Parcours des arts - LFI - AFLEC - Dubai

Transcription

Le parcours des arts LFI/AFLEC/MLF de Dubaï
CARTELS
Parcours des arts - LFI - Dubai est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes
Conditions 4.0 International.
1
Grotte de Lascaux
-18000 Paléolithique
France
2
Stonehenge
-2800 -1100
Royaume Uni
Patrimoine mondial de l’UNESCO
3
Tablette comptable
avec écriture cunéiforme
- 2400 av. J.C.
Moyen Orient
4
Mosaïque d’Alexandre
-200
Musée archéologique national de Naples Italie
5
Théâtre d’Epidaure
-300
Grèce
6
Ulysse et les sirènes
Vase grec
-480
British museum Londres
7
Très riches heures du duc de Berry
1410
Musée Condé – Chantilly – France
8
Abbaye romane de Sant’Antimo
XIIème siècle
Toscane – Italie
9
Cathédrale Notre-Dame de Paris
1163 – 1345
Paris
10
Vitrail de Charlemagne
XIIIème siècle
Chartres - France
11
Cité de Carcassonne
Moyen Age
Carcassonne – France
12
L’Alhambra
XIVème siècle
Grenade – Espagne
13
Angkor
IXème – XVème siècle
Cambodge
14
Mosquée Sheikh Zayed Bin Sultan Al Nahyan
1995-2007
Abu Dhabi - UAE
15
Château de Chambord
XVIème siècle
France
16
Parterre de l’orangerie
XVIIème siècle
Versailles - France
17
Caravelle de Christophe Colomb
XVème siècle
18
La Joconde
1503-1506
Léonard de Vinci
Huile sur toile 77 X 53 cm
Musée du Louvre
19
Presse de Johannes Gutenberg
XVème siècle
Allemagne
20
Machine volante
XVIème siècle
Léonard de Vinci
Institut de Paris
21
Planche de l’encyclopédie de Diderot et
d’Alembert
XVIIIème siècle
Maison des Lumières – Langres -France
22
David
Michel Ange
XVIème siècle
Galeria d’ell Academia – Florence - Italie
23
L’été
1753
Guiseppe Arcimboldo
Musée du Louvre
24
Le tricheur à l’as de carreau
1635
Georges de La Tour
Musée du Louvre
25
La laitière
1658
Johannes Vermeer
Rijksmuseum – Amsterdam - Pays-Bas
26
Les Ménines
1656
Diego Velasquez
Musée du Prado – Madrid
27
Les époux Arnolfini
1434
Jan Van Eyck
National Gallery de Londres
28
Les Ambassadeurs
1533
Hans Holbein
National Gallery de Londres
29
Château de Versailles
XVIIème-XVIIIème
France
30
Jeune fille à la perle
1665
Johannes Vermeer
Musée Mauritshuis de La Haye
31
Le serment du jeu de Paume
1791
Jacques Louis David
Huile sur toile 88 X 101,2cm
Musée Carnavalet Paris
32
La gare Saint-Lazare
1877
Claude Monet
Musée d’Orsay Paris
33
Les Nymphéas
1895-1923
Claude Monet
Musée de l’Orangerie Paris
34
Le Cinématographe
1895
Frères Lumière
Paris
35
Rue de Paris, temps de pluie
1877
Gustave Caillebotte
Huile sur toile 212,2 X 276 cm
Art Institute of Chicgo
Etats Unis
36
37
L’Opéra Garnier
XIX ème s.
Charles Garnier
Paris
La grande vague de Kanagawa
1830
Hokusai
Estampe 25,7 X 37,9 cm
Metropolitan Museum of Arrt
New York
38
La lecture
1890
Auguste Renoir
Huile sur toile 55 X 65,5 cm
Musée du Louvre
39
La récolte des foins
1887
Camille Pissaro
Van Gogh Museum
Amsterdam Pays Bas
40
Femmes de Tahiti
1891
Paul Gaughin
Musée d’Orsay Paris
41
La chambre de Van Gogh à Arles
1889
Musée d’Orsay
Paris
42
Nature morte au panier de fruit
1888-1990
Paul Cézanne
Musée d’Orsay
Paris
43
Le cirque
1890
Georges Seurat
Musée d’Orsay
Paris
44
Impression, soleil levant
1872
Claude Monet
Musée Marmottan
Paris
45
Petite danseuse de quatorze ans
1875-1880
Edgar Degas
Musée d’Orsay
Paris
46
Tour Eiffel
1926
Robert Delaunay
Musée d’art moderne Centre Pompidou
Paris
47
Guernica
1937
Pablo Picasso
Musée Reina Sofia
Madrid
48
Libellule aux ailerons rouges
1951
Joan Miro
Musée de Prado
Madrid
49
Château fort au soleil couchant
1918
Paul Klee
Aquarelle 18,5 X 27,8 cm
Musée Berggruen
Berlin
50
L’arbre de vie
1905-1909
Gustave KLIMT
Fresque
Palais Stoclet
Bruxelles
51
Le lanceur de couteau
1947
Henri Matisse
Papiers gouchés 43,3 X 67,5 cm
