EOGN info 03-2009 n 52.qxp

Transcription

EOGN info 03-2009 n 52.qxp
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ct
e
r
i
D
-
N°52
Avril 2009
Édito
De l'intelligence collective.
S
L’INDIVIDUALISME
I
demeure un trait dominant de notre société, on
constate en même temps et de façon paradoxale que fleurissent de
la même manière les solutions collectives face à la complexité. La
gendarmerie n'échappe pas à ce paradoxe dans le domaine toujours en mouvement de la sécurité et de la défense.
C’est
en
l'institution
innover.
Et
nous
effet
que
dans
nous
disposons
développement
l’interaction
devons
pour
foudroyant
bâtir
cela
des
de
toutes
notre
d’outils
outils
de
nos
propre
intelligences
avenir
efficients
pour
pour
le
communication
au
faire :
de
sein
de
grâce
au
faire
plus
face
en
et
plus
sophistiqués, sont nés des réseaux de toutes sortes, structurés, informels, vir-
tuels, des communautés de pratiques et autres collectifs, nouvelles formes de
créativité et d’innovation.
L’ère de l’intelligence collective est une réalité. Il faut nous y engager
sans retenue.
Manager la conduite du changement pour un collectif, c’est en effet un peu trouver cette frontière ténue
sur laquelle des personnes et leurs organisations peuvent mettre en place leur créativité, leurs aspirations,
et leurs perceptions du monde extérieur.
Ainsi les intelligences individuelles les plus brillantes soient-elles, prises isolément à l’intérieur des orga-
nisations,
ne
suffisent
plus
à
assurer
à
elles
seules
le
succès
d'une
structure.
Les
organisations
qui
traverseront cette accélération du changement seront celles qui, dès maintenant, mettent en pratique l’intelligence collective. Quelle définition peut-on en donner ?
L’intelligence collective se distingue pour moi d’un simple travail collectif par ce dépassement dû à la
relation entre les membres du collectif. Trois conditions sont nécessaires pour que l’intelligence collective
survienne dans un groupe :
• une dimension cognitive ;
• une dimension sociale et relationnelle ;
• une dimension systémique.
La dimension cognitive permet de comprendre le sens de l’action à mener. Elle se compose de trois
ingrédients : la compréhension, la réflexion et la décision qui doivent être approchées de façon collective.
Elle permet aussi d'analyser et d'identifier les causes de dysfonctionnement qui aboutissent à des échecs ou
à des crises et les paramètres qui sont nécessaires pour éviter de les reproduire.
La dimension sociale et relationnelle permet
quant à elle de tisser des liens dans le groupe. C’est le
sens du collectif, l'effet de pack pour reprendre une formulation «
rugbystique
à suivre...
2
». Ainsi la coordination des
actions au sein d’un groupe est meilleure si ses membres synchronisent leurs comportements, leurs pensées
et leurs ressentis.
Enfin la dimension systémique
procède de l’une et de l’autre. L’individu étant au centre d’un système, il
construit ses actions en analysant les actions des autres qu’il relie avec le système. C’est donc dans l’étude
des interactions que réside l’essence même de l’intelligence collective.
L’intelligence
collective
ne
naît
lesquelles elle pourra émerger.
pas
spontanément.
C’est
le
rôle
du
chef
de
créer
les
conditions
dans
A mes yeux, le chef doit donc pour cela développer six capacités :
• La
capacité
à
former
des
équipes,
après
avoir
repéré
et
réparti
les
nécessaires aux missions assignées et avoir bien défini le rôle de chacun ;
intelligences
individuelles
• la capacité à intégrer ces différentes intelligences individuelles ;
• la capacité à collaborer. Il s’agit de mettre en commun des intelligences individuelles pour co-agir, ce
qui est parfois difficile à mettre en oeuvre ;
• la capacité à apprendre avec et par les membres de l’équipe : apprentissage de nouvelles connaissances,
apprentissage à partir des expériences et des dysfonctionnements rencontrés. Cette capitalisation des
savoirs prend la forme d’une mémoire collective qui permet d’avoir des valeurs et des règles communes ;
• la capacité collective à résoudre des problèmes et à participer à l’élaboration de décision ;
• la capacité à créer une vision commune pour mieux s’adapter et agir.
Dans un environnement complexe, où l’on est passé du paradigme du « faire-faire au faire ensemble » et
où les technologies transforment radicalement et instantanément les interactions entre les individus, prenez
conscience, mesdames, messieurs les futurs lieutenants, qu'il
faudra fédérer demain
toutes les intelligences
autour de vous. Que vous soyez en communauté de brigades, en EDSR, en EGM ou en unités de
ches,
ne
comptez
pas
sur
votre
seule
intelligence
mais
montrez
vous
innovants
dans
organisationnelle et dans le champ du relationnel en puisant dans l'intelligence collective.
votre
recher-
approche
Dans un concert interministériel de plus en plus émergent, soyez des officiers de la gendarmerie curieux,
déterminés et ouverts vers les autres. Vous n'en serez que plus forts pour affronter les défis de demain qui
vous attendent. Mais en toute circonstance, cultivez vos différences et ne bradez jamais vos valeurs dans les
batailles à mener sur le front quotidien de la sécurité.
Ne recherchez pas seulement à cultiver l'identité militaire de chacun de vos gendarmes pris individuelle-
ment
mais
préservez
aussi
la
militarité
du
« collectif »
qui
sera
placée
sous
votre
commandement.
Cette
militarité a toujours reposé sur un tryptique simple dans le fonctionnement et l'engagement des unités ou
des formations de la gendarmerie : un chef militaire, une mission confiée par des autorités d'emploi, des
moyens pour y pourvoir. Soyez intransigeants sur le maintien de cette règle, quel que soit le poste de responsabilité
qui
vous
sera
confié
en
gendarmerie,
aujourd'hui
et
demain.
L'intelligence
collective
ne
vous
rendra que plus fort pour défendre ainsi ce que vous allez être et ce que vous devrez rester coûte que coûte,
sauf à vous perdre : des chefs militaires.
Général de division Joël DELPONT
3
3
F
JANVIER,
IN
EOGN
12
STAGE SCIP
ment
janvier
au
20
février
2009
SFATEM
« Organisation - Emploi »
(une
de
Centre
des
de
rendu
une
trop,
de
la
SAINT-ASTIER,
1
groupe-
er
l'EOGN
nouvelle
pour
National
Forces
le
s'est
certains !)
fois
au
d'Entraînement
Gendarmerie
pour
y
suivre
à
le
Stage de Commandement en Intervention
Professionnelle,
autrement
appelé « SCIP ».
Durant
quatre
officiers-élèves
« Capitaine
semaines,
de
la
les
promotion
Marchiani »
ont suivi
un stage intensif avec pour finalité
12
janvier
2009
Conférence de M. APAIRE
président de la MILDT
l'acquisition
des
intervention
techniques
en
L'ensemble de la formation a de
plus
été
par
complétée
différentes
et
(maîtres de chiens, équipes d'intervention)
et
Mais
quelques
conférences.
l'événement
redouté
venirs,
ce
« parcours
fut
le
légendaire
d'engagement »
des situations d'agression et de gestion
du
stress,
notamment
en
au
se
des
vêtue.
nous
13
et
14
janvier
2009
Visite d’une délégation de futurs
officiers de gendarmerie directs
(OGD)
de
de
des
sans
et
et
du
CNEFG
ainsi
ses
dans
leur
pour
se
la
a
l'occasion,
sont
les
totalement
formation
permis
dispen-
d'acquérir,
de conforter ou de développer des
connaissances
en
IP
L'ambiance
cependant
pas
utiles
pour
studieuse
empêché
le
le
n'a
travail
dans la bonne humeur et le mixage
des brigades a facilité la découverte
de
camarades
peu
nus au bataillon!
13
au
15
janvier
2009
Séminaire
« contrôleurs de gestion «
La
officiers-élèves
terrain.
Différents
programme :
tion,
variées
sans
et
arme
ou
modules
tactiques
maîtrise
adversaire
de
(avec
prou
incon-
étaient
au
d'interven-
l'arme
séances
dynamiques),
de
l'adversaire
avec
de
tir
maîtrise
(baptisé
entre nous « Hong Kong Fou Fou »
ou « Kung Fu Fighting »), le tout en
alternant les phases pratiques et les
phases pédagogiques.
