PAS CE SOIR, J`AI LA MIGRAINE

Transcription

PAS CE SOIR, J`AI LA MIGRAINE
afgiftekantoor: Antwerpen x
P 508746/506 Liège
België - Belgique
PROFIL
P.P. - P.B.
BC 10621
PROFIL DE LA VIE 98 • Edition LIEGE
MARS - AVRIL 2007
PAS CE SOIR,
J’AI LA MIGRAINE
BÉBÉ HURLEUR…
BÉBÉ RALEUR ?
Spécial
vacances jeunes
mutualité professionnelle et libre de la région wallonne
Grande
première mondiale
Le samedi 21 avril 2007,
12h de théâtre non-stop à Liège
Dans le cadre de cet événement unique, la mutualité professionnelle
et libre de la région wallonne vous offre :
10 x 2 places
pour le spectacle “panique au café liégeois”
La question est simple :
dans quelle salle liégeoise aura lieu la pièce “panique au café liégeois” ?
J Trocadéro
J Forum
J Salle des fêtes du Collège Saint-Barthélémy
Envoyez votre réponse par courrier au Service Clientèle
Rue Natalis, 47B - 4020 Liège
Ou
Jouez sur www.mut506.be et augmentez vos chances
en vous inscrivant au bureau en ligne.
Voir conditions sur www.mut506.be ou sur demande par courrier
Action en soutien à la Fondation l’Hymne aux enfants
dont le but est de lutter contre la maladie de Noma
(Tirage au sort le 6 avril 2007)
Plus d’informations sur www.liegemarathontheatre.be
EDITO
Vieillissement et soins de santé
A l’heure actuelle, alors que les recettes de l’Etat n’augmentent en moyenne que de 2 %, les
dépenses en soins de santé ont une croissance de plus de quatre pourcents sur base annuelle.
A terme, cette situation est insoutenable. Seul un surplus des finances publiques peut amortir
le choc du vieillissement et ce, en dehors de toutes opérations budgétaires à caractère unique.
Il est donc impératif de trouver des solutions de fonds qui passent par une consommation responsable en matière de soins de santé liée à un accroissement de la population au travail à
même de pourvoir au financement du système. Réduction de charges sociales, adaptation du
temps de travail et de l’âge de la retraite, formation …. les possibilité sont multiples. En tant
qu’organisme mutualiste, nous restons vigilants afin que les mesures prises s’inscrivent dans
le long terme avec une contribution équitable de tous en vertu du principe de solidarité qui
constitue la base du succès de notre modèle social.
Ecoute
Entraide
Efficacité
Bonne lecture.
Jacques Jonet
Directeur Général
SOMMAIRE
4
- Parent d’accueil, gardienne d’enfant, un statut particulier ?
- Qui peut être considéré comme “personne à charge” ?
- Voulez-vous gagner 1.000 euros ?
PANORAMA
7
DROIT
- Le rôle du médecin-conseil d’une mutualité
- Du nouveau dans le traitement orthodontique
4
MINI DOSSIER
9
- Non, la migraine n’est pas une fatalité !
PROMOTION SANTE
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- Le sport et la sécurité :
ne courez pas des risques inutiles !
9
SANTE
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- Décodeur pour bébé hurleur...
FOCUS
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- La vue de vos enfants
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INTERNATIONAL
BREVES SANTE
15
17
- Travailler à l’étranger
18
- L’eau du robinet : dissipons les malentendus !
- Concours : Source o rama
- Le monoxyde de carbone : un tueur silencieux
- Le Belge a un plat préparé dans le ventre !
- Salon Life2
VOYAGES
21
PANORAMA
PARENT D’ACCUEIL,
ACCUEILLANT D’ENFANT,
UN STATUT PARTICULIER ?
En Belgique, plus de 10.000 personnes travaillent comme
accueillant(e) d’enfants. Cela représente plus de 35.000
places d’accueil offertes aux parents qui souhaitent concilier
harmonieusement vie familiale et vie professionnelle.
Depuis avril 2003, ces “parents d’accueil” bénéficient
d’un véritable statut social et donc, peuvent prétendre
notamment au remboursement des soins de santé et aux
indemnités en cas d’incapacité de travail. Explication.
En principe, les accueillant(e)s d’enfants sont inscrits
auprès de leur mutualité en qualité de titulaire.
Toutefois, si leur revenu annuel ne dépasse pas un certain plafond, ils ont la possibilité d’être inscrits en qualité de personne à charge mais ne peuvent alors pas
bénéficier d’indemnités en cas d’incapacité de travail ou
d’accouchement.
PARENT D’ACCUEIL
ALLOCATIONS DE GARDE
Qu’entend-on par “parent d’accueil” ?
Les accueillant(e)s sont parfois confrontées à des situations où l’enfant qui devait normalement être accueilli ne
se présente pas pour des raisons indépendantes de sa
propre volonté (par ex. : enfant malade ou en vacances à
l’improviste). Dans ce cas, la gardienne ne peut revendiquer le droit aux allocations de chômage étant donné
qu’elle ne reçoit pas un “vrai” salaire, mais bien une
indemnité de frais. En revanche, elle peut prétendre à un
revenu de remplacement appelé “indemnité forfaitaire”
payé par l’Onem pour inoccupation partielle avec une
franchise de trois jours non couverts. Pour l’obtenir, elle
doit introduire un formulaire spécifique auprès de l’organisme de paiement.
Sont considérés comme parents d’accueil les personnes
qui assurent l’accueil d’enfants dans une habitation équipée à cet effet dans un cadre familial et qui sont affiliées
à un service d’accueil, agréé par l’O.N.E. Les parents
d’accueil ne sont pas liés par un contrat de travail.
En d’autres termes, les gardiens/gardiennes d’enfants qui
sont salariés ou indépendants n’entrent pas dans cette
catégorie. Le nombre d’enfants à accueillir est déterminé
par l’O.N.E. selon les situations individuelles et peut varier
de 1 à 4 enfants. Les accueillant(e)s d’enfants ne sont pas
soumis à un contrat de travail classique mais bien à une
convention avec “le service d’accueillantes conventionnées”. Ce dernier joue le rôle d’employeur fictif. Les
accueillantes ne touchent pas de salaire mais bien une
intervention financière par jour de garde et par enfant.
ACCUEILLANT(E)S D’ENFANTS
Statut social
Depuis le 1er avril 2003, les accueillant(e)s d’enfants ont
obtenu un véritable statut social inspiré de celui des travailleurs salariés. Grâce à cette couverture de sécurité
sociale, ils peuvent bénéficier :
• des remboursements des soins de santé
• des indemnités en cas d’incapacité de travail
• des congés de maternité
• des allocations familiales
• et d’une pension
PANORAMA
TITULAIRE OU “PERSONNE À CHARGE” ?
4
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DES VACANCES ?
Depuis l’application du nouveau statut social des
accueillant(e)s d’enfants, les jours fériés légaux (sans
accueil d’enfants) et un maximum de 20 jours de
vacances par an (non rémunérés) sont assimilés à des
prestations de travail. Les autres jours durant lesquels
le/la accueillant(e) décide de ne pas accueillir d’enfants
sont considérés comme congé non rémunéré et ne donnent pas lieu aux droits en matière de sécurité sociale.
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intervention de 0,75 € par jour dans le cadre des
crèches ou des frais de garderie agrées par l'O.N.E
QUI PEUT ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME
“PERSONNE À CHARGE” ?
Lorsque l’on parle de “personne à charge” ou de “titulaire”, on fait référence à la qualité en laquelle la personne
est inscrite à la mutualité. Le titulaire dispose d’une inscription auprès de la mutualité à titre personnel.
Ainsi, pour être inscrit en qualité de “personne à charge”, dans le dossier du titulaire, à la demande de celuici, vous devez tout d’abord remplir une première condition appelée “condition de statut”, c'est-à-dire, faire
partie d’une des catégories suivantes :
• conjoints ou conjoints séparés de fait
• enfants
• ascendants (parents, grands-parents ou beauxparents)
• cohabitants.
Lorsque vous devenez membre d’une mutualité,
vous êtes inscrit soit en tant que “titulaire”, soit en tant que
“personne à charge”. Cette distinction est importante car le
calcul de certaines cotisations en dépendra.
Dans ce cas, quelles conditions doivent être remplies pour
être “personne à charge” ou “titulaire” ?
LA COHABITATION
Pour remplir cette condition de cohabitation, il faut que la
“personne à charge” ait la même résidence principale
que le titulaire. Toutefois, cette cohabitation n’est pas
obligatoire pour les descendants et surtout pour les
conjoints séparés.
La mutualité tient également compte d’autres facteurs
pour déterminer votre “qualité” comme vos revenus et
activités professionnelles ainsi que votre domicile. C’est
ce que l’on nomme “la condition de revenu” et “la condition de cohabitation”.
La cohabitation est établie par :
• l’attestation électronique émanant du Registre
National ou
• une composition de ménage délivrée par l’Administration communale
VOS REVENUS
PLUSIEURS QUALITÉS
Pour être inscrit auprès de votre mutualité en qualité de
“personne à charge” vos revenus trimestriels ne peuvent
excéder un montant maximum.
Comme presque chaque année, ce montant à ne pas
dépasser est indexé. Aussi, depuis le 1er octobre 2006, ce
montant maximum est de 2.024,93 euros brut par trimestre. Auparavant, il était de 1.985,22 euros.
Il se peut que vous puissiez prétendre à plusieurs qualités de “personne à charge” à la fois.
Dans ce cas, l’ordre de priorité suivant doit être scrupuleusement respecté :
1. conjoint - 2. enfant - 3. ascendant - 4. cohabitant.
