annales des examens 2006/2007
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UNIVERSITEDE METZ UFR DROIT,ECONOMIE,ADMINISTRATION ANNALES DESEXAMENS 2006/2007 1 JANVIER 2OO7 SE,SSION ler SEMESTRE FILIERE DROIT Page 1 sur 169 L l DROIT Page 2 sur 169 UNIVERSITÉ PAUL VERLAIN F.-l4iETZ FACULTÉDE DRoIT, ÉCouoMIE ET ADMINISTRATIoN DROIT CONSTITUTIONNEL GENERALET COMP,qNÉ lt.LNNnn DE LICENCE EN DRoIT, IREMTERsEMESTRE,sESSroNDE JANVIEn 2007, MiETZ 9 TRATTEZL'UN OU LAUTRE DES SUJETS 5I/TVANT5 : SUJET 1 : DISSERTATION Le bicamérismeen France sousla IIf et la llr République SUJET 2 : COMMENTAIRE < Suns doute le président des États-Unis est-il la pièce maîtresse du système politique et sespouvoirs sont-ils très importants. Mais ils se trouvent à la fois limités et contrôlés, et cela pour deux raisons essentielles (même si I'on fait abstraction du fédéralisme): tout d'abord les Chamhres demeurent détentrices exclusives du pouvoir législatif et du pouvoir budgétaire sans que le président puisse sepasser d'elles et sans qu'il puisse les contraindre à s'incliner devant lui; d'autre part, lafaiblesse du systèmede partis dont peut se contenter un régime présidentiel, dans lequel le soutien quotidien de l'Assemblée au cabinet n'est pas nécessaire, ne met pas à la disposition du président la mécanique d'un parti disciplinâ n Georges VEDEL : 3 HEUPES V DUREEDE L'ÉPREUVE V AUCUNDOCUI4ENTN'ESTAUTOHTSÉ Page 3 sur 169 DE DROIT, ECONOMIE ET ADMIMSTRATION T]NTVERSITE LICENCE DROIT Ll AIYI\TEE2OO6NOO7 EPREIIVE D'ECONOMTE GENERALE Certainesquestionçneuventampnerà nlusieursrépoFses(lnt sur 62 nar-questionsauf précisionentre na,renthèses) Conseil: faites d'abord les questionsdont vous êtescertain de la réponse puis cellesdont vousêtesmoinssûr et ainsi de suite.,,. 1) PrésenterIa formule de calcul du taux de chômage: aaaaaaaataaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaoaaaaaaaaaaataQaaaaoaaaaa aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaaaoaaaoaaaaaaaaaaaaoaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaa L 2) Définir la productivité : a a a . . . a . . a a a a . a a a a a . a a a a a . a . a . . a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a l a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a o a a a a a a a a a a a o a a a a a a a a a a a a a a a a a a a aa 3) Commentcalcule.t-onIa productivité du travail ? 4) Les offreurs de travail sont : û Les actifs D Les employeurs Page 4 sur 169 5) LorsqueI'entrepriseémetdesobligationspour financerses investissements productifs, elle utilise : !l) un financementexterne [2) un financementinterne n3) un autofinancement !4) un financementsur fondspropres 6) Aujourd'hui (fin 2fi)Q le taux de chômageen Franceest de I'ordre de : D l3o/o t l0o/o t 9o/o 7)Le chômagenaturel est un chômage: tr Lié aux aléasclimatiques tr Un niveauincompressiblede chômage 8) Compléterle schéma(4 points) Lcschtlrouthêrnëntsct tr* cffiplol, tnarrffiaÉæ ffiuwgc torrtc : læ,4tesftpniaA. op- <it. Page 5 sur 169 9) Citer 3limites de I'indicateur PIB : (3 points) 10) Compléter le tableaudesdifférenb typesde chômages(2 points): Marché du travail Offre > Demande Marché des bienset services Offre > I)emande Chômage Offre < I)emande Chômage Offre < I)emande / contcnae 1l) Présenter3 caractéristiquessocialesqui a tendanceà faire (3 points) augmentefle risque de chômage 12)L'IDH intègre: tr Le taux d'alphabétisationdesenfants tr Le taux d'alphabétisationdesfemmes tr Le taux d'alphabétisationdesadultes 13)Les ISBLSM sont un secteurinstitutionnel de la comptabilité nationale : D Vrai fl Faux Page 6 sur 169 14) Citer TROIS facteursqui jouent sur la demandede travail: (2 points) 15) L'homoeconomicus est le modèlede la théoriekeynésienne : tr Oui D Non 16)Compléter l'équation (mentionnezle sensdessiglesutilisés) (2 points) PIB+ =CF+ PIB : + + +^t Stocks CF: AStocks: FBCF: X: MouI: 17) Ques'est-iI passésur ce marché? (4 points) 9r 9r Page 7 sur 169 4 l8) La loi de SAY affirme : !l) toute demandecréesa propre ofTre ! 2) toute offre créesa propre demande tr 3) la monnaies'échangecontre lesproduib 19)La theorie quantitative de la monnaies'écrit ainsi : I 1) MxT= PxV J 2) MxV=PxT n 3) MxFVxT 20) Proposerunedéfinition de l'économie(a points) 2l) Une fonctionde demandenormaleest : tr Croissantedu prix tr Indifférente / neutre tr Décroissantedu prix 22)La compétitivitédépenduniquementdu coût de production: I Oui û Non 23) Quelssont les avantagesde la division du travail selonA.SMITH : ûUne plus grande flexibilité de la production tr Un gain de temps trUne plus grande habileté trUnepossibilitéd'une plus grandemécanisation trUn meilleursalaire Page 8 sur 169 [Un travail plus intéressant 5 24) Une économied'endettementcorrestrrcndà : tr Une économiede financementdirect t Une économiede financementindirect I Une économiede financementpar crédit bancaire t Une économie de financementpar la marchedesactions. 25) Les gainsde productivité augmententmécaniquementles prolits : I Vrai I Faux 2Q expliquerce que ceschémamontre :(4 points) 27) Compléter (2 points): - Coût tûtnl QunntitÉ produite Vrrhtion du coût totill Vrrintion Page 9 dc sur 169 ln qunntitÉ produitc 28) Définissezla demandeEFFECTM (2 points) : 29)Lt main invisible signifie : I Une large ententeentre fous tr Une synthèsede.sintérêts individuels tr Le marchéa besoinde I'Etat pour être reglé 30) Définissezlesconditionsde la C.P.P.(2 points) l)aaaaaaaaaaaa.aaaaaaaaaaa.aa.aaaaaaaaaaaaaaaaaaa.aaaaaaaaata.taaaaaaaaaaaaaaaaaaaa t\ -, aaaaaaaa aaoaoaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaotaaaaaaaaaaaaaataaaaaataaaoaaaaaaaaaaaa JJaaaaaaaaaaaaaaaaa..a.aaaaaaaaaaa.aaaa.aaaaaaaaaaaaaoaaaaoaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaoaaae 4)aaaaaaaaaaaaaaa.aaaaaaaaaaaaaaa.a.aaaaaaaaaaaaaa.aa.aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaa. {\ v,aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaaaaaaaaaaaaaaoaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaIaaaaoaa 31) CompléterIe schéma(4 points) Éittxrrrmic rl'Cthelh Cliii*$nr.'e des ptdit* Page 10 sur 169 32) Ia notion d'externalitéscorrespondà I'apparition d'avantagesou d'inconvénientsde nature économiquequi : [1) se produisentà I'extérieur desfrontières [2) ont un coût ou un prix fixé à l'étranger !3) ne passentpaspar une transactionsur un marché n4) n'existentqu'en dehorsde loentreprlse 33) Définir la notion de chômageselonle B.I.T. (3 points) 34) Aujourd'hui le taux d'inflation en Franceest de I'ordre de : tr 3Zoparan D lo par an t 8o/opar an 35) si les gainsde productivité sont su1Érieursà la croissancela production, alors pour créer desemplois,il faut : Dl) augmenterle tempsde travail tr2) diminuer le tempsde travail E3) ralentir Ia croissancede la production n4) augmenterla productivité du travail Page 11 sur 169 PoulVerloine- lûetz Université a et Administrotion UFRDroit,Economie Annéeuniversitoir e 2QO6'2OOT Introduction gënêealeou droit : Le droit objectif LlcenceDroit Ll Sessionde jonvier 2AO7 Duréede l'épreuve: 30 minutes Cours: Mqrc Dubois L'usogede tout document,de tout code et de tout opporeil électroniguependont l'exomenest strictement interdit. Exercice Devont les rovogesdu tqboc, et tout porticulièrement chez les jeunes, les outorités pubfiguesont décidé de réngir. Un décret n" 2006-1386 q été signé le 15 novembre 2006 (porutionou J.O le t6 novernbre)interdisont,dès le tu féwier 2007,l'uso9edu toboc dqns les lieux aff ectés à un usogecollectif. Cette interdiction shppligue,entre outre, dqns tous les moyens de tronsport collectif. (Toutefois, c6 dispositions n'entreront en vigueurgu'ou1"' jcnvier 2008 donsdes cos porticuliersprévusà l'orticle 5 du décret.) Début février 2OO7,oprès avoir têté les bons résultots gue vous s\tez obt"rtus oux portiels de jonvier, vous p?enezle troin pour rentrer chez vous. Vous êtes un(e) de lo cigorefte et vouspensezquelo mesurene vousesTpos de-sinée, inconditionnel(le) donsleguelvousvoustrouvez. vousprenez donc[o liberté de polluerl'environnement fl se trouve que,non loin de vous, une personne e-st réellement incommodéeet vous demonde d'êteindre lo cigarette gue vous êtes en train de griller. Légèrement euphorigueet totolement insouciont(e)vous l'envoyezpoltment3e mêler de ce gui lo re4arde.Mécontentede votre ottitude, elle foit oppelà un ogent de lo lorce publigue gui constote l'infroction. Pour justifier votre comportement,vous prétendez ne Pos connclître l'existence du décret mais l'cgent vous inflige malgré tout une omende forfoitoire de68€. Vousvoulezcontester le bien-f ondéde cette sonction. Devont guelle juridiction devez-vous porter l'affoire ? Pt'ecisezlo règle opplicobleen lo motiène oinsi gue so finolité. Commentle principe peut-il être rlnrurcê7 Page 12 sur 169 UniversitéPoulVerloine- l{tetz et Administrotion UFRDroit,Economie Annéeuniversita ir e 2@6-?OOT a Introduction génêroleou droit : Les drcits subjectifs LicenceDroit Ll de jonvier2æ7 Session Durêe del'épreuve: 30 minutes Cours : Morc Dubois L'usoge de tout document,de tout code et de touf opporeil électronique pendont l'exomenest strictement interdit. Exercice guise situe /lÂonsieur Louiso prissovoiturepouroller faire sescoursesqusupermorché à guelgues Pendqnt le trcjet il loissesonespritdivoguer. kilomètresde sondomicile. À un correfour.il ne voit possurgirle véhicule venqntde so droite.Surpris,il donneun coupde volontinternpestifofin d'éviterlo collisionet montesur le trottoir en fouchont Andréeguidiscutoitovecunevoisine. rlÂodome Andréeest grovementblessée,sq moelleépinièreest touchée.Elle ne pourro rlÂqdome plus morcher.Aprèsguelgues semoines d'hospitolisotion, ModomeAndrée,ne pouvont jambes,rentre chezelleenfouteuilroulont. pfusfoire usqgede se.s Connoissont votre réputofion,ModomeAndréevient vous consulter pour gue vous puissiezlo conseiller oumieuxde sesintérêts. QrJefest le principeen lo motière ? De quef np de responsobilités'ogit-il ? Pour que lo nesponsobilité de ,lÂonsieur Louisprisseêtre mise errcrntfle.guefout-il ? Pr€cisezvotrreréponse. Les semoinespossentet /lÂodomeAndrée,ne pouvortplus discuter qvec so voisine, déprime.Pouroublier,ellefinit pcr sombrerdonsl'olcool. Unjour, ivre morte,elledévale l'escolierovecsonfouteuilet se tue. Conscientsde votre compétence, sæ héritiers viennent,à leur tour, vousdemqnder conseildonsle but d'obteniruneindemnisotion. Qgeffepournoitêtre votneÉponse à cet Agard? Prâsentezles deux théoriesqui s'opposentà proposdr.tlien de cqusolité. Loguellepr€vorrfen droit civil ? Page 13 sur 169 UniversitéPaulVerlaine-Metz et administration Facultéde droit.économie INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT Ll Droit Epreuvedejanvier 2007 Durée: I h Aucun documentn'est autorisé Sujet: Les communautés de métierau moyenâge. Pagel/l Page 14 sur 169 L2 DROIT Page 15 sur 169 Université Paul Verlaine, Metz Faculté de droit, d'économieet d'administration Centre Universitaire de Sarreguemines Licence en Droit, 1è" année,semestreI cours de M. J. SOHNLE Durée de l'épreuve : 3 heures Epreuvedejanvier 2007 (lè'" session) Aucun documentautorisé DROIT CONSTITUTIONNEL Les étudiantstraiteront I'un des deux sujetsuu choix : l) Dissertation: La séparation verticaledespouvoirs NB : Lesétudiants nedoiventpasconfondre ce sujetavecla séparation horizontale despouvoirs en pouvoirslégislatif,exécutifetjuridictionnel 2) CommentezI'extrait suivant de I'article 3 de la Constitutionfrançaisedu 4 octobre1958: < ArL 3. - La souveraineténationale appartient au peuple qui ltexercepar ses représentantset par la voie du référendum-... > Page 16 sur 169 UNIVERSITE PAULVERLAINE ,IAETZ FACULTE DEDROIT,ECONO,I^IE ETADMINISTRATION CENTRES DEMETZETSARREGUE,I{INES Ll DROIT DROIT CTWL ANNEEUNIVER5ITAIRE2æ6I ?æ7 ler semestrelèresession Durée:3 heures Commentezl'arrët rendupor lo Courd' appelde Grenoble le 3 ovril 2@0. $e soût mariés Ie 18 mars Matika M|rI[ Abmod zJ.et 1995 ù GRENOBLE (Isère)srns corûtatpréalùle. Aucrrn eufrnt n'est issud€ cetteunion. Par jugemrcnten date du 30 septembre1998 le Juge aux effieires fh-fli*es du Tribuast de glardÊ IËhDæ de Grcnoblea proûonûé le divorce aux torts excftrsifrde l!éporrseet a déboutécelle'ci de sa demandeen nullité du mariage. z rclevêappel de la décision et ænclut à la Malika lltl nullité du mariage sur le fondement de I'article 180 alinéa 2 du Code Civil. Elle ftit naloir que son é{oE n'a jamais étêen ûr€sufÊd'avoir, avec elle, desrelatioæ scruellesnormalcs. Eue prétendque cetûeimpuissancedont il est prouvé qu'elle n'a pas pour origine ua p,roblème physique, est due 211man{Ee so persontreet ajoute que cs â'iot3ret de Ahmed TI''_pour dernier a ænhaclé mariagedaos le scul but d'aqrÉrir en France rm stahrtplus favorablcen saqualité d'imrnigr6' A titto subsidiaire,elle conclut au pnononcédu divcce âut( torts excftrsift dc l'ftoux arqrælelle fait grietd'avoir quitté'leftmicile codugat hois mois aprèsla oélébrationdu madage. Page 17 sur 169 a ltl Elle demande à la Cow : - d'infirmer le jngement, AtiEeprhcipal' - de protrorcer la nullité ùr mariage etr application des deI'article180alhéa2 du CodeCivil' dispooitiona AtiEe $rbsidiairÊ, - deprononcerle divorceauxtortsexclusifsdeAbmedztJ répliqueque c'est sousla ænlrainteqn'il a dû Ahmpd7Ç abandonnerle domicileconjugAtprovisoirementétabli cltez les parentsde son épouseet ce au seul motif de sa p'rétendue impuissance. Il soutientqu'il re pcuty avoirlieu È aunulationdu nariqgedès et que la non lors quesesaptitldesseruellesont étédemonfiéas consommationdtr mriage ne mnstituepall etr ellc-mêneune caused'annulation. trdemaûd€ àlaGoru: - de confilner le jugement, SURQUOIIAAOUN. Surb ruùIité .d* nnriage. sollicite la nullité du mariage ATTENDU qw Malika Mde l'article 1g) alin& 2 fondement le oélébréle 18 mars 1995 srrr du codecivil ; de QU'elle invoquc à I'appui de sa demaade que le défaut de capacit6cr.n*ue$ de son épouxa étépendanttoute la durée la vie comnune; QtlE le cmpte rcndu de I'examen cavernographiquepn:q{{ sut 29 mei 1995, aoælut à nno absÊoaedGdtrcit Ahmed z-le de s€s capocités sexuelles, si bien que l'éporrsc s'expliqrrc I'abaencede relations intimes au sein du ouple par ta volonté de ce dËmief de sc marier au seulesfins de voir sa cailtede séjour délirnéesgr ta basedc sa qualité d'étudiant, évoluervers tm statut de rÉsident; tyIAIS ATTEI,{DU que pretlve n'est pas pat eillours rapportéede æntournpr la lfuistation relative q* Ahmcd rlinændait "" au droit des étrangersÊq contractântmariage et que la coru ne saurait autrem€ntse pfatronccralors même qu'auortr élémentsrn Page 18 sur 169 estfoumi ; la siruation évoquê ne lui QIJE dès lors lr nuttité du marirge n'est pas encourue; Ll+ Sur ladenande endÈWree ATIENDU que Malikn À4|II fait gdef à son époux de s'êtresoustmitaudevohdc cohabitation ; QU'elle verseà I'appui de sesalégations,rrneseulerttestation Édigée par SaadaMflf, eu:(teflnesde laquelleAhmed Zrsemble avoir quitÉ Ie domiciledesesbeaux-parents cinq mois aprèsla cérémoniede mariage,honteuxde nè pas aoir hmoÉ sonépe $U'q tel témoignqgeéûit dG la main-mêmede la père de I'appelantenepeutqu'€fieécarté,encequ'il ne.présente pu**t" garantied'impartialité; ATTEI{DU qræ Ahmed 7l} ne gonttrt€ pas ne plus avoir résidéavecsonépouseà pûtir du æ août1995-audomiciledc sa belle-frmillc, dez qui Iê corple s'était provisoirement iutallé, maieprétendea avoir étécha.ssé ; MAIS ATTEND{J qræles attestationsémanantde Abdelkader Mohamed ræ æ Abdelâli Bl|Ir et Rsoufr-f sebornentà affirmerqu'Ahmed 7e a été jeté dehorsde c.hezses.beauxlrarents'arrant de touv€r hébergcment chezI'un d'enEeerix,mais n,fuoquentpas les circousbncesdanslesquelless'est dérouléle déparide leu ami; Qu'il n'estpasdémoatéquel'éporx a quittér€domicileconjugal conhesavolonté; ATTEI{DU de plus quÊla tummunautédevie ne ænstituequ,un lequel comprendaussi feq aryeqtsdu devoir de cohabiûation I'obligatim pour les époux de oonsentirâ un raplroche,ment sexueldêslonsqu'ils sontenFft danelesliensdumuiage ; Qu'il ressortcependanç dedeuxoertificatsmédicuxébblis, I' n par le docteurBIIII] le 2 juin 1995 et l,aufie par te docteurRI Ie ler s€,pt€mb,r.e 19g5,que l{alika M|ùll préscntaitles signes h4ituoh de virginité ators qu,iur gtnit mariée à Abmed z-d€puis phrsieursmoiq sàne$re ae epporte la moindre jrutifrcation physiquô ou psychologique à ccttesituation; -QU'ainsita pleine dispositionde see cr,pæitÉzsex'elles par l'épouq dfuonhé à I'occasionde la cavemographie, met eû fuidencele refrrsde ce dernierd'avoir desrelatiànsiatimesavec sonépousc; QUE cesftib @nstitu€ntune vblation graveet rcnoweléedes &voin et ùligtions É du miliege rendantintolérablele maintio dola vic aoûmulÊjustifiantIe prmmcé dudivorceaux btts dGl'épotrr ; Page 19 sur 169 3l+ PARCTSMOilES: Fubliquementet æntradictoiftmsnt uprès en avoir d6tibéré conformfuentàlaloi" Rsgoitl'etr4nl, Rejetûe le demrndeennullitÉdemariage; t*-t e'f *vetl:es à de-*egÊsetht6$e; vu lbrdonnancede non-conciliationen daûcdu 19 fêvner tggl ayatrtauûo:iT éæuxà résidereépaÉ.milr, fs Prononce le divorcedasépoux: - Ahed T], É le 28octobret96Z à,CIILEF(Algérie) - Malika [4lll, née le tZ rfficr 1964 à CIILEF (Algéris), _. auxtorFdunari;, ordonne toutes nentions et transcriptionsoonsormément aux dispositimr deeartidEs49 dû code civil et 1(ts2du Nouveau Code de hocédure Civile, notammcnteil mûge de I'actÊde mariagcdes épouxdresséle 18 mars Lggset de leuxsactesdÊ naisstnce, Annexe: ou sur les Articfe 180olinea2 du Codecivil : < S'il y s erreurdonslo personne, guofifésessentiellesde lo personne,l'outre épouxpeut demonderlo nullité du marioge> Aucundocument n'estoutorisé Page 20 sur 169 4l+ FACULTE DE DROIT, ECONOMIE ADMINISTRATION AnnéeUniversitair e 200612007 EPREIIVE DE DROIT CIVTL L.2 DROIT SessionJanvier 2007 L'étudiant(e) commenteradans une Première partie I'arrêt de la Cour de cassation: Civ. 1è" 3 mai 2000 (JCP 2O0|,II. 10510note C. JAMIN) et, à partir des faits de I'espèce,envisageradans une Deuxième Partie les autres fondements qu'aurait pu invoquer le vendeur. Sur le moyen unique, pris en sa deuxième branche : Vu I'article 1116du Code civil ; Attendu qu'en 1986, Mme Boucher a vendu aux enchèrespubliques cinquante photographiesde Baldus au prix de I 000 fr,ancschacune; qu'en 1989,elle a retrouvé I'acquéreur, M. Clin, et lui a vendu successivementtrente-cinq photographies, puis cinquante autres photographies de Baldus, au même prix qu'elle avait fixé ; que I'information pénale du chef d'escroquerie, ouverte sur la plainte avec constitution de partie civile de Mme Boucher, qui avait appris que M. Baldus était un photographe de très grande notoriété, a été close par une ordonnance de non-lieu ; que Mme Boucher a alors assigné son acheteuren nullité des ventespour dol Attendu que pour condamnerM. Clin à payer à Mme Boucher la sommede 1 915 000 francs représentantla restitution en valeur des photographies vendues lors des ventes de gré à gré de 1989, aprèsdéduction du prix de vente de 85 000 francs encaissépar Mme Boucher, I'arrêt attaqué,aprèsavoir relevé qu'avant de conclure avec Mme Boucher les ventes de 1989,M. Clin avait déjà vendu des photographiesde Baldus qu'il avait achetées aux enchèrespubliques à des prix sansrapport avec leur prix d'achat, retient qu'il savait donc qu'en achetant de nouvelles photographies au prix de I 000 francs I'unité, il contractait à un prix dérisoire par rapport à la valeur des clichés sur le marché de I'art, manquant ainsi à I'obligation de contracter de bonne foi qui pèse sur tout contractant et que, par sa réticence à lui faire connaître la valeur exacte des photographies, M. Clin a incité Mme Boucher à conclure une vente qu'elle n'aurait pas envisagéedans ces conditions; Attendu qu'en statuant ainsi, alors qu'aucune obligation d'information ne pesait sur I'acheteur,la cour d'appel a violé le texte susvisé ; PAR CES MOTIFS : CASSE ET ANNULE, danstoutes sesdispositions,I'arrêt rendu le 5 décembre 1997,entre les parties,par la cour d'appelde Versailles ; remet en conséquence,la causeet les parties Page 169 êûe fait droit, les renvoie devant dans l'état où elles se trouvaient avant ledit 21 arrêtsur et, pour la cour d'appel d'Amiens. Aucun documentn'est autorisé. UniversitéPaul Verlaine - Metz Faculté de droit, économie et administration Année universitaire 200,6-20,o7 Examen de droit administratif ltt semestre- lètt session Aucundocumentautorisé Traitezau choix: 1- Dissertation : les actes administratifs insusceptiblesde recours contentieux 2- commentaire de I'arrêt de la cour administrative d'appel de Marseille du 4 juillet 2006, M. X. M . X d e m a n d eà l a C o u r : 1 o ) d ' a n n u l e rl e j u g e m e n t d u 2 1 n o v e m b r e2 O O 2p a r l e q u e l l e T r i b u n a l administratifde Marseillea rejeté ses requêtes98-t576,98-248L et 984259 comme portées devant une juridiction incompétente pour en connaître; 2 0 ) d ' a n n u l e rl a d é c i s i o nd e l e l i c e n c i elre 3 1 d é c e m b r eL 9 9 7 , Considérantque M. X, recruté comme crieur adjoint deuxième catégorie par contrat du 23 décembre 1988 signé avec la commune de Port-deBouc, était employé par des contratssuccessifsà la halle à marée de la commune de Port-de-Boucen qualité d'agent chargé de la vente de poissonsavant son licenciementà compterdu 31 décembreL997 ; Considérant qu'aux termes notamment de I'article 1 du règlement d'exploitationde la halle à marée, celle-cia pour objet <<la vente des produitsde la pêche du quartier maritime de Martigues>>ainsi que <<de faciliter, de centraliser et de constater tant le débarquement de ces produitsque leur vente, d'assurerI'enregistrement des transactions,leur publicité et leur comptabilisationen garantissantleur sincérité de telle softe que les usagers, producteurset acheteurs soient sauvegardés>>i qu'alorsmême que ceftainesdépensesseraientirrégulièrementprises en charge par la commune de Port-De-Bouc,il ressort des piècesdu dossier que la plus grande part des revenusde la halle à marée proviennentde Page 22 sur 169 redevancesen contrepartiede servicesrenduset du produit de ventes diverses ; qu'enfin, son mode de fonctionnement s'apparentepour I'essentielà celui d'une entreprisealors même que certains agents communauxparticiperaient directementà son activité; qu'il en résulte, alorsmêmequ'il est exploitéen régiepar la communede Port-De-Bouc et que les conditionsde sa créationseraientainsi que le soutientM. X irrégulières,qu'eu égard à son objet, et aux conditionsde son fonctionnement, le servicegérépar la halleà maréeprésentele caractère d'un service public industrielet commerciali Que, par suite, M. x, employéde ladite halle à marée en qualitéde crieur adjoint avait ta qualitéd'agentde droit privéet les litigesI'opposant à son employeurne r e l è v e npt a s ,a i n s iq u e I ' a j u g é l e t r i b u n adl a n sl e j u g e m e n ts u s v i s éd e l a compétence de la juridictionadministrative ; considérantqu'il résultede ce qui précèdeque M. x n'est pas fondé à soutenir que c'est à tort guê, par le jugement attaqué, le Tribunal administratif de Marseille a rejetéses requêtesnos 9B-t576,98-2481et 98-4259 comme portées devant une juridictionincompétentepour en connaître; Page 23 sur 169 UNIVERSITE DE METZ Licence2 Droit INSTITUTIONS EUROPEENNES Sessionde janvie r 2007 Durée de I'épreuve : I heure Aucun documentntestautorisé. Traitez les questionssuivantes : 1) Les décisions de l'union démocratique? (12 points). européenne ont-elles une légitimité 2) Le Conseileuropéen(8 points). Page 24 sur 169 Sujet examen L 2 Metz, 1* session2006-2007 Introduction au droit privé allemand,Julien Walther Durée : t h Les étudiantstraiteront les deux sujetssuivants : l. Quelles sont les figuresjuridiques crééespar la doctrine et la jurisprudenceallemandeà partir de la "bonne foi" - Treu und Glauben - du ç 242 BGB ? 2. Que pouvez-vousdire sur les vices du consentement alremandsen les comparant à leur équivalentsen droit français? Précisezet illustrez vos développementspar des exempleset les textes du BGB le cas échéant. Document autorisé : copie distribuée en cours de la traduction des extraits du BGB uniquement ! Pasd'annotationsautoriséessur ce document ! Page 25 sur 169 UNIVERSITÉ PAUL.VERLAINE DE METZ FACULTÉ, DE DROIT Cours de Financespubliques DeuxièmeAnnéede Licencede Droit - L 2 - Premier Semestre Première session : janvier 2007 - Durée de l'épreuve : 7 heure I - Entourez la r,éponse exacte. en répondant à chacune des questions posées : prévuespar les lois definancementdela sécuritésocialesont [æsdépenses repartiesentrele budgetdeI'Etat et lesbudgetsdescollectivitésterritoriales. Questionnol Vrai - Faux - Réponseinconnue Quzstionn2 : Le montant maximum desdéficits publics autoriséspar le pacte de stabilité estde3 7o. Vrai - Faux - Réponseincannue Qucstionn"3 : Entre 1995et 2000,Ie déficit public est passéde 5,5 Voà1,4 VoduPB. Vrai - Faux - Réponseinconnue Actuellement, le déficit des administrationspubliques en France représente moins de 2,5 VoduPIB. Vrai - Faux - Réponseinconnue Questionn"4 Questionn" 5 , I-es dépensesdes administrations de sécurité sociale étaient en 2005 en France inférieuresà celles inscritesau budgetde I'Etat. Vrai - Faux - Réponseinconnue Questionnoti Dans le budget descollectivitésterritorialesne doivent pas figurer les dépenses liées aux empruntsqu'elles contractent. Vrai - Faux - Réponseinconnue Questionno7 Iæ secteurpublic territorial comptemoins d'un million d'agents. Vrai - Faux - Réponseinconnue Qucstionn73| Les sourcesdu droit budgétairesontpurementréglementaires. yrar-,Faux sqq ) En 1978la dette publique de la Franceétut de moins de 15 7odu PIB. Questionn9 Vrai Questionn"I0, Questionn"I I - Réponseinconnue ( CM p. 171 , Qutstionn"12 ' - Faux - Réponseinconnue ( CM p. 9a ) Peut-ondéfinir lesfinancespubliquescommelesfinancesde l'Etat ? Vrai - Faux - Réponseinconnue Selonle pactede stabilitéet de croissancesignéen 1992par la France I'endettementpublic ne doit pasexcéder30 7odu PIB. Vrai - Faux - Réponseinconnue Laconribution socialegénéralisée(CSG) fait panie descotisations de sécuritésociale. Vrai - Faux - Réponseinconnue Page 26 sur 169 euestionnot3,Iæs agentsen activité dansle secteurpublic représententaujourd'hui moins de 15 Vodelapopulation active. Vrai - Faux - Rêponseinconnue euestionn"t4, De 1929 à2W5,8 budgetsseulementont été réalisésen excédent. Vrai - Faux - Réponseinconnue euestionnors,La définition desfinancespubliquespeut inclure I'activité d'organismes de droit privé. Vrai - Faux - Réponseinconnue t6: euestionn" L'excédent d'exécution caractériseles budgetsentre 1815et 1940. Vrai - Faux - Réponseinconnue euestionnotT:En 2005, I1lecticitéde France (EDF) est devenueun SPIC. Vrai - Faux - Réponseinconnue euestionn"IB:Entre 2000 et 2003,le déficit public estpasséde 1,4 Voà 4,1 7o duPlB. Vrai - Faux - Réponseinconnue euestionn"re: Le corps des tésoriers-payeursgénérauxaété creesousla Révolution. Vrai - Faux - Réponseinconnue ettcstionn20: Iæ secteurpublic bancairereprésenteaujourd'hui plus du quart desétablissementsbancairesen France. Vrai - Faax - Réponseinconnue ***** par ailleurs brièvementaux deux questionssuivantes: II - Vousrépondrez. I - Quel est le de finances publiques? rôIe du Premier ministre en matière 2 - Quelles sont, à votre avis, auiourd'hui les principales caractéristiquesde Ia fiscalité en France? ***** *** * NB : aucun document n'est autorisé. Page 27 sur 169 UNIVERSITEDE METZ 200612007 UFR DROIT,ECONOMIE,ADMINISTRATION rt* SESSIoN-JANVIER 2oo7 L 2 DROIT lU'SEMESTRE- DROIT PENAL GENERAL Durée: I heure Traitez les trois questionssuivantes: 1) Le dol éventuel: notion et sanction 2) Qu'est-cequ'une infraction complexe? 3) Composition,compétenceet pouvoirs du tribunal pour enfants AUCUN DOCUMENTN'EST AUTORISE Page 28 sur 169 L3 DROIT PARCOTJRS LAP NON JURISTE Page 29 sur 169 LINIVERSITEDE\/ETZ F'ACULTEDE DROIT, ECONOMIE, ADMINISTRATIOhI . ère I SCSS1ON 1-' semestre L 3 LAP NON JURSITE II{S TITUTIO]\ S ADMII{IS TRATIVE S Durée:3 heures AUCLN DOCTIMENT AUTORISE Les organesdélibérantsdes collectivitésterritoriales. Page 30 sur 169 UNIVERSITE DE METZ I I Faculté de Droit A*ée universitaire 2006-2007 Session:Janvier 2007 Economie et Administration DUREE : 3 HEURES L'étudiant(e) traitera un des 2 sujets suivants : 1) La responsabilité du Gouvernement devant le Parlement sous la V ème République. 