TERRAINS k LODER

Transcription

TERRAINS k LODER
J o u r n a l d e l'Ain
? M. Joulie va plus loin. « Si le rôle de la chaulais à raison de 22 hectol. à l'hectare dite, sur laquelle ils ne pourront plus »» et »» les 100 kil. pommes de terre, 7 , 0 0 les
1 0 0 kil. Porcs, tués, 2 1 0 ; vendus 1 3 5 fr. les 1 0 0
chaux» dit-il, se bornait à fournir aux et je mis blé sur blé. Ma réussite fut com- vivre 1
plète et les moissons de 1890 et 1892 furent
Et voilà comment ce département a perdu, kil.
plantes la chaux qui leur est nécesaire,
500 kil. de superphosphate de chaux suffi- exceptionnellement belles grâce principa- par l'émigration, dix-sept mille habitants
TRÉVOUX, t 7 février.—Beurre, de 3 , 1 0 à 3 , 2 0 le
Blutteries, Nettoyages, etc.
raient à ta rigueur pour donnera l'hectare lement à l'élément calcaire y introduit à la de 1886 à 18911
k i l . ; œufs, d e » , 9 0 à l , » l a d o u z . ; lapins, de 1 , 5 0 à
en non état
2 , 7 5 la pièce ; dindes, 5 , » » à 5 , b 0 la pièce ; c a les 200 kil. de chaux nécessaires aux plan- suite de l'acide phosphorique. Il est à remarquer que les engrais minéraux sont
nards, de », », à » , » p i è c e ; poulets, de
à 3,00,
tes les plus exigeantes. Mais la chaux posBIBLIOGRAPHE
pigeons, de 0 , 0 0 à 0 , 0 0 ; oies, 4 , » à 5 , 0 0 p i è c e ;
sède en outre la faculté précieuse de dé- d'un effet plus prompt et plus assuré sur
Pour les grains, on a coté: Blé 1
choix, 2 0 , 5 0
composer les matières organiques conte- les sols légers que sur les sols compacts à
A
l'rlx très réduits
L'ART EN BOURGOGNE
2 t , » ; vieux, >\« à » 0 0 ; avoine blanche, d e
nues dans le sol et de rendre par suite l'excès.
S'adresser à la Chartreuse de Sélignac,
1 8 » i 1 8 , 5 0 ; avoine -îoire 2 1 , ' 0 à 2 1 , 5 0 ; seigle
Par
A.
Perrault-Dabot,
archiviste
de
la
M. Sainte Claire-Deville a fait un jour la
libres et assimilables la potasse, l'azote et
par Simandre-sur-Suran (Ain). (95) 4-1 c .
4 1 , » à » » les 1 0 0 kil. Sarrasin, 1 6 , » à .»
l'acide pbosphorique^qui sans cela n'au- remarque assez triste que les régions ac- commission des monuments historiques au Maïs, » » à r » , . — Pommes de terre », » à
Ministère
de
l'Instruction
publique
et
des
tuellement les plus éprouvées sont celles
raient pu être utilisés... Le sulf.itede chaux
»*,<>»les 1 0 0 k.
(plâtre) favorise la nitrificatioo et le carbo- précisément o ù l'emploi des engrais chimi- Beaux-Arts, 1 vol. grand in-8°, orné de 32
planches
hors
texte
et
d'une
carte,
avec
LYON,Palais du Commerce, 17 février 1 8 9 4
nate de chaux bien davantage. A cet effet, ques a été poussé à ses dernières limites.
Farines premières
vente au commerce, d e 4 1
1,000 kit. de chaux (12hectolitres)suffisent J e le crois sans peine, avec la mévente de couverture en couleurs.
k 4 2 fr. » le sac de 4 2 5 kil. ; vente en boulanC'est faire aimer davantage son pays que le faire
amplement, à condition de ne pas enterrer nos priucipauxproduits, le bétail y compris.
gerie, de 4:1 f r . » à 4 5 fr. » .
la chaux, mais de l'étendre à la surface, à
En se bornant à des acquisitions de mieux connaître ; aussi un puissant courant d'études Farines deuxièmes, de 37fr.f 0 à 3 8 fr. » .
se
dirige-t-il
depuis
quelques
années
du
côté
des
l'aide d'un simple coup de h e r 3 e . C'est à la chaux et de phosphates, on réduira de 50
Biés de pays, de 21 fr. 5 0 à 2 2 f r . » .