En outre, seuls les revenus suivants sont pris en compte :
• professionnels,
• de remplacement (chômage, incapacité de travail, etc.),
• les pensions alimentaires payées au conjoint séparé
lorsque ce dernier est inscrit à charge d’un autre titulaire que son conjoint dont il est séparé,
• le revenu d’intégration sociale
• la GRAPA (garantie de revenu aux personnes âgées)
• les rémunérations de présidents de CPAS ou autres
mandats politiques.
EXCEPTION : le jeune qui va habiter avec sa “copine”,
titulaire, peut être inscrit à charge de celle-ci en tant que
“partenaire cohabitant” quand bien même il justifie
encore une qualité d’enfant (moins de 25 ans).
En revanche, si vous ne pouvez prétendre qu’à une seule
qualité de “personne à charge” mais auprès de plusieurs
titulaires, votre inscription dépendra :
• des soins de santé en assurance obligatoire ou
• de l’âge du titulaire
• des lieux de résidence
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PANORAMA
Exemple : Un enfant âgé de 9 ans dont le père est salarié, la mère est indépendante “gros risques” et vivant
sous le même toit sera inscrit à charge du père. Ce dernier est en effet celui qui bénéficie le plus d’interventions
en soins de santé.
EXCEPTION : lorsqu’un indépendant a droit à tous les
risques, comme les salariés, l’enfant est inscrit à charge
du plus âgé des parents vivant sous le même toit (starter, Grapa, handicapés, invalides).
En résumé :
Même droits
Droits différents
Même domicile
Domiciles différents
A charge du plus âgé
A charge de celui
qui a l’entretien
A charge de celui qui offre
le plus de droits en assurance obligatoire
VOS DROITS EN TANT QUE “PERSONNE À
CHARGE”
En qualité de “personne à charge”, vous avez droit aux
soins de santé, mais pas aux indemnités. Vous bénéficiez
des mêmes interventions que votre titulaire, sauf si vous
bénéficiez de l’intervention majorée, c'est-à-dire d’un
remboursement plus important de vos soins de santé
alors que votre titulaire n’y a pas droit.
EXCEPTIONS : Les personnes reconnues handicapées et
les personnes bénéficiant d’un avantage social (revenu
d’intégration social, aide sociale CPAS, allocation d’handicapé et Grapa).
Vous souhaitez obtenir plus d’informations sur les qualités de “personne à charge” et “titulaire” ? Prenez contact
avec votre mutualité.
VOULEZ-VOUS GAGNER 1.000 EUROS ?
Seriez-vous prêt à changer vos habitudes de consommateur si c’était au
bénéfice de l’environnement et si cela
pouvait vous rapporter plus de 1.000
euros par an ?
Pour les intéressés, le CRIOC a lancé
une campagne en ligne www.gagnez1000euros.be qui
propose au consommateur de faire des économies dans
une série de domaines tout en modifiant ses comportements en faveur de l’environnement. Ce site, illustré de
visuels décalés et animés présente une vue globale couvrant différents postes du budget des ménages.
En remplissant le questionnaire en ligne, le consommateur peut identifier les économies déjà réalisées et les
économies encore envisageables.
Par exemple, lorsque vous vous brossez les dents, utilisez-vous un gobelet pour vous rincer la bouche ou
PROFIL DE LA VIE
Ont collaboré à ce numéro :
Sandrine Caignau, André Coart,
Myriam Lefrancq, Cécile Avril,
Sandrine
Vandermaesbrugge,
Christian
Horemans,
Pascale
Janssens et Nathalie Renna
Imprimerie : Moderna
Photogravure : PrePress Xtensions
PANORAMA
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laissez-vous l’eau couler ? Utiliser un
gobelet peut vous permettre à terme de
faire des économies sur le budget du
ménage. Ce n’est pas tout : sachez également qu’en lavant votre linge à basse
température (de 40 à 60°), vous économisez jusqu’à 35 % d’énergie.
Vous trouverez également sur ce site, réalisé avec le
soutien du Ministre Wallon de l’environnement, de nombreux trucs et astuces pour économiser votre argent sur
des thématiques telles que le chauffage, les courses, les
déchets, les achats, l’eau, l’énergie et l’alimentation.
Bref, une bonne adresse pour tous ceux qui considèrent
qu’épargner son argent rime avec épargner l’environnement…
Source : CRIOC, www.gagnez1000euros.be
Secrétariat de rédaction :
Inge Isecke, Nathalie Renna et Sandrine Vandermaesbrugge
Composition : Marinella Cecaloni
Couverture : Belpress
Photographies : Belpress - Isopix - (hors voyages)
Editeur responsable : Jacques Jonet - Rue Natalis 47b - 4020 Liège
Aucun article publié dans ce magazine ne peut être reproduit (totalement ou
partiellement) sans l’autorisation préalable de la rédaction.
Règlement des concours sur www.mut506.be
DROIT
LE RÔLE DU MÉDECIN-CONSEIL
D’UNE MUTUALITÉ
CONTRÔLE DE L’INCAPACITÉ DE TRAVAIL
Sur base du certificat que l’assuré lui aura transmis et
en application des critères légaux de l’incapacité, le
médecin-conseil reconnaîtra ou pas l’incapacité. Le certificat établi par le médecin de l’assuré devra mentionner
la symptomatologie ou le diagnostic à l’origine de l’incapacité.
Le médecin-conseil vérifiera si les conditions de l’incapacité sont remplies à savoir :
• l’assuré n'est plus en mesure de travailler en raison
d'une maladie ou d'un accident
• l’assuré doit avoir cessé toute activité et un lien de
causalité doit exister entre la cessation de l'activité et
l’apparition ou l'aggravation des lésions. En outre, sa
"capacité de gain" doit, en raison de lésions et de
troubles fonctionnels, être réduite d'au moins 66 %
par rapport à la profession habituelle (six premiers
mois) ou au marché professionnel de référence ( dès le
7ème mois après les six derniers mois). *
Le médecin-conseil peut convoquer l’assuré pour évaluer
le degré de l’incapacité. Le nombre de convocation(s)
dépendra de la situation médicale de l’assuré. L’assuré a
l’obligation de répondre aux convocations du médecinconseil sous peine de se voir privé d’indemnités.
Avant la fin de l’incapacité primaire (d’une durée d’un an),
le médecin-conseil transmet un rapport au Conseil-médical de l’invalidité de l’INAMI et propose une période d’invalidité. Le médecin-conseil reste cependant compétent
pendant la période d’invalidité. Il peut ainsi soit mettre fin
à l’invalidité soit continuer à convoquer l’assuré.
Le médecin-conseil peut également donner son autorisation préalable à une reprise d’activité partielle, appelée plus communément mi-temps médical.
Le médecin-conseil remplit de nombreuses missions
au sein de la mutualité.
Si l’assuré souhaite effectuer du bénévolat, l’accord
préalable du médecin-conseil est requis sauf si l’activité
entre dans le champ d’application de la loi du 3 juillet
2005 sur le volontariat. Dans ce cas, l’accord préalable
n’est pas exigé. Toutefois, par mesure de prudence, il est
conseillé de demander l’accord du médecin-conseil
avant d’entamer toute activité bénévole.
Le médecin-conseil peut demander à l’INAMI une prise
en charge d’un programme de réadaptation professionnelle.
AUTORISATION PRÉALABLE
DE REMBOURSEMENT
Certains médicaments ou traitements ne sont remboursés qu’après l’accord du médecin-conseil.
Ainsi, certains médicaments sont soumis à des conditions de remboursements particulières édictées pour
raisons médicale(s) et ou budgétaire(s). Le médecinconseil évalue si l’affilié répond aux exigences légales
pour bénéficier de l’intervention de la mutualité.
Pour les traitements nécessitant un accord a priori, nous
pouvons citer par exemple la logopédie, l’orthodontie,
certaines prestations en kinésithérapie …
CONTRÔLE
Contrôle a postiori sur l’octroi des soins de santé (hospitalisations, médicaments, prestations médicales).
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DROIT
AUTORISATION DE RECEVOIR DES SOINS À
L’ÉTRANGER
Hors ces pays, l’accord préalable du médecin-conseil
doit être demandé.
Le médecin-conseil peut permettre à un assuré qui en
fait la demande de se faire soigner à l’étranger si le traitement n’est pas possible en Belgique.
Nous vous rappelons qu’en principe, la décision du
médecin-conseil est susceptible d’appel auprès du
Tribunal de travail dans les 3 mois qui suivent la notification de la décision.
AUTORISATION DE QUITTER LA BELGIQUE
EN CAS D’INCAPACITÉ
Lorsque l’affilié souhaite se rendre dans un pays de
l’union européenne, au Liechtenstein, en Suisse, en
Norvège, en Islande, celui-ci doit avertir le médecinconseil afin d’éviter de manquer une convocation.
* Pour le régime indépendant :
- l’assuré doit avoir cessé complètement ses activités
d’indépendant (et toute autre activité)
- la cessation doit être la conséquence directe de
lésions ou troubles fonctionnels.
DU NOUVEAU
DANS LE TRAITEMENT
ORTHODONTIQUE
Pour plus d’informations sur les conditions de remboursement
de l’orthodontie, prenez contact avec votre mutualité.
L’orthodontie est une spécialité qui permet notamment de
corriger les malformations dentaires de vos enfants telles
que les chevauchements, les dents avancées ou une mauvaise
position de la mâchoire. Le traitement orthodontique peut
prendre deux à trois ans et est généralement assez coûteux
(de 1.500 à 2.500 euros en moyenne). Depuis le 1er décembre,
deux nouvelles modifications sont entrées en vigueur : l’âge
limite a été repoussé d’un an et une prestation spécifique de
plus est remboursée.
NOUVEL ÂGE LIMITE
Pour bénéficier du remboursement du traitement orthodontique de votre enfant, vous introduisez une demande
d’intervention auprès du médecin-conseil pour accord,
avant que votre enfant n’ait atteint son 15e anniversaire.