Menil collection
Houston
52
Les poissons rouges
1912
Henri Matisse
Musée Pouchkine
Moscou
53
La Pompadour
1951
Henri Matisse
Dessin 31 X 23,8
Bibliothèque Nationale de France
Paris
54
Maya avec sa poupée
1938
Pablo Picasso
Huile sur bois 73,5 X 60 cm
Musée Picasso
Paris
55
Collioure, le port de pêche
1905
André Derain
Collection privée
France
56
L’information scolaire
1956
Robert Doisneau
Photographie
Livre « Gosses de Paris » Editions Jeheber
57
Composition II en rouge, bleu et jaune
1930
Piet Mondrian
Huile sur toile 50,5 X 50,5
Paris
58
Accord Réciproque
1942
Wassily Kandinsky
Huile sur toile
114 X 146 cm
Paris
59
Etudes de couleurs
1913
Wassily Kandinsky
Aquarelle, gouache 23,9 X 31,5 cm
Städtische galerie
Munich
60
Nombre 18
1950
Jackson pollock
Huile sur bois
56 X 56,7 cm
Guggeheim Museum New York
61
Surrounded Islands
1983
Christo et Jeanne –Claude
Land art
Miami
62
De la locomotive au TGV
1986
Pierre Fix-Maneau
Affiche 66 X 47 cm
France
63
Autoportrait
1966
Andy Wahrol
Acrylique et sérigraphie sur toile
Museum of Modern Art
New york
64
Musée Guggenheim Bilbao
1997
Frank Gehry
Espagne
65
Burj Khalifa
2010
828 m
Skidmore, Owings and Merill, Chicago
Dubaï
UAE
66
Le petit parisien
1952
Willy Ronis
Photographie 30 X 40 cm
Galerie privée
67
Verseuse portugaise
1916
Robert Delaunay
Huile et cire sur toile
140 X 150 cm
Paris
68
Brasilia
1960
Oscar Niemeyer
Brésil
69
Métro parisien
1900
Hector Guimard
Paris
70
Citroën 2 CV
1948-1990
France
71
Centre national d’art et de la culture Georges
Pompidou
Centre Beaubourg
1977
Renzo Piano, Richard Rogers, Gianfranco
Franchini
Paris
72
73
74
Horse
2007
Fernando Botero
Dubaï
UAE
La Danse des bâtons
Dubaï
UAE
Poems from the desert
His highness Sheikh Mohammed Bin Rachid Al
Maktoum
Dubaï
UAE
75
Pyramide du Louvre
1989
Leoh Ming PEI
Paris
76
World voices
2010
Jaume Plensa
Dubaï
UAE
77
La trahison des images
1929
René Magritte
County Museum
Los Angeles
78
Affiche les temps modernes
1936
Réalisateur
Charlie Chaplin
Etats Unis
79
80
Cité de Tenochtilan
1945
Diego Riviera
Fresque
Palais national
Mexico
Colombe de la paix
1949
Pablo Picaso
Dessin pour affiche
Paris
81
Le chameau
Pablo Picasso
Dessin
XXème siècle
82
Garrowby hill
1998
David Hockney
Museum of fine arts
Boston
83
Mother and baby
1986
Keith Haring
Keith Haring Foundation
New york
84
Design émirien
Khalid Shafar
Dubaï
UAE
85
Calligaphie arabe
Moyen Orient
86
Arts de la rue
Street Art
Artiste américaine Kazilla
et les élèves de seconde du LFI de l’AFLEC
Dubaï
UAE
Piste pédagogique1
Suivez mon regard !
Objectifs généraux : s’approprier les œuvres du Parcours des Arts de l’établissement, les
identifier, les reconnaître et les décrire, savoir les situer dans le temps et l’espace, identifier le
domaine artistique dont elles relèvent, détailler certains éléments constitutifs, en utilisant un
vocabulaire spécifique, laisser parler son imagination.
Intention : Les élèves partent à la recherche d’œuvres avec comme matériel des
photographies des regards de certains personnages présents dans les tableaux.
Tableaux sélectionnés:
Niveau cycle 1 et 2 : Jeune fille à la perle N° 30 –La Joconde N°18 –La Pompadour N°53 –
Maya et sa poupée N°54 - Femmes de Tahiti N°40
Cycle 3 : tableaux à ajouter : Le tricheur à l’as de carreau N°24 – Guernica N°47
– Andy Wahrol N°63 –Chaplin N°78.
des
- LFI
- AFLEC
L’enseignant veillera àParcours
ce que l’affichage
des arts
tableaux
soit réorganisé
dans -unDubai
espace adapté
au niveau et capacités de ses élèves.
Dispositif : par groupes. Matériel : 5 jeux d’étiquettes « yeux ».
Validation de la recherche :
Au cycle 1 et 2 : le groupe prend l’œuvre en photo, recopie le nom de l’oeuvre et de l’artiste.
