annexes - Plan Régional Santé Environnement

Transcription

ANNEXES
Annexe 1
Contacts pour la collecte des données
Annexe 2
Compte-rendu des entretiens
Annexe 3
Fiches descriptives des établissements industriels
Annexe 4
Listes des accidents recensés dans la base de données ARIA du
BARPI
Annexe 5
Fiches de renseignements des sites recensés dans la base de
données BASOL
Annexe 6
Modélisation de la dispersion des polluants atmosphériques, Rapport
ARIA Technologies, Décembre 2012
Annexe 7
Résultats des calculs de risques sanitaires
Annexe 1
Contacts pour la collecte des données
BG
Annexe 1:
Liste des principaux contacts
Contact
Adresse
Organisme
Fonction
Etablissements industriels
ACETEX INTERMEDIATES
Rue Gaston Monmousseau
38150 ROUSSILLON
ADISSEO France SAS
Site de Roussillon
Avenue Berthelot
Saint Clair du Rhône
38556 SAINT MAURICE L'EXIL Cedex
BLUESTAR SILICONES
M.
PUJAL
Responsable HSE
Mme
GUIRONNET
Responsable HSE
BP 66
38150 ROUSSILLON
M.
TROFIMOFF
Responsable HSE
CCI
Port de Vienne Sud - Salaise/Sablons
104 avenue du Port - ZIP
38 150 Salaise-sur-Sanne
M.
DEVAUX
Responsable QSE
EUROFLOAT
312 rue des Balmes
38468 SALAISE-SUR-SANNE
M.
BETTINI
Responsable HSE
GUY DAUPHIN (GDE RECYCLAGE)
ZI PORTUAIRE
38150 SALAISE SUR SANNE
M.
BAUPERE
Service QSE
NOVAPEX
Rue Gaston Monmousseau - Roussillon
M
BARBISAN
Responsable HSE
OSIRIS GIE
M.
KRESS
Ingénieur Environnement
M.
LARADI
Rresponsable site
SOGIF (AIR LIQUIDE)
Mme
ADDAR
M.
BAR
Responsable HSE
Ingénieur HSE
RHODIA OPERATION
Mme
Petit
TERIS Spécialités
38556 SAINT MAURICE L'EXIL
M.
LANET
TREDI
Centre d'incinération de Salaise
ZI Portuaire de Salaise sur Sanne
519, rue Denis Papin
M.
BONNAMICH
M.
M.
GRATTAGLIANO
BERTRAND
M.
BOURSON
Représentant des CHSCT
Responsable QHSE
Directeur d'Usine TERIS RON
Responsable QSSE
Représentant du CHSCT ADISSEO
Secrétaire du CHSCT NOVAPEX
Colelctivités territoriales
Mairie de Chanas
1 place de la Mairie
38150 Chanas
1er adjoint
15 Grande Rue
42410 CHAVANAY
Hôtel de Ville
4, place de l'Edit
38150 ROUSSILLON
15 avenue Jean Vernet
07340 SERRIERES
M.
ROCHE
Maire
Mme
ROBERT
Service urbanisme
Mme
SERRILLON
Mairie de Salaise sur Sanne
19 rue Avit Nicolas
38 150 Salaise-sur-Sanne
Mme
MENGUY
Mairie de Saint Maurice l'Exil
33 rue Commune 1871
38 550 SAINT MAURICE L'EXIL
Mme
ROCHE
Mairie de Saint Rambert d'Albon
Parc Bonrepos
26140 ST RAMBERT D'ALBON
Mme
COINDET
Mairie du Péage de Roussillon
35 rue Adolphe Garilland
38 550 LE PEAGE DE ROUSSILLON
Mr
VIANI
Service urbanisme
Mairie de Sablons
21 route des Alpes
38550 SABLONS
Mme
DI BIN
Maire
Mairie de Limony
Le village
07340 LIMONY
Mr
DUMOULIN
1er adjoint
Mairie de Charnas
Le village
07340 CHARNAS
Mr
SASSOLAT
Maire
Mairie de Peyraud
07 340 PEYRAUD
Mr
BIENNIER
Maire
Mr
GUERRY
Technicien Service Voirie
Mairie de Chavanay
Mairie de Roussillon
Mairie de Serrières
Communauté de communes du Pays
Roussillonnais
0779.01/RN004/Gar
1/2
1er adjointe
Service Sécurité Civile, Santé Publique, ERP et Environnement
Directeur Adjoint
Adjoint environnement
27/09/2012
BG
Annexe 1:
Liste des principaux contacts
Contact
Adresse
Organisme
Fonction
Associations
SAUVONS NOTRE FUTUR
Association des amis de la réserve naturelle de
l'ile de la Platière
Services de l'Etat
DIRE Centre Est
CG 38
DREAL 07
DDT26
17 rue du Stade
38 550 SABLONS
Ferme des Oves
38550 PEAGE DE ROUSSILLON
Service Exploitation Sécurité, Mission Politique d'Exploitation
DDT 42
Cité Grüner
2, avenue Grüner
CS 90509
42007 Saint Etienne cedex 1
ARS 07
2bis rue de la Recluse
BP 715
07007 PRIVAS cedex
ARS 26
ARS 42
ARS 38
13 avenue Maurice Faure – BP 1126 26011 VALENCE Cédex
4 rue des Trois-Meules | BP219 | 42013 Saint-Etienne Cedex 2
17-19 rue Cdt l’Herminier | 38032 GRENOBLE Cedex 1 | France
ARS 38
17-19, rue du commandant l'Herminier
38032 - GRENOBLE CEDEX 1
CIRE
ARS Rhône-Alpes
129, rue Servient
69418 Lyon cedex
M.
GIRARDIN
M.
PONT
Président
Mme
M.
M.
M.
BENLAHRECH
TIRAND
LASAGNI
ABRASSART
Mme
SIEGWART
M.
NEASTA
Responsable cellule Eaux
Mme
M.
Mme
NOYERIE
PERRIN
BOUT
Technicienne Sanitaire
Service Environnement et Santé
Service Environnement et Santé
M.
PIOT
Mme
SCHMIT
M
DELLOYE
Mme
PERSONNAZ
Chargée d'études trafic
Direction des routes / PC Itinisère
Inspecteur des IC
Mission observatoire et prospective
Service Eau et Environnement
Ingénieur sanitaire
Autres
Rhodia Direction de la réhabilitation
environnementale
BP 70026
20 rue Marcel Sembat
69191 SAINT FONS
ATMO Rhône-Alpes
44 avenue Marcelin Berthelot
38030 GRENOBLE
SMIRCLAID
23, route des Alpes
38550 SABLONS
SIGEARPE
Syndicat des Eaux Annonay-Serrières
Syndicat des Eaux Pellussion
BP 227 - Le Péage de Roussillon
38552 SAINT MAURICE L'EXIL
7300 SAINT JEAN DE MUZOLS
Mairie de PELUSSIN
2 Place de l'Hôtel de Ville
42 410 PELUSSIN
DELSOUC
BUFFAT
M.
GOUILLOUD
M.
EYSSERIC
M.
M.
Autoroutes du Sud de la France
0779.01/RN004/Gar
M.
M.
2/2
COTTA
VERDIER
Expert Passif Industriel et Environnemental
Directrice
Directeur/Chargé de Projet
Ancien secrétaire CE de Rhône Poulenc
Responsable Service Technique
Directeur Général des Services
Chef du service Trafics Recettes
27/09/2012
Annexe 2
Comptes-rendus des entretiens
2.1 - Industries
Compte rendu – Relevé de décisions
SEG Pays Roussillonnais - phase 1
Etat des lieux - Collecte des données
No
N/Réf.
Date
13/07/2011
Heure
9h00
Lieu
Site ACETEX de Roussillon
FF0779.01/CR Entretien
S. GARNIER
Lyon, le
20 juillet 2011
Participants (* Excusés)
Nom
M. PUJAL
Mme GARNIER
Société
ACETEX
BG
Fonction
Responsable HSE
Chef de projet
Ordre du jour
1. Collecte des données environnementales
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
DDAE: Dossier de Demande d'Autorisation d'Exploiter
DSH: Débourbeur-Séparateur d'Hydrocarbures
ERS: Evaluation des Risques Sanitaires
BF: Bilan de Fonctionnement
PGS: Plan de Gestion des Solvants
AP: arrêté préfectoral
Distribution
ACETEX
BG
DREAL, UT 38
BG Ingénieurs Conseils SAS - 13 rue des Emeraudes - F-69006 Lyon
Siège social: Immeuble METROSUD, 1, bd Hippolyte Marques - 94200 Ivry sur Seine - SAS au capital de 216 800 €
RCS Lyon 2007B04453 - SIRET 303.559.249.00121 - Code APE 7112B
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
SEG Pays Roussillonnais - phase 1 Etat des lieux - Collecte des données
Resp.
1.
2/2
Délai
Points abordés / réponses apportées
INFORMATIONS CONFIDENTIELLES
2.
Eléments remis
3.
Eléments à transmettre / préciser
BG Ingénieurs Conseils
L’auteur du compte rendu
S. GARNIER
20 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
26/07/2011
Heure
14h00
Lieu
Site ADISSEO de Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
27 juillet 2011
Nom
Mme GUIRONNET
M. LOUVET
Mme GARNIER
Société
ADISSEO
ADISSEO
BG
Fonction
Responsable Environnement
Responsable Production
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
REX: Retour d'EXpérience
EDD: étude de danger
Distribution
ADISSEO
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Activité:
Production de méthionine destinée à l'alimentation animale (nom commercial Rhodimet)
Rhône Poulenc jusqu'en 2000, puis ADISSEO, sous contrôle de Bluestar
depuis 2006
Production à partir de l'AMTP (=MMP) produit sur le site des Roches et
amené par pipe.
Fabrication:
• HMTBN, intermédiaire pour la fabrication de la méthionine sur le site et
pour le site de Commentry;
• Méthionine;
• Sulfate de sodium.
-
Réglementation ICPE: voir liste complète (à transmettre)
Projet de nouvel AP dans le cadre du projet CICERON: augmentation des
capacités à 75 000 t/an
Modification apportées sur la période 2008-2010:
Augmentation de la capacité de production depuis juin 2010, mais production globalement stable sur 2008-2010 (entre 54 à 60 000 tonnes).
Nouvel AIRMIX depuis juin 2010
Pas d'autre changement significatif
Projet:
Augmentation de la production jusqu'à 75 000 t/an
En place depuis juin 2010 : nouvel AIRMIX. Les rejets juin 2010 - juin
2011 sont à considérer pour une situation représentative.
Etude odeurs prévue en 2012 (cartographie des émissions fugitives)
2 nouveaux stockeurs d'ammoniaque d'ici fin 2011, pas d'influence sur les
rejets
En 2012, pas d'arrêt prévu (une trentaine de jours les années précédentes), augmentation des flux d'émissions en conséquence
Variabilité des rejets: pas de variabilité, rejets continus
Rejet Air canalisés:
2 cheminées: Four FOX et AIRMIX (désodorisation avec produit PHODE,
auparavant javel)
Contrôle continu en SO2 sur le FOX
Campagne annuelle pour les autres paramètres: T, V, Q, NOx, CO, P,
COV
Screening des COV réalisé pour l'AIRMIX dans l'EI, pas de données pour
le FOX dans l’EI
27 juillet 2011
3/4
Rejet diffus: pas d'émissions diffuses, tous les évents sont collectés. Pas
d'estimation.
Pas de mesures disponibles concernant les molécules odorantes (méthylmercaptan, diméthylsulfure, diméthyldisulfure).
Rejet Eau:
Canal 4-3, contrôle continu en entrée du canal: Q, COT, Cyanures, DCO
(hebdomadaire), MES (hebdomadaire)
Eaux de refroidissement et eaux de procédé
Démarche RSDE en cours, 4ème campagne. Résultats de la 1ère et de la
4ème campagne transmis.
Surveillance de nappe: voir OSIRIS et résultats surveillance en cyanures
sur le puits TG26 de 2001- à 2005.
Activités, pratiques historique:
Pas de changement de matière première, process assez stable.
Le FOX est présent depuis 1997 (lancement de l'unité CARMEN), auparavant présence d'un four John Zink, arrêté fin 2001. Les deux fours ont
fonctionné en même temps. Voir résultats de la campagne VERITAS de
2000 et bilan des émissions 1999-2001 pour le four John Zink.
Depuis 2000, traitement du SO2 sur le FOX
Incident/Accident:
Octobre 2006: disfonctionnement de l'AIRMIX Soude, rejet de méthionine
à l'atmosphère (source REX de l'EDD confidentielle, rejet de poussières
parait impossible à la cheminée située à 33 mètres, cette cheminée ne
recueillant que des off gaz des unités, l’envoi de poussières n’est pas réaliste)
Déversement au sol de cyanures de sodium, dans les années 2000, dépollution, puits de fixation. Pas d'éléments disponibles, voir OSIRIS pour plus
de détails.
Pour l'historique avant 1999, voir OSIRIS
Plaintes: Voir Osiris qui centralise les plaintes
Pas de plaintes écrites recensées, hormis deux signalements:
25/01/2010: plainte d'odeur de méthionine aux environs d'Anneyron,
14/03/2008: odeur de méthionine signalée par une inspectrice au Sud de
l'usine.
Etudes sols ou nappe: voir synthèse dans l'EI, pas d'autre éléments disponibles. Puits TG26 toujours en pompage
Mesures dans les milieux: aucunes. Le FOX est classé comme équipement de combustion (rubrique 2910).
Etude d'impact, modélisation, ERS: voir étude d'impact du projet CICERON
Bilan de fonctionnement: 1999-2005 (transmis en 2007)
27 juillet 2011
4/4
PGS: non soumis
2.
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
3.
•
•
Eléments remis
Questionnaire complété;
Diagramme de présentation des matières premières, intermédiaires, et
produits;
Suivi des rejets air (mensuel) et eau (journalier) 2008-2011;
Rapport annuel, contrôle des émissions FOX et AIR MIX, 2009, 2010,
2011, VERITAS
Bilan des émissions (tonnage annuel) du four John Zink, 1999-2001;
Résultats d'une campagne de mesures des émissions, février 2000,
FOX et John Zink; VERITAS
Etude d'impact, projet CICERON, avril 2010 (non diffusable)
Plan général des canaux, Osiris, 2008;
Résultats du suivi RSDE: 1ère et 4ème campagne (novembre 2010 et
avril 2011), IPL
Suivi des cyanures sur le puits TG26, 2001-2005
Questionnaire mis à jour remis le 22/08
Liste des rubriques ICPE remis le 22/08
ADISEEO
S. GARNIER
27 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
04/10/2011
Heure
10h00
Lieu
Site Air Liquide de Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
4 octobre 2011
Nom
M. LARADI
M. BRUN
Mme GARNIER
Société
Air Liquide France Industries
Air Liquide France Industries
BG
Fonction
Responsable du Site
Responsable Maintenance
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
AP: Arrêté Préfectoral
Distribution
Air Liquide
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Activité: production d'acétylène, conditionnement en bouteille ou livraison
par pipe (Bluestar Silicones)
-
Réglementation ICPE: Site classé Seveso seuil bas, suivant les rubriques:
1417-2 : fabrication d'acétylène
1418-1: stockage d'acétylène (40 t)
stockage acétone (30 m3), stockage de carbure de calcium (150 t), installation de compression,
Capacité de production: entre 500 à 700 t/an (en 2007: 370 000 m3, en
2008: 550 000 m3, année la plus haute)
Historique:
Anciennement SOGIF, devenu Air Liquide France Industries (ALFI) depuis
mai 2011. Présence d'une autre unité Air Liquide sur la plateforme, depuis
environ 2 ans, indépendante du site, production d'hydrogène.
Construction du site entre 2002 et 2003, production démarrée en 2004.
Auparavant, terrain vierge, présence d'une ancienne usine d'acétylène
Rhône-Poulenc jusque dans les années 60/70 (présence d'anciens dépôts
de chaux)
Tour aeroréfrigérante arrêtée en 2009.
Modifications apportées sur la période 2008-2010:
Production automatique depuis décembre 2010 (fonctionnement continu,
week-end compris). Diminution de la régénération du skid de secours,
donc réduction des émissions associées
Depuis 2008 ou 2009, le conditionnement est réalisé en 3*8 (auparavant 2
*7)
Pas de modification du process.
Projet: aucun
Variabilité des rejets: rejets discontinus
- rejets d'acétylène + azote en phase maintenance (concerne 2 évents) +
gazomètre zodiac : pas de mesures disponibles, estimation à fournir en
fonction du nombre d'opération de maintenance / an.
- rejet acétone + azote + acétylène: lors de la régénération du filtre à charbon actif du skid de secours. Estimation à fournir en fonction du nombre
d'opération/an
- stockage d'acétone sous azote: pas d'estimation des émissions disponi-
4 octobre 2011
3/4
ble
- présence d'une chaudière fuel pour le chauffage des bâtiments, pas de
suivi des émissions.
Caractéristiques particulières de fonctionnement: discontinu
Rejet diffus:
- pas d'émissions diffuses sur le process (contrôlé par détection des gaz),
négligeable pour le stockage des bouteilles
- branchement/débranchement des bouteilles lors du remplissage: estimation à fournir
Rejet Eau:
Rejet des eaux pluviales + eaux sanitaires + eau de lavage des filtres à
sables, dans le bassin d’orage, repris par pompage par Osiris
Pas de mesure sur l'effluent, pas de suivi des volumes
Les filtres à sables sont situés sur le réseau d'eau glacée pour le refroidissement des bouteilles (circuit fermé: ruissellement sur les bouteilles et le
sol de l'atelier, ajout de produit antibactérien et antitartre).
Eaux de process en circuit fermé, en partie éliminée avec le lait de chaux
Surveillance de nappe: aucune (étanchéité des bassins de lait de chaux
contrôlée une fois par an).
Activités, pratiques historiques, incidents:
Pas de faits marquants, process identique depuis le début de l'activité
Plaintes: aucune
Etudes sols ou nappe: aucune
Autres mesures dans les milieux: aucunes
Etude d'impact, modélisation, ERS: voir EI à transmettre
Bilan de fonctionnement: non disponible (prévu en 2013)
PGS: non soumis
2.
Eléments remis
•
4 octobre 2011
3.
•
•
•
•
Estimation des flux d'émissions pour la période 2008-2010
• Acétylène en phase de maintenance
• Acétone+acétylène du skid de secours
• Acétylène lors du branchement/débranchement des bouteilles
Caractéristique des sources:
• Position des évents sur un plan, diamètre, hauteur, température, vitesse
• Pour le branchement/débranchement des bouteilles: position et surface de l'atelier, hauteur /sol des branchements
Caractéristique du fonctionnement des sources: nombre d'heure par
opération, nombre d'opération par jour, nombre de jour/an.
Etude d'impact
Air Liquide
4/4
Remis le
12/10/11
S. GARNIER
4 octobre 2011
No
N/Réf.
Date
28/07/2011
Heure
09h00
Lieu
Site BLUESTAR Silicones de Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
29 juillet 2011
Nom
M. TROFIMOFF
M. DEHAN
Mme GARNIER
Société
BLUESTAR Silicones
BLUESTAR Silicones
BG
Fonction
Responsable EHS
Ingénieur Assistance Technique Environnement
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
Distribution
BLUESTAR Silicones
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
Délai
2.
2/2
-
Eléments remis
3.
S. GARNIER
29 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
07/07/11
Heure
9h00
Lieu
CCI -Port de Vienne Sud
S. GARNIER
Lyon, le
8 juillet 2011
Nom
M. DEVAUX
Mme GARNIER
Société
CCI
BG
Fonction
Conseiller QSE
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
DDAE: Dossier de Demande d'Autori- PGS: Plan de Gestion des Solvants
sation d'Exploiter
Distribution
CCI
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Présentation des activités: voir notice
Projet mâchefers mentionné en 2007: abandonné suite au refus de la préfecture, peut être remis à plus tard.
Depuis 2007: nombreux travaux engagés pour la sécurité et l'environnement: étanchéité des sols, collecte et traitement des eaux pluviales.
Port public, limitation d'accès difficile
Présence d'un site Seveso sur la plateforme (Engrais Sud Vienne)
Rejets Eaux: 3 points de rejets (cf. plan)
Zone charbon Z3+Z4 (transit et criblage charbon) + voieries: collectées
vers un bassin de décantation + DSH,
Zone Z2 non étanche (stockage produit fini)
2 autres points de rejet EP de plateforme après traitement par DSH
Les boues du bassin de décantation sont réintégrées au charbon, les
boues des DSH sont remises sur la plateforme.
Utilisation des eaux:
Tonne à eau (prélèvement dans le Rhône, environ 10 000 m3/an): arrosage des voieries
Balayeuse
Nettoyage des chargeuses
Système d'arrosage automatique (alimenté par un puits, environ 3 000
m3/an)
Surveillance Eau / Air depuis 2010 (depuis les travaux de collecte/traitement des eaux)
Avant: pas de ruissellement depuis la zone charbon (cuvette)
Autre ruissellement sur la plateforme: pas de données disponibles
Suivi des Eaux (externe): sur rejet du bassin de décantation/DSH
1 mesure /an : MES+DBO+DCO+HCT
1 mesure /an : MES+DBO+DCO+HCT+Mx
(précédemment: contrôle entrée /sortie pour vérifier l'efficacité du traitement)
Pas de suivi du débit. débit max de rejet de 25 l/s, surface collectée de 2
ha (zones charbon Z3 +Z4 + voiries), variabilité du rejet: importante liée au
EP
Arrêt de l'arrosage et nettoyage en période de gel; fonctionnement environ
10 mois/an
Pas de surveillance des autres points (demandée en fin d'année): pas de
stockage de substances dangereuses, uniquement EP
8 juillet 2011
3/4
Air:
Pas de rejets canalisés
Rejet diffus: 1 campagne de mesure en avril 2010 pour les poussières
Implantation des jauges définie avec ATMO RA
0,21 mg/m2/j en moyenne sur les points de mesures
Variabilité:
Activité forte en hiver, de novembre à mars (70 à 75 % du charbon est
destinée à Osiris), pendant l'été: criblage et mise en stock
Projet:
3 ha de terrain réservé au Sud pour des activités futures (produits minéraux ou inertes, respect des contraintes environnementales)
Suivi des rejets en zone sud
Réfection du poste de distribution gasoil (20 m3) au local maintenance
Bâtiment de stockage de carbonate de sodium (destiné à EUROFLOAT):
projet de couverture des casiers pour limiter les envols de poussières)
Pas de suivi de nappe
Sols: voir EI: diagnostic en 2004/2005 pour l'impact du stock charbon
Historique: port depuis 1984, pas d'activité auparavant
Toujours le même type d'activité et de produits stockés depuis 84
Plaintes: 1 plainte de Sauvons Notre Futur (21/11/2007) avec réponse de
la CCI (10/12/2007)
Nombreux efforts réalisés: arrosage, balayage, capotage des chargeuses:
beaucoup moins de nuisance sur le voisinage
Modélisation, ERS, EI: voir DDAE de 2009
Bilan de fonctionnement et PGS : non soumis
2.
•
•
•
•
•
•
•
3.
•
•
Eléments remis
Questionnaire complété
Notice technique – juin 2011 (présentation des activités)
Plan du site avec localisation des points de rejets d'eaux
Plainte et réponse apportée (Sauvons Note Futur, 21/11/2007 et CCI,
10/12/2007
Plan de localisation des prélèvements de retombées de poussières et
résultats
Etude de Dangers, 2009
Etude d'impact, 2009
Eléments à préciser
Résultats de la surveillance du rejet d'eaux depuis 2010 remis le 12/07
Diagnostic de sols (SITA Remediation, 2003) mentionné dans l'EI remis le 13/09
CCI
Fin juillet
8 juillet 2011
4/4
S. GARNIER
8 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
07/07/11
Heure
14h00
Lieu
EUROFLOAT - Usine de Salaise
S. GARNIER
Lyon, le
8 juillet 2011
Nom
M. BETTINI
Mme GARNIER
Société
EUROFLOAT
BG
Fonction
Responsable Environnement et Hygiène Industrielle
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
sation d'Exploiter
Distribution
EUROFLOAT
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Présentation des activités: voir plaquette
Projet à court terme:
Traitement des NOx (neutralisation par urée ou ammoniaque), projet SCR
Evolutions récentes:
Nouvelle ligne en 2000 et 2007, augmentation de la production en 2009
2007-2008: variation de la production de 600 à 680 tonnes (verre en fusion)
Augmentation de la quantité de calcin utilisé (rebut de découpe, verre recyclé), permet de réduire l'apport de matière première et de diminuer les
émissions
Variation des émissions: relativement stable (même production), les seules
variations sont liées au % de calcin, la mesure, l'origine des matières premières, l'augmentation de la production
Fonctionnement en continu (1 arrêt tous les 10/15 ans), maintenance
continue (avec un arrêt de 24h, 1 fois /an)
Inversion de flamme toute les 20 min, pas de mesures pendant l'arrêt de
flamme
Rejets canalisés:
1 cheminée principale, surveillance depuis 20 ans
Contrôle continu: NOx, SOx, O2, Poussières, CO (depuis 2 ans)
Contrôle externe 4 fois / an: même paramètres + Mx+HCl+HF+HAP
Bilan avec moyenne mensuelle à transmettre.
Traitement des fumées par électrofiltre avec chaux hydratée pour l'abattement des SOx (poussière incinérées dans le four)
Alimentation du four: gaz + électricité selon les périodes. L'électricité est
utilisée ponctuellement en appoint, le gaz est majoritaire.
Système de boost à l'O2 pour augmenter la production lorsque nécessaire
4 groupes de secours (fuel):
Quelques valeurs disponibles en NOx, Poussières, CO, SOx
Contrôle externe 1 fois /an
Utilisé ponctuellement (alerte orages, ..), uniquement pour le maintien des
équipements vitaux (pas de production)
3 Dépoussiéreurs sur les bandes transporteuses de matières premières:
Quelques valeurs disponibles en poussières, fonctionnement continu
Mesure interne pour efficacité du dépoussiérage.
8 juillet 2011
3/4
2 chaudières gaz pour la production de vapeur: chauffage des matières
premières et de l'huile thermique pour l'autoclave
Mesures depuis 2011 (externe)
Pas d'émissions diffuses
Eaux:
1 point de rejet
Prélèvement 1 à 2 fois /an, teneur élevée en Zn
Eaux de refroidissement et de lavage du verre (eau déminéralisée), pas de
produit utilisé hormis javel (légionelles) et traitement anticorrosion
Refroidissement en circuit fermé (alimentation nécessaire pour compenser
l'évaporation (50 à 55 %) et abaissement des concentrations en produit de
traitement
Rejet direct au Rhône
Suivi continu: pH, T, Q (débit peu fiable, amélioration en cours)
Contrôle externe: DCO, DBO, MES, HCT, Mx, N
1 seul réseau sur le site, les EP rejoignent les eaux de process, le contrôle
a lieu sur le rejet global
4 DSH sur le site qui reçoivent les EP + les eaux de process
Nettoyage annuel des DSH
Variabilité des rejets selon la production et les ateliers en fonctionnement
Rejet plus important l'été car refroidissement plus important, variations
importantes dues aux EP
Stockage fuel : 4 * 25 m3
Suivi de nappe: 2 puits de pompage, suivi 1 fois /an
Neutralisation à l'acide
Pas de piézomètre
Historique:
Nouveau four en 2000 (même emplacement)
Four: combustion toujours gaz et même matière première utilisées
Utilisation par le passé d'un résidu de fonderie (nom?)
Création du site en 89, pas d'activité auparavant
1 incendie (date ? )
1 coulée de verre : rejet d'eau pour figer le verre
Plaintes: aucune
Sols: étude de retombée en plomb en 2007 (voie DDAE)
Modélisation, ERS, EI: voir DDAE
BF: non disponible car nouvel AP d'autorisation récent
8 juillet 2011
4/4
PGS: non soumis
2.
•
3.
•
•
•
•
•
•
•
Eléments remis
Plaquette de présentation de l'usine
Questionnaire complété remis le 10/08
Bilan de la surveillance des rejets Air et Eau (moyenne mensuelle) et
résultats du contrôle externe: Air: remis le 10/08, Eau ?
Plan avec position des points de rejets Air et Eau
Données de qualité des eaux des deux puits, remis le 10/08,
mesures de profondeur de la nappe
DDAE avec modélisation, ERS, EI, remis le 10/08
Etude Sols (retombée en plomb)
EUROFLOAT
Fin juillet
S. GARNIER
8 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
30/06/2011
Heure
9h00
Lieu
Site GDE de Salaise
S. GARNIER
Lyon, le
8 juillet 2011
Nom
M. BEAUPERE
Mme GARNIER
Société
GDE
BG
Fonction
Responsable HSE
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
sation d'Exploiter
Distribution
GDE
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Activité: recyclage des métaux ferreux et non ferreux, broyage, cisaille,
collecte batteries
-
Capacité de production: 360 000 t/an (acier broyé normalisé E40)
Historique: début de l'activité en 2003 (aucune activité précédemment)
Modification apportées sur la période 2008-2010: dépoussiérage des fumées (cf. ERS)
Pas de surveillance de nappe. Site étanche à 100 % avec collecte des
eaux pluviales
Eau de process en circuit fermé (lavage des fumées, 40 à 50 t / 3 mois
traitées hors site)
Mesures dans les milieux. 1 seule campagne de mesures des poussières
pour détermination du bruit de fond (cf ERS).
Rejet Eau: uniquement pluvial voierie et stockage, vers bassin de décantation/déshuilage (+ bassin d'orage) 1 500 m3, 2 DSH en sortie. Pas de suivi
de débit (estimation disponible surface/pluviométrie). 1 analyse mensuelle
en HCT + 1 analyse annuelle DBO, DCO, MES, Mx, pH, (PCB ?)
Rejet Air canalisé: 1 cheminée du broyeur (h = 18m, diam = 1,8m). Rejet
très variable selon le fonctionnement du broyeur.
Suivi continu Débit et Poussières (nouvelle sonde de débit depuis janv
2001, avant mesures peu fiables par encrassage de la sonde).
1 analyse trimestrielle Mx, Q, P, COV (depuis 2007).
1 analyse annuelle Dioxines (2 à 3 mesures par an en interne). 1 analyse
HAP en 2008.
Rejet diffus: 2 campagnes de mesures: Poussières et COV
Incendie en 2003 (plusieurs), 2005 et fév. 2009.
Enregistrement des plaintes
Site non soumis au bilan de fonctionnement et plan de gestion des solvants
2.
Eléments remis
Volet Etude d'impact du DDAE (2003)
Evaluation des Risques Sanitaires (APAVE, octobre 2010): incluant modélisation
8 juillet 2011
3.
Plans du site avec localisation des points d'émissions Air et Eau
Bilan de la surveillance des rejets Air et Eau et données brutes
Données relative à la qualité des sols (Etat initial du DDAE?)
Registres des plaintes
3/3
GDE
01/07/11
ou après
le
30/07/11
S. GARNIER
8 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
28/07/2011
Heure
14h00
Lieu
Site NOVAPEX de Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
1 août 2011
Nom
M. BARBISAN
M. AUTHIER
Mme GARNIER
Société
NOVAPEX
NOVAPEX
BG
Fonction
Responsable EHS
Directeur Usine
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux Pluviales
EI: Etude d'Impact
EDD: Etude De Danger
Distribution
NOVAPEX
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Activité: Fabrication de matière première pour l'industrie chimique: phénol,
acétone, cumène, hydroperoxyde de cumène, alpha-méthylstyrène, acétophénone, isopropanol (depuis janvier 2010), à partir du benzène et du propylène.
Plus grand exploitant en surface de la plateforme, stockages au parc Sud
et parc Nord.
-
Réglementation ICPE: voir AP de classement.
Historique: voir questionnaire
Modifications apportées sur la période 2008-2010:
Air:
Mise en place progressive d'une collecte des COV et d'un traitement par
oxydeur thermique (RTO) depuis 2007/2008, efficace depuis 2010. Réduction de 500 t/an en 2007 à 165 t/an en 2010, objectif <50 t en 2011.
Events des stockages de benzène raccordés au RTO depuis 2 ans
Events des stockages d'acétone (flux estimé à 250t/an avant traitement),
traités par colonne de lavage depuis mai 2011, campagne de mesure prévue à l'automne.
Eau:
Mise en place d'un décanteur pour diminuer les flux d'acétophénone vers
TREFLE, pas de modification en sortie de TREFLE.
Variabilité des rejets: continus
Rejets canalisés:
1 cheminée RTO
Débit suivi en continu (RTO) + Contrôle interne en COV, environ 1
fois/mois
3 campagnes externe /an pour le RTO + 1 campagne globale incluant
RTO, colonnes d'abattage Acétone et IPA (CO, benzène, COV totaux,
acétone, isopropanol, NOx).
Flux d'émissions à renseigner en fonction des améliorations déjà réali- NOVAsées, mentionner également les objectifs de réduction à court ou moyen PEX
terme.
Rejets diffus:
Autres évents non collectés
Campagne de mesures des émissions fugitives de COV réalisée en 2010
(20 000 points repérés et environ 10 000 mesures): flux de 14t/an, 20 %
des fuites représentent 50 % des flux.
1 août 2011
3/4
Flux d'émissions à renseigner en fonction des améliorations déjà réaliNOVAsées, mentionner également les objectifs de réduction à court ou moyen
PEX
terme.
Caractéristiques des évents à préciser (hauteur, diamètre, position).
Localisation et surfaces concernées par les émissions fugitives à préciser
Rejet Eau:
3 rejets: canaux 4,2-P (eaux de process envoyées sur TREFLE), 4,2-S,
4,2 R (Eaux de sols et eaux de refroidissement, rejoignent l'effluent général)
Contrôle continu Q, T, pH, COT, phénol (uniquement 4,2-P et 4,2-S),
+ échantillon moyen/24h pour analyses COT, MES, DCO, DBO5, Phénol,
acétophénone, cumène, benzène, acétone, sulfate, sodium. Paramètres et
fréquences variables selon les canaux
Flux d'émissions à compléter avec les données du GEREP (les valeurs
BG
tiennent compte du rendement de TREFLE).
Les flux pour les différents COV sont à préciser (cumène, acétone, acéto- NOVAPEX
phénone)
DBO5: pas de valeur avant 2011.
Résultats du suivi continu disponible sur demande
Démarche RSDE: en cours (4ème campagne) : résultats à transmettre
Projet:
Air: Objectif réduction de 50 % des émissions fugitives, .
Economie d'énergie et d'eau.
Surveillance de nappe: voir OSIRIS
Activités, pratiques historique, incidents:
Avant 2003: Voir Osiris et Rhodia
Deux pollutions de nappe:
• Déversement d'eaux phénolées: pompage et traitement sur charbon
actif (date?, éléments disponibles?);
• Détection d'acétone dans la nappe: pompage et traitement sur TREFLE (date? éléments disponibles?);
Incendie en juin 2009 qui a duré quelques heures, toutes les eaux d'extinction ont été déviées au bassin grand sinistre puis traitées.
Présence d'une torche, fonctionne quelques heures par an (environ
50h/an). Dégagement de fumées noires (combustion du propylène), impact visuel, rénovée il y a 4 ou 5 ans selon les meilleures techniques disponibles. Pas de mesures d'émissions sur ce point (voir le BF pour une
estimation des flux selon les données constructeur).
Plaintes: voir Osiris
Etudes sols ou nappe: voir avec Rhodia (pollution historique) qui est propriétaire du sous-sol
Autres mesures dans les milieux: voir SUP AIR (benzène)
1 août 2011
4/4
Etude d'impact, modélisation, ERS: données disponibles dans le BF, le
DDAE de l'atelier IPA et l'étude benzène (URS, 2006).
Bilan de fonctionnement: transmis en 2007 (période 2003-2006)
PGS: pas de documents spécifiques
2.
•
•
•
•
•
3.
•
•
•
•
Eléments remis
Plan d'ensemble
Arrêté cadre du 23 février 2010
DAE atelier IPA, URS 2008
ERS Benzène, URS, 2010, en cours d'instruction, non diffusable
Bilan de fonctionnement (transmis en 2007)
Questionnaire complété uniquement les points non inclus dans la déclaration GEREP– remis le 02/08
Plan de localisation des sources d'émissions remis le 02/08
NOVARésultats des campagnes RSDE remis le 02/08
PEX
Présentation du site
S. GARNIER
1 août 2011
No
N/Réf.
Date
04/07/11
Heure
9h00
Lieu
OSIRIS - Plate-forme Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
8 juillet 2011
Nom
M. KRESS
Mme GARNIER
Société
OSIRIS
BG
Fonction
Ingénieur Environnement
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
sation d'Exploiter
Distribution
OSIRIS GIE
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Central thermique:
6 chaudières au total, 2 chaudières (3 et 6) à charbon avec les émissions
les plus significatives (S, NOx, Poussières), utilisées au maximum (chaudière 6: bonne rentabilité économique).
Chaudière n°1: réduction importantes des NOx depuis 2009, chaudière
d'"ajustement"
Chaudières de secours: fonctionnement en forte baisse, presque nulle en
2011 (~100 h en 6 mois)
Turbine à gaz: auparavant fonctionnement saisonnier (5 mois par hiver),
contrat arrêté depuis mars, fonctionnement futur inconnu, baisse probable
des émissions
Rejet canalisés: Suivi continu SO2, NOx, CO, P, O2, H2O + mesure annuelle HAP, Mx, COV, débit variable, mesuré en continu, température
standard pour l'installation relativement stable. Flux d'émissions estimés
sur ces bases (données brutes disponibles sur demande). Analyse des
métaux depuis 2010, dioxines: pas de suivi car utilisation de charbons non
chlorés
Rejet diffus: uniquement bassin d'aération de TREFLE (COV < 2 kg /h)
pas de suivi régulier car inférieur au seuil réglementaire (voir dernière
campagne de mesure)
TREFLE:
L'effluent général récupère tous les rejets plate-forme + rejet TREFLE.
Certains industriels peuvent faire des contrôles complémentaires.
Etude d'impact faune/flore/sédiments disponible (mise à jour en 2011 à
venir). Suivi continu (1 éch moyen/24h mesuré quotidiennement) 27 paramètres contrôlés. 3 campagnes externes par an (DREAL et Agence de
l'Eau) sur ces mêmes paramètres. 1 campagne spécifique pour les PCB
(1,5 ans en arrière) pour démontrer l'absence de rejets (reste une dizaine
de transformateurs souillés sur le site). Variations temporelles suivant les
ateliers mais rejet relativement stable.
Suivi de nappe : 70 à 80 piézos, rapport de synthèse annuelle 2008, 2009,
2010 à venir fin août. Mesure des niveaux disponibles mais non exploitées. Présence de lentilles de flottant cumène et silox.
Sols: certaines des études disponibles sont transmises ce jour
Historique: OSIRIS exploite la centrale thermique et TREFLE depuis 99,
pas de mise à l'arrêt d'installation depuis, pas d'accident, toujours utilisa-
8 juillet 2011
3/3
tion de charbon et gaz. Durant 1 année: utilisation de fuel lourd + graisse
animal (voir BF). Centrale thermique exploitée auparavant par RhônePoulenc, pratique similaire, présence d'autre équipement de combustion
gaz/charbon, utilisation possible de fuel lourd (?)
Accident: électro-filtre en panne durant 1 année (date?), rejet important de
poussières. 1 rejet au Rhône survenu en 85-86 ayant entrainé une forte
mortalité piscicole
Pas de projet à court terme. A plus long terme, réduction des NOx et SO2
(2013 à 2016) : choix des techniques et modélisation atmosphérique à
venir
Pas d'étude d'impact, ERS, ni modélisation atmosphérique
Non soumis au plan de gestion des solvants
2.
•
•
•
•
•
•
3.
