sur les chèques est fixé
à 0 fr. 20. Pour les lettres de change, billets
à or ire, effets de commerce, etc., le droit
sara de 0 fr. 10 pour 100 francs.
Le droit do timbre des colis postaux est
poité à 0 fr. 15 et 0 fr. 25 Celui des bulletins
de bagages est porte ù 0 f i . 25.
Usa amendes. — Le « principal » des amondes pennies sera augmenié de 0 fr. 30.
8péolalltéa pharmaceutiques. — Majoration
de c fr. 05 au-dessous de 2 l'r., de 0 Ir. 10 d t
S Çr, à 5 ir.; t e t) (r. 15
t îr.» « • Q (r. »
ont
Madame Josiph de CADENET
Née Vlotolre BLANDIN
d é c é d é e à Q u i m p e r l é , le M e r c r e d i
19 Mars 1924, d a n s s a 36° a n n é e ,
munie des Sacrements de l'Eglise.
Ainsi q u e c e l l e s q u i i e u r o n t témoigné leur sympathie en cette
douloureuse circonstance.
Sénat
Dans sa séance de samedi, le Sénat, malgré
l'avis contraire de la commission vote le
double déoime et l'augmentation du prix des
tabacs une majoration des droits sur le timbre, sur les autos, sur les suojessions et m u tations, etc., etc. Le régime des décrets lois est
également insUtué en dépit des protestations
de M. de Jouvenul.etRené Renoult. Le général
Hirschauer, député d'Alsaoe insiste sur le
caractère provisoire de ces mesures. Dimanche, après-midi, le Sénat vote l'abrogation
du monopole des allumettes. L'art. 419 du
C. P. s'appliquera à ceux qui tenteraient de
constituer au profit d'industries privees un m o nopole de fait national ou régional. Le droit à
percevoir par l'Etat sur les allumettes fabriquées ou importées est de, par millions d'allumettes consommées :
qui
De Profundis !...
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REMERCIEMENTS
M. TANGUY A ses Enfants
r e m e r c i e n t bien s i n c è r e m e n t
les
p e r s o n n e s qui ont assisté au Service
a n n i v e r s a i r e , c é l é b r é le M e r c r e d i
9 Mars 1923, p o u r le r e p o s d e l ' â m e d e
Madame François TANGUY
Née Marie-Anne LE SAOUT
décédée
1923.
à S a i n t - N i c o l a s le 20 Mars
De Profundis !...
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du 21 MARS
1924. —
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b o u c h e r i e , le k i l o , 3.50 à 0.00 ; v a c h e d e
b o u c h e r i e , 2.50 à 0.00 ; v a o h e s l a i t i è r e s ,
500 à 1.100 ; g é n i s s e s et v a c h e s p l e i n e s ,
600 à 1.600; p o r c , le k i l o , 5.30 à 6.40 :
m o u t o n , 3.40 à 3,50 ; v e a u , 3.90 à 4.00 ;
f r o m e n t , l e s 100 kil. 95 à 97 ; s e i g l e , 78 &
80 : o r g e , 88 à 90 ; s a r r a s i n , 88 à 90 ;
a v o i n e , 68 à 70 ; p o m m e s d e t e r r e , l e s
100 kil. 62 à 61 ; f o i n , les 500 kil. 160 à 170 ;
paille, 110 à 120 ; s o n , les 100 kil. en g r o s ,
65 ; au détail, 75 ; f a r i n e d u p a y s , 135
à 137 ; d e l ' e x t e r i e u r , 138 à 140 ; b e u r r o ,
la livre, salé, 6.00 à 6.50 ; d o u x , 5,00 à
5.50 ; oeuis, la d o u z a i n e , 3.00 à 3.25 ; p o u lets, la s o u p l e , v i e u x , 20 à 25 ; j e u n e s ,
12 à 15 ; o i d r e p u r j u s , 180 à 200 ; o r d i n a i r e ,
e r d i g a i r e , J40 h 150.
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B i c y c l e t t e d ' e n f a n t ! Au midi une ligne de 24 m. 60 en Pour plus amples renseignements, Etude de »1« I V u n de P o u f l l l y , A I T T f f c Bayard - Clément,
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des
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Pont-Aven
(Finistère)
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v
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bon état. S'adresser boruure de la route départemen
i bonne marche, conviendrait égaledresser à M9 BOT, avoué poursuitaie.
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au Journal.
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Au couchant, 20 mètres le long
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des droits de M. Emmanuel Le Gall.
Quimperlé, le 13 mars 1924.
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4 MARS 1924
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ligne passant par l'affleurement
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cuisinière. Références
accô3 de la partie haute à la partie
à PONT-AVEU, en l'étude
exigées. S'adresser à Mme Corbierre,
C O M M U N E DE LOCUNOLÉ
basse de ce lot.
17, rue Savary.
fixée par
le Tribunal
A
Adjudication Volontaire
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DEUXIEME LOT
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de haute futaie, mesurant 19 m. de
longueur au côté oouohant sur le
premier lot sus-désigné, 25 m, an
midi en bordure de la grand'route,
S4 mètres au nord le long du terrain de la Compagnie départementale de Chemins de Fer et 17 m. 5i»
au levant sur le 3- lot ci-après.
Ci-tte parcelle fait partie du n° 97
dite section unique et est d'une
contenance approximative de 447
mètr» s carrés 1'? décimètres carrés.
fixén par
le Tribunal
?
*
9
g
4.500 fr.
Mise à prix
TROISIEME
LOT
AU levant et misant suite au 2- lot,
u u e l ' u n - e l l e d e t e n e en nature
de jardin et pâture, mesurant 47m80
Au midi, sur la grand'route, 46roi0.
Au nord, sur terrain appartenant à
la Compagnie des Chemins de Fer
du Finistère, 17®5u. Au couchant
sur le 2' lot oi-devant désigné et
I5m50 au levant sur le 4« lot.
Cette paroelle de terre fait partie
du n- 97 p, dite seclion unique, et
est d'une contenance approximative
de 776 mètres carrés 50.
«
«
sft.
a
Miss à prix
L E SAMEDI 5 A V R I L
Au levant du S" lot et y faisant
suite, u n e P a r c e l l e d e t e r r e en
nature de jardin ayant 12 m. 5l> au
midi sur la grand'route, !0 m. 50 au
i nord sur le terrain de la Compagnie
•de» Chemins de Fer departemen
; taux du Finistère, 15 m. 50 au oou! chant sur le S'lot ci devant designé
Etudes de M* E m BOT, avoué à et 14 m.LO au levant sur terrain de
Quimperlé. rue Savory, n° 20. et pendant de la propriréte DUON.
de M» VEW
DE POIVF1LLY, , Cette parcelle de terre f«it partie
notaire à Pont-Aven.
du n- 97,
dite seotion unique
j e t est d'une contenanee d'environ
' 247 mètres carres 50.
Mise à prix le Tribunal 1.200 fr.
d'Immeubles
Sis en la commune de Riewiir-Bélon
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Aû "A. — Il existe déjà de nomlot seront reunit- et remis en vente sis à y U I M l ' E R . rue de Concar- breux bretons installés dans la
en un seul lot sur une mise A prix neau, n° 3, à proximité de la gare. contrée.
& 10 heures Ha matin
l'ormee de la réunion des prix d'adPouf tous renseignements, s'aS'adresser à M* THORE, notaire à
En l'éluda >1 pir la ministère de r PEAU de POUFILLY ludications des deux lots ou encore
dresser
à
M*
Manière.
Brezolles.
sur uns mise a prix formée de la
notaire à Pont-Awen
reunion du prix d un lot adjugé et
de la mise * prix de l'autre ou sur
une mise h prix formes de la réunion des deux mises à prix.
Ensuite 1< s troisième et quatrième
lots seront réunis et remis en vente
Situés en la ville de Pont- dan» les mêmes conditions que ci
Aven, route de Quim- dessus.
Knfln les quatre lots sero t réunis
perlé, près la gare de t remis en vente sn un seul lot
Mécanicien
toujours dans les mêmes conditions
Pont-Aven.
que oi dessus, les enchères proviBoulevard de la Gare, Q U I M P E R L É (Téléphone 36)
soires ne devenant définitives qu'à
EN QUATRE LOTS
défaut d'ei chères sur la reunion.
CKTTE VENTE est pour.-uivie
eu • xecution d un jugem> nt du Ti ibunHl civil d<- Quimperle, en date
1er Lot : 18.000 Fr.
iu 14 novembre ¡UW, enregistre et
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i lie, i end u contradiouii ement
2" Lot : 4.500 Fr.
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V E R M I L L A R D , indus nel, son
LE MOINS CHER - LE MIEUX CONSTRUIT
4' Lot : 1.200 Fr. Jules
mari qui l'assiste et l'autorise, deensemble au Passage, en
(Clause ds réunion des lots) meurant
a commune de Lanriec.
Demandeurs ayant pour avoué
Il sera aux lieu, jour et heure sus M* Em. BOT, avec é eotion de domiindiqués prooédé èi l'adjudioatioti oile en son étude, sise rue Savary
aux plus offrant« et derniers enché- n- 20fcQuimperlé.
risseurs des immeubles dont la déBt * 1- Mme Léonie CHABERT,
signation suit :
institutrioe, epouse BOUS l'assis- j
DÉSIGNATION :
tanoe et l'autorité de M. Pierre LE
Département du Fini* 1ère.
MEUR, instituteur avec lequel elle •
demeure a Brest, rue de la Mairie!
Arrondissement de Quimp'rlé.
!
Canton et Commun* de l'ont-Aven n- 452- M.Pierre LE MEUR, instituteur,
Route de Quimperlé.
demeurant h Brest, 45, rue do la
Près la q*rt de Pont Aven.
Maine, en nom p rsonnel et pour
assister et autoriser Mme Leonie
PREMIER LOT
CHABERT. sa femme.
j
Défendeurs ayant M* PITON pour i
Art. l , r . — U n e M a i s o n construite en pierres et couverte en tul avoué, aveo élection de domicile » n
le*, élevée sur terre plein de r e a son étude, siae rue ds Quimper,
n- 12, à Quimperlé.
déchaussée, étage et greniei.
Art. 2. — En appentis, au couOutre les c a u s a s et conditions
oh&nt bout du midi de cette maison, insérées au cahier des chargea
un« C a v » ou Remise ouvrant par dressé poui parvenir à la veme et
une porte sur la rue.
déposé en l'etude de M* PEaN DE
Art. 3. — A l'angle nord-est de PONFILLY, notaire à Pont Avm, où
ladite maison un H Aliment de cons Loute personne pi-ut en prendre
truotion légère à usage de cuisina oommunioation, les immeubles oides&us désignés seront vendus en
et de décharge.
Art. 4. — Au levant et nord de quatre lots, tels qu'ils sont décrits
083 bâtiments, u n e P a r c e l l e de plus haut, aveo clause de reunion
t e r r e sous jardin et p&ture sur la ainsi qu'il vient d'être expliqué, aux
plus offrants et derniers enchérisquelle existe un lavoir.
L'ensemble de oe lot figuré au ca- seurs, en l'étude et par le m nisdastre sous le numéro 07 p. de la tère de M* PEAN DE PONFILLY,
section unique,est d'une contenance notaire à Pont Aven, le J e u d i
approximative de î>32 mètres carrés 1 0 Avril 1 0 2 4 , h 10 heures du
35 déoimètre3 carrés déterminee matin, sur les Mis®« à Prix olaprès t
par los mesures suivanto :
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'"lit- Sa voix était enrouée, souvent éteinte.
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Paatlllea D u p a y r o u x , puis définitivement Riiérie
(CJiPanfe) était atteint d'une toux violento e>
rebello suivie de crachats, depuis i913. I.es P i u
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vertures dd laine a Quimper é, au
XVIIIe Siècle.
Quimperlé, comme la plunarl des chefslieux de département
et
d'arrondissement,
posside une société d'agriculture depuis plus
de cinquante ans. Sait-on, par exemple, que
la première société d'agriculture
fondée en
France, fut celle de Bretagne, au milieu du
XVIII* siècle ? Celà est pourtant
parfaite
ment exact et c'est un honneur pour
noire
pays d'avoir devancé les autres
provinces
dans celte voie.
Atxx Etats de Bretagne qui s'ouvrirent
à
Rennes, en décembre 1756, la Commission de
Commerce reçut communication
par le député de Nantes, Jean-Gabriel
Monlaudouin,
sieur de la Touche, armateur, d'un mémoire
rédigé par l'Abbé de Ponlual, du diocèse de
Vannes, sur l'agriculture
les arts et le commerce en Bretagne.
L'auteur du mémoire qui avait eu pour
collaborateur,
Gellé de Prémion, Maire de
Nantes, proposait, à la Commission,
l'établissement d'une société qui ferait l'élude des
trois objets mentionnés dans son rapport. Ce
projet reçut Vapprobalion
de Jacques de
Gournay, de Saint-Malo,
Intendant du Commerce ; les Etats prièrent le rapporteur
de
la Commission de rédiger un règlement et de
fournir une liste d'associés.
Le règlement fut bientôt prêt ; toute l'économie du projet tenait dans quatorze
articles qui furent adoptés par les Etals, de
même que la liste des associés. La
Société
d'Agriculture de Bretagne était formée ; elle
acquit une existence officielle par
l'approbation du 20 mars 1757.
La société se composait
de six
membres
par chaque évèché choisis
indifféremment
dans la noblesse, le clergé ou le
tiers-état.
Les mémoires envoyés par les associés ou
mime par des non associés, devaient
parvenir avant la tenue des Etals au bureau central, à Rennes, chargé de les centraliser
et
de les transcrire,
soit in-exlenso,
soit par
extrait sur des registres ad-hoc. Ces registres devaient ¿Ire présentés aux Etals qui
décidaient leur impression et statuaient
sur
les mesures proposées par les auteurs de
mémoires.
« La société provoquait
toute mesure de
protection et d'encouragement
à
l'agriculture, au commerce et aut arts. C'est sur ses
propositions
que les Etals accordaient
des
primes et gratifications
; qu'ils
sollicitaient
et obtenaient
des abaissements
de taxes ;
qu'ils faisaient venir des graines pour les
distribuer à bas prix ou même
gratuitement,
et des animaux reproducteurs
; qu'ils faisaient expérimenter les méthodes
nouvelles
et s'efforçaient de les propager ; qu'ils essayaient des plantations d'arbres peu communs dans la province et dont
l'acclimation
et la culture auraient été utiles : par
exemple, ils entretenaient
une pépinière
de mûriers ; il y eut mime dans l'enceinte de l'arsenal de Lorient un véritable jardin d'acolimatation où se cultivaient des plantes
exotiques.
Le premier bulletin de la nouvelle
Société
parut en 1761 sous le nom du « Corps d'obs e r v a t i o n s de !a Sooiété d'agriculture, de
Commerce et d e s Arts établie par les Etats
de Bretagne ». Il fut imprimé par Jacques
Vatar, à Rennes, aux frais des Etals.
Vers 1755, un marchand de
Quimperlé,
Le Goff de Kermorvan,
établit dans cette
ville une petite manufacture
de bure et de
drap de capucin. Ln peu plus tard, sur les
conseils de Pinczon du Sel des Monts, un de
ces genlilhommes
bretons qui ne crurent
point déroger en s'adonnant au commerce,
Le Goff résolut de fabriquer aussi des couvertures de laine et il réussit dans son entreprise, nous affirme Pinczon ( / ) . Ce ne fut
sans doute pas pour longtemps car, dès 1/58,
la manufacture
avait beaucoup
périclité,
si nous en croyons le court article
suivant
extrait du c Corps d'observations ».
« On s'est informé de l'état actuel de la
manufacture
de Quimperlé.