4
é
à
coups
bron-
cher !
unités
Elle
t
encaisser
par
sée.
capa-
i
humaine
moni-
investis
la
c
que par des militaires détachés de
leurs
de
conscience
et
l'EOGN
per-
p r e n d r e
péda-
instructeurs
a
mis
briga-
teurs
Cette
s é q u e n c e
encadrés par
les
« PRO
MAX », brute épaisse tout de noir
Répartis
8
mesurant
célèbre
gogie idoine.
en
cha-
limites physiques et morales face à
maîtrise
la
où
cun d'entre nous a pu repousser ses
nelle (IP) et
de
qui
laissera finalement le plus de sou-
professionla
agrémentée
démonstrations
fin
un
du
stage
parcours
a
de
été
marquée
synthèse
où
l'ensemble des connaissances acquiont
dû
agrémenté
aux
être
par
frissons
rappel
du
restituées,
quelques
garantis :
sommet
le
tout
épreuves
descente
de
la
en
tour
« TITI » (25 mètres) après un aller-
retour sur une planche placée dans
le vide, passage de la piste bleue, le
tout
dans
contagieuse.
Le
une
séjour
à
bonne
humeur
SAINT
ASTIER
s'est achevé le 20 février 2009 par
la
cérémonie
officielle
de
remise
du brevet de Moniteur en Intervention
Professionnelle
(MIP)
aux
92
officiers-élèves brevetés, avant une
semaine de permissions réparatrice
pour
des
éprouvés.
organismes
durement
Sous-Lieutenant
Fabrice SOLOHUB.
Le II
Q
reçu
les
Groupement en pays breton
après
l'utilisation de munitions d'exercice.
l'initiative audacieuse voire culottée
dernières
Les sangliers n'avaient qu'à bien se
de
tenir !
l'aube, les EO se sont en effet éclip-
heures
UELQUES
avoir
ème
recommandations
et
petits présents de leurs parrains et
marraines lors des vœux du général
de
division
Delpont,
deuxième
groupement
qué
la
«
sous
Bretonie
neige,
»
les
EO
ont
du
embar-
direction…
(appellation
la
reprise
de nos aînés pour désigner la lande
bretonne du camp de Coëtquidan).
Durant ces cinq semaines intensives,
nous
pris
contact
fameux
avons
d'abord
avec
«PO»
très
vite
Pour
nous
compléter
avons
pu
notre
cursus,
approfondir
nos
bases en topographie et les mettre
à l'épreuve lors d'un rallye nocturne
à la fin du séjour pendant la session
d'examens.
la
Un
formation
ouvert
à
cellule
locale
tout
militaire
nous :
rudiments
autre
le
volet
s'est
ensuite
secourisme.
nous
a
essentiels
La
dispensé
du
de
les
secourisme
le
la
115 .
tenue
traditionnelle
la
de
des
différentes
Des
avec
l'aval
du
ter
individuel
nous
avec
ont
été
famas
TAM
et
embarquer
de
Coët
le
division
Brest
puis
transrade,
Navale
vrir
et
un
enfin
petit
typique
de
connu
y
ren-
Bretagne,
pour
toire,
son
mais
aussi
découvillage
son
his-
architecture
pour
ses
kouignettes !
L'histoire
épopée
tir
ne
de
cette
peut
taire
l'accueil fort chaleureux
cellule
puis
de
sur
collectif
la
de
contrer leurs homologues de l'Ecole
proposées
par
général
l'arsenal
des
de
de
Delpont. Les EO ont ainsi pu visi-
installa-
séances
l'image
la cellule tradition de la promotion
instructions TAM, TAC et
tions.
à
donc perpétuée cette année grâce à
faculté
bénéficier
à
paru à Saint-Malo. La tradition s'est
qui est offerte aux stagiaires
matin,
qui avait dis-
e
(parcours
est
–
la «fugue» de la 113
breux intérêts de ce stage
Saint-Cyr
samedi
sés des camps bâtis, revêtus de leur
d'obstacles). Un des nom-
à
Un
e
réservé
aux
retour.
Les
souhaité
nous
EO
à
crabes
leur
ont
2
« célébrer »
avons découvert la Tikka,
cette
le lancer de grenade ainsi
par une marche fédéra-
que l'ANF1 avec la cellule
tive, suivies de quelques
brasses
IP de l'EOGN.
L'ensemble de notre progression
avait
pour
tissage
fil
du
conducteur
l'appren-
commandement
en
tant
que chef de section. Pour la partie
tactique, les cadres «kakis», selon le
jargon
usuel,
ont
pris
le
relais
des
cadres de l'EOGN. Ceux-ci ont eu à
cœur de nous transmettre leur culture
du
combat
formation
tains
et
par
héritée
renforcée
leurs
de
leur
pour
cer-
expériences
en
OPEX . Chaque mission de la sec1
tion était alors étudiée par étapes :
une
«
phase
plateau
tique
de
théorique,
une
phase
» et enfin une phase prajour
sortie
comme
de
nuit
avec
quoise
gement
Guyane que la 114
maîtriser.
Cette
sanctionnée
PSC1
citoyen
par
devrait
formation
l'examen
(anciennement
était
de
la
dénommée
AFPS). Lors des mises en situation
factices
au
gaz,
d'un
d'acteurs
notre
forcé
blessures,
la
pratiques
intoxication
AVC,
nourrisson),
talents
de
(électrocution,
ont
de
véritables
percé
promotion,
ce
crédibilité
des
en
asphyxie
au
sein
a
ren-
qui
augmentant
exercices
le
stress
qui découle de ce type de situation.
Le récit du stage de Coëtquidan
serait incomplet s'il ne mentionnait
ce
dans
que tout combattant mais plus lartout
de
pas
d'expérimenter.
tude, la 115
e
l'eau
formidable
e
sement
inopinée
tur-
parcours
n'a malheureu-
eu
Mais
le
temps
pas
d'inquié-
y a goûté pour vous et
vous le recommande...
Le point d'orgue de ce stage restera la journée du 9 février où un
exercice
commun
entre
l'ESM
et
l'EOGN a été mis en place pour la
première
fois.
Ce
fut
un
succès
militaire avec une ambiance de guerilla : pluie battante et cacophonies
radiophoniques...
Élève
officier
Émilie
PASSIER.
1 - Nous remercions à ce titre les capitaines GUIZIOU, BAREIL, POIROT, ROQUE et leurs adjoints respectifs, le chef MAUDUIS,
le chef FERRAND, l'adjudant MENUET, le chef LEVEQUE et le Major Marcel...
2 - Crabe : le cadre de contact à l'EOGN, l'équivalent du vorace à Saint-Cyr
5
Qui ose, gagne
LE
PREMIER
SAUT
rieur
Lundi 16 février :
les
stagiaires
retrouvent
PAU
l'aire
les
sauts.
avant
monter
CASA,
la
A
66
élèves
115
la
formation
de
à
e
officiers
promotion
TAP
au
COËTQUIDAN.
eux
3
officiers
sol
Se
de
ont
la
suivi
au
camp
sont
joints
du
corps
élèves
technique et administratif de la 114
e
promotion
et
4
militaires
du
CNEFG de SAINT-ASTIER.
Le
but
premier
l'art
« d'apprivoiser
Les
stagiaires
ment
les
est
du
d'acquérir
bon
écoutent
côté ».
attentive-
explications
de
leurs
moniteurs venus de PAU. Depuis le
roulé-boulé de pied ferme jusqu'à la
tour d'atterrissage, simulant l'impact
au
sol,
répéter
qui
le
programme
inlassablement
doivent
saut,
puis
vol »
et
s'agit
être
lors
enfin
de
tisme
consiste
exécutés
des
à
les
tendre
vers
parfait,
gestes
avant
opérations
l'impact
à
au
le
« en
sol.
Il
un
automa-
« une
légère
appréhension » pouvant paralyser la
réflexion.
cher
le
(sangle
pour
Chacun
s'exerce
mousqueton
d'ouverture
les
non
(A,B,C,D)
qui
de
à
sa
accroSOA
automatique
initiés)
aux
traversent
la
câbles
carlin-
gue, prend la position à la porte et
s'élance au commandement du largueur
:
un
« GO! »
propulse tous les «
impératif
paras
qui
» dehors,
plus ou moins violemment d'ailleurs.
incontournable.
groupes
de
parachute
secours,
et
le
principal
saut
de
leur
peut
de
le
revue
est
Les
s'équipent
ventral.