Marqués A. T.
et publications locales. La Bourgogne
surface du sol que la nitrification s'opère p. 100 la dépense engrais, et l'on échappera j recherches
Blés du Bourbonnais, de 21 fr. 5 0 à 2 2 Ir.
Sur Saînt-Paul-de-Varax (Bois FORVIEUX)
n'est p a s restée en arrière des- autres provinces,
• le mieux, âr cause de la grande quantité à la fraude beaucoup plus facilement qu'a- - plusieurs écrits sont déjà venus relater son histoire Blés du Nord, de 21 fr. 0 0 à 21fr.5 0 .
S'adresser pour visiter au garde Buisson,
Blés du Dauphiné, d e 2 1 fr. » à 2 1 , 2 5
d'oxygène, qui s'y^trouve,**
vec les engrais complets.
politique, il ne restait plus, à décrire que son passé
et pour traiter à M. Truchelut, géomètre à
Mais la potasse et l'azote, veus n'en monumental et artistique, aussi glorieux et moins Blés de Marseille, de 16 fr. » à 2 4fr.» .
La chaux peut s'utiliser en toute saison,
S,-gle, d e 1 4 fr. » à 1 5 fr. »
Bourg, rue Edgar-Quinet, 9. (93) 2—1 c.
soit seule après avoir été fusée sous un faites donc pas de cas ? — Le plus grand sanglant.
\voine, de 2 0 fr. » à 2 2 fr. » .
Cette lacune vient d'être comblée : notre compahangar, soif, en compost que, pour une cas, au contraire, seulement j'estime avec
M a s , de 1 5 fr. » à 16 fr. » .
dépeuse moiudre**de transport, on peut M. Sainte-Claire-Deville qu'en ce qui con- triote, M. Perrault-Dabot, a complété par son Sarrazin, de 15 fr. » à 1 6fr.»
FUMIER DE CHEVAL
récent
ouvrage
sur
«
l'Art
en
Bourgogne
»
la
somme
confectionner à la terre à l'aide des gazons cerne l'azote, cet élément sera fourni plus
Colza, de 3 0 fr. » à 32 fr. »
connaissances nécessaires pour faire apprécier,
qui bordent les haies et fossés, ou avec la avantageusement par les engrais organi- des
A. Vendre
Son et recoupe, de 11 fr. » à 12 f r . 2 5 .
à tous l e s points de vue, notre belle province.
niques que par les nitrates du commerce. Nous passons en revue, dans cet intéressant volume,
Freurage, de 1-4 fr. » à 1 5 fr. ».
terre des cbaintrestout bonnement
Chet M. AUGER, tripier, rue des Halles, 10 à Bourg
C'est une grande" erreur, en effet, de tous les monuments bourguignons* depuis ceux
L e fumier de ferme contient un peu
LONS-LE-SA UN 1ER, 1 5 lévrier 1 8 9 4 .
(88)
12—3 c.
croire que les engrais chimiques peuvent qui ont été élevés aux temps préhistoriques, jusqu'à
plus d'un demi pour cent de chaux.
Fromeut.le d.^1., l " q u a l , 3 , 7 0 ; S ' , 3 . 5 0 ; 3 « , 3 , 3 0 .
2° Acide phosphorique. — C'est l'élément remplacer le fumier qui restera éternelle- ceux qui turent bâtis par nos contemporains.