Eléments remis
Questionnaire complété en partie
Rapport annuel TREFLE et effluent général 2008-2010
Etude faune, flore sédiment 2009
Sols: Etude complémentaire 2006, 2007 et plan de gestion 2008
Etude EOG Trèfle 2006, 2007, 2009
Bilan de fonctionnement
Plans du site remis le 08/07
Plaintes remis le 15/09
Note sur traitement des HAP à TREFLE remis le 15/09
Rapport de synthèse de surveillance de nappe (2008-2009-2010) remis le
15/09
Caractérisation de l'état des milieux, étude ATOS 2008: remis le 15/09
OSIRIS
Dès que
possible
Fin août
S. GARNIER
8 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
18/07/2011
Heure
13h30
Lieu
Site Rhodia de Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
20 juillet 2011
Nom
M. BAR
Mme PETIT
Mme GARNIER
Société
RHODIA
RHODIA
BG
Fonction
Responsable HSE
Ingénieur HSE
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
Distribution
RHODIA Opérations
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/5
Délai
Activité:
Zone Nord (Acétol):
• acétate de cellulose
• anhydride acétique
Zone Sud:
• acide salicylique
• acide nitrique (ANK)
• oxadiazon (herbicide)
• catalyseur de Raney
Capacité de production: 2010 : somme des productions des différents ateliers = 93555 T
-
Réglementation ICPE: fichier Excel « Rubriques ICPE 2010 »
Historique Plateforme:
Création du site en 1915 (production de phénols pour les explosifs). Rhodia depuis 1998, séparation des ateliers à partir de 1999, aujourd'hui 17
entreprises (Roussillon+ Roches). Pas d'information disponible au niveau
de Rhodia Opération pour l'historique des autres activités. Adresser une
demande spécifique à M. Bar qui transmettra aux services concernés.
Historique Rhodia Opérations:
En 2007, Rhodia Opérations reprend Rhodia Acétol et Rhodia Intermédiaire.
2007: arrêt de l'OAP, 2009: arrêt de l'APAP (paracétamol)
Présence d'une ancienne chaufferie autonome coté Acétol
Nitrophénol: le benzène était utilisé en matière première, donc émissions
probablement significatives, arrêté depuis en 2007 (baisse d'activité auparavant)
Présence par le passé d'un rejet de cyanures dans les eaux
Au niveau des ateliers toujours en activité: pas de changement de process
ou de matières hormis pour l’oxadiazon: auparavant phosgénation sur site,
depuis l'accident d'AZF l'opération est réalisée à Pont de Claix, mais sans
impact sur les émissions
Flux historiques à renseigner selon les données disponibles
3 accidents renseignés (données issues de BARPI): 2 accidents et 1 incendie, avec rejet au Rhône.
Modification apportées sur la période 2008-2010:
Oxadiazon: mise en place d'un oxydeur thermique depuis mars 2010, effluent aqueux dirigé vers TREFLE en 2009 (auparavant effluent général),
20 juillet 2011
3/5
arrêt de l'atelier durant 4,5 mois en 2009 pendant la crise
Acétol: collecte des flux contenant du benzène depuis mai 2010, brulés
dans les fours
Arrêt de l'APAP en 2008/2009: rejets non considérés dans les émissions
renseignées
Projet::
ANK: projet de réduction des émissions de N2O, essais concluant, traitement opérationnel avant fin 2011.
Salicylique: projet de cession à NOVACAP avec création d'une nouvelle
activité salicylate de méthyle (échéance à préciser). Une partie des rejets
seront réduits car recyclés dans la nouvelle unité (Cheminée 2).
Variabilité de rejets: pas de variation, fonctionnement continu. L'oxadiazon
marche en batch mais il y a toujours un flux.
Surveillance de nappe:
4 piézomètres, voir OSIRIS pour les résultats
Mesures dans les milieux: aucune
Rejet Eau:
Rejets dans 4 canaux qui rejoignent l'effluent général et rejets vers TREFLE (acétol + oxadiazon + salicylique)
Suivi continu pH, COT + autres paramètres (échantillon moyen 24h). Les
paramètres suivis varient selon les ateliers et les exigences de l'AP.
Les différents canaux sont regroupés pour considérer un seul rejet (AP en
cours de mise à jour). Tout les paramètres suivis par Rhodia le sont également par Osiris sur l'effluent général, seule les fréquences sont différentes (plus élevés pour Rhodia)
Les flux renseignés dans le questionnaire correspondent à la somme des
canaux, y compris les rejets envoyés vers TREFLE diminués du rendement de la station (rendement mensuel calculé pour tous les paramètres)
Pas d'évolution des rejets, hormis en 2009: effet de la baisse de production dû à la crise.
Effort de diminution de l'ammoniac consommé pour réduire les rejets
DCM, 2,4-D et Sn en baisse en 2009 car effluent dirigé vers TREFLE +
baisse de la production
Raney: valorisation externe de l'aluminate de sodium depuis 2006/2007
(auparavant rejeté au canal), diminution des MES et Al dans l'effluent général.
Démarche RSDE en cours (gestion autonome)
Acétol: 4 fours
Contrôle externe pour tous les rejets, sauf ANK: contrôle continu en NOx
Fréquence variable selon les ateliers
25 rejets canalisés (localisés sur plan transmis ce jour), rejets disséminés
sur les ateliers, hormis ANK où une cheminée importante est présente,
20 juillet 2011
4/5
avec colonne d'absorption et traitement des NOx
Cheminée 20 à 25 : raccordé à 2 fours pour permettre un traitement en
continu (points 12 et 14) depuis mars 2010
Oxadiazon: diminution des COV depuis la mise en place de l'oxydeur thermique en 2010, collecteur de COV depuis 2008.
Les vitesses sont calculées avec le débit
Rejet diffus:
Uniquement des évents, diamètre et hauteurs renseignées.
Flux calculés en fonction du produit stocké, des mouvements dans le bac,
de la température, de la présence/absence d'azote, sauf point 15 et 16: 1
mesure annuelle (rejet uniquement lors du chargement avec un produit
pulvérulent)
COV totaux donnés en équivalent carbone, la nature du produit est donnée en commentaire, MIBC = méthyl isobutyl cétone
Plaintes: aucune récente, quelques plaintes historiques, à transmettre
Etudes sols ou nappe: ESR, ATE Geoclean 2002, pas d'autre éléments
depuis.
Pas de mesures dans les milieux
Etude d'impact, modélisation, ERS: réalisés dans le cadre du BF. La modélisation ne tient pas compte des modifications récentes (captation des
rejets de benzène et oxydeur thermique)
PGS: pas de document spécifique, déclarés dans GEREP
2.
•
•
•
3.
•
•
•
•
•
•
•
•
Eléments remis
Questionnaire partiellement complété (page 7 non renseignée)
Plan de localisation des points de rejets (2 pages)
Carte IGN avec localisation des ateliers et de l'effluent général
Présentation du site remis le 25/07
RHODIA
Questionnaire complété et corrigé remis le 25/07
OpéraPlaintes (même ancienne) remis le 25/07
tions
Bilan de fonctionnement complet avec annexes remis le 25/07
Données disponibles concernant les dépôts de chaux à l'extérieur de
l'usine (étude de sols dans le cadre d'un projet d'accueil des gens du
voyage)
Résultats de la démarche RSDE si disponibles
Echéance du projet salicylate de méthyle : 2013
Flux historiques : fourni dans le questionnaire
20 juillet 2011
5/5
S. GARNIER
20 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
05/07/11
Heure
14h00
Lieu
TERIS - Plate-forme Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
8 juillet 2011
Nom
M. LANET
Mme VOLPI
Mme GARNIER
Société
TERIS
TERIS
BG
Fonction
Directeur du site
Ingénieur HSE
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
sation d'Exploiter
Distribution
TERIS
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Activité: Incinération déchets industriels liquides (à forte charge saline et
déchets organiques)
Zone Sud (installation et stockage) et Zone Nord (stockage)
Livraison des déchets par pipeline depuis la plateforme, wagon et camion
77 % de déchets extérieurs à la plate-forme
2 lignes d'incinération à 1100 °C
Traitement des fumées par voie humide: refroidissement, 2 colonnes de
lavage (acide+soude), electrofiltres, 2 cheminées
Station de traitement des eaux physico-chimique, rejet aux canal 4-4 puis
effluent général
Evaporateur pour concentration des déchets, effluent envoyé vers TREFLE
Régime ICPE: 2770 / 2771, Seveso seuil haut
Production: 200 000 t/an (autorisé)
Historique: création en 2001, pas de modification du process depuis
Avant: ancien incinérateur exploité par Rhodia: pas d'informations sur son
fonctionnement (voir Osiris pour contact Rhodia)
Modification survenue en 2008-2010: augmentation des capacités de stockage
Variabilité des émissions liée à la variabilité importante des déchets
(changement important en 2004/2005 suite à l'arrêt de la plate-forme mais
composition maximales admissibles toujours identiques)
Projet:
Réduction des NOx (échéance?)
Chaudière Biomasse en 2012, demande d'autorisation en cours, émissions non définies à ce stade
Emissions canalisées: 2 cheminées
Auto-surveillance:
Continu: CO, O2, HCl, SO2, NOx, HF, Poussières, Q
Semestrielle: Mx, PCDD/F, T
Emissions diffuses: non estimées. Les évents des stockages sont captés
et incinérés, installation en dépression: pas d'émissions diffuses.
Seules les évents de 3 bacs ne sont pas collectés (zone Nord), produits
stockés à +97 % aqueux, pas de stockage de produits dangereux dans
ces bacs.
Eaux:
8 juillet 2011
3/4
Autosurveillance:
- Continue: Q, T, pH, COT, résistivité sur canal 4-4 (rejet TERIS + EP
amont + doute sur d'éventuel autre rejet amont)
- Journalier: MES, COT,
- Mensuel: Mx, Cyanures, Chlorures, Sulfates, Fluorures
- Semestriel: PCDD/F et Indice phénol
Pas de suivi des PCB car non admis dans l'installation
Pas de variabilité importante du rejet
Surveillance des eaux souterraines: via OSIRIS, 3 piezos, fréquence trimestrielle (voir bilans annuels)
Pas d'accident ou d'incendie
Plaintes: 1 seul problème d'odeur (date?)
Sols:
Voir état initial de l'EI
Campagne annuelle de surveillance de la qualité des sols autour du site
depuis 2008
Modélisation atmo et ERS en 2001 dans le cadre de l'EI
Bilan de fonctionnement non disponible (en cours de rédaction 2001-2011,
prévu pour septembre/octobre)
Plan de gestion des solvants: non soumis
2.
•
3.
Eléments remis
Bilan annuels 2008, 2009 et trimestriels 2010 : auto-surveillance Air et
Eaux, (moyennes mensuelles), résultats du suivi de nappe
Questionnaire complété, remis le 20/07
Plans du site avec localisation des cheminées, piézomètres, point de rejet
des eaux, remis le 20/07
Plaintes, remis le 20/07
Etude d'impact comprenant Etat initial (données qualité des sols), impacts
sur l'environnement, Etude de Risques Sanitaires et modélisation atmosphérique, remis le 20/07
Surveillance de la qualité des sols autour du site depuis 2008, remis le
20/07
TERIS
8 juillet 2011
4/4
S. GARNIER
8 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
05/07/11
Heure
9h00
Lieu
TREDI - Plate-forme Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
8 juillet 2011
Nom
M. DUDOUIT
M. BONNAMICH
Mme GARNIER
Société
TREDI
TREDI
BG
Fonction
Directeur Adjoint
Responsable HSE
Chef de projet
Ordre du jour
2. Visite du site
Annexes
Abréviations:
EP: Eaux pluviales
EI: Etude d'impact
sation d'Exploiter
Distribution
TREDI
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Présentation du site (voir documents à transmettre)
3 unités d'incinération Salaise 1, Salaise 2, Salaise 3
Rubrique ICPE: demande d'antériorité sur nouvelle rubrique, en cours
Capacités autorisées: S1 et S2: 74 000 t/an, S3: 146 000 t/an
Auto-combustion: limitation de l'usage du fuel (phase de démarrage et
d'arrêt, et si atteinte de température minimale)
Production d'énergie: 14,6 MW installé, plutôt ~10 en fonctionnement
Stockage des déchets couvert et/ou sur rétention
Stockage des mâchefers en conteneurs (53 000 t/an)
Projet en cours:
- création d'une unité de déferraillage des mâchefers;
- plateforme de collecte / tri des déchets (90 % des déchets traités sur
site), dossier déposé, prévu en CODERST en septembre
- gestion des cendres: arrêt du traitement par mise en suspension dans
l'eau, diminution des eaux à traiter et du rejet
Traitement des fumées:
- refroidissement (production de vapeur, vendue à Osiris ou production
d'électricité), récupération des cendres volantes par mise en suspension
dans l'eau
- dépoussiérage (charbon actif, électrofiltre, bicarbonate de sodium, filtres
à manche)
- lavage des gaz (eau, lait de chaux, autres réactifs)
- captation des dioxines pour Salaise 2 (procédé ADIOX: absorption sur
polypropylène)
Suivi continu: Q, H2O, O2, CO2, P, CO, COT, HCl, HF, NOx, SO2
Suivi mensuelle: PCDD/F
Suivi semestriel externe: tout paramètres + PCDD/F+ Mx
Estimation des flux:
T, V: moyenne des campagnes semestrielles
Q: ramenée à 11 % d'O2 , sur la base du suivi continu
Pas de caractéristiques particulières de fonctionnement, variabilité plutôt
faible
Pour les Mx, le calcul du flux annuel tient compte du seuil de détection
Emissions diffuses: pas d'estimation disponible
Eaux de lavage des fumées: traitement par une station physico-chimique
(traitement des métaux), boues envoyées en CSDU.
Contrôle amont et aval STEP, prélèvement journalier asservi au débit
Suivi quotidien: Q, T, pH, MES, Cl, F-, COT
Suivi hebdomadaire: DCO, HCT, AOX, Cyanures, As, Cd, CrVI, Cr, Cu,
8 juillet 2011
3/4
Hg, Ni, Pb, TI, Zn
Suivi mensuel externe : DBO, NK, NT, P, matières inhibitrices + tt paramètres d'autocontrôle
Estimation des flux: Pas de variation temporelle
DCO: indicateur de DCO car problème avec les chlorures
En 2011, deux mesures des BTEX,
Pas de suivi des PCB, non admis sur le site
Second rejet: Eaux pluviale, purge des chaudières, eaux de toiture, collectées dans un bassin. Plusieurs gestions possibles: rejet direct, recyclage
pour le lavage des fumées, traitement à la STEP ou par incinération. Rejet
dans un second canal qui rejoint l'effluent STEP. Pas de contrôle sur ce
2nd canal.
Suivi environnemental: depuis 2003
Biomonitoring des lichens + PCDD/F et Mx dans les sols
Participation aux organismes de surveillance de la qualité de l'air (ASCOPARG, COPARLY, SUPAIR) pour la surveillance des PCDD/F
Eaux souterraines: 8 piézomètres, suivi mensuel: pH, résistivité, DCO
Sols: ESR en 2002 + complément en 2005 (Mx)
Biosurveillance des lichens 2010 avec mention des résultats antérieurs
(Mx, PCDD/F sur sols et chaine alimentaire)
Etude CSD 2005 (pas de mise à jour)
Historique: TREDI exploite le site depuis 1985, avant décharge sauvage
sur terrain agricole
Pas de modification significative sur les rejets sur la période 2008-2010,
amélioration continue
Fortes évolution des rejets avec l'évolution des normes, peu d'informations
disponibles concernant les émissions historiques (voir BF et évolution des
normes de rejets), pas de conservations des données
Accident:
15/07/2009 : départ de feu sur déchets chlorés, a duré quelques heures
car prise de décision lente sur les moyens de lutte.
Plan de gestion des solvants: non soumis
2.
•
•
Eléments remis
Plan du site avec position des cheminées
Diagnostic initial, Etape A et B, ESR du site TREDI à Salaise-surSanne, ICF, n° 21098, janvier 2002
8 juillet 2011
•
•
•
•
3.
4/4
Diagnostic de l'état des sols en Pb et Cd dans l'environnement du site,
CSD, n°AZO-2393, 13/04/05
Etude de la dispersion des émissions atmosphériques de l'usine de
Salaise-Sur-Sanne, ARIA, mars 2005 (remis en 2007)
Biosurveillance des Dioxines et Furanes - Li-Diox - Métaux, Lichens,
sols et végétaux, rapport A11-467, 2010
Bilan de fonctionnement (Partie I et II), septembre 2006
Présentation du site
Questionnaire complété remis 14/09
Emissions historiques
Etude d'impact, mise à jour de 2005
Données d'auto surveillance Air et Eau 2008-2010 et campagnes externes
remis 14/09
Campagnes d'analyses des sols en 2002 et 2003
Résultats du suivi de nappe remis 14/09
Plaintes
Déclarations GEREP 2008-2010 remis le 05/10
TREDI
Fin juillet
S. GARNIER
8 juillet 2011
2.2 - Collectivités
No
N/Réf.
Date
08/09/11
Heure
15h00
Lieu
Mairie de Chavanay
S. GARNIER
Lyon, le
9 septembre 2011
Nom
M. ROCHE
Mme GARNIER
Société
BG
Fonction
Maire de Chavanay
Chef de projet
Ordre du jour
Collecte des données: populations / lieux sensibles / usages / historique et plaintes
Annexes
Distribution
Mairie de Chavanay
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
2/4
Resp.
1.
Délai
Population: 2790 habitants au 01/01/2010, voir le site INSEE pour détail
Lieux sensibles:
3 écoles:
- Centre Bourg: maternelle (à partir de 2 ans) + primaire, effectif 140
+ garderie périscolaire, effectif 15 -20
+ restaurant scolaire, (derrière la mairie), effectif 140
- Ecole Privée (vers place des halles):maternelle + primaire, effectif 105
- Ecole primaire, hameau de Verlieu, effectif 45
Collège, lycée, hôpitaux: absence
Maison de retraite: Résidence le Clos de la Cholle:30 places (15 personnes âgées + 15 foyers)
localisation: voir photos
Baignade/Pêche:
pas de zone de baignade
bassin de joute alimenté par AEP, centre bourg
Pêche:
la Valencisse, pêche à la truite (au sud du centre bourg), dépend de l'association de Pelusin
le Rhône
pas d'autres activités de loisirs aquatiques
Exploitations agricoles:
Pas de recensement parcellaire disponible
environ 25 viticulteurs et 10 arboriculteurs/céréaliers + exploitants d'autres
communes (3 ou 4)
viticulture sur les coteaux et vergers, maïs dans la plaine
pas d'élevage sur la commune
zones agricoles = toutes les zones AP du PLU
2 AOC: Condrieu et St Joseph (voir photos du cadastre viticole)
Captages d'eaux:
AEP:
3 captages dans la plaine des Gorges (1 géré par le syndicat de BesseyRoisey, 2 autres gérés par le syndicat de Pellusin)
1 puits en projet au lieu-dit le Grand Val (syndicat de Pellusin)
+ 2 puits en limite de commune de Saint-Michel (puits de Jassoux), dont
les PP sont sur Chavanay, syndicat Rhône-Pilat
La commune est alimentée en AEP par les 3 syndicats
Contacter les syndicats ou la SAUR (M DEFOUR à Annonay 04 45 89 24
24) pour plus de détails
9 septembre 2011
3/4
Irrigation:
une ASA sur la commune (nom?, contact?), alimente la plaine des Gorges
et le plateau de Maclat avec les eaux du Rhône (localisation de la prise
d'eau: entre les 2 AEP au Sud?), voir la SAUR pour plus de détail.
irrigation sur le plateau par AEP
nombreux autres puits agricoles, non recensés
Privé:
Toutes les maisons de la plaine sont équipées d'un puits, pas de recensement ni de déclarations disponibles
Pratiques historiques/accidents:
- 03/12/90: déraillement d'un train d'essence sans plomb, 1ère dépollution
en France, (1an puis 5 ans de surveillance), quartier de Luzin (cf photos),
demande à faire pour consulter les archives disponibles (nombreuses);
- RD86: 10 à 13 000 véhicules/jour, réservée aux transports spéciaux
- quelques déversements de camions, sans impact (dont 1 devant la gare
avec des malaises signalés, perte de produit par le haut d'un camion, arrêté à Condrieu, date ?, produit?)
- à Verlieu (cf photos), parking en bordure de la RD86, déversement qui a
entrainé une pollution des captages de St Michel, dépollution par substitution de terres + surveillance, date: il ya environ 10 ans, produit:?), pas
d'archives en mairie, affaire suivi par la DDAS, la DDE de Pellusin (contacter M CHIRAT pour plus de détails: 04 74 87 52 70)
- pas d'industrie sur la commune,
- activité historique de moulinage et tissage,
- 2 anciennes décharges d'ordures ménagères comblées (cf photos)
- plusieurs pollutions du Rhône, pas d'archives ni de dates disponibles,
contacter VNF ou la CNR
- 1 ancien puits AEP près du Rhône pollués en Fe et Mg par surproduction
(entre les 2 AEP au sud).
- 2 STEP sur la commune (Grand Embuen, 300 EH – lit bactérien et Triolet, 30 EH – filtre à sable), sinon STEP de Saint Alban, pas d'épandage de
boues sur la commune.
Plaintes:
pas de plaintes écrites enregistrées
odeurs au nord de la commune (méthionine en provenance de St Clair)
Documents d'urbanisme:
PLU de 2006 transmis en version numérique
Archives municipales:
pas d'éléments relatifs à l'environnement / pollution, hormis l'accident ferroviaire de 1990, demande spécifique à faire pour organiser une consultation si nécessaire
9 septembre 2011
2.
•
3.
•
4/4
Eléments remis
PLU (2006) en version informatique
S. GARNIER
9 septembre 2011
No
N/Réf.
Date
13/07/11
Heure
14h00
Lieu
S. GARNIER
Lyon, le
18 juillet 2011
Nom
Mme. ROCHE
Mme GARNIER
Société
BG
Fonction
Directeur Adjoint
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Population: voir questionnaire + docs INSEE
Lieux sensibles: voir questionnaire
Pas d'hôpitaux ni maison de retraite.
Présence de lieux d'accueil des handicapés (internat + CAT + atelier protégé)
Baignade/Pêche:
1 zone de pêche: Plan d'eau des Blaches (voir brochure)
Ancienne carrière aménagée récemment en lieux de pêche et promenade,
baignade interdite, alimentée par la nappe (sur brochure: alimentation par
cascade?)
Association de pêche l'Ablette Rhodienne (M. Rostaing,
[email protected], mairie du Péage)
Pas d'élevages sur la commune
Zones cultivées / parcellaire: pas d'informations disponibles à cette échelle
6 exploitants recensés sur la commune : fruit et légumes, vignoble (cf.
questionnaire)
Captages d'eaux:
2 sources captées sur la commune: Mata et Francou (cf. plan de la ville),
contacter le SIGEARPE (04 74 89 39 70 – M. Alain BARRIER, Directeur)
qui gère l'AEP et l'assainissement.
Pas d'information sur la présence d'autre captage AEP éventuel
Présence de puits d'irrigation.
ASA du plateau de Louze – M. Yves GOUBET, Président 04 74 84 94 57
Puits privés: pas d'information (1 seule déclaration en Mairie, non retrouvée: voir SIGEARPE)
Présence incertaine d'un ancien incinérateur, date inconnue, avant 1989,
Pas de faits marquants.
Pas d'industries sur la commune
Plaintes:
Pas de plaintes recensées.
Nuisances récurrentes liées aux odeurs, population habituée
Plaintes ponctuelles lors d'un épandage de boues de STEP par le SIGEARPE il ya environ 2 ans, hors de la commune.
Nombreux incendies, dégagement de fumée noire chez GDE
18 juillet 2011
3/3
POS disponible uniquement en papier, exemplaire à transmettre par courrier
Archives:
Pertes importantes suites à incendie, reclassées en 2002, seuls les éléments obligatoires ont été conservés (urbanisme, état civil,..)
Pas d'éléments relatifs à la pollution ou l'environnement. Voir avec le SIGEARPE pour l'eau/assainissement
2.
•
•
•
•
3.
•
•
Eléments remis
Questionnaire (pages 6 à 8 non renseignées)
Données INSEE 2007 (6 pages)
Brochure de présentation du Plan d'eau des Blaches
Plan de la ville (établissements sensibles et captages d'eaux)
POS en version papier
Informations sur un éventuel ancien incinérateur (localisation, date, Mairie de
Saint Mauactivité, suivi des rejets, tout autre élément pertinent)
rice
Dès que
possible
S. GARNIER
18 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
26/07/11
Heure
09h00
Lieu
S. GARNIER
Lyon, le
27 juillet 2011
Nom
Mme ROBERT
Mme GARNIER
Fonction
Société
Maire de Roussillon Responsable Service Urbanisme
Chef de projet
BG
Ordre du jour
Annexes
Distribution
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Population: voir questionnaire et documents INSEE
Lieux sensibles: voir questionnaire
Crèche: effectif à préciser (contact à transmettre)
Clinique: effectif non représentatif car fermeture récente de la maternité
Pas de maison de retraite
Baignade/Pêche:
Pas de zone de baignade ni pêche.
Pêche pour les enfants dans le plan d'eau communal mais limitée, pas de
réintroduction de poisson
Pas d'élevage (un élevage de volaille dans les années 70/80, arrêté)
Environ 8/9 exploitants sur la commune, recensement fait l'an dernier par
la DDAF mais pas de retour en mairie (18 exploitants en 2000 selon le
dernier recensement)
correspond globalement aux zone NC du POS, voir le diagnostic dans le
document "Perspectives agricoles" – ADASEA, 2005 (transmis ce jour)
Captages d'eaux:
Pas de captages AEP sur la commune
Irrigation: surtout sur le plateau de Louze, coordonnées des ASA à transmettre
Puits particuliers: une dizaine de déclarations disponibles en Mairie, tableau à renseigner à l'aide de ces déclarations
voir également le SIGEARPE qui réalise des contrôles des puits privés et
de leur raccordement sur le réseau (un contrôle disponible en mairie: puits
010.00077, Route de Vienne- milieu, M. PROST Dominique)
• rue Gaston Monmousseau, présence d'anciens bâtiments de la plateforme à la place des parkings actuels, de chaque côté de la rue.
• une ancienne chaudronnerie, à la place du laboratoire d'analyse, 71
avenue Gabriel Péri;
• recensement des accidents dans le dossier communal synthétique
(page transmise ce jour), source BARPI
Pas d'autres faits marquants
Plaintes:
Courriers des associations Vivre Ici et Sauvons Note Futur, non archivés
27 juillet 2011
3/3
car ne concernent pas des installations implantées sur la commune (copie
des plaintes, des courriers, remarques sur les registres des enquêtes publiques)
Pas de plaintes autres par rapport à l'environnement et aux pollutions
Nombreuses remarques concernant les installations de GDE et TREDI
POS réviser en 2006, PLU prévu à l'automne 2012.
Plan complet du zonage en vigueur à transmettre
Fichiers SIG éventuellement disponibles auprès de la Communauté de
Communes du Pays Roussillonnais (création d'un SIG en cours, contact
M. Bonneau), sinon faire une nouvelle demande en mairie.
Archives:
Pas d'éléments relatifs à l'environnement et aux pollutions (hormis les
dossiers administratifs des ICPE).
Seuls les éléments obligatoires sont archivés, pas d'éléments concernant
la vie de la commune (hormis les bulletins municipaux), pertes importantes
dans les années 50.
2.
•
•
•
3.
•
•
•
•
Eléments remis
Perspectives agricoles, ADASEA Isère, juillet à décembre 2005;
Page du dossier communal synthétique concernant les accidents industriels (source BARPI)
Règlement du POS
Mairie de
Listes et coordonnées des ASA
Roussillon
Carte du zonage du POS
Inventaire des puits privés (page 6 du questionnaire renseignée à
l'aide des déclarations)
Dès que
possible
S. GARNIER
27 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
13/07/11
Heure
16h00
Lieu
S. GARNIER
Lyon, le
19 juillet 2011
Nom
M.VIANI
Mme GARNIER
Société
BG
Fonction
Responsable Service Urbanisme
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Population: voir questionnaire, données de 2008
Lieux sensibles: voir questionnaire, effectifs 2010-2011
1 crèche gérée par la CAF (à contacter pour effectifs)
Collège et Lycée Jeanne d'Arc (voir avec J.M. PUEL pour effectifs)
Centre de Formation Professionnel Verguin: voir avec Osiris, effectif prévu
pour 2011-2012: 91 (prévision à valeur informative)
EHPAD: effectif maximum autorisé 343 (personnel + résident)
Baignade/Pêche:
Pas de zone de baignade autorisée
Pèche: voir ACCA (M. Debard, 19 allée Pierre Cotte)
En théorie: 3 exploitants recensés en 2000 (selon chiffre INSEE), point à
préciser
(voir Chambre d'agriculture et ex -DDA)
Auparavant présence d'un viticulteur, arrêté depuis 2/3 ans
Captages d'eaux:
4 captages + 1 en projet sur la commune pour 2012 (voir plan cadastraux
+ AP transmis ce jour), contacter le SIGEARPE pour les informations techniques (M. Gouilloud, Directeur des Services technique).
Plusieurs puits industriels d'Osiris
Puits privés: seules deux déclarations disponibles en Mairie (2 piézomètres de l'ancienne carrière Chaperond)
Irrigation: 1 forage, ASA du Péage M. COURBIERE (adresse en Mairie)
Deux anciennes carrières (extraction et retraitement de matériaux) dont
une est située dans le PPR du champ captant (voir AP) + 2 carrières en
activité (carrière CHAPEROND)
Deux dépôts de chaux sur des terrains Rhodia. Au Nord d'Acétol, projet
d'aire d'accueil des gens du voyage stoppé en raison d'une pollution du
dépôt (mercure?), aucun élément disponible en Mairie.
Présence d'une ancienne décharge (voir plan), remblayée en l'état
Présence de deux casses autos non autorisées
Pas d'autre élément disponible concernant l'historique (perte de connaissances suite à de nombreux départ en retraite parmi le personnel municipal)
19 juillet 2011
3/3
POS datant de 1982, révisé en juin 2005, uniquement disponible en papier
et grand format (mauvais état)
Transmis en photos
Archives:
Pas d'éléments relatifs a l'environnement et aux pollutions, point à préciser/confirmer
Plaintes:
Pas de plaintes enregistrées récemment
Voir avec le SIGEARPE par rapport à la STEP qui a pu générer des nuisances
Odeurs récurrentes de méthionine (hebdomadaire) mais pas de plaintes
associées
2.
•
•
•
•
•
3.
•
•
•
Eléments remis
Questionnaire complété (pages 7 et 8 non renseignées)
Règlement du POS + Zonage en photos
Plans cadastraux avec localisation des établissements sensibles (8
pages)
Arrêté préfectoral n°2010-01153 du 2 mars 2010 (nouveau Puits 5 et
périmètre de protection des captages) + 4 cartes en annexe
3 plans cadastraux:
• Casse auto sur l'Ile de la Platière
• Puits de l'ASA du Péage-Saint Maurice
• Champs captant du SIGEARPE + Captages OSIRIS
Recensement des exploitants agricoles, y compris élevages si existant
Eléments relatifs aux activités, pratiques ou accidents historiques sus- Mairie du
Péage
ceptibles d'avoir portés atteinte à l'environnement
Archives concernant l'environnement et les pollutions
Dès que
possible
S. GARNIER
19 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
26/07/11
Heure
11h00
Lieu
Mairie de Salaise sur Sanne
S. GARNIER
Lyon, le
27 juillet 2011
Nom
Mme MENGUY
Mme GARNIER
Société
Mairie de Salaise
BG
Fonction
Service Sécurité Civile, Santé Publique, ERP et Environnement
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
Mairie de Salaise
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/4
Délai
Population: voir questionnaire et documents INSEE
Lieux sensibles: voir questionnaire et plans (remis en 2007, validés/mis à
jour)
Ecole privée Saint Just: effectif à renseigner
Pas d'hôpitaux ni maison de retraite
Pôle enfance: crèche + accueil périscolaire + centre aéré
Baignade/Pêche:
Pêche: Ile de la Platière (association Ablette Rhodienne)
Sanne: pas ou peu de pêche sur la commune de Salaise sur Sanne
Baignade: non autorisée sur le Rhône vers Limony/Serrières
500 ha cultivés sur la commune, voir diagnostic agricole (contacter la
chambre d'agriculture pour d'éventuelles données SIG)
Cultures fruitières et céréales, pas d'élevage, un apiculteur (M. Badier,
parcelle AM314, ancien terrain de quart)
Captages d'eaux:
AEP: voir le SIGEARPE et document "Définition des zones stratégiques
pour l'AEP, Agence de l'Eau RMC, octobre 2010"
Irrigation: voir diagnostic agricole
ASA de Salaise, M. Rochas – 04 74 29 60 86 (le midi)
Puits particuliers: pas de recensement, une seule déclaration disponible en
mairie (copie à transmettre).
Point à préciser par Mme Mouchiroud Christiane, conseillère en charge de
l'environnement, à partir de septembre
1 établissement recensé dans BASIAS: ancienne fabrique de feu d'artifice
(voir fiche BASIAS)
Décharge sauvage et brulage de câbles (au Sud d'Eurofloat, point A sur
plan), éléments à transmettre
Plateforme:
Pollution en chlorosilanes et phénols le 18 juin 2008, POI déclenché, éléments à transmettre (BARPI, ARIA n°34719 )
Liste des incidents industriels pour la période 2009-2010 (voir fichier joint):
informations transmises par les industriels selon convention avec la mairie,
documents d'origine disponible à la demande. Liste 2010-2011 à transmettre dès que disponible.
Fuite d'hydrocarbures sur le Rhône, nappe arrêtée au niveau de Solaize,
27 juillet 2011
3/4
des traces ont été observées jusqu'à l'Ile de la Platière, 19/10/2010 (voir
télécopie ARS)
Contacter également l'association AERIS (St Clair)
Plaintes:
8 plaintes recensées, voir questionnaire et copie des éléments
Nombreux courriers reçus liés au traitement des déchets ivoiriens par
TREDI, il ne s'agit pas de plaintes mais plutôt de craintes.
Nombreux éléments transmis par les associations Vivre et Sauvons Notre
Futur concernant GDE, copies à transmettre
Point à préciser également par Mme Mouchiroud en septembre.
Zonage du POS transmis ce jour (fichier DGN), révisé en 2011
Règlement à transmettre
Archives: point à préciser (au niveau du service Sécurité Civile et des archives municipales).
Autres:
Document d'incidence pour le dragage du Rhône, à demander à la CNR
(Dossier de demande d'autorisation Loi sur l'eau "Plan de gestion des dragages d'entretien, de la chute de Génissiat au palier d'Arles, CNR, août
2009).
2.
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Eléments remis
Plan communal
8 dossiers de plaintes
Fiche BASIAS, fabrique "LE MARTINACA"
Carte avec localisation des pompages en nappes (document Agence
de l'Eau)
Zonage du POS (fichier DGN)
Diagnostic agricole (Approche agricole dans le cadre du PLU, Chambre d'agriculture 38, avril 2010 + Cartes + présentation)
Diagnostic territorial + Présentation, février 2010
5 résultats d'analyses d'eau potable (sur le réseau de distribution)
Nappe alluviale du Rhône, identification et protection des ressources
en eau souterraines majeures pour l'AEP, Agence de l'eau RMC,
n°08CLE032, 15/10/2010
Récapitulatifs des incidents industriels 2009-2010 + fichiers Excel
Dossier de demande d'autorisation Loi sur l'eau; Réhabilitation de la
Lône prioritaire du Noyer Sud du Vieux-Rhône de Péage de Roussillon, CNR, novembre 2009
Télécopie, ARS, 19/10/2010, informations relative à une pollution du
27 juillet 2011
4/4
Rhône au niveau de Solaize
3.
•
•
•
•
•
•
•
Compléments sur les activités historiques et les plaintes, recueillis auMairie de
près des élus
Salaise
Déclaration d'un puits particuliers
Eléments concernant la décharge sauvage + brulage de câbles
Liste des incidents industriels pour 2010-2011
Courriers et plaintes envoyées par l'association Vivre et Sauvons Notre Futur
Règlement du POS en vigueur: transmis le 05/08/11
Eléments concernant les archives municipales
Dès que
possible
S. GARNIER
27 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
18/07/11
Heure
09h00
Lieu
Mairie de Sablons
S. GARNIER
Lyon, le
19 juillet 2011
Nom
Mme DI BIN
Mme GARNIER
Société
BG
Fonction
Maire
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
Mairie de Sablons
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Population: 2008 habitants, détails à compléter
Lieux sensibles: questionnaire à compléter
Halte garderie + centre de loisirs
Pas de collège, lycée, hôpital, maison de retraite.
1 restaurant scolaire (projet de déplacement).
Plan transmis en 2007 toujours valable et complété ce jour
Baignade/Pêche:
Pas de zone de baignade autorisée
Pèche le long du Rhône, malgré l'interdiction (peu côté Sablons, plutôt
coté Serrières)
Pas d'association de pêche sur la commune
Exploitations agricoles: non recensés
Cultures fruitières, maraichères, céréales
Cartes des zones cultivées à fournir
Captages d'eaux:
Voir avec le SIGEARPE, captages sur l'Ile de la Platière (sur la commune?)
Très nombreux puits privés pour l'arrosage des jardins
Irrigation: 1 station de pompage au Sud du village gérée par une ASA (M.
Marc BOISSONNET, 78 qui du Rhône, 04 74 84 22 30).
Présence d'une usine de traitement de bois (SIRA) ayant rencontrés des
problèmes de pollution à l'arsenic du ruisseau des Eclair. Pas d'éléments
disponibles en Mairie.
Présence d'Engrais Sud Vienne sur le port
Présence d'une carrière: pas d'extraction, stockage/traitement des matériaux
Pas d'autres industries sur la commune
2 anciennes gravières dont une comblée avec des dépôts sauvage (encombrants) située en rive droite du canal, en face du port (voir plan).
Nuisances liées à la plateforme:
- explosions, incendies chez GDE avec les vents d'Est. Panaches de fumées importants observables jusqu'à Serrières, assez fréquents par le
passé, moins fréquent maintenant
- odeurs en provenance de TREDI, incident des pastilles de chlore (2009)
19 juillet 2011
3/3
(peu impactant car vent N-W, information de la préfecture à la Mairie mais
pas d'information à la population)
- odeurs en provenance du stockage de charbons de la CCI, en particuliers lors des incendies et selon les vents, la nuisance a diminué depuis
l'arrosage.
Plaintes:
- durant le mandat précédent, courrier reçu indiquant une fréquence importante de cancers dans une rue. Cette plainte a conduit à soulever le cas
des dioxines en CLI de TREDI. Copie des éléments à transmettre.
Pas de document disponible, PLU en cours de révision suite à un refus du
SCOT
Pas d'habitat individuel sur la commune, habitat collectif peu dense (notamment en raison du PPRI qui impose 15 m entre les constructions),
presque toutes les habitations sont pavillonnaires.
Plans avec localisation des zones cultivées et des zones d'habitats à
transmettre.
Projet de ZIP géré par un syndicat (M Rémi LAPORTE, Responsable,
CCPR). Le PLU de Sablons est un point bloquant pour le projet, rachats
des terrains agricoles en cours. Pas d'industries polluantes prévues.
2.
•
Plan avec localisation de l'ancienne gravière
Eléments remis
3.