Une personne
qui ne veut pas être nommée, a mandé que
cet établissement
étoit dans le même état
qu'avant la gratification
accordée par la
Province,
c'est-à-dire une ombre de manufacture ; qu'on n'y avoit pas fait une couverture depuisun temps infini; qu'il n'y a ni pauvres ni ouvriers. Sur est avis, on pria un gen(1) Considérations sur le Commerce de Bretagne, p . If (Ct petit volume, imprimé d tiennes,
n'est p a s 4até! la Biogwpblc B i d o n n e , de
fcÇVQT, dit que l'iMhn titdc
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1 4
II
12-
g^iWPiliP»
lilhomme de la province de vérifier les faits. Il
voulut bien se transporter à la
manufacture,
h n'. i>;.,ta ^u'il n'avoit trouvé
d'ouvriers
il aura r »'¿t-ère, y j n ••>••'. i' l i
,u'on lut
ilil cire un des élève- qu•• />•.* Etais ui'uii'- '
ordonné de former ; i/d'c vit ijuuli'n métiers
moulés ct dans un seul une couverture
commencée; qu'on lui montra des
couvertures
fabriquées depuis peu, de très bonne qualité;
que l'approvisionnement
des matières
ne
valoit pas ¡a peine d'en parler, qu'il se réduisait d quatre ou cinq fuseaux;
que les
chaudières pour la teinture avoient
travaillé
deux ou trois fois /¡endint l'automne de
1758; que dans le même temps, il y avoit
deux ou trois ouvriers qui depuis ont quitté
cette fabrique; qu'aujourd'hui,
elle est dépourvue de tout; que le sieur '"rejette
l'élut
de délabrement où se trouve la fabrique sur
son teinturier qui en le quittant, lui avoit
enlevé ses ouvriers.
« La Société croit que le seul moyen de
la ranimer, seroil d'accorder
un encouragement par couverture
fabriquée,
au lieu
de donner des gratifications
».
C'est tout ce que nous savons de celle
affaire. Qu'en advint il par la suite ? L'essai
était certes des plus louables et
méritait
l'intérêt
que lui avait porté la
Société
d'Agriculture
et les Etats de Bretagne, en
lui accordant une gratification et en faisant
entretenir
à ses frais
un
élève-ouvrier.
Quimperlé ne possédait
guère d'usines, en
dehors de quelques médiocres tanneries ; le
développement de la manufacture
du sieur
Le Goff eut procuré du travail à un quantité
de pauvres gens qui là, comme
ailleurs
« naissaient d a n s la m i s è r e , y vivaient
par habitude et y mourai nt par nécess i t é » comme écrivait en termes
saisissants,
l'estimable Pinczon du Sel qui, mieux que
personne, connaissait
l'état lamentable
de
la population
inférieure de sa province et
y
compatissait.
Daniel
BERNARD
AlaCai889 d'Epargne de Q u i m perlé les opérations sont simples
et rapides.
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n
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mer
O Tout q u i pu «et t o u t e s vos n n i t s b l a n c h e s
A i t f t r d e r i r a t u fond des lita-cloi,
Q u a n d le vent d u l o i r h u r l e d a n a lea b r a n c h e s
Et do l a m a i s o n fait c r a q u e r lea p l a n c h e s
Et q u e l ' o n e n t e n d la r u m e u r d e i flou
V o u s t o u s q u i r € f e i d u r a n t TOI n u i t s b l a n c h e » ,
P r i a i le l i o n Dieu p o u r les m a t d o l s
I l s sont s e u l s 1fitb a s aeula d a n s la t e u p C t e ,
i . u t t a n i s u n s f.iibln c o n t r a les d a n g e r s
Le ciel est e n d a u i l p a r - d e s B u a leur t i i e
Et l e u r s c r i s d effroi q u e le T i n t r é p â t e
E n u n l o n g <cho Tolenl p a r t a g e s ,
Ils sont s e u l s U - b a i , s e u l s d a n a la t e m p f t t e
D a n s la n u i t o b s c u r e ct f r o i d s , p l o n g e s
L a b a r q u e est f r a g i l e , et la m e r e n r a g e ,
Maia les m a t e l o t s sont r u d e s et f o r t s
Contre U fureur d t 1 affreui orage
Ils luttent s a n . p-rdre un inttant couraga
Mais ils Tout e o t u b r t r , m a l g r é l e u r t efforts
La b a r q u e est t r a g i l a ei la m e r e n l a g e
O chrétiens, priei, pries pour Ici morta I
Ne a o n t - c c p a s IA, TOS p è r e s , TOS f r i r e a ,
Vos « p . u x Taillauts, TOI e n f a n t a c u é r i s
Q u i s e n «ont a l l é s loin, b i e n loiu d e s t e r r e s ,
O u i u o n t pur a i n j u r l r u r a Tielllrs e b a u m i é r e s
(.cura c h a m p s d e gcnfiis et d ' a j o n c t fleuitB V
N e sont-oe p a s l i , TOI p è r o i , fou f r è r e t
Q u i v o u i ont a i m é s et TOUI ont n o m ris t
Ils é t a i e n t p.irti» a v e c l ' e i p é r a n c e
De p t e n e r , b e a u c o u p et d e reTenir
Let a m i s , o u p o r t , 'lisaient : a U u n n e c l i a a c r ! »
Maia Toici t o d a i n , la m e r e u d é m e n c e
Q u i g r o n d a , j a l u u i e , et 1rs tait m o u r i r . .
Et d e les rrTuir p u r d a n i l ' e s p é r a n c e .
D e u x TOUS u'aTet p l u s m ê m e u n s o u T o n i r !
O TOUS q u i p a s s e t t o u t e s TOS n u i t s b l a n c h e s
A r t v e r d e rien d a n s TOS g r a n d i lit» clos,
Q u a n d le v e n t d u soir u u r l e , d a n s les b r a n c h e s
E l d e la m a i s o n fait c r a q u e r les p l a n c h e s
El q u e l'on e n t e n d U r u m e u r d u flots,
V o u s tous q u i rêTM d u r a n t TOI n u i t s b l a n c h e s
f r i t i le Bon Dieu p o u r les a i t e l o l s .
J.-P.
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Sainte Anne d'Auray tç02
D11IU[MAMU. — (Sommaire de Mars I02S),
Labour dldalvc : Loelx Harrieu ; Ur g r d'er
re t ra douezoucu de Zihun.imb : Dihunamb;
Hclt uuaa d'cln ; Sterulen; Un neuè tmu :
Golvannig ; Ken pen vel ilmeet : M Er Fur :
Treu mat de houiet : Er barneur koh ; lì
Keranna huéharal : Ab Tudi ; Devehan dé ur
liruileli : N. de Voltz; A g'eï hag a zétieu.
Artur Hlcbemout ha Jaau d Ark.
Dalc'hit mat, tud ag er hauton Arkcnaû doh
er daitumaden-men groeït nveitoh get tud
leih o halou a garante-Vro, e languii hou
tadeu koh.
Un alveren 10 blank ; er blead eit Breih
30 r*al ; elt Vre-Frans, À
' skouid ; elt er broleu
ersi 7 llv.
La OalMQ d'Epargne de Quimperlé est un placement sûr.
SON AN NEVEZ-AMZER
Moualc'bilt DOS, pa glevaR da son — 0 ses
A ta* ann ankeo em c'tialon ;
eu «sir vrar a r m o r , d ' a n n a o z —
O n l u a - u u a a c k r e i i ai g r o z .
fettaiez
Daro cl laoneg ar b'euniou — daro
Gwiskel a neTuz ar c'tioajd ;
Ar paidoniou a zo digor : — digor
Deut 'ta, merc'bed, wardoul ho tor.
Aan nrTtx-amzer c'hoar»ezet — flbred,
'Man daou ha daou al lapoused,
Al 'apouse i 0 klask «un aeiz — 0 neiz
'Vel er pardou tud iaouank Breit,
Tomder a n cnT hag he v a m m ' k — j m ï m m i k
' M r a z lie blusken t e n n aa etnik'
Oui nr ganfarded re garo, — garo
Ernigo. D<>ue d'nu miro I
Pa TO kresket n dio'-eikel, - eskel
'N eur gann taraijfont huel ;
Al lapoused 'zo 'la Zoue. — >el me,
'Vel on dalc'riet d am c haranteAnn neTez a m z e r zo joaûz — joauz
Nemed d'ar re k a anlezuZ,
D a r re 'zo pelh-i
a Tikrn Ha g v m t l e l 0 d a o u t k zoken.
biken
Taw da c'houiti-llat. mouali'bik-noz, — bemnoz
N'ou k-n, siouaz ' oui hen gortoz ;
Trac'het e ma n'Te>-amzer, - a - T e r r :
N'enz den ouz tua c'hortoz tr ger
N. QUELUEN
rK\»UCTIO\
CHANSON DU PRINTEMPS
Gentil merle du soir lorsque j'entends ta
chanson chanter, — S'élève l'angoisse
dans
mon cœur ; — Comme un navire sur la mer
dans ht nuit chaque nuit — Je suis, solitaire,
au milieu de la tempête.
Dans la lande ont reparu les fleurs, reparu,
— Let bois se sont rtrêtus de neuf ; — Les
pardons sont ouverts, rouverts ; — Venez donc,
jeunes filles, sur votre porte.
Le printemps est revenu, de bonne heure, —
Deux à deux sont les oiseaux, — Les oiseaux
cherchant un nid, leur nid, — Comme au
pa don les jeunes gens de Breiz.
La chaleur du ciel et celle) de ta petite
mère, la petite mère. - Font éclore de Vœuf le
petit oiseau ; — Contre les garnemeuts trop
crue s, si cruels, — Petits oiseaux, que Dieu
vous protège I
Quand auront poussé leurs deux ailes, leurs
ailes, — En chantant ils s'envoleront là haut ;
— Les oiseaux sont à Dieu, comme
moi-même,
— Comme moi j'appartiens à men amour.
Le printemps
n'est pour ceux
sont séparas à
pourtant lunà
est joyeux, joyeux,
— Si ce
qui aiment :
Pour ceux, qui
jamais, à jamais •— Et voués
l autre...
Cesse de siffler, gentil merle du soir, chaque
soir, — Je ne suis plus, hélas I à attendre
V aimé) ; — Mon printemps a été tranché, avant
le temps : — Il n'y a personne qui m'attende d
la maison.
F ê l e C e l t i q u e . — Tous les anciens pays
Eduetis de S i0ue et Loire, de la Nièvre, el de
Côte d'Or s'apprêtent au mois de mai à fêter
les ancêtres gaulois par la fête du Bel-Tau dite
Gouël Kert chez 'es Bi itouniques.
Au fei. de Beuvron, cité bâtie sur l'ancien
oppidum principal des Edueus, répondront
t-ur les divers sommets, d'autres feux. Les Dij o n n a i - a l l u m e i o u t leur feu au sommât du
Mout Afrique.
Chronique Mutualiste
La Fédération Mutualiste du Travail vient,
de nouveau, de s'élever contre l'ojourneme t
du projet de loi sur lea assurances sociales et
d'en léclamer le vote rapide.
Voici l'ordre du jour qu'elle a adopté à ce
s u j e t : « La Fédération Mutu .liste du Travail,
couilimaiit sts déclarations antéiieures, d'accord avec l'Union des Caisses locales de maa es d Alsace Lorraine, déclare à nouveau
que lu décision de la Chambre des Députés ne
peut que causer une profonde déception à
l'élite laborieuse du pays, insiste auprès du
Gouvernement, de la Commission des Assurances Sociales el du Parlement pour que le
projet de loi revienne en discussion au plus
tôt, les délais nécessaires au Parlement pour
l'étude et le vote de cette institution de sécu«
rité et de solidarité sociales, ainsi que ceux
prévus dans ledit projet pour sa promulgation,
étant amplement sulfisants pour permettre
d'attendre, avant son application, une pérlode iluanclôre mei leure ».
La Fédération nationale de la Mutualité a,
de son cOié, elle, soumis, par l'Intermédiaire
> d». sou Comité exécutif, & la Commission des
| Assurances Sociales et & la Chambre des Dé
t putés. des amendements au projet de loi. Elle
a estimé, en effet, que le texte actuel modifié,
n- 6.b06 contient encore des dispositions nuisibles a u x institutions mutualistes et sans
profit pour l'assurance sociale. Ce texte con
tient, aussi, une disposition nouvelle, non
prévue au projet primitif du gouvernement,
qui rompt l'uulté de l'assurance et écart« es
I principes rigoureux de l'obligation et du précompte en oe qui concerne uns catégorie de
travailleurs et qui a, en outre, pour consé, quçuee, de réduire considérablement la Mutua-
lité dans la plupart des départements et de la
faire disparaître dans les départements
ruraux.
La Fédération nationale de la Mutualité s'est,
en agissant ainsi, conformée à la déclaration
votée, à l'unanimité,
par l'Assemblée plénlère
et finale du 13* Congrès national de la Mutualité, qui a eu lieu, à Lyon, en juin 1923, et
dout ce journal a parlé.
Joseph PELLÉ,
Président de l'Union Mutualiest
du Finistère (à Brest)
Chronique Régionale
C h e m i n s d e f e r d e P a r i s à Orl é a n s . - Avis au public.— L'heure légale
devant subir u n e avance d'une heure,
le 29 mars, c e l t e j o u r n é e prendra fin à
¿3 h e u r e s et celle du 30 mars c o m m e n c e ra i m m é d i a t e m e n t .
Les trains qui devait circuler n o r m a l e m e n t entre 23 et 24 h e u r e s , dans la nuit
de transition, subiront ainsi un retard
d ' e n v r o n une heure et l e u r s correspond a n c e s ne seront pas garanties.
La r a c e b o v i n e d a n s l e F i n i s t è r e .
concurrence sérieuse à la pie«iioire4u « M o i
à celle achetée le samedi précédsaVA-&îflnper.
Dans son ensemble on volt ^jàe" l e P t n i n è r e
a une importance considérable au point detrae
bovin.
L'Etat, la Direction des Services Agricole*
les Sociétés ou Comices font des saerfltatt que
la prospérité de l'élevage jastt8e.ll f ' t n M
Book et contrôle laitier-beurrier.
DESJACQUES P ^ p J t JEflS,
(Bulletin de la S. A. decatronff "
dissement de Lórient>
Ce sont les RAD«MMWw «t** :
L'Impôt sur les iRlftJrf* ;
L'impôt sur les Bénéfices J^ttricoles;
L'impôt sur les Bénéfices C s u b
mereiaux.
P r e m i e r c o n g r è s n a t i o n * ) d'api-»
culture commerciale. Les services
commerciaux de la Compagji^e du
"
fer de Paris à Orléans organisant s
Patronage de M. le Ministre de 1'
«t en collaboration avec les princi;
tés apricoles françaises le Ptemiar >Cotogr«a
National d'Agriculture Commercial.
Ce Congrès présidé par y . Hoauoe, Directeur de l'Agriculture de l'Alsace et 4e la.Lorraine, aura lieu à Paris, Grande $able ¿ a
du Musée Social, 5, rue Las Cases.
S et
0 mai prochain.
' •
Les Apiculteurs sont invités 2 suivra J o
travaux de ce Congrès au cours duqapl Sfront
traitées de très i n t é r e s s a n t e s q u e s t ' i r a l a *
tives au commerces des produits d u i
En outre, MM. les fabricants sont còl
de participation à l'Exposition des
modèles d'embullages pour miels . f ^ r '
aura lieu à l'occasion da cette i
Les demandes d'inscription an Congrès avant
le 25 avril à M. Poher, Ingénieur «tes S e o i c e s
Commerciaux de la Compagnie P. Q . 1 Wlflm
Valhubert à Paris (XIII«).
— Le département du Finistère est classé parmi
les plus f irts producteurs et exportateurs de
bétail.
Les mon'agnes Noires et d'Arrez le partagent
en deux versants. Sur la Manchs, c'est la région très riche du Léon où se fait sentir le
Gulf-Stream. Grâce à une humidité continuelle
et tiède, la culture maraîchère la plus délicate
y réussit. L'espèce chevaline est admirable.
L'espèce bovine est représentée par une race
pie-rouge parfois pie-aubère dite « Armoricaine»
(variété léonarde). On rencontre dans les foires
quelques sujets de la vieille race froment du
Léon et des bovidés très forts, de croisement
Durham. Cetie population bovine représente
un cheptel de grande valeur et les foires du
deuxième mercredi de chaque mois à Landivisiau, du troisième samedi à Landerneau, du
C h a m b r e d e C o m m e r c e d e Qqlnfcdernier lundi à Lesneven sont fréquentées par
p e r . — Exportation des pommes tte terre do
les marchands de tous pays.
primeur, (décret du 6 mar» Ï924J.
