CHRONOLOGIE DES PIANOS DE LA MAISON PLEYEL
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CHRONOLOGIE DES PIANOS DE LA MAISON PLEYEL
CHRONOLOGIE DES PIANOS DE LA MAISON PLEYEL cg L'Harmattan, 2000 ISBN: 2-7384-9846-9 René BEAUPAIN CHRONOLOGIE DES PIANOS DE LA MAISON PLEYEL L'Harmattan 5-7, rue de l'École-Polytechnique 75005 Paris France L'Harmattan Inc. 55, rue Saint-Jacques Montréal (Qc) CANADA H2Y 1K9 L'Harmattan Hongrie Hat"gitau. 3 1026 Budapest HONGRIE L'Harmattan Italia Via Bava, 37 10214 Torino ITALlE Cet opuscule est le résultat d'une très ancienne passion pour le piano en général et le piano français en particulier. Il a été réalisé avec nos propres moyens, sans aide financière aucune. Les Editions L'Harmattan ont bien voulu considérer le manuscrit avec bienveillance. SOMMAIRE INTRODUCTION page 9 MATERIEL ET METHODE page 13 Origine des documents page 13 Méthode de présentation page 14 RESULTATS page 17 Chronologie générale page 17 Chronologie spécifique des modèles page 25 Les figures page 61 Tableaux de cordes page 107 Nombre de pianos produits par année page 113 DISCUSSION page Il 7 Les pionniers de la facture du piano page 117 La deuxième vague et le piano moderne page 118 La position de Pleyel à l'égard de ces deux courants page 120 Evolution des pianos Pleyel page 121 CONCLUSION page 129 BIBLIOGRAPHIE page 131 REMERCIEMENTS page 135 ANNEXE page 137 Liste du premier numéro de sortie d'usine de l'année INTRODUCTION Fondée en 1807 par Ignace Pleyel, la Maison Pleyel figure parmi les plus anciens fabricants de pianos d'Europe. De 1807 à 1961, l'année de sa fusion avec la firme Gaveau, plus de 200 000 pianos ont été fabriqués. La firme a construit quelques dizaines de pianos les premières années, plus de 3 000 en 1907, cent ans plus tard. Plus de mille pianos de concert ont vu le jour et le quart de queue 3bis suivi, dans une forme modernisée, par le modèle F, a eu un succès considérable totalisant une production de plus de 15 000 exemplaires. L'essor de la marque débute en 1827 avec l'obtention de leur première médaille d'or attribuée à l'occasion de l'Exposition nationale des Produits de l'Industrie. Les registres de fabrication et de ventes de la Maison Pleyel révèlent que le compositeur Gioachino Rossini possédait des Pleyel (un pianino en 1832 à Paris et en 1839 un piano à queue à Bologne en Italie) et Vincenzo Bellini, lors de son séjour à Paris, avait acquis un pianino en 1834. La préférence de Frédéric Chopin pour les pianos Pleyel est connue mais on peut encore citer le compositeur Fromental Halévy qui était propriétaire de deux pianos à queue livrés en 1841 et 1842. Les cantatrices Pauline Viardot et Cornélie Falcon possédaient des Pleyel, la première avait acquis un piano carré en 1833, la seconde un piano vertical en 1839. Pendant la première moitié du XIXe siècle déjà les pianos sont exportés dans plusieurs pays européens et les registres mentionnent des expéditions dans le Nouveau Monde, à New York et à La Nouvelle Orléans, notamment. Ceci atteste le dynamisme de la jeune firme et la faveur qu'elle avait acquise auprès des musiciens partout dans le monde. Ensuite le nombre des adeptes des pianos Pleyel ne cesse d'augmenter. Parmi les compositeurs on peut trouver les noms de Charles Gounod (qui a traité gentiment de « crapaud» le petit modèle 3bis), Camille Saint-Saëns, Jules Massenet (dont le piano bureau est un 3bis de 1907) , Claude Debussy (qui, hormis un piano Bechstein, possédait 2 pianos à queue Pleyel), Igor Stravinsky (la Maison Pleyel avait mis à sa disposition un studio de répétition), Arthur Honegger, Francis Poulenc, Jacques Ibert, Manuel de Falla, Edward Grieg, Richard Strauss... parmi les pianistes on peut encore citer: Alfred Cortot, Robert et Gaby Casadesus, Samson François, Clara Haskil (prise en photo dans sa jeunesse devant un Pleyel droit), Vlado Perlemuter (très attaché à son Pleyel de 1929)19, et Wanda Landowska quittait son clavecin (Pleyel) pour se mettre au piano Pleyel. Même Arthur Rubinstein (<< pianiste Steinway») et Marguerite Long (<<pianiste Gaveau») se sont prononcés favorablement à l'égard des pianos Pleyel. Au temps présent, on a pu noter, au passage, que les pianistes François-René Duchable18 et Jean-Marc Luisada18 ont exprimé leur attachement aux pianos Pleyel dont ils sont propriétaires ainsi que le chanteur Claude Nougaro17. Les registres de la firme indiquent que plusieurs pianos de concert étaient destinés à l'ORTF, d'autres étaient mis à la disposition des concertistes pour leurs concerts ou pour les enregistrements discographiques. Ainsi les pianos Pleyel étaient très appréciés et ils ont occupé une place importante dans la vie musicale. Leur sonorité a accompagné des compositeurs pendant leur travail de création et ensuite une fois l' œuvre achevée, ils l'ont fait sonner dans la salle de concert. La Maison Pleyel perd son indépendance en 1961. Le dernier piano de concert Pleyel fabriqué en association avec la firme Gaveau Erard date de 1969 et l'arrêt total de 10 la production a eu lieu en 1971. Une longue évolution a été ainsi interrompue. Le souvenir s'estompe: le grand piano Pleyel ne sonne plus dans les salles de concert; le nombre de personnes qui ont connu de près la Maison Pleyel diminue. Il reste le mythe, une nostalgie, des regrets et les pianos. Nombreux étaient les modèles proposés aux pianistes et le but de cette étude est de retracer d'une façon chronologique leur développement, souvent complexe, en réunissant des données contenues dans les différents documents, très dispersées, afin de tenter d'établir un mémento pour ce qui commence à appartenir au patrimoine. Il MA TERIEL ET METHODE Trois sortes de documents ont servi à établir cette chronologie. En premier lieu ont été consultées les publications de la marque, brochures de publicité et affiches de tarif au Centre de Documentation du Musée de la Musique à Paris, à la Bibliothèque Nationale de France à Paris, à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, aux Archives de la Ville de Paris et aux Archives municipales de la Ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ainsi qu'auprès des particuliers, professionnels du piano. Les registres de la Maison Pleyel étaient la deuxième source de renseignements importante. La firme a tenu deux types de registres: le registre de sortie d'usine dont les numéros vont du début de la production en 1807 jusqu'à la fin, en 1971 et qui indique l'année de fabrication de l'instrument. Plus tard, en 1895, la firme a introduit un matricule de fabrication qui est donné au début de la construction du piano en usine. Ces registres se trouvent actuellement à la Manufacture française de Pianos à Alès (Gard), propriétaire de la marque Pleyel. Le troisième moyen pour récolter des données a été les brevets d'invention détenus à l'Institut national de la Propriété industrielle (INPI) à Paris. Ils ont fourni des précisions sur l'introduction de nouvelles voies en ce qui concerne le cadre des pianos et leur mécanisme. A partir de 1971 les modèles ayant porté la marque Pleyel sont déterminés selon les documents édités par la firme Schimmel à Brunswick (Allemagne) qui avait pris la marque à son compte cette même année et la Manufacture française de Pianos à Alès (Gard) qui en est le propriétaire depuis 1994. La méthode de présentation des données rassemblées est faite d'une façon chronologique selon les catégories de pianos adoptées généralement: pianos à queue de concert (de 2m85 à 2m45), les trois quarts de queue (autour de 2m35), les demi-queue (à partir de 2mOO), les quart de queue (de 2mOO à 1m50) et les modèles extra réduits (de 1m50 à 1m30). Pour les pianos droits, nous avons suivi les 2 catégories pianos adoptées par Pleyel: à cordes parallèles obliques et à cordes parallèles verticales (pianinos). Ce sont surtout les registres Pleyel, consultés à la Manufacture française de Pianos à Alès qui ont fourni les renseignements sur les modèles pour la période de 1807 à 1855. Pendant la période de 1855 à 1961 l'évolution des pianos a pu être suivie avec des intervalles de 10 à 15 ans environ à l'aide des tarifs, catalogues ou affiches de publicité déterminant ainsi les modèles proposés aux époques successives, le premier tarif disponible à la Bibliothèque nationale date de 1855 et il a été destiné à l'Exposition universelle de Paris de cette même année. Les registres ont surtout permis d'établir le début et la fin de la production d'un modèle et le nombre d'exemplaires produits mais ils contiennent parfois quelques observations, mises dans la marge, telles que cadre acier ou nouvelle production et des abréviations qu'il fallait décrypter. Lorsque les descriptions contenues dans les documents sont citées pour la première fois et reproduites littéralement, elles sont marquées en italiques et elles sont souvent augmentées par des observations personnelles. Les données qui proviennent des tarifs, catalogues, plaquettes de publicité ou affiches sont désignées par «tarif ». Ces documents ne comportent pas toujours les prix: ils étaient alors marqués sur une feuille volante qui a disparu. La 14 provenance des données des deux autres sources est désignée par « registre» et par « brevet ». Le comptage du nombre d'exemplaires des modèles a été effectué à l'aide d'un compteur de cellules manuel, utilisé en Biologie cellulaire. C'est le registre qui indique le numéro donné au début de la fabrication (N° fabr.) qui a été choisi à cette fin. Dans ce registre, lorsque la fabrication en série d'un modèle est lancée, les numéros de fabrication sont groupés et se suivent, facilitant le comptage. En revanche, les numéros de sortie d'usine (N° de sortie) d'une même série de modèle ne se suivent pas, la durée de la fabrication des instruments n'étant pas identique. Dans les périodes de faible production d'un modèle, dans laquelle il n'apparaît que sporadiquement, quelques exemplaires peuvent échapper au comptage: les chiffres avancés sont donc exacts à quelques unités près. Le comptage a été limité aux modèles de la dernière génération, celle développée après 1924, l'année du début d'un renouvellement complet de la gamme de pianos à partir duquel les modèles sont désignés par des lettres et non plus par des chiffres. Une exception est faite pour les modèles N° 3 (demi-queue) et 3bis (quart de queue). Le modèle N° 3 a été maintenu sans modifications pendant que les autres modèles ont été rénovés après 1924 : il ne sera actualisé qu'en 1937 et appelé modèle C. Le comptage a été effectué à partir de 1906, l'année où débute la construction à cordes croisées et cadre coulé, la nouvelle fabrication. Le modèle 3bis a eu un. succès si considérable qu'il a paru intéressant de connaître le nombre d'exemplaires produits. Le comptage a été effectué également à partir du début de la nouvelle fabrication qui commence pour ce modèle en 1908. Le nombre des pianos produits par an est calculé à partir du numéro de sortie du premier piano de l'année et du premier numéro de l'année suivante. , 15 Les figures ont été choisies pour leur représentativité d'une époque: le tarif de année 1875 pour la deuxième moitié du XIXe siècle; le tarif de l'année 1905 pour le début de la fabrication des pianos modernes, la «nouvelle fabrication» ; le tarif de l'année 1933 pour les modèles après le renouvellement de la gamme en 1924 et le tarif de 1953 pour représenter les derniers pianos, avant la fusion avec la firme Gaveau Erard. En addition, des tableaux de cordes des