Au cycle 3 : les élèves répondent à un petit questionnaire invitant à la recherche d’indices
supplémentaires (Epoque, auteur, matière, titre, couleurs, information sur le personnage…)
Traces : Photos, mise en correspondance des regards et des œuvres, mise en commun du
questionnaire, mise en mémoire des oeuvres et leur auteur;
Prolongement et liens : dans une même démarche, une recherche d’objets peut se faire.
(Parapluie : Rue de Paris, temps de pluie N°35 – Pot à lait : La laitière N°25 – Ardoise :
Information scolaire N°56 – Poupée : Maya et sa poupée N° 54 …).
F.BDT
Parcours des arts - LFI - Dubai est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International
.
Piste pédagogique 2
Quand les personnages parlent …
Objectifs généraux : s’approprier les œuvres du Parcours des Arts de l’établissement, les identifier, les reconnaître
et les décrire, savoir les situer dans le temps et l’espace, identifier le domaine artistique dont elles relèvent,
détailler certains éléments constitutifs, en utilisant un vocabulaire spécifique, laisser parler son imagination.
Intention: après une observation précise du tableau Le tricheur à l’as de carreau de Georges de La Tour N° 24, de
l’explication de la scène, et des enjeux entre les différents personnages sous -tendus par les effets de lumière,
les élèves imaginent et écrivent les pensées des personnages principaux dans des bulles de BD.
Niveau : Cycle 3 – Collège/Lycée
Travail préparatoire : initiation à la Bande Dessinée et ses techniques : planches, cases, vignettes, bulles…
Montrer le rôle graphique de la bulle qui évolue en fonction de la tonalité du discours : bulles à penser ,
bulles pour parler. Un travail d’écriture et de réécriture est entrepris en s’inspirant des intentions du peintre.
Matériel : reproduction A4 du tableau sur lequel les élèves créent, placent et orientent leurs bulles.
Dispositif : classe entière ou groupes si répartition des personnages au sein du groupe.
Traces : reproduction A4 du tableau sur lequel ont été placées les bulles orientées dans lesquelles les
élèves ont inscrit leurs textes.
Prolongement : de la BD au dialogue :
L’appropriation de l’oeuvre peut aussi donner suite à l’écriture d’un dialogue avec une séance préparatoire sur sa
mise en forme et ses caractéristiques (Récit/Dialogue, ponctuation, retour à la ligne, verbes du discours), passer de
la BD au dialogue, du dialogue au théâtre par une mise en scène.
Le tableau est alors reconstitué : les personnages sont positionnés, les regards placés, la source d’éclairage peut
être reconstituée, des costumes peuvent aider à recréer la scène.
Changements de point de vue : le point de vue du spectateur peut être modifié : ce peut être celui de la servante
ou du tricheur. Chacun des personnages assis a un point de vue différent. A tour de rôle, les différents acteurs
prennent une photo de ce qu’ils voient, dans la posture du personnage qu’ils incarnent.
Des oeuvres de référence sur les points de vue telles que : Histoire à quatre voix d’Anthony Browne, L’enfant océan
de Jo Mourlevat, L’ami retrouvé de Fred Uhlman, peuvent introduire un travail de rédaction.
Du dialogue au monologue :
Faire parler La Joconde, L. de Vinci, 1503, N°18, la laisser s’exprimer dans un monologue, sur sa célébrité, ses
milliers de visiteurs, son nouveau domicile : le Musée du Louvre, sa nouvelle époque…
F.BDT
.
Et le tableau prend vie …
Objectifs généraux : s’approprier les œuvres du Parcours des Arts de l’établissement, les identifier, les
reconnaître et les décrire, savoir les situer dans le temps et l’espace, identifier le domaine artistique dont
elles relèvent, détailler certains éléments constitutifs, en utilisant un vocabulaire spécifique, laisser parler
son imagination.
Intention : après avoir repéré l’organisation spatiale du tableau et saisi les intentions de l’auteur, les
élèves le reconstituent en prenant la place et le rôle des personnages.
Tableaux Cycle 1 et 2 :
-Femmes de Tahiti, Gauguin N°40 – Le tricheur à l’as de carreau N°24 – la laitière N°25 -L’information
scolaire de Robert Doisneau N°56
Tableaux cycle 3:
-Les Ménines, Diego Velasquez N°26 (jeu de miroirs, intégration du spectateur)
-Rue de Paris, temps de pluie, Gustave Caillebotte N°35 (Notions de premier plan, d’arrière-plan).
-Le serment du jeu de Paume N°31 (Classe entière).
On peut mimer pour investir le personnage, puis prendre la pose, revêtir des costumes, peindre
un décor pour recréer le fond ou le premier plan, proposer un autre fond, un autre premier plan, d’autres
couleurs …
Traces : photo du tableau reconstitué. On pourrait inventer un titre à ce nouveau tableau crée.
Prolongement : le fait de s’être mis « dans la peau des personnages » peut inciter à des productions
d’écrits pour les faire dialoguer ou mettre leur histoire en récit.