A
dans
paquetage
étape
à
trois
d'embarque-
ment,
de la semaine 7,
se
enfin
pour
premiers
U COURS
du
une
quatre
de
leur
parachute
Si
le
de
parachute
supporter
130
kg,
il
faut déjà compter 30 kg de matériel
–
plus
une
éventuelle
pondérale »
40
« surcharge
montants,
2...,3...,4... »,
les
l'espace.
dans
secondes
bien
serrées,
roulé-boulé.
malgré
la
prennent
une
monte,
certaine
les
visages
gravité.
Les
conditions météo sont parfaites, de
quoi
apprécier
l'horizon
avec
la
chaîne des Pyrénées, pour ceux qui
pensent
quitte
à
la
la
regarder.
piste
Au - d e s s u s
pour
de
la
le
L'avion
décollage.
zone
de
saut
Wright, le CASA effectue une première
approche
mannequin
guer
les
test
et
largue
permettant
sauteurs
avec
de
le
lar-
précision.
L'avion espagnol amorce le dernier
virage, repasse au-dessus de la tour
de contrôle et ouvre les portes latérales :
rythme
c'est
l'instant
cardiaque
stagiaires
sont
du
saut.
s'accélère.
debout,
envoie
le
accrochés
minute
après
jambes
le
sol
de
parachute,
pas
Et
la
de
zone
ainsi
en
replier
cha-
course,
de
de
ras-
suite
jusqu'au sixième saut !
Seuls deux de nos camarades se
heureusement
gravité.
les
Cette
73
A
l'issue
stagiaires
expérience
sans
des
valides
est
six
ont
unique.
Elle s'est clôturée par la remise du
prestigieux
français,
l'école
le
des
brevet
de
mercredi
troupes
parachutiste
17
février,
à
aéroportées,
remise suivie de la visite du musée
des parachutistes de PAU.
L'esprit para, c'est le goût du risque,
de
l'effort
sur
soi,
tous
égaux
devant la porte. Il s'agit de faire un
simple pas en avant, de forcer son
instinct et c'est une victoire sur soi.
Soyons
franchir
certains
de
d'avoir
nombreuses
encore
fois
à
cette
symbolique portière.
à
mousqueton
de la SOA au largueur et se place à
6
aussitôt
quelques
Le
au vert. « Numéro 1, en position! ».
premier
voit
points
Les
leurs câbles. Le voyant rouge passe
Le
son
charge,
été brevetés.
l'adrénaline
en
temps
au
semblement.
taires
ble,
uns
on
ouvrent
et
touchent
sommairement
sauts,
d'altitude. La tension devient palpa-
les
« pantins »,
Le
regagne
sol,
d'un
ces
par tout bon combattant. Les milile
qui
(près
réalité),
cun
le
parachutes
blessés,
vers
fixé
« Numéro
minuscules
l'horizon
leurs
en
de
de
rangs
regard
stagiaires,
Depuis
s'échapper
trop
CASA. Il va falloir sauter de 400 m
le
« Go! ».
après les autres, s'évanouissent dans
constituée du matériel à transporter
en
la
des
l'horizon.
sont
dirigent
kg,
sur
gaine
se
de
la porte, les mains à plat, à l'exté-
Élève officier Sophie LAMBERT,
élève officier Pascal SIMON.
Formation TIOR
L
E
TRAVAIL
il
n’est
du
n’est
conditionnement physique, le TIOR
savoir
maîtrise de l’adversaire certes, mais
corps
rien sans celui de l’esprit ;
riposter
encore
pas
contre
faut-il
tout
une
que
de
agression,
la
défense
utile, proportionnée et efficace.
Alors
que
nos
camarades
soit
restés
à COËTQUIDAN préparaient leurs
sauts
en
parachute
vingt-cinq
les
d’entre
portes
Sports
du
de
pour
nous
Centre
la
ont
P AU ,
poussé
National
Défense
des
(CNSD)
à
FONTAINEBLEAU, pour une for-
mation TIOR de 10 jours.
Le
sigle
méconnu
TIOR
mais
est
tend
à
encore
assez
fait
appel
à
plusieurs
facteurs
:
la
aussi de l’environnement et de soimême,
dans
TIOR
exige
graduée.
En
le
cadre
outre,
une
d’une
riposte
EOGN
l’entraînement
certaine
26
rusticité,
exemple
lors
des
janvier
au
6
Coup d’envoi des
un respect de l’autre, éprouvés par
février
2009
stages OGR
échauffements
fondés sur la méthode naturelle.
de
Ainsi, et en dernier lieu, l’esprit
cohésion
différents
s’est
affirmé
pelotons
au
entre
cours
les
de
cette formation, dans une ambiance
studieuse mais aussi dans la bonne
humeur générale.
se répandre. Il renvoie
aux
t
Techniques
e
r
v
e
n
t
d’In-
i
o
Opérationnelles
prochées,
succédé
vers
l’ancien
adapté
( C AC ) .
aux
menaces
nes,
27
janvier
2009
Un géant de la cuisine à EOGN
ont
2000
n’était
PARIS
s
Rap-
« corps
corps »
dernier
qui
n
à
à
Ce
plus
nouvelles
contemporai-
et
a
ainsi
été
repensé, toujours dans
un
un
cadre
Si
interarmées.
les
différentes
dénominateur
« fondamentaux »
sol
techniques
commun
:
(« plaquage
ont
les
au
», « en garde », « chute avant »,
« chute arrière », « roulade avant »,
« roulade arrière », « garde inversée
», « garde passive »)
sent
place
à
aucune
; elles ne laislassitude
mais
plutôt à une diversité. Outre le pied
et le poing, la défense doit pouvoir
notamment
s’opérer
avec
le
FAMAS, l’arme de poing, ou le BPT
(bâton
de
protection
télescopique).
Ces quelques jours de stage nous
ont enrichi à plusieurs niveaux.
sés
cours
lieutenant
de
qualité
BRENOT
et
par
le
l’adjudant-
chef GENOT, tous deux formateurs
T.I.O.R.
et
entretenant
des
brevetés
doivent
leur
liens
à
conseils
ont
et
leurs
contribué
cadres
Les
du
deuxième
du
dix-huit
autres
2
2009
ventions
rapprochées
Management et conseil IAE «
ont
Bâton.
opérationnelles
ainsi
que
le
C.ATi
Ce stage dont l’utilité n’est pas à
humaine
qui
est
une
restera
expérience
gravée
dont
nos mémoires en attendant de pro-
chaines aventures.
Élève Officier
Alice GUILLAUME.
7
EOGN
Création du MASTER II spécialité«
groupement.
stagiaires
février
élémentaire aux techniques d’inter-
progrès
nécessaire
qui
travail
obtenu une attestation de formation
D’autre part, au-delà de la techau-delà
leur
lieutenant-colonel LUCHEZ et des
réels de chacun d’entre nous.
nique,
à
camara-
TIOR,
remis le 20 février, en présence du
précieux
aux
sept
réussite
étroits avec l’ancienne E.I.S... Leur
enthousiasme
nos
moniteurs
et à leur volonté. Leur brevet a été
démontrer
D’une part, nous ont été dispendes
Félicitations
des
5
février
2009
Visite du directeur général
de la gendarmerie gabonaise
Stage du Brevet national
de moniteur de premiers secours
à l'EOGN
EOGN
11
février
2009
Visite du colonel Régis BOURÇOIS
secrétaire général du CFMG.
D
12
U
2009,
s'est
dans
l'EOGN,
une
20
AU
les
FÉVRIER
déroulée
murs
session
de
de
forma-
tion au monitorat de secourisme.
Douze
115
ème
élèves
officiers
promotion
de
participaient
février
2009
Un projet d’envergure à Melun :
le musée de la gendarmerie nationale.
Jean-Marc
au
GUILBAUD,
Centre
de
la
national
à
défense,
OCCHIPENTI
national
forces
et
du
Bruno
Centre
gendarmerie,
neuf
jours
aussi
de
des
instruc-
teurs de secourisme.
Les
sports
d'entraînement
de
furent
affecté
des
formation
passionnants
qu'in-
tenses et nécessitèrent de la part
des stagiaires une pleine implication.
A
noter
également
la
remarquable disponibilité des ins16
février
2009
Hommage aux morts
de la gendarmerie nationale.
tructeurs envers les stagiaires, ne
comptant
pas
leurs
temps
répondre à leurs attentes.
pour
Tous ces efforts furent récom-
pensés
par
un
taux
de
réussite
très élevé, selon le jury d'examen.
Celui-ci
du
–
Centre
composé
médical
du
médecin
principal
de
l'EOGN et de représentants de la
préfecture
des
de
services
secours
plusieurs
du
Seine-et-Marne,
d'incendie
département
associations
de
et
et
de
de
secou-
risme – a salué le travail fourni et
SUIPPES
les résultats probants.