Avoine, 1 , 8 0 . Orge, 2 , 1 0 . Seigle. 2 . 8 1 Maïs vert,
À Louer de suite
qui manque le plus à nos terres et à nos m e n t Jâ base de toute culture, à la condi- L'architecture civile, religieuse, militaire, est traitée »,»» Maïs sec, 2 , 1 0 . Fèves, 3 , 5 0 . Haricots blancs,
*s#réa. Sur Iç-ehamp de blé, il ne marque tion toutefois que le bétail sera bien nourri à chaque époque, avee les développements exigés 3 , 5 0 . Navette, 5 . 5 0 . Sarrazin, », » » . Vesce »,»»
un ancien
toute l'année et qu'arrangés en monceaux par le sujet. On leng chapitre est consacré à Brou, Pommes de terre 0 , 7 5 . Foin les 5 0 0 kil. 7 8 fr.
pas à l'œil comme l'azote, mais il donne du
la perle de la Bresse ; les églises àe Nanlua et
grain, il empêche fa verse et, grâce à lui, -suffisamment épais, tassés, arrosés de pu- d'Ambronay ne sont pas oubliées. L'auteur rte Paille les 5 0 0 kilos, 4 3fr.» .
les pâturages médiocres peu veutdevenirtrès rin, puis recouverts de dix centimètres de
néglige pas non plus les autres branches de l'art,
DOLE, 1 5 lévrier 1 8 9 4 .
terre pour meilleurefixatiou des gaz ammo- la sculpture, la céramique, la gravure, les meubles,
bons.
Froment, l e d-d. 3 , 3 0 , 3 , 2 0 , 3 , 1 0 . — Seigle,
A v e c son m a t é r i e l
La pondre d'os nous est particulièrement niacaux; les fumiers seront garantis contre les vitraux, e t c . . D'intéressantes comparaisons sont 2 , 4 0 . — Orge, 2 , 3 0 . — Maïs, 2 , 4 0 . Sarrasin,
S'adresser B de Brou, 9, à Bourg
la
moisissure
et-les
lavages
des
eaux
extéfaites
entre
le
gracieux
émail
bressan
et
les
émaux
recommandée par les plus hautes autorités
»,» . — Avoine, 1 , 7 5 . — Haricots, 4 , 5 0 . — Na152)
12—71v
agrouomiques. 400 kil. de poudre d'os sur rieures qui, trop souvent, en dissolvent les ( d o r é s des Gaulois, dont le modèle original semble vette, » , ». — F è v e s , ». » , — Pommes de (erre,
le» cèréalee, S00 kil. sur les prés«t pâtura- meilleures parties. Moyennant ces soins s'être transmis de siècle en siècle, à travers les » , 7 0 — Bœuf, » , ». — Vache, » , ». — Veau, » . »
— P o r c , », ». — Mouton, » . ». — Foin, les 5 0 0
ge^ donueut des résultats 1res avantageux. journaliers et peu coûteux, on obtiendra âges.
Enfin, les biographies des plus célèbre» peintres
En sol argileux, les scories métallurgi- partout ce fumier qui « réchauffe, dompte qui ont illustré la Bourgogne, parmi lesquels nous kil., 7 9fr.— PaiHe, les 5 0 0 kilos, 4 8 fr.
qiwsfrdnwjeirt', à poids^gal.de meilleurs ré- et réjouit la terre»,comme disait Olivier de retrouvons le délicat Chintreuil, né à Pont-de-Vaux,
CHALON, 1 6 février 1 8 9 1 .
Pour JARDINS on ENTREPOTS
sultats q<ie les superphosphates à 12 p. 100 Serres, parce qu'il y entretient une réserve terminent ce volume, qui n'est pas une sèche noBlé, 1 ^ qualité, les 1 0 0 kilog. , 2 1 , 5 0 ;
Olos d e Murs
d'acide soluble. C'est le contraire en sol d'humus ou matière brune qui a la vertu menclature de faits et de noms, sans appréciations 2« quai, (roux), 2 0 , 7 5 ; 3« qualité, 2 0 , 2 5 . Seigle.
d'ameublir les terres trop fortes et de don- personnelles. Au contraire, l'auteur se place cons- 1 6 , 5 0 . Sarrasin, 1 6 , 5 0 . Pois, »»„»». Maïs vert, 1 6 , 7 5 ,
calcaire.