On peut alors jouer la scène, créer une musique, faire des bruitages…
F.BDT
.
Ouvrir les fenêtres
Objectifs généraux : s’approprier les œuvres du Parcours des Arts de l’établissement, les identifier,
les reconnaître et les décrire, savoir les situer dans le temps et l’espace, identifier le domaine
artistique dont elles relèvent, détailler certains éléments constitutifs, en utilisant un vocabulaire
spécifique, laisser parler son imagination.
Intention : découvrir une œuvre par fragment.
Tableaux sélectionnés:
Niveau cycle 1 et 2 : Le cirque Georges Seurat N° 43 – Libellule aux ailerons rouges J. Miro N° 48L’information scolaire R. Doisneau N° 56
Cycle 3 :Le tricheur à l’as de carreaux Georges de la Tour N°24 – Les Ménines Diego Velasquez N°26Les époux Arnolfini Jan Van Eyck N°27 – Rue de Paris, temps de pluie
G. Caillebotte N°35 –Guernica P. Picasso N°47 –
Matériel de la classe : l’œuvre,
sur laquelledes
est placé
un -canson
en 4 ou- 5Dubai
parties.
Parcours
arts
LFI -partagé
AFLEC
Matériel de l’élève : feuille A4 avec les mêmes divisions. Les élèves écriront le numéro
de la fenêtre avant son ouverture par l’enseignant.
Démarche :dans chaque partie, les élèves écrivent ce qu’ils voient et leurs hypothèses sur ce que
représente l’œuvre en entier « Ce que je vois » - « Mes hypothèses ».
Mise en commun et renseignement d’une affiche collective reprenant les éléments repérés.
Faire argumenter les différentes hypothèses jusqu’au dévoilement complet de l’œuvre.
Questionner sur les différents plans, les couleurs, les contrastes, pointer des détails …
Ce déroulement est propice à développer le lexique et à faire émerger les connaissances artistiques
et personnelles de l’élève.
En numérique : flouter certaines parties et rendre l’image visible au fur et à mesure.
.
Ouvrir les fenêtres …
Découvrir une œuvre autrement …
Autres procédés :
Décrire l’image :le tableau caché est décrit oralement par l’enseignant ou un élève : cette
description nécessite un récit structuré et méthodique et la référence à un vocabulaire
spatial lié à l’organisation du tableau, aux techniques (couleurs, ombres et lumière…)
L’interview : « Je suis le personnage , je me présente et décris mon environnement, le
peintre qui m’a peint, le musée où je me trouve, l’époque où je vis … »
Une histoire pour anticiper : dans la collection Ponts des Arts Editions Canopé de
l’académie d’Aix-Marseille sont disponibles 18 titres qui par une fiction font entrer peu à
peu dans le tableau qui ne sera dévoilé qu’à la fin.
Exemple : L’assassin du calendrier qui correspond aux Très riches heures du duc de Berry
N° 7, des frères de Limbourg.
Au cycle 1 ,la découverte de l’œuvre par fragment rend aussi l’enrichissement du lexique
et l’expression du ressenti de l’élève plus aisés.
Une œuvre peut être dévoilée selon le principe du calendrier de l’Avent : des post-it
numérotés sont ôtés jour après jour pour arriver en fin de mois à la découverte complète
du tableau.
Traces : dictée collective, puzzles de l’œuvre, isolement d’un motif graphique.
Illustration écrite ou visuelle de ce que qui avait été imaginé.
Liens :
www.mymuseum.fr/interviews.html
www.collection-pontdesarts.fr.
F. BDT
.
Publicité et œuvres d’art
Objectifs généraux : s’approprier les œuvres du Parcours des Arts de l’établissement, les
identifier, les reconnaître et les décrire, savoir les situer dans le temps et l’espace, identifier
le domaine artistique dont elles relèvent, détailler certains éléments constitutifs, en
utilisant un vocabulaire spécifique, laisser parler son imagination.
Intention : faire le lien entre œuvres d’art et supports publicitaires. Passer d’une lecture
d’image descriptive à une lecture interprétative.
Tableaux sélectionnés :
-La laitière J. Vermeer
La marque de yaourts La laitière s’est inspirée du tableau de J. Vermeer pour traduire
l’aspect authentique et traditionnel de ses produits. Il est devenu l’emblème de la marque
Parcours
des
depuis 1974,reconnaissable
au premier
couparts
d’œil.- LFI - AFLEC - Dubai
-N° 25 – Autoportrait A. Wahrol N° 63.
Andy Warhol est l’artiste le plus représentatif de la période Pop Art. Ce mouvement veut
faire ressortir la valeur esthétique des objets banals de la vie quotidienne et de la société
de consommation. Les œuvres de cette période ressemblent à des affiches publicitaires.
Warhol utilise la marque de soupe Campbell comme support à son art. Pour lui la pub est
une forme d’art. Elle met les objets en valeur et accentue le message de la même façon.
Deux objectifs :
1-enrichir la culture de l’élève pour qu’il puisse identifier dans le monde qui l’entoure les
références artistiques.
2-participer à l’ éducation à l’image de l’élève: savoir décoder des images, en comprendre la
portée et l’intention publicitaire pour développer ses capacités réflexives.
.
Piste pédagogique 5 …
Activités pédagogiques :
- comparer les œuvres avec les affiches publicitaires correspondantes
- décrypter les composantes d’une affiche :
*l’image : fonction symbolique : suggère la représentation de l’objet, fonction
épistémique : apporte des informations, fonction esthétique : apporte de l’émotion :
l’art donne au produit un aspect moins ordinaire, plus précieux, le consommateur a
l’impression de consommer de l’Art.
*l’accroche : phrase en haut de l’affiche, attire l’attention
*le visuel : image d’une publicité
*le slogan : formule concise
*le message : complète l’image
*le logo : représentation typo graphique qui sert à identifier la marque de façon unique
et immédiate. Parcours des arts - LFI - AFLEC - Dubai
-Comprendre l’importance du choix des mots dans l’écriture publicitaire : donner des
slogans, faire souligner les mots-clés. Ecrire des slogans.
-Retrouver l’accroche qui correspond à l’affiche.
-Etudier la relation texte/image : complémentarité ? Opposition ? Redondance ?
-Travail en binôme sur une création publicitaire
-Travail collectif de création d’affiche :
Choisir dans le parcours des Arts de l’établissement des œuvres supports à une création
publicitaire. Pistes : La Joconde Léonard de Vinci N° 18 – Jeune fille à la perle J. Vermeer
N° 30 – Le petit parisien W.Ronis N°66 – Design la 2CV Citroën N° 70 –
Traces : photos des oeuvres avec insertion des éléments publicitaires crées par les
élèves.
F.BDT
.
Qui est le coupable ?
Objectifs : s’approprier le Parcours des Arts de l’établissement, être directement en contact avec les œuvres,
les identifier, les nommer, apprendre à les observer, repérer un détail.
Intention : Les élèves mènent l’enquête . Ils partent à la recherche d’un coupable identifiable dans un
tableau. Ils sont guidés par un questionnaire. Cette recherche introduit ou consolide les séquences sur le
portrait.
Au voleur, mon écharpe !
Le coupable a vécu au XVI ème siècle.
Son crime est d’avoir volé une belle écharpe.
C’est une femme, elle est italienne.
Elle porte un robe simple, très sombre et un voile sur ses cheveux défaits.
Elle ne porte aucun bijou.
Elle est peinte à mi-corps.
Elle est assise, se tient de trois-quart et vous regarde.
Derrière elle ,est peint un paysage.
Elle croise les mains, la droite sur le poignet gauche.
Léonard de Vinci, La Joconde, 1503-1506
Qui a emprunté mon luth ?
Je suis un ambassadeur né au XVI ème siècle.
Mon riche manteau noir orné de fourrure laisse entrevoir ma chemise de soie rouge.
J’ai mis un béret sur ma tête.
Une chaîne dorée et une médaille complètent ma tenue. Je suis debout à côté de mon ami Georges de
Selve. Nous sommes entourés d’objets dont un globe terrestre.
A nos pieds est un objet étrange, c’est une figure cachée …
Hans Holbein, Les Ambassadeurs, 1533
Prolonger le jeu de la découverte en faisant rédiger d’autres questionnaires aux élèves.
F.BDT
.
Piste pédagogique N° 7
Cycle 1
Figures géométriques et symboles
Intention : créer une production plastique individuelle ou collective en s’inspirant de la confrontation de deux
œuvres.
Compétences travaillées : savoir utiliser différents outils , médiums, support pour réaliser des traces en
adaptant son geste. Réaliser une composition en reproduisant un graphisme ou en en créant de nouveaux.
Décrire une image et exprimer son ressenti et sa compréhension en utilisant un vocabulaire adapté.
Etape 1
Observer les deux tableaux et identifier des figures géométriques et les symboles, développer le langage
pictural et graphique.
Œuvre de Paul Klee :
Mise en situation : dévoiler le tableau par fragments par un système de caches ou de fenêtres à ouvrir qui
isolent des parties spécifiques. La découverte progressive du tableau séparé en quatre parties permet d’isoler
les fugures géométriques suivantes : carrés, rectangles, triangles, ronds. C’est aussi l’occasion de nommer les
couleurs, la taille des figures, d’émettre des hypothèses sur la représentation de ce que peut être l’ensemble.
Œuvre de Joan Miro : le langage pictural de Miro est accessible aux élèves, , on peut établir avec eux un
répertoire des symobes observés (étoiles, lune, cercles, ronds, lignes courbes, carrés, damier, fils …)
Confronter avec d’autres œuvres de Joan Miro : -Constellations , 1939 à 1941 -Danseuse espagnole, 1928
- L’or de l’azur, 1967 -Le port, 1945 - Pastorales, 1927
Etape 2 :
des réinvestissements plastiques :
- Les formes géométriques observées chez Klee peuvent être utilisées dans une construction individuelle
verticale évoquant les buildings d’une ville comme Dubaï. Carrés et rectangles de différentes couleurs découpés
dans du papier affiche ou dans des fonds peints par les élèves. Alternance de couleurs type algorithmes ou
monochromes pour accentuer l’identité du building. La construction en colonnes est elle même réalisée dans
un cadre vertical. Elle peut être reliée à des manipulations de jeux de construction, type Kapla.
.
Figures géométriques et symboles …
Confrontation des deux œuvres pour inscrire une première activité plastique dans l’univers poétique et surréaliste
de Miro : les immeubles sont décorés avec des symboles. D’autres signes sont tracés dans l’arrière-plan ou le
ciel de cette ville imaginaire. Les élèves se réapproprient facilement les signes observés dans les œuvres de
Miro pour inventer leur propre code et créer leur histoire. Préparation de fonds de gouache appliquée à
l’éponge ou pastels secs frottés. Tracé des symboles à l’encre noire ou de couleurs. Pinceaux, calames.
L’accumulation des figures peut suggérer des habitats multiples, une organisation en cité.
A mettre en lien avec un travail sur la ville, sa ville
Projet PEAC : création d’une fresque sur un mur de l’école à partir des formes géométriques observées chez Paul Klee
et des symboles chez Joan MIro.
Château fort au soleil couchant - N° 49
Paul Klee – 1918 - Musée Berggruen Berlin
F.BDT
Libellule aux ailerons rouges – N°48
Joan Miro – Musée du Prado Madrid
Fiche d’identité
Le tricheur à l’as de carreau
Georges de la Tour 1635
Musée du Louvre
L’artiste – Le contexte historique
Georges de la Tour (1593-1652) vit en Lorraine à l’époque de la guerre de Trente Ans.
Il est un observateur de la réalité quotidienne et est célèbre pour ses jeux d’ombres et de lumière, ce qui
en fait le continuateur du peintre Caravage. Ses œuvres sont du genre classique et baroque.
Ses œuvres les plus réputées : Le tricheur à l’as de carreau et la Diseuse de bonne aventure,1639.
L’oeuvre
Lecture descriptive : repérer l’organisation de l’espace et les aspects techniques
Un tableau très construit :
quatre personnages sont réunis autour d’une table et jouent aux cartes.
Dans la partie de gauche, trois personnages complices sont resserés : une courtisane, une serveuse qui
prépare un verre de vin et le tricheur. A droite, un jeune homme richement habillé passe en revue ses
cartes. Il est isolé des autres protagonistes et ne partage pas la complicité de ces derniers.
La courtisane,par son regard et par le geste de sa main nous dirige vers la gauche de la composition. Là,
le tricheur, plongé dans l’ombre sort discrètement un as de carreau dissimulé à l’arrière de sa ceinture.
La situation paraît claire: Le jeune homme attiré dans le jeu par la courtisane, est enivré et va être
dépouillé par l’homme de gauche.
L’ importance de la lumière : l’arrière-plan est sombre pour ne pas distraire l’attention du
spectateur qui doit se concentrer sur la scène. L’éclairage assez fort provient du dos du
tricheur, il dramatise la scène et renforce la présence des protagonistes.
Les couleurs chaudes en haut du tableau (rouge –orange) s’harmonisent avec les couleurs
complémentaires (vert), elles se renforcent mutuellement. A noter : le vert du gilet du tricheur
est semblable à celui du tapis de jeu.
.
Fiche d’identité
Le tricheur à l’as de carreau …
Les regards s’entrecroisent : La courtisane regarde la servante, semblant lui demander de
servir le vin copieusement, la servante surveille le jeune homme du coin de l’œil. Le regard du
tricheur semble nous prendre à témoin. Le jeune homme, isolé, regarde le jeu et ne croise le
regard de personne.
Observer les détails : les bijoux, la brillance des costumes, l’or sur la table, enjeu de la scène.
Lecture interprétative : saisir les intentions de l’artiste
L’artiste nous met en garde : Le jeune homme est ici soumis aux trois tentations majeures
selon la morale du XVIIe siècle : le jeu, le vin, la luxure. Le fond sombre, l’éclairage, le jeu des
regards, la complicité qui unit les personnages et dont le jeune homme est exclu, nous
interpellent et semblent nous prévenir que cet homme, naïf, va être victime d’une escroquerie.
Tisser des liens avec d’autres références culturelles
Le tableau reprend un sujet introduit par Caravage avec les tricheurs (1595) et qui faisait
pendant à La Diseuse de bonne aventure du même peintre conservée au Louvre.
G. de la Tour, dans la lignée de Cavage, va également peindre une toile du même sujet faisait
pendant à celle-ci.
Les tricheurs, Caravage, 1595
La Diseuse de bonne aventure, Caravage, 1
La diseuse de bonne aventure, G. de la Tour, 1639, New York, Met.
Les mangeurs de pois, G. de la Tour, 1620, Staatliche Museen Berlin
L’admiration des bergers, G. de la Tour, 1645, Musée du Louvre
Le souffleur à la lampe, G. de la Tour, 1640, Musée des Beaux Arts Dijon.