Auparavant, l’âge limite était de 14 ans. Cette demande
d’intervention est composée d’une attestation de soins
donnés complétée par l’orthodontiste, accompagnée de
l’annexe 60, également fournie par le spécialiste.
UNE PRESTATION REMBOURSÉE DE PLUS
Les prestations orthodontiques se divisent en 3 groupes :
• L’examen préliminaire
• Les forfaits (pour le traitement régulier, l’appareillage
et le contrôle de contention)
• Les prestations spécifiques.
Tout traitement d’orthodontie démarre, en effet, toujours
par un bilan comprenant une consultation, la prise d’empreinte des deux arcades, la confection des moulages,
l’établissement du diagnostic et du plan de traitement et
enfin, la rédaction d’un rapport.
Cet examen est remboursé par votre mutualité même si la
demande de remboursement du traitement est refusée
par le médecin-conseil.
DROIT
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Selon le plan de traitement préconisé, vous pourrez vous
acquitter du montant forfaitaire soit mensuellement soit
par traitement.
Il est également possible que votre enfant ait besoin de
prestations spécifiques comme par exemple :
• un avis ou un examen orthodontique
• la confection des modèles d’étude des deux arcades
• l’analyse céphalométrique (mesures prises sur base
d’une radiographie).
Depuis le 1er décembre, cette dernière prestation est
également remboursée.
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S
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intervention forfaitaire de 250 € par traitement
orthodontique
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MINI DOSSIER
NON, LA MIGRAINE
N’EST PAS UNE FATALITÉ !
NE PAS CONFONDRE MIGRAINE ET MAL DE
TÊTE
Qui n’a jamais souffert de maux de tête au moins une fois
dans sa vie ? Dans certains cas, il s’agit de douleurs passagères et exceptionnelles. Pour les autres, c’est peutêtre de migraine dont il s’agit. Pour distinguer la migraine du simple mal de tête, une série de critères ont été
définis par l’International Headache Society :
• les crises durent entre 4 et 72 heures
• la douleur se situe dans une moitié du crâne, est invalidante, pulsatile (sous forme de battements) et aggravée par l’effort physique
• la douleur s’accompagne d’une intolérance à la lumière ou au bruit, de nausées ou de vomissements
• au moins 5 crises répondant à ces critères ont été
observées
• tous les autres examens neurologiques sont normaux.
Si vos ‘maux de tête’ correspondent à ces critères, vous
souffrez probablement de migraines. Dans ce cas, il est
préférable de consulter un médecin afin de poser un diagnostic correct et entreprendre un traitement adéquat.
Les maux de tête : vous connaissez certainement. Mais seriezvous un migraineux qui s’ignore ? Ces douleurs que vous attribuez au stress, à la fatigue, etc. ne seraient-elles pas plutôt la
manifestation de migraines ? Très fréquentes, les migraines
touchent plus d’un Belge sur dix. Parmi eux, la moitié ignore
que cette affection peut être traitée de manière efficace.
QUELQUES CHIFFRES…
La migraine touche :
• 10 % des Belges
• 2 à 10 % des hommes
• 5 à 25 % des femmes
• 4 % des enfants
Dans le monde :
• on dénombre plus de 3.000 crises chaque jour par millions d’habitants;
• selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) la
migraine figure parmi les 20 causes principales d’incapacité de travail.
LES ÉTAPES D’UNE MIGRAINE
MIGRAINE ≠ CÉPHALÉE DE TENSION
Les céphalées de tension sont une sorte de ‘mal de tête’
très répandu. Elles sont toutefois différentes de la
migraine classique de par leurs caractéristiques.
La durée d’une céphalée de tension peut, en effet, varier
de 30 minutes à 7 jours. La douleur, légère à modérée,
se manifeste ‘en casque’, est associée à une impression
de tension musculaire au niveau de la nuque et ne s’accompagne pas de nausées et vomissements. Les céphalées de tension n’entravent pas l’activité quotidienne
normale.
Théoriquement, la crise de migraine se divise en quatre
phases :
➘ Les signes annonciateurs : tels que la fatigue, les changements d’humeur, une sensibilité accrue à la lumière, au
bruit ou aux odeurs. Cette première phase dure de
quelques heures à quelques jours. Elle n’est pas toujours
présente.
➘ L’aura : survient environ 20 minutes à 1 heure avant la
crise. Cette deuxième phase n’est présente que chez une
minorité de patients (20 %). Les auras les plus fréquentes sont ophtalmiques (ou visuelles) et elles se
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MINI DOSSIER
caractérisent par des taches brillantes ou scintillantes
dans le champ visuel, comparables à des flash ou des
éclairs. Les auras peuvent également se manifester
sous forme de troubles sensoriels (engourdissements,
fourmillements, etc.) ou de troubles du langage.
➘ Les céphalées : correspondent à ce que l’on nomme
communément les “maux de tête”. Les céphalées sont le
plus souvent localisées d’un côté de la tête. Toutefois,
cela peut varier d’une crise à l’autre.
➘ La résolution : est la dernière phase de la crise. Des
symptômes peuvent encore se faire ressentir. La situation n’est pas encore rentrée dans l’ordre.
La fréquence des migraines est tout à fait variable. Elles
sont tantôt quotidiennes, tantôt espacées de plusieurs
mois. Le plus souvent, elles sont invalidantes et peuvent
sérieusement entraver la vie professionnelle, sociale et
familiale de la personne qui en souffre. Or, la sévérité
des migraines est souvent sous-estimée, non seulement
par le migraineux lui-même qui n’a pas toujours
conscience de son affection et qui privilégie l’automédication mais aussi par son entourage familial et professionnel. La personne qui souffre de migraine se voit parfois dans l’obligation d’annuler ses activités ou est incapable de se rendre au travail. Ce faisant, elle se heurte à
l’incompréhension générale “tu t’absentes de ton travail
pour un simple mal de tête ?!” ou encore “prends un
médicament et rejoins-nous !” De tels propos n’accélèrent en rien le rétablissement du migraineux…
Quelques migraineux célèbres…
Blaise Pascal (1623-1662)
Victor Hugo (1694-1778)
George Sand (1804-1876)
Frédéric Chopin (1810-1849)
Sigmund Freud (1856-1939)
LES “DÉCLENCHEURS” DE MIGRAINE
Certains facteurs sont connus pour déclencher les
crises de migraine chez une série de personnes :
• l’anxiété, le stress, les soucis, les contrariétés, la
fatigue
• chez les femmes, la période des menstruations peut
être synonyme de migraine. En cause : la chute des
oestrogènes en fin de cycle
• les boissons alcoolisées : notamment le vin blanc
• divers aliments : chocolat, aliments gras et frits, aliments en sauce, fromages, œufs
• le climat : chaleur, luminosité, vent violent, gel,...
Ces facteurs, aussi multiples que variés, sont différents
d’une personne à l’autre et ils peuvent même changer
d’une crise à l’autre chez une même personne.
MINI DOSSIER
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De manière générale, un migraineux peut identifier au
moins 4 facteurs pouvant agir, seul ou conjointement,
sur le déclenchement d’une migraine.
Pour certaines personnes, une bonne gestion de ces
‘déclencheurs de migraine’ suffit à éliminer totalement
les crises. Hélas, pour l’écrasante majorité, la cause de
la maladie est à chercher ailleurs et seul un traitement
approprié peut se révéler efficace.
LA MIGRAINE DU WE
Le WE est pour la plupart synonyme de relâchement, de
‘grasse matinée’, de farniente et de détente. Ce peut être
également une période de douleur pour tous les actifs et
stressés de la semaine qui subissent une telle baisse de
la pression psychologique qu’elle provoque des crises de
migraine.
QUELS TRAITEMENTS ?
Tout d’abord, il faut savoir que la moitié des personnes
souffrant de migraine ne consultent jamais de médecin,
soit qu’elles acceptent de vivre avec, convaincues qu’il
n’existe aucun traitement efficace, soit qu’elles recourent à l’automédication tant bien que mal. Or, s’il n’existe pas encore de traitement capable d’agir directement
sur la cause de la migraine, de nombreux traitements
permettent de soulager efficacement la douleur et
d’améliorer la qualité de vie des migraineux. Tout
dépend de la migraine et de sa fréquence.
Si elle est occasionnelle, attaquez-la de front, lorsque la
douleur se manifeste, avec un antimigraineux aigu.
Attention, cette approche n’est plus efficace si les crises
apparaissent plus de deux fois par semaine. La prise fréquente d’antimigraineux peut, en effet, provoquer encore davantage de migraines !
Un traitement préventif, c’est-à-dire avant que la douleur ne frappe, peut être envisagé si :
• vous souffrez de plus de deux crises par mois
• vos crises sont sévères et invalidantes
• vos crises présentent un schéma régulier (par ex. :
pour les femmes, pendant la période de menstruation)
• vous souffrez de migraine basilaire (auras avec perte
d’équilibre, vue trouble, problèmes d’élocution ou évanouissements) ou hémiplégique (accompagnée de
paralysie temporaire).
Les antimigraineux préventifs sont pour la plupart des
médicaments prescrits dans le traitement d’autres
maladies mais qui se révèlent particulièrement efficaces
contre les migraines.
Par exemple : les neuromodulateurs sont utilisés dans
le traitement contre l’épilepsie, les antidépresseurs luttent contre la dépression et les bêtabloquants contre
l’hypertension. Pour obtenir un traitement adapté et personnalisé, parlez-en avec votre médecin. N’hésitez pas à
lui fournir un maximum de détails sur la douleur, la fréquence, les facteurs déclenchants, etc.
LA LUTTE DES TRIPTANS...