19
février
2009
Championnat de France militaire
de cross-country.
8
aux
formation
candidats
faite
aura
d'acquérir
maîtrise
des
permis
la
gestes
par-
de
premiers secours et une meilleure
aisance pédagogique.
la
ce stage, mené par les adjudants
12
Cette
de
Les
la
onze
115
pouvoir
leur
que
plus
e
nouveaux
promotion
mettre
nouvelle
possible
grand
secours.
en
moniteurs
espèrent
application
compétence
afin
nombre
de
dès
former
aux
le
premiers
Élève officier
Thomas SALAÜN.
La formation des EOCTAGN
de la 115
promotion
e
D
4
ÉBUTÉE LE
par
la
toire
2008
AOÛT
Phase
au
Prépara-
Cycle
de
Formation Initiale avec les élèves
officiers de gendarmerie de recru-
tement universitaire, la formation
des
23
élèves
technique
et
officiers
du
corps
administratif
de
la
gendarmerie nationale se caracté-
rise par la symbiose existant entre
les
différents
corps
même
recrutements
statutaires
composant
groupement,
résultat
et
un
du
rapprochement initié depuis quel-
leurs
plan
camarades
de
innovant
les
Marchiani
aptes
leurs
le
3
tisme
des
élèves
de gendarmerie.
Âgés
de
mili-
officiers
à
36
ans,
EOCTAGN de la 115
les
promotion
èe
sont issus du concours direct pour
à
ou
employés
public,
du
autres ;
secteur
sous-officiers
de
gendarmerie ou du CSTAGN, les
origines et les expériences les plus
diverses
sont
ainsi
représentées.
Pleinement intégrés à la vie de
leur
promotion,
les
EOCTAGN.
ont partagé avec leurs camarades
élèves officiers de gendarmerie les
événements et stages les plus saisissants
de
25
8
de
leur
août,
du
premier
scolarité :
la
remise
septembre,
groupe
le
au
la
semestre
rentrée
des
alphas
stage
CNEFG
le
le
chef
de
SAINT-ASTIER du 15 septembre
au 10 octobre, la présentation au
Drapeau
le
17
octobre,
la
soirée
Bois Rond le 23 octobre, la pre-
mière
Sainte-Geneviève
pour
la
plupart des externes le 20 novembre,
la
veillée
au
Drapeau
suivie
de la cérémonie des sabres le 12
décembre.
De
plus,
tandis
que
de
EOCTAGN
la
l’issue
du
et
promotion
TAP
militaire
SIGEM
115
en
ou
ont
de
obtenu
parachu-
stage
le
juin,
le
promotion
défilé
du
le
14
organisé
séminaire
Également
ces
cycle
de
de
30
de
activités
deux
est
année
et
sur
le
les
cohé-
rénové
d’une
jalonnent
ans
la
de
dont
l’obtention
d’un
de
juin
facteurs
formation
maîtresse
nière
baptême
juillet
Champs-Élysées.
durée
privé
13
de
défense du 9 au 13 mars, le défi
étudiants,
les
matière
année encore les EOCTAGN avec
sion,
pour
en
veaux temps forts attendent cette
10 d’entre eux ou du recrutement
semi-direct
le
du 11 au 18 février 2009. De nou-
e
21
5
aînés
brevet
sportif
initiale
formation
que
perfectionnaient
monitorat,
taire
la
ou
tel
le
projet
secourisme avec la préparation au
le
à
d’un
concret
compétences
ques années avec l’intégration des
EOCTAGN
et
FORMOPS
leurs
élaboraient
financement
la
pièce
en
diplôme
un
der-
inédit
et adapté aux futures responsabilités des EOCTAGN : le master 2
professionnel
conseil
IAE ».
teur
«
offre
management
Ce
diplôme
une
et
nova-
formation
valorisante et de qualité pour de
futurs gestionnaires de la finance,
de la logistique et des ressources
humaines.
de
700
D’un
volume
heures,
cette
de
près
formation
consiste en des travaux appliqués
et
des
sein
séminaires
même
enseignants
nistration
de
de
de
des
l’université
Marne.
De
dispensés
l’école
l’institut
par
d’admi-
entreprises,
Paris
plus,
en
XII
au
des
entité
Val-de-
raison
de
la
forte hétérogénéité des profils des
élèves
officiers,
didactique
promotion
dont
des
elle
est
un
l’ensemble
EOCTAGN
défi
de
la
s’em-
ploie dès à présent à relever avec
9
application.
ce
Outre
la
préparation
diplôme,
EOCTAGN
la
le
des
se compose de stages
d’application
dont
de
formation
ou
premier
communauté
de
d’observation
a
été
réalisé
brigades
en
du
10
au 14 novembre 2008. Sont égale-
ment dispensées par des officiers
professeurs
magistraux
dans
des
certaine
300
et
heures
de
de
travaux
disciplines
technicité
cours
dirigés
exigeant
telles
que
une
les
ressources humaines et le budgetsoutien.
La
progression
E O C TAG N
intègre
enfin
des
un
nombre non négligeable de séances
de
bureautique,
sport,
offrant
communication,
d’éthique
ainsi
une
ou
de
de
scolarité
pluridisciplinaire dense et complé-
tée par l’obtention d’un Certificat
Militaire de Langue.
La
diversité
dossiers
dont
et
les
la
richesse
237
des
officiers
composant à ce jour le corps tech-
nique
et
administratif
gendarmerie
nés
à
nationale
traiter
impératifs
matière
ainsi
présents
de
rellement
gestion
une
et
de
sont
à
que
ame-
venir
exigent
la
les
en
natu-
formation
en
adéquation avec les besoins spécifiques
des
des
de
l’institution.
moyens
efforts
mis
Au
en
consentis,
EOCTAGN de la 115
e
rejoindront
affectations
en
regard
œuvre
de
août
les
promotion
2010
toute
et
leurs
évidence
avec les dispositions les plus favorables.
Élève Officier
Thibault FOURIS
Plan «
D
ANS
égalité des chances
LE
« égalité
du
CADRE
des
plan
chances »
de la gendarmerie natio-
nale,
l'Ecole
des
officiers
de
la
gendarmerie nationale est engagée
PARIS
dans une action de tutorat au pro21
février
2009
Un conducteur à l’honneur
fit
d'élèves
du
lycée
Amyot de Melun.
le maréchal des logis CHAUVEAU.
site
et
méritants)
tue
un
mais
dont
la
situation familiale et sociale constihandicap
à
l’accès
être, l’information, la confiance et
l’envie
nécessaires
d’études
à
la
supérieures
poursuite
dans
la
dans une grande école ;
mars
2009
Réseau des écoles
de service public.
-
contribuer
à
diversifier
généralement
des
d’excellence ;
-
« Cité
des
et
départementale
de
Seine et Marne.
L'activité de fin d'année scolaire
déroulera
du
dans
la
M O N T- D O R E
Puy-de-
Dôme
région
dans
durant
trois
le
jours.
permettre
aux
données
d'escalade,
et
culturelles.
Les
à
des
ainsi
qu'à
participants
tutorat
sont
tous
séances
des
au
projet
recrutés
base du volontariat.
Les
lycéens
conscients
de
la
visites
sont
sur
fiers
chance
de
la
et
qu'ils
ont
de participer à cette action éducale
recrutement des grandes écoles et
plus
gendarmerie
voie
qu’ils auront choisie et notamment
6
la
VILLETTE,
tés spécialisées du groupement de
à
l’enseignement supérieur, le savoir
au
à
LA
Les élèves participeront à des ran-
- donner à des lycéens (en réus-
2
sortie
de
assisté à une présentation des uni-
se
Les objectifs du tutorat sont tri-
une
sciences »
Jacques
ples :
EOGN
réalisé
»
formations
élèves
tive.
Les
tuteurs
personnellement
leur
filleul
et
s'impliquent
dans
le
suivi
de
s'enrichissent
de
cette expérience humaine nouvelle.
de
l'EOGN de découvrir la diversité
sociale
française,
à
de
la
travers
société
une
expé-
rience humaine nouvelle.
Six élèves ont été sélection-
nés
3
mars
2009
Cérémonie des couleurs.
en
rentrée
classe
de
scolaire
parrainés
seconde
2008.
Ils
individuellement
un officier élève du 1
ment.
er
Ils
sont
long
de
leur
deux
fois
par
suivis
à
la
sont
par
groupe-
tout
scolarité
au
par
leur
tuteur. Par ailleurs, ils participent,
mois
à
des
activités
organisées à leur profit les mercre-
dis après-midi. Enfin, une sortie de
trois jours est programmée en fin
d'année scolaire.
Dans
le
bimensuelles,
3
mars
2009
Promotion capitaine MARCHIANI :
choix des dominantes.
pent
à
des
cadre
les
des
activités
lycéens
formations
partici-
dispensées
par les tuteurs ou par des instructeurs
Ils
spécialisés
ont
ainsi
méthodologie,
pu
de
l'EOGN.
travailler
développer
la
leurs
connaissances en bureautique, être
sensibilisés aux dangers de la dro-
gue, prendre part à des séances de
sport (hockey en salle, badminton,
volley-ball). Ils ont visité le Sénat,
10
Le
sance
projet
venir :
tionnés
dans
six
à
va
monter
les
lycéens
la
deux
vont
rentrée
en
puis-
années
être
2009
à
sélec-
et
six
autres à la rentrée 2010. A terme,
18 lycéens seront parrainés par six
officiers élèves du 1
er
L'officier
chargé
groupement.
de
projet
lan-
cera un appel à volontaires parmi
les
officiers-élèves
de
l'actuel
2
e
groupement, au mois de juin 2009
pour
sélectionner
tuteurs.
pour
Il
leur
reste
à
fournir
gnements utiles.
les
leur
tous
futurs
disposition
les
rensei-
Chef d'escadron
Thomas LECORVAISIER.
La 60
e
L
9
E
2009, 29 élèves
MARS
aspirants
été
volontaires
incorporés
ont
au
3
ème
est là
seront la 60
promotion AGIV.
de prendre en main les armes utili-
de
par
division
leurs
Joël
cadres
DELPONT
autour
d'un
et
petit
déjeuner.
Au
Le
des
heures,
chacun
a
vert la militarité avec plus ou moins
d'entrain. Le plus grand nombre a
d'emblée
enthousiasmé
par
cette nouvelle conception de vie, à
la
fois
martiale
précisions
apportées
dissipé
pour
et
par
les
collective
et
rigoureuse.
les
les
cadres
place
de
Les
informations
angoisses
laisser
ont
de
à
certains,
une
s'investir
vite
volonté
pleinement
dans cette aventure.
a
découvert
musculaire
après
ont
nouveaux
muscles.
les
commissaires de policer honoraires.
premiers
permis
à
bon
l'existence de
Une
présenta-
tion des organismes sociaux a enfin
sensibilisé
les
futurs
particuliers
AGIV
liés
sur
au
les
métier
qu'ils ont choisi.
Ainsi
mière
s'est
achevée
semaine
de
cette
formation
prequi
a
6
vu la naissance de nouveaux volontaires
de
la
expérience
Gendarmerie.
qui
débute
restera
mars
2009
Réception du vice-ministre de
Cette
l’intérieur afghan.
gra-
vée à jamais dans leur mémoire et
marquera leur futur. La 60
e
tion
AGIV
a
cependant
promo-
déjà
écrit
ses premières lettres dans l'histoire
du
son
3
e
groupement
cri
de
par
guerre :"
une
le
réveil
le
choix
Patere
de
Aut
nuit
courte.
EAV BUSI, NIAY, MAROS.
11
La journée a été ponctuée par les
premières
2009
Abstine ! - Endure ou abstiens toi".
Dès le deuxième jour, la promotion
physiques
mars
Visite de l’amicale des
matin
nombre de découvrir
abandonné la vie civile et a décou-
été
vendredi
risques
fil
4
sées en Gendarmerie.
tests
Ils ont été accueillis par le général
EOGN
la promotion, permettant à chacun
groupement de l'EOGN, ils compoe
!
notions
mars
2009
Visite du général d’armée
enseignées
Roland GILLES DGGN.
comme l'ordre serré et de multiples
et
très
intéressantes
interventions
dans l'amphi DUFFO. Celles-ci ont
fait
découvrir
breuses
et
aux
élèves
les
passionnantes
nom-
facettes
de la Gendarmerie.
Le mercredi a été dédié à l'apprentissage
caserne.
La
cœur
la
été
de
très
des
règles
marche
forêt
appréciée
de
de
du
vie
en
soir,
au
Bréviande,
malgré
la
a
faible
20
luminosité et les ampoules naissantes
symptomatiques
combat
mené
contre
d'un
les
de
la
rangers.
topographie
et
21
mars
de la défense.
rude
Le jeudi a été consacré à l'enseignement
et
2009
Tournoi sportif des grandes écoles
ses
subtilités, puis des communications
radio. Dès 14 heures, un cours d'intervention professionnelle a captivé
11
SIC
que
LE SAVIEZ-VOUS
propriétés
droit.
WRITER
1.
Grâce
à
l'icône
de
lance-
ment rapide d'Open Office (située
en bas à droite dans la barre des
tâches)
vous
pouvez
créer
et
ouvrir des documents et modèles
d'un simple clic droit.
2.
S'il
vous
documents
vez
les
reste
Microsoft,
convertir
(/fichier/ouvrir
encore
vous
un
pour
des
pou-
par
ouvrir
un
le
document, /fichier/enregistrer-sous
pour
enregistrer
format
même
Open
le
document
Office)
temps
en
convertisseur
ou
tous
utilisant
de
il
le
document
Pour
faut
que
un
pdf
(format
7.
sur
Si
une
pouvez
police,
vous
Office,
au
format
faites
PDF,
paramètres
défaut de la fenêtre d'options.
par
4. Le styliste (touche F11) per-
met
de
créer,
formats
être
ou
prédéfinis
appliqués
modifier,
qui
des
pourront
directement
sur
une sélection de texte ou de cellules.
5.
document
au
des
ait
été
préalable,
faites
sélection
un
de
rapidement
la
taille
sélection.
à
et
le
clic
droit
texte,
vous
modifier
style
de
la
la
l'adressage
évoluer
ments
lui
en
de
relatif
fonction
la
cellule
permettra
à
L'adressage
des
qui
va
déplace-
contenant
la
de
la
se
même
absolu
se
référer
cellule.
note
par
• Le « $ » devant la lettre fige
l'adresse
dans
les
horizontaux.
•
fige
Le
« $ »
ment
l'adresse
Pour
il
devant
dans
figer
suffit
la
l'adresse
de
lettre
les
le
mettre
et
le
chiffre
déplaceentièrele
« $ »
chiffre
qui
constitue l'adresse complète de la
Le
(touche
navigateur
F5)
de
permet
document
d'accéder
rapidement aux objets qui ont été
insérés
dans
le
document,
ainsi
la
cellule
ou
la
plage
de
référence, puis aller dans le menu
insertion/nom/définir,
ou
<CTRL>+<F3>.
NB :
eu
conséquent
formés
n'y
pour
aura
plus
personnels
au
OPEN
OFFICE,
séances
les
civils
DAVID
la
ins-
prendront
l'aspirant
département
DE
ou
qui
une
avec
il
cadres
l'École
recevoir
contact
du
déjà
militaires
de
complémentaire
directement
volume
personnels
de
souhaiteraient
truction
faire
égard
de
programmées ;
SIC
(Tél : 2 54 11
gouv.fr)
ou
pour
bénéficier
Pour
ceux
qui
cellule.
rer rapidement à une cellule ou à
une plage de cellule, il est possi-
séan-
ont
des
soucis
sur Open Office, il existe un site
d'enseignement à distance (EAD)
pour
la
gendarmerie.
C'est
un
espace de formation tutoré ou en
libre service qui permet d'acquérir
des connaissances diverses (Open
Office, usage des armes, …).
L'accès
réseau
site
avoir
à
l'EAD
public
se
fait
INTERNET
« http://gendform.fr »
auprès
passe
récupéré
du
sur
CNFDG
spécifiques
via
sur
le
le
après
INTRANET
des
(le
mots
CNFDG
de
a
créé autant de MDP que compte
la
gendarmerie
dans
ses
rangs).
ces informations
2. De façon à pouvoir se réfé-
de
ces supplémentaires « à la carte ».
déplacement
devant
ment verticaux.
•
tionner
[email protected].
1. Il existe deux types d'adres-
sage,
ble de les nommer. Il faut sélec-
de
CALC
<$A$1>.
les
table
dans le styliste (Touche F11).
fichier
dans la messagerie) à partir d'un
laissant
le
« hiérarchisé »
toujours
en
une
clic
(/Insertion/Index/Index),
utilisé pour l'envoi de pièce jointe
fichier/exporter
créer
simple
formule, et l'adressage absolu qui
créer
Open
un
leurs
l'aide des styles de titre disponible
en
de documents).