Nouveau quartier des Gares faubourg de Lyon
Sous l'action fécondante des os broyéSj ner du Gorps aux terres légères, sang comp- tamment au point de vue spécial du caractère : Maïs s e c , 1 7 , 5 0 . Maïs moulu, 2 1 , » . Colza, •», »,
BOURG
I
Haricots
blancs,
2
1
,
»
;
Haricots
rouges,
2
5
,
0
0
;
bourguignon, qu'il retrouve toujours, semblable â
des districts très pauvres du Nord-Est de ter un rôle chimique des plus importants,
1 8 , » » ; Orge,
16.25;
Vesces - 2 8 , 5 0
lui-même, dans tous les temps et dans toutes ses j Fèves,
S'adresser à M. TRUCHELUT, géomètre,
Qua'Ot
à
la
potasse,
ou
sait
que
mise
en
l'Angleterre, dans le Liucolnshire et le
S Avoine, l « quai, 2 3 0 0 ; 2 * qualité, 2 2 , » . Pommanifestations.
rue Edgar-Quinet, 9. (92) 3—2 c.
comté de Nottinglnm, soaf devenus d'une présence des silicates alcalins de nos argimes de t e r r e , 5 f r . 5 0 ; Foin 15,M). Paille, 9 . ». FariAjoutons que ce volume, écrit d'un style aisé et
les,
la
chaux
a
la
faculté
précieuse
d'en
fertilité remarquable.
nes, 1requalité, 4 0 0 0 2e quai. 37,3»qualité, 3 0 f r .
clair, qui en rend la leetnre attachante comme
Phénomène curieux, il résulte des expé-> mettre eu libei té.Les terres souvent fumées, c d l e d'un roman^ se présente sous un aspect méChâtaignes, l'hectolitre »» f r .
à louer pendant
Comestibles. Beurre, le k i l o , 2 , 8 0 à » » » Œufs,
rielrees des professeii+s Wng4son et Muirro là s u t tout où l'on recueille avec soin les thodique et facile à saisir. Documenté de façon à
,
.
deux mois
purins, eu manquent rarement.
satisfaire les érudit,s, tant par l'exactitude que par la douzaine » , 8 j à »,»» Volailles, la p. suivant m é que, l'addition de 75 kil. d'acide plios
chienne devant mettre basfiafévrier pour
rite
2
,
»
à
4
,
0
0
.
le
nombre
de
ses
renseignements,
il
peut
égaleDéfoncrments. — J e termine en appelant,
plvoriqneè l'hectare, sur lech-imp rt'expé
nourrir jeunes chiens.
l'attention d u monde agricole sur les ment être lu avec le même intérêt par les gens du
j j e n c e de D.>wton qui en eonlieut 7,500 k
S'adresser MÉGARD, vétérinaire, rue
monde, auxquels il épargne l'étalage fatiguant d'uni
importants
services
que
peut
reudra
^>ar couche de 30 centimètres, a suffi pour y"
Bernard, Bourg. (94)
3—1 c .
trop grand nombre de termes techniques. Il con^»
l'hiver et au premier prinfaire produire des excédents considérables avant
ANNONCES & AVIS DIVRS
vient donc sons ce rapport à toutes les bibliothèques
de récolteX» raison d'un pareil phénomène temps, dans les opérations de défonce- et peu-t se placer dans les mains, de tout le monde*
donuée/pajE labaron Thé&drd, c'est que 1% ment, la charrue fouilleuse dite sous-soCeux q<i ont à cœur de connaître l'histoire d e
Etude de M« BAILLY, notaire à Bourg,
tçseneContenue dans Je sol y esta l'état de- leuse, si expéditive et économique en mê-, leur province natale, comme ceux que passionnent
successeur de M ROLLIN
phosphate de sesquiaityrle de fer, c'est-à-* me temps. Deux forts attelages retournent les études arti4iques, tiendront à acquérir le p r é Horticulteur, Pépiniériste i Bonrg (Ain)
eieux
volume
de
M.