•
•
•
Cartes des zones cultivées et des zones d'habitats
Eléments relatifs à la plainte concernant les nombreux cas de cancers
Mairie de
Sablons
Dès que
possible
S. GARNIER
19 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
11/07/11
Heure
10h00
Lieu
Mairie de Chanas
S. GARNIER
Lyon, le
12 juillet 2011
Nom
M. GUERRY
M. BOURSON
Mme GARNIER
Société
BG
Fonction
Maire de Chanas
Adjoint
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
Mairie de Chanas
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Population: voir document INSEE remis ce jour (recensement de 2006)
Lieux sensibles: 1 groupe scolaire, 1 maternelle (2 bâtiment différents),
voir questionnaire et carte. 1 garderie périscolaire dans la maternelle (accueil uniquement les enfants scolarisés dans l'école).
Baignade/Pêche: 2 zones de pêche: rivières La Lambroze et le Dolon, sur
tout le territoire communal (et jusqu'au Rhône).
Présence d'une aire de loisirs (projet zone humide cité en 2007): aire de
jeu, parcours d'évolution, tables sur une zone de 2 ha (rôle de rétention
des crues). Pas de baignade.
Exploitation agricole: voir questionnaire et plan
Cultures fruitières, apiculture, pépinières et centre équestre.
Parcellaire: information non disponible à cette échelle. Présence d'agriculteurs extérieurs qui exploitent des terrains sur la commune et d'agriculteurs à la retraite qui exploitent encore des petites surfaces. Variabilité
importante.
Elevage de volaille recensé en 2007: arrêté (exploitant à la retraite)
Captages d'eaux:
Alimentation AEP: SIGEARPE (captage sur Saint Agnin)
Plusieurs captages agricoles (ASA):
- Herpieux: M. Pascal SAUVAGEAON, Montée de la Bâtie (voir localisation
sur plan)
- Rosay (sur la commune de St Rambert): M. Jean Guy PASCAL, St Rambert d'Albon
(-1 ASA également à Salaise, M. J.L. ROCHAS)
Pas d'inventaire des puits privés / agricoles (voir la DDT)
1 captage en rivière sur la Lambroze pour la culture fruitière (anti-gel)
Nombreuses sources / fontaines privés
Présence d'un syndicat de rivière La Lambroze – les Gouttes.
- quelques fuites de gazole, cuve de fuel, sur les cours d'eau, sans incidence
- une fuite de pesticides sur la Lambrose (produit jaune), il ya environ 15
ans
Pas d'informations plus précises disponibles pour ces éléments (voir les
sociétés de pêche)
- nuisances récurrentes liées aux odeurs (méthionine et incinération)
12 juillet 2011
3/3
Plaintes:
- procédure en cours concernant un dépôt sauvage de matériaux de démolition (voir localisation sur plan)
- plusieurs aires sauvages de gens du voyage
- aucun autre élément à signaler
Documents d'urbanisme: Zonage du PLU et règlement à transmettre
Archives municipales: pas d'éléments relatifs aux pollutions, pas de faits
marquants (hormis inondation en 1936)
Absence d'industrie, d'accidents majeurs rails/routes
Pas d'incidence sur la commune des accidents survenus sur la plateforme
2.
•
•
3.
•
•
Eléments remis
Documents INSEE (2006)
Plan communal (remis en 2007 et complété)
Zonage du PLU et règlement (avec présentation de la commune si Mairie de
Chanas
disponible) remis le 03/10
Dès que
possible
S. GARNIER
12 juillet 2011
No
N/Réf.
Date
08/09/11
Heure
09h30
Lieu
Mairie de Charnas
S. GARNIER
Lyon, le
9 septembre 2011
Nom
M. SASSOLAT
Mme GARNIER
Société
Mairie de Charnas
BG
Fonction
Adjoint
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
Mairie de Charnas
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
2/3
Resp.
1.
Délai
Population:
722 hab. au 01/01/2011
voir site INSEE pour détails
Lieux sensibles:
1 école (maternelle + primaire), effectif: 115, Le village
Baignade/Pêche:
pas de baignade
Ruisseau du Pont de la Pierre (rivière La Limony): pêche à la truite
pas d'association de pêche sur la commune
Ruisseau du Marlet: pas de pêche, (souvent à sec)
8 viticulteurs
3 arboriculteurs
1 agriculteur bio (légumes +vin)
1 élevage de volaille et 1 élevage de moutons, cf. plan
pas de recensement parcellaire disponible, voir le zonage du PLU
les vignobles sont sur les coteaux, AOC St Joseph
Captages d'eaux:
AEP:
pas de captage sur la commune, alimentée par la SAUR, Syndicat Annonay-Serrières
Irrigation:
pas de recensement disponible
1 syndicat d'irrigation: association du Marlet: même conduite que l'AEP,
gérée par la SAUR
Privé:
pas de recensement disponible
quelques anciens puits communaux (1 devant la mairie utilisé pour abreuvage de chevaux, 1 sur la place)
globalement peu de ressource sur la commune
pas de faits marquants
activités surtout agricoles
traitement de la vigne raisonné (AOC St Joseph, Condrieu)
assainissement depuis 2000 avec plan d'épandage des boues, contrôles
réglementaires des boues et des sols
présence d'une activité de recyclage de matériaux par une entreprise de
9 septembre 2011
3/3
TP
- présence d'une activité d'ourdissage/tissage
Plaintes:
quelques réactions orales
Carte communale (ne contient pas les dernières constructions et le lotissement)
PLU en cours, représentatif de la situation actuelle
Archives:
pas d'éléments relatifs à l'environnement
2.
•
•
Zonage du PLU en cours + règlement
Eléments remis
3.
•
Carte communale
S. GARNIER
9 septembre 2011
No
N/Réf.
Date
08/09/11
Heure
13h30
Lieu
S. GARNIER
Lyon, le
9 septembre 2011
Nom
Mme SERRILLON
Mme POUDER
Mme GARNIER
Société
Maire de Serrières
BG
Fonction
1ère Adjointe
Chargée du patrimoine
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
2/3
Resp.
1.
Délai
Population:
cf. questionnaire et docs INSEE transmis
Lieux sensibles:
2 écoles, 1 hôpital avec maison de retraite: cf. questionnaire
Baignade/Pêche:
le Rhône: association "les amis du Rhône" à Serrières
bassin de joutes, barques: association "les sauveteurs Serrières- Sablons"
à Serrières
pas de baignade
2 viticulteurs (domaine Viallet à Marlet et domaine Boissonnet, rue Tournus) + céréales+ fruits
+ exploitants extérieurs pour la vigne
pas de recensement parcellaire disponible
Zone agricole = zone NC du POS
Captages d'eaux:
pas d'AEP, la commune est alimentée par les puits de Peyraud et Limony
Irrigation: ASA de Limony
pas de recensement des autres puits agricoles
Privé:
nombreux puits le long du Rhône, pas de recensement ni déclaration disponible
pas de faits marquants,
pas d'industrie sur la commune, pas d'accidents de transports
pollution du Rhône avec mortalité piscicole: élément à préciser avec M.
Roche
assainissement par un décanteur/digesteur, pas d'épandages de boues
Plaintes:
- pollution du ruisseau de Saint Sornin, liée au rejet de la STEP de Félines,
cf. éléments remis
- plainte déposé contre X par la mairie pour la pollution du Rhône par les
PCB, cf. éléments remis
Copie du zonage du POS remis
9 septembre 2011
3/3
Archives municipales: pas d'éléments répertoriés relatifs à l'environnement
2.
•
•
•
•
•
3.
•
Eléments remis
Documents INSEE
Zonage du POS de 2001
Plaintes pour pollution du ruisseau de Saint Sornin
Plainte contre X pour pollution du Rhône par les PCB
Date et description des événements de pollution du Rhône (mortalité
Maire de
piscicole) à préciser avec M. Roche
Serrières
dès que
possible
S. GARNIER
9 septembre 2011
No
N/Réf.
Date
08/09/11
Heure
11h00
Lieu
Mairie de Peyraud
S. GARNIER
Lyon, le
9 septembre 2011
Nom
M. BIENNIER
Mme GARNIER
Société
Mairie de Peyraud
BG
Fonction
Maire
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
Mairie de Peyraud
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
2/3
Resp.
1.
Délai
Population: 519 hab. au 01/01/2011
voir site INSEE pour détails
Lieux sensibles:
1 école (primaire, classe unique), effectif: 24 + périscolaire, 31 RN86
pas de collège, lycée, hôpitaux ni maison de retraite
Baignade/Pêche:
pêche le long du Rhône, pas de baignade
ruisseau de Crémieu: pas de pêche ni baignade, pollués par le rejet de la
STEP de Peaugres
pas d'association de pêche sur la commune (les amis du Rhône à Annonay)
3 à 4 exploitations + exploitants extérieurs à la commune
pas de recensement parcellaire disponible
cultures: céréales, maraichage, fruits, vignes
1 élevage de volaille en plein air (label rouge): voir localisation sur plan
Zones agricoles = zone A (sur le plateau) et Ap (inondable) du PLU, les
cultures peuvent aussi s'étendre sur les zones N
Captages d'eaux:
AEP:
3 puits exploités par le syndicat Annonay-Serrières et SAUR
Irrigation:
- ASA de Sablons, exploite 2 ou 3 puits sur la commune (cf. plan)
- au moins 3 autres puits agricoles pour l'irrigation (M. BERNARD J.Louis,
48 rue du pont romain à Peyraud (2 puits, cf. plan) et M. ROCHALON Michel, CHAMPAGNE (1 puits pour abricotiers, cf. plan)
- anciens puits abandonnés
pas de recensement des autres puits agricoles
Privé:
nombreux puits privés (les ¾ des maisons), pas de recensement ni déclaration disponibles
- assainissement par décanteur/digesteur, pas d'épandage de boue sur la
commune
- 2 pollutions du Rhône avec mortalité piscicole, dates? Voir mairie de Serrières ou les services de secours pour détails, origine plateforme pour au
moins un de ces événements
9 septembre 2011
3/3
- présence de simazine dans l'eau potable
- pas d'industrie sur la commune
Plaintes:
nuisances liées aux activités de GDE et TREDI
Copie du zonage du PLU remis
Archives:
pas d'éléments relatifs à l'environnement
2.
•
3.
•
Eléments remis
Zonage du PLU de 2005
S. GARNIER
9 septembre 2011
No
N/Réf.
Date
11/07/11
Heure
14h00
Lieu
S. GARNIER
Lyon, le
12 juillet 2011
Nom
Mme. COINDET
Mme GARNIER
Société
BG
Fonction
Adjointe à l'environnement
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Population: voir site internet de l'INSEE (commune n° 26325)
Lieux sensibles: voir questionnaire + tableau avec effectifs
Ecole St François et Ecole Elémentaire les Goélands: même lieux
Baignade/Pêche: 1 zone de pêche: Etang du Lavoir
Pas de zones de baignade.
Zones cultivés / parcellaire: pas d'information disponibles à cette échelle
(présentation d'un relevé des impôts avec les exploitants soumis au bénéfice forfaitaire, non exhaustif car ne tiens pas compte des exploitants soumis au bénéfice réel).
Les zones NC du POS (en cours de révision) sont réservées pour l'agriculture.
Cultures: fruitières, céréales + petit fruit et fraises sous tunnel + jachères
(modification de la PAC en 2012)
6 ou 7 exploitants
Captages d'eaux:
1 puits AEP au lieu dit les Teppes (voir carte), exploité par la SDEI
(contact à transmettre)
Présence de nombreux puits privés et exploités, surtout depuis la création
de la STEP, phénomène connu car absence de consommation. Pas d'inventaire.
Pas de faits marquants.
Pas de chimie, d'industrie sur la commune, uniquement des voies de circulation.
Plaintes:
Pas de plaintes recensées depuis une quinzaine d'année hormis des plaintes spécifiques pour la création d'un élevage de volaille (projet abandonné
depuis).
Documents d'urbanisme: POS de 2001, révisé en 2008. PLU en cours. Le
POS est disponible uniquement en version papier, en grand format. Faire
une demande à la DDT
Présence de plusieurs zones artisanales (entreprises principales: Norbert
Dentressangle et Isardrome)
12 juillet 2011
3/3
Archive: pas d'éléments relatifs à la pollution (voir avec la SDEI concernant les eaux)
2.
•
Eléments remis
•
Questionnaire partiellement complété (pages 1 à 4, 6 – pages 5 et 8
non renseignées, page 7 à compléter)
Tableau des effectifs de l'école
3.
•
•
•
Copie du zonage du POS + réglement
Contact SDEI pour informations relatives aux puits
Pollution (page 7 du questionnaire)
Mairie de
St Rambert
Dès que
possible
S. GARNIER
12 juillet 2011
2.3 – Autres
No
N/Réf.
Date
17/10/11
Heure
9h30
Lieu
Ferme des Oves
S. GARNIER
Lyon, le
15 novembre 2011
Nom
M. GIRARDIN
M. ETIENNE
Mme. XAVIER
M. PONT
Mme GARNIER
Société/Organisme
Association Sauvons Notre Futur
Associations des Amis de l'Ile de la Platière
BG
Fonction
Président
Membre
Présidente
Chef de projet
Ordre du jour
Annexes
Distribution
Association Sauvons Notre Futur
Associations des Amis de l'Ile de la Platière
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
2/4
Resp.
a
1.
Délai
•
Point d'avancement général de l'étude présenté par BG.
•
L'association des Amis de l'Ile de la Platière rappelle son rôle de protection de la biodiversité et ses préoccupations concernant la qualité
de l'eau, bien que la lutte contre la pollution diffuse ne fasse pas partie
de ces missions. L'association souhaite une implication plus importante dans le SEG, de part l'appui scientifique qu'elle peut apporter.
•
Prise en compte des pesticides: aucune information n'a été recueillie à
ce jour concernant l'usage des pesticides pour le secteur agricole. Ce
type d'information est difficile à collecter (les informations ne sont pas
disponibles ou confidentielles).
•
Prise en compte de la pollution des sols et des nappes. Ces points
seront bien intégrés dans l'étude. Plusieurs études relatives à la qualité du sous-sol ont été collectées auprès des industriels.
•
Prise en compte de la problématique des PCB dans les sédiments du
Rhône et de la qualité des eaux du Rhône. Ces éléments seront pris
en compte selon les données collectées.
•
Choix des stations de référence utilisées pour la qualité des eaux superficielles. Les données des stations les plus proches seront utilisées,
ainsi que des données locales lorsque disponibles. La pertinence des
données sera évaluée.
•
Pollution potentielle liée aux activités du Gesip. Le Gesip ne fait pas
partie des sites industriels pris en compte dans le cadre de l'étude
pour l'inventaire des émissions. Néanmoins, les activités pourront être
considérées parmi les activités ou pratiques "sensibles", susceptible
d'avoir un impact sur l'environnement.
•
Incendie du site SRB du 18/10/2009, stockage de bois créosotés (emprise d'environ 0,5 ha sur 15 m de haut, l'incendie a duré 2 jours par
vent du Nord. Un arrêté préfectoral (n°2009-294-7) a prescrit des mesures environnementales (métaux, HAP, PCDD/F sur sols, eaux souterraines, végétaux). Le choix du point de référence amont est contesté.
•
Présence de nombreux brulage de câble, pratique ancienne sur le territoire.
•
Présence d'une casse automobile sauvage depuis les années 70 au
Nord de l'Ile de la Platière, pratique de brulage. Préoccupations
concernant la gestion des fluides usagés des véhicules.
•
Des analyses de sols ont été réalisées par Sauvons Notre Futur (sols
superficiels sur environ 5 cm de profondeur). Ces données seront inté-
15 novembre 2011
3/4
grées à l'étude.
•
Pratique d'épandage des boues de la STEP du Péage de Roussillon
(SIGEARPE/SIMCO) qui ne possède pas de réseau séparatif. Bien
que les épandages soient réalisés conformément aux pratiques en vigueur, la répétition des épandages pendant plusieurs années sur des
mêmes sites est préoccupante.
•
Des analyses des vases du contre canal à l'aval du rejet du bipass de
la STEP ont été réalisées: éléments à transmettre
•
Pratiques actuelles: le site GDE a une influence significative sur les
odeurs (huile/caoutchouc)
•
Les activités industrielles de recyclage de matériaux dangereux, les
plus récentes sur la zone (TREDI, GDE, SRB) sont préoccupantes visà-vis de la pollution chronique;
•
Préoccupations concernant la torchère de Novapex qui a fonctionné
quasiment en continu au mois de septembre.
•
Alertes régulières de pollution sur le Rhône, entrainant des mesures
de protection des AEP.
•
La communication annoncée lors du dernier COPIL est attendue par
les associations.
2.
Eléments remis
Sauvons Notre Futur:
• Questionnaire complété
• Infolettre du 25/08/2011
• CR de la réunion à la DGPR du 14/04/09,
• Texte concernant les attentes de l'association
• Pollution historique: liste des faits marquants, relevé des informations
de la base ARIA, diaporama "Pollution par du cumène"
• Etat actuel: Liste des préoccupations actuelles
• Plaintes: 4 éléments listés ayant fait l'objet d'un dépôt de plainte, à
compléter avec les plaintes et courriers émis par l'association.
3.
Sauvons Notre Futur:
• Analyse de sols, remis le 09/11/11
• Plaintes et courriers émis par l'association
Association des Amis de l'Ile de la Platière
• Etudes suite à l'incendie du site SRB
• Analyse de vase à l'aval de la STEP du Péage de Roussillon
15 novembre 2011
4/4
S. GARNIER
15 novembre 2011
No
N/Réf.
Date
16/12/11
Heure
10h00
Lieu
S. GARNIER
Lyon, le
30 janvier 2012
Nom
M. BUFFAT
Mme GARNIER
Société/Organisme
BG
Fonction
Chef de projet
Ordre du jour
Collecte des données historiques
Annexes
Distribution
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
a
1.
2/3
Délai
•
M. Buffat, ancien salarié de la plate-forme, a été secrétaire du CE de
Rhône-Poulenc. Passionné par l'histoire, il est auteur d'un ouvrage et a
fondé une association sur l'histoire sociale. Il a également réalisé une
exposition photographique avec une centaine d'images historiques de
la plateforme, issues des archives de Rhône-Poulenc.
•
Transition d'une liste d'informations/événements historiques (cf. document joint) et de 3 photos associées.
•
Compléments apportés:
•
A: les cantonnements étaient présents jusque dans les années 60.
Dans les années 50, rupture d'un réseau d'eaux usées vers le CD4 et
inondation dans le secteur des Grandes Blaches. Des terres colorées
ont été décelées et une étude réalisée.
•
B: P3 = tranche 3 du phénol, incendie en 1964 (cf. photo) suite à une
explosion d'hydrogène.
•
C: écoulement de cumène, phénol dans le sol: 1 train rempli de phénol
(date?). Jusque dans les années 70, les pratiques de déversement
("mise au sable") étaient courantes, pour tout produit, sur toute l'usine.
•
D: contamination des fruits jusqu'à Sablons
•
G: vapeurs nitreuses: plus de rejets à l'heure actuelle
•
I: masses de silicium : déchets. Déchets noyés. Plusieurs sources sont
à l'origine des poussières (A7, N7, MCS, Tredi, GDE, fumées du GESIP, chauffage au bois)
•
M: pollution du Rhône depuis St Fons, produit?
•
N: augmentation de la pollution atmosphérique depuis une quinzaine
d'année, en lien avec l'augmentation du trafic (3ème voie sur l'A7).
•
Autres personnes susceptibles de détenir des informations: M JeanClaude GARCIA à Roussillon (secrétaire du CE) et M. Raymond RANIER (Péage).
A l'heure actuelle, beaucoup de craintes de la population liées aux particules noires
Nuisances olfactives périodiques, au moment des arrêt/démarrage, en
baisse.
2.
•
•
Eléments remis
3 photos historiques
Liste d'informations/événements historiques concernant l'environnement
30 janvier 2012
3.
3/3
S. GARNIER
30 janvier 2012
AGGLO ROUSSILLON : Environnement :
Rhône-Poulenc devenu RHODIA :
EFFLENTS de l’usine Rhodia :
A: Cantonnement : Inondation par rupture d’un tuyau d’eaux usées de l’usine Rhône-Poulenc
(Dans les années 50) Voir Photo.
Plus tard des sondages du sol ont décelés des terres colorées dans les champs aux environs des
usines Une étude à été faite par une société de Grenoble. Celle-ci avait décelé des fissures voir
une rupture des canaux des PI. A vérifier.
Il pourrait y avoir encore des fissures sur les canaux des effluents des usines de Rhodia.
Ceux-ci ayant été mis en place depuis les débuts de Rhône-Poulenc car ils reposent sur un sol
sableux.
B: Feu au P3 : 1964 ? Voir photo . Même s’ils sont moindres les risques existent toujours
Ecoulement de phénol et de cumène dans le sol. 1963-1970 Heureusement celui-ci s’est
bloqué dans une poche d’eau et flotte en surface : Installation de pompage du sous-sol et
récupération d’une partie du produit dans plusieurs wagons citerne.
A cette époque on disait : « je mets au sable ». Ce qui voulait dire : pour ne pas polluer le
Rhône , je vide le produit dans la terre.
C: Nappe phréatique au sud de l’usine à surveiller.
D:Toujours au phénol dans les années 1987-88 : montée en pression d’une colonne ou d’un
réservoir ? Le tampon d’explosion
est percé et laisse échapper du phénol dans
l’atmosphère. Contamination des fruits au sud de l’usine ;
E: Culots, de diverses installations, rejetés dans le Rhône ;(distillations cuves etc…)
F:Déchets de carbure stockés à Péage de Roussillon au bord du CD 4
G:Rejets atmosphériques de vapeurs nitreuses 1960-70
H:Déchets de MCS stockés au même emplacement que les déchets de carbure
I:Rejets à l’atmosphère de particules solide noires provenant des masses de silicium du
MCS
J:Feu dans un magasin de stockage de divers produits ; 1988 ? Conséquence pollution du
Rhône. Depuis aménagement d’un bassin de rétention pouvant retenir temporairement les
eaux usées de l’usine.
K:Dangers existants actuellement: Stockage de produits dangereux ; produits volatils (éther)
inflammables AP
Produits très dangereux à respirer : Phosgène, ammoniaque, dérivés de l’acide sulfurique. Par
le passé nous avions eu un dégagement de SO3 dans la fabrication de DMS(Diméthylsulfate)
à partir d’oléom..etc…
Certains produits utilisés doivent rester sous haute surveillance pour ne pas être rejetés au
Rhône : cyanure
Autres :
L:Début 1980 : Nappe phréatique vers installation pompage d’eau potable polluée par
dépôts de fruits provenant d’excédents de la Cave fruitière de Péage de Roussillon. Ceux-ci
avaient été arrosés de fuel. Un puits hors d’usage.
Pour ma part, je ne mettrai pas les œufs dans le même panier et je garderais la possibilité
d’utiliser rapidement de l’eau provenant d’un autre site : Salaise par exemple. Au cas, où pour
une raison ou une autre il y aurait pollution de la nappe phréatique utilisée aujourd’hui.
M:-Pollution du Rhône en amont de Péage de Roussillon par un produit chimique: 1986 ?
Conséquence : arrêt de la consommation d’eau potable
N:-Pollution atmosphérique, depuis une quinzaine d’années, par rejets de particules noires
sur tout le territoire du Péage de Roussillon ; Voir les balcons, les toits, les murs et les objets
restant à l’extérieurs des maisons
No
N/Réf.
Date
03/02/12
Heure
9h30
Lieu
Saint Fons
S. GARNIER
Lyon, le
6 février 2012
Nom
M. DELLOYE
Mme GARNIER
Société/Organisme
Rhodia Services
BG
Fonction
Expert Passif Industriel et Environnemental
Chef de projet
Ordre du jour
Collecte des données: pollutions historique
Annexes
Distribution
Rhodia Services
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
1.
2/3
Délai
Suite à la demande formulée par BG (courrier en date du 25/07/11 à l'attention de Rhodia Opérations, M. Bar), concernant les activités, pratiques
historiques, accidents ou incidents ayant pu entrainer des pollutions durables, les points suivants ont été abordés:
•
Productions anciennes et flux d'émissions associés: les archives environnementales de l'exploitation du site sont gérées par le GIE OSIRIS;
•
Pratiques de mises en dépôts des résidus d'activités. Plusieurs zones
de dépôts de chaux (issue de la production d'acétylène) sont présentes aux alentours du site, sur des emprises Rhodia. Des études spécifiques ont été menées sur ces secteurs et sont transmises ce jour.
•
Accidents/incidents ayant pu entrainer des impacts: Ce point a été traité dans l'ESR de 2002, hors secteur MCS. Voir également l'étude de
Ph. GAY de 1992, reprise dans l'ESR et transmise ce jour.
•
Etudes relatives à la qualité des sols et des eaux souterraines: différentes études ont déjà été collectées par BG auprès des exploitants
(étude sol-nappe de 2006, investigations et IEM de 2008). Quelques
études complémentaires sont transmises ce jour.
•
Etudes ou données relatives aux campagnes de mesure de la qualité
des milieux (air, sols, eaux, sédiments, végétaux, animaux): aucune
autre information n'est disponible, ce type de données est à rechercher
auprès du GIE OSIRIS.
2.
•
•
•
•
•
•
•
•
Eléments remis
Bilan des investigations de la pollution aux HCT sur le site Rhodia
Chimie de Roussillon - Proposition d'actions visant à réduire les impacts, Rhodia Services, n° TD 100712, 22/07/2010;
Rhodia Chimie, Complément Investigation Pollution HCT, Site de
Roussillon, Golder Associates n°09503140499-1, juin 2010;
Rhodia Chimie, Pollution HCT, Site de Roussillon, Golder Associates
n°09503140468, novembre 2009;
Rhodia - Diagnostic de sol - Site de Roussillon, Golder Associates
n°09503140335, mai 2009;
Rapport d'intervention sur la caractérisation des sols, Péage de Roussillon, Environ, n°13ERE 09 007, mai 2009;
Rhodia- Campagne d'investigations Sols-nappe, Site Rhodia Acétol,
Péage de Roussillon, SERPOL, n°5125, 5 juin 2006;
GIE OSIRIS, Campagne de prélèvements Mars 2006, Plate-forme Osiris, Péage de Roussillon, SERPOL, n°5125-4, 5 juin 2006;
GIE OSIRIS, Campagne de prélèvements Février 2006, Plate-forme
6 février 2012
•
•
•
•
•
3.
•
3/3
Osiris, Péage de Roussillon, SERPOL, n°5125-3, 9 juin 2006;
Diagnostic Initial, Etape B et ESR, Complexe chimique de Roussillon,
Roussillon, Ate-Geoclean, n°0201113.01 édition 2, juin 2002;
Diagnostic du dépôt de goudrons du site de Roussillon, ATE,
n°02960080, décembre 1997;
Prélèvements d'eaux souterraines et superficielles, Dépôts de goudrons de Roussillon, ATE, n°02980160, juillet 1998;
Etude hydrogéologique de la nappe de Péage de Roussillon, Gestion
de la ressource en eau souterraine, Horizons, n°V4108, décembre
1994;
Historique Usine, Foncier - Pollutions historiques, Ph. GAY, 3 février
1992.
S. GARNIER
6 février 2012
No
N/Réf.
Date
07/02/11
Heure
14h
Lieu
Plate-forme Roussillon
S. GARNIER
Lyon, le
7 février 2011
Nom
M. GRATTAGLIANO
M. BERTRAND
Mme GARNIER
Société/Organisme
ADISSEO
NOVAPEX
BG
Fonction
Représentant du CHSCT
Secrétaire du CHSCT
Chef de projet
Ordre du jour
Collecte des données: pollutions historiques / préoccupations actuelles
Annexes
Distribution
ADISSEO, M. GRATTAGLIANO
NOVAPEX, M. BERTRAND
BG
DREAL, UT 38
T +33 4 72 56 36 00
F +33 4 72 56 36 01
E [email protected]
W www.bg-21.com TVA FR 493 035 592 49
Resp.
a
1.
Délai
•
Rappel du déroulement et des objectifs de l'étude et point d'avancement présenté par BG.
•
2 incidents survenus depuis 2003 (date de la création de Novapex) et
une pollution historique sont rapportés (voir questionnaire en annexe);
•
Aucun fait particulier n'est rapporté concernant le site ADISSEO. Les
accidents/incidents font l'objet d'une communication en Mairie et aux
services de l'Etat;
•
Les démarrages d'ateliers peuvent être à l'origine de pics de concentration, enregistrés sur le réseau SUP'AIR;
•
Les inquiétudes des salariés ne se portent pas sur les émissions de
leur propres sites, celles-ci étant connues, mais plutôt sur les émissions des sites voisins (TREDI, GDE) susceptibles d'avoir un impact
sur la plate-forme. Les préoccupations concernent les odeurs, les
émissions de poussières, les incendies et explosions. Les nuisances
sont constantes depuis plusieurs années. Les retombées de poussières, huileuses, sont observables jusqu'à Sablons ou Saint Maurice
l'Exil, depuis la création du site de GDE;
•
La même rigueur et obligation de mise en conformité est souhaitée
pour tous les sites, sur la plateforme comme à l'extérieur;
•
Les plaintes de la population concernent essentiellement les odeurs de
méthionine, le bruit, les fumées de la torche de sécurité. De nettes
améliorations ont été apportées ces dernières années, ce qui rend les
pics d'odeur ou de bruit, même faibles, plus perceptibles par la population.
2.
2/2
Eléments remis
Novapex – M. Bertrand:
• Questionnaire complété
3.
•
S. GARNIER
7 février 2011
Annexe 3
Fiches descriptives des établissements industriels
Suivi Environnemental Global du Pays Roussillonnais
Nom:
Adresse:
BG
Description des activités
ACETEX INTERMEDIATES
Site Chimique de Roussillon, Rue Gaston Monmousseau, CS 50032
38556 Saint-Maurice l'Exil (FRANCE)
Localisation (X _ Lambert 93)
Localisation (Y _ Lambert 93)
Activités principales:
Régime ICPE:
Autres activités:
Capacité de production:
Historique des activités:
Inventaire des rejets atmosphériques
Surveillance des rejets atmosphériques
Inventaire des rejets aqueux
Surveillance des rejets aqueux
Autres informations
Modifications importantes survenues sur la
période 2008-2010 susceptibles de
modifier les rejets
Projets à venir susceptibles de modifier les
rejets:
0779.01/Enquête/Gar
06/08/2012
Nom:
Adresse:
B G
ADISSEO
Rue Gaston Monmousseau - Roussillon - 38556 SAINT MAURICE L'EXIL
840785
6473531
Fabrication de produits pour la nutrition animale
Régime ICPE:
Autorisation avec servitudes:
1111-2a (substances très toxiques pour l'environnement): cyanure de sodium
30%, 730,5 t
1131-2a (substances toxiques et dangereuses pour l'environnement) : 1540 t,
HMTBn concentré 97%, condensats HMTBn97 concentré à 3%, HMTBn en
solution à 65-75%)
Autres activités:
-
75000 t/an de méthionine
Reprise des activités Rhône Poulenc en 2000
Canalisés: 2 cheminées: four FOX et AIRMIX (désodorisation)
Diffus: pas de rejets
Contrôle continu FOX: SO2
Contrôle annuel FOX: NOx, CO, P, COV, SO2, HCN
Contrôle annuel AIRMIX: P, COV (screening des COV sur l'AIRMIX disponible
dans l'étude d'impact)
Eaux de refroidissement et eaux de procédé: rejet au canal 4-3 qui rejoint
l'effluent général
Contrôle continu: Q, COT, Cyanures + DCO et MES (hebdomadaire) + Sulfates
(mensuel)
Autres informations
Augmentation de la capacité de production de 53000 t/an à 75000 t/an, effective
depuis juin 2010
Nouveau traitement AIRMIX depuis juin 2010
modifier les rejets:
nouveau stockeur d'ammoniaque d'ici fin 2011, sans influence sur les émissions
Pas d'arrêt prévu en 2012 (une trentaine de jours les années précédentes)
rejets:
06/08/2012
Nom:
B G
AIR LIQUIDE FRANCE INDUSTRIES
Adresse:
Site Chimique de Roussillon, Rue Gaston Monmousseau, CS 50032
38556 Saint-Maurice l'Exil
840162
6473896
Production d'acétylène, conditionnement en bouteille ou livraison par pipe
Régime ICPE:
Autorisation:
1417-2 (fabrication d'acétylène)
1418-1 (stockage d'acétylène): 40t
Autres activités:
stockage d'acétone (30 t), stockage de carbure de calcium (150t)
500 à 700 t/an
Anciennement SOGIF, devenue ALFI depuis mai 2011
Construction du site entre 2002 et 2003, production démarrée en 2004.
Auparavant: terrain vierge, présence d'une ancienne usine d'acétylène Rhône-
Canalisé:
- rejets d'acétylène en phase maintenance en différents points: pas de mesures
disponibles, estimation fournies selon le nombre d'opération/ an.
- rejet acétone + acétylène: lors de la régénération du filtre à charbon actif du
skid de secours. estimation fournies selon le nombre d'opération/an
- stockage d'acétone et H2S sous azote: pas d'estimations disponibles
Diffus:
- branchement/débranchement des bouteilles lors du remplissage
aucune
Eaux pluviales + eaux sanitaires + eaux de lavage des filtres à sables rejeté via
l'éffluent général de la plate-forme
aucune
Autres informations
Modifications importantes survenues sur la Production automatique depuis décembre 2010 (fonctionnement continu, weekend compris). Diminution de la régénération du skid de secours, donc réduction
des émissions associées
modifier les rejets
rejets:
06/08/2012
Nom:
Adresse:
BG
BLUESTAR SILICONES
Salaise sur Sanne
Régime ICPE:
Autres activités:
Autres informations
modifier les rejets
06/08/2012
Nom:
CCI Nord Isére Port de Salaise/Sablons
Adresse:
104 Avenue du port - ZIP
840063
6472479
Stockage manutention divers produits
Activité multi modale Eau/fer/route
Régime ICPE:
Autres activités:
Autorisation: 1520, 2515, 2160
800 000 T par an
Port implanté depuis 1984
canalisés: aucun
diffus : poussières
1 campagne de mesure des retombées de poussières en avril 2010
1 bassin de décantation/DSH pour la zone charbon
2 autres DSH sur la plateforme
B G
Bassin/DSH de la zone charbon: contrôle semestriel : MES, DBO, DCO, HCT +
Métaux (annuel)
Autres informations
Taitement des eaux pluviales: bitumage, canalisation, rejets bassin decantation,
décanteurs lamellaires, séparateurs hydrocarbures
Projets à venir susceptibles de modifier les Couverture des casiers du stockage de carbonate de sodium pour limiter les
envols de poussières
rejets:
06/08/2012
Nom:
Adresse:
Régime ICPE:
Autres activités:
B G
EUROFLOAT
312 rue des BALMES
840549.9357
6472095.208
Fabrication de verre plat
AUTORISATION
ligne de dépose de couche sur verre, ligne de fabrication de verre feuilleté
680 t/j
en 1989 ligne de fabrication de verre plat (450t/j)
en 2000 ligne de fabrication de verre plat (reconstruction four 630t/j) + ligne
magnétron
en 2007 ligne de fabrication de verre feuilleté + Boosting fusion du four pour
tirée de 630 t/j à 680 t/j (nouveau permis d'exploité en 2009)
Canalisés: 1 cheminée du four, 4 groupes de secours, 3 dépoussiéreurs, 2
chaudières
Diffus: aucun
Cheminée : contrôle continu: Nox, Sox, P, CO + contrôle trimestriel Mx, HCl, HF,
HAP
Groupes de secours : qq valeurs disponibles en Nox, Sox, P, CO (annuel)
Dépoussiérage : qq valeurs disponibles
Chaudières: contrôlée depuis 2011
Pluvial + procédé
Contrôle continu : pH, T, Q + DCO, DBO, MES, HCT, Mx, N (1 à 2 fois/an)
Autres informations
période 2008-2010 susceptibles de modifier les
rejets
Démarrage ligne feuilleté fin 2007
Augmentation de la production en 2009
Augmentation de la quantité de calcin utilisé (réduction des émissions)
rejets:
Mise en place d'un SCR pour diminuer les rejets NOx à la cheminée four
06/08/2012
Nom:
B G
S.A. GUY DAUPHIN ENVIRONNEMENT
Adresse:
Route de Sablons
840001
6473142
Recyclage des métaux ferreux et non ferreux
Régime ICPE:
Autorisation :
167 A (transit de déchets industriels), batteries
286 (stockage et activité de récupération de déchets métalliques et de carcasse
de VHU): 60 000 m²
329 (papiers usés): 950 t *
2445-1(transformation du papier, carton), 150 t/j*
2560-1 (broyage, cisaillage de métaux): 7500 kW
* activités non développées à ce jour
Autres activités:
Cisaillage, collecte de batteries
360 000 t/an
Début d'activité en 2003
Canalisés: cheminée du broyeur
Diffus: caisse du broyeur
Canalisés: contrôle continu Q, P + contrôle trimestrielle: Mx, Q, P, COV +
dioxines (annuel) + HAP (1 mesure en 2008)
Diffus: P, COV : 2 campagnes disponibles en 2009 et 2010
Eaux pluvial voieries et stockage, traitement par bassin de
décantation/déhuilage et 2 DSH
pas de suivi de débit
contrôle HCT (mensuel) + DBO, DCO, MES, Mx, pH (annuel)
Autres informations
Modifications importantes survenues sur la - augmentation du taux de captation des poussières à l'intérieur de la caisse du
broyeur depuis juillet 2009
- brumisation haute pression depuis août 2009
modifier les rejets :
rejets:
06/08/2012
Nom:
Adresse:
Régime ICPE:
Autres activités:
B G
NOVAPEX
Rue Gaston Monmousson, CS50032 Roussillon, 38556 Saint Maurice L'Exil
840490
6473878
Production Phénol, Acétone, Isopropanol (IPA) et coproduits
Autorisation avec servitudes
1130-1(Fabrication ou préparation toxiques et liquides inflammables 2ème
catégorie): atelier phénol, 500 t.
1131-2a (Emploi ou stockages substances toxiques): benzène et phénol, 10
446 t.
1173 (Stockage et emploi substances dangereuses pour l'environnement B toxiques pour les organismes aquatiques): Cumène, carbures et alphaMES, 10
343 t.
1211-1 (Fabrication de peroxyde organique): Hydroperoxyde de cumène, 550 t.
Phénol: 170 kT/an, Acétone 130 kT/an, IPA 30 kT/an
LE PHENOL:
1916: début de la production à ROUSSILLON (sulfonation du benzène) : 70 t/j
1954: démarrage de la Tranche 1 : (procédé RP au cumène) 30 t/j
1955: démarrage de la Tranche 2 : 30 t/j
1960: démarrage de la Tranche 3: 60 t/j
1985 : revamping complet de la tranche 3 : 200 t/j
1992: démarrage de la tranche 4 (procédé UOP/ALLIED): 300 t/j. arrêt des
tranches 1&2
1992: mise en place d ’une purification finale du phénol
2000: mise sous cocon de la partie la plus ancienne de la tranche 3
1er janvier 2003 : création de NOVAPEX
LE CUMENE:
1953: démarrage de la fabrication de CUMENE, procédé UOP/KELLOG(via
H3PO4) : 30 t/j
1986 : mise en place du nouveau procédé CUMENE LUMMUS / MONSANTO
(via AlCl3): 480 t/j.
