22 Novembre 1914 - Presse régionale

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22 Novembre 1914 - Presse régionale
Organe quotidien de Défense Soeiale et
IE NUMÉRO
5 CENTIMES
C E JOURNAL NE DOIT ÊTRE CRIÉ NI A
TOULOUSE NI DANS LA Hte-CARONNE
$ FAITS DE LU SEW
I
H novembre. — En Belgique, diver^nmtive^ allemandes contre le front de
^nrt et; à l'est d'Ypres échouent ; nous proESis aux environs de Bixscboqte et entre
^^é-1 et Arras. Au centre toutes les atta•^neruandes sont vaines : ri en est de me•"«Tkrsonue et autour de Verdun : en VVœ! e 3 ci Lon-aiao le Irotd sévit En- Prusse
e
les combats continuent dans les reë^Stalupoeaen et de Soldait. La panique
^^érale en Silésie. En Galicie. l'armée ruslt a' rencontre aucune résistance, occupe
no ei inflige de grandes pertes à l'armée
Kïhienne Le croiseur allemand Karls*£> aurait été détruit. La Hotte russe a
trois transports turcs chargés de troufîet de munitions.
'nimancfte 15 novembre. — La journée plu"lîTie est principalement caractérisé© par
1JÎ inl'es d'artillerie. Plusieurs atlwities allel"'*
autour d'Ypres j>ont repousseos avec
ÎSS M pertes pouT eux. Sur tout le reste du
nïu n'v a que des actions de détail sans
™^-tancë En Galicie, les troupes russes
«ment les villes de Tarnovo, Jaiio et Krosacuées par les Autrichiens. Les derniers
%a 'v'meots allemands quittent la Pologne,
rnfïau '^sie de nombreux détachements de
«Literie kurde sont culbutes et écrasés par
S, rava'iers russes. Les troupes monténégrireBOKSsent des forces autrichiennes coiiSrahlee oui ont attaqué les positions de
Timor Iflftuk «*
Par suite de nouvelLundi 16 novembre
ta inondations, le tetTain immergé se prolonge au sud de Dixmude jusqu'à cent kilomètres
flaord de Bixschoote ; d'où calme forcé ;
u$ troupe* teutonnes tentent vainement de
ftwrhir le canal. Un régiment allemand est
eitftârament détruit au sud de Bixschoote.
jjous prenons l 'offensive et reprenons quelteés points d'appui. Sur le reste du front, il
n'v a à signaler qu'une attaque allemande
sa§6 succès à Saint-Hubert dans l'Argonne et
l'ëèïec d'un coup de main de l'ennemi sur le
bis u'Apreniont. La nouvelle défaite auiricïieane pur les troupes monténégrines est con.
fiâiri*. On annonce la mort du maréchal anguis lordi Roberts.
f**c3t 17 novembre. — Les Allemands rejjflsasut avec plus de violence la canonnajàa sur tout le front, notamment dans la
itfïon d'Ypres, sur la rive droite de l'Aisne,
>n amont de Vailly et dans la région de
Reins. Au sud do Dixmude, ils tentent vamemnt de s'opposer à l'inondation et doivent
éwouer une partie de leurs tranchées. Toutes
leirs attaques sont repoussées partout et nou
çajnons du terrain sur plusieurs points. En
Prisse orientale, l'offensive allemande échoue
et l'armée teutonne recule. On annonce même
jueiio évacue Breslau et Kœnigsberg. En
Gaicie. l'avance russe sur Cracovie continue.
Uville es; investie et une partie est. en flani
ras. La panique règne en ville. De nombreux
Mitants s'enfuient à Berlin. Les fortifica•!ws de Przomys-I sont détruites. Sur le liltofalde la nier Xoire, les Turcs échouent dans
«Ï offensive et subissent des pertes sérieuses.
Le Serbes ont encore mitigé une sanglante
Waite aux Autrichiens, QUI laissèrent plus de
ïiWemorts et blesses.
Mecrecii 13 novembre. — La journée e
nipigue à la précédente. Nombreuses oanontiâte de l'artillerie ennemie sans résultats,
MWues de l'infanterie allemande repouasées.
Au-sud d'Ypres, roftensive de l'infanterie
leuonne est refoulée par nos troupes. L'armée
snjaise maintient également son front. Le
twbardement de P.eirhs continue. Dans
-éiion de Samt-Mihiel, nous conservons Chau
vcoourt. que nous avons repris et dont les
Alïmands font sauter la partie ouest, qu'ils
"liaient minée. Les Busses avancent toujours,
ïtnipen-t le village prussien de Langszargen
* battent, près de Jakubow, un détachement
jliemand. En Bukowine, les Russes chassent
««Autrichiens, qui fuient en désordre. Le
tabassé américain Tennessee, se voyant refuser l'entrée du port de Smyrne, menace d'entrer de force.
*PW*tï9 novembre, — Les attarpies alîeman«es d'infanterie dans le Nord ont cessé : ia
utue se borne a. un combat d'artillerie qui est
p*aeulièrement violent entre la mer et la
j-* Entre l'Oise et l'Aisne, l'ennemi a tenté,
par âne contre-attaque vigoureuse, de nous
«Prendre le village de tracy-le-Val, dont
Mus nous étions emparés ; il est repoussé
«ec (1 H grosses pertes par nos contingents
«JSeriens. Bien de nouveau dans l'Argonne ni
sas je reste, du front. Sur mer. on signale
PttBie escadre allemande a bombardé le port
fusse de Libau et que la flotte russe a bomurde Trébizonde et détruit cinq navires
RÉDACTION
|
|
ADMINISTRAT^!
»
LE N
Toutous, Rue Boquelaine, 25
Dimanche 22 Novembre 1914 — 24° Année — 1° 8,
™°
5 CENT,K$
FIL TÉLÉGRAPHIQUE SPÉCIAL
i
BUREAUX A PARIS : 26, RUE FEYDEAlf
sergerrt, au 29* bataillon de thasseuirs ; Mc-fn^-on,
rigueur spéciale à l'égard de la populadai
LE PAYS VALLON DÉVASTÉ
aujuûiiunii au li>i' o. kniaiutene ; cadeau, se*at BU't
serbe do certaines localités.
éu îw" ; Aiuvezou, seu-gent reservisie au lua* ; <*»
Dunkerque, 21 novembre.
Sous le prétexte que la population se révolta
Vigouii-ouix d'Arvieu, stu-geut reseirvisie au 1er d k"Le pays vallon, surtout la région, de Cliar- contre Tes troupes austro-lion'ïroises, des exékpaana coloniale ; PiiMiippe, «aporai au 24" d'i-rv
leroi,
présente
un
aspect
lamentable
;
toutes
cutions en masse auraient été ordonnées.
Saterie coluuiaie ; Frumunt, soldat de 2° classa
DÉCORÉS POUR FAITS DE GUERRE
a.u 3sw d'iauiuiterie - Guarui, mairéenal ues logis aa. 1 les maisons de la route de Bruxelles, de GosLa presse viennoise tente de justifier ce»
selles à Cliarleroi ont été incendiées.
43" O'afntiileriie ; Mouiret, auijumant cnef au 7* d'iamesures en soutenant que les paysans serbes
Légion d'honneur
Sur les territoires de Jumet, de Lodelinsart «.traquèrent, avec l'aide de- comitadjis, les soltannerie, cotoniala ; Aleuiieii. secoau au il" d'infantejae coloniale ; iilary, adjudant aa 5" d 'infâme rie ;
et d'Ampremy, les importants bourgs indus- dats autrichiens.
Bordeaux, 21 novembre
DwtneuJ, adjudant au ô" d'iitlattljerie ; Petit, adjutriels de Tamines, Aiscan, Jemmape et PrêsSoiLt inscrite au talileau, .La Uciclis Vosl fait remarquer qu'un tel sysdauit au y «i'inftuuerle ; Mawia, adjudant chef au
tt»
ont été presque entièrement . détruits.
POINT officiers : MM. Mea.u. chef <fe bataillon au
tème aurait déjà produit l'excellent résulta*
118* i Pelletier, marèonial des logia de réserve au 7*
30' d'infanterie; . Kistemain» cap-ilata» an S91* d'inr «bosseurs ; itassenaur, maréchal des logis ehet au
.Dans la plupart des petites villes et des de décider une lionne partie de la population
Samterie; Baudelaire, chef d'escadron au 20* d'arooi.nrBunes de cette région, de nombreux civils à déposer les armes.
3(2* d'artillerie ; Wiilieme, sei-gent au Mf d'infantillerie; Peyroonet. chef (Le bataillon aa 6* d'tnont été fusillés ; il y en a eu 35 à Charteroi,
ierie ; Deitzy, sergent au 120* d'intaniterie ; Monteinterie: iMMM chef d'escadron asi 3" d'artilteil, soldai de deuxième classa au liu* ; Jeattauii,
75 à Jsaset, 1S8 à. Monceau et 500 a TamiBîs.
torte; Reynes, liey tenant-colonel commandant le caporal au 124* ; Kaultmaan, capora-l au- 9" batail14' d'infanirerie: de Belsaat. chef de baïaullon au
Jfou d» chasseurs ; Jonnii», adjudant au 18" bataillon
YPBES EN SÛRETÉ
29" d'tnXanterie.
do chasseurs ; Coremel, soluat au 18" bataillon de
Pour chevaliers : MM. Legret, sousite-utéiutn-t de
chasseurs ; Grauger. adjudanil elie£ au. 1er zouaLE BOMBARDEMENT DE LIBAU
Dunkerq-ue, 21 novembre.
réserve au 120" d'iaiiantèrie : ïoaya, sous-lieuieJiaQ*
; xieiiinaun., uipos-ai-iuuuu-ier au a" zuttavea ;
Les pristmniers allemands pris à Ypres soat
a-u, 5*' régimemt de- tiraiitews; Pa-rd-ieu, so-us-Lieuteieilier, at '^uuasu-i au s" i^i'aiiieua-s ; liuo&rt, se-ig^ut
Pétrograd, 21 noveffArc;.
employés à la réfection des routes, dans lesnaint a.u 1S* chasseurs; Jirou, médecin, major de
au, loi" d umuHorie ; -Matiei, adjudant au 2" zwuaLes navires alleîifîands ont bombardé Liba»
quelles les obus allemands ont creusé de vas1" classe au 2" réglmeont da tira-lUeurs ; Reymond,
vas ; Orauu, (UiiUa:Oû au tôt rui-vio ; Mouret, aujupendant plus de sis heures; il-a ont lanc* uns
tes trous.