Perrault-Dabot
une
première
couche
de
22
à
24
centimètres
tfire n un état à-peu près inassimilable, si
En vente à Paris, chez Laurens, éditeur, 6, r u e
ARBRES FRUITIERS ET FORESTIERI
ta* n'est à la longue et a'i pas une valeur- d'épaisseur, Un cheval s u i t , remorquant la
APRÈS DÉCÈS
grgeiit Comparable aux phosphates appor- fouilleuse, qui approfondit de 10 à 12 cen- de Tournon, et à Bourg, chez tous les libraires, au
Plants d'asperges, (^aubépines et d^acacia
timètres la couche remuée, total 35, voire prix de 12 fr.
tes par ht*"fHmtJre.
CLLTLRE DE VIGNES AMÉRICAINES
Selon Malagutti, tes cendres lessivées 40 centimètres, si l'on f a i t u s a g e d ' u n bra- >
JOURNAL DE L'AGRICULTURE
Phnts Greffés, Racines et Soudés
renferment, à poids égal, plus d'acide b u t . Trois attelages aiosi compris peuvent,
Sommaire du N» H 2 2 , ,du (7 février 1 8 9 1 . —i .
phosphorique que les Cendres vives. Elles durant les joufs les pLdsrcourts de l'année,
Jfondeuse,
Gamay picard et Gamay Fréau,
Henry Sagnier. Chronique agricole, - r Dampierre.
enlever leurs deux hectares par semaine,
sise a Bourg, rue Bourgmayer, n° 50
sont d'un grand effet-sur les terres jTemChardonay, Roussette, Portugais bleu, MontLes
eaux-de-vie
de
cognac
faciles
à
sauver.
*—
Paravec un travail beaucoup p l u s parfait que
blave et sur les prés non pprosés^
dépendant de la succession de M. Messand mélian, Moullan. Tous ees plants sont grefofficielle. Admissions temporaines de blé. —
si la couche inerte du fond était ramenée à tie
La-rôle attribué en Ang1elerre»ux suppr
Pouillet. Questipn rte droit rural. — Sagnier.. ConRevenu ; 5 4 0 fr.
fés sur Solonis et Riparia. (703) —21 1.
phosphates-sëé^Éra-ax <-oupç les ravages des la surface. Cette méthode- préconisée dès ; cours général agricole de Paris. — Bignon. E m Pour traiter et pour visiter^ s'adresser
Plant de Treffbrl et Mèclcïe ou Poulsard,
longtemps
à
St
Remv
(Hte-Saône);
en
Brie,
•
ploi des sarments et des feuilles de vigne. — Langlaises, doit être éteadu aux scories mésu? Yialla et Riparia
tallurgique»! P+a»ieur^ pensonues nous~as- chez l'honorable _JM^ Bnmdio ; à Dracé ; glade. Goncours d'animaux gras à Pan.—Sardriac. a M> BAILLY, notaire. (86) 3—Z e.
Se
charge,
de la plantation à prixdébatsurent Jue; ftifenx'queîla <bamx,«lles met- (Rhône), chçz AI, Jtalofy-, le jeuue-et intelli- { Nouvelle batteuse du système Albaret. — Du P r é HOSPICES (CIVILS DE BOtIRQ
gent fermier de la belle terre d'Amorge ; J Collot .Les fermages et les cas de force majeure
tus, et se rend responsable de la, reprise.
tent eu viiueks insecle^ <pfl s'atlaqueutaux
Troude". La production du sucre en France e
crucifèr%Jorsde la lev*e <i& semis.Qu'on se etc., etc.; me semble devoir être par ses i en Allemagne.
— Bronvick. Courrier du Nord-Est
avantages
incontestables
la
méthode
de
g
Çidise
— Bemy. Revue commerciale : — GRAVURES NOI
l'avenir.
Le vendredi 9 mars I89i par devant la
, Le fumier de ferme n'apporte guère que
R E S : Concours général de Paris.
commission administrative des Hospices 1° Peintures murales pour églises, chaAgréez, etc.
* p 7 milligrammes de son jjoids par ki'~
~Piirr>1IIIM>IIIMIIIII»i>iatolHIIMIWilHIHilliH|MilliliMIWIW^iMH|Ml||Bl
pelles;
de Bourg, il sera procédé h l'adjudication
Pierre BERTHELON.
décide phosphorique.
de la fourniture de :
2° Restauration de tableaux, statues, doAgriculteur à Chcmeins,
Bulletin agricole e t c o m m e r c i a l
Détail fmportant de culture : répandez
rures;
par Montmerle (Ain).