1994 : dégoulottage unité cuméne : 650 t/j
2001 : remplacement de la synthèse par procédé EXXON/RAYTHEON (via
ZEOLITHES) : prés de 800 t/j
canalisé: RTO, colonnes d'abattage Acétone et IPA
diffus: autres évents non collectés
émissions fugitives:
canalisé:
RTO: Contrôle trimestriel CO, benzène, COV, acétone, isopropanol, NOX +
contrôle mensuel interne COV,
colonnes d'abatage IPA et acétone: Contrôle annuel :CO, benzène, COV,
acétone, isopropanol, NOX
diffus: estimation
émissions fugitives: 1 campagne de mesure en 2010
canal 4,2-P: eaux de process envoyées sur TREFLE
canal 4,2 S: eaux de sols, rejoint l'effluent général
canal 4,2 R: eaux de refroidissement, rejoint l'effluent général
Contrôle continu: Q, T, pH, COT, phénol (uniquement 4,2-P et 4,2-S)
+ COT, MES, DCO, DBO5, Phénol, acétophénone, cumène, benzène, acétone,
sulfate, sodium (paramètres et fréquences variables selon les canaux)
Modifications importantes survenues sur
la période 2008-2010 susceptibles de
modifier les rejets
Autres informations
Traitement des COV:
- mise en place progressive d'une collecte des COV et d'un traitement par
oxydeur thermique (RTO), efficace depuis 2010,
- events des stockages de benzène raccordés au RTO depuis 2008,
- events des stockages d'acétone traités par colonne de lavage depuis mai
2011
Eaux: Mise en place d'un décanteur pour diminuer les flux d'acétophénone sur
TREFLE en 2011
Economie d'Energie
RTO: objecti COV < 50 t en 2011
Projets à venir susceptibles de modifier les réduction de 50 % des émissions fugitives
Economie d'eau de refroidissement
06/08/2012
B G
Nom:
OSIRIS
Adresse:
CS 50032
Roussillon
38556 Saint Maurice l'Exil
Localisation (X _ Lambert 93) - GEEF
Localisation (Y _ Lambert 93) - GEEF
Localisation (X _ Lambert 93) - TREFLE
Localisation (Y _ Lambert 93) - TREFLE
840467
6474735
840367
6473887
Fourniture de services
Régime ICPE:
Autorisation
167-a (stockage de déchets industriels): 700 t
1131-2b (stockage de substances chimiques): 40t
1432-2a(stockage de liquides inflammables): fioul lours BTS et graisses
animales 1031 m3
1520-1 (dépôt de charbon): 1 600 t.
2910-A1 et B (installation de combustion): 454 MW
2750 ( station d'épuration collective d'eaux résiduaire industrielles): 2880 m3/j
2920-1a et 2a (installation de compression): 550 kW et 2206 kW
Autres activités:
Combustion (GEEF)
Station d'épuration biologique (TREFLE)
Installation de combustion : 454 MW
Station d'épuration biologique : 3 650 T/an de DCO ; 2 880 m3/j d'effluents
Exploitation des installations depuis 1999
Canalisés: rejets des 6 chaudières de la centrale thermique GEEF
Diffus : bassin d'aération de TREFLE
Canalisés: contrôle continu Q, SO2, NOx, CO, P + Mx, HAP, COV (annuel,
depuis 2010)
diffus: campagnes ponctuelles
Rejet de la station TREFLE qui rejoint l'effluent général
Effluent général de la plate-forme
suivi continu (échantillon moyen/24 h): 27 paramètres, fréquence variable selon
les composés
Autres informations
Modifications importantes survenues sur la période 2008Bruleur bas NOX sur la chadière n°1 depuis 2009
2010 susceptibles de modifier les rejets
(arrêt ou création d'activité, traitement des rejets):
Projets à venir susceptibles de modifier les rejets:
Réduction des NOx et SO2 d'ici 2013 à 2016
Projet biomasse d'un tiers suceptible de réduire l'émission de CO2 d'Osiris
06/08/2012
Nom:
Adresse:
Localisation (X _ Lambert 93) - ACETOL
Localisation (Y _ Lambert 93) - ACETOL
Localisation (X _ Lambert 93) - INTERMEDIAIRES
Localisation (Y _ Lambert 93) - INTERMEDIAIRES
B G
RHODIA OPERATIONS
Rue Gastion Monmousseau, CS50032 - Roussillon, 38556 Saint Maurice l'Exil
840363.9184
6475359.768
840588.3937
6474635.683
Production de produits chimiques
(acétate de cellulose, anhydride acétique, acide salicylique, acide nitrique, oxadiazon, catalyseur
de Raney)
Régime ICPE:
Autorisation avec servitudes:
1131-2 (Emploi ou stockage substances toxiques): 429 t (phénol, bromure d'isopropyle et chlorure
de pyvaloyle)
1136 (Emploi ou stockage ammoniqaue): 603 t
1151-5 (Substances et mélanges particuliers): 42 t (catalyseur et alliage Raney)
1172 (Stockage et emploi de substances dangereuses pour l'environnement): 215 t (divers)
Autres activités:
-
93 555 T pour l'année 2010 (somme des productions des différents ateliers)
Création du site en 1915, devenu Rhodia en 1998
en 2007 Rhodia Opérations reprend Rhodia Acétol et Rhodia Intermédiaires
arrêt de l'OAP (orthoAminoPhénol) en 2007 et de l'APAP (paracétamol) en 2009
présence d'une ancienne chaufferie côté Acétol
Canalisés: 19 rejets
Diffus: 17 réservoirs
Canalisés:paramètres et fréquences variables, hormis ANK: contrôle continu en NOx
Diffus: émissions calculées sauf point 15 et 16 (mesures annuelles COV + Poussières)
Rejets dans 4 canaux qui rejoignent l'effluent général et 3 autres rejets vers TREFLE
Les canaux sont regroupés pour considérer un seul rejet
Paramètres et fréquence variable selon les ateliers
Autres informations
Arrêt de l'activité de fabrication de l'APAP en 2009
Traitement des rejets gazeux (Oxadiazon: installation d'un oxydeur thermique en mars 2010,
Acétol: collecte et envoi des effluents gazeux dans un four de production depuis mai 2010)
Modifications importantes survenues sur la période 2008- Oxadiazon: envoi des rejets aqueux sur TREFLE depuis 2009 (auparavant effluent général):
baisse du rejet en DCM, 2,4-D et Sn
2010 susceptibles de modifier les rejets
Oxadiazon: atelier arrété pendant 4,5 mois en 2009
diminution des rejets en 2009 suite à la baisse de production
effort de réduction de la consommation d'ammoniaque pour diminuer les rejets
Projets à venir susceptibles de modifier les rejets:
Traitement des rejets N2O de l'atelier ANK fin 2011
réduction des flux de la cheminée n°2 dans une nouvelle unité en projet
06/08/2012
Nom:
Adresse:
Régime ICPE:
Autres activités:
B G
TERIS Spécialités
Rue gaston Monmousseau - Roussillon, 38556 Saint Maurice l'Exil
840429
6473833
Traitement thermique de déchets industriels dangereux
Seveso II seuil haut - rubrique ICPE = 2770 / 2771
200 000 T/an
Ouverture du site en 2001 - 1 arrêté cadre d'exploitation du 7 juin 2001
canalisés: 2 cheminées
diffus: pas d'estimation (évents collectés et incinérés, installation en dépression)
contrôle continu Q, CO, HCl, SO2, NOx, HF, P
contrôle semestriels: Mx, PCDD/F
eaux de lavage des fumées après traitement, rejet au canal 4-4 puis effluent
général
effluent de l'évaporateur pour concentration des déchets envoyé vers TREFLE
continu : Q,T, pH, COT, résistivité + MES, COT, Mx, cyanures, chlorures,
sulfates, fluorures, PCDD/F et indice phénol (fréquence variable selon les
paramètres)
Autres informations
Modifications importantes survenues sur la Aucunes modifications fondamentales du procédés depuis la mise en service de
l'installation
Augmentation des capacités de stockage sur 2009
Réduction des NOx
Chaudière Biomasse
06/08/2012
Nom:
Adresse:
Localisation (X Lambert 93)
Localisation (Y Lambert 93)
B G
TREDI
519 rue Denis Papin, Salaise sur Sanne, 38 556 Saint-Maurice l'Exil cedex
840434
6472968
Incinération de déchets dangereux et de déchets non dangereux avec valorisation éne
Régime ICPE:
Autorisation - Statut en cours d'évolution
Rubrique : 2717-1, 2718-1, 2770-1-a, 2771
Autres activités:
2515, 2260-2-a, 1630-A-2, 2921-1-b, 1715-2
294 ktonnes par an
Exploitation du site depuis 1985 - avant présence de décharge sauvage, terres ag
Canalisés: 4 cheminées
Diffus: pas d'estimation
Contrôle continu: Q, H2O, O2, CO2, P, CO, COT, HCl, HF, NOx, SO2
Contrôle mensuel: PCDD/F
Contrôle semestriel: tout paramètres + PCDD/F + Mx
*eaux de lavage des fumées après traitement
*pluvial, purge des chaudières, toitures: gestion selon la qualité, pas de suivi du
rejet
Contrôle quotidien: Q, T, pH, MES, Cl, F-, COT
Contrôle hebdomadaire: DCO,HCT, AOX, Cyanures,Mx
Contrôle mensuel: tt paramètres + DBO, NK, NT, P, matières inhibitrices
Autres informations
modifier les rejets
Projet de plateforme de regroupement de déchets
Projet de modifications de la gestion des résidus du traitement des gaz de
rejets:
combustion.
06/08/2012
Annexe 4
Listes des accidents recensés dans la base de données
ARIA du BARPI
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MINISTERE DU DEVELOPPEMENT DURABLE
DIRECTION GENERALE DE LA PREVENTION DES RISQUES
SRT / BARPI
Résultats de recherche d’accidents sur
www.aria.developpement-durable.gouv.fr
La base de données ARIA, exploitée par le ministère du développement durable, recense essentiellement les événements accidentels qui ont,
ou qui auraient pu porter atteinte à la santé ou la sécurité publiques, l'agriculture, la nature et l'environnement. Pour l'essentiel, ces événements résultent de l'activité d'usines, ateliers, dépôts, chantiers, élevages,... classés au titre de la législation relative aux Installations
Classées, ainsi que du transport de matières dangereuses. Le recensement et l'analyse de ces accidents et incidents, français ou étrangers
sont organisés depuis 1992. Ce recensement qui dépend largement des sources d'informations publiques et privées, n'est pas exhaustif. La
liste des évènements accidentels présentés ci-après ne constitue qu'une sélection de cas illustratifs. Malgré tout le soin apporté à la réalisation
de cette synthèse, il est possible que quelques inexactitudes persistent dans les éléments présentés. Merci au lecteur de bien vouloir signaler
toute anomalie éventuelle avec mention des sources d'information à l'adresse suivante :
BARPI – DREAL RHONE ALPES 69509 CEDEX 03 / Mel : [email protected]
Nombre d'accidents répertoriés : 4 - 31/01/2012
Liste de(s) critère(s) de la recherche
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Date et Lieu : LE PEAGE-DE-ROUSSILLON
N°38334 - 15/04/2010 - FRANCE - 38 - LE PEAGE-DE-ROUSSILLON
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Lors d'un contrôle effectué à la sortie d'une usine, de l'acétate de cellulose sous forme solide et liquide s'échappe d'une
benne.
L'acétate de cellulose est décanté dans des bennes de 7 m³ avant d'être transporté jusqu'au site d'élimination situé à
moins d'un km. La décantation n'a pas été réalisée dans de bonnes conditions, notamment, la bâche devant couvrir la
benne n'était pas installée, entraînant la présence d'eau dans cette dernière qui, de plus, est corrodée en divers endroits.
Par ailleurs, les équipements réglementaires devant se trouver à bord du véhicule étaient absents (récipient plastique et
lampe) et le transport de ce produit en vrac est interdit par l'ADR.
Alertés, les responsables sécurité de l'usine décident de faire intervenir les pompiers pour décontaminer le site et diriger
le produit qui s'est écoulé vers le bac de rétention situé sous le parking.
Ûíèòîî ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ 7´·³·²¿¬·±² ¼»- ¼7½¸»¬- ¼¿²¹»®»«¨
Dans un centre de traitement des déchets, 2 lignes d'incinération se mettent simultanément en sécurité à 15 h, entraînant
un rejet à l'atmosphère de méthylmercaptan via une soupape.
Cette substance, détectable à faible concentration, est utilisée dans l'odorification du gaz de ville ; de nombreux riverains
des communes limitrophes se sont inquiétés d'une fuite de gaz. Le POI de la plate-forme est déclenché, le personnel est
confiné. L'absence de gaz naturel est vérifiée dans le cadre de la procédure d'alerte gaz et le POI est levé à 15h40.
L'origine de l'arrêt simultané des lignes d'incinération est inconnue. Le méthylmercaptan était contenu dans un déchet
aqueux reçu sur le site en début d'après-midi. L'exploitant publie un communiqué de presse et informe la préfecture et
l'inspection des installations classées.
Ûíéòðð ó Ý±´´»½¬» »¬ ¬®¿·¬»³»²¬ ¼»- »¿«¨ «-7»Un début d'incendie, suivi d'une explosion, se produit dans un bac de résidus en cours de nettoyage dans une station de
traitement des effluents ; 1 blessé est à déplorer.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Dans une usine chimique, un disque de rupture d'une pompe de chargement éclate sur une citerne de latex en émulsion.
Environ 4 t d'émulsion (50 % eau, 50 % polymère à base acétate de vinyle et maléate de butyle) se déversent dans le
RHÔNE via le réseau d'égouts.
Ministère du développement durable – DGPR / SRT / BARPI – Page 2
SRT / BARPI
-
Date et Lieu : CHAVANAY
N°37169 - 07/10/2009 - FRANCE - 42 - CHAVANAY
Ûíèòïï ó Ý±´´»½¬» ¼»- ¼7½¸»¬- ²±² ¼¿²¹»®»«¨
Un feu se déclare vers 21 h dans une décharge de végétaux de 3 000 m². La circulation ferroviaire est interrompue. Les
secours maîtrisent l'incendie vers 23 h avec 4 lances et quittent les lieux le lendemain vers 6h30. Un élu se rend sur
place.
Ýïêòîì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù»³¾¿´´¿¹»- »² ¾±·Dans une usine de fabrication d'emballages en bois, fermée durant les vacances de la Toussaint, un feu se déclare vers
23h30 dans un bâtiment de production de 2 000 m². Les flammes se propagent sur 400 m², détruisent 30 machines de
sciage et rabotage et une partie de la toiture du bâtiment et menacent un silo de sciures. Les 40 pompiers mobilisés
maîtrisent le sinistre en 1 h à l'aide de 7 lances dont 1 montée sur échelle pivotante. Les opérations de déblai permettent
l'extinction de foyers résiduels. Selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie, l'incendie serait d'origine
électrique.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
Une fuite d'acide sulfurique à 98 % se produit sur un camion-citerne. On observe des traînées discontinues d'acide sur
450 m. L'acide est neutralisé par du carbonate de calcium. La circulation est interrompue sur la RN 86 jusqu'en fin de
journée.
Øìçòîð ó Ì®¿²-°±®¬- º»®®±ª·¿·®»- ¼» º®»¬
Un convoi de 22 wagons déraille à 23h50 dans un village de 2 000 habitants ; 9 citernes de 80 m³ de carburant sans
plomb se renversent, s'enflamment et explosent. L'essence en feu incendie des habitations et rejoint les égouts.
Electricité et circulation routière sont coupées. L'incendie est maîtrisé à 6h30 après intervention de 180 pompiers dotés de
moyens autonomes (motopompes).
Un villageois a été blessé, 34 personnes sont à reloger. La zone sinistrée s'étend sur 1 km et 400 m de large ; 8
habitations, 2 garages et 30 voitures sont détruits, 5 maisons sont endommagées. 250 à 300 m³ d'essence polluent 2 ha
de terrain. Des captages d'eau potable sont menacés à 100 m et des odeurs de «gaz» sont signalées dans plusieurs
propriétés. L'utilisation de puits agricoles est interdite, les pompages d'eau sont limités, fruits et légumes sont
inconsommables dans une zone de 12,5 ha. Des décisions administratives sont prises rapidement pour démolir des
habitations sinistrées.
La commune et la Sté ferroviaire mandatent une entreprise de dépollution ; 10 à 20 % des hydrocarbures (HC) ont brûlé
ou se seraient évaporés, 80 à 90 % sont piégés sous forme de gaz et de liquide dans les sols au-dessus de la nappe
phréatique (zone "non saturée"), dans le talus de la voie ferrée et en surface de la nappe dans une mince formation
argileuse au pied d'un coteau. Puits et caves sont nettoyés. Les zones polluées sont traitées avec rabattement de la
nappe (16 m³/h via 3 pompages), diminution de la zone polluée en caractérisant constitution du sous-sol et contamination
(organisme expert / 40 sondages), puis dépollution en 3 stades
- pompage / écrémage en nappe : 40 m³ d'HC récupérés en 17 mois avec rejet au Rhône des eaux de rabattement
contenant moins de 20 ppm d'HC,
- essais de biolixiviation se révélant sans effet au-delà de 2 m de profondeur et qui seront abandonnés,
- extraction sous vide (venting) très efficace et objet d'un appel d'offres avec objectifs quantifiés : teneur des sols en HC
10 ppm max., pas d'HC surnageant dans la nappe après 1 an de travaux.
Après 45 semaines de traitement, 210 m³ d'HC ont été extraits des terrains non rendus à leurs propriétaires, mais repris
par la commune pour des aménagements collectifs, facilitant ainsi l'instauration de restrictions d'usage du sol / sous-sol
reprises dans les documents d'urbanisme pour garantir dans la durée une utilisation compatible avec la pollution
résiduelle.
L'enquête administrative avance une vitesse excessive du train (93 km/h) eu égard au défaut ("gauche") de la voie ferrée
à l'assise fragilisée après une période de fortes pluies. Pour la Sté ferroviaire, le coût du sinistre s'élève à 28 MF (1991)
d'interventions d'urgence, études / dépollution des lieux et à 22 MF d'indemnisation (tiers sinistrés / municipalité).
Après les 1er secours, la commune, la Sté ferroviaire et l'administration ont dû prendre des décisions rapides pour
évaluer extension et conséquences réelles / potentielles de la pollution, puis mettre en oeuvre des mesures aptes à
prévenir sa propagation, sans estimation de leur durée / coûts et en l'absence de responsabilités clairement établies.
L'extraction sous vide sera à nouveau utilisée quelques mois plus tard à la suite d'un autre accident sur cette même voie
100 km plus au sud (ARIA 4225). Les essais de biolixiviation montrent que la technique de dépollution dépend des
polluants et des milieux impactés : nature des sols, perméabilité, profondeur de la nappe, vitesse d'écoulement
En matière de REX transposable aux IC, les conséquences potentielles de ce type d'accident impliquent l'intervention
urgente de moyens pour limiter la propagation de l'écoulement, puis la mise en oeuvre rapide de moyens d'évaluation et
de résorption de la pollution. L'épandage massif incontrôlé de liquides inflammables peut présenter des risques élevés
notamment en cas d'écoulements dans les réseaux (ATEX). Ces situations méritent d'être prises en compte dans les
études de dangers et plans de secours.
SRT / BARPI
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Date et Lieu : ROUSSILLON
N°38152 - 03/02/2010 - FRANCE - 38 - ROUSSILLON
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
Dans une usine de fabrication de matières plastiques, une fuite se produit à 9h10 sur un réacteur de synthèse, générant
un dégagement de fumée blanche d'acide chlorhydrique visible de l'extérieur. Les opérateurs mettent le réacteur à l'arrêt
puis se confinent. Les pompiers de la plateforme chimique arrosent le dégagement gazeux et maîtrisent l'incident. L'alerte
est levée à 10h30. L'exploitant informe la préfecture, les municipalités, l'inspection des installations classées et diffuse un
communiqué de presse.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Un feu se déclare vers 1h30 dans l'atelier phénol d'une usine chimique et se propage aux 4 étages du bâtiment ; un épais
nuage noir se dégage. Le POI est déclenché à 2h15 et les pompiers du site interviennent rapidement aidés des secours
extérieurs qui travaillent sous ARI. Lintervention consiste à protéger les appareils contenant du cumène et lhydroperoxyde
de cumène à proximité de lincendie ainsi que des wagons vides non dégazés, à refroidir les installations et à établir des
rideaux d'eau. L'exploitant rencontrent des difficultés pour la mise en sécurité de l'installation ; les employés doivent
manuvrer en local car les remontées dinformation du système de conduite ne fonctionnent plus (câblage impacté par
l'incendie?). Les pompiers éteignent l'incendie vers 4h50 avec 4 lances canon à eau et de la mousse.
Un employé, qui a reçu une projection de cumène et dhydroperoxyde de cumène à 90°C sur les pieds et les jambes est
traité sur place par les équipes médicales et de sécurité du site ; deux pompiers sont incommodés par les fumées et un
autre souffre d'une contusion au genou.
Les eaux d'extinction sont dirigées vers le bassin de rétention dit « grand sinistre » du site. Vers la fin de la matinée celuici est plein et des effluents contenant des traces résiduelles de cumène sont envoyés directement vers le RHÔNE, le rejet
général du site étant équipé de barrage permettant de retenir les hydrocarbures. Les secours constatent vers 7h50,
lorsque larrosage en eau est diminué, une fuite de cumène au 4ème étage de la structure. Les secours installent un
barrage supplémentaire sur le canal du Rhône. Le POI est levé à 11h30.
L'exploitant publie un communiqué de presse ; la préfecture, un élu et l'inspection des installations classées se rendent
sur place. La production est réduite à 40% ; les employés de l'atelier sont maintenus à leur poste pour assurer le
fonctionnement des unités en service, pour remettre en état et surveiller les travaux de la zone endommagée. L'activité
dun des exploitants voisins sur la plateforme chimique est interrompue jusquau lendemain.
Lors de l'orientation des eaux d'incendie, les eaux de refroidissement des unités voisines sont également dirigées vers le
bassin grand sinistre qui sera plein après 8h de détournement comme prévu par son dimensionnement (15000 m³). Larrêt
de lunité voisine a été demandé pour conserver une marge de sécurité dans le bassin de rétention. Les eaux ainsi
retenues ont été traitées dans la station dépuration de la plateforme les jours suivants. Le bassin était à 50% disponible
36h après le début de lincendie, totalement disponible dès le troisième jour.
L'inflammation d'une fuite dun mélange dhydroperoxyde de cumène et de cumène au niveau d'une pompe pourrait être à
l'origine du sinistre.
Óéìòçð ó ß«¬®»- ¿½¬·ª·¬7- -°7½·¿´·-7»-ô -½·»²¬·º·¯«»- »¬ ¬»½¸²·¯«»- ²ò½ò¿ò
L'ouverture des soupapes de sécurité sur le réseau de vapeur d'eau de la chaufferie d'une plateforme industrielle
provoque vers 8h30 un fort sifflement et un panache de vapeur d'eau inhabituel. Les employés maîtrisent l'incident et
effectuent des manoeuvres pour rétablir les conditions normales d'exploitation. Aucun blessé et aucune conséquence
environnementale ne sont à déplorer. L'exploitant publie un communiqué de presse.
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
Lors du redémarrage de l'unité de fabrication de chlorosilanes dans une usine de fabrication de produits intermédiaires
destinés à la chimie des silicones, du chlorure d'aluminium (AlCl3) chargé dans le réacteur déjà en température provoque
un flash du mélange (AlCl3 + chlorosilane). La surpression entraîne un échappement des gaz par l'alimentation en AlCl3
et la création d'un nuage blanc gazeux d'acide chlorhydrique. Le POI est déclenché et le personnel est confiné. Les
opérateurs mettent le réacteur en refroidissement, empêchant la pression d'atteindre la pression de tarage de la soupape
(début de montée en pression à 7h26, début de baisse de pression à 7h33). Les pompiers installent un rideau d'eau pour
abattre le nuage. Celui-ci stagne avant de se disperser lentement en raison de la stabilité des conditions météorologiques.
L'alerte est levée à 8 h. L'exploitant évalue la quantité rejetée à 50 kg, il publie un communiqué de presse.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Quelques alevins morts sont repérés vers 9 h dans le canal interne à une plate-forme chimique. L'incident se produit à la
suite d'une purge sur un appareil de production d'ammoniaque lors de travaux de maintenance sur l'unité acide nitrique.
Le POI de l'établissement est déclenché. Les équipes du site effectuent des analyses de l'eau qui révèlent un niveau de
pH élevé. Les mesures effectuées dans le canal du RHONE ne montrent aucune anomalie. L'alerte est levée à 10 h.
L'exploitant diffuse un communiqué de presse.
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
Une usine de fabrication de matières plastiques rejette de l'huile de silicone (siloxane 45 CT) dans le RHONE vers 22 h à
la suite d'une purge restée ouverte lors du démarrage d'une de ses unités de fabrication. L'Inspection des IC et la
préfecture sont informées le lendemain à 7h20. Un point de situation est effectué avec l'ingénieur sécurité de l'usine ainsi
qu'une reconnaissance sur le RHONE montrant la présence d'une légère irisation. Compte-tenu des caractéristiques de la
substance chimique déversée, aucune conséquence sur l'environnement n'est redoutée. Un incident similaire avait déjà
eu lieu le 3 juin 2008 (ARIA 34648). L'exploitant diffuse un communiqué de presse.
Óéìòçð ó ß«¬®»- ¿½¬·ª·¬7- -°7½·¿´·-7»-ô -½·»²¬·º·¯«»- »¬ ¬»½¸²·¯«»- ²ò½ò¿ò
Un feu dégageant un panache de fumée noire se déclare à 8h30 sur le circuit d'alimentation en charbon d'une chaudière
d'une chaufferie industrielle d'un groupement d'intérêt économique d'une plateforme chimique. Un risque de propagation
au stockage de charbon existe. Le POI est déclenché et l'Inspection des Installations Classées est avisée. Les services
sécurité de la plateforme, les secours internes et externes éteignent l'incendie à l'azote et au CO2. Le feu est maîtrisé à
10h35. L'incident n'a pas d'impact sur la production de vapeur du site, une chaudière au gaz est mise en service et une
usine d'incinération des déchets assure l'approvisionnement en vapeur. L'origine de l'incendie pourrait être une
défaillance sur une carte électronique du système de convoyage. L'exploitant établit un communiqué de presse.
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
Lors de travaux de maintenance dans une usine chimique, un opérateur ferme une vanne par erreur et isole la colonne
d'absorption d'un atelier à l'arrêt. Lors de son remplissage par du chlorosilane vers 18h45, cette colonne déborde par le
réseau des respirations normalement ouvert. Prévu en amont pour collecter d'éventuels condensats liquides, un bassin
tampon se remplit à 19 h jusqu'à ce qu'une alarme de niveau haut déclenche automatiquement l'ouverture d'une vanne de
détournement vers les colonnes de lavage.
Les opérateurs nettoient alors le bassin en pensant qu'il s'agit simplement de condensats et sans chercher à identifier la
cause véritable de ce remplissage. La vanne d'alimentation de la colonne de lavage étant ouverte, les chlorosilanes se
déversent alors vers les colonnes de lavage qui rejoignent un canal puis le réseau de la plate forme chimique commune à
plusieurs installations. Les chlorosilanes s'hydrolysent en présence d'eau en siloxane et chlorure d'hydrogène HCl). Ainsi,
lorsqu'ils atteignent le canal, il y a une forte acidité conduisant à une baisse de pH dans ce dernier et à un rejet de
siloxane. Cette baisse de pH déclenche une alarme à 19h45 chez l'exploitant, mais n'est suivie d'aucune autre action. En
parallèle, la température de la colonne monte à 50 °C.
Détectant la pollution au niveau du rejet général vers 20h30, le gestionnaire du réseau d'assainissement détourne alors
le rejet vers un bassin tampon et met en place des barrages flottants au niveau du rejet général. Les exploitants du
réseau sont avertis. L'usine directement impliquée découvre alors qu'un problème est survenu dans ses installations vers
20h45 ; la fuite est détectée et la vanne de vidange est réouverte. La vidange de la colonne s'achève à 21 h. Le temps de
réaction notamment lié au délai de fermeture des vannes de détournement a conduit au rejet de 1 100 kg de siloxane.
L'Inspection des IC se rend sur les lieux et ne constate visuellement aucun impact sur la faune aquatique ; l'exploitant
doit cependant confirmer ce premier constat. L'exploitant diffuse un communiqué de presse.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
Une fumée blanchâtre s'échappe à 21h50 d'un semi-remorque bâché circulant sur une autoroute et chargé de 26 t
d'oxyde d'aluminium initialement en poudre (75 %) mélangé à des particules d'aluminium (25 %). Le véhicule dont le
chargement a sans doute été en contact avec de l'eau (pluie ?), est isolé sur une aire de repos. Une CMIC relève une
concentration de 20 ppm d'ammoniac (NH3) sous le vent et à 60 m du véhicule. Un périmètre de sécurité est mis en place
pour la nuit.
Le lendemain, le PL est déplacé à 8h30 au poste de gendarmerie d'autoroute, puis transféré sous escorte jusqu'à un
centre spécialisé dans le traitement des produits chimiques. Une CMIC relève vers 10 h une concentration de 20 ppm
d'ammoniac (NH3) à 10 m du véhicule et de 240 ppm à 50 cm d'une petite trappe ouverte sur la remorque. La
température du chargement comprise entre 15 et 30 °C pour une température extérieure de 12 °C révèle une réaction
chimique exothermique. Des contacts sont pris avec les sociétés expéditrices et destinataires ; celles-ci indiquent que la
réaction chimique s'achèvera après évaporation totale de l'eau présente dans le chargement. Des experts confirment la
possibilité d'une réaction chimique avec formation d'hydrogène, mais en aucun cas d'NH3 sauf dans le cas d'autres
éléments ou impuretés contenus dans le chargement.
Après accord des autorités locales, la remorque est immobilisée pour le week-end et placée sous surveillance d'une
CMIC. Le 12 avril à 11h45, 8 ppm d'NH3 sont relevées à l'arrière de la remorque et aucune trace n'est détectée à 10 m.
L'intervention des secours s'achèvera le 13 avril vers 11h50.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Dans la section cumène - hydroperoxyde de cumyle (HPOC) d'un site chimique classé Seveso, un départ de feu est
détecté vers 18 h sur une ligne de vapeur 6 bars implantée en caniveau. Découvert par un opérateur effectuant une ronde
de surveillance, l'incident résulterait de l'inflammation du calorifuge imbibé de cumène / HPOC (produits chimiques très
inflammables) isolant la tuyauterie. Rapidement circonscrit à l'aide de 2 extincteurs, l'incident n'a aucune incidence sur le
reste de l'installation.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
La défaillance d'un compresseur d'aération dans la station d'épuration biologique d'une plate-forme chimique est à
l'origine du détournement des rejets aqueux du site dans le bassin de grand sinistre de 15 000 m³ (10 jours d'autonomie).
Le POI de l'établissement est activé. Dans la soirée, une solution de substitution est mise en place pour aérer la station
de traitement et la maintenir active. Ce fonctionnement de fortune perdure plusieurs jours, et permet de traiter 60 % des
effluents tandis que le reste est stocké sans que l'utilisation du bassin de grand sinistre ne soit nécessaire. Des plongeurs
interviendront pour identifier la nature du dysfonctionnement du dispositif d'aération. Aucun impact sur l'environnement
n'est relevé.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Un feu se déclare sur une colonne à distiller en travaux de l'atelier acide salicylique d'une usine chimique. L'incendie se
propage à l'ensemble de la colonne et notamment aux gaines d'instrumentation, calorifuges et câbles électriques. Le feu
est éteint par les pompiers du site 13 min après son initiation. Les dégâts sont limités à l'unité impliquée, aucune
conséquence sur l'environnement n'est relevée, les eaux d'extinction sont récupérées dans les cuvettes de rétention de
l'atelier. L'inflammation de vapeurs de phénol est à l'origine de l'accident. L'unité était depuis la veille en arrêt partiel (la
colonne de distillation est arrêtée mais le reste de l'unité est maintenu en pression et en température) suite à la détection
d'une fuite de phénol sur une bride en pied de colonne. Le matin, une société extérieure effectue la réparation au moyen
de résine étanche. Lors de l'essai de mise en pression de la colonne à la vapeur d'eau, une nouvelle fuite est détectée au
niveau d'une vanne. L'exploitant décide alors de démonter l'ensemble du calorifuge inférieur de la colonne pour permettre
la réparation. C'est pendant cette opération que les vapeurs de phénols entrant en contact avec le métal de la colonne
(température relevée : 78 °C), s'enflammeront. L'unité est arrêtée 4 jours pour nettoyage et remise en état de l'installation.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Un pêcheur qui observe une irisation sur le canal du RHONE provenant de l'effluent général d'une plate-forme chimique,
alerte le Service de la Navigation et l'exploitant à 9h43. Le détecteur du site chimique s'était déclenché 30 min plus tôt et
avait alerté les ateliers concernés pour identifier l'origine de la pollution. Vers 11h, 2 canaux de la plate-forme,
potentiellement à l'origine de l'incident sont détournés vers le bassin de secours. Les analyses chromatographiques
réalisées a posteriori sur l'échantillon moyen journalier du rejet de l'usine montrent un pic inhabituel caractéristique des
siloxanes. Ces composés organominéraux insolubles peuvent être à l'origine de vastes irisations, même lorsqu'ils sont
rejetés en faible quantité. Les analyses montrent, par ailleurs, un dépassement des normes de rejets en dichlorométhane.
L'entreprise envisage de mettre en place une caméra permettant d'observer le rejet à l'origine du déclenchement de
l'alarme et d'accélérer ainsi la recherche des causes.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Le 14/01/2004, la DDASS informe la DRIRE d'un cas de légionellose dont les premiers symptômes remontent au 03/01.
La victime, un homme de 56 ans vivant près d'une plate-forme chimique, décède le 17/01. Dès le 14/01, la DDASS
effectue une enquête épidémiologique auprès d'un membre de la famille et prélève, le 22/01, de l'eau chaude sanitaire
dans 2 domiciles. La plate-forme comporte 6 exploitants dotés de 7 tours aéroréfrigérantes (TAR). Sur ces 7 TAR
contrôlées, 2 présentent des concentrations supérieures à 1 000 UFC/l. Pour l'une des entreprises chimiques, les
résultats d'analyses des prélèvements du 03/12/2003 sont de 7 150 UFC/l. Après un choc biocide, les nouveaux résultats
de prélèvements du 06/01 indiquent 1 950 UCF/l. Après le choc biocide du 06/01, la concentration en légionelles est, le
12/01, de 1 200 UFC/l. Les 20/01 et 26/01, un nouveau traitement bactéricide est effectué. Un autre exploitant précise
que ses résultats d'analyses en date du 23/12 sont de 3 000 UFC/l. Dès l'obtention des résultats d'analyses, il procède à
un renforcement de son choc biocide. L'analyse du 05/01 indique cependant 1 720 UFC/l. Le 20/01, la préfecture réunit
les services de l'Etat compétents en cellule de veille. Un certain nombre de mesures sont envisagées pour les industriels
du secteur, notamment l'arrêt des 2 tours infectées pour les vidanger et les nettoyer, le recensement le plus complet
possible des tours soumises à déclaration et autorisation, la sensibilisation de tous les détenteurs de tours
aéroréfrigérantes sur la nécessité de suivre le bon fonctionnement de ces installations.... Les exploitants du site décident
de réaliser, le 21/01, dans les plus brefs délais un traitement préventif sur les TAR du site et de pratiquer un contrôle
périodique tous les 15 jours jusqu'à nouvel ordre. Au 29/01, l'une des 2 TAR est fermée pour un nettoyage mécanique ; la
2ème le sera 4 jours plus tard.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Une tonne de phénol s'échappe des installations en redémarrage d'une usine chimique. L'accident a pour origine une
vanne restée ouverte sur un bac de stockage lors de l'arrêt des installations. Le rejet est détourné vers un bassin de
confinement. Seuls quelques kilos de phénol sont déversés dans le RHÔNE, a priori sans conséquences
environnementales. Pour éliminer les 5 000 m³ d'effluents chargés en phénol, stockés dans le bassin de confinement,
l'exploitant décide de le traiter progressivement via la station d'épuration interne au site, à raison d'un débit de 500 m³/j.
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
En mai 2001, la tour aéroréfrigérante (TAR) de l'unité 'acétol' d'une usine chimique est contrôlée positive lors d'une
analyse de légionelles. Considérant que cette TAR à tirage naturel entraîne une faible dispersion des aérosols dans l'air,
l'exploitant n'y avait jamais effectué un traitement systématique limitant le développement des légionelles. Cette situation
anormale qui fait suite à l'annonce d'un éventuel cas de légionellose sur la commune est découverte fin novembre 2002
est portée à la connaissance de l'Inspection des installations classées fin décembre après la déclaration d'un 2ème cas
de légionellose dans le même secteur. La réunion du 10/01/2003 entre la DRIRE, la DDASS et les industriels du site
chimique montre que, sur les 7 TAR du site, seule celle de l'unité 'acétol' ne fait l'objet d'aucun traitement systématique et
qu'elle n'est par ailleurs pas soumise à prescriptions complémentaires relatives à la légionellose. Aucun lien de causalité
n'est établi entre les deux cas déclarés de légionellose et l'activité du site de production. La DDASS procède donc à des
enquêtes environnementales afin de déterminer la ou les source(s) potentielle(s) de contamination. Tout dispositif
générant des aérosols contaminés par des légionelles (aéroréfigérants des hôpitaux, hôtels, TAR industriels, douches...)
peut d'être à l'origine de cette contamination. A la suite d'un dysfonctionnement organisationnel interne, le traitement de la
TAR n'avait pas été corrigée après contrôle positif de mai 2001, le risque ayant été sous-estimé. La "barrière
réglementaire" n'a pas joué faute de prescriptions complémentaires sur la légionellose dans l'arrêté de classement. Le
19/12/2002, un traitement par injection de biocides est mis en oeuvre dès connaissance du 2ème cas de légionellose. Les
services administratifs (DRIRE, DDASS, Préfecture), informés des premiers résultats analytiques obtenus, valident le plan
d'actions 'légionelles' présenté par la suite au CHSCT, au personnel, aux maires des trois communes limitrophes du site
et à la presse locale. La DRIRE révise par ailleurs les prescriptions complémentaires existantes en matière de
'légionellose' sur le site.
Ýîðòïí ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ·²±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Dans une usine chimique, un opérateur avait constaté la veille vers 20 h la déformation par mise en dépression
accidentelle d'un bac de stockage de 100 m³ peu après son remplissage avec du paranitrophénol chaud. Cette
dépression résulte de l'arrivée dans le ciel gazeux du réservoir d'une substance froide provenant de la mise en service
d'un tourne en rond. L'accident a lieu le lendemain, le toit du réservoir métallique se rompant par rupture pneumatique lors
d'une mise en pression du bac par réchauffage et évaporation de l'eau qu'il contenait. La rupture s'est faite le long de la
soudure toit / virole. Quelques dizaines de kg de substance chimique jaune-orange projetés dans les airs sont retombés
en pluie dans et hors de l'établissement, une dizaine de kg surprenant les automobilistes circulant dans cette zone et dont
les véhicules se sont colorés en peu de temps. Le service médical de l'usine prendra en charge 6 personnes victimes de
picotements après avoir nettoyé leur voiture. Les 50 m de chaussée contaminés par les retombées sont lavés à grande
eau. Collectées et traitées en station d'épuration externe dans un premier temps, les eaux de lavage seront ensuite
renvoyées vers les égouts du site et traitées en interne. Le coût de l'incident est évalué à 100 Keuros. L'accident a 2
causes apparentes : montée en pression du bac effectuée sans une analyse préparatoire adaptée (analyse faite par le
seul préposé, mode opératoire non formalisé par écrit...) et présence sur la garde hydraulique d'une vanne 3 voies dont
l'une des butées cassée a permis de la positionner de façon telle que le bac était isolé de tout évent. Cette position sera
supprimée, toutes les soupapes seront revues pour en interdire l'isolement et des procédures sont modifiées : arrêt du
réseau d'azote, opérations exceptionnelles ne pouvant être réalisées sans constitution préalable d'un groupe de travail
avec formalisation par écrit de ses conclusions...