Ces dernières années, le traitement aigu de la migraine a fait un
pas de géant avec l’arrivée des
triptans. La famille des triptans
se compose aujourd’hui de 5
molécules différentes ayant chacune sa force thérapeutique et
ses effets indésirables. Ces
médicaments spécifiques à la
migraine, agissent sur la sérotonine et resserrent les vaisseaux
sanguins dilatés. Ils sont très
efficaces contre les crises douloureuses : dans 70 % des cas, l’intensité de la douleur
est diminuée, voir supprimée dans les deux heures.
Seule ombre au tableau : des effets secondaires désagréables mais passagers tels que des fourmillements ou
des sensations d’oppression dans la poitrine chez certains patients.
Attention : les triptans ne sont conseillés qu’en cas de
migraine avérée. Ils n’ont aucune action sur les céphalées de tension ou autre “maux de tête”.
QUELQUES CONSEILS
Un traitement sera d’autant plus efficace si vous y mettez également du vôtre.
Quelques efforts, quelques changements dans votre
mode de vie peuvent faire toute la différence.
✔ Tout d’abord, apprenez à mieux connaître votre corps
et sa manière de fonctionner. Vous serez alors plus à
même d’anticiper une crise potentielle.
✔ Essayez d’identifier vos déclencheurs de migraine
personnels. Faites en sorte de les réduire.
✔ Evitez le tabac surtout s’il est associé à une pilule
contraceptive.
✔ Mangez sainement et à intervalles réguliers.
✔ Dormez suffisamment.
✔ Faites du sport ou suivez un cours de relaxation.
✔ L’acupuncture et le biofeedback (technique qui mesure les phénomènes physiologiques, à l’aide d’appareils électroniques) donnent également des résultats
chez certaines personnes.
I
N
F O
S
www.cephalee.be : site de la Ligue Belge contre les
Céphalées, avenue de la Conception, 39 à 7020 Nimy.
Tél. : 065/31.29.78 (après 18h)
E-mail : [email protected]
www.echappezalamigraine.be : un site qui vous veut du bien
L’illustration de la page d’accueil du site www.echappezalamigraine.be résume à elle seule combien le quotidien peut être entravé par la migraine. On y voit une jeune femme se préparant à sortir. Au dessus de sa
tête, comme des épées de Damoclès, des marteaux sont en suspension dans l’air. Lui tomberont-ils sur la
tête ce soir ? Ou demain ? Ce site entend démontrer que la migraine n’est pas une fatalité à laquelle il faut
se résoudre. Au contraire, c’est une maladie à prendre au sérieux, à bras le corps. Pour commencer, faites
le test de migraine. Vous pourrez également télécharger un calendrier sur lequel reporter vos crises de
migraine. C’est le premier pas vers la guérison. Vous y trouverez également des informations sur les différents types de migraine, sur les traitements et des conseils de prévention. Bref, une adresse incontournable
pour les migraineux en Belgique.
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MINI DOSSIER
PROMOTION SANTE
LE SPORT ET LA SÉCURITÉ :
ne courez pas
des risques inutiles !
Pour garder la santé, l’Organisation Mondiale de la Santé préconise au minimum 30 minutes d’activité physique modérée
par jour. C’est-à-dire bouger sans parler pour autant de sport.
Or, la pratique régulière d’une activité sportive apporte
d’autres bienfaits. Et pour davantage de plaisir encore, il est
nécessaire que chaque sportif prenne conscience de la notion
de sécurité. Action !
LA SÉCURITÉ DU MATÉRIEL ET DE
L’INFRASTRUCTURE
LA PRÉVENTION DES ACCIDENTS ET DES
BLESSURES PHYSIQUES
Un matériel sportif adapté permet de réduire bon nombre
de blessures/accidents tels que des fractures (ex : en cas
de chutes sur un sol glissant de piscine), des surcharges
musculaires (ex : si vous jouez au tennis avec une raquette trop lourde).
Le deuxième grand principe élémentaire de la sécurité
sportive, après l’équipement, concerne l’échauffement
avant la séance de sport et le stretching après celle-ci.
L’échauffement
L’échauffement a pour objectif d’améliorer les prestations physiques et de prévenir (diminuer) les blessures. Il
influence positivement une série de processus physiologiques : la température de l’organisme augmente, la circulation sanguine circule de manière plus active, les
muscles sont mieux oxygénés et donc mieux préparés à
“travailler”, les poumons sont mieux ventilés.
L’échauffement a également une influence positive sur
les capacités physiques de l’organisme (souplesse, force,
vitesse) et sur le mental (le sportif doit nécessairement
se concentrer pour s’échauffer). Attention aux échauffements mal effectués ! Ils doivent être courts (pas plus de
20 minutes), peu intensifs (vous devez à peine transpirer)
et, bien sûr, adaptés à votre niveau et aux conditions
environnementales (chaleur, altitude).
Tout sportif (débutant, moniteur ou gestionnaire d’un
centre sportif) est concerné par cet aspect.
Cela implique nécessairement de :
• bien choisir les équipements sportifs : que ce soit un
goal de handball, un trampoline, une planche à voile,
des appareils de musculation, des ballons de football,
le type de sol,… des normes européennes sont d’application pour l’infrastructure (certification CE)
• bien les entretenir : un panneau de basket qui se
détache, un frein de vélo qui grince, un ballon devenu
plat, un stick de hockey usé ou cassé,… Cela va de soi!
Tout sportif, si jeune soit-il, est responsable de son
SANTE
propre matériel. Par ailleurs, des organismes
externes procèdent à des contrôles techniques et de
sécurité au sein des clubs et écoles
• choisir un matériel adapté à son âge, sa taille, sa
morphologie : cela couvre tant le matériel nécessaire
(ex : raquette de badminton, lunettes de natation, ballon) que la tenue vestimentaire. Faites preuve de bon
sens : des chaussures de tennis ne sont pas faites
pour être utilisées pour jouer au foot. Privilégiez plutôt la qualité à la quantité !
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Chèques cadeaux Décathlon
Le stretching
Le stretching est une méthode pour entretenir ou améliorer la souplesse de l’organisme au moyen d’exercices
d’étirement spécifiques. Il permet de prévenir les douleurs musculaires après un effort intensif (la sensation
d’être “cassé” un ou deux jours après la séance). C’est
aussi une méthode de relaxation et de prévention des
blessures (les muscles sont étirés donc allongés, mieux
oxygénés et assouplis). Un étirement ne doit pas être
long pour être efficace : cherchez un point d’appui pour
une meilleure stabilité, étirez-vous lentement, respirez
profondément, comptez environ jusque 10 (de 8 à 15
secondes), relâchez et répétez l’exercice 3 à 5 fois de
chaque côté (gauche et droit).
Malheureusement, après une agression, des réactions
psychologiques peuvent surgir : un état de surexcitation,
un épuisement total, une perte de confiance et de motivation.
Que faire ? Surtout ne vous isolez pas, cherchez un soutien social (l’entourage proche, professionnel, sportif),
tentez de chercher un sens positif à cette expérience.
La sécurité, tout comme la santé, est avant tout une notion
“dynamique”: mieux vaut donc ne pas se considérer en
permanence comme “victime” ! En sport, le risque zéro
n’existe pas. Mais chacun est acteur de sa propre sécurité, tout comme chacun l’est pour son propre bien-être…
PLUS D’INFOS ?
LA PRÉVENTION DE L’AGRESSIVITÉ ET DE
LA VIOLENCE
Quelles que soient leur forme, l’agressivité et la violence
constituent un réel problème de sécurité. Elles touchent
à la fois le sportif lui-même (victime ou/et agresseur), le
personnel encadrant, le gérant de l’infrastructure. Un
conflit n’est malheureusement pas le fruit du “hasard” et
ses conséquences sont rarement d’ordre matériel exclusivement.
“Bien” définir la problématique
• Qui se comporte violemment ? Une personne isolée ou
un groupe
• Envers qui, envers quoi ? Un individu, l’infrastructure
• De quel type de comportements s’agit-il ? Une violence verbale, une violence physique
• Dans quel contexte ce comportement se produit-il ?
Contextes temporels (avant, pendant, après la pratique du sport), spatiaux (sur le terrain, dans les vestiaires), institutionnels (un stage, une compétition),
sociaux et émotionnels (enjeu, tension latente)
• Quelles sont les raisons de ce comportement ?
L’histoire personnelle de l’agresseur (sa capacité de
réaction face au stress, ses connaissances, ses émotions) concourt à l’intention qu’il a - ou n’a pas - de
passer à l’acte.
Bon à savoir : certaines réactions telles que trop grande
assertivité, abus de pouvoir, provocation, racisme, abus
de substances illicites, encouragent la violence.
Prévention et gestion de la problématique
Le fait d’être d’un naturel calme, sachant contrôler son
anxiété, évitant les critiques, ouvert au dialogue est,
sûrement, une “arme” non négligeable pour éviter les
situations conflictuelles.
Si vous vous trouvez “au cœur” d’un conflit, vous devrez
apprendre à gérer simultanément plusieurs aspects :
vous-même tout d’abord (vos émotions, votre comportement), la relation avec votre agresseur (soumission,
fuite, négociation), l’environnement (ne vous isolez pas,
appelez au secours).
à gagner sur www.mut506.be
L’asbl Sportplusur élargit le débat. Elle a pour mission
de faire de la sécurité un projet enthousiasmant. En
informant, en rassemblant et en responsabilisant tous
les acteurs sportifs (sportif, animateur, gestionnaire
d’infrastructure sportive, directeurs d’établissements
scolaires) à tous les niveaux. Si le sportif prend luimême de bonnes précautions, il est en droit d’attendre
qu’une sécurité collective (infrastructure, matériel, organisation) s’exerce autour de lui. La réciproque est vraie !
En tant que partenaire structurel, l’OHF (Olympic Health
Foundation) s’implique dans les projets de l’asbl
Sportplusur. En tant que partenaire structurel de l’OHF,
les Mutualités Libres soutiennent la promotion d’une
sécurité active dans le sport.