derniers modèles de pianos à queue sont présentés comprenant la partie vibrante de la première corde et la dernière corde de chaque catégorie (unicordes, doubles cordes et triples cordes) et la position du croisement. Afin de pouvoir comparer les différents modèles entre eux, des repaires fixes sont établis indiquant la longueur vibrante de la première note, la Il e, 22e, 44e, 66e et 88e note. Les documents qui ont servi à l'établissement de ces tableaux de cordes proviennent des Archives de la Manufacture française de Pianos à Alès à l'exception du Modèle C pour lequel les données proviennent des documents de M. Marcel Coulom à Sevran (Seine-Saint-Denis) détenus actuellement par M. Jean-François Varlet à Reims. Une annexe comporte une liste du premier numéro de sortie d;usine de l'année à partir de 1829. 16 RESULTATS Chronologie générale Fondation en 1807 par Ignace Pleyel. Direction de Camille Pleyel en 1824. Introduction de pianos unicordes en 1825. Participation à l'Exposition nationale des Produits de l'Industrie française en 1827 et première médaille d'or.12 En 1828, introduction du sommier dit «prolongé» les pianos droits. 12; 20 pour Inauguration de la première salle Pleyel au 1er janvier 1830 rue Cadet à Paris. Mort d'Ignace Pleyel en 1831. Piano à queue de petit format ou petit patron (PP) en 1838, appelé ordinairement piano demi-queue.24 Inauguration de la deuxième salle Pleyel en 1838 rue de Rochechouart à Paris. Première apparition dans les registres Pleyel d'un piano à queue grand patron (OP) à 7 octaves en 1843. En 1844 est déposé un brevet pour la mise au point d'un mécanisme produisant plusieurs sons simultanément. 12 17 Mort de Camille Pleyel en 1855. A l'Exposition universelle de 1855 à Paris figurent au tarif Pleyel deux modèles de pianos à queue (N° 1 du tarif GP de 2m45 et le N° 2, petit modèle ou petit patron (PP) de 2m10), 3 modèles de pianos carrés et 7 modèles de pianos droits; tous les pianos à queue et les pianos droits sont à 3 cordes. Le tarif de 1858 instaure une nouvelle numérotation des modèles (maintenue jusqu'en 1924) due au quasiabandon des pianos carrés et l'introduction d'un nouveau grand modèle de concert de 2m85 qui devient le nouveau N° 1 du tarif. La désignation des modèles est modifiée: le N° 2, (ex-N° 1, 2m45) devient moyen patron (MP) et le N° 3 (ex-N° 2, 2m15) petit patron (PP). Pour les pianos droits deux catégories nettement distinguées apparaissent: les pianos droits à cordes obliques et les pianos droits à cordes verticales (dits pianinos) avec chacune les petits, moyens et grands modèles. Les pianos carrés sont fabriqués seulement sur commande. Pour les pianos à queue est déposé en 1863 un brevet destiné à alléger le toucher du mécanisme à simple échappement. Installation des ateliers à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) en 1867. En 1869 apparaît au registre le premier queue de concert N° 1 (GP) à cordes croisées. 18 En 1870 est mentionné au registre le premier PP N° 3bis à cordes croisées (lm80), le N° 3 (2m20) restant à cordes parallèles. Le premier piano droit à cordes croisées GP 4bis (lm34) apparaît en 1885 au registre. Mort de Auguste Wolff en 1887 et début de la direction de Gustave Lyon. En 1888 est demandé un brevet pour un système de barrage de piano (droit) métallique d'une seule pièce, de préférence en acier fondu, sur lequel on place d'un côté la table d'harmonie et de l'autre côté des cordes. Une demande de brevet est déposé en 1891 afin d'améliorer le simple échappement, appelé mécanique à répétition rationnelle 1891. Une bascule de répétition est montée sur l'échappement et actionnée par un ressort de répétition. Cette bascule soutient la noix du marteau avant que l'échappement relance le marteau au cours d'une répétition. Un piano à queue GP N° 1 porte au registre l'annotation «barrage acier» en 1892. En 1893 une demande de brevet est déposé où la bascule de répétition (ou levier supérieur du chevalet) est fixée, cette fois-ci, directement sur le levier inférieur du chevalet au lieu d'y être fixée par intermédiaire d'une broche comme c'est le cas dans la mécanique d'Erard d'origine. On retrouve cette mécanique, très proche de la mécanique à répétition d'Erard, en 1928 où elle est représentée à côté d'un dessin de l'authentique mécanique 19 d'Erard dans une description d'une modification de détail valable pour ces deux mécaniques adoptées par Pleyel. Une demande de brevet est déposée en 1895 pour une mécanique de pianos droits ayant les étouffoirs fixés au cadre et agissant en dessous des marteaux: une variante de la mécanique à lames. C'est également l'année ou Pleyel commence une numérotation de fabrication avec un piano vertical N° de sortie 113 026, N° de fabr. 1. Au registre de 1897 est indiqué mécanisme à lames pour des modèles N° 5 et N° 8. Dans une demande de brevet pour pianos doubles en 1897 le cadre est coulé d'une seule pièce et la mécanique est celle de 1893. Une demande de brevet pour un mécanisme à lames avec un dispositif de retour rapide du marteau à l'aide d'un ressort est déposée en 1904. Au tarif de 1905 tous les modèles proposés sont à cordes croisées excepté le modèle N° 6 (droit de Im30) qui reste à cordes parallèles obliques. Au registre en 1905 figure un cas isolé d'un piano modèle N° 6 avec un clavier à bascule. A partir de 1906 démarrage d'une nouvelle fabrication: les cordes sont croisées et le cadre coulé d'une seule pièce. Au tarif de 1910 le modèle N° 6 (Im30) est à cordes croisées et les cordes parallèles disparaissent définitivement. Tous les pianos Pleyel sont désormais à cordes croisées et cadre coulé. 20 Un brevet est déposé en 1913 pour le perfectionnement du mécanisme des pianos droits moyennant un ressort entre l'échappement et la contre-attrape appliqué sur une mécanique à lames où les étouffoirs sont intégrés dans la mécanique. En 1917 figure au registre un modèle extra réduit, le modèle 3ter de 1m50. Une nouvelle usine est ouverte en 1924 réservée à la fabrication de pianos à queue de petite taille et c'est l'année où débute le renouvellement complet de la gamme de pianos. En 1925 apparaît au registre le premier exemplaire du modèle F (queue 1m64), qui inaugure la désignation des modèles par des lettres. En 1926 apparaît au registre le premier modèle P (droit 1m35). Inauguration de la Salle Pleyel rue faubourg St Honoré à Paris en 1927. En 1930 apparaît au registre le premier modèle AL (queue grand concert de 2m78). Retraite de Gustave Lyon en 1930. Un nouveau piano à queue extra réduit figure au registre en 1932 (le modèle G de 1m48). 21 Le registre mentionne en 1934 un modèle de piano droit à clavier basculant (modèle studio SR de Im30) et le même modèle combiné muni de Phono TSF. Le tarif de 1934 montre l'abandon des anciens modèles numérotés en chiffres sauf pour le modèle demi queue N° 3 (2m04) et l'adoption de la désignation par des lettres (queues: AL [2m78] ; F [lm64] ; G [lm48] ; droits: P et R, Im30 env. et le basculant SR de Im30). Au registre de 1935 apparaît le modèle H de Im30, le plus petit piano à queue que Pleyel a fabriqué et également un nouveau modèle demi-queue C (2mOO). Le modèle N° 3 (2m04) disparaît du registre en 1937 et laisse la place au modèle C (2mOO).Apparition du modèle studio ST «Elite» à clavier basculant de Iml0. Une variante du piano à queue modèle H dont le meuble est en style moderne de l'époque, le modèle J (Im30) paraît en 1938 au registre. Abandon du modèle J en 1941. Abandon du modèle H en 1948. Lancement d'un piano à queue le modèle K (Im40) en 1949. En 1951 apparaît un modèle T (Iml0) qui est le basculant en version normale. Abandon du modèle Ken 1952. 22