•1° 150 hectolitres de vin ; 2° 100 stères
un « i f ^ à y$\ianQ£, si possible, les fthos
3°
Décorations
poui" Salles à manger, s a PARIS.
17
février
1894.
—
Il
y
a
peu
àe
chande
bois
de
chauffage,
à
livrer
aux
condiphates destinés a«x 4jlés et enlerrez-les
POMME DE TERRE IDAHO
gements, dans tes prix des grains, mais on constions et aux époques indiquées aux cahiers
loKfs, vestibules.
(91) 12 21.v.
correctement par un trait de charrue ou
A ceux de mes coabonoés qui me de- tate depuis une dizaine, de jours un fléchissement des charges dont les intéressés pourront
PRODON, peintre-naturaliite,
faubourg
unéôup d'fextïrpateuf. Sut- les prés, oû se
mandent si j'ai encore de la semence "Sur ceux du blé. Les vins se vendent toujours prendre coûuaissaoce tous les jours non
bornera à deux hersages croisés.
du
Jura,
67,
Bourg
Û'Idako, permettez-moi de répondre par la jiml. Les sucres, les alcools, les huiles, sont mieux fériés, de 9 heures à midi et de 2 à 4 heuJDe gros apports d'engrais çhimiqqes,
tenus qu'au commencement du mois. Les verdures
res, au secrétariat-des Hospices (Charité.)
Surtout au début^flZmie culture, d'un avis voix du Jpurnal que cette variété à très Ml fleurs se tendent à des prix peu élevés en r a i
i B p T O argent sur signatures à
hauts
rendements
et
d'une
conservation
panLes soumissions,, dressées sur papier
.général, exposent a d
déceptions, Donc
-son de leur abondance. Pour le bétail, l'améiiorali
, , « '°ng termeà toutes personnes
modération et persévérance, telle est la laite, continua à me donner toute satisfac- tion se maintient, dans l e cours du veau et du porc timbré, et mises sous enveloppe cachetée,
solvables
S 0 / 0 . Ecrire Caisse Mutuelle.
tion
et
que
je
puis
disposer
d'une
certaine
notamment.
seront
reçues
par
l'Econome
de
la
Charité
règle.
,
quantité de tubercules au prix de 10 francs
b2, rue de Clichy, Paris. (10° année)
Le dernier prix moyen du quintal métrique pour
jusqu'au 8 mars.
(89) 3—3 c.
Avisons maintenant au mode le plus simles 100 kil., toile perdue.
loute la France a été ainsi établi : Blé, 2 0 , 7 8 ;
(716)
78-33e.
ple d'arriver au chaulage et au phosphatage
hausse de 0 9 centimes ; Seigle, 1 5 , 5 1 , hausse de
P. B.
méthodiques des terres, car presque toutes^
5 centimes; Orge, 17,50, baisse de î 8 c e n t i m e s ;
FABRIQUE DE BIJOUTERIE; JOAILLERIE, 0RFEYRÈRÏE
noua l'avons vu, manquent de ces deux
Avoine, ï l , J 0 , baisse de 27 centimes.
s n e é p i s o d e «le l a * r l « e a g r i c o l e
éléments précieux de fertilité. Le marquis
Voici pour la région de l'Est, les prix par quintal
de Château vieux, da,ns ses^ Vpgages agronoIl se produit, en ce moment, dans le dé- métrique des différentes céréales :
miques en Francç, nous eu donnej'tdee par partement du Lot, très éprouvé par la perte
Awa'ne
Seigle
0r «
anticipation lorsqu'il nous raconte l'ingé- des vignes, un fait nouveau, et fort sug*
Ain.
Pont-de-Vaux .
14 70
20 3 0
» »
18 »
nieux numérotage des terres au nxoyeq du- ge$tif, coinme pn dit aujourd'hui ; c e fait,
21 50
16 5 0
» »
•22 »
Rvi© N o t r e - D a m e , et B o u r a ( m i
quel un habile agronome italien arrivait à
21 2 5
15 »
21 50
?0 50
le voici : Le phylloxéra y a détruit les Côte-d'Or. D i j o n . . . .