Nous sommes d’accord : aucune raison ne justifie de
courir de risque ! www.sportplusur.be
Nouvelle brochure du service Promotion Santé
Musclez votre santé !
L’activité physique a de nombreux bienfaits : au niveau de la
santé, de la condition physique et de la forme, bien sûr, mais
également au niveau mental, social, etc. Ce principe est… universel. Quant à vous, personnellement, pouvez-vous déterminer vos propres besoins ? Comment choisir “votre” sport, en
fonction de votre état et de vos envies ? Comment vous y préparer ? Pourquoi attacher tant d’importance à l’échauffement
et au stretching ? La brochure vous permet de réfléchir à toutes
ces questions… et d’y trouver une réponse. Elle propose aussi
des conseils d’entraînement et de nombreux conseils d’hygiène pour une meilleure vie active !
La brochure est disponible gratuitement auprès du service promotion santé de votre mutualité, du bureau local ou également
auprès du : Service Promotion Santé des Mutualités Libres
rue Saint-Hubert, 19 à 1150 Bruxelles
Tél. : 02-778 92 11 - [email protected] - www.mloz.be
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SANTE
SANTE
DÉCODEUR
POUR BÉBÉ
HURLEUR…
Le premier cri de votre bébé vous a ému(e) jusqu'aux larmes :
il est né, il respire ! Les jours suivants, chacun de ses pleurs
soulève en vous une vague de tendresse. Mais voilà, de retour
à la maison, et au fur et à mesure des semaines, les pleurs
peuvent redoubler. Ils surgissent nuit et jour, incompréhensibles, exaspérants parfois. Mais qu'est-ce qui ne va pas, de
quoi votre bébé peut-il donc avoir besoin ?
PLEURER EST UN MOYEN D’EXPRESSION
Pleurer, pour un bébé c'est normal. C'est même une
chose que tous les jeunes parents devraient savoir. On a
tendance à interpréter les cris d'un tout-petit comme le
signe d'un mal-être, mais pleurer, c'est une façon pour le
bébé d'entrer en communication et d’exprimer ses
besoins.
COMPRENDRE LES PLEURS DE BÉBÉ
Pour exprimer ses demandes, votre bébé dispose de tout
un répertoire de pleurs qui vont du simple geignement
au véritable cri de rage, en passant par des modulations
diverses et variées. Difficile de vous y retrouver ! Même si
chaque enfant est unique et possède ses propres intonations, certains types de cris semblent communs à tous
les petits d'homme.
Bébé a faim
Votre bébé émet un son strident suivi d'une inspiration.
Puis, les sons brefs et rythmés s’intensifient à mesure
qu’il s'impatiente. Les cris de faim sont sans doute les
plus faciles à identifier, même s'ils ne coïncident pas forcément avec les heures prévues pour les biberons. La
sensation de faim est à l’origine de la plupart des pleurs
de bébé, en particulier la nuit.
Bébé est fatigué
Votre bébé commence à pleurnicher sans cause apparente : il vient de passer un moment éveillé, d'humeur
charmante, puis, sans transition, le voilà qui se met à
pleurnicher. Vous essayez de le distraire mais c'est pire
encore ! Si les cris de fatigue peuvent survenir à toute
SANTE
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heure du jour, ils sont encore plus fréquents en fin de
journée, lorsque la nuit tombe. Certains bébés pleurent
également tous les soirs avant de s'endormir.
Bébé a envie d’un câlin
Si votre bébé émet des cris de protestations suivis de
gémissements, puis de hurlements, pas de doute : il
s'ennuie ! Las d'être assis ou réveillé depuis un moment
sans que vous ne l’ayez perçu, votre enfant manifeste son
besoin de vous. Il a envie de se nicher dans vos bras, de
respirer votre odeur, de vous entendre parler.
Bébé a mal
Le cri de douleur est souvent vite repéré. S'il s'agit d'une
douleur soudaine, il est perçant et aigu. Impossible de ne
pas réagir immédiatement ! La douleur chronique, elle,
s'accompagne de geignements faibles mais réguliers.
Votre bébé émet une plainte de petit animal blessé. Là
encore, mieux vaut intervenir rapidement.
Bébé est en colère
Et vous devez le savoir ! D'où ces cris particulièrement
aigus, difficiles à supporter sur le plan acoustique, qui
expriment une frustration intense. Il a faim, il a envie de
bouger, il en a assez d'être dans son lit... D'une manière
générale, un bébé se met en colère lorsqu'un de ses
besoins n'est pas satisfait ou qu'il n'est pas compris par
ses proches.
AU-SECOURS, JE CRAQUE !
Les cris d’un bébé mettent les nerfs à rude épreuve. Ils
comptent d’ailleurs parmi les sons les plus bruyants et les
plus stridents que l'on puisse entendre à domicile (ils peuvent atteindre 85 décibels, soit l'équivalent d'une rue animée). Mais surtout ils rendent parfois impuissants !
Sachez-le : les pleurs des bébés ont une fin. Ils débutent
environ autour de la 2e semaine de vie, augmentent jusque
8 à 10 semaines, puis s'apaisent vers la fin du 3e mois. C'est
le moment où les coliques disparaissent, où il commence à
mieux se faire comprendre en diversifiant ses cris.
En grandissant, votre enfant va disposer de nouveaux
moyens pour s'exprimer, notamment le langage, et
même apprendre peu à peu à supporter l'attente et la
frustration... Le plus dur est (presque) passé !
FOCUS
LA VUE DE VOS ENFANTS
Les troubles de la vue se manifestent généralement dès
les premiers mois. Or, s’ils ne sont pas dépistés rapidement, ces troubles peuvent entraîner un retard dans le
développement ou des troubles de comportement.
Inversement, plus vite ils seront détectés, mieux on peut
y remédier.
C’est aux premiers mois de la vie qu’apparaissent en général les
déficiences visuelles. Or, à ces âges, l’enfant est incapable de
s’exprimer et d’évaluer s’il voit bien ou mal. La vigilance des
parents est dès lors primordiale pour dénicher les signes avantcoureurs d’un éventuel trouble de la vue.
ETAPE PAR ÉTAPE
Quand l’enfant vient au monde, il ne perçoit visuellement
rien d’autre que la lumière. Toutes les personnes et les
objets qui croisent son regard ne sont que des surfaces
floues, dans les tons jaunes et rougeâtres.
10 JOURS
Bébé voit mais durant quelques secondes seulement.
Ensuite, l’image devient floue.
2 MOIS
Il commence à reconnaître le visage de sa maman. Il fait
un effort pour diriger ses yeux dans la direction d’où provient sa voix.
4 MOIS
C’est l’âge de l’action simultanée main - œil. Il comprend
qu’il peut attraper les objets.
5 MOIS
Maintenant il discerne la bouche et les yeux mais se laisse facilement abuser : un visage dessiné le fait sourire
également.
6-7 MOIS
Il peut discerner son jouet préféré et le repérer dans son
environnement. Si on lui demande “où est ton ours ?”, il
le cherche des yeux.
1-2 ANS
C’est la période la plus importante pour le développement de la vue. Elle va se perfectionner grâce aux promenades, aux jeux.
2-3 ANS
L’enfant saute, cours, grimpe… Son univers s’étend bien
plus loin que la pièce où il vit. C’est à cette période
qu’apparaissent certains troubles.
LES SIGNES À NE PAS NÉGLIGER
Il n’est jamais trop tôt pour remédier à une vue défectueuse. Aussi, pour dépister de la manière la plus précoce possible d’éventuels troubles de la vision chez votre
enfant, soyez attentifs aux signes suivants :
• clignements d’yeux très fréquents
• froncement des sourcils
• yeux rouges qui pleurent ou piquent
• fatigue et maux de tête au retour de l’école
• douleur dans la nuque
• l’enfant dessine, écrit et lit le nez collé à son cahier, à
son livre
• il confond certaines lettres
• il lui arrive de loucher
• il est exagérément sensible aux fortes luminosités.
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FOCUS
Nos yeux sont des biens précieux mais fragiles. Aussi,
pour votre enfant, mieux vaut ne prendre aucun risque et
signaler la moindre anomalie à votre médecin, pédiatre
ou ophtalmologue.
ment sera accordé après un an ou lorsque la dioptrie
évolue de 0,5 par rapport à la fourniture précédente.
En outre, une intervention forfaitaire dans les frais de la
monture est également offerte, quelle que soit la dioptrie.
QU’EST-CE QU’UNE DIOPTRIE ?
Si vous avez une question ou un doute, n’hésitez pas à
contacter votre mutualité pour obtenir de plus amples
informations.
La dioptrie est un chiffre positif ou négatif qui reflète la
correction visuelle apportée par des lunettes ou des lentilles pour avoir une vue optimale.
Ex. : lorsqu’une myopie est de -3 dioptries, il faut un
verre de lunettes de -3 dioptries pour avoir une vision
maximale.
LES REMBOURSEMENTS POUR
VOS ENFANTS
En règle générale, pour les enfants de moins de 12 ans,
quelle que soit la dioptrie, les verres de la première paire
de lunettes sont remboursés. La fois suivante, les verres
ne seront plus remboursés SAUF s’il s’agit de verres
dont les dioptries se situent entre - 4,25 et - 8,00 ou entre
4,25 et 8,00. Dans ce cas, le remboursement peut être
renouvelé à chaque variation d’au moins 0,5 dioptrie, en
sphère ou en cylindre*, par rapport à la fourniture précédente. A partir d’une dioptrie de ± 8,25, un rembourse-
* Les verres en cylindre permettent de corriger l’astigmatisme. Sa puissance et son axe sont écrits entre parenthèses sur les ordonnances de lunettes ou lentilles.