capitaine au i" regimemt lïidig«n.<iis; Blanc, capidatai xesiei viste au 2?»" d naianuarte ; Aleiuie, iuataine au 2" régiiiment de chasseuira iindi^ènies; Dentz,
Ils semblent heureux d'avoir enfin du tra- enorrn® quantité de projectiles, en visant pai>
Béciial des logis au 8" d'artiiione ; Chesne, inaréciial
lieutenant a:u 2" régiment de chasseurs; Gallion,
vail sans danger, après tant de jours de com- ticulterement les édifices du port
des logis au ii" tL'ariilieoa ; i'oncio, sotoa-t de deuToutefois, les dégâts qu'ils ont causés^tanf
capitaine territorial au 22 régiment de zouaves;
xième classa au 83" a iima-aitaue ; Lesiraue, sei'gaut
bats meurtriers ; ils reconnaissent que les per- insignifiants,
a Vexi^tj^^pr^-^fr^^^
Pcrtus, lieutenant de réserve au 2" tirailleurs; Duau 18" leiuut-Qrial d'itilamiei-uo ; Gohin, sergeuit a»
tes allemandes dans les attaques sur Ypres «lies
que les Bom-p*rs, . sous le £eu de 1 ennemi,
breull. lieutenant au 10' régiment, de chasseurs à
81" lorritomal ; Poteau, suuiat de première ciasse
ont été énormes.
iacalisai-etvt
héroïquement.
cheval; Geilz, capitaine au 348* d'infanterie; de
au 2t)" terrucirkil d')ffllan*eri» ; Bort, soldat de deuLe moral des défenseurs d'Ypres- est excelMarliare. lieutenant d'artillerie, observateur en
Il y a eu Efuatre pompiers blessés»
zaàtuo classe au loi* d uaaiuierie ; BSHx-M, caporal
lent.
aeroiplajaie; O allot, medectaî major de 2" classe, méau, zur d'ialauierie ; iieruie, caïKa-ai ue resarv* au
Quelle
que
soit
leur
fatigue,
ilsoral
cona
decin) chef à l'air.lHilance n* 2 du 4* coirps; Wi-tzel,
-LA
BATAILLE NAVALE
ter chasseurs ; uaiioussmio y.j* .'J^atofe ^y JL2*
médecin-mai or de 2* classe ; Deiaier, médecin-maj or
deuxtenie classo au 1er cuaaseura mdigaaes ; n> .fiance, ils. sas*, sûrs fis lenL' la vW» «t dé
SUR LA COTE CHILIENNE
de 2* classe au groupe die- brancardiers; Martin,
caits, adjudant chei au EUE d mlani'eiue ; paumard,
refouler l'ennemi en arrière.
eapitaine commandant par intérim du 1" hatailkwi
suiuat au 12-i* d'inlan'iea"iie ; Daviult, soldat au 11*
Ptio-de-Janeiro, 21 novembre.
du KM" d'infanterie; du. Verdier de Gemo-uiillac, lieua'inianie-rie : a retire au coiai/at du 31 août, sous
LES OPÉRATIONS EN PICARDIE
Le oroiseiw Glasgow est maintenant en bas.
6ena-n,t, commandant de comipag,r.io au 117' d'in^anM tau de l 'ariaâlerie, son, capiiaine blessé et l 'a rasin de radoub à Rio ; il a cinq trous dans sa
terie; PlUon, RtntkiSK au 3* d'artillerie; MailUart, mené eu amure ; se jeiaut a plusieurs reprises a
Montdidier, 21 novembre.
cajiitaina au 22" d'artillefie; Orthlier. capitaine a,u
ooqae
; quatre marins ont été blessés.
içiire et le couvrant de soa. corps a l 'arrivée ue enaLa canonnade est violente dans toute la ré110" d'infanierie; Ifuicrand, iuédeci.nrma,jor d« 2"
Des le oofH*aencement de la bataille, l'ami*
que raxaie, a réussi ainsi a ae&'agtr sou oincier ;
gion, nos troupes ont avancé sur sept points
classe ait 218" d'infanterie; Schenlcer, Uentenaiit au
CAiuaoi, suiuat réserviste au 4" uaianuoik ue chasdifférents ; une batterie d'artillerie ennemie rai eradoclt se rendant compte de la plus
22* régiment territorial d'Infanterie; Vernocke,
fÊfSxà ; i'u-oii, aujuuaniii-cnei au 5(u»* u uuauteiie ;
a été anéantie ce matin par le tir de notre ar- grande puissance de l'artillerie de l'escadre
canWa'toe tm 21" régiment territoral d'infanterie;
Ue uneuinec. sapeur ue ueuxienia clause au iuï* U i-atillerie ; nous avons fait de nombreux prison- allemande, avait ordonné au Glasgow et (t
Trlsseyre, chef de bataillo.-n, comimandant provlsoi--*] mmitt» ; nou*, soldai ue ueujueœe classe au 01'
sèment le l" tirailleurs algérien; Bictry, capitaine
niers dans cette région pendant les deux jaurs lOtranto de chercher un refuge ; malgré celai
luinuaiuiott ua ciiasseurs aljJius ; i^uouze, sedgeii.i-maie Glasgow répondit au feu des Allemand^
au 21" drapons-, Grincoant, capitaine au 5" régiment
d'attaques.
ufi au io»* il iuianierie ; Aoranaai, aujuoant au ito*
de tirailleurs algériens; Ferry, capitaine au 1" réDurant les premières minutes du combat, lâ
u inaïauiterfe ; Kuuxarjm, inala-e poiiateuir au 4a" d'arTous
sont
rongés
de
vermine
et
de.
gale,
ils
giment do marche colonial,; jacquemet, capitaine
Good Tîope a eu un, de ses canons de neuf
fflSfcierte ; l^cutuamp, souoat ue première classe au semblent déprimés et s'avouent vaincus.
au 1" régiment de marche colonial; Ag.uiUon, Ueu2a" UitHauteria ; Bxoca, aujuoant au 4* tirailleurs;
Sur l'un d'eux une lettre a été trouvée qui pouces démente-lé et son magasin de muni-*
tenamt au 4° résiment de tirailleurs algériens; MarOecca-iai (.Pierre), sergent-major au 1er zouaves ;
donne des détails très précis sur les diffi- tions a sauté.
teau, lieutenant au 21* dragons; Laurent, lieutenant
UKMUMn, sergeni au y Zû'Uaveà ; Mairmot, sergent
Le Canopus. qui n'avait qu'une vitesse de.
cultés du ravitaillement ennemi.
an 2* zouaves; de Sales de Salëles, tleutanan* de réau îttr zouaves ; Xiesosi, e-aip-oiral au 3* zouaves ;
seize nœuds, ne -put -pas arriver à temps ©oui
serre au 3" zouaves; Daverède, lieutenant, de réLes
premières
lignes
restent
souvent
deux
ffiwmj.
soiuait
de
première
classe
au
3*
zouaves
;
cesser da la renseigner si en France on ne serve a.u 1" tirailleurs algériens.
participer au combat*
jours sans vivres.
iîsnab Kouan llaiia. sergent, îndigona au o* regiréagit pas.
MM. Elc-ssale, sous-lieutenant de réserve au 2*
Dans une autre lettre, celle-ci adressée h un
de Uraiileurs algéa;ieus ; MarietU, caporalA souligner l'intérêt capital de la part de dragons-; GiovammangelC, sous-liouterKtnt de réserre menu
ttfuriiar au. <! tirailleurs algérien ; Jullian, adjudant
prisonnier allemand de corvée, on a pu lire
la France de -laisser connaître' le lieu de au 2* zouaves; Armouit, llautemant de réserve au ù. la compagnie 2ù/0 ; Ubo-uret, adju-uant au 121* que l'électricité et le pétrole font défaut en
d'in'fan,terie; Jourda.a de Muizen, sous-lieutenant
détention et la manière de vivre des prison- 79"
d'iolanpieriê
;
Boissler,
setgea-t
resernste
au
79*
Poraéranie ; c'est la confirmation de ce -qui
do réserve au- 79" d'infanterie; Hcggard, sous-lieuteniers allemands pour couper court à la cam- iiaint
d'Inlanterie ; Denm-nger, capxwai au 79" d'inlaoïteau 79' dlnfaratarte; Penaneier, chef de batailpagne de calomnies qui se poursuit en Alle- ten à -titre -temporailre ira. 20" d'i'nfan'terie! Comhra- r-ia ; Paul Combes, -sergent, au âB* d'infanterie ; a déjà été signalé à plusieurs reprises.
LES OPÉRATIONS EN ARMÉNIE
magne, où la presse raconte effrontément <jae, OBQÉtfSM au H' d.'*rfœat9riffl; FBnat, ciitt de Cbtta. ssrgeBit au 2sjf d'iularaten» ; Lepôtx, sergent
a*a i-wr d iiuanterie ; Galiaen, sergent au lfj? a'inqu'ils sont l'objet de mauvais traitements.
batadlton à titre temporaJtjm au 92' d'infanterie;
la.iiterla
;
de
Boisguehcnneux.,
niarechat
des
logis
Pétrograd, 21 novembre.
Et comme, conclusion,, dans une dernière J.-V.-M. Martin,, saus-litsu'uënanit au 151' d'infan- oU 10' chasseurs ; Grosse, caporal au 162* d'mlan(Communiqué officiel. ï
teete; Durand, caiutâin.e aia 1" du gén,io; KadiocU
lettre du 9 novembre, Mme Henry Ceor
setrie
•
Prieu.
clairon
au
94'
d'infanterie
;
Blazy,
Nos navires ont bombardé Chopa, d'où le*
Keriihis, ^us-lieuiïenair.11 au 16" drag-ons; Garot,
annonce à son correspondant que, comme elle . de
cavalier de deuxième classe au 9* Tégimeat de chasHmtfmain
au a'i' d'iniaawerte; JUzaid. sous-lieuteTurcs se disposaient à prendre l'offensive.
l'avait prévu, les Allemands qui, de tour coté, umu a a, a" cha-ssaurs : le Où août, eiuvoye en, rectm- seurs ; Yellet. adjudant au 4" tira-il.kurs algérien ;
Dans la directin des cols de la région é«
possèdent un service de renseignements par- naiSBauce, s'est perte en a-vaul dis Lignes diuian- Comslaaitini. adjudant au 83" d'infanterie ; LarLES ALLEMANDS
Zatchoroch, le feu de notre artillerie détruifaitement organisé-, refusent depuis quelques lerie sous une p*ui« de projecLiLes poar recoiiiiaiire guier. maréchal 'des logis au 17* d'artillerie ; DuNE PEUVENT AVANCER
sit le fort et les casernes; il a fait sauter la
jours de communiquer aucune liste et mena- la Siitua-uoiu d'à i enneim; t.it>» ynevenijent ble^o, a partail, canonaier au 17" d'asUHMtS ; Mdlet, adau 14* d'nfanierie ; Berga, adjudant au 83*
dépôt de munitions de la guerre ei réduit en
Pétrograd,
21
novembre.
cent 'même- û' Interdire aux prisonniers fran- réussi daua sa wtBssaat Uuiua, cayruiime au tar judant
d'infanterie ; Dandine, adjudant au S3" d'infanteDes nouvelles du quartier général disent que cendres les magasins du port.
