Dossier de presse - Exposition Maternité et petite enfance en gaule
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Dossier de presse - Exposition Maternité et petite enfance en gaule
Dossier de presse MATERNITÉ ET PETITE ENFANCE DANS L’ANTIQUITÉ ROMAINE Du 1er juillet au 31 décembre 2006 Musée de Vieux-la-Romaine Calvados SOMMAIRE Il y a 2000 ans, la femme et l’enfant dans l’Antiquité romaine ..................... 3 La femme dans l’Antiquité romaine ......................................... 4 Devenir mère .................................................................................. 5-6 L’accouchement ............................................................................. 7 Les premiers soins au nouveau-né ............................................ 8 Les premiers mois de la vie d’un enfant ................................. 9-10 La mortalité infantile .................................................................. 11 Présentation de l’équipe .............................................................. 12 Présentation du Musée et des sites archéologiques .......... 13-14 Renseignements pratiques ......................................................... 15 Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 2 IL Y A 2000 ANS, LA FEMME ET L’ENFANT DANS L’ANTIQUITE ROMAINE Il y a 2000 ans, être enceinte n’était pas seulement une réalité biologique, c’était aussi une nécessité sociale et civique. Le fils tant attendu allait perpétuer le nom du père, la fille, se préparer au mariage et à la procréation. Mais avant d’entrer dans la vraie vie, l’enfant et sa mère avaient recours aux divinités, croyances et magie afin que la grossesse et l’accouchement se passent pour le mieux!et que le bébé survive. Créée par!le Service d’Archéologie Municipal de la ville de Bourges, l’exposition présentée au Musée de Vieux-la-Romaine fait entrer le visiteur dans l’intimité de la famille romaine des quatre premiers siècles de notre ère, du mariage aux premiers pas des enfants. Comment est vécue l’arrivée d’un enfant ? Les mères travaillent-elles!? Comment se déroule la maternité ? Comment choisit-on le nom d’un enfant ? Nourrit-on le bébé au biberon ? … Toutes ces questions posées trouvent leur réponse sous la forme d’un parcours thématique!: 1) La femme dans l’Antiquité romaine 2) Devenir mère 3) L’accouchement 4) Les premiers soins au nouveau-né 5) Les premiers mois de la vie d’un enfant 6) Des décès prématurés!: la mortalité infantile Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 3 LA FEMME DANS L’ANTIQUITE ROMAINE Les lois en font une mineure perpétuelle, placée sous la tutelle du père, du mari ou d’un tuteur. Elle ne dispose d’aucun droit politique, est exclue de la plupart des pratiques religieuses, mais de nombreuses femmes acquièrent peu à peu une certaine autonomie juridique et, surtout, économique. Si la femme gère surtout les biens du ménage, elle peut aussi travailler pour un patron, à son compte ou en association avec son mari. On trouve des femmes dans les métiers du spectacle, y compris comme gladiateurs. Enfin, la prostitution est très répandue. Face au mariage On se marie pour avoir des enfants légitimes. Le mariage est un acte privé, il ne se conclut pas devant un magistrat et ne s’inscrit pas dans un registre. Comme il est réservé aux citoyens romains, peu nombreux, le concubinage est très répandu. On se marie très jeune, l’âge minimum légal étant de douze ans pour la fille. Le divorce existe, essentiellement pour stérilité et adultère de la femme. La législation lui permet de conserver sa dot, rendant possible un éventuel remariage. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 4 DEVENIR MERE Dans l’Antiquité, avoir un enfant n’est pas qu’une réalité biologique, c’est également une nécessité sociale et civique. Mais certaines femmes refusent le mariage et la maternité. Des hommes, comme le médecin Soranos, estiment qu’elles peuvent aussi se réaliser et s’épanouir dans le célibat. Les rites de fécondité Le recours aux dieux est courant. La diversité des rites magiques (amulettes, formules, décoctions) et des ex-voto déposés dans les sanctuaires témoignent du besoin de soutien des femmes, confrontées aux incertitudes de la maternité. Certaines amulettes en pierre sont réputées pour leurs vertus thérapeutiques comme le jais ou la sidérite. On croit aussi aux vertus des sources sacrées qui guérissent, rajeunissent et… donnent la vie. Le personnel médical La plupart des médecins exercent à titre privé, en ville et dans les campagnes. Les cités possèdent également des médecins publics officiels ; leur nombre est limité par un numerus clausus à partir du milieu du IIe siècle. Leur qualification professionnelle ne fait l’objet d’aucun contrôle. Le champ d’intervention du gynécologue est plus large qu’aujourd’hui, car il traite l’ensemble des problèmes de santé des femmes tout au long de leur vie. Les plantes de femmes Ces plantes sont choisies avant tout pour permettre d’enfanter : elles aident à régulariser ou à rétablir le cycle menstruel et à faciliter l’accouchement, à assister la conception, à accroître la montée de lait, voire à choisir le sexe de l’enfant. Certaines sont utilisées pour avorter!; d’autres, censées rendre stériles, peuvent jouer un rôle supposé de contraceptif. Elles sont administrées en boissons, pessaires, applications, bains, fumigations. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 5 La grossesse La grossesse est considérée comme une maladie, nécessaire mais désagréable, entraînant faiblesse et vieillissement prématuré. Au début, la femme doit rester allongée un ou deux jours pour préserver la semence. Ensuite, il s’agit d’éviter les fausses couches et de soulager malaises et envies par des diètes, des frictions, des promenades… Les derniers mois, la femme se prépare à l’accouchement en se nourrissant bien, en soutenant le ventre grâce à des bandages et en évitant les mouvements violents. 8, 9, 10 mois!? Pour les juristes antiques, la durée maximale d’une grossesse normale est de 10 mois lunaires. Les médecins croient en l’existence de deux grossesses, une courte de 7 mois, une longue de 9 à 10 mois pleins. L’enfant né à 8 mois, produit inachevé d’une grossesse longue, est réputé non viable. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 6 L’ACCOUCHEMENT Qu’est-ce qui déclenche l’accouchement ? On crut longtemps que l’enfant éprouvait le désir de sortir ou que l’utérus ne pouvait plus le supporter. Le moment venu, la femme accouche chez elle, aidée d’une sage-femme et d’une ou plusieurs assistantes. Le médecin ne semble intervenir que dans les cas difficiles. On a préparé dans la pièce, bassines, bandages, linges, éponges, coussins, produits odoriférants, huile, eau chaude… Les accouchements difficiles Ils sont fréquents : état physique de la mère, taille de l’enfant, mauvaise présentation... en sont les principales raisons, ainsi que les hémorragies et la fièvre puerpérale (infection se développant habituellement quand la totalité du placenta n’a pas été expulsée). Les naissances multiples et les fréquentes maternités précoces sont particulièrement dangereuses. Malgré les interventions du médecin, la mortalité des femmes en couches est importante dans toutes les classes sociales, jusque dans les familles impériales. Présentations Si l’examen physique est concluant, le bébé est présenté à son père qui peut l’accepter ou l’abandonner. L’entrée dans la famille est marquée par des rites de purification, comme le premier bain et la fête du Dies Lustricus : le nouveau-né y reçoit un nom, huit jours après la naissance pour les filles, neuf jours pour les garçons, puis on le fait tourner autour du foyer familial pour symboliser la course du soleil. Dans le mois qui suit, les citoyens romains déclarent leur enfant devant un magistrat. Pour les enfants illégitimes, il suffit d’une déclaration privée devant témoins. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 7 LES PREMIERS SOINS AU NOUVEAU-NE Après avoir indiqué par un signe le sexe du bébé, la sage-femme contrôle sa viabilité. Puis c’est la toilette : son corps est saupoudré de sel pour le nettoyer et resserrer les grains de la peau. Il est essuyé, baigné et massé avec de l’huile d’olive tiède. Ces massages dureront plusieurs mois : ils sont censés éviter les déformations et embellir le corps. L’emmaillotage On emmaillote le bébé en pensant empêcher toute déformation du corps. Il est soigneusement entouré de bandelettes, puis enveloppé d’un grand lange. Une dernière bandelette enserre le corps, parfois passée dans un anneau placé sur la poitrine. On libère progressivement l’enfant à partir du quarantième jour pour le revêtir d’une tunique souple. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 8 LES PREMIERS MOIS DE LA VIE D’UN ENFANT L’enfant au sein Les médecins antiques ignorent que le premier lait de la mère, très riche en graisses et en anticorps, permet au bébé de résister aux maladies. Beaucoup pensent même que le nouveau-né est encore plein de nourriture maternelle qu’il doit finir de digérer. Certains encouragent par bon sens la mère à allaiter immédiatement, d’autres prescrivent une diète de deux jours. L’énigme du tire-lait La fonction de certains objets archéologiques est souvent discutée. C’est le cas de ces récipients, à la forme très particulière, découverts le plus souvent dans des tombes d’enfants : biberon, goutte-à-goutte, tire-lait… ? Cette dernière hypothèse est renforcée par l’examen de leur forme et les expérimentations. Les dents poussent… Selon les auteurs antiques, le sevrage commence soit à l’apparition des premières dents de lait, vers 6 mois, soit vers deux ans. On donne alors, en petites quantités, du pain dans du vin coupé d’eau, du potage de gruau, de la purée liquide, un œuf mollet, des viandes blanches (poulet, porcelet…) Les enfants peuvent boire de l’eau entre les repas, pourvu qu’elle soit saine. À table, on considère que le vin est préférable à l’eau, mais à partir de quel âge ? On prémâche parfois la nourriture du petit, pratique décriée par les médecins. Maladies infantiles À chaque âge sa maladie, le risque étant considéré comme maximum dans les moments de transition comme la pousse des dents. Le jeune enfant est sujet à de nombreuses maladies, dont certaines peuvent freiner sa croissance : infections graves, anémie chronique, troubles hormonaux sévères, malnutrition, rachitisme… On traite par le truchement du lait de la nourrice qui suit un régime en rapport avec la maladie, ou par une abondante pharmacopée aux dosages adaptés. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 9 La chambre de bébé Dans l’idéal, la chambre doit être propre, aérée, sans odeur gênante et éclairée avec une lumière tamisée. L’enfant partage couramment le lit de la nourrice ou des parents. Soranos conseille de le coucher dans un berceau. Celui-ci est en osier ou en bois. Jeux et jouets Jouer apparaît légitime aux yeux des Romains. Le premier amusement du bébé est sans doute le hochet (crepitaculum ). Puis viennent les animaux, en particulier chiens et oiseaux, dont l’importance se mesure à leurs innombrables représentations. Avec l’âge, les jeux se diversifient : chevaux à roulettes, dînettes, puis osselets, toupies, yo-yo, cerceaux, jeux de balles, jeux de table, dés… Beaucoup de jouets en matériaux périssables ne nous sont pas parvenus. Amulettes, protections magiques La puissance maléfique la plus redoutée est le fascinum ou mauvais œil, qui naît de la vue du bonheur d’autrui. On en protège l’enfant par des breloques, des amulettes végétales ou animales (dent de cheval, cendre de mouche, crotte de chèvre…) Certaines contiennent une substance thérapeutique. Ces objets accompagnent les enfants de la naissance à leur entrée dans le monde adulte. Ils sont fréquemment déposés dans les sépultures. Premiers pas Les médecins insistent sur les dangers courus par le bébé qui brûlerait ces étapes!: se tenir droit, s’asseoir, ramper puis marcher. Dès qu’il va à quatre pattes et réussit à rester debout, on conseille de l’aider en le plaçant contre un mur ou dans un siège à roulettes, ancêtre de nos youpalas. Pour les médecins et les juristes, l’acquisition du langage et de la motricité marque une étape décisive : la fin de la petite enfance. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 10 LA MORTALITE INFANTILE La fragilité du nourrisson est une réalité biologique ; sa mort, qui touche près de la moitié des enfants avant un an, est une douloureuse banalité pour de nombreuses familles, quelle que soit la classe sociale. Les funérailles Lorsqu’un enfant meurt, les funérailles obéissent à de nombreuses règles qui varient selon l’âge, le sexe, le statut social, l’appartenance religieuse et culturelle. Pour le dernier voyage Le soin apporté aux tombes d’enfants est perceptible à travers le choix des objets qui y sont déposés : accessoires vestimentaires, vaisselle, jouets, amulettes… Certains dépôts sont très abondants. Leur qualité et leur importance évoluent probablement en fonction du statut social ou de données culturelles : dans certaines régions, ils sont moins nombreux à la fin de l’Antiquité qu’au Ier siècle. D’autres sépultures ne contiennent aucun objet : les enfants inhumés là sont peut-être décédés avant la cérémonie du Dies Lustricus. Les rites liés aux décès des jeunes enfants traduisent le profond attachement des parents à leurs enfants et la ruine de leurs espérances. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 11 PRESENTATION DE L’ÉQUIPE Concepteur de l’exposition Service d’Archéologie Municipal de la Ville de Bourges Commissariat d’exposition Service Départemental d’Archéologie du Calvados Scénographie!: Marie-Anne Rohmer Recherche documentaire!: Sidonie Rican Secrétariat!: Josiane Lecuyer Réalisation technique!: Régis Ménétrier, Jean-Jacques Domalain Boutique exposition!: Régine Hury Traduction anglais!: Nicola Coulthard Remerciements Agence Giraudon Autun (Saône-et-Loire), Musée Rolin Auxerre (Yonne), Musée d’Art et d’Histoire Avenches (Suisse, État de Vaud), Site et musée romains Beaune (Côte d’Or), Musée de la Ville Bordeaux (Gironde), Musée d’Aquitaine Bourges (Cher), Service d’Archéologie Bourges (Cher), Musée du Berry Caen (Calvados), Musée de Normandie Châlon-sur-Saône (Saône et Loire), Musée Denon Châtillon-sur-Seine (Côte d’Or), Musée du Châtillonnais Chartres (Eure-et-Loir), Musée des Beaux-Arts Dijon (Côte d’Or), Musée archéologique de l’Abbaye Sainte-Bénigne Évreux (Eure), Musée de l’Ancien Évêché Fécamp (Seine-Maritime), Musée de Fécamp Jublains (Mayenne), Musée de Jublains Lisieux (Calvados), Musée de Lisieux Lyon (Rhône), Musée de la Civilisation Romaine Moulins (Allier), Musée Anne de Beaujeu Paris, Musée Carnavalet Rouen (Seine-Maritime), Musée des Antiquités Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), Musée des Antiquités Nationales Saint-Marcel (Indre), Musée d’Argentomagus Senlis (Oise), Musée de Senlis Vaison-la-Romaine (Vaucluse), Musée de Vaison-la-Romaine Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 12 LE MUSEE DE VIEUX-LA-ROMAINE Un musée, un jardin antique, des sites restaurés Vieux-la-Romaine est un ensemble archéologique ouvert au public depuis quatre ans. Le musée en est le cœur. Pour sa construction, l'architecte – Jacques Millet – et les scénographes – Christian Leconte et Geneviève Noirot – ont joué sur les paradoxes. D'inspiration antique, le bâtiment a un aspect résolument moderne. Longues colonnades, toitures en pente douce, claustras de bois évoquent l'Antiquité romaine. Les grandes baies vitrées, le cuivre, le béton le resituent dans notre époque. Vaste, la construction n'est pourtant pas imposante. Elle est bâtie sur un seul niveau. Aussi, ses 1 600 m2 de superficie ne sont pas écrasants. Les mises en scène focalisent l'intérêt du visiteur sur les collections. En parallèle, les grandes baies vitrées invitent à la découverte des espaces extérieurs. On donne envie de pénétrer à l'intérieur du musée pour découvrir ses richesses, mais tout est fait pour inviter également vers les espaces extérieurs. Le musée est construit au croisement de deux rues antiques. Celles-ci sont symbolisées par un revêtement clair. Les voies qui seront découvertes à l'avenir seront restaurées dans le même matériau. On verra ainsi réapparaître l'organisation de la ville romaine. La Maison au Grand Péristyle En sortant du musée vers le sud, le visiteur se rend au jardin archéologique. Il y découvre une vaste maison de ville – une domus – restaurée. C’était la résidence d’un riche notable. Elle a été construite à la fin du IIe ou au début du IIIe siècle sur une parcelle de 1 400 m2. Au cœur de la domus , le péristyle et ses seize colonnes enserre un jardin qui associe l’eau et la végétation. C’est autour de lui que s’organisent la plupart des pièces!: quatorze salles résidentielles et douze pièces de service. La maison est équipée de l’eau courante et plusieurs pièces sont chauffées. Mosaïques, sculptures, enduits peints et stucs, dont certains ont été reconstitués sur le site restauré, couvrent les sols et les murs. Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 13 Après cette visite, chacun peut revenir au musée, l'entrée étant valable toute la journée. C’est le moment de redécouvrir l’exposition avec un autre regard, mais également d’en profiter pour consulter des livres dans de confortables fauteuils, prendre une légère collation ou tout simplement se reposer sur la terrasse avant de repartir vers d'autres découvertes. Le jardin antique L’espace de détente s’ouvre sur le jardin antique. Son plan et ses aménagements sont inspirés de ceux de la “!Maison des amants chastes!” de Pompéi. Pergolas couvertes de lierre et de roses, petites places rondes entourées de claustras, plantations de buis et d’ifs, créent un espace d’intimité où il fera bon flâner dès le premier rayon de soleil. La boutique Elle propose toutes sortes d’objets pour toutes les bourses!: moulage fac-similé de broche en forme d’amphore pour l’amateur de bijoux anciens, reproductions de pièces romaines pour les enfants ou de verreries antiques pour agrémenter la mise de table, maquette-papier de la domus, ouvrages grand public… À visiter avant de quitter le musée!! Contact presse!: DBL Communication - Sophie Brossard de la Salle – Tél!: 02 31 15 21 15 – [email protected] 14 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES Exposition « Maternité et petite enfance dans l’Antiquité romaine» Du 1er juillet au 31 décembre 2006 Horaires d’ouverture En juillet et août!: de 10h à 18h De septembre à décembre!: lundi, mardi, jeudi vendredi!: de 9h à 17h samedi, dimanche!: de 10h à 18h Tarifs Normal Réduit 4" 2 " (groupes à partir de 15 personnes, familles nombreuses, étudiants Entrée libre pour les moins de 15 ans, les personnes recevant le revenu minimum d’insertion, les personnes handicapées et les professionnels des musées d’archéologie. Musée de Vieux-la-Romaine 13 chemin Haussé – 14930 Vieux Tél!: 02 31 71 10 20 [email protected] Contact presse!: DBL Communication 16, place Saint Sauveur – BP 193 – 14011 Caen cedex 1 Tél!: 02 31 15 21 15 – Fax!: 02 31 15 21 10 - [email protected] 15