info document - PDF – 308.8 ko - Ville de Clermont

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L’Inconnue de la Seine
– Un Songe
Estèla Alliaud
Benjamin L. Aman
Guillaume Constantin
Laurence De
Leersnyder
Sophie Dubosc
Agnès Geoffray
Karolina Krasouli
Arnaud Vasseux
[Commissariat : Marie Cantos]
Exposition collective
vendredi 29 avril > samedi 30 juillet 2016
La Tôlerie – Espace d’art contemporain, Clermont-Ferrand
Guillaume Constantin, L’Inconnue, 2013
Réplique du masque de « l’inconnue de la Seine » en plâtre teinté.
Réédition(s) dans le cadre du projet « La Manufacture », Biennale du design de Saint-Etienne.
© Photo : Jean-Charles Amey | Courtesy de l’artiste et galerie Bertrand Grimont, Paris
--- Dates à noter
Visite presse :
Jeudi 28 avril à 16h30,
à La Tôlerie, Espace d’art contemporain, Clermont-Ferrand,
en présence des artistes et de la commissaire de l’exposition.
Vernissage public :
Jeudi 28 avril à 19h00,
à La Tôlerie, Espace d’art contemporain, Clermont-Ferrand,
en présence des artistes et de la commissaire de l’exposition.
Visites commentées :
Samedi 21 mai à 16h30,
rencontre avec la commissaire de l’exposition,
à La Tôlerie, Espace d’art contemporain, Clermont-Ferrand,
Samedi 18 juin à 16h30,
rencontre avec la commissaire de l’exposition,
à La Tôlerie, Espace d’art contemporain, Clermont-Ferrand.
--- Communiqué de presse
« Le mouleur que je visite chaque jour a deux masques accrochés près de sa porte.
Le visage de la jeune qui s’est noyée, que quelqu’un a copié à la morgue parce qu’il était beau,
parce qu’il souriait toujours, parce que son sourire était si trompeur; comme s’il savait. »
Rainer Maria Rilke1
« On ne sait rien d’elle… une inconnue… qui s’est jetée dans la Seine, une jeune femme,
elle a fermé les yeux sur son secret… pourquoi a-t-elle fait ça ? La faim, l’amour…
On peut rêver ce qu’on veut… Qu’est-ce qui a poussé le carabin de service, là, à côté,
à la Morgue, à prendre le moulage de cette noyée-là, et pas d’une autre… »
Louis Aragon2
« Nous parlons, sans doute, parce que nous avons un visage.
Dans chaque parole, c’est, en quelque sorte, le visage qui se prononce. Mais nous imaginons aussi.
Peut-être imaginons-nous parce que notre visage a un envers qui nous échappe, et
parce que cet envers du visage apparaît lui-même comme l’empreinte, en dedans,
des visages qui nous ont fait naître et que nous avons perdus : les visages de nos morts. »
Georges Didi-Huberman3
L’Inconnue de la Seine – Un Songe constitue le second volet d’un diptyque
d’expositions collectives se déployant sur deux années à La Tôlerie, Espace d’art
contemporain de Clermont-Ferrand. Il propose, à la suite de Réparer à l’endroit de
l’accroc le tissu du temps (28 avril au 25 juillet 2015) 4, de revenir5 sur la déclaration,
limpide et énigmatique à la fois, d’une patiente au psychanalyste Pierre Fédida : « Je
sens, par mon silence, le creux dans ma bouche 6. » Quasi performative, cette
phrase, prononcée lors d’une séance inaugurale, convoque, de manière plus
générale, les sources de ce projet : l’actualité artistique de l’empreinte, l’expérience
existentielle de l’absence, l’infinie réversibilité de la forme et de sa contre-forme ainsi
que le lien de ces problématiques au langage, qu’il soit gestes ou paroles.
Car l’Inconnue de la Seine est avant tout un masque : celui d’une jeune femme, yeux
fermés, léger sourire aux lèvres. Il fascine, principalement l’intelligentsia française et
allemande, de la fin du XIXe siècle à l’orée de la Seconde Guerre mondiale. Il orne les
murs ou les bibliothèques des salons des écrivains et des ateliers d’artistes. Il inspire
Louis Aragon bien sûr, mais aussi Maurice Blanchot, André Breton, Louis-Ferdinand
Céline, Charles Dickens, René Magritte, Man Ray, Vladimir Nabokov, Ödön von
Horváth, Hertha Pauli, Rainer Maria Rilke, Albert Rudomine, Jules Supervielle, Willy
1
Les Cahiers de Malte Laurids Brigge (1910), traduction, préface et notes de Claude David, Paris,
Gallimard, coll. « Folio classique », 1991.