Les verres en sphère permettent de corriger la myopie,
l’hypermétropie et la presbytie. Ils sont concaves pour la
myopie et convexes pour l’hypermétropie et la presbytie.
V O
S
P
L
U
L’assurance complémentaire intervient à raison de
50 € pour les assurés de moins de 18 ans et à raison
de 25 € pour les 18 ans et plus dans les frais d’achat :
• d’une monture destinée au port de verres correcteurs
• de lentille(s) de contact correctrices(s)
• de verres correcteurs
LE SAVIEZ-VOUS ?
À la naissance, tous les enfants ont les yeux bleu sombre en raison des neuf mois qu’ils viennent de passer dans l’obscurité. Ce n’est que vers six ou sept mois que l’iris prend sa couleur définitive. Les parents
transmettent à leurs enfants la couleur de leurs yeux par leurs gènes. Ainsi, si un homme aux yeux bruns,
portant deux gènes bruns (l’un provenant de son père, l’autre de sa mère), s’unit à une femme aux yeux
bleus, leurs enfants auront tous les yeux bruns (puisque le caractère brun est dominant et le bleu dominé).
Toutefois, ils porteront un gène des yeux bruns et un gène des yeux bleus dans leur ‘patrimoine héréditaire’. Si plus tard, un de ces enfants s’unit à une personne aux yeux bruns, portant également les deux caractères, leur enfant pourra avoir les yeux bleus alors que père et mère ont les yeux bruns.
FOCUS
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S
INTERNATIONAL
TRAVAILLER
À L’ÉTRANGER
Détachement dans l’Espace
Economique Européen et en Suisse
QU’EST-CE QU’UN TRAVAILLEUR
DÉTACHÉ ?
Un travailleur détaché est un travailleur salarié ou indépendant qui part travailler à l’étranger pour son
employeur ou son client, pour une période déterminée,
et qui continue de payer ses cotisations sociales en
Belgique.
La législation européenne -qui s’applique dans l’Espace
Economique Européen (Union Européenne + Norvège,
Liechtenstein et Islande) et en Suisse- détermine très
précisément les droits d’un travailleur détaché.
Le domicile du travailleur est par ailleurs un facteur
déterminant.
CARTE EUROPÉENNE D’ASSURANCE
MALADIE (CEAM)
Si vous gardez votre domicile en Belgique, vous n’avez
aucune démarche administrative à entreprendre vis-àvis de l’Office National de Sécurité Sociale (ONSS).
En effet, les soins médicaux nécessaires dans le pays de
travail peuvent être couverts par la CEAM. Vous recevez
cette carte gratuitement sur simple demande auprès de
votre mutualité. Etant donné que la CEAM est un document personnel, les membres de votre famille doivent
également demander leur propre carte s’ils vous accompagnent à l’étranger.
Dans le pays de travail, les frais médicaux seront pris
en charge ou remboursés à condition que vous ayez
présenté votre carte à l’administration de l’hôpital ou à la
mutualité étrangère compétente.
Vous travaillez pour une multinationale en Belgique et votre
employeur souhaite vous envoyer un an en Tchéquie pour
organiser une nouvelle filiale à Prague.
Saviez-vous qu’il existe des règles particulières
pour les travailleurs détachés ?
LES FORMULAIRES E101, E102 ET E106
Si vous déménagez dans le nouveau pays de travail, vous
devez demander une preuve de détachement auprès de
l’ONSS. La preuve de détachement E101 est délivrée
pour un maximum de 12 mois. Vous pouvez prolonger le
détachement pour une nouvelle période de 12 mois
(preuve de détachement E102).
Vous (ou votre employeur) pouvez demander ces documents via les sites Internet suivants :
• www.securitesociale.be si vous êtes salarié
• www.rsvz-inasti.fgov.be si vous êtes indépendant
Vous devez ensuite demander un formulaire E106 à votre
mutualité et lui remettre une copie du formulaire E101
ou E102.
Grâce au formulaire E106, vous bénéficierez
des mêmes droits que les habitants dans le
pays de travail.
N’oubliez pas que les membres de votre famille qui vous accompagnent doivent également
être mentionnés sur le formulaire E106.
Vous souhaitez de plus amples informations ?
N’hésitez pas à contacter votre mutualité et
demandez gratuitement notre brochure
“Travailler à l’étranger”.
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INTERNATIONAL
BREVES SANTE
L’EAU DU ROBINET :
DISSIPONS LES MALENTENDUS !
L’eau du robinet souffre,
chez nous, d’une très
mauvaise
réputation.
Selon une étude du
CRIOC, de nombreux
consommateurs considèrent qu’elle n’a pas bon
goût, qu’elle est mauvaise
pour la santé, trop chère
voire carrément non
potable ! Cette perception
négative de l’eau serait
plus présente en Flandre qu’en Wallonie. Même si cela
ne repose sur aucune base scientifique, 77 % des personnes interrogées pensent qu’il est préférable de boire
de l’eau en bouteille. Selon 75 % des interrogés, l’eau du
robinet aurait même mauvais goût. Toutefois, des tests à
l’aveugle ont montré qu’en réalité, peu d’entre eux sont
capables de distinguer au goût, l’eau du robinet des eaux
en bouteille. Près de 4 consommateurs sur 10 pensent
que le calcaire présent dans l’eau du robinet est mauvais
pour la santé. Dans le même temps, 6 consommateurs
sur 10 pensent que les eaux en bouteille sont meilleures
parce qu’elles contiennent du calcium. Or, qu’elle vienne
du robinet ou de la bouteille, l’eau peut contenir
le même carbonate de
calcium.
Pour 30 % des interrogés,
l’eau du robinet n’est pas
potable. De plus, 39 %
d’entre eux considèrent
qu’une analyse de l’eau
est nécessaire à chaque
fois qu’on en consomme.
Or, il faut savoir que la
potabilité de l’eau est garantie par plus de 50 paramètres
de qualité définis par la législation européenne. Les
compagnies distributrices d’eau sont tenues de les respecter et d’opérer des contrôles réguliers. Ce niveau
d’exigence est plus élevé que pour l’eau en bouteille.
Quant au prix de l’eau du robinet, 6 consommateurs sur
10 le trouve trop élevé. Près de la moitié pense même
que l’eau du robinet est plus chère que l’eau en bouteille.
Pourtant, en comparaison, elle est de 100 à 300 fois
moins chère que l’eau en bouteille. Dès lors, n’hésitez
pas à en boire sans modération…
Source : CRIOC
CONCOURS
Au coeur de l’eau !
Découvrez en famille le magnifique centre de découverte de l’eau et de ses secrets
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Quel est le prénom de la mascotte du centre ?
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Source o rama : 04-364 20 20 - www.sourceorama.com
(Tirage au sort le 27 avril 2007)
BREVES SANTE
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LE MONOXYDE DE CARBONE : UN TUEUR SILENCIEUX
Chaque année, en Belgique, les intoxications au
monoxyde de carbone (CO) causent une centaine de
décès et plus de 2.000 hospitalisations. Les accidents se
produisent surtout le week-end et touchent majoritairement les moins de 30 ans. En cause : principalement les
chauffe-eau. Ce n’est donc pas étonnant de constater
que la moitié des intoxications ont lieu dans la salle de
bain et en hiver, entre novembre et avril. Il faut savoir
que le CO est un gaz incolore, inodore, insipide et non
irritant. Il est normalement libéré de toute combustion
(incomplète) de bois, de charbon, de gaz, de mazout.
Le CO intoxique même lorsqu’il est en faible quantité dans l’air. Les critères suivants vous permettront d’identifier si
vous êtes témoin d’une intoxication au CO :
• toutes les personnes présentes se plaignent, même les animaux se comportent étrangement
• au grand air, les plaintes diminuent
• formation de suie sur les murs autour du chauffe-bain ou sur les casseroles (près d’un réchaud à gaz)
• des flammes jaunes sont apparues pour le gaz naturel, le butane, le propane et le mazout
• de l’humidité ou une condensation anormalement élevée a fait son apparition dans la maison
Face à ces signaux réagissez rapidement ! Même si les symptômes ressemblent à d’autres affections quotidiennes,
ils peuvent entraîner des lésions permanentes, voire la mort si on ne les repère pas immédiatement. Aussi, ouvrez
immédiatement les portes et les fenêtres, débranchez l’appareil et faites sortir toutes les personnes de la pièce.
Téléphonez au numéro d’urgence 100 ou 112 pour les GSM.
Source : Fondation belge des brûlures
LE BELGE A UN PLAT PRÉPARÉ DANS LE VENTRE !
Triste constat à l’entrée de l’hiver. Nous consommons plus de plats préparés que
de plats mitonnés par nos soins. C’est du moins l’une des conclusions de l’étude
menée sur les habitudes de consommation de plats préparés et la part du budget
qu'un ménage consacre à ces plats réalisée par le CRIOC (Centre de recherche et
d'information sur les organisations de consommateurs).
L'évolution des dépenses alimentaires des ménages montre que ceux-ci consomment plus de plats préparés... et moins de produits traditionnels. Les consommateurs restent pourtant sceptiques quant à la qualité des plats préparés, même s'ils
apprécient leur côté pratique et leur variété. De plus, 56 % des consommateurs
estiment également que les plats préparés ont plus de goût que les plats faits
maison. Mais cette appréciation va de pair avec une perception négative de leur
composition (trop sucré, trop gras, trop salé).
Cinq consommateurs sur six en achètent et en consomment 1 à 2 fois par jour en moyenne, ce qui signifie que certains consommateurs mangent des plats préparés plus d'une fois par jour. Au top des plats préparés, on trouve la pizza (surgelée ou fraîche) et le sandwich garni, achetés principalement en grande surface. Le week-end, les consommateurs se tournent plus fréquemment vers les plats livrés chauds auprès
des traiteurs et restaurateurs.
Pour vous aider, consultez notre brochure “Les bonnes recettes d’une alimentation saine” ou demandezla gratuitement à votre Mutualité.
Source : CRIOC
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BREVES SANTE
“Faites-vous plaisir… vivez sainement !”… voilà le slogan du septième Life2, le salon Santé & Mieux-vivre, qui ouvrira
ses portes du 16 au 18 mars 2007 au Brussels Expo.
Le salon Life2 est le lieu idéal pour les consommateurs désireux de trouver une réponse adaptée à leurs questions liées
à la santé et avides de conseils pour maintenir ou améliorer leur qualité de vie et leur santé ainsi que celles de leur
entourage.
Répartis sur 6 secteurs différents mais complémentaires, à savoir Medical, Nutrition, Beauty, Home & Health, Sport
& Adventure et Thalasso, des exposants triés sur le volet viendront présenter leur vision d’une vie saine et d’un
meilleur bien-être.
Le thème de cette année “FAITES-VOUS PLAISIR… VIVEZ SAINEMENT !” n’a pas été choisi au hasard.
Pratiquer un sport, manger équilibré, privilégier des loisirs actifs, vivre dans une habitation saine, suivre une cure thermale ou de thalasso, respecter une bonne hygiène de vie : tout cela demande énormément d’efforts pour la majorité
des Belges.
Pour éviter que le public n’accueille ces recommandations avec scepticisme, Life2 2007 est résolu à divertir ses visiteurs : une vie saine donne du tonus, une bonne condition physique revigore l’organisme et un sentiment de légèreté
assure le plein de vitalité.
Informations pratiques
Du vendredi 16 mars au dimanche 18 mars 2007 inclus
Vendredi 16 mars : de 10h à 21h
Week-end : de 10h à 18h
Vendredi 16 mars : “Men’s Night” dès 18h.
Brussels Expo - Palais 11
Place de Belgique 1 - 1020 Bruxelles
Entrée : 9 euros
Plus d’informations sur www.life2.be
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BREVES SANTE
20
w w w. m u t 5 0 6 . b e
ANDALOUSIE
VOYAGES
CIRCUIT-DÉCOUVERTES
8 jours / 7 nuits
Du 2 au 9 septembre 2007
p Jour 1 : Bruxelles-Séville-Cordoue (D)
Départ vers Séville. Notre 1er arrêt se fera à Carmona pour une promenade à
pied de la Puerta de Cordoba jusqu’à la Plaza San Fernando. Continuation vers
Cordoue. En cours de route, nous découvrirons déjà le charme d’Andalousie avec
ses monuments historiques et ses superbes tours. Nous nous arrêterons à la
Torre de la Calahorra pour admirer la vue panoramique de la ville de Cordoue.
p Jour 6 : Jerez de la Frontera-Séville (P-D)
Jerez, connu pour ses vignobles, l’élevage et le dressage des chevaux et la
sélection des taureaux, est également une ville avec une valeur historique.
Elle fut fondée par les Phéniciens, mais on y retrouve de nombreuses traces
d’autres conquérants. Nous visiterons les écuries de l’Ecole Royale d’Art
Equestre et assisterons même à une leçon d’équitation. L’après-midi, visite
d’une bodega typique avec la possibilité de déguster un xérès (sherry), non sans
p Jour 2 : Cordoue (P-D)
oublier d’apprendre tout ce qui est à savoir sur la réalisation de cette boisson.
Promenade à la plaza del Potro, mentionnée par Cervantes dans son livre « Don Continuation vers Séville.
Quichote ». Nous irons jusqu’à la Puente Romana où nous pourrons remarquer
le niveau original de l’ancienne ville. Puis, continuation le long de la Mezquita p Jour 7 : Séville (P-D)
via les anciennes murailles vers la Judeira et la synagogue. L’après-midi, nous Séville fut la capitale économique de l’empire espagnol au 16e siècle. La ville
visiterons la Mezquita, construite au VIIIe siècle. Ce bâtiment s’utilisait à des fins possède une des plus belles collections de monuments du pays entiers. Nous
religieuses et politiques. Il est un témoin silencieux de l’art étalé par les califes visiterons tous les points culminants dans le domaine de l’architecture. L’Alcazar
pendant leur domination. Retour à pied à l’hôtel. Le soir, possibilité de faire au et ses jardins, la résidence de la famille royale (si elle n’est pas à Séville à ce
moment-là), la cathédrale majestueuse avec la tour Giralda, La Macarena, las
centre-ville une petite promenade en carrosse (facultatif).
Murallas, la junta de andalucia, la Plaza de Toros et le Barrio Santa Cruz avec
p Jour 3 : Cordoue-Ubeda-Baeza-Grenade (P-D)
ses ruelles étroites. Le soir, un repas typique de tapas à l’hôtel, accompagné
Départ pour Beaza et exploration de cette petite ville pleine de monuments. d’un bon verre de vin local.
Nous visiterons ensuite Ubeda, centre de la culture de l’olivier, ville également
connue pour ses façades en style baroque et renaissance datant du 16e siècle. p Jour 8 : Séville-Bruxelles (P)
Cela vaut la peine de visiter son ancien centre-ville. S’il reste encore du temps, Après le petit déjeuner, temps libre pour visiter la ville. Transfert à l’aéroport de
nous nous arrêterons au cloître de la Cartuja. L’après-midi, nous continuerons Séville et vol retour vers Bruxelles.
notre circuit vers Grenade, le point culminant de notre voyage.
Le circuit comprend :
Guide/accompagnateur francophone de Bruxelles à Bruxelles
Les repas selon le programme (P = petit déjeuner, D = dîner du soir)
Les vols avec Sn au départ de Bruxelles
Le transport local en autocar confortable avec climatisation
Les transferts et excursions mentionnés
Les taxes et la tva
Le droit d’entrée et guide local à l’Alhambra
L’assurance annulation
Les services d’un accompagnateur Ligne Bleue
Prix par personne en chambre double :
p Jour 5 : Grenade-Ronda-Arcos-Jerez (P-D)
Départ vers Jerez via Ronda. Une visite de cette ville historique espagnole
aux ruelles très pittoresques, située au bord d’un ravin constitué de pierre
dolomite, est presque obligatoire. Nous visiterons la cathédrale et la Plaza de
Toros, la plus ancienne d’Espagne. Après-midi, continuation vers Grazaleam,
un beau village typiquement maure, par une promenade dans sa rue principale.
Arcos de la Frontera, notre prochain arrêt, est un pueblo blanco (village blanc)
d’Andalousie. Celui-ci est surtout connu pour sa situation frappante parce qu’il
est construit sur un rocher saillant qui s’élève à pic au dessus de la vallée.
Continuation vers Jerez.
Affiliés : 1 095 E
Affiliés en ordre d’AC : 1 056 E
Seniors en ordre d’AC : 1 042,50 E
Suppléments éventuels par personne :
Chambre individuelle : 318 E
Transferts Charleroi/Tournai/Liège vers Bruxelles a/r : 25 E
• Frais accessoires de service : 6,05 E /dossier
Remarque :
Nombre minimum de participants : 20 personnes
Les autres entrées et visites sont à régler sur place : +/- 90 €/pers.
Vos hôtels :
Cordoue : 2 nuits au Cordoba Center**** (ou équivalent)
Grenade : 2 nuits au Princesa Ana**** ou Gran Luna ****
(ou équivalent)
Jerez : 1 nuit au Guadalete **** (ou équivalent)
Séville : 2 nuits au Silken Al Andalus**** (ou équivalent)
Renseignements et inscriptions :
Bd de la Sauvenière, 97b • B-4000 Liège • Tél. 04 221 20 66 • Fax : 04 221 20 83
Aut.: A.1490.LA.TA.: Sauf erreur ou omission
p Jour 4 : Grenade (P-D)
La ville de Grenade dégage un charme inoubliable par sa magnifique situation
au pied de la Sierra Nevada. La visite débute habituellement par la colline de
l’Alhambra. Ensuite, visite guidée à l’Alhambra et aux magnifiques jardins du
Generalife. Cela peut prendre trois heures. L’après-midi, visite de la cathédrale
et de la Capilla Real (chapelle royale). Le soir, possibilité d’assister à une
représentation de Zambra (facultatif). Les gitans vous proposeront une soirée
fantastique au rythme du flamenco, du chant et de la danse.
DJERBA
Départ de
Bruxelles
12 jours / 11 nuits
Du 25 septembre au 6 octobre 2007
Cette île pleine de charme avec de larges plages de sable blanc et du soleil omniprésent
crée une douce ambiance de vacances.
Les excursions vous offrent l’opportunité de visiter l’arrière-pays
authentique : le désert avec des oasis où de petites maisons
blanches sont nichées à l’ombre de grands palmiers-dattiers.
Sur les marchés typiques, vous serez grisé par des couleurs et
parfums exotiques.
Votre hôtel : Riu Palace Royal Garden *****
supérieure avec vue sur mer avec supplément. Une personne dans
une chambre double ou dans une chambre supérieure.
Sport et détente : Piscine d’eau douce (2 000 m2). Transats, parasols,
cabines et serviettes : gratuité à la piscine. Transats et parasols
gratuits à la plage. Piscine intérieure avec bains à remous. Sports
et animations gratuits (voir formule All in). Payant : billard, centre
vital (balnéothérapie et programmes de bien-être professionnels),
sauna, massage et bain de vapeur. Dans les environs et payant :
divers sports nautiques, terrain de golf (27 trous), équitation et
location de vélos.
Formule All In :
Petit déjeuner buffet varié avec produits complets et show-cooking.