Parures, et Bagnes. Brillant» •» T J „ „ _
» '
»
(-ài.lIX)
Doubs.
B
e
s
a
n
ç
o
n
.
.
.
21
2
5
>
»
»
»
20
50
pratiquer sur sa propriété un assolement vignes qui «ouvraient les eoteautf, et ces
g r a n d a s s o r t i t ^ d . C h â S ^ r t S ^ t o l » » . § Services
S'-Marcelin..,
ïi 4 0
15 7 0
» »
19 50
Boites, d'orttrrerie.
Sautoir». B Vente et réparation d'orfèVreriS d'ôaU-fc
assez compliqué et jugé dos plus avanta- vignes ont été remplacées par la carotte ,Isère.
/ura.Lons-le-Saunier
23 75
» r>
16 15
18 tf
~
'
« , « ° » * « J « artistique. _ Objet.
geux de son temps.
2Q 90
14 6 0
16 75
21 9 0
sauvage. Mais on n'a pas réussi et i] a
S a o e-et-L.
Autun.
21 2 5
Dans les pays où, comme dans l'Ain» le fallu vendre les propriétés.
14 50
» »
20 5 0
D'ÉMATTY
Savoie.
Cliambéry..
19 75
14 7 5
» »
19 50
récieux trèfle violet (le trèfle àfihevaldes Mais les acquéreurs, même à vil prix, Hte-Savoie.hst
Roche
19 50
» »
» »
16 15
MONTRES DE GENEVE A BES/INÇON
eiges")revieut périodiquement tous les six n'ont pas pu payer à cause de la mévente
Hftflle
M o y e o n e da l a r é g .
26 99
15 2 8
1 8 58
19 85
ans,, par exemple, la place des deux élé- de ce qui est resté, et maintenant, on en
ments minéraux précités me parait tout est à la seconde expropriation, celle de ces
Denrées coloniales et agricoles
_
MÉDAILLE D'OR, EXPOSITION UNIVERSELLE 1 8 8 9
indiquée. Exemple :
acquéreurs.
SUCRES bruts, de 3 5 , 5 0 à 3 5 , 7 0 . Raffinés, 1 1 1 .
Nous sommes en mars 1894. Chaulez
Or dans cette- seconde expropriation, Blancs, de 3 8 , 6 0 à 3 8 , 8 0 .
T O U S L E S M O D È L E S SONT
D É P O S É S
SPIRITUEUX. — Les prix se soutiennent à la
tout d'abord les semis de plantes sarclées : aussitôt le commandement reçu, et dans,
carottes, betteraves, pommes de terre, maïs., les trente jours qui les séparent d a l a Bourse de Paris, mais avec une Certaine lourdeur ;
etc. ; le 4/6 de vos terres y passera. Un an saisie, le futur exproprié, non seulement on cote les trois-six Nord, 3 5 à 3 7 , 2 0 . — A Lille,
après, sur toute l'étendue de l a sole chau- s'empresse découper et de vendre les gros l'alcool de betteraves s'est relevé d e 1 fr. air cours
de 3 5 fr. l'hectolitre. — Dans les Charentes, il
lée et soigneusement nettoyée par les sar- arbres — ceci est le vieux jeu, bien connu, s'est traité quelques affaires en eaux-de-vie r a s « H
clages, on répandra de la graine de trèfle
mais il fait mie.ix ; il démolit la mai ses; les nouvelles sentent encore trop la chaudière
Qualité supérieure incontestable
violet, la herse couleuvre suivra le semeur,
son d'habitation et la grange, «t vend à tout ; pour être bien dégustées, mais on compte sur leur
----•
•• •
.
. à . q ] i t g — A Berlin, la tendance est calme au cours
pour une levée plus pompte et une meille -voisinage
les matériaux/et
on devine
Bourg, Diplôme d'honneur, 1891
de 45,25-les 1 0 0 k. — Les kirsch de l a Hauteleure garantie contre les déprédations des quelles conditions ! de sorte que le créan
Saône
uurs
valent
2
5
0
fr.
l'hectolitre.
P a r i s , 1889
oiseaux. Ces trèfles donneront, en 1896, cier poursuivant trouve le sol nu
H U I L E S de lin, de 4 K20 à 4 9 , 5 0 . de colza, de
deux plantureuses récoltes. En août-sepCette disparition des bâtisses rend la
IE
tembre 1896 défrichement du trèfle et vente à peu près impossible, en tout cas 55,iO à 5 8 , 2 0 .
S U I F S . — En baisse à Pari», o,i cote 61 fr. les
épandage de4 à 500 kil. de poudre d os ou j désastreuse pour lui, s'il ne devient pas 1 0 0 k. pour le suif frais fondu de la boucherie e t
de 1000 kilos de scories métallurgiques, lui-môme l'adjudicataire, avec la perspec- pour le suif de province.
qu'on enterrera à l'extirpateur.
j tive ruineuse de faire rebâtir.
SAINDOUX. — Les marques françaises sont cotées
A JUJURIEUX (Ain)
Cephosphatagequisuccèdeàunchaulage, i En vain, a-t-on voulu empêcher ces des- de 106 à 1 2 0 fr. les I c O k. L a marque W i l c o i
à trente mois d'intervalle, aura pour effet > tructions, on n'a pas pu : leurs auteurs vaut au Havre 1 0 2 , 5 0 .
d'empêcher la verse du blé, voire même la avaient consulté des avocats. « Vous êtes
F o u r n i s s e u r s d e s Administrations Civiles e t Militaires
PONT-DE-VAUX.
14 février 1 8 9 4 .
rouille, si le semis est suffisamment épais, , maîtres de votre bien ; tant qu'il n'est pas
l'hectollti»
Froment.
et l'on sait que ce sont là deux grands l saisi, vous avez le droit d'en disposer à
15.33
— 16.66
Seigle
écueils à éviter, non seulement en Bresse, j votre façon »; telle avait été la réponse Le
11.66
— 12.33Avoine
mais en Flandre, dans la Beauce et partout. \ secours des gendarmes a été imploré
8. »
— 10. »
Pour dallage
îploré - ils
Maïs
à prise demi-lente
11 6 6
— 12.66
En 1888, il m'est arrivé d'échouer avec sont venus, et la démolition a continué
Sarrasin
»
». »
1
0
.
2
2
_
de la poudre d'os, à la dose de 400 kil. je- sous leurs yeux.
C
I
M
E
N
T
P
R
O
M
P
T
Paille les 100 kil
». »
00.00
C H A U X
L O U R D E
tée sur une terre blanchâtre, siliceuse,
Et maintenant, pour le psychologue —
Foin, les 1 0 0 kilos
15. »
— 17. »
à prise rapide
où, à vrai dire, le blé n'avait jamais donné le mot est à la mode — quel sujet de méEminemment hydrauliqm "
St-LAURENT-DE-L'AIN, 17 février 1894
de brillantes récoltes. La paille fut cepen- ditation ? Quel état d'âme chez ces paysans,
Froment, 2 1 , 3 2 les 1 0 0 kil. Seigle, 1 6 , » le q.m.
dant un peu plus abondante que d'habitu- qui détruisent ainsi leur maison, leur
(53)
Maison d e V e n t e à P a r t i
l'hect. à », ». Méteil,
» , à » ' • Avoine, 2 3 , » » ,
de, mais mélangée de pavots et de ceotau-. manoir, la grange qui abritait leurs bœufs,
5 2 - 9 I.
. m. Sarrasin, 1 6 , » le q. m. Haïs, 17,00 le q. mrée-barbeau qui pullulent dans ces sols et qui, le sol ras, s'en vont farouches, dé-*
avette, » , » . — Colza, » , J . — Millet, » « .
lonoV. Sans hésiter, à un an de là, j e sespéréa, sauvages, f ujant cette terre mau- —JUaenke^ », ». — Foin, », » aift faille, 10,»f
L* popriétaire-gerant,
J . - M . V a u m u w a t — Bourg imp. J . - M . V U J U H T U J W « ;
R01ES DE SI01LIN
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