2
Aurélien (1944), Paris, Gallimard, coll. « Folio », 1996.
3
Gestes d’air et de pierre. Corps, parole, souffle, image, Paris, Les Éditions de Minuit, coll.
« Paradoxe », 2005.
4
Avec des œuvres des artistes Blanca Casas Brullet, Laurence De Leersnyder, Agnès Geoffray, Nina
Lundström, Loreto Martínez Troncoso et Arnaud Vasseux.
5
C’est bien ce qui nous occupe : revenir. Comme l’on retourne au combat constamment, avec la vie,
la mort, la création, revenir comme l’on revisite sans cesse, nos souvenirs, ceux des autres, ceux des
vivants quand est venu notre tour…
6
L’Absence (1978), Paris, Gallimard, coll. « Folio essais », 2005.
Zielke… Tant et si bien qu’on pense parfois croiser la pâle héroïne, ailleurs, au
détour d’une page d’un autre roman, d’Honoré de de Balzac à Albert Camus. On le
dit moulé sur le cadavre d’une noyée, suicidée précise-t-on pour ajouter de la
tragédie à l’histoire de ce masque. En réalité, il aurait été pris sur le visage d’un
jeune modèle près d’un demi-siècle avant le début de cet étrange engouement – un
modèle aussi vivant que la fraîcheur des traits le laisse supposer ! Mais qu’importe :
l’empreinte ne mortifie-t-elle pas son sujet ? « La forme obtenue par empreinte tire la
ressemblance vers la mort », rappelle Georges Didi-Huberman 7. Et l’Inconnue de la
Seine est une Ophélie idéale pour le spleen de l’époque – le mystère de la Joconde
en sus.
Il se trouve qu’aujourd’hui encore le masque de l’Inconnue de la Seine continue de
fasciner, le grand public, certes, mais pas seulement : nombre d’artistes s’intéressent
au mythe, voire intègrent l’objet ou son image dans leurs œuvres. L’Inconnue de la
Seine – Un Songe prend acte de cette persistance sans pour autant sacrifier à
l’exercice scientifique que requerrait un tel sujet. Parce qu’il ne s’agit pas (encore) de
dresser l’inventaire des apparitions et réapparitions dans l’art contemporain de la très
célèbre anonyme, mais plutôt d’inviter des artistes à dériver autour de ce visage et
de son (ses) histoire(s). Si une autre exposition mériterait d’être réalisée, qui tendrait
davantage vers « l’Enquête » (pour reprendre le titre de l’ouvrage que l’historien de
l’art Bertrand Tillier a consacré à l’Inconnue 8) que vers « le Songe », on tentera ici
davantage de disperser dans l’espace les fragments d’un possible portrait de « la
Belle Noyée ».
Aux côtés de Laurence De Leersnyder, Agnès Geoffray et Arnaud
Vasseux, dont le public avait pu découvrir les œuvres dans le premier volet du
diptyque d’expositions, les artistes Estèla Alliaud, Benjamin L. Aman,
Guillaume Constantin, Sophie Dubosc et Karolina Krasouli rejoueront, à
travers des œuvres empruntées et des productions spécifiques, « la Jeune Fille et la
Mort ». Où il sera évidemment question de moulage ainsi que des avatars modernes
et quotidiens du masque. Où il sera question d’art funéraire, de voiles et de linceuls,
de portraits abstraits, de livres décolorés par le temps, de livres-architectures,
d’architectures liquides et d’écoutes pénétrées, de résistance et d’engagement,
d’érotisme parfois, d’humeurs aqueuses, de violences sociales, relationnelles,
politiques, d’identité et d’anonymat, de faits divers et de légendes urbaines, de faire
le gris – comme l’écrivait Paul Valéry –, d’écart et d’inframince, d’image au sens de
l’imago latine9, peut-être même de psychanalyse, et, plus largement, des
représentations et de leurs peaux-simulacres. Et encore : de souffle coupé, de parole
empêchée, « motus et bouche-cousue », parce que pétrifiée. Où il sera question
d’écrire pour exister. Où il sera question de l’absence, et après.