çais d'écrire à leurs familles si la France ne d uuiajûteiiie i ttoa da Guerviile, aouv-ueu-teuant au rie ; l'aure, adjudant au 83" d'infanterie ; Duar-neu,
Dans la vallée dXHytchaï, les Turcs furent
120* d'ijiiantar.ie; Pre, sQucr-iieuienatuL ae i-eserve a-u
les Allemands sont arrêtés sur la Vlstule et la
se décide pas à offrir une juste réciprocité.
sergent-major au 83* d'infanterie ; Farmaud, adjurejetés vers Bar. Dans la direction d'Erze^
d'mian-teiae; Bouiieie, HeuLeiiaïUii au ni' i>aiuuiWarta et ne peuvent aller de l'avant.
Ces révélations extrêmement graves et in- 120"
dttnt-cùef au 9" d 'infanterie : blessé à la teta de sa
lou de caassatirs; de Ses©, cajMuuine au 120" diurourn,
une de nos colonnes culbuta les Turc»
quiétantes se passent de commentaires.
section, a refusé le secours de ses soldats a qui il
iaiinerie; ueaus«r, ciiei d,e batajanou à titra lemipoNombre de familles laissées depuis des mois raire au 112* d inia-iiiexi-a;. de neuney, sous-lieuie- a ordonné de le laisser sur place et continuer de SUICIDE DE GÉNÉRAUX ALLEMANDS près de Guzveran. On ne signale pas d'autra
engagement de nos troupes.
sans nouvelles vivent dans la plus affreuse juaui au- 25" haïaiillOin, ae chasseuu-s; Ma-ugue, capi- combattre ; Brunet, soldat au 20" d'infanterie ;
Pétrograd, 91 novembre.
Guesdon sergent au 23" d'Infanterie coloniale ;
laàue lerritou-iai au loi' d'œiamierie; Girurdeiiu,
angoisse.
Gardosi,
soldat
au
21*
d'infanterie
légère
;.
Bora,
On
télégraphie
de
V
arsovie
que
les
généraux
L'INCIDENT
TURCO-AMÉRICAIN
Est-il possible que le gouvernement français mea-acim- major, so-us-lieutenauui. au 2ô" d'airtillerie ;
au 127' d'infantorie ; Gaillard, adjudant von Br-eden et von Bromel se sont suicidés à
permette la continuation et même l'aggrava- Daœijl d'Auinont, capnaiu» au 127" d'i-niaiiutrie; adjudant
Washington, 21 novembres
au 26" d'infanterie ; François, soldat au groupe de
Czenstochowa à la suite de leur délaite en
IK-pomniier, capitaine au 33' d'iaiaiiiterie ; Aouiom,
tion de cet état de choses?
brancardiers
de ia 11" divisioa ; JFinck, sergent aviaLa Turquie n'a pas encore fourni d'explicapiiatne au 144" d infanterie; l'as-sel, capitaine au
Pologne.
teur de l'escadrille 7 ; Beiaoiat, sergent aviateur de
cations au sujet du feu ouvert contre un canol
4" bataillon de chasseurs; Crozet, caipuaine au -4" barsscadrille V 24 ; Hostein, sergent aviateur de 1 esdu croiseur-cuirassé Tennessee.
Baïu-oii de chasseurs; PiaFre-jean, sous-lieuLenani au
tl9" de reserve d'Hilainei-ie ; Levy, lieutenant de re- cada-ille D. 6'; Soeurs, sergent au 70" d'iinlan-lerie ;
Le président Wilson et les secrétaires de
Grosse, sergent-major au 3" d'infanterie ; Augusto
aerve au 19* d'iaianierie; Guyon, sous-iieutenant au
la marine et de l'intérieur ont eu une longue
A-iirt-J, soldat de deuxième classe au 6" bataillon do
2t>' d'inianterie; Buarer, ca;iiitaiue au 3' d'infanconférence
à ce sujet.
chasseurs ; Herbin, adjudant au 25" d'artillerie ;
terie ooloniaie; Monter, adijudann, de réserve au 43"
Prat.t, adjudant au 30" d'artiHerie ; Mery, bragadiar
d'itiiPani.erie
;
Godard,
capit-aâme
au
1«0"
d'infanterie;
DE PARIS ET DE BORDEAUX
UN ATTENTAT CONTRE LE SULTAN»
au 13* d'artillerie ; Faruue, maréchal des logis au
L'INVESTISSEMENT DE CRACOVIE
lxtcuesnc, capitaine au 1C0" d'inifamt-erie ; llolaad,
W réfrîmeat d'artillerie ; Bertuc" 1 maréchal des
capluiine au- I6â" d'infa<ate;rio; Via lté, lieutenant de
Londres, SI novembre.
logis
au
4'
hussards
;
Durand,
cavalier
au
4'
husCopenhague, 21 novembre.
rôi>erve au 302* d'ïni£;inierie; Frestel, capitaine comLe correspondant du Daily News à Pétrograd
sards.
mandiant au 4* hussardis; Toussaint, lieutenant au.
Des fugitifs arrivés de Cracovie à Berlin par télégraphie
CENT TREIZIÈME JOUR
que
le
sultan
a été victime d'une
•W <t'arfOUwto; Ijucereau, lieutenant au 4* hussards;
LES EFFETS DE NOTRE 75
la route de Breslau disent que Cracovie est
d'assassinat.
Pelletier, sous-Ileutenaat au 5ti" d'infanterie; Brisinvestie du nord-est au sud par l'armée russe. tentative
Les détails manquent ; de nombreuses arres.
Paris-, 21 novembre.
scra, capitaine au 61" -batailto-n de chasseurs; ThouA l'ouest, une ligne de chemin de fer reste talions
veiaot, ilieutenan-t au 8° dragons; de Benoist, Meuteauraient déjà été opérées. L'héritier
Un© intéressante déclaration a été faite
ouverte à la circulation.
nanit ou 8" dragons; Gérard, lieutenant au 31* dratrône, avec qui récemment Enver pacha
flan-s l'après-midi d'hier, au premier conseil
Les forfoes autrichiennes qui se sont reti- du
gons; Saisoa, lieutenant au 31" dragacts; de Foréchangea
des coups, serait impliqué dans le
de g-uerre nar la capitaine major de» 2' classe rées de Cracovie se sont divisées en deux
sanz, capitaln-e M 12* dragons.
complot.
prisonniers et leur famille, auquel elle oon- |
sajcrii son temps et sa fortune.
Elle a pu- obtenir, à charge de .réciprocité,
du pou ver nen vent prussien le droit de faire
visiter les prisanniers français et s'est chargée, gratuitement, de leur faire remettre la
correspondance et les envois de fonds de leur
famille et de. recevoir lai leur propre qu'elle
expédie a destination.
A cet effet, elle envoie chaque jour son
automobile â Annemasse chercher ta courrier
qui lui est adressé de France et, pour .abréger
le délai de l'échange postai, l'expédie ellemême aux destinataires d'Allemagne, le traduisant même en cas de besoin.
Elle est parvenue, grâce à sa situation,
à se faire délivrer les listes de prisonniers
militaires et d'internés eiviJs.
Mais, nous apprend la Liberté, de Paris,
elle est aujourd'hui menacée par l'Allemagne
de 6e voir supprimer toute communication,
faute d'avoir pu fournir la réciprocité exigée
de la part de la France, et ainsi les familles
françaises et leurs prisonniers sont exposés
à «e voir privés du secours précieux que leur
assurait son crédit.
En effet, les tentatives faites prés du gouvernement pour avoir la. communication des
listes de prisonniers allemands ayant échoué,
elle a songé à s'adresser directement aux commandants des places où certains d'entre eux
sont détenus.
Mais ceux-ci ont répondu qu'il leur était
défendu de rien, communiquer et l'ont renvoyée au lfl" bureau du ministère de la guerre
(direction du contentieux et de la justice militaire), où il est presque impossible de rien
savoir. Nous savons, par exemple, de source
sûre, que Mme Delcassé elle-même y fit une
tentative inutile.
En fin de compte et devant l'insuccès de
ces démarches, Mme Henry George voit avec
un vif chagrin arriver le moment où elle ne
pourra plus rien obtenir de l'Allemagne.
Et, en adressant dernièrement à son correspondant de Paris une liste do prisonniers
venue d'Allemagne-, elle l'avertit par sa lettre
du G novembre 1914 que les Allemands vont
Veiuis-edi 20 novembre. — Les attaques allejJjBdes d'artillerie et d'infanterie ont été
YfJins violentes ; il neige dans toute la région
JU Nord ; du canal de l'Yser à. l'est de Dix™ : *\ l'inondation s'est étendue sur tout le
j*ys. On a retiré, devant RamscapeUe. deux
SS^CTS allemands de 1G5 embourbés ; au sud
"«près, la canonnade a été assez violente.
~λ"S l'Argonne, nous avons repoussé trois
"uaques d'infanterie ennemie conduites avec
•sueur. \ notre droite, les Allemands ont
Jîrjupé la partie détruite de ChauvoncouTt :
jîr**8 avons t'ait de nouveaux progrès plus à
i* 5 '. Les combats entre Busses et Atleman
;;. ; î-'iirstiivent avec acharnement, sur la rive
«nï? • tie m Yistuie, où nos alliés ont pro
Oif» S v P n combat naval a eu lieu, dans la
.s Noire, entre une division russe et 1
BArtf0111' 5 Oœben et Breslau ; le Gœben a été
"*«nsemen; avarié
ET
H,eîigiem®e
Fran Hc mie
SUR MER
E CONFLIT TURC
lusso-Alletnam
AUSTRO-RUSSE'
répêches par nos fils spéciaux
j
Médaille miiitalre
de l'après-
Pemole, maréchal des logis fourier au 44* d'artillerie ; Julien, soldat musicien a-u 150* d'tmfamcrie ;
Deman-ge, adjudant au 23' d'-inianterie colonial» ;
L. Du val, sergent, compagnite 34 du génie du 3"
corps ; Deve, maître patateuir am 43" d'artillerie ;
Petit -nommé, maréchal des logis au 43" d'artil'erie ; Carciudie, soidat au 9*- batailIo.u de chasseurs ;
ïhirion, seTgen .t réserviste, aa 1Û0" ; Goujjiî, adj-udartt au 74' ; Normand, adjudant au 74* d'infauterle ; Beau Cousin, fergemt-fourrieir au 74' d'infanterie ; I^>lieu, sergent au 74* d'infanterie ; Batlie,
sergent au 20* batailloti da chasseurs ; Ilarling,
Bordeaux, 21 novembre, 3 h. soir.
