29 avril 1915 - Presse régionale
Transcription
29 avril 1915 - Presse régionale
JEUDI 29 AVRIL Organe 1915 I mot» « mois i <m 6 fr. 11 tr. BO tr, 7 tr. 13 far. 2« Iv. 10 fr. 20 fr. 40 fr, ïfÂsozn (Union pnstate).. 1 rmnaôro ; S osntimaa ABONNEMENTS _U-G.tH0NNE ET LIMITROPHES. ÏLMHTEM" NON UMKHOPHES. One Prédiction Aucun de nous n 'a oublié l 'impression que lui causa, en pleine paix, et aussi dans la pleine sérénité d'une sécurité trompeuse, la sinistre prophétie du prince de Bismarck. Du haut de la tribune du Reichstag, le chancelier de 1er s'était écrié : « La nation vaincue sera saignée à blanc ». Et cette sentence capitale, froidement prononcée par l 'homme qui par deux fois avait bouleversé l'Europe, fut généralement interprétée comme un arrêt inexorable contre Je pacifisme imprévoyant. L'avertissement s'adressait à l'humanité entière, non pour l'éclairer, mais pour la braver. Le ministre allemand se procla niait à l 'avance son vainqueur et son maître. Il mourut, disgracié, laissant l'Allemagne, son œuvre, aux mains du monarque impatient, accablé sous le poids de l'hérita gé et qui, suivant l'expression de Beaumarchais, « ne s'était donné que la peine de naître ». Mais il fallait au Kaiser, avide des lauriers de César, la justification de son ambition fébrile. Il rêvait d'une renommée éternelle ; sa pensée constante, obstinée fut de la chercher dans le sang. Des hésitations et même des contradictions de son règne on a conclu à la mobilité de ses desseins, à l'irrésolution de son caractère avant le saut tragique dans l'inconnu, au scrupule de sa conscience chrétienne' avant le déchaînement des fureurs infernales... Mais sa modération était feinte, et sa piété blasphématoire. Jamais prince n'a fait un pareil abus du nom de Dieu, jamais homme ne s'est joué avec un tel dédain des sentiments les plus sacrés de l'humanité. Te voile se déchire. L'élève ingrat de Bismarck apparaît fidèle aux leçons de brutalité et de haine. Une nation devait être vaincue. Une nation devait être saignée. Et dans sa conviction absolue cette nation ne pouvait pas être l'Allemagne. N'était-elle pas devenue invulnérable sous son armure?... « L'Allemagne au-dessus de tout ! » Devise significative ! L'Allemagne au-dessus de la France et de quiconque tenterait de porter secours à la France ! T.'Allemagne au-dessus de l'Occident et de l'Orient ! L'Allemagne au-dessus des frontières ! L'Allemagne au-dessus des gouvernements et des peuples ! L'indignation a coalisé contre elle les gouvernements et les peuples. L'âme guerrière, l'âme héroïque de la France a été le lien de ce soulèvement universel. Cepen Étant la prédiction bismarckienne conserve sa précision éclatante... « La nation vaincue sera saignée à blanc ». Et la France n'est nas vaincue, la France ne sera pas vaincue, la France ne peut plus être vaincue... Une nation doit sombrer dans l 'abîme de sang ; et ce ne sera pas la France ! Tout était calculé pour la détruire..., -la masse organisée des assaillants, l'impétuosité du choc, l'accumulation du matériel, la sauvagerie de l'invasion. On allait la noyer dans un océan de carnage et de m n urt.res ! Et Paris écrasé demanderait grâce !... Paris, debout, demande justice, et la France armée resplendit. T a France a ses alliés chaque jour plus redoutables. Tes alliés de l'Allemagne agonisant... T a France a sa confiance d'heure en KpmMi pi lis ardente ; celle de l'Allemagne s'attiédit... La France a ses réserves, ses ressources inépuisables : celles de l'Aller m .iffr-,,1 snnl mesurées par la durée des Rn " r; fi" p s... Ta France a l'idéal de ce ffovn .p. po-nrésente, ce qu'elle défend... TMiiAmn-arne n'a que la rage des appétits déçus... des causes perdues. Ta France vivra dans la hante conscience de son droit et de sa mission dans Te monde. L'emmre allemand mourra dans une cri SA de mé>ninmanie et rte boulimie. Ri.smnrçV T,A s'était uns trompé... La nation vaincue sera saignée à blanc. Lucien MiLLEVOYE Député de Paris. L'ACTUALITÉ Rédaction et Lot, Aveyron, Corrèze, Cantal Gers, W'-Purènée*, &'"-Pyrénées,Landei Tarn-el-Garonne. Lot-et-Garonne arsenal nue Wells inventait pour ses Martiens ? Le nayon vert qui brûle, la Fumée noire qui asphyxie, les Mécanismes d acier qui déchirent... Dans le roman Henri Ryocrolt, du noveliste anglais George Gissing, un personnage émettait celte prophétie sur la « Je la liais, certain qu'avant peu clic sera l'ennemie du progrés. Je la vois ruinant toute la simplicité, toute la gentillesse de la vie ,loute la beauté du monde, restaurant la barbarie sous un masque civilisé, enténébrant Vâme des hommes, durcissant leurs cœurs, ouvrant une ère d'énormes conflits près desquels les mille anciennes guerres ne furent rien Je la vois submergeant tous nos efforts pour le Bien, dans un chaos de sang répandu ! » Gissing, lui aussi, avait prévu le germanisme. . GEORGE DE GÉLI. PAGES D'HISTOIRE Polvlie Vaacien et les Trancliûes Chacun sait que Polybe, tout Grec qui! fut se montra un des grands admirateurs et un des plus fidèles historiens de la grande époque militaire de la République romaine. Philosophe, stratégiste, étant lui-même du métier en sa qualité de commandant de la cava!«ri© acHeeninie, nis d'un intime ami de Philoprnmen, il dut à sa haine des Macédoniens d'être exilé de son pays pendant dixsept ans et relégué à Rome. C'était le beau temps de l'Hellénisme en Italie. Polybe se lia promptement avec toutes les grandes familles patriciennes, particulièrement celle des Scipions, et c'est ainsi qu'il devint le précepteur volontaire du fils de Paul-Emile-Soip'on EmiJlen, qui s'était remis avec enthousiasme entre ses mains, lui dut, selon Pausanias, « tout ce qu'il avait de bon », unissant, grâce à cette éducation exceptionnelle, les grandes traditions romaines à la culture la plus raffinée de la Grèce. Entre temps, Polybe rentra dans sa patrie, pour être le témoin désabusé de toutes les intrigues des brouillons malfaisants qui dirigeaient la populace. Aussi, ne tarda-t-il pas à répondre â rappel de Scipion, qui réclamait ses conseils ; et c'est près de lui qu il recueillit les éléments de sa grande histoire. Il fut ainsi amené à parier en parfaite connaissance de cause des opérations militaires si attachantes qui marquèrent les guerres puniques. La première période de cette lutte gigantesque pour la suprématie du monde connu alors se passa en. Sicile, qui était pour les Romains la clé de la Méditerranée. Les Carthaginois voulurent occuper l'île, bien qu'elle ne leur appartint pas, ce qui leur était facile à cause d© la supériorité de leur flotte. Us jugèrent que la ville d'Agrigente était la plus favorable pour leur centre d'opérations ; ils y réunirent de nombreuses troupes, avec des munitions et des vivres, décidés à en faire leur place d'armes. C'est à ce moment que le récit de Polybe devient très frappant par sa brièveté même : « ;Les deux consuls romains, dit-il (Liv. I or do ees Histoires), L. Post.um.us et Q. Manilius, ayant débarqué en Sicile avec les légions pour défendre le roi -rriéTon, leur aîlré; résolurent de commencer la guerre avec har"iesse, marchant contre Agrigente avec toute leur armé© et s'étant campés à huit stades de la ville. Les Carthaginois ne manquèrent point de es attaquer, et ils arrivèrent jusqu'à leurs etranchements, mais les Romains les répons, sèrent et en firent un grand carnage. Il n'y eut plus pendant longtemps que des ombats légers ; et l'espace qui était demeuré de part et d'autre entre les deux camps fut fortifié de telle sorte, qu'il y avait vers la ville un long fossé pour empêcher que les ennemis ne fissent des sorties, et un autre au-dessus des camps pour se défendre contre ceux qui pourraient venir... Et, du reste, Û y avait entre les fossés et les deux armées de bons corps de garde, séparés les uns des autres par un court intervalle. Des deux parts, on apportait avec abondance les vivres et tout ce qui était nécessaire. Los affaires demeurèrent en même état environ cinq mois, sans que l'un des partis emportât sur l'autre aucun avantage qui pût augmenter ses espérances ; car on ne donnait qu© de petits combats. » Un jour ennn, Annibal et Hannon, ayant reçu des renforts de Cartilage, crurent le moment propice pour attaquer brusquement les Romains avec leur cavalerie numide et quarante éléphants, qui étaient, les grosses pièces de campagne du temps. Le combat fut long et opiniâtre jusqu'au moment où le désordre s'étant mis parmi les Carthaginois, leur fuite se transforma en désastre, les Romains s'étant emparés de tout leur bagage et même des éléphants. Polybe ajoute que lorsque la nouvelle arriva à Rome au Sénat, chacun en témoigna sa joie, chacun en releva son. courage la longue attente du succès ayant énervé' les esprits. On redoutait aussi la violence et la mauvaise foi puniques, et ce fut un soulagement de voir le triomphe de la valeur et de la prudence latines. Tout cola est dépeint paT l'historien grec avec une simplicité et une exactitude qui mettent vraiment le tableau sous nos yeux. Il n'a pas l'élégance et l'éloquente 'concision de Thucydide ; il n 'a pas non plue ses hantes vues politiques. Mais personne n'a jugé mieux que lui la tactique des Romains, leurs grandes qualités militaires et leur svstème libéral de colonisation. Rien d'étonnant à ce que Napoléon en ait fait son livre de chevet. 11 n'est pas inutile pour nous de relire ses enseignements. . M. Armand Gauthier devait fuir ire avant-hier. a l.Académie des — . sciences, »«• une une communica s bombes non sur le asphyxiantes pat les Allemands (Unis leur effort employées désespéré au nord a lyres. Mais on a prié l'èminent savant de ne rien dire encore on attendu rapport des chimistes envoyés au front De quoi est faite celte nouvelle arme bar ba.re -/D'après les déclarations de ce ur a,n furent exposés à la « fumée noire V « 2ui MÎT?-? ( e .«««»««« débris d'engins, ilsem blc qu'il s'agisse de vapeurs de brome liauide vénéneux, trois fois plus lourd ™ Vhau wi aV C lacUUê ei se sémei"t Tv , f • volatilise §épêchss ai par nos fils spéciaux sèment a l'air libre. Mais sa vapeur iaund & «ia suc fois la densité de l'air] peut BE PAïSêS ET DE B0KD £AUX nU 0es une faible hauteur au**%s l, Z , ^ et , etTe Cc * vaw,,r\ foussée par le vent Ic * vZTï/*- violemment toxiques irritent L cs AliilT T? totrcs et brident les yeux 8 Possèdent d'immenses quantités de ilrn ^ e qu'Us Une, ,,„ 02>} tirent de leurs saS . S5/OT abuser pm WT ^ . . „' Ils peuvent donc en r l( fait A < l' le' enm criminel usage qu'ils en ont tanc? ess tavnrnî'A6 dàrypres J pres ; • mais mais tes tes circons rnm, lavorablcs à son emntoi ne re» tr l P DEUX CENT S01XANTE-DIXIÈME JOUI QUI î! K V- <*»'°>»-S- M. André Lefiv e °f était chuniste avant d'aborder la poli i m estime que « c'est comme engin meurde meme ordre aue leurs c,, l , Zeppelins ^ surprend, ça inquiète, quand on ne sait UC ccst Communiqué Officie n ' csl lias unc armo P ra tinueS pe , -e " Cctrnp llu-ngercusc, comme Utdi*nil , 11 ,,. . r M - Armand Gautier, En de f&pé^Mmâ tmivrm, ?.??• nous voilà prévenus, et nous P<n*r r>o)* 1 nou s plan, leur rendre « fève p(Hn blanc V° ur fouace blanc î.a / peur Pain Que cCUc citation de lié mer 'nJ S0li L. Paris, 28 avril, 3 h. soir. eeiir, ne soit un peu cruelle pour les man Pa1n K K Mais aiiïS Physionomie barbare la scien Au nord d'Ypres : nie« Aa la ,'"ains brutales <les Allemands, a don c? w ait7in'';'' rc ! Vn tournai hollandais di NOTRE PROGRESSION S'EST POURSUI tr <tnché?? arei1l a ronger les fils barbelé. VIE, PARTICULIÈREMENT A NOTRE GAUm vienl d ' elre inventé. Ces a--a f?rtc de'h? onndeur afh **nneton, dont la carapace, dt CHE. NOUS AVONS PRIS SIX MITRAILLEUe est Jo#to» <réM» nickf l ,le SES, DEUX LANCE-BOMBES, BEAUCOUP '-Paisse^' S?' /". acier a,,*„ ees courbe, S0 ct forme une cuirasse DE MATÉRIEL ET FAIT PLUSIEURS CENnïn tc 'I Prise n „ " L calculées pour n'offri ar '\ «U? mies mâchoire ion TAINES DE PRISONNIERS DONT PLUen"klos P«r aL par un moteur électriqu SIEURS OFFICIERS. LES PERTES DE L'EN% l et c^,?"""'"''"^. i ;a, mr ea pès NEMI SONT EXTRÊMEMENT ÉLEVÉES : cnJ«", rc/,e Ountfl up " n " olc P' l r un homm ms^H °nt7oiïfi. CCs appareils opéran SUR UN SEUL POINT DU FRONT, A PROXIaffe b ?f| large dëï' '» minutes, un 0 4 MITÉ OU CANAL, NOUS AVONS COMPTÉ fa mètres dans un réseau bar cro iraU-o n Pas voir u formidable PLUS DE SIX CENTS CADAVRES ALLEMAND ?„Aai?*«e quotidien de Défense Sociale Religieuse Administration: Toulouse, rue Roquelaine, 25 A. PABIS : S S, Sur les Hauts-de-Meuse : FRONT DES ÉPARCES, SAINT-RÉMY (TRANCHÉE DE GALONNE), NOUS AVONS CONTINUÉ A GAGNER DU TERRAIN (UN KILOMÈTRE ENVIRON), INFLIGÉ A L'ENNEMI DE TRÈS FORTES PERTES ET DÉTRUIT UNE BATTERIE ALLEMANDE. | LA BATAILLE D'YPRES UN SUCCÈS DES TROUPES BELGES Le Havre. 28 avril. La nuit dernière, les Allemands ont tenté de renouveler contre les troupes belges la manœuvre déloyale qui avait failli réussir samedi dernier contre les Français. , Sans doute, les soldats belges s'y attendaient et des mesures avaient été prises par eux. Toujours est-il que lorsque les Allemands, confiants dans l'effet des #az asphyxiants, se sont avancés en masses compactes au sud de Dixjmu.de, ils ont été i-eçus par ïe feu des mitrailleuses. Une charge furieuse des vaillants soldats belges a achevé de les mettre en fuite. Les .pertes éprouvées par l'ennemi son* ! énormes. YPRES EN FLAMMES Londres, 28 avril. Le correspondant du Morning Post écrit : « Ypres est en flammes, assaillie par un ouragan d'obus, écrasée et dévastée par les monstrueux projectiles des obusiers de 305. » Cette antique cité flamande a connu toutes le® horreurs des bombes incendiaires. Ypres est la clef de nos positions en Flandre, et l'on s'explique l'atroce acharnement de l'ennemi. » Toutes les inventions les plus diaboliques des démons de la guerre : grenades à main, torpilles aériennes, gaz asphyxiants, crapouillots, boîtes à sardines, obus perfectionnes, dit pompons, ont déversé sur nos tranchées leurs rafales infernales. » Nous tenons quand .même ; nous avons même gagné un peu de terrain au nord d'Ypres et rendu intenables les tranchées situées dans le vallon qui sépare l'éperon 60 des bois du Petit Zillebeke. » Nous avons brisé l'élan ennemi ; mais tout n'est 'pas terminé. On annonce que de gros renforts arrivent de Belgique et du Luxembourg pour aller se masser entre Menin et Roulers. n L 'OFFENSIVE ALLEMANDE EST BRISÉS Londres, 28 avril. Le correspojKlant du Daily Express à la frontière belge télégraphie : « Les troupes allemandes qui s'efforcent, de se maintenir sur le lambeau de terrain qu'elles ont gagné après quatre jours de ©Ormibat: commencent à laisser ni|yilfester les signes, d'un grand épuisement. » Les blessés qui aWtveifHRlx hôpitaux de la base septentrionale des opérations insistent sur la fatigue terrible qu'éprouvaient les trour' pes germaniques après des combats continuels dont le résultat fut seulement que quelques 'unités, engagées au nord-est d'Ypres, tombèrent finalement épuisées. n iLes ethefs allemands essaient maintenant de jeter de grandes masses d'infanterie sur la gauche anglaise. » Cela ressort notamment de l'arrivée de soldats venant de Bruges et qui, jusqu'à dimanche matin, se trouvaient à l'ouest de Passohendaele, où l'assaut des Anglais, pour regagner le terrain .perdu, semble avoir été extrêmement violent. » En Hollande, les Allemands sont plus pessimistes que jamais, car les nouvelles de Belgique n'annoncent aucun succès nouveau. i Je viens d'apprendre, de source non officielle cependant, que les Allemands ont dû céder du terrain entre Pilkem et Kerselaere et que le mouvement en avant de leurs troupes par Tliouroiut a été suspendu. » Paris, 28 avril. Le ministère de la 'marine comiuundquo la note suivante : « DES TÉLÉGRAMMES SOMMAIRES NOUS ONT APPRIS QUE LE « LÉON GAMBETTA » AURAIT ÉTÉ TORPILLÉ DANS LA NUIT DU 2S AU 27 DANS L'ADRIATIQUE, AU LARGE D'CTRANTE. FKYDKAU « LES DÉTAILS NE SONT PAS GONNUS ; CEPENDANT ON A LA CERTITUDE QU'UNE PARTIE AU MOINS DE L'ÉQUIPAGE A ÉTÉ SAUVÉE. GOMMENT IL FUT TORPILLÉ Brindisi, 28 avril. Le croiseur cuirassé Léon Gambetta a été torpillé par le sous-marin autrichien V-6 vers 1 h. 30 la nuit dernière, à environ 25 mlKes au sud de Santa-Maria-deLeiuça. Le croiseur s'est échoué pour ne pas couler. On a sauvé plus d'une centaine d'hommes d'e l'équipage qui ont été recueillis par des bateaux de pêche locaux et par le personnel du sémaphore de Santa-Maria. LES CAUSES DE LA CATASTROPHE Paris, 28 avril. Le ministère de la marine n'a encore reçu aucun renseignement permettant de déterminer les causes de la catastrophe : choc d'une mine ou attaque d'une torpille. Par ©entre, les journaux Italiens et les rensergnoments fournis ;t Rome au ministère de La manne n'hésitent pas à dire que le LéonGambetta a été torplililé ;S Jl0!umMS 9améa sent es^'de 13G ius<l-ur4 préLa Tribuna croit que le sous-marin autrl, deTni; I ^-«roisour Partit a l'aube ^U'o. aikue à laO milles de Sa.nta-Mo.ria U. t0rr'-,ia es v 'a P«urs. italiens ont souvent ^h n?!/' W V nntri, ^n dans 008 Parages des sous-marine f Le sous-marin dut plonger au coucher du soleil et remonter pendant la nuit 1 SOn aotlon était terminé ^ «ertoinemeiu déOu savait depuis longtem.ps qnie trois croiseurs français, dm. type Léon-Gambetta croi«aientdans les ilôts qui .s'alluu^.ni, ,|e rno <l„ (.orfou vers l'Italie, dans un rayon do 40 à 50 milles. Le mauvais temps, la mer houleuse, la brouillard favorisèrent l'entreprise du sousanarin,. M y a lieu do rappeler que, lie 21 décembre dernier, le cuirassé lean-Bart a été frappé par la torpille du sous-marin autrichien U-li dans le détroit d'Otrante. Plus heureux que le Léon-Gambetta, le Jean«"tU1 éprouva que des avaries relativement "veres et put regagner le port. LES PERTES PRUSSIENNES Copenhague, mardi, les sept dernières- listes des pertesi prussiennes contiennent les noms de 28.939 officiers et soldats tués, blessés et manquants. Le total général des pertes prussiennes atteint ainsi le chiffre de 1.225.908, sans compter les 174 listes de pertes bavaroises, les 138 listes de pertes saxonnes, les 164 listes de pertes wuTtembergeoises et les 28 listes de pertes navales. 11 y a dans les dernières listes celles des pertes de tous les régiments en septembre et octobre. GÉNÉRAUX BAVAROIS MIS A LA RETRAITE Londres, 28 avril. On apprend que des généraux .bavarois, ren dus responsables par l'ètat-major allemand de l'échec subi à SainMBloi, près d'Ypres, ont été mis à la retraite. Cette mesure de rigueur été appliquée à un général comman<tant de corps d'armée et à deux généraux de division. U BATAILLE BIS LES FLANDRES LA REPRISE DE LIZERNE PAR LES ALLIÉS Londres, 28 avril La légation de Belgique publie aujourd'hui le oomimuniqué suivant daté de Londres, le 86 avril : « le nuit dernière, notre infanterie a repoussé, au sud de Dixmude, trois attaques des Allemands qui s'étaient servis de gaz as^ iphyxlanifs et ont subi des ipertes énormes. » Aujourd'hui, leur artillerie s'est montrée assez active sur notre front, mais la nôtre a vigoureusement répondu et soutenu très efficacement l'attaque des Français sur Lizeroe, occupé hier par l'ennemi, mais repris cet aprèsrmidi. » Londres, 27 avril. iLo correspondant du Dailu News, câblant hier soir du nord de la France, donne une description de la lutte terrifiante qui s'est livrée dans raprèsnmdi :' s Les Allemands, dans leur grand effort nour percer les lignes alliées sur l'Yser, ont é.te compiètement défaits-. » H est même certain que le reste de leurs troupes d'attaque qui avaient réussi à franchir VYser et à s'emparer de Lizeme a été complètement anéanti. » Aucun Allemand ne reste maintenant sur la rive gauche du. canal, D Le correspondant du Daily Mail mande de son côté : « Rotterdam, 37 avril. » L'attaque allemande sur Ypres a échoué et l'ennemi est rejeté' au-delà de iY'ser aveci de grosses pertes. » Lizerne et Hetsas ont été repris par les alliés tiens un. élab irrésistible qui a suivi un terrible bombardement sur la ligne spécialement en danger de Pitkem-Saint-Julien-Gravenstafal. » Les Anglais, en grande force, refoulent les AltemàmcLs vers Gravenstafeï. » L'ennemi, débordé par le nombre et complètement défait, a battu en retraite en résistant vaiiliamment à iroe série de charges brillantes de rinfa.nterio anglaise, conduite à 4'assaut par ses officiers, avec l'appui d'artii ierie légère. » La lutte continue, mais l'espoir des AMesnareds d'atteindre Ypres est définitivement ruiné. % » J'apprends que des trains bondés de blessés arrivent à Aix-ia.