2) Commentairede texte: Commentaire de la loi constitutionnelle du 2 novembre L945. Loi du 2 novembre\945 portant organisation provisoire des pouvoirs publics. Le peuple français a adopté. Le Gouvemement provisoire de la République française promulgue la loi dont la teneur suit : Article premier - L'Assemblée constituante, issue du scrutin du 21 octobrc 1945, élit aussitôt au scrutin public et à la majorité absolue des membres la composant, le président du Gouvernement provisoire de la République. Celui ci constitue son Gouvemement et le soumet à l'approbation de l'Assemblée, en même temps que le prograrnme de Gouvernement. Le Gouvemement est responsable devant l'Assemblée; mais le rejet d'un texte ou d'un crédit n'entraîne pas sa démission. Celle ci n'est obligatoire qu'à la suite du vote distinct d'une motion de censure intervenant au plus tôt deux jours après son dépôt sur le bureau de l'Assemblée et adoptée au moyen d'un scrutin à Ia tribune, par la majorité absolue des membres composant l'Assemblée. Art.2.- L'Assemblée établit la Constitution nouvelle. Art 3 -La Constitution adoptée par l'Assemblée sera soumise à l'approbation du corps électoral des citoyens français, par voie de référendum, dans Ie mois qui suivra son adoption par l'Assemblée. Art 4.- L'Assemblée Gouvernement. a le pouvoir législatif. Elle a l'initiative Page 31 sur 169 des lois, concurrerrunent avec le Dans Ie déIai d'un mois imparti pour la promulgation des lois, le Gouvernement a le droit de demander une secondedélibération. Si, à la suite de celle ci, le premier vote est confirmé à Ia majorité absoluedes membres composantl'Assembléela loi est promulguée dans les trois jours. Art 5.- L'Assembléevote le budget ; mais elle ne peut prendre f initiative des dépenses. Art 6.- Les pouvoirs de l'Assemblée expireront le jour de la mise en application de la nouvelle Constitution et, au plus tard, sept mois aprèsla première réunion de l'Assemblée. Art 7.- Au casoù le corps électoral rejetterait la Constitution établie par l'Assemblée,ou au cas où celle ci n'en aurait établie aucune dans Ie délai fixé à l'article 6, il serait procédé aussitôt et dans les mêmes formes, à l'élection d'une nouvelle Assemblée constituante jouissant des mêmes pouvoirs, qui se réunirait de plein droit le deuxième mardi après son élection. Art 8.- La présente loi, adoptée par le peuple français, aura force constitutionnelle et sera exécutée commeloi de l'Etat. Fait à Paris,le 2 novembrc 1945. C.de Gaulle. N.B.:AUCUN DOCUMENT N,ESTAUTORISE Page 32 sur 169 L3 DROIT Page 33 sur 169 Dr. Markus Artz Prûfun gsfragen \Mintersemester 200612007 Handelsrecht 1. Erlâutern Sie bitte die Wirkung der Eintragung einer Firma in das Handelsregister beim Ist- und beim Kann-Kaufmann! 2. Zahnarzt Z môchte seine Praxis als einzelkaufmiinnisches Unternehmen in das Handelsregister eintragen lassen. V/ird das Gericht die Eintragung der Firma vornehmen? 3. Kaufmann A betreibt ein Handelsgewerbe, das er zum Jahresende 2006 an B verâuBert.B ftihrt das Geschâft unter der bisherigen Firma fon. Im Juli 2006 hatte G dem A noch eine neue Computeranlagezum Preis von 10.000€ geliefert, die A noch nicht bezahlt hat. Kann G von A oder B Zahlung der 10.000€ verlangen? 4. Erlâutern Sie bitte kurz Sinn und Zweck des $ 28 HGB und grenzen Sie dessen Funktionvon der des $ 130 HGB ab. 5. Handelt es sich bei der Prokura um eine rechtsgeschâftlicheoder eine gesetzliche Verhetungsmacht?Nennen Sie bitte kurz Besonderheitender Prokura. 6. In welchen drei Fâllen kann das Schweigen auf Bestiitigungsschreibenkonstitutive Bedeutungerlangen? Page 34 sur 169 ein kaufmiinnisches Prof. Dr. Thomas Raab UniversitâtTrier Einfûhrung in das deutscheArbeitsrecht I Priifungsaufgaben Wintersem ester 200612007 (Droit social allemand I ; sujets d'examen de l'épreuve écrite session2006-2007) 1. Fragenzum Arbeitnehmerbegriff a) Was unterscheidetdas Arbeitsverhâltnis von einem Dienstvertragmit einem selbstândigen Dienstverpflichteten?Erlâutern Sie die Voraussetzungender Arbeitnehmereigenschaft! b) Was verstehtman unter einer arbeitnehmertihnlichenPerson?Wie unterscheidetsie sich von einem Arbeitnehmer?Nennen Sie wenigstenseine arbeitsrechtlicheVorschrift, die auch auf arbeitnehmerâhnlichePersonenAnwendung fi ndet. (Bearbeitungszeit:20 Minuten) 2.Der ArbeitnehmerA ist bei einem Softwareunternehmen beschâftigt.Nach dem Inhalt seinesArbeitsvertragessoll er als Entwickler von Software arbeiten.Da derzeit nur wenig zu fun ist, erhâlt A die Anweisung, die Hofeinfalvtntkehren. Muss A der Anweisung Folge leisten? (Bearbeitungszeit: l5 Minuten) 3. Arbeitnehmer B ist im AuBendiensttâtig und besuchtdie Kunden seinesArbeitgebers.Auf einer Fahrt mit dem Dienstfahrzeug,das im Eigentum des Arbeitgeberssteht, verursachter infolge normaler Fahrlâssigkeit(also weder durch besondersleichte noch durch grobe Fahrlâssigkeit)einen Verkehrsunfall. Dabei entstehtftir den Arbeitgeber ein Schadenin Hôhe von 2.500€. Der Arbeitgebermeint, dassB den Schadenvollstândigersetzenmuss.Kann er von B Ersatzdes Schadensverlangen? (Bearbeitungszeit: 25 Minuten) Vermerk: o Bitte nennen Sie bei Ihren Antworten stets- soweit môglich - die einschlâgigen Rechtsvorschriften. . Die angegebenen Bearbeitungszeitensind lediglich als Hinweis zu verstehen,damit Sie erkennenkônnen, wie die einzelnenFragenaus Sicht des Priifers zu gewichten sind. Page 35 sur 169 Licenceen droit mentiondroit allemand Droitcivilallemand des affaires, Prof.Dr.SebastianKrebber/ Prof.Dr. KarstenThorn Hinweis: Die zur VerfûgungstehendeZeit ist knappbemessen;fassenSie sich daher kurz. GleichwohlmûssenSie lhre Antwortenjeweilsbegrûnden! l. Sachenrecht 1. Was bedeutetdasTrennungsprinzip? Nennensie Beispiele ftrrverpflichtungsbzw.Verfûgungsgeschâftel 2. WasbedeutetdasAbstraktionsprinzip? NennenSie im RahmenlhrerAntwortdieVoraussetzungen fûr die ùbereignung einerbeweglichen Sachenachg 929 S. 1 BGB! 3. Der 17-jâhrige M tauschtseinaltesMofagegendas neueFahrradseines18jâhrigenFreundesF ein. DieElterndes M sindsehrûberrascht, ats ihrSohnmit dem eingetauschten FahrradnachHausekommt.Sie môchtenfolgendeFragen beantwortet wissen: a) lst der Tauschvertrag awischenM undF wirksam? b) lst M Eigentûmer des Fahrradsund F Eigentiimer des Mofasgeworden? c) Kônnensie als Eltern,fallssichder Handelalswirtschaftlich gûnstigerweisen sollte,nochetwasfûr seineGûltigkeit tun? lL Rechtsgeschâftslehre 1.Wodurchunterscheiden sicheinseitige undmehrseitige Rechtsgeschâfte? NennenSiejeweilszweiBeispiele! Page 36 sur 169 2. Was isteineempfangsbedûrftige Willenserklârung? NennenSie Beispiele fûr empfangsbedûrftige bzw.nichtempfangsbedûrftige Willenserklârungen! WannisteineempfangsbedUrftige Willenserklârung zugegangen? 3. V hatdemM eineFristzurAnnahmeseinesAngebotsbiszum31.3., 12.00Uhr, gesetzt.M gibtder Sekretârin S desV die schriftliche Annahmeerklârung um 11.00 Uhr.Um 14.00UhrgibtS die Erklârung demV, derdieseunvezûglich liest.lstdie Annahmerechtzeitigerfolgt? 4. Wie kommtein Vertragzustande? 5. S willvonA eineBarockkommode fûr 4.500,-€ kaufen.ln seinemKaufangebot verschreibt er sichallerdings und nenntdie Summevon 5.400,-€. A ist mitdiesem Preiseinverstanden undliefertdie Kommodeam nâchstenTag an. S erkenntsein VersehenundwillvomVertragloskommen; A willzumindest den Ersatzder entstandenen Kosten.Wie ist die Rechtslage? 6. WelcheArtender Stellvertretung unterscheidet man? 7. Was bedeutetdas Offenkundigkeitsprinzip? Gibtes allgemein anerkannte Ausnahmen hiervon? 8. Was istdie ,,Vollmacht"? In welcherWeisewirdsie erteilt? 9. V wurdevon G dazubevollmâchtigt, einAutoftir ihnzu kaufen.Beiden anschlieBenden Vertragsverhandlungen mit D verspricht sichV undnenntirrtûmlich einenzu hohenKaufpreis. Kannder Kaufuertrag angefochten werden?Vonwem? lll. lnhaltder Schuld 1. WelcheFormender Schuldunterscheidet manbezogenaufden Ortder Leistung? Definieren Sie die verschiedenen Formender Schuld! Wie wirdder Leistungsort bestimmt? Welchesist der gesetzliche Regelfall? 2. A kauftbei B dreiSâckeApfel,ohnedaBsichA und B ûberden tnhattder Schuld unterhalten. UmwelcheSchuldform handeltes sich,wenn: a) B Bauerist undseineeigenenApfelverkauft? Page 37 sur 169 B Obsthândler ist? b) B NachbardesA ist,der nur ûberdreiSâckeApfelverfûgt,dieA sichvorher c) auchangeschaut hatte? lV. Lei$tunqsstôrunq?n 1. WelcheArtenvon Leistungsstôrungen kenntdas BGB? 2. A kauftbei B fûr 50.000€ ein Gemâldeeinesberûhmten flâmischen Malers.Am TagverkauftundUbereignet darauffolgenden B das Gemâldean C, der ihm75.000€ gebotenhatte. a) b) c) C ist bereit,dem B das Gemâldefûr 100.000€ zuri.ickzuûbereignen C ist bereit,dem B das Gemâldefûr 1.000.000 € zurûckzuûbereignen C ist nichtbereit,demB das Gemâldezurûckzuûbereignen PrûfenSie,ob in denVariantena) bis c) A von B Ûbereignung des Bildesoderdie 75.000€ verlangen kann! 3. OrdnenSiediefolgendenSachverhaltsvarianten den verschiedenen jeweiligen Leistungsstôrungen zu! NennenSie auchdie Anspruchsgrundlagen fûr einenSchadensersatzanspruch desA! DieVoraussetzungen des Schadensersatzanspruchs sindnichtzu prûfen. A kauftam 10.Januarvon B einenHeizofen fûr 5.000€, denB auchim HausdesA einbauen soll a) B kannden Heizofennichtliefern,weiler in der Nachtzuvordurchein Feuerzerstôrtwordenwar. b) B sollden Heizofenam 15.Januareinbauen,docherscheint er erstam 20. Februar.In der Zwischenzeit hatA mit Stromgeheizt,was 350€ teurerist, alswenner schonden Ofenhâttebenutzenkônnen. c) BeimEinbauendes Heizofens zerstôrtB einigeKacheln,die sichauf der anderenSeitederWandbefinden, weiler zu festgebohrthat. d) Weilder Heizofenam 12.Januardurchein Feuerzerstôrtwird,kannB den Heizofennichtliefern. 4. Wie Fall3 d).A hattefûr 150€ an seinerHeizungsanlage Modifizierungen vornehmen lassen,um den bei B gekauften Heizofenin seinHeizungssystem zu integrieren. DieseModifizierungen kanner miteinemanderenHeizofennichtnutzen. Kanner Ersatzder 150€ von B verlangen? Page 38 sur 169 UNIVERSITE DE METZ L3 DROIT DROIT ADMINISTRATIF DES BIENS Sessionde janvier 2007 Durée de I'épreuve : 3 heures Aucun documentntestautorisé. Commentezl'arrèt suivant du de Ia Cour administrative d'appel de DOUAI : Cour administrative d'appelde Douai statuant au contentieux No 01DA00199 Inédit au RecueilLebon Mme Annick Brenne, Rapporteur M. Michel, Commissairedu gouvemement Mme de Segonzac,Président SCP SAVOYE ET ASSOCIES 3e chambre - formation à 3 Lecture du 25 mai2004 REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS Vu la requête, enregistréele 23 février 2001 au greffe de la cour administrative d'appel de Douai, présentéepour la communed'Hersin Coupigny,représentée par son maire en eièrcice, par Me Daval, avocat; la communed'Hersin coupigny demandeà là cour : lo) d'annuler le jugement n"96-3669 en date du 20 décembre2000 par lequel le tribunal administratif de Lille a annulé la délibération de son conseil municipal Ën date du 30 septembre1996 en tant qu'elle a approuvéle principe de la cessionà la communede Lens d'une parcelle des centresaérés; 2') de rejeter la demandeprésentéepar Mme X devant le tribunal administratif de Lille ; 3') de condamnerMme X à lui payer la sommede 3 000 francsen applicationde I'article L. 761-l du codedejustice administrative. Elle soutient qu'Ëlles faisaient partie àu domaine privé de la commune dès lors qu,elles n'avaient reçu aucun aménagementparticulier ; qu'elles étaient aliénables; Vu le jugement attaqué; Vu le mémoire en défense,enregistréle 4 septembre2001, présentépour Mme Cathy X, demeurant ..., pât Me Ardonceau, avocat, qui conclut au rejet de la requête et à la Page 39 sur 169 condamnationde la commune d'Hersin Coupigny à lui payer la somme de 8 000 francs en application de I'anicle L. 761-l du code de justice administrative; elle soutient que les parcellesappartenaientau domaine public communal et étaient inaliénables; Vu le mémoire,enregistréle 5 octobre2001, présentépour la cornmunede Lens, représentée par son maire en exercicequi préciseque par délibération en datedu 30 mars2000 son conseilmunicipal a renoncéau projet de réalisersur les parcellescédéespar la communed'Hersin Coupigny un centred'accueil pour les activitésjeunesse; Vu les autrespiècesdu dossier; Vu le codegénéraldescollectivitésterritoriales; Vu le code des tribunaux administratifs et des cours administrativesd'appel ; Vu le codede justice administrative; Les parties ayant été régulièrementavertiesdu jour de I'audience, Après avoir entendu au cours de I'audience publique du 5 mai 2004 où siégeaientMme de Segonzac,président de chambre, M. Berthoud, président-assesseur et Mme Brenne, premier conseiller: - le rapport de Mme Brenne, premier conseiller, - les observationsde Me Degandt, avocat,pour la commune d'Hersin coupigny, - et les conclusionsde M. Michel, commissairedu gouvernement; Considérant que, par délibération en date du 30 septembre 1996, le conseil municipal d'Hersin Coupigny a décidé de céder, à titre gratuit, à la commune de Lens, des terrains lui appartenant,afin que cette dernière y réalise une structured'accueil pour les centresde loisirs, accessibleaux enfants de Lens mais aussi à ceux d'Hersin Coupigny ; que la commune d'Hersin Coupigny demandeà la Cour d'annuler le jugement en date du 20 décembre2000 par lequel le tribunal administratif de Lille a annulé cette délibération ; Considérantque, eu égard à I'organisation du servicepublic des centresaérésde la commune d'Hersin Coupigny, il ressortdes piècesdu dossierque le terrainde 1 075 m2 dont la cession était envisagéepar ladite communen'est pas dissociabledes deux parcellesAS 140 et AS l4l doune contenancetotale de 4 ha 55 a 30 ca affectéesà ce service public et qui avaient fait I'objet d'un aménagementspécial ; que, par suite, et quand bien même l'ensemblea pu être loué à titre onéreux en dehors des périodesd'utilisation par les centresde loisirs municipaux, ce tenain appartenaitau domaine public communal et ne pouvait, en I'absence de décision prononçantsa désaffectation,faire légalementl'objet d'une aliénation; qu'il suit de là que la délibération du conseil municipal d'Hersin Coupigny en date du 30 septembre 1996 était illégale en tant qu'elle a approuvéle principe de la cessionde ce terrain à la commune de Lens ; Considérantqu'il résulte de ce qui précèdeque la commune d'Hersin Coupigny n'est pas fondée à se plaindre de ce que, par le jugement attaqué, le tribunal administratif de Lille a annulé ladite délibération : nÉcne: Article ler : La requêtede la communed'Hersin Coupigny est rejetée. Article 2: La communed'Hersin Coupigny est condamnéeà verserà Mme X une somme de 750 eurosen remboursementdes frais exposéspar elle et non comprisdansles dépens. Article 3 : Le présent arrêt sera notifié à la commune d'Hersin Coupigny, à Mme Cathy X et au ministre de I'intérieur, de la sécuritéintérieure et des libertés locales. Page 40 sur 169 AI\NEE TTNTVERSITAIRE2006-2007 LICENCE EN DROIT. NIVEAU L3 DROIT COMMERCIAL Epreuve de janvier 2007 Aucuncoden'estautorisé. Caspratique MonsieurSantos,mexicain,estdésireuxd'ouwir un commerceenFrance.Il voudraitcréerun bar dansun local de la galeriemarchande< Aupré >, spécialisédansla ventede tequila, dans uneambiancefestiveet grâceà un stylecoloréqui lui rappelleraitle soleilde sonpays.Cebar fonctionnerait toute I'année, notafirment indépendammentdes horaires d'ouverhre de la galeriemarchande. Un ami lui dit de seméfier car il est importantde bénéficierdu statutdesbaux commerciaux, or il ne le pourrapasselonlui. 1. Quel est I'intérêt de ce statut? Monsieur Santospourra-t-il en bénéficiersachantque le Mexique a signé une conventioninternationaleavec la France,sur la questionde I'exercicedu commerce. Les annéespassent.Monsieur Santosest désormaisgérantde la SARL < Tchikita > , qui est elle-mêmepropriétairedu fonds de commercedans la galeriemarchande.Grâce à quelques indiscrétions,monsieurSantosapprendqu'une giga zonede loisirs va être construitetout à côté du magasin< Aupré D,avecnotammentla créationd'un immenselac artificiel. Fatigué par le travail incessantnécessaire au fonctionnement d'un débitde boissons,monsieurSantos souhaiteprofiter de cetteaubainepour réaménagerson local de façonà vendredesplanchesà voile. Il en informe son propriétaire,qui s'y oppose,et de surcroît augmenteson loyer de t5%. 2. Monsieur Santossouhaiteconnaîtrevotre avis sur le bien fondé de I'attitude du propriétaire. Il vous indiqueles élémentssuivants: Je bail de neufansa été conclule lo janvier 2000et sonpropriétaireexiçgI'augmentation du loyerau 1" janvier 2003. Hl -valeurindiceINSSE1ojanvier2000 : 100 -valeurindiceINSEEl"'janvier 2003:104 Page 41 sur 169 Lesannéespassent.La SARL < Tchikita> continuesonactivitéde débit de boissons.Ravi de vos excellentsconseils,monsieurSantosrevientvousvoir pour quevous I'aidiezà résoudre deuxnouvellesproblématiques. 3. Sa femme est partie et monsieurSantossouhaitedivorcer.Il vous explique qu'au moment de la création de la SARL, ils se sont tous deux portés garantsdu remboursement desdifférentscréditssouscritsgrâceà la signatured'un cautionnement personnel.MonsieurSantossouhaitesavoir si le divorceaura une incidencesur cet engagementsachant que sa femme ne s'est jamais intéresséeà son activité professionnelle. 4. Une immensemanifestationsportiveest prévuesur le lac dans dix jours. Monsieur Santosa commandéà son fournisseurhabituel des dizainesde litres de tequila en perspectivede I'affluencemassivede la clientèle.Il est inquiet car la liwaison aurait déjà dû avoir lieu. Or précisémentson chiffre d'affaire dépendraen grandepartie de l'état de sesstocks.Quepeut-ilfaire ? Page 42 sur 169 LICENCE EN DROIT UI{IYERSITEDE METZ FACTJLTEDE DROIT DROIT SOCIAL LES RELATIONS INDIYIDT}ELLES EXAMEN DU 1RSEMESTREagdfl|ao/rl CODE DU TRAVAIL AUTORISE CAS PRATIOUES règlementintérieur de son 1- 114.Barbe est un salarié modèlequi n'a jamais fait une entorse au Metz" entrcprise tout au long de sesdix ans d9 bons et loyaux servicesù < Nos affaires prospèrentnun : indique lui I'employeur Ix vie't & reoevoirîn courrbr où avecpromotion > y nouvel établissementva être creé à Nice eth est envisagéde vous nuter démission' de lettre Àpter une nuit de réfbxion, M.'Barbe envoie une en mêmetemps que un *ufre salarié de I'entneirise, M. Moustache' qui avait été embauché à son employeur savoir hfi" Barbc, rçoit Ie mêmecourrier que soncollègue.Il ftit clairement la lettre qunil quel'indique quril rcfusetcute mutstion.Il est donc licenciép-ou".u motif ainsi les étapesont été respectées' fooit au terme d'une procdure donttoutes ? A quoi peuvent pretendre ccssalariés etudesde comptabilités 2- nn Computer est ne à Nancy te 2l janvier lg5o. n a fait de britlantes une société lnfosen'iee, quelques à Pariç. II y a quetquesannéesrll a créé avec lqisr I'ori-gine' depuis oùt il est toujours actionnaiie et administrateur d'irfo"-"iiquà M' d'Itfoservice, PDG le It y a 3 *oi*, t" poste de directeur dB lrcrsonn"l_s-"111ï"t ef qJ! acc:epta Arobas, ne trouv*nt pts de candidst sérieux a sollicité M computer s'interdit II est precisédans L contrat qu'à la rupture de fa ryfadgn de travail M. Computer le territoire de passerau service dtqn concurrent, dlns desfonctions simildreS, sur sslsrié touchera une I'mcien interdiction, cette uétropolitain eûce p."C"* 6 ans.Ilurant toute sommeégaleà son dernier salaire. promises' M. Coiputer vient de démissionneret Éclame le'paiemcnt &s sommes cetÛeindemnité' M. Arobas vou$consuftecar la sociêtéaimerait bien ne pas avoir à verser Ia SARL Apollon Ad & Mme Bistouri exeroeson art de Ia chirurgie plastique dans les locaux de Etemam pratiquer des EIle est maître de sesdiagnostics,de sesmodesopératoineset refuse de inutiles' interventions quand elle estimequtelles sont commun Le ptrnning-de sesconsultationset opérations lui est communiquépar le secrétariat è ltensembledesservicesde I'entreprise. médicaux EIle particip", to.squ'il en est leioio, au recrutement de nouvesru persornels fournitures et ainsi qu'aux choix pour les commandesde matériels O" f"oiiur ,*n"ptif6 médicatespasséesPar la SARLsousforme Chaque mois, une partbdes somm€sfacturées à sespatients hritst retrocéalêe d'honoraircs. Mme Bistouri vous dernandesi elle a la qualité de salariéc. Page 43 sur 169 DROIT DES SURETES& 3) PREMIERSEMESTREPREMIERESESSION 2006t2007 Coursde Mme SophieHocquet-Berg et Codede commerce Durée de l'épreuve: 3 heures: Code civil, Code de la consomrnation plus, (sans personnelle) le cas, échéant extraits de législation(du aucune annotation autorisés siteLegifrance). CommentezI'arrêt rendu par la chambre commercialerlinancière et économique de Ia Cour de cassation,Ie 3 mai 2006(no04-15262)à paraîtreau bulletin : Attendu, selonlarrêt déféré,que la sociétéBeauniera donnéen location un véhiculeà M. X... qui l'a confié pour reparationà la société gæageKablé (sociétéKablé) ; que cette dernière, dont les prestationsn'avaientpas été payées,ayant retenu le véhicule, la société la BeaunierI'a assignéeen restitution et en dommages-intérêts ; que reconventionnellement gardierurage que prestations le prétendu paiement et de ses frais de de ses au sociétéKabléa ; tribunal a accueilli les demandesprincipaleset ordonné, avec exécutionprovisoire et sous astreinte,la restitution du véhicule; que la cour d'appela infirmé le jugementet condamnéla société Beaunierà payer à la société Kablé le montant des réparationseffectuéesstr le véhiculemaisa rejetéla demandede paiementdesfrais de gardiennage ; Sur le premiermoyen: Vu I'article1948du Codecivil; Attenduque le droit de rétentionestun droit réel"opposableà tous, y comprisauxtiers non tenusà la dette et peut être exercépour toute créancequi a pris naissanceà I'occasionde la choseretenue; Attendu que pour rejeter la demandedes frais de gardiennagedu véhiculedus à la sociétéKablé, I'arrêt retient que cette demandeest à tort formuléeà I'encontrede la société Beaunieret que seul M. X... aurait pu être tenu de remboursercesûais et que, dansla mesure où aucunedemanden'a été dirigéepar la sociétéKablé contrelui la demandedoit être rejetée t Attendu qu'en statuantainsi aprèsavoir relevéque la créancede frais de gardiennage du véhiculeavait pris naissanceà I'occasionde la détentiondu véhiculepar la sociétéKablé, ce dont il résulte que cette dernièreétait en droit, en exerçantson droit de rétention, d'en légales exiger le paiementà la sociétéBeaunier,la cour d'appeln'a pastiré les conséquences de sesconstatations; Et sur le secondmo)'en: (sansintérêt) ; PAR CES MOTIFS : CASSEET ANNULE,(...). Page 44 sur 169 *s.rfi$d* drs*&@,t*st*t*a etd*ffifi|*â'ffil{ûn LICENCE3 Droit premiersemesfre Année2006-2007, DE LA RESPONSABILITE DROITADMINISTRATIF Cours de M.le Professeur Pascal COMBEAU EXAMEN- 1èresession Aucundocumentn'estautorisé Epreuveécritede 3 heures Traitez,au choix, I'un des deuxsujetssuivants: Sujet 7 - Les conséquencesde la socialisationdu risque sur le droit de la responsabilitédes personnespubliques Suiet 2 - Commentaired'arrêt Cour administratived'appel de Nancy Lecture du 15 juin 2006 au greffede la Courle 19 août 2004sousle n'04NC00795, Vu, l") la requête,enregistrée présentée pourMmeNathalie élisantdomicile... , par Me Michel,avocat; W, Mmeffi demandeà la Cour: de 1") d'annulerle jugementen date du 29 juin 2004 par lequelle Tribunaladministratif de des hôpitauxuniversitaires Strasbourga rejetésa demandetendantà la condamnation Strasbourgà lui verser une somme de 115 000 € en réparationdes conséquences r{nmmanaahlac vvrrlrIrqvvqvrvs da I'infanrantinn nhirrrrninalo nrr'ollo a qrrhia danc cet étahliqqement lc 14 août1998; de Strasbourg à lui verserla sommesusvisée les hôpitauxuniversitaires 2') de condamner de sa en réparation du préjudicesubi,avecles intérêtslégauxà compterde I'introduction demandele 16juillet2003; Page 45 sur 169 Ellesoutientque : - c'està tort que le tribunal,qui n'a pas tirétoutesles conséquences du rapportd'expertise public pas hospitalier retenu la faute du service n'a du professeur ; ffi, - contrairement en tant à ce qu'aestiméle tribunal,elleavaitcontestéle rapportd'expertise qu'ilavaitestiméqueI'intervention danslesrèglesde I'art; s'étaitdéroulée - la responsabilité es! elgagée à raisond'une de Strasbourg des hôpitauxuniversitaires ffiffiffiqui a cru à tort que la erreurde diagnosticcommisedès le départpar le professeur et lui a proposéun suivi requérantene présentaitque des troublespsychosomatiques pas pris psychiatrique n'ont été au sérieuxet n'ontpas donné de la requérante les troubles ; péridurale effectuéelorsdu troisièmeaccouchement de I'anesthésie lieu,dès le lendemain et un examencomplémentaire de l'intéresséele 23 octobre1997,à une investigation nécessaires ; la requérantea dû attendrehuit mois après sa chute dans les escaliers survenueen janvier1998 pour qu'une IRM soit réalisée;cette erreurde diagnostica qui ont renducelle-ciplus longueet plus difficileet entraînédes retardsd'intervention de la tumeurdanssa totalitésansléserdestissussains; impossible I'exérèse - I'exérèse exécution de la tumeurauraitdû inciterI'expertà retenirunemauvaise incomplète de I'actechirurgical ; - la responsabilité doitêtre admisedès lors que le sansfautedu servicepublichospitalier qui est lié à la réalisation d'un risqueexceptionnel mais dommagesubi par la requérante, connu,ést d'uneextrêmegravité,VmeWWétant invalideet ayantbesoinde I'assistance d'unetiercepersonne ; - les séquellesde VmeW#Wn'étant pasconsolidées à ce jour,la Courordonnerasur ce pointun complément d'expertise ; - une indemnitéde 70 000 € sera accordéeau titre des troublesdans les conditions permanente partielle fixéeà 3Q% i eu égardau tauxd'incapacité d'existence, - le préjudiced'agrément pours'habilleret qui a notamment desdifficultés de la requérante, personnelle, doitêtreévaluéà 20 000€ ; d'autonomie se déshabiller et a perdubeaucoup - unesommede 15000€ seraaccordéeau titredu pretiumdoloriset unesommede 10 000 € au titredu préjudiceesthétique; Vu le jugementattaqué; Vu le mémoireen défense,enregistréle 15 mars 2006, présentépour les hôpitaux par Me Le Prado,avocatau Conseild'Etat; de Strasbourg, universitaires de Strasbourg concluent au rejetde la requêtede MmeW; Leshôpitauxuniversitaires que: llssoutiennent - la requérante ne sauraitcritiquerle jugementen tant qu'iln'avaitpas contestéà la fois les et la réalisation de le professeur a poséson diagnostic conditions dans lesquelles W pratiquéepar le professeur dès lorsqu'ellen'avaitpas invoquélesdits I'intervention ffi, la responsabilité du la requérante instance, s'étantbornéeà rechercher moyensen première sur le fondement du défautd'information servicepublichospitalier ; - le moyennouveauen appel,tiré d'uneerreurde diagnostjc_, qe_gtpasfondécar directement qui exclutnettementtoute professeur précis du contraiieau rapport et circonstancié @, particulier, selonI'expert,les signes erreurde diagnosticet tout retardd'intervention ; en finalement tardivede signesobjectifspermanents neurologiques et I'installation subjectifs type scléroseen plaqueet pas du tout à faisaientpenseren premierlieuà une pathologie de signesclairset en I'absence une pathologie de typetumeurmédullaire ; parconséquent, la responsabilité du servicepublichospitalier ne peut eu égardà la difficulté du diagnostic, êtreengagée; - le moyen nouveauen appel tiré d'une mauvaiseexécutionde I'actechirurgicaln'est pasfondé,le rapportd'expertise indiquantque I'opération a été faiteselonles absolument règlesde I'art; Page 46 sur 169 - le manqued'information invoquépar la requérante n'estpas davantageun fait fautifdès lorsqu'ilétaitlégitimepourle médecinde limiteren I'espèceI'information comptetenude la personnalité et de l'étatd'anxiétéet d'angoissede la patiente, Qu'entoute hypothèse, I'intervention chirurgicale thérapeutique étaitla seulealternative envisageable ; - subsidiairement, préjudices par invoqués les la requérante sont en réalitédirectement et exclusivement gravitéet dont l'évolution liés à sa pathologieinitialed'une particulière invalidante étaitmalheureusement inéluctable ; Vu, fl") la requête,enregistrée au greffede la Courle 27 août2004,sousle n' 04NC00848, présentéepour la CAISSEPRIMAIRED'ASSURANCE MALADIEDE SELESTAT, dont le (67605), par siègeest2 A. Schweisguth à Sélestatcedex Me Nunge,avocat; (...) (.) que Mme WW,qui a subi le 14 août 1998dans les servicesdes Considérant hôpitauxuniversitaires de Strasbourg une intervention chirurgicale aux finsd'exérèse d'unetumeurde la moellecervicale, demeureatteinted'unsyndromeneurologique qu'elleimputeà sa priseen chargemédicalepar le service dit de Brown-Séquard public hospitalier et la CAISSEPRIMAIRED'ASSURANCE ; que Mme W MALADIEDE SELESTATrelèventrespectivement appeldu jugementdu Tribunal administratif de Strasbourgen date du 29 juin 2004 ayant rejeté leur demande tendantà la condamnation des hôpitauxuniversitaires de Strasbourgà leur verser diversesindemnités au titredes préjudices et fraisconsécutifs à laditeintervention ; Sur la ionction : Considérantque les requêtessusviséessont dirigéescontrele mêmejugement; qu'ily a lieude lesjoindrepourstatuerparun seularrêt; Sur la réqularité du iuqement : qu'ilressort queMmeffis'est Considérant de ses écritures de première instance bornéeà rechercher la responsabilité du servicepublichospitalier sur le fondement du défaut d'information sans souleveraucun moyen relatif à la réalisationde