MC
7
La Ressemblance par contact. Archéologie, anachronisme et modernité de l’empreinte, Paris, Les
Éditions de Minuit, 2008.
8
La Belle Noyée. Enquête sur le masque de l’Inconnue de la Seine, Paris, Les Éditions Arkhê, 2011.
9
Le terme image en français vient du latin imago, qui désignait les portraits et, notamment, les
masques mortuaires. Comme tout portrait, l’image porte potentiellement en elle le faux-semblant.
--- Les artistes de l’exposition
Estèla Alliaud est née en 1986 à Avignon. Elle vit et travaille à Paris où elle est
représentée par PA | Plateforme de création contemporaine. Elle participe
régulièrement à des expositions collectives en galeries ou en institutions en France
et à l’étranger, et a déjà bénéficié de plusieurs expositions personnelles. En 2009, sa
participation à Jeune Création (au Centquatre) lui a valu de recevoir le prix Boesner,
décerné par un jury présidé par Xavier Franceschi, directeur du Frac Île-de-France.
Elle a également effectué un certain nombre de résidences de création qui ont donné
lieu, entre autres, à des éditions. Ses œuvres ont fait l’objet d’acquisitions par
différents fonds et collections publics.
http://www.estela-alliaud.com/
http://www.papel-art.com/
Benjamin L. Aman est né en 1981, à Nancy. Il vit et travaille à Aubervilliers. Il est
représenté en France par PA | Plateforme de création contemporaine, Paris, et en
Allemagne par l’Atelier KSR, Berlin ainsi que le Kunstraum Michael Barthel, Leipzig.
Il a participé à de nombreuses expositions collectives, en France et à l’étranger et a
déjà bénéficié de plusieurs expositions personnelles, notamment dans les trois
galeries qui le représentent. Créateur du label Razzle Dazzle en 2007, il également
est le co-fondateur en 2010 du duo curatorial Sleep Disorders avec l’artiste Marion
Auburtin. En 2015, Sleep Disorders était en résidence à La Box | ENSA de Bourges
avec le projet L’Heure du loup.
http://www.benjaminlaurentaman.com/
http://www.papel-art.com/
http://latelier-ksr.com/
http://www.kunstraum-barthel.com/
Guillaume Constantin est né en 1974, à Tour. Il vit et travaille à Paris où il est
représenté par la galerie Bertrand Grimont. Il a participé à de très nombreuses
expositions collectives en France et à l’étranger. Il a déjà bénéficié de plusieurs
expositions personnelles, dont, notamment en 2014, Penser les objets par les bords
au MAC/VAL à Vitry sur Seine, Si personne ne me voit je ne suis pas là du tout au
Cryptoportique de Reims (dans le cadre de la programmation hors-les-murs du
FRAC Champagne-Ardenne) ou encore La Constante des variables au CRACLanguedoc Roussillon à Sète (commissariat Noëlle Tissier). Programmateur arts
visuels aux Instants chavirés à Montreuil, il mène également des projets en tant que
commissaire d’exposition.
http://www.bertrandgrimont.com/
http://retroactivepictures.tumblr.com/
Laurence De Leersnyder est née en 1979 à Clamart. Elle vit et travaille à Paris
où elle est représentée par la galerie laurent mueller, Paris. Diplômée de la Villa
Arson, Nice, en 2007, elle a depuis été invitée dans diverses résidences de création :
au Cyclop (2015), au Domaine de Kerguéhennec, (2014) à HEC – Espace d'art
contemporain (2013) et Voyons Voir (2011). Elle a montré son travail au sein de
plusieurs expositions personnelles et/ou collectives, entre autres, à 40mcube Horsles-murs, Rennes, et à la galerie laurent mueller, Paris, en 2016 ; au Katzen Arts
Center, Washington USA, et à Glassbox, Paris, en 2015 ; à NuN, Berlin, et l’EMBA,
Galerie Edouard Manet, Gennevilliers, en 2014 ; au Palais de Tokyo, Paris, 2010.