-Cha.pel'le. «Les Wurtembergeois, notamment^ semblent avoir été taillés en pièces. » L'ACTION DE LA CAVALERIE ANGLAISE Londres, 28 avril. Le correspondant du Daily News dans le nord de la France a appris, hier après-midi que la cavalerie anglaise était entrée en ao Ajoutons que la flotte française, jusqu'à présent, a coulé dans la Méditerranée .le croiseur éclaireur Szigetvar. .le cuirassé Zrynyni et trois sous-marins autrichiens. LE SAUVETAGE DE L'ÉQUIPAGE Rome, 28 avril C'est à 20 milles de Santa-Maiia-de-Leuç. quo le croiseur cuirassé français Léon Gambetta a été torpillé. On mande de Rriindisi au Giornale d'Ilal que les appareils radio-télégraphiques du Léon Gambetta ne parent fonctionner, mais que les employés italiens du sémaphore de Samta-Maria-de-Leuça, envoyèrent aussitôt des avis do secours dans toutes les- directions et procédèrent malgré la nuit très sombre au sauvetage de l'équipage au moyen de leurs chaloupes. Presque immédiatement, d'ailleurs toutes les barques de pêche qui se trouvaient aux environs et quelques torpilleurs italiens de la défense maritime, guidés par" les employés du sémaphore, s© dlrigéreint vers l'emplacement où le Léon Gambetta était presque complètement submergé. Tous les destroyers de Brindisi, d'Otrante et dautres navj.rcs arrivés de Tarent© sont sur les' lieux et explorent les eaux dans tous tes sens. De nombreux médecins arrivés aussitôt avec leur matériel de pansement, donnent leurs ©oins aux 103 hommes de l'équlpagé du. Léon Gambetta qui ont été sauvés et dont cinq sont blessés. L'équipage dormait. Les matelots ont été surpris dans leur sommeil' et se sont sauvés sons vêtements. Ordre a été donné au département maritime de Tarente d'envoyer des vêtements. L'ARMEMENT DU 25 ÉDITIONS RÉGIONALES Tarn. 4ude, Hérault, Pyrénées-Orient' Haute-Garonne, Ariège Edition du matin spéciale à Toulouse LES RENFORTS ALLEMANDS IyOndres, 28 avril. Le cerresipondant du Daily Telegraph à la (frontière hollando-belgo télégraphie à la date d'hier : « Autant que je 'puis en juger, la marée des lenforts qui a couru à grands flots 'à travers la Belgique est virtuellement éipuiséo et l'on annonce que les alliés, ayant des milliers d'hommes de troupes fraîches à leur disposition, ont ipris l'offensive. » Franco-Allemande î& et LÉON GAMBETTA e ANNfiB — K° 8,174 Les annonces sont reçues à Paris dans toutes les agences de publicité ; k Toulousa aux bureaux du journal, 25, rue Roquelaine, et chez tous nos correspondants. — Le tarii de la publicité est envoyé franco sur demande. tion et «pie les troupes britanniques, PO .UXE.UI1van.t l'avantage diéjà obtenu, avaient repoussé l'ennemi sur une certaine distance. rajada ont om.péohé Ses troupes autrichiipnn.es de poursuivre des travaux de retranchement. Dans un combat di'avant-gardes livné. cUms le voisinage de la frontière, les Autrichiens oint eu de nombreux tués et blessés. La Guerre Aérienne La Piraterie Allemande DEUX TAUBES SUR EPERNAV Epernay, 28 aivrll. Hier matin, à six heures, deux avions allemands ont jeté six bombes incendiaires sur Epernay et ies bois environnants. Leurs engins n'ont fait ni victimes ni causé de dégâts matériels. BOMBES SUR NANCY Nancy, 28 avril. Un avion allemand, volant à très grande hauteur, a réussi à parvenir jusqu'au dessus du centre de Nancy. Trois bombe» sont tombées près du Palaisde-J'itstftce, rue de la Constellation et rue du Faubourg-SawitrGeorges. Gete-ci n'a causé que des dégâte matérieils. mais les deux antres ;c*imes. On compte quant ont fiait ipQusieur' à présent tooiis tues et six blessés grièvement. D'autres personnes ont été' atteintes pùus ou moins sérieusement ; on en ignore le nombre et l'identité. 'Les aviateurs alemonds,, poursuivis par les nôtres et vigoureusement oanonnés, ont rapidement disparu. QUATRE BOMBES SUR OBERNDORF Amsterdam, 28 avril On télégraphie de Stuttgard que le mitoisfcre de la guerre a annoncé hier matin, qu'un aéropilane appartenant aux alliés a survolé Obewi dorf, jetant quatre bombes qui tombèrent sur une fabrtque d'armes, causant, affinme+jl, des dégâts insignifiants qui ne gêneront pas le travail dans l'établissement. Bien que poursuivi par le feu de plusieurs mitrailleuses, l'aviateur a pu s'échapper dans la direction de l'ouest. AUSTHO a>>HUSS£ UN AÉROPLANE RUSSE ABATTU Amsterdam, 28 avril Une dépêche de Budapest annonce qu'un aéroplane russe, du type Sikorski, a été. abattu par l'arUÇierie lourde près de Czobos. Sur les quatre aviateurs qui' le montaient trois ont été tués. LE FRONT RUSSE INÉBRANLABLE Londres, 28 avril. De Pétrograd au Daily News « On croit" que 24 corps d'armé© autrichiens et 12 corps allemands sont maintenant concentrés dans les Carpathes méridionales pour la défense de la Hongrie, avec une force disproportionnée d'artillerie comprenant de nombreux .canons lourds qui ne peuvent être rapidement déplacés. Aucune bataille générale n'a été livrée jusqu'à présent ; chacun des commandants d'armée autrichiens a tenté des attaques partielles, indépendantes les unes des autres ; aucune u7a dérangé la forte ligne russe. » LES RUSSES EN MARCHE VERS LA BUKOVINE Londres, 28 avril. On mande de Bucarest, 27 avril, au Times : « Les Russes auraient tait après les combats d.es 22 et. 23 une tentative pour pousser jusqu'en Bwkovin© ; ils ont fait reculer l'ennemi vers Malenki, faisant 182 prisonniers. » Des fonces russes se concentreraient aussi à Bo.jan, au nord de la Bukovine, dans le but de forcer le passage de la Pruth. » Les autorités roumaines déclarent, que l'armée autrichienne manque d'approvisionnements. » l" ACTION GÉNÉRALE RUSSE COMBATS ACHARNÉS DANS LES CARPATHES Pétrograd, 28 avril. (Communiqué du grand état-major) : Près d'Ossowietz, un duel d'artillerie se poursuit par intermittence. Une escarmouche, heureuse pour nous, a eu lieu le 25 avril sur la rive gauche de la Vistuie, au sud-ouest de Radoawice. Dans les Carpathes, le 25 avril, l'ennemi, après un© préijaration. dfartiiiei-ie proiongée, est monté à l'assaut des hauteurs situées au nordest d'Orospatak. Des détachements offensifs sont arrivés jusqu'aux barrages de fils de fer, mais là ils ont été disjrersss par notre feu. Dans la nuit du 26, l'ennemi a prononcé dea attaques qui sont demeurées vaines, dans la région qui se trouve au nord-ouest et celle située à l'est du col d'Oujok. Un combat acharné continue dans la direction de Stryj ; un bataillon autrichien tout entier s'est rersdu. Le 26, notre artillerie à Mhourametz, a lancé aveo succès des bombas sur les aéroplanes ga» réo dans l'aérodrome voisin du viliage de SaniHky. Dans la courant de la journée, nous avons pris deux aéroplanes aliemando à Naselsk, ct un autrichien à Rimanouw. Deux taies Victoires Risse VAPEUR SUÉDOIS COULÉ PAR UNE MINE Stockholm, 28 avril. Le Dagblad annonce qme le steamer Cent rie, ai port d'Helsingborg, ayant probablement heurté .une naine, a coulé lundi matin dans la mer d'Aland ; l'équipage a été sauvé. CAPTURE DU VAPEUR ALLEMAND • ELFRIEDE » Melbourne, 28 erria (officiel). Un navire de guerre anglaisi a capturé le vape.ua1 Ide commerce allemand Elfriede. On croit que le Pacifique est ainsi purgé de tout nmvlre ennemi.. LE CONFLIT TURC AU CAUCASE Pétrograd, 2S avril. (Communiqué de l'état-major). Le 25 avril, dans la direction d'Olty, nos troupes du littoral ont poursuivi leur offem sive. Dons la vallée d'Aiaohkert, notre cavalerie a eu un engagement aveo les Kurdes, qu'elle a disipersés et refoulés vers te sud. Dans les autres directions, on ne signale aucun onangement. DES TORPILLEURS RUSSES DÉTRUISENT LA MARINE MARCHANDE OTTOMANE Pétrograd 28 avril. Le correspondant du Ruskoie Slovo à Od.essa annonce que la semaine dernière des torpilleurs russes ont détruit au large de fa cote d'Anatolie quatre steamers et vingt-quatre voiliers turcs. C'est urue perte considérable pour la Turquie. LE SULTAN DEMANDERAIT LA PAIX Genève. 28 avril. La Tribune de Genève i>ecoit de Salonique la dépêche suivante de son correspondant particulier : • Salonique, 27 avril. » On mande de Constontinopl© que le Sultan est décidé à demander la paix par une lettre autographe à la Triple-Entente. » Dans les milieux diplomatiques, le nombre des partisans de la Triple-Entente a augmenté. » Von der Goltz pacba s'est rendu sur le lieu des opérations dans Les Dardanelles ; huit officiers turcs de sa suite ont refusé de l'accompagner •. AU COMITÉ UNION ET PROGRÈS LES DIRIGEANTS DISCUTENT LA SITUATION Salonique, 28 mai. Voici de® détails sur la réunion seorète qu'ont tenue les dirigeante du Comité Union et Progrès et qui a été annoncée hier. Tous les membres influents du Comité Union et Progrès ont été convoqués à c© conseil, qui est 1© premier réuni depuis le commencement de la guerre. Le Conseil, sous la présidence' de Talaat bey, ministre de l'intérieur, a examiné la situation politique actuelle, le danger que court la capitale et les moyens de le conjurer. Talaat bey, a commencé par faire l'histoire des circonstances qui avaient amené la Turquie à associer son sort à celui de la Duplice ; il a insisté notamment sur le fait que la Turquie était obligée ou de rester neutre ou d'aider la Duplioe, et qu'en aucun cas, elle ne pouvait contribuer à la victoire d© la Russie, son ennemi© héréditaire. Il a ajouté, que la Turquie aurait mieux tait de rester neutre, mais que les événements l'ont poussée malgré elle & prendre une part active dans cette guerre. U a ensuite exposé le danger que court Constontinople, la Turquie ne pouvant résister indéfiniment à l'attaque des alliés dont les moyens offensifs sont constamment renouvelés; alors que du côté de la Turquie, vu le manque de munitions, chaque effort fourni diminue d'autant la force de sa puissance défensive. 11 a constaté que seule une invasion de la Eerbie par les armées autro-allemandes, établissant ainsi leur union avec l'armée ottomane, pourrait sauver la situation. A ce sujet, il a relevé, non sans amertume, l'aveu d'impuissance des alliés de la Turquie, laissée seule contre les efforts combinés de la TripleEntente. Une vive discussion se serait ensuite engagée, plusieurs memlxies de l'assemblée proposant la conclusion d'une paix séparée avant la chute d© Constantinople. Mais Enver pacha, assisté par Ualil bey, a eu gain d© cause en proposant, étant donnée l'indécision de la grande bataille qui se livre actuellement dans les Carpathes, de faire encore crédit pour quelque temps à la promesse de la Duplicé de venir à leur aide en envahissant la Serbie En conséquence, il a été décidé d© résister par tous les moyens à l'action des alliés contre les Dardanelles et le Bosphore pour gagner du temps et d'attendre les résultats de la grande bataille des Carpathes. Si d'ici quelque temps, La situation militaire de ses alliés restait inchangée ou leur .était défavorable, ou si encore Constantinople était sérieusement en danger, la Turquie négocierait un© paix séparée. Le Boml ardement des Dardanelles 20.000 AUTRICHIENS AURAIENT ÉTÉ TUÉS Genève, 28 avril. Le 26 au matin, huit régiments austro-hongrois attaquèrent près du col d'Uzsok les nouvelles positions russes occupées par moins de deux régiments. Après quatre heures do lutte, les Russes se replièrent, mais vers la cote 3G0, ils reçurent des renforts et contre-attaquèrent avec une extrême vigueur. Les Austro-Allemands reculèrent et les Russes avancèrent encore do trois kilomètres au-deià de leur première position au sud-ouest du col d'Uzsok. Les Austro-Hongrois auraient eu au cours do ca combat acharné 12.000 morts et 8.000 prisonniers, dont 240 officiers. Une autre violente action est engagée dans le secteur compris entre Stryj et les hauteurs qui dominent Maramaros. Les Russes enlèvent successivement les positions des Autrichiens. Ceux-ci auraient perdu encore lit 8.000 morts et blessés et 1.000 prisonniers. UNE JOURNÉE DE COMBATS ACHARNÉS LuimiVb, i» uiVTiU (officiel). Après une journée d'un dur combat en, paye difficile, les troupes débarquées dans la péninsule de Galfliipoli prennent solidement pied avec l'appui efficace des navires Les Français ont fuit 500 prisonniers D'autre part, i« Buaeau de la Press© cornmuniuue. en. même temps que son télégramme officiai, une dépêche olticielle du Caire d.isanii que 'les alliés, sous les ordres de sir Jau Hamilton, ont effectué dans d'excellentes conditions leur débarquement sur les deux rives des Dardanelles. Ils ont fait, de nombreux .prisonniers et continuent d'avancer. Paris, 28 avril. Le Léon Gambetta était un. croiseur cuirassé du, priKU-iUimii! de l'.HJO ; il avuit Mit Jotu;*» à Brest en 1901 et faisait' partie d'uni .gnnipo do trois croiseurs, dont les deux autres, le Victor-Hugo et le Jules-Ferry formaient avec lui la 2' division légère. Le commandant de cette division, le contreamiral Senes, avait son pavillon sur le Léon Qambetta ; le commandant du. navire est lo capitaine do vaisseau André, qui fit parti© du cabinet de M. PeUetan lors du passage do celui-ci au. ministère de la .marine. EN ITALIE Son déplacement était do 12.GO0 tonneaux, avec 1-îG m. 50 do longueur, 21 m. i0 de larLA CONSULTA geur et 8 ni. 20 do tirant d'eau. Son appareil NOTE, — Les communiqués russes n'ont fait moteur avait une puis sa mec. die JJH.M KI che?S avril vaux, correspondant à une vitesse de 23 encore aucune mention de ces engagements. Une activité «xtraord "ai .reTurin, s« rem«on|uB A no'.uds. la Consulta. Pour assurer ton iieni 3» ; La protection était assurée par un ouirassecret des négociai iom.,, M compte SunY>ïiw>''T'*i a fait «emen.t de 170 uiill.i métrés d'épaisseur à ta pner te reprenant, de la Soniu.i .iH)l©V flottaison, do 200 .millimètres, au. blockansa du tenir de venu jusqu'à „,„, v<) i ,„.1T , commandant et do 140 aux positions do l'ai >0QtfHerie. iw mimlisiAre ont. du reste, l'oid.v <l 'r .c.uter ..i-Sincim. L'armement comprenait quatre canons de toute visite. I 19V en tourelle axiale, seize do 16-1, dont SUR LE FRONT MONTÉNÉCRIN m;c,i , ,0, que diri -raii M (SiolKt? confco M. douzo <'.ili ni', ut le-; doubles et 'ii d;' -'.7, plu. .i...t.iur.i. |'. ur ,-4..,,, ',.,, ,., H „.(\,,«„ t ff ..,rtK deux tulies lauce-torpil.'»'s sous-mannes. L*et Un, vloQent duel d'artillerie 'eut 2r> ««> M. Rii4 >.w. un iiiKjiihiinoiK deiuraiifei». feetif réRlementaire était d© 23 olflciera «t i Vldea \aiionu* .ntnin». q.ue M. Salandire. l avril sur le rront !.ov,v,H irahovo l-Wa,;! \7U hommes dV-quipago. Les battciues montéu^riuca voisines do Go- («rut <tcti<.r tout., •.' .,; :i,|iu-. iM '«;i:e» oui lui;. KUtaci'ci. lo roa un .iv;uu ciooéJe la ùa.uy .1 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés AliSTRO-SERBE îfen Te MOI DES POISSA «EUM-B9 k-Ae satat <lu P» -*3 l'imposa, do dissoudre «•tambre et d*<en appeùer au pays. fa PRÉPARATIFS MILITAIRES Rome, 28 avril. , |ÉL Qiomaie Militaire Officiai*, axmmm la hœwili'saiiutn d© tous les onhaiens de lésarv© K oorps vétérinaire miiitaii«i» des classes jS85 et 1886, <su1 n'orna piiins t'ait de aemiéaa detoute le 1"* fuMCiA île l'aruiCe dernière-- et mil Sont rappulés sous te arme», soii-diEuinit pour un© période de 60 joura. Las jeumes gens <te 16 a 20 emm et les citoyens italiens qui .ne font pas partie! de la ihîoHïieTe et de la sioeGiiite catégorie, sont invités par les journianix à m lh-tae. inscrire dama S corps des cyclistes et des gardes-côtes volentaires. Outre Le cours de wepamtion sanitaire a, |>a «ueroe. qui a lieu a fitntltait d'hygiène, le Comité, préposé à l'organisation, civile en. cas Se moisi liiisatiion, vient d'erpraniser «m cours jrainde «r-tallrnuurii» fWMir .les éfciMttanli 4M djiiiatre premières années de médecin©. Autour de la (§uem UNE NEUVAINE NATIONALE A LA BIENHEUREUSE JEANNE D'ARC Taris, 28 avril. Après avoir pris l'avis des émiinciiibissimes cardinaux français, lesquels ont tous répondu favorablement, et pour répondre d'ailleurs au désir exprimé par un très grand nombre d© prêtres- soldats et de civils, S. G. M©r Touehet, év&qu© d'Orléans, a proposé à NN. SS. les E>. équee de Fran.oe.un projet, de weuvaim© nationale à la Bienheureuse Jeanne d'Arc. I>es évoqués ont donné leur adhésion, unanime. La nouvaiiine aura donc ainsi un caractère national ; elle commencera le 8 mai, jour anniversaire de la délivrance d'Orléans, et se clôturera le dimanche 16, jour de la félto litargiiquiû de la Bieinhcureiusie. DECRETS INTÉRESSANT LA DÉFENSE NATIONALE Londres, 28 avril. Une dépêche do Homo au DuUy "l'eiegraph Biinonee que le Journal Officiel .a publié o-vant-heer trois décrets intéressants : le relater a .trait aux officiers de la réserve, et de la territoriale ; te second, donne au Gouvernement lo droit de .réquisition ; te troisième c'onicerno les employés des chemins d© fer en temps de guerre. UN DIRIGEABLE SUR L'ADRIATIQUE Rome, 28 avril. Dans La nuit, on a pu observer un dirigeable qui, muni de réflecteurs puissante et marchant à. grande vitesse, explorait visibteonenit notre littoral. UNE FAUSSE ALERTE Turin, 28 avril. Les journaux de Venise publient des. récits dfetafilœ «as- une fausse alarme qui s'est produite l'autre nuit à la frontière austro-itaUero Vers minuit, le commissariat et la gendarmerie autrichienne de Cormpns lurent avait déjà .atteint La gare de Mossa lorsqu'on italiennes étaient en marche dans la direction de cette ville. Le commissaire transmit la nouvelle immédiatonaent par téléphone au commandant du district de Goritz, auquel il était directement rené: une heure plus tard, £ trains militaires remplis de soldats, complètement armés étaient prêts. Le premier avait déjà atteint la gare de Massa lorsqu'on 6 'aperçut qu'on s'était trompé. Les hommes pris "or Les douaniers pour des soldats d'une ûvant-garde italienne, étaient simplement des contrebandiers; mais en attendant Les garniBons de MdTitfaleone, Sagrada et Goiriskas avaient aussi reçu l'éveil et se disposaient à partir. L'ARRIVÉE DU BARON DE GIERS RETARDÉE Rome, 28 avril. (Nous somme» informés que le nouvel ambassadeur de Russie près .te Quirinal, M. de Uters, n'arrivera pas à Rome comme il avait été annoncé le 5 mai, mais seulement 1© 12. Cm Aginare Lies causes de ce retard. LE MONUMENT AUX MILLE Rome, 28 avril. Le Conseil des ministres s'est réuni hier '«tatdn. M. So.nm.ino, a fait l'exposé de la sipp» diplomatique. Le Conseil a délégué M. Saiaadira et lie Ministre de da guerre pour accompagner le roi à Gênes, où aura lieu l'inauguration du monument aux Mil te. Des crédits ont été votés et toutes les dispositions prises .pour que les sociétés et les délégations pateiofôques, sans distinction, de parti, puissent assister à cette inauguration. ARRESTATION D'UN DIPLOMATE «BOCHE » SanrRemo, 28 avrilLe procureur royal vient d© (décerner un mandat d'arrestation contre uni diplomate de l'ambassade d'Allemagne à Constantin opte, Max Holzsthineider. de Francfort, sous l'fttcnîipation de voL H se Irouvaiit sua' la Riviera itadenne défauts, plusieurs anois., se vantant d'avoir de nombreuses relations, avec de hautes (pei-sen.naiM.tes .poàitiqtxs étrangères. Depuis quelque temjas, cependant, il était soupçonné d'être mmteteï de plusieurs vols accomplis avec uma rare audace dans les grands- hôtete. Récemment, -un sujet russe, Pierre Gakan, fut «ftpeuiaé de trois tmete de mille francs Le «comte PhKlhart Ftesoat, secrétaire de La Pto -d'Italie à Copenhague, fut également dépouille d'un© eartatee somme. Comme il menaçait Hoizsarraeider de le dénoncer à La. «XXoik.cie, ,ii ,pr:;t lia fuite. Une enquête ouverte révéla que M «Uptomate vottenr était également espion. H envoyait .souvent des. agents à sa solde sur 3s littoral français qui lui remettalent, de .longs rapports. Sa disparition de San Rem» remonte a quelques jours seuiemenit. UN GRAND CONSEIL DE GÉNÉRAUX . . Salonique, dimanche. ff (Les généraux de corps d'armée ont reçu l'orftre d'être Athènes jeudi, afin d'assister à un grand conseil. ACHATS MILITAIRES Londres, 28. avril. On télégraphie de Washington au MorninaPost • " Le gouvernement grec vient d'acheter en Amérique 100.000 tonnes d© charbon, des muSAtions e t des provisions pour les hôpitaux. » EU BULGARIE UNE FORCE BULGARE A LA FRONTIÈRE SERSE , ™. . . Salonique, 28 avril. 