Ýîðòëï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» °®±¼«·¬- »¨°´±-·ºUne explosion et un incendie se produisent dans un hangar de stockage de feux d'artifices de divertissement de 200 m²,
attenant à une habitation ; 2 personnes brûlées sont hospitalisées dans un service de grands brûlés. Le bâtiment est
détruit. Les pompiers maîtrisent le sinistre avec 2 grosses lances. Une équipe de déminage est sollicitée. Selon la presse,
2 hommes dont l'un artificier, conditionnaient des produits pyrotechniques lorsque l'explosion est intervenue.
Ýîðòïí ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ·²±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
A la suite du débordement d'un réservoir d'effluents liquides associé à l'atelier de production de nitrophénol d'une usine
chimique, un canal est pollué par 4 à 5 kg d'effluents comprenant une phase organique. Le COT-mètre situé sur le canal
ne fonctionnait pas au moment des faits, mais l'exploitant précise que ce dernier n'aurait sans doute pas détecté la
pollution, la densité de la phase organique étant inférieure à celle de l'eau. L'incident est dû à des erreurs humaines : non
prise en compte par les opérateurs de l'alarme de niveau haut indiquant le remplissage maximum du réservoir et surverse
du bac reliée par erreur au réseau d'eaux de refroidissement. L'impact du rejet sur l'environnement se serait limité à
quelques irisations plus ou moins absorbées par les agglomérats de détritus retenus au niveau d'un barrage en aval. Des
consignes sont rappelées au personnel et le trop plein du réservoir est raccordé à une fosse de rétention. Ces actions
correctives sont mises en place pour l'ensemble des réservoirs de l'usine. L'exploitant doit également étudier la mise en
place d'un système de détection des phases surnageantes plus adapté que le COT-mètre existant.
Ùìëòîð ó Û²¬®»¬·»² »¬ ®7°¿®¿¬·±² ¼» ª7¸·½«´»- ¿«¬±³±¾·´»Un incendie détruit un garage automobile de 300 m² contenant de nombreux véhicules. Les pompiers interviennent pour
maîtriser le sinistre.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Dans une usine chimique, une fuite survient sur une sphère de stockage d'ammoniac arrêtée pour inspection, lors d'une
vidange d'eau. Cette fuite, rapidement maîtrisée, a pour conséquence le dégagement d'un nuage d'ammoniac et la
présence de quelques poissons morts en sortie du rejet général de l'usine. L'origine de cet accident est la mauvaise
application des consignes et procédures, notamment quant au désaccouplement des sphères pendant les phases de
vidange : une erreur de positionnement d'une vanne sur le circuit d'introduction d'azote a permis la communication entre
les ciels des 2 sphères (dont l'une était en service). Pour diminuer la probabilité de renouvellement d'un tel incident,
différentes mesures sont prises : sensibilisation du personnel autour du poste ammoniac, formalisation d'une procédure
de vidange des sphères, vérification périodique du pH de l'eau vidangée, abaissement du seuil de pH de détournement
des effluents vers un bassin de sécurité, mise en place d'une ligne d'azote indépendante évitant la manoeuvre des
vannes d'équilibrage du ciel des sphères.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
Une fuite d'acrylate d'éthyle se produit sur un camion-citerne à la suite d'une mauvaise étanchéité du trou d'homme. Le
conducteur stoppe lui-même la fuite. Les pompiers et une CMIC établissent un périmètre de sécurité. La zone étant
inhabitée, aucune victime n'est à déplorer.
N°8104 - 04/12/1995 - FRANCE - 71 - ROUSSILLON-EN-MORVAN
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
A la suite d'une fausse manoeuvre, une citerne de fioul domestique se renverse, une centaine de litres d'hydrocarbures
rejoint La CANCHE. Une pellicule huileuse se répand à la surface de l'eau sur plusieurs centaines de mètres. Les
pompiers mettent en place un barrage flottant.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Plusieurs émissions ponctuelles de vapeurs nitreuses se produisent dans une usine chimique, à la suite de coupures de
courant provoquées par des orages.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Une fuite d'acide nitrique se produit sur 2 wagons en cours de chargement. Ces derniers venaient de subir une
transformation dans un atelier spécialisé agréé par la SNCF. A la suite d'une erreur dans le choix du métal (monel au lieu
d'inox) et d'une corrosion très rapide des brides de fond, 116 t d'acide se sont déversés sur le sol. Après arrosage et mise
en oeuvre d'un rideau d'eau, l'acide collecté sur l'aire de chargement a été dirigé vers le bassin d'urgence de l'usine.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Lors d'une opération de maintenance sur les installations de distillation d'un atelier de production de phénol, des
projections de phénol atteignent 3 ouvriers dont 2 sont brûlés grièvement.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Pour remplir un camion de phénol, un opérateur lance les opérations nécessaires mais oublie de positionner le bras de
chargement. Les 3 détecteurs du poste d'empotage, défaillants, ne signalent pas le défaut de raccordement. La pompe
d'empotage est arrêtée après constat de l'incident et le camion est lavé. Le bac de rétention du poste d'empotage contient
alors 10 m³ d'eau et 1,3 t de phénol. Aucune information sur l'incident n'est diffusée en interne. Le lendemain, un
magasinier, ignorant l'incident de la veille, vidange la rétention dans le canal 4 (qui se jette ensuite dans le Rhône) sans
analyse préalable de la teneur en phénol (non prévu dans la procédure). Le COT-mètre en sortie de la rétention du poste
d'empotage et le phénol-mètre situé en sortie de l'atelier phénol indiquent des valeurs contradictoires qui sont mal
interprétées par les opérateurs. Ceux-ci laissent échapper 1 t de produit dans le RHÔNE.
Le rejet de matière toxiques dans le Rhône résulte d'un cumul de défaillances techniques et organisationnelles :
détecteurs défaillants et/ou mal placés, absence de remontée d'information en interne sur les incidents, formation
insuffisante des personnels, procédure et consignes incomplètes en particulier en situation dégradée (mauvaises
interprétations des opérateurs sur des données erronées) L'exploitant remet en état les détections défaillantes des
postes d'empotage camions et équipe les postes wagons et déplace le COT-mètre contrôlant les effluents du canal n° 4.
Un programme de formation des magasiniers est engagé, une nouvelle procédure est élaborée pour les opérations de
vidange comprenant notamment une signalisation des risques correspondants ainsi qu'une consigne d'alerte de la salle
de contrôle effluent.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Lors de l'épreuve d'une sphère d'ammoniac, une fuite de 300 kg de NH3 (0,5 kg/s pendant 10 min) se produit dans une
usine chimique. Aucune conséquence notable n'est relevée, les capteurs d'ammoniac du site ayant détecté la fuite.
L'incident résulte du non-respect de la procédure d'épreuve de la sphère et d'erreurs de branchements conduisant à
l'échappement d'ammoniac par un flexible au sol. Pour diminuer la probabilité de renouvellement d'un tel accident, des
mesures sont prises : rédaction d'une consigne spécifique au stockage d'ammoniac dans la procédure de visite et remise
en service des sphères, mise en place de repères sur les vannes des sphères pour éviter toute confusion.
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Lors de la remise en service d'une unité d'oxydation de cumène, un rejet de produit à l'atmosphère atteint des pommiers
(fruits piquetés) dans un verger sur une bande de 4 km de long et de 800 m de large.
Ýîðòïí ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ·²±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Vers 22h15, un incendie sur un stock de produits finis de 1 600 m² s'étend, malgré une intervention rapide, et menace une
unité de production d'acide nitrique, 13 conteneurs de 1 t de sulfate de diméthyle (DMSO4) et des réservoirs d'ammoniac.
La charpente métallique et la toiture s'effondrent après 45 min, gênant la progression de la mousse. Les pompiers sont
informés vers 23h40 de la nature précise des produits stockés : 369 t de pyrocatéchine, 88 t d'oxadiazon (herbicide) et 80
t de diphénylpropane ou DPP. Pour assurer la protection du stockage de DMSO4 et de l'unité nitrique, les efforts
d'extinction et de refroidissement sont poursuivis en toutes connaissances de causes ; une partie de cette eau pollue le
RHONE. Environ 200 t de pyrocatéchine et des quantités non estimées d'oxadiazon et de DPP sont entraînées dans le
Rhône ; 70 t de poissons morts seront récupérées jusqu'à 75 km en aval du point de rejet. L'alimentation en eau est
perturbée durant 2 jours sur 200 km le long du RHONE. Les dommages internes sont évalués à 36 MF et les pertes
d'exploitation à 3 MF. L'administration constate les faits. L'exploitant est condamné à verser 2,6 MF à une quinzaine
d'associations et sociétés de pêche. A la suite de l'accident, un programme de renforcement de la prévention est imposé
à l'établissement articulé autour de 4 axes : renforcement de la surveillance et de la détection des incendies, surveillance
en continu des rejets aqueux dans les ateliers, dans les collecteurs d'égouts et dans l'effluent général de l'usine,
réalisation d'un bassin de confinement des eaux accidentellement polluées de 10 000 m³ (10 MF) et modélisation de la
dispersion des effluents toxiques dans le RHONE lors d'un accident (programme DISPERSO).
Ýîðòïì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ½¸·³·¯«»- ±®¹¿²·¯«»- ¼» ¾¿-»
Sur un site chimique, un wagon-citerne de chlorure de vinyle est vidangé dans des sphères d'ammoniac. Aucun impact
visible sur le stockage n'est relevé du fait de la non-réactivité des 2 produits chimiques mais la production d'un atelier doit
être stoppée. La non-vérification des numéros et fiches de la citerne par le personnel responsable du dépotage et par
l'entreprise sous-traitante chargée de la manoeuvre de la citerne, l'absence de test de vérification avant vidange et
l'adaptation des orifices des wagons aux bras de dépotage par des brides étrangères au poste de dépotage sont à
l'origine de l'incident. Les procédures d'identification des véhicules et d'utilisation des manchettes sont rappelées au
personnel et une procédure d'identification du produit à décharger est mise en place.
SRT / BARPI
-
Date et Lieu : SAINT-MAURICE-L'EXIL
N°34976 - 28/07/2008 - FRANCE - 38 - SAINT-MAURICE-L'EXIL
Üíëòïï ó Ð®±¼«½¬·±² ¼ù7´»½¬®·½·¬7
Un incendie se déclare à 16h20 sur un alternateur situé dans la partie non nucléaire dune centrale de production
délectricité. Le PUI est déclenché. Les secours vidangent le circuit dhydrogène de lalternateur et l'inerte sous azote.
L'hydrogène est rejeté à l'air libre sous forme diffuse et par brûlage. L'inspection des installations classées est informée
de l'accident. Lunité de production délectricité correspondante, qui était en phase de redémarrage après un arrêt dans le
cadre dopérations de maintenance, est arrêtée par précaution. Le feu est déclaré éteint vers 19h20. Le PUI est levé à
19h30 et les pompiers quittent les lieux. Une fuite dhuile sur l'alternateur (débit de fuite estimé 200 l / h) serait à l'origine
du sinistre. La quantité d'huile en jeu est inconnue. Les pompes de puisage sont mises à l'arrêt pour éviter tout risque de
rejet des huiles dans le RHONE. Aucun blessé n'est à déplorer. L'exploitant diffuse des communiqués de presse
expliquant le déroulement de l'évènement.
Ýîëòêï ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ ®»ª6¬»³»²¬ ¼»- ³7¬¿«¨
Une fuite se produit vers 9h30 au niveau d'une vanne d'un réservoir de propane (diam : 1 m / L = 7 m) dans une
entreprise de traitement de surfaces des métaux. Les secours mettent en place un périmètre de sécurité de 100 m et
évacuent les 17 employés de 2 bâtiments de l'entreprise. La vanne est fermée et un prestataire de service effectue des
contrôles de sécurité. L'intervention des pompiers s'achève vers 11h30 après de nouveaux relevés d'explosimétrie
négatifs.
Üíëòïï ó Ð®±¼«½¬·±² ¼ù7´»½¬®·½·¬7
Un feu se déclare sur un enrouleur électrique dans une centrale de production d'électricité.
Óéìòçð ó ß«¬®»- ¿½¬·ª·¬7- -°7½·¿´·-7»-ô -½·»²¬·º·¯«»- »¬ ¬»½¸²·¯«»- ²ò½ò¿ò
Sur une plate-forme chimique, une soupape du circuit vapeur de 32 bar reliant la centrale thermique aux installations
utilisatrices s'ouvre en pleine nuit, provoquant un bruit intense perceptible jusqu'à 1 500 m des limites du site. La
gendarmerie et les secours sont alertés par les riverains. Finalement, la nuisance cesse 50 min plus tard, après
l'isolement de la soupape défaillante et le basculement sur un réseau parallèle. Un dysfonctionnement mécanique de la
soupape serait vraisemblablement à l'origine de l'incident.
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
Vers 10h30, une fuite d'huile hydraulique assurant la lubrification d'une machine de l'unité acétate d'une usine chimique
provoque le rejet d'hydrocarbures dans le réseau d'égout conduisant à des irisations sur le canal général du site. Une fois
l'accident détecté, le canal 1 est détourné vers le bassin de 10 000 m³ permettant ainsi l'arrêt du rejet. Des irisations sont
perceptibles sur une partie du canal du RHONE.
Ýîðòïê ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»- ¼» ¾¿-»
Dans une usine de fabrication de matières plastiques, une explosion se produit vers 1h30 au niveau d'un des 2 grands
récipients vrac (GRV) de 1 m³ contenant de l'eau de javel (NaOCl), à proximité de la tour aéroréfrigérante (TAR) de
l'établissement. Les pompiers du site interviennent et le POI est déclenché. L'explosion du GRV génère des projections
sur 10 m, le bouchon est retrouvé de l'autre côté de la TAR. Le deuxième GRV est renversé sans perte de son
confinement. Une odeur d'eau de javel et/ou de chlore est perçue dans un rayon de 100 m, le bruit de la déflagration est
entendu dans un rayon de 1 à 2 km. L'inspection des installations classées effectue une enquête après qu'une analyse ait
été menée par l'exploitant. Une inspection de la zone de dépotage-stockage du fournisseur d'eau de javel (1fois/an)
montre qu'elle est stockée dans une cuve de 30 m³ en polyéthylène, protégée des UV, possédant un évent et entourée
d'un bardage. Cet établissement prélève le NaOCl au pied de son stockage et en remplit des GRV de réutilisation. Ceuxci ne sont pas dédiés au stockage de NaOCl et ne possèdent donc pas de protection anti UV et d'évent. De plus, ils sont
fixés sur des palettes de bois. Les GRV incriminés sont restés à l'air libre sans protection contre la chaleur et le soleil
pendant un jour chez le fournisseur puis du 6/10 jusqu'à l'explosion à proximité de la TAR, chez l'exploitant. L'hypothèse
avancée par l'exploitant est une action de la température élevée pour la saison, couplée au temps passé par les GRV
dans les zones de stockage qui a pu générer la décomposition du NaOCl avec création de chlore et montée en pression.
En effet, la demi vie du NaOCl passe de 100 jours à 20 °C à 5 jours à 40 °C. De plus, l'analyse des restes du GRV (noirci
uniquement à sa base) suggère une fuite du presse-étoupe de la vanne en pied de GRV entraînant une réaction
d'oxydation exothermique du NaOCl sur la palette en bois accélérant le phénomène de décomposition, ce qui expliquerait
pourquoi un seul des deux GRV a été concerné. Des mesures immédiates sont prises : changement de fournisseur ;
interdiction de fractionner un GRV ; stockage dans un local à l'abri de la lumière et de la chaleur.
Üíëòïí ó Ü·-¬®·¾«¬·±² ¼ù7´»½¬®·½·¬7
Sur un réacteur nucléaire, un moteur diesel de secours s'arrête durant un essai d'endurance. Chaque réacteur est équipé
de 2 groupes électrogènes à moteur diesel assurant le secours en cas de pertes des alimentations électriques externes.
Les 2 moteurs redondants permettent d'assurer dans ces situations le fonctionnement des dispositifs de sauvegarde.
L'exploitant les démarre périodiquement, afin de vérifier leurs performances. C'est au cours de l'un des essais
d'endurance de 8 h qu'un moteur s'est arrêté, la température de son circuit de refroidissement étant trop élevée (90 °C)
pour une température extérieure de 33 °C. Les premières investigations mettent en évidence un débit du circuit de
refroidissement insuffisant pour maintenir la température du moteur diesel en dessous de 90°C vu les conditions
climatiques. Le 2ème diesel présentant la même anomalie, cet incident est classé au niveau 1 de l'échelle INES.
ßðïòëð ó Ý«´¬«®» »¬ 7´»ª¿¹» ¿--±½·7Un incendie détruit un bâtiment agricole de 400 m², contenant 300 m³, de fourrage et l'habitation de 120 m² .
ßðïòïí ó Ý«´¬«®» ¼» ´7¹«³»-ô ¼» ³»´±²-ô ¼» ®¿½·²»- »¬ ¼» ¬«¾»®½«´»A la suite de l'explosion de 4 bouteilles de gaz, un incendie détruit un hangar agricole de 1 000 m² d'un producteur de
fruits et légumes. La chambre froide, 4 véhicules, des cagettes et des palettes sont endommagés.
SRT / BARPI
-
Date et Lieu : SALAISE-SUR-SANNE
N°39624 - 20/07/2010 - FRANCE - 38 - SALAISE-SUR-SANNE
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Sur un site de démantèlement d'épaves, un broyeur est arrêté pour une maintenance bisannuelle consistant en un
remplacement d'un roulement usé de la turbine. L'opération nécessitant le chalumage de pièces de la turbine afin de
démonter le roulement, l'exploitant établit un permis de feu. Le risque incendie n'est pas identifié, mais un robinet
d'incendie armé (RIA) est tout de même mis en place comme moyen de première intervention. Lors du chalumage avec
un "chauffeur", une étincelle remonte dans la cheminée par un appel d'air causé par le vent et l'ouverture de la turbine, et
y enflamme les poussières sèches. Des flammes se forment et une fumée noire est émise.
Un opérateur actionne le RIA et éteint le départ de feu ; les eaux d'extinction sont collectées dans un bassin de
confinement. Seule la sonde de débit de fumées de la cheminée est endommagée. L'inspection des installations classées
n'est informée de l'incident que le lendemain ; elle se rend sur place le 23/07.
L'exploitant insérera dans son guide d'urgence une procédure sur l'information de l'inspection et rédigera un mode
opératoire spécifique à l'opération de maintenance en cause, comprenant notamment un désencrassage préalable de la
cheminée et son arrosage par le haut pendant le chalumage.
Ùìêòîï ó Ý±³³»®½» ¼» ¹®±- ¼» ½7®7¿´»-ô ¼» ¬¿¾¿½ ²±² ³¿²«º¿½¬«®7ô ¼» -»³»²½»- »¬ ¼ù¿´·³»²¬- °±«® ´» ¾7¬¿·´
Le responsable d'exploitation d'un silo de céréales décède après avoir été enseveli sous 4 m de maïs vers 16h30. Les
pompiers dont un groupe de reconnaissance et d'intervention en milieux périlleux dégagent la victime à 19 h. Selon la
presse, le responsable d'exploitation, qui intervenait dans le silo avec un autre salarié, serait monté sur un tas de céréales
en mouvement avant d'être enseveli. L'inspection du travail et la gendarmerie effectuent des enquêtes pour déterminer
les circonstances et causes de l'accident.
Ûíèòîî ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ 7´·³·²¿¬·±² ¼»- ¼7½¸»¬- ¼¿²¹»®»«¨
Une réaction chimique se produit vers 5h45 sur un stockage extérieur de 36 t de pastilles de dichloroisocyanurate de
sodium (DCCNa) dans un centre de traitement de déchets dangereux. Un important panache de fumées composé
principalement de vapeur d'eau et d'éléments de décomposition se dégage, poussé par un vent de 20 km/h ; 4 personnes
sont incommodées. Des employés donnent l'alerte et le POI est déclenché. Les gendarmes interrompent la circulation et
le personnel de 9 usines voisines est confiné ou évacué selon le site. Les pompiers mettent en place 2 rideaux d'eau et
éteignent l'incendie vers 12h40 avec 4 lances canon à 2 000 l/min. Les mesures atmosphériques de chlore, acide
chlorhydrique, dioxyde de soufre, acide cyanhydrique et ammoniac sont nulles à l'extérieur du centre. Les eaux
d'extinction récupérées sur le site sont traitées par l'exploitant dans ses installations. L'inspection des installations
classées, informée à 7h45, et le sous-préfet se rendent sur place.
Les pastilles de DCCNa provenaient d'une société ayant subi un incendie le 02/07 (ARIA 36439) ; elles étaient stockées
dans un camion proche de l'incendie et avaient été endommagées par les eaux d'extinction. Acheminées le 03/07, elles
devaient être traitées rapidement mais lors du 1er essai de traitement, une réaction inattendue s'est produite. L'exploitant
devait alors reconditionner les pastilles par petit lot pour les traiter mais cette opération a tardé. Ces pastilles sont restées
stockées à l'extérieur et la pluie a provoqué une réaction chimique puis des flammes et le panache de fumée.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare vers 23h45 sur un tas de "platinage" (agglomérat de ferrailles légères et d'impuretés) de 400 t dans une
entreprise de récupération de matières métalliques recyclables. Les pompiers maîtrisent le sinistre avec 5 lances à débit
variable (3 x 1 000 l/min + 2 x 600 l/min) et 2 canons de 2 000 l/min et évitent sa propagation au broyeur et à un stock de
pneus usagés de 150 m². Les travaux de déblaiement sont effectués avec des engins de levage et des grues de
l'entreprise. Les eaux d'extinction ont été collectées dans les 2 bassins de rétention du site. L'intervention des secours
s'achève vers 6 h. Selon la presse, l'incendie serait d'origine accidentelle.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
Un conteneur de 1 000 l de javel (hypochlorite de sodium en solution) se déverse et se répand dans la cuvette de
rétention de la cellule de stockage d'une entreprise de transports routiers. Les pompiers notent la présence d'un nuage
blanchâtre probablement formé à la suite d'une réaction entre la javel et d'éventuels résidus acides présents dans la
cuvette de rétention. Un infirmier pompier examine 3 employés. Une CMIC sécurise la zone et ventile les lieux. Une
entreprise spécialisée récupère le produit.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare vers 5 h sur un tas d'aluminium broyé de 200 t dans une entreprise de récupération de matières
métalliques recyclables. Les pompiers maîtrisent l'incendie avec 3 lances canon de 2 000 l/min et évitent sa propagation
au broyeur ainsi qu'à 800 t de ferrailles déchiquetées. Les travaux de déblaiement sont effectués avec 2 chargeuses de
l'entreprise sous arrosage intermittent à l'aide de 2 lances canon et d'une lance à débit variable de 1 000 l/min. Les eaux
d'extinction sont collectées dans un bassin de confinement sur le site. Le maire et la gendarmerie se rendent sur les lieux.
Ýîðòïï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ¹¿¦ ·²¼«-¬®·»´Dans une usine de production de gaz industriels, une canalisation de transport qui achemine de l'azote vers un site
industriel utilisateur (P. max. de service 17 bar, diam. 110 mm, L. 450 m) se rompt à la suite de la fragilisation du métal
due à l'introduction accidentelle d'azote liquide dans la canalisation. Un problème d'alimentation électrique dans l'usine
serait à l'origine de l'accident. Cette rupture n'a aucune conséquence sur l'environnement. Les éventuels canalisations
d'usine et équipements sous pression raccordés à la canalisation de transport en cause devront faire l'objet d'une
vérification.
Øìçòëð ó Ì®¿²-°±®¬- °¿® ½±²¼«·¬»L'introduction d'azote liquide dans une canalisation transportant des produits chimiques (pression 17 bar, DN 110), serait
à l'origine de sa rupture.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare vers 3h30 sur un tas de carcasses d'automobiles à broyer de 200 m³ dans une entreprise de
récupération de matières métalliques. Les pompiers éteignent le sinistre avec 4 lances (2 x 2 000 l/min et 2 x 500 l/min),
aidés par les employés du site qui déblaient les ferrailles avec 2 chargeuses pour permettre l'accès au coeur du foyer. Les
secours effectuent une reconnaissance sur le canal du RHONE pour vérifier l'absence de rejet d'eaux d'extinction.
Ýîíòïï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ª»®®» °´¿¬
Une fuite de 1 t de verre en fusion sur un four de 1 500 t dans une usine de fabrication de verre plat se répand sur le sol.
La coulée est stoppée par refroidissement à l'aide de lances à eau et à air. La fuite est colmatée au moyen d'un bouchon
de verre. L'ouverture anormale d'un joint du four est à l'origine de l'incident. Aucune victime, ni autres dégâts ne sont à
déplorer.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare à 17h30 sur un stock de déchets d'aluminium et de caoutchouc de 600 m³ dans une entreprise de
récupération de matières métalliques. Une quarantaine de pompiers éteint l'incendie avec 1 lance canon de 2 000 l/min et
5 lances à débit variable. Les eaux d'extinction sont collectées dans un bassin de confinement relié à un décanteur
déshuileur. Trois bandes transporteuses et 2 moteurs sont endommagés. Deux autres sinistres se sont déjà produits dans
cet établissement dans les 6 derniers mois.
Ûíèòîî ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ 7´·³·²¿¬·±² ¼»- ¼7½¸»¬- ¼¿²¹»®»«¨
A l'entrée d'un centre d'incinération de déchets industriels spéciaux, l'alarme d' un portique de détection de radioactivité
se déclenche au passage d'un camion-benne transportant un conteneur de 1 m³ de déchets hopitaliers. Les mesures
effectuées révèlent un débit de dose de 50 à 100 microsivert/h.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare vers 8h30 dans 2 tas de carcasses de voitures de 30 m³ d'une entreprise de récupération de matières
métalliques. Un employé légèrement intoxiqué par les fumées est hospitalisé. Un incendie similaire s'était déjà produit sur
ce site 3 semaines auparavant.
Ûíèòîî ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ 7´·³·²¿¬·±² ¼»- ¼7½¸»¬- ¼¿²¹»®»«¨
Dans une usine d'incinération de déchets industriels spéciaux, un feu se déclare, à 13h30, dans un broyeur à fûts de
peintures usagées. Les pompiers de la plate-forme chimique voisine alertés maîtrisent l'incendie vers 15 h à l'aide de
canons à mousse. Une dizaine d'employés est blessée. Selon l'exploitant, l'incendie n'a pas généré de nuage de fumées
toxiques dans l'environnement du site et les eaux d'extinction ont été confinées dans la fosse de réception des déchets.
Un fût contenant des déchets de peintures serait à l'origine du sinistre. L'industriel transmet à l'Inspection des installations
classées un rapport détaillé d'accident.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare vers 20h30 sur un stock extérieur de 500 m³ de ferrailles dans une entreprise de récupération de
matières métalliques. Les secours maîtrisent le sinistre avec 2 lances canon de 2000 l/min et 1 lance à débit variable. Un
pompier légèrement blessé au genou est soigné sur place.
Ýîðòïï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ¹¿¦ ·²¼«-¬®·»´Dans une usine de production de gaz industriels, une fuite sur un cadre de 28 bouteilles d'hydrogène (H2) s'enflamme,
sans provoquer de dégâts importants.
Un opérateur déplace le cadre en cours de remplissage sur le poste extérieur annexe, le poste principal étant à l'arrêt
pour cause de travaux à proximité. Ce déplacement, alors que le flexible était toujours connecté au cadre, provoque la
rupture de la lyre et une fuite d'H2 dirigée contre le fût des bouteilles. Immédiatement, les capteurs de gaz de l'atelier de
conditionnement détectent l'anomalie et provoquent l'arrêt d'urgence de l'atelier : la vanne d'alimentation en H2 est
automatiquement fermée. L'opérateur dévisse le flexible pour éloigner le cadre de l'atelier et l'amener vers un point d'eau,
en contournant le bâtiment. Sur le trajet, la fuite d'H2, s'enflamme ; l'opérateur immobilise le cadre sur le sol et donne
l'alerte.
L'équipe de sécurité débute l'arrosage du cadre au moyen de la lance incendie, alerte les secours externes et déclenche
manuellement l'arrêt d'urgence : la production d'H2 est interrompue et l'inertage à l'azote des parties sensibles de
l'installation est engagé. Lorsque les pompiers arrivent, 15 min plus tard, le cadre s'étant vidé, le feu s'éteint. L'arrosage
est néanmoins maintenu du fait de la température très élevée des bouteilles dont le fût est incandescent, et ce, jusqu'à ce
qu'un pyromètre à infrarouge soit disponible sur site pour évaluer la température des parois des bouteilles. Le site de
l'usine est évacué. Une heure plus tard, la température du cadre chutant à 25 °C, l'alerte est levée.
L'analyse formelle de l'accident en a révélé les causes : la configuration du poste de remplissage annexe ne permet pas
la visualisation claire de la connexion du flexible de remplissage ; lorsque l'opérateur a déplacé le cadre pour le ranger, le
câble anti-fouet du flexible étant accroché à la lyre, le déplacement a provoqué la rupture de celle-ci. Les actions
correctives prises sont les suivantes : suppression du poste de remplissage annexe ; modification du poste de
remplissage principal de façon à rendre visible le raccordement cadre/flexible ; ajout sur les cadres d'un anneau
d'accrochage pour le câble anti-fouet ; achat d'un pyromètre infrarouge ; aménagement d'une zone permettant l'isolement
d'emballages défectueux, loin des zones de production et de stockage.
Ûíèòîî ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ 7´·³·²¿¬·±² ¼»- ¼7½¸»¬- ¼¿²¹»®»«¨
Un incendie se déclare sur 2 conteneurs de 1 000 l de solvants dans une entreprise de récupération de déchets solides.
Le personnel de l'établissement maîtrise le sinistre, les eaux d'extinction étant collectées dans un bac de rétention.
Ýïêòîí ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ½¸¿®°»²¬»- »¬ ¼ù¿«¬®»- ³»²«·-»®·»ULors d'une journée de canicule, un feu se déclare dans une menuiserie-charpente désertée à l'heure du déjeuner.
L'établissement se trouve à une centaine de mètres de l'A7 et de la N7. Le bois sec fournit un lieu propice au
développement du sinistre ; à l'arrivée des pompiers, les flammes ont déjà emporté une bonne partie du bâtiment. Une
quarantaine de pompiers met en oeuvre 7 grosses lances. L'importante fumée noire émise et la chaleur étouffante qui
règne autour du sinistre compliquent l'intervention. La présence de matières inflammables (véhicules de levage, fûts de
stockage) constitue de plus un danger supplémentaire. Une douzaine de gendarmes sécurise la zone, coupe la circulation
dans les 2 sens sur la N7 et prend des mesures de ralentissement sur l'A7. Le préjudice est important ; de nombreux
produits finis (escaliers, charpentes) et des centaines de m³ de bois sont partis en fumée. Une vingtaine de salariés est en
chômage technique. La gendarmerie effectue une enquête et une expertise est réalisée.
Ûíèòíî ó Î7½«°7®¿¬·±² ¼» ¼7½¸»¬- ¬®·7Dans une usine de traitement de déchets toxiques, un feu se déclare dans le hangar de stockage de petits fûts contenant
des résidus d'hydrocarbures à traiter. L'alerte est donnée permettant aux équipes d'intervention internes de se mobiliser
rapidement. Les secours extérieurs maîtrisent l'incendie en moins de 45 mn et, aidés par le personnel du site, sécurisent
le hangar de stockage. Les eaux d'extinction n'ayant pas été retenues, l'exploitant demande aux services départementaux
concernés de réaliser un contrôle approfondi en aval des points de rejets, un prélèvement est également effectué par les
techniciens du site. Le sinistre n'a provoqué aucune pollution de l'air, de l'eau ou du sol. Les dommages internes mineurs
(quelques palettes de bois et petits fûts, éléments de cloison) n'ont pas d'incidence sur le fonctionnement normal des
installations. L'inspection des installations classées demande à l'exploitant d'identifier la nature des déchets à l'origine de
l'incendie, d'en déterminer la cause et de définir les dispositifs qu'il y a lieu de mettre en oeuvre pour diminuer la
probabilité de renouvellement d'un tel sinistre ou d'en limiter l'extension. L'exploitant doit également analyser les raisons
de la non-rétention des eaux d'extinction et définir les mesures pour éviter le renouvellement de telles situations.
Ûíèòíî ó Î7½«°7®¿¬·±² ¼» ¼7½¸»¬- ¬®·7Dans une usine de traitement de déchets toxiques, un conteneur de 750 l de déchets d'activité de soins infectieux
provenant d'un institut de cancérologie déclenche un portique de détection radioactive. Le radio élément pourrait être du
technicium 99 (de périodicité 6 h). Les déchets pourraient provenir d'un patient traité en médecine nucléaire qui aurait
séjourné dans l'établissement. Dépassées les 60 heures, le contenu du bac pourrait être incinéré si les mesures
confirment une décroissance. En accord avec un institut spécialisé en radioprotection, le conteneur est entreposé dans un
bâtiment confiné. Deux personnes légèrement exposées sont contrôlées : l'examen ne révèle rien d'anormal.
Ûíèòíï ó Ü7³¿²¬8´»³»²¬ ¼ù7°¿ª»Un feu se déclare dans un établissement de broyage et de déchiquetage de ferrailles (vrac et véhicules hors d'usage) ;
120 des 12 000 t de véhicules stockées sont concernées par le sinistre, soit près de 12 t de matières combustibles
(pneumatiques, plastiques essentiellement). Les pompiers maîtrisent l'incendie après 1 h d'intervention au moyen de 2
canons à eau de 2 000 l/min, 1 canon à eau de 1 000 l/min et 2 lances. Un arrosage intensif du matériel en cause est
poursuivi durant 3h. La combustion des matériaux a essentiellement générée une pollution atmosphérique. Aucune
pollution des eaux n'est constatée, les bassins de confinement de 1 400m3 ont permis de récupérer la totalité des eaux
d'extinction. L'Inspection des Installations Classées visite le site le lendemain. L'incendie est probablement lié à la
présence de résidus d'hydrocarbures dans les véhicules stockés, leur dépollution n'a certainement pas été vérifiée
correctement. Cependant, le dysfonctionnement principal observé réside en la méconnaissance par le personnel présent
des modes de fonctionnement des moyens de secours propres à l'établissement. Un exercice incendie avait pourtant été
réalisé 3 jours plus tôt avec les pompiers. La formation des personnels et la formalisation des procédures d'alerte et de
première intervention sont renforcées. L'exploitant met en place un système d'arrosage préventif des stocks de ferrailles
durant les périodes chaudes. Il est également envisagé une limitation en hauteur des tas de véhicules, ainsi qu'une
fragmentation des stocks par des allées coupe-feu.
Ùìéòïï ó Ý±³³»®½» ¼» ¼7¬¿·´ »² ³¿¹¿-·² ²±² -°7½·¿´·-7 @ °®7¼±³·²¿²½» ¿´·³»²¬¿·®»
Un incendie se déclare dans les réserves d'un centre commercial. Le magasin est évacuée et 3 personnes intoxiquées
par les fumées sont examinées sur place. Seul un employé est hospitalisée.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
Un camion-citerne transportant un produit corrosif utilisé dans la fabrication du nylon se renverse sur l'A7. La cargaison se
répand sur les voies. Le chauffeur grièvement blessé est hospitalisé. L'autoroute est coupée dans un sens.
Ýîðòîð ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» °»-¬·½·¼»- »¬ ¼ù¿«¬®»- °®±¼«·¬- ¿¹®±½¸·³·¯«»Dans une usine chimique, un fongicide organique déborde de fûts surchauffés. Une CMIC intervient et un périmètre de
sécurité est mis en place. Par mesure de sécurité, 3 employés sont hospitalisés pour des examens (sans suite).
Ýîíòïï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ª»®®» °´¿¬
Au cours de travaux de soudure sur un convoyeur d'une verrerie, une étincelle embrase le dessous du tapis et se propage
aux déchets. L'incendie est maîtrisé en 45 min. Les dégâts sont importants. Un pompier est intoxiqué par des émanations
de chlore.
Ûíèòîî ó Ì®¿·¬»³»²¬ »¬ 7´·³·²¿¬·±² ¼»- ¼7½¸»¬- ¼¿²¹»®»«¨
Lors de la vidange d'une citerne dans un centre de traitement de déchets industriels, une réaction explosive a lieu à la
suite du mélange de plusieurs résidus chimiques. Les dommages matériels sont relativement importants et 5 personnes
sont légèrement blessées.
SRT / BARPI
-
Date et Lieu : SABLONS
N°33774 - 25/10/2007 - FRANCE - 38 - SABLONS
ÆÆÆòÆÆ ó Ñ®·¹·²» ·²½±²²«»
Une nappe d'hydrocarbure de 100 m² d'origine indéterminée pollue le canal du Rhône au niveau de l'écluse des Sablons
(PK 57). La gendarmerie effectue des prélèvements.
N°26482 - 21/02/2003 - FRANCE - 38 - SABLONS
ðððòðð ó Ð¿®¬·½«´·»®Une cinquantaine de litres de fioul domestique provenant d'une évacuation d'eaux pluviales provoque une irisation de 500
m de long sur le VIEUX RHONE. Cette pollution aurait pour origine un fût défectueux de 200 l appartenant à un riverain. A
titre préventif, les pompiers mettent en place un barrage flottant à la sortie de l'émissaire d'eau pluviale.
SRT / BARPI
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Date et Lieu : CHANAS
N°34583 - 09/05/2008 - FRANCE - 38 - CHANAS
Ýïêòîì ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼ù»³¾¿´´¿¹»- »² ¾±·Dans une usine de fabrication d'emballages en bois, un feu se déclare vers 20 h sur un stock de palettes à l'air libre. Une
centaine de pompiers met en oeuvre 5 lances à débit variable pour circonscrire l'incendie. Malgré des difficultés
d'alimentation en eau, ils évitent la propagation de l'incendie à une entreprise de transport au sud et à une entreprise de
grossiste en fruits au nord. La route nationale RN 7 et le trafic ferroviaire sont coupés dans les 2 sens.
Le maire et le préfet se rendent sur les lieux. Le feu est circonscrit vers 21h40. La circulation ferroviaire est rétablie vers
21 h et la route nationale est réouverte à la circulation le 10/05 à 6h45. Aucun blessé n'est à déplorer mais 23 personnes
sont en chômage technique pour une durée indéterminée. La surface détruite est de 12 000 m² dont 2 500 m² de bâtiment
et 9 500 m² de stockage de palettes. Selon la presse, l'origine de l'accident serait accidentelle.
N°33950 - 01/12/2007 - FRANCE - 38 - CHANAS
Ýîçòïð ó Ý±²-¬®«½¬·±² ¼» ª7¸·½«´»- ¿«¬±³±¾·´»Un feu se déclare vers 6 h dans l'atelier d'assemblage de 2 000 m² d'une usine de production de voiturettes. Plusieurs
explosions se produisent. Un périmètre de sécurité est mis en place et la circulation routière sur la RN 7 est déviée. Les
70 pompiers mobilisés maîtrisent le sinistre en fin de matinée avec 6 lances, malgré des difficultés d'alimentation en eau ;
2 pompiers sont blessés dont l'un gravement à la suite d'un malaise cardiaque. L'intervention des secours s'achève vers
19 h. Une surveillance du site par une société de gardiennage est mise en place. Le bâtiment est détruit et 44 des 150
employés de l'établissement sont en chômage technique. La gendarmerie diligente une enquête pour déterminer l'origine
de l'incendie. Les autorités locales se sont rendues sur les lieux.