La journée du 20 a été dans son ensem*
feîe analogue aux deux précédentes.
En Belgique, notre artnierio a pris- à
Nieuport l'avantage sur ceiie de S'ennciTtï.
De Dixmude au sud d'Ypres, canonnades intermittentes de part et d'autre ; à
Moliebecke, deux attaques da l'infanterie
allemande ont été immédiatement Ve poussées.
S-evtiuiz, de la T ambulance allemande, qui
était poursuivi pour pillage.
« On dit qu-o nous avons volé, s'est écrie
l'accusé, mais nous n'avions t>as l-o temps!
Il arrivait de nos blessés par centaines ! J'aurais voulu vous conduire, monsieur le président, au milieu du monde de misère dans
lequel nous vivions ; nous mangions notre
pain tout en faisant des opérations!
» Les blessures faites par l'artillerie fran
çaise étaient effroyabJ-es ! Sur trois blesses
qu'on nous amenait, il y en avait deux QU-e
nous devions amputer ».
troupes : l'une marchant vers l'ouest, dans la
direction de Also-Kubin. capitale de l'Arva,
l'autre poursuivie par les Russes à travers les
déniés des Carpathes.
L'Action des Puissances
UN VRAI CARNAGE
Pétrograd, 2-1 novembre {officiel).
En Galicie, sur la ligne Jaslo-DobowicaDukia, les Autrichiens avaient concentré des '
forces importantes ; deux bataillons russes,
après s'être débarrassés do leur équipement,
se glissèrent jusqu 'à trente pas des tranchées
occupées par un ennemi très supérieur en
nombre et s'élanoèrent a l'assaut.
Après une demi-heure d'un terrible carnage,
l'ennemi s'enfuit, laissant entre leurs mains
1?0 prisonniers.
(L'avance des Russes en Galicie marquée
par oe communiqué est importante : le front
Wisniez-Gorlitz-Dukla n'a pas moins de 100:
kilomètres et se trouve, à ses extrémités, à
des distances respectives de la frontière austro-russe atteignant 00 et 100 kilomètres. Wisniez a 4.000 habitants, Gorlitz 7.000 et Dukla.
au pied des Carpathes, 3.000.)
EN ALBANIE
AGITATION ANTI-ITALIENNE
Durazzo, SI novembre»
On annonce que des émissaires turcs, ayant
à leur tôt» deux chefs allemands, mènent unè
violente agitation anti- italienne paraii la pa»
pulation albanaise.
Ces agents ont réussi à constituer un détachement de 1.000 hommes environ, composé
d'anciens insurgés albanais et pourvus de t»
sils à. tir rapide allemands ; ce corps est de»
Usé- à être expédié à Vallona.
L'ACTION GÉNÉRALE RUSSE
De la frontière beîge à ! Oise, rien à signaler.
LA BATAILLE DE POLOGNE
LES RUSSES
peau aux couleurs tricolores semble narguer
ceux qui le suivent de leurs regards furieux.
ONT REPRIS L'OFFENSIVE
Des ordres sont aussitôt donnés pour que,
Pétrograd, 20 novembre.
sans retard, une demi -douzaine de taubes
(Commum'c/ué de l'état-major général.)
anéantissent au plus tôt ce ballon et ses conLes efforts de l'armée allemande tendent à
ducteurs.
Da poursuite allemande s'exerçait, furieuse, enfoncer notre front entre la Vistule et la
centre nous, qui reculions sans perdre, trop Warta.
L'offensive que nous avons prise le 13 no.
de monde, tandis que notre artillerie faisait
do profonds ravages dans les rangs ennemis. vembra a été couronnée de succès partiels.
Au nord-ouest de Lctltz nous nous sommes
Deux corps saxons s'approchaient des alentours du village où nous avions établi nos emparés d'une batterie lourde et de plus de
batteries, tandis que la cavalerie de la garde dix mitrailleuses et nous avons fait plusieurs
impériale s'engageait sur la grande route où centaines de prisonniers.
Les combats opiniâtres engagés sur le front
nos soldats du génie avaient fait un bon travail. Sans nulle crainte, puisqu'aucun en- Czenstachowa, Gracovie, se déroulent normanemi ne se dressait devant eux, ces cavaliers lement- ; dans les journées des 17 et 1S novemsi brillants auraient mis volontiers leurs che- bre nous avons fait prisonniers 3.000 Autrivaux au pas de parade, en leur faisant exé- chiens.
En Galicie nous avons occupé Wisniez, Gorcuter un pas espagnol, quand, au moment où
ils s'y attendaient le moins, un. deux, dix,.- litz, Dukla et Ujok.
C'est dans la zone sententrionale que la bavi.n-<*t, cent, mille obus, tombent comme la taille
est la plus furieuse ; près de Gostynin
foudre
sur
cette,
armée
qui
se
croyait
déjà
'"ûiiin
le sol est marécageux, un régiment de ca.
conquérante, et mettent le feu aux arbres, où
valerie allemand fut cerné près d'un petit
dont les troncs avaient été consciencieuse- lac
organisations suisses. — Toujours
, jeté à l'eau et entièrement détruit.
ment minés et bourres da dynamite. Tous
En certains endroits les troupes sont parfois
l'inertie tic M. Lefcureau.
éclalent à la fois, couchant a- terre, blessés, en contact, et se battent sans cesse, souvent &
de l'autre <j«tt. n» v<Kii3-n« pas se. joindre., se jettent
mutilés, le ventre ouvert, les cavaliers de la
fti^fv qt-e.'VAgeiK-» des prisonniers de des pleure*. <}v,ie nous nous boirniona à jeter des pierPlus loin, à doux ou trois cents mètres de gârd3, qui n'ont même pu esquisser un mou- ia baïonnette, soixante heures de suite-.
x
se6
tw>
tes,
c'est
dans
notre
-rôle
d'expectative.
î\'ous
sadistance,
quatre
corps
d'armée
français
étaient
i;-vV~ ?\ï'
'\\ A'
**« l'Athénee. à t'.evement de retraite. C'est la mort dans toute
*ftâ «i W r , M - Ador, corrseiiku- fédéïat et vons, avec unie saô'es:*» parfaite, mesurer JIOS efforts au repos. Un soleil radieux, un de ces temps son horreur.
oJi'eiis-jfs à la juste nécessité de mainite.nl,r*-not'r»
d'hiver où la campagne, blanche de givre,
Tout un corps bavarois d'infanterie est en
eseeudafM menai. Mais qu'après leurs ruées turieus 6
étale tous ses diamants. Devant, nous, l'admi- avant, et le mystérieux ballon, qui a devancé
r-H-'... -X^ n i^'-Ui
", .i ? 1X>!11' m 'Ssion de •e* des decotferes semaine 1», les Allemands en vj
'-V ;ù V! ,ai;Kle,!ce
<!«« militaires en can- •en t à nom*» jeter des pierres, c'est bien une preuve rable plaine dont toutes les hauteurs se cou- les lanciers de la garde, semble marcher avec
!!alt « a leurl familles, e.u ils cominsuttat à être hor-s d'étal de le» renou- ronnaient de la fumée blanche des batteries
^e" ,t% ?,,! ^ 3CO"loc:uîx
lui. Mais, voila que trois taubes se sont élanfrançaises et allemandes.
«ti tia 'Vsfi--/ ' 11
-Je l'agence ont veler.
cés pour lui donner la chasse. Elle ne sera pas LA SITUATION DES TROUPES SERBES
>i>u,r
c,îus* d'-extensio» de
swvi, i'- °'
Là-bas, du côté des casques ft pointes, une longue, car les aéronautes n'ont point bouge!
Du lieutenant-colonel Roussel dans le Petit
Niscli. 21 novembre.
dU
Ulusée
HaUl
armée harassée do fatigue, mais qui marchait et fie se sont pas défendus. Deux explosions
H^w^' à (H4
" t>lac '* Parisien :
Les nouvelles publiées en Autriche sur la
l'épée aux reins.
ei
l'aérostat
tombe,
entraînant
dans
sa
chute
Il
est
certain
--jn'aveo
la
str-««:(e
vacillante
H
situation
des
troupes
serbes sont erronéea.
u
jAv »risTi <> cette agence, affiliée à la Croix- ca;ynci?use du luts-ec rvn peut s'atten<lre à toutes les
L'action était engagée ; chaque division tes malheureux qui le montaient.
Cette situation est en réalité satisfaisanle et
f ucai5e" 1 -ossé'HiU au siège de la surprises j.cg conceptions impérial?» ont gnelyue allemande avait près d'elle en bataille, et du
A ml-chemin de cette chute vertigineuse, le de nature à assurer le succès de notre action
..««vudiicaiee de secours aux blessés mili- ff»w mainrfué ji^pi ici de surte. au-tan-t que de per- Ciot,'? de l'ennemi, une batterie d'artillerie. fond de la nacelle s'est rompu, et c'est alors
ultérieure.
sistance, et il semble bijsn (ju'elles aierct relevé pluDans cet ordre stupide, cette troupe reçut une pluie do feu qui s'en échappe, car cette
L'état des prisonniers que nous avons faits
tôt <ie l impur.sioin que de la r-eriexjan. Rien î» serait
l'ordre saustrenu d'exécuter une marche de nacelle, était pleine de bombes explosives, dénote combien les troupes autrichiennes sont
dane moins s«*preo*wt que do ^-c-s voiir se modifier
dont
les
effets
furent
foudroyants.
flanc,
de
3.000
mètres
environ,
sous
le
£cu
de
une fou* de plus et, apaè^ avma- visé Loattres se
Quant aux trois aéronautes, ce n'étaient que déprimées.
tetoomveî encore une lois contre Parts Seulement
nos 75.
Naturellement, pendant la première demi- des mannequins que l'on avait revêtus da L'ACTIVITÉ A L'ARSENAL DE TRIESTE
la nouvelile opération, sf tan* est <ru'él.le doive so
rons
te. s«*ra ii.uM»cn,lh\.-em>ml diinc.lle. plus difficile lieue,
des fuyards saxons et des voitures noniforrne d'officier d'infanterie de marine.
ra u semble nue M. Ador et son fa'
V«eore peut-être «jue le forcement de la ligne de l'YÉ*aii
abandonnées, partout. La carde impériale cileCe double moyen a semé- la panique et l'efVenise. 21 novembre.
Sl J:
*«j". Nous avons construit le 1-o.ng de r.M'me. lire II"i'.-iï intentionnés qu'ils fussent.
tin'ui.'. qui se rend très souvent, mais qui ne
froi dans les rangs ennemis. C'est la déroute,
Suivant un télégramme de Trieste, une
1'/'-^ «notions de fiai , *«* d* Heartées foemirtaMos. très solidement tenues meurt jamais, puisqu'elle semble être de tou- c'est la débâcle, d'autans wie les Allemands scrande
t^.andewïi,^
aolivité s'est manifestée, pendant le
|>rot*aees cl aernée» de façoa à résister
1 follement
tes les batailles, arrivait en nombre à la res- sont itris eritr* <$*>i\\ feux." Vous dirai-Je les mois dernier, à l'arsenal de cette ville, où des
M '-e Com!. '' 5. '-'''fouîtes matérielles.