'i.OOO arrésuliers bulgares sont concentrés à iïOTunradtza, frontière serbo^tmlgare, sous le (t;0.mm.aindeme!n.t d'un colonel allemand: le mi•,mis*re de Russie, M. Itavinsky, est parti pour enquêter. UNE PROTESTATION DE L'ÉVÊQUE IDE NAMUR Le Havre, 28 avril. L'évoque d© Namur, Mgr Heylem, vient d'adresser une protestation énergique et précise aux gouverneurs allemands de .Bruxelles et de Namur, contre les affirmations des Allemands relatives aux. incidents des francs-tireurs ct à l'intervention du, clergé belge dans les faits de guerre. L'ôvêqùe de Namur proteste en particulier contre l'assertion que des civils belges auraient tiré, tandis que les -soldats allemands se seraient conduits dignement et ne se seraient rendus coupables d'aucune cruauté. tannique®. ÏJOS Allemands violent d© Sa ma- 1 ntere k plu» flagrant», IM articles 4 ©t 7 d© la convention de La Haye. Des: pnsoniniiers britanniques ont été idépouilUlés d© Heurs, vête, (monte., ibruitetoés ; certains! mémo fusiiMés d» «ruriig-froiidi Des oitteiers britanniques blessés omit été insultés «de propos délibéré et frappés. III' est toutefois juste d© reconnaître que les bôpitaux alternai idi* iSchaipipent à oas accusations, <n liMsqu'ii! y ailb «wrtains indices d'un. Lanuetiiitabite manque d'lhabttfi©té de La part du corps médical'. L'ambassadeur d.es Etats-Unis a obtenu réoeniimeiiit une iéigère airnô';ioration. du traitement Ides ipr-isonniers. Lord Kltctoener ©spore' toiiiem obtenir la preuve que des représaiiiilies ont été «exercé es contre des ©fflcters anigùats, coutinaireimen.t à ûa convention de La Haye. » L'AUleroagne, dit le ministre, qui «a donné maintes preuves d© ©outrage ct d'hainiileté, se devrait à ©ltle-irnêm© ide imont.ner un degré «honneur .militaire de nature à lui valoir le respect, des nations.. Au lieu, de cela, en© s'est abaissée à dies actes qui smtiCfrant .son hisfoire niitlitaivo d'une tache intLéi'.éJjiie, Elite rivalise avec te derviches «lu .Soudan pour .!a sauva*gerie barbare. Iln'esit pas de soiLdat, de quclquo natiionailllé .qiu'iùl is.oi.t, qui n© ressent© profonaeimienitilia honte de la isiouMnre infligée par les AUtemamds à la profession fles armes. La semaine dernière encore, les Allemands faisaient usage de 0m asphyxiants parc© que Uieur attaque aurait pu échouer. C'est lià, encore, une contrevention à la convention- de Lia Haye. » LE CONGRÈS FÉMINISTE La Haye, 28 avril. L'inauguration du s^ngrèsUeministe international a eu lieu hier ; quatre déléguées britanniques seulement étaient présentes ; les Allemandes sont égalemen t peu nombreuses ; il n'y a aucun© déléguée d© France. Une note communiqué© à la presse dit qu'il n'est pas dans L'intention de celles qui ont eu l'idée de réunir ce congres d© demander la paix actuellement, ni de discuter les termes d'une paix qui mettrait fin aux hostilités, tâche qui est évidemment au-dessus de leur force, ni de récite.mer une paix à tout prix. Après la guerre, seulement, on pourra parler de paix permanente. HORRIBLE MARTYRE DE DEUX PRÊTRES BELGES L© Havre, 28 avril. Chaque jour arrive le récit d© quelque atrocité nottvelle commise en Belgique par les soldats du kaiser ; les prêtres ont été leurs victimes de choix. Voici, a. cet égard, de nouvelles précisions : s A Buken, le curé, M. Declereq, fut, ainsi que de nombreux civils, fusillé sans l'ombre d'un prétexte. Une troupe allemande avait essuyé un petit revers à Tildonck. En passant par Buken, elle voulut se venger, suivant la déclaration textuelle d'un officier. Les Allemands prirent dans sa demeure 1© vieux prêtre. Devant ses paroissiens, qui durent assister au supplice, avec ordre de regarder, les bourreaux coupèrent le nez et les oreilles du vénérable vieillard. Ils 1© torturèrent pendant plus de vingt-cinq minutes. A ses côtés, son auxiliaire, un prêtre hollandais, subit le même traitement. Tous deux furent ensuite fusillés. Lorsqu'on les exhuma, les traces des mutilations qu'ils avaient subies étaient encore visibles. Un fondé de pouvoirs du gouvernement hollandais s'est rendu à Buken et a dressé de ces faits un procès verbal précis. » A Pontbrulé, près de Vilvorde, 1© curé fut également fusillé, après des tortures préalables. On l'obligea d'abord, à s© coucher à plat ventre et plusieurs d© ses paroissiens durent le battre à coups de gourdin. Comme ils ne frappaient pas assez fort., ils furent eux-mêmes frappés et emprisonnés. DïS soldats allemands les remplacement. Le corps du malheureux prêtre n© forma bientôt plus qu'une plaie. On lui versa alors de l'eau sur la tète et dans la bouche, puis on le promena devant des trous à purin et des égout». Chaque fois qu'on passait devant un tas d'ordures, on l'arrêtait en lui disant de réciter ses dernières prières et que l'heure de sa mort était venue. On l'acheva .enfin à coups de fusil, devant le cabaret Lettels, à l'enseigne : « In het Zonnehc ». Feuilleton do ÏExprcss du Midi. P&S Le Capitaine DAN KIT CHAPITRE XIII [ D'ailleurs, si te ballon partait, cassant K>n amarre, il atteindrait mille ou deux hiiilo jnètrés de hauteur, et toujours monté par .des officiers connaissant la manœuvre «les aérostats, pourrait aller atterrir sssac loin pour me past tomber dans les lignes ennemi .-s. , — Et le ballon dirigeable, mon conunanudnt, continuai-je, où en est-il? —- Il doit être (ait à l'Jieure où je vous o. ; dernière fois que j'ai vu Renard, «!i ? MtL *<*V(:r:mcv. «S ' ne do liait pus Général re «..Miillé Fpamteii .mt, «t,,, Mlus vous me faites ba «V&rrtar dit 1© commandant' a'int-CM -, (iinjiaiit. ftK de vi *d« sujets beaucoup pins terre Tiervo J'/apérntmn de, ,,,((,, nuit me préoccupe ,fort. Duhos avez-vous fait faire la tratiché© comme il était convenu ? 1 — Oui, mon commandant ; elle coupe 1© chemin couvert à la deuxième crémaillère ia ^SL**11* Paris, 28 avril. Schwind, dit Swoboda, inculpé, d'espionnage et d'incendie volontaire à bord d© la Touraine, a choist pour avocat M" Alexandre Z«évaès, ancien, défvi lté, qui a snocegté. Tragique Partie de Canot Paris. 28 avril. Après avoir dîné joyeusement, à iPuteaux, deux comptes s'embarquaient hier soir, dans un canot, powr faire «une promenade sur la Seine. Près du .réservoir, entre l'Ile de Puteaiiix «et l'île d'Amour, 'la barque chavira et des .quatre promeneurs., \m seuil fut sauvé, •non sans difficulté, par un jeune homme de quinze ans. PETITES NOUVELLES Du 28 avril. | — Le Tsar est arrivé lundi matin, à Odessa. — Toutes «tes associations de tir suisses ont treçu, do la société. aiiCiemaindo pour l'utilisatiten «des déchets, «die Birsfaklien, une carterépon&e portant La question suivante : « Avez vous «disîxiinibliie en. douilles de cartouches ? Dams l'affirmative {sic) prière de nous retourner On ©a nbe.réponse ci-contre. » C'est la chasse au cuivire BULLEUN EKÉTËyROLGSIQtnE Du 28 avril. Des pluies sont tombées sur l© sud-est de la France, le nord d© l'Italie et l'Algérie ; on en .signale d'abondantes dans. 1© nord du continent des orages ont éclaté à Nantes, Lyon et dans la région des Charentes ; o.n a, recueilli 17 mm. d'eau à Nantes, 8 a Toulon 5 à Gap ©t Toulouse, a à Cette, Marseille et Belfort ; .en .France, la température va resiter élevé© ; des orages sont probables, prinCiipatemient dans la .moitié sud. La température «est resté© sensiblement la même sur l'ouest et le sud de l'Europe : elle a monté dans les régions du. Nord ; le therirnomètx© marquait ce matin : 16 an Spitzberg-, I à Pétrograd, 8 à Brest, Berne et Bordeaux, 10 à Belfort, Dunkerqne, Nantes et Madrid, II à Clermont-FeiiTand et Lisbonne, 12 au Havre ©t Biarritz, 12 à Paris et Marseille, 15 à Borne ©t Alger, 16 à .Malte et Malaga ; dans les stations élevées on notait : 7 au fort de Servance, 6 à Briancon. 6 au Mont Meunier. batterie ennemie et nous l'avons prise eous notre feu. » » Une nou.veir.© batterie a petite distance de la enthédrate : où donc ? Sur la place du Parvis. ? dans les monceaux de ruines des ru.es dm anoîtire,. «d» Saint-Symiptoorien et d.e SaintPierre ? un peu plus loin» sur la place de 13 Do 1-EXPRES3 l'Hôtel'Hciie -Villa, ou, dm, côté opposé, vers SamtRéim.i, on, encore, vers l'hôpita!. ? Une battePria : Q «r. co la ligne (35 lettrée à i a ,rie d'artiille.rl© au. cœur d'une, ville, même «n Mines : es**e pte» odieux ou pins «bête ? » Et la cathédrale a reçu de nouveaux C'est la publicité efficace et popuiai obus. .Ni les bombes, lancées par centaines., d'un lin- .imip©c©ubtbmie,nt réglé, ni l'incendie cxoelteuoe, la meilleur marché, celle quJà ^ doiq^ allumé par des bombes n'ont atteint encore, des résultats immédiats. da.ns ses parties essentielles, La magnifique Tout le monde lira et utilisera nos p P tmasse arclliitccturale. 11 n'y a « encore » de Annonces Economiques du Lundi »t n, QU v *• détruit irréiparablje'ment que la célèbre toiture, dredi. «n. llies vHn» nobles ©t les. {finis délicates parures de piierre, chapiteaux et clochetons, galeries ©t tosBustoadea, et des statues qui faisaient H'adini ration du nno.nd.ei, les figures ©n rondebosse du Jugement dernier ci du Triomphe de la Vierge, etd© la divine Heine de Saha, et les iincomparobtes verrières. Le bloc de 11«mmenseï sanictuair© a résisté au crime, comme au temps. Il porte, comme de grandies cicatrices roses,, les marques du feu qui l'a léché de to,uIl est répondu gratuitement, plusieurs < itles parts.. Mais, de loin,, de, très loin, avec ses par semaine, aux demandes de révises pierres «noircies par Les siècles, il semble in- ments relatifs aux règlements et à la e8l8| aitact, dominant la ville du Sacre, la campa- tion militaires. r-gne et l'histoire. Evidemment, ili les gêne. Un Ecrire au Service de la Petite Poste M u «entassemeiït dm forme de débris calcinés, bureaux de l'Express du Midi «1 comme Arras et Sermaize et tant de villages taire, ' ' de Lorraine on des Flandres, offenserait iloquelaine, à Toulouse. moins leurs regarda Et les projectiles incenPour la réponse, numéroter ie$ quesiinn ns > indiquer initiales et résidence. diaires recominencent à tomber. » J'ai vu dans un. journal hollandais, ce Nous recevons un nombre si considérai i dessin : l'eanpereur allemand , da.ns la pos- de telires que, malgré notre bonne uotonr ture classique de don Juan entraîné aux En- rwits ne pouvons arriver a mettre notre co,,r fers, et, au lieu de la statue du Commandeur, ner à jour. Nous prions nos nombreux car deux ides statues de Reims te prenant au. col- respondants de patienter. Ils recevront toi,' let, la face hagard© sous le casque et tremsatisfaction. Toutes les lettres de la p e u, s blant de tous ses membres. » Poste Militaire sont classées et il y est révtm du dans l'ordre de leur réception. Mais sovl aucun prétexte, nous ne pouvons réimmii. ure par lettre. TIC S LA CHAMBRE DES LORDS LORD XITSHENER ET M. ASOUSTH FLÉTRISSENT LA BARBARIE TEUTONNE Londres. 28 avril. Discours de lord Kitchcner Lord Kiitchemer, mlntetee de la guerre, parlant, à îia .Ghiaimbr© des Loir.'ds du tiriai.teane.nt infligé aux iprisomnieirs britanniques en Allemagne, a. fait fles déclarations suivantes : L'ATTACHÉ MILITAIRE ALLEMAND CHEF DE BRIGANDS Londres, 28 avril. On mande de Pékin, 26 avril, au Times : : « I^e .capitaine Pappenheim. et sa. bande de ^flibustiers auraient été tués en Mongolie ' » I^eapitatne 'Pappenheiin, attaché militaire « J'ai toujours, en d.u, respect pour lies pri(allemand à l-ambnssa<te de Pékin, était parti sonniers ailiemandsi, ' et c'est avec de regret le avec un petit groupe de ses compatriotes .et plus (grand au© je suis obligé d'accepter, •une lai re comme incontiesitiable, il?affirmation, des mausauter vais traitements infligés aux prisonniers bxim il I wn 111 I— par lu 1015 L'Affaire de la «Touraine» Déclarations de M. Asquith M. Asquith déclare que le traiteinenl dont Oas prisonniers britanniqu.es sont l'objet en UNE DÉPÊCHE DU RO! ALBERT AUliemagn© constitue .à fous égards un. horribite récit, .une des .souillure» lies plus noires, Londres, 28 avril. ïe roi Albert a télégraphié au tord-maire de même en matière d© procédés de guerre, emLondres qu'il avait été heureux d'apprendre iplltayés par tes ACILemandlS'. .la formation d'un Comité national .pour se. « .Si je prends «la parefle, dit le premier micourir La Belgique. nistre, c'est pour affirmer aussi catégorique« -La nation belge, devant ce témoignage de ment, aussi nettement qu& passibte, qu *a La générosité inépuisable de l'Angleterre, se rap- fin de la guerre nous m'oublierons pas celte sépellera toujours, dit-i.l, l'aide fraternelle si rie horrible de crimes et de cruautés calculés. A ce momentHlà nous, conai-dérerons. qu'il est largement donnée. » d© notre devoir d'exiiger les réparations nécessaires de .ceux pour qui iS pourra être LE PATRIOTISME DES MINEURS prouvé qu'iïis ont été îles auteura .responsables Oarmaux, 28 ayril. «d© ces .crimes. Certes, mous manquerions non A l'occasion du 1" mal, le svndioat des mi seuùement à notre devoir envers ces hommes neurs de Carmaux vient de lancer rappel sui- vaillants et malheureux, mais à l'honneur de n vant : Ja nation britannique et aux prescriptions de « Nous avons décidé die ne pas fêter cette la plus élémentaire humanité, si nous conannée le 1" mai et de ne pas chômer à cette sentions à faire remise d© quoi que ce eo,it occasion ; en prenant cette décision, Le. syn- sur L'intégrale réparation. » dicat des mineurs a voulu prouver qu'à l'heuCeitlte déclaration est saluée de vifs et unare actuelle, dans la .grande crise que .traverse nimes .applaudissements. la France, les ouvriers du sous-sol sont unis dans un même sentiment de patriotisme «et ne veulent pas suspendre, même pour un iour, l'extraction du charbon si nécessaire à la défense nationale. LE PAPE ET LA FRANCE Rome, 28 avril. UNE DÉLÉGATION IRLANDAISE A PARIS Selon YIdea Nazionalc on conflrme au VatiLondres, 28 avril. can que 1© Pape a adressé au. cardinal AnnetUne délégation irlandais© partira demain te une Lettre où, comme dams celle adressée pour Paris, où elle présentera au Président au cardinal Mercier, il exprime l'intérêt très de la République une adresse exprimant la vif qu'il porte à la France et son regret des sympathie et l'admiration du peuple irlan- effets si tristes d© la guerre, puis adresse dais pour la Fronce, dams sa lutte pour l'in- à l'Archevêque de Paris des exhortations et tégrité et la liberté de la Patrie. Un© adresse des paroles de réconfort. analogue sera remise au Cardinal archevêque de Paris. M. O'Coinnor, député irlandais, fait .partie de la délégation. EU CHINE 63 AVRIL A LA c: Paris, 28 avril. Les travaux parlementaires On sait qu© la Chambre reprend demain jeudi, le cours- de ses séances. Parmi les projets qu'elle aura à voter, nous devons mentionner celui qu© présentera le ministre des finances pour assurer, pendant la seconde partie d© l'année 1915, en l'absence du budget normal, les ressources financières qu'exigent la défense national© et le fonctionnement d©s services publics ordinaires. On sait, en effet, que le gouvernement n'avait demandé au Parlement que six douzièmes provisoires pour la période allant du Ie" janvier au 30 juin 1G15. Le montant de ces six douzièmes s'élevait à huit milliards et, demi, non compris un premier crédit de 300 .millions destinés à permettre la réparation des dommages causés par la guerre dans les départements envahis. L© gouvernement n'a pas encore décidé s'il demanderait pour le second semestre d© 19Î5 les crédite en un seul ou en deux fois; mais, suivant toutes probabilités, c'est par la voie de deux demandes successives qu'il sollicitera le vote des nouveaux douzièmes provisoires. Une question va se poser dans 1© courant du mois prochain. iCe 12~ juin expire 1© délai de cinq mois, aux termes, duquel le gouvernement à la faculté d© déclarer la clôture par décret de la session pai-lementair© Il s'agit de savoir si cette clôture .sera ou non prononcée. Le gouvernement n'a pas encore arrêté ses résolutions à cet égard, mais des conversations ont eu lieu durant ces derniers jours entre un certain nombre d© membres des deux Chambres et divers ministres. De ces conférences, il s© dégage l'impression qu'on n'a pas l'intention d'ucer du pouvoir constitutionnel d© clôture. On songerait plutôt à laisser la. session s© poursuivre en droit, sans que le Parlement siégeât .en fait. Les Chambres, de La sorte, pourraient être rappelées par leurs présidents respectifs, d'accord avec le gouvernement, lorsque les circonstances l'exigeraient, au cours des six derniers mois de la présente année. k'AMaipe DesclaUH resse AU VATICAN Un rédacteur du Matin a été reçu par le Pape. Noms sommes heureux da pouvoir choisir, dans son article, «un passage d'une claire et respectueuse compréhension. : a Etlarsque, quittant ces sujetsidinquitade, la conversation porte sur la paix, «le visage mobile du Pape se transfigur© Il pari© d© la paix avec ferveur, mais sans dire toutefois un s.eul mot, sans marquer une hâte qui impliquerait 1© vœu de voir les Français poser les armes avant d'avoir sauvegardé les intérêts essentiels pour lesquels ils luttent. » Cependant, ia prudence des expressions ne cesse d'éviter tout jugement. Elle ne se détend vraiment que lorsqu'il s'agit d'exprimer des sympathies pour la Franc© L'interlocuteur de Benoît XV aurait peine à se retiras- sans emporter la conviction de leur sincérité. «» Jusqu'ici, elles n'ont pu se manifester pratiquement que par l'œuvre d'un organisme créé à l' ombre et sous le patronage du Vatican, pour aider le grand nombre de parents français qui écrivent au Saint-Père pour être art de teura enfants disrenseignes sur parus et qu'ils « i.ent prisonniers en Allemagne. Mais de in ces sympathies poursur d'autres terrains, par raient se monifes exempte s'il s'ag ait d'obtenir te con,co.urs Saint-Siège pour la solupeut donns >n de certaines des questions que la. fui de la guerre nous donnera à régler. La port© de bronze est largement ouvert© à tous ceux qui viendront de Franc© ». PETITES ANNONCES ECONOIOjiM 'lin*1?9, 'esse L'OFFENSIVE ALLEMANDE EN FLANDRE Du Daily Telegraph : « Berlin, nous dit-on, a pavoisé comme pour un© grande, victoire Ce n'est pas la première fois que de telles réjouissances publiques se sont trouvées prématurées et qu© de grandes espérances fondées sur de. premières nouvelles se sont évanouies. L'expérience promet de se renouveler. » 11 y n de bonnes raisons d© croire, que l'avance des Allemands a été arrêtée. Déjà, vendredi, une partie du terrain perdu avait été regagnée. Samedi, les Français affirmaient qu© la position avait été « complètement consolidé© », et hier ils disaient avoir m progressé considérablement vers te nord, sur la rive droit© du canal d© l'Yser », en même temps que les Anglais avaient conservé toutes leurs positions, malgré, d© violentes contre-attaques. » «Bien entendu, les radiotélégrammes de source allemand© proclament des avances et des succès continuels, mais leur véracité est bien sujette à caution quand iLs sont en désaccord avec les nôtres. Le public allemand, qui est encore laissé dans l'illusion que la côte CO est entre les mains des Allemands, ne sera probablement pas informé du véritable résultat des vigoureuses contre-attaques exécutées par les Français et tes Anglais pour regagner le terrain perdu. » On dit qu.'Hindenburg est à Bruxelles, et ses plans aboutissent toujours à des massacres en masse, si c'est là la grande offensive allemandie dans l'ouest, nous ne doutons pas qu© les alliés ne saisissent toutes les occasions de la repousser vigoureusement. » YPRES ET REIMS Polybe écrit dans le Figaro : « Ils ont recicummencé à faire pleuvoir leurs obus sur Les ruines d'Ypres ©t sur celles de Retirais » Le bombardement de, la Halle aux Drapters istexpliqu©, bien que c© ne soit pas par line .naisom stratégique,. A leur ordinaire, ils t» vengent, une fois de plus, sur Des pierres d'avoir été battus par les, hommes. » Es auront beau afficher sur tous tes murs de Belgique et télégraphier à travers te monde qu'ils ont remporté dans tes plaines d© Langamajwk urne grande victoire-, iteuirs représailùes contre os qui reste de l'un© des œuvres les fia m md :,harmiant.e,s du .trcizièimÉ t : «eur donnent îte démenti, l'aloue, après un premier succès r a Ijorniin ables moyens, leur alla de 2©, ou ini'Àil s leurs radonc, leuj ure les haute a été ar depuis tani 5©s,, par les DEVANT LE CONSEIL DE RÉVISION Paris, 28 avril. Sous la présidence du général Cousin ont commencé, cet .après-midi, en la salle des audiences du conseil d© guerre du ChercheMidi, les débats du pourvoi en révision qu'ont formé l'ancien payeur aux armées Deselaux, iMIrn© Bechcfï et 0» soldat Vergés qui, le 25 mars dernier, ont été condamnés respectivement à 7 ans de réclusion, 2 ans et 1 an ipret un échec, de prison. ) sur les cheîsQuatre questions sont soumises au conseil i nouveau de révision : 1° Le conseil de guerre qui a statué était-il ependant, il arrive an s bouiibarcompétent ? cornante, eau ade is© t ec Latour2° Le payeur Deselaux était-il militaire ? ne,:.