N°29613 - 09/04/2005 - FRANCE - 38 - CHANAS
Ýîçòïð ó Ý±²-¬®«½¬·±² ¼» ª7¸·½«´»- ¿«¬±³±¾·´»Un feu se déclare vers 20h30 sur une étuve de 2 t de polycarbonate dans une usine de construction de véhicules
automobiles. L'installation de sprinklers protégeant l'établissement se déclenche et éteint l'incendie. Les pompiers équipés
d'ARI refroidissent l'étuve et ventilent le bâtiment de 5 000 m² totalement enfumé ; les travaux de déblaiement se
poursuivent jusqu'à 6h30. Des rondes de surveillance sont effectuées ultérieurement. Une centaine d'employés pourrait
être en chômage technique.
N°18326 - 13/07/2000 - FRANCE - 38 - CHANAS
Ûíéòðð ó Ý±´´»½¬» »¬ ¬®¿·¬»³»²¬ ¼»- »¿«¨ «-7»Un transporteur déverse 1 000 m³ de boues de station d'épuration provenant d'un autre département sur un terrain
communal de 2 000 m² loué par un particulier. L'épandage engendre d'importantes nuisances olfactives, une
multiplication des insectes et un risque de pollution de la nappe phréatique. Les premières habitations sont situées à 150
m. Les autorités locales portent plainte pour stockage illégal de boues d'épuration et atteinte à la salubrité publique. La
gendarmerie effectue une enquête.
N°16881 - 12/12/1999 - FRANCE - 38 - CHANAS
ßðïòëð ó Ý«´¬«®» »¬ 7´»ª¿¹» ¿--±½·7Un incendie détruit les 2/3 d'un bâtiment agricole de 2 000 m² à usage de stockage de matériels.
SRT / BARPI
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Date et Lieu : SAINT-PIERRE-DE-BOEUF
N°40845 - 19/08/2011 - FRANCE - 42 - SAINT-PIERRE-DE-BOEUF
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Vers 19 h, pour récupérer des effets personnels, un homme se jette dans une rivière artificielle, 800 m en aval du barrage
de prise d'eau d'un aménagement hydroélectrique au fil de l'eau. La rivière artificielle, bien qu'exploitée par une collectivité
territoriale (base de loisirs), est comprise dans le périmètre de la concession. Des panneaux d'interdiction sont présents
sur les berges.
Un moniteur de la base de loisirs, alerté par des témoins, active le bouton d'arrêt. La vanne d'alimentation de la rivière ne
descend pas en raison d'une défaillance mécanique. Un agent d'astreinte de l'exploitant hydroélectrique la ferme
manuellement. Le nageur s'extrait par ses propres moyens. Indemne, il est hospitalisé par précaution.
L'exploitant hydroélectrique déclare avoir signalé à plusieurs reprises avant l'évènement la possibilité d'une défaillance de
la vanne à l'exploitant de la rivière artificielle. L'événement fait l'objet d'un classement en EISH jaune.
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Une nappe d'hydrocarbures de 3,5 km de long et de 3 à 400 m de large pollue le RHÔNE. Une trentaine de pompiers
installent un barrage flottant de 300 m pour canaliser la pollution. Les hydrocarbures sont pompés le lendemain. Par
mesure de sécurité, un captage d'eau est réduit au minimum.
Ýîîòïï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² »¬ ®»½¸¿°¿¹» ¼» °²»«³¿¬·¯«»Un incendie se déclare dans un silo de stockage de gomme de pneus. Le silo et son dispositif de ventilation (gaines et
aspirateurs) sont détruits.
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Une pollution d'origine indéterminée est constatée sur le RHONE. 5 t de poissons morts sont repêchées.
SRT / BARPI
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Date et Lieu : SERRIERES
N°37211 - 18/10/2009 - FRANCE - 07 - SERRIERES
Ûíèòíî ó Î7½«°7®¿¬·±² ¼» ¼7½¸»¬- ¬®·7un feu se déclare vers 1h30 dans le stock de bois d'une usine de broyage de poutres de chemins de fer et de poteaux de
télécommunication en bois. Les 700 t du stockage de bois traité soit par de la créosote, soit par des sels CCA sont en feu
; l'incendie risque d'atteindre une usine de fabrication de panneaux luminaires voisine (1 900 m² sur 2 bâtiments) et la
route D86. Les secours utilisent 1 lance canon et 4 lances à débit variable pour protéger les bâtiments et éteindre ce
violent incendie générant des flammes de 20 m de haut et un fort rayonnement. Les pompiers rencontrent des déficits en
eau et sont soumis à un vent violent. L'incendie est maîtrisé dans la soirée et éteint le lendemain en soirée.
La totalité du stock de bois est détruit ainsi que les machines. Des dégâts sont aussi constatés à lextérieur du site : ligne
téléphonique, éclairage public...
Les eaux dextinction incendie sont collectées dans un bassin provisoire. Compte tenu de la nature du bois, il est
demandé à lexploitant danalyser puis de proposer une filière de traitement adéquate pour les cendres et les imbrulés de
lincendie et de réaliser des prélèvements de sols en plusieurs endroits.
Une enquête est effectuée, un acte de malveillance est suspecté.
N°22984 - 01/09/2002 - FRANCE - 54 - SERRIERES
ßðïòëð ó Ý«´¬«®» »¬ 7´»ª¿¹» ¿--±½·7Un incendie se déclare dans une ancienne ferme sur un stockage de paille.
SRT / BARPI
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Date et Lieu : SAINT-RAMBERT-D'ALBON
N°37929 - 08/03/2010 - FRANCE - 26 - SAINT-RAMBERT-D'ALBON
Ýîîòîï ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» °´¿¯«»-ô º»«·´´»-ô ¬«¾»- »¬ °®±º·´7- »² ³¿¬·8®»- °´¿-¬·¯«»Dans une usine d'emballages et de matériaux d'isolation pour le bâtiment, un feu se déclare vers 16 h dans un local de
stockage de 200 m² abritant 400 m³ (soit 8 t) de rouleaux de mousse de polyéthylène. L'alerte est donnée par un employé
passant à proximité du bâtiment et apercevant de la fumée en provenance du local. Son supérieur appelle les secours
externes. Les pompiers provenant de plusieurs casernes interviennent en attaquant le feu par le haut après l'effondrement
de la toiture et circonscrivent l'incendie à ce seul bâtiment. Le feu est éteint vers 19 h avec 3 lances dont 1 sur échelle.
Durant l'intervention, un périmètre de sécurité est mis en place et le trafic ferroviaire sur la ligne Paris-Marseille est coupé.
Le local et le stock de mousse sont détruits. Aucune pollution des sols n'est constatée, il semble que les eaux d'extinction
de l'incendie se soient en grande partie vaporisées. L'intervention rapide et importante des moyens de secours extérieurs
a permis d'empêcher toute communication par effet domino de l'incendie aux autres bâtiments de stockage situés à
proximité immédiate.
Les causes de l'incendie restent inconnues, le local n'était pas pourvu d'un système de chauffage et simplement équipé
de quatre néons sur une rampe d'éclairage. Un acte de malveillance n'est pas exclu, un départ de feu ayant eu lieu le
4/03 dans un atelier et un cambriolage par effraction ayant été constaté durant le week end précédent l'incendie. Au vue
de l'ensemble de ces faits, une enquête de police est diligentée. Les prélèvements de matière par chariot élévateurs ne
sont réalisés dans ce local que de manière ponctuelle en fonction des besoins de l'atelier de transformation (réalisation
de sacs ou autres). Une enquête interne est diligentée pour vérifier si des mouvements ont été effectués le jour du
sinistre.
Aucun blessé n'est à déplorer, les 45 employés ne sont pas en chômage technique. La coupure d'électricité a été initiée
de manière volontaire dans le secteur concerné sans affecter la production. Il n'y a pas de conséquences
environnementales. Les résidus de charpente et de couverture calcinés devront être évacués, la destruction du bâtiment
dont les murs porteurs ont été affectés par l'incendie, est prévue. Le stock détruit est estimé entre 25 et 30 k.
Un élu se rend sur place. L'inspection des installations classées réalise une inspection ponctuelle le lendemain. Elle
demande à l'exploitant un rapport relatif à l'accident, l'analyse des causes et ses conséquences. La visite du parc de
déchets met en évidence leur présence en quantité nettement supérieure à celle retenue pour le scénario incendie.
L'inspection des IC demande à l'exploitant soit de revoir le calcul, soit de revenir rapidement à la surface maximale
initialement prévue pour ce stockage. Cette visite met également en évidence la présence de bonbonnes de gaz pleines
et vides utilisées par les chariots élévateurs de l'usine et stockées en limite d'établissement. Compte tenu de la suspicion
de malveillance, il est demandé à l'exploitant de réfléchir à un emplacement moins visible du stock.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
Sur une aire de repos d'autoroute, un porte-conteneur transportant un échafaudage contaminé ayant servi sur un site
nucléaire est ouvert lors d'une tentative de vol vers 7 h. Aucun colis n'a disparu. Les secours établissent un périmètre de
sécurité. Les mesures de dosimétrie réalisées par un binôme en tenue de radioprotection sur le véhicule et le conteneur
ne révèlent aucune contamination. Après constat de la gendarmerie, le poids-lourd se rend à sa destination finale où un
inventaire est effectué. L'autorité de sûreté nucléaire est avisée.
Ýïêòîí ó Ú¿¾®·½¿¬·±² ¼» ½¸¿®°»²¬»- »¬ ¼ù¿«¬®»- ³»²«·-»®·»Un incendie détruit une menuiserie de 500 m². Huit employés sont en chômage technique.
Ûíèòíî ó Î7½«°7®¿¬·±² ¼» ¼7½¸»¬- ¬®·7Dans une entreprise de récupération / recyclage, un incendie détruit un bâtiment de 4 000 m² sur 3 niveaux abritant des
balles de papier et de chiffons.
Øìçòìï ó Ì®¿²-°±®¬- ®±«¬·»®- ¼» º®»¬
A la suite d'une collision entre 2 véhicules et un camion TMD transportant du polystyrène insoluble, 4 personnes sont
tuées et 6 autres sont blessées. Une partie de la substance chimique transportée se déverse sur la chaussée. La
circulation est coupée dans les 2 sens et déviée jusqu'à 2 h du matin.
Ûíèòíî ó Î7½«°7®¿¬·±² ¼» ¼7½¸»¬- ¬®·7Un incendie détruit un entrepôt de 500 m² contenant 80 t de ballots et de déchets de tissus d'une entreprise de triage de
tissus. Les pompiers font appel à des renforts afin de maîtriser le sinistre attisé par l'éclatement des bouteilles de gaz
alimentant des chariots élévateurs. Le feu est maîtrisé en 7,5 heures. Les dégâts sont évalués à 3 MF.
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Annexe 5
Fiches de renseignements des sites recensés dans la
base de données BASOL
BASOL - Ministère de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Lo... Page 1 of 2
Base de données BASOL sur les sites et sols pollués
(ou potentiellement pollués) appelant
une action des pouvoirs publics, à titre préventif ou curatif
Presentation
du site
Région : RHONE ALPES
Département : 26
Site BASOL numéro : 26.0045
Date de création de la fiche ou de sa dernière mise à jour : 25/10/2006
Auteur de la qualification : DREAL (Groupe de Subdivision Drôme Ardèche)
Localisation et identification du site
Nom usuel du site : BUBBLE et FOAM Industries S.A (ex site TARKETT SOMMER)
Localisation :
Commune : Saint Rambert d'Albon
Code postal : 26140 - Code INSEE : 26325 (5 198 habitants)
Code géographique de l'unité urbaine : 00273 : Saint-Rambert-d'Albon (9 861 habitants)
Coordonnées Lambert X : 794230 Y : 2034490
Référentiel : LAMBERT II ETENDU
Précision : AUTRE gidic
Adresse : Z.I de la Cappa
Lieu-dit :
Parcelles cadastrales :
Nom du
Date du
cadastre
cadastre
Echelle
cadastrale
Section
cadastrale
N° de
parcelle
Précision parcellaire
le cas échéant
Responsable(s) actuel(s) du site : PROPRIETAIRE
BUBBLE et FOAM Industries S.A
Nom : TARKETT SOMMER
il s'agit D'UN EXPLOITANT ANTERIEUR
Qualité du responsable : PERSONNE MORALE PRIVEE
Propriétaire(s) du site :
Nom
BUBBLE et FOAM Industries S.A
Qualité
PERSONNE MORALE PRIVEE
Coordonnées
Caractérisation du site
Description du site :
Le site l'ex société TARKETT SOMMER, dont le propriétaire actuel est la société BUBBLE et FOAM Industries France
SA, est implanté dans la zone industrielle de la Cappa sur la commune de Saint Rambert d'Albon à environ 1 km au
Sud du centre ville.
à l'Est: le site est bordé directement par la voie SNCF reliant Paris Vintimille.
à l'Ouest: le Rhône circule du nord au sud en contrebas du site (environ 9m).
Le site correspond à une plate-forme plane dont l'altitude moyenne est de 142m NGF.
La Société TARKETT SOMMER, installée dans la zone industrielle de la Cappa 26140 St Rambert d’Albon depuis
1993 était spécialisée dans la fabrication de dalles vinyles pour sol, de profilés plastiques et de préparation de
poudres et granulés.
Elle avait succédé sur ce site et pour cette même fabrication aux sociétés DALAMI puis SUD ISOL.
Description qualitative à la date du 28/08/2006 :
Le 07 juillet 2003, M. le Directeur de la société TARKETT SOMMER, a informé M. le Préfet de la Drôme de la
cessation de ses activités classées.
Le 10 mai 2004, M. le Président de la société TARKETT S.A.S, a transmis directement à l’Inspection des Installations
Classées, le mémoire en cessation d’activité du site visé en objet.
En complément du mémoire, une ESR a été réalisée dans le cadre de l’abandon du site .
Des sources de pollution constituées par des sols pollués au niveau de certaines zones du site ont été mises en
évidence :
atelier de formage pour l’automobile
zone de stockage de fûts écrasés
Nature et importance de la Pollution
PHTALATES
La concentration en Phtalates (680 mg/kg) mise en évidence dans les sols au niveau du Piézomètre Pz4, est
supérieure à la VCI usage non sensible pour cette substance.
Cette concentration range le site, vis à vis du milieu sol, en limite de classe 1.
D’autres substances ont été mises en évidence, dans des concentrations supérieures aux valeurs de définition de
sources Sol mais inférieures aux Valeurs de Constat d’Impact (VCI) du milieu sol pour les substances concernées,
dans le cas d’un usage non sensible (Zone Industrielle):
http://basol.ecologie.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=26.0045
29/03/2012
présence d’ Arsenic (41 mg/kg)
présence de Cuivre (190mg/kg)
présence de trichloroéthylène (12 mg/kg)
présence de tétrachloroéthylène (71 mg/kg)
présence d’Hydrocarbures totaux (9900 mg/kg)
Qualité de la Nappe
Les analyses de la qualité de la nappe phréatique réalisées ont révélé la présence de Tétrachloroéthylène(4µg/l) .
Les concentrations mesurées restent toutefois inférieures à la VCI usage sensible (10 µg/l) pour cette substance.
Des éléments complémentaires ont été réclamés le 18 mai 2004 par l’inspection des Installations classées, à M. le
Président de la société TARKETT S.A.S afin d’évaluer plus précisément :
l’absence d’impact du milieu sol par les PCB (4 Transformateurs aux PCB)
la nature et l’importance de la pollution par les Phtalates.
Un arrêté préfectoral relatif à la surveillance des eaux souterraines du site a été pris par M.le Préfet de la Drôme le 05
juillet 2004 .
Il stipule que la durée de la surveillance ne pourra être inférieure à une période d'observation d'au moins deux ans,
afin d'intégrer plusieurs épisodes de basses et hautes eaux.
Cette surveillance trimestrielle cible les paramètres ci dessous :
. Tichloréthylène
. Tétrachloréthylène
. Hydrocarbures totaux
. Arsenic
. Cuivre
. Phtalates
29/03/2012
Presentation
du site
Département : 38
Auteur de la qualification : DREAL (GS 38)
Nom usuel du site : SITE CHIMIQUE DE ROUSSILLON (ex RHODIA CHIMIE)
Localisation :
Commune : SALAISE SUR SANNE - ROUSSILLON - LE PEAGE DE ROUSS
Code géographique de l'unité urbaine : 00556 : Vienne (91 796 habitants)
Précision : COMMUNE (CENTRE)
Adresse :
Lieu-dit :
Nom du
Date du
cadastre
cadastre
Echelle
cadastrale
Section
cadastrale
N° de
parcelle
le cas échéant
Responsable(s) actuel(s) du site : EXPLOITANT (si ICPE ancienne dont l'exploitant existe encore ou ICPE en
activité)
Nom : Rhodia Intermédiaires, Aventis Animal Nutrition, OSIRIS GIE, Rhodia Silicones, Péage de Roussillon
il s'agit DU DERNIER EXPLOITANT
Nom
Rhodia Chimie, Aventis Animal Nutrition, OSIRIS GIE, Rhodia Silicones,
Péage de Roussillon
Qualité
PERSONNE MORALE
PRIVEE
Coordonnées
En application de la circulaire ministérielle du 3 avril 1996 relative à la réalisation de diagnostics initiaux et de
l’évaluation simplifiée des risques sur les sites industriels en activité, la Préfecture de l’Isère a demandé à la société
RHODIA de Roussillon, par arrêté préfectoral n° 98-8366 du 1er décembre 1998, de réaliser une étude simplifiée des
risques (ESR).
L'étude de sol a été imposée par arrêté préfectoral n° 98.8366 du 1° décembre 1998 initialement a RHODIA
intermédiaires. Cette obligation a été transposée aux autres nouveaux exploitants et ce dans l'arrêté préfectoral cadre
pris par chacun d'entre eux. L'étude de sol est à remettre avant le 31/12/2001.
Le bureau d’études ATE GEOCLEAN a été missionné pour réaliser l’évaluation simplifiée des risques (ESR). Le
principe d’une ESR est précisé en annexe.
Le contexte hydrogéologique est le suivant : la nappe alluviale a une épaisseur moyenne de l’ordre de 10 m et
s’écoule à une profondeur de 20 m au droit du site. L’écoulement de la nappe est orienté vers le Sud-Ouest au droit
du site. Compte tenu des rabattements de nappe occasionnés par des pompages au Nord-Ouest du site, l’écoulement
peut être dévié vers l’Ouest dans la partie Nord du site.
44 sondages ont été réalisés sur site jusqu’à une profondeur maximum de 15m.
Les paramètres analysés dans les sols ont été les métaux et métalloïdes, phosphates, phosphore, sulfates et
fluorures, ammonium, azote et nitrates, bromure, bromure d’éthylène et cyanures libres, hydrocarbures totaux,
composés organiques halogénés volatils (COHV), benzène, toluène, éthylbenzène et xylène (BTEX), hydrocarbures
aromatiques polycycliques (HAP), phénols, pesticides, amines aromatiques, méthionine, siloxanes et chorosilanes.
Les résultats indiquent un dépassement des valeurs guides (VCI usage non sensible) dans :
un sondage (S29) pour le cuivre ;
un sondage (S5) pour le nickel ;
trois sondages (S1, S22) pour l’arsenic ;
Des traces de mercure et de plomb.
9 piézomètres sur site ont fait l’objet d’analyses au cours de la phase B de l’ESR. Les paramètres analysés dans les
eaux souterraines ont été les métaux et métalloïdes, phosphates, phosphore, sulfates et fluorures, ammonium, azote
et nitrates, bromure, bromure d’éthylène et cyanures libres, hydrocarbures totaux, composés organiques halogénés
volatils (COHV), benzène, toluène, éthylbenzène et xylène (BTEX), hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP),
phénols, pesticides, amines aromatiques, méthionine, siloxanes et chorosilanes.
Les résultats indiquent un dépassement des valeurs guide (VCI usage non sensible) dans un piézomètre (OK19) pour
l’ammonium ;
Des traces de cumène et de benzène dans le piézomètre OK 19.
Parallèlement, le GIE OSIRIS réalise des analyses sur les eaux souterraines conformément à l’arrêté préfectoral
cadre du site. Les résultats transmis par l’exploitant s’étalant sur la période juillet 2001 à décembre 2003 indiquent :
-la présence de cumène dans le piézomètre TI17 avec une hausse des teneurs depuis mars 2003 allant jusqu’à 37
mg/l. Ces valeurs dépassent parfois le seuil de solubilité du cumène dans l’eau indiquant ainsi la présence de cumène
pur en surface de nappe.
-la présence de cyanures dans le piézomètre TG26 à des valeurs proches du mg/l.
-un impact confirmé dans le piézomètre OK19 mais aussi le UK17 pour le paramètre ammonium.
29/03/2012
Il a été convenu de prendre deux séries d’arrêtés distincts.
L’une concernant la surveillance des eaux souterraines et applicable à l’ensemble des exploitants de la plate forme
chimique, l’autre concernant la demande d’une étude complémentaire pour les seuls exploitants concernés.
Cinq exploitants (NOVAPEX, TÉRIS, OSIRIS, RHODIA CHIMIE ET ADISSEO) s’engagent à réaliser des
investigations complémentaires particulièrement sur les paramètres benzène, phénol, cumène, ammonium et
cyanures. Les autres exploitants ont indiqué ne pas avoir de valeurs anormales dans les sols ou ne pas être à
l’origine de pollution rencontrée dans les eaux souterraines.
L'IIC a proposé la mise en place en place d’un nouveau réseau de surveillance des eaux souterraines (pour tous les
explotants) et la réalisation d’une étude complémentaire (pour 5 exploitants).
En présence de cibles jugées vulnérables vis à vis de la pollution, l’étude complémentaire devra être complétée d’une
étude détaillée des risques (EDR).
Les arrêtés prefectoraux ont été signés fin 2005.
29/03/2012
Presentation
du site
Département : 38
Auteur de la qualification : DREAL (GS 38)
Nom usuel du site : SIRA
Localisation :
Commune : SABLONS
Code géographique de l'unité urbaine : 00159 : Sablons (2 987 habitants)
Précision : AUTRE
Adresse : 1, rue de la Planche
Lieu-dit :
Nom du
Date du
cadastre
cadastre
Echelle
cadastrale
Section
cadastrale
N° de
parcelle
le cas échéant
Responsable(s) actuel(s) du site : EXPLOITANT (si ICPE ancienne dont l'exploitant existe encore ou ICPE en
activité)
Nom : SIRA
Nom
S.N.C.F.
Qualité
PERSONNE MORALE PUBLIQUE
Coordonnées
La société est située à Sablons, à environ 30 km au Sud de Vienne.
La Société SIRA fabrique des poteaux en bois, auxquels elle fait subir un traitement d'impregnation au Cuivre,
Chrome et Arsenic.
Cette société était installée sur une plateforme industrielle constituée sur l'ancienne rotonde de la gare de ST
RAMBERT d'Albons depuis 1978.
La société SIRA a été autorisée par arrêté préfectoral du 28/9/1994 a transférer son activité sur un terrain voisin.
Une pollution des sols a été détectée en 1992, suite à des plaintes de voisinages relayées par la FRAPNA.
Un arrêté préfectoral du 19/1/93 a imposé des investigations sur l'ampleur de la pollution et la mise en oeuvre des
moyens de résorption nécessaire. Un arrêté préfectoral du 28/9/94 a fixé les conditions de la réhabilitation des
terrains et le traitement des bétons.
Parallèlement, un contrôle trimestriel des eaux souterraines a été prescrit sur 3 piézomètres. Le début de la
surveillance a eu lieu en 1998. Celle-ci n'ayant pas été réalisée entre la fin du 2ème trimestre 1999 et début 2002,
deux procès-verbaux d'infraction ont été dressés en leur temps par l'inspecteur des Installations Classées.
Des travaux sur le site ont été réalisés, des terres et déchets pollués ont été enlevés et mis en décharge. Toutefois, le
traitement n'ayant été imposé et réalisé que sur une partie du site il a été proposé par l'inspection au Conseil
Départemental d'Hygiène début 2001 la réalisation d'investigations complémentaires et d'une Etude Simplifiée des
Risques (ESR) sur la partie restante du site. La certitude de l'évacuation des déchets n'ayant pas été obtenue, un
arrêté de mise en demeure a également été signé le 24/04/2001.
L'ESR a été remise le 11/05/2005. Les investigations ont porté sur :
- le sol, avec 12 sondages à 2,5 m de profondeur comportant des prélèvements sur les 30 premiers (0-30) et 30
derniers centimètres (2,20-2,50m):
. Arsenic, Chrome et Cuivre ont été trouvés dans 11 sondages dans les 30 premiers centimètres ;
. seuls 2 sondages montrent pour l’arsenic des valeurs (140 et 200 mg/kg de matière sèche) supérieures à la valeur
de constat d’impact (VCI, 120mg/kg) pour un usage non sensible, aucun dépassement pour le chrome ;
. la présence d’arsenic et de chrome a été décelé entre 2 m et 2,3 m sur un sondage réalisé au plus près de
l’emplacement sur lequel le traitement du bois était réalisé, toutefois la valeur mesurée est comprise entre la valeur de
définition de source-sol (VDSS) de 19 mg/kg et la VCI (120 mg/kg);
- les eaux souterraines, par des prélèvements sur un puits en amont et deux puits en aval : aucune pollution détectée.
L’ESR conduit donc à un classement en catégorie 2 "site à surveiller".
L’inspection des installations classées a proposé au préfet, en septembre 2005, un arrêté imposant :
- l’évacuation des terres polluées (30 cm sur 400 m²) autour des 2 sondages concernés,
- la mise en place d’un complément au réseau de surveillance existant sur l’ensemble de ses sites par une analyse
trimestrielle des 3 paramètres Arsenic, Chrome et Cuivre.
Au cours du CDH, l’exploitant a remis un document mentionnant un certain nombre d’observation sur le projet d’arrêté
complémentaire.
Le dossier a alors été ajourné afin d’examiner les documents remis.
29/03/2012
Au regard de l'ESR fournie par la société SIRA, et des compléments d’investigation réalisés après l'ajournement du
dossier au CDH, il est apparu qu'une surveillance des eaux souterraines était confirmée. Cette surveillance, déjà
pratiquée sur le site n°2, a été étendue à l'ensemble du site n°1 et n°2 sur 6 piézomètres ou puits.
Par ailleurs et compte tenu des résultats des analyses des sols sur les sondages n°8 et 11 ainsi que sur la première
partie du site n°1, il n’est plus apparu nécessaire de prescrire des travaux ou études complémentaires dans la mesure
où l’usage du site n'était pas modifié.
Un AP de surveillance a été proposé au coderst en octobre 2006.
29/03/2012
Presentation
du site
Département : 42
Auteur de la qualification : DREAL (Saint-Etienne)
Nom usuel du site : parking RN 86
Localisation :
Commune : CHAVANAY
Code géographique de l'unité urbaine : 00556 : Vienne (91 796 habitants)
Coordonnées Lambert X : 787040,34 Y : 2049249,52
Précision : COMMUNE (CENTRE)
Adresse : Parking route nationale 86
Lieu-dit : "Verlieux"
Nom du
Date du
cadastre
cadastre
Echelle
cadastrale
Section
cadastrale
N° de
parcelle
le cas échéant
Responsable(s) actuel(s) du site :
Etat (D.D.E.)
Nom
DDE
Qualité
PERSONNE MORALE PRIVEE
Coordonnées
Dans le cadre des études de vulnérabilité de la ressource en eau potable du syndicat Rhône-Pilat effectuées par le
Cabinet HORIZON en 1999 et 2000, un foyer de pollution en tétrachloroéthylène a été mis en évidence sous le
parking de la route nationale 86 au lieu-dit "Verlieux" sur la commune de Chavanay.
La pollution a diffusé dans la nappe sousjacente, notamment vers le puits d'alimentation en eau potable (AEP) de
Chavanay (Chanson) à l'aval du site et vers les puits AEP du syndicat intercommunal Rhône-Pilat (Jassoux).
Il est à noter que les valeurs en tétrachloroéthylène observées au niveau du puits Chanson varient de 2 à 23 µg/l et
entre 1 et 10 µg/l au niveau des puits de Jassoux (recommandation OMS 10 µg/l). La ressource en eau potable du
canton de Pélussin est assurée principalement par des pompages dans la nappe de ce secteur. Un projet
d'exploitation d'une nouvelle ressource en eau dans ce secteur est subordonné à la mise en oeuvre de mesures
permettant la maîtrise du processus de pollution et la suppression de ses causes.
L'étude présentée par le Cabinet Horizon, en juin 2000, et complétée à l'automne 2000, propose plusieurs solutions
de dépollution.
Au vu du résultats de l'étude, le syndicat responsable de la production d'eau a saisi le préfet pour la suite à donner
dans la mesure où le terrain est propriété de l'Etat et à l'origine de la présence de solvants chlorés dans les captages
d'eau.
La démarche doit être poursuivie sous contrôle de la DRIRE avec la participation de la DDASS en ce qui concerne les
impacts sur la santé. Il convient en particulier de retenir la démarche à suivre pour évaluer les risques, puis fixer les
objectifs de dépollution de manière à ce que ne subsistent plus de risques pour la santé et l'environnement.
Par ailleurs, le puits de Chanson le plus contaminé, a fait l'objet d'un arrêté préfectoral du 12/11/2001 interdisant son
utilisation à des fins d'alimentation en eau potable. Par ailleurs un arrêté municipal du 11/12/2002 a interdit l'utilisation
de l'eau des puits privés situés à l'intérieur d'un périmètre proche de cette source.
L'installation par la DDE de 6 piézomètres autour de la zone polluée a été faite en Mars 2003. Les premiéres mesures
ont été faites en Avril 2003. Elles confirment la présence de tétrachloroéthylène essentiellement localisé au sommet
de la nappe et que la plus forte concentration se trouve en direction du puits de Chanson. Ceci semble indiquer que la
source de pollution est toujours productive. D'autre part on note la présence de trichloroéthylène et de chlorure de
vinyle dans la nappe, ceci met en evidence un processus de dégradation.
Une étude détaillée des risques (EDR) selon le guide méthodologique du Ministère de l'Environnement a été réalisée
par la DDE (CETE). Elle conduit à évaluer les risques pour la santé humaine et les phénomènes de diffusion de cette
pollution.
L'EDR a été transmise à l'inspection le 18 décembre 2003.
L'étude réalisée montre :
- une migration de la pollution vers la nappe,
- que le volume de terre polluée est de 1000 m3,
- les migrations de la pollution vers la nappe ne sont pas terminées.
Des risques inacceptables pour la santé ne sont pas à exclure en particulier pour le puits Chanson. .Les excès de
risque calculés ne prennent pas en compte le chlorure de vinyle. Ces risques pourrait interdir pour de nombreuses
29/03/2012
années l'usage de la nappe pour la production d'eau potable.
L'inspection des Installations Classées a proposé en mars 2004
- que les travaux d'excavation des terres polluées soient faits rapidement afin d'éliminer la plus grosse partie de la
source de pollution ;
- de compléter l'EDR et en fixant un objectif de dépollution pour le sol et les eaux souterraines et d’étudier
l’opportunité de réaliser une dépollution de la nappe en utilisant le puits Chanson ;
- de renforcer la surveillance de la nappe (de façon trimestrielle et non semestrielle) sur site et hors site.
En juin 2004, le BRGM a émis un avis sur cette EDR qui va dans le même sens que celui de l'inspection des
Installations Classées c'est à dire que l'étude est notablement insuffisante et qu'elle doit être complétée.
En novembre 2004, l'inspection a reçu le rapport de dépollution du site. 1864 tonnes de terres polluées ont été
évacuées en centre de traitement biologique. Toutefois il est mentioné qu'après excavation des terres, les analyses
réalisées révèlent des teneurs supérieures aux valeurs guides sur le coté de la fouille.
29/03/2012
Presentation
du site
Département : 42
Auteur de la qualification : DREAL
Nom usuel du site : site industriel PEYRAVERNEY
Localisation :
Commune : SAINT PIERRE DE BOEUF
Code géographique de l'unité urbaine : 42000 : (142 641 habitants)
Précision : AUTRE
Adresse :
Lieu-dit : la Bascule
Nom du
Date du
cadastre
cadastre
Echelle
cadastrale
Section
cadastrale
N° de
parcelle
le cas échéant
Responsable(s) actuel(s) du site : SITE EN RECHERCHE DE RESPONSABILITE
Nom : Maître TORELLI
Les établissements PEYRAVERNEY SA situés au lieu dit "la Bascule" à Saint Pierre de Bœuf (une partie des locaux
est située sur la commune de Malleval) était réglementé par un arrêté préfectoral du 16/06/87 au nom de SNC
INTEXTIL pour un atelier de tissage visant notamment les rubriques 361 (compression/réfrigération) et 196 bis
(ourdissage /encollage de fibres d'origines végétales, artificielles ou synthétiques) de la nomenclature des installations
classées pour la protection de l'environnement.
Cette société a été mise en liquidation judiciaire en septembre 2001.
Le diagnostic initial de la qualité des sols établi en juillet 2004 (20 sondages) a mis en évidence la présence
d’hydrocarbures (zone du local chaufferie)et de trichloréthylène (1 sondage)
Un arrêté préfectoral du 27 décembre 2004 prescrit à Maitre TORRELLI, mandataire liquidateur, de faire réaliser une
surveillance des eaux souterraines ainsi qu'une évaluation simplifiée des risques.
Les résultats de cette ESR, basés sur un usage futur du site de type industriel ou artisanal, conduisent à un
classement du site en classe 1 : site nécessitant des investigations approfondies.
Un arrêté préfectoral du 19 octobre 2005 prescrit la réalisation des travaux préconisés par l'évaluation simplifiée à
savoir :
. l'excavation de certaines zones polluées (autour des pièzomètres)
. la dépollution des zones polluées
. la réalisation d'une quantification des terres polluées par sondages supplémentaires et sélection du mode de
dépollution le plus approprié après analyse comparative.
. la réalisation d'un diagnostic approfondi et d'une étude détaillée des risques ainsi qu’une surveillance des eaux
souterraines avec notamment la réalisation d'analyses sur le captage d'eau potable situé en aval le plus proche du
site.
En décembre 2006, un dossier de travaux de dépollution et d’enlèvement des déchets est déposé (complété en
dernier lieu en mai 2008) où il apparaît que l’ensemble des travaux réalisés a permis de dépolluer le site en le rendant
apte à de nouvelles activités industrielles ou tertiaires.
.les sources de pollution aux hydrocarbures ont été supprimées ;
.les matériaux (béton, terres) pollués au PCB ont été excavés ;
.les stockages de fioul lourd ont été démantelés ;
.les déchets dangereux ont été enlevés et traités
.les pollutions présentes dans les puits ont été traitées
Dans son rapport du 30/07/08, la DRIRE estime que les éléments transmis répondent aux exigences formulées par
l’article R.512-74 relatif à la cessation d’activité.
Par courrier du 28/11/08, la préfecture rappelle à la SEDL (nouveau propriétaire) ses obligations en matière de
surveillance des eaux souterraines.
29/03/2012
Annexe 6
Modélisation de la dispersion des polluants atmosphériques, Rapport
ARIA Technologies, Décembre 2012
Décembre 2012
DREAL Rhône-Alpes
Suivi Environnemental Global du Pays
Roussillonnais
Modélisation de la dispersion des polluants
atmosphériques
Références : Rapport ARIA/2012.063
Documents associés : Type de document : Rapport d'études
Avancement du document : Version 4
Accessibilité : Restreint
ARIA Technologies SA
8-10 rue de la Ferme 92100 Boulogne Billancourt
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- SIRET 379 180 474 00049 Code APE 6201Z RCS Nanterre B 379 180 474
© ARIA Technologies 2012
page 2
ARIA Technologies
Titre : Suivi Environnemental Global du Pays Roussillonnais
N° rapport ARIA
12.063
N° Action ARIA
11.126
Nombre de pages
153
Nombre de
figures
70
Nombre de
tableaux
Auteur(s)
ARIA Technologies, Anne-Sophie SAFFRE
Sous-traitants
-
Intérêt documentaire
Oui
Non
Accessibilité
49
Confidentielle
Libre
ARIA Technologies
Restreinte
Etat du document
Rédacteur
Nom/Date
Relecteur
Version V1
Anne-Sophie SAFFRE
Le 19/09/2012
Catherine SABASTIA
Le 13/09/2012
Version V2
Anne-Sophie SAFFRE
Le 15/10/2012
Catherine SABASTIA
Le 15/10/2012
Version V3
Anne-Sophie SAFFRE
Le 31/10/2012
Version V4
Anne-Sophie SAFFRE
Le 03/12/2012
DIFFUSION
DESTINATAIRES
ARIA Technologies
Archives
DREAL Rhône-Alpes
Date
6
03/12/12
2
Nombre DESTINATAIRES
1
Nombre
Nombre
DREAL Rhône-Alpes
1
page 3
SOMMAIRE
SOMMAIRE .................................................................................................................................. 3
TABLE DES ILLUSTRATIONS ........................................................................................................... 5
1.
INTRODUCTION ..................................................................................................................... 8
2.
DESCRIP
3.
UDE RETENUE POUR LA MODELISATION .................................. 9
............................................................................................................. 10
3.1 Topographie ................................................................................................................. 10
3.2 Occupation des sols ...................................................................................................... 10
3.3 Météorologie ................................................................................................................ 12
3.3.1
Données météorologiques .............................................................................................. 12
3.3.2
Analyse météorologique.................................................................................................. 13
3.3.2.1 Force et direction des vents ......................................................................................... 13
3.3.2.2 Stabilité atmosphérique ............................................................................................... 15
3.3.2.3 Températures ............................................................................................................... 16
3.3.2.4 Pluviométrie ................................................................................................................. 17
3.3.3
Synthèse : choix des données météorologiques retenues .............................................. 18
3.4 Emissions prises en compte ........................................................................................... 19
3.4.1
Emissions atmosphériques des industriels ...................................................................... 19
3.4.1.1 Méthodologie ............................................................................................................... 19
3.4.1.2 Emissions prises en compte dans la modélisation ....................................................... 20
3.4.3
Emissions atmosphériques liées au trafic routier ........................................................... 22
3.4.3.1 Méthodologie ............................................................................................................... 22
3.4.4
Emissions atmosphériques liées au secteur résidentiel/tertiaire ................................... 25
3.4.4.1 Méthodologie ............................................................................................................... 25
3.4.5
Synthèse des émissions en tonnes/an............................................................................. 27
4.
MODELISATION ................................................................................................................... 28
4.1 Méthodologie ............................................................................................................... 28
4.2 Description des modèles mis en
.......................................................................... 31
..................................................................... 31
4.2.1
4.2.2
..................................................................... 32
4.2.3
.................................................................. 32
..................................................................................... 33
4.3
4.3.1
Caractéristiques des espèces........................................................................................... 33
4.3.2
....................................................................................... 34
4.3.3
Grandeurs calculées ........................................................................................................ 34
4.3.4
Remarques ....................................................................................................................... 35
5.
RESULTATS DE MODELISATION ............................................................................................ 36
5.1 Points cibles.................................................................................................................. 36
5.2 Concentrations en moyenne annuelle............................................................................ 39
5.2.1
Rappel de la réglementation ........................................................................................... 39
5.2.2
Résultats au niveau du point le plus impacté .................................................................. 39
5.2.3
Résultats au niveau des points cibles .............................................................................. 41
5.2.4
Cartographies .................................................................................................................. 46
5.3 Dépôts au sol ................................................................................................................ 52
5.3.1
Réglementation ............................................................................................................... 52
DREAL Rhône-Alpes
page 4
5.3.2
Résultats au niveau du point le plus impacté .................................................................. 52
5.3.3
Résultats au niveau des points cibles .............................................................................. 53
5.3.4
Cartographies .................................................................................................................. 56
5.4 Comparaison avec les mesures du réseau de surveillance .............................................. 60
5.4.1
Rappel des données utilisées pour la modélisation ........................................................ 60
5.4.2
Mesures disponibles ........................................................................................................ 60
5.4.2.1 Stations fixes ................................................................................................................ 60
5.4.2.2 Campagnes de mesures spécifiques ............................................................................. 60
5.4.3
Comparaison modèle/mesures ....................................................................................... 62
5.4.3.1 Stations fixes du réseau de surveillance ATMO Rhône-Alpes ...................................... 62
5.4.3.2 Campagnes de mesures spécifiques ............................................................................. 63
5.4.4
Conclusion ....................................................................................................................... 66
6.