& toutes le» at-laijues de front.
Mte c-nronve ta plus Rrtintte rein- a
cousse, obligeait les armées alliées a un mou- Bavarois tombant jusque dans nos pièces, les ouvriers allemands, sous la direction d'ingéDu général normal, dans le malin :
ouvenKunent fronçais
"".•ais les listes
vement de recul que nos généraux semblaient canonniers se battant avec .les leviers de poin- nieurs allemands, travaillaient nuit et jour à
s
•-i-l-îemaiKte.' I- M. Adot' s'est
'ou^ ? n!1 i''
Spéciale-ment. en ces derni-ers temps, on a pu retage, les coups de pistolet des conducteurs
acoepter avee empressement
la construction de lourds mortiers.
mawior qu'après de vives .-iliaques execiiiées plu
les Allemands coupés en deux par les derniers
Ces mortiers, une fois terminés, ont été enjours de tmUe sur un pulni. t 'Action s'est
>7» lB royage'do'Tîoï-ucàux ww n' sieurs
Tout à coup, planant assez bas sur les lignes coups de canon.
prOLï-ressIvenvani ralenti» durant une journée ou
voyés à Vienne pour y être soumis à des
ennemies,
un
ballon
atlire
tous
les
regards.
Puis, le soir, notre marche en avant et essais.
deux, pute e-'est raJl-iunÉe.. pAus violente que jamais.
Trois aéronautes, portant l'uniforme d'officier notre entrée dans le village où étaient nos
SOT ii it. aiure poiul Ga'/e lAol'hiue. passablement
da l'infanterie d» marine, le montent, on les ennemis ce matin, nos batteries sentant une
incoliéveniie. est surtc-tii visible depuis Tue le kaiATROCITÉS AUTRICHIENNES
ser, afjwcs avilir éloljrni. soiw .prétexte de maladie,
très bien, installés dans la nacelle, bonne odeur de poudre, et les chevaux cou
avo ° -'œuvre d* M. Ad or ou je chat du ifi -and él .i.t ma.jor. ceni,ma,tw1o sein sur aperçoit
«i e «K -â^T? 1mcn|;
étudiant la marohe des Allemands. Quelle en- verts de poussière et de sueur, sillonnés de
Rome, 21 novembre
,1
ffu t «'-and «n',ur>
-''
GenevolfiC le Iront occulemal. ll-airi le grand impulsif a beat» treprise folle, insensé», téméraire, et qu'en blessures et tirant bravement encore.
La progression des trouoes autrichiennes en
faire, les a.ttïHiuçs qu'il éiiKlsera encore sur notre
*S îryGeor^S
France. Mme
Ce
eoir
-là,
le
communiqué
officiel
annon*
retlrcra
-t
-or\
1
Serbie
n'a
pas
tardé
à
être
marquée par d'in
front du. Nord- <I*n» l'espoir d'y ereuser une lar^e
L'apparition de l'aérostat français a fait çait aux populations qu 'un- régiment- avait fié ïiombrables atrocités.
breclie «clKMU'ronit comme les Torec-SI entes devant la
Perches M a^ <vs TClati on«. un service do k rértaUMvoe -iiiulomptable de nns troupes et-roliejacrit sensation flans les rangs ennemis, d'autant anéanti, qu'une attaque de l'ennemi avait été
En général, il semble que les troupes- austro
-* « con'esDondancH» entre ks J unies au* fïtrce» anglaise* d'a:ll<; gtiuclie.
hongroises ont ordre d» procéder àveo un»
fllie. très auda-edeuaetnent, un inirnense- dra- repoussée, et q.ue nous ayions progressé.
Dans Sa région de l'Aisne et en Champagne, t'avantage pris par nos batteries sur
les batteries ennemiea s'est ascenjué, empëohant les
Allemands de continuer la
construction des tranchées Gommejhsécs.
Dans l'Argonne, nous avons fait sauter
das tranchées ennemies.
De notre envoyé spécial t
1/entement, mais sûrement, les armées
alliées, victorieuses, opèrent leur heureuse
trouée- en Alsace, en dépit des forces ennemies
qui. chaque jour, se dressent plus nombreuses
devant elles.
Cette marche en avant devait être, A tout
prix, arrêtée ; ainsi en avaik décidé le grand
état-major allemand, et des détails précis sur
Du côté de Verdun et dans les Vosges, ce sujet avaient été fournis par nos services
renseignements.
BOUS avons progressé, établissant en cer- deDepuis
ce jour, matin et soir, de l'aurore
tains points nos tranchées à moisis de 30 a la nuit, des quantités de soldats appartenant à nos régiments du génie, se livraient à
er,èire3 des positions allemandes.
une besogne dont il aurait été fort malaisé
d'indiquer le but.
Souples, agiles et 'adroits comme des singes,
L'0?!N!ON DE LA PRESSE
us semblaient passer leurs journées dans les
vieux grands arbres bordant la large route
Le général Cliertlls écrit dans l'Echo fie qui s'en va de Dannemarie à Altkirch. Là,
Paris 4
armés de pics et de pioches, on les voyait
La canonnade, lorsqu 'elTs n'est pas 1-a préparas'agiter, creusant, piochant sans s'arrêter jation) ehma atttKrae c-omplète, lorsii-u'elle n'est pas
mais, tandis que leurs officiers, donnant sans
«rivto d'un mctiTe.neitt offousif. est le signe d'une
cesse des ordres, semblaient attendre les, meilImpuissance, au moins mi «nïùn,tanée. à taire plus.
leurs résultats du travail mystérieux qui s'acElle fait penserr à cette réflexion, très juste d'Arda-at
complissait sous leurs yeux.
du Pico; à proiics de deux adversairea éloignés l'un
AUSTRO-SERBE
AUX ÉTATS-UNIS
LEUR ATTITUDE VIS-A-VIS
DE L'ALLEMAGNE
New-York, 21 novembre.
On a annoncé que des commandes allemar*
des d'armes avaient été refusées par les Ame
ricains. Voici dans quelles conditions :
Une commande de 300 tracteurs autom»
biles da deux tonnes fut faite à une usùîï
américaine.
Ils devaient être expédiés par voie Copenhague. Ceci est un curieux exemple de 18
neutralité danoise ; mais le Danemark sefà
délié de toute responsabilité.
Les deux principaux actionnaires de l'usine
deux milliardaires yankees, ont déclaré qu'ils
mettraient plutôt la Société en liquidation
que de permettre l'exécution d'un pareil ordre.
Ils ne souffriront pas qu'une maison amer»
caine se déshonore en fournissant aux AH*»
mands le moyen de trainer les canons qui
kombarderont de nouvelles églises et comme?
tront do nouvelles infamies.
Voilà un langage QUG les neutres pourroni
«éditer utilement.
AU MEXIQUE
MANUFACTURES ESPAGNOLES
INCENDIÉES
Vera-Cruz, 21 novembre»
Le consul d'Espagne fait connaître que onzemanufactures textiles appartenant à des Espa*
srnals ont été pillées .et incendiées près dé
"ucbla.
Leur valeur est «stimê'a 4 65 millions d*
<ranos.
LA CAPITALE DE CARRANZA
Mexico, 21 novembre.
Le général Carranza aurait pris Orizha, d m»
ta province de La Vera-Cruz, comme capital»
«a la lté publique.
las da la ferra
;
Du 51 liiovembre.
— fambassartewr d "lutlïe à Londres, est iwrti pot»
Rome ; il doM conférer avec son «ouveiruamcrit
c raouK J li
sera at.seint. une ai ?aiiw8 do jours.
*
- "' «
— La Chambre espaarwlo a a-nnrouvA i» m-r.ij»
«'amnistie, jrekilif a,« délits ÎO U
— Une dépêche de Dumikarxitie au Dahii v-w
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' l"*. 1H« «-ptnw can! de leur t-old
S0U 1>CU U m
m sar * vers*
«uan*
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Pla8te
orvn*
»rs millions de -hlUets de banque franç.il*
«ont arrives d'AU(îni:» 3 nc en Suis*> : lis pi-oviivnne.ns
^saoule d'une partie des cowlrjfoutioii* de tf-JCrr»
«raposiSe* par l'Allemagne aux villes fTairicaUieî ecc»
l'ees pair eue.
, ~ lUim-s le* six JOIIT» de New-York, le ipeloton rU
if* *- couvert | n',r> mille* e.t « tours> ; jinrei..'!
sndTei.4 Tlionnà»
niomae
««Mejr avec 1.9S5 milles : M lit en- Midorso»
imlcrson avec I.Mt
nulles et 3 tours : le pctolon de té
tt l-o est réduit 1
nuit c<|iiipes ; WaltlKHir-Halste et
et Uyan-wolilraJ
ayant perdu un tour dans l'emna.l
: plus urd
n «.PO«ya.nt PM tita&e
eotrt^-fc ^
V*
Al
*^?>y}\l!?-y.
^«1. ar-Hent couvert j,i 67 mU1^ ^'^'ïï», L,j*
1
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
DIMANCHE 22 NOVEMBRE 1914
Morts au Champ d'Honneur
,
Noms communiqués par les familles :
• — Le capitataie «Ftafastérie Henni Dcnlan, frire
de notre conirito M. Emile uentaiu et <te M. Pierre
pcndaiu, avocat à la toast d'appât de Toulouse, atieutt
•|e Jiuilt Massvurcs à la suite d'un, éclat d'obus, déjédô le 14 novembre, d.ar.6 unie ambulance de Verdun, après avilir spM l'ajnpui-at-ieu d'une ja-mbe.
Après e'èlro conduit eu héros Hur le champ de bataille, il a lait l'admiration, de tous, à l'hôpital,
Sains ses derniers moments, et à Mer Ginisty, qui
Malt venu le visiter, il réiixaidât : « Rassurez-vous,
''ai oiifs le ban Dieu de mon côté. »
— Le lieutenant Henry de Mylnoo d'IIarcclines,
iu 21" diraeoms.
r — Le lieutenant Jules Flourens, du 96*.
— Le so-uvlieu tenant Louis Bou-mot, dm 52'.
I — "Le emairmandairat Alolion-ss Crétin, du 33' d'atr-
Anonyme : 3 paires de .manchettes.
Anonyme : «ne ohemiee.
Anonyme, do Viliefranclie-uVc-Lauragais : 6 paires'"'
do chaïusçettes.
Anonyme, de Mone^irol : S paires de chaussettes,
8 paires de motutles.
Anonyme : 1 pla.stmn.