©, « j>ôuï rien Si oui, le conseil d© guerre qui l'a frappé était» C"£ il bien composé ? propre 3° Si le payeur Deselaux >i Reims lamncr à la à un militaire, pouvait-on h rtier général » Ce dégradation ? Les inenson4° Y a-t-il eu violation du droit de Là (je l'ai, sous défense ? aurions fait Le colonel Augier occupe ig© du eom- usage do bombes asphyxiante dans l'Ar«mtesaire du gouvernement, 1» Mornard, gonne. Mensonge révélateur, comme j© l'ai bâtonnier de l'ordre des avo i la Cour d© montré déjà, de leurs propres desseins. On cassation, soutient les trois ] y lit également : « Nous avons reconnu à peAu début de l'audience, h mandant de tite distance' de la Cathédrale de Reims (unPaniagua donne lecture de son r; weit der Kathcdrale von Reims) une nouvelle MHMEMnnnai et a environ 60 mètres do long. A sa sortie, on est sur un terrain où les projectiles n'arrivent plus. — Et du côté du bois ? — Mes deux patrouilles viennent précisément de rentrer, dit le capitaine Cognon qui s'était absenté un instant pour parier à son adjudant. Elles ont pu aller, en rampant, jusqu'à trois cents mètres du bois, et n'ont rencontré personne. — Fort bien, on pourra alors porter la tmoitié des morts de ce côté. J'y tenais beaucoup. Ceux qui étaient dans le fossé ont-ils été remontés ? — Oui, mon commandant, dit Scru.verain, je m'en suis occupé. Je les ai empilés derrière le chemin couvert. J'en ai compté soixante-huit. J© crois bien que dans lo nombre il y en avait.un qui n'était pas tout à fait décédé, mais les obus pleuvaient si dru que je n'ai pas voulu perdre de temps à le rechercher ; du reste, on no voyait plus très clair. — Et vous avez bien fait ; vous auriez exposé, pour ce malandrin, la vie de trois ou quatre des nôtres: ne faites jamais cela. C'est 'Une faute qui me rappelle le dévouement do ces pnmpii'i-s, qui .s'abîment à cinq ou six dans un immeuble enflammé et meurent héroïquement, après avoir tenté en vain de sauver les archives d'un avoué ou la comptabilité d'une compagnie d'assurances. C'est, trop liét.o ! Quand nous ferons le transport, si vous l'entendez geindre, vous tacherez de le mettre sur le tas et non par-dessous; C'est tout coque nous pouvons faire pour lui. — Quand je vous disais que nous devenions tous peu à peu féroces ; tout le monde trouva cela naturel, «'était tout simplement le retour à. l'état, primitif. I»o commandant continua : Et notre... étahl issK-imwt crématoire ? Je suis prêt, dit Laglande, les sont prévenus, — Souvenez-vous c rte considérable, dit 1© atre transforme pas en ite-quat corps, trente-cinq a bert, sans prodigue ne faudrait pas qu'i nous serions très in. le vent viendrait de Ml' ons, —• J'exagérerai p mon connu ridant d'à 1 ai des pala n qu e s e n quantité et j'ai calcul : qu'il y te de la en avait assez pour brûler lo garnison-, plus 28 ho donc pas à court. Cet animal-là, je ' e répète, nictt; le calcul partout. Je demande à qi il pouvait servir, ce -là ? Il poursuivit : — Je ferai au-dessous quatre cheminées d'appel qui concentreront au milieu une chaleur très -forte ; les couches do cadavres et de palanques alterneront, et je réponds du résultat. — Enfoncé le crématoire du Fèrc-Lachaise, dit Souverain. — Alors, messieurs, reprit le commandant, tout est bien arrêté, nous allons prendre quelques heures de repos, nous ne l'avons pas volé; a minuit, qui- fuit le inonde soit prêt... Le capitaine Dubo.s fera, e.onmieiicer l'opération au moment qu'il jugera le plus favorable. Et*, comme nous partions, j'entendis lo capitaine Auzat, «'approchant de son collègue, lui dire d© sa voix la plus- carc-si saute : — Vous voilà passé fossoyeur en chef ; tous mes compliments, mon cher camarade. Comment ! lui aussi, le père Auzat trouvait à plaisanter en présence do la besogna i macabre que nous allions accomplir ! M. D. 95, Bayonne. — La solde vous est due comme il est dit ci-dessus ; la haute paie j? compter du 18 mars ; 2° Vous les toucherez te> dépôt. L. M., Mazamet. — A rheur© actuelle « n'est pas possible à un jeun© homra» d'ètm autorisé à servir ailleurs que dans l'année française. J-'ai tout lieu de croire que vos in formations sont erronées. 0. 14-17. — Ce militaire doit se présenter eu personne devant te conseil de révision n n firrnitê dont il est atteint ne .peut pas Le dis. penser d'être examiné. J. B. 516, Montbcrnard. — lo n continuera son instruction ; 2° Persister ; 3° La limite de La période où ces permissions pourraient être demandées est passée. Il n'est plus. p 0 s>' sibte. H. C, Mirande. — Non, cela ne se peut pas attendu qu© l'allocation est donnée peur suip'. pléer à l'absence du mari. H. B. 45, Montaut. — C'est la vérité. L'intéressé doit faire une demande écrite sur pa pier libre et l'adresser au général commandant la subdivision, par l'intermédiaire de 1& gendarmerie. <J. P. 45, Agen. — Je n© le sais pas ; mais j«; suppose que c'est parce que vpus occupez un emploi dans lequel vous n'avez pu être encapa remplacé par un plus jeune. Demandez-le au .commandant de votre batterie ; il vous 1« dim. B. J. 9, Castres. — La haute paie n'est attribuée que pour les services militaires, à l'exclusion de tous autres. Si, après avoir accompli trois ans de service militaire, vous n'avez pas un© haute paie, cela provient sans doute que vous avez servi sous le régime 4a la Loi de 1889, qui n'en comporte pas. La Presse Neutre Ci mont, 7437. — 1° Aucune disposition n'ai été prie© à cet égard ; il n'est pas certain qu'il LA PAIX ALLIÉE y ait d© nouveaux concours pour élèves .officiers 2" Le même jour que les conscrits da La Gazette de Lausanne : « Quand l'AUtemag-ne partit eu guerre l'été leur canton devant le conseil d© révision , dernier, ©U© partait à la conquête du monde 3° En temps de paix, c'est la règle ; actuelteou peu s'en faut. L'élite de la nation, dans, les m&nt aucun© prescription n'a été donnée. M. 'C. Lourdes. — Ce n'est pas ainsi. Engarevues, les journaux et les réunions publiques, formulait Les ambiliions tes plus extra- gé voioniair© pour la durée de la guerre, il serait libre à la fin des hostilités, mais iî vagantes. Pasteurs, professeurs, savants, pucompléter avec sa classe 1© temps de hl.kMisteia voyaient déjà l'Autemagme entrant devrait en possession de toutes les colonies françai- service exige par la loi, en comptant comme ses et anglaises, ©t faisant de la France et de fait le temps passé sous tes drapeaux ipenla guerre* la Grande-Bretagne quelque chose comme dant G. B., Figeac. — Une telle demand© serait une AlEiace-Lorrain© ou une Posmamte. A la inutile, je crois, actuellement. Elle ne pourra, tête d'un régime qu'ils osait appeler les Etats- être présentée qu'après la guerre ou l'évacuaUnis d'Europe, le professeur Ostwald' mettait tion du territoire français, ©n s'adressant au le souverain Guififlaume. ministre. » Aujoundib/ul, L'élit© de 1/a nation altemand© D. B. 126, V. L. P. — 1° Oui, s'il -poç&ède les a singulièrement rabattu de ses prétentions. aptitudes physiques nécessaires ; 2° Pour deL'^uleanagne avait donné dès le début de la vancer l'appel, il faut contracter un engageoatnpagne, préparé© à loisir, son maximum ment volontaire qui donne la faculté de choidleflort. Assurément, l'Allemagne n'a pas sir 1© corps. On ne peut s'engager que pour la conquis l'Europe. Assurément, elle ne tient ni duré© d© la guerre ou pour quatre ans ; 3° Le Calais, ni Paris, ni Londres, ni même Varso- consentement dés parants est nécessaire jusvie ; mais son sol, exception faite de la morsure française en ASaace, est vierge de toute qu'à l'âge de vingt ans révolus ; 4° Je ne puis , Goniîfiur© ennemie. L'AlEieimiagme fait pression le P.prévoir. Saint-CIar. — Il faut un poids supéisur lies Américains pour donner à entendre rieur B. à 55 kilos et un périmètre minimum de au .président Wiûson qaie le moment de pro- Om78 environ. Ceci est une simple indication, poser la paix est arrivé. » On se sert d'autre part de la poste des pays car l'aptitude résulte de rensemble de la cons. . „, ,.„ neutres pour faire entrer «en France des cir- titution. J. F. 1302, Gastres. — Apres avoir ete reforcrja-kies tendant à détacher la France de la mé et maintenu dans cette position par un GraodierBreUigne. La formulie. très ingénieuse, est la suivante : « L'Alliemagne luttera jus- nouvel examen ©n décembre, vous ne serez appelé à un© troisième visite. qu'à son dernier homme et jusqu'à son der- pas P. A. T. 1915, Montauban. — Vous natez nier pfennig ; l'Angleterre luttera jusqu'au dernier Français. » L'inteilteotueil allemand plus dtexamen à passer, votre exempuon esi^ _,„-. qui trouva cette plaisanterie doit ètr,g très définitive. x. d. Q. Saint-Michel. - Exempte, ce«.u . qm fier d© sa trouvasse ; mais nous doutons, à n'a jamais été appelé sous tes drapeaux vrai dire, qu'elle atteigne son but. » flbe© conditions posées par herr Dernburg Réformé, celui qui, après avoir e>© ^f^SS X T visant eonrteut l'Angteterre. C'est la maitri.se a été renvoyé dans ses foyers pour I»^ angïlaiiiae d.es mers qui gène l'expansion alle- physique. Vous n'avez pas à vous r^r *f?rr; C. A ' 2, 1.062, Toulouse. - 1°, 2° et 3° ^Jf rnande. C'est oallte qu'il faut détruire. Mais fi'Angteitenr© ntest pas prêt© à s© laisser faire, puis vous renseigner, car l'appel de £«• tant s'en, faut- lit sera curieux di'observer l'im- classe et sa destination dépendront des neoro pression .produite aux Etats-Unis par les avan- sites de la guerre, impossibles à prévoir. J. J. A. 75. — Cette pension ne sera pas ces die ÏAiïïiamagn©, si clairement formulées par M-. Dernburg ; mate nous tes croyons réversible. Pour que la veuve puisse avoir des idiestinées à nn médiocre succès dans un pays droits, il faut que le mari ait été tué ou son où l'opinion est plus accessible au sentiment mort dés suites de ses blessures. D E. 500. — 1° Non, parce qu'il a contracta qu'on n© 1© pense en Europe. » un engagement volontaire; 2° Oui rien n« .s'y oppose ; 3° Oui, il est gusceptimle d eti» de nouveau examiné au corps. S C 11 Toulouse. — 1° C'est examen a lieu en mars. 2° Il n'en est pas encore prévu LES OPÉRAT30MS «SES ALLIÉS pour la classe 1917 . 3° Non, tl ne le peut pasDANS LES DARDANELLES L. J. Saint-«Gaudens. — 1» et 2» In eomm\5 Des Dernières Nouvelles de Munich, sous la sion-de réforme a décidé, il n'y a rien a taire signature du général von Blum : ©11© a, seule, qualité pour se prononcer a la Lo moral était bon à Liouvillo ce jour de juillet 18.. A 11 heures, Campagne vint me réveiller. — Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a encore ? dis-je. — Vous m'avez dit d© vous réveiller à c 't 'heure-ci, vous savez bien, pour la corvée des morts. Et moi, j'étais dans un rêve tout bleu, tout bleu ! « La corvée des morts «, oui, je n'y pensais plus j ala ! j'eus bien du mal à le quitter mon joli rêve. Il me souriait encore quand je parvins dans le couloir où les hommes se répartissatent leur funèbre fardeau. Là, il disparut. Deux à deux, les soldats attachèrent les corps et se rangèrent, deux d© front sous la voûte. Puis, quand ce couloir fut rempli, la chaîne s'étendit sous les voûtes les plus voisines, attendant, l'heure à l'abri. Abri bien problématique déjà, car de tous côtés les voûtes commençaient à céder sous l'effort, répété d© ces .béliers lointains. Et quel Rembrandt peindrait certains coins de ce tableau, où sous la lumière crue des lampes se détachaient des figures couleur de cire, des anains rouges, des vêtements souillés d.e poussière et de sang. Sur un ordre du capitaine Dubos, les hommes avaient attaché les bras des, morts avec leur ceinturon, de manière qu'ils fussent collés au oorps. En effet, ils auraient pu s'engager sous les pointes des lances de la grill© d'entrée, dans le garde-fou du pont fixe, et le défilé général en eût été retardé. Et tous ces corps, déjà rigides, le paraissaient davantage encore, sanglés dans ce fourniment, le dernier. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés a tresse « iNous espérons que La tentative contre les Dardanelles se tournera à notre avantage et à l'avantage d© la Turquie, car nos adversaires, même s'ils le voulaient, ne peuvent plus se retirer avant une décision. L'abandon d© la tentative équivaudrait à un aveu de grave défaite ; mais, d'autre part, nous ne dissimulons pas non plus qu'un échec des alliés aux Dardanelles serait bien loin d'être un© garantie de la victoire de notre juste cause. Après comme avant, nous devrions compter avant tout sur nos propres forces ». Comme j'allais prendre la tête de la chaîne, la lumière rouge de ma lanterne tomba sur 1© visage du major von Petermann, qui ouvrait la imarche. On l'avait trouvé de l'autre côté du fort ; il avait déjà été traîné par de nombreux couloirs ; sa grosse figure était d'un bleu tirant sur le noir. Je ne nie sentais pas de haine .pour celuilà, et- sa vue 'm'impressionna. Pauvre gros bonhomme ! A minuit vingt, comme par une bénédiction du ciel (faut-il parler du ciel ou de l'enfer en pareille occurrence ?) il y eut, dans l'arrivé© des obus, un ralentissement très sensible. Etait-ce manque de «J 1 batteries ou tout autre me tu. Nous ne .perdîmes pas notre temps à nous 1© demander. Le capitaine Dubos était prJ de moi. — En avant ! dit-il. Et, dans les couloirs, les sous dfieiers répartis dans la chaîne répétèrent : En avant ! Et, comme de vigoureux chevaux nor nnands tirant la. charrue dans les champs, les premiers partirent vivement ct le chapelet funèbre s'égrena dans la nuit. Profitant de ce calme passager, les cent, cinquante hommes désignés pour enlever les corps restés sur les glacis, s'y répandirent en courant, et, sans perdre une minute, les traînèrent jusqu'aux premiers buissons, puis revinrent en chercher d'autres pour n'avoir plus à. grimper tout à l'IwMue sous le feu rallumé des batteries, cette pente dangereuse sur laquelle venaient s'abattre tous les coups trop courts. Pour mon compte, j'allai du côté de Liouvillo ; nous arrivâmes rapidement près de l'endroit où, Mpèds ct dénudée, la pente tombe sur te VillajIO suite de l'examen médical. „„, nrwŒ B. R. 01214, Rodez. - 1- et 2» Vous pourras l'rjbtenir en demandant à votre capiarne" vous faire faire une demand© de changeur ^DÎN. P0.ig.nan. 1« et 2' Après deux^ mens, votre rôforra© est définitive, de vez pas à vous présenter devant le conseu « révision d© la classe 1917. i gtra 1895. Pamiers. — Non, vous n avez .fX, réviexaminé de nouv©au par le conseu w sion de la classe 1917. chargement Les hommes déposèrent leur les pr-, «ci* tout au bord ; il nee fallait iuiiaii pas K-'V - , edonner l'éveil -ies 1)r . piter de suit© pour donner A ««y* ', a eu xièimiers .arrivés repartirent faire leUT ^ me voyage et, rapidement, un |^ pjqueï ri corps humains se drei atten dîiûfg immobiles et silencieux, no' En avant de nous ct sur nos ihx« y> éclaireurs nous gardailent de toute prise. Pas le moindre bruit, on eut «monade -des ombres de la Lej tonne. était là ! Au foout de deux heures, tout a e .iain le capitaine. Dubos ne garda que cin<ïU „-„ nS homme et renvoya les autres. vive— E maintenant, dit-il, pondons vide, et vigoureusement et dans 1 .ment !. mur imP£ Et, .t taqué par te pied, ce i. noir, cur visé s' :roula, s'abîma dans e traînant les pierres. bas. Des coups de fusil partirent don "^B* Sans doute, des cadavres ©ttuoiu d1J rouler dans les jambes des scntineU*.^ village ; 'peut-être même celles-ci elles tiré dessus ! di* — Nous nous hâtions, et les CCM s ^ cpo paraissaient, rcbohdissun* sourd s© mêlait aux coups «ni n citeEn quelques minutes, la place tu ri9 Les Allemands, de ces côté, avaient i i leur bien. Rapidement, nous partîiues._ -ation n 'était P Du côté des bois, r ... le f? 6terminé© quand nous elle av ait été P à trois heures seulenn alter chercher nible, car il avait fai humains :"^piocadavres et des debr fond des entonnoirs produits pion des torpilles. suivr »J I I I | arcura OTSiPNfê TOULOUSE ï Cappet ¥oliioUsair) LU LES IKK 29 AVRIL Saints du jour : Saint Robert, Saint Pierre. Vête à souhaiter : Saint Eutrope. Lever du soleil, A h. 5 ,7 ; coucher, G h. m. Lever de la lune, A h. li1 soir; coucher, i h. « matin. In SONNES 5« A LES W I LLIA M S • , traitement des Pilules Pînk est partîcu. . ent favorable aux femmes et aux jeunes ,6. 1 es Pilules Pink donnent un sang riche filles- k es r Ce sang se répand dans toutes les et ... va „.,,„.. porter dans tous les organes la Le fonctionnement des organes est lors fintlé, l'appétit revient, les couleurs repara .sl'éstomL digère bien U ^T^roA.alade assimile parfaitement et dont elle pro fite. le système nerveux est tonifie. Toutes les jeunes filles désirent se maner, fonder une nouvelle famille. Pour devenir épouse et mère, il faut qu elles soient bien portantes. Les Pilules Pink les rendront bien portantes. De même que le matin fait prévoir ce que sera la journée, de même la jeunesse fait prévoir ce que sera le reste de l'existence... Les Pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies. «' P IL Y A QUARANTE-QUATRE ANS La journée du 29 avril 1871 On parle beaucoup dans le monde politique du remplacement de M. de Metterniéh par le comte de Witzheim, ministre d'Autriche à Bruxelles. — Le ministre de la justice présente, à la Chambre un projet de loi qui déclare inaliénables tous les objets, publics ou privés, pillés par les aqcnts de la Commune, ct applique les peines les plus sévères aux auteurs ct complices de ces vols ainsi qu'à leurs acheteurs et recélcurs. 