pratiquéepar le docteurW I'intervention alorsmême ; que,dansces conditions, qu'elleauraitcritiquésur ce pointle rapportde I'expertcommispar le Tribunal administratif MmeW de Strasbourg, n'estpasfondéeà soutenirque c'està tort que les premiersjuges ont considéréqu'il n'était< d'ailleurspas contesté> par que I'intervention I'intéressée s'estdérouléeselonles règlesde I'art; Sur la responsabilité des hôpitauxuniyersitaires de St[asbourq: que les requérantes, qui ne contestent pas le jugementen tant qu'il a Considérant écarté la responsabilité du servicepublichospitaliersur le fondementdu défaut d'information de la patientepar les motifsque I'intervention étaitune nécessitévitale et qu'il n'y avait pas d'alternative pour la thérapeutique moinsrisquée,soutiennent premièrefois en appel que la responsabilité des hôpitauxuniversitairesde Strasbourg est engagéesoità raisonde fautesmédicales soitsur le fondementde la responsabilité sansfaute; Page 47 sur 169 pourfaute: Sur la responsabilité et notammentdu rapport en premierlieu,qu'ilrésultede I'instruction, Considérant, président de par du Tribunaladministratif du établipar I'expertcommis ordonnance neurologique Strasbourgen date du 15 octobre2002, que la symptomatologie dès exceptionnel, un caractère présentéepar MmeW apparueen 1991revêtait lors qu'elle s'est traduitepar la disparitiondes troublespendantun intervalle marquéeselon I'expertpar des d'environsept ans ; que cette symptomatologie, tardivede signes finalement fugaceset I'installation subjectifs signesneurologiques d'undiagnostic difficilel'établissement rendaitparticulièrement objectifspermanents, premier temps un processus définitifet était de nature à évoquerdans une de type scléroseen plaque ou encoredes lié à une pathologie démyélinisant psychosomatique d'ordre manifestations ; que, dans ces conditions,eu égard à de signesévidentsen et en I'absence des symptômes et à la complexité I'ambiguilé pourles servicesdes pathologie le fait ni tumeur médullaire, de type faveurd'une cette pathologie de n'avoirpas diagnostiqué de Strasbourg hôpitauxuniversitaires juillet pratiqué 1998 ni les modalitésselon 24 le et cervical I'examen cérébral avant juin janvier, 1998ne sauraient, marset en lesquelles a été examinéellintéressée soit uneerreurde diagnosticsoit un caractériser de I'espèce, dansles circonstances retard d'interventionconstitutifsde fautes médicalesde nature à engager la du servicepublichospitalier responsabilité ; queI'intervention du 14 août en secondlieu,qu'ilrésultede I'instruction Considérant, que valoir Mme I'art; si règles de aux conformément 1998s'estdéroulée Wfait que I'exérèsede la tumeurintra-médullaire n'a pas été complèteet a laissésubsister pas par-ellemêmede natureà établir petit n'est seule circonstance kyste, cette un une faute médicaledès lors que le geste opératoirea été effectué,lors d'une particulièrement aux finsd'éviterau maximumla lésion longueet difficile, intervention des tissussains; sansfaute: Surla responsabilité Lorsqu'unacte médicalnécessaireau diagnosticou au traitementdu malade présenteun risque dont I'existenceest connue mais dont la réalisationest exceptionnelle et dont aucuneraisonne permetde penserque le patienty soit est engagéesi particulièrement du servicepublichospitalier exposé,la responsabilité I'exécution de cet acte est la causedirectede dommagessans rapport avec l'état initialdu patientcomme avec l'évolutionprévisiblede cet état, et présentantun caractèred'extrêmegravité; présentaitavant Considérantqu'il résulte de I'instructionque Mme W liéeà la directement du 14 août 1998unetétraparésiesensitivomotrice I'intervention qui terme à un à très court I'exposait tumeurmédullairedont elle était atteinteet avec apparitiond'une massivede ses troublesneurologiques risqued'aggravation graves d'ailleursde susceptibles respiratoires troubles tétraplégiehauteet de très neurologique I'exposer à un risquemortel; qu'àsupposermêmeque la complication puisse être par Mme post-opératoire I'intervention subie consécutiveà ffi de I'actechirurgical un risqueconnumaisexceptionnel regardéecommeconstituant ne peuventêtre dontest atteintela requérante les troublesneurologiques considéré, Page 48 sur 169 considéréscommeétant sans rapportavec son état de santéinitialni avec son et notamment du rapport évolutionprévisible ; qu'ausurplus,il résultede I'instruction partielle permanente résultant directementde la d'expertiseque I'invalidité post-opératoire de celleliéeà l'étatantérieurde donts'agit,à I'exclusion complication par suiteêtreregardéecomme patiente, ne saurait la est limitéeà un tauxde 30%et précitées un dommaged'uneextrêmegravitéau sensdes conditions ; qu'ilsuitde là pas sans faute des que Mme ffi la responsabilité fondée à invoquer n'est de Strasbourg hôpitauxuniversitaires ; qu'ilrésultede tout ce qui précèdeque ni MmeW ni la CAISSE Considérant MALADIEDE SELESTATne sontfondées à soutenir PRIMAIRED'ASSURANCE de Strasbourg que c'està tort que, par le jugementattaqué,le Tribunaladministratif une a rejetéleurdemande; qu'ily lieupar suite,sansqu'ilsoit besoind'ordonner par présentées fin d'indemnité à de rejeterlesconclusions expertisecomplémentaire, qu'ily a lieuégalement, et sansqu'ilsoitbesoinde statuersurla fin de MmeW; de Strasbourgà la requête non-recevoir opposé par les hôpitauxuniversitaires de MALADIEDE SELESTAT, présentée parla CAISSEPRIMAIRE D'ASSURANCE présentées parla CAISSEPRIMAIRE à fin de remboursement rejeterlesconclusions (...); DE SELESTAT D'ASSURANCE MALADIE de I'articleL. 761-1du code de iustice tendantà I'application Sur les conclusions administrative: : qu'auxtermesde I'article L.761-1 du codede justiceadministrative Considérant juge partie ou, à tenueaux dépens condamnela "Danstoutesles instances, le défaut,Ia partieperdante,à payerà I'autrepartiela sommequ'ildétermine,au titre des frais exposéset non comprisdansles dépens.Le juge tientcomptede l'équité ll peut,mêmed'office,pour de la partiecondamnée. ou de la situationéconomique qu'il n'y a pas lieu à cette dire considérations, des raisonstirées des mêmes condamnation."; que ces dispositions font obstacleà ce que les hôpitauxuniversitaires Considérant de Strasbourg, qui ne sontpas la partieperdantedansla présenteinstance,soient MALADIEDE condamnés à verser à la CAISSEPRIMAIRED'ASSURANCE SELESTATla sommequ'elleréclameau titredes fraisexposéset non comprisdans lesdépens; DECIDE: par Mme W et Article1"' : Les requêtessusviséesprésentéesrespectivement rejetées. sont DE SELESTAT parla CAISSEPRIMAIRE MALADIE D'ASSURANCE à la CAISSE Article 2 : Le présentarrêt sera notifiéà Mme Nathalieffi, et aux hôpitauxuniversitaires MALADIEDE SELESTAT PRIMAIRE D'ASSURANCE de Strasbourg. Page 49 sur 169 UNIVERSITEPAUL VERLAINF-METZ FACULTEDE DROIT-ECONOMIE-ADMINI STRATION ANNEEUNIVERSITAIRE 2006-2007 SUJETSDE L'EXAMEN ECRIT DE JANVIER2OO7 DROIT DESLIBERTES FONDAMENTALES L.3 DROIT CoursdeMmePOTVIN-SOLIS T.D. deMelleBONNEMAISON Aucundocumentautorisé Durée: 3 heures Les étudiantstraiteront au choix I'un desdeux sujetssuivants : SUTETN" I <<Sourcesconstitutionnelles et sourceseuropéennes desdroitsfondamentaux en France>> SUJET NO2 Commentezla décisiondu Conseil Constitutionnelno 2006-539DC du 20 juillet 2006,Loi relative à I'immigration et à I'intégration, ci-dessousreproduite Page 50 sur 169 2 Décision no 2006-539DC - 20 juillet 2006 Loi relative à I'immigration et à I'intégration LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL, Vu la Constitution; Vu I'ordonnanceno 58-1067du 7 novembre 1958modifiée, portant loi organiquesur le Conseil constitutionnel ; Vu la directive2003/86/CEdu Conseildu22 septembre2003relativeau droit au regroupement familial; Vu le code de I'entréeet du séjour des étrangerset du droit d'asile ; vu le code dejustice administrative,notammentsesarticlesL. 3 et L.222-l ; Vu les observations complémentaires présentéespar les auteurs de la première saisine, enregistrées le 1l juillet 2006 ; vu les observationsdu Gouvernement,enregistréesle l l juillet 2006 ; Le rapporteurayant été entendu; l. Considérantque les sénateurset les députésrequérantsdéfèrentau Conseil constitutionnella loi relative à I'immigration et à I'intégration ; qu'ils contestentnotamment la conformité à la Constitutionde sesarticles 31,44, 45,47 et 57 ; - SUR L'ARTICLE 3I : 2. Considérantque I'article31 de la loi déféréemodifie I'articleL. 313-l I du codede I'entréeet du séjour desétrangerset du droit d'asile qui fixe les catégoriesd'étrangersbénéficiantde plein droit de la cartede séjour temporaire portant la mention " vie privée et familiale " ; qul l"s requérantscontestentles modificationsapportéesaux 3o et 7o de cet article L. 313-1I : . En ce qui concemela modificationdu 3o de I'articleL. 313-l I : 3 . C o n s i d é r a n t q u ' e n d o n n a n t u n e n o u v e l l e r é d a c t i o n a u 3 o d e l ' a n i c l e L . 3d1u3c- ol l d e d e I'entrée et du séjour des étrangerset du droit d'asile, I'article 31 de la loi déferée abroge la disposition qui accorde de plein droit, sauf en cas de menacepour I'ordre public, la carte de séjourtemporaireportant la mention " vie privée et familiale " " à l'étrangerne vivant pasen état de polygamie,qui justifie par tout moyen résideren Francehabituellementdepuisplusde dix ans ou plus de quinze ans si, au cours de cette période, il a séjournéen qualité d'étudiant ; 4. Considérantque les requérantssoutiennentque cette abrogationporte atteinteau principe de la dignité de la personnehumaine ; Page 51 sur 169 J 5. Considérant que la disposition critiquée se borne à modifier les catégories d'étrangers bénéficiant de plein droit d'un titre de séjour et ne saurait, de ce seul fait, porter atteinte au principe du respect de la dignité de la personne humaine consacrépar le Préambule de la Constitutionde1946: 6. Considérantpar ailleurs qu'aucunprincipe non plus qu'aucunerèglede valeurconstitutionnelle n'assureaux étrangersdesdroits de caractèregénéralet absolud'accèset de séjoursur le territoire national ; . En ce qui conqer-ne la.modificationdu 7.' de I'pr,ticleL. 313-l 1 : 7. Considérantque I'article31 complètele 7" de I'article L. 313-l I du code de I'entréeet du séjour desétrangerset du droit d'asileafin de préciserla notion de " liens personnelset familiaux " permettantla délivrance de plein droit d'un titre de séjour lorsqueces liens " sont tels que le refus d'autoriser son séjour porterait à son droit au respect de sa vie privée et familiale une atteintedisproportionnéeau regarddesmotifs du refus " ; qu'il disposeque ces liens doivent être " appréciésnotamment au regard de leur intensité, de leur anciennetéet de leur stabilité, des conditions d'existencede I'intéressé,de son insertion dans la sociétéfrançaise ainsi que de la nature de sesliens avec la famille restéedans le pays d'origine " ; 8. Considérantque les requérantsfont valoir qu'en subordonnantdésormaisI'octroi d'un titre de séjour portant la mention " vie privée et familiale " au constatpar I'administrationde I'intensité des liens existant en France, la disposition critiquée méconnaîtrait les articles Z et 4 de la Déclaration des droits de I'homme et du citoyen de 1789consacrantla liberté personnelleet le droit au respect de la vie privée i Çue, par son imprécision, elle serait en outre entachée d'incompétencenégative ; 9. Considérant que le législateur s'est bomé à préciser, en se réferant à la jurisprudence administrative, les critèresau vu desquelsles étrangerspeuvent bénéficier de plein droit d'une carte de séjour temporaireau titre de la vie privée et familiale ; que, dans ces conditions, il n'a porté atteinteni aux articles 2 et 4 de la Déclaration de 1789 ni à I'article 34 de la Constitution; 10. Considérantqu'il résultede ce qui précèdeque les griefs dirigéscentreI'article3 I de la loi déferéedoivent être rejetés; - SUR L'ARTICLE 44: I l. Considérantque I'article44 de la loi déféréemodifie I'articleL.4ll-l du codede I'entréeet du séjourdesétrangerset du droit d'asile; qu'il prévoit que, pour demanderà être rejoint, au titre du regroupementfamilial, par son conjoint et par leurs enfantsmineurs,un ressortissantétranger devradésormaisjustifier d'un séjourrégulieren Franced"' au moinsdix-huit mois " et non plus dtt' au moins un an " ; 12. Considérant que, selon les requérants, ceffe modifrcation porterait " une atteinte manifestementdisproportionnéeau droit à mener une vie familiale normale " ; 13. Considérantque le dixième alinéadu Préambulede la Constitutionde 1946disposeque : " La Nation assureà I'individu et à la famille les conditions nécessairesà leur développement" ; qu'il résulte de cette disposition que les étrangersdont la résidenceen France est stable et régulièreont, comme les nationaux,le droit de menerune vie familiale normale ; qu'il appartient Page 52J sur 169 4 toutefois au législateurd'assurerla conciliation entre la sauvegardede I'ordre public, laquelle revêt le caractèred'un objectif de valeur constitutionnelle,et le droit de menerune vie familiale normale; 14. Considérant,en I'espèce,que le législateurn'a pas remis en causele droit desétrangers établis de manière stableet régulière en Francede faire venir auprèsd'eux leur conjoint et leurs enfants mineurs ; qu'il s'estborné à modifier le critère permettantd'apprécierla siabilité du séjour du demandeur,en portant de douze à dix-huit mois la durée minimale de celui-ci qu,ainsi cette ; appréciationn'estpas entachéed'une erreur manifeste; que, dès lors, le grief invoqué doit être écarté; - SUR L'ARTICLE 45 : 15. Considérantque I'article45 de la loi déféréemodifie I'articleL. 4ll-5 du codede l,entréeet du séjour desétrangerset du droit d'asile ; qu'il préciseou complèteles motifs pour lesquelsune demandede regroupementfamilial peut être refusée qu'il prévoit, en particulier, ; au 2o de cet article L. 4ll-5, que la condition selon laquelle le dômandeurdoit âirpor". d,un logement considérécomme normal seraappréciéepar rapport à une famille comparable vivant nàn plus ^', seulement " en Fr"nce ", comme le prévoyait le texte antérieur,mais dans la même région géographique" ; qu'il dispose,en outre, dansun 3onouveau,que le regroupement familial pouru dorénavant être refusé au demandeurqui " ne se conforme pu, urr* principes fondamentaux reconnuspar les lois de la République " ; 16. Considérant que, selon les requérants,en prévoyant que la condition de logement sera désormais appréciée sur le fondement d'une comparaison locale et non plus nationale, le législateur aurait porté atteinte au principe d'égalité et, du fait de I'imprécision des nouvelles conditions, méconnul'étenduede sa compétence; 17' Considérantque le législateurpeut subordonnerle regroupementfamilial à la capacitédu demandeurd'assurerà son conjoint et à sesenfantsdesconJitionsde logement normales,qui sont cellesqui prévalenten France,paysd'accueil ; que la substitutionde critèreslocaux à descritères nationaux pour appréciercet hébergementau regardde celui de familles comparables trouve sa justification dansles disparitésdu marchéimmobilier sur I'ensembledu tenitôire national ; qu,à cet effet, le législateura pu, sansméconnaîtrel'étenduede sa compétence,se référer à la notion de '' région géographique", laquelle renvoie à une réalité locale et non à une catégorie de collectivitéstenitoriales ; 18. Considérantque la mesurecritiquée reposesur des critèresobjectifs et rationnels en rapport direct avec I'objet de la loi ; qu'il appartiendraau décret en Conseil d'Etat, prévu par l,anicle L. 441-l du code de I'entréeet du séjour des étrangerset du droit d'asile, de fixer ses conditions d'application; 19' Considérantqu'il résulte de ce qui précèdeque les griefs tirés d'une atteinte au principe d'égalité et à I'article 34 de la constitution ne sauraientêtre accueillis ; 20. Considérant,par ailleurs, qu'il ressort des travaux parlementairesqu'en prévoyant que le regroupementfamilial poulra être refusé au demandeurqui ne se confo... pu, aux " principes fondamentauxreconnuspar les lois de la République ", ie législateura entôndu se référer aux Page 53 sur 169 ) principes essentielsqui, conformémentaux lois de la République,régissentla vie familiale en France,pays d'accueil ; 2l . Considérantque, sousla réserved'interprétationénoncéeau considérantprécédent,I'article45 de la loi déferéen'est pas contraire à la Constitution ; - SUR L'ARTICLE 47 : 22. Considérantque I'article47 de la loi déféréemodifie I'articleL.431-2 du codede I'entréeet du séjourdesétrangerset du droit d'asile ; qu'il donnela possibilité à I'administration,en cas de rupture de la vie commune,de retirer ou de refuserla délivranceou le renouvellementd'un titre de séjourau conjoint d'un ressortissantétrangeren situationrégulière ; que ce retrait ou ce refus poulra intervenir non plus pendantles deux annéessuivant la délivrancedu titre, mais dans un délai de trois annéesà compter de I'autorisationà séjournersur le territoire national ; 23. Considérant que les requérants font grief à ces dispositions de porter une atteinte disproportionnée au droit de mener une vie privée et familiale normale ainsi qu'à la liberté personnelle; 24. Considérantqu'aucunerègle ou principe de valeurconstitutionnellene garantitle maintien ou le renouvellementd'une autorisation lorsque les conditions mises à sa délivrance ne sont plus satisfaites; 25. Considérantque le législateura fixé à trois ans à compterde la délivranced'uneautorisation de séjour au titre du regroupement familial, la possibilité de retirer cette autorisation au bénéficiairedèslors que la vie commune a cessé; qu'il a exclu ce retrait lorsquela rupture de la vie communerésultedu décèsde son conjoint, lorsqu'elleintervient à son initiative en raison de violencesconjugalessubies,ou lorsque le conjoint, titulaire d'une carte de résident,justifie contribuer, depuis la naissance,à I'entretien ou à l'éducation des enfants ; que, ce faisant, le législateur n'a pas méconnu la liberté personnelle du bénéficiaire et s'est borné à définir les conditions, relatives à I'effectivité de la vie commune,du maintien de cette autorisation ; 26. Considérantque I'appréciationà laquelle s'estainsi livré le législateurn'estentachéed'aucune ereur manifeste; 27. Considérantqu'il s'ensuitque les griefs dirigés contre I'article 47 delaloidéférée doiventêtre rejetés; - SUR L'ARTICLE 57 : 28. Considérantque I'article57 de la loi déféréerétablitdansle codede I'entréeet du séjourdes étrangerset du droit d'asile un article L. 5I2-l instituant de nouvelles règles de procédure contentieusedevant le tribunal administratif à I'encontre des refus de séjour assortis d'une obligation de quitter le tenitoire français mentionnant le pays de destination ; qu'il disposeen particulier que l'intéressépeut, dans le délai d'un mois suivant la notification, demander I'annulation de ces décisionsau tribunal administratif ; qu'aux termes du deuxième alinéa du nouvel article L. 512-l : " Le tribunal administratif statuedansun délai de trois mois à compter de sa saisine.Toutefois, en cas de placementen rétention de l'étrangeravant qu'il ait rendu sa décision,il statue,selonla procédureprévueà I'articleL.512-2,sur la légalitéde I'obligationde Page 54 sur 169 6 quitter le territoire françaiset de la décision fixant le paysde renvoi, au plus tard soixante-douze hetuesà compter de la notification par I'administration au tribunal de ce placement" ; 29. Considérantque ces dispositionsne modifient pas les règlesen vigueur du code de justice administrativerelativesau principe de la collégialité des formations de jugement des tribunaux administratifset à sesexceptions; que,par suite, les griefs fondéssur un abandonde ce principe manquenten fait; 30. Considérantqu'il n'y a lieu, pour le Conseil constitutionnel,de souleverd'office aucune questionde conformité à la Constitution DECIDE: Articlepre{nier.-Sontconformes à la Constitution lesarticles31,44,47 et 57dela loi relativeà I'immigrationet à I'intégration,ainsique,sousla réserveénoncée auconsidérarfi20,son article 45. Article2.- La présente décisionserapubliéeauJournalfficiel dela République française. Délibérépar le Conseilconstitutionnel danssa séancedu2}juillet 2006,où siégeaient : M. Pierre MAZEAUD, Président,MM. Jean-ClaudeCOLLIARD, Olivier DUTHEILLET de LAMOTHEet ValéryGISCARDd'ESTAING,MmeJacqueline deGUILLENCHMIDT,MM. PierreJOXEet Jean-LouisPEZANT,Mme DominiqueSCHNAPPER, M. PierreSTEINMETZ et Mme SimoneVEIL. Page 55 sur 169 {s*r,*t$ds eis& fu-g*ffim$s *t adç*dfiÏE*rutrffi 3 Droit LICENCE premiersemesfre Année2006-2007, DE LA RESPONSABILITE DROITADMINISTRATIF Cours de M.le Professeur Pascal COMBEAU EXAMEN- leresession Aucundocumentn'estautorisé Epreuveécritede t heure Répondreaux quatrequestionssuivantes: 5 pointspar question de responsabilité ? donnantlieuà concours 1o) Quellessontlessituations de contrôle? en matièred'activités 2") Quelest le régimede responsabilité ? du faitde son activitélégislative 3o) L'Etatest-ilresponsable 4") Quelssontle senset la portéede la règledu forfaitde pension? Page 56 sur 169 I.INIVERSITEPAUL VERLAINE -METZ ANNEE LINIVERSITAIRE2006-2007 FACULTEDE DROIT-ECONOMIE-ADMINISTRATION SUJETDE DROIT DES LIBERTES FONDAMENTALES L.3 ORAL-ECRIT EXAMEN DE JANVIER 2OO7 CoursdeMme SOLIS-POTVIN Aucun documentautorisé Durée: I heure Les étudiantsrépondront successivementaux questionssuivantes: 1oIndiquez les textesfondateurs en droit français de: (3 points) - La liberté d'aller et venir (I/2 point) La liberté de la communication (I/2 point) Le droit qu respectde la vie privée (l/2 point) La liberté d'association (l/2 point) Les libertés de réunion et de manifestation(l/2 point) L'interdiction de l'esclavage (I/2 point) 20 Exposezbrièvement : (5 points) Les dffirentes sourcesconstitutionnellesdes droits et libertésfondamentales en France 40 Présentez: (6 points) L'interdiction de la torture et des traitementsinhumainsou dégradants 50 Présentez: (6 points) La Conventioneuropéennede sauvegarde des Droits de l'Homme et des LibertésFondamentales Page 57 sur 169 AIIII,EE TJMVERSITAIRE 2006.2O07 LICENCE EN DROIT - L3 DROIT COMMERCIAL Epreuveanticipéedu 2l décembre2006 Répondezauxquestionssuivantes. Aucuncoden'estautorisé. 1. Le répertoiredesmétiersn'existepasen AlsaceMoselle.Parquoi est-il remplacé?(l p0 2. Qu'est-ceque le pasde porte? (2 pts) 3. Quandy-a-t-il cessionde fondsde commerce? (1 pt) 4. Qu'estce quela comptabilité? ( 2 pts) 5. A quelledatele commerçantdoit-il êtreimmatriculépour bénéficierdu droit au renouvellementdu bail commercial? ( 2 pts) 6. Quellessontlesconditionspourqu'un étrangerpuisseexercerle commerceen F r a nce ? (3 p ts) 7. Le fondsde commerceestuneuniversalitéjuridique.Explicitezcetteaffirmation. ( 3 pts) quecelui-ci 8. Quellessontlesprotectionsquela loi accordeau conjointdu commerçant" travaille ou non avecsonépoux? ( 6 pts) BONNESVACANCESET BONNESFETESDE FIN D'ANNEE. DelphineBrach. Page 58 sur 169 UNIVERSITE DE METZ L3 DROIT DROIT ADMINISTRATIF DESBIBNS Sessionde janvier 2007 Durée de l'épreuve : I heure 15 Aucun documentntestautorisé. Traitez les questionssuivantes: I- Le maire de votre commune souhaitant améliorer la circulation au sein de I'agglomérationdécide,parun arrêtémunicipal, de : l) interdirecertainesrues du centreville à tous les véhicules ; 2) étendrele stationnementpayant le long de certainesvoies publiques de la ville, avec un tanf préférentielpour les résidentset les non résiàentsiravaillant dans les secteursconcemés. Que pensez-vous de la légalité de ces mesures? il- Un pylône électrique a été inégulièrement implanté sur votre propriété (a déclaration d'utilité publique (DUP) approuvant le tracé de Ia ligne ayant été annulée),de quel(s) recoursdisposez-vouspour être rétabli dans vos àroits ? Page 59 sur 169 M l DROIT Page 60 sur 169 UNIVERSITE PAUL VERLAINE DE N.'.E.TZ ANNEE 2006-2007 Ml AES et Ml DROIT DROIT SOCIAL Coursde M. NicolasDAMAS EpreuveTerminale(3 h 00) Les deuxsujetssuivantssont à traiter : 1/ Ço{nmentaifg d'arrêt: (14 points) L'introductionseborneraà énoncerleproblèmejuridique et à onnoncerle plan. Cass.soc.15 novembre2006(no 04-47156) Sur le moyenuniquecommunaux pourvois: Attendu,selon les arrêtsaffaqués(paris, 17 septembre 2004),que MM. x..., y... et 2..., qui sont employéspar la sociétéSODEMPexploitantI'hôtelMéridienEtoile en qualitéd,agents de sécurité respectivement depuisles25 mai 1992,ler avril1992et ler novembre1991,ont sàisila juridiction prud'homale de demandes de paiement derappelsde salaires fondéessurune"discrimination salariale" parrapportà un collègueexerçantlesmêmesfonctionsqu'eux; Attenduque les salariésfont grief aux arrêtsde lesavoirdéboutés de leursdemandes alors,selonle moyen'qu'il n'étaitpas démontrépar I'employeurque le collègueavec lequelils se comparaient exerçaitdes fonctionsdifférentesdes leurscomptetenu de son expérience acquisedansd,autres relationscontractuelles ; Maisattenduquelessalariés demandeurs n'étaientpasdansunesituationidentiqueà cele du collègue aveclequelils revendiquaient une égalitéde rémunération, eu égardà I'expéiience professionnèlle acquisepar ce dernierau servicede précédents employeurs prise en compte,sansméconnaître le principe"à travailégal,salaireégal",parl'employeur ; quele moyenn'estpasîondé; PARCESMOTIFS,REJETTElespourvois; 2/ Caspratique(6 points) Arthurestanalystefinancierdansunebanqued'affairesparisienne. Pourle formerauxnouvelles techniques d'analyse, sonemployeurl'envoieen formationpourdeuxmoisà New york, dansun prestigieux établissement américain. A - Arthurn'a pasosérefuser,maisil a unephobiede I'avion,et s'éloignerplusde troisjoursde sa nouvellefiancéelui estinsupportable. Aurait-ilpu refuser? B - unefois surplace,Arthurdécidede profiterau mieuxdesontempslibre.Il ne semontrepastrès assidulorsdesformations, préferantenchaîner tourismeet visite.QuepourraitfaireI'employeïrs'il s'enrendcompte? C - Lorsd'unevisitedeschutesdu Niagara,Arthur,glissesurun rocherhumideet seblessetrès sérieusement. La législation sur lesaccidents du travailest-elleapplicable ? Documentsautorisés : Code du travail Page 61 sur 169 TINIVERSITEPAUL VERLAINEMETZ ANNEE UNIVERSITAIRE2006-2007 FACULTEDE DROIT,ECONOMIE, ADMINISTRATION SUJETSDE DROIT COMMUNAUTAIRE MATERIEL EXAMEN ECRIT DE JANVIER 2OO7 M1 Coursde L. SOLIS-POTVIN TD de S.DAP Aucundocumentautorisé Durée: 3 heures Les étudiantstraiteront, au choix. I'un des deux sujetssuivants : r - saJET THEORTOUE Le principe de libre concurrence. II - SUJET PRATIOUE commentez l'arrêt de la CJCE du zi février 2006, A-punkt schmuckhandels GmbH c./ claudia Schmidt,Aff. c-441104, ci-dessous reproduit. Page 62 sur 169 ARRETDE LA COUR(rroisième chambre) 23 février2006e) <Libre circulationdesnarchandises- Articles 28 CE et 30 CE - Mesuresd'effet équivalentDémarchageà domicile - vente de bijoux en argent- Interdiction> Dans I'affaire C-441/ 04, ayant pour objet une demandede décisionpréjudicielle au titre de I'article 234 CE, introduite par le LandesgerichtKlagenfurt (Autriche), par décision du 13 aoit2}}4,parvenue à la Cour le 20 octobrc2004,dansla procédure A-Punkt SchmuckhandelsGmbH contre Claudia Schmidt, LA COUR (troisièmechambre), composéede M. A' Rosas,président de chambre, J.