Anonyme : Une bande.
A. S. ; 1 cache tiez, unie paire de mitaines, 1 paquet de linge.
M. D. : 3 paires de moufles.
Mlles V. A. : 2 chandails, 8 paires de chaussettes.
Aniojiyme. : 3 cache-nez.
Envoi èbe Ludion : 6 cache-mez, 3 plastrons,
j Mme L. Ruiffat : une chemise, l chandail , l caleçon,
2 paires de chaussettes de laine, t passe-montagne.
2 pairies de moufles, 1 cacheriez, 12 mouchoirs.
Mime p. : 2 paires de chaussettios; 1 passe-montagne, 1 cache-nez.
M. A. X. Z., pour les soldats Hauret et Papaaremnarde : 2 chanidailfl.
Mlles de Pont, : 6 paires de chaussettes.
Jlnic C. : 1 passe-monitaigme.
' Anonyme : unie paire de chaussettes.
Mme Adolplie de Vi-guerte : 1 patres de moufles,
2 cadie-nez, une paire de cliaussettes.
Mme Ferdinand Gendre : 6 chemises, 3 paires de
gants, 3 pairies de cliaussettes.
Envoi d'une Française : -4 paires de moufles, une
paire de chaussettes, l cache-nez, l plastron, une
paire de manchettes.
•
.
.
Mme A'iibertiîie Cadaux, pour les *v>'dats Hauret et
Paparemborde : 2 tricots, 2 passe-montagne, 2 paires
de cliausiseiks, 2 paquets
tabac.
' — Le lieutenant Henry Andoyer, du 40' d'artUle•rae.
i — Le lieutenant Paul Deetarak, du 3ôl', tombé
igloi'ieusemtnit à la tête de sa section Le 3 octobre.
— Jacques de UéenLllan, capitaine au 79' d'in/ain.t.tirie, tué à l'ennemi, te 1S novembre, dans le
! Nanti.
— Joseph de Béchililioai, son frère, lieutenant au
^f colonial.
i — Le isoldat Louis Taravellier, du 240'.
'. — Le soldat. Paul Brun, du 19' d'artillerie,
t — Lftiiis Bradlèr, du 39'.
•— Joseuii Sire,t, réserviste, au 53*.
(.1 siift're.)
— Josipli-liitttJe Pacouret, sialdat a» ESP,
Tous les dons en argent et en nature sont
— Pal Se.liiirtoor, sergent au lôl' de ligne,
-r- Lo capitaine Cliarles Lamoltie, commandant le reçus aux bureaux de I' « Express », 25 ruo
Roquelaïne, et au Hall de t' « Express », 17,
,3' bataillon de tirailleurs sénégalais du Maroc.
rue d'Alsace-Lorraine.
— Le liieuitenant Jean Bos, du 136'.
: — Le capitaine Victor Mamet, du 130'.
; — Le lteu tenant Pierre Dessal, du 25".
! — Le sergent Pagis, du S" bataillon de chasseurs
à pied.
Pour les diocèses ravagés par la guerre
— Gabriel rierey, des Pères Charrreus, réfugiés à
1
1
Par une lettre-circulaire, datée du 19 novembre
Lacques (Italie), sergent ara 23S". »
|
— Le R. P. Maurice Buguet. s. J. (ancien ingê1914, fête de sainte Elisabeth, qui fut un modèle de
charité, Monseigneur l' Arche vèq'ie ordonne qu'une
Bifiiarf des mirnes, mont des suites de ses blessures,
«fuite qui sera laite, aujourd'hui 22 novembre, pour
le 27 octobre, à l'hôpital de Commexcy.
— L 'aibbé Stceit, du, diocèse d'Amiens, caporal au venir en aide aux populations des diocèses envahis.
Sa Grandeur écrit :
i 72* de ligne.
— Le lieutenant Jlauiroce Brus, avocat.
« Pourrions-nous oublier la générosité avec laquel— Le Jréuitenoaiit Henri Jaoquemot, du 6" Hsraâile ces populations du Nord, dont S. Em. le cardinal
: leurs algériens, mort le 1C septembre, daas l'Oise. -•
Desprez '«Mal orlgiaiedre et où il comptait des amis
— Jean VeranLef, chasseur altpim .tombé au champ
«4 «ÏWouiés, vinrent à nota- esôCeuiBs dans ta terrible
: d'hon.neur, 3e 23 septembre.
inondation qui ravagea noire région en 1875. Les
— 'Le commun <iint Laveehin, de l'artillerie.
journaux du temps, la Semaine Catholique en parti— Aiugustin Vincent, sergent au 64'.
culier, attestent avec votre reconnaissance la muni--Jotepli Prieur, du. 81".
ficence avec laqueMe. voue fûtes secouru?.
sergent-fourrier au
» C'est à votre tour at-ijoiurd'hui. Non. vous ne
vous
laisserez pas vainicre en. géaiérotsi-té. H faut que
:
—*L'&bi>é Alfred Dega-nd, du "tofUSS ^AiTas cala grandeur d'âme française s'affirme dans l'exerrpe raf au 43".
cice
de
la charité- comme elle
resplendit sur le
— .Aiig-us;i,r? lîogery, ancien élève et taure-»-, fle
!
l'fnsrta-tnt calli-oU-aue de Paris, adjudant au S2* d'L. I champ de bataille tous les jours. »
îantarie.
A l'Insigne Basilique
— Le capitaine Jules lll!«ntd«j, du 46", iopibe, le 24
AiijoitraTrtis ,
sotcunlt*' anticipée de saint
Sa' septembre, à Bourreijles (Meiuise).
KCTmtav patro: i d* la paroteee et de la ville de Tou— Jean-Marie Oruzel. de Rdeumajou (Hau-le-Ga1 ronsiiS),
lcu*e. : à S. heureç, .procession «le la relique et
soldat au S0" d'iniani"e.r.ie, t.ué à l'ennemi.
«rànd-messe t'à 3 heures, vêpre,si pi'és-ktées par
— Jean B.icrbès, de- Lux fHauite-Garoaine), soldat tué
Monseigneur rA-reheveriue, ca-utiiiuo à saint. Satur; à l'ennemi.
nin :; panéii'j'rj
.•ri-.i<iuie, par M. -le eiianoin-3 Maison—
Le
caporal
Henri
Sonlié,
du
15".
employé
au
t
neuve
; salut.
. Crédit Lyonnais, erig-lnaire d'AJW, mort des blessa*
"•©s reçutt'y g>:)u-^ usejnent à l'enn-emil, à l'iiôpital do
Les prédicateurs de l'Avent
ia Roelie-sur-Yon.
Saint-Etienne, M. le chanoine Bcrnies ; SaintLe soldat 'Louis Gayra.l, du 143', • i-i-..'
Serudn, M. le, .chanoine Maiswiimeuve ; Notre- Ilanie
S'Albi, mort des iSh sures glorieusement reçues à
"ennemi, à l'hôpital le Beanrville, le 10- novembre:
la Ba.urade, M. l'abbé Maneno ; Saint-Nioodas, M.
— Le sio.kl.at Marcel 1 Ilonzaud, d'Albi, du 313", tué
l'abbé Aloys ; Notn?-Banie la lia-lbade, M. l'abbé
1 l'ennemi, le 25 sep rmftre, dans les Vosges.
.Dute'uel ; Saiint-Jérome, M .l'abbé Pouget ; Saint— Le vicomte Be:r a.nd d» Gironde, coueirn gerExupère, M. ,1e chanoin«>, Ray.nnl ; Saint-Aubin, le
maiin de M. de Giro de, conseiller général du Lotclie-rgé paroi'-via.i ; Nolre-Banie du ïauf, M. l'abbé
si- Garonne. Réformé pou .r la vue, U avait terni à
Mathiieu, ; Saint-Pieiirc, M. l'abbé Ricard.
«'engager quand mi me au 11" cuirassier.;, à Saintii-en,-I>aye. 1 3 chef de corps lui a rendu
ilonim ge à la diâcisels tort» du régiment.
— J
1 Bomneau, du 209", tue. à Gémi.cwiiiït Mouse), le 20 septembre.
— J an, Laniren,
tué à Vi-try-: ^François;
OBSÈQUES MILITAIRES
le 15. sctpKsmbre,
Marcel Seriï
diui 143', mort à l'hôpital de
Les personnes Mbres de leur temps, sont priées
Houigeité, la sén
i« deii'cdêre.
«l'assister aux obsèques d» J adjudant-chef Boyer,
. — J«?!«)
stjgdmairie de- Prêchât (Tarn-etdu U" régiment <X infanterie, aujourd'hui, à 2 heuGan'oane) décédé
Lâvai, des suites de ses blesres (obsèques retardées), hôpital temporaire n" 35,
sures. .
Ecole primaire supérieure, rue «les Réeoiiets.
Mau ce Da bat, originaire de Pomme/vie (TarnDu .soldat Pouquet, du 326" -régiment d'infa-nterie,
éié à Vit-ry-lie-François, le 7 sepaujourd'hui, à 2 heures, hôpital tempecaire n" 31,
"înibre, des
as de ses blessures.
Ecole Mata tenon, rue des Fleurs.
- Le »pi
Baron, du 63".
fier, soldat au 207".
e Founiœud, du 138" régiment,
— L<
péaud, sergent réserviste au 100".
Sur plainte de M. Jean Baronie. procès-verbal a
— L(
Popignet, da 57"
été dressé contistè inccnmu peur vol «l'un veston, d'un
— L:
Heywa.ng, du 33" d'artillerie.
gilet,
un rasoir et divers autres objets, valeur to— Li
t Louis Munseh, du 133".
tale 75 francs, commis au domicUe et au pa-éjudice
it Etfeaine Coquet, du 32", profesdu plaignant.
ô de droit «le Bordeaux,
[enant- Rogei- Malapert, «lu 32".
.tenant Pleairo Cornet, Messé dans
s, à la tété de sa compagnie,
Hier matin, vers
iée Maria Cofflé,
ys, du 44' d'infaoteiie territorial.
igée de G-s ans, a
a hauteur dè la
LeJod.ttoux, du 351*.
-saut le trajet de
Roi
tiré IA Page, caporal a.u 57* bataillon
us.
Cette dame,
pied.
té ccMidu-lte à la
ie Ch; ries Blin, du 79".
-e Ai rmand Praval de Coa .t.par-oruet.,
mpagnio rlu 74" toTTit-crlai.
Ile, préposé des contributions
jtadâ
de réserve au 44" d'infanterie
coloi
, Le Cou-flet. du 113'
Bief matin,
i Beures, tut ÙSê:êtH&$ s'est <léciaré.dans l'ir
>he Gi-étemi, du 33" d'artilubio porlaaî-t le n" 3 de la rue
Meriaaiie, Irabit
ia* M. tl'Airan.