Pour
6.
matières
au
(/Fichier/Assistants/Convertisseur
3.
par
d'édi-
ter
net suivante :
de
personnels
Vous
trouverez
à l'adresse intra-
https://listes.gendarmerie.fr/gan
epass.
Aspirant Rudy DAVID,
maréchal des logis-chef Pierre HERKENRATH.
12
Quelques raccourcis clavier :
Collage Spécial
Remettre à zéro le formatage (nettoyage)
Insérer un espace insécable
Supprimer jusqu’au début du mot
Insérer un retour à la ligne (même paragraphe)
Supprimer jusqu’à la fin du mot
Insérer un saut de page
Supprimer jusqu’au début de la phrase
Insérer un saut de colonne
Supprimer jusqu’à la fin de la phrase
CTRL + MAJ + ESPACE
CTRL + SHIFT + V
CTRL + BACKSPACE
CTRL + ESPACE
CTRL + DEL
MAJ + ENTRÉE
CTRL + MAJ + BACKSPACE
CTRL + ENTRÉE
CTRL + MAJ + DEL
CTRL + MAJ + ENTRÉE
La cellule instruction
Audience au tribunal
L
E
21
JANVIER
et le 11 février 2009, des gen-
rapidité
une
vité des faits commis. Quant à la Gendarmerie, son
darmes adjoints volontaires ont été appelés
à
assister
à
audience
du
tribunal
de
grande instance de MELUN. Une découverte pour
outre
du
tribunal.
l'ensemble
des
Nous
phases
avons
du
pu
observer
procès
pénal,
du
et
avocats
la
est
comparable
disposition
laisse
à
même
celle
une
par
les
peines
positif. Cette journée, enrichissante en tout point de
vue, nous a plongé dans la réalité de l'organisation
des
juridictions
françaises
et
nous
rappelle
lois ne sont pas à prendre à la légère !
théâtrale : la robe est revêtue telle un costume, l'indes
que
suspects. Le bilan de la visite fut inconstestablement
ment. Le tribunal est similaire à une mise en scène
comédiens
ainsi
elle assure la surveillance, la sécurité et l'escorte des
en
« faites entrer l'accusé » jusqu'au prononcé du juge-
tonation
délibérations
rôle se poursuit dans l'enceinte même du tribunal :
la plupart d'entre nous, notamment quant à la composition
des
prononcées, peines souvent trop faibles face à la gra-
des
que
les
Maréchal des logis Angéline LAMAC,
place
brigadier-chef Nicolas FERNANDEZ.
au public. Nous avons également été surpris par la
Les infos du cercle mixte
Une recette pour le plaisir des papilles
Clafoutis au Grand Marnier
:
Ingrédients (pour 6 personnes)
- 60 g de Maïzena
- 25 cl de crème liquide
- 25 cl de lait
- 2 œufs
- 2 jaunes d’œufs
- 150 g de sucre en poudre
- 1 orange
- 0,10 cl Grand Marnier
- 1 pincée de sel
Préchauffer le four à 180°
Beurrer et sucrer vos moules individuels. Dans un saladier, mélanger la maïzena, le sucre et le sel.
Ajouter les œufs et les jaunes. Mélanger. Verser la crème liquide, mélanger. Ajouter le lait et mixer.
Incorporer le grand-marnier et les zestes d’orange. Cuire au four pendant 22 minutes. Servir tiède ou
froid.
13
CESG
SFATEM
R
à
ATTACHÉ
Officiers
merie
septembre
seignement
l'Ecole
la
le
des
évolué
1er
fois.
Gendar-
Nationale
2008 ,
1
de
Centre
Supérieur
le
d'En-
de
la
Gendarmerie (CESG) a organisé,
pour
de
la
première
MELUN
février
tion
2009,
au
du
12
un
travail
( S FAT E M )
exclusive
fois,
janvier
stage
en
de
sur
la
de
le
au
site
20
forma-
état-major
dominante
Né
de
la
–
refonte
que
les
du
plus
stage
anciens
d'entre nous ont suivi pendant six
mois ou trois mois après examen
d'entrée,
« stage
le
S FAT E M
d'adaptation
emploi
officiers
affectés
qualité
au
d'état-major,
titulaires
pour
la
2
du
est
premier
ouvert
aux
DQMG
première
d'officier
un
fois
rédacteur
et
en
ou
chef de section ou de cellule, dans
un organisme central ou dans un
état-major
durée
de
Depuis
déconcentré »
six
semaines.
2007,
ont
officiers
d'état-major.
former
Initialement
d'un
auquel
déjà
tronc
bâti
12
janvier
division
Joël
à
2009,
le
général
DELPONT,
a
MELUN,
encadré
ment renouvelée.
chef-d'escadron
sceau
veaux
de
la
murs,
nouveau
nouveauté :
nouveaux
rythme,
l'est
nou-
cadres
aussi
et
par
celui de la diversité ; diversité des
origines
des
stagiaires
des profils des cadres.
Le
stage
30 années séparent, de cursus sco-
delà du BAC+5 aux parcours scolaires
plus
définitive
39
pratiquement
unité
camarades
a
tous
et
même
ouvert
rassemblé
stagiaires
depuis
à
Saint-Cyr
et
confidentiels
Polytechnique
venant
ou
d'horizons
variés,
bien
que
toujours rattachés à la dominante.
mois,
étrangers
à
en
français,
affectés
5
officiers
d'organismes
centraux
et
de régions, mais aussi des stagiaires
ont
aux
« métiers »
appris
à
différents
travailler
qui
ensembles
et à se connaître (stagiaire BOEC,
officier
tère,
des
SIC,
officier
pilote
d'hélicop-
renseignements,
officiers du GIGN, personnels de
toujours
l'international
leur
(TA),
C'est ainsi que se sont côtoyés des
La formation est marquée par
dans
et
3
(Grande
Bretagne, Jordanie et Maroc). Il a
couvert la plage de grades de lieu-
l'IRCGN,
officier
de
liaison
giaire
PASR).
La
rences,
contrôleurs
de
communication,
en
à
EDF
charge
formation
cours,
ou
de
exercices
officier
encore
la
en
confé-
groupe,
de
sport
horaire
supé-
déroulée
volume
sta-
section
individuels
séances
s'est
gestion,
alternant
travaux
et
sur
un
rieur à 200 heures.
des
Scindés
groupes
en
quatre
chapeautés
par un cadre référent,
des
les
à
stagiaires
bénéficier
ou
ont
de
pu
la
richesse et de la diversité
res des « spécialités », le
a
à
réuni des hommes et femmes que
professionnels
«OE»
BS) réservés aux stagiaiSFATEM
tenant
par une équipe réduite et totale-
TEM
autour
(OE-RH
ne
présidé l'accueil du premier SFA-
per-
spécifiques
dominante
Le
commun
s'ajoutaient
modules
distincts
laires réputés classiques allant au
quatre
SFATEM
de
d'une
stages
conduisant
le
DEMG
mis
de
organisation-emploi
(OE).
en
regroupant qu'une dominante à la
leurs
rapidement
14
des
parcours
camarades
de
mais
aussi
de
sont
d'origine
ment.
ceux
En
naval,
de
effet,
G1,
titulaires
en
Satisfaits
encadre-
cadres
G3,
parfois
couvrent
leur
les
raison
G2
du
de
d'entre
qui
reçue,
et
leur
CID
pour
eux
les
par
plus
la
officiers
affectation
où
de
80%
formation
ont
ils
rejoint
devront
maintenant faire vivre et parta-
leurs
ger
affectations le large spectre des
métiers offerts par la gendarme-
les
connaissances
acquises.
rie. A eux quatre, ils ont servi à
l'étranger,
outre-mer
et
en
métropole, en escadron, en compagnie
école
et
et
en
en
organismes
dans
la
groupement,
en
interministériel,
centraux
et
dominante
en
OE
celle des RH.
en
res
région
et
dans
comme
un
frein
à
révélée
cohésion
être
réussie
le
et
ciment
d'une
1 - conformément à la circulaire N°
ouverture d'esprit nécessaire.
A
Dans un premier temps identi-
fiée
s'est
d'une
l'issue
du
stage,
107542 DEF/GEND/OE/SDOE du
tous
28/08/2008
les
2 - stage prévu par l'instruction
participants ont été proposés pour
la
l'obtention
formation, la diversité des stagiai-
major
ou
du
du
diplôme
diplôme
110448 DEF/GEND/RH/RF/FORM du
d'état-
21 juillet 2006
technique.