-P. Puissochet,U. Lôhmus (rapporteur), juges, avocat général:M. P. Léger, greffier: M. R. Grass, w la procédureécrite, considérantles observationsprésentées: pour M" Schmidt,par M'A. Seebacher,Rechtsanwalt, pour le gouvemementautrichien,par M" c. pesendorfer,en qualité d'agent, pour la CommissiondesCommunautéseuropéennes, par M. B. Schima,en qualitéd,agent, vu la décisionprise, I'avocat généralentendu, dejuger I'affaire sansconclusions. rend le présent Arrêt I La demandede décisionprejudicielleporte sur l'interprétationdesarticles2g 2 Cette demandea été présentéedans le cadre d'une procédure opposant la société A-punkt SchmuckhandelsGmbH (ci-après <A-Punkt>) à M'" Schmidt et visant à obtenir la cessation. Page 63 sur 169 CE et 30 CE. par cette demière, de son activité de vente de bijoux en argent par voie de démarchageà domicile. Le cadre juridique national L'article 57, paragtaphe1, du code des professionsartisanales,commerciales et industrielles autrichien (Gewerbeordnung,BGBI., 194/lgg4, ci-après la <GewO>) interdit la vente ainsi que la collecte de commandesà domicile de certainesmarchandises, nôturn-"nt des bijoux en argent,dans les termessuivants: <Sontinterditesles visites aux particuliersdansle but d'obtenir des commzurdes relativesà la vente de complémentsalimentaires,de poisons, de médicaments,d'accessoires médicaux, de montres et horlogesen métaux précieux, de produits en or, argentou platine, joyaux de ei de pierresprécieuses'd'armes et munitions, d'articles pyrotechniques, dè produits cosmétiques, de pierres tombales,monuments funéraireset leuÀ accessoiresainsi'que de couronneset autres décorationstombales. Sont de même interdites les manifestations promotionnelles, y compris les réunionsde promotion et de conseil, relatives à ces marchandisàs, organiséesdans des ménagesprivés et qui s'adressentaux particuliers, que la manifestation promotionnelle soit organiséepar l'opérateuréconomiquelui-mêmeo., p* un tiers. [... ]> Le litige au principal et les questions préjudicielles M" Schmidt dirige une entreprise dont le siège est établi en Allemagne. Elle exerce le commerce ambulant de bijoux sur le territoire de I'Union européenie, démarchant les particuliers dans des habitations privées. Elle y propose à la vente des bijoux en argent et recueille des commandesportant sur de tels bijoux. Le prix de vente unitJire desdits bijoux n'excèdepas 40 euros. Le l8 décembre2003,M" Schmidt a organisé,dans un ménageprivé, une <réunionbijoux> à Klagenfurt, en Autriche. À la suite di cette réunion, A-punlt, qui exerce une activité concurrente' a engagé une action en justice contre M'" Schmidt dèvant le Landesgericht Klagenfuit afin d'obtenir la cessationde I'activité de celle-ci au motif que cette activité est interditepar I'article 57, paragraphel, de la GewO. M" Schmidt contesteles prétentionsde larequérante au principal, faisant valoir que l,article 57 de la Gewo est contraireà la libre circulationdes marËhandises telle que prevue à l,article 2\.CE' Elle souligne,notamment,que la venteà domicile de bijoux ur!.ni est licite tant en Allemagnequ'en ltalie et au Royaume-Uni. "n Dansces conditions,le LandesgerichtKlagenfurta décidéde surseoir à statueret de poserà la Cour les questionsprejudiciellessuivantes: (l) Convient-il d'interpréterles articles 28 CE et 30 CE en ce sensque la liberté de la partie défenderessede distribuer, dans le cadre de sesactivités professionn"it.., a", ùilou* argent par voie de visites aux particuliers en vue de vendre et de recueillir "n de des commandes tels bijoux, est garantie? 2) Dans I'affrrmative, la réglementationd'un État membre interdisant la distribution de bijoux en argent par voie de visites aux particuliers en vue de vendre et de recueillir des commandes Page 64 sur 169 de tels bijoux constitue-t-elleune restrictionà la libre circulation des marchandisesau sens des articles28 CE et 30 CE? 3) En cas de réponse affirmative à cette dernière question, une disposition nationale qui, en violation des articles28 CE et 30 CE, interdit la distribution de bijoux en argentpar voie de visites aux particuliers en vue de vendre et de recueillir des commandesne s'oppose-t-ellepas au droit d'une personnede distribuer de tels bijoux par cette voie?> Sur les questionspréjudicielles Par sestrois questions,qu'il convientd'examinerensemble,la juridiction de renvoi demande, en substance,si I'article 28 CE s'opposeà une dispositionnationale,telle que celle de I'article 57 de la GewO, qui interdit la vente ainsi que la collecte de commandesde bijoux en argent par voie de démarchageà domicile. À titre liminaire, il y a lieu de constaterque l'article 57 de la GewO tend à exclure une méthode de commercialisationpour ce type de bijoux. Par ailleurs, la procédure au principal trouve son origine dans une situation où une personnedirigeant une entreprise doni le siêge est établi en Allemagne a organiséune vente de bijoux à domicile en Autriche. Dans de tellés circonstances,le régime national qui interdit la vente de bijoux à domicile relève de la libre circulationdesmarchandises. 1 0 La directive 85/577/CEEdu Conseil, du 20 décembre 1985, concemant la protection des consommateursdans le cas de contrats négociés en dehors des établissementscommerciaux (JO L372, p.3l) vise à harmoniserpartiellement les règles en matière de protection des consommateurspour certainesméthodesde commercialisation,parmi lesquellesles ventes conclueslors d'une visite du commerçant chezun particulier. ll Sansqu'il soit nécessaired'analyserde manièreapprofondiele degréd'harmonisationréalisé par ladite directive, il est constant que les États membresont le pouvoir, sur le fondement de I'article 8 de celle-ci, d'adopter ou de maintenir des dispositions visant à garantir une protection des consommateursplus étendueque celle prévue par ladite directive. t2 Ainsi qu'il ressort de la jurisprudence de la Cour, les États membres peuvent, à ce titre, introduire ou maintenir une interdiction totale ou partielle de la conclusion de contrats en dehors des établissementscommerciaux(voir arrêts du 16 mai 1989, Buet et EBS, 3g2lg7, Rec.p. 1235,point 16,et du 14 mars 1991,Di Pinto,C-361/89,Rec.p. I-1189,point 2l). Ce pouvoir doit, cependant, être exercé dans le respect du principe fondamental de la libre circulation desmarchandisesqui trouve son expressiondans I'interdiction,énoncéeà I'article 28 CE, des restrictions quantitatives à l'importation ainsi que de toutes mesures d'effet équivalent entre les Etats membres (voir, en ce sens,anêt du 25 mars 2Q04,Karner, C-71102. Rec. p. I-3025,point 34). t3 La Cour s'est déjà prononcéesur la compatibilitéde diversesdispositionsnationalesrégissant des méthodesde commercialisation avec I'article 28 CE (voir, notamment, anêt du 26 mai 2005, Burmanjer e.a., C -20/ 03, Rec. p. l-41 33, point 22). t 4 Ainsi que la Cour I'a fréquemment jugé, toute réglementation commerciale des États membres susceptible d'entraver directement ou indirectement, actuellement ou potentiellement, le commerce intracommunautaire doit être considéréecomme une mesure Page 65 sur 169 d'effet équivalent à des restrictions quantitativeset est, à ce titre, interdite par cet article (voir, notamment,arrêtsdu 1l juillet 1974,Dassonville,S/74,Rec.p. 837, point 5; du l9 juin 2003, commission/Italie,c-420/01, Rec.p. r-6445,point 25, et Kamer,précité,point 36). l5 La Cour a cependantprécisé, dans I'arrêt du 24 novembre 1993, Keck et Mithouard (C-26719Iet C-268191,Rec. p.I-6097, point 16), que des dispositionsnationaleslimitant ou interdisantcertainesmodalités de vente ne sont pas de nature à entraver le commerceentre les États membres au sens de la jurisprudence inaugurée par I'arrêt Dassonville, précité, à condition que ces dispositions, d'une part, s'appliquent à tous les opérateursconcernés exerçantleur activité sur le territoire national et, d'autre part, affectent de la même manière, en droit comme en fait, la commercialisationdes produits nationauxet de ceux en provenance d'autres États membres (voir, également, arrêts du 13 janvier 2000, TK-Heimdienst, C'254/98, Rec. p. I-151, po\nt 23; du ll décembre 2003, Deutscher Apothekerverband, C-322/01,Rec. p. I-14887,point 68; Karner, précité,point37, et Burmanj". é.u.,précité,poini 24). t6 Par la suite, la Cour a qualifié de dispositions régissant les modalités de vente, au sens de I'arrêt Keck et Mithouard, précité, des dispositions relatives à certaines méthodes de commercialisation (voir, notamment, arrêts du 2 juin lgg4, Tarlkstation ,t Heukske et Boermans,C-401/92 et C-402/92, Rec. p.l-2199, points 12 à 14; TK-Heimdienst, précité, point24, et Burmanjere.a.,précité,points 25 et26). t7 Ainsi qu'il ressort du point 9 du présent arrêt, le régime national d'interdiction de vente à domicile en causeconcerne une méthode de commercialisation.Il est constant qu'il n'a pas pour objet de régir les échangesde marchandisesentre États membres.Il ne peut, cependant, échapperà l'interdiction prévue à l'article 28 CE que s'il satisfait aux àeux conditions rappeléesau point 15 du présentarrêt. t8 En ce qui concernela premièrecondition, il apparaîtque l'article 57 de la GewO s,appliqueà tous les opérateursconcemésexerçantleur activité sur le territoire autrichien, quellé que soit leur nationalité. Ainsi, la première condition énoncéepar l'arrêt Keck et tvtiihôuard, irécité, est remplie. t9 Quant à la secondecondition, il est constantque le régime d'interdiction de vente de bijoux à domicile ne fait pasde distinction selonI'origine desproduitsen cause. 20 Il convient ensuite de vérifier que I'interdiction générale de vendre ainsi que de passer commandede bijoux en argent par voie de démarchageà domicile n'est pas, en fait, de nature à gêner davantageI'accès au marché des produits concernés en provenance d'autres États rnembresqu'elle ne gênecelui desproduitsnationaux. 21 Une dispositionnationaletelle que celle en causedans I'affaire au principal est,.enprincipe, susceptiblede restreindre le volume total des ventes des produits visés àans l'État--"mt.. peut, par conséquent,affecter le volume des ventesde ces produits en provenance lgncerné*et d'autres Etats membres.Un tel constatne saurait cependantsuffire pour que ladite disposition soit qualifiée de mesured'effet équivalent (voir, notamment,arrêt Keck ei Mithouard, précité, point 13, et du 20 juin 1996, SemeraroCasa Uno e.a., C-4l8lg3 à C-421/g3, C-4601g3 à c-462193, c-464/93,c-9194à c-l1194,c-14/94,c-t5/94,c-23/94,c-241g4 et c-332194, Rec.p. l-2975, point24). Page 66 sur 169 22 Certes, comme le relève la Commission des Communautéseuropéennes,la vente à domicile de bijoux de faible valeur peut apparaîtreplus appropriéeet plus efficace qu'une vente dans le cadre d'une structurecommerciale fixe. En effet, pour les opérateurséconomiquesspécialisés dans des bijoux d'une telle valeur, la vente dans le cadre d'une structurecommerciale fixe est susceptibled'engendrerdes coûts proportionnellementtrès élevés. z) Toutefois, le fait qu'une méthode de commercialisation se révèle plus efficace et plus économiquene constitue pas un élément suffisant pour affirmer que la disposition nationale I'interdisanttombe sous le coup de l'interdiction prévue à I'article 28 CE. En effet, une telle disposition ne constitueune mesured'effet équivalent que si I'exclusion de la méthodede commercialisationconcernéeaffecte davantageles produits provenantd'autres États membres que les produits nationaux. 24 À cet égard, il est constant que I'interdiction en cause au principal ne vise pas toutes les formesde commercialisationdes marchandises conceméesmais seulementI'une d'entre elles, n'excluantpas,dès lors, la possibilitéde vendrelesditesmarchandises sur le territoire national par d'autresméthodes 25 Cependant, les éléments dont la Cour dispose ne lui permettent pas de déterminer avec certitude si I'interdiction de vente à domicile prévue par I'article 57 de la GewO affecte plus lourdement la commercialisation des produits originaires d'États membres autres que I'Autriche que celle des produits provenant de cet État membre. Dans de telles conditions, il appartient dès lors à la juridiction de renvoi de vérifier si cette condition est remplie et ce, notarnment,à la lumière des considérationsdéveloppéesaux points 20 à24 du présentarrêt. 26 Si, à I'issuede cet examen,cettejuridiction constateque I'interdiction prévueà I'article 57 de la GewO affecte davantageles produits provenant d'autres Etats membres que les produits nationaux en ce qui concerne I'accès au marché national, il lui appartiendrad'établir si cette interdiction estjustifiée par un objectif d'intérêt général au sensde la jurisprudence inaugurée par I'arrêt du 20 février 1979,Rewe-Zentral,dit <Cassisde Dijon> (120178,Rec. p. 649),ou par I'un des objectifsénumérésà l'article 30 CE, et si elle est nécessaireet proportionnéeà la réalisationde cet objectif. 27 À cet égard, la protection des consommateurspeut constituer unejustification de I'interdiction en cause au principal à la double condition que cette interdiction soit propre à garantir la réalisationde l'objectif poursuivi et n'aille pas au-delàde ce qui est nécessairepour atteindre cet objectif. 28 L'appréciation devra tenir compte du niveau de protection dont bénéficient les consommateursen vertu de la directive 85/577 dans le cadre de la vente et de la collecte de commandespour les produits concernés. 29 Dans le cadrede ce contrôle, il conviendraégalementde tenir compte des particularités liées à la vente à domicile de bijoux en argent, notamment du risque potentiellement plus élevé de tromperie des consommateursrésultant d'un manque d'information, de I'impossibilité de comparer les prix ou de garantiesinsuffisantesen ce qui concerneI'authenticité de ces bijoux ainsi que de la pressionpsychologiqueà I'achatplus importantelorsquela venteest organisée dans un cadreprivé. Page 67 sur 169 30 Au w de I'ensemble des considérationsqui précèdent,il convient de répondre aux questions poséesque,concemantla libre circulationdesmarchandises, I'article 28 CE ne s'opposepas à une disposition nationale par laquelle un État membre interdit sur son territoire la-venteàinsi que la collecte de commandes de bijoux en argent par voie de démarchage à domicile lorsqu'une telle disposition s'applique à tous les opérateursconcemés pour autant qu'elle affecte de la même manière, en droit comme en fait, la commercialisation des produits nationaux et celle des produits provenantd'autres États membres.Il incombe à la juiidiction de renvoi de vérifier si, eu égard aux circonstancesde I'affaire au principal, I'application de la disposition nationale est de nature à empêcher I'accès au marché des produits provenant d'autres Etats membres ou à gêner cet accèsdavantagequ'il ne gêne I'accès au marché des produits nationaux et, si tel est le cas, de vérifier si la mesure concernéeest justifiée par un objectif d'intérêt généralau sensque la jurisprudence de la Cour confere à cette notion àu p* I'un des objectifs énumérésà I'article 30 CE, et si ladite mesureest proportionnéeà tet objectif. Sur les dépens 3l La procédurerevêtant, àl'égard. des parties au principal, le caractèred'un incident soulevé devant la juridiction de renvoi, il appartient à celle-ci de statuersur les dépens.Les frais exposés pour soumettre des observations à la Cour, autres que ceux desdites parties, ne peuvent faire l'objet d'un remboursement. Par cesmotifs, la Cour (troisième chambre)dit pour droit: L'article 28 CE ne s'opposepas à une disposition nationale par laquelle un État membre interdit sur son territoire la vente ainsi que la collecte de commandes de bijoux en argent par voie de démarchage à domicile lorsqu'une telle disposition s'appliquà à tous Ies opérateurs concernés pour autant qu'elle affecte de la même -uttie.", en droit comme en fait, la commercialisation des produits nationaux et celle des produits provenant d'autres États membres. Il incombe à la juridiction de renvoi de vérifier si, eu égard aux circonstances de I'affaire au principal, I'application de la disposition nationale est de nature à empêcher I'accès au marché des produits provenant d'autres États membres ou à gêner ôet accès davantage qu'il ,r. gên. I'accès au marché des produits nationaux et, si tel est le cas, de vérifier si la mesure concernéeest justifiée par un objectif d'intérêt général au sens que la jurisprudence de Ia Cour confère à cètte notion ou par ltun des objectifs énumérés à I'article 30 CE, et si ladite mesure est proportionnée à cet objectif. Page 68 sur 169 $Nf*æ#6Amê*l*Tæ[iË fuS*Ê dËffi â*sss$t*c *t Edta#rt*' r*fi** Master1 Droit premiersemesfre Année2006-2007, DROITDU CONTENTIEUX ADMINISTRATIF Cours de M.le Professeur Pascal COMBEAU EXAMEN- 1èresession Epreuveécritede 3 heures Aucundocumentn'estautorisé Traitez,au choix, I'un des deux sujetssuivants: Suief 1-Le contentieuxadministratif: un ( droit sous surveillance européenne) ? Sujet2 - Gommentaired'arrêt Gonseild'État Lecturedu 11 janvier 2006 Vu la requête,enregistrée le 5 mai2OO4 au secrétariat du contentieux du Conseild'Etat, présentée parI'ASSOCIATION (AVFS),dont VICTIMES DU SATURNISME DESFAMILLES ( DROITAU le siègeest 78-80,ruede la Réunionà Paris(75020),I'ASSOCIATION >, dontle siègeest8, ruedes Francs Bourgeois LOGEMENT à Paris(75004)et le GROUPED'INFORMATION ET DE SOUTIEN DESIMMIGRES, dontle siègeest3, villa Marcèsà Paris(75011); I'ASSOCIATION DESFAMILLES VICTIMES DU SATURNISME et autresdemandent au Conseild'Etat: 1") d'annulerl'article2 de I'arrêtéministériel d'un du 5 février2004relatifà I'organisation systèmenationalde surveillance desplombémies de I'enfantmineuren ce qu'ilprévoit Page 69 sur 169 par lescentresantipoison du paysde naissance de la mèrede I'enfant I'enregistrement mineur; de I'article L. 911-1 sur le fondement au ministrechargéde la santépublique, 2') d'enjoindre justice pour procéder prendre nécessaires faire à les mesures de administrative, du codede danslesquelscette de touslestraitements automatisés I'effacement ou à la destruction litigieuse sur le fondement de la disposition donnéeauraitétéd'oreset déjàenregistrée depuisla miseen oeuvredu traitement ; de la sommede 500eurosau titrede I'article 3') de mettreà la chargede I'Etatle versement L.761-1du codede justiceadministrative ; Vu les autrespiècesdu dossier; et des libertés des droitsde I'homme européenne de sauvegarde Vu la convention fondamentales: du 28janvier1981; du Conseil de l'Europe Vu la convention et du Conseildu24 octobre1995; Vu la directive n' 95l46lCEdu Parlement Vu le codede la santépublique; parla loin' 94-548du 1erjuillet notamment Vu la loi n" 78-17du 6 janvier1978,modifiée 1994; Vu l a l o in ' 9 9 -6 4 1d u 2 7j u i l l e1t 9 9 9; Vu le codedejusticeadministrative ; (.) opposéeparle ministrechargéde la santépublique: Sur la fin de non-recevoir ( DROITAU qu'auxtermesde I'article 2 de ses statuts,I'ASSOCIATION Considérant pour mal lesfamilles et lesindividus >a objet: <<D'uniret d'organiser LOGEMENT logésou concernésparle problèmedu logementpourla défensedu droità un décentet adaptéde toutefamillemal logementdécentpourtous,( ) le relogement le soutienpartousmoyens,I'information, logéeou sanslogis,( ) plusgénéralement pour promotion but de remédierau problèmedes mal logés de toute action ayant la ( DROITAU LOGEMENT > et sans abris( ) > ; qu'ilen résultequeI'ASSOCIATION de I'arrêté ne justifiepasd'unintérêtlui donnantqualitépourdemanderl'annulation national de d'unsystème ministériel du 5 février2004relatifà I'organisation de I'enfantmineur,en tantqu'ilprévoità son article2 surveillance des plombémies par les centresantipoison de la mèrede du paysde naissance I'enregistrement mineur; I'enfant qu'auxtermesde I'article1erde sesstatuts,le GROUPE Considérant a pourobjet: < De réunirles ET DE SOUTIENDESIMM|GRES D'INFORMATION juridique,économique et socialedestravailleurs informations sur la situation de I'exercice et des conditions les étrangers immigréset de leursfamilles,d'informer de la protection de leursdroits,de soutenirleuractionen vuede la reconnaissance toutesles et d'enobtenirle respect,de combattre de leursdroitsfondamentaux > ; qu'ainsi, le GROUPED'INFORMATION formesde racismeet de discrimination a intérêtet, parsuite,qualitépourdemander ET DE SOUTIENDESIMMIGRES de I'arrêtédu 5 février2OO4;qu'ilsuitde là que l'annulation des mêmesdispositions sociale la fin de non recevoiropposéeparle ministrede la santéet de la protection doitêtre rejetée; à la requêteen tant qu'elleémanede cetteassociation les Sur la légalitéexternede I'arrêtéattaquéet sansqu'ilsoitbesoind'examiner autresmoyensde la requête: qu'auxtermesde I'article 40-1ajoutéà la loi n' 78-17du 6 janvier1978 Considérant parla loidu 1erjuillet1994: < auxfichierset auxlibertés, relative à I'informatique, ayantpourfin la recherche de donnéesnominatives Lestraitements automatisés loi,à de la présente dansle domainede la santésontsoumisauxdispositions 40 2 de la I'exception desarticles15,16, 17,26 et27 O; qu'auxtermesde l'article Page 70 sur 169 de de miseen oeuvred'untraitement loi n' 7B-17: < Pourchaquedemande en matièrede de l'information sur le traitement données,un comitéconsultatif chargéde la auprèsdu ministre dansle domainede la santé,institué recherche dansle en matièrede recherche compétentes recherche et composéde personnes génétique un avis émet et de biostatistique, de domainede la santé,d'épidémiologie, de la présenteloi,la au regarddes dispositions de la recherche sur la méthodologie pertinence la de celles ci par et nominatives des données nécessité du recoursà préalablement à la saisinede la Commission rapportà l'objectifde la recherche, ( > libertés et des de I'informatique nationale ). qu'auxtermesde I'article1erde I'arrêtélitigieux: < ll est créé( ) un Considérant de I'enfantmineurdansle but des plombémies systèmenationalde surveillance et lesactionsde suiviet de priseen charge de dépistage d'évaluerles stratégies par le plomb./Ce ou imprégnés desenfantsintoxiqués médicaleet environnementale sanitaire( par l'lnstitut de veille et systèmeest misen oeuvre les centresantipoison enregistrées d'informations ). > ; qu'envertude I'article2 de cet arrêté,lescatégories pays particulier de la de naissance le parlescentresantipoison en comprennent 3 du mêmearrêté: <<Lesdestinataires mèrede I'enfantmineur; queselonI'article du centreantipoison nominatives sontle médecinresponsable des informations ( ). Lesdonnéessontrenduesanonymesavant collectant les donnéesrégionales à l'lnstitut ( ). Lesdonnéesanonymessonttransmises informatique touteexploitation plan >; le épidémiologique. quiles exploite sur au niveaunational de veillesanitaire, instituéparI'arrêté qu'ainsi,le traitement de donnéesnominatives automatisé mais enfantsintoxiqués le suivi des d'assurer litigieux, dontI'objetest nonseulement desdonnéesrecueillies, épidémiologique uneexploitation de permettre également desarticles40-1et 40-2de la loidu 6 janvier1978; qu'il entredansles prévisions du comité suitde là que l'arrêtédu 5 février2004devaitêtresoumisà I'avispréalable dansle domaine en matièrede recherche de I'information consultatif sur le traitement de la Commission de la santé; quecet arrêtéayantfait I'objetd'uneautorisation du comité et des libertéssansque I'avispréalable nationale de l'informatique DES DES FAMILLES I'ASSOCIATION été recueilli, ait consultatif susmentionné ET DE SOUTIEN D'INFORMATION et le GROUPE DU SATURNISME VICTIMES pourvicede procédure l'annulation sontfondésà en demander DESIMMIGRES dansla limitede leursconclusions ; : à fin d'injonction Surles conclusions :< qu'auxtermesde I'article L. 911-1du codedejusticeadministrative Considérant qu'unepersonne moralede droitpublic nécessairement Lorsquesa décision implique publicprenneune gestion privé la d'un service chargéde ou un organismede droit saisiede conclusions en la juridiction, mesured'exécution dansun sensdéterminé, ce sens,prescrit,parla mêmedécision,cettemesureassortie,le cas échéant,d'un >; délaid'exécution qu'enprincipe,I'exécution de la présentedécisionimpliquela Considérant prévusparI'arrêtédu 5 février2004, automatisés suppression, danslestraitements mineur; de la mèrede I'enfant au paysde naissance de la donnéerelative qui que, dans la requête, est soutenu à ce toutefois contrairement Considérant à la finalitéde ces I'utilisation d'unetelledonnée,d'unepart,n'estpas contraire pas part, ou indirectement l'origine révéler directement à traitements, ne suffit d'autre tantde la des stipulations racialede la mèreet de I'enfanten méconnaissance du 28janvier1981quede la convention convention du Conseilde I'Europe des européenne de sauvegarde desdroitsde I'hommeet deslibertésfondamentales, de la loi objectifsde la directiven" 95/46/CEdu 24 octobre1995et des dispositions Page 71 sur 169 du 6 janvier1978; qu'ainsi,I'arrêtédu 5 février2004n'estpasentachéd'illégalité de la mère internedu seulfait qu'ilprévoitla priseen comptedu paysde naissance que, ces dans en cause automatisés ; de I'enfantmineurdanslestraitements du comité aprèsconsultation le ministrepourraitéventuellement, conditions, recherches dansle matière de I'information en de sur le traitement consultatif domainede la santéet au vu de I'avisde ce comité,puisaprèssaisinepour et des libertés,prendreà de I'informatique nationale de la Commission autorisation qui nouveaula mêmedisposition ; qu'ainsiet comptetenude I'intérêtparticulier automatisés du danslestraitements de la donnéelitigieuse s'attacheà I'utilisation y plombémies de l'enfantmineur,il a lieu des systèmenationalde surveillance de prendredansun délaide six de la santéet dessolidarités au ministre d'enjoindre présente décisionun nouvelarrêtéselonune de la moisà compterde la notification procédurerégulièreet à défautd'avoirprocédéainsidansle délaiimparti,de faire de mis en oeuvresur le fondement automatisés supprimerdansles traitements de la mèrede I'arrêtédu 5 février2004ladonnéerelativeau paysde naissance I'enfant mineur; L. 761-1du de l'article desdispositions tendantà I'application Surles conclusions : codede justiceadministrative de qu'ily a lieu,dansles circonstances de faireapplication de I'espèce, Considérant et de mettreà la chargede I'Etatla sommede 200eurosau titredes ces dispositions et DU SATURNISME VICTIMES par DESFAMILLES fraisengagés I'ASSOCIATION et non DESIMMIGRES, ET DE SOUTIEN parle GROUPE D'INFORMATION les dépens comprisdans ; DECIDE: Article1er: L'article2 de I'arrêtédu 5 février2004du ministrede la santé,de la estannuléen tantqu'ilcomporteles mots< le handicapées familleet des personnes paysde naissance de la mère>. de prendre,dansun ll est enjoint au ministrede la santéet dessolidarités Article2 : présente décision,un nouvel de la délaide six moisà compterde la notification régulière et, à défautd'avoirprocédéainsidansle délai arrêtéselonune procédure misen automatisés à I'issuede ce délai,danslestraitements imparti, de supprimer, de l'arrêtédu 5 février2004,ladonnéerelativeau paysde oeuvresur le fondement mineur. naissance de la mèrede I'enfant et au DU SATURNISME DESVICTIMES Article3 : L'Etatverseraà I'ASSOCIATION dE 1OO une Somme IMMIGRES, SOUTIEN DES ET DE GROUPED'INFORMATION justice L.761 1 du codede de I'article eurosà chacuned'ellesen application administrative. ( DROITAU Article4 : La requête,en tantqu'elleémanede I'ASSOCIATION LOGEMENT> est rejetée. DES FAMILLES Article5 : La présentedécisionsera notifiéeà I'ASSOCIATION ( (AVFS),à I'ASSOCIATIONDROITAU LOGEMENT VICTIMESDU SATURNISME et au ministre ET DE SOUTIENDES IMMIGRES >>, au GROUPED'INFORMATION de la santéet des solidarités. Page 72 sur 169 4 UNIVERSITE DE METZ ETADMINISTRATION U.F.R.DROITECONOMIE RE2006/2007 ANNEEUNIVERSITAI SESSION DEJANVIER2OO7 MAITRISE DE DROITPRIVE - J.L.HENAFF DROITCOMMERCIAL DUREE:3 h - Godede Commerceautorisé ExerciceN" I de la sociétéRECAMIER,Armandqui ne disposeque En sa qualitéde représentant d'un pouvoirlimitéà 10.000€ tire le 1" décembre2006 sur Benoîtau bénéficede Charlesune lettrede changed'un montantde 20.000€. Le tireur apposeune signatureà la griffeet ne mentionnepas d'échéance. Charlesendossela lettre de changeà Denisqui, après avoir introduitune clause sans frais, l'endosseen blanc et la remetà Emilie.Cettedernièrela remetalors à et obtientdu tiré Benoîtune Françoisqui apposeson nom en qualitéde bénéficiaire la lettreà Gérardau moyen François transmet 10.000 €. Puis acceptationlimitéeà conditionnel. d'un endossement qui de Benoîtpour un montantde 6000 €, obtientde Hervé, est débiteur Gérard majeuren tutellequ'il se porteavaliseurde Charlesqui est lui mêmemineur.Puis il de procuration. transmetla lettreà lrèneau moyend'un endossement Exercice N" 2 Le 2 novembre2006,Jeantire sur Louisau bénéficede Marcelune lettrede change est à 60 jours. en portantcommedatede créationle 5 novembre2006.L'échéance Après avoir introduitune clausede dispensede protêt,Marcelendossela lettre à Nicolas.Odiles'emparede cettelettreet la transmetà Pierreen imitantla signature de Nicolas. Pierreobtient I'acceptationde Louis et persuadeRené de se porter avaliseurde Marcel; pour ce faire Renése borneà apposersa signatureau rectode la lettrede change. Pierre endosseensuite la lettre à Sylvie qui sait avec certitudeque la provisionne serapasfournieet a pleinementconsciencedes consâ1uences. Le lendemainde l'échéancedu titre et avant tout protêt,Sylvie endossela tettre à Théo. Page 73 sur 169 ExerciceN" 3 Dansle cadred'une cessionDailly,Pienetransmetà la banqueBiftons6 créances. que peut connaître Vous envisagerezpour chacuneles difficultésde recouvrement cettebanque. que 1. Luc est débiteurde la premièrequi correspondau prix de marchandises vient de lui revendrePiene après les avoir acquisesauprèsde Robert.Ce dernierqui avaitinséréune clausede réservede propriété,n'estpas à ce jour payé. 2. Jeanneest débitricede la secondedont le montantde 10.000€ correspond à la au prix des marchandisesque lui a livrées Pierre. Postérieurement ne notification de la cession,Jeannes'aperçoitque 50%de ces marchandises correspondentpas à celles commandées.De plus elle est elle même créancièrede Pierrepourunesommede 3000 devenue,depuisla notification, €. 3. Clauden'est pas débiteurde la troisièmedont I'existencerésultede la seule imaginationde Pierre.Claude s'abstienttoutefoisd'en informerla banque Biftonslorsquecettedernièrelui notifiela cession. 