http://laurence-de-leersnyder.com/
http://www.galerielaurentmueller.com/
Sophie Dubosc est née en 1974 à Paris. Elle vit et travaille à Rouen. Elle est
diplômée de l’Université de Paris IV (Histoire de l’art) et de l’Ecole Nationale
Supérieure des Beaux-Arts de Paris (DNAP). Son travail a été présenté au Palais de
Tokyo, Quai Malaquais, à la Fondation Ricard, ainsi que dans de nombreux centres
d’art. Récemment, il a fait l’objet d’une importante exposition personnelle au Frac
Haute-Normandie (Avec ou sans raison, 2014). Elle a bénéficié de résidences à la
Fondation Albers (Connecticut), à l’Hôpital de Santé mentale de Fleury-les-Aubrais, à
RIAA (Argentine). Depuis 2011, elle est enseignante à l’Ecole des Beaux-arts de
Rouen (ESADHaR).
http://www.sophiedubosc.com/
Agnès Geoffray est née en 1973 à Saint-Chamond. Elle vit et travaille à Paris.
Elle a été en résidence à la Rijksakademie à Amsterdam et pensionnaire à la Villa
Médicis à Rome. Elle a exposé au Kunsthaus à Zurich, à la Kunsthalle à Mayence,
à la Kunsthalle à Vienne, au Mac Val à Vitry-sur-Seine, au Centre Photographique
d’Ile-de-France, au Frac Auvergne à Clermont-Ferrand et au Frac Alsace à Sélestat.
Ses travaux font partie des collections publiques du Fnac à Paris, du Frac Auvergne
à Clermont-Ferrand, du Mac Val à Vitry-sur-Seine, du Musée de l’Elysée à
Lausanne. Trois publications aux éditions de la Lettre Volée : Ultieme Hallucinatie,
Profond silence et Les Captives.
http://www.agnesgeoffray.com/
Karolina Krasouli est née en 1984 à Athènes. Elle vit et travaille à Paris. Elle est
diplômée de l’Ensba Lyon en 2014. Elle a participé à l'exposition Les Enfants du
Sabbat, Le Creux de l'Enfer, Thiers, ainsi qu'au Salon de Montrouge en 2015. Elle a
co-organisé les séminaires et l'exposition Analfabeto à la Villa Médicis, Rome, en
2014-2015. Elle est invitée à participer à la prochaine édition de la biennale Les
Ateliers de Rennes, en octobre 2016, où elle exposera à la Criée-Centre d'art
contemporain de Rennes ainsi qu’à la galerie Raymond Hains de Saint-Brieuc.
https://vimeo.com/user36334718/videos
http://www.salondemontrouge.fr/index.php/salon-2015/la-selection/29-salon-2015/artistes2015/12241-karolina-krasouli
Arnaud Vasseux est né en 1969 à Lyon. Il vit et travaille à Marseille. Il est
représenté par les galeries White Project, Paris et AL/MA, Montpellier. En 2016, il
bénéficiera de trois expositions personnelles : en Belgique, à La galerie Particulière,
Bruxelles (du 20 avril au 21 mai) ; en France, au musée des Moulages à Montpellier
avec Les pierres oubliées de Samothrace (commissariat Rosa Plana et le FRAC
Languedoc Roussillon) et à La Ville Blanche à Marseille avec L’image comme
prémisse (commissariat Angela Freres). On pourra également voir son travail dans
l’exposition collective conçue par le CIRVA pour le musée Cantini à Marseille
(commissariat Isabelle Reiher).
http://documentsdartistes.org/artistes/vasseux/repro.html
http://www.whiteproject.fr/
http://www.galeriealma.com/
--- Visuels disponibles
[Estèla Alliaud]
ESTÈLA ALLIAUD, Sans titre (avec appui), 2015
Photographie tirage jet d’encre, 22 x 31,5 cm
Production L’aparté lieu d’art contemporain, Iffendic
© EA | Courtesy de l’artiste et PA I plateforme de création contemporaine
ESTÈLA ALLIAUD, Les angles, 2012
Plâtre, 100 x 100 x 100 cm
© Photo : EA | Courtesy de l’artiste et PA | Plateforme de création
--- Visuels disponibles
[Benjamin L. Aman]
BENJAMIN L. AMAN, Imaginary Time, 2015
[Capture d’écran]
Vidéo, couleur, sonore, 11 mn
© Benjamin L. Aman | Courtesy Atelier-KSR,
Berlin
BENJAMIN L. AMAN, vue de l’exposition Imaginary Time, Atelier-KSR, Berlin, 2015.