Le centre de recherche
Visite de Sabine DRIESCH (CRGN)
au centre de ressources documentaires de l'Ecole nationale des greffes de Dijon
du 04 au 06 février 2009
G
RÂCE
AUX
tissés
LIENS
entre
les
Durant
écoles
autre,
membres du RESP (réseau des écoles du
fort
contacts,
il
m'a
été
aimablement
offert
greffes
et
de
partager
le
travail
quotidien
à
service
madame
et
madame
Christiane
Violetta
mentaliste et greffière.
Le
CRD,
métiers,
sur
spécialisé
sciences
autorisation
GUERIN
au
enseignants
organismes
sociales
03
en
de
la
80
60
droit
publics.
Il
en
et
GUERIN,
CATALIFAUT,
droit
chef
de
du
par
ministère.
mentaire
revues,
est
les
Le
varié
service
aux
qu'aux
bénéficie
Justice et donc des informations
dispensées
(tous
humaines),
5830),
ainsi
chef
du
dont
docu-
réseau
et
circulaires,
sur
cédéroms,
juridiques
et
près
Enfin,
ou
des
la
demande
pédagogiques,
documentaires
des
des
ainsi
la
et
des
équipes
pédagogi-
missions
sont
pédagogique
de
de
mettre
l'école
à
disposition
les
documents
de
et
mais
aussi
permettre
aux
il
m'a
été
permis
de
stagiaires
visualiser
un
de
autre
cette
visite
renforcer
aura
des
permis
contacts
humains et sans doute des liens
professionnels
dont
le
concerne
avec
domaine
la
Madame
000
équipes
dossiers
des
15
un
service
d'activité
gendarmerie
donc le CRGN.
cédéroms
que
élèves
de
ouvrages
bibliographies thématiques.
des
même,
ouvrages. Il compose également,
à
entre
acquisitions,
de sa mission judiciaire, des contacts étroits. Par la
intranet
docu-
5
observer,
ministère mais avec lequel la gendarmerie a, du fait
complet :
de
des
compléter leur formation.
avec mises à jour, usuels, codes,
JO
les
recherches
organismes
fonds
pu
ouvrages nécessaires à leurs enseignements et à leurs
(madame
personnels
demande
l'équipe
ouvert,
chercheurs
j'ai
catalogage
J'ai donc pu voir le fonctionnement d'un service
du
aspects,
est
la
ques...
des
responsables du centre de ressources documentaires
(CRD) ;
période,
de
et de la revue de presse, la recherche d'informations
la
possibilité de séjourner trois jours à l'école nationale
des
cette
travail
gestion des visiteurs, la tenue de la veille juridique
service public), et dans le cadre d'un ren-
de
le
Sabine
et
DRIESCH.
C.M.P.
Mieux vaut tard que jamais
L
A
FRANCE a atteint son pic épidémique grippal en semaine 5 : plus de 2 mil-
lions
des
personnes
concernées.
Ce
n'est
pas
une
fatalité.
Ces
quelques
conseils arrivent sûrement un peu tard, mais ils seront toujours valables, vis
à vis de ces nombreuses maladies virales (grippe, gastro-entérite, bronchiolite,...) qui
parcourent chaque année notre pays d'une manière qui peut sembler aléatoire (pas
tant que ça !) mais qui finit par concerner tout le monde.
Le sujet contagieux est une personne déjà malade qui tousse, qui parle et dont les
«
projections », les postillons (les fameuses gouttelettes de PFLUGGE), invisibles (souvent) à
l'oeil nu peuvent parcourir un bon 2 mètres. Les mains des malades aussi bien sûr sont susceptibles
de servir de vecteurs.
2
évidents,
CONSEILS
préconisés
depuis
longtemps
même s'ils peuvent apparaître comme décalés dans
nos us et coutumes doivent être mis en application.
des
chirurgicaux
commence
tousser,
en
masques
dès
à
lors
être
de
contexte
à
épidémi-
de
parce
sa
que
famille,
ce
du
faisant
les
protège.
Un
grippé
qui
wagon. Vous me direz « mais tout le monde saura que je
suis malade », c'est vrai !!! mais vous voyant éternuer, tousrenifler,
simplement
votre
vous
les
bon
sens,
à
mesures
dans
les
sont
largement
établissements
de
Souvenez-vous des images du SRAS il
entre dans un wagon de TGV contamine environ 1/3 de ce
ser,
du
scientifiques
y a quelques années, et n'oubliez pas que
tra-
on
tout
preuves
relè-
grand public.
un peu moins « d'intimité » ou
sein
avant
qui
santé, elles doivent aujourd'hui gagner le
de proximité avec ses proches,
vail,
Ces
utilisées
que hivernal. C'est aussi mettre
au
sont,
que.
l'on
malade,
vent
simples,
d'impacter efficacement un flux épidémi-
types
que
MESURES
l'appui, les véritables leviers susceptibles
En premier lieu, c'est l'utili-
sation
C
ES
entourage
protégerez
vous
sait
davantage
déjà
et
malade ;
vous
plus de place dans les transports en commun.
chaque
chaine
jour
nous
grande
rapproche
pandémie
de
la
pro-
grippale
mondiale et là, faites-moi confiance, cha-
cun aura son masque sur son nez et un
flacon dans la poche.
aurez
Ces types de masques chirurgicaux sont à votre disposi-
tion en salle d'attente, il en sera de même l'hiver prochain,
ils sont aussi disponibles en pharmacie.
En
parallèle
mesure
avec
à
des
à
mettre
solutions
ce
en
principe
de
application
« barrière »,
est
hydro-alcooliques.
le
lavage
Ces
la
seconde
des
flacons
mains
sont
en
vente sans ordonnance en pharmacie. Ce sont des antisep-
tiques efficaces, qui prennent très peu de place et dont le
mérite
est
serviette
mains.
de
ou
sécher
rapidement
sèche-mains,
à
l'air
simplement
sans
en
se
nécessité
16
frottant
de
les
Médecin en chef Eric TREMSAL.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT
Évolution des stages OGR en 2009
D
EPUIS
LA
important
tés
en
MISE
d'adaptation
des
exercées
de
stagiaires
place
en
grades
aux
2005
( PAG R E ) ,
officiers
du
plan
L'année 2009 constitue donc une année de transi-
responsabilile
tion
volume
issus
du
rang
–
(OGR) a contraint de réduire le format du stage de
tant
en
interne
qu'en
sur
considérant
que
l'enseignement
ce
type
de
du
possède
faire ».
L'avancée
du
plan
impliquant
qui
viendront
aux
officiers
à
profit
Ce
temps
pour
de
revenir
à
une
formation
plus
stage
découvrir
du
corps
de
deux
notre
belle
technique
supplémentaire
développer
plus
et
imparti
précisément
objectifs de formation à dominante «
ainsi
un
est
savoir-être
les
»,
que
les
aptitudes
que
doivent
acquérir
ces
futurs chefs dans le commandement opérationnel et
le management de leur unité.
une
réduction des effectifs recrutés et la volonté du gestionnaire
d'un
notamment les valeurs éthiques et déontologiques ;
certain acquis dans les domaines du « savoir » et du
« savoir
spécifique
mis
externe,
« savoir-être »,
population
programmation
OCTA)
administratif.
cette courte période d'information était axée essentiellement
18
un
Destinée à positionner le nouvel officier dans son
environnement
la
« auberge espagnole », répartis en quatre stages dont
quatre à une semaine.
futur
avec
semaines, pour un effectif de 174 stagiaires (156 OG
Chef d’escadron Alain ALORDA.
dense
devraient aboutir à la mise en place pour 2010 d'un
stage
à
quatre
semaines
avec
les
premiers
nants OGR recrutés par voie de concours.
lieute-
L'EOGN au cœur du RESP
D
U
2
AU
6
plication de leur administration et l'exercice de leurs
2009, l'École des officiers
MARS
responsabilités
de la gendarmerie nationale a organisé sa
session annuelle du Réseau des Écoles du
service
public
au
profit
de
24
étudiants
invités
à
Au-delà
réfléchir autour de la thématique d'ordre public intitulée
« la
régulation
sociale
des
foules
dans
écoles
l'EOGN
étaient
formation
tection
initiale
que
des
présentes
judiciaire
nationale
l'école
représentées,
de
la
des
au
métiers
l'école
jeunesse
d'administration
nationale
tant
plan
exercés.
nationale
(ENPJJ),
pénitentiaire
douanes
(END),
publique
(EHESP),
l'école
de
de
la
Outre
de
pro-
natio-
nationale
supé-
hender
d'un
la
teknival
vers
l'interministérialité,
a
été
valeur
issus
des
ses-
l'organisation
principaux
la
préparation
et
la
gestion
lumière
des
études
abordées
au
teknivals
de
de
grands
cours
de
d'enseignement,
de
semaine de réflexion inter-services.