INCERTITUDES ..................................................................................................................... 67
6.1 Incertitudes liées au modèle : validation des modèles SWIFT, SPRAY et TRAMES ............ 67
6.1.1
SWIFT ............................................................................................................................... 67
6.1.2
SPRAY et TRAMES : étude de comparaison mesure /calcul sur la zoneindustrielle de FosBerre 67
........................................................................ 68
6.2
6.2.1
Incertitudes liées aux émissions ...................................................................................... 68
6.2.1.1 Emissions industrielles ................................................................................................. 68
6.2.1.2 Emissions liées au trafic routier ................................................................................... 69
6.2.1.3 Emissions liées au secteur tertiaire et au secteur résidentiel (source : ATMO RhôneAlpes) 69
6.2.1.4 Emissions non prises en compte................................................................................... 70
6.2.2
Incertitudes liées aux paramètres du modèle ................................................................. 70
7.
CONCLUSION ....................................................................................................................... 71
ANNEXE 1 : GENERALITES SUR LA POLLUTION ATMOSPHERIQUE ................................................. 74
ANNEXE 2 : DESCRIPTI
............................................................................... 80
ANNEXE 3 : CONCENTRATIONS AU NIVEAU DES POINTS CIBLES ................................................... 90
ANNEXE 4 : CARTES DE CONCENTRATION EN MOYENNE ANNUELLE ........................................... 105
ANNEXE 5 : DEPOTS AU NIVEAU DES POINTS CIBLES .................................................................. 131
ANNEXE 6 : CARTES DE DEPOTS ................................................................................................ 140
DREAL Rhône-Alpes
page 5
TABLE DES ILLUSTRATIONS
TABLEAUX
Tableau 1 : données météorologiques disponibles pour chaque station ............................................. 13
Tableau 2 : statistiques relatives à la pluviométrie ............................................................................... 17
Tableau 3 : choix des données météorologiques retenues .................................................................. 18
Tableau 4
........................................................................................................................................................ 20
Tableau 5 : récapitulatif des émissions atmosphériques des émissions en tonnes/an ........................ 20
Tableau 6 : récapitulatif des émissions atmosphériques des émissions en tonnes/an ........................ 24
Tableau 7 : récapitulatif des émissions atmosphériques des émissions du secteur résidentiel/tertiaire
en tonnes/an .................................................................................................................................. 25
Tableau 8 : paramètres de calcul des dépôts pour chacune des espèces étudiées.............................. 33
Tableau 9 : liste des grandeurs calculées dans l'étude ......................................................................... 34
Tableau 10 : points cibles Etablissements Sensibles ............................................................................. 37
Tableau 11 : points cibles Autres .......................................................................................................... 38
Tableau 12 : réglementation en vigueur en France pour la santé humaine ......................................... 39
Tableau 13 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) au niveau du point le plus impacté..... 40
Tableau 14 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) - Autres ............................................... 42
Tableau 15 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Etablissements Sensibles (ES) .......... 43
Tableau 16 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Cultures ............................................ 44
Tableau 17 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Habitations....................................... 45
Tableau 18 : valeurs limites de retombées atmosphériques totales de métaux lourds en Allemagne 52
Tableau 19 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) Point le plus impacté ................................ 53
Tableau 20 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) - Autres ........................................................ 54
Tableau 21 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) Etablissements Sensibles (ES) ................... 54
Tableau 22 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) - Cultures...................................................... 55
Tableau 23 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) Habitations................................................ 55
Tableau 24 : stations fixes ATMO Rhône............................. 60
Tableau 25
»
........................................................................................................................................................ 61
Tableau 26 : stations de mesures spécifiques ....................................................................................... 61
Tableau 27 : comparaison mesures/calculs (en µg/m3) stations fixes .................................................. 62
Tableau 28 : comparaison mesures/calculs étude CIRE/ATMO Rhône-Alpes.................................... 63
Tableau 29 : comparaison mesures/calculs
Cité ................................................................................................................................................. 65
Tableau 30 : comparaison mesures/calculs dépôts ........................................................................... 65
Tableau 31 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Autres ........................... 91
Tableau 32 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Cultures 1/4.................. 92
Tableau 36 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Etablissements Sensibles
1/2 .................................................................................................................................................. 97
Tableau 37 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Etablissements Sensibles
2/2 .................................................................................................................................................. 99
Tableau 38 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Habitations 1/3 .......... 100
Tableau 41 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Autres....................................................................... 132
Tableau 42 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Cultures 1/3 ............................................................. 132
Tableau 43 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Cultures 2/3 ............................................................. 133
DREAL Rhône-Alpes
Tableau 44 : dépôts en µg/m2/j
page 6
Points Cibles Cultures 3/3 ............................................................. 135
Points Cibles Etablissements Sensibles 1/2 ................................... 136
Points Cibles Etablissements Sensibles 2/2................................... 136
Points Cibles Habitations 1/3 ........................................................ 137
Points Cibles Habitations 2/3 ....................................................... 138
Points Cibles Habitations 3/3 ........................................................ 139
FIGURES
Figure 1
- carré de 20 km par 20 km (source : SCAN100 IGN) .................................. 9
Figure 2
: USGS)................................................................ 10
Figure 3 : occupation du sol (source : CORINE Land Cover 2006) ......................................................... 11
.............................................................................. 14
Figure 4
Figure 5 : rose des vents générale Station de « A7 Nord Isère » ....................................................... 14
Figure 6 : répartition des classes de vitesse de vent ............................................................................. 14
Figure 7 : bilan radiatif à la surface de la Terre - source Météo-France ............................................... 15
Figure 8 : répartition des observations en fonction de la stabilité atmosphérique.............................. 16
Figure 9
31/12/2010) ................................................................................................................................... 17
Figure 10 : pluviométrie moyenne mensuelle (période du 01/01/2008 au 31/12/2010) ................... 17
Figure 11 : rose des vents calculée à partir des échéances de pluie..................................................... 18
Figure 12 : rose des vents calculée à partir des échéances sans pluie.................................................. 18
Figure 13 : diagramme méthodologique pour le calcul des émissions ................................................. 22
Figure 14 : tronçons routiers pris en compte ........................................................................................ 23
Figure 15 : métho
............................................................................................. 30
Figure 16 : localisation des points récepteurs Cultures ........................................................................ 36
Figure 17 : localisation des points récepteurs Etablissements Sensibles.............................................. 37
Figure 18 : localisation des points récepteurs Autres ........................................................................... 38
Figure 19 : localisation des points récepteurs Habitations ................................................................... 38
Figure 20 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Dioxyde de soufre................. 47
Figure 21 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3)
..................... 48
3
Figure 22 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m ) Benzène ................................ 49
Figure 23 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Dichlorométhane.................. 50
Figure 24 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Cumène ................................ 51
Figure 25 : carte de dépôts en moyenne annuelle (en ng/m2/j) dioxines et furanes ........................ 57
Figure 26 : carte de dépôts en moyenne annuelle (en mg/m2/j) poussières PM10 .......................... 58
Figure 27 : carte de dépôts en moyenne annuelle (en ng/m2/j) Plomb............................................. 59
Figure 28 : score en erreur relatif des trois approches ......................................................................... 68
Figure 29 : phénomène «
» (source : AIRPARIF) ........................................................... 76
Figure 30
: CITEPA) ..................................................................... 77
Figure 31
éolienne au nord du Maroc............................................................................................................ 81
Figure 32
industriel de FOS-BERRE ................................................................................................................ 86
Figure 33 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en dioxyde de soufre.. 106
Figure 34 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en oxydes d'azote en
équivalent NO2 ............................................................................................................................ 107
Figure 35 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en poussières assimilées à
des PM10...................................................................................................................................... 108
des PM2,5..................................................................................................................................... 109
Figure 37 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en arsenic .................... 110
DREAL Rhône-Alpes
page 7
Figure 38 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en cadmium ................. 111
Figure 39 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en chrome III ............... 112
Figure 40 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en chrome VI ............... 113
Figure 41 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en mercure.................. 114
Figure 42 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en nickel ...................... 115
Figure 43 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en plomb ..................... 116
Figure 44 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en benzène ................. 117
Figure 45 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en Dichlorométhane ... 118
Figure 46 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en 1-2 Dichloroéthane 119
Figure 47 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en cumène .................. 120
Figure 48 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en formaldéhyde ........ 121
Figure 49 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en benzo(a)pyrène ...... 122
Figure 50 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en naphtalène ............. 123
Figure 51 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en fg/m3) en dioxines et furanes . 124
Figure 52 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en acétaldéhyde ......... 125
Figure 53 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en chlorométhane ...... 126
Figure 54 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en phénol .................... 127
Figure 55 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en acide chlorhydrique 128
Figure 56 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en baryum ................... 129
Figure 57 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en cuivre ..................... 130
Figure 58 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en arsenic ............................................................. 141
Figure 59 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en benzo(a)pyrène ............................................... 142
Figure 60 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en cadmium .......................................................... 143
Figure 61 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en chrome III......................................................... 144
Figure 62 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en chrome VI ........................................................ 145
Figure 63 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en dioxines et furanes .......................................... 146
Figure 64 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en naphtalène....................................................... 147
Figure 65 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en nickel................................................................ 148
Figure 66 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en plomb............................................................... 149
Figure 67 : cartographie des dépôts (en µg/m2/j) en poussières assimilées à des PM10 .................. 150
Figure 68 : cartographie des dépôts (en µg/m2/j) en poussières assimilées à des PM2,5 ................. 151
Figure 69 : cartographie des dépôts (en ng/m2/s) en baryum ............................................................ 152
Figure 70 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en cuivre ............................................................... 153
DREAL Rhône-Alpes
page 8
1. INTRODUCTION
La société BG Ingénieurs Conseils est missionnée par la DREAL Rhône-Alpes, unité territoriale de
l'Isère, pour la réalisation de la première phase de l'étude du Suivi Environnemental Global du Pays
Roussillonnais.
Dans le cadre de ce projet, ARIA Technologies intervient auprès de BG Ingénieurs Conseils pour la
réalisation des parties suivantes :
le calcul des émissions liées au trafic routier (cf. rapport ARIA/2011.092),
l
(cf. rapport ARIA/2012.162),
la modélisation de la dispersion des polluants atmosphériques intégrant toutes les sources
(cf. ce document),
l
existantes.
Ce document présente la modélisation de la dispersion des polluants atmosphériques. Les objectifs
de cette modélisation sont les suivants :
aider à la réalisation de campagnes de mesures complémentaires à prévoir dans
;
évaluer les contributions respectives des industriels et du bruit d
globale ;
réaliser ultérieurement une étude prospective de la contamination des milieux, au cours du
Le présent rapport a été établi sur la base des informations transmises à ARIA Technologies, des
données (scientifiques ou techniques) disponibles et objectives de la règlementation en vigueur au
moment de la réalisation du dossier.
fournies sont incomplètes ou erronées.
DREAL Rhône-Alpes
2. DESCRIPTION DE LA ZO
page 9
RETENUE POUR LA MODELISATION
quatre
départements
retenu pour la modélisation englobe les treize
savoir
Charnas, Sablons, Chanas, Serrières,
Figure 1
DREAL Rhône-Alpes
- carré de 20 km par 20 km (source : SCAN100 IGN)
page 10
3.
3.1
TOPOGRAPHIE
pas de 100 mètres. La Figure 2
fleuve, et en particulier au sud-o
725 mètres (contreforts ardéchois).
Figure 2 : topogra
3.2
altitude du sol peut atteindre
m.
: USGS)
OCCUPATION DES SOLS
ise en compte dans la modélisation. Elle est représentée sur la
figure ci-dessous. Les données utilisées proviennent de la base CORINE Land Cover 20061.
Les zones urbaines sont en rouge, les zones industrielles en violet et les zones agricoles en jaune et
en orange.
1
http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/
DREAL Rhône-Alpes
page 11
Figure 3 : occupation du sol (source : CORINE Land Cover 2006)
Légende
DREAL Rhône-Alpes
3.3
3.3.1
page 12
METEOROLOGIE
Données météorologiques
Les paramètres les plus importants pour les problèmes liés à la pollution atmosphérique sont :
la direction du vent ;
la vitesse du vent ;
la température extérieure ;
la pluviométrie ;
phénomènes atmosphériques à grande échelle (régime cyclonique ou anticyclonique) et de
suffisamment longues et complètes ;,
représentatives de la climatologie du site.
:
station « Albon » exploitée par Météo-France ;
stations « A7 Nord-Isère » et « Roussillon » exploitées par le réseau de surveillance de la
MO Rhône-Alpes.
estimer la classe de stabilité. La station Météo-France «Lyon Saint Exupéry » est la station la plus
cette station est
proche et la plus représentative disposant de cette information.
ajoutée à la liste précédente.
Le Tableau 1 résume les données en notre possession au début de
chacune des stations précédemment citées.
DREAL Rhône-Alpes
de zone (2011) pour
page 13
Tableau 1 : données météorologiques disponibles pour chaque station
Distance de la
zone
industrielle
Paramètres
Période
Cadence
Albon
environ 9 km
au sud
Vent (vitesse et
direction)
du 01/01/2008 au
31/12/2010
horaire
Lyon
St Exupéry
environ 45 km,
dans la vallée
du Rhône
Nébulosité
du 01/01/2008 au
31/12/2010
horaire
A7 NordIsère
environ 1,5 km
au nord-est
Vent (vitesse et
direction)
du 01/01/2008 au
31/12/2010
horaire
du 01/01/2008 au
31/12/2010
horaire
Station météorologique
Stations
MétéoFrance
Stations
ATMO
RhôneAlpes
Pluviométrie
Roussillon
environ 3 km
au Nord-Est
Température
Rayonnement
solaire direct
A noter que les données météorologiques ATMO Rhône-Alpes so
qui ne sont pas implantés selon les critères OMM2 (normes appliquées par Météo-France). Très
contrairement à Météo-France. ATMO Rhône-Alpes émet donc certaines réserves quant à leur
utilisation en modélisation.
entre elles et de faire le choix des données météorologiques à utiliser pour les simulations de la
dispersion des polluants atmosphériques.
3.3.2
3.3.2.1
Analyse météorologique
Force et direction des vents
A7 Nord-Isère », les Figure 4 et Figure 5
présentent les roses des vents pour chacune des stations sur la période du 01/01/2008 au
e chronique de 3 années est suffisamment longue pour mettre en évidence le
-EPA3. La
Figure 6 quant à elle présente la répartition des classes de vitesses de vent pour chacune des deux
stations.
2 OMM : Organisation Mondiale de Météorologie
3 Guidelines on Air Quality Models
DREAL Rhône-Alpes
Appendix W 40CFR Part 51(www.epa.gov/scram001/tt25htl#guidance)
page 14
Figure 4 : rose des vents générale
Figure 5 : rose des vents générale
Station de « A7 Nord Isère »
Nombre de données valides : 26134
Nombre de données invalides : 170 soit
0,07%
Vents calmes (< 0,9 m/s) : 18,1%
Nombre de données valides : 24446
Nombre de données invalides : 1858soit 7,6%
Vents calmes (< 0,9 m/s) : 34,1%
Figure 6 : répartition des classes de vitesse de vent
45%
40%
35%
30%
25%
20%
Albon
15%
A7
10%
5%
0%
vents
calmes
1 m/s
2 m/s
3 à 6 m/s
7 à 12 m/s
sup. à 12
m/s
Répartition des observations par classe de vitesse
Les principaux résultats de cette analyse sont les suivants :
Les roses des vents montrent deux directions privilégiées :
vents du Nord : 35,8 % des observations ont des directions de vent comprises entre 340° et
40°4 à Albon contre 50% à la station «A7 Nord-Isère»;
vents du Sud : 27,2 % des observations ont des directions de vent comprises entre 160° et
200° à Albon contre 31,4 % à la station «A7 Nord-Isère»;.
Les vents ont une vitesse moyenne de 8,3 km/h (2,3 m/s)
km/h (2 m/s) à la station «A7 Nord-Isère»;
Les vents faibles (vents 1 m/s) sont les plus souvent rencontrés : environ 33% du temps à
Albon contre 50% à la station «A7 Nord-Isère»;
Les vents forts (de vitesse supérieure à 13 m/s) ne sont pas observés sur la période étudiée
pour les deux stations.
4 Les directions du vent sont données en degrés par rapport au Nord et indiquent la direction d'où vient le vent
(convention météorologique internationale). Un vent de 0° est donc un vent venant du Nord, un vent de 180°
est un vent venant du Sud.
DREAL Rhône-Alpes
page 15
En conclusion :
la répartition des vitesses de vent est sensiblement la même pour les deux stations. La rose des vents
de la station ATMO Rhône-Alpes semble cependant présenter une orientation particulière influencée
par son environnement.
Les simulations de la dispersion des polluants atmosphériques seront réalisées à partir des
données de vents de la station Météodirection).
3.3.2.2
Stabilité atmosphérique
A partir des données météorologiques disponibles, il est possible de déterminer les classes de
stabilité suivant deux méthodes (méthodes décrites en Annexe 2) :
méthode dite « Vent
nébulosité ;
Nébulosité » qui nécessite de connaître la vitesse du vent et la
méthode dite « Rayonnement Vent - Nébulosité » qui nécessite de connaître en plus de la
vitesse et de la nébulosité le rayonnement net. Cette méthode utilise le rayonnement net le
jour et la nébulosité la nuit.
Afin de faire le lien entre le rayonnement solaire direct mesuré par le réseau de surveillance de la
-France sur leur site Internet5 (cf. Figure 7).
Sur cette figure, le rayonnement solaire global, égal au rayonnement solaire direct (120 W/m2) et
diffus (60 W/m2), est de 180 W/m2. Le rayonnement net est égal au rayonnement qui arrive au sol
(rayonnement global) moins ce qui repart, ce qui correspond sur la Figure 7 à 130 W/m2. Ainsi, on
rayonnement direct.
Figure 7 : bilan radiatif à la surface de la Terre - source Météo-France
5 http://www.meteo.fr/meteonet/decouvr/a-z/index_r.htm - définition du rayonnement solaire
DREAL Rhône-Alpes
page 16
Les diagrammes suivants présentent la répartition des observations en fonction de la stabilité
atmosphérique calculée à partir des deux méthodes présentées ci-dessus. La vitesse du vent a été
prise au niveau de la station de Albon.
Figure 8 : répartition des observations en fonction de la stabilité atmosphérique
45%
40%
35%
30%
25%
méthode dite « vent
nébulosité »
20%
15%
méthode dite « vent
rayonnement - nébulosité »
10%
5%
0%
A
B
C
D
E
Classe de stabilité de Pasquill
F
On constate que la répartition des classes de stabilité par les deux méthodes de calcul est
sensiblement identique.
La méthode « vent
rayonnement
nébulosité » sera retenue pour les simulations de la
dispersion des polluants atmosphériques car elle prend en compte des données plus locales
(rayonnement). Les données de rayonnement net seront issues des mesures du rayonnement
global de la station Roussillon (38)
ATMO RhôneAlpes et les données de nébulosité proviendront de la station Météo France de Lyon Saint Exupéry
(69).
observations.
% des
Les classes stables (classes E et F de Pasquill) sont également assez souvent observées sur le site
viron 40 % des observations, ce qui est peu favorable pour la
dispersion atmosphérique. Les atmosphères stables sont induites par des inversions thermiques près
du sol, conduisant à des panaches restant très concentrés sur de grandes longueurs.
3.3.2.3
Températures
Deux stations météorologiques mesurent la température : la station Roussillon du réseau de
Rhône-Alpes et la station MétéoRoussillon étant située en ville, les températures sont légèrement plus élevées que celles mesurées à
Pour cette raison, nous retiendrons les données de température de la station
La Figure 9 présente les variations de la température minimale, moyenne et maximale au cours de
DREAL Rhône-Alpes
Figure 9 : v
page 17
(période du 01/01/2008 au 31/12/2010)
50
40
30
20
T° maximale
10
T° minimale
0
T° moyenne
-10
-20
3.3.2.4
Pluviométrie
La pluviométrie étant un paramètre très local, la station de Roussillon du réseau de surveillance de la
-Alpes, a été prise en compte.
Tableau 2 : statistiques relatives à la
pluviométrie
Pluviométrie
annuelle (mm/an)
Figure 10 : pluviométrie moyenne mensuelle
(période du 01/01/2008 au 31/12/2010)
350
300
250
2008
611
2009
613
150
2010
661
100
Moyenne
200
50
0
On note qu'en moyenne sur la période étudiée (du 01/01/2008 au 31/12/2010), il est tombé environ
étant légèrement plus pluvieuse (cf. Tableau 2).
La rose des vents générale (cf. Figure 5) tient compte à la fois des journées avec pluie et sans pluie.
vents correspondantes.
DREAL Rhône-Alpes
page 18
Sur les trois années de temps considérées (du 01/01/2008 au 31/12/2010), il apparaît que :
Echéances avec pluie : il pleut environ 7,3% du temps (7,3% des observations correspondent à
des échéances pour lesquelles la pluviométrie est non nulle). La Figure 11 permet de constater
que, dans ces conditions, les vents proviennent principalement du Sud, et dans une moindre
mesure du Nord, i.e. des deux directions privilégiées de la rose des vents générale.
Echéances sans pluie : le reste du temps (92,7% des observations), les vents présentent les
directions privilégiées de la rose des vents générale (cf. Figure 12).
Figure 11 : rose des vents calculée à partir des
échéances de pluie
3.3.3
Figure 12 : rose des vents calculée à partir des
échéances sans pluie
Synthèse : choix des données météorologiques retenues
iques disponibles, les données
météorologiques retenues pour les simulations de la dispersion des polluants atmosphériques sont
résumées dans le tableau ci-dessous.
Tableau 3 : choix des données météorologiques retenues
Paramètre météorologique
Station retenue
Vent : vitesse et direction
station Météo-
Température
station Météo-
Pluviométrie
station de Roussillon du réseau de surveillance de la qualité de
-Alpes
Rayonnement
station Ro
Nébulosité
ATMO Rhône-Alpes
station Météo France de Lyon Saint Exupéry
Les données météorologiques utilisées pour la modélisation couvrent la période 2008 2010 au pas
horaire.
DREAL Rhône-Alpes
3.4
page 19
EMISSIONS PRISES EN COMPTE
Les émissions prises en compte
2, 20 km par 20 km) qui proviennent des trois types de sources :
les sources industrielles ;
les sources liées au trafic routier ;
les sources liées au secteur tertiaire et au secteur résidentiel.
Conformément au cahier des charges, les émissions concernant le transport ferroviaire, le transport
ompte.
35 substances traceurs de risque ont été retenues pour le compartiment Air par BG Ingénieurs
Conseils :
Dioxyde de soufre (SO2)
Antimoine
Oxydes d'azote (NOx éq.NO2)
Vanadium
Monoxyde de carbone
1-2 Dichloroéthane
Acide chlorhydrique
1,3 Butadiène
Poussières de diamètre inférieur ou
Acroléine
égale à 10 µm
Benzène
Chlorométhane
égale à 2,5 µm
Cumène
Dioxines et Furanes
Dichlorométane
Arsenic
Ethylbenzène
Baryum
Formaldéhyde
Cadmium
Phénol
Chrome III
Tetrachloroéthène
Chrome VI
Toluène
Cuivre
Trichloroéthylène
Mercure
Benzo(a)Pyrène
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
3.4.1
3.4.1.1
Emissions atmosphériques des industriels
Méthodologie
Les émissions atmosphériques des industriels ont été collectées par BG Ingénieurs Conseils par le
des données fournies par chacun des industriels
Cette base synthétise pour chaque industriel et chaque rejet industriel pour la période considérée
(2008 - 2010), les données suivantes :
sa localisation géographique ;
les caractéristique du rejet (type de source
;
la nature et la quantité de polluants émis ;
les conditions de fonctionnements (type de fonctionnement : continu, discontinu, les
DREAL Rhône-Alpes
page 20
BG 0779.01/RN004).
3.4.1.2
Emissions prises en compte dans la modélisation
Le Tableau 4
type (canalisées, surfaciques) compte tenu des substances traceurs de risque étudiées.
et par site industriel pour la modélisation
Tableau 4 : nombre de
Nombre de sources prises en compte
canalisées
surfaciques
Site Industriel
ACETEX
2
ADISSEO
2
AIRLIQUIDE
1
BLUESTAR
3
3
CCI
1
EUROFLOAT
10
GDE
1
1
NOVAPEX
4
7
OSIRIS
6
1
RHODIA
22
TERIS
2
TREDI
4
Les émissions retenues pour la modélisation sont présentées dans le Tableau 5.
Tableau 5 : récapitulatif des émissions atmosphériques des émissions en tonnes/an
Substances
Dioxyde de soufre (S02)
Dioxyde d'azote (Nox= NO2)
Monoxyde de carbone
Acide chlorhydrique
Poussières totales
égale à 10 µm
égale à 2,5 µm
Dioxines et Furannes
Arsenic
Baryum
Cadmium
Chrome
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
Nickel
Plomb
DREAL Rhône-Alpes
Sources
Ponctuelles
1.66E+03
1.79E+03
2.67E+02
8.96E+00
5.75E+01
0.00E+00
Sources
Surfaciques
0.00E+00
0.00E+00
0.00E+00
0.00E+00
6.36E+01
4.31E+01
TOTAL
0.00E+00
6.46E+00
6.46E+00
3.80E-08
8.41E-03
0.00E+00
1.15E-02
1.48E-01
1.24E-01
2.40E-02
3.68E-02
7.25E-02
1.76E-02
2.81E-02
1.39E-01
9.44E-10
9.04E-04
0.00E+00
5.83E-04
6.48E-03
5.83E-03
6.48E-04
2.97E-01
1.34E-03
5.73E-03
3.58E-03
2.16E-02
3.89E-08
9.32E-03
0.00E+00
1.21E-02
1.54E-01
1.30E-01
2.47E-02
3.34E-01
7.38E-02
2.33E-02
3.17E-02
1.60E-01
1.66E+03
1.79E+03
2.67E+02
8.96E+00
1.21E+02
4.31E+01
page 21
Substances
Antimoine
Vanadium
1-2 dichloroéthane
1,3 Butadiene
Acétaldéhyde
Acroléine
Benzène
Chlorométhane
Cumène
Dichlorométane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Phénol
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Benzo(a)Pyrène
Naphtalène
Sources
Ponctuelles
1.18E-02
7.02E-03
2.50E-03
0.00E+00
4.83E-01
2.00E-02
1.08E+00
2.76E+01
0.00E+00
6.93E-01
2.48E-01
1.60E+00
1.69E-01
1.27E-02
2.01E-01
3.38E-03
5.86E-04
4.56E-02
Sources
Surfaciques
0.00E+00
0.00E+00
4.53E-04
0.00E+00
2.25E-03
0.00E+00
6.15E+00
0.00E+00
1.26E+01
1.22E+00
4.49E-02
3.00E-03
9.55E+00
2.30E-03
3.79E-02
6.13E-04
6.53E-05
3.14E-02
suivantes ont donc été appliquées pour la spéciation CrIII/CrVI :
TOTAL
1.18E-02
7.02E-03
2.95E-03
0.00E+00
4.86E-01
2.00E-02
7.24E+00
2.76E+01
1.26E+01
1.91E+00
2.93E-01
1.60E+00
9.71E+00
1.50E-02
2.39E-01
3.99E-03
6.51E-04
7.70E-02
es hypothèses
un ratio de 31% de CrVI est retenu pour les installations de combustions de charbon 6;
un ratio de 10 % est retenu pour les installations d'incinération et les autres sources
d'émissions industrielles7
6
tranches charbon d'une
CBo/GICversionfinale
7
DREAL Rhône-Alpes
-EPA, «
Grande Installation
de
mpact sur la santé des rejets atmosphériques des
Combustion », INERIS-DRC-03-P45956/ERSA-n°93ASTEE-Nov.2003
3.4.3
3.4.3.1
page 22
Emissions atmosphériques liées au trafic routier
Méthodologie
8 (similaire au logiciel ADEME Impact) à partir :
des données de trafic (nombre de véhicules) ;
des vitesses moyennes des véhicules ;
du parc automobile ;
Figure 13 : diagramme méthodologique pour le calcul des émissions
A partir des données de trafic disponibles localement et du logiciel TREFIC, les émissions de polluants
atmosphériques liées au trafic routier ont été estimées
:
en situation normal de trafic ;
rapport ARIA 2011.092.
8 TREFIC 4.2 (TRaffic Emission Factors Improved Calculation), développé par la société italienne ARIANET, filiale
DREAL Rhône-Alpes
3.4.3.2
page 23
.
routiers présents dans le domaine
Figure 14 : tronçons routiers pris en compte
DREAL Rhône-Alpes
page 24
Les émissions liées au trafic routier retenues pour la modélisation sont présentées dans le Tableau 5.
Tableau 6 : récapitulatif des émissions atmosphériques des émissions en tonnes/an
Substances
Monoxyde de carbone
Acide chlorhydrique
égale à 10 µm
égale à 2,5 µm
Poussières totales
Arsenic
Baryum
Cadmium
Chrome*
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
Nickel
Plomb
Antimoine
Vanadium
1-2 dichloroéthane
1,3 Butadiene
Acétaldéhyde
Acétone
Acroléine
Benzène
Chlorométhane
Cumène
Dichlorométane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Phénol
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Benzo(a)Pyrène
Naphtalène
n.c. : non connu
Emissions en T/an
5.98E+00
1.09E+03
7.02E+02
5.80E+01
4.08E+01
2.36E-09
3.87E-01
9.02E-04
1.05E-02
n.c.
n.c.
6.41E-01
2.51E-02
1.02E-02
3.22E-02
1.00E-01
6.62E-03
9.27E-01
1.49E+00
3.83E-01
6.55E-01
1.91E+00
9.61E-01
2.94E+00
3.36E+00
6.58E-04
1.19E+00
*
A noter : les émissions prises en compte pour la modélisation sont plus élevées que celles présentées
lors du choix des composés traceurs qui ne comprenaient que les émissions des treize communes de la
Les émissions prises en compte dans la modélisation correspondent aux émissions de
du domaine de modélisation retenue, à savoir 20 km par 20 km.
DREAL Rhône-Alpes
3.4.4
3.4.4.1
page 25
Emissions atmosphériques liées au secteur résidentiel/tertiaire
Méthodologie
Les émissions liées au secteur résidentiel/tertiaire sont surfaciques. Elles regroupent :
pour le résidentiel, les émissions liées :
o
sanitaire, cuisson) ;
o
pour chacune de ces activités ;
o aux feux de jardin ;
Pour le tertiaire9, les émissions générées par
des bâtiments et aux autres usages (eau chaude sanitaire, cuisson, usages spécifiques de
Les émissions ont été fournies par ATMO Rhônerégulier de maille de 1 km par 1 km).
Pour plus de renseignement sur la méthodologie utilisée pour estimer ces émissions, nous invitons le
lecteur à se référer au document intitulé « Cadastre 2000-2008 des émissions atmosphériques en
Rhône-Alpes - Méthodologie et résultats » (janvier 2011) édité par ATMO Rhône-Alpes et disponible
sur le site http://www.air-rhonealpes.fr.
3.4.4.2
Les émissions du secteur résidentiel/tertiaire ont été prises en compte sous forme de 400 sources
surfaciques carrées de 1 000 m de côté.
Les émissions retenues pour la modélisation sont présentées dans le Tableau 7.
Tableau 7 : récapitulatif des émissions atmosphériques des émissions du secteur résidentiel/tertiaire
en tonnes/an
Substances
Monoxyde de carbone
Acide chlorhydrique
Poussières de diamètre inférieur ou égale à 10 µm
Poussières de diamètre inférieur ou égale à 2,5 µm
Poussières totales
Arsenic
Baryum
Cadmium
Chrome*
Emissions en T/an
9.13E+01
9.87E+01
1.96E+03
1.80E+02
1.77E+02
2.89E-08
3.44E-03
8.94E-04
1.98E-03
2.72E-02
9 Bureaux, Cafés Hôtels Restaurants , Commerces , Enseignement/Recherche , Santé , Habitat communautaire ,
Sport, culture et loisirs , Activités liées aux transports (logistique, transports en commun).
DREAL Rhône-Alpes
Substances
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
Nickel
Plomb
Antimoine
Vanadium
1-2 dichloroéthane
1,3 Butadiene
Acétaldéhyde
Acétone
Acroléine
Benzène
Chlorométhane
Cumène
Dichlorométane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Phénol
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Benzo(a)Pyrène
Naphtalène
page 26
Emissions en T/an
n.c.
n.c.
1.58E-02
7.81E-04
1.30E-02
1.02E-02
3.85E-02
1.54E-03
7.23E-04
5.96E+01
7.02E-03
4.71E-01
n.c. : non connu
*
A noter : les émissions prises en compte pour la modélisation sont plus élevées que celles présentées
lors du choix des composés traceurs qui ne comprenaient que les émissions des treize communes de la
l
a principal contribution aux émissions des sources résidentielles et tertiaires
provient du chauffage au bois (information fournie par ATMO Rhône-Alpes).
DREAL Rhône-Alpes
3.4.5
page 27
Synthèse des émissions en tonnes/an
Substances
Monoxyde de carbone
Acide chlorhydrique
Poussières totales
égale à 10 µm
égale à 2,5 µm
Poussières totales
Arsenic
Baryum
Cadmium
Chrome
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
Nickel
Plomb
Antimoine
Vanadium
1-2 dichloroéthane
1,3 Butadiene
Acétaldéhyde
Acétone
Acroléine
Benzène
Chlorométhane
Cumène
Dichlorométane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Phénol
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Benzo(a)Pyrène
Naphtalène
DREAL Rhône-Alpes
Domaine entier retenu pour la modélisation 20 km x 20 km
Industrie
Trafic
Chauffage
total
1.66E+03
5.98E+00
9.13E+01
1.75E+03
1.79E+03
1.09E+03
9.87E+01
2.98E+03
2.67E+02
7.02E+02
1.96E+03
2.93E+03
8.96E+00
8.96E+00
1.21E+02
1.21E+02
4.31E+01
5.80E+01
1.80E+02
2.81E+02
6.46E+00
4.08E+01
1.77E+02
2.24E+02
1.21E+02
3.89E-08
9.32E-03
0.00E+00
1.21E-02
1.54E-01
1.30E-01
2.47E-02
3.34E-01
7.38E-02
2.33E-02
3.17E-02
1.60E-01
1.18E-02
7.02E-03
2.95E-03
0.00E+00
4.86E-01
4.00E+01
2.00E-02
7.24E+00
2.76E+01
1.26E+01
1.91E+00
2.93E-01
1.60E+00
9.71E+00
1.50E-02
2.39E-01
3.99E-03
6.51E-04
7.70E-02
2.36E-09
2.89E-08
3.44E-03
8.94E-04
1.98E-03
2.72E-02
1.58E-02
7.81E-04
1.30E-02
1.02E-02
3.85E-02
1.54E-03
7.23E-04
5.96E+01
-
1.21E+02
7.02E-08
1.28E-02
3.88E-01
1.49E-02
1.92E-01
1.30E-01
2.47E-02
9.90E-01
7.46E-02
6.14E-02
5.21E-02
2.31E-01
1.14E-01
1.44E-02
2.95E-03
9.27E-01
1.98E+00
4.04E+01
6.75E-01
6.87E+01
2.76E+01
1.26E+01
1.91E+00
1.25E+00
4.54E+00
9.71E+00
1.50E-02
3.59E+00
3.99E-03
8.33E-03
1.74E+00
3.87E-01
9.02E-04
1.05E-02
6.41E-01
2.51E-02
1.02E-02
3.22E-02
1.00E-01
6.62E-03
9.27E-01
1.49E+00
3.83E-01
6.55E-01
1.91E+00
-
9.61E-01
2.94E+00
3.36E+00
6.58E-04
1.19E+00
7.02E-03
4.71E-01
page 28
4. MODELISATION
4.1
METHODOLOGIE
reconnus dans le monde par ses partenaires et clients aussi divers que la Ville de Paris, le Ministère
ARIA Technologies développe et maintien différents types de modèles pouvant être utilisés dans le
cadre de la dispersion de polluants gazeux et particulaires :
un modèle gaussien,
à long terme l'impact des rejets de sources industrielles (ponctuelles
et/ou diffuses). Le modèle ARIA impact, comme tous les modèles
gaussiens, peut être utilisé pour la modélisation autour de sites situés
dans des reliefs peu accidentés et sur lesquels les conditions
météorologiques sont homogènes.
un modèle ARIA Industry
bouffées (TRAMES) ou lagrangien à particules (SPRAY), selon
mis au point par ARIA Technologies et le
Turin et la société PICOdata de Milan. Contrairement aux
modèles gaussiens, ce modèle permet de prendre en compte
avec précision les champs météorologiques quelles que soient les conditions
atmosphériques et la nature du relief. Il est donc particulièrement adapté à des
modélisations de sites à topographie complexe, présentant des caractéristiques
météorologiques particulières.
un modèle ARIA Impact 3D version avec bâti incluant le modèle MSS (ou MICRO SWIFTSPRAY) : il permet ainsi de simuler la dispersion à petite échelle en
, selon un modèle lagrangien à particules, en un
temps de calcul très inférieur aux solutions CFD complètes. Grâce à un
temps de calcul relativement faible, cet outil permet de représenter
rapidement les distributions de concentration en présence d'obstacles
terme (moyenne annuelle, centile) des émissions.
Ces modèles sont largement utilisés et possèdent de nombreuses références et inter-comparaisons.
Les dossiers de validation des codes peuvent être fournis sur demande.
Dans le cadre de cette étude, plusieurs types de sources sont à prendre en compte :
;
des émissions diffuses (chauffage, trafic routier, agriculture) émises au niveau du sol.
DREAL Rhône-Alpes
page 29
Le modèle ARIA Industry a été retenu en choisissant deux modèles distincts pour la dispersion des
émissions :
pour les sources industrielles (canalisées et surfaciques) :
Le modèle lagrangien à particules SPRAY est retenu pour la modélisation des émissions de
type industriel. En effet, le code SPRAY permet de représenter avec une bonne précision les
panaches industriels. Les temps de calcul sont très longs mais néanmoins acceptables.
p
:
Le nombre de sources
SPRAY sur une période aussi longue (trois années de simulation). Il
faudrait en effet plusieurs mois de calcul pour modéliser une année complète de données
le modèle 3D à bouffées (TRAMES) a été retenu. Il est tout
météorolo
raisonnables.
La Figure 15 présente la méthod
DREAL Rhône-Alpes
DREAL Rhône-Alpes
Traitement de 3 ans de
données horaires
(26280 cas météo)
Figure 15 : m
page 30
4.2
page 31
DESCRIPTION DES MODEL
Deux mécanismes sont prépondérants dans la dispersion des polluants atmosphériques :
le transport du polluant par le vent (influence de la topographie et des conditions
climatiques) ;
la diffusion du polluant par la turbulence
turbulence qui reflète les fluctuations du panache par rapport au vent moyen (influence des
émissions et de la structure thermique).