29 t AVRIL 1915 époux Castex peur y toucher les intérêts d'un billet à ordire dent le iiicnta,U't s'élevait à 4.000 (Tança. Précodiemmeiit., .il avait été convenu que M. Vinsonneau viendrait, ce jour-la, portouir du titre, pour en obtenir le .remboursement partiel ou total. M. Vinsonne-au fut reçu dans la cuisine par la femme Castex, qui lui demanda à voir te titre ; pendant que ce doou,ni,fc,nt était pose sur la table, l'épicière s'en empara et le déchira. Vinscnneau se jeta sur elle pour arracher les débris de ce qui représentait son argent. Mais la femme Castex se sauva dans la direction, do l'atelier où tuavailtetaut ses nls et elle les appela à son secoua». En même temps, elle jetait les morceaux de papier au feu Les fils accoururent pour défendre »«* mère et tombèrent sur M. Vinsouneau, qui reçut force horions et brûla même .ses mania eu voûtant arrarfier au feu les fragments du papier (fui brûlaient. L'accusée a, dans la suite, nié les laits qu'on lui reproche. Elle a déclaré que M. VinBomneau voulait abuser d'elle. L'enquête ne s'est pats arrêtée à aine accusation que tout dé-montrait vaine «t la. dama Castex a été poursuivie pour destruction d'un billet à ordre 1. Au cours de l'interrogatoire, la dame Castex a constamment nié. Cependant, à la v.e.ute des débats, elle est entrée dans la voie des aveux et a signé un nouveau' billet, restituant à M Vinsonneau la somme dont il avait été frustré. L'accusée déclare regretter les faits commis et se déclare prête à lies réparer. i On entend quelques témoins, qui corroborent 'les faits déjà connus, et M. l'avocat général Vermeil, qui occupe le siège du ministère publie, demande une sanction pour l'attitude de l'accusée. Après une belle plaidoirie de M' Desarnauts, le. jury rend un verdict négatif de culpabilité, en conséquence duquel la dame Castex est acquittée. ont été lancés sur la gare, les ponts et l'usine de Leopoldshoe. Pendant ce bombardement, un de nos avions est tombé dans les lignes allemandes. Au cours de la journéo, quatre appareils ont été poursuivis et atteints par nos aviateurs : un est tombé en flammes dans les lignes ennemies, près de Brimont ; deux autres sont venus s'abattre près de nos tranchées, l'un en Champagne, l'autre dans la région de l'Ancre, et ont éié déiruits ; le quatrième a atterri dans ncs lignes, à Muizon, cuest de Reims ; les deux aviateurs allemands, non blessés, ont été faits prisonniers. FRÂ^CO-ÂLLEiÂ^OE Tous les officiers ont péri à leur poste ; 136 hommes de l'équipage, dont 11 sous-officiers, ont été recueillis par des navires envoyés d'urgence à leur secours par les autorités italiennes. La liste des survivants n'est pas encore parvenue au ministère de la marine. — (Officiel). COMMENT IL SOMBRA Rome, 29 avril. Sur la perte du Léon-Gambetta, on apprend les nouveaux détails suivants : — Le croiseur naviguait à une vitesse très .réduite, environ 7 milles à l'heure. Il fut fr.'Piié deux fois par les torpilles de l'f.'-S. Lo deuxième coup ht explosion dans le compartiii.'. nt des machines, causant ia destruction des dynamos et mettant le aia .vire dans l'impossibilité de demander des secours pur la radio- téiLégraphie. Le Léon-Gai libella essaya de se diriger sur la côte pour s'y échouer ; mais, au bout de dix minutes, il cotria à pic. Les premiers secours fuirent apportés par les .torpilleurs italiens 33 et 37, qui recueillirent a bord 28 survivants réfugiés sur un radeau, leur prodiguèrent des secours et des soins ; puis arriva do lamente une escadrille de destroyers du type Indomito. .avec des iremoniueu.rs, qui recueillirent les autres survivants. Ceux-ci furent transportés à Castrigttaœ dei Capo-Lecce. Tous les officiers du Léon-Gambetta ont péri ». Enfin, d'antre part, le Messagero dit qu'après une croisière dans le canal d'Otrante, le croiseur-cuirassé français se dirigeait sur Malte pour se joindre aux autres croiseurs, quand, vers une heure du matin, il fut frapini par une lorpillie, qui ouvrit une grande voie d'eau dans la chambre des •machines et dynamos. Le navire fut aussitôt plongé dans l'obscurité la plus complète et ne put pas donner de ses n ou voiles ; il coula en un dizaine de minutes. Deux des chaloupes lancées k la mer chavirèrent avec les matelots qu'elles contenaient ; les autres purent être sauvés. Vers sept heures da matin, une barque italienne, conduite par des employés du sémaphore, qui allaient chercher un ancre perdu, viirent les chaloupes et se portèrent à leur secours. Une .escadrille de destroyers italiens arriva à trois heures de l'après-midi à Leuoa, apportant des habillements pour les survivants. Qui sont partis le soir pour Syracuse. Le Corricre d'Ualta dit que lo Léon-Gambetta. fut torpillé exactement à 15 .milles du phare de Sauta-Marria de Leuca. Les blessés ont été hospitalisés a l'infirmerie maritime de Brindisi. Avant de passer au vote sur l'ensemble, la commission a décidé d'entendre le ministre de la iguierre. S RSÎLITÂIRFS Parts, 29 avril. Nominations Les nominations suivantes, à titre tempo, iraire, ont été ratifiées : Infanterie coloniale. — Au grade de captmine, M. Barbéro, lieutenant au Si* maintenu. Au grade de sous-lieutenant, M. Dnpouy adjudant au 37', maintenu. Gendarmerie territoriale. — M. Gira-u.d, lieutenant-colonel de gendarmerie en retraite à Vence (Alpes-Maritimes), est désigné pouacommander la 17" légion de geiidar.meric, à Toulouse. LÉGION D'HONNEUR Parmi les propositions d'officiers pour le grade d© chevalier de la Légion d'honneur, nous relevons les suivantes de trois députés : M Lebrun (Meurthe-et-Moselle), M. Mangaifflfl (Marne) et M. Binder (Seine). CITATIONS A L'ORDRE DE L'ARMÉE Les militaires suivants sont cités à l'ordre de l>„rméo : MM. Léonis et Foulon, soldats, du 33* d'infanterie ; Lebreil. iSciiB-tieutenant, du 20' d'infanterie ; de la Rociiebrocdiard, capitaine du 3' d'infanterie coloniale. Soulé, chef de bataillon.; Laroche, capitaine; Rournez, lieutenant ; Bourgade, sous-lieuteParts, 29 avril. nant ; Clavel, sous-lieutenant ; Bosch, serLe conseil de révision a rejeté, à ruinai ligent ; Moulis, caporal ; Blanc et Cournac, mité, les uuatre moyens de recours invoqués soldais ; Lécoti, caporal, du 81" d'infanterie. a l'appui du pourvoi en .révision formé par Malavoy, lieutenant ; iVïe'yran, soldat ; Ray. Deselaux et ses complices. natjid, sous-lieutenant ; Bardy, soldat ; Estors, caporal-fourrier ; Franc, caporal ; MasseDONS EN NATURE biec, soloVai brancardier : Galy, brancardier ; Pour les prisonniers nécessiteux ^ETIT£S~¥Q5JV£LL£S Maillard, sous-lieutenant ; Allaiton, soldat ; Anonyme de Biennal. : 1 olka.ndaM, 2 .ceintures, 2 ™ Du 29 avril. Dauma.;, capi.iai.no ; Lataur-I^andorthe, sous(paiT.es do chaussettes, 1 paire de genouillère* 'J — Des dirigeables, allemands, d'un modèle Merle, soldat, du %- d'infanterie. cravates. nouveau seraient en construction, a ManGourtia, caporal ; Ranch, lieutenant-coloQeax drames qui ont toeaucouip souffert de la nheim. guorme de. 1970 : 2 cache-nez. nel ; Jasienski, chef de bataillon ; David, sol— La police a arrêté, à Copenhague, quelUnie tectrice assidue dp L'Express : 2 pad,res do dat ; Barret, adjudant ; Vorlhiat, soldat ; ques matelots allemands du bateau- vapeur ohauaseitites. Dette ha-m ps, capitaine ; Bouieset, .capitaine ; Mme Sixte Doat : un. ciadhe-,nez, 2 paires de CiUausut allemand Hever, qui ont volé 1,500 kilos de Morts au Cha Magnien, lieutenant ; Castex, sous-lieutenant; seMes. lard au port franc, et en ont envoyé 1000 ù Vignan, aspirant ; Cella, sous-Iieuteuant ; GuiAaKsn.yme : 1 cacherez. Hambourg. La. police en a retrouvé 500 kilos à ML'» Aas-èto G., Mlle Uaindes, Mlle A. Rouies : 0 Aujourd'hui, affaire Jean Court, homicides bort, sous-lieu-tenant ; Blanc, capitaine ; Fabord du Hever. La 0:&î'it ùa V classa wilad.iai.tr de reatoport, du mandas Itftootécw et todile. bre, soldat, du, 15* d*i,n.i'a.ntcii:e. volontaires. S* â&ka'D'jerle, cuigiaigé vodom.a.lr.a à 59 ans, mort — Tous les membres des organisations réFin, sonrraair du caiçitiaii.ne H. T. : 2 pta-sitirons, 2 .Misé, sous- lie u tenant ; Crauste, maître nu cliivrp >(i honneur. volutionnaires macédo-bulgares, qui se trouCONSEIL DE GUERRE PERMANENT ïnas-îe-nucinrlogne, 2 iiolios, 2 paires de cih-aussatteta, 2 pointemir, du 3* d'arlillerle. — Emile TaKu-eoiu, sodâat an 83r, tué te 28 novem- patres de gants. va:ent en Roumanie, viennent de recevoir du Séance du 28 avril iftt5 Couder, capitaine ; Dneret, lieutenant, du ftUfl Anonyme de Castras, : 2 eache-nez, 2 paires de comité directeur de Sofia, l'ordre de rentrer 20* d'infanterie ; Lailltte, soldat, du 15* d'inJ LP 'baron Edouard, de Biiageitongiue, du 2J0* Président : M. te celonel. Miaasie, major de la 2 imairre dio .roa,n,dtie,t,tes. sans retard en Bulgarie. fanterie. difcaSaifltorie, attiauinS à ia J3a.nu.uie de fiance, à dbaussattfes. garnison ; cfflnsmdsfcia.tre du gouvea-ntimtiat : M. le M -mie do Bi vrais : 2 paires de ohatssertfi*. — Un jeune ingénieur norvégien, Munthe de Cristofari, chef de bataiilon ; Papy, capii lieu'teinant Sourix», substitut. uAnoinymie : 1 cacihejniez, 1 paire d,a clia.iissettes. Morgensfjerne, employé depuis plusieurs an— .Ai'.ni.jJ rMOTicier, d'UsseaUi, sergent au C* génie, taine ; Laffltte ; Baffle, capitaine ; Mau.rel, Ainioiny.me : 3 paires de chausseitites. .INSOUMISSION m TEMPS Bii PAIX ET DE GUERRE. — Baille nées aux grands chantiers de Kockum, a. Maltufi 'le 19 avril., m a,vai.i été ci:* à l'ardre da Jouir. <L ''o,u,virr,iir de FdnJian, (Tarn-ot 'tteironme) : 3 chemi- Outooi», né le 5 «epleimlure 1875, à Salut-Vincent-lasous-'iiieutenant ; Gombert , caporal ; Ma «son, 1- decagos Bénuy, soldat a*i 6' génie, CAncemis. se», moe (Suède-), vient d'être arrêté pour vol de 6 cache-nez, 3 pasïe-mo.nitiae'ne, 4 paires de iBalud (liarctagïie), terrllordad de la classe de tSSQ adjudant ; Castuy, seiSÈtit. ; Seguin, sousllie Rua»»-, scM,a.i an 3us* (te ligne. dessins de sous-marins suédois et d'imporethaufraettes1. du rcioruiieinx;'pjt de Ctiihors, a à répondre d'une mlieutettaint ; Richard, soldat ; Delrieu, sergent, Picj-ro-Ford.iinanU. SouiLàs, soldat au. 388° d'iinfantante secrets. Anonyme : 7 cactie-niez, 1 paire rte chaussettes. souanission en tanips de îaix et on ta-ups de guerre da 122* d'infaiiiterie. tarie. crigOnadro de Gazwaux-Savùs (Gers), mort (les Ainomiyme : 2 ipaire.'s d.e auMMMMok — IM. Xavier de Bue, questeur à la Chambre penc n'a,v«.r pas obéi ans oi-dircs d'a'pipel en 19-11 Valet, ecr«cn-t ; Baille, caporal : Martv, sjtiitcè lis'io jXcuburcs, 23 mars, à l'iioipitat de Aniooime : 3 r-a.lrcfj <Le cfauMMOCitile». et m 'avoir pas obéi à la loi de m obU italien. des renresentants belges, a été condamné, ditLES SURVIVANTS Yerduai. sergent : Meiipuier, adjudant ; Caveribèré, « Je ci-oyais être vétoemé », tel est le syslôme de déPour les soldats au frenî on, à huit ans de prison, par le tribunal de —- AMi-el LamaHiue, do Oazeaax-âavte (Gers), sous-lieutenant ; Maréc'aal, adjudant ; BarRome, 29 avril. fense de Dufaois sur l&uuel s'tsorànn-.r.t M. le sutoBa.our:.nt V<JOUU.. cousoUier ui.uinlcJiBaa u» SualAnony.me McrfiLré2 ,aaUilaiso (3* Bravai) : 5 paires de ,('1(111, ptttoatiM* -uu'll oit sans voliaur, et M" SouLe Léon-Gambetta a été frappé au flanc la Komanuatur à Rruxelles ; l'honorable déthess, sous-lieutenant ; Baimigères, aspirudit ; roc tareii'otrô do Bait-art. nrart d« Clia.ginin ajire-s chiairaseiUieis. puté était accusé d'avoir rapporté du Havre tlBé, qui somieiiM la bonne, foi' de- Dubois, bonne, Raynal, sersont ; Route t, sons-lieiitienant ; Sa- gauche par deux torpilles. ihait mois' d» caiptàvètâ, a ftaswadt, giraral ducihé de Belgique, des fonds .pour payer 'l'indemnité lettes, adjudant ; Clerc, aspiraait ; Bertrand, Tou- les dons en argent et en nature sont ifoi jùi l'ex.cui-ie. En plus des 136 hommes sauvés, 58 cadavres en Bade, où il avait «é iwieraé. ; SJK 0001 *13. de g'ixnire a SÊttBami Diiibois à l'uraii , _ Ptoi-r» Jeai» Louis, soldait au a»' da ligne. soi.'«-lieutenant, du 53* d'infanterie. ont hé recueillis et ensevelis hier matin, parlementaire de certains de ses collègues et reçus aux Bureaux de !'<• Express ». 25, rue Miité ccupaible d'inr-ouimissiion ea taœg» de. pa-l« les traitements de fonctionnaires du Parle_ jc 'v .i b i'v.i~ii3 B'M-jio-a, soMat vesani&m au 52* Hoauelame, et au Hall de P« Express », 17, et non coupable par 4 voix d'InsounciSKdo.:! «» Aasëmàï. soldat ; Vignes, capitaine ; De- avec les honneurs militaires, au, cimetière de ment de ««n», to'nké pour la. Plante, dans sa 25" aimé», Castrignano. rue d'Alsace-Lerraiss. •mongieot de Confevron, !ieute ,r .,ant ; Vassal, tamips de guiarra et l'a ccindamiié à im an de prisuii. — Le Daily Mail annonce que le professeur *c ai mol .fore-. Le Messagero dit que les matelots français sous-iieutenant ; Ben na fous, lieutenant ; Arii**# Newstead, de l'Université de Liverpool, est — Le < jœàîalma Joeopîi Bwfn, du m* d'infanterie, géèsi sous-iieutenant ; Cnbannes, sbus-lieute- survivante du Léon-Gambetta débarqués à part;, inliré da L'armée. tamlbô au. dham,p d'honhier, pour la France, Chargé d'une misesté â r, NOS ENVOIS AUX J*FÎ!S£ÎNMIETSS in.ant ; Ao»nèrc6, adjudant ; Brazet, soldat ; Leuca ont été accueillis avec de» démonstratenir le g MM 1,915. sion entomologioue importante ; il s'agirait Cau-bst, caporal-fcu.rrier ; Bourg, soldait ; Rotions de. la plus vibrante sympathie. , NÉCESSITEUX EN ALLEMAGNE toàtonoiit Geunges Gromier. du i" spahis, — iLe D'autre part, on mande de Syracuse au surtout de détruire Hes mouches. fnata, capifuiti-j ; Pistollet de Saint-Fergeux, Nous expédions des vêtements et du chococheva'Ue" de Lagior» d'honneuir, décoré de ta mé— Un agent ailemand est arrivé, à Caidix, tMiaxoSs icité à l'cidre de l'armée. Du 29 aviril capitaine ; Lota; lie.uterKt.iit : Jalabert. sous- môme journal que les survivants du Léon- hveo lat aux prisonniers nécessiteux appartenant d a ffila pleins pouvoir pour acheter des grains, - l/> oajrairal Jean de Beaudwaj), du, 130* de ligne. îici:'enant ! Capron, sous-'i'eiitcnant ; Cham- Gambetta sent attendus cette nuit ; les mateà nos départements méridionaux et que nos CAPIITOLE. — A prix rMaics, repris* de Sam_ Léon Comte, receveur buiiialdstle à Amance, tué abonnés et lecteurs croient devoir mous si- son et Dalila, opéra en 4 acte» de Oa.md.Ua Saint- iioredon, lieutenant ; Pelissier, sergent ; lots seront logés à la caserne. Les autorités dont l'expédition doit se faire sur Barcelone. d'une .ixi'-'l? ao Uroot à 'la prise des Bpaspgas. gtialer. Saanls. Stau, soldat ; Durran, s.?rgent, Manuel, sol- ;et la population leur préparent un accueil — «fclf'œi. L'odiin, de La Orécilie (Doux-Sùvre). tué Indiquer très lisiblement les nom et préVient de paraître à â'emiatœi en déc«mtore. VcAiRIiÊTÊS. — Une nuit de noces, vaudeville en dat ; Argence, soldat ; Vordeil, soldat, du chaleureux. noms des prisonniers, le numéro de leur ré- 3 a-cles. Le Carrière d'Italia dit eue le croiseur fran— .Cliic nies .GuKiLlkir, 22 ans, du, 4* zouaves, tué à BENOIT XV giment, le nom du camp où ils sont détenu.», la 22 seipleania-e. tt'oniire tdont ; Mahistrei, aspirant ; çais était très connu sur les côtes italiennes. KiOTJVHAlUTKS. — Demain, vcndA-cdi, soirée de d Par le Comte COLLEVILLE asemœt AnirlfiihEmile Mario, de l'infante- Va» numéros de la compagnie, de la bara- gala, Aveo le Jules-Ferry, il faisait des croisières du 20' il' infante rie. de Mtrua Gsongcsi», tte l'Opéœa de Buque, etc. Nous insistons sur le numéro du ré- càraat,auditlion île. dans le canal d'Otrante et visitait, avec ia Iti&oé ; Latour-Bandcrthe, sousaapeiée le rotHiigiaoL huœadji, l'émiLle de la. Voici le sommaire de cette brochure dont le -i N'oyesr, ôïôre de l'Ecole î>c'3yteclini<iue, giment auquel nous tenons essentiellement. licitîenadn de néserw ; Anjue.rré. ser^ent-ina- plus grande courtoisie, les bâtiments sortant succès s'affirme tous les jours : co.n.t au 17" d'a-rtiiHarie. Nous prions, en outre, les personnes qui nous céCâbïe Andelnia Patiife. -Au profit des bteasés. jor de a*é •rve ; D^n.iile, aspirant Bexthet, ' de l'Adriatique ou. y entrantAMÉŒtiâCA'X-OOiSMOiGiP^iP. — ABldoaidTwil, matipLiaiiao Amteoise Hoary, du lie* régAspen/t La Mort de Pie X. — Le Cardinal de La recommandent des prisonniers nécessiteux de soldat, de classe, du 14' d'inifanAarie. La Tribuna fait ressortir que le coup du Ctnesa. — Pourquoi et comment fut élu de néca a 2 ih. 30 ot 4 h. sa : La pente andatause. dranous donner leur nom et adresse. Douzan. l'oïK -Iieu-ienaiit de -récerve, du 88' sous-marin autrichien a été facilité par des Cardinal :n .t Adj-ien-Bin,: Mortn., de ,l'iMa:nme ; Léonce jardinier, ocecfoîtet. eue., etc. Gaumonl La Chiesa. — Le Couronnement. Il n© nous est pas possible de tenir compte d'infen.ter ; Las-tecouferes. soldat, du 68* d'in- conditions tout à fait favorables à l'agres- — Benoît de :1L_V: XV et l'Italie. — L'élection de Redes nombreuses demandes non signées que a,ci!!uaidiés : tas faite da la guoare. r.ue, fan ter le seur. Le sou-s-.marUi a opéré à coup sûr. Il Rougerol, capitaine, dm 207* d'inCa\ÉiMiA «ATllK. — ïmfoé* à 2 h. 30 et 4 h. 30 ; nous avons reçues de tous les points de la réndît XV et la Presse française. — Le Piège. — Miot au 17* d'cr.tlteirie. Mess ei.o.rs.euseavait la certitude de trouver le navire, qui I.es nouvelles de Rome et les griefs contre le gion. Nous engageons, en conséquence, les soirée à 8 h. 30 ; Trop riche, comédie ; La rase de fc'-iterie. n.neimt, le 7 avril 19t5, et décédé à l'iiûVacher, s-erejent réserviste croisait dans le canal, alors que lui-même l'tnaùnieur, dranio fciieiar ; aictuaiitéa : Dévoue: Meulet. aspiauteurs de ces demandes à se faire connaître Saint-Siège. — Le Vatican et la France. ;a i i'e de Vemâuoi le fô a,v.ri,l. ment de nos artistes à Paris ; RtcrAtetnent et en- rant. du 7* d'infanterie : Car Ip, adijudant de courait peu, de risques, à cause de sa visiau plus tôt. .M'aine.aa, .serr^c-eut au 97* d'iintîan.torie. Prix : 1 fr. 25. traînement de nos alliés anulais ; En Russie, ser- réserve, du 59* d'infanterie bilité limitée. Lann.es, adjuLaii.Tî.andant, ASjaeat de Mcagins, du 3U6* de POUR LE FRONT, on demande les morceaux vice religieux fêtant les victoires ; Le vainqueur de (feint : CamlX '-s, oaroral, da 3' d'infanterie : En vente au Hall de 1' » Express du Midi ». DÉTAILS PRÉCIS SUR LA PERTE Itzemysl. Nombreuses assures vuies taéâttes. œimamid'aa* torovolé d'élat-majoir, Paul de ci-dessous avec accompagnement (harmonium Naza.ris. sc-rsent. du 11' d'infanterie RoutiDU CROISEUR-CUIRASSÉ on orgue), en c'.é de sol : Ave Maria, de Gouat :i AiPOrLiLO-TiHÉATIRiE. — AwSouïâ'tiai .ieuicii, éenic tomtoé iui aussi on. héros, nc::, sergent, du 209' d'infanterie Robin, ncd : Sancla Maria et le Crucifix (Fau.re) ; imnittoéea, à 2 heumeis et à 4 treorç-? ; »ii-Ae a 8 h. 46, •soldat, dm 14' dlflfanferi». Rome, 29 avril. fois .Fa.ye.t, soldat au 28?. Blessé un* pirei, !e 8 seiptiemabre, H tat d.e cou.Teau bbaesè O Salutaris (Lefebure) ; Hosannah ! (Dettes). La Petite chauelttre, comédie vaudeville ; Les peau On mande de Brindisi à la Tribuna : Marteigoute,' lieutenant ; Oterenton. maréts, H succomba de ses Messuirss, ,1e 12 .Remettre ces .morceaux à l 'E.Tpress. (Œuvre des oiseaux, taamwaUf «..-toris ; Le i>ouvoir de tuer. chal dos levais : Saio.!-Bia.ncat,canonnier ser« Les torpilleurs 33-Z, 38 apportent des dédrame ; .lux Uns Philtrvines ; Bigorno a gagné du Paquet du Soldat). vant, («u. 18' d'artillerie. tails précis sur la perte du croiseur-cuirassé rarle TroienWe , du, 1û* d'tofaaîiterie,, décécent sov.s èt Lee actuatliiés d'Atpo.'