Une
même
expérience
des
riche
participants,
tout
particulièrement
cette
l'avis
satis-
faits de cette semaine passée aux côtés des cadres de
l'EOGN et des intervenants universitaires et profes-
à
sionnels.
travers une nouvelle dynamique pédagogique orien-
tée
la
rassemblements festifs et sportifs en milieu fermé, à
La résolution d'un exercice de mise en situation
déroulement
significative,
de la visite du stade de France afin de mieux appré-
(ENAP),
formation professionnelle (INTEFP).
le
plus-value
d'une
Cette session du RESP fut également agrémentée
l'école
l'école
haute
l'année 2008.
et l'institut national du travail, de l'emploi et de la
sur
gestion
d'une table ronde destinée à des retours d'expérience
rieure des officiers de sapeurs pompiers (ENSOSP)
opérationnelle
cette
cation des mécanismes des foules, et
nale des greffes (ENG), l'école des hautes études en
santé
de
la
de psycho-sociologie pour mieux percevoir l'identifi-
fonction publique de mettre en commun la spécifides
et
orientée à la fois vers un enseignement académique
Excellente occasion pour ces futurs cadres de la
cité
l'approche
sion offrit aux stagiaires une analyse des plus riches
les
grands rassemblements sportifs et culturels ».
dans
crise d'importance.
Lieutenant colonel Philippe GIGNOUD.
unanimement
appréciée des participants qui furent conduits pour
la première fois à partager leurs compétences, l'im-
17
B.R.H.
Notation réalisée sous Agorh@
PRINCIPAUX changements:
- Une feuille de notes unique pour
tous les statuts, constituée de deux feuilles, en un seul exemplaire ;
- Le notateur du 1
degré ne fait
er
qu'une proposition de variation du
niveau
de
(il
est
est
déjà
notes
prévu
(NM
d'utiliser
,...,-1,0,1,...)
NM :
note
maximale, lorsque la note maximale
obtenue
au
tion égale à 0) ;
-
Remplacement
lieu
de
des
varia-
qualités
foncières (cimetière) par des points
forts et des points à améliorer.
Maréchal des logis
Mélanie ARNAULT.
SERVICES LOGISTIQUES
L'EOGN se met au vert
L
E
BUREAU
ment
unités
de la protection et de l'environne-
(BPE)
gendarmerie
une
campagne
ment durable.
Dans
ce
DELPONT,
de
la
direction
nationale
de
a
générale
lancé
auprès
sensibilisation
au
de
de
la
ses
développe-
section
en
au
duits
protégés
issus
qui
cadre,
le
commandant
général
l'École
de
a
division
intégré
dans
Joël
son
responsabilité.
acteur,
paille
et
Le
matériel
volet
commandant
handicapés,
système de pilotage et de contrôle la dimension d'éco-
Principal
La
pourvoit
sociétal
des
pro-
d'ateliers
emploient
tels
Le
pavillon
pré
des
en
blanc.
La section budget - cellule marchés se préoccupe du
volet environnemental en insérant dans les cahiers des
clauses d'achats publics une mention sur le développe-
le
service
logistique
est
chargé
ment durable.
d'agir sur les aspects économique, sociétal et environ-
nemental du développement durable.
cié
La section des affaires immobilières et casernement
œuvre à limiter la consommation des énergies liées au
fonctionnement de l'Ecole,
en
remplaçant
vétuste
ments
par
le
des
en
(Renouvellement
de
équipe-
recyclables
économes
tème
matériel
et
énergie.
du
chauffage
système d'éclairage).
et
sys-
du
18
Sur la demande du général, un personnel a bénéfide
durable.
deux
jours
de
formation
sur
l'achat
public
Ces actions innovantes sont autant de réponses aux
préoccupations environnementales actuelles et doivent
être relayées par des pratiques individuelles éco-reponsables.
Le développement durable est l'affaire de tous !
Madame Sandra DAUNIS.
LE MUSEE
P
L'ANNÉE
ENDANT
2008
le
musée
de
la
gen-
darmerie a fait l'acquisition de près de 400
pièces dont certaines méritent une attention
plus
particulière.
Parmi
celles-ci
ou ayant une histoire singulière.
des
coiffures
Un
casque
modèle
avec
dorée
rares
1926
une
au
kaki
grenade
chiffre
11
au dessus d'un croissant.
n'est
d'un croissant évoquerait le 11
casque
pas
1926
escadron de la garde le 1
e
er
participera
au
débarquement
une
pièce
tière
du
2
corps
au
dessus
mars 1944. Cette unité
Provence
et
fera
d'armée
du
général
tence.
char
lui,
dans
çaise
casque
drap
1915
fin
conserve
des
et
Cette
du
-
mondial
rare
sur
fiant
le
comporte
grade
FONTAINE,
h
e
pour
sur
qui
légers
les
la
le
qui
survi-
baron
servira
sous
disponible
fanion
du
Stonne,
45
est
il
de
ne
la
d'un
Charles
d'Em-
tête
des
chevaux-
de
la
Louis-Philippe
dans les Ardennes, pendant la Campagne de France.
Le
la
polonais,
fonction
e
à
des
la
menés par son unité : le 45
de
dessus
30
e
brigade de cavalerie légère et
f
combats
combats
revanche
Au
amateurs
général
gendarmerie. Bataillon qui s'illustra particulièrement
aux
en
argent.
sortie
commandant
des
galon
tons d'uniforme.
le
vant
capitaine,
de
sur le bandeau à ses extrémités par deux petits bou-
mameloucks,
l'adju-
de
pas
visière est posée une fausse jugulaire en tissu fixée
qui
d'avoir
le
soutaches en argent placées horizontalement, identi-
pire
la
du
marché de la collection. Le turban est orné de trois
ouvrage
c
en
premier
DELAITRE,
t
le
l'aspect
fran-
n
orangée,
devient de plus en
répandu
à
patine
qui
coiffure
début
Enfin,
de
a
de
modèles
l'armée
appartenu
a
modèle
1935
mais
reflets
bleu
modèle
aussi
des
capitaine
d'histoire,
particularité
d
avec
képi
de
plus
11
DE MONTSABERT. Cette unité aura un an d'exis-
Un
Un
clair
groupe autonome de
chiffre
en
or
pompon double est d'une belle couleur écarlate.
conflit
ensuite fonction de détachement de circulation roue
couleur
rare, en revanche le
la garde créé à Constantine suite à la dissolution du
10
d'une toile de coton verni noir. La petite grenade est
d'avant-guerre.
Le
e
utilisée et sur une durée très limitée. Coiffure fabri-
quée en carton quadrillé marron, elle est recouverte
e
Bataillon de chars de la
Tannay
décoré
de
et
la
du
Mont-Dieu,
croix
de
guerre
1939-1945 avec une citation à l'ordre de l'armée.
Un
shako
tenue
modèle
cier
de
de
1873
la
pièce
cavalerie de Saumur puis aura
d'inspecteur
de
la
gendarmerie. Cet ouvrage est
au
musée
mais
aussi chez l'auteur pour ceux qui voudraient en faire
l'acquisition.
Bien
que
fermé
aux
visiteurs,
le
musée
est
tou-
Garde
N'hésitez pas à le contacter au 01 64 14 33 17, au
Cet
contrairement
une
de
ville
d'offi-
aux deux précédents,
est
sera
l'école
jours vivant et recherche perpétuellement des pièces
Républicaine.
objet,
de
de
extrê-
mement rare car peu
19
de
toutes
natures
pouvant
enrichir
ses
collections.
01 64 14 54 64 ou au 01 64 14 54 45.
Adjudant-chef Bruno DUPUIS.
Directeur de la publication :
Général de division Joël DELPONT
Direction de rédaction :
Capitaine Frédéric ALLAMAND
Aspirant Sébastien MEYER
Adjudant Jean-Léon ALTOLAGUIRRE
Maquette PAO :
Adjudant-chef Christophe BOURTOURAULT
Maréchal des logis-chef Virginie GAZENGEL
Photos :
Centre audiovisuel EOGN
Impression :
Service diffusion EOGN
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