© Photo : Ivo Gretener | Courtesy Atelier-KSR, Berlin
--- Visuels disponibles
[Guillaume Constantin]
GUILLAUME CONSTANTIN, Fantômes du Quartz XXII (Les replis de la matière), 2015
Structure en médium teinté dans la masse, contreplaqué, pieds style Louis XVI en hêtre et galons
de coton (objets trouvés, empruntés, restaurés, imprimés). Réalisée avec la collaboration de
Charles SPEHAR de l’Esba TALM - Site de Tours.
© Photo : GC | Courtesy galerie Bertrand Grimont, Paris
GUILLAUME CONSTANTIN, La Vue 1&2,
2015
Lithophanies (d'après Abraham Bosse) :
impressions 3D en Pla encastrées dans
du contreplaqué
© Photo : GC | Courtesy galerie Bertrand
Grimont, Paris
--- Visuels disponibles
[Laurence De Leersnyder]
LAURENCE DE LEERSNYDER, Cire perdue I,
2014
Plâtre, socle en médium, 28 x 25 x 16 cm
© Photo et courtesy galerie laurent mueller,
Paris
LAURENCE DE LEERSNYDER, La dame de
byblos, 2012
Béton allégé, terre, 35 x 35 x 80 cm
© Photo et courtesy galerie laurent mueller,
Paris
--- Visuels disponibles
[Sophie Dubosc]
SOPHIE DUBOSC, Caché, 2015
Bois (Niangon), tube en polyéthylène, 43 x 40 x 60 cm
© Photo : SD | Courtesy de l’artiste
SOPHIE DUBOSC, Sombre, 2014
Cheveux, 100 x 100 x 0,2 cm
© Photo : SD | Courtesy de l’artiste
--- Visuels disponibles
[Agnès Geoffray]
AGNÈS GEOFFRAY, Veiled, 2010
[Détail issu de la série]
11 photographies, 6 x 9 cm chaque, 50 x 35 cm
chacune (encadrée)
© Agnès Geoffray | Courtesy de l’artiste
AGNÈS GEOFFRAY, Les Messagers II, 2014
[Détail issu de la série]
8 pièces, textes manuscrits miniatures, écrits de résistants et prisonniers, 30 x 23 cm
chacune (encadrée)
© Photo : AG | Courtesy de l’artiste
--- Visuels disponibles
[Karolina Krasouli]
KAROLINA KRASOULI, Monochordes, 2014
Huile sur toile, 20 x 30 cm
© Photo : KK | Courtesy de l’artiste
KAROLINA KRASOULI, Division, 2015
[Capture d’écran]
Film super 8 numérisé, noir et blanc, muet, 3 mn
© Karolina Krasouli | Courtesy de l’artiste
--- Visuels disponibles
[Arnaud Vasseux]
ARNAUD VASSEUX, Creux (Empreinte-durée), 2015
Calcaire, 8 x 7 x 5 cm
© Photo : AV | Courtesy de l’artiste et de la galerie White Project, Paris
Réalisé avec le soutien de La Tôlerie, Ville de Clermont Ferrand
ARNAUD VASSEUX, Sans titre (Encre flottante), 2013
Goudron, mélaminé, 205 x 190 x 3,6 cm
© Photo : AV | Collection FRAC PACA, Marseille
--- Informations pratiques
Adresse :
Espace d’art contemporain La Tôlerie
10, rue de Bien- Assis
63000 Clermont-Ferrand
Accès : Tram ligne A, arrêt Les Carmes (à 15 minutes du centre-ville)
Horaires :
Ouvert uniquement pendant les expositions, du mardi au samedi, de 14 h à 18h.
Fermé le dimanche, le lundi et jours fériés.
Contacts :
Gaëlle Gibault, chargée de programmation
04 73 42 63 76
[email protected]
Marie Cantos, commissaire de l’exposition
06 07 40 25 56
[email protected]
Sur Internet :
Retrouvez La Tôlerie sur :
http://www.clermont-ferrand.fr/-Espace-d-art-contemporain-La-819-.html
Ainsi que Réparer à l’endroit de l’accroc le tissu du temps :
http://www.clermont-ferrand.fr/VIDEOFORMES-2015-21861.html
--- Partenaires privés
Cette exposition est réalisée avec le soutien de :
Atelier Lorenzi
http://www.lorenzi.fr/
Laerdal Médical France
http://www.laerdal.com/fr/
Art Composit
http://www.artcomposit.com/
Nous les en remercions vivement.

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