Liens pour approfondir :
Le Louvre expliqué aux enfants : http://leblog.lepetitleonard.com/pdf/Pt-ami-14.pdf
Composition et éclairage : http://www.galerie-photo.com/georges-de-la-tour.html
Pour une analyse en images : http://www.peintre-analyse.com/tricheur.htm
D’Art d’Art : http://www.youtube.com/watch?v=kABklkL5Bq8
F.BDT
.
Pratiques Artistiques
Piet Mondrian
Composition II en rouge, bleu et jaune, 1930, Piet Mondrian - N° 57
Piet Mondrian, peintre hollandais, pionnier de l’abstraction a cherché à faire de sa peinture
un langage universel, dont il considérait qu’elle devait rendre compte des réalités essentielles
au-delà des apparences sensibles. Il procèda par une simplification, en réduisant la réalité à un jeu
d’horizontales et de verticales. Il travailla à partir de 1920 avec les couleurs primaires qu’il associa au noir
et au blanc. Il a structuré ses œuvres de manière graphique en utilisant des formes géométriques.
Au cycle 1 et 2 :
B.O. n°3 du 19 juin 2008:
Référence aux textes officiels en pratiques artistiques et Histoire des Arts et à la compétence 5 du socle commun :
culture humaniste.
Pratiques artistiques :
Il ne s’agit pas de réaliser une copie de l’œuvre mais de l’interroger, de s’approprier les éléments plastiques, d’élaborer
sa propre production, de se créer un univers de référence.
Ce qui est à faire repérer dans l’œuvre de Mondrian:
-Observer les couleurs : association d’aplats de couleurs primaires (rouge, jaune, bleu) et de valeurs (noir, blanc).
-Relever les procédés utilisés : la répartition, l’organisation: faire observer et comparer les lignes verticales et
horizontales (épaisseur, direction, nombre …), la composition géométrique.
Objectifs langagiers : lignes verticales, horizontales, perpendiculaires, quadrillage, des carrés, des rectangles, rouge,
jaune, bleu, couleurs primaires.
Les pratiques plastiques vont reprendre l’utilisation des formes géométriques et des lignes comme éléments plastiques
en référence à l’œuvre avec une réflexion sur l’occupation de l’espace et les couleurs.
Plusieurs entrées et variantes sont possibles :
Entrée par les éléments plastiques :
- Disposer des carrés et des rectangles prédécoupés dans du papier rouge, bleu , jaune, sur un support papier, les coller.
Tracer des lignes verticales et horizontales d’un bout à l’autre de la feuille en effectuant un geste ample, le plus droit
possible. Ne tremper son pinceau qu’une fois pour permettre l’amplitude du geste
.
Mondrian
-Découper des bandes dans du papier affiche noir, coller ces bandes en les faisant se croiser pour
délimiterdes formes.Mettre en couleur les lignes fermées, craies grasses, gouache.
-Travailler sans cadre et sans support papier : les bandes noires lient par collage les formes géométriques
de couleur et les dépassent, créant un effet articulé : peut être pensé en mobiles à accrocher.
-Changer le support : au lieu de la feuille de papier, peindre sur des fonds de cagettes en bois : les cases
sont vite repérées, il ne reste plus qu’à jouer avec les couleurs.
-en PS, un traçage avec les roues de petites voitures trempées dans la peinture peut traduire l’organisation
spatiale du tableau de Mondrian.
-Jouer sur les lignes, remplacer les lignes droites par des lignes courbes et fluides . Travailler en plan vertical pour créer des
coulures, choisir un camaieu de verts, de bleus avec des touches jaunes pour peindre les formes obtenues.
-Transformation des rectangles en triangles.
-Réinvestissement des éléments plastiques dans une composition personnelle : bestiaire, personnages …
Entrée par les notions plastiques : la couleur :
-Avec des tissus : découpage de rectangles de tissus par l’adulte : chaque groupe a une couleur
dominante, camaïeu de couleurs froides, chaudes . Création d’un patchwork de tissus en laissant
un intervalle régulier entre lesformes.
-Inverser les couleurs: les lignes sont en couleur: bleu, jaune, rouge. Ce sont les carrés et les rectangles qui sont noirs.
-Produire une autre composition en choisissant 5 couleurs et en s’interdisant d’utiliser le bleu, le rouge, le jaune, le noir et
le blanc.
-Faire une capture de couleurs :reconstituer le quadrillage avec des tiges de bois ou de bambous. Mettre en scène ce
quadrillage dans l’environnement proche (Fond de végétation , détail d’un mur peint …) pour réaliser des captures de
couleurs , prendre des photos.
-Suite à l’utilisation des couleurs primaires, associer les couleurs complémentaires : Jaune : violet - rouge : vert bleu :orange.
Etendre le travail avec les couleurs primaires par la fabrication de filtres colorés : jaune – bleu – rouge : les monter sur
des supports que l’élève peut manipuler : il doit acquérir une bonne orientation des filtres pour colorer son environnement.