.caporal aai 38* bataillon de
Le feu a pr.i
ùssance dans une salie conti.guë
'A.
à la c-hacnbi-e à
clier. Le.s pompiers de la caserne
el Verdier. caporal «« 23" bataîlcentrale se soi
rndus maîtres du feu après une
ton- d
«sàPded.
heure et. demi»:
tir-ava' '
Praix «le Ficon, avocat au barreau de
Le» dégâts, évaluée à s.flOO francs environ, sont
MoaJi
«t de ràscr\'e au 98".
couverts par la Compagnie d'as«urances u L 'Ur<5evMte> sergent, au 46" régiment de baine ».
a.i,2-nie
oetoïire, en. Argonne ; fils du comte
Les causes de cet incendie, sont encore inconnue';.
et die
i-e, née «le PontgU>aud.
i Rç ïef. brlTadier au 29" dragons,
— M,a et Tt mat, maréchal des logis au 13* chaseen-rs à
Réclame
An bur ?au «l'es épave
e paire de
! David, soldat m 22* d'infanterie,
lunettes, uae montre
Boiry, rue
iiilpe, soldat au 99' d'infanterie.
«tas Puits- Verts, un portemo
enant une
petite somme j à M1. Ma le cor, rue Montplai.sir 9, un
portemonuale contenant une petite somme
à M.
.Détord, marchand de te
cirée, place du Capitoile, mi couvre^uiqjue ; à Mme Hruel, petite rue
Saint-Lazare, 6, un fichu w ir : à M. Marcelin- BourgaTel, rue Arago, 11, un m inutat-poste : à Mlle SerM. le Ileiitenant-iî'Otoiieii Itaenl Ducros, chevallier
ces?—rue Gambetta, 7, uni portemonnaie contenant
Ae ia Légion d'hcnmenr, vient d'obtenir la jrosette
divers objets et, une. petite ; somme ; à M. Feui.lle.rat,
«•officier avec l'ordre «lu jour suivant :
rue du Conservatoire, 2, un- clé de- coffre-fort ; à M.
i M. lo lieuienant-colonet Buû&oe reçoit, trois bles- ie, directeur de l'école dft g: irçons de Feiiiouillet, une
Bures à la bataille de la Ma.rn» ; il ne céda le oomcouverture de cheval et un sac ; au bureau de polimahdieîaçnt «lu'anrès la troisième, et fut évacué sur
ce de la place Mage, un tou' r de cou en fourrure ; au
l'amibula-.uee de Recnes. A peine Tétabli, il s'est hâté.
bureau de police du 4" airro ndissement, une clé -. au
3e 28 octobre, da regagner son commandement, et
bureau «te police dn 5' aa rondissement, une clé ;
«lepiuds le 1er novemibre il se trouve, sur le front, à
are bureau «le police du. 7," ; îri-ondissenieuiî, un livret
la tète de ses vaillants .soldats. »
do famille, un carnet die lin îb-rcs-poste, une clé.
Nouvelles Religieuses
La Vie Toulousains
pendant la Guerre
Jacqtictle Rouquié, veuve Massé,
Braves.
Hospices civils, î.
C9
ans, rue des
Militaire décédé à suite de blessures reçues 1
l'enpmi : Fi-ançols Potiquct, soldat au 326" d'infauferte.
Couronnes momaires ialnïie, 25, r, Remnsat
LAVELANET. — Pour nos blessés. — Le comité de l'association des Dames Françaises a été
autorisé à organiser une tombola au profit de l'CEuvre de la Ooix-Rouge. Les lots comprennent :
1" Le portrait à l'huile du gagnant, exécuté par
M. George Roux, de ia Société des Artistes Fran<>ais.
2" Un. tableau à l'huile : « La Charité », conipoiation originale de M. Tony-George Roux, lauréat de :
l'Ecole des Beaux-Arts d* Paris.
3" Aquarelle de Mlle Rachel Roux.
4' Eventail sur peau de cygne, de la maison Duvelleroy.
Le prix des billets est fixé à 0 flr. 59.
Le tirage de la tombola aura lieu publiquement
le G décembre prochain, en présence des autorités
civiles et militaires.
Pour se procurer «les -billets, s'atlresser à Mme
Victor l>nmons, trésorière du Comité, avenue «lé
Folx, LaveJanet (Airiége).
PRAT. — Emouvante cérémonie. — Jeudi
dénier, dans l'égillse de Praf, a eu lieu un service 1
funèbre pour le repos «le J'àme de M. Jules lllart4n, :
capitaine au éff négimejit d'infanterie, tombé glo-'
rieusement le M septembre à Boureilies (Meuse), à
l'âge dé 35 ans. C'est le premier décès que nous,
avons à déplorer dans notre commune.
L'église était comble. Aussi quand M. l'abbé. Robert, aves tout son cœur et toute sa foi retraça
la vie «lu- jeune héros, l'émotion s'empara de toute
l' assistance.
La famille a pu constater la part que l'unanimité,
de la commune, à pris dans leur deuil si cruel.
HAUTE-GARONNE
LA JALABERTIE. — Obsèques. — Jeudi, à 10
heu-ues, ont. eu lieu les obsèrçues du soldat Joseph
Pyrame, bU^ssé dans les combats autour d'ypres et
décédé à l'hôpital, du Havre où il était en traitement .
Répondant à l'appel «le leur pasteur, tous ceux
«pie nie retenaient pas les travaux des champs s'étaient empressés d'acc«>urli\ vouiaiKt ainsi «lonjier
à la famille, en cette donleureuNo circonsitance, un
témoigne de sa. sympathie et de la pant «îu'iis p-r-e:
aaient à sa douleur.
COX. — Nécrologie. —
Nous apprenons avec
.regret te décès de M. Maximin Bosc, ancien mem;
tore diu coneeii municipal libéral, qui «lir.igea les affaires de la commune de Cox pendant huit ans.
Nous prions la famille éprouvée de vouloir bien
recevoir nos sincères et affectueuses condoléances.
0EPÊ0HES PAR NOS FÎLS SPÉCIAUX
DE PARIS ET DE BORDEAUX
Les Méridionaux au Feu
b
FOOTBALL RUGBY
envol pont rie match en
t
22 NOVEMBRE
Saint du jour : Sainte Cécile.
Fête à souhaiter : Saint Clément.
Lever de la lune : 11 h. 51 matin ; coucher
S h. 19 soir.
Ponts-Jumeaux.
M. Gailitartl atrbliirera.
l-o smembies actifs dm S
«tauxiè-me sont piiés d. t
d'ontiainement, à 1 h. :
SjHur.iiiiig-C-luh-Lycéeai .
Prix des (places : Pour ni.
l fa* 10. Entrée gratiriie p<
l'IIarlele Stade
terra i m des
it foi-mer l'équipe,
e sur le terrain
jouer contre le
0
fr
tribunes,
i en tenue.
Lever du soleil : 6 /(. 57 ; coucher . i h. 23.
22 novembre 1870. — A l'armée du Nord.
En apprenant qu'Amiens est sérieusement
m'enacé, te général Farre porte ses troupes
rers cette ville. Mais dans la crainte de compromettre sa retraite, il choisit sa ligne de
bataille sur la rive gauche de la Somme, de
la route de Roye à Gentelle-Cachey-Viïlersifretonrieike, sur la route de Péronne, et de ce
voint à Lougeau et à Amiens.
A Toulouse
Notre concitoyen M. Casimir Canton, engage
volontaire pour la durée de la guerre, vient
4'ittt nommé sous-lieutenant au 5 e bataillon
ite chasseurs à pied, en garnison à Rennes.
Le Paquet d'Hiver
de nos Soldats
DONS EN ESPÈCES
Pont* nos caim-arades sur le front. Le
personnel militaire de l'Arsenal de
Toulouse
...^
M. l'abbé Capdet, curé d'Euip
Anonyme, pour nos soldats en campagne
Mme de Poumeyrol, née de Gemies..:
Anonyme
:
Robert de Serres
„,
Vn prêtre d'Albi
lVIai*ie et Madeleine Veyi 'ièSi
Mme I^éo-n Kédou
Pour le 133' territorial, mon ancien
régiment, R
M. l'abbé Anizan (2' versement)....'.
G. D., place Dupuy
Pour une paire sabots bois
Anonyine
Marcel et René Delort. école Malarét
Mme Provot
562 50
8B
Ï
u J)
10 »»
5 ))))
3 '»»
3 50
50 91
5 ;)»
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COMMUNIQUÉS
THEATRE DES VARIETES
En matinée, à 2 heures : dernière représentation
du grand -succès Les Oberlés. Le spectacle commencera jer La Petite infirmière, poème pati"ioti«iue de
M. Alitroff, «lit -ar Mlle Dcssort.
Le soir, à s'.îî. i -.Alsace. Le spectacle terminera
•par Bonsoir l'ois fit.
A UEniCAN-COSMOGttAPn
A 2 h. 30, 4 h. 30 et soirée à- S h. 45 : Le Maître de
ila Mine, .grand (trame : Les Pâfliues rougas, eu eouiieuTs ; Les der-niéi-es actualités de te guerre, etc..
CINÉMA PAT HE
A 2 h. 30, i h. 30 et 8 b. 30 : dierwières de I^s
Yeux du Cœur : La.Vaàiée tleto JUàte ; La Fèto du
Malioinm aux Indes, etc., etc.
APOLLO THEATRE
A 2'h., 4 h. et- S h. 40 : Uni vaudeville en trois parties, interprété par Prince-, La Fesnnie. à Papa ; deux
«trames .- Le Sacrifice de la Bohémienne ot L'Enlèvement de Lune d'Argent, une liii* cométlise. ; Titl
failt -u» em-léve-ment. ; une vue comique : Madame n'y
vera rien, etc..
CINEMA THE AT R F. J.AFAYF.TTE
De 2 .h.' à 6 1). et à 8 11. 45 : Chéri-MIM ; La soif de
l'or, draine, etc., etc.
11.800 ;o
DONS EN NATURE
.Mni-e Vïi'lniT Capns (y «nvot). : 5 cache-nez. S patT«.9 de .moufles. 3 plastrons, « paires de sabots, un»
livre de cliocotol; 9t) cahiers papiei' â cigarettes, 15
ibmki ue.ts, 2.5 mèches.
Anwny-mie : 1 paires do manchettes.
Mlle do Pa.rdelliian, à I ..yp' •«. ••JM»SJ • 3 gcnovi'ilJrèroiç, 3 itoaUXkiirs, a handes.
Officiel île la lit
Bordeaux, 21 novembre, 10 h. soir.
La journée a éîé des plus ealmes.
Rien d'intéressant à signaler, sinon dans
ia Wœvre ; aux Éparges, cinq attaques
allemandes exécutées en masse dans l'espace de deux heures et arrêtées net par le
tir de notre artillerie.