On y retrouve des génisses d'élevage, des
Art. 1° Est repportée en ce qui concerne
veaux d'avenir, de«- vaches maigres pour l'enles pommes de terre de primeur exportées ,4*
graissement el. enfin des latiiëres variées.
1er mars au 1« mai, N» 83 du tarif d'entrée, la
La taille oscille euUe 1 m. 20 à 1 m. 40, pardérogation à la prohibition de sortie éditée
fois 1 m. 45 le poids peut atteindre 7 à 800
p*r le décret du 12 Juillet 19IÏ.
kilogs.
Toutefois, des exceptions k cette disposition
Le rendement laitier s'élève de 10 & 20 litres
pourront être autorisées moyennant le paiede |lait.
ment d'un droit de sortie de 10 Q/o ad vaioLa proportion de beurre est telle que 20 ù 23
rem et sous les conditions ci-après, qui pourlitres de lait donnent 1 kg. de beurre.
ront être raodifiiées ultérieurement si besoin
Un Herd Book bien tenu et un réglstre pour
est, par le ministre des finances.
le con rô!e laltier-beuriier donnent des indiNe seront admises à l'exportation, Jusqu'à
cations pour l'achat de reproducteurs et pour
nouvel avis et dans la limite d'un contingent
l'exportation veru l'extérieur.
qui, pour chaque région de production, no
Les arrondissements de Brest et je Morlaix
pourra dépasser la moyenne des exportations
forment le territoire de cette zone si privilédes trois dernières années diminuée de W0&,
giée pou*- la naissance, l'élevage et la vente.
que les pommes de terre de primeurs accomDans le Sud Finistère, l'arrondissement de
pagnées d'un certificat émanant d'un groupeChâteauliu possè le des bovidés moins étoffés,
ment professionnel habilité fc cet. effet par io
moins lourds que ceux du Léon. Les foires de
directeur des services agricoles, du départeChâteaulln fourn ssent du bétail de boucherie
ment siège du groupement.
et di-s laitiè'es de . m. 20 à 1 m. 35, du r< be
Le certificat contiendra la déclaration qae
pie rouge On y rencoutre quelques pie noires
le contingent d'exportation, fixé pour chaque
très laitières beurrières.
région, par le directeur des servi««« agricoles,
Ca'lnix est une région spécialisée depuis
sur tes bases déterminées par le paragraphe
quelqu s années. On y fait l'engraissement in
précédent, n'a pas été dépassé. Ce certificat
ten-if non seulement des bovins du pays, mais
sera revêtu de la signrture du directe« des
même d'animaux des départements voisins et
services agricoles, qui est chargé de contrôler
aussi des sujets Durham-Manceau.
par tous les moyens qu'il jugera ntlles, l'exacAux foires et marchés du samedi, on vient
titude des déclarations.
de très loin faire des acquisitions pour la boucherie, ou pour un engraissement à terminer
Les Conseillers du Commerce Extérieur
dans les régions du Nord.
Jh. ALAVOINE, Em. DEUSCLUSE
Le foyer de Quimper est le foyer réputé le
— Le Président de la Chambre de Complus pur de la race Pie-noire de Cornouaille.
merce de Quimper vient de recevoir la letti«
Pout-l'Abbé, Plonéour, Plogastel, Pouidavld,
suivante en réponse & un télégramme adressé
Pont-Croix sont des centres de naissances et de
par la Chambre de Commerce à IL Poincaré
ventes.
Président du Conseil :
Tous les samedis a Q.iimper mais de préférence le troisième, le champ de foire est garni
Monsieur Le Président,
de bœufs pour la boucherie et d'engraissement
o Très sensible au témoignage <Je confianca
pour d'autres pays.
que la Chambre de Commerce de ! Quimper a
Les venux de boucherie voisinent avec les
bien voulu donner au Gouvernement de la
jeunes génisses d'élevage.
République, le Président du Conseil me charge
Tout ù côté, un lot de laitières offre des su
de vous adresser, pour vous et pour les Memjets de la taille de 1 m. 10 à 1 m. 30 cent., du
bres de cette Assemblée, ses meilleurs remerpoids de 300 à 500 kg. de rendement laitier de
ciements.
10 à 15 litres de lait.
Veuillez agréer. Monsieur le Préfldent, l'asC'est la race pie-noire qui domine dans la
surance de ma considération distinguée s .
Région.
— La procédure des référés en mètiire
ComQuelques cantons font l'engraissement des
merciale. — L'ofliciel du 20 mars 1924 publie
boaufs, Meigven, Fouesnant, Saint-Yvi, Elliant,
la loi constituant la procédure des référés en
Coray, voient accourir les bouchers et les enmatière Commet claie.
graisseurs.
Aux termes de cette loi qui complète l'arti*
Rospordcn, le troisième jeudi de chaque
eie 417 du code de procédure civile.
mois, est le meilleur marché pour trouver ces
« Le Président du Tribuual de Commerce
bœufs de boucherie.
ou le juge qui le remplace pourra être saisi
L'arrondissement de Quimperlé représente
par la voie du référé, dans tons Ifs cas d'urune zone riche et bien cultivée. Le littoral de
gence, à la condition qu'ils rentrent dane la
Coucarueau au Pouldu est fertile et donne des
compétence îles tribunaux de cemmerce.
vaches laitières de taille et de poids élevés.
(( Les articles 807 et 811 dn code de procéScaër et Bannalec très avancés dans le produre civile sont applicables aux référés e a
grès agricole, font l'ougruissement des bœufs
matière commerciale.
que l'on offre au marché du mercredi à BanLe Vice-Président, J h . ALAVOINE
nalec.
Cuisse d ' é p a r g n e do Qulmporié. —
La ville de Quimgerlé possède tous les venIl est rappelé aux Déposants dont l e s
dredis et dans 4 foires fixes, lu réunion de
c o m p t e s atteignaient 5.000 francs a u 31
vente lu plus forte de Bretagne en vaches laid é c e m b r e dernier q u ' i l s doiv nt o b l i g a tières.
toirement retirer l e s intérêts d« l ' a c n é *
Il y a quelques années, la ple-nolre domi1923 avant le 1" Avril.
nait, mais la prospérité de ce grand marché
Les p e r s o n n e s ayant d é p o s é leur l i v r t t â
du vendredi et les exigences spéciales de la
clientèle ont modifié cette composition.
1 à la Caisses d ' é p a r g n e d é QQimpétlé«
La variété pie rouge armoricaine que l'on va I sont en outre i n v i t é e s à l e s r e t i n t lQ
chercher à Cullnc, à Gourln, & Carhais, fait une 1 plus tôt possible.
ninian
Tribunal Correctionnel de OHÎmperlé
' Audience du 20 mars 1994 "
MM
I i
!!'
H
if'in u
MU [ M I ' T I
ORDRE DU JOUR :
1° Formation du Bureau et constitution
de l'Assemblée ;
2- Rapport du Conseil d'Administration
s u r l'Exercice 1923 ;
3- Rapport du Commissaire ;
4- Approbation des c o m p t e s d e l'Exerc i c e 1923 et fixation du dividende ;
5- Renouvellement partiel du Conseil
d Administration ;
6- Nomination d e s Commissaires p o u r
l'Exercice 1924 ;
7- Autorisation à d o n n e r aux A d m i n i s trateurs en v u e des m a r o h é s o u traités à
passer avec la Société, par application d e
l'article 40 d e la loi du 24 juillet 1867
""
Quimperlê. — Vagabondage. — Le Tribunal
renvoie à une autre audience l'affaire Chatriot,
ans, arrêté le matin mCme, pour vagabondage, maïs confirme le mandat d'arrêt.
L e Trévoux. — Vol d'argent. — Cyrille
Malcoate, de Bannalec, a profité d'une absoncp
momentanée d'une de ses tantes, habitant
CasUl-Névr*. pour lui soustraire un billet de
5 fratacs et quelque menue monnaie.
Au moment de son arrestation, il a éxalnment déclaré avoir dérobé une somme rie
32 francs à un de ses amis, François Monphicourt, peintre, avenue de la C.are, il Bannalec.
Le Tribunal le condamne à ii mois de prison
et à 5 ans d'interdiction de séjour dans l'arrondissement.
Scaër. — Vol d'argent. — Yves Lucas,
ENAULT
il M
la voiture universellement appréciée
Pour avoir le droit d'assister à l ' A s s e m blée générale, il faut p o s s é d e r au m o i n s
oinq actions.
Les Actionnaires d e v r o n t d é p o s e r leurs
titres vingt j o u r s au m o i n s avant la date
fixée p o u r ia réunion o u être inscrits
c o m m e propriélaires d e titres n o m i n a t i f s
avant c e délai.
•V»
ans, domestique chez M. Jean Burel, à
Kersao, a dérobé à un de ses cam-srarips,
Yves Salaiin, 19 ans, employé chez M. Sinquin, du mêmé village, une somme de 111 fr.
qu'il a dépensée dans les débits «le SaintGuénolé.
Arrêté quelques jours après. Lucas reconnut
son v o l e t à l'audience s'entend condamner A
A mois de prison. Il a déjà à son actif trois
autres condamnations.
Foires
dm la
Sran'n«
Lundi 3f flvrier. — C'ohars-Fonesnnnt, Lnz,
Lesneven, Plogastel Saint-Germain, Languldic.
Mardi 1» avril 192t. — A-zano, Locronon,
St-Plerre-Quîlblgnon, St-Thégonnec, Tourc'h.
Rostresen.
Mercredi 2. — Bannalec. Daoulas, Launllis,
Le Retecq, Malguéoac, ingulnlel. Rlantcc.
Jenrff 3. — ChSteaulin. La Roche-Maurice,
Meapanl, Pont-Croix, Pont-L'Abbé, Locminé,
Galanhel.
Vendredi h. — Pouldavid, Saiut-Snuvetir,
Plajafltan.
Samedi 5. — Elliant, Saint-Renan, Le Faouct.
11 sera délivré au m o m e n t du d é p ô t
des titres au porteur, une carte n o m i n a tive d'enlrèe à l'Assemblée générale qui
servira de certificat de dépôt.
Quant aux propriétaires d'actions n o minatives, il leur suffira de retirer leur
carte avant la r é u n i o n
Le dépôt des tilres pourra être fait :
1- A la Société Bretonne de Crédits et
de Dépôts, à Brest ; 2 à l'Administration
Centrale, 3, r u e Paul-Beldant, Le Mans.
Le Conseil
La C a i s s e d ' E p a r g n e de Q u i m p e r l ê n e fixe p a s d e délai d e p l a c e m e n t , elle r e m b o u r s e l'argent à
v u e , a u s s i t ô t la d e m a n d e , ! s a n s
f o r m a l i t é s ni r e t e n u e .
MEMBRE DU JUM et HOBS CONCOURS
LA G C E R M c e r t f n e e î radicale de 1a hernie
n «uuiuomi par le port du bandage ne peut
être obtenue au'en adoptant le nouvel appareil sans ressort muni de la merveilleuse
N Û L N T Û ?» nr\ RVI
• •
A
pelote à compres- ^
G
L f_ t S E R_ ' l p l S
sion souple de . . . .
a|)eoia.
<(£utaiperlé
Aetm dm probité.
— Vendredi dernier,
sur le marché, M. Caëric, l'acteur en retraite
trouvait nn portefeuille contenant une somme
de 2.G00 francs, il se mit aussitôt à la recherche dn propriétaire. C'était un cultivateur d'ArMno qal octroya généreusement à notre factenr Ir somme d e . . . . trois francs.
" f 1 ® , d e v P a r l 8 > 44- B' Sébastopol, (anct.
n WA cet appareil, le seul reconnu officiellement par le corps Médical, assure séance
tenante la contention parfaite des hernies les
plus difficiles.
En voici des preuves :
Nous autorisent à publier leur nom :
M LEBOUVIER A , rue de Vire à CondéSur N. (Calvados) hernie guérie.
Mlle J. H1MBERT, chez M. MARY G.
Adjudication des imprimés com-
m u n a u x . — L'adjudication des i m p r i m é s
oommunaux aura lieu à la Mairie, (salle
ordinaire des adjudications), le vendredi
4 avril proohain à 14 heures.
Pour consulter le cahier des charges
s'adresser'^ la Mairie, (Bureau du s é c r é tariat).
Tiens 1 l'imprimeur-libraire Le L o u é deo se décide enfin à agir l é g a l e m e n t . . .
Que non pas ! ceci se passe à~Morlaix : le
sooialiate Châtel n'est pas le radical Le
Louédeo. Ce dernier, s'il est s o n ' c o listier,
apprendra peut-être de lui q u e l q u e s éléments d'équité et d e j u s t i c e .
r
(i'-et-V.) hernies guéries.
M. ROBERT Jean, rue de la Madeleine h La
Chèze (C.-du-N.; hernie guérie.
malades une preuve
ï r ^ ï rr
d'ailleurs par
écrit, M. G L A S E R invite toutes les personne»
atteintes de hernies, efforts, descentes, & lui
rendre visite dans ies villes suivantes où ii
fera gratuitement l'essai de ses appareils.
Allez donc tous de 8 h. à 4 h. à •
L o n e n t , G Avril, Botel de Bretagne'.
Quimperlê, 7 Avril, Hôtel du Lion d'Or et
Voyageurs
donner aux
e4C0V=8ultat'garaDti
Smrriom pharmaceutique.
— Demain,
dimanche, le service pharmaceutique sera
assuré par la Pharmacie LE NAOUR, place
Cainot.
i » M ( a t i M . — Surpris, le 23 mars, place
Nationale, en flagrant! délit de meudieitf, de
vagabondage, et défaut, de carnet anthoropoinetique. Le Bail Pierre. 74 ans, natif de
Lignol (Morbihan), sans résidence ni domicile
tUe, a été mis en état d'arrestation et conduit
& la maison d'arrêt de Quimperlê.
Tréméven
r*gm.
— C'est par erreur quo
1 Union Agricole a parlé d'une v a c h e enragée à L o g - l v y . L'animal a été reconnu
sain par le vétérinaire M Lancien et dès
mardi 1 Ouest-Elair remettait les c h o s e s
au point.
Frimm• à U natalité.
Ont réçu la
p r i m e en février, MMmes t o n , de L o g l v y et Penquerc'h du Quélennec. Félicitations.
ft. «C. Scj&e N» 1R9.289
Agent Général : Jérôme TRÉGUIER, Quimperlê (Téléphone 37)
Le Trévoux
Abandon
d'attelage.
— Ayant eu
soii le 24 mars, à 18 heuges, Vincent,
journalier chez Yves au bourg, fut se dé
saltérer au débit de Pont-Claon, mai3
avait o m i s d'attacher l'attelage dout il
était oonducteur,
Ivresse.
— Alain, 40 ans, domestique à
la Croix rie L o c - Y v i , le 23 mars, & 22 h. 30,
fut rencontré par les gendarmes près de la
L î n d e des Châtaigniers, meo d'une telle fnçon
qu'il ue pouvait se guider seul. P r o c è s - v e r b a l .
Mellac
Arrestation.
—
Le 22 mars, a
midi
quinze, les gendarmes ont mis eu état d'arrestation, Vigouroux A d o l p h e , 39 ans s. p. ni
domicile
lixée, originaire
de
l'iougastelDaoulas, pour vagabondage et défaut de carnet
anthropométrique.
L
négociant en bois à Gourin, p o u r
e n c o m b r e m e n t de la route au lieu dit
i PontNeuf.
RIVALINBOURC'HIS
' AUX TRAVAILLEURS "
18, Rue Savary, 18
Vous trouverez pour l'Eté
— Le 16 cou-
Les capitaux placés à la Caisse
d'Epargne de Quimperlê ne subissent pas la fluctuation des cours.
En aucun cas, ils ne peuvent diminuer
Moëlun
Arrestation.
— Le 19 mars, les gendarmes ont mis en état d'arrestation, en
vertu d'une oontrainte par oorps. Le Nabeo Alexandre, marin b ô o h e u r à Keranmoulin redevable il l'Etat de 70 fr. 85.
Mais au lieu de venir passer 20 j o u r s i
l'hûLel de la rue Brémond d'Ars, il a t r o u vé prudent de s'acquiter de sa dette à été
relâché.