Petit déjeuner continental. Déjeuner : buffet avec show-cooking et
choix de desserts repas légers. Goûter (15-17h). Dîner : buffet et
repas préparés à la minute. Buffet à thèmes 3x/semaine. Dîner
alternatif : cuisine orientale au restaurant à thème ’El Mayda’, sur
réservation. Boissons alcoolisées et non alcoolisées nationales dans
les bars et restaurants de l’hôtel (sauf dans le snack-bar à la plage
et à la discothèque) (jusque 00h00).
Ce magnifique hôtel 5 étoiles à l’architecture typiquement orientale,
est situé à quelques pas d’une plage de sable fin. Le complexe se
trouve dans un jardin, en face d’un terrain de golf 27 trous.
Situation : À 200 m de la plage. À 6 km de Midoun et du centre
commercial. À 18 km de Houmt Souk.
Facilités : Salle de récréation. Aire de jeu. Salon de coiffure. Magasins.
Discothèque (entrée gratuite, boissons payantes). Facilités Internet
(payant). Salle de conférence et salle de réunion.
* 4 terrains de tennis (en terre battue avec éclairage), squash, pingpong, fitness.* Sports nautiques : catamaran, canoë, planche à voile,
bateau à pédales. Programme d’animation limité en journée pour
adultes et enfants (4-12 ans) (6x/sem.). Programme Riu en soirée,
spectacles ou musique live (7x/sem.). Entrée gratuite à la discothèque
(boissons payantes). Mini-club.
Repas & boissons : Restaurant. Restaurant à thèmes ‘El Mayda’.
Restaurant Italien (pas en formule all inclusive). Snack-bar à la
piscine, snack-bar à la plage (pas inclus dans la formule all inclusive).
Lobby-bar avec salon et terrasse. Piano-bar avec terrasse. Café
arabe.
Hébergement : Très belles chambres avec salle de bains (sèchecheveux, peignoir), climatisation / chauffage central, téléphone, TVsatellite, petit frigo, coffre-fort (gratuit), coin salon et balcon. Chambre
supérieure, côté mer ou côté terrain de golf avec supplément. Chambre
Prix par personne en chambre double :
Affiliés : 895 E
Affiliés en ordre d’AC : 860 E
Seniors en ordre d’AC : 812,50 E
L’assurance annulation.
Les services d’un accompagnateur Ligne Bleue.
Ces prix comprennent :
Les vols aller/retour Bruxelles – Djerba
Les transferts aéroport / hôtel / aéroport
7 nuits sur base de chambre double en All In comme décrite
ci-dessus.
La tva et les taxes.
Supplément double supérieure : 46,50 E
Supplément double vue mer : 81 E
Supplément Single standard : 160 E
Transferts Charleroi/Tournai/Liège a/r : 25 E
• Frais accessoires de service : 6,05 /dossier
Renseignements et inscriptions :
Bd de la Sauvenière, 97b • B-4000 Liège • Tél. 04 221 20 66 • Fax : 04 221 20 83
Aut.: A.1490.LA.TA.: Sauf erreur ou omission
Suppléments éventuels par personne :
Espagne COSTA DE LA LUZ
8 jours / 7 nuits en All inclusive
Du 9 au 16 octobre 2007
La Costa de la Luz est une région authentique, située sur la côte Atlantique et caractérisée
par une nature superbe, de longues plages, de jolis villages immaculés et un climat doux.
Cette région est non seulement le berceau du flamenco mais elle est aussi réputée pour
sa gastronomie raffinée. En outre, la Costa de la Luz est une destination culturelle offrant
de magnifiques villes comme Xérès, Séville et Cadix.
ClubHôtel Riu Chiclana ****
Ce clubhôtel est construit en style andalou. Il se trouve dans l’un Sports et Détente : pingdes plus charmants endroits de l’Andalousie et borde une de ses pong, tennis (raquettes
et balles avec caution),
plus belles plages.
paddle-tennis, volley,
Ce grand complexe combine parfaitement le confort d’un hôtel pétanque, fléchettes,
traditionnel et l’animation propre à un club. Vous ne vous y ennuierez tir à la carabine, terrain
pas un seul instant. Vivement recommandé !
omnisports, gym, aérobic,
Situation : Situé à 8 km du centre de Chiclana, à 2 km d’un centre jeu de palets, bio-sauna, bain à remous, fitness.
commercial, à 60 km de l’aéroport. Arrêt de bus à 30 m de l’hôtel. Animation : programme d’animation en journée et en soirée pour
Facilités : 2 piscines d’eau douce avec bain à remous, piscine pour adultes et enfants (programme Riu, musique Live ou spectacle),
enfants. Transats, parasols et cabines gratuits à la piscine. Serviettes activités au hobby-club.
incluses contre caution. Piscine couverte.
Hébergement : Chaque chambre est équipée de salle de bains avec
sèche-cheveux, climatisation et chauffage, ventilateur de plafond,
téléphone, TV satellite avec TV5, petit frigo, coffre fort (avec caution),
terrasse ou balcon.
All Inclusive comprend :
Petit-déjeuner buffet varié avec aliments complets et show cooking,
ou continental.
Déjeuner buffet avec show cooking et choix de desserts, repas légers,
gâteaux et cafés. Dîner buffets et plats préparés à la minute, 2 fois
par semaine buffet à thème.
Boissons nationales alcoolisées et non-alcoolisées dans les bars et
restaurants de l’hôtel jusqu’à 24h et à la discothèque jusque 02h.
Prix par personne en chambre double :
Affiliés : 660 E
Affiliés en ordre d’AC : 635 E
Seniors en ordre d’AC : 605,75 E
Ces prix comprennent :
Les vols aller/retour Bruxelles-Jerez
Les transferts aéroport/hôtel/aéroport
7 nuits sur base d’une chambre double en All In
La TVA et les taxes
L’assurance annulation
Les service d’un accompgnateur Ligne Bleue
Suppléments éventuels par personne :
Supplément double supérieure (plus spacieuse) : 27 €
Supplément chambre individuelle standard : 163 €
Transferts Charleroi/Liège/Tournai vers Bruxelles
A/R : 25 €
• Frais accessoires de service : 6,05 E /dossier
Renseignements et inscriptions :
Bd de la Sauvenière, 97b • B-4000 Liège • Tél. 04 221 20 66 • Fax : 04 221 20 83
Aut.: A.1490.LA.TA.: Sauf erreur ou omission
Terrasse, bar-salon, bar « Plaza », restaurant principal, restaurant
à thèmes, restaurant à la piscine, discothèque, salon de beauté et
de remise en forme « Naturomed » avec massages (payants), salon
de coiffure, boutique de souvenirs, hobby club, aire de jeu, facilités
internet (payant).
GRAN CANARIA
10 jours / 9 nuits en demi-pension
du 20 au 29 octobre 2007
Le paysage de cette île est d’une diversité surprenante : des ravins qui
descendent des sommets pour aboutir à la mer, des montagnes recouvertes
d’une végétation tropicale, des zones sablonneuses, de belles plages de sable
fin, des roches volcaniques, et des dunes qui font songer au Sahara.
Les plages sont superbes et les villages typiques. Il y a des ports
de plaisance et de merveilleux paysages, le climat est agréable et
l’infrastructure touristique est absolument parfaite. Gran Canaria
possède tout ce qu’il faut pour que vos vacances soient réussies.
Votre hôtel : Hôtel Riu Palmeras****
Bel hôtel 4* situé dans un jardin subtropical avec nombreux palmiers
et jolies fleurs, véritable oasis de repos. Situation centrale et paisible
à quelque 350 m de la digue de mer. Dans les environs immédiats :
divers restaurants et boutiques. Excellent hôtel pour les promeneurs
et les vacanciers qui recherchent la tranquilité.
Situation et informations : à 350 m de la plage et de la digue de
mer, situé à Playa del Ingles, 10 000 m2 de grand jardin ; 7 étages,
231 chambres ; à 200 m du centre commercial, à 30 km de
l’aéroport.
Facilités : piscine d’eau douce, transats, cabines, parasols et
serviettes de bains gratuits à la piscine. Snack-bar à la piscine,
bar avec salon. Salon pour jouer aux cartes avec tv/vidéo. Salon de
coiffure et boutique. Restaurant avec zone non-fumeurs et terrasse.
Facilités internet (payant).
Sports et détente : ping-pong. Payant : massage, billard et terrain de
tennis avec éclairage. Dans les environs et payants : sports nautiques,
golf, mini-golf, squash et location de vélo. Musique et spectacles.
Repas : petit déjeuner sous forme de buffet varié avec produits
complets et show cooking. Le midi, repas légers au pool/snackbar. Le soir, buffet avec plats chauds et froids et repas prêts à la
minute/plat principal servi à table/ buffet de desserts. 2x/semaine
soirée spéciale.
Hébergement : chambres avec salle de bains (bain/wc, bidet, sèchecheveux), climatisation centrale, moquette, téléphone, musique,
tv-satellite, mini-bar, coffre (payant) et balcon ou terrasse.
L’assurance annulation
Les services d’un accompagnateur
Ligne Bleue
Prix par personne :
Affiliés : 880 E
Affiliés en ordre d’AC : 845 E
Seniors en ordre d’AC : 812,50 E
Suppléments éventuels par personne :
Ces prix comprennent :
Les vols aller/retour Bruxelles – Las Palmas
Les transferts aéroport/hôtel/aéroport
9 nuits sur base de chambre double en demi-pension
Les taxes et la tva
Pension complète : 70 €
Chambre double à usage individuel : 206 €
Chambre individuelle : 158 €
Transferts Charleroi/Tournai/Liège A/R Bruxelles : 25 €
• Frais accessoires de service : 6,05 E /dossier
Renseignements et inscriptions :
Bd de la Sauvenière, 97b • B-4000 Liège • Tél. 04 221 20 66 • Fax : 04 221 20 83
Aut.: A.1490.LA.TA.: Sauf erreur ou omission
Départ de
Bruxelles

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