4. La quatrièmed'un montant de 20.000 € conespond à des travaux de construction effectuéspar Pierrepourle comptede Christine.Postérieurement de Pieneà lui de la cession,Christineobtientla condamnation à la notification du retardayantaffectéces réglerune sommede 10.000€ en indemnisation travaux. Cette condamnationest définitiveau jour de l'échéancede la créance. 5. Françoisest débiteurde la cinquièmequi a été cedeepar Pieneà la fois à la banque Biftonset à la banque Picsous.Ni I'une ni I'autren'ont notifié la cession. 6. Enfinla sixièmecorrespondà des travauxqui ont été commandéspar Simon à Pierreet que ce derniera sous-traitéà Laurent.Simona acceptéla cession. N.B. ll va sans dire que si certainsconsidéraientque les noms employéset les situationsdécritescorespondentà une quelconqueréalitéce serait une nouvelle preuve,s'il en était besoin,que I'imagination est la folle du logis,ce logis fût-il un palais. Page 74 sur 169 UNTVERSITEDE \IETZ U.F.R.DROIT 1* SEMESTRE I* SESSION ANNEE UNTYERSITAIRE2006-2007 EXAMEN DE DROIT FISCAL DES AFFAIRES DROIT - A.E.S.4è'"AI\III'EE MASTER 1 COURS+ T.D. : MonsieurOlivier FIRTION I)ocuments autorisés : Code Général des Impôts ( polycopié ou code) Calculatrice Duréede l'épreuve: 3 heures Page 75 sur 169 E X E R C I C E l :(S p o i n ts) L'entrepriseBêtarevend,enjuin 2006,à I'enteprise Gammapour 6.000Euros,une machine qu'elle utilisait danssesateliers.Cettemachineavait étéachetée9.000Eurosenjanvier 2005 à la sociétéAlpha qui l'utilisait elle-mêrnedanssesateliers.La sociétéAlpha,dont le prorata est de 80% (prorataconstantde 2003 à 2006),et qui n'a pasde secteursdistinctsd'activité, 2003pour'l5.000Euros. avaitachetécettemachineà l'état neuf en septe,mbre en 2005 et2006. 1) Indiquerle régimeauregardde la TVA descessionsintervenues 2) Chiffrer les incidencessachantqu'il convientde faire applicationle casechéantd'un taux Bêtaet Gammaest de l00Yo,et que le proratade déductiondansles entreprises de 19,60Yo, H.T. queles sommesindiqueessontconsidérées EXERCICE2:(Spoints) t'entre,prise JacquesLEGRAND, entrqrrise individuell e, afutl'acquisition d'une machine le l* juillet 2006 pour un prix hors taxe de 18.000Euros (TVA 19,60%). L'entreprise est partiellement redevable de la TVA, et le prorata provisoire pour 2006, calculé d'après les affairesde 2005, s'élève à85%. 1) Calculer le montant de TVA récuperéelors de I'acquisition. 2) Le prorata définitif pour 2006 s'établit à 88%. Indiquer les incidences sur la question précédente. 3) Même questionen supposantque le prorata définitif s'établit à92Yo. 4) Le prorata provisoire pour 2007 étant de 88%oet le prorata définitif de 99Yo,indiquer les incidences au regard de la TVA E ) G R C I C E 3 :(4 p o i n ts) T.T.C.,un La S.A.R.L.JSM, achètele 20 awil 2006 pour un montantde 125.000Euros qui vient d'ête achevé. immeubleà usagedebureaux la S.A.R.L. JSM est de 100% et elle cède I'immeuble la troisième annéede son acquisition.Le montantdela transactionestde l45.000Euros. Page 76 sur 169 METZ PAULVERLAINE UNIVERSITE ETADMINISTRATION FACULTEDE DROTIECONOMIE M1 DROIT ET LIBERALITES SUCCESSIONS 200612007 ANNEEUNIVERSITAIRE 1èreSESSION ler SEMESTRE Duée:3 heures Noémie,70 ans,veuvedepuisde nombreusesannées,est décedéele l2janvier 2003. Elle laissesonfrère Paul,ses parentsétanttous deuxdécédés. Elle avaittroisenfants: - Antoine,mariéavecAnnie,pèrede Anatoleet Agathe. - Bertrand,célibatairesansenfant - Corinne,décedéeaccidentellement en 1999,mèrede jumeaux,Charleset Clovis. En 2000,elleavaitrencontréPiene,de 30 ans son cadet,sansprofessionni ressources, et l'avaitrapidementinstalléchezelle. réprouvéepar ses enfantsqui avaientaussitôtcesséde Cetteliaisonétaitunanimement voir leurmère. - En 1975,Noémieavaitachetéun studiopour30.000eurosdontelle avaitfait donationrhors part successoralerà Antoinepour lui permettrede poursuivreses étudesdansde bonnes Lors son conditions. de mariageen 1978,Antoinea revenduce studio40.000euroset a achetéune maisonen assezmauvaisétat pour80.000euros.Cettemaisonvalait200.000 euros.Maissansles importantstravauxde eurosen 2003et vautaujourd'hua220.000 rénovationentreprisparAntoine,elle n'auraitvaluque la moitiétant en 2003qu'aujourd'hui. - En 1980,elle avaitversé30.000eurosà son frèrePar.rl, alorsau chômage,pourlui permettrede maintenirsontrainde vie. - En 1982,elle avaitfait donationà Corinned'unepetitemaisonau bordde la mer,héritée de ses parents,évaluéeà 60.000euros.L'acteprécisaitque le bienseraitrapportablepour sa valeurau jour de la donation.Ceftemaisona été vendueen 1999lorsde la liquidationde la successionde Corinnepour 100.000euros. - La mêmeannée,elle avaitdonnéà Bertrand,grandamateurd'art,deuxtableauxhérités égalementde ses parents,dont la valeur,fixéef,ar un expertà 35.000eÊ n'a pas varié depuis. 1t2 Page 77 sur 169 - En 1990,elle avaitfait donationà Corinne,d'unesornmede 78.000euros.Corinnea achetéune Ferari 350 GT payée78.000euros.Cettevoiturea été attribuéeà Charles,lors du partagede sa succession.Ellevalait6.000eurosen 2003et vaut aujourd'hui2.000 euros. - En 1999,elle a remisune sommede 12.000eurosà chacunde ses petits-enfants, au coursd'un repasauquelelleavaitconviétoutesa famille. AnatoleetAgatheont affectécettesommeau financementd'unvoyageen Asiedont ils rêvaientdepuislongtemps. Charlesa déposécettesommesur un compteen banquenonrémunéréoù ellese trouve toujours.Quantà Clovis,il a achetédes actionspayées12.000eurosquivalaient18.000 eurosen 2003et ne valentplusque 16.000eurosaujourd'hui. Au jour de son décès,le patrimoinede Noémiese composaitde : - une maisonà Metz,valant160.000eurosen 2003,estiméeaujourd'huià 200.000euros - une villadan(Iles Landesévaluéeà 240.000eurosen 2003et dont la valeuractuelleest de 280.000euros. - un studioà Chamonixqui valait80"000euroset de mêmevaleuraujourd'hui, - un portefeuilled'actionsévaluéà 80.000euroset qui ne vautplusque 20.000euros aujourd'hui. - des bijouxd'unevaleurde 6.000euros,de mêmevaleuraujourd'hui. - un compteen banquedont le soldea été entièrementaffectéau paiementde ses créancierset au règlementde ses fraisd'obsèques. EnfinNoémielaisseun testamentauthentiquereçupar MaîtreN., notaireà Metz,le 1eravril 2003,auxtermesduquelelle lègueses bijouxà son uniquepetitefille Agatheet sa maison de Metzà Pieneson compagnon.Elley précisequ'elletientabsolumentà ce que I'ensemble de ses bijouxrevienneà Agathe. 1/ Aprèsavoirfourniles explications utiles,liquidezla succession de Noémie,sachantque dès l'annonce décès, renoncer la succession de sa mèreet a Antoinea déclaré, du à proédé aux démarchesnécessaires. 2/ Liquidezla successionen supposantque Noémieest décedéeaujourd'hui.Non seulementAntoine,maiségalementBertrandrenoncentà le successionde leurmère. ( La valeurdes biensau jour du déceset au jour du partageest donc la même:c'estla valeuractuelle) N.B. : Codecivilet loidu 2310612006 autorisés. Calculetteautorisée 212 Page 78 sur 169 Maftrise de droit - Ml Comptabilité et bilans 1è* session Annél scolaire 200612007, Ilocumentsautorisés: Plan comptablegénéral(PCG)' calculatricequelconque. Page 79 sur 169 GoMPTABILITEGENERALE ccF DE LA BALANCEAUX BIi-/.NET COMPTEDE RESULTAT olss La balancede la SociétéMETALOR au 31 Décembre N se présente commesuit: COMPTE TOTAUX Nom du compte N" DEBIT Capital SOLDE CREDIT 150000 Emprunts 5 000 Terrains 20 000 25 000 Constructions 100000 Matérielindustriel 33 250 Matérielde transport 45 791 18 666 Matérielde bureau 3 400 Mobilier 1 820 Titres de participation 3 399 243 61 693 103466 209 729 182 412 Fersonnel 62 510 64 219 ur\tcnc ?l tç6 ,L' LL 721 Fournisseurs Glients 9$e ,ETE( Banque 137050 123 123 Crrisse 20 617 18 994 122286 13 245 Achats de marchandises Servicesextérieurs 14 523 lmpôtset taxes 3 046 Chargesde personnel 85221 Intérêtsfinanciers 2 688 Ghargesexceptionnelles 614 Ventesde marchandises 19 944 Produitsfinanciers 257 092 1 517 Produitsexceptionnels 345 TOTAL Complétercettebalanceen faisantapparaître: - les numéros des comptes(plan comptable) - les so/des des comptes - les totaux des colonnes Présenterles Bilanet Comptede Résultatde Ia sociétéMETALOR Page 80 sur 169 DEBIT CREDIT BILAN . ACTIF Duréede I'exercice: : Désignation de I'entreprise Brut Provisions Amortissements. Capitral souscritnonappelé o U Fraisd'étrablissement J U É. Fraisde rechercheet développement o  É. o Concessions. brevetset droitsimilaires = z Fondscommercial I 6 F I ! @ Autresimmobilisations incorporelles incorporelles Avanceset acomptessur immobisations o u {J.J J J U I o = c (D É o oo o z = I tr F o J tr Terrains Constructions Installations techniques,matériel et outillage industriels Autresimmobilisations corporelles o 6 = o U É. U o z (z o z I F û f o o = lmmobilisations en cours Avanceset acomptes Participations évaluéesselonla méthodede miseen éouivalence Autresparticipations Créancesrattachées à des participations Autrestitresimmobilisés Prêts financières Autresimmobilisations TOTAL(r) En coursde productionde biens rrl rolI En coursde productionde services I Bal Produitsintermédiaires et finis BS 5 Marchandises BU É () Avanceset acomptesreçussurcommandes BW Clientset comptesrattachés BY Autrescréances CA Capitalsouscritet appelé,nonversé cc o U Valeursmobilièresde olacement CE o Disponibilités CG Chargesconstatéesd'avance CI Matièrespremières, approvisionnements o Y 8 F q F z uF () q U o z @ () E z u 9 ôF TOTAL(il) ; <U' Chargesà répartirsur plusieursexercices(lll) >{ Primesde remboursement des obligations(lV) Y1 F(r rL< 8g É. CK Page 81 sur 169 Ecartsde conversionactif (V) TOTALGENERAL(0 à V) IA Net BILAN - PASSIFavantrépartition Désignation de I'entreprise : (1) Capitalsocialou individuel DA Primesd'émission,de fusion,d'apport,... DB Écartsde réévaluation(2) DC Réservelégale(3) DD Réservesstatutairesou contractuelles DE (3) (4) Réservesréglementées DF DG Reportà nouveau DH RESULTATDE L'EXERCICE(bénéficeou perte) DI Subventionsd'investissement DJ Provisionsréglementées DK roTAL (D DL Produitdes émissionsde titresparticipatifs DM Avancesconditionnées DN TOTAL ([) Provisionspour risques DP Provisionspour charges DQ TOTAL (il) DR Empruntsobligatairesconvertibles DS Autresempruntsobligataires DT Empruntset dettesauprèsdes établissements de crédit(6) DU Empruntset dettesfinancièresdivers(7) DV Avanceset acomptesreçussurcommandesen cours DW Dettesfoumisseurset comptesrattachés DX Dettesfiscaleset sociales DY Dettessur immobilisations et comptesrattachés DZ EA Produitsconstatésd'avance(5) EB EC Êcartsde conversionpassif ED TOTALGÉNÉRAL(r à V) (1) EE Écart de réévaluationincorporéau capital ( (21 Dont -i L (1959) Réservespécialede réévaluation Ëcart de réévaluationlibre (1976) Réservede réévaluation (3) Dont réserve réglementéedes plus-valuesà long terme EF (4) Dont réserve relativeà l'achatd'æuvresoriginalesd'artistesvivants EJ (s) Detteset produitsconstiatés d'avanceà moinsd'unan EG (6) Dont con@urs bancaires@urants,et soldescréditeursde banqueet CCP EH (7) Dontempruntsparticipatifs EI Page 82 sur 169 @ Formulaire duCode N'10167*04 @ obligatoire (edicle 53 A génénl ds COMPTE DE RESUTTATDE L'EXERCICE(En liste) D.c.r .N " 2O52E (2000) impô6). Désignation de I'entreprise : Exercice N Erercicc(N'l) Exportation et livmisons intncommunautai res Fmnce Total FA FB FC biens. FD FE FF services" FG FH FI FJ FK FL Ventes de marchandises* Production vendue z I k X À F p û { Chiffres d'affaires nets* Production stockée* FM Production immobilisée. FN Subventions d'exploitation FO Reprises sur amortissemenLs et provisions, trânsfert de charges. (9) FP Autres produits (1) (11) FQ J Total des produits d'exploitation (2) (I) Achats de marchandises (y compris droits de douane)' FS Variation de stock (marchandises)' FI Achats de matières premières et autres approvisionnements (y compris droits de douane). FIJ Variation de stock (matières premières et approvisionnements)' FV z Autres achats et charges externes (3) (6 bis)' Fùr F F lmpôts, taxes et versements assimilés* FX J Salaires et traitements' FY Chargessociales (10) FZ { I \ ( .t il I x ^ J t{ z -g U Z t-. 3Y ( ilÀ xx b I a - dotations aux amortissements* G - dotations aux provisions" GB Sur actif circulant : dotations aux provisions C'C Pour risques et charges : dotations aux provisions GD GE Autres charges (12) .t â Total des charges d'exploitation (4) (II) (I _ II} 1 . RÉSULTAT D'EXPLOITATION OE 'i ? 5 FR GF C'G Bénéfice attribué ou Derte transférée' (IID Pene supportée ou bénéfice transféré' G\r) GI GH Produits financiers de participations (5) GJ Produits des autres valeurs mobilières et créances de l'actif immobilisé (5) GK z z Autres intérêts et produits assimilés (5) GL r Reprises sur provisions et transferts de charges (J F { Différences positives de change GN Produits nets sur cessions de valeurs mobilières de placement GO Total des produits financiers (V) e GP Dotations financières âux amortissements et provisions' r u u I z z ! Intérês et charges assimilées (6) GR Différences négatives de change GS Charges nettes sur cessions de valeurs mobilières de placement Page 83 sur 169 t Total des charges financieres (VI) I GT GU ! FINANCIERtV - VII 2. RÉSULTAT - RÉSULTAT couRANT avaNT IMPôTs tl - ll + lll - lv + v - Vll GV @ N"ros47*o2 @ COMPTE DE RESULIATDE L'EXERCICE(Suite) tr obligatoire (anicle 53 A Fmulaire du Code généml ds impô6) Produits exceptionnels sur opérations de gestion Produits exceptionnels sur opérations en capital' Reprises sur provisions et transferts de charges Total des prodults exc€ptionnels (7) (VII) Charges exceptionnelles sur opérations de gestion (6 bis) Charges exceptionnelles sur opérations en capital ' Dotations exceptionnelles aux amortissemens et provisions Total des charges exceptionnelles (D (\IIII) (VII _ VIIII 4 _ RESULTATEXCEPTIONNEL Particioation des salariés aux résultats de I'entreorise Imoôts sur les bénéfices* TOTAL DES PRODUITS (I + III + V + VII) TOTAL DES CHARGES (II + IV + VI + VIII + IX + X) 5 - BÉNÉFICEOU PERTE(Total des produits - total des chargesl Dont produits nets partiels sur opérations à long terme produits de locations immobilières ,r, o.", { (3) Dont D . c . r(2000) N . " 2053 produits d'exploitation afférents à des exercicesantérieurs (à détailler au (8) ci- dessous) t - Crédiçbail mobilier [ - Crédit-bailimmobilier Dont chargesd'exploiution afférentes à des exercices antédeurs (à détailler au (8) ci- dessous) Dont Droduits concernant les entreorises liées Dont intérêts concernant les entreorises liées Dont dons faits aux organismes d'intérêt génénl (art.238 bis du C.G.l.) Dont transfert de charges Dont cotisations personnelles de I'exploitant (13) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (produis) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (charges) ires oersonnelles : facultatives Détail des produits et chargesexceptionnels(Si ce cadreest insuffisant,joindre un éut du même modèle) : Détail des produitset chargessur exerciceJantérieurs: Page 84 sur 169 UNIVERSITEPAUL VERLAINF-METZ 1"..SESSIONANNEE2006_2007 Facultéde Droit, Economieet Administration EPREUVEECRITE Durée:I heure M1 DROIT SUJET DE PROPRIETE INTELLECTUELLE Les étudiantstraiteront les @ questionssuivantes: 1o)Les missionsdes sociétésde gestioncollectivedesdroits d'auteur 2") La déchéancede marquepour défaut d'exploitation Document autorisé : Néant Page 85 sur 169 I r)aul narne untvers|le-meuz faculte de droû, economre et admlntstratton 2006-2007 EPREUVEANTICIPEEDE DROITDE LA CONSOMMATION, l" session M I DROIT/AES Durée de I'examen : I heure Les étudiantstraitgront brièvem.entles frois çujets suivants : l) La perso,nnemorale et sa protection par le droit de la consommation Cette question,nenécessiteque de brefs dévelgppements! 2) Quels sont les moyensdont disposentles consommateurspour aqir qroupésface aux professionnels? En droit positif et à I'avenir ? 3) Que faut-il entendrepar publicité tfompeuse? Texte et illustrationsjurisprudentielles ? Document autorisé : aucun Page 86 sur 169 Universitêde Metz Administrotion UFRDroit Economie / 2OO7 AnnéeUniversitoire2QO6 Moster !è'" onnéeDroit Droit de l'urbonismeréqlementoire Janvier 2OO7 L'étudiont(e) troitero,ou choix,l'undes 2 sujetssuivonts: Su.ietn" 1 : Sujet n" 2 : La réforme relative aux permis de consfruire ef aux auforisafions d'urbanisme Duréede l'épreuve: 3 heures Aucundocumentoutorisé Page 87 sur 169 UNIVERSITEDE METZ UFR DROIT, ECONOMIE,ADMINISTRATION ANNALES DESEXAMENS 2006/2007 SESSION1 JANVIER 2OO7 ler SEMESTRE TILIERE AES Page 88 sur 169 LlAES Page 89 sur 169 T]NTYERSITE DE METZ FACT]LTEDE DROIT, ECONOMIE,AI)MIMSTRATTON 2007 Ll AES Méthodologie: Projet professionnel Durée:3 heures Aucun docunent autoriséni calculatrice I ) Cours z (8points) Questionl: (2points) Qu'est-cequ'un projetprofessionnel? Question2: (2points) Donnezlesgrandesétapesd'un projetprofessionnel. Question3: (2points) Donnezunedéfinition de la notion de qualification. Question4: (2points) Donnezunedéfinition de la notion de compétences. Page 90 sur 169 {I} Âxn$*e'Ssd*cnmemts ; Ilocumentt æ : fSpofl*#j Sn Imqffinïifictrtj*n à la cffiTrptrnre fêeart elTffi l* travail prs** rÉ*l oblige drit Êt ls traTr**il lqs {sr*uætê$ilsà rndâfir*ir prâtiq$**; ilEônt & treurE créerlessit$ationsq$i Ferrffiett*ffi{ds d&ry*lsppërle* dç l"ir*dividu. rùxv*p*È*ffiç*s A'Ft{ *ffiTnrnÊH Ëf,tYI0#ËRT **srery s* sdqstw dr Y**rs$wl * FurânrriÉ ds 6Ëù6 sÈfùS& dc ù*fung de{orns$oçrfu â*dres as {**tse ndoeid fu #ù çtfi{*êr* {0târri,P#. Hd&Ë hrwæ #æ#ffiper?irffrËrh. .&ffis tm&tefu r *m f*{ctp W* rmls àûGr rÉdqdporyb *f,rtgdÊf xdswçt*c*dr a&rç$ e b lbtr$stfcn Slffi cqàr €t FtN" l&Ë {trt*tdr,[ ûrxd t9S]' *cn*rffitÊ!*tl & h otrrpfun* prnr l*r *irwÈ fiWqcs tp*n*u'a firy.M: Hn*tret,I'aryaritionÉe€ntP& la rrcÈiffie $sryeffise mtraftu pnwl* fumemrs ussnrytre mrr dnn*ks fàçon$ dareiawqrædanp lw pTgiSInàeftctirres"Il æi# # nwcbrstts d$finitiaûs& ls cepêtenffËiet le* çmiçw Tti *'en ins' pireirt sont cxtr*mcmsni vsri$ss. Il e*t comadp & de{îsir la ûCItioûde corqpenfiç per ramûrt âceuc ds qt*lific*im. Quelifi{ptinnderp*sæe*qnti{iwsiçn de l'@emn qui ssqups[e pwc o*rtlûûrgery # essfuniles. Ix pw ext#fiui par rrycrt àw ryx I'm pa*rmitrylsr b fr,svail &êoriry*, famalisû par len serr"iess d'crganisatiom ou le* enry*rtsli[ #finit à l5ehaæ* lùærriæ h*a"rdr*| n" dot l*.tri.{\lïid{trd *ffiâ sm tour la ryalification uéc*wire mix @râteursFfiJx ùtcuper Ëepofitê.Ls$ forffitsr.rmuduisoÈ al*rs selùeermératisn dffi cssssitÈsresliss$purla Éclæ m ffitrsf & cûritërur$scolairesmmpf,ânt des $suirs 6idæsawir-&iæ. Ce*ncrcrh€ûched'gdêqsâûionentse$awirg et eu*p{oi* cst sociglËmsÊt ffitr€mffi€nt kryorurrk; cllc a pu:nrisaw trowillsma&prixdett#s, & scrtirdelanego*iatim iudivi&æffe,n*s*s*il€ffid a:bireirç çt l*gattnks, dexprcremu d'cn* ct de mËbilié esr les mâ$Ël# &rbs,Ëil. ne Ie :r*nrçfEçsr\elleapær& alx fmfia!*ffi de ratiossliserla confectiondcapro$arum*s d* ï'wscigmr*enl em*ssiaffir*l r*rlcs srtisulel rur fu rykiia ffiistnnt$" ûn enm*ddire aujumd'huiçt'il esÈphw €n*rmrs d6c$ræ& nno$sae& raisonner ùHrs psrgerye le ry*fu çalificationclassififfidûne*t hrcn*crotiç:c et rigid#. Page 91 sur 169 maisil a as m*ins k *q'ni {k Saff dûrJæ, *gnauesde dcs mglesfffi$:âÏises*, rycce.r borlsût d'applicati*n gÉfisr*t*"Il ne hlg ian:*iscuHierçc la cfnn*tim*m**r ô la @I** pÉge le* Bh*rf&rbk EÈa*ælt In trmspnrmee desprocessus so*iarx m4icus cdiehælx"' établ&dl**larÈrlîent L**ter dr tnnw*ai|ræ kr lddma s*rwk ra{rstrid l'd.{t? Læ nstirnsdB*o@ter*ce eùd*ry:dific*tign renvnieilt toutEsdeux âus u$âgss scciaur6r srvch, ici d*nsln d*nsinn ds mrmil et & I'emploi L.*qu*Ii{ica*ienmmwie plwfftax salminscnlaim*s suffidail pwitaltlm rye la co@m te définit plutft pertryst à I'actionconcrète,ù ce qui ëst ÊxigsdËI'upfoatempour çl'utre pmfnrrnsffi reitEx*im dff:$usêsi&ilttisn réelle-Lës diwiptinexryi€nuùimt le *nl* puyehcvail. m paniculicrI'ergor*omier lugieeklâFpkbnffiIdque duh*vsil, ant Brofr*&rent rfis{fifi* noæ vision de la pr**en:c*fuxnsiwdans teusrnil"Ë.llesrnt p*mis âux ftrrnÈtÊtmCeænsulçlerleur d*finition du tr$.f,il, x parcons$qum*dc leux pratiqm- kr meHs* en xridemê le fait qg'il æ nrffit pa*d'epplSume*ll'étut les eonsigleapaur *btenir un résulM Ën *ituatimrÉell*& ùi$eil * c'estlc feylt$tËe ditr*nsreEemeela dËSEet I'asfivi$ -, lsg isi'iffiit lc,sfcrl::trum Ès'iuÉ€rgnnom$$ resssrà I'sstinriÉde* trfimi$wrn, À leuw e&rm pour lqpe{ter les règlsEpur lè,t en cr€ard'autrÊs, adaphr,læ coanplÉtrel, irwmerpmrfnire bce à Ie raiisfoiliÉfu situntioneftnsorffées.En mmrffi rye le tavail pfi:t êûe un puissxat*Béraæur d'idsûtiÉ,prirrpËu ryt'il omrrcIx p*xsihila pslrch@nalié d'um rÊco{xËs}sffics, miquc du ravail {evecles apportsde Orjaus) a in*i* lesfwqilrs CfuirnegUe à *'intêrcs$*r aux corditionp psychologtqgssêtffiiô16 & Iamc&ilfumùncr & fi* &lliguneeau kavaitr,auFe&çotl de désignerlacom$æncehdfue si ls$d*ux ffiions d* ryatificatioa * deeon@teneesffÉémit*mïeffiUe. il rEgcintfu$setq et pûiDt& vuedç l'saâ- $w c*uwnedupair***'cæ*l* I'rctimqde les eonsër$trdisdrcte*.ïi* s*æ*t-c*qrle Fûnblefï $r*rçslr çi'iï misædw sawirs *l* ma*lrediffimæ, aryærl d* *spw;e*d* Wttnen*æt$tffimr* sri{1*prxs *rJffi$rê@ hi*r$qidxés"ûnpwr im@ *tj,ei xnçim$ms rencontr$ *e rypË de *ifnution* qu\mc etr@iæ fassetin effm imp*rmnt de quæi{{i**ti*ride *** sa}siés*l*r* ry:e '{*n* kn&æenrrp* kcmrryæxcedeçfH, qr& eÈIa eap*oit*d'ag{iffr eoï}rwtiwss *isms ænmsSX'w* @r@iml p*rk gg*Ii*etiûftet $*ailo *rrmodcd* rncil*gsm& àum*eriæ*i se*sd* tr'seÈh/iÉ. Frur ts k,willnm, le rym*im dela mis**ræ & lsrr ecohkÉisaue,'€r*à4iirede$ pr*Jit* ie$iuirss ryr"ilspurænr @rer d* {*$rÈâ:rrs.il s#r$s*el:ffÈ*le, aupeii*rque l'** p**t adnpt*rl&{irmï$e selonlaryel}e la rmna{'B$smÈ*prfuèdÊ la ccnç*ænee, gu **na où elleenc*nxçiureunemmlition n&essâirc. ka*mleirtxr|. æ @$i* *' n*Ebilicoûicrr n'ect'ôllspq:'rltls*wrffirt* *ryplàË*rÏf*h* pu*,rhsêct**ffi*Èrr? Ç*ttedcrna* d-kwstis*enr**rsrbjeËrif; d'*og$gsm*wtde lspffiftrrTsd*nssamdi$ *rtrntimeiln" in*ryi*airn-æl I* rynit*ï*" tteiïhreslxp*re dmehu***.ËlTess$iers a* pirt demnc*eæsfiR ks CIdgsrffi d* tr'e*iivi€ffiwtiæ * hs aryfu*tion* de*persffitits$, &*ir dxffffi*mge d'a*S*nr:rie,pcuu# $tsbiiiffi ffi ingnii*enccrtrrae$ûlt$âr rail*-qrim*pss rxæsimplsdemmde e emfhrt Ç"w MwnS pkæs*"imr.T, fi x-âgir iielr& m*:inspcn:rh M*s g k furs:æs erdsffieisfsûirhr ideutiÉ_ ry* deSrodniæ kr$ quûibre F{yË}d$gi$r&à tmrersteur *ctim *ctn:rixeau mgxrdd'Ërltrui tûwqrle I'suffilxrie s l"eng*gerumlt mrbjectif&vim*enrdw iqiwtims cmnmhstofuee k eff'eæpmititi; pnnrm serËtmtmeren lttrr ecnmir*. nernnnderauxperxmrnes d"imdcssi$Wisilsi6iÈe$ s$ {tr. Woviset&sv* piqucsrsricnt s(Hweffià tcs aknclonnerà h{trryrËi{strsËdÆ9|' & c8ùÉd*r Ëfi$rldê*r ell€Frnful:fs rt Àktr rmqw *c$scffirulicùa$ÉA? timsd* l'*rgarisatim dmrmffii}"S*lTicirsr â4èmsdû*nsIex nrge*i*ctionstxylcriseêe l-inr,EntiwÀcomditisn qræm scit ds$$uns eket*u*s*itqu'ilsxisrewfu.menft IsàTe*, diæctimifiËFûseperle* didgÈârss; dewir rruiâryrit ct l* tËrlail dcl er qrs lû €sk gmdæderwqpcn$ûbilie*nmxqucl"une*r afisnd$en'es{ r6*lisr*equ"auprix doune run*Bo*næir $rt; dewir effisaÏffidssfiûsjrùwfr*ihlïiw fu r*ailleur* Wi @âffi k tionscomsleiles pcam desq:rsticus Éthisimpl**&r*i*m fu **axign*aS{eisdëffx qusqssnsih]ffi amlt d fuiættis4rspffi, raisofisau rnainsfaru*bçu*le à la rwon- fuelæ. tes gifleiil&u*Ese$cft&ff een*s& *eissxnædesæ r*eli$. trjrm*tim* m fsit pcr* W: l*ur w detwnded'ixmsir d"ecsrryr* l'activi$ cstunubj* &d$ilsriryùqdif- nÉerffidsn*Ic*rrâËtâ/iÉ. IIswenauhreas" fieileà fcnrsliaer*à cwnsfuraEff$rêrsps- à I'sdi6'rn dffri*re la:rguichc lapir âu wie *tæreçpartssalarimltEndbissnt seïl- ffi. A k{hargedeksffiil,mqi{*Æptils rnesi Is *el dÉI'ae*iviæ pam.ait$ù*rnb€ffil k, s'ajm* finssrtihrdsfftr le bbs.fs'dé nr ra prmriptiorç e* pclrt plucoisemm **d$s e{S:iryrsdeæ queI'm s* eM itt*iffiiner tcstrmr*ill*m w cusd,*fu et à d&idcrdffisI* ffi e feedw" qre Êrsp srsttrs ac pusunir ârfunfi*rPËee F$ $'éffl$ctr,coillræle fffi c€rteins ntærqws, cxccdenraire dehw canrrih*ion quesc$Frssrne$ demande*tqu'on leur T*urefnis, phtsicur*dlÊnremr* modifîsat finrlds$eua gmrphædnprescrlxian* de cffi feçondeere{Éder, L{s ac{i\Étd$ iftd$s. erfu pntlragir.*rr ffiSFffità ûæ quewinn riellss ËmnI!ûltenÉ rMËptrt wclisseûte ds dBla rs*:nus.lis$imrdes*iftlslis{s dËmrçriahilitê: lesWiæs $&iËsd'esËnâstise* wit il âw xmdigmIed,leExssrriel ff puurtim {Éffi pûm& l'ffiigeaËÊdsry*alit*,sÈÈ wlt sr*ls-€s{iMfu cc}leeti*.Lin pnsc de Du sâûâd€ssËtivi*& miceq ftrwgul teffiit qrdryrieut ërTprnnffiwts*fu FEiffi aarqr!fu pm T*dinnsneimrcùmicrmell*, il ds déci$ionspersonnclles, na&rn si eltrçs estswlffi difficilsdspæscrirË ûie$Fmm Mgtrnineurns aupcrnfure, ësrn p*# l** ccaduitesgafueirellês $Ërtin€xf*s, dÊû"ârrêil pffi@r iamsbts.L€rôlëdff; A.cda s'$armrt k wigw€ e ilmbiltuÉ sollegi* ës & rffiliretdn prrysr aur dc Ia seirpd'einna pu& psr l*e effirysr$sfu 3*ks & Mde erdsrflunik FriâË,Ilffi,*fiâffià lapnlyrel*ncedssW€É- dë feirc eonsidér*eseulunË efficsçeset terur"I&ceÈceeconfiain$*a I'ilhr*ianEæle jnstx, zunroiw urrnivml *i sollffiif loeel mvail *e rçs:mÊÀ l-wÉcutirandr règlac tu&rguryprofes*iwml. on#dcaæs netiennph:e. n &t/itrt rÉces$airc derecurnnrlue, et d rnc d'wiger, quel€s herailleurssd@ tvrryrænnrmàlasftr$:kirédësds* i timg, trffiræmds initisûve., mnnonnatiscnr lessinntiû'trsdessr,sil. ft€û#sr r : @'**f-cCIgsluns ùr&ffibfisË l*r*er*cnss*n tmvtit ? qn'llffê sryffia#fiû Sù*tÈtryfuriffiffi*Êr trxva$ ? 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Eneffet qræIlequ* s*irla rymrirÉ& hfdfurr je *ccçrdeuRavxctage salarial xryl{me*diryr, j'aniwai trlujo{lrsà vendrcla mire f€$t pcur{pûi, & rwrnbs:x txali* & mamarch*rdiss nii* d&i& & penscnt qu'i[fnulpr*po*er enplcyzun *ux fïxerunpix lftfuementinf&iw aupix e$rplstr$ ue *afairssutr*ie*rau r*laire fur.rriârï$ rærsJeft*esrwl?âryr.,€r. carnne pryssé park au*e*vesr&um. t* Hllt ify d'&*ilibreds maæhd" ad* exryferæser chir derJn$rnrys æla wuslel ior,rm sw k marcldboilrsier fxr'*f**aie,r'ffi,?Tff€nf lorx& lagroncb qui n'est rien d'autrequ'u* mamM d$æ**fun dmen*k trrenle. cc*eunentiel & grande din'ensian. QtæT c*it le nonrbre vm & aetia*s, væs rye I çffic[ Affir.ûf.tes[ nw ænp 'rsrdre tnujalrç arfwee à les enkissa*t If y a &nr {rnss*rtn& pruæssur d* ble-t"i!,u* bo*exervrple ll y a Qalerneru légèrwnelrl lmnprix. ræfrOnnrgnent I de*qnl* & vari*{i,s$ dr shemagû" ûtr qtles i**pa.ldar* dercyclereûrnrn*ï trfmfifr Âmrcr. 0ui, c*r la qrrele nr*r" Cstnmentcela t'qpptrfqr€-t if as câ& ciaux,eEquisemhkindiquer # cecçalci!"ffi ccnrr$mrce dtn&, c'eçt clÉn'estps le$ul él*mcr*dguiaeur" 5i qu'il y plus ta avoir de ca*di&* que# c'Était[ecas,le n*nbre& deri]êftdeir$ fune despineipale wlsn ts pc*esdi*porribles. * Cfs*srÀ{m"frr.$î vm*speruez d*mplcitquid$inltIechfunage raiwns effie ln$at$ær dcrs*kires,c'mt & re v*r$er*itpa* &nsde quek rn*rcfÉ& l'ernploie* trk con@ tâÀ$rûryûrlrû€ntl l'ini€ffnaliffl asTn'Étriqua : feserrylaS,eun Lespaysanr vmdent titY,atætbeaucoup d'r:fùeuretbeaumup teflæprryo*tions. peuve*t ns pas le ert tempHwir ceque I'es$€fiiiel de leurpruduede deman&rxs, vçrtsss€r aug*idaviç gén*ateme*t a*6r [email protected] ne peuvartpas trû$ræl Icu.faurs un tionbienqu'ilsscien{untôtsatisfsfu ryruneh8neurperut tualel*ertlesc{${$[er.À{aisen prop* derprixqtlilsenretirent rersitçmprfuntio*s emplols'il sâlariâlm inæti$ai$ sânt unselaim ph:rdevé,ilsæw*dque à labaisse, ll pe*rt r{âlement y parvenir en leurs*mplE&onti*Éê{ } ævaillerdur. €iantnreir$exigeant *ur NesmndiËions e*rs'ikefwrt pr*rdreenfugantdélitrle d"erryloi. e pedn bexuenryl'inionrxtionayt?*tnq$Èou la tl#orie pr*xe, i[sri*qrænt ûCfuvr"asste ce *blrqge ll y a & nan&æuseç eryfrquerrt+lle au*esthenrie* SeJs# me #r&flesije n'anw pusàouuifivolonhirs I â partirdu rmnt de salad&. cofistrui&s ler derqplâ,e'e*&nr slrcplenrevrtparce Ëlle* rftûfltnentque & rlorrlhetn qæje dwun* try darpm f r Çmx A,Ënmr. Àulourd'hui, à bie*ré$ihærleurs tiennenl la emplcye."m pcilrcipleeçlieatio*du *r&nageinv* xlari* pourç'il* aientle nmral,peur I ç***cËÂmro$.C'mtparceqre lon*iæ.æ mff lw r eâlaircs d$cienbr, quils soientfi&les * lel.lr€n@riæ d que;e ar parce ls funâne ropd'mgent Le m*KlÉ du rav'ai!rn fan*ionoepæ q*'ihravail[ent bie,n. Ë1sksûilven[c'es sris tmp enlpant *..r les effiditiûns comnre le marel$du bléparr la simple effeqti,wnent y abeau" cequisepro&it 11 d'ernpbi. raison queh travail plai&ntes favsur esttr&dlffererrt dvblé. coupplusd'uernpÈer Ce*'e* Fs perceqrlek Snsisnt phy- & ce${dffies ryr'enfavanr& tathdsrie pariai$.Dan*gmquebtn les tv p*ræ#is m{5$e r0û}€?pædemd- siEæmmtpre€n$a* &avâi[qrlil vont deenrareh& ârJtomâtiquem€r{ Favaifkrdur. lls ont nnardriç dubavail,le*erployeum pnp* fi8#ffi, koin d'â:enxttives. Ainsi,prr buh cefltds salaiæç f& dirorefiepff.rr& f CffiçrÀmor. Toutâfaii...Cer- urcdrie& raiwm,le*ernpbpunpaient emplok apnansirnilaircs. 