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Diplômé do l'E. D. F. de Paris
__ L I T E R I E
St P Jt C T e ™? nt t o u s organes TRAITE de la
s u r demande à M. GLASER,
a
i T
«4, Bd Sébastopol PARIS.
Baniialee
JEn défaut. — Henri, 20 ans, de Kerglenden, le 24 mars n'avait pas de plaque
d'identité ni d'appareil avertisseur, à sa
bicyclette.
nm
Un
Vol do pommes
£ ° n . t ; 1 ' £ b b é ' Î e u d i 1 0 , H ô t e l d e s voyageurs.
B r e « , Dimanche 13 et 14, Bôtel Continental.
Qulmper, 15 Avril, Botel
l'Epie.
NOUVELLE CEINTURE VENTRIERE pour
rant. M- Jean Daniel, propriétaire à Nivinen,
constatait la disparition de 500 kilogs de p o m m e s de terre saucisses dont uue partie de petites pour la s e m e n c e et l'autre partie pour la
c o n s o m m a t i o n Ces p o m m e s de terro se troui vaient dans 1« grenier d'une étable située à
| environ 30 mètres Je la maison d'Habitation.
Gutliisomarc'h
I îvi. Daniel qui estime son prejudice à 400 fr.
et ne sachant sur qui porter ses s o u p ç o n s a
Embarras
de la voie publique.
—
porté plainte à la g e n d a r m e r i e qui a o u v e r t
Procès-verbal a et-ê dressé le 24 mars à
une enquête.
Aux Magasins
j'i
d'Administration.
Toilettes de Baptême
CO8TUIWE8
BRETONS
pour Dames
AVIS AUX ACTIONNAIRES
MM. les Actionnaires sont c o n v o q u é s
en Assemblée générale ordinaire, le lundi
S mai 1924 h dix heures, au siege social,
Gare .des Chemins de fer départementaux,
à Brest.
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une demaude adressée a u Directeur départem e n t a l de l ' A d m i n i s t r a t i o n d o n t ils r e l e v a i e n t
p o u r le p a y e m e n t de cette taxe » ( J o u r n a l o/Jictd).
Ï Â ô c r i o n s i l ©
Conseil supérieur d u travail. —
Cette urinée, auru li«u le renouvellement
des membres du Conseil supérieur du
En oe qui concerne les syndicats ouvriers
les listes provisoires des syndicats adm i s dans le département h prendre part
à l'élection de leurs représentants sout
déposées à la préfecture et dans souspréi'eoture.
X X X X X X X X X ^ X X X X X X y x
2WV.
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IJ^m^'y^^Ê
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^UMU*.
— L e s p e r s o n n a l i t é s r a d i c a l e s ot r a d l o a l e s socnilislett d u d é p a r t e m e n t , m u n i e s d ' u n laisserp a s s e r , l e u r d o n n a n t d r o i t ft l a g r a t u i t é d u
v o y a g e e t d u ropas (</ui paye
se s o n t r é u n i s ,
D i m a n c h e , il la n o u v e l l e m a i r i e d e C h â t e a u l i n ,
s o u s la p r é s i d e n c e d e M. A n d r é B é n a o .
Deux t e n d a n c e s s e t r o u v a i e n t »>n présence*
l ' u n e r e p r é s e n t é e p a r MM. L e Bail, d é p u t é ,
C l o a r e c e t Y v e s Lefébvr. 1 , partis-ans r é s o l u s
do l'alliance a v e c 1«'S socialistes. L ' a u t r e t e n dance s e r e f u s a n t à Iouto compromission
a v e c les r é v o l u t i o n n a i r e s , a v a i t p o u r d é f e n s e u r s MM. B o u i l l o u x - L a t t o n t , l ' A m i r a l G u é p r a t l o . dt pu tés ; Le G o r g e u l t e t F é v r i e r , c o n selliera g é n é r a u x .
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C o m m e il était à p r é v o i r , l e s é l é m e n t s ext r é m i s i e s d u parti radical-socialist'is t r i o m p h è r e n t . P a r 157 voix c o n t r e 83 lo c o n g r è s
décida d'entamer d e s pourparlers avec les
socialiâles e n v u e d o la c o n s t i u t i o n d ' u n e
liste d u bloc d e s g a u c h e s .
Les i a . l i c a u x - s o o u l i s U s r é c l a m e n t 7 s i è g e s
s u r la liste q u i doit c o m p t e r i l c a n d i d a t s .
U n e c o m m i s s i o n do 20 m e m b r e s , p r é s i d é e p a r
M. Lancie.n, s é n a t e u r , e>t c h a r g é e d e s a r r a n g e m e n t s p r é a l a b l e s a v e c MM G o u d a e t Masson.
M. B o u i l i o u x - L a f o n t qui était d ' a b o r d o p p o s é
au c a r t e l s ' e s t incliné. V i v e m e n t b l i m é p a r le
parti J o n n a r t d o n t il é t a i t le d é l o g u é d a n s le
Finistère,
il a d é m i s s i o n n é d e ce p a r t i . Cette
décision p o u r r a i t s u r p r e n d r e
d e la part
d ' u n h o n r n e q u i , e n 1919, p r o t e s t a i t v e b é m e n t o m e n t contre toute compromission avec
les socialistes, si d e p u i s q u e l q u e t e m p s s e s
v o t e s c o n t r e B o i n c a r é n ' i n d i q u a i e n t la r é s o l u tiou de s ' a t t a c h e r p l u s à s o n s i è g e qu'il la probité politique. L ' a v e n i r d i r a s'il a bien j u g é .
L'amiral Guépratte a carrément refusé u n e
telle félonie. D e m a i n d i m a n c h e , à B r e s t , l e s
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— It p a r a î t q u e n o u s a u lions considéré l intervention J ' O llirthou,
s a i l e Gallio, c o m m e u n t r i o m p h e <« sillonnistc »,
et l à - d e s e u s l'Echo de s e voiler la face »le v a u t
n o t i o p r é t e n t i o n . Or, c e t t e p r é t e n t i o n la l ' a u t e u r d a n o t r e c o m p t e - r e n d u ne l ' e u t j a m a i s .
Que d i t e u r é s u m é c e c o m p t e - r e n d u '.' Que
Uerthou ost a r r i v é c o m m e le c i t o y e n Goii,le
a c h e v a i t son r é q u i s i t o i r e c o n t r e 1e liloc N u t i o iu-.l. B . u l h o u , a y a n t d e m a n d é la parole, Ut à
s o n t o u r 1e p r o c è s d u Bloc d e s G a u c h e s , i n t e r r o m p u p a r M. Lo L o u é d e c , l e q u e l n o laissa
p a s é c h a p p e r l'occasion de p l a c e r s o n potil leitm o t i v : « Il y a 20 a n s , vos amis...
etc., e t c . ,
A l'aide d u Quotidien, ce qui n o f u t p a s s a n s
c o n t r a r i e r M. CollVant ot l'ancien d i a n t r e d o
S'.-Corontin, .son a c o l y t e , Unrlliou, m o n t r a q u e
lo Seuù.t r a d i c a l s e u l s ' o p u o s a i t à l a r é v i s i o n
d e s m a r c h é s d o g u e r r e . Cola d é p l u t a Goudo
qui û é c h iîna le c h a h u t ut le c h a h u t s ' a p p e l l e
en s t y l e CtlIYaul u n o « mise en boite ». u ' e x p r e s s i o n , p o u r u n e fois e s t j u s t e . I m a g i m z vous u n auditoire u'avouglus louédécistes,
considérablement chauffés, mené p a r u n o
p o i g n é e d e p é d a g o g u e s , d o n t le s i e u r ciuig u e n , p o u r n e p a s le n o m m e r , sifflant l e s
cluq d o i g i s d a n s l a b o u c h e , c o m m e les d e r n i e r s d e s e s g a m i n s . . « Cola n ' e m p ê c h a p a s
Uerthou, d e placer quelques bonnes vérités
ot la m i s e on tioîto, f u t , d o l ' a v e u d o M.
Go ti r a n t « pénible ».
Jurés $up)>téants. — Yan A l b e r t , chef d e divisiou a l a P r é f e c t u r e d u F i n i s t è r e ; P i o r i o t
J e a n - L o u i s , l o u e u r d.>, v o i t u r e s à Q u i m p e r ;
B u r e l l e r Cor n t i n , épicier à Q u i m p e r ; Hioiay
C h a r l e « , e m p l o y é à l'Asile d e Q u i m p e r .
M. C o f f r a n t n g r o t t e q u e n o u s a y i o n s c r u d e voir n o u s a b s t e n i r . .Nous a v o n s s u r ley r é u nions p r é l e u d u m a a i
contradlotolroa, notre
f a ç o n do voir. T e l l e s q u ' o n les o r g a m s o , à la
m o d e de H r t s l , ull^s n e s o n t q u e d e s a t l r a p o c i g a u i, o ù il uu s ' é c h a n g e g u è r e q u e d e s i n j u r e s per.-.otmulies, e t l a c o u l r a iiction n ' y
e s t q u e do. l ' o b s t r u c t i o n . L e s p a r o l e s , d ' a l l Sours, s ' e n v o l e n t ot l e s é c r i t s r e s t e n t . A p r è s
d<; ôu a n s , j'ai asaist.s a pas m a l d e r é u n i o n s
p u b l i q u e s , et j ' y ai j o u é m o u i û , . j . . . J j n ' a i
j a m a i s vu (|u'u on soit sorti g u è r e a u t r e c h o s e
quo du d é t o r d r e . . . A m o u ûgo, m i e u x v a u t
« assister de son lit » c o m m e dit M. C o f f r a n t .
D a n s lo ¡soaiiûoil ta p l u m e s ' a i g u i s e , e t il n ' e s t
pas p o u r l a m i e n n e , d e j o i e c o m p a r a b l e , a
celle do p r a t i q u e r , u u m a t i n , q u o i q u e b o n n e
p o n c t i o n d a n s le ballon g o n f l é d e l a Défense
laïque.
E l p u i s q u e n o u s voici s u r lo c h a p i t r e d o s
r é u n i o n s p u b l i q u e s , qui! d i r o n t l e s é l e c t e u r s
d ' u n L o u e d o c , do le voir p r ê t e r l ' a u t o r i t é d e
s o n n o m , a u x t h é o r i e s du n i v e l l e m e n t social
préconisé p a r s e s hôtoa ? C o m m e n t , c'est lo
rnOmo L o u é d e c , a m i du c e r t a i n s g r o s a g r i c u l teurs, bourgeois, proprietairo e t rentier, q u i
m e t :a m a i n d a n s la main d ' h o m m e s d o n t le
rOVf. i i i d ' é g a l i s e r les f o r t u n o s et do socialiser
la Nalion ? Si la place dii q u e l q u ' u n n ' e s t p a s
d a n s UiV.i telle i \ u n i o n pubJi | u e , a v e c d e tels
a l ! , f s , c'eut bleu celle do M. L j Louedrie. Mais
quolles h o n t e s n e holraii-il p a s p o u r ê t r e d é p u t é , ¡.oui* p o u v o i r d i r e : « Je suis candidat »?
L'argent placé à la Caisse d'Epargne de Quimperlé est exempt de
tous impôts.
C o n t r i b u t i o n s I n d i r e c t e s . — Suivant
décision d u D i r e c t e u r général tics C o n t r i b u tions I n d i r e c t e s e n dato d u 19 f é v r i e r 192'», le
concours p o u r l ' a d m i s s i o n au S u m u m é r a r l a t
de cette A d m i n i s t r a t i o n , q u i d e v a i t a v o i r lieu
le 10 avril 1924, e s t r e p o r t e à u n e d a t e u l t é -
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p O c i i e u r ^ . — fin r é p o n s e il u n e question de
s a v o i r si Je?t s o m m ^ p a v é e s [ r . r c e r t a i n s
m a r i n s p ê c h e u r s sur le b é n é f i c e de l e u r p è c h e s
A V I S . — L« m a i r e d e Q u i m p e r l é i n v i t e
ne d e v r a i e n t p n leur être r e n b o u r s é e s , la loi les a j o u r n é s des c l a s s r s 1922, 1923 et 1924 à s e
de 1917 a y a n t été a b r o g é e et les m a r i n s p é c h e u r s
p r é s e n t e r d ' u r g e n c e à la m a i r i e p o u r se fairo
qui n'avaleat pas rfylé cettetaxeu'ayantpas été
Inscrire, ù l'effet d'ôtra vUltés avec l e s J e u n e s
I n q u i é t é s , l e Mi i s t i e >epon.l : '« P a r uppiicutlon
liens de lu classe 1925, c o n f o r m é m e n t ft lu c i r d e s disposition!» d» l'article l u , p a r a g r a p h e 7
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Q u i m p e r , lo l u n d i 28 a v r i l 1924 :
Jurés titulaires.
— MM. K e r g o u r l a y Michel,
consoUiur g é n é r a l à K d l a n t ;
Gallo L é o n ,
quincaillier a Moëlan ; Dantoc Jean-François,
c u l t i v a t e u r à S a i n t - M é e n ; Lo T o l l e c Y v e s ,
c u l t i v a t e u r à K o u e s c a n t ; Bizien P i e r r e M a rio, r e t r a i t é fi S a i u t - P i e r r e - Q u i l b i g a o u : L e
Oerten J e a u - L o u i s , c o m m e r ç a n t i\ G o m b r i t ;
Y o u i c o u J e a n , c u l t i v a t e u r à P o u l d a v i d ; Goud r o n J o s e p h , é b é n i s t e à Guillers ; Michel
L o u i s - J o s e p h , c u l t i v a t e u r à l t é d é n j ; Ollivler
Yves-Joseph, mécanicien à Scaér ; l e t t o n
C h r i s t o p h e , r e t r a i t é à. S a i n t - B e n a n ; Le M c n n
Y v e s , r e t r a i t é il P l o u j e a n ; P e r e n n o u J e a n Louis, cultivateur
à Guongat ; Blanchard
X a v i e r , r e t r a i t é a B r e s t ; G u é d o n Joan-Lccji.-',
c u l t i v a t e u r à. L a m b é z e l l c c ; L e Ciéach . U a r L o u i s , c aissior ù B r e s t ; h i î r b r a t J p a o - M a r i e ,
marbrier
G o m m a n a ; B o n d u e l l o G a s t o n , industriel a Concarneau ; Qucïanec Jean, cultiv a t e u r a G u i d a i t : l ' o i i d a v e u Michel, c.iltivat o u r à Millzac ; Korloch Yves-Mario, m a r i n p é c h e u r £i P e u m a r c h ; Ini/.an L a u r e n t , c u l t i v a t e u r h P l o u n é v e z - L o c h r i s t ; G roi i ton F e r nand, ingénieur a Ouessant ; Le Fraper Joseph, négociant à Lambez'jllco ; Courtes Vincent, cultivateur à Arzano ; Finquin Jean,
c u l t i v a t e u r à Moilac; A m i o v A ' b e r t , r e p r é s e n tant d e c o m m e r c e a Brest ; Morvaa Jean,
cultivateur à Saint Ségal ; Ilatet J e a n - F r a n çois, c u l t i v a t e u r à L o g o n n a - Q u l m e r c h ; Guill e r m François, retraité à Mespaul ; SaintJ a l m e s F r a n ç o i s , c o m m e r ç a n t fi L a o n ó a n o u ;
L e G u e r c h J o s e p h , c o m m e r ç a i ' t h Hoscolt';
S t é p h a n P i e r r e , g r e f f i e r de paix il S l - P o l - d e L é o n ; G u i n g a n t F r a n ç o i s - M a i in, r e t r a i t é il
Berrien ; Lo F u r Jean, vétérinaire a B r e s t ;
C o s q u e r J e a n - M a r i o , c o m m e r ç a n t ?t C l é d e r .
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— Lo
s 23u doigt,
il leur
montre
la
porte
I r a n s f o r t d-í la oost - es». Ilx> a u d i m a n c h e 30
1 o a rogles
d e l a plus
et lear
rnppollt>
m a r s . C est d o n c ù. la m Brérnoacl l ' A n q u e
elemoataire
pclitosse...
Voilà le g e s t e
le public d e v r a dé-o™m*is s ' a l r « s s n r .
prêti"! à M. P e z e n n e c , par M. G o f f r a n t . Ce Reste
.\\V\V\\\\\\\\\\\\V\\\\\\\\\V\\WXWXV%
a en eff l b e a u c o u p d ' é l é g a n c e . Malh» u eusem e n t ce n V s t p a s t o u t - i - f a i t cela. N o u s s o m m e s sorti», d e la salle, a p r è s q u e M. P e z e n n e c
e u t été e m p o r t é , p a - les b r a s r o b u s t e s d ' u u
f a c t e u r . N o u s s o m m e s s o r t i s , p a r c e q u e MM.
G o u d e e l G<'ï<\ a o r é s a v o i r a c c o r d é la p a r o l e à
Chlriir^l^n Uentlste
Bt-rlhoii, ie mirent en boite, selon l ' e x p r e s s i o n
de. la Faculté
de Médecine
de Paris
de M. Cofl'rant en e n t r a î n a n t a u - d e h o r s , la
p o i g n é e d e g a r ç o n s de f e r m e e n r é g i m e n t é s p a r
31, ruo Savsry -:• QUIMPERLÉ
un j e u n e pedagoguo. Lc.prétexteétait de prendre les n o m s pour l a formation d u comité
Conjurations toti^ l e s jours à QUIMsocialiste.
PERLE, sauf le MGRCKEDi à BANNALEC.
Hertliou a v a i t d ' a i l l e u r s , a v a n t l ' a r r i v é e t a r d i v e d e s c i t o y e n s , expo-'é la d o c t r i n e d é m o •^vxxxx%xxxx\xxvvvvvxxx>xxvvvvvvvvvvvvv«
c r a t i q u e , c o m m e a u KHecq, d i m a n c h e , N a r J P S t o s p o r t i v e . — A l'occasion d e l ' o u don, Quiniou e t Bourgot, d e v a n c è r e n t Bataverture de sa saison d'athlétisme, l'U. S. Q u i i n nani, r o t a r u - j p a r u n o p a n n é d ' a u t o . L e s Citoperloise a mi3 sur pied le programme ci desy e n s a y a n t loue l a salle, il é t a i t j u s t e q u o
s o u s pour sa fêle d u 13 avril prochain.
n o t r e a m i s ' i n i e r r o m p î t . . . m a i s il e.ut été p l u s
C o u r t s : 80 m . p l a i s , 400 m . p l a t s , 1.500 m .
j u s t e e u c o r e / i u o les C ' t o y e n s e n t e n d i s s e n t s a
p l a t s , 110 m . h a i e s , 300 m . p u p i l l e s , 600 m . p u réplique.
p i l l e s . C o u ' s e s gaies.
Q u a n t a u rôle d e M . P é z e n n e c d a n s c e t t e
L a n c e m e n t s d u p o i d s , d u d i s q u e et d u j a v e l o t .
histoire, ii e s t assez c o m i q u e , p o u r q u il| ne
G r a n d m a t c h de foot-ball.
s ' e n v a n t e g u è r e . A q u i f e r a - t on c r o i r e q u e ,
A la mi t e m p s d u m a t c h d e f o o t - b a l l sera
d a n s le g r o u p e d o s p r e m i e r s a r r i v a n t s , c e
c o u r n u u c r o s s c o u n t r y de 3 à 4 k i l o m è t r e s . Le
b o u c h e r - r e s t a u r a t e u r n ' a i t r e c o n n u s o n ami
p s r c o u r s s e r a t r a c é d e f a ç o n q u e les specta
Le B e r r e e t M - F o u r n i s , à q u i , il e u t s a n s d o u t e
teurs puissent suivre toute la course d u t e r à f a i r e . . .E*t-ce la p r e m i è r o fois q u e ie Cir a i n de P a r c R h u .
toyen-bistro nous
r e n c o n t r a i t 'i U s e r a i t - i l
Cette f ê t e n ' a u r a c e r t e s p a s l ' e n v e r g u r e d e
l'assurer ?
celle q u i s e r a o r g a n i s é le 5 j u i l l e t p a r l'U. S. Q.
N'avait-il p a s p l u t ô t la b e r l u e ? P e u t être, e t
et a u c o u r s de l a q u e l l e le C h a l l e n g e d e l'Isole
s a voix p l u s c o u v e r t e <(U" j a m a i s , l e d o n n e s e r a r e m i s e n c o m p é t i t i o n p o u r la 4- foi». N o u s
r a i i\ croire-, etalt-ii p o u d r a n t ? L e v r a i e s t
s o m m e s n é a n m o i n s p e r s u a d é s q u ' a v e c l e p r o q u il se r f n ' l i t c o m p t e , d o f a ç o n s u f f i s a n t e ,
g r a m m e ci d e s s u s e t la q u a l i t é d - s a t h l è t e s
q u e s a sa lo é t a n t louée p o u r u a o r é u n i o n p u q u i p a r t i c i p e r o n t a u x d i f l é r e u t e s é p r e u v e s , elle
b l i q u e et c o n t r a d i c t o i r e , <vmx qui y v e n a i e n t
o b t i e n d r a le s u c c è s q u ' e l l e m é r i t e .
é i a i o c t q u a l i f i é s p o u r c > n n-mee". C e t h ô t e
é t r a n g e ne t a r d a p is d'ai'l u^s a y p o r t e r le
t r o u v e , i n t e r r o m p a n t i tout bbut d e c h a m p ,
s a n s « s ^ a y e r d e c o m p r e n d r e . Il s e r e t r o u v a
d a n s s">n é i é m - n t . l o ^ [ne Lo Goïo l ' e u t s a l u é
d ' u n « Bonjour Citoyen I •> do l a p ' u s p u r e t r a MODES
dition révo'utioniiHire. L é c o u t a le p r ô n e d o
Le Goïc e t !e s e r m o n te Goudo, s a n s b r o n c h e r
mais, ce p r ê c h e t e r m i n é « son feu devint
plus
ardent » poétis? l ' E c h o ».
ONT L'HONNEUR DE P R É V E N I R
La p r é s e n o o d e s b r e s t o i s l ' a u t o r i s a i t m a i n t e n a n t î>;no plus f e i n d r e d e m é c o n n a î t r e celui q u i
LEUR NOMBREUSE CLfUNTÈl.E
« tant de fois lui fit les honneurs de sa feuille n
e t d e sa » sacrée plume >• et las lui f e r a e n c o r e
QUE, REVENANT DE P A R I S ,
s'il plait à Dieu ! M P e z e n n e c , était e n pleine
ELLES EXPOSERONT
é b u l l i t i o n , q u a n d m u é e n colis postal, il f u t
e n v o y é s e « distanner
d dans s o n cabaret,
ainsi q u o n o u s lo d i s i o n s a u d é b u t . T e l s s o n t
les f a i t s n'en d é p l a i s e h Camille I
L. 8
Alexandre CUZIAT
Mesdemoiselles JONGQJHT
31, Roc Savary, QUIMPERLÉ
LES DERNIÈRES NOUVEAUTÉS PARUES
Portefeuille
égaro.
— M. D a n i é l o U
forain et marchand do brioohes, avait
enregistré sa balladeuse, en gare de Md6lan le dimanche 23 mars, fi 15 h. 15. Pendant l'opération, il déposa son portefeuille sur lo rebord du guiohpt, puis le
train arrivant, il montaori voiture, oub'iunt
10 précieux reoueil. Ce n'est qu'uue fois
en marche, qu'il s'aperçut de son oubli
D a Qnimpwle, il télégraphia à Moëlan,
p'y rendi< môme A béoane, mais de porte
feuille pus de nouvelles.
A r r e s i a t i o a — Rencontré le 25 mars
11 17 h. 30, rue dollars, Chartriot René,
41 ans . sans profession, ni domicile ilxe,
natif de Paris, en état de vagabondage et
défaut de carnet aijthropométrique, a été
mis en arrestation et conduit il la maison
d'ufijût
FAITES-VOUS
HABILLER
CHEZ
E. L E (ìlJENNOU
TAILLEUR
2,
plano
d u s Capuolns
QUIMPERLÉ
BllNSi
ARMES & MUNITIONS
£
ailleurs
tlLSiuL' ^MiidlUîJ
SaiiU-'J'ÎMsri.n
Coaforoaco.
- - Uiriianolie
prochain
CHASSE
I
Querrlen
ho compagnon
d'armes
de M . Cathrim.
— « Pour Querrien
et pour
SaintThurien laissons la parole
à notre
corresponà M. Le Berrt
dant local, qui n'en déplaise
le même
que celui de l'Eclair.
n'est point
L'Eclair a dit la vérité,
et nous aussi.
Voilà
chose, il reste
pourquoi nous disons la même
donc à déduire,
ô Union I que c'est vous que
avez menti et voilà tout. • (Echo d u 21 mars).
Ainsi l'Echo v e u t n o u s faire c r o i r e à la dualité de la c o r r e s p o n d a n c e d e n o s confrères 6
Q u e r r i e n . Il t r o u v e q u e la ressemblance d e s
d e u x t e x t e s est u n cas f o r t u i t , u n e c o ï n c i d e n c e !
Là d e s s u s , M. C o f f r a n t p a t a u g e a n t dans n n a
de ces p h r a s e s d o n t i l e s t c o u t u m l e r , n o u s
p a r l e de courtoisie, de droit absolu, des
relations
fort aimables, d u c o r r e s p o n d a n t d e l'Eclair, à
Q u e r r i e n , a v e c M C a d i c . Une ligne avant, 11
v i e n t de n o u s d i r e : « Q u a n t a u c o r r e s p o n d a n t
de l Eclair, iious l ' i g n o r o n s » e t , 11 s ' e m p r e s s e
d'ajouter q u e ce c o r r e s p o n d a n t est aussi e n
r e l a t i o u s c o u r t o i es avec l u i - m ê m e . Alors, il n e
l'ignore p a s . . . Q u ' e s t - c e q u e c e t t e s a l a d e ?
E n t o u t cas, voici les d e u x t e x t e s q u i p r o u »
v e n t b i e n u n e c o m m u n e Origine :
Echo de Bretagne. — L'orateur est attentive«
m e n t é c o u t é e t ses p a r o l e s ont l'approbation
de la m a j o r i t é de l a salle, quand
11 traite l a
q u e s t i o n a g r a i r e et Je d r o i t de tous les e n f a n t s
à l ' i n s t r u c t i o n g r a t u i t e à tous les degrés. »
Eelair
du Finistère.
— L ' o r a t e u r fut très
attentivement écouté e t s e s paroles
reçurent
l ' a p p r o b a t i o n d e la m a j o r i t é de
l'assù'tance.
notamment
lorsqu'il t r a i t e la q u e s t i o n agraire
e t le d r o i t pour t o u s U s enfants à l'instruction
g r a t u i t e à t o u s les d e g r é s . »
Ces t e x t e s o n t d o n n é lieu à un petit exercice
s c o l a i r e . On a c h a n g é ie temps d e s verbes e t
r e m p l a c é c e r t a i n s m o t s p a r d ' a u t r e s . Que voulez vous o b j e c t e r a p r è s cela, à la rumeur p u b l i q u e , a t t r i b u a n t leur p a t e r n i t é a u m ê m e
m a î i r e d ' é c o l e , c u m p a g u o u d'armes d e M. Cat h e r i n e , déguisé e n gars de Querrien, en républicain,
e u témoin,
selon les nécessités de l a
copie ? . . .
Sous ces d i v e r s m a s q u e s , l'ancien lieutenant,
ayant laissé l'Union
Sacrée avec l ' u n i f o r m e ,
c h a n t e pouille à M. C a d i c , qui, l u i aussi, r e t o u r des t r a n c h é e s , s ' e s t t i ï o r c c j u s q u ' i c i , e t
s o u v e n t avec plein succès, d e m a i n t e n i r cette
U n i o n . Il e s t v r a i m e n t p l a i s a n t d e v o i r notre
pédagogue r e g r e t t e r l e t e m p s d e l'honorable
M. Galtle. Que ce d e r n i e r ait e m p o r t é l'estime
de s e s c o n c i t o y e n s , n o u s le c r o y o n s , n o u s
a u - s i , et l'en f é l i c i t o n s . Mais n o u s ne p e n s o n s
pa.t qu'il soit t r è s aise d e v o i r Interpréter
cette e s t i m e et ces r e g r e t s , p a r u n t e l p t n é g é r y s t c , s u r t o u t à l ' h e u r e , où M. C a d i c s ' e s t a f f i r m e , de si é l o q u e u t e et a d m i r a b l e f a ç o u , u n
p t t i o t e c o n v a i n c u et u n d é f e n s e u r d e la p r o priété, contre les utopies
révolutionnaires.
Nous p e n s o n s p l u t ô t q u e te d i s c o u r s du Mairo
de Q u e r r i e n , s e r a le p o i n t de d é p a r t de l ' U n i o a ,
snna a r r i è r e - p e n s é e , de t o u s les h o n n ê t e s g e n s ,
afin q u ' a u j o u r d e s é l e c t i o n s prochaines, l a
S o c i a l i s m e n £oive u u de ces é c h e c s dont s e s
Apôtres se s o u v i e n d r o n t l o n g t e m p s 1
COUPE i í m u OSAI sTh
Kol'lour marche qua partout
DE
Scaor
Datant
à Henri. ¿2
preneur «U
était monté
otiovaux dt
de guides.
— Procès-Verbal
ans charretier chez un entrebourg île Scaër, qui le 25 mars
dans une oharreite attelée de
lile, mais omis les guides.
M. François Gadio, maire do Qu^rrien,
fr>ra uihi ooufereaco, salle Fireo, Jt 8
B annale?
heure» du ina ia.
C i r c u i t W a w i o j , - . - Voici l ' h e u r e ap«
Ic^lWji^l' t r a i n ò s e r a ¿ e
Socialisme,
Frox^maUve à l a q u e l l e les c o u r e u r s d u « Cif
cuit Warrior •>. de Plouay, passeront dans les
l o c a l i t é 'demain dimanche :
Départ : Pldiwy 9 b., logulniel 9 h. 20, Quémené 9 h. 00, Pontivy 10 h. 40, Le Sourn 10 h.50,
Melran 11 h. 20, Bubry 11 b. 30, Pônquegten
12 h. OS, Lochridt 12 1). 20, Hennebont 12 h. 25.
Lorlent 12 h. 3% Plouay 13 ta. 20 — neutralisation (15 minutes) — Plouay 13 h. 40, Pont-Scorff
14 h. 10, Qnlmporlé l i h. 50, Mellac 15 h. 10.
Bannalec 15 h. 25, Scaer 15 h. 55, Le Faouet
16 h. 35, Prlziao 10 h. 55, Le Croisty 17 h. 05,
St-Caradec 1" h. 15, Kernasoiédan 17 h. 35,
Plouay n h. 55.
Liste des prix : 1" prix, un v é l o - T o u r de
France W a r r i o r ; 2% un vé ! o demie-course
"Warrior; 3', un vélo demle-oourse ; 4', 150 fr.;
5', 100 fr ; G», 50 fr. ; 7», un chronomètre Jiquel ;
8*, un boyau; 9*, u n boyau; 10», champagne.
Nombreuses et importantes primes do pas.
sage.
Ville
de
rec Louis, 45 ans, cultivateur à Moëlan, qui
oyant fait appel, comparait devant la cour.
M* CharHer présente la défense du prévenu
qui pôre. de 5 enfants, jouit de l'estime publique et qui regrette sa faute
Dans son réquisitoire, M. l'avocat général tinlllot remarque qu'il y a eu préméditation et que
les coups ont été très violents.
La Cour confirme la peine de 3 mo's de prison, y ajoute 100 francs d'amende, mais accorde à Legairec, le bénéfice du sursis.
Bannalec
DIMANCHE 3 0
MARS
COURANT.
Salle Louis MONCHICOURT, BAZ.
X , A MI'CARBMJE:,
Jtx.
à grand orchestre
Taupes
Fouines
Martres
Putois
Renards
Loutres
£
•f-
i
s
R, de C.
Qulmoerié
N" 814
Lapins
par la Musique Symphonique de Lorient,
violons.
O U V E R T U R E A 20 H E U R E S
NOTA. — On dansera l'après-midi, à
partir de 14 heurts, avec un piano Jazzband nouveau.
.
— •
.
»
•
Sooiéti
hippique
du
Sud-Finistère.
— Ce concours s'eht tenu mardi & Bannalec,
ainsi que nous l'aviou9 annoncé. Ea voici les
résultats :
Demi-sang.
Demi-sang.
—
1"
pris, 150 fr., Badine, a M. H. Bocdec, de Ker
nével ; 2', 100 fr., Bellemine, à M. L. Le Gall
de S c a ë r ; 3 , 100 fr., Buse, à M. P Bourhis, de
Kernével ; 4-, 100 fr.. Bannière, à M. Ch. Penblanc, de Bannalec ; 5-, 75 fr., Bonne Nouvelle,
à M. A. Salaiin, do Soaôr ; 6 , 75 fr.. Bonmche
ù M R. Boôdec, de Kernével ; T , 75 fr., Brescuti & M. A. Le GuifiaDt, do Bannalec ; 8,
75 fr., Bayonne, à M. L. Bourhis, de Kernével ;
9-, 50 fr., Barboteuse, à M. H. Le tiras, de
Scaër ; 10-, 50 fr., Brestoise, à M. L. Ce lin, de
Bannalec; 11-, 50 fr.. Binette, à M. Y Naour,
de tBannalec ; 12 , 50 fr., Bannière, à M. J.
Norvez, de Bannalec; 13-, 50 fr., Bruyère, à
M. J. Navellou, de Scaôr ; 14 , 50 fr.. Bobine, à
M. Y. Le Beuzo, de Bannalec ; 15-, 50 il-, Barrière, à M. J. Le Naour, de Bannalec.
Trait. — 1" prix, 50 fr., Bonne Fortune, à M.
F. Noc, de Bannalec ; 2-, 50 fr., Bûche, à M.
Ch. Plouzenneo, de Mollac.
POULICHES DE DEUX ANS. -
Demi-sang.
—
1" prix, 200 fr., Xantippe, à M. P. Penn, de
Soaôr; f , 150 fr., Aubépine, ù M. F. Guernalec, de Scaër; 3 , 150 fr., Actrice, à M. P.
Flao, de Kernevel ; 4 , 150 fr., Albane, à M. L
Goapp°.r, de BanDalec; 5 , 150 fr., Ariette, à
M. Ch. Rivier, do S c - ë r ; 6 , 11)0 ir.. Xérès, à
M. L. Le Gall, de So>ô," ; 7 , 100 a-., Ampoule,
à M. J. Meutec, de BaunaldC ; 8 , 100 fr.. Aima.
à M. G. Rivier, de Scaôr ; 9 \ 100 fr., Ardente
& M. J. Créo, ac Kernevel ; 10 , 100 fr., Aurore,
à M. H. Rodallec, d s B a n n a l e o ; il-, 75 fr.. Ani
sette, à M. J. Sinquio, de Bannalec ; 12-, 75 Ir .
Argile, à M. L. Bourhis, de Kernevel; 13 . 7ô fr..
Alouette,à M. Ch. Gléinarec.'ie Ntzon ;14 ,75 fr..
Alerte, à M. J QuOre, de Bannait-c ; 15-, 75 fr.,
Jolie, à M G. Brinquiu, de Baunalao ; 10 , 75 fr.
Alicante, à Mme Landreiu, do S c - ê r ; 17'
75 fr., Alerte, à M. J. Jourdain, de K> rnével;
18-, 50 fr.. Amélie, à M G. Gaidoa. ue Mellac.
Trait. — 1" prix, 100 fr., Avalanche, à M.
E. Naour, de Baunalcc ; 2', 50 fr., Addie. à Mme
veuve Guiban, de Baunaleo ; 3 ,50 fr., Aubaine,
à M. J- M. Guiban, do Kernévol.
POULICHES DE TROIS ANS
— Demi-sang
et
trait. — Primes do reproduction et de conservation : 1" prix, 1 300 francs, Violette, h
M. n. Guernalec, de Kernével ; 2 \ 1.000 fr.,
Venise, à M. A. Nabat, ue Bannalec ; 3 , iKX) fr..
Venise, à M. G. Le Ga i, de Kernével ; 4\ «00 fr.,
Victorieuse, a M. J Gorvan, de Bannalec ; 5 ,
800 fr.. Vitesse, a M. Cu. Bnnquin, de Bannalec;
6-, 800 fr., Vaillante, à M. F Massé, de Bannalec; 7-, 700 fr., roi'sine, à M. F. Jaouen, de
Mellao ; 8 , 300 fr., Vallée, a M. Y. Le Meur,
de Kernével ; 9 , 300 fr., Rosette, a M. Landrein, du Trévoux ; 10-, 300 fr., Vedette, à M.
F. Pérez, de Baonaleo ; l f , 300 fr., Venise, h
M. L. Gorvan, de Bannalec ; 12' 300 fr., Emma,
fl M. Y. Talleo, de Bannalec ; 13-, 2ô0 fr„
Fleurette, à M. J. Bernard, de Bannalec.
HOWIE, BIJOUTERIE, QP.FÊM
J.
LE~G0FF
HORLOGER
2, PUCE GAMBETTA (Haut de la rus Savary)
Q U I M P E R L â
MONTRES.
PENDULES,
REVBIL8
A TOUS LES PRIX
BAGUES, PROMESSES,
Riec-sur
ALLIANCES
BOUQUETS FLEURS D'ORANGERS EOUR VARIEES
C A D B A U X P O U R MARIAGES
H. du C, Qulmperlé n- 1028
iWWVWVWV
Clohftra-Carnoôt
Défaut
de déclaration.
— MarieJ e a n n e , d é b i t a n t e à la Grungf«, a o u v e r t
UQ d é b i t a u m o i s d ' o o i o b r e d e r n i e r m a i s
a omis de demander l'autorisation. Procès
Verbal.
Moëlan
j f g * p p e l . -- Dins ion andlence du 19
ttvriar dernier, la Tribunal correctionnel de
Q a l m p a r l l * condamné à 8 mot» da prison
p ç n r coups anr des voisins, le nommf Lagart
Bélon
Réunion.
— Nous rappelons aux m e m bres de la Cal3se locale du Crédit Agricolo du
canton de Pont-Aven, aux membres de la
Société d'Assurances La Mutuelle Bétail de
Riec-sur Bélon, ainsi qu'à ceux du Syndicat
d'E evage du canton de Pont-Aven, que ces
réunions se tiendront dimanche prochain,
30 mars, à 9 heures du matin, salle Louis
Quômar, à Kercft.
Pont-Aven
- 1 " prix,
100'fr., Bonheur, à M. Ch. Rivler, de Scaër ;
2-, 15 ir. Banquet, à M. J. Bourhis, de Scaôr ;
3', 50 fr., Bouton, il M. Y. Landreln, de Kernévcl«
POULICHES D'UN AN. -
M, HOTTE, 18, rus Savary, Quimparlé
• • • • • • H H a M B B n n H M H H
•
A b u t o d>*ttela9#.
- Y v e s , 25 a n s
d o m e s t i q u e c h e z M. M . . . , a u b o u r g , le 19
mars avait abandonné son attelage p o u r
aller boire u n e bolée au débit situé à
C o t t m é e t . M a l h e u r e u s e m e n t p o u r lui les
gendarmes survinrent.
POULAINS D'UN AN. -
sont achetés au plus haut prix par
M. l'abbé Roseo, docteur en théologie, du
Grand Séminaire français, Jl Rome, est, un
prêtre distingué, zélé, qui laisse, dans la paroisse do St-Mathieu, où il exerça pendant
16 ans, ¡»meilleur souvenir. Après les cérémonies rituelles, M. Rosec, dans un élégant
breton du Trégor, fort bien entendu en BasseBretagne, puis, en français, assura ses paroissiens de tout son dévouement, sans oublier de rendre hommage à son prédécesseur,
M. l'abbé Thomas, dont les fatigues du ministère, durant les hostilités, ont miné la
santé. Il remercie particulièrement l'assistance de l'accueil sympathique qui lui a
été fait le jeudi 12 mars, lorsque 17 chars-àbançs, des cyclistes, des caf allers et des autos
lui formèrent un cortège d'bonneur.
Au chœur, avalent pris T place 23 pritrss,
ayant à l e u r t ô t e MM. les vicaires généraux,
CoRneau et Messager ; Ocvoën, curé de la
Cathédrale; Lo Louët, supérieur de SalntYvos ; Perrot. secrétaire de l'Evêché, etc.
A l'autel, le célébrant fut assisté de son
fl'ère, aumônier de la Salette, à Morlaix, et
de M. l'abbé Pérez, vicaire à Querrien, enfant
d'Ergué-Armel.
i
M. le Maire d'Ergué-Armel, portait la croix
processionnelle.
Au déjeûner qui suivit, plusieurs toasts ont
été prononcée, par M. le viceire général Cogneau, M. l'abbé Thalamot, plein d'humour,
M. Alain Le Berre, négociant, président du
Conseil paroissial, M. Tremlntin, Conseiller
Général, M. le Récitur y répondit en termes
émus.
i t t i C a r ê m e . — D i m a n o h e 30 m a r s ,
des r é j o u i s s a n c e s a u r o n t lieu à PontAven p o u r le m a r i a g e d u fils d e C a r n a v a l
1". Au p r o g r a m m e figurent u n r e p a s e n
plein a i r et u n e l o t e r i e d o n t le lot p r i n cipal est un porcelet.
Ploudalmézcau
Foire.
~ La Foire d ' a v r i l c o i n c i d a n t
a v e c le l u n d i de P â q u e s , e s t d e v a n o e e e t
a u r a l i e u l i e u le l u n d i 14 a v r i l .
S a i n t - P o l - D e - Léon
L e drame
de la, Pauaion
de
NotreSeigueur.
— Le Jeudi 3 avril à 8 heures, la
troupe bretonne de Saiot-Pol de-Léou(220 personnages), jouera pour la dernière fois, sous
les grt ndes Halles, le Drame de la Passion de
Notre-Seigneur, par F. Noël.
Un livret donnant le résumé de la pièce et
des chants est en vente chez Mlle Cocaigu, libraire, place au Lin, à St- Pol.
Prière de prendre les billets d'avance chez
Mlle Cocaigu : 1'° réservée, 10 francs ; 1", 7 f r .
2' 5 fr. ; 3«, 3 francs.
ftforlaix
X,e cours du beurre.
— Le cours du
beurre aux 100 kiio.s a été 1". 23 m a r s de 760
francs pour le Léon et de 7S0 pour la première qualité. Ces cours sont en baisse considérable, plus de 400 francs sur les cours précédents.
;
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i
,
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jt
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!
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fut émis. C'est là un des griefs les plus fondés
contre le régime parlementaire ainsi pratiqué»
que les votes par procuration. Une prochaine
Chambre devrait abolir cet usage, condamné
par Vopinion publique.
La Chambre, elle-même, semble regretter
cette aventure. SI le règlement ne s'y opposait
pas, elle inviterait bien le gouvernement à se
représenter devant les Chambres. Elle s'ajourne
à vendredi, et les députés sont heureux d'apprendre que peut être M. Polncaré reviendra
sur sa décision, qu'il se contentera de remanier
son ministère et d'en écarter M. de Lasteyrle,
lequel en la circonstance, fit, dit « la Cote de
la Bourse et de la Banque » preuve d'un m a n que de sens politique qui n'a d'égal que son
manque de sens financier.
Depuis le 15 janvier 1922, c'est-à-dire, depuis
plus de 2G mois, le ministère Poincaré avait
remplacé le ministère Briand, démissionnaire
depuis les parties de golf de Cannes. C'est le
64e ministère depuis la fondation de la République.
XJn nouveau
miniotère.
— Dans notre
chronique parlementaire nous avons dit les
causes de la démission du cabinet. Les journaux de vendredi matin assurent que le gounement n'a pas été mis en minorité. Le sorutin révisé lui donne 278 voix contre 265, soit 13
de majorité.
M. Poincaré, cédant aux sollicitations do M
Millerand s'occupe, à l'heure où nous mettons
sous presse de rbfondre le cabinet. Des minis
tères seront groupés, par mesure d'économie
budgétaire. Mais rien ne sera changé à la po
litlque nationale approuvée par les Chambres
et le Pays, et dont voici les points principaux.
1' Occupation de la Rhur jusqu'à ce que l'Allemagne ait réparé et assuré notre sécurité. 2Maintien Intégral des mesures fiscales votées
par le Parlement. 3- Application rigoureuse du
régime de réorganisation et d'économie.
Le Président de la République autorise la
presse à déclarer que s'il n'était pas possible à
M. Poincaré de former le ministère, cette mission ne serait confiée qu'à un homme politique décidé à appliquer ce programme.
Sénat
il s'agit de la propriété commerciale. Le
rapporteur M. Serre voudrait voir prolonger
le droit du locataire limite à dix ans jusqu'à
présent.
M o r t d u g é n é r a l N i v e l l e . — Le général Nivelle est mort samedi, après-midi, 22
mai-3, à sou domicile, à Paris, d'une pneumonie double.
Le général de division Nivelle était né a
Tulle le 15 octobre 1836. Il avait, pendant la
guerre, commandé la 2® armée, puis avait été
nommées du nord et du nord-est. Il avait été
membre du conseil supérieur de la Guerre.
Il était grand croix de la Légion d'honneur
et était titulaire de la médaille militaire et de
la croix de guerre.
L a l i v r e . — Elle est un peu au-dessouS
de .79 f r a n c s .
SX. T JERIE
C St
Le shah de Perse, rentre dac3 son royav.mai
Ses sujets ont sursis à ea déposition.
On regretterait beaucoup à l'étranger l'aban,
don du pouvoir par M. Poincaré. L'opinion an-*
glaise est en faveur d'un pacte de sécurité,
depuis l'entrevue de M. de St-Aulaire et de
M. Mac-Donald.
En Allemagne, M. Stressmann fait de l'observation du Traité rie Versailles, la base de son
programme électoral.
Les industriels allemands inclinent, à assumer les prestation?-, et à payer les droits,
comme ils le font déjà, mais ils acquitteront
en outre UDO taxe de 2.000 fr. sur la vente,
taxe établie d'après les statistiques fournies
tous les mois à la haute commission. L'Amérique semble disposée à faciliter les e m prunts chez eile. Enfin les rapports des experts
pourront être remis à la commission des Réparations dans le milieu de la semaine prochaine Il serait donc plus que regretablo do
voir M. Poincaré s'éloigner au moment où sa
politique porte ses fuits.
Ä
mil Bicyclette d'enfant
flUji b o n é t a t . S ' a d r e s s e r
au j o u r n a l .
T
r
perlé, d e m a n d e
d i r i g e r Atelier.
couturière pour
Dames, place
Hervo, à QuimB o n n e Ouvrière pour
mercuriale
du 21 M.ARS
1924.—
T a u r e a u , le kilo. 3.00 à 0.00 ; b œ u f d e
b o u c h e r i e , le kilo, 3.C0 à 0.00 ; v a c h e d e
b o u c h e r i e , 2 ;>0 à 0.00 ; v a c h e s l a i t i è r e s ,
500 ii 1.100 ; g é n i s s e s e t v a c h e s p l e i n e s ,
600 à 1.600 ; p o r c , le kilo, 5.30 à 5.40 :
m o u t o n , 3.40 à 3,50 ; v e a u , 3.90 h 4.00 ;
f r o m e n t , l e s 100 kil. 95 h 97 ; s e i g l e , 7S à
80 : o r g e , 88 à 90 ; s a r r a s i n , SS il 90 ;
a v o i n e , 68 à 70 ; p o m m e s d e t e r r e , l e s
100 kil. 62 à 64 ; f o i n , l e s 500 kil. 160 à 170 ;
paiiie, 110 à 120 ; s o n , l e s IG0 kil. e n g r o s ,
65 ; au d é t a i l , 75 ; f a r i n e d u p a y s , 135
à 137 ; d e l ' e x t é r i e u r , 138 à 140 ; b e u r r e ,
la l i v r e , saié, 6.00 à 6.50 ; d o u x , 5,00 à
5.50 ; œ u f s , la d o u z a i n e , 3.00 à. 3.25 ^ p o u lets, la s o u p l e , v i e u x , 20 à 25 ; j e u n e s ,
12 à 15; c i d r e p u r j u s , 180 à 200: o r d i n a i r e ,
o r d i n a i r e , 140 à 150.
M e s u r e s f i s c a l e s . — (Suite du résumé.
Voir le supplément du 22 mars).
Achat á l'éiranger. — En vue de réprimer
l'exportation des capitaux, le3 personnes qui
ont ù régler des achats de produits, denrées ou
PIANOS - MUSIQUE - INSTRUMENTS
Auray
marchandises destinés à être importés dans un
délai
maximum de six mois, devront faire reFédération
républicaine
indépenliaison Fondée en i860
vêtir d'un avis favorable de la Chambre de
dante.
— D i m a n c h e , u n congrè.s a d é s i Commerce de leur résidence ou de tous orgag n e la liste q u i s e r a s o u m i s e à la r e c t i f i nismes agréés, la déclaration qu'elles sont oblic a t i o n d e s é l e c t e u r s le 11 m a i . Ce s o n t :
gées de remettre à la personne tenant le réperL o r i e n t (!'"'•) c i r c o n s c r i p t i o n : M. SéF A C T E U R DE
PIANOS
toire des opérations du ebange h laquelle elles
v è n e , d é p u t é s o r t a n t : L o r i e n t (2e) M. Le
s'adressent pour obtenir les devises étrangères,
SX-ACCORDEUR
DE LA MAISON
PLBYBL
Moyne, a v o c a t h L o r i e n t ; L o r i e n t (3e)
des chèques ou virements destinés à eiiectuer
M. llodel, i n d u s t r i e l à Q u l b e r o n ; P o n t i v y
ce règlement
d
e
la
Bôve
(
f
S
f
i
f
t
)
LORIENT
Cours
4,
f l " - ; : M. Cadic, o u l t i v a t e u r à N o y a l - P o n En cas de refus d'avis favorable par la chamAccords — Réparations — Echange
t i v y ; P o n t i v y (2-) t\l. Robi/ï, d é p u t é s o r er
bre de commerce ou tout autre organisme,
t
a
n
t
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V
a
n
n
e
s
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V
:
M.
Violle
a
v
o
c
a
t
à
ABONNEMENT A LA LECTURE MUSICALE
l'intéressé pourra demander au ministre des
V a n n e s ; V a n n e s (2-) M. D u b o i s c o n s e i l l e r
Finances l'autorisation d'effectuer l'opériition
T E L E P H O N E 4-21
g é n é r a l d'Allaire ; P l o a r m e l : M. B e r r u y e r
qui aura donné lieu à ce refus.
i n d u s t r i e l à La Croix-Hellan.
Pu8seport8. — Le droit de visa des passeports
Paris
est porté à 3 francs sans décimes.
Un p è l e r i n a g e breton & Paris. —
Connaissements. — Les quotités du droit de
Melgven
La s e m a i n e d e r n i è r e , u n m i l l i e r d e b r e timbr« des connaissements, fixés à 2 francs,
4
oHlÄS^evS'
Service
de huitaine.
— Le vendredi
t o n s d u d i o c è s e d e Q u i m p e r 'se s o n t r e n 1 franc et 0 fr. ¿0 en principal, sont portées
4 avril, ft 10 heures, un service de huitaine
d u s en pèlerinage à Paris, s o u s la direc
4 ^ A s s o r t i s £ftIt£fL?
aux mém^s taux que ceux afférents au grand
sera chanté, en /église de Melgven, pour le ret i o n d e M. l ' a b b e Le Roy. Une p r e m i è r e
papier, nu petit papier et à la mi-feuille de
pos do rame du regretté, abbé Lécnycr, recoèrémome eut
lieu e n l'église N o t r e petit papier de dimension.
D a m e , u n e s e o o n d e a u Sacré-Coeur d e
teur de cette paroisse depuis 21 ans, décédé à
1° s u p e r b e occaM
o
n
t
m
a
r
t
r
e
.
Colis postaux. — Les droits de timbre des
faire de 71 ans. Les habitants de Melgven gars i o n , CAMIOIV.
bulletins d'expédition de colis postaux, fixés à
deront longtemps le souvenir de ce prêtre*
Les p è l e r i n s
n t v i s i t é la c a p i t a l e en
ÎVETTE V l \ « T ! ) F . ( . ü l ^ í i A \ l » , 1.5000 fr. 10 et 0 fr. 20, sont portés respectivement
bon, affable et dont le cœur d'or était connu
a u t o - c a r e t se sont r e n d u s n o t a m m e n t
1.800 kilos : 2° u n e R E M O R Q U E , 2 t o n n e s ,
à Ü fr. 15 et 0 fr. 25 sans décimes. Pous les ende toutes le3 infortunes.
a u t o m b e a u d u Soldat ; I n c o n n u , o ù ils o n t
n'ayant j a m a i s servi. S'adresser Garage
vois contre remboursement, le tarif est de Ofr. 15
a v e o le Maréchal Fooh, c h a n t é le " D e
EVEN, 3j r u e d e P o n t - A v e n , Q u i m p e r í é .
T régime
sans décimes jusqu'à 5 kilos et à 0 fr. 25 auProfundis" et le Domine saivarn fac
RemAgression
nocturne.
— Le Meur Pierre
dessus de 5 kilos.
publicam.
23 ans. domestique de ferme ù Trémot en Tré
Bulletins de bagages. — Le droit est porté
«une « p o r t é p ainte à la gendarmerie contre
de
0 fr. 10 à 0 fr. '¿5 sans décimes.
Yves Pérou 22 ans. scieur chez M Sitre &
P A R L E M E N T
Opérations des Bourses de valeurs. — Le
Pont Aven, qui le 16 courant vers minuit, l'aurait fait tomber de bicyclette et l'aurait ensuite
droit de timbre auquel est soumise toute opéfi app£. La gendarmerie enquête.
ration de Bourse ayant pour objet l'achat et la
lev
Chambre
vente de valeurs de toute nature est porté à
Concurneau
Mardi, M. de Lasteyrie montra l'effort ac0 fr. 50 par 1.000 francs, ou fraction de 1.000
T r a n s p o r t s d e s a b l e s d e m e r p o u r compli par le gouvernement d'acoord aveo francs.
la majorité pour donner satisfaction aux ree l i e r a i s — Le p u b l i c e s t i n f o r m é qu'à
Sur les opérations de report, le droit est
traités. On sait que le Sénat avait voté un
p a r t i r d u 1 e r Avril p r o d h a i n le p r i x
élevé à 0 fr. 20 par 1.000 francs ou fraction de
projet nécessistant des impôts nouveaux, ded e la t o n n e ( m a j o r a t i o n , e t i m p ô t c o m 1.000 francs.
vant lpqu"l M. le Ministre des Finances avait
e o m p r i s ) s e r a b a i s s é à 1 f r . 65, e n t r e
Rien n'est modifié en cc qui concerne les opétémoigné ses appréhensions Aujourd'hui, deC o n c a r n e a u - V i l l e e t C o n c a r n e a u P . O.
rations relatives aux rentes sur l'Etat françaisvant les instances de certains députés de la
a v e o dp. I r u c s t r a n s p o r t e u r s .
Bateaux de plaisanco. — Les bateaux de
majorité, à la Chambre, il admet lui môme
plwisiince, de toute forme et de tout tonnage,
la péréquation qu'il avait repoussée tout
munis d'un moteur mécanique, naviguant à
d'abord, mais il demande à la Chambre, de
le Journal vraiment moderne et praPour Assurances
1 intérieur des eaux territoriales, sont soumis
maintenir les ouvriers d Etat sous le régime
tique de la Femme et Je la
Maison.
aux mêmes formalités que les véhicules autode la loi de 1919. étant entendu que le» veuves
mobiles
et
passibles
d'une
taxe
de
10
francs
par
et les accidentés du travail bénéficieront d'un
HP ou fraction de IIf et par au, avec minimum
Chaque N° de o fr. 5o
projet t-péclal. li demande également aux déd'imposition de 3 HP.
contient :
putés, sur la question des accroissements, des
Un dixième du produit de l'impôt sera attrimaxima, des limites d'âge, do se conformer
bué aux départements.
aux désirB du gouvernement. Quant à la caisse
U n B o n - P r i m e J e 1 fr.
Pour les famlllos nombreuses. — En ce qui
des pensions devant fonctionner avec le
concerne l'impôt cédulaire sur les traitements
système de la capitalisation, elle imposerait
à é c h a n g e r c o n t r e des
produits
• t salaires, les déductions accordées aux conau Trésor des surcharges importantes sans
u
8
F
U
R
,
0
P
o
n
t
tribuables pour situation et charges de famille
6
bénéfice réel pour les Intéressés.
a l i m e n t a i r e s Afi p r e m i è r e m a r q u e .
sont fixées à S.C00 francs pour la femme, si
Mercredi 26 mars, à midi, la discussion se
Arec les patrons 3e la. Mode Pratique,
celle ci n'a ni salaire, ni revenus personnels :
poursuit; l»*s Hi'putés semblent plus rétiis à
vous
ferez
toutes
vos
robe*.
3 000 irancs p «r enfant de moins de dix huit
Quimper
s'incliner 'levant in gouvernement. M Poin
ans
ou
infirme
et
non
salarié,
et
2.000
f
a
n
e
s
caréest lui-mflm.' ft la Commission des Affaires
Le
banquet
du 86* Cor.
— Vn
LA M O D E
PRATIQUE
par personne à sa charge.
étnmizèreù I o • s'entretient 'lu traité de
g r o u p e d ' a n c i e n s c a m a r a d e s d u 86e l e r r i Pour
ce
qui
est
de
l'impôt
généra)
sur
le
reLauznnn" A » C h - m b ' e divers orateurs prorapporte 100 fois ce qu'elle coûte.
to-ial a d é c i d é d ' o r g a n i s e r u n b a n q u e t
t. >.t. r,t roivre. |i> projet 'lu gouvorni m»r.t, no : venu, la déduction sur le revenu du contri- I
le d i m a n c h e d e la Q u a s i m o d o , 21 a v r i l
buable
est
portée
à
3.000
fraucs
pour
chaque
79, B»J St-Gormain, PàwS. ' R.C-.S.i...«.«,..
(animent cm» re la n fiw ( l ' a d m e t t e les retep i v c b a i n , à m i d i , salle F r i a n t , r u e d e
nues rétroactives. M. Ba «nant répudie la t enfunt au dessous de 21 ans et resté à la charge ,
D o u a r n e i u z, 83.
dispense do retenue accord'o auxX olïlcierB. v de ses parents et pour chaque personne au I
Les c a m a r a d e s q u i d é s i r e r a i e n t y p r e n delà de la cinquième, quel que soit son ûge.
Il demande la concession d'une allocation à
d r e p a r t s o n t p r i é s do se f a i r e i n s o r i r e
Evaluation des propriétés foncières. — Une I
certaines veuves au moins à celles dont le
a v n u t le ¿ô nvril c h e z MM. Cloarec, s é c r é révision exceptionnelle des évaluations fonmari est mort, avant d'nvoir acquis le droit à
taire, brigadier d'octroi ; Bernard, r u e
LE PLUS MODERNE DES JOURNAUX
cières dans toutes les communes sera entrela re raite. M. Goude reproche au gouverneDocnnenUtion U plu» complète «t la »las Tarit«
E l i e - F r é n o n ; G l o a g u e n , 10 r u e d u Sallé ;
prise en 1924; leurs résultats serviront à l'asment d'avoir rétréci la portée du projet. M.
Mme F r i a n t , 83 r u e d e D o u a r n e n e z , Q u i m siette de l'impôt à partir du 1" janvier 1926
Bouysson demande le renvoi du projet à la
per
Pour la circonstance, certaines formalités deCommission pour que cello-ol reprenne, elleP r i x d u b a n q u e t : 10 f r a n c s
vront être accomplies par les propriétaires.
même, le texte du Sénat. M. de Lastoyrie proteste que pour aboutir, le vote du texte, tel
Pénalités p o u r les paiements tardifs. -—
Nouvel
avoué.
— Nous apprenons avoo
GRAND II.LUSTRÉ QUOTIDIEN à 2 0 C e n t .
qu'il HO présente, s'Impose, et pose la question
Tout contribuable qui n'uura pas intégralement
plaisir q u i M" François Qut'ïnnec, avocat au
de oonflance. MM. About et Emmanuel Brousse
payé, à une date qui sera fixée annuellement
TROU MOU SIX MOU UN A!»
barreau de Quimpor, vient de prêter s e r m e n t
IbcnnMianIs 1EKCEISI3B
—
—
l'approuvent, une crise ministérielle ne poupar la loi de finances, les contributions directes
en qualité d'avoué, près da oe siège, on rempour IM Otpirliiuesls... 18 fri
34 fri 65 (r*
vant que discréditer la cause dos retraités de»
et taxes assimilées à son nom et devenues exiplacement de M* Morei, démissionnaire en sa
Spdcimrn franco tur demande. . Fn s'eintnant
vant l'opinion publique. MM. OsBOla et Aubriot
gibles subira uno majoration d'impôt de 20 0/0,
20^ rue d'Eflfhim, Parit. far numJu' ou châtie fxulal
faveur. Toutes nos félicitations au nouvel
supplient lo gouvernement de ne pas insister
sans préjudice des frais ot poursuite qu'il aura
(Compir n° 5/70.'. JtmanJt! la liste et U\ ¿¡¿ciment
otlloler ministériel.
s u r la question do confiance, mais M. de Lasdei Primo ciatuitvs /ori intére:,antri.
encourus.
teyrle y persiste. On voto et par 271 voix conPour les contributions et taxes comprises sur
lïaiaaance.
— Nous sommes heureux
tre 804, le renvoi à la Commission est prononcé.
tous le* l'ûlc» émis Jusqu'au 31 décembre 1923
d'apprendre la naissance do Plorre-Marlo ttnné
MM. do Lasteyrio, Strauss, Vidal ot d'Aubigny j )n date cl-dessus est fixée au 1" janvier 1924.
Lo Oran i, fils du sympathique photographe
quittent la Mlle dos séances.
Omission ou Insuffisance des déclarations
de 1* roo René Made^. A M. et Mme Legrand
d'Impôt. — Tous ceux qui, avant lappllcatioa
A midi 3d, M. Poincaré, informé, se rend
compliments, et nos vœux de bienvenue au
EXCELSIOR
DIMANCHE
de la loi, auront omis de souscrire des déclaraprès de M. Millerand et malgré les iasîanccs
bôi'é.
tions
d'Impôts
ou
souscrit
des
déclarations
ludu
Pré
ident
do
la
f
l
é
p
u
b
l
i
j
u
a
,
r
e
m
e
t
sa
Mafazir» Ulcitri ai evo/tur,
Frgué-Armel
16pagss
cent.
sulHsiuitcs, ou encore indiqué dans des actes
démlsMon
lnët.tll"tiem
du s e o r s i n
Reoteur.
poriant mutation entre vifs de propriété ou do
Il parait cependant que le vote le mettant
AhnsMDfits i DIMIICHMllUSmt SIX MOIS UN AN ...
Dimanrh , 23 mars, M. l'abbé Le Jolleo, recIl
joulssuncc de biens, Immeubles ou de fonds de
ou échec est lo résultat l'une surprise et d'une
teur de Saint-Mathieu, d« Quimper, délégué
Frani, Colonies it Réjlíni Mtopfa. G.SO 12 f r »
commerce, des pièces inexactes, et qui, spontaconfusion. Après leoture du prooès-verbal,
Siliqua il linmtourg
par vi. m chanoine Orvoin, curé-archlprêtre
7 . 5 0 1 4 fra
nément, dans les six mois do la promulgation
l'aprèH midi, plusieurs députés ont demandé à
Üraajw
1 3 fra 2 5 frs
de a Cxtkédralo« a pro&é lé à l'installation de
do la loi, répareront leurs omissions ou reetlrectifier leur vote. Les uns ôtaiont absents,
, l'ibbe Roiar, pf*<4d«mm«ot vicaire»* Stles autres en eommlsslen», au moment où il t fieront leurs fcituallons.
«Itoîeu.
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mune de Quimperlé, à 500 mètres
S'adresser au bureau du journal. environ de la gare de cette ville,
comprenant: 1- Un grand bâtiment
en ciment armé à usage de cidrerie.
Etude de Ht» TAMIC, huissier
Dans le rez-de-chaussée ont été
à Quimperlé
édifiées dix cuves en ciment armé.
Le premier et le deuxième étage
ont des planchers en ciment armé.
Le deuxième etag* communique de
plein-pied avec le boulevard de la
Le dimanche 30 mars 1924, à 14 h., gare; 2- Un grand bâtiment en bois
rue de l'Hôpital, n- 14 bis, a Quim couvert en ardoises à usage de ma
gasin, oomposé d'un rez-de chaussée
perlé.
et d'un étage, et communiquant avec
Au comptant 10 0/0 en sus.
la cidrerie par un pont à l'étage;
3- Adossé en appentis au pignon
Etudes de M* Hm. BOT, avoué à nord ouest de la construction préQuimperlé. rue 8av*ry, n° 20, et cédente, un hangar clos aveo grede M* PEAN DE P0\F1LLY, nier; 4- Au nord-ouest du bâtiment
notaire à Pont-Aven.
préoedent dont elle est séparée par
un chemin,une maisond'habilation,
avec façade aspectée au midi, construite en pierres et couverte en ar
doises. comprenant s Rea de-chaussee et grenier sur toute sa longueur ;
PAR
INCITATION
"j- une maison d'habitation autrefois
a usage de moulin située au nord
du bâtiment précédent dont elle est
séparée par une petite crèche consà 10 heures du matin
truite en pierre et couverte en arEn l'étude et par le ministère de W PEAN dePONFILLY doises, comprenant rez-de-chaussée
et étage. D <ns la partie nord de ce
notaire à Pont-Aven
bâtiment se trouve une turbine de
sept chevaux environ avec son moteur en parfait état de marche
Chûte d'eau de 3 mètres 50 environ,
surmontée d'une retenue" d'e u ;
8- Au pignon sud de la maison préSitués en la ville de Pont- cédente coniigue aveo la maison
portée au n- 4, une petite crèche
Aven, route de Quim- construite
en pierres et couverte en
perlé, près la gare de ardoises; 7- le terrain situé rive
gauche du ruisseau à partir du
Pont-Aven.
courtil RANN0U, terrain, chemin et
PREMIER LOT. - Une Maison, courtil s'étendant entre le boulevard
a n A p p e n t i s servant de cave et de de la gare au »Nord-Est et une
remise, un BAtlment à usage de ligne perpendiculaire au boulevard
ouisine et de décharge et une Par- de la gare, à 38 mètres 90 du pif on
c e l l e d e t e r r e sous jardia et Est du grand bâtiment à usage de
pûture.
cidrerie, le surplus du terrain à
Contenance approximative 532 mè- partir de cette l'gne jusqu'à l'extrétres oarrés 35.
mité Nord Ouest du '.alus séparatiî
des
prairies de St Nicolas et de BoiMise à prix : 18.000 francs. sanger,
étant réservé par les vendeurs
;
Sla chaussée rive droite
DEUXIÈME LOT. — Au levant du
ramier lot, u n e P a r c e l l e de bordant le oours d'eau depuis sa
erre sous jardin, plantée de frui- sortie sur le boulevard de la gare
jusqu'à la turbine II Une maison
tiers et d'arbres de haute futaie.
d'habitation denommée Maison du
Contenance approximative 447 mè- Directeur, avec jardin devant et
tres oarrés 12 déoimètr» s oarrés.
petit terrain vague derrière. Cette
Mise à prix : 4.500 francs. maison aspectée 1 au midi faisant
equerre avec le n 5, paragraphe 1,
TROISIÈME LOT. - Au levant et construite en pierres et couverte
tai?ant suite au deuxième lot, u n e en ardoises, oomprenant un rez-deP a r c e l l e d e t e r r e sous jardin et chaussée, un étage et un grenier
au-dessus. Le rez-de-chaussée oompâture.
prenant deux grandes pièces donContenance approximative 775 mè- nant sur le jardin séparées par un
tres oarrés 50.
oouloir, une petite pièce de débarras
Mise à prix : 5.500 francs. derrière et une «ave à l'extrémité
ouest. Le premier étage oomprend
QUATRIÈME LOT. - Au levant du trois chambres et un oabinet de
troisième lot et y faisant suite, une toilette donnant tous quatre sur un
P a r o e l l e d e t e r r e sous jardin, couloir. Ces immeubles semblent
d'une contenance d'environ 247 mè- j portés au cadastre de la commune
très carrés 50.
de Quimperlé sous les n - 9«, 27, 21,
25 bis et 25 p de la section G et joiMise à prix : 1.200 francs. gnent au Nord Est RANNOU et bouClause de réunion des premier et levard de la Gare, au Nord-Ouest
deuxième lots, puis des troisième RANNOU et CANN1VET, au Sud-Bst
et quatrième lots, enfin des quatre les vendeurs, sur une longueur de
38 mètres 90, comme il est dit cilots.
dessus, et au Sud Ouest de BOLL'avoué
poursuivant,
SANGEll, CANNIVET, représentant
des oonsorts T0UL1C et autres. Tels
Em. BOT
au surplus que oes immeubles
s'étendent, se poursuivent et comportent aveo leurs circonstances,
Etude de M* Eni. BOT, avoué à appartenances et dépendances.
Quimperlé, rue Savary n- 20.
Aveo déclaration à Monsieur le
Procureur de la République et à
autre partie intéressée que la
dite notification leur était faite
conformément à l'article 2194 du
Code civil pour qu'ils aientà prendre
— - .
j telles inscriptions d'hypothèques
légales qu'ils aviseraient dans le
Suivant exploit de M" LE QUERE, ' délai de deux mois et que faute par
huissier à Quimperlé, en date du j eux de se mettre en régie dans ee
2G mars 1924, enregistré et à la re- délai, les immeubles dont il s'agit
quête de : 1* Madame Marie-Isabelle seraient et demeureraient déflniii
LE OOFP, veuve de Monsieur Fran- vement purgea et libérés entre les
çois-Hyacinthe C0QUART, sans pro- mains des acquéreurs de toute«
.ssion, demeurant au Huelgoat, au hypothèques de oette nature.
lieu de Pors-Anquen; 2* Madame
Aveo déclaration enoore à Mon
Françoise-Marie-Louise LE QOFF,
veuve de Monsieur Jean MarieGUER- sieur le Procureur de ¿a République
LESQUIN, sans profession, demeu- que les anciens propriétaires des
rant a Huelgoat, au lieu de Pors- dits immeubles sont indépendamAnquen, pour lesquels domicile est ment des vendeurs : 1* la Société
élu on l'étude de M" Em. BOT, avoué anonyme la Ruche de St-Nicolas
près le Tribunal civil de Quimperlé, ayant son siège â Quimperlé, boule
demeurant dite ville, rue Savary vard de la Gare ; 2- M. René BELIERS
n* 20, il a été fait notification a lils, industriel et Mme Marguerite
Monsieur le Procureur de la Répu- ROULUND, son épouse, demeurant
blique près le Tribunal oivil de ensemble à Douarnenez ; 3' Joseph
Quimperlé et à autre partie inté- Marie REMOT et Mme Jeanno-Marie
ressée, de l'expédition d'un aote LE GOFF, son épouse, demeurant endressé au greiïe du Tribunal oivil semble à Quimperlé; 4- M. Jean-Mario
de Quimperlé, le 14 mars 1924, enre- DBLLIOU, demeur n t à C a u d a n ; 5gistré, constatant le dépôt fuit au Mme Marie TUEP#T, veuve DËLL1ÛU
Louis, débitante, demeurant a Quiuiircife la dit jour, de la copie colla- perlu; 0' Marie DELHOU ; 7- lïugùne
ionnée. d'un aote au rapport de UELL1UU, ces deux derniers, en
M* ROLLAND, notaire h. Quimperlé, l'unis do Louis 1>ELLJQU déuédô ;
en date du 31 décembre 1923, enre- 6- Yvonne DELLIOU, domestique
gistré et transorit, duquel il appert demeurant à Quunpeile; 9- Puul
que Mesdames COQUART et GUER DELLIOU, marin au commerce, deLESQUIN ont acquis de M. Joseph meurunt ù. Quimperlé; 10- Julien
LE GOFF, propriétaire et négooiant DhLLiUU, boulanger, domicilié à
. L Mme Mélanie R A V A L E C . son Cttuduu; 11- Mmo Marie-Julienne
vpouse, demeurant ensemble au N AUEC, épouse Jean-Marie DELLIOU,
Beaubois, en la commune de Quim- deceueu ie 4 août 19U0; 12 Louif
perlé, et de M. Louis DKOUGLAZET UKLL1WU tleoede ; 13- Philibert, DE
et Mme Louise DUVAlL, son, épou^v LrtJtf décédé le 9 férvrfar fo» ;
demeurant ensemble a« Bourg de
Vente d'un Bon Mobilier
V
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LE JEUDI 10 AVRIL 1924
D'IMMEUBLES
£
PURGu
d'Hypothèques Légales
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VEZ-GUING
D E S NOUVEAUTES INTERESSANTES
Jean-Marie DELLIOU fil?, décédé, Etuds de M» A. ROLLAND, notairee
le,26novembre 1908; 15- M.Alfred
à Quimperlé (successeur de M
MAIGNAN et dame Nathalie LE FOL,
CACHET).
son épouse, demeurant au Moustoir
eu Lorient ; 16- Mme Angeline LE
FQL, sans profession, épouse de
M. Augustin-Marie LE BRIS, anoien
adjudant de la mariie demeurant à
Etel (Morbihan) ; 17- M. Camille LE Le Vendredi 25 Avril 1924
FOL, employé au chemin de fer
à 10 heures du matin, en
Vétude,
d'Orléans demeurant à Pontivy
(Morbihan) ; 18' M. Lëonce LE FOL,
mécanicien demeurant à Paris, rue
d'Eupatoria n- 19 ; 19- Mme Amélie
LE FOL épouse de M. Théodule
sis à ROZAMBELLEC.
BOULLER, capitaine en retraite, demeurant à Lorient; 20' M.Joseph
à l'entrée du bourg de GLOHARS-CARNO T.
LE FOL, employé tanneur demeurant à Lorient ; 21- Mlle Antoinette
PREMIER LOT
LE FOL, demeurant à Quimperlé ;
Uno
Grande
Muison d'habita22- M. Aristide LE FOL, sous com- tion, en deux corps
missaire de la Marine, demeurant oomprenant ensemblede 3 bâtiments,
pièces au
h St Pierre Miquelon ; 23- Adhémar rez-de-chaussée,
3
pièces
et 1 cabiLE FOL charron, demeurant à Van- net au premier étage, mansarde
et
ne«; 24- Mme Julienne Louise Fian- grenier.
çoise CHESNEL et M. Ange Marie LE
Cour devant et dernière la maison.
FOL, tous les deux décédés; 25*
M. Michel DELLIOU meunier à Quim- ! Hangars et dépendances.
perlé; 26- M. Michel CHESNEL né-j Mise à prix : 20.000 francs.
gociant, et dame Mai ie Jeanne
PINEL, sa femme et que tous ceux
DEUXIEME LOT
du chef desquels il pourrait êtr..l Une autre Maison dite « T 7 pris des inscriptions d'hypothèqu« TEOL
», derrière la précédente,
légale n'étant pas connue des ac
2 pièces au rez-de
quéreurs, ils feraient publier la comprenant
chaussée,
grenier
au-dessus.
dite notification dan un journal
Terrain
au
midi
de la maison,
d'annonces légales, conformément
à l'avis du conseil d'Etat du 9 d'une contenance de 600 mètres carrés, en bordure de la route de Quimmai 1807.
perlé à Clohars ; autre petite parcelle
sous prairie.
La présente insertion a pour but
de purger les immeubles dont il Mise à prix : 7.000 francs.
s'agit de toute» hypothèques légales
inconnues.
Jouissonce immédiate par la perception des revenus.
Quimperlé, le 27 Mars 1924.
Pour tous renseignements s'adresser au notaire.
Adjudication Volontaire
II n'est pas répondu aux demandes de renseignements qui
ne contiennent p a s un timbra
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reau du journal.
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Le fonds du domaine congéable de Kerlaouenan, exploité
uvoué-lioenciè, 6, quai Bnzeux, à prairie, terres plantées et terres par MM. Briec et Le Gall, 30 hectares 50 environ.
Quimperlé.
l a b o u r a g e s , contenance totale :
4 h e c t a r e s environ.
Et diverses autres Propriétés situées dans le Finistère.
Jouissance immédiate.
• ' u n jugement rendu par défaut
par le Tribunal oivil de première
S'adresser à M M . H A R E L & G U I C H E T (Maison B E R N Pour tous renseignements s'ainstance de Quimperlé, le 11 avril dresser au dit M9 AFFICHARD.
H
E
I M Frères et Fils,) 4, rue Vis, à Quimper.
1923, enregistré,
Xtntr*
:
Monsieur Emile Joliff, menuisier,
demeurant à Quimperlé, 88, rue du
Bourgneuf;
Mt
Madame Louise Discot, épouse
dudit M. Emile Joliff, couturière,
demeurant à Quimperlé, 38, rue du
Bourgneuf;
Il
f
;
mpport
Ch.
t
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17, Rue Savary, QUIMPERLÉ
Q u e Je divorce a été prononcé
d'entre lesdita époux, à la requête
et a« p r o | t du mari.
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Y -M.
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à Quimperlé, (successeur de M*
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Maux de Gorge. Rhumes, Coryzas aifiii et
Chronique GUBRI8 p a r les P A S T I L L E S
o o m p r l m é e » D D P E Y E O D X , W Oman
ÛELAFONTENELLE, à Stndillon (Loiret)
atteint en
décembre 1919 do laryngite, souffrait de picotements dans la gorge qui provoquaient une
toux pénible et de crises d'oppression qui l'obligeaient à rester assis une grande partie de la
n vvn(T
l ui ti t » n r n m t a .
SOUVKIït étCilltft.
ni>m> sS»
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ejnou^e, souvent éteinte.
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n d
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e ss tt rr aa v
v aa u
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x v«M*
m é U o r i e n quelques jours, guéri «u quelques
de construction
3 M » (atjait. du 7. juiile! WM, confirmée
â Bourie Ifi Janvier 19i3). M'FA BUE AHTHEMON
PHARMACIEN D E 1 " C L A S S E D E LA F A C U L T É D E P A R I S
ues
tnourno-Minndoi (Tarn), guéri en
semaines d'un rhume de cerveau chronique dont
ANCIEN CHEF DE LABORATOIRE — ANWEN INTERNE DRS HOPITAUX DE PARI*
depuis
un an
(attest. du/lui
S Allévrier
Montant du devis, 3 3 . 8 0 0 franos Il• a «souffrait
»
n
* » «A f
j_ J^An »
A r h T
DOCTEUR DS L'UNIVERSITÉ
cpnflrmée le 23 janvier >923). M— CULNAERTPour tous renseignements, s'aiAnEZ, cmiturJÙre à Nauvellt-Eillsfi par Au3,
Place
Carnet
Téléphone n» 7
QUIMPERLE
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i, souffrait depuis décembre
dresser à Quimperlé, 14, rue de
.
.
„
.
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e
avec
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au
palal»
et
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corne qui l'empêchaient de dormlr. Elle fut instantanément soulagée par les
* I Pastillas Dupeyroux, puis définitivement guérie
1/1 C l I V
I m i n r o
nnniprci malgré plusieurs rechutes successives (attesi.de
V I E U X
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P A L 1 , E R S , décembre 1049, confirmée le 1« février 1923).
T
^
a n c i e n s , . M*,Sol»n» SOURDIN, à Lorlgèi (Ailler). prenait
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M. L E D A U L T , I i e i t e u n l e u n ( p , . 1 péniW Les P é t i l l e s p u p e y r o u x j a j u é r l r e n i
quelques semaines (attest. du 18 die. 1922)
nistère). Se rend sur place à ses en
M" H1' BLANCHET, rue Campanài, à Avignon (Vau
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