IE
LA SITUATION GÉNÉRALE
DANS LES FLANDRES
Londres, 22 novembre.
L'envoyé du Daifiy A'etos en Flandre, décrivant les combats autour d'Ypres, -télégraphie :
« Ypres restera pour le grand, état-major
allemand le plus sérieux obstacle qu'il ait jamais rencontre ; elle fut le tombeau, de la garde prussienne et de la garde brand.ebonrgeoise et demeure néanmoins comme un bastion
menaçant qui avance dans les lignes ennemies.
» Son nom restera plus fameux dans l'histoire de la guerre que celui d'aucune autre ville;
il sera brodé sur les drapeaux de plus d'une
douzaine de régiments ; les Anglais, les Français, les Belges, bien que souvent inférieurs
eni nombre, se sont battus comme des héros.
» Sana leurs efforts combinés à Nieuport, à
Dixmude, Ypres, La Baissée et Arros, cette terrible bataille des Flandres, qui s'achève triomphalement, n'aurait jamais pu être gagnée.
» Lee Français font une. guerre anonyme ;
s'il n'en était' pas ainsi vous sauriez que dans
des douzaines de combats aussi furieux que
sanglants, ils couvrirent île gloire leur pays.
» Maintenant les alliés occupent une ligne
absolument droite et (xuiisidérablement renforcée le loaig de la principale route allant de
Dixmude à Ypses. »
Après avoir déclaré qu'il est impossible de
prévoir les plans allemands, le correspondant
signale que les ennemis transportrent d'énormes quantités «le grosse artillerie d'Armentières vers le sud, dans ia direction de La Bassée.
RENFORTS ALLEMANDS
UN EXPLOIT DU « RIMAILHO »
Londres, 21 novembre.
Le Times dit que le 17 novembre deux batteries de canons Rimailho 155 ont eoimplèteanent réduit au silence deux batteries allemandes qui étaient en position à 1,500 mètres
au nord-eet de Lombaeirtzyde.
La liatterie allemande avait cauon-né sans
grand succès les lignes alliées avant d'avoir
cherché l'emplacement des batteries françaises; mois les renseignements étaient ei erronés que la plupart des obus tombèrent en
pleine campagne, à trois kilomètres au moinsdu but.
ILS VEULENT FAIRE SAUTER LIÈGE
Londres, 22 novembre.
Tous les principaux établissements publics
ont été minés ; les Allemands menacent tte les
faire tous sauter, en cas ds défaite.
On croit que la route principale de Bruxelles
à Liège est mi-née, car elle rcest même pas
utilisée pour le trafic allemand.
ILS DÉTRUIRONT STRASBOURC !
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Cûiiuip
Rotterdam, 22 novembre.^
Quatre-vingts pièces de siège ont été envoyées sur le front en Belgique ainsi que 7,000
hommes du génie.
Ces pièces viennent des usines Krupp.
IL Y A QUARANTE-QUATRE ANS
ETAT CIVIL DE TOULOUSE
NAISSANCES DU C0 NOVEMBRE
Henriette Mastas, rue Sainte-Hélène, 14.
ETuestine Counrtoci, ruo «le ta Coiombelte, 7-i.
.Alexis BeTgé, rue Vestrepain.
lilisabetli de «lalard-Terraube, avenue Montgalllard, ?.
Rose Rivière, rue Saint-Léon, 95.
Mario Poatet, à ia Chaumière.
Albert Sarrade, rue Satnt-Nteolas, 16.
DÉCÈS DU 21 NOVEJ1BRU
Jean, Combes, so m'-^is, rue Tov ruante de-Luppé. 9i.
Marte Kigai, Veuve Pouilh, 54 ans, rue SaintMichel, i«i.
iosèplrtne Samaison, 11 ans. rue Maran, 30.
Pierre Ceinte, fiO ans, rue Léonce-Castelhoii, 8.
l'raui;oi»e Pages, veuve Fonqu eirnie, 72 ans, grande jiue Saint-Michel. 3.
François Maz-aud, 51 ans, place Victor JTugo, 91.
Louiiso Loutbé. veuve- AUtvrac, 70 ans. r. Lespés, 19.
Amélie Gardes, (pense Lavaiix, 31 ans, allée du
Cimeiièrc, (<>.
Jean, itacbicot, 63 ans, boulevard- Matalitau, te
Mario Chenu, 17 ans, rue T«iiUi 'naiiite-<le-I.up*)*, 54.
Mioicél Maida-uio, 5C ans, aue Française, î.
Raymond Despons, s* mois, chémin LapujadeL
Marie .Astiie, r; ans, «tut 'do la DaHMde, 13.
Camlllè Ahadic; 1-i anc-, rue du lè Avril, 40.
,
Nisch, 22 novembre.
Le 18 novembre, les attaques de l'ennemi
sur nos positions au sud-ouest de Lazarevaes
ont été repoussées gràee au feu nourri de
notre artillerie et aux contre-attaques de notre
infanterie.
Nous avons également défait une colonne
ennemie près du village de Braikaovitz, sur
la route de Valieno-Ratchevitch, et l'avons
contrainte à se retirer en désordre.
On ne signale rien d'important sur le reste
du front.
DEUX VAPEURS ALLEMANDS
S'ÉCHAPPENT DES PORTS CHILIENS
New-York, 22 novembre.
Suivant un télégramme de Santiago-duChili, les vapeurs allemands Memphis et
Luxor se seraient échappés des ports chiliens
chargés d'approvisionnements destinés à la
flotte allemande. Le Memphis se serait enfui
de Punta-Arenas et le Luxor de Coronel avec
trois mille tonnes de provisions.
Le gouvernement chilien aurait adressé une
protestation à l'Allemagne. U aurait, d'autre
part, interdit l'approvisionnement des vapeurs de la ligne Kosmor, qui se trouvent
dans les ports chiliens, où quatre de ces navires sont actuellement retenus.
LE CONFLIT TURC
LA PANIQUE DES KURDES
Pétrograd, 22 novembre.
Selon des renseignements parvenus à Maku
(Perse) de la frontière vuixnie, un grand
abattement règne clans la cavalerie kurde de
la vallée d'Abaga. . Lee- Kurdes, pris «le panique, fuient en emportant leurs hardes dans la
direction de Wan et évitent toute rencontre
avec les détachements russes qui marchent
de l'avant.
L'ACTION DES PUISSANCES
AU SUÈDE
ELLE
Paris, 22 novembre.
Une lettre, venue par Bâ!e, d'un correspondant strasbourgeois, et reçue par un de nos
confrères, donne les renseignements suivants :
« La cathédrale et les monuments publics de
Strasbourg sont remplis de paille jusqu'au faîte, et des grenades incendiaires sont disposées
à la base.
» iLes autorités allemandes déclarent, que, si
jamais les Français entrent «lans la ville, ils
ne trouveront que des ruines. »
AUSTRO-RUSSE
BATAILLE ENTRE ALLEMANDS
ET AUTRICHIENS
Londres. 22 novembre.
On mande de Pétrogra«l au Dattu News :
» Les habitants du sud de Kalisch déclarent
qu'il y a eu une bataille assez, importante entre les Allemands et les Autrichiens.
» Aucune troupe russe ne se trouvait dans
la région ; le leu a duré deux jours.
» Ce combat aurait, été la conséquence d'une
querelle causée par le refus, de la part d'ofïtc4er« autrichiens, d'obéir aux ordres de iétatmajor allemand. ».
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Il en résulte (tue le prix de la viande augmente beaucoup en Suède.
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Bordeaux, 22 novembre.
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Légion d'honneur :
A la dignité de grand croix : M. le général
de iLangle de Cary.
A la dignité de grand officier : MM. les généraux de division Sarrail, Gérard, Mut eau.
Rabier,. Dor de Lastours, Vautier, Hache!
Dubois et le général de brigade du cadre de
réserve Triboudet de Mainbray.
Sont nommés au grade de commandeur :
MM. les généraux de division de Dartein,
Miclieler, Lombard, Lanquetot, Dumas ; les
généraux de brigade Delbousquet. Leconte,
Guiguabaudet, Farret, Blazer, Rozée d'Infreville; de Cornulier-Lueinière : les colonels
Vallantin et Robiliot : le médecin inspecteur
général Ninder ; l'intendant militaire Lacrambe et Seligmann-Lui, direct eur- du eervice télégraphique.
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sonne de
mort au champ d'honneur le 28 septembre au
combat de Sereheprey (Meurthe-et-Mosetl»),
et les prient de vouloir bien assister à '»
messe qui sera dite pour le repos de son àm,
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ments de l'Eglise, et les prient de bien valoir assister à ses obsèques, qui auront lie,
en l'Insigne basilique Saint-Sernin, le dimai
che 22 novembre, à 3 heures du soir.
Priez pour lui.
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HAC; Mademoiselle Josette ALBOUY: les familles ALBOUY, GAILHAC et DUCL-Ô ont M
douleur de faire part à leurs amis et con,'.
naissances de la perte cruelle qu'elles viennent d'éprouver en la personne de
Monsieur Gérard ALBOUY
Soldat au 153 e de ligne,
blessé à Ypres le 6 novembre et décédé, «tes
suites de sa blessure, au Havre, le 11 novembre 1914, à l'âge de 32 ans, muni des sacrements de l'Eglise, et les prient de vouloir bien
assister à ses obsèques, qui auront lieu !«•
lundi 23 novembre 1.914, à 10 heures du matin,
sur la paroisse Saint-Aubin.
On se réunira à la gare Matabiau.
U ne sera pas envoyé de lettre de faire pàl&
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Madame veuve SUBRA, née JOANY; Monsieur et Madame SUBRA; Madame CéUw
BADOURÈS et sa fille; Monsieur et MadaïïKj
MASSONN1ER et leur famille; Monsieur «»
Madame JOANY et leur famille,; les fainiuj»^
SUBRA, LAMOUROUX, CAMBUS, MARQUIS,
DURAUD et FÉRAL ont- la douleur de faire,
part à leurs amis et connais-sauces de la pen*cruelle qu'Us viennent d'éprouver en la l-ei *
sonne de
Monsieur Antonin SUBRA
Soldat au 53- régiment d'infanterie
leur époux, fils, frère, beau-fils, beau-frèrg
oncle et cousin, mort au champ d'honneur .«
15 octobre 1914, à la bataille de l'Aisne, à lâg
de 25 ans, et les pi-ient d'assister à la mes» M»
Requiem -qui sera célébrée le lundi 23 octoo»
à 9 heures et demie du matin, à l'église sauit"
Serai n.
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Il ne sera pas envoyé cfe lettres de faire V&*
le présent avis en tenant lieu.
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Messieurs François et Lucien DELMAS
leur famille ont la douleur de faire P al 'v'j
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qu'ils viennent d'éprouver en la personne «»
Madame J.-M. DELMAS
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