.l'O-Joiia-nai. Baffiottç, f"rora:l ; Houi-ez, sergent ; Covo, Léon-Gambelia. aî3ir,e derakir ; et A:n'.to.r,daa Swstar, du tfi" taNBMA LA iFA V En~TJ3 . Miatàiïôe à 2 bcares et caporal, d.'i 2' grénie. e ésateoesit, ti îé le 25 septembre, » Entre minuit et une heure, par r.ine mer La Vie Toulousaine i. un drame av. phare ; A 4 heuires ; soirée à S h. ctidat au 16* d 'in-flamterde. narwi, servent pilote., en aéronautique ; très calme et éclairée pair la lune, le submerPetite mire : Entre les yuttpéts, trois, toeàle» oo4iî<wt des suites de ses pendant la guerre srine, maréchal des logis observateur en sible US s'approcha du Léon-Gambetta et Miédies ; Ecliair-Jou.rni'aiîlança une première torpille, qui atteignit le î«nt Sera», oaMiat au 158" de ligne. POUR LES VISTIMES DE LA GUERRE navire dans un. compartiment. Les marins, > Q .\-aa!K.T),. rMldat au. 13s? de Ligne, (né te LES OPÉRATIONS FLAS1DRE Les élèvae de l'écoîe Dayara cet lait une série de déshabillés, eurent à peine le temps de metniLsre, à de 29 amu. T oaHHeicteis en laveur des Iiiaigas, d'ss ËSswes, de nos L 1 Nord tie la France, £9 avril. m\l DE ÏOOLOOSH tre à la mer quieldiiej chaloupes, pendant que a»ica,- Goiï-al, sutldat au. 138* de tdigne, blessé soldats du. firctr.it, dsjs Seitocs eit des mallicur«ux enAnglais otit attaqué sur le front nord-est en Atteffia«ti» des suites de ses blessuires. le croiseur coulait. Une deuxième torpille fante earllialdins réttagAto. Les sommas miiilHIm. l'-Oclave-Ptarre-.Mairie .Blacdière, imaréalial •es, et se .sont établis à Saint-Julien, lo.eva la destruction du croiseur, qui fut entaiintes- aux cciisiations peiryo,i:GiKj:iies tt.?s iniutt .uleuT^ s au 10' «.-.cadran, du. train. ? située à -kilomètres 500, c;ur la route l'écoUie, ont .produit un, total de 2.SdG lranes qui iPa.-.iii i uti dans les eaux avec la plus grande para Cliate'JUer, eaittontate -swi -ttear à bord de es à Pos>.:a.pei!e. lis auraient fait, en LO Dar ont été verses, xax M.. Bardes, djimateur, em,l;re les "et, mart àru ahami|>) d'itionneuir, dans Les mailla, de M. l'donigpaate.ur d' .Académie e.t de M. le jours, plus de 3,000 prisonniers, » C'est une barque de pêche qui a apporté Mes, le 18 mars 1915. NAISSANCES BC front anglais se prolonge ensuite vers le la première nouvelle de la perte du LéondtaeBtear de service de srjn.té par rinteîimédiair-e nont Issezi, adjudaint au 81* d'initaote.rie, de Mime Coderoli, trésorière du ocaniié du « secours iU 'îst, par Zsnnc&eelie, sur la ligne du suiisaU. au chef du sémaphore de Santaun de fer dnfpreS à Roulers, descend Gambetta — Cieo*£es Olive, soiflat au. 42* colonial, décédé le n'ationiai ». DECES DU 23 AVHII. de Leuca, qui parcourait la mer à bord Gnetayelie, Holiebeelae, passe en avant Maria S3 d'un torpilleur. Celui-ci, malgré le danger, iarr tu, teemsè AMBOU d'ei ins, ii Saintaint-Eloi, -à lij tonwtisje cote eo, puis s'in- remorqua d'abord •rel, du A' cotondat. Nécrologie Simon . une 'barque chargée de init, saipeuir au 2* génie. ît vers Wystcnaete et Messine pour gaAvez-vous remarqué dans les journaux Odette Gii'arouleau, 9 survivants du croiseur-cuirassé, puis succesOn nous annonce de Nice la mort de .Mme Cyprien. terary, lieutenant au 2' génie, tué a sivement plusieurs autres chaloupes. Il sauva la lettre de ce sergent qui se met à son Louis. Deffès, veuve de M. Louis Défiés, ancien donc autour et en llée ioîayctKe, m. Ga.bi-ied ' Faoquct, 57 — Le «orgeat Vinceant, du 80*, décédé de ses blesdirecteur du Conservatoire de Toulouse, pieu•• iati: e bou e que le pian ainsi 108 hommes, qui furent conduits au poste d'observation et aperçoit à la juert, C3 acs, rue .LanLouise Lacroix, ^potU isu,rc^. tapi iique, ou ils reçurent des melle; à moins de 1.000 mètres, 3 soldats sement décédée à l'âge de 8ft ans. .r» do he, à faire saut r d'un pot ceîoc, 2i. h — l'iiançois Dardé, du. 44* d'Iafamiterie, tué a l'em: C ni eux étaient blessés, C'était une femme de bien et de grand cœur, altée Sa,i.n>t-F.:. .en:ne, 41. ini dei coi allemands qui ont la colique et qui en donLéorace Gandel, 89 an, joureux aux soi r«md . rpitu u», aussitôt avisés, se portèà l'alerte vieillesse' et dont la disparition affec•Marie Eicirmis, t&OH3e ViLSinar.1, 07 ans, ba . à Lizerne, •ren nent des signes manifestes dans un pré : — IL© vicomte d'Exéa, diécédé à l'âge do Si ) ans, idiat neht sur te lieu du désastre RaJrma.. tera douloureusement tous ceux qui la connudes sulter-s de biles^ures »eç.r.ies à l'enineniii. ent encore le sauvetage de 28 ,mate- vite la mitrailleuse ; son crépitement ré : Clinarle.s Pu-jd, 22 beocFCS. rue SatotKhBaal — Frédéric M'ontasier, îadlk'jir, soldat an 7' d'il*. rent. :ussi, la posonne aussitôt et c'est chose amusante, dit StaTOeffle C*p*îiv«£«. l-> ans, Bou/t» de Bai lawiariie, tué le 5 .marc- 1015. Nous adressons à ceux qui la pleurent, et ileui-e, et la uns de sauvetage. présenta pour quelqiaes- le sergent, que de voir les trois gaillards Jean. DaajribaHi, CD asofi, ailée Sajiwt-B!iaai>f Tosses difficultés et demanda beau— .Antoine F.raisseix, cavalier au 20* dragoi s. déplus particulièrement à son fils, M. Alexandre tUZeraent d'Ypa i ligne belge Ctabr-kil. Vivés, 7 aras, rue de l'iEorœcne-.' mw& a A.mie-n;', des suites de ses 'blessures. Deffès et à son petit-fils, notre confrère ck-Poperingiie lamerlinghe- coup de courage et d'habileté de la part des regagner au plus vite leurs tranchées en Frainiçci-e Thércn, épouise Dcni.a.t.is. 08 a. — MfcSi 'Onse ïlédaird, de Liiinogies, cavadiier au 2* matelote italiens. Les naufragés, furent trans- courant, culottes basses et bannières au M. Louis Darrès, l'expression de nos sympa- des it d'être cou née Sûaracs, 7. Sgwne, tué le 15 .mars 101-5. thiques condoléances. Stoe •port immédiat n oe grosses .reser- portés dans les locaux de la défense mari- vent. Co.'Tiuiet, veuve Feir.raE'îe, 59 ans, iaudwaj: Matfnuniini î^ajaie, soldat reseirviste au, 42* d'infay. 19. coup est manqué ; time', où ils reçurent les soins que réclaHélas ! la dysenterie est un grand mal «JEterie., décédià à l.''amvbudan,se d'Ourciiy-le-C.UâHonpitces civils, 0. e no' s'est pas pre- mait leur état. Beaucoup, en ' «brodant, dans les armées en campagne et parfois Retraites Ouvrières crièrent : « Vive l'Italie ! » ... — Louis Joa.n-Ba.75t.ifte BOTitaud, de Landouge, solest très rapproché l .Vi'.diiaLres décéidée à suite de bUfissurcs «Sat au 21* d'infain.l«rie. tmé ie 6 mars. » Le sous-ma.rin est resté près du Lcon- c'est le choléra qui se déclare. ions qui dessert la Les titulaires! de titres de pension de retraites d 'ennemi : Le remède par excellence contre toutes 77 Le ca.i:cT.a.i Grows Rr>.vn.aud, â La seslion des Gambctta, tandis que le cii'oiseiir-cuiî'assé d'Ypres, bnucle de défe ouvrières sont informés que la délivrance des il ne la menace pas .T.u'ic*. jroan. wldat au. 4' d 'i.nJ'nti'ter.ie. MiiteaiPeiv-c» du 92* TOgiiimeimt d'iraifà.niteric. coulait ; puis, lorsqu'il eut été englouti dans 1ns affections de l'intestin, c'est le Ch-arhon d'une façon in certificats de vie, pour le paiement de l'allocaJastjuee Vissait, scèâait au 57* d'a.wi.î.'eTie Le caiaoraa André CbjarlU», du 1.43" d 'iin ,?a.n(e.ri.e. de Beiloc. Autour d'Ho; les note, 'les bâtiments italiens aperçurent le d 'Ar entières, la lutte tion, aura lieu, à la iMairie, bureau du traHlmond Labigaud. so:,Jat au 2* zouaves. «SiMarat ca cïrwM, tué ii raniruerait (baHSn explosive est devenue tr vail, ù partir du 1*T mai prochain, de 8 h. 30 du «a meioi), la m nsao. à Page de 21 ans. Anglais ont at- sous-marin «lui plongeait et disparaissait ». Le Charbon est, en effet, un absorbant matin, ii G heures du soir, le dimanche 2 mai laqué très viv NOTE. — Le cap 'Santa-Maria de Leuca, très énergique ; c'est ce qui explique qu 'il excepté. lière de Vez-iYîacquart et au hameau de Lcpi- qui est l'ancien promontoire de Saleutimtiia assainit l'estomac et les intestins ; il s'opnette. L'infanterie, soutenue par le tir d'un des Romains, se trouve à l'extrémité sud-est pose à l'invasion des microbes et préserve .... -.-—-,-.-,----.-• ...n -.^ -..,,. . - ^v.^'-'i train blindé et par l'artiilerie lourde anglaise, de l'Italie, dans la Pouille, entre le golfe de La Conférence Richepin MERIDIONAUX ÂU FEU a noyé les tranchées ennemies <le grenades à Tarante et celui d'Otrante, à 7 kilomèr.tes de ainsi des maladies qui attaquent ce» orgaA la dernière cor.iféirenice de Pémlnetsa .M. RicheDEPEPH ^Çt PRR fîOR Fil S «--"M; main. A l'heure artuei'-e, on n'a pas encore Gagliano, par 33 degrés -47 de latitude nord et nes et les guérit. tt>imi, les it'ii.reaux du tdiéa'.ire du Caip:i!ole ne purent 11X oumrdir leurs portes, itouBeo les palaces ayïi.n,t été die précisions sur les résultats de l'offensive, pa„- 1G degrés 4 de longitude est. Oe cap, que OS PARIS ET Dg SOiiîïEAUX IL» capitaine d» Descoftlasr, dia 1".* dragons, qui doivent être importants. Prix du flacon de Charbon de Bolloc en «cmimiandaint «n. escadT-on à pied, vient d'êt.re décoré ïenuies il l'avamce. Bu, ccnsécpuieinicie nous croyons l'on appelle le talon de la botte à laquelle on être lig.réaib'l'es à nos lecitieuirs en les prévenant Qu'il Les Allemands ont riposté par un vif bom- compare l'Italie, détermine la séparation du poudre : 2 francs. Prix do la boîte de Pasde l.a Lésion d'homneiïr, suir le. front, par le ffénéreste encore queiLcfues places dèsipoïkibles pour la bardement de, villes de Houplines et d'Armen- canal d'Otrante et de la mer Ionienne. Tal Jio-ffire. tilles-Belloc : francs. — Dépôt général • de gala, qui sera, doni.né© le liundi 3 mai protières faisant, 'malheureusement, des victimes tli vaiiC'.an.t otticl» est un des Ois du, regnoM* Ciora- soirée .cttia.lti. Maison FRERE, rue Jacob, Paris. — "ans la population civile. Trois civils ont été 16 de Dc.ica .l 'jair, de son vivant blem ccrjmu à Toulouse. On, se eouvdemt que cotot-ca, étirangior ot ©atués à la chapelle d'Arme "res ; un officier En vente dans toutes les Pharmacies. TO^an c i -aguol, s'était ta 1K70. ea^aiscé au service de Trouvé mort ct des soldats ont été tués la ville môme ta, Braase au 9* ctoassaurs à cheval. lit combattit d'Armeatièrc. La Maison FRERE Hier, veis 3 Jwures de l,'a,prè(s-ini.d i. un. vieillard toraw ,rr.fânt Les ALLciman*. tat MeoaS au bras et (pQnadssant SUT le secteur d'Arment âgé de 75 ans einrincin, a été trouvé mort îheres au canal de La n 3 la 19, rue Jacob, Paris, Paris, 29 avril. mJ^ ? ,? llMiat „ a™*1^, r-^vu t ai'-ors du «oawmie- su» l'aâfcée L,aitoy.e .t,te. Il n'avait saur ici aucune pièce rat organisés sur les Stion » 889 «maaw letlires do na.twra.lienvoie à. titre gracieux La proposition Dalbiez d'iidcntiiié, 1.1 était vêtu d'un, vesfieiii gasts, d 'un pannouvelles posit ne signale aucune attiadecL marron, chaussé- de galoches et coiffé d'une tanne d'infant» et franco, par la poste, On voit que le filo a su, manalueir sur es traces ce secteur. Une vive La commission de l'armée a terminé hier caisqpneiite gii'iae. Le ccripis a été transporté à la de son, apere. canonnade a é! é dirigée hier, en avant de Bé- l'examen de la proposition de loi. Dalbicz par un échantillon do CHARRON DE BELLQC moingue. thune, sur les position , allemandes de Vio- la discussion des articles 4, 5 et 0, pour les- (poudre) ou une petite boîte de PASTIL— Nous aiatHieinons avec plaiaiT (me M OuLUanmiB laines. «Je BomiaiM. ffla do notoa bxHmiratB«, iot M ta? quels elle a adopté les textes suivants : LES BELLOC à toute personne qui lui en Les Allemands ont riposté, et des obus sont eornite de ttR RonaM, vient d 'être tteœnmé -aooitSu^ OIïîï *>*atîOîîS « Article, i. — Dans le délai d'un mois, à fait la demande de la part de 1' « Express manit et. _ini :i,teu,r ai> s- busards où il s -es (1 < nT" ,^ tombes en arrière de Bauvoy, près du faubourg Uieir»u;is dieux ans. <-ns .i«e partir de ia promulgation de la présente loi, d» l.iile, route de Bé thune à Lille, et enfin, DE LA iM. OudUlio uimo da Bonaild a édi bîesisè il y tons Jets hommes dés classes mobilisées et du Midi. » vers le .sud, sur le secteur Cam&rin-Amis quedaues miois. Mys.ere absolu sur les opérations, si l'on mobilisables du service auxiliaire, de même DÉFENSH NATIONALE Ummïin — Les so-oisilleutiein,a,nta Georges Boscralon n excepte une très violente canonnade sur le que 'les hommes du service .armé qui seraient 1 11 ff'^,,^ 3 ^»^»» «àvee de SUmwstLSE secteur Ruily-Grenay-Aubigny. îi est possible proposés, par les médecins chefs de service, 5 % à DIX ANS Paris, 28 avril, 11 h. soir. d* ii r O ™* 0 " ot saint-cy-rdems de la promette» qu il y ait, d ici peu, d'intéressants communi- connue susceptibles d'être versés dans le ter St£ roU!TO Revamcho ont. à quchrues iouW d'i er vice auxiliaire, devront être examinés par ques sur ce secteur. JOURNÉE RELATIVEMENT CALME. Le CRÉDIT LYONNAIS reçoit, sans frais, mm S£;ite «n**» 1 «toieuac sur le champ de OeSÊQUESJflSLSTARES Et) résumé, situation exc ante sur tout le «ne commission médicaie spéciale désignée EN BELCIQUE, PAS DE MODIFICATION dans toutes ses Agences de province, les sousà cet eflet. Ceux de ces. hommes qui seront f^ont, et il n'est pas, |usqu fett°d &tîr'!;u.0'I, 't l 0T ie Par leur belle conduite au criptions, soit en espèces, soit par échange DAMS LA SITUATION ; NOUS C0iSSER¥0NS ûiandiSs. qui ne soient pour X attaques al reconnus aptes au service armé suivront le Journal OtoufJ lœ , * <ia i' mT - Voici l'extrait du d'^^ <*** sort de leurs classes. OeiUfX qui seront n;;iin« G=-> „ ' concernant : de Bous de la Défense Nationale et de Rentes LE TERRAIN REGAGNÉ DEPUIS T80S3 casion île progresser,. tenus ou classée dans le service auxiliaire M. Jacques Viguié, soldat au 57" d'artillerie TROIS TAUSES SUR DUNKERQUE û la ««^^««ta*». lieutenant, s'est ékunce 3 1/2 % amortissable. le l'ont l'objet d'une fiche motivée et signée aujourd'hui 2!) avril, à 8 heures du JOURS. afin *»« iUn j, Wc-JSé gimévemeint a conU Uldtul par les médecins des commissions qui auront a l"hôpi,tal 35 (Berfhélot). Duukerque, 29 avril. est tombé atteint d'une ' «ieuxiénip e s EN CHAMPAGNE, LES ALLEMANDS NOUS 0 Trois Tances ont survolé la ville, hier : un statué, ils seront employés selon tes besoins altteaur^ "" ' ^ » «ueilciues motws de Ha tranchée SAINT-BER^JAP.D oMeunaiid*.. Toulouse M. .htles-Zénon Jean, soldat au 4» d' infante, ONT ENLEVÉ, DANS LA RÉGION DE BEAUle matin à 6 heures ; le second à 1 heure, et de l'armée ct conformément à leurs aptituSous-Manitan.. J CHOCOLAT rie aujourd'hui 29 avril, à heures de 'anrt* Dépôts : 4, rue des Arts lo i« ,';""V"•*"" uio ua^aj-rigiue kim. Tlm' SÉiOUλ, 300 MÈTRES DE TRANCHÉES le troisième, à 2 heures de l'après-midi, ils ont des. maint un ^i meut .lnortcase , ion jeté des bombes qui n'ont, causé que des dégâte 0 » Article 5. — Les hommes des classes 1887 midi, à l'hôpital n* 1 (fccolc Vétéiriatiu') d sa AVANCÉES ; NOUS EN AVONS REPRIS LA «SSt clTarS!^^ ** «*U«" l"'"' 'matériels Insignifiante. Il n'y a pa« eu d'acci- i\ 101 i. exemptés ou réi'01 ni.'-s, ainsi que les dents de personne. ii,m,i'r,'!l0 Pen«rwrt, soldat do 1" «Lasse au "tr (Costumes de .Petits (Garçons MOITIÉ. hommes dégagés par leèr âge dé tonte obli»^ S* m *w^ dUraf««iitérto :a doraraé le pins bel exemple LES MAMANS qui ont la coquetterie de voir gation militaire, sotit autorisé.s à contracter EN ARGONNE, PRÈS DE MARIE-THÉRÈSE, m «e K L'*™ ' ^-'-^lU à 50 anis pour la dïï-ée leurs chers petits exquisement habillés et à UNE TENTATIVE D'ATTAQUE A ÉTÉ ARdans le service de l'armée et. dans la mesure AVIS DE DÉCÈS bon marché, les conduisent au Petit Marin Wm i" i f ! "«P** 9 P» » Iwrtes les opérations du des besoins, pour la &uoéa rte in garnie, et m|ï a iïao f; csa t (Mlle Bastier). Spécialité de BOjBtttima naur «Snorai m \" ' i ' " "" l'admiration du réaprès vérifleattoo d'aptitude, on engagement RÊTÉE IMMÉDIATEMENT PAR NOTRE FEU. Mademoiselle Jenny D'IIUTEAU, le CornLE CAMEROUN EST BLOQUÉ petits garçons, 22, rue des Lois, Toulouse. spécial POUi' mi •l'inploi do law choix. mandant et Madame Lionel 1 > 11UTEAD le AUX ÉPAïtCES, L'ENNEMI BOMBAROE, en c*.-» i- • — «'est précipité à l'as» Article (i. Les re-mplaceirnents dos hom- ('.oinniaiolant et M.ida, Emma 11,11 el D'HULondres, 29 avril. «n«n,h.l?L? «wnœwgmte, a eu la cuisse et basi-ii', MAIS N'ATTAQUE PAS. L'état du blocus a été proclamé s,u.r le lit- mes visés, aux articles, 1 et 3 seront opérée IUAU et leurs enfants, le Comte Armand de au f par fractions, en cemamettioaurt pair les plu,s IL EN A ÉTÉ DE MÊME A L'HARTMANNS- toral du Cameroun ù partir de minuit, le 23 jeun.es des classes. Toutefois, los hommes l'm&S'KGUR, Monsieur ct ..Madame DM ip?rt, (ilnn te gendre dm. colonel M'.oittrES et leurs enfants, Mademoiselle avril (olilcie.l). ?^ U^omît^'* ,aS de Ruffl do .nl le rouiplacemenl .serait île nartare ii enWEILER ; LES ALLEMANDS ONT DIRIGÉ Yvonne D'IIUTEAU, ont la douleur de faire ^«•a^io^ * rontevès, qui habitent traver le fonetioiinomcni des service» ou la 1 ai , n k'inw anus ci connaissances de ta pesta SUR LE SOMMET UN FEU INTENSE, MAIS 1 production des établissements de l'armée ou cruelle qu ils viennent d'éprouver eu La cor. ^•^^'Y-J ? I'"K,S tto "nu.'rTiiisn'on. de Saint1 N'ONT PAS ATTAQUÉ AUJOURD'HUI. COUR D'ASSISES e torpillage travaillant pour l 'année, feront l'objet d'une sonne du "„ f .<«W»SBI«» da Lumértlle, reçu la 1!^, Io, î,), avTU " a Sain^raixe.nh fiche motivée et signée pa.r le ehpf ,i'e.spon .iaÎJWit de son . i',lun a Audience du 28 avril NOTE. — Au cours de la journée du 27, 'jle de la man he des services on djas établis*• ^lat-jto„;f «>t. <te» «nains du généra,! Dupré Comte Anatole d'ÏIUTEAU Président, M. Boudin, conseiller a la Cour • nos avions ont lancé 32 obus sur la gara de ;• n>"iits de l'Etat ou par Pofflcler chargé .lu décède <i du c( Léca-Sambetta » loulous© lo :ix avril Kftfi greffier, M . Ruumieux. 0 eonlrôle des él.'iblis.seni'CiilH civi's. Il en sera 78 Bollwiller et 60 sur la gare de Chambley, où f« ^Su&K* » .mtnoullle de » cavatlers. <d1ar. s an ans j .mt.i de-. Sii .Tfinents de l'Egl 1sel'ûge et d« fait mention sur leurs livrets ndJltateea ». Destruction de titres ils ont mis le feu à un dépôt do munitions les COMMUNIQUÉ DU MINÎSTÈRE D.'mire part, la erun .iniis.sion a pa Ig en con- p nent de vouloir bien assister a M » .l'Ji lv "'''»"" mi K 'K V* « L'accusée est une dame Marie-Louise Cu/.au- La gare d'Arnaville et le raccordement ries :; i'i"r;!tioi, on arnendemeirxt de M. ponçai re- qtJ'i' aunont lieu 1© jeudi 2<j avril ir \ • ' I r les DE LA MARINE ^«aur 'tmir^ten^ ociouipa^ w ooniKMirs ennemis nt on- bou, t'puuse Castex, épicier© à Aspct, âgée voies ferrées Chamblcy-Tliiaucourt ont été res mii au, départ pour le front des gradés ou Uc Paris, 2!) avril, isse de Sauil-Sor. dune cinquantaine d'années. On lui reproche lVnr1J;T ' ? (V,ln " vlM *a». arrêter la i/© ministère de La marine nclÉ ûotnmuiil- hommes du service armé upparlenanit aux ^.ha„ v, r ««W ,1 ,»,rn,nt,tr, au oonvod «le d avoir détruit un titre de créance BOUT échaD bombardés de nuit. On se réunira à la <'liK-ises de l'armée active ou d.e sn réserve ct ^«fisdu <1eux t ,r<v- .jrra.ves Mcssuiros, a lier au paiement. Le 28, un do nos avions a lancé 6 projec- que la note suivante : maison mortuaire, 1R, ma Héilot. ^on «„,„., 'e bras d.mlt mulite. .. <<ui jusqu'à présent éinient restés (fins les Lo croiseur-cuira6câ Léon-Gambetta », en L'accusation déclare eue le 28 j.a.nvicr 1914 tiles sur les hangars à dirigoablcs do Frie tué dépôts, 11 *n T^iTà^ZvT * *U W <a*a3S"*«. » w.iv, 4 heures do l'apics-anidi, M. Vjmsasaeatk drichshaffen. L'aviateur a vu un nuage de croisière à l'antréa du canal d'Otrante, a été Le .rapporteur a été chargé pur la coninus torpillé dans la nuit du 2S au 27 et a coulé Mffoatwil B Mtramant, se présenhiit chez be« F ' ln&hres «enéra.!«. 7. r. t>nfayNt., TantoOM «ion S'apporter un texte déilnitir aur cet fumée s'élever du toit d'un hangar. M obus en dix minutes. onrMOidjeiaaênt. K Le Paquet de nos Soldats et des Prisonniers du Midi *** L re Desciax SMaeles et Concert de Toute! 2 LETTRE D'UN SOLDAT LES 2 19, A LA CHAfiBRE Officiai il Ja ii! .