Après ces expérimentations, les filtres colorés peuvent être utilisés sur des supports transparents ou les fenêtres des
classes pour obtenir des productions de type « vitrail ».
.
Mondrian
Créer une installation : placer le quadrillage à plat sur le sol: compléter les cases par des éléments de couleur
(bouchons, bouts de papier , coton…)pour créer une installation éphémère.
Les élèves peuvent apporter des objets de récupération: mettre en commun, effectuer des tris par couleurs
ou par formes, placer dans les cases, photographier.
Entrée par le volume :
-Partir d’un quadrillage réalisé et prolonger les cases peintes par des éléments en volume de même
couleur.
De nombreux décorateurs, stylistes ont crée des objets, vêtements.
-Objets : boîtes de mouchoirs, assiette, galets, palettes de peinture , couvertures de livres …totems
Créer une sculpture avec un empilage de cubes ou cartons rectangulaires aux motifs inspirés
de Mondrian. Travail en grand format pour décorer la classe : panneaux, toile cirée, peinture
d’une vieille chaise, en maternelle : un toit de garage, une maison de poupée, un fond de meuble.
Au cycle 3/ Collège-Lycée :
-Décomposer les éléments de l’œuvre de Mondrian, les inventorier, les recréer pour les « ranger » , les agencer
dans sa production personnelle. S’inspirer de l’artiste suisse Ursus Wehri et de son œuvre développée
autour du rangement artistique: les objets du quotidien sont détournés et réorganisés au profit de son son
propre rangement . Au-delà de la performance « absurde » il ressort une sérieuse méthode artistique dont
on peu d’inspirer pour destructurer et réinterpréter une œuvre et par là se l’approprier .
-Explorer le thème de l’arbre pour appréhender le passage progressif de Mondrian vers l’abstraction :
« L’essence de l’univers se réduit à une structure géométrique » (L'Arbre rouge - 1908-10 - huile sur toile 70x99cm - La Haye Gemeentemuseum - L'Arbre gris - 1911- huile sur toile - 79,7x109,1cm - La Haye
Gemeentemuseum - Pommier en fleurs -1912- huile sur toile - 78,5x107,5cm - La Haye
Gemeentemuseum - Arbre en fleurs -1912 - huile sur toile - 60x85cm - New York Rothshild Foundation)
Faire une composition où rien ne rappellera un objet connu figuratif, mais où on essaiera de faire parler le
signe plastique par lui-même: une droite, une courbe, une oblique, un triangle jaune, un cercle rouge, un
rectangle bleu …une valeur claire, ce qui est en haut, ce qui est en bas.. Trouver une relation de ces
éléments entre eux par la couleur ou par le rythme.
.
Mondrian
-S’inspirer de la chaise rouge et bleue du néerlandais G.Rietveld crée en 1923 , époque du
mouvement de « Stijl », qui apparaît comme un prolongement en volume , en 3D de la peinture de
Mondrian, pour réaliser un objet technologique (interdisciplinarité).
-Mettre en valeur la démarche propre à l’artiste au travers des produits de consommation. Observer
la déclinaison faite des motifs de Mondrian par certaines marques (L’oréal, Nike, YSL...).
Recherche d’éléments plastiques, croquis, maquettes, prise de vues pour cadrage, mise en page
avec accroches.
Mise en réseau
Oeuvres :
•
Se servir d’oeuvres d’art pour apprendre le vocabulaire de la géométrie : Château fort au soleil
couchant, Paul Klee N° 49, L’arbre de vie, G. Klimt N° 50, Libellube aux ailerons rouges, Miro N° 48,
Accord réciproque, Kandinsky N° 58, Vasarély, Bleu et vert, 1958, Claude Viallat, Bâches, 1978,
Du même artiste : Brodway, boogie, Woogie, 1942 qui renvoie à la ville américaine trépidante et au
rythme rapide d’une musique de Jazz.Mondrian se limite là aussi aux couleurs primaires : rouge,
bleu et jaune. Autre artiste d’art abstrait : Frantisek Kupka, Plans verticaux I, 1912-1913
•
Littérature :
-L’art en Bazar, Ursus Wehrli, Milan.
-Musette Souricette, Millerou, Les P’tits bérets
-L’ange disparu , Max Ducos (Où Le Tableau de Mondrian se transforme en 3D) et Jeu de piste à
Volubilis, du même auteur qui fait écho au premier. Tous ces ouvrages sont disponibles dans
l’établissement.
•
Liens :
Jeu de piste à volubilis: http://www.cndp.fr/crdp-reims/index.php?id=1729
Piet Mondrian : A journey throught Modern Art: http://www.youtube.com/watch?v=iSCmWnIoRpI
Atelier Centre Pompidou : http://culturebox.francetvinfo.fr/expositions/peinture/des-ateliers-jeunepublic-autour-de-lexposition-mondrian-49123
Une œuvre à la loupe : http://www.dailymotion.com/video/xg2h68_une-oeuvre-a-la-loupemondrian_creation
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