La chaîne de calcul utilisé comprend des modèles numériques distincts et complémentaires :
un
:
;
un modèle de dispersion 3D (selon le type de sources modélisées) permettant de calculer les
trajectoires du polluant à partir du champ de vent tridimensionnel calculé par SWIFT, puis de
déterminer la dispersion du polluant autour des trajectoires :
: modèle lagrangien 3D à particules, pour la chaîne de calcul SWIFT/SPRAY ;
: modèle à bouffées gaussiennes, pour la chaîne de calcul SWIFT/TRAMES.
La modélisation de la dispersion des polluants atmosphériques a été réalisée en plusieurs étapes
successives :
Etape 1 : modélisation météorologique 3D. Un champ 3D complet de vent et de
température est calculé par le code
pour chaque échéance de la base de données
météorologiques (dans notre cas, 3 ans au pas horaire soit 26 271 cas) sur un domaine
suffisamment grand pour englober la station météorologique de référence et le domaine
Etape 2 : modélisation de la dispersion.
calcul de dispersion effectué avec le modèle
modèle
pour les autres sources
pour les sources industrielles et avec le
200
mètres.
Etape 3 : calcul statistique des concentrations et dépôts. Les concentrations et dépôts en
moyenne annuelle sont calculés en faisant les statistiques des valeurs horaires obtenues à
Les modèles sont décrits plus en détail en Annexe 4.
4.2.1
Le modèle numérique
, développé par EDF/Direction des Etudes et Recherches, permet de
calculer un champ de vent tridimensionnel répondant aux contraintes suivantes :
;
respecter les règles de base de la mécanique des fluides notamment la
conservation de la masse ;
être le plus proche possible des mesures disponibles in-situ.
DREAL Rhône-Alpes
page 32
mesures réalisées par EDF/DER ainsi que sur des mesures en soufflerie atmosphérique.
e
4.2.2
a deux fonctions essentielles :
Le modèle
le calcul de la trajectoire du polluant (transport par le vent) ;
le calcul de la dispersion du polluant autour de sa trajectoire et des concentrations
en polluant pour tous les points du domaine.
est un modèle lagrangien tridimensionnel pour la simulation de la dispersion des polluants
dans l'atmosphère. Il peut tenir compte
turbulence atmosphérique aussi bien dans l'espace (conditions hétérogènes) que dans le temps
(conditions non stationnaires). Il est en mesure de reconstruire des champs de concentration à partir
de sources ponctuelles, linéaires, surfaciques ou volumiques.
Le polluant est simulé par des "particules virtuelles" dont le mouvement dans un domaine
tridimensionnel est défini par le vent local et dont la dispersion est obtenue par la prise en compte
de fluctuations de vitesse aléatoires, solution des équations différentielles stochastiques, qui
reproduisent les caractéristiques de la turbulence atmosphérique locale. De cette façon, différentes
parties du panache émis peuvent "voir" différentes conditions atmosphériques, permettant des
simulations plus réalistes que des modèles gaussiens en conditions complexes :
vent calme,
inversion de température avec l'altitude,
impact avec une topographie prononcée,
dispersion sur des sites avec de fortes discontinuités spatiales de type "terre - mer" ou
"ville - campagne",
écoulement cisaillé dû à des obstacles et à des recirculations.
4.2.3
Le modèle
a deux fonctions essentielles :
le calcul de la trajectoire du polluant (transport par le vent) ;
le calcul de la dispersion du polluant autour de sa trajectoire et des concentrations
en polluant pour tous les points du domaine.
simule la dispersion du polluant par l'émission régulière de "bouffées" élémentaires
partant de la source que l'on peut comparer aux bouffées issues de la pipe d'un fumeur. Les bouffées
ont une taille qui évolue dans le temps en fonction de leur distance par rapport à la source et de la
stabilité atmosphérique. Le centre de la bouffée est un point de la trajectoire du polluant. Autour de
ce point, la concentration de la bouffée suit une répartition gaussienne.
DREAL Rhône-Alpes
4.3
M
4.3.1
page 33
ULATIONS
Caractéristiques des espèces
Le Tableau 8
valeurs utilisées dans le cadre de cette étude pour définir le
comportement des espèces modélisées.
Tableau 8 : paramètres de calcul des dépôts pour chacune des espèces étudiées
Polluant
Phase du
polluant
Dioxyde d'azote (NO2)
Monoxyde de carbone (CO)
PM1010
gazeuse
gazeuse
gazeuse
particulaire
Diamètre de
particules
(µm)
10,0
Vitesse de
dépôt sec
(cm/s)
0,2
1,3
Coefficient
de lessivage
(s-1)
1E-05
1E-05
1E-05
4E-04
PM2,511
Dioxines et Furanes
Métaux
Arsenic, Cadmium, Chrome
(CrIII et Cr VI), Manganèse,
Nickel, Plomb, Antimoine,
Vanadium
Mercure
COV
1-2 Dichloroéthane, 1,3
Butadiène, Acroléine,
Benzène, Cumène,
Dichlorométane,
Ethylbenzène,
Formaldéhyde, Phénol,
Tetrachloroéthène,
Toluène, Trichloroéthylène
Benzo(a)Pyrène
Naphtalène
particulaire
2,5
0,6
8E-05
particulaire
particulaire
1,3
5,0
0,05
0,10
1E-05
5E-05
gazeuse
gazeuse
-
0,05
-
1E-06
1E-05
particulaire
particulaire
1,3
1,3
0,05
0,05
1E-05
1E-05
Les diamètres et les valeurs de vitesse de dépôts secs sont issues des sources suivantes :
pour les dioxines : « Atmospheric particle size distributions of polychlorinated dibenzo- dioxins and dibenzofurans (PCDD/Fs) and polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs) and their
implications for wet and dry deposition », Heike Kaupp, Mickael S. McLachlan, Atmospheric
Environment Vol 33 (1999), 85-95 ;
pour les particules : « Underwood, AEA Technology, Harwell, 2001 : Review of Deposition
Velocity and washout coefficient »;
pour les autres polluants (polluants classiques et métaux lourds) : « Empirical atmospheric
deposition parameters a survey », T.A. McMahon, P. J. Denison, Atmospheric Environment
Vol 13 (1979), 571-585 .
10 Poussières de diamètre inférieur ou égal à 10 µm
11 Poussières de diamètre inférieur ou égal à 2,5 µm
DREAL Rhône-Alpes
page 34
4.3.2
Les principales hypothèses de calcul sont les suivantes :
une prise en compte du relief ;
une prise e
;
une prise en compte des vents calmes ;
le calcul des dépôts au sol et un lessivage du panache par la pluie ;
une maille de calcul de 200 mètres.
4.3.3
Grandeurs calculées
Le Tableau 9 p
Tableau 9 : liste des grandeurs calculées dans l'étude
Polluant
Grandeurs calculées
Dioxyde d'azote (NO2)
Monoxyde de carbone (CO)
PM1012
Concentration en moyenne annuelle
Dépôts totaux au sol
PM2,513
Dioxines et Furanes
Métaux
Arsenic, Baryum, Cadmium, Chrome, Cuivre, Mercure,
Manganèse, Nickel, Plomb, Antimoine, Vanadium
COV
1-2 Dichloroéthane, 1,3 Butadiene, Acide chlorhydrique,
Acétaldéhyde, Acroléine, Benzène, Chlorométhane,
Cumène, Dichlorométane, Ethylbenzène, Formaldéhyde,
Phénol, Tetrachloroéthène, Toluène, Trichloroéthylène
Benzo(a)Pyrène
Naphtalène
12 Poussières de diamètre inférieur ou égal à 10 µm
13 Poussières de diamètre inférieur ou égal à 2,5 µm
DREAL Rhône-Alpes
4.3.4
page 35
Remarques
1. Toutes les émissions de NOx ont considérées comme des NOx exprimées en équivalent NO2.
2. Cas du chrome
Pour les sources industrielles, les hypothèses suivantes ont été appliquées pour la spéciation
entre chrome III et chrome VI :
un ratio de 31% de CrVI est retenu pour les installations de combustions de
charbon14;
o un ratio de 10 % est retenu pour les installations d'incinération et les autres sources
d'émissions industrielles15.
Pour les autres sources (trafic routier et secteur résidentiel/tertiaire), aucune information
o
successivement à 100% au chrome III et à 100% au chrome VI.
3. La granulométrie des émissions de poussières a été prise en compte. Cependant, peu
:
o PM10 : seules 2 sources sont renseignées (1 source canalisée : broyeur GDE, 1 source
diffuse : CCI stockage charbon) ;
o PM2,5 : seules 2 sources sont renseignées (2 sources diffuses : atelier broyage
BLUESTAR, CCI stockage charbon).
Les hypothèses suivantes ont donc été retenues au niveau modélisation : 2 espèces
« poussières » seront modélisées :
o PM2,5 = PM sauf si des donnes PM2,5 sont disponibles
o PM10 = PM sauf si des donnes PM10 sont disponibles
14
-EPA, «
charbon d'une Grande Installation de Combustion », INERIS-DRC-03-P45956/ERSA-n°93-CBo/GICversionfinale
15
ASTEE-Nov.2003
DREAL Rhône-Alpes
page 36
5. RESULTATS DE MODELISATION
5.1
POINTS CIBLES
Les résultats sont présentés sous forme:
de cartes de concentrations ou de dépôts au sol, à l'échelle de la zone d'étude pour les
polluants caractéristiques ;
de tableaux présentant les concentrations ou les dépôts au sol (impact global de
au
niveau des points sensibles retenus.
88 points récepteurs ont été retenus répartis en 4 catégories :
20 établissements sensibles : crèches, écoles, collèges et lycées, maison de retraite et hôpitaux ;
35 zones de cultures : potagers, vergers et cultures, répertoriés dans le cadre de l'enquête de
terrain ;
habitats ;
4 autres points comprenant les points cibles retenus dans le cadre des Evaluation des Risques
Sanitaires (ERS) réalisées pour les installations industrielles, et non pris en compte dans les 3
catégories précédentes.
Les Figure 16 à Figure 19 localisent ces 88 points pour chacune des catégories précédemment citées.
Les Tableau 10 et Tableau 11 décrivent plus précisément les points cibles Etablissements Sensibles et
Autres.
Figure 16 : localisation des points récepteurs Cultures
DREAL Rhône-Alpes
page 37
Figure 17 : localisation des points récepteurs Etablissements Sensibles
Description
Crèche Les petits Loups / Saint-Rambert d'Albon
Ecole primaire / Peyraud
Garderie périscolaire et centre de loisirs / Sablons
Ecole maternelle / Chanas
Collège de Salaise-su-Sanne / Salaise-sur-Sanne
Pôle et maison de l'enfance / Salaise-sur-Sanne
Ecole maternelle publique / Limony
Ecole primaire et maternelle Joliot curie / Salaise-sur-Sanne
Lycée professionnel / Le Péage de Roussillon
Ecole primaire et maternelle Langevin / Roussillon
Lycée, lycée professionnel, collège de l'Edit / Roussillon
Ecole primaire et maternelle Jeanne D'Arc / Le Péage de Roussillon
Ecole primaire publique / Saint--Pierre-deEcole maternelle et primaire Port Vieux / Saint-Maurice l'Exil
Ecole maternelle et primaire Givray / Saint-Maurice l'Exil
Ecole primaire Floréal / Salaise-sur-Sanne
Ecole primaire et maternelle Bayard / Le Péage de Roussillon
Ecole Primaire et maternelle Ollier / Le Péage de Roussillon
Crèche Halte garderie, la Souris Verte / Le Péage de Roussillon
Ecole maternelle Les Ayencins / Le Péage de Roussillon
DREAL Rhône-Alpes
Identifiant
ES 1
ES 2
ES 3
ES 4
ES 5
ES 6
ES 7
ES 8
ES 9
ES 10
ES 11
ES 12
ES 13
ES 14
ES 15
ES 16
ES 17
ES 18
ES 19
ES 20
Tableau 10 : points cibles Etablissements Sensibles
DREAL Rhône-Alpes
Figure 19 : localisation des points récepteurs Habitations
Description
Piscine Péage de Roussillon
Place des cités Roussillon
R4 Roussillon Résidentiel
Hypermarché Carrefour
Salaise/Sanne
Figure 18 : localisation des points récepteurs Autres
Identifiant
Autres 1
Autres 2
Autres 3
Autres 4
Tableau 11 : points cibles Autres
page 38
5.2
page 39
CONCENTRATIONS EN MOYENNE ANNUELLE
5.2.1
Rappel de la réglementation
Les grandeurs calculées par la modélisation sont comparables aux valeurs réglementaires exprimées
présentées dans le tableau ci-dessous.
Tableau 12 : réglementation en vigueur en France pour la santé humaine
Valeur limite (ou * = Valeur Cible)
Dioxyde de soufre SO2
Dioxyde d'azote NO2
Particules fines <10 µm PM10
Particules fines <2,5 µm PM2,5
Monoxyde de carbone CO
Benzène
Plomb Pb
Arsenic As
Cadmium Cd
Nickel Ni
Benzo(a)Pyrène BaP
40 µg/m3
29 µg/m3 en 2010
25 µg/m3 en 2015
10 000 µg/m3
(Max journalier de la moyenne
glissante 8 heures)
5 µg/m3
500 ng/m3
6* ng/m3
5* ng/m3
20* ng/m3
1 ng/m3
Objectif de qualité
50 µg/m3
40 µg/m3
30 µg/m3
2 µg/m3
250 ng/m3
Objectif de qualité : un niveau de concentration de substances polluantes dans l'atmosphère à
atteindre à long terme, sauf lorsque cela n'est pas réalisable par des mesures proportionnées,
afin d'assurer une protection efficace de la santé humaine et de l'environnement dans son
ensemble ;
Valeur limite : un niveau de concentration de substances polluantes dans l'atmosphère fixé sur
la base des connaissances scientifiques à ne pas dépasser dans le but d'éviter, de prévenir ou de
réduire les effets nocifs de ces substances sur la santé humaine ou sur l'environnement dans son
ensemble ;
Valeur cible : un niveau de concentration de substances polluantes dans l'atmosphère fixé dans
le but d'éviter, de prévenir ou de réduire les effets nocifs sur la santé humaine ou sur
l'environnement dans son ensemble, à atteindre, dans la mesure du possible, dans un délai
donné.
A noter que, pour le dioxyde de soufre, il existe un niveau critique pour la protection de la végétation
de 20 µg/m³ en moyenne annuelle et hivernale.
5.2.2
Résultats au niveau du point le plus impacté
Le Tableau 13 présente les valeurs calculées en moyenne annuelle au niveau du point impacté. A
noter que ce point est différent en fonction des substances.
DREAL Rhône-Alpes
page 40
Tableau 13 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) au niveau du point le plus impacté
Substances
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Cumène
Dichlorométhane
1,2 dichloroéthane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Phénol
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
Concentration
totale en
3
µg/m
Concentration
dues aux
sources
industrielles
3
en µg/m
1.9E-01
7.7E-02
2.1E-04
4.9E-02
8.7E-04
1.2E-01
2.3E+00
2.1E-04
2.7E+03
5.7E+00
2.2E-03
2.1E-03
8.1E-02
2.4E-03
2.1E-01
4.6E-04
1.1E-01
1.3E+00
3.5E-02
2.3E-04
3.4E-03
4.1E-01
1.6E-03
4.2E+03
5.2E-03
8.4E-09
4.0E+00
1.8E+02
1.3E+02
1.3E-02
2.1E+01
2.9E-02
5.5E-01
7.7E-03
8.7E-04
3.5E-02
9.0E-05
1.7E-04
0.0E+00
7.8E-04
0.0E+00
9.6E-04
1.6E-04
3.8E-01
5.7E+00
8.5E-05
9.5E-06
2.1E-05
2.4E-03
2.1E-01
4.6E-04
2.8E-04
1.2E+00
3.5E-02
2.2E-04
1.5E-05
3.7E-01
1.6E-05
2.6E+00
1.8E-04
5.0E-12
4.0E+00
9.0E-05
1.3E-06
5.0E-06
1.7E+00
2.9E-02
4.6E-01
7.7E-03
4.0E-06
Localisation
Salais
Salaise/Sanne (sud de la zone portuaire)
Salaise/Sanne (sud de la plate-forme)
Salaise/Sanne (plate-forme)
Salaise/Sanne (sud de la plate-forme)
Roussillon (le long
Pour tous les points présentés, les concentrations en moyenne annuelle sont inférieures aux valeurs
réglementaires pour la santé humaine excepté pour les poussières (PM10 et PM2,5).
DREAL Rhône-Alpes
page 41
A noter que le niveau critique pour la protection de la végétation pour le dioxyde de soufre est
Les résultats montrent que :
pour
le cumène, le chlorométhane, le 1,2 dichloroéthane, le
;
le formaldéhyde, le mercure, le naphtalène, le toluène,
plus de 80
;
;
oins de 10% de
5.2.3
Résultats au niveau des points cibles
Les Tableau 14 à Tableau 17 présentent les valeurs calculées en moyenne annuelle au niveau du
point présentant les concentrations les plus élevées pour chaque catégorie de récepteurs choisis (cf.
paragraphe 5.1) sélectionnés par BG Ingénierie.
identique (les sources émettrices
Pour tous les
points présentés, les concentrations en moyenne annuelle sont inférieures aux valeurs
réglementaires.
sur l
NO/NO2
Les résultats au niveau des 88 points cibles sont présentés en Annexe 3.
au niveau des points cibles Autres :
o pour
chlorhydrique, le phénol, le cumène, le chlorométhane, le 1,2
dichloroéthane, le dichlorométhane, le tetrachloroéthylène et le trichloroéthylène,
n cohérence avec les émissions) ;
o pour toutes les autres espèces (exceptés le dioxyde de soufre, le mercure, le
;
au niveau des points cibles Etablissements Sensibles :
o
, le cumène, le chlorométhane, le 1,2
o pour le dioxyde de soufre, le formaldéhyde et le mercure,
représente
;
o pour toutes les autres substances (exceptés
global ;
au niveau des points cibles Cultures :
o
o pour le dioxyde de soufre, le formaldéhyde et
représente
;
DREAL Rhône-Alpes
o
page 42
pour toutes les autres substances (exceptés
représente
global ;
au niveau des points cibles Habitations :
o
environ
o p
;
o p
de
;
o p
Tableau 14 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) - Autres
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chrome
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Cumène
Chlorométhane
Dichlorométhane
1,2 dichloroéthane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
1.5E-01
6.2E-02
7.4E-05
3.8E-02
1.5E-04
9.7E-02
1.2E+00
1.5E-04
1.0E+02
1.6E-03
1.6E-03
1.4E-03
6.4E-02
1.4E-05
1.1E+00
1.7E-02
6.6E-06
8.8E-02
3.1E-01
1.6E-02
3.3E-05
2.6E-03
1.1E-01
1.2E-03
1.3E+02
3.9E-03
7.0E-10
4.2E-03
9.8E-05
8.7E-06
1.4E-06
1.8E-02
2.9E-05
6.9E-01
1.9E-04
1.7E-04
1.9E-05
5.5E-05
1.4E-05
1.1E+00
1.7E-02
6.6E-06
3.2E-04
2.3E-02
1.6E-02
6.9E-06
1.6E-05
4.2E-04
2.7E-05
2.6E+00
2.6E-04
1.4E-11
DREAL Rhône-Alpes
Emplacement
Place des cités
Place des cités
Place des cités
Place des cités
Place des cités
Substances
Phénol
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
page 43
Concentration
totale en µg/m3
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
1.3E-01
1.3E-01
6.9E+00
2.2E-04
5.5E+00
1.9E-05
9.9E-03
8.4E-06
4.0E+00
1.3E+00
1.2E-04
1.2E-04
3.2E-01
9.0E-04
3.1E-05
3.1E-05
6.8E-04
4.6E-06
Emplacement
Place des cités
Tableau 15 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Etablissements Sensibles (ES)
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Cumène
Chlorométhane
Dichlorométhane
1,2 dichloroéthane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
1.7E-01
7.2E-02
1.0E-04
4.1E-02
1.8E-04
1.1E-01
1.3E+00
1.7E-04
1.2E+02
1.8E-03
1.7E-03
6.8E-02
2.0E-05
1.0E+00
3.8E-02
2.1E-05
1.1E-01
3.4E-01
1.4E-02
4.8E-05
2.8E-03
1.2E-01
1.4E-03
1.3E+02
4.3E-03
DREAL Rhône-Alpes
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
3.4E-03
1.0E-04
2.2E-05
1.1E-06
6.2E-03
5.4E-05
5.0E-01
9.9E-05
1.1E-05
3.4E-05
2.0E-05
1.0E+00
3.8E-02
2.1E-05
3.9E-04
1.5E-02
1.4E-02
1.5E-05
1.9E-05
2.6E-04
2.0E-05
3.0E+00
2.2E-04
Emplacement
ES 8
ES 8
ES 12
ES 8
ES 8
ES 8
ES 11
ES 12
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 9
ES 9
ES 9
ES 3
ES 8
ES 8
ES 10
ES 12
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
page 44
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Phénol
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
8.0E-10
2.0E-01
8.0E+00
6.5E+00
1.1E-02
7.4E+00
2.9E-04
3.8E-01
7.7E-05
7.3E-04
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
1.1E-11
2.0E-01
2.6E-04
2.4E-05
6.4E-06
3.9E+00
2.9E-04
5.7E-04
7.7E-05
3.9E-06
Emplacement
ES 11
ES 9
ES 8
ES 8
ES 8
ES 12
ES 3
ES 8
ES 3
ES 8
Tableau 16 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Cultures
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
Emplacement
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Cumène
Chlorométhane
Dichlorométhane
1,2 dichloroéthane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
1.2E-01
5.0E-02
1.0E-04
2.6E-02
1.6E-04
7.4E-02
1.3E+00
1.8E-04
8.4E+01
1.6E-03
1.3E-03
4.3E-02
2.1E-04
4.5E+00
1.3E-01
1.4E-04
7.7E-02
4.0E-01
1.6E-02
8.0E-05
1.8E-03
8.1E-02
9.2E-04
4.6E-03
1.3E-04
3.0E-05
2.0E-06
2.4E-01
7.7E-05
7.1E-01
3.8E-04
4.2E-05
8.7E-05
2.1E-04
4.5E+00
1.3E-01
1.4E-04
5.4E-04
3.2E-01
1.6E-02
7.1E-05
2.4E-05
6.9E-04
2.6E-05
Cultures 25
Cultures 25
Cultures 4
Cultures 34
Cultures 26
Cultures 25
Cultures 1
Cultures 4
Cultures 25
Cultures 28
Cultures 26
Cultures 34
Cultures 12
Cultures 23
Cultures 10
Cultures 17
Cultures 25
Cultures 23
Cultures 26
Cultures 17
Cultures 25
Cultures 25
Cultures 25
DREAL Rhône-Alpes
page 45
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
Oxydes d'azote
Plomb
Phénol
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
8.2E+01
3.0E-03
7.4E-10
3.2E+00
5.5E+00
4.7E+00
6.7E-03
8.8E+00
3.1E-03
2.8E-01
8.2E-04
4.7E-04
4.5E+00
2.5E-04
1.9E-11
3.2E+00
3.7E-04
6.9E-05
1.5E-05
7.6E+00
3.1E-03
1.5E-03
8.2E-04
4.9E-06
Emplacement
Cultures 25
Cultures 25
Cultures 26
Cultures 10
Cultures 25
Cultures 25
Cultures 34
Cultures 22
Cultures 17
Cultures 25
Cultures 17
Cultures 25
Tableau 17 : concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Habitations
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
Emplacement
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Cumène
Chlorométhane
Dichlorométhane
1,2 dichloroéthane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
1.2E-01
5.2E-02
1.0E-04
3.3E-02
1.8E-04
8.1E-02
1.3E+00
1.8E-04
9.3E+01
1.6E-03
1.3E-03
5.5E-02
8.4E-05
1.7E+00
1.1E-01
7.9E-05
7.6E-02
2.5E-01
1.6E-02
5.9E-05
2.3E-03
2.6E-03
8.0E-05
3.0E-05
6.9E-05
2.4E-01
7.8E-05
4.0E-01
3.5E-04
3.9E-05
4.2E-05
8.4E-05
1.7E+00
1.1E-01
7.9E-05
4.0E-04
2.7E-02
1.6E-02
4.4E-05
1.4E-05
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 3
Habitations 14
Habitations 27
Habitations 14
Habitations 24
Habitations 3
Habitations 14
Habitations 29
Habitations 21
Habitations 14
Habitations 7
Habitations 27
Habitations 24
Habitations 28
Habitations 13
Habitations 13
Habitations 21
Habitations 27
Habitations 14
DREAL Rhône-Alpes
page 46
Substances
Concentration
totale en µg/m3
Concentration dues
aux sources
industrielles en
µg/m3
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Phénol
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
9.1E-02
1.0E-03
1.1E+02
3.4E-03
7.3E-10
1.0E+00
6.1E+00
4.9E+00
8.5E-03
8.7E+00
2.8E-03
2.7E-01
7.4E-04
5.9E-04
1.6E-04
2.1E-05
1.9E+00
2.1E-04
2.0E-11
1.0E+00
1.9E-04
1.4E-05
6.8E-06
7.6E+00
2.8E-03
1.2E-03
7.4E-04
3.9E-06
5.2.4
Emplacement
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 21
Habitations 24
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 27
Habitations 27
Habitations 13
Habitations 27
Habitations 14
Cartographies
Les Figure 20 à Figure 24 présentent les cartes des concentrations en moyenne annuelle pour quatre
substances :
le dioxyde de soufre émis majoritairement par les sources industrielles ;
l
;
le benzène émis majoritairement par le secteur tertiaire et résidentiel ;
le dichlorométhane émis uniquement par les sources industrielles ;
le cumène émis uniquement par les sources industrielles.
DREAL Rhône-Alpes
page 47
Figure 20 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Dioxyde de soufre
DREAL Rhône-Alpes
page 48
Figure 21 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3)
DREAL Rhône-Alpes
page 49
Figure 22 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Benzène
Compte-tenu des émissions prises en compte (cf. paragraphe 3.4
elles
et tertiaires est majoritaire devant celui des autres sources. Rappelons que les émissions associées
-Alpes
2008 au pas kilométrique.
DREAL Rhône-Alpes
page 50
Figure 23 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Dichlorométhane
DREAL Rhône-Alpes
page 51
Figure 24 : carte de concentration en moyenne annuelle (en µg/m3) Cumène
DREAL Rhône-Alpes
5.3
5.3.1
page 52
DEPOTS AU SOL
Réglementation
Il n'existe pas de valeurs limites fixées par une réglementation européenne ou française concernant
les dépôts de particules sédimentables. Néanmoins quelques pays ont fixé des valeurs limites
admissibles des dépôts en poussières sédimentables pour l'environnement16 :
la Suisse : 200 mg/m²/jour = 730 kg/ha/an
l'Allemagne : 350 mg/m²/jour = 1270 kg/ha/an
On peut également mentionner la valeur seuil proposée pour différencier une zone dite faiblement
polluée d'une zone fortement polluée par la norme française NF X 43007 concernant les mesures de
"retombées" par la méthode des plaquettes de "dépôts". Une zone dite faiblement polluée est une
zone sur laquelle il se dépose moins de 1000 mg/m²/jour soit 3650 kg/ha/an. Cette valeur est très
élevée comparée aux valeurs obtenues par les simulations.
Les retombées atmosphériques de métaux lourds ne sont pas réglementées en France. Certains pays
Tableau 18 : valeurs limites de retombées atmosphériques totales de métaux lourds en Allemagne
Valeurs limites TA Luft 2002
Cadmium
Mercure
Arsenic
Plomb
Nickel
Thallium
Retombées en ng/m2/j
2000
1000
4000
100000
15000
2000
dépôts au sol de dioxines/furanes. Cependant
pour les dioxines/furanes, des valeurs typiques peuvent servir de référence telles que celles
17
(NOMINE, 1999) :
zone rurale : 5 à 20 pg I-TEQ/m2/jour ;
zone urbaine : 10 à 85 pg I-TEQ/m2/jour ;
-TEQ/m2/jour.
5.3.2
Résultats au niveau du point le plus impacté
Le Tableau 19 présente les valeurs calculées en moyenne annuelle au niveau du point impacté. A
noter que ce point est différent en fonction des substances.
16 Dépôt de poussières au voisinage des tunnels routiers
du Logement Direction des route, 1999, p.21
17
Direction
des Risques Chroniques, 2001, p.7
DREAL Rhône-Alpes
page 53
Tableau 19 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) Point le plus impacté
Substances
dépôts (en µg/m2/j)
dépôts dus aux
sources
industrielles (en
µg/m2/j)
Arsenic
3.7E-02
2.9E-02
Baryum
Benzo(a)pyrène
4.8E+00
1.2E-02
1.3E-03
Cadmium
8.7E-02
7.8E-02
Chrome III
6.2E-01
5.2E-01
Chrome VI
Cuivre
2.3E-01
8.0E+00
5.8E-02
1.9E-01
Mercure
2.4E-03
1.8E-03
Manganèse
Naphtalène
Nickel
3.4E-01
5.8E+00
1.7E-01
4.4E-02
5.3E-01
7.9E-02
Plomb
1.0E+00
8.9E-01
Salaise/Sanne
(sud de la zone portuaire)
Dioxines et Furanes
Poussières PM10
Poussières PM2,5
1.4E-08
5.9E+03
4.2E+03
8.7E-09
1.3E-01
1.7E-03
Fé
Antimoine
1.2E+00
4.5E-02
Vanadium
8.7E-02
1.9E-02
Localisation
Le Péage de Roussillon
(nord de la plate-forme)
Salaise/Sanne
(sud de la zone portuaire)
et le plomb,
;
négligeable.
5.3.3
Résultats au niveau des points cibles
Les Tableau 20 à Tableau 23 présentent les valeurs calculées en moyenne annuelle au niveau du
point présentant les dépôts les plus élevés pour chaque catégorie de récepteurs choisis (Autres,
Cultures, Habitats et ERP) sélectionnés par BG Ingénierie. A noter que, selon les substances, ce point
Les résultats au niveau des 88 points cibles sont présentés en annexe.
DREAL Rhône-Alpes
page 54
au niveau des points cibles « Autres » :
pour toutes les substances. La contribution la plus importante se trouve pour le cadmium et
(environ 20%).
Au niveau des points cibles « Etablissements sensibles »,
50% de
10% p
Au niveau des points cibles « Cultures »
plomb, environ 40% pour le mercure et le nickel, autour de 10% pour les dioxines/furanes.
Au niveau des points cibles « Habitations »,
, et autour de
négligeable.
Tableau 20 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) - Autres
Substances
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
1.1E-02
3.8E+00
7.0E-03
1.7E-02
1.8E-01
1.5E-01
6.3E+00
1.5E-03
2.6E-01
4.6E+00
1.2E-01
4.2E-01
1.1E-08
8.0E+03
2.9E+03
9.8E-01
6.8E-02
dépôts dus aux sources
industrielles (en µg/m2/j)
2.4E-03
9.9E-05
4.1E-03
2.8E-02
3.1E-03
8.7E-03
3.2E-04
3.0E-03
8.7E-03
4.7E-03
4.8E-02
3.2E-10
2.2E-01
1.5E-03
2.0E-03
1.0E-03
Emplacement
Place des cités
Place des cités
Place des cités
Tableau 21 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) Etablissements Sensibles (ES)
Substances
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
1.4E-02
4.0E+00
8.0E-03
2.4E-02
2.2E-01
1.9E-01
6.7E+00
2.1E-03
DREAL Rhône-Alpes
4.4E-03
8.6E-05
1.3E-02
6.9E-02
7.7E-03
1.1E-02
6.8E-04
Emplacement
ES 12
ES 8
ES 8
ES 9
ES 12
ES 8
ES 8
ES 12
page 55
Substances
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
2.9E-01
5.2E+00
1.4E-01
4.9E-01
1.2E-08
9.2E+03
3.5E+03
1.0E+00
7.4E-02
4.2E-03
5.3E-03
5.0E-03
6.2E-02
3.5E-10
2.8E-01
1.8E-03
2.2E-03
1.3E-03
Emplacement
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
ES 8
Tableau 22 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) - Cultures
Substances
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
2.8E-02
2.5E+00
7.3E-03
6.2E-02
4.6E-01
1.5E-01
4.2E+00
2.2E-03
1.9E-01
3.5E+00
1.2E-01
6.4E-01
8.0E-09
6.4E+03
2.6E+03
6.6E-01
4.8E-02
2.3E-07
1.5E-09
6.1E-07
4.1E-06
4.5E-07
1.2E-02
8.2E-04
5.3E-03
1.4E-02
5.4E-02
4.6E-01
9.8E-10
3.4E-01
3.1E-03
3.1E-03
1.5E-03
Emplacement
Cultures 10
Cultures 34
Cultures 26
Cultures 10
Cultures 10
Cultures 26
Cultures 34
Cultures 4
Cultures 25
Cultures 25
Cultures 10
Cultures 10
Cultures 34
Cultures 25
Cultures 25
Cultures 34
Cultures 25
Tableau 23 : dépôts en moyenne annuelle (en µg/m2/j) Habitations
Substances
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome III
Chrome VI
Cuivre
Mercure
Manganèse
1.8E-02
3.2E+00
7.3E-03
3.4E-02
2.7E-01
1.5E-01
5.4E+00
2.2E-03
2.3E-01
DREAL Rhône-Alpes
9.3E-03
3.5E-04
2.4E-02
1.6E-01
1.8E-02
7.7E-03
8.3E-04
2.5E-03
Emplacement
Habitations 24
Habitations 14
Habitations 29
Habitations 24
Habitations 29
Habitations 21
Habitations 14
Habitations 3
Habitations 14
page 56
Substances
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
4.0E+00
1.1E-01
4.2E-01
9.2E-09
7.0E+03
2.7E+03
8.4E-01
5.9E-02
5.3.4
4.6E-03
3.2E-03
2.3E-01
9.4E-11
1.5E-01
1.1E-03
1.7E-03
8.6E-04
Emplacement
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 24
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 14
Habitations 14
Cartographies
Les Figure 25 à Figure 27 présentent les cartes des dépôts pour trois substances :
Les poussières PM10 ;
Les dioxines et furanes ;
Le plomb.
DREAL Rhône-Alpes
page 57
Figure 25 : carte de dépôts en moyenne annuelle (en ng/m2/j) dioxines et furanes
DREAL Rhône-Alpes
page 58
Figure 26 : carte de dépôts en moyenne annuelle (en mg/m2/j) poussières PM10
DREAL Rhône-Alpes
page 59
Figure 27 : carte de dépôts en moyenne annuelle (en ng/m2/j) Plomb
DREAL Rhône-Alpes
5.4
page 60
COMPARAISON AVEC LES MESURES DU RESEAU DE SURVEILLANCE
5.4.1
Rappel des données utilisées pour la modélisation
Données météorologiques
Emissions industrielles
Emissions liées au trafic routier
Emissions liées au secteur tertiaire/résidentiel
5.4.2
5.4.2.1
Année de référence
2008 à 2010
2010
2010
2008
Mesures disponibles
Stations fixes
Le réseau de surveillance ATMO Rhône-Alpes dispose de trois capteurs permanents sur la zone
noms, caractéristiques
dans le tableau ci-dessous.
Tableau 24 : stations fixes ATMO RhôneType de station
Latitude
Longitude
Polluants mesurés
Benzène
Roussillon
urbaine
45°22'06"
4°48'15"
Sud roussillonnais
/ Sablons
périurbaine
45°19'23"
4°46'39"
A7 Nord Isère
trafic
45°21'12"
4°48'17"
5.4.2.2
5.4.2.2.1
Dioxyde de soufre
Mercure
PM10
Ozone
Toluène
Mercure
Ozone
Benzène
Dioxyde de soufre
PM10 / PM2,5
Campagnes de mesures spécifiques
Campagne de mesure des polluants émergents 2006-2007
Le pays roussillonnais a fait l'objet d'importantes campagnes de mesures de la qualité de l'air dans le
cadre d'une étude réalisée en 2006 et 2007 au droit de trois zones multi-émettrices en Rhône-Alpes,
dans l'objectif d'évaluer l'impact de la pollution atmosphérique sur la santé des riverains18.
18 «
DREAL Rhône-Alpes
» 2006-2007 - Étude de 85 polluants atmosphériques sur 3
-émettrices de la région Rhône»
page 61
Dans le secteur de Roussillon, deux sites de mesures ont été implantés:
Un site urbain, sur le site fixe du réseau de surveillance de SUP'AIR ("Roussillon_Fixe");
Un autre site dans la cité ouvrière en bordure de la plate-forme industrielle et chimique de
Roussillon ("Roussillon_Cité").
et Santé 3 zones à la loupe »
Tableau 25
Coordonnées
X UTM31
Y UTM31
Roussillon Cité (RC)
Roussillon Fixe (RF)
640.9
641.1
5024.3
5025.4
Remarques
En parallèle de la station fixe Roussillon
85 polluants ont été mesurés lors de 4 campagnes réparties dans l'année, sur des périodes de 3
semaines, entre avril 2006 et février 2007:
5 polluants « classiques » réglementés
dioxyde de soufre, poussières PM10, ozone,
6 métaux lourds : arsenic, cadmium, nickel, plomb, manganèse et vanadium
7 aldéhydes, dont le formaldéhyde
19 hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) dont le benzo(a)pyrène
48 composés organiques volatils (COV) :
benzène et le 1,3butadiène + 17 composés chlorés, dont le chlorure de vinyle monomère (CVM)
Parmi ces 85 polluants, 20
ivi
environnemental de Roussillon :
polluants classiques
métaux : arsenic, cadmium, manganèse, nickel, plomb, vanadium
composés organiques volatils :
o COV précurseurs de l'ozone : benzène, 1,3-butadiène, éthylbenzène, Toluène ;
o COV
chlorés :
Dichlorométhane,
dichloroéthane,
trichloroéthylène,
tetrachloroéthène ;
aldéhydes : Formaldéhyde ;
HAPs : benzo(a)pyrène, naphtalène.
5.4.2.2.2
Bilan des mesures en dioxines et métaux dans l'air ambiant 2006 à 2009
Les AASQA du Rhône de l'Isère, en partenariat avec la DREAL Rhône-Alpes ont mis en place un
programme spécifique de surveillance des métaux lourds et dioxines, depuis 2006, avec le soutien de
partenaires industriels.
Dans le cadre de ce programme, 3 sites de mesures sont localisés sur le périmètre de l'étude, à
proximité de l'incinérateur de TREDI:
Le site Roussillon-Cité;
Le point VDR3 (sud de TREDI);
Le point VDR4 (nord de TREDI).
Tableau 26 : stations de mesures spécifiques
Roussillon Cité (RC)
VDR3
VDR4
DREAL Rhône-Alpes
Coordonnées
X UTM31
Y UTM31
640.9
5024.3
640.7
5022.0
640.1
5023.2
Stations fixes du réseau de surveillance ATMO Rhône-Alpes
Comparaison modèle/mesures
page 62
DREAL Rhône-Alpes
par le réseau).
Les concentrations en poussières PM10 estimées par le modèle sont plus faibles que les concentrations mesurées par le réseau (4 fois plus faibles environ).
n effet, la modélisation repose sur les émissions estimées qui sont des émissions
es en compte, ce qui peut expliquer en partie la différence
modélisation/mesures.
émises sont bien estimées benzène et dioxyde de
soufre-, les résultats obtenus par modélisation sont cohérents avec les mesures réalisées par le réseau ATMO Rhône-Alpes. Par conséquence, la
comparaison modélisation/mesures peut être considérée comme bonnes.
Benzène
Mercure
Oxydes d'azote
Poussières PM10
Dioxyde de soufre
Substances
Mesures Réseau ATMO R-A
Rapport Mesures ATMO