ïS,,""""' S", 1 8011 2 a la 5 g Gazette Judiciaire a Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés i JBUM 29 AVRIL 1915 lieu, sur les allées Nid, une réquisition de. ras 'h "l'église Saint-iB-enoît, une messe de Re- 1896, 300 ; 1/4, 70.50 Chevaux hongres et juments âgés de 4 ans et quiem » l'intention de nom soldats morts pour 311 ; 1/4, 83,25 ; 190 AVIS DE DÉCÈS au-dessus, appartenant aux 5° et 6° catégories Les familles d'ESPEZEL DE ROQUETAH^ (trait). ^l'ous'îes bons patriotes castrais se feront LADE, Joseph DUPUY, BAUX et ALBARÈDE Les propriétaires d'animaux des catégories certainement un devoir d'assister à cette pieuse ont la douleur de faire part à leurs amis et ci-dessus désignées, sont invités à les présen- oérémorhe, pour laquelle il ire sera pas lait connaissances do la perte cannelle quelles vien- ter devant la commission de réquisition, aux d'autre invitation. Bons 1887, 58 ; 1888, 5!7.50 • nent d'éprouver dans la personne de jour et heure fixés plus haut. Soiréo récréative. — Aujourd'hui, jeudi, 444 ; 1 /5, 97 : 1HS0, /,,<.) , -,,,',"",' "!'s lai.' i79 -; m 1891Communal Mme Joséphine Lucie Clémence ALBARÈDE, salle Sain^Pierre, rire Saint-Martin, brillante 1899, 358 ; 1900, 410.75 ; 19121 lihéril 1l 9a . 36ft9 *' RIEUX. — Mordue par un chien enragé. — Epouso \ % > Zi Après l'avis concernant las chiens enragés, soiréo récréative au bénéfice des blessés do libérée 204 ; E,t 5 %, 550 ; 4 l'école libre de l'Albinque. Nouvelles, 368 ; 2 1/2, 342 • Est AAltj • %. 38tr voici un fait : Paul d'ESPEZEL DE ROQUET AILLA DE Programme admirablement composé avec Lyon 3 %, 382 ; p'.-i.-M. ' 4 0/ fe«*0, 368 ' Dernièrement, une fll.lettc de Saint-Julien, a décédéo le 27 avril 1915. Les obsèques auront été mordue par un chien enragé. Elle est en 1© concours de M. Delmont, de l'Opéra» et 364 Nouvelles, 360 ; Midi 3 % fÀlJ*®L' Itieui le vendredi 29 avril, à neuf heures un Viguier, de la Porte Saint-Martin. v© es, 375 ; 2 1/2, 356 ; Nord 3 i -£2 ' N<£ GAiDEVELLE (Auguste), de Ferfay (Pas-de- quart du matin, sur la paroisse Saint-Vin- traitement à l'Institut Pasteur de Montpellier. Les retardataires qui n'ont pas encore pris voiles. 362.50 ; 2 1/2, 332 • Orléajfi f S > Nov Calais). Espérons que cette morsure n'entraînera pas Les Disparus cent. leurs billets en trouveront à la porte do ia un dénouement fatal. OUGNIET (Joseph), de Framiee (Ardennes). n *»™™ U Nouvelles, 387 M ^Y $ *3f On se réunira à la maison mortuaire, place Avis aux parents qui, sans crainte aucune, salle Saint-Pierre. cuuou (Henri), du 16* d'infanterie territoriale. Carnot, Ouest 3 % 390 ; Nouvelles, 387 50 • o , !• 33V 15. Tous nos omis voudront participer au suc- Bône-Goelma, &ini ™mn«" VA «J. il 3sS* de Sign.y-le-Petit (Ardennes). •laissent dans la rue leurs enfants, même Guelma, 373 ;: Economfqiïes «9 • CENT QUARANTE UNIÈME LISTE Les personnes' qui, par erreur ou omission, cès de cette œuvre charitable et patriotique. France, CORNIGUET (Paul), du 10" d'infanterie terrb ceux qui sont tout jeunes. >o, 326; Aaidalous P° séria* v» ; ^ n'auraient pas reçu de lettre de faire part, 6AURI (Henri), 7e bataillon colonial, disparu bardes .. ; toriale, d'Etrico'urt-Mannonoonrt (.Soanane). Cinéma-Salon. — En matinée et soiréo, aus 3 %, 186 ; Nord-Espagne p. X Log Pèlerinage à N.-D. de la Morère. — Le pète 10 novembre, à St-Eloy, près Ypres. CAVAILLÉ (Bloi), du 15' d'infanterie, de La sont panées de considérer le présent avis con> lerinage traditionnel a N.-D. do la Morère jourd'hui jeudi, « la Châtelaine », comédie Barcelone, 'loue, 330 ; Asturies, iS ^ 1^' ^'e, ?35g* l"° «érie <5ff me en tenant lieu. BAZEiROUE (Laurent), 83» (Fini.. 2° comp., Bastide- Gabausse (Tarn). 3 ; ; p tugais 3 %, pe sér j.e, . série,' '153 ,L pOrm : 2° g0 série 15s L ordramatique, « Son Excellence », comédie ; ac* %. If série, 281 aura lieu lo dimanche 2 mai. sans nouvelles depuis le 6 septembre. GOSAGNBLA (Placide), du 143" d'infanterie, ragosse P° st.r ie, 354 ; Métro 4 % m -J Sa.. tualités de la guerre. Le départ est fixé à 5 h. 30. BELOU (François), 15° d'inf., 10° comp., diii&d'Aigu il.lon (Lot-et-Garpnne) . NARBONNE. — Nos compatriotes au feu. — son, 404.75 ; Omnibus 4 %, 397 • Génépi flw>I>lNombreux seront les fidèles qui assisteront Cinéma Deibosc. — Aujourd'hui jeudi, en paru depuis plus de six semaines OOUET (Georges), du 23' colonial. d'Orléans Disparus. — Gontran Oustry, du e 4 1/î, 142° d'in- à oe pieux pèlerinage pour demander à Dieu, matinée et en soirée, programme, sensationnel, 300 ; Foncier Egyptien 3 1/2. 390 BIGORRE (Germain), 136° territox., 13 e et 26° (Loiret). fanterie, disparu le 20 août. Léen Pauly. du par l'intermédiaire de Marie, le triomphe de < Steele et Kate », scène policière en trois parcomp, disparu depuis plus de quatre mois. CHAUDERON (Amibroise), du 32T d'infanterie, 53" d'infanterie, sans nouvelles depuis trois î'Eglise, Le salut do la Patrie et la prochaine ties ; « Blak Boderick », roman d'amour, scèCRESPY (A-bel), 81° d'inf., 10° comp., disparu d'Azat, commune de Cressat (Creuse). Louis Pigasse, du 16' d'infanterie, blessé victoire des alliés. nes comiques, actualités de la guerre. le 22 août. CAPIAU (Ovide), du 8* régiment belge, <FEs- mois. BOURSE DE et disparu le 25 août. Léon, Truffel, du 15' DARRICADlvS (Pierre-Paul-Eimile-GeorgesA 3° PAULHAC. — Accident. — Hier, vers midi, tas (Hainant, Belgique). colonial, 4° comp., blessé et diiisparu Ile 22 CHOUVETON (Hacuè). du 26* d'infanterie, do d'infanterie, 2' compagnie, dSsparu te 19 août. le nommé Jacques (Malzien, âgé de 64 ans, conTAftN-ET-GARONNE Louis Vilala, ditn 143' d'irifauterie, 1" compaaoût, ii Saint-Vincent (Belgique). duisant une voiture chargée de 20 sacs de maïs Boulogne-sur-Seine, rue des Menas. DELCAYRE (Jean), 15» d'inf., 10» comp., bles- CHAMPION (Marceau), du 37* d'infanterie, 25, gnie, saus nouvelles depuis le 27 octobre,. est tombé sous les roues de sa voiture qui lui Fonds d'Etat français. - 3 ^^aî?.!^ Morts au champ d'honneur. — Jean Soupène, sé et disparu le 4 novembre aux environs est passée sur le corps. La mort a été instanfaubourg du Plssot-Ohauny (Aisne). MONTAUBAN. — Avis aux réfugiés belges. »„Wj5Jj ^amortissab^ tanée. d'Ypres. de Saint-Marcea,, tué à l'ennemi. André TisaEmprunts_dei Villes^—_ Ville de Paris ORENLET (Georges), du 26* dftnfanterie terri— Le gouvernement de la Belgique vient de gations 1865, DULOT (Albert). 143° d'inf., 4° oomp., disparu net, de Bize, tué à l'ennemi. Elle Bartisso'l, toriale, dTvry-sur-Seine, 34, rue Hoche. VI LLEFR ANCHE. — Hôpital militaire. — déléguer M. l'abbé Victor Debast, à titre d'au- 2 i %, 290 50. •i %. 521 50 ; Obligauôns le 1er novembre. DAUMAS (Charles), du 26' d'infanterie, de de Portai, décédé à l'hôpital de Rennes jdes Lundi dernier, 26 avril courant, un train sa- mônier des Belges réfugiés en France. 16 FERRASSE (Pascal), 1" hussards 10» escasuites de ses blessures. Manoeau et Germain Paris, 25, rue Marignan. 3 »??' françaises. — Obligations Fon^u Avec la haute et bienveillante approbation 1885, nitaire se dirigeant sur Castelnaudary, s'est 2,60 %, . 356 : .Obligations dron, présumé blessé et disparu le 18 octo- DUCHATEL (Alfred), du 249* d'infanterie, do Bénit, tous deux de Canet-d'Aude. arrêté, a 8 heures du soir, en gara de Ville- de l'autorité ecclésiastique du diocèse, il exer- 1906, 414 ; Est, bre près Petit-Mont. obligations 3 -, A l'ordre du jour. — Joseph Fonlquier, de Verzenay (Marne). cera auprès de ses compatriotes toutes les FONVIE1LLE (Michel), caporal 15e d'inr., 11 e DUPORT (Louis), du 16' territorial, de TiUy Porte!, soldat au 139' d'infanterie. Gavard., franche, pour déposer 23 blessés ou malades fonctions du saint ministère. 381 50 ; Midi, obligations 3 % 177 -'n^**. qui ont été immédiatement transportés ou conoomp., présumé blessé et disparu depuis (Somme). adjudant au 19' régiment de dragons. Jean duits a l'hôpital militaire. Pour les réfugiés de la ville de Montauban, aotrons. eJt-cnupon 126, 1.140. sept semaines environ. d'Etat étrangers. — Russe 41 w DUROU (Louis), du 15* d'infanterie, de Mon- Mauireau, sapeur au 2' génie. Beaudemont, Depuis le début des hostilités, notre hôpital il y aura le dimanche, à 9 heures, messe avec 79Fonds FOtNQUERNIï: (Victor-Baptiste), caporal 269» 60 ; Russe, 5 %, 1906, 94 45 ' % tauban. soldat réserviste au 342" d'infanterie. Fourgs, en flamand et en français, dans la d'inf., 22° comp., présumé blessé et disparu DAGUET (Auguste), du 102' d'infanterie, de adjudant au 1" régiment de hussards. Bon- n'a pas reçu moins de 200 soldats qui n'ont eu instruction Valeurs diverses. — Actions' : Mines ri* T chapelle des Sœurs de la Miséricorde, rue du qu'à se louer, avons-nous besoin de lo dire, des le 1 er septembre, à Gonsenvoye (Meuse). Congé-sur-Orne (Pas-de-Calais). ...aux, ex -coupon 67, 2.510 • L'Ei>-u*r, n Cftrbonne, adjudant au 3' régiment d'artillerie. C1MBERGUES (Henri-Léon), 42» d'inf., dispa- DURIEZ (François), du 131* d'infanterie, de Hourcade, adjudant au 143' d'infanterie. soins intelligents et dévoués qui leur ont été Fort. coupon 30. 357 ; Grands Cafés, el?« Dès 7 heures du matin, M. l'aumônier sera prodigués dans cet établissement modèle. u ^'n |ru depuis quatre mois. CoJonne-Ricoiuart (Pas-de-Calais). Schenk, soldat au 24' colonial à ia disposition des fidèles pour les confesGRîENIEIR (Henri -Jean-Marie), 44» coaoraal, 3» DESAIX (Firmin), du 4" chasseurs à pied, de Otottgations : Département de 3a Ra,,^,, ' sions. Un tronc dévalisé. — Hier matin, vers huit oomp., blessé et disparu le 27 septembre au Vaucourt (Meurthe-et-Moselle). Après la messe, distribution de journaux ronne 424 ; Ville de Toulouse. 1889 (rJlfPt heures, le sieur Chaubet, concierge au cimebois de la Selouze. DESPAGNE (Paul), du 16' d'infanterie territ., tière de Cité, a déclaré que le jeune Pascal 491 ; Cheman de fer drr Sud-Ouest 4 y^- 1, belges, en flamand ou en français. GUÊRIN (Jean-Marcel), 11» d'inf.. 9» comp., de Guvencourit-Jaulcourt. (Somme). Maisons et marchandises allemandes Pour tous renseignements, s'adresser au doGallier, demeurant traverse Suffren, 3, a désans nouvelles depuis le 17 août. DELABEUX (Henri), du 16' d'infanterie territ., posé chez lui un tronc de Ha Croix-Rouge, sous séquestre. micile de M. l'aumônier Debast rue du MousPetit manuel à l'usage des troupes . HUCHIN (Louis), 208° d'inf., 20° comp., dispade Villers-Faucouirt (Somme). pour les soldats en compagne, bW«kOnt été placés sous séquestre : les établis- tier, 4. vide, les charnières enlevées-, disant qu'il ru le 30 août à Noulpay. .wnniam, . „nr>+;,vT,t u ^ A-^.-V— V,- J~?eo OU -.pi. DUBAND (Geoa'ges), du 14' d'infanterie territ., venait Celui-ci se propose de visiter les centres sonniers ; contient la désignation d de le trouver le long du mur du cime- sements Kurt-Munziger, cuirs ; Albert Muf3AUM9Ë (Joseph-Emilien), 14° d'inf., 5° comp., de Wiry-du-Mont (Somme). dans lesquels se trouvent les réfugiés belges. tité de mots, de locutions de ptea^w e quanflert, commissionnaire en laines ; Georges 'jlessé le 27 août à Raucourt (Ardennes). DAVID (Eugène), du 4" zouaves, de Saint-M- tière. Une enquête se poursuit. paComité des conférences. — La sixième con- avec la prononciation ; cadeau que^ usitées. Hark, à Mazamet ; le mobilier du sieur LA BAT UT (Elte), 20° d'iinf., 5° comp., disparu Procès verbal. — Le sieur Garouese, rue peuvent joindre aisément aux ™ m J$~ oolas-du-Bourgueil (Indre-et-Loire) . Wunschmann, ingénieur de la maison alle- férence au profit des blessés, aura lieu au rents pa le 22 août. Barbier, 7, sera l'objet d'un procès verbal où aux lettres envoyées vers le front 5U6ta (Gaston), du 21" d'infanterie terril , mande Bruniquel, à Mazamet ; le dépôt de la théâtre municipal dimanche prochain 2 mai, LAFFONT (Joseph). 22° colonial, 3° oomp., DACQUET Prix, 0,25 ; franco, 0,30, au Hall ïi« i> r, de Rouen, Imp. du Clot-des-Marqueurs, 6. pour avoir laissé son chien, dépourvu de Société t Badische Aniline und Soda fabrik », à 8 h. 30. e 1 disparu depuis plus de deux mois. press du Midi ». Toulouse, « ExDELHAYE (Alexandre), de Caudry, rue de muselière, divaguer sur la voie publique. Elle sera soumise par M. Oestre, professeur produits tinctoriaux à Castres ; une quantité LAMBIC (Louis), adjudant, 11° d'inf., Trouvailles. — Il a été trouvé par M. Mont- de caoutchouc « Continental » de Hanovre, en d© littérature anglaise à l'Université de Bor Cambrai (Nord). oomp., disparu depuis plus de deux mois. DUGAVE (Léonard), de Roubaix, rue Pénart sarrat, 6, rue Suffren, un réticule, qu'on peut divers dépôts, dans l'arrondissement de Cas- deaux, qui traitera l'intéressante question tout LARRIEU (Alfred), 20° d'inf., 11° comp., dislui réclamer. (Nord). tres ; une quantité de laines en divers dépôts actuelle de l'alliance franco-anglaise, sous ce paru depuis près de cinq mois. DESPREZ (Georges), de Valencienncs. rue Par M. Lamur, 5, rue de Strasbourg, une de Bau et Meyer, de Schwarzburg et Schene- titre : « Pourquoi l'Angleterre est-elle notre LORGE (Raoul), 1G° chasseurs à pied, 14° de Lille, 73 (Nord). muselière pour chien. man. alliée ? » t comp., disparu en octobre. (Joseph) de Man.tlgn.y-en-GohelPair Mlle Marcello Jeanne, 7, rue Charras, L'administrateur séquestre est M. Arthur Purgatif, Laxatif, Rafraîchissait La réunion sera présidée par M. Didier, pro NIOLET (Jean-Louis), 83° d'inf., 7° comp., DUCROTOIS le (corons Pollart) (Pas-de-Oalais). une boîte à ouvrage ; on peut la lui réclamer. Marc, commis-greffier au tribunal civil de viseur du Lycée Ingres-. blessé et disparu le 22 août à Charleroi. -3=3 ans cl G suoeôa Etat civil. — Naissance : Reine-Thérèse Vi- Castres. POUJADE (Lucien), sergent, 6° colonial, 7° DAUME (Louis) de Paris, Impasse Dessois, Décès militaires. — Sont décédés : le soldat 3 (bis) (XX'). •trou. Exigez de votre pharmacien la boîte qui porta e d'infanterie, 20 ans, oricornu., disparu depuis sept semaines. Henri Vicaire, du 11 ALB1. — Carnet de deuil. — Hier ont eu [A suivre). Décès : Marie Rivière, sans profession, lieu les obsèques, sur la paroisse SaiïntSalvy, ginaire de Moliôres (Tam-et-Garonne), à l'hô RAYMOND (Léopold). 53° d'inf., 3° comp., le nom ^Gcti. sur l'enveloppe. veuve Baby, 66 ans. blessé et disparu depuis cinq semaines ende Mme Paul Peret, mère de M. Peret, direc- pital temporaire n° 5. viron. Salle des Fêtes. — Jeudi 29 avril, en, mati- teur des mines d'Albi, décédée à l'âge de 85 — Le soldat Albert Debrin, du 11° d'infanteMesdames qui souffrez, ROUGER (Lucien), 62° chasseurs à. pied, 8° rie, 20 ans, originaire d'Aignan (Gers), ù l'hônée et le soir, à 8 heures, an programme : ans. comp.. blessé et disparu depuis un mois. pital temporaire n° 26. Partie perdue, grand drame en deux parties ; Nous prions M. Peret, actuellement sur le Prenez l'Apioleine LAS SAINT -SEVIN (Joseph-Raymond-Antonin-Eu— Le soldat Louis-Casimir Daumas, du 341° Un .Bienfait n'est jamais perdu, jolie bataille front d© guerre, .et sa famille, de vouloir bien, gène), 11° d'inf., 5e comp., disparu depuis d'infanterie, 38 ans, originaire de Barrême remMe préféré des darnes cpil calms et guérit le» en dieux parties ; Mlle Josette ma femme, co- agréer nos respectueuses <^tidoléances. plus de deux mois. médie en deux parties. Eclair. Actualités du coliques que précèdent ou accompagnent les règles Mort pour la patrie. — Notre .compatriote (Basses-Alpes), à l'hôpital temporaire n* 5. SEGUIEiR (Joseph- Jean), 20° d'inf., 11° comp, en facilite re retour lorsqu'elles sont arrêtées ou sunl théâtre de la guerre. Dans nos régiments. — M. le chef de hatail le soldat Léon-B/émée Gil, du 53°, est mort primées. Est employé avec 6uccés dans lAmènor. disparu depuis six semaines environ. Station d'avertissements. — Bulletin du 28 de blessures, de guerre, le 13 avril 1915. Ion du 11° d'infanterie Georges Wildermuth rhèe et la Disménorrhie. SENTIS (Jean-Baptiste), 11° d'inf., 12° comp., promu officier de la Légion d'honneur, a été avril, 9 heures du matin : A Sainte-Cécile. — La messe mensuelie disnaru depuis plus de deux mois. Prix du flacon : 4 fr. 50 mis en activité hors cadres et nommé proviPression barométrique 'réduite au niveau de MORTS AU CHAMP D'HONNEUR des hommes sera dite dimanche proSOULAGES (Alexandre), 122° d'inf., 5° comp., soirement à l'état-major de l'armée. la mer, 762,4. Dépôt : Pharmacie DELIEUX. 9, rue de Ré. chain,, 2 mai, à 7 h. 30, à la Cathédrale dans sans fiouveltes depuis 8© 20 août. 85, Rue Roquelaine — TOULOUSE MM. les sous-officiers de réserve de dragons musat, à Toulouse. Différence avec la veilte en millimètres, le grand chœur. Allocution par M. l'abbé BonCamale, Coadeux, Marcel Delort, M. de La laran. 1,4 en plus. Les personnes qui pourraient nous fournir Ville de Rangé, Raymond Legrandi et Pierre Températures. — Maxima d'hier, à 2 mèLEÇONS DE LATIN, anglais, allemand. Prédes renseignements sur les soldats disparus Cette Œuvre fait connaître les emplacements Une autre arrestation. — Un militaire du Labantie, ont été promus sous-lieutenants. paration aux examens. S'adresser : M l'abbé voudront bien en informer immédiatement des tombes des soldats morts au champ d'hon- tres, 18°4 ; à 0 m. 40, 20°8 ; minima d'hier, à 10° de ligne vient d'être arrêté peur compli2 mètres, 7" ; à 0 m. 40, 7 "8 ; moyennes d'hier, Ncs compatriotes au feu. •— Le général comDattas, licencié ès-lettres et d'anglais, rue Naneur et donne partioulièreinent aux fanailles cité de vol. Il avait aidé le sieur Paul Leco'int L'OEUVRE TOULOUSAINE tous renseignements susceptibles de les inté- à 2 mètres, 12'7 ; à0 m- 40, 14° 3 ; minima du actuellement détenu, à dérober, dans" la bara- mandant la 133° brigade a cité à l'ordre du zareth, 42, Toulouse. DES RECHERCHES DES SOLDATS DISPARUS resser. Les bureaux de cette Œuvre sont ou- jour, à 2 mètres, 5°6 ; à 0 m. 40, 5°7. que do M. Gorbières, marchand forain des. jour : à l'Express du Midi Etat hygrométrique,, 59 ; hier, 87. Le sercent téléphoniste Pierre Lescure, du verts tous les Jours à l'Express, de 2 a i heumiaaiers de cartes postales. SOCIETE DU PRÊT GRATUIT, fondée à Ton* 9.5, Rue Roquelaine Toulouse Situation régionale. — La pression baroméres du soir. , . . Combattants de 1870-1871. — Comme le por- 211° régiment d'infanterie : « sous un bombar- Icuse en 1828. — Bureaux situés rue Sainttrique se maintinet relativement basse, avec violent qui avait détruit les liaisons Jean, 3 (près la place des Carmes), ouverts les Nous publions ci-dessous le relevé des instent lo sstatuis de l'association de» combat- dement Notre « Service des recherches des dispase trouvant, sur les tombes de nos forte humidité de l'air. mercredi, vendredi, de 9 heures du matants 70-71, les meimbres sont prévenus que téléphoniques, a parcouru le réseau, rétablis- lundi, rus » est gratuit. Nous demandons seulement criptions Temps probable : Orageux. sant les lignes et assurant ainsi la continuité tin à midi — Prêts sur gage9. héros dont les noms ont été communiqués la mess© solennelle sera dite le 2 mai 1915 à des ordres. un droit de 0 fr. 75 centimes pour nous cou» aux familles. Mira:e à 11 heu,res danB le vrir des frais nécessités par nos recherches. cœuf ' > grandi - Le sergent-major Claude Gayrard. du 211° DENTS DEPUIS 5 FRANCS REMERCIEMENTS Oe service fonctionne, comme l'Œuvre du CIMETIÈRE DE SOMMERVILLER (M.-et-M.) DENTIERS DEPUIS 100 FRANCS « Paquet d'ihver de nos soldats ». avec le De SEGUIN-PAZZIS, capitaine, 3° régiment Un© réunion des membres aura heiu le régiment d'infanterie : « a pris part à l'attaque Madame Derma GRITTON, Monsieur et dévoué concours d'un comité de dames amies même jour, à 9 heures du matin, au premier du 9 avril avec un grand sang-froid. Blessé à permettant de manger comme avec ses dents natn< Madame Raoul GRITTON, Monsieur Jean- du d'artillerie lourde. . relies, sans aucune gêne ni douleur. — Satisfaction cale de la préfecture (cotisations et com- la cuisse, n' a consenti à se laisser évacuer complète de. l'Express. D4US0UE, capitaine, 153° d'infantene. réparations d'appareils mal fait ailleurs. Jacques GRITTON remercient vivement leurs munications qu'après avoir complètement réglé la compta- EXTRACTIONS diverses). SANS DOULEURS, plombage, émail. ADAM, 37° d'infanterie. amis et connai.ssancës des .marques de symbilité de sa compagnie, dont le commandant Toutes opéraUons Vu les événements actuels, le banquet anà prix modérés. — Bien renias, CHALIGNAC. 