5lunençl*ya.rr fain*crrplaissontplu*dursquedauûes. leunernpbyeplusquen&wsairesinple- paie10doltartdel'hsuregw.runemp[oi Page 93 sur 169d qte pcurle r*êse gpe d'erp[oiun ûansun empfai,il y a deuxclmseç : le nr*ntpourqrlik viennent *t pur trarailler sal*irebLn Sr, mahaussilescorditionç leurdocrrrer plu* auæerryloyer.tr peielû d*!lars, le moral.Pourtmvailler eedernier de travail,le lieu& travail,f'[nti&fé dur,leser*p[oy& & oflthffisiild'incitatiors. sesiber:dcessairerrner* au-dm*us & pix I'ernploi, dc. le *ugg*nela dd*ri* dm d'équitibre $i, cexnme d* rnarcfNl. stËlt præl**ti*xt, cw lx prixet i*ç*ôlaiffis &ns ch,lngenæ*t L'n fie*bl€s. mmlernsfit dl&re**du ffirtâi,Ts ry,rÊ i vrrussrrydm-l xr lcs I csq@rnentdesw@re rcs#r{peif" k pclîtiçrenwr{girew r{per*r:ie damles $a* prix * le* saklim$elacts{Tt*fit &nsI*##nræ **putpnr* eær:nS i *u ef***rryxr" n&clavsrque I r*rnlqu* *l*nes p'*lB*ltit**" Âin*i, lif]€ silSlll€ilt*' m*rrl*tniæ Ssn&5 Yo$*Ë*masæ Pod*ha salaimç et d*s fu 5 dæ r*** *ilgrrïât?*tim S* *ombt**x * Sfffi Awrs, patëfltdei salair*s iupéneers despnx" ernpioynin du marcid,ce qui *k d'agànleçrcurelln*ct#sris surle zu prix& régulaticn €xdrryÊ$e*æ**pt & ehôinaPisw{*n- ch*enop,lesç*l*lre*et lt* prix p#lil*tlt enei{etde*enFeil ?aunait sabiÈs. il t s desge*sq*i efurche*t rest€r tÊirË. *qifisi, i*dÈitrrent*à prs$4{r€ u* wnpi*ibienpayee quineævlectpæ Fn$c$ri $€raiffit detlalai" * r:rr*'hausse plui kr lls cnt rarso*& uraeèa,issc'ce*$*e dun salaire ç{Tt*âbNidessalairm puisq*'il*n res.te* e{rû€#së$ nchwlw c€Î?Ti*d'enryl*is ineii{&hetTïËs rirarginalemcnt et epdrna **rlt Exi#, n$medit* *escntpeut4*ebes*in ou despix. variatisrr sal*ire* d*s ir'!. à $.le dun pal de chan*eWr ** ilçiJYêr augn**g en m*n€laire éIev*cræundésÉ" WlH sik nra*se dssôlsires L'exirtence fornæ de pareise certaine uæ suppmant ["cf{re d quilibreenF* la furand* ces **trryrùses, salari* de qælqum ehea dtrnpfsiscsllec-{i{urûnI{e*&$fêà mainwtircm Ce sal*lm*x,r{*s p*x at nn*lwrtlvEau' là & auglrlslltatiûfl une qui se trdrira ,rrl Fôr fri{ irTlpfi#rê-{trylll *ris# teris#ri la masæ mnn*&ine exr rd*lle, dcrnande eldrnry r'ffi,&fumirul patripprt auniveaudes auraaugmenté elursdun surpitl* I ûffaec A**mr" Sui, prnfuabl* prix.Læpns dî*pcsant aurantder.rx en banque leur ccffiSe ss meflt dav*@ede ds$iûrts:soitilsachèter*nt scitils p{aewen{ hlen:d* cftrsftnmatictr, cas, la 5r,ræruneIep$endmt lw * r&rv*aux cet âqefit. Ognsh Prer*ia Dam aug*e*rei*xn#iatement. clësiryrs r, & ch&na6pinwfcn*ile dennærub pro*utcr* d'int&êt lc* taux le dnuxiè,nre, cleer pa4,orTpeurtdftrrrr*fun'nn* n'eris{e & uneaugfnentâtiffT dauanmgeeryfu,is $ô{E Prs}qt,er quant egalefnent dinfratiar,ye rupe Marsdil exr'sfe iademande. qrdlm peuwt é{rPk i,nPlir*bm e* d*npl*i I terme & polinQue d'abM I flffiEÀtffiræ. Parls*s smde quertionqilewusavea d'un*eut*e næ&h *fo. du vfu"Unedcgimplicaticm neiniryenfula:*iq:s, CesS,æla paliti' pæstabili*r ryrcmon&irer* pwt mSnre l'fuilonrie. lathésie Dans r CEffiÊÀ*iËm.#. n'a la pcllfuæmsrd&ire drclamiqre, sur absolumant r*cun&l sab{lisant la * ftw&n dn meruhtdu trnvsil fgpufu*rJ I ; Ëxpo*mI* ih$erfukeryn&funue r ftc*Sun 2 : Sxry h *Sorfu *krnige du mrurùSSstrnvafi"PpûEsj * Qad*û 3 ; Corum**t*t dfss Akar'lsfv1f&vfude*ædffi efur*æ t (XWtu&/ Page 94 sur 169 2A0G2007 UNTVERSITEDE METZ u.F.R DROIT, ECONOMIE,ADMIhIISTRATION A.E.S.PREMTEREAI{NEE DE LICENCE DUREE:3H TOUT DOCUMENTAUTORISE. METHODOLOGIE ECONOMIQUE ET SOCIALE VOUS AYF,ZLE CHOIX ENTRE DETIX SUJETS: SUJET 1 : FAIRE UN PLAI\ I}ETAILLE A PARTIR DU SUJET ET DES DOCUMENTSFOURNIS. RAPPEL : UN PLAN DETAILLE COMPRENDT]NEINTRODUCTION ET UNE CONCLUSIONREDIGEESAINSI QU'UN DEVELOPPEMENT SUCCINT(PLAN ET IDEESPRINCIPALES). SUJET 2 : FAIRE UNE NOTE DE SYNTHESE A PARTIR DES ARTICLES DE PRESSESELECTIONNESPORTANT SUR LE PTIENOMENEDES SOLDESEN FRANICE. PROBLEMATIQTJE : INTERETSET LIMITES DE CETTE PRATIQI.]E ECONOMTQT.JE. CONSIGNE: DEUX PAGES. Page 95 sur 169 tt) r & â ! Ë E â I r 3 a È P !. q 1 Ë _ô ; $ q F o ËEË P 5 3 o. 0 0 o t ù E I a Ê Ë a E F t I E N o i3 E 3 o F r FË FËËgË FËËiËË -É.3r l* ËËË =.3.ï.â Ë--5-e gg-:u.Ëi.l e*Ëi É È--l-e .H.i.Ë H.i.3.H É-.Ê.ragHË€ = .É*.s s.ÈE.i Ëu{r *.ÈÈËË a t s.I.É-H t.*-s I æSs;-e ÈËE3 . : ; {âi-s-ÈËu-lre*ËË Ë I .Ét-u e.n e.Hi.i i u.â-s ËËÈ i t 5 .È seËË Ë i-sËr-Ëg * æ-:-s i-Érs€**Ëe-ietlË Ë€3 3 E t I a E o ËâËë 5 g= T G â E t g Ét ilffi ssr i 't'lçrq!çgi10iawier..snenF pqtldjise,F.**F.H*trunééngn . .:l : '-.' 't -'. '. ' " ...i, ,, t l,'.', i,' cûrnrhercialde plus en plus prisé p.arlés qongiÉtmt€r.sq it .;:I:' UaperiO-ægénèrepr& Oeôo,ntfuarOs,ætarrçç Oecmru ddts fhab,fllenrartet iia.:a:a::::: 1;::,:,i;:;;,; çfi'ndled'a.ÉÎs lfPegOecomry D,dji-ôn ûu ruittistère_ llr';i.r:r ;.{t U tAmr. Oæ.1,-*.,,*#' .gsrqstiôtr' ''i;f-ûÉF' F,i du i ' ÉEq$aeç!",,sîry ! lous"l.os..1+sfoAjqde sutrtil$ vsc h, ifr*'.#"Jç{+, :alt , 1@4ié.p, ,Sûpte,'r[+$: W4@ th.firÉÉie,. an@"i;2$'Sqka<lsi{4*i4tp{rt ,,:tr;oÈisir'ffib. * çâsjtgrp,tqL,r{4$4#.jfuæ de.{tÈs.qgnper , pourtaiseicotrfftcrlçgsafa1iés,,'@foS,'C{r autrldesapné6un:Fldezrv<ius f{qg4mn4lp,tses; ' de plqs en e1 plus prisé des des magaqiris.ép-ises,apresles: æâqs:p!utôr'st:æ@ant.eg5ç 4â+sp!ute4r_ææAantr!+ne 1 1S,ptf,*'< etjt.ryt'_$ lesmâgqûiF.@r{sés,apresles: 'été pas ' Françrs f)epuis l | 999. fiêtes. tnp tard. fnttr perrtqt- iragrtsi'oo otsqfye ru airec' i ". chagueffiodetlesoldesbatun treauxclientsqui<mtbenéficié teurgénéralde-l'enseigrte.JrËl i . i': r-rouveaurecord. node Robert d'étffiftes de les.dépenser.. . ". Mo..tna, . Uo" er,otorionqu'a alimen- . Rocfiefort; du Crcdoc. tæs La p{ti<xfe des s<rdes.historiventes sônt à c-haquefôis eit quementinventéeÈourfaciliter té€ . lâ pro.fesion de ; , 'hapdleqænt,en:râçc6urcissAttr âugrnÊol4tion@15%àm% dêtôckage de rrrarclrandsqç f'hib{leqæU,en:racc0urcissAttti Fdéstôckagederilrârctlandseç augngot4tion & 15 % à n % le f I r , prr Iapport,à I'mnée. p{gé: r0vçtd{e$-pfirr llesseqtiel des ss syçlf6 de fqDriçatioÀ : " Il i ;' .y$Sis?$:-estGômaisr$r: t? à gp1igpfierii.piusde i @næt?" - , ' ,::.:, .qSbls-lui, qdeuxF.raqçri-s: stodrs .$ffiavoæstraÉe-{c'l9trurlçs -ar6,i5ut,?#f-1!3 i.#, .ffi ,fu,,**,* ffi;H trx'È qt. yê,en aqi&nraes:i4q.tôt .irlsùts alp,efiàussns.es ,yée,cgæypp,:elb,@&.u0 nnajsçite'" tuâjouté;"dç.s&dlrf1gî:4dtr.tôr frBtts 9t, @,1. 9t ile,:of-r{usarcr ildr i , ' tlenoias de25ansôùenft 45 gêÀéré enFe55.pt(0:milhards .tn$lJeqt ne$., I plustle-20 % du ièl:n'ertI er.f$aos,qui habiËrttdansles defraôcç.sôit xê-i villes Au total. huit Français chif.fre d'affair€s . annuel r. ". surdi1 profiterontde.tapérirde souligneM. R<rchefort pour faire de bonfresaffaires. . selonnneétudeC@oc.<Nous (LINVERITABLERfTE suivons lès cdùsorflrhâteursàu $ôCIAI , clieft n:a pas llimpæssion de i âir rabais. , , , t'habiller M Rochefortyvnit qême < un trérttalle rite sociàl ". qui d'a$ryrctrir les les .ÈeqËæiait d'a$ryrctrir .ÈeqËcrlait lâ q de la Rgfænre-VnrcnÀUernagtea , . Aux ô*teries lâfayette fr$$il-is (le " "rilPàbiliÉ "rilpàbiliÉ t lè grrÀà4-qagàslnr.Sgqç!é rS.-trælle gq:il$ gu:il$ a0rrqi9||nçnr en lts.lie la-Fr,ânceest laflus :IlqFsçl$qtp'fe,*çiul'trqgi.in efireienncnt qrt,"t+ind'.oeae ifûé. û.9,1Ê,rt F,r.i€!$rfl-.æ.r{egs:Unç::f jle.puverqe-enues dç PàrLs. mfnt:assrnrÏetôtaleflÊÈr lê fâit qq$njiùtiiÀlede.q&qttcfuiëe. i. iÈiàbt,futirtr n2;, nat4apiry ; dês,. saHei, ,, Sg4!iCp,i . 'lr,[ !ûonet Questiofrûp.sa.ûté! dè ( ééer un @&rûeàr crrtrmercial. corhmê à tnoisiOursi début ocfitre, au cens &xiueh'elle . < p(ddqe les rabais auec [scsJ foamksc*s .'. Qlrestipn tle',. '.t5'%. .pQtt1renotfwler sa rneunrcset,dtqrticl€s lhaisoq ', C-eslqpt spra .::ii-ËffiffiË,i+*r* '' ê"ti:p g1glgtlrinlfreç.: ' €dojdr- Enri.qn 15 *.6 i'ggrré 'n#*''' 'slxls py i cent Deioedp voir,les Oeublesà objees€û srôck 'S6 4;|, ' .qii0tttqold&avædesmbaisae elilserlry i ffi r4-;ff,,i ..'Je',::i Page 97 sur 169 : ' tt',t,,''t ,i..,r...i, È <ol iFiFasis=îe sf |(D d a E o (D F} s3 ao CL (D o Ëoe Ë*âËËË ô-3 tt3 gR 3F ss. ËÈ a:i @ . 3EËsËEaeË3a ô-(Dd--@;i=ïÉ=XË 3Ê8gA=E-!1;s* Ë g = Fs: 6= -t o ô= f io €= E @ È * s s o. o ;' E iiialilË 1ÊÉ Ëiiâii$i:lÊ .6 ë;ËgË*ËgF 9,o :^ D ê ê n CL= 8d I ô D ê = (D ô -all. I F iiËâÉii |É, tà It t; IE lo t1r" l.â ID t^ ID lD i9 o a $ =$AFr;e âËg5:Ë# F: o, l oj a' o: o' o) cÊ-e Ë * 1 8 4 " € Ë 3 . Ë e o e:-=i-EE gq sEFâg 3e F tail - s u â P J - - oi ol 3l o 5'i = . 9 P o U' ='j o v ê É É x(D Att gËiâiiiFiiigËâ i;âliËËl iâÉâËËiâ iiâggr' sÈËiïiËËË È F'ëË;Ë F =tr $'=Ë3 SF sggFgE*Ë9+Ê ô I' g5F:*'-.3*o-si SË ' rg ËËu*uFggËg sFËâF $Ëg o or * sS =o È3- (D 3 E ââËF ËËFËigiËgI* Fg ËF$gF âFsë rËËË ËBE;-= FF $g gggiggggigig gei FËËr #ff5ru FF ËFg* 9eôs nilo f Desrèglesstrictesqui n'ernpêchent paslestrieheries . t,E pRtNctpEd'une date unique tlans toute la France a été maintenu cette année à la demande des organisntions pmfessionnelles.qui souhaitaient tirer le meilleur profit de la période <les fêtes. mais le déhur des soldes a éré avancé <tc cinq .iours. En 2QfXt. les commerçants avâient vécu la prcmière quinzaine de janvier comme < une traverséc clu désert $. avec (!es clients qui ( lournaient autorrr des rayons sansricn acheter ". Au point que les res;nnsahles de certaines boutiques s'étaient lancés dans des opérations de ' promotions sauvages ou de ventes privéqs, açsimilablès à des soldes anticipées et passibles d'amendes de 7 600 à 1.52fi) eums. t-a direction générale de la conoutrence. de la consommation el de la répression des fraudes (DGCCR) avair ' relevé.entre le 3 et le.l4.ianvier.un raux d'infra. ctiôns de 12.h exceptionnellementélevé par rapFtfl aux rnnées précédentes. o l-es soldes sont soumis à une législarion stricte âvec pour obiætifd'écouter lqs invendus de la collection d'hivcr et dqs années précédcntcs. C'est le seul moment de l'anné.eoù le commerçant a le rlroit de vendre à perte. l.,es aficles doivent êlre cn magasin depuis au moins rrn mois : il est interdit de faire fahriquer des séries grrrr la circonstance. Il ne Jreuty avoir dc éassortimenf. sauf dans le cas d'un stock tlont une partie est entregrsée en rÉserve.ou dans celle d'unc chaine de boutiques où les marchandisespassenrrl'un magasinà I'autre. certainsarticles.mais ildoit aflicherclairemcnlce tlri cst solcléet ce qui ne l'est pâs.et nc pas nÉlangcr lcs <lcux types d'articles sur les mêmcs frrisentoirs. l,'ériquctageesl réglemcnré: le prix rl'nrigine el le monlanl <le la réduction doivent êtrc clairement incliqtÉs. La démarquedoit lnrter le prir le plus bas pmtiqué le mois précédent.ll est interdil d'augmenter le prix initial grur prruvoir afficher un rahais plus imJnrtant: cette tricherie est couramment pratiquée mais rpsle difficile à prouver. Si l'article soldé a fait l'obiet d'une pmmotion avant le l0.iânvier. la réduction tlevra ôtre pratiquéc sirr ce prix. o F,n cas de pmhlème avcc un comrnerçant de marrvaiscfoi (opacité de l'étiquctage. mélange d'articles soldéset non solclés).on peut s'adrcsser à la DGCCRF. uN ÉTIeUETAGENoN Éqrilvog[r_ . l,e commerçant ert l.itre ric rr trrkr orr Page 99 sur 169 MichaëlaBohasch It Monde e Q u at, t ltt 6 :J ô F $ È i g It u lt, È F a È f ô Ë FÉr<lc tu tl F dD -e.!, a dÊtNJ . vv.e d t e-t lF -l'q ëôË6' o-'o X-aÉ.@ Ë T Ë :' â s $ "lF É : â fl ô Er $ S o o n 1l F lfi zz to tà lm l= tà lr l= = o 1l z o ï tr ï n tz3 ll!2 I l^s B lnÈ I?H Ë o F z nr m c z m 2 lilË l{ H Ë Ëeâ $g$ à $$:-Âî.FH: $qÈH: E B1ê sùÀ---------:-dH s Ë $n?-Ê-p E,,r$â Ë F."srsP $it++ ïô rsrg $ iùr Ë î E i g[ Ë$ â=gâg i Ë TsÉ iâ lÈ t$ E $ i Ëe{Ë-*i $.8 EÈ EÀEË [ui* Ei s*Ë$$'=Ë $'-Êg â Ëi Ë iË ËiËËh âE âsËà s,u iI liiÊrs F e Ë $ FËÈâËâ'iË $ËËËgiËrË$Ë : , ! . . ., . o, . olF N,:- .E Ë ô s È.'l € r ÀEs $$[ lgil ulgH IuI ËlÊF g r;:;eâHlËËF$lË: FîFF gEËËX$Br+ Ës ËÉir ËBË ËrFËrËëËreë B $p9Ë EE6 $ E Ë ÉR * !'.)s-e ë rË *F g'* E ÊÊ E $Ë1 Ft5ËËâ Ë tF eF;"= sg A i8Ë :g $E H? [ ;'; g ;tr sô eH Ë' ' â FË, Ë 3 Ê; Ë tFÉEâHt€Fis *$'=E ÈaÈ" i$ËFiiÊi FE$ù Ë*F5 ;Ë'iç â€âEsËâË$$È EP FË ËE Ëa:$Ë +i gt =Ë HE -* "-R *En ËË Ë.$ E iF'*, ËË *- Ê 6 ' r sË ea s X Ë E *=ltg rs i$ii[Êâië†R$$ ât ;ÈëeËeËgËËÈg*rËsx:* $Ë $ t +1t* igË3.$ i+g $: i sÉ sHÊgâHè rs sirË=$ËË8ï$"-$ $Ë$I.l Ëçe g odPÊ esçHssE sÉ.ËlFgE P s ss'se3.ëFâli tJ UNIVERSITE DE METZ FacultédeDroit, Economieet Administration Licence I - AES Cours de Mme ACH INSTITUTIONSPOLITIQUES et DROIT CONSTITUTIONNEL janvier2006 lè'"session, Durée: 3 heures Les étudiantstraiteront I'exercice suivant (voir au verso) Documentautorisé: aucun Page 101 sur 169 Cher(e) ami(e), Après avoir étudié quelques annéçs en France, je suis retournée dans mon pays, I'Etadâme.Ici, les spécialistesdes institutionspolitiques et du droit constitutionnelne sont pas nombreux et les manuels sont très onéreux. C'est la raison pour laquelle j'aimerais que tu m'aides à trouver desréponsesà mes interrogations. Avant tout, je tiens à te préciserque la documentationdisponible ici est rare ainsi, je ; souhaiteraisdes informations précises. N'éprouve aucun scrupule à mon égard : plus tes explicationsserontdétailléeset argumentées, mieux je comprendrai. Je vais t'exposer ce qui me pousse à te demander conseil. Les autres habitants d'Etadâme m'ont chargéede trouver des solutions pour résoudreune situation préoccupante. En effet, depuis plusieurs mois, l'Etadefait menace de nous envahir. par conséquent,nous avons pensénous unir avec l'Etadesanté et l'Etadesprif, qui sont deux pays voisins et amis, pour lutter contre ce risque d'invasion. J'ai quelquesquestionsau sujet de ce projet et je te remercie vivement pour l'aide que tu voudras bien m'apporter. Je te prie de croire à I'expressionde mes sentimentsrespectueux. I' Je crois me souvenir qu'il existerait deux possibilitéspour mettre en æuvre notre projet : la confédératien ou la fédération. Peux-tu me rappeler quelles sont les differencesentre ces deux formes d'association? Est-il envisageablequ'une confedérationse transformeen Etat fédéral ? Cette hypothèses'est-elle déjà réalisée? ( 3 points) 2Il me semble que Georges Scelle a dégagédes principes importants quant au fonctionnementdu systèmefédéral. Au cas où nous opterions pour le fédéralisme,peux-tu me dire quelssont cesprincipeset commentils sont mis en æuvre? (5 points) 3. Lorsque nous aurons pris la décision de nous unir, il nous faudra élaborer une Constitution. Peux-tu m'expliquer les différents modes d'élaboration de la Constitution et me précisers'il est possiblede faire participerle peupleà son adoption? (4 points) 4. Nous pensonsnous orienter vers un régime parlementaire.Il me semblequ,à propos de son évolution, on parle souvent du passaged'un régime de type dualiste à un régime de type moniste. Qu'est que cela signifie ? Qu'en fut-il en France? La GrandeBretagnea-t-elle connu une évolution comparable? (5 points) 5. Pour finir, je pense qu'il est indispensableque la hiérarchie des normes soit respectée'Quels sont les differents organessusceptiblesde contrôler le législateurafin qu'il se conforme à la constitution ? Lequel aurait ta préference? (3 points) Page 102 sur 169 a t\ C' C' GI ! e a E o a o (, { o E o ! Ê 3 a a a |F -I a ! o o ? 3 I o I o at q 'C) E a 5 irl {) tDl Êl \JF F Fl^ n ' is$ls ll"-n qi8$i E?u'rr'n-n i { r .È { if f$f Ë r' ; $Èi**i 5 i( x €ËËËË*.ËË r o æ l.) o ral ËEqqqq f, i'r-r;'r B Eo? >() fr >? aio s o t ç tiË*î "a6ssg$ trt qt CI !û Éq o oç -e€ € ^-g o j316 as'ËF.EI' Ë.8-3AA FFaE ;gTB 'eH ËË€ E 'Hl .E ElË o I I E E ! o - G Ê È E lrl I uËËr* o o Ê c ! g â E o 2 €Ë ÉsËrg11Ë EE ËËâ ËI oËEËgâËË Eg'€;:Eâ'uHE Ba Èn, 6Ê p.E a|t) Ë8J Ëa Ë 'ggH s y j* ËË€ir e=- ËËgiE o t ut a o ({ ct âËË,Ë,iËgeigeg ËËËËg _,ËË ^t x Ft Ê çs.:1 .^ t; =l _É': : Ëî s .Q. Ë86{,EA:€ J| s I 9? q I t t I = CD L € I --I Êt L E OJ C. --t Ëu) q5 Cl r- 'F o r = lftt E- oJE 'Ë c: Ëoo È-E= OJ qJ \CIl J-t l1id -Gt EL {JJ \o 3l€ Slr <l 3 L o È .to Ë Ê o t c L t o I I ËliË ir â.ti Ël Ë ga t { E 5 Ît L : ;E I l-c â o E Ë* € C 6 $g Ë,ËËsg E 5I8 oo 8Ë E o t I o ËE aË n 8 EO sË eg Ët;ËËiËË È-. ËIËËEËËIE gËmiÈ,âf ggai lE +....6 EÈ ;I EË:EË€È -21 â H € I - FIËiË8fl;EË L o N F s oo = o il t E rU C5 H o J r - E o H E,jt .rl ! .I o v, o u, CD âii Ul ËriËTqlss B gËËËâËËË ..9 e6 o qt !tc F - ? '=- .V l|: o ft E I g co .E = fi''g € UniversitéPaulVerlaine-Metz Facultéde droit,économie et administration HISTOIRE CONTEMPORAINE LIAES Epreuve dejanvier 2007 Durée : lh Aucun documentn'est autorisé Su j e t : Lespréoccupations de LéonBlum dansle premiergouvernement de Frontpopulaire. Page Page 104l/lsur 169 L2 AES Page 105 sur 169 FACI]LTE DE DROIT, ECONOMIE ET ADMINISTRATION 2è" ANNEE A.E.S. 2006-2007 J.R. Nlend EXAMEN DE DROIT COMMERCIAL CAS PRATIQUE Antoine,né le 17août1945et commerçant depuis30 ansà Metz,a brusquement décidéla semainedernièrede prendresa retraitedansun an exactement. Néanmoins, il se fait du souciquantau devenirde son fondsde commerce. Il ne décèlechezaucundesesenfants,uneréellevolontéde continuer sonactivité. - II y a d'abordMarie,née le l0 mai 1970,qui a perduson siègede députéelors des demières élections législatives et qui ne rêvequederetrouverce siègeà I'Assemblée Nationale. - Il y a ensuiteJoseph, né le I I mai l98l et qui, attiréparlæ soutanes et lesaubes,estdevenuprêtrel,andernier. - Il y a enfin Abraham,né le 12 mai l99Oet qui a étéémancipépar sesparentsla semaine dernlère.Il en a profité immédiatement pourrevendrediversobjets(desbijouxde luxenotamment) qu'il avaitachetés pour sonpropre usageet qu'il a revendus car ils ne lui plaisaient plus).tl a empoché au passage unesommeAeZô.OOO. Uâis,it a aussi,avecI'aidesonami SergeHOIN (né le 13 mai 1988)achetésur e-bay,ceci dansle but de les revendre, diversbiensqu'il a cédésà sesvoisins.Ils ont réaliséun bénéficede 30.000euros.Cependant, les adultes auxquelsils ont venduscesbiens n'en sontpassatisfaits. Ils ont saisila justicepour demander la nullitédes contrats conclusavecAbahamet SergeHOIN. Quant,à Mme. Antoine,qui détientla moitiéde ce fondsde commerce, elleapprouvela décisionde sonmari. D'ailleurscetteretraiteleurpermettraenfin de faire touslesvoyagesdontellea élé privéeduranttant d,années. Antoinea troisautressoucis. Il estd'abordsoucieux car il saitdéjàqu'aumomentoù il arrêterasonactivité,sonfondsde commerce auraune detteglobalede 80.000eurosenverssescréanciers. Parmiceux-ci,setrouveJoretapO, le propriétaire du local danslequelse trouvesonfondsde commerce. Il lui estdû une sommede 5.000eurospuisquedepuis5 mois, plusaucunloyerne lui a été versé.Il a envoyé,la semainedemière,unelettre avecaccuséde lrecommandée réception) à Antoinepour lui rappelerque le contratqui les liait estexpirédepuisl an. Le fait qu,il soit resté dansles lieux, qu'il ait continuéde payerles loyersque te bailleura continuéde percevoirnlavait aucune incidence sur la fin de leurconvention. Comme,en plus,lesloyersn'étaientplusacquittés depuis5 mois,il lui demandait de quitterleslieuxdans6 moisexactement. Il estensuitesoucieuxcar il a reçuunepropositionde Michouqui souhaite devenirle seulpropriétaire de son fondsde commerce aprèslui avoirverséunesommede 100.000 euros(valeurestimée du fondi dè commerce par un expert).Mais,cetteidéen'enchante guèreAntoinecaril saitquesescréanciers prendraient alorsl'essentiel de ce montant.Antoinea demandéà Michoud'établirun acteapparentcomportant commeprix de la vente,la sommede 24.000euros.Ainsi, il percevrait de manièreocculte,les 76.000eurosqui restent.Les deuxparties établiraient ensuite, un actesecretindiquantle coûtvéritablede leurtransaction. Il estenfinsoucieuxcarOscarFACEsouhaite aussiconclureun contrataveclui. Mais,OscarFACE ne veutpas devenirle propriétaire du fondsde commerce. II veutjusteI'exploiter,en sonnom,poursonproprecompteet à sesrisqueset périls.En contrepartie, il s'engageà versertouslesmoisà Antoine,un loyeraeI.OOO euros.Oscar FACEavouene pasavoirde I'expérience car il sortde prisonoù il a purgéunepeinJde l8 mois,dont2 avec sursis. Solutionnez lesproblèmes queposececaspratique. Aucundocument n'estautorisé. Page 106 sur 169 UNTVERSITEDE METZ ËACTJLTEDE DROIT. ECONOMIE ET ADMINISTRATION ANNEE UMVERSITAIRE 2006-2007 DEUG AES Cours COMPTABILITE GENERALE Durée: 3 heures Documents autorisés : Plan Comptable Général et calcalatices non programmables sont autorisés Les diférents exercices sont indépendants Le détail des calculs doit apparaître sur Ia copie Le numéro des exercices et le numéro des questions doivent apparaître sur la copie Sur chacune des copies utilisées, doit être mentionné Ie N" de la copie/nombre total de copies utilisées Page 107 sur 169 EXERCICE 1 On vous fournit ci-dessous : -f -'f La balance avant inventaire au 3 l -12-N, Des renseignements complémentaires relatifs à I'entreprise GRAND. Balance avant inventaire au 3l-12-N Capital individuel 179000,00 Compte de I'exploitant 24 000,00 Provisionpour risques 2 400,00 Autresempruntset dettesassimilées 40000,00 Installations techniques mat. outil. Industriels 95 000,00 Matériel de transport 50 000,00 Matériel de bureau et informatique 12000.00 Amortissements installations techniques mat. et outillage industricls l0 500,00 Amortissements matériels de transport 43 750.00 Amortissements matériels de bureau informatique 5 040,00 9 830,00 Stock emballage Stock marchandises 87 400,00 Provisions pour dépréciation stock marchandises 8 200,00 Fournisseurs 16000,00 Fournisseurs - effets àpayer 4294,00 Fournisseurs - créances pour emballages à rendre 4 130,00 Clients 20 965.80 Clients - effets à recevoir l8 956,00 Clients douteux ou litigieux 5 62t,20 Clients - Dettes pour emballagesconsignés 2 720,00 Etat-TVAàdécaisser I 000,00 Provision pour dépréciation comptesclients 5 600,00 Actions 4 138,00 Banque Nationale de Paris 3 456,00 Caisse I 187,00 Provisionpour dépréciationdesactions 234,00 Achat emballages 6 83s,00 Achats non stockés de matières et fournitures Achats marchandises RRR obtenussur achatsmarchandises Entretien et reparations 26000,00 621489,00 2236,00 Page 108 sur 169 t2 424,00 Primesd'assurances l0 142,00 Rémunérationd'intermédiaires 8 420,00 Publicité 4 200.00 Transportsde biens 10714,00 Frais postaux et de télécommunications 4 100,00 Servicesbancaireset assimilés 2 380,00 Autresimpôts,taxeset versements assimilés 25 459,00 Rémunération du personnel 30 000.00 Charge de sécurité sociale et de prévoyance 12631,00 Chargesd'intérêts 4 554,00 Chargesexceptionnellesopérationsde gestion 2 000,00 792981,ffi Ventes de marchandises l0 747,00 Ventes d'emballagesrécupérables 7 126,00 RRR accordés sur ventes de marchandises 456,00 Revenus des valeurs mobilières de placement I 125158,00 I 125158,00 R-e-nsçignç-mç-n!s--çerq-p-lérnçnta.ir--ç-s.: O L'entreprise a été crééedébut juillet N - 4. À cette date, elle a acquis la totalité des matériels de bureau et matériel informatique se trouvant dans I'entreprise. Ainsi que le matériel de transport. Le compte Installations 1eçhniques,matériel et outillage industriels comprend : b. Une machine A acquise à la fondation de I'entreprise pour 20 000 € HT et régulièrement amortie suivant le procédéde I'amortissementconstant; )s Une machine B acquise 75 000 € HT le lo mars N. l'amortissement se fera selon le procédé de I'amortissementdégressif;durée d'utilisation prévue : 5 ans ; coefficient : 1,75. @ Pour acquérir cette machine, I'enkeprise a contractéun emprunt le 26 féwier N d'un montant de 40 000 €. [,es remboursements se feront par amortissements constants sur 5 ans, le premier devant avoir lieu le l" mars N+I. Les intérêts de l'emprunt seront versés aux mêmes dates que les remboursements. Ils seront calculés au taux de 60losur la somme restant due. @ La provision pour risques a été crééeen fin d'exercice précédent pour faire face à l'éventualité d'une amendefiscale. Celle-ci a été payee le 12 juin N et s'est élevéeà 2000 €. @ Nom client PETIT JEA}{ PIERRE État des clients douteux et anciens : Montant créance TTC 3 293,26 5 410,36 2 587,56 Provisionau 3 l - 1 2 - N -l I 400 3 500 700 Encaisséen N Observations | 379,66 Versementpour solde 3 616,36 Versementpour solde 673,96 Porter la provisionà 50%o de la sommedue Page 109 sur 169 Etat des clients douteux nouveaux : Noms des clients douteux Montant de la créance TTC 2272,40 956,80 | 435,20 LONG LARGE ETROIT O Provisionà constituer 40Yo 5ÙYo 80Yo Etat des titres de placement : Natures des titres Prix d'achat unitaire Quantités Actions C Actions J Actions L -anciennes -nouvelles Cours moyen décembre 1995 t2 l8 66,00 43,00 53,20 44,50 20 40 16,00 56,30 41,20 41,20 @ Le l"' septembreN, l'entreprise a payé la prime annuelle d'assurancecontre I'incendie s'élevant à 1800 € HT, ainsi que la prime annuelle d'assuranceautomobile d'un montant de 2400 € HT. @ @ Il reste en stock à la date de I'inventaire : )g Des marchandis€ss'élevant au coût d'achat à 116630 € HT. Dans cette somme figure la dernière livraison du foumisseur Boursier dont la facture n'est pas encore arrivée : le coût à la commande est de 2 500 € HT. Est également compris un lot de marchandisesévalué au coût d'achat à 13 800 € lequel a perdu 40 Yode sa valeur ; Les transactions sont assujetties au taux norrnal de TVA (19,6 %). Travaililfaire- Calculer les taux d'amortissement du matériel de transport, du matériel de bureau, du matériel et outillage industriels - Passer I'ensemble des écritures de régularisation - Passer les écritures permettant la détermination du résultat 2 - Présenter - Le bilan ACTIF (emplois) PASSIF(ressources) A,ctifimmobilisé lonstructions Matérielde hansport Capitauxpropres Japital Actif circulant Clients Banque Dettes Emprunts Fournisseurs Page 110 sur 169 EXERCICE 2-- nntourez la ou les affirmations exactes et comrnentezvotreréponse sur copie (explication indispensable) Placez votre fiche réponse dans une des copies. l) Le compte 425 Personnel-Avances et acomptesest un compte de passif Vrai Faux 2) En règle générale,les soldes des comptes : ad'actif sont débiteurs bd'actifsont créditeurs cde passifsont débiteurs dde passifsont créditeurs ede charges sont créditeurs fde charges sont débiteurs gde produits sont débiteurs hde charges sont débiteurs 3) Acquisition d'une voiture de tourisme 20 000 euros HT. Quel est le montant du débit du compte 2lg2 matériel de transport ? 4) Les soldes créditeursdes comptes512 Banques : isont sousûaits du montant des disponibilités porté au bilan jsont portés au passifdu bilan dans le poste instrumentsde trésorerie ksont portés au passif du bilan dans le poste emprunts et dettes auprès des établissements de crédit 5) Une remise à I'escompte ne concernepas le tiré Vrai Faux 6) Le compte 413 clients, effets à recevoir est un compte de clients créditeurs Vrai Faux 7) A l'inventaire au 3ll12Â.I, on constatequ'un client débiteur de I 800 euros est en liquidationjudiciaire depuis le mois de septembreN. Les élémentsrecueillis permettent de penserque I'entreprise perdra 80% du montant de sa créance. Pour quel montant le compte de ce client doit-il être porté au bilan ? 8) Une diminution non irréversible de la valeur d'un élémentd'actif n'est pas comptabilisée. Vrai Faux 9) Cas d'un stock de produit fini : Compte 71 355 inscrit au crédit du compte Résultat : + 84 000 euros Stock final: 575 000 euros Stock initial? l0) En cas d'inflation, I'emploi de la méthode PEPS,aulieu d'une méthodede coûts moyens pondérés : A- Augmente la valeur des sorties de matières premières B- Diminue la valeur des sorties de matièrespremières C- Aucune réponsene convient. I l- Dans le systèmed'amortissementdégressif, I'amortissementdégressifest abandonnéau profit de I'amortissementconstant(linéaire) lorsque I'annuité dégressivedevient supérieureà I'annuiié en amortissement linéaire calculée sur la période restant à courir. Vrai Faux 12- une créancetotalement irrécouwable doit faire I'objet d'une provision à 100% Page 111 sur 169 Vrai Faux UniversitéPaul Verlaine- Metz L2 AES Monnaieet financement Duréedel'épreuve: 3 heures ChristelleMouseot Vous proposerezune réponseargumentée et structurée aux deux questionssuivantes: | -Lamonnaie peut-elle être demandéepour elle-même? 2 - Comment et dans quelle mesure une banque a-t-elle le pouvoir de créer sa propre ressource.la monnaie ? Page 112 sur 169 UNIVERSITEPAUL.VERLAINE DE METZ FACULTÉ DE DROIT Écowourc & ADMINISTRATIqN SecondeAnnée de Licence AES - Premier semestre JANVIER 2007 - Durée de l'épreuve heure I - Entourez la réponse exacte : Qucstionn"I Questionn2 enFrance. Il y a aujourd'huimoinsde 3 000lois applicables Vrai - Faux - Réponseinconnue Avec la Constitution de 1958,la compétencelégislativen'est plus de droit commun. Vrai - Faux - Réponseinconnue Quzstiann"3 Au sensorganique,l'administration est une activité d'ordre privé. Vrai - Faux - Réponseinconnue Questianno4 I-e secrétairegénéralà la Défensenationale (SGDI{) est directement rattaché au Présidentde la République. Vrai - Faux - Rêponseinconnue QntstionN"5 c'estle minishede I'Intérieurqui Sousla CinquièmeRépublique, disposede I'administrationenFrance. Vrai - Faux - Réponseinconnue Qutstionn"6 Qucstion no7 Question no8 Questionn9 I-es établissementspublics administratifs (EPA) ne sont pas despersonnesmorales Vrai - Faux - Réponseinconnue La Région est aujourd'hui un établissementpublic territorial. Vrai - Faux - Réponseinconnue L'administration publique ne peut,en France,jamais être soumiseà desrègles de droit privé. Vrai - Faux - Réponseinconnue La Cour de cassationest au sommetde I'ordre administratif. Vrai - Faux - Réponseinconnae Questionn"lO : Qucstionn"Il:, Qttzstionn"I2; Il n'existeaujourd'huiqu'unefonctionpubliqueenFrance. Vrai - Faux - Réponseinconnue I-e principe dela garantie dcsfoncti.onnnires a été instauÉ par la constitution de la Cinquième République. Vrai - Faux - Réponseinconnue Un ministre ne peut être à la fois membre du gouvernementet chef du départementministériel qui lui est confié. Vrai - Faux - Réponseinconnue Page 113 sur 169 parle Présidentdela Républiqueet nomméspar euestionn"I3,I-esministressontprésentés le Premierministre. Vrai - Faux - Réponseinconnue ' LaLOLF du ler août 2001 constitueune nouvelleconstitutionfinancière euestionn"t4 de la France. Vrai - Faux - Réponseînconnue euestionn"Il, L'autorité administrativen'est, aujourd'hui en France,plus subordonnée au pouvoir exécutif. Vrai - Faux - Réponseinconnue t6 ' euestionn" Les ministèresdisposentd'une personnalitéjuridique particulière. Vrai - Faux - Réponseinconnue ' L'action administrativeest le phénomènepar lequel se manifestele pouvoir euestionn"IT politique dans I'Etat. Vrai - Faux - Réponseinconnue euestionn"tl, En France,il n'existe qu'un seul ordre de jwidiction. Vrai - Faux - Rêponseinconnue ' IJne gestion privée des activités administrativesne peut exister en France. euestionn"te Vrai - Faux - Réponseinconnue ' L'administration publique, entendueau sensmatériel,désigneI'appareil eucstionn20 administratif. Vrai - Faux - Réponseinconnue II - Vous répondrez par ailleurs brièvement aux deux questionssuivantes: I - Quels sont les pouvoirs propres a.a Premier ministre et au présidentde Ia Républiquedansles instituti.onsde la Cinquième République? 2 - Commentez le principe établi par I'article 20 alinéa 2 : <<le gouvernementdisposede l'administratian<<. de Ia Consti,tuti,on ***** *** * N.B.: aucun document ntest autorisé. Page 114 sur 169 L3 AES Page 115 sur 169 Examen de Droit du travail Licence AES 3è" année Durée3 heures- les étudiants n'ont droit qu'au Code du Travail Rédigezun commentaired'arrêts groupés. Cass.soc.2 février 2006no 04-12.336 FS-P+ B Cie GénéraledesEaux c/ SyndicatFO et a. Sur le moyen unique pris en sa première branche: Vu I'article L. 521-l du Code du travail : Attendu que les inspecteurs de la Compagnie générale des eaux et des sociétés composant avec elle I'unité économique et sociale Générale des Eaux étaient soumis à une obligation d'astreinte, organiséeà leur domicile, par roulement entre eux, au rythme moyen sur l'année d'une semainesur 4,5 pendant 7 jours consécutifsavec des horaires de service normal et des horairesd'astreinte; que le 17 janvier 2003,Ie syndicat Force Ouvrière région parisienne Vivendi -Générale des eaux (le syndicat FO) a déposé un préavis de grève spécifique à I'astreinte, reconductibletous lesjours de façon illimitée à compter du samedi25 janvier 2003 à 0 heure prévoyant que les agents grévistes assureraientuniquement leur journée de travail hors astreinte; que le 28 janvier 2003, le syndicat Fo a déposé un < préavis de grève reconductible tous les jours de façon illimitée à compter du 5 février 2003 à 0 heure et a réactivé le préavis de grève du 17 janvier 2003 spécifique à I'astreinte ) que du 7 au 27 fewier 2003 certainsinspecteursse sont déclarésseulement < en grève d'astreinte > : Attendu que pour dire que ces seulsarrêts de travail répondaient à la définition de la grève, la cour d'appel énonceque les temps non travaillés pendant la période d'astreinte doivent être assimilés à du travail effectif pour I'exercice du droit de grève puisque pendant ce temps le salariéest à la dispositionde I'employeur et doit se conformerà ses directivessanspouvoir vaquerà des occupationspersonnelles,ce qui est précisémentla définition du travail effectif ; Attendu cependantque la grève est la cessation collective et concertée du travail en vue d'appuyer des revendicationsprofessionnelles;qu'elle ne peut dès lors être limitée à une obligation particulière du contrat du travail ; Qu'en statuant comme elle I'a fait, alors qu'elle avait constatéque durant leur service les salariésavaient cesséd'exécuter leur seule obligation d'astreinte,la cour d'appel a violé le texte susvisé. Cass.Soc.,2février 2006No03-47.481 FS -P + B+R+I StéColaslle-de-FranceNormandieSA cÆitatet a. Attendu que, selonI'arrêt attaqué(Paris,2 octobre2003) et la procédure,M. Bitat et cinq autressalariésde la sociétéColasIle-de-FranceNormandieont été licenciésle 24 janvier 1997pour fautegrave,motifs pris par I'employeurd'un refusd'obéissance et d'abandonde posteà la suitede leur refus,le 6 décembre1996,de prendreleur postede travail pour cause Page 116 sur 169 d'intempéries puis de leur départ sansautorisation du chantier à I'annonce du non-paiement des heuresd'intemrption de leur tâcheI eu'un arrêt de la cour d'appel de Paris rendu le 20 décembre2001 sur renvoi après cassation(chambre sociale, 12 décembre2000, Bull. V. n"414) a jugé que les salariésavaient exercé leur droit de grève et, annulant les licenciements prononcés et ordonnant la réintégration des intéressés dans I'entreprise, a condamné I'employeur à leur verser une provision avant expertise sur I'indemnité pour perte de salaire subie ; Attendu que la société Colas lle-de-France Normandie fait grief à I'arrêt, rendu après expertise, de I'avoir condamnée à payer aux salariés des sommes au titre des salaires, du treizième mois, des primes de vacances,d'anciennetéet exceptionnelle ainsi que des congés payés, avec intérêts de droit et capitalisation, pour la période comprise entre la date de leur licenciementet celle de leur réintégration,alors, selon le moyen : l" que I'autorité de la chosejugée n'a lieu qu'à l'égard de ce qui a fait I'objet d'un jugement qui se borne, dans son dispositif, a ordonner une mesure provisoire n'a pas, au principal, I'autorité de la chosejugée ; que par arrêten date du 20 décembre200l,la cour d'appel, dans son dispositit a octroyé aux salariés réintégrés ( une provision > à titre < d'indemnité > de perte de salaire ; que I'arrêt du 20 décembre2001 n'a donc pas tranché dans son dispositif le litige relatif à la somme que devaient percevoir les salariés en réparation de leur préjudice dans la limite du montant des salairesdont ils ont été privés i eu'en décidant qu'il résultait de I'arrêt du 20 décembre2001 qu'aucune déduction ne pouvait être opérée sur les salairesdus aux salariés,la cour d'appel a violé les articles 480 et 482 du nouveauCode de procédure civile et I'article 1351du Code civil ; 2" que le salarié dont le licenciement est nul et qui demande sa réintégration a droit au paiement d'une somme correspondantà la réparation de la totalité du préjudice subi au cours de la période qui s'est écoulée entre son licenciement et sa réintégration, dans la limite du montant des salairesdont il a été privé ; qu'il appartientau juge de déduire des sommesdues au salarié les revenus qu'il a pu tirer d'une autre activité professionnelle pendant la période correspondanteet le revenu de remplacementqui a pu lui être servi pendant cette pèriode ; que pour déterminer I'indemnité de perte de salaire due à chacun des salariés,la cour d'appel a énoncéqu'il importait peu , comme le faisait pourtant valoir la société Colas lle-de-Frànce dans ses conclusions,que les salariésaient perçus ou non des allocations de chômageou des salairespendantla période de nullité; qu'en statuantcomme elle I'a fait la cour d'appil a violé I'article L.521-l du Codedu travail ; Mais attenduqu'il résulte du Préambulede la Constitution du 27 octobre 1946, confirmé par celui de la Constitutiondu 4 octobre 1958, que le droit de grève est un principe de valèur constitutionnelle; que selonI'articleL.52l-1du Code du travail, qui détermineles conditions d'exercice de ce droit, la grève ne rompt pas le contrat de travail, sauf faute lourde imputable au salariéet que I'exercice du droit de grève ne sauraitdonner lieu de la part de I'emplàyeur à des mesuresdiscriminatoires en matière de rémunérationet d'avantagessociaux ei que tout licenciementprononcéen violation de ce texte est nul de plein droit; que dès lors, la cour d'appel a exactementdécidé que les salariés, dont les contrats de travail n'avaient pas été rompus et dont les licenciementsétaientnuls, avaient droit au paiementd'une indemnité égale au montant de la rémunérationqu'ils auraientdû percevoir entre leur éviction de I'entreprise et leur réintégration, peu important qu'ils aient ou non reçu des salaires ou un revenu de remplacementpendantcette période ; que le moyen n'est pas fondé. Page 117 sur 169 UNrvpRslrp op Mprz Fecur,reoe DRort,EcoNoun nr AoN4n{sTRATIoN Amrner.JNrvERS rrAws.2006-2007 L3 AES ECoNoITITE DU TRAVAIL SPssToi.I DEJANVIER2OO7 Durée 3 heures,pas de documentni de calculatrice. Etant donné que la productivité minimale exigéepour ut ouvrier est fixée à 60 piècesproduitesà I'heure et que,à cettecadence,le taux horaireest de 12 euros (le tarif d'une pièceest donc de 0,2 euro),il est en fait constatéune productivité réellede l'ouvrier de 80 piècesproduitesà I'heure. 1. Précisezles quatre différentesméthodesde calcul de la prime allouéeà cet ouvrieret donc du salairehoraire,selonles disciplesde Taylor. 2. En quoi l'esprit de cesméthodesde salairesà primess'oppose-t-ilou non au principe du salaire<<d'efficience > ? Page 118 sur 169 Universitéde Metz Administrqtion UFRDroit Economie AnnéeUniversitqire2006/ 2007 Licence3è^"onnéeAES Sociolooiepolitioue .Tanvier 2OO7 Répondreoux guestionssuivontes: 1) Lo crise de l'Etqt moderne 2) La démocrotie politigue 3) L'évolution de la représentotion 4) Le f inqncement des portispolitigues ùurée de l'épreuve: I heure Aucundocumentoutorisé Page 119 sur 169 Conectim de l'ép,reuvede démogaphiede 3@ anrÉeAE.S. (sæsim & janvier 2007) Facultéde Droit, Economieet Administrationde Metz gÈNU ANNÉg A"E"S" Epreuvedu premiersemestre: lundi 15 janvier 2007 Démographie [Durée: 35 + 25 minut@sl Sujetproposépar GérardBotuenRoteR Rcmar-"qus , I'usage d'abréviations sera lourdement sancfionné; l'examinateur interrompra la correction dès lors qu'une anomalie de cette nature apparaîtra zur la copie. femploi de Ia machine à calculer est naturellement interdit; une vérification sera effirtuée au cours de l'épreuve et tout utilisateur qui ne resp€cterait pas cette consigne inrpérative se verra exdure, surle chalqp, de la salle d'examen pour avoir perturbé le bon déroulement de I'examen. Tout tele' phone portable resté à ponee de main sera également imnrédiatement redré au candidat deten teur de I'objet du délit. Chaque réponse fausse,aux questions I, II et IV, entrairrera une pénalite (egaleau nombre de points qu'implique une réponse correcte à os mêmesquestions) affn de limiter les tentations Êauduleusessi nombreuses en amphitheâtre. I I4'OOpointsl: TERilINOLOGIE ll [3roo pointst I GULTURE DÉilOGRAPHTQUE À quels concepts{éveloppés dans le cadre du les définitionsqui sulvent? coursmagistral-conespondent 1. expressionlatlnèsynonymede <dès le corw metænænl>. 2. argumentattaguantdirectementla personneà qui I'on s'adresseet qui consistesurtoutà re' toumer contre I'adversaireses propræ asserou actions. tions,concessions 3. <discoursdépouru d'otdreef de sensr. 4. dit notablede quelquepersonnage illustre. 5. <agentdu roi ou d'un æfi7neur,charséà pailir & la frn du Xlf sréc{e, æ fonclions administntivesetj udicia irc*. 6. capablede conompre. 7. cobligationpourhs membresd'un group social défrni, & æntncter mariageà l'intérieur deægrcup>. 8. <écrit vioént et polémiquedans leguelon attaque un adwrcairc ou on justi'freune attitude>. 9. <unefatalité>. 10. qoel/esqui ont tnit à la généntion et aux lone tions& la généntiotr>. 11. <se dff de æ qu'on ne peut anêten retenir dans son expansiorn. 12. <ppulation de foules les confréesde la tene habitée>. Remarque: unefaute d'orthographe entraîneraI'annulation de la nâponse. 1. C}tszdeuxautresappellations de la pyamtde enclæhe. 2. Nommezdeux démographesitaliens de la premièremoitiédu XX"siècle. 3. Qu'évoquepour vous la théorle de la pro+ péfi6 e h pogilatlon ? Quel est son auteur?. lll 13,50pointsl: GRAPIfIOUE graphiquede Ia Id de Donnezune représentation po4ilatlon d'Atfud Sawy en explicitant les symbol€s employés. rv [2rooporntsl: REPÈRES oÉuocmpHrQuEs Vousrcpondrezaux quatrequestionssuivantesen mentionnantimpérativementle nomet le prénomdes individus concemés.Une laute d'orthographe(au niveau du nomou du pénom)entraîneraI'annulation de la réponse. 1. Qui a employé,pourla premièrefois le mot démographie? 2. ll est souventdassé comme spÊmier &mognphæ;de quis'agit-il? 3. ff hédtê du titre de <père& la démqnphie nrcdeme>;quelest sonnom? 4. ff est considérécomme<le pèrcde la clémognphie alleman&>; qui est-ce?. Page 120 sur 169 Corecûon rÉdlgée par Gëard BOiIAAnD|En proposéglorsde b ses$onde jarwier2dl7 Goneclionde léprerryede dtÉmograptÉe est ffienfle. le norr. f.a maclfu à c&der @ rcspect de cotte pr€ûcn?Ëm enF*rcra FexchSon inmédate dexarmt porr nerurtoton de ce[rÉc;i. de Péfudant de 1r* V F,50 polntst: APPLIGATIONNUtÉruQUe relativeà l'évolutiondesventesd'un produitenne1992et 2006; vous Considérons la statistique avecuneprecisiondetroischiftes aprèsla virgule: répondrez suivantes arurdetrxquestions 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2t02 2003 2004 2005 2006 3.9 7.3 15.2 29.6 52.9 87.1 123.2 231.4 138.6 80.2 52.9 27.0 16.0 8.7 4.8 parla fonctionde Verhulst(2,25potntsl. 1. Ajustezcettedistribution pourla chronique (5,25 des observations 2. Donnezuneestimation des ventesthéoriques pointsl. justifiéne serapasvalidé; si des résultatsintermê Remarque: tout résultatnonparfaitement passurla copie,la correction serainterrompue. diairesn'apparaissent â<æl<æâ< Page 121 sur 169 facufté de Drolt, Économleet Adnrlnlstrdton de lætz Facultéde Droit, Economieet Administrationde Metz L3 AES Épreuveanticipéedu semestre5 Grands Problèmeséconomiqueset sociaux M. Didier Nobile Durée : I heure Avertissements: L'usage de calculatrice,téléphoneportableet autre assistantpersonnelest strictementinterdit ainsi que tout documentécrit. L'étudiant traitera le sujet en veillant particulièrementà la forme (présentation, tre... ort l) Définition et fondementsthéoriquesde la politique budgétaire. 2) Le déficit budgétaire est-il forcément dangereux pour l'économie d'un pays, Pourquoi ? 3) Qu'est-ce que le Pacte de Stabilité et de Croissance, quels sont les derniers assouplissementsqui lui ont été apportés 4) Définir la théorie HOS relative au conrmerceinternational 5) Qu'est-ceque I'OMC, qu'est-cequi la differenciedu GATT ? 6) Après avoir proposé une définition de la mondialisation, vous direz pourquoi on peut affirmer que I'Europe en constitue un élément incontournable. 7) Qu'est-ce que le chômage naturel ? Quel est le taux de chômage actuellement en France ? 8) Quel est le taux d'inflation de la zone euro actuellement? Qu'est-ceque I'inflation sous-jacente 9) Après avoir proposé une définition du développement durable, vous indiqverez pourquoi Nicolas Georgescu-Roegen a déclaré, selon vous, qu'il était <<I'un des conceptsles plus nuisibles>. l0) Combien vaut un dollar en euro actuellement,L'appréciation de I'euro par rapport au dollar profite-t-il aux pays de la zone euro ? Pourquoi ? Page 122 sur 169 UNIVERSITEDE M.ETZ UFR DROIT, ECONOMIE,ADMINISTRATION ANNALES DES EXAMENS 2006/2007 SESSION1 JANVIER2OO7 ler SEMESTRE TUERE ECO Page 123 sur 169 LlECO Page 124 sur 169 Economie de la santé. Premièresession.Janvier2007. Correcteur: JM Simon Vous prenez vos fonctionsdans un petit centre hospitalier,auprès du qui souhaitevousconfierunepremièremission. directeur, locales,que la performance ll sui semble,d'aprèsdes comparaisons du circuitdes produitspharmaceutiques perfectible est trèslargement danssonétablissement : - lesdépensessemblentmalmaîtrisées, - la qualité du circuit ne fait pas I'objet de démarchesinstitutionnelles suffisantes - le bon usagedes produitsprescritsne lui semblepas à la hauteurdes nouvelles exigences. (départen retraite),et imminentdu pharmacien ll souhaiteprofiterdu remplacement pharmacie, pour maîtriserles en du recrutement d'un cadre médico-technique et engagerune réflexionmultiprofessionnelle visantà dépensespharmaceutiques garantirla qualitéet la sécuritédu circuit,conformément auxnouvelles exigences. les objectifsaux équipesen placeet de planifier Vousêteschargéd'expliquer cetteréorganisation. (1) Vousexposerez, sans les détaillerle modede fixationet de priseen charge à I'hôpitalet les méthodesde régulation et de maîtrisequi sont des médicaments misesen æuvredansce secteur. (2) Vousexposerez, sansles détaillerles étapesd'un programme d'actionvisant de I'hôpital.(Objectifà atteindre, à maîtriserles dépensespharmaceutiques à réunir,modalitésde mise en place, techniquesà mettreen æuvre,partenaires des résultats) méthodes d'évaluation (Vousne vouslimiterezpas à des méthodesimpératives dansle cadrede contrats avec I'ARH, vous envisagerezla mise en æuvre d'autresméthodesqui sont optionnelles). (3) Vousexposerez, d'actionvisant sansles détaillerles étapesd'un programme de I'hôpital.(Objectifà atteindre, à maîtriserla qualitédu circuitpharmaceutique à réunir,modalitésde mise en place, techniquesà mettreen æuvre,partenaires méthodes des résultats) d'évaluation (Vousne vous limiterezpas à des méthodesimpératives dansle cadrede contrats avec I'ARH, vous envisagerezla mise en æuvre d'autresméthodesqui sont optionnelles). Page 125 sur 169 AvrrieeuNrvERS rrAnr 2006_2007 Ml nnolT PARCoURS AES GpsrtoNDESRESSouRCES Hurnq.Nps SgssToN DEJANVIER 2OO7 Durée3 heures,calculatriceautorisée.Aucun document autorisé. Le DRH d'une entreprisehésiteentreun des 3 plans d'augmentationsalariale qu'il souhaitesoumettreaux partenairessociaux àansle cadiede la négociation annuellesur les salaires. Présentezlui un commentaireconcis et pertinent et comparatifsur ces plans (n'oubliez pas notarnmentde préciserles effets report fid à chacundes plans ainsi que les précautions d'urug. à respecter en matière de carcur I d'augmentationde la massesalaridef Chacunde cesplansconcernela massesalarialeprévisionnelle sur 2007. La massesalarialede décembre2006s'élève g.soo.o00 euros.L,entreprise versesur I'annéeul mois supplémentaire en deuxphases; en avril, Jl. u..r. un mois et demi du salaired'awil et elle verseaussiËn septembreun mois et demi du salairede septembre. Le plan nol prévoit un augmentationdessalaires en niveaude 0,g%oenfevrier 2007puis unenouvelleaugmentation de l,2yo en août. plan n"2 prévoit+1yoen avril 2007puis +t f-e ,2yo enoctobre. Le planno3prévoitenfin+I,Iyo.n -ui puis +i ,3%oendécembre. Page 126 sur 169 Ll Scienceséconomiqueset Matheco Introduction à la Microéconomie Partiel de janvier 2007 Durée3 heures N.B : les documentssont rigoureusementinterdits. Coursde B. Jérôme lo) Problème(10poinrs) vous disposezd'un budgetloisirs (B) à repartirentrecinéma(y) et golf (X). Votrefonction d'utilitéestdéfiniepar : U(X;Y): (X+2).y a) Sachantque B : 96 unitésmonétaires (u.m)et py: 30 u.m et px: 12 u.m, quelles serontvos demandesrationnellesde X et de Y? Utilisez obligatoirement la méthode du Lagrangien. b) Quellesserontlesquantitésoptimales(X* et y*) de X et dey ? c) Pour X et Y calculezles élasticités< prix de la demandeD (( revenu >>et < prix; croisées > (deX eny et dey enX). d) Quellesconclusions en tirez-voussur la naturedesbiensX et y ? e) Le cinémaet le golf appartiennent à un mêmeentreprisede loisirs,querisque-t-ilde se produiresi l'on décided'accroîtrelesprix deX et oe v r Justifiez. f) FinalementI'entreprisebaissede 20%ole prix du golf. euelle seravotre nouvelle consommation optimale(X'et y') de X et dey ? g).Représentez sousforme d'un graphiqueles deuxsituations: avantet aprèsla baisse des pnx. h) En utilisantla solutionappropriée(dont vousexpliquerezla méthode),quels serontles effetsde substitutionet de revenu: commentezetjuitifiez. Page 127 sur 169 20) Etude de cas(6 points) Un consommateurrépartit sa consorrunationentre dépensesde logement (Y) et dépensesde transport (X). Le transport est estimé en kms parcourus en voiture. Il dispose d'un budget B qui sera intégralementconsommé en Y et en X. On considéreraque Py eit le prix moyàn du logementet Px est le prix de I'essence. a) Représentez sous forme d'un graphique I'impact sur le comportement du consommateurd'une haussede la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) venant frapper le bien X. Le gouvemementsouhaitantpar exemple pénaliser la consommationde voiture pour lutter contre les émissionsde ÇO2 et engrangerdes recettesfiscales destinées à I'environnement. b) Représentezsous forme d'un graphique I'impact sur le comportement du consommateurd'une hausse de I'impôt sur le revenu, le prix des biens demeurant constant. c) Qui de I'impôt sur le revenuou de I'impôt indirect est le moins pénalisantpour le consommateur? Expliquez et justifiez? d) Le consommateur est considéré comme représentatif de la catégorie < bas revenus>>.Le gouvernementsouhaite augmenterson revenu nominal pour compenserla haussedu prix de I'essence(dont il est en partie responsable).Représeitez graphlquement I'impact de l'intervention de I'Etat. Justifiez et commentez. 3o) Questionde cours (4 points) Représentez les différentesphasesde la productionet l'évolutiondesproductivités. a) commentezchacunedescesphasesen comparantlesproductivités. b) Qu'endéduiresurl'évolutionde la productionà courtpuisà longterme. c) Dans chacunede ces phases,quel est le lien entre productivitéset élasticitésde la production(parrapportau travailet au capital).Expliquez. Page 128 sur 169 5çç iq €s s ieq FËY FËE gË s sF i Ë Ë iËr i, ËË ËÈrers Ëa$ Ëîi s ËËE ËEg E :H ËËË ÉH Fg Ë Ë" âBBË+Ë uE'$sF #EI*" $Ë E[ i*â i-Ë Ëil'* éi ué= €ËË Ë e E,àe FË'l'ÊË F=Ë, i **Ëg g*$ËË +* ;eË i,T.Ë gilii 'Ë.Fg a sËË àïË,TIF Ë€îËi {è él-F È rFË, É = uE 3 B af s -e Ë Ë ' Fâs EË \i' -9' g E g A s: s 5 T fl F E g -P. .^6 Ë HE É-Ë i Ëf- x Es E'Ê.* Ë ^ 8 ' : o aE.i ,oB-*c !lË =. F :, Ë' a =. E' + o !.)g Eg4r F è:N it' ÉJFî F5 ' â F sî à Ëh'| S'ii.- € . ù * .\l l q _ L+X-;-S:'ti g È . 3 -É È : P X f È P+ . S A F EO F i -'- 6.+ R' c 3B v ËilyecËà 5$€i:t;F! Ë . i q *t t. \l 4 l : ." , 5 F : efi !ào v 5' g. iq -g !-El è; ; 6 ii H - E F I : e â . à. Fl Ë 5 E É 6' o É g' iNi s E I.) ,o èr r J."1"" :*]*- "6É -o E lj.l Ë -. .+l € "--l É g Ê frâ o+3 Ëg* s--ë B+ Ç.roÊ ,9X È*X ENl 'o ar ts* Ë 11 Ë o"l " Page 129 sur 169 +l ll Economiede I'entreprise(Ll) Coursde N. Damoiselet JeudilSjanvier Duréede.l'épreuve : I heure Aucundocument n'estautorisé Questions: Iè'" Partie: Elémentsde descriptiondesentreprises. 1) Quelssontlestroisgrandssecteurs d'activitééconomique ? 2) Lescaractéristiques principalesde la sociétéanonyme. 3) Qu'est-cequ'uneentreprise nationalisée ? 4) Quelestle point faibledesPME françaises? 5) Pourquelleraisonparle-t-onde < désindustrialisation > del'économiefrançaise? 2è^"Partie : Le modèlecomptabledeI'entreprise. 1) Stocket flux (définitions). 2) QuelleestI'interprétation économique de l'écriturecomptable enpartiedouble? 3) La diftrence entrela notionde résultatet cellede rentabilitéd'uneentreprise. 4) Les soldesdescomptesélémentaires sontrépertoriésdansles comptesde synthèseen quatrecatégories, lesquelles? 5) Quereprésente le biland'uneentreprise ? Page 130 sur 169 Université Paul Verlaine - Metz Ll scienceséconomiques Histoire des faits économiques Duréede l'épreuve : I heure ChristelleMougeot Vous proposerezune réponseargumentéeet structuréeà I'une desquestionssuivantes: I - Au regard de l'évolution historique des sociétésde I'Antiquité à l'époque moderne, I'esclavageest-il un facteur de développementéconomique? 2 -Le capitalismeest-il né au Moyen Age ? Page 131 sur 169 HISTOIRE DE r-A PENSEE ECONOMIQUE LES CONTEMPORAINS Cours de Thuy Van PFIAM L.I ECONOMIE ET GESTION 2006-2007 Session de ianvier 2fi)7 Durée de l'épreuve: 60 minutes Remarques: . Toil fucamentestinterdit . Lns tabltaux et lesgrapbiryet dlllsstration soû bienaenxs. . Bot nurage ! k**t**d<+***t<*** Questions de cours z 6 points t- Citez, pout chacun des courants de pensée économique tidessous, quafte grands auteurs : I L'école de la synthèse classico-keynésienne ('l proù . I-a,nouvelle école classique (l poinù . L'école du déséquilibte (l pro| r L'école du Choix Public (1 poin) ! L'école de rçgulation ftançaise (l poin) 2. Définissez les tetmes suivants : . Monétatisme (0,5poin) ! Courbe de Phillips (0,5poinl Questions de slmthèse z t4 points 1. Quelle est la position de JobnMrynardIG)?\fEJ concemart I'influence du taux d'int&êt dans l'économie ? (7 poinx) 2- I-es politiques monétaites expansionnistes sont-elles efEcaces pour relancet I'activité économique selon les nouveaux classiques ? (7 points) Page 132 sur 169 L2 ECO Page 133 sur 169 EconomiegestionL2 Comptabilité privée 1è* session Annéescolaire200612007, I)ocumentsautorisés: Plan comptablegénéral(PCG), calculatricequelconque. Durée:3H00 Ce sujet comportetrois exercicesindépendants.Il vous estdemandéde répondretÈs precisémentet complètementaux questionsposrées. Le soin,la présentationrla clar .té pour paft desexplicationsentreront importante dansIa notation. une L'énoncéestà restitueravecla conie ExerciceI : présente Labalancede l'entreprise Rousseau lessoldessuivantsau31.12.(n): Achatsde mstièrespremières Achatsde marchandises Banque Caisse Capital Chargesexceptionnelles Charyesfinancières Chargesde personnel Clients Constructions Emprunts Etat Foumisseurs lmpôtset taxes Matédelde bureauet informatique Matérielde transport Matâiel et outillage Mobilier Personnel Prêts Pmduitsfinancierc Sécuritésociale Servicesextérieurs Tenains Titres Ventesde marchandises 622 127 1 506 577 168892 13 027 I 080000 21 658 7 171 388 27E 182819 721907 36 000 I 546 250967 2 567 34 0E3 146191 229 419 27 259 22 lU 27 000 2826 1 71 8 5 140639 252918 21 641 3 106505 1) EtaHirla balancedes comSesde l'entrepriseRousseau. (uniquement colonnedes soldes,ainsique les numérosde comptesconespondants) 2) Présenterles comptesde résultatet de bilanau 31. 12"(n): Page 134 sur 169 . Durée de I'exercice exprimée en nombre de Adresse'de Fentreorise NuméToSIRET' | Durée de I'exercice précédentl , , f | | | ' ,, I r | | | | codeAPEl | | | l ."hr I ,l Nètrr:::...!l ,,, .4 Page 135 sur 169 ' l)es exDlicalions concern"nl.eBe nrhrinue mni donnée< d2ns lâ nôÎi.e no 7n17 .: ' *:02' 10938 . - :: .."tt.+ @: :t!.:. (anicle 53 A' du Code généml dcs impôs) .EiiÀN - PASSIF avant répartition Désignation de I'entreprise Exercice N D ) C a p i t a ls o c i a l o u i n d j v i d u e l ( 1 ) - ( D o n t v e r s é : . . . . . . . . DB Pnmes d'emission, cle tusion, d'apport, ... ) DC Ecartsde réévaluation (2)'(dont écan d'équivalence I EK DD Réserve légale (3) DE Réservesstatutaires ou contractuelles Réserves réglementées (3)' X p. F Exercice N - I soécale desorovisions f Doil réserve Al0 \p6u1 flu6ruatioh descours' /Dont réserve relative à I'achat Autres réserves \d'oe.rures orisinales d'artistes vivants' ) DF EJ ) DG F (J Reoort à nouveau DH RESULTATDE |jEXERCICE lbénéfice ou pertef DI Subventions d'investissement DJ Provisions rég.lementées' DK TOTAL (I) DT Produit des émissions de titres participatifs DM Avances conditionnées DN a U TOTAL 0rt ç zu o s,90 '6.9 5 >- * Provisions pour risques D? Provisions pour charges Ea TOTAL (III} DS Autres emprunts obligataires DT Empruns et dettes auprès des établissements de crédit (5) DU DV I EI o F F Co;ppte regur. Avances et acomptes reçus sur commandes en cours DW Dettes fournisseurs et comptes rattaché.s DX Dettes fiscales et sociales DY Dettes sur immobilisations et comDtes rattachés DZ Autres dettes EA Produits constatés d'avance (4) m TOTAL (IV) ED TOTAL GÉNÉRAL (I à V) m Ecan de réévaluation incgrporé au capiul f q (2) z Dont G) ner.-. spécialede réévaluation(1959) t{ [ r{ Écan de réévaluation libre *.**. * ruur,*ra.*,1116, Dont réserve spéciale des plus-values à long terme ' (4) Dettes et Droduits constatés d'avance à moins d'un an (t) tc (vl Ecarts de conversion passiF (1) DR Emprunts obligataires convertibles Enrprunts et dettes financières divers (Dont emprunts panicipatifs V EO H Page 136 sur 169 Dont concours bancaires courants, et soldes créditeurs de banques et CCP 'Des EG H{ exolications concernant cette rubrioue sont données dans la notice n' 2032. t.:":i.it i lt,,ij LUMP'rE DB RESULIAI-'DE:'LIEXBRCICE (En liste) | , i\rll . -Z rôËrulatie obligaroite (adcle 53 A du Code général des impôb)- (2000) Désignation de I'entrèprise : FC z D . c . r .N " 2 0 5 2 E FF I bi"ntProductionvendue { I services* FI F f FT FM xa Production immobilisée' FN Subventions d'exoloitation FO Reprises sur amortissements et provisions, transfert de charges. (9) F? Autres produits (1) (11) FQ F ) Total des produits d'exploitation (2) (I) FR Achats de marchandises (y compris droits de douane)" F'S Variation de stock (marchandises)' FI Achats de matières premières et autres approvisionnements (y compris droits de douane)' Fu Variation de stock (matières premières et approvisionnements)* FV Autres achats et charges externes (3) (6 bis)" FW Impôts, taxes et versements asgimilés- FX ) FY FZ Charges sociales (10) - dotations aux amortissements* GA - dotations aux provisions* GB GC Sur actif circulant : dotations aux Drovisions Pour risques et charges : dotations aux provisions Autres charges (12) GE Total des charges d'exploitation (4) (II) GF (I - III 1 - RÉSULTATD'EXPLOITATION Bénéfice attribué ou Derte transférée' Perte suppofiée ou bénéfice transféré' Produits financiers de panicipations (5) Produits des autres valeurs mobilières et créances de I'actif immobilisé (5) Autres intérêts et produits assimilés(5) Reprises sur provisions et transferts de charges Différences positives de change Produits nets sur cessions de valeurs mobilières de placemenr Total des produits financiers (V) Dotations financières aux amortissements et Drovisions' Intérêts et charges assimilées (6) Différences négatives de change Charges nettes sur cessions de valeurs mobilières de placement Page 137 sur 169 Total des charges financieres (VI) (V - vtl 2 - RÉSUTTATFTNANC|ER (I - II + III - Iv + V - VII 3 -RÉSULTATCoURANTAVANTIMPÔTS (REtwOlS : voir ablqu n" 2O5ù' Des exDlicatiotr coocqnant cetre rubrioue sont données ded la notie n" 2032 N" 10947rf 02 COMPTE DE TAT DE L'EXERCICE(Suite) Fmulaire obligaroire (ffiicle 53 A du Code généml d6 imÉB) Produits exceptionnels sur opérations de gestion Produits exceptionnels sur opérations en capital . Reprises sur provisions et transferts de charges Total des produits exceptionnels (D (VII) Charges exceptionnelles sur opérations de gestion (6 bis) Charges exceptionnelles sur opérations en capital . Dotations exceptionnelles aux amortissemens et provisions Total des charges exceprionnelles (7) (VIII) 4 _ RESUITATEXCEPTIONNEL (VII - VIIII Panicipation des salariés aux résultats de I'entreprise Impôts sur les bénéfices ' TOTAL DES PRODUITS (I + III + v + vu) TOTAI DES CHARGES (II + w + VI + VIII + IX + X) 5 _ BÉNÉFrcEoU PERTE(TotaIdes Dont produis nets partiels sur opf,rations à long terme czroont { (3) Dont produits de locations immobilières produits d'exploitarion afférents à des exercicesantérieurs (à détailler au (g) ci- dessous) ( - C.edtt-bailmobilier t - crédir-bail immobilier Dont charges d'exploitation afférentesà des exercices antérieurs (à détailler au (8) ci- dessous) Dont produits concernant les entreprises liées Dont intérêts concernant les entreorises liées Dont dons faits aux organismes d'intérêt gênéral (art. 238 bis du C.G.l.) Dont transfert de charges Dont cotisations personnelles de I'exploitant (13) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (produits) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (charges) primes et cotisations nelles: facultatives Détail des produits et chargesexceptionnels(Si ce cadreest insuffisant,ioindre un étardu même modèle) : Détail des produits et chargessur exercicesantérieurs : Page 138 sur 169 concermnt cefte rubrioue mnt données dans la notice n" 2032 D . G . I .N " 2 0 5 3 (2000) tr Exercice2 : Lescomgesau31.12. (n)deI'entreprise Unosontlessuivants: 101 106 120 164 207 2',t1 213 2154 2182 2183 261 271 274 37 &1 404 411 431 44551 Æ2 503 512 53 Capital Réserves Résultat Empruntsauprèsdes établissements de crédit Fondscommercial Tenains Conslructions Matérielindustriel Matérieldetnansport Matérieldebureauet informatique Titresde participation TitresimmoHlisés Prêts Stockde marchandises Foumisseurc Foumisseursd'immobilisations Clients Sécuritésociale Etat-TVAà décaisser Créancessur cessionsd'immotilisations Valeursmobilièresde placement Banques(soldedébiteur) Caisse x(? ) 180000 Y(?) 180000 230 400 96 000 2EE000 232800 48 000 6 000 60 000 60 000 48 000 297 600 204 000 96 000 229 200 20 400 24 000 'fit 800 7 200 tlO800 9 600 Pésenter le bilande l'entrepriseLino,sachantque le ésultat net de I'exerciceest égal à25o/odu capital. Explicationsjustifiant X et Y Page 139 sur 169 r-Tr.à--------iffi )ésigfiahon de I'entreprise : I t : . . . , Durée de l'exercice exprimée a.,,ro*bra Adressede, I'entrepriie NuméroslREr' | d. -oir;' l Durée de l'exercice Dréaédent. ' ' I rrl r.rl ttrrl codeAPE| Page 140 sur 169 ,t , , I ' ,. AI.[.AN :,.PASSIF avant répartition Désignation de I'entreprise C a p i t a ls o c i a l o u i n d i v i d u e l ( 1 ) ' ( D o n t v e r s é : . . . . - . . . . . . . . Ecartsde réévaluation (2)'(dont écan d'équivalence Réserve légale (3) Réservesstarutaires ou contracluelles RéservesréglementéesG). \;;;; 11;;iai#Ë;;; Autres réserves \4,;;;";;, orieinales d'anisres vivanrs, BESULTATDE UEXERCICE(bénéfice ou pertel Subventions d'investissement Provisions réglementées - Produit des émissions de tirres panicipatifs É 6 €g .* Avances conditionnées EË. e9'e o rtçû '6.9 à Êi4 Provisions pour risques Provisions pour charges Ë6Ë Emprunts obligataires convertibles Autres emprunts obligataires Emprunts et dettes auprès des érablissementsde crédit (5) .<F Empnrnts et dettes financières divers (Dont emprunts panicipatifs q trl F F Avances et acomptes reçus sur commandes en cours Dettes fournisseurs et comptes rattachés DX Dettes fiscales et sociales DY Dettes sur immobilisations et cotnDtes rattachés DZ &{ Produits conshtés d'avance (4) EB EC ED Ecarts de conversion passiF TOTAL GÉNÉRAL (I à V) EE Ecan de réévaluation incarporé au capiral Réserve spéciale de réévaluarion (1959) q Ecan de réévaluation libre z Réserve de réévaluation (1976) Dont réserve spéciale des plus-values à long terme ' Dettes et produits constatés d avance à moins d'un an Page 141 sur 169 Dont concours bancaires courants. et soldes créditeurs de banques et CCP ' l)es explications concernant cette rubrique sont données dans la notice no 2032 D.G.I. Exercice 3 : Un commerçantconsacreune partiede son épargneà une entrcprisequ'ila esééeet réaliseles oÉrations suivantes: - 2 janvier: créationde I'entrepriseparversementà la Banquede - 5 janvier:- retraitd'espècesà la Banque - achatde marchandises à crédit - 6 janvier: ventesau comptantcontreespèces - 10janvier: achatcontrechèquebancaired'unecamionnette - 12 janvier: achatcontrechèquebancairede marchandises - 14 janvier: payéen espècesdesfraisde P.T.T. - 20 janvier verséparchèquebancaireà un foumisseur d'achat -22 janvier régléen espècesdes fraisde transport - 29 janvier ventesà créditde marchandises - 31 janvier régléparchèquebancairele salairede l'employé 50 000 € 3000€ l0 000€ 8200€ 13 000€ 6400€ 550€ 5000€ 200€ I 400€ 3265€ Il vous estdemandéaprèsavoir fait le grandliwe (qu'on ne vousdemandepasderendre)de compléterla balanceci-dessousà I'issuede I'exercicecomptable' Libellés NO Mouvements Crédit Débir TOTAL Déterminerle résultatde l'exercice(explications): Page 142 sur 169 Soldes Crédit Débit gr u È Ë ; Ê il v, F 3 - !4.€ F; ç3. i) o a\ -' G p 6- Hâ èÈ ËÈ E* !s Bs' ôo EÉ T6 SF *N I;2 Rg p bJO\5 OtrhJ 56è oo 5æN a Ë9 Ër! -='5 ât ËË Ê!. t- Èr $È p ;a s8 flt p *l 7? æ è N lô o z o = -lF z z n m o n m À, z I o I z-{ o ! N v à c tm ls Itr t> lv (tt m -{ !. 2 c ê o 7 m m c a +Ê** t) s p :toÈ = = .È- * Éà .o N F â €$ tqxt grDgE.= ËËâ iÊ o--369 : € 3: [ : H€ - Eâ È "8"ô I o o r; âËEÂËËFË Fg'g ËgfigË-ËËs 8-* gi g îâ âË s aË F HËE EË tr (D ô a É 0 (!" Ë8*ËËâ EÊF *Ë-Èââ-*Ë É rÊ È o ê (!" 0 o ô o t E' a { l3 19. tê E IF t= ct tll o t={ E rg lv, N tY! o tm ct lt--i mN lr-I n -{ to lrl z z m m c z lË IB 19t lzm lsH lo= *Ê[Ë$t$ € ; ë Ë .1i 3 1 E â Ën ËsË ËËg*Ëâf 'in ââgEË i I [*FiFë ÉËËI $Ëe l.m lË= lE4 lcc lâlâeE lFH.l8 Ë 19 r+ s$ËîB ËËËaËgff iââ ËëaË ÈËtËË ËËËâ'Ë È;î$gâiFËsi Ëg:ËÊËasË tJ ?. g E *î sI Ë Ë *Ëri r 7 â s I iF $ e ÉË Ëâ Ëi gg iË st;gI âlâËËË EË tise ÈÈÈÉ iË tË$$E iâ Fië 3-i $$ î i* È[xqf È Ë Ë F +ËËâsgâ lË lË gË âË li ? ?sF ;Ëâ3i sgËÉci s o m z o m m o : F$$FFïîg-îîelg lfr lo lc ln !'., :- lF l, DUREE : 1 HEURE 30II'INUTES BAREME: SUR20POINTS LICENCEECONOMIE2NDEANNEE PROBABILITES2 Exercice1 (7 points) Variable aléatoire continue ( tZ ).x'(5-x) = Ladensitédeprobabilité delaV.A.C.X estdéfiniepar: f(x) i* L0 l. si 0 < x <5 sinon CalculerI'espérance mathématique deX. 2. Déterminerla fonctionderépartitionF(x) (on considérera 3 cas). 3. Calculerla probabilité: p(l <X <2) Exercice2 (7 points) Lois normales La note X obtenuepar desétudiantsà un examenestunevariablenormalementdistribuéeautourde sa moyennep avecun écart-typeo. l. Etablirla valeurde p et de o sachantque6,68%odesnotessontinferieuresà 5 et que2,28%odes notessontsupérieures à 12GndicæiqA : p e {e;l ;8;9 } et o e {t;Z;f };. 2. Déterminerun intervallecentrésur la moyennep contenant80 % desnotesobtenues. Calculerle pourcentage d'étudiantsayantplus de 10ainsi quela noteau-dessus de laquellese o situent25 desétudiants (3è" quartile;. Comptetenu de cesrésultats,on décidede revaloriserl'ensembledesnotespar unetransformation affine: Y =aX+b. Quellesvaleursfaut-il attribueràa (a > 0) et àb powque lesgrandeurs 3. 4. précédemment calculéespassentrespectivement à 50 %oet à 13. Exercice3 (6 points) Le théorème central limite Un restaurantd'entrepriseassurechaquejour deuxservicespour les 400employésde cetteentreprise. Chaqueemployéseprésenteau hasardet de façonindépendante à I'un desdeuxservices. 1. Calculerla probabilitéqu'il y ait moinsde 185personnes au 1"' service. 2. Combiende placesauminimumdoit comporterce restaurantd'entreprisepour satisfairela demande dansplus de 95 o/odescas? VVV V Page 144 sur 169 PROBABILITES 1 &2 3 N-r!tsËËiâdËôË J t\' -rotsËËiâdË (.r N - À J . t J .r i O \t Ë (o @ { (O @ o) trr 5 cD trr à G, o N cl Ë q) N ..À ts . N r N o - Ë i i â d d .,'l- Ël= il- ôl= rn X t!.J l\ol [a l"o I tl (, A X il 15 (, Fd (â "NJ tl a a Fl \/ (D fd. t-+ fJ F CD o æ \/ - E ll t\) ë F taJ - 3 z o H w f-l v ^ F t't tI \r' - w F TI H EÉ I X Ft Ë o FJ T5 KD KD tr rIJ X l t \ l l(t)l l"- | l-l tl (, tl X rd "N) (rl tl Ë N) ll w I X Ft Ë o (- FJ TC KD KD ts .t+ 'ct FF \/ o' o P. F-r g. tl ç5 €^ ;X ,- llE t^t l\,r rl RÊ +E -gÎ ll XE 'ït ll (, A: :+ x6' iltf 13g P Ft v G<u FrJ Ê)o .. FlFU ol :-X \/ lrao f- lr g o ç Y HIt IE XA âo \J 9-ct l H \ Its Tct ts Ê) lô "s l(D IFJ lx TABLE DE LALOI hIORMALE Fonctionde répartition: æ ( t )- p ( X < t ) La table fournit, pourX -N(0;1) et t réel ( 0 < t S 299), la valeur de æ(t)= p(X < t) pourt- 1,24,ona: l(1,24)-p(X < 1,24)=0S925 Exemple: | I TABLE POURLES GRAI\DES VALET]RS DE t Page 147 sur 169 hnrediondefqreun dB?- arurÉe demicroÉcunomie deiarwier 21il? unitésmonétaires@. Facultéde Droit Economieet Administrationde Metz Sessiondejanvier 2007 Oeun;ano aM /* ûbprtrffi 8"*r*** e J : Endâluirc le profitde l'industb @. PRqFLÈnrF B t3,00poinrsl e i partirdesinbrmationsqui suivent,vorrsrépondrezà la questionzuivanE: æmmentont ârcluéles ffi descingproduitsétudiesid enbe1520et 15g0? Sadrantqued'unepart : MçRAÉCONOMIE Articles 180minutes Sujetproposepar GérardBoNmanoER @ l: les erercices seffit irryÉlrtivEmcdfuùÉs ilsE une pÉcision dBdeu Bhffissatràsfe uir$fr; brfi rtsuhrtnon pu{albmurtlu*fre nesarapasvafide. 2: [emploi dunennuhine à cdgderastsficbmeril inædft; sm milisment efffiisra unanstBÉgale à zÉrusurvingtpour hsuds rmchina nuÉrÉa.. 3 : l'uogr ddrÉryiations lors tE h redaction desqrestions sara hurdement sanrtiormé: la corredi,ondB tersrcice incrûnirÉ u dela question decousbËilÉE serakrunÉdiabmerû sbgÉe. 4: Tort Hl{ilrone porUbleresff à porUe de main sgra Éga|ameril i,mmgdæmertrstirÉ au candùt possassour de Iûi*ûrdsft PROBLÈMEA t3.00pqinbl un bien est oftrt sur un rnarchépar une multitudede firmesqui pewent êFe regroupees en trris types: I 500de tyæ A, 700de typeB et zts de Wæ c. Dansle tableauqui suit ont été mentionnés fes @ûts de prodtrctionassociésaux quantiÉs y susæptiilesd'êtneproduits, au niveaude chaque categorie definne. 2 3 4 5 6 7 I 9 0 0 60 50 96 101 118 151 75 20r 268 348 450 0 45 67 92 72 125 175 89 242 322 r22 172 239 <v 1 : Dtéærmirrez l'ofte de I'indusûiesur te mardré deæbien@. e /: cahulezIe niveaude profit réalisepar chaque Page de firme le prix du marctÉ s'étabfit à 103148 A B c 3,2 3,9 1,7 2,7 0,9 1,7 D E 15,5 18,6 4,9 6,2 Et que d'auûe paft : = 147,0 i luo+,tsol= II4r7 ; I$o9,r5oo = 27417i lrsæ,lsls= 7417i frsæ,tsso Irsrs,tsn= 57,5 i lrsælsæ= 124,7; = 47,7 i l$qs,ls32= 134,7 ; frszo,rsæ frsæ,rsæ= #,7 i lrsso,ts4z= !2417. PROBLÈME, G,[3.09p.ointsl Soit un indivldudont Ia function d'uulité est de la forme : lf = D.C.P.E.F, où D (dlscotheqffi),c (cinema),p (piscine)et E (estaminet) sont guaûrebiensde bisirs dont bs prix unitairessont resffiivement dolrze,sk, bois et uræunités morÉaircs ; la variableF rcpÉsentant fe temps @nsacréjorrmellementpar æt indMduà sesloisirs. q? 1 : Sadrant que cfraque heure harraillee lui rapporte vingt unités monétaires,vous cahulerezle Emps gue ce consommaEurh&fonisE accorderaà sontravall@. e/: 0 1 Prix Prças Ptr.o Éwlffiutes D, c, p et E qull dterdrefraà acquérir@. c- J : Mesurezle nevenu perçrl par cet individu rauonnel@. a'{ : Estimezllndke dbphélimité gui en résulte @. qRoqLÈMED 13.00pointsl soit une firme présentesur un rnaldré où la coftcurerrceest rès vive; l'erplessionG coûts de productionde celleci est foumie par une fonctbn du tyæ t ar=5.Y3- 110.Y2+ 14{n.Y, ou h mriaHe Y represenbhs quantitÉsoffeftes. SEtôant que fe prix de vente de son produit est egal à sur 169 Correcdon rÉdfgÉc par GiËrad EOTBARDTER Seconrlc année ÉcocccËon 400 unitÉs monétaires,vous calqllerezles quanÙÉs offertessur le marchédes brs : c t : Quêlle chercheà maximiserson profit (gég ooint). e /: Quelle souhaite obtenir un prcfit maximum@. c J : Qu'elle fonctionneselon les regles du publk@. e Q: Qu'ellese fixe commepremierobjectifIe plus grand profit possiblesur la demière unitÉ vendue @. e $ : Vous déterminerczenfin le profit global dans chacunedes hypothèsesprec&lentes@. PROBLÈMEE 13.00pointsl La demarde d'un bien sur le marclrés'exprimepar une fonctionqui a pourexpression: P=182-Y, où p représentele prix. Unefirmede æ mardréa une fonctionde coût moyende la fonne : CM=5.Y+6. Vouscalculer"zles quantitésoffertesà l'équilibre lê prix de venE @ et les @, profitsqui en rÉsultent@ dans derx hypothèses: <?1 : Cællede la corrcurencepureet paffaite(!égg noint). a /: celled'unmonopolesimple@, 9OURS[5.00pointsl noms) non conecEment orhographies ne pasrralidés. 1. - @ : Imaginonsque vousayezà plaær la drrfrted'E@ætrutt sur un graphe; @mmentla plaærie:-vous? 2. e @: Qui a définile conæptde frnre furométûque? 3. - @: Citez un théorkien de la ærrarruræ inæmflète. 4. - @: L'hypothese de non saturation dans la theorie du choix du consommatgur. 5. - @: Quelleformeont les courbes d'indifrérenæ dans une hypothèse de deux ttists substituaffiæ? 6. 'r @: Commentappelle-t-onIa Émunérationdu capbl monétaireprêté à la firrne ? 7. e @: À quellecléfinitioncorrespond le conceptsuirrant: <<ffiine qui hit du plaisir le but de la uio>le 8. 'r @: Que faut-il entendrepar bansparence d'un mardré? 9. - @: Éænomiste allemaod,il est à l'origine de la première typologie des marchés bndee sur le nombre des paftkipants; de qui t'æit-il ? 10. - @: La theorieéconornlque integre les rffitions aswiationûstæ; que Faut-ilentendrepar là ? Remalque : l'étudiantrépondr:aaux questionszuivantes, êfl les baitant imçÉnUvementdans l'ordre mentionrÉici, et en prenantacE que draque Éponse fausseentraîneraune penalite egale à O,5g qoint afin de limiterles tentaUonsfrauduleuses si nombreusesen amphiûréâfe; hs nomsd'auteurs(et les pre- >(X>(XX 'fu Page 149 sur 169 Facultê de Dnrlt, Économle et Admtnlstratlon de Vletz æ16rntza dtù /ab' UNIVERSITE de METZ-UFRDROITECONOMIE ADMINISTRAT|ON PARTIELDE MONNAIE- L2 ECO COURSde MMEJEROME-SPEZIARI - Ounge .lanvierZOOZ Oocuments.Oiction Questions: 1l (8 points)- Rôledes taux d'intérêt 2l (6 points)- La Loi de Gresham 3-/ (6 points)définissez: . OPCVM - définitionet rôle des organismesmis en ptacepar la loi bancaire du 2410111984 - titrisation Page 150 sur 169 Analyseéconomiquedespolitiquessociales(L2) Cours de N. Damoiselet JeudilSjanvier Duréede l'épreuve: 3 heures. Aucundocument n'estautorisé. Sujet de dissertation : Pour quelles raisons et, dans quelle mesure, peut-on dire que le système français de protection socialeexprime une certaine solidarité nationale ? Argumeniez. Page 151 sur 169 L3 ECO Page 152 sur 169 uNlvERSlrEde METZ-UFRDRotr EcoNoMtEADMtNtsrRATtoN _ janvier 2OO7 PARTTEL L3 ECONOMTE Théoriesdes relationsmonétaireset financièresinternationales COURSde MMEJEROME-SPEZ|ARI DuÉ:3X_ QUESTIONS : Q1/ [10 pts] Définitionet analysecritiquede la notiond'intégration financièrechez Feldsteinet Horioka(1980). Q2l [10 pts] S'agissant du rôlede I'Etatdans l'évolution d'ensemble de la financeinternationale depuis2 à 3 décennies,pensez-vous qu'il a été inexistant? inefficace? ou au contraire qu'ilfut actif? déterminant ? Quel doiUdevrait être selon vous la place et le rôle de I'Etaten ce domaine, et pourquoi? Remarque:La notetiendracompte:de la rigueur,de la clarté, de la précisiondes arguments avancéset de ',l,originalité" de la Éflexion. Page 153 sur 169 UniversitéPaul Verlaine- Metz L3 sciences économiques Macrodynamiqueet croissance Duréede l'épreuve: 3 heures ChristelleMougeot Vous traitetez, av choix, une des questions suivantesen proposantune réflexion argumentée et structurée: I - Les perspectivesthéoriquesde croissanceà long terme : optimistes ou pessimistes? 2 - Des rendementsd'échelle croissantssont-ils une condition nécessaireetlou suffrsanteà la croissanceendogène? Page 154 sur 169 TJNIVERSITEPAUL VERLAINE DE M.ETZ - UFR DROIT. ECONOMIE ADMINISTRATION OrganisationsIndustrielleset théorie desjeux CoursdeB. Jérôme - L3 EconomiePartiel de janvier 2007 Durée de l'épreuve : 3 h Documents et calculatrices interdits. Vous répondrez aux questionssuivantes en justifiant votre argumentation (y compris à I'aide de graphiques). lo) concurrence pure et parfaite et concurrence imparfaite (7 points) 2o)La règle de Dorfman et Steiner: théorie et application pratique (3 points) 30) Après avoir donné les caractéristiqueséconomiquesd'un cartel, vous expliquerez quels sont les facteurs qui peuvent entraîner sa disparition (3 points). 40) Après avoir expliqué la mécanique du dilemme du prisonnier, peut-on d'après vous résoudre ce jeu et aboutir malgré tout à une solution coopérative(7 points). Page 155 sur 169 ôù +fJ x\<+ t<flilz .:{k'- r-9 .- =+ 3 O tt à so xel = -d ^i-. i ,dUI t<. 1{. È o E o =. q9' ô o o G = Eii q(î 6tt 9o e:E e,F gx tn EI ++ iltl !ry ll llr o $" €ÈÉ à-x F trt FË âF rÏl - l N ii= 8it E :+ G b s \.ô Ë o À o 6 E ? ô T.E ôE F.9 56' 6 ? @ 6 =t G=' Ëg' Ë- e ÊF =È ë3 EE gF oo Éo ^ç g8F HER ro5o =>U €. q ç é :+ ('ii' d 9 Hi.! Ë Ë @F EFI tl k \+-/ :t À J{. .it ' I -r ilr T t, Fl o\*r, oqô Ft.\ oii Ê.E FVI EX gEl FT V2 ê z b. êt 2C) =U F3 Ed tt =v2 -l oz r< F' EI eh E -o t Èr I B =' o o' o o ô o o Ê o ô ô É 5Y d- t'i F F Ëô ,Et-t SX ëtt tt E Ë î ù-êN E >ii 9J'E 9Ê3 9E(5 ËÈv à'a ên vF Ê i6 =(, 3+rQ rl E \L nvk! ô N E, !. o9!< x +{ EÎ l< q Ë r\- è x I Ê < ê O 5 p u riz 83= FéC uNlvERSlrE de METZUFRDRorrEcoNoMtEADMlNtsrRATtoN PARTIELD' ECONOMIE PUBLIQUE- LICENCCO' CCOT.IONilC COURSde MMEJEROME-SPEZ|ARI QUESTION: (20 pts) Donnezles élémentsthéoriqueset empiriquespertinentsqui fondentet caractérisentl'économiepublique. (Dansla notationil seratenucomptede la rigueur,de ta précisionet de l,effortpour produireune synthèse"originale). Page 157 sur 169 Ml ECO Page 158 sur 169 PhilippeCASIN Janvier2007 Analysede donnéesapprofondie Master d'économieappliquée Documentautorisé: aucun Durée:3 heures ExerciceI (6 points) : On considère K tableauxde donnéesXn pour k:1, ...,K , dont les lignessontles observations desmêmesn individuspour différentspaquetsde variable; la matriceXn a pour dimensionn et mn.chaquevariableXu. (la j-ème colonnede Xu) estcentreeet réduite. WuestI'espaceengendré par les colonnesde Xu (k:l,...,K) et Ppest le projecteurorthogonal sur Wn;enfin, soit X=[Xr,...,Xç]lamatrice n x m juxtaposant les K tableauxde données, K o ùm : I m r . k= Pour siniplifier les notations,on supposeque la dimensionde chacundesespacesWu estégaleà n1. l) Soit z[ une variablecombinaisonlinéairedescolonnesdu tableauXu. Déterminer z[ (pourk:1,...,K)etlavariableauxiliaire zr norméedetellemanièrequ" Ënr(rr,zL)soit k=l maximum. 2) Plus généralement,déterminerles variablessynthétiqueszi du tableauXn. (pour k:1, ...,K) et la variablezi norméede telle manièrequ" inr(rj,zi) k=l soit maximumsousles contraintes,n(ri,zl') = 0 pourj < j'. 3) Quel nom porte la techniquestatistiquedécrite en 1) et 2) ; quels sont ses cas particuliers? Page 159 sur 169 Exercice2 (6 points) : On disposede deux variablesqualitativesdécritespour les mêmes12 individus ; la première variablepossède3 modalitésdifferentes(modalité1 pour lesindividus1, 4, 6 et L2; modalité 2 pour les individus 3, 4 et 7 ; modalité3 pour les autresindividus)et la seconde2 modalités (modalitéI pour les individus de I à 6, modalité2 pour les individus7 à r2). On effectueI'analysecanoniquede cesdeuxvariables; indiquertouslesmoyensd'obtenirles résultatsà I'aide d'un logiciel d'analysefactorielledes correspondances en précisantchaque fois le tableauconsidéré. Questionde cours(8 points) : L' analysefactoriellediscriminante. Page 160 sur 169 PhilippeCASIN Janvier2007 Analysede données Master d'économieapptiquéeet Master de Mathématiques Documentautorisé: aucun l.Exercice(6 points): l) Déterminerle couple(*,y) maximisantf(*,v)=x2+0.gxy+y2sousla contraintex2+yz=1 (3 points) 2) Montrerque f(*,v) peut s'écriresousla forme z,Az,où z=f.') o O l.v/ une matricecarréesymétriquede dimension2. En déduireune nouvelle façon d'écrirele problèmedu 1) et de résoudreceproblème.(3 points) Page 161 sur 169 2.rnterpréterles résultatsde I'ACp du tableausuivantdécrivantles caractéristiques de l8 modèlesd'automobiles (14 points 1 2 3 4 5 6 7 8 I 10 11 12 13 14 15 16 17 18 CYL 1350 1588 1294 1222 1585 1297 1796 1565 2664 1166 1570 1798 1998 1993 1442 1769 1979 1294 PUIS 79 85 68 59 98 82 79 55 128 55 109 82 115 98 80 83 100 68 LON 393 468 424 412 439 429 449 424 452 399 428 445 469 438 431 440 459 404 LAR 161 177 168 161 164 169 169 163 173 157 162 172 169 170 166 165 173 161 Page 162 sur 169 POIDS VITESSE 870 165 1110 160 1050 152 930 151 1105 165 1080 160 1160 154 1010 140 1320 180 815 140 1060 175 1160 158 1370 160 1080 167 1129 144 1095 165 1120 173 955 140 PRIX 30570 39990 29600 28250 34900 35480 32300 32000 47700 26540 42395 33990 43980 35010 39450 27900 32700 22100 STATISTIQUES SOMMAIRES DESVARIABLES CONTINUES EFFECTIFTOTAL: 18 POIDSTOTAL : i8. OO +----------------+ EFFEcTIF poiDs I uoveulw ECART-TypE I ltul,t . IDEN- LIBELLE I -+--------+---------- utxntuu MAXIMUMI --+--_---_ -------f CYL -CYL PUIS-PUIS LON-LON LAR -LAR P O I D- P O I D S vrrE - vITESSE P I 1. 2. 3. 4. 5. o . I z. PRIX-pRrx 18 18 18 18 18 18 18 18.00 18.00 18.00 18.00 18.00 18.00 18.00 163r.67 363.39 84.61 19.80 433.50 2r.48 166.67 5.16 1078.83 1331 .0 158.28 11.80 34158.61 6386.43 -+--------- MATRICE DESCORRELATIONS puIS LoN cyl LAR I -----+----CYL PUIS LON LAR POID ViTE PRIX -----+ 1 .0 0 0.80 0.70 0 .6 3 0.79 0.66 1.00 0.64 0.52 0.77 0.84 1.00 0.85 0.87 0.48 1 .0 0 0.72 0.47 poID vITE 1.00 0 .4 8 1.00 r166.00 2664.00 55.00 128.00 393.00 469.00 1 5 7 0. 0 r77.00 815.00 1370.00 140.00 180.00 22100.00 47700.00 --+-------- IRIX 0 55 0'75 0.58 1.00 ___l_11__i_1___l_11 I cYL PUrstor---io*---il_-il--;;;; VALEURS PROPRES APERCU DE LA PRECISION : TRACEAVANTDIAGONALISATiON DESCALCULS .. SOMME DESVALEURS PROPRES .. . . HiSTOGRAMME DES 7 PREMIERES VALEURS PROPRES 7. OOOO 7. OOOO ]________]__________-+---------+---------_+---_______ ------------+ NUMERO I VALEUR I POURcENT. I pouncIIr. I I PR0PRE I I CUMULEI -;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; I 2 4 5 b .7 5. 0699 0.8672 0. 4543 0.3229 0. 1629 0.0815 0.0412 72.43 1 2 .3 9 6.49 4.6t 2.33 1.16 0. 59 72.43 84.82 91.31 95.92 98.25 99.41 {<* r00.00 x {<*x<{<*t*****+*{< {<t**>F*** *x{<*** **{< Page 163 sur 169 VARIABLES ACTIVES +_____________ VARIABLES I _________+____ coORD0NNEES ---+----------- LTBELLEC0URT I r _____________+ I conRnLettot{svARIABLE-FAcTEUR ANcIENS AXESuNITAIRES I -__________+__ z J 4 5 I r _+_____ z 3 4 s I r z z 4 -0. 88 -0. 08 0. 09 0.4t -0. 20 | _0.88_0.08 0. 09 0.4r _0.20 I _0.39 _0.09 0. _0. v . r t4 T v0. . r7l l v . osl I -o.go -0.37 -0.02 0.oz 0 . t l I _ 0 . 9 0_ 0 . 3 2_ 0 . 0 2 0 . 0 2 0 . l l | _ 0 . + o_ 0 . 4 0_ 0 . 1 0 0 . 0 4 0 . 2 8 -0 o .n8z2 0 o .44o0 ô ^ r. tô9t -| ^- 0 . 8 2 0 . 4 0 0 . 0 5 _ 0 . 0 3 0 .ô0qs - 0ô .n0a3 0 0 . l 9 I _ 0 . 3 9 0 . 4 3 0 . 0 8 _ 0 .v u0 6 v0. .t4u 6 -:'1? p u I S- p u r s L O N- L O N | | 3iT" *T"" :913 V I T E- :::::"" vIIESSE -0 -o-rl | -0.2e0.4s 0.30--0.21 -o.rs| -0.3s 0.48 0.4s-0.37-0.38 | -9:l 9ll -9-22 9 19 2r 0.16 0.I4 | -o.er 0.23-0.220.16o.r+I -0.40o.zs-0.32o.zB 0.s4 || - o . z s - o9?3 .s+ -0.14 _ 0 . 7 s_ 0 . 8 4 _0.14 PRIX- PRIX i ao 0.34 0.06 | -O-g+ -0 13 -n ae. -n rA -n ra | -^ o, INDIVIDUS I I --__-__---- I TOENTTTTcRmUR P.REL DISTOI Uô 06 07 08 09 10 ll T2 l3 t4 _tb l6 17 18 I _______+______ coivrRrgulloNs I cosIt,[Js ceRRes ------------+- _:___| 0l 02 03 04 __+___- cooRDoNNEES I ùo o, 0 . 0 6 | _ o . r r _ 0 . 5 8 0 . s 0_ 0 . 2 s 0 . 1 6 0.34 COORDONNEES, CONTRIBUTIONS ET COSINIJS CARRES DES INDIVIDUS AXES 1A 5 +------------____________+_ v. v. 5.56 8.54 o. Do ,. bl 5.56 5.56 5.56 5.56 5.56 2.67 7.64 1 .1 8 l. t8 r.60 C. OO b. /l) 5.56 5.56 5.56 5.56 5.56 5 .5 6 5.56 5.56 5.56 5.56 26.25 17.7r 6.12 1.95 13.48 2.47 2.65 r.64 6. 14 11.49 L 2 2 . 1 9 - 1 . 8 1 0 . 4 3- 0 . 3 7- 0 . 3 6 -1.77 r.51 0.42-r.31 -0.22 1 .3 1 0 . 7 0 0 . 3 0- 0 . 3 6 0 . 0 7 2 . 7 3 - O .1 4 0 . 0 5- 0 . 1 2 0 . 0 6 -0. 45 -0.69 -0. 15 -0.03 0. 68 0 . 2 r 0 . 1 5 0 . 0 1- 0 . 9 4 0 . 1 0 -0.52 l.0l 0.16 0.50 0.12 1 . 9 4 0 . 9 0 - 0 . 6 2 0 . 5 0- 0 . 5 5 - 4 . 8 9 - 1 . 0 6 - 0 . 2 4 0 . 6 8- 0 . 8 4 4 . 1 4 - O . 3 2- 0 . 3 6 0 . 2 0 - 0 . 2 4 - 0 . 9 0 - 2 . 0 5 - 0 . 6 5- 0 . 7 1 0 . 3 1 - 0 . 9 3 0 . 9 1 0 . 3 9 0 .l 0 - 0 . 2 0 - 3 . 3 t 0 . 4 8- 1 . 3 0 0 . 3 8 0.66 - 1 . 2 7- 0 . 4 0 0 . 6 5 0 . 2 4 - 0 . 4 0 0 . 3 3 0 . 7 0 - 1 . 3 7 - 0 . 2 9- 0 . 2 0 0 . 0 1- 0 . 1 9 0 . 8 1 0 . 7 0 0 . 5 8 -2.03 0.10 1.37 0.06 0.21 3.21 O-22 0.09 0.78 0.22 cl 5.2 20.9 2.2 2.4 4.4 3.4 14.5 2.229.4 1.6 1.9 3.1 L.t 2.3 0.2 8.2 0.1 0.0 0.3 0.1 0 . 2 3 . 1 0 .3 0 . 0 1 5 7. 0 . 0 0 .I 0 . 0 1 5 . 3 0 . 4 0 .3 6 . 5 0 . 3 4 . 3 0 .5 4.1 5.1 4.6 4.410.3 26.2 7.2 0.7 8.0 24.3 18.80.7 1.6 0.7 2.0 0.927.0 5.2 8.8 3.2 0.9 5.3 r.9 0.2 1.3 12.0 r.5 20.7 2.5 14.7 r . 8 1 . 0 5 . 2 1 . 0 5 .3 0 . r 3 . 22 3 . 0 1 . 5 7 . 4 0 . 0 0 .2 8 . 1 8 . 6 1 1 3. 4 . 5 0 . 12 2 . 8 0 . t r . 6 l l . 3 0 . 3 0 . I 1 0 . 6 1 .? Page 164 sur 169 0 . 5 60 . 3 80 . 0 20 . 0 20 . 0 2 0 . 4 20 . 3 00 . 0 20 . 2 30 . 0 1 0 . 6 4 0 . 1 8 0 . 0 3 0 . 0 50 . 0 0 0 . 9 80 . 0 00 . 0 00 . 0 00 . 0 0 0 . 1 70 . 4 t 0 . 0 20 . 0 00 .3 9 0 . 0 4 0 . 0 2 0 . 0 0 0 .7 6 0 . 0 1 0 . 1 7 0 . 6 3 0 . 0 2 0 . 1 5 0 .O l 0 . 6 6 0 . 1 4 0 . 0 7 0 . 0 4 0 .0 5 0 . 9 10 . 0 40 . 0 00 . 0 20 . 0 3 0 . 9 70 . 0 10 . 0 10 . 0 00 . 0 0 0 . 1 3 0 . 6 9 0 . 0 7 0 . 0 80 . 0 2 0.44 0.42 0. 08 0.00 0.02 0 . 8 1 0 . 0 2 0 . 1 3 0 . 0 1 0 -0 3 0 . 6 50 . 0 60 . l 7 0 . 0 20 . 0 6 0 . 0 40 . l 9 0 . 7 10 . 0 30 . 0 2 0 . 0 00 . 0 20 . 4 00 . 3 00 . 2 0 0 . 6 70 . 0 0 0 .3 0 0 . 0 00 . 0 l 0 . 9 0 0 . 0 0 0 . 0 0 0 . 0 50 . 0 0 Facteur 2 F a c t e u r1 Facteur 2 Facteur 1 Page 165 sur 169 F a c t e u4r Facteur 3 Facteur4 Facleu3 r Page 166 sur 169 ,aul tne - meu unuersEe facultede drofi,economre et admrnrstratron lèreSESSION 2006/2007 Ml ECONOMIE APPLIQUEE EÇONOMIE ET POLITIQUE DE L'EIWIRONNEMENT Durée:lHeure Voustraiterezau choix I'un desdeux sujetssuivants: SUJET I : Vous traitereztesZ qpestionssuiv de manièresynthétique: ? : l0 points l)CommentI'entreprisepeut-elleprendreen comptel'environnement parI' estimation posés,enéconomie, du bienenvironnemental ? :10 2) Quelssontlesproblèmes points SUJET II : Vous répondrezà la questionsuivantede manièrestructuréeet synthétique: par l'économistede I'environnement ? Quelssontlesdiffrcultésrencontrées ne N.B. : Aucun documentn'est autorisé.Les calculatriceset lesdictionnairesélectronioues sontpasautorisés Page 167 sur 169 Université Paul Verlaine - Metz UFR Droit, Economie et Administration Ml Scienceséconomiques UE 2 DéveloppementEnvironnement EÇ Economie et politiques du développement 1"' semestre2006/2007.lè'" session durée:I heure aucundocumentautorisé aucunappareilautorisé Education et développement Page 168 sur 169 Page 169 sur 169