146° d'infanterie. pathie qu'ils ont reçues à l'occasion du décès nuel n'aura pas lieu. avait été évacué le matin. » çuer l'adresse. TOUSSAINT, 226° d'infanterie, de INSTITUT DENTAIRE Cercle des Artistes. — La commission nous CARMAUX. — Chez les mineurs, — Les ouMonsieur Derma GRITTON TOUSSAINT, 226° d'infanterie. S, rue Bayard, 2 vrière mineurs syndiqués ont tenu la réunion fait connaître qu'à rassemblée générale du 24 LEBRUN, 4° d'artillerie. (angle du boulevard de Strasbourg], que nous avions annoncée. Après l'examen courant, les membres du Cercle, s'inspirant des BA1LLY, 60° d'artillerie. grandes idées d'union et de concorde, qui doiBRAM. — Carnet de deuil. — C'est avec ttn,e des -uiestrons professioniHciles à l'ordre du HAON, 156° d'infanterie. J'achète tous IGS légitime tristesse, que nous apprenons la dis- jour, les assistants ont décidé de ne pas fêter vent à la suite des graves événements que nous GELOT, caporal, 37° d'infanterie. parition presque subite 1, sinon foudroyante, de to 1 er mai et de tr aval lier ce jour-là comme traversons, réunir désormais tous les bons ootés ou non j^es soldats du Midi dont les noms suivent CARON, 60° d'artillerie. Français, ont décidé que dorénavant le Cernotre ami Noël Durand, retraité de la Compa- les autres jours. cotés au PASCAL, 60° d'artillerie. se trouvent en cle des Artistes porterait le nom de « Cercle gnie des chemins de fer du Midi, décédé à En prenant cette décision le syndicat a vouETIENNE, 60° d'artillerie. et donne les renseignements financiers grades Artistes et d'Union Nationale ». l'âge de 65 ans. lu prouver qu'à l'heure actuelle dans la granFRAGET, 153° d'infanterie. Cette décision fait grand honneur aux mem- tuits par correspondance. En nous inclinant très, respectueusement de- de crise que traverse la France, les ouvriers PRIS D'HAN, 60° d'artiMerie. COURTHIAL, 27, rue de Metz, Toulouse vant le cercueil de notre regretté ami, nous mineurs ne veulent même pas sus'pendir© un bres du Cercle des Artistes qui, sous sa déBOURNOT, 353° d'infanterie. prions sa veuve, ses filles et son gendre incon- jour l'extraction du charbon, si nécessaire vouée direction de son président M. Dagrand, Nous nous tenons à la disposition des fa- BORDAT, 26° d'infanterie. poursuit la 113° année de son existence. solables, de vouloir bien croire à la grande en ce moment à la défense nationale DANS LA CAMPAGNE Ils ont, par là, voulu prouver combien ils milles pour tous renseignements complémenpart que nous prenons à leur deuil ; nous les Aussi il fait un pressant appel à tous les' CHEMIN DE FLAINVAL prions surtout de croire à nos bien vifs regrets ouvriers^ du bassan houiller pour que le 1er ont compris la grande et salutaire leçon que taires sur le lieu où se trouvent les soldats Chaussures Modernes donnent chaque jour au pays nos héroïques et de vouloir bien recevoir en cette cruelle et mai aucun ne manque à son chantier. ci-dessous : CLEMENT, 37° d'infanterie. soldats, unis étroitement porir la défense et la attristante circonstance, nos sympathiques En faisant le sacrifice de notre fête de victoire de la France, dans le plus bel élan de ENTRE SOMMERVILLER ET CRÉVI& condoléances. — A. ALLIOS. travai'l, nous faisons, en cela, comme nos patriotique COPTN (Henri), de Liévin, 2' Avenue. 11 (Paset sainte fraternité, qui sera et deBARRAT, 37° d'infanterie. frères du front qui, eux aussi, ne chôment vra demeurer de-Calais). à tout jamais une des plus belClaire MMl pas et luttant sans relâche, jour et nuit, pour les pages de notre COUPPEZ (Léon), d© Fives-LiMe, rue Al- CAUTERA, 173°- d'infanterie. vie nationale. ta défense de la patrie, pour la libération du phonse-Verquin (Nord). . PRÈS DE LA RIVIÈRE : LE SANON territoire. LES PREMIÈRES MARQUES ::: ::: M CRESSON (Gustave), de Mantigny-en-Gohelle AUOH. — Conseil municipal. — Sommaire PETIT, 153° d'infanterie. (Corous-Po-flart) (Pas-de-Calais) . Confrontation. — Six prisonniers' alle.w CELLES OUI CI1AVSSENT BIEN ::: LA de la séance du 30 avril. — 1' Approbation de attachés aux travaux d© la ligne Car::: ::: ::: LES MEILLEUR MARCHE délibérations An Collège de jeunes filles. — mands, et appartenant à un régiment 2" Forêt communale : coupe extraordinaire en maux-Vinirrac 13, Ru e Mary-Lafon, li bavarois, ont quitté, hier, notre ville par le SE TROUVENT : 1915. — 3' Répartition : subvention, pour les train de 11 h. 59. MONTAUBAN 17, Rue des Filaticrs, sapeurs-pompiers. — 4' Achat d'arbres : proUs doivent être confrontés avec d'autres solCréante» Sas position de M. Carrau. — 5" Abonnements à dats du mémo régiment accusés d'avoir coml'octroi. — 6° Vote de crédits. — 7° Cantines mis de graves méfaits lors de leur passage Frrx Kêdurls Venu scolaires : règlement. — 8" Marché aux her- sur 1© territoire français. ŒUVRE EXCELLENTE A FAIRE bes : demande de résiliation ; demande de loPUECH, opticien, 15, rue de la République. GAILLAC. — L'Octave de Saïivt-François-Xacation. — 9" Demande de M,. Larie.t, afficheur. Eglise très pauvre accept. av. rec. ornevier. — La grande octave, chère à tous les — 10" Traitement d'un employé d'octroi auxiLA MAISON LASVÈNES a l'honneur d'infor- ments. harmonium de- prêtre m. au champ liaire pendant la durée de la guerre. — 1° cœurs gaUlacois, a été suivie .plus que jamais sa nombreuse clientèle que les circonstan- d'honneur. Ecrire A. T., « Express » TouL'Octave s'est ouverte par une cérémonie pa- mer Questions diverses : agrandissement de la ces actuelles la privant de personnel, elle ne louse. gare d'Aucih ; nouvel hôtel des Postes ; imipot triotique, en l'honneur des soldats morts pour pourra se charger pour cet été de la conservafoncier dans la commune d'Auoh ; renforce- la patrie. IÎP Mineurs, Terrassiers, ainsi que Autour du catafalque, les autorités de la tion des fourrures. men tde la garnison ; exemption des cotes ilO Ajusteurs, Ouvriers pour charville s© rangeaient -à côté des soldats du 15°, mobilières 'de 100 francs. pentes métalliques et travaux en béton armâ détachement à Gaillac, tandis que les DaCONDOM. — Citation à l'ordre de l'armée. en sont demandés par Mines de Carmaux. EmbauMOISSAC. — Correctionnelle. — Barat, tel mes de la Croix Rouge se mêlaient aux mères — On lit dans l'Officiel du 24 avril 1915, parmi ou aux épouses de nos héros déjà tombés pour est le nom d'un, réfugié qui, un d© ces jours, chage sur chantiers à Carmaux (Tarn). REMERCIEMENTS les citations à l'ordre de l'armée : Ouvriers actuellement occupés: dans houilétant en état d'ivresse, s'est livré à des voies la cause sacrée. « 9' régiment d'infanterie : L'abbé Roger, Monsieur Emile CAPELLE, agent général Pendant la messe, les chants s'harmoni- de fait, contre les gendarmes et la police. lères Tarn et Aveyron ne seront pas acceptés. aspirant, a brillamment conduit sa section FOIX. — Séquestres. — Voici, pour l'arron- de la Compagnie « la France » ; Madame saient avec nos sentiments. Deux paroissien- Comme nous l'avons déjà dit, poursuivi pour Madame à l'assaut des tranchées allemandes. Est tom- nes de Saint- Jean, accompagnées de deux sous- ces deux délits, le tribunal l'a condamné à dissement de Foix, la liste, au 1" janvier 1915, Emile CAPELLE, née BABBAU ; fiïî f HâPflM FIS ? ep!,s 2 f - Pension 75 f. Cltaffl«les ordonnances de séquestre des maisons veuve Jean BABRAU, née SÉRÉ ; Madame Do- bé mortellement frappé en abordant l'enne- officiers, ont quêté pour les blessés de nos am- deux mois de prison, pour voies de fait et ré- HULflHrUnrilï bres confortables depuis 1 f. 50iO. tlace du Capitole. Toulouse Cuisine renomrae*allemandes et anstre -hongroises, aveo les minique BARRAU, religieuse de l'ordre de la mi ». bulances, dont la plupart emplissaient le sanc- bellion et à 5 francs d'amende pour ivresse. Charité et de l'Instruction Chrétienne de Nenoms tîee administrateurs séquestres : Puisse cette récompense posthume, décer- tuaire. La recette «1. a été de 65 francs, qui on J. TOULOUSE-AFFAIRES 2, av. Laîayette, Joseph YVachter, à Foix, maison autrichien- vers, Supérieure à Gènes (Italie) ; Madame, née à ce brave enfant, adoucir l'amertume été répartis entre les trois services de santé de BEAUMCMT-DE-LOMACNE (Tarn-ct-Garonnc; face Comédie. — Ventes," Achats, tous corn, et notre ville. ae. ciments. Administrateur-séquestre : M. veuve BERTRAND né© CAPELLE et ses filles des larmes de sa famille désolée ! industrie. Maisons, Propriétés, Rentes ViagèUNION DES BANQUES DU SUD-OUEST remercient sincèrement 'les nombreuses perMédaillé. — Lundi a eu lieu sur les promeAvant l'absoute, M. le curé, en termes émus, Sïcard, conservateur des hypothèques a roix. Prêts Hypothécaires. Associations, empiBureau de Beaumont-de-Lomagne, ouvert res, V. Wolff et Sohne, à .Stuttgard, agence a La- sonnes qui leur ont té'rnoigné des marques de nades, une manifestation patriotique des plus a remercié la nombreuse assistance où so confondaient tous les rangs et tous les partis, tous les jours de foire et «reloire. Agent : Mon- lât. Renseignements commerciaux ct prives. weSanet, maison, allemande, cotons.. Adiminis- sympathie dans leur immense douleur, ainsi imposantes. que celles qui leur ont fait l'honneur d'assisM. 1© chef do bataillon de Graet, comman- salué dans les soldats de la grande-armée de sieur GAVRAUD. traleur-séquestre : M. Laguerre; avoué a ter ou service funèbre célébré pour le repos dant le détachement du 20' de ligne caserné la justice, les facteurs héroïques de notre réPaiement de tous les coupons annoncés, Foix. ' „ l'âme de leur fils, petit-fils, neveu et cou- à Condom, remettait la médaille militaire, conciliation nationale, les modèles de notre français et étrangers, négociation de titres Grossenheincr-Webstul-und Machmen ra- de sin, tué à l'emueani. avec tout le cérémonial habitel, au soldat réconciliation avec Jésus-Christ et son Eglise. cotés, non cotés, ou dépréciés. Renseignements tw.ik Akti,e,n,g,esellschatt, à Grosscnhai.n (Saxe), Cass-aigneau du même régiment, originaire Toute la semaine l'église n'a pas désempli. financiers gratuits. agence à Lavelanet, maison allemande, fabride Montréal-du-Gers. assez grièvement blessé Le nombre des communions distribuées a déque do métiers à tisser. Administrateur-séquespassé un millier. à la tête dans un récent combat. tre : M. Laiguer.ro, avoué à Foix. Une foule nombreuse et émuo assistait à. Le jour de la clôture, après un superbe serLouis SchoLnour, a Chemnitz (Saxe), agence -»(0)u cette cérémonie. mon de M. lo Chanoine Bonnet, l'assemblée, à Lavelanet, maison allemande, fabrique de que l'église pouvait à peine contenir, au mométiers à. tisser. Admiaistrateuir-sé.qiues.tre : MIRAMDE. — Cérémonie patriotique. — CARCASSONNE. — Arrivée de réfugiés. — ment du salut, a renouvelé, par acclamation, M. La guerre, avoué fi Foix. convoi de 250 réfugiés est arrivé, nier, à Dimanche, à 9 heures, du matin, le général le vœu. des ancêtres à Saint-Xavier, non sans Georges Schwab, à Bielitz (Silésie), agence 1Un Du 28 avril. Petetin, commandant la subdivision, a passe avoir affirmé sa fidélité au Siège Apostolique, heure du matin, à Carcassonne. Ces malheuà Lavelanet, maison, autrichienne, fabrique 3 %, 72.60 ; amortissable 3 1 /2 %, 91.05 ; revue les jeunes recrues, dont la tenue et par la prière solennelle pour le Pape Benoît XV de métiers à tisser. Administrateur-séquestre : reuses victimes de la barbarie allemande ont en Ouest-Etat, 437 ; Maroc, 44 ; Tunisienne, LA CUVE été installées dans lo local de la Société de l'attitude martiales ont surpris et ravi tout le et pour Monseigneur l'Archevêque. M. Laguerre, avoué à Foix. 356.50 ; Tonkin, 69.50 Argentin 1909, 447.50 ; gymnastique, l'Avenir, rue des Trois-Couron- monde, militaires et civils. Richard Hartmann, à Chemnitz (Saxe), nes, en attendant d'être réparties dans les Brésil 1898» 90 ; 1909, Aussitôt après il a été procédé à la remise LAVAUR. — A l'ordre du jour. — Notre com- 1911, 82.50 ; Belge, 64 agence h Lavelanet, maison allemande, fa- communes de l'arrondissement. des récompenses dont nous avons déjà parlé. patriote et ami, M. Léon Bonhomme, boulan- 324 ; Chine 1895, 84.35 ; 1903, 424 ; 1913, 425 ; SULFATE DE CUSVRS brique de métiers à tisser. Admin.istrateurM. Cazassus, sous-lieutenant de réserve, au 88", ger, rue Carlesse, adjudant, Téserviste, depuis Congo, 63 ; Egypte unifiée, 92.50 ; 3 1/2, 78.95 ; séquiestiro : M. La,guerre, avoué à Foix. Accidents de travail. — Le nommé Anselme chevalier de la Légion d'honneur ; M. le do* la mobilisation, au 81° régiment d'infanterie, Extérieure, 86.10 ; Japon 1910, 75.90 ; 1913, 479; SOUFRE SUBLIMÉ Gebr Solomon. à, Hanovre, agence a Lavc- Arques, âgé de 20 ans, demeurant Tue des teur I-ournaigne, médecin auxiliaire, décoré de vient d'être cité à l'ordre du jour dans les ter- Norvège 1902, 86.35 ; Portugais Tabacs, 476.50 ; SOUFRE composé « LE VESUVE » lïinet, maison allemande, fabrique die métiers Arts 5, s'est fait, à la caserne d'Iéna, en mon- la Médaille militaire : M. Eugène Tourage, mes suivante : Roumain 1898, 76.55 ; Russes 1889, 79.30 ; 1890, a tisser. Administrateur-séquestre : M. 'La- tant une échelle, une contusion, â. une jambe, soldat de 2' classe, oilé à l'ordre du jour, passe « Pendant les attaques des 6, 7 et 8 mars a 76.90 ; 1891, 65.20 ; 1896, 61.50 ; 31/2 1894, 68.25 ; C/lRBOiV.4T;JS DE SOUDE guierre, avoue A Foix. gui entraînera tmo incapacité de travail de à la 1" Classe, étant décoré do la Médaille donné l'exemple d'une activité, d'urr entrain et 1906, 94 .65 ; 1909 , 84.30 ; 1914, 91.60 ; Serbe Samuel Strauss, à Calmar, agence h La- dix jours. militaire ; MiM. Gainpgiii ibe-iu, Escorte et lîar- d'une bravoure dignes d'éloges. A été l'un des 1895, G6.35 ; 1900, 367 ; 1913, 73.05 ; Suisse 1897, — Le nommé Joseph Viguier, âgé de 30 ans, the, sergents au 88", cités a l'ordre du jour. velanet, maison, allemande, fabrique de mépremiers à sauter dans les tranchées enne- 76 ; Turc, 64.45 ; Banque de France, 4.550 ; tiers a tisser. Ad.nirni.strateua'-séqueswe : M. demeurant coteau de Grasaille, homme d'éFéliaitati-ons. m.es. » Algérie, 2.510 ; Paris, 880 ; Compagnie Algéquipe à la gare, s'est fait, en opérant un déLagucrre, avoué à Foix. L'adjudant Bonhomme qui a été blessé d'un rienne, 1.015 ; Comptoir, 735 ; Foncier, 726 ; mm RiKlolphevoist, a Chemnitz (Saxe), agence crochage de wagon, une contusion au pouce éclat d'obus au bras, le 15 mars, à lleauséjour Crédit Mobilier, 375 ; Française, 189.50 ; Union à Lavelanet. maison allemande, fabrique do droit, qui entraînera une incapacité de traest en ce moment en traitement à l'hôpital dè Parisienne, 582 ; Française Rio-Plata, 170 ; métiers à tisser. Administrateur-séquestre : vail de 10 jours. Espagnol Rio-Plata, 275 ; Mexique, 328 ; OttoREVEL. — Achat de chevaux. — La Com- notre ville. GRANDE FABRIQUE M. Laguerre, avoué à. Foix. En lui souhaitant une prompte guéri<on mane, 480 ; Fer Egyptien, 598 ; Azow-Don, mission, do recensement, de passage mardi Divagation de chiens. — Procès-verbal a été Badische Aniline, maison allemande, pronous lui adressons nos plus chaleureuses félij 225 ; Russo-Asiatique, 495 ; Indo-Chine, 1.345; matin 27 avril dans notre ville, a acheté six STATUES, CHEMINS de CROIX, AUTtLo, = duits tirés du goudron. Administrateur-sé- drossé c, util' doux habitants de la ville, pour chevaux pour le compte de l'Etat. citations. Est, 805 ; Lyon, 1.090 ; Midi, 985 ; Nord, 1.380 • avoir laissé divaguer leurs chiens sur la voie MARBRERIE RELIGCEUSL' questre : M. Laguerre, avoué à Foix. Orléans, 1.140 ; Ouest, 7:12 ; Est-Algérien, 580 ; CASTRES. -1 Ces chevaux ont été immédiatement conpublique, dépourvus de muselière. Société des produits Bayer, maison alleUôiie-Guelnra, 605 ; Nord-Espagne, 363 ; Sara— Mardi soir, six chients errants, dépourvus duits à Toulouse par des hommes affectés mande, produits tirés du. goudron. Admlnisgosse, 366 ; Docks de Marseille, 408 ; MessatMfteur-SPq u octane : M. Lague.rre, avoué a. Foix. de collier et de muselière, ont été capturés aux services auxiliaires. geries, 74.50 ; Priorité, 126 ; Nord-Sud, 115 ; Convoi de blessés. — Dans la nuit do lundi Plchant Pannes, à Kretteld, maison, alle- par le service ordinaire do capture Métaux, 709 ; Pennaroya, 1.320 ; Sels, 290 ; Statuaire à mardi, 135 blessés sont arrivés dans notre mande, Mature de cotons. Admiiii«lrateur-séPanam, 102 ; Suez, 4.380 ; Pothé, 115 ; Gafsa Trouvailles. — iM. Lacoma, soldat au 113° ville ct ont été comme d'habitude immédiaÎ3, Ruo Saint-Elienne, 23 qnostro : M. Laguerre. avoué à Foix. 700 ; Parts, 635 ; Tllonis-un, 608 ; Say, 435 ' d'Infanterie. 26° compagnie, a. trouvé un sac tement transportés en automobile à l'hôpital «DorfHmrGir », A Godviller (Alsace), agence à main de dame contenant certaines valeurs- ; Privée 276 ; Distribution 4333 ; Electricité dè 9 temporaire. * ï 0,x - fietlwm allemand,., "otons. Admiuks. l'agent de police auxiliaire Castilloua trouvé Ornements d'Ealisc -Chasublerie -vlis ^nier* ' Paris 534 ; Générale Electricité, 1 .025- Briansk Il v avait très peu de blessés ; la majeure trateua--3é.,i'uestro : M. La.gnerre, avoué a Foix. nu paraplute;Mme Léonin Scnié, rue Barbes 7, Bronzes et Orfèvrerie - Aubes 352 ; Rio, 1 .465 ; Sosnowice, 970 ; Central-Miétait des malades ou des fatigués, lit. trouve une montre ; M. François- Théo, rue partie Rochers — Statues .....ton nes, 168.50 ; Azote, 259 ; Naphte, 387 ProvodPAMIERS. — Foire du mardi 27 avril - a cela se conçoit bien. Nous n 'aurinns probableChrist en fonte pour Croix de Mis*' do la Mairie, 28, a trouvé un porte -monnaie nick, 426 ; Tabac Ottoman, 311 ; Gaz-Eau 418 • Cours pratiqués : Bœufs gras, i r. 25 i« ktlotr: contenant une petite somme. ment jamais beaucoup de blessés et surtout Carmaux 2.510 ; Nickel, 979 ; Chantier* 'de kJ 13 et » bœufs de travail, 1 .400 h 1.700 fr. la paire ' do grands blessés. les blessures nécessitent Loire, 1 .420 ; Saint-Nazaire, 1 .010 • Creusnt 106 vaches grasses, 1 fr. 15 le kilog • vaches de m -i aient ont l'intervention, chirurgicale et 1 .890 ; Charger, 458 ; Lens. 1 .175 ; Commen , -f £4 i travail, ',K)0 francs 11 1.200 francs lu paire : „, . Lourdes, ruo . de un m In croîio. Crouvi notre Hôpital n'a pas do chirurgien : il ne r Succursales : try -1- 11n.rch11mbea.il, 80,8 ; Air Liquide 2X> veaux, 1 fr. "0 le lii.log ; génisses, 1 fr. 30 le possède que trois médecins et puis il se trouTarbes, Rua Brauhauaan. 1,490 UstaM ; kliocr • moutons, 1 franc ; brebis, 0 fr. 90 ; ve trop éloigné dm front. Prtvécs^'eso' <ta Rhône,' 2 .450 naseaux, 1 franc ; porcs gras, 1 fr 40 ; por- sent, arri\és ce jour avec, un grand ooatvoi de MURET. — Réquisition dos chevaux.— Avis Pour nos morte. — I.© Comité de la CroixVille» 1865, 521 .50 ; 1871, 375 25 • 1/A 97 50 Imprimerie spécial". celets do 35 à, 55 franc pièce. chevaux non réquisitioninabies. Important. — lundi 3 mal, a 9 heures, aura Rouge fera célébrer, dimanche 2 mai, à 11 heu- 1875. 495 ; 1876. 498 '; 1892. 290.50 ; 1/4. 78 le diront : AMEDIJB BES-SOM itre Service des Recherches DES SOLDATS DISPARUS Mggggl TARN ^o V,,"**1' n«TS£' 9° THE t ALPES RFC, I Œil de nos Héros e-trouvés TITRES COMPTANT GERS PHARMACIE POPULAIRE TOULOUSE le meilleur lareîiâ la région E AUDE BOURSE OE PAR 1 3ULFATAG B0O0H Friras RQUCHFrères. 5,r. de l'Orient, Toi» HAUTE-GARONNE F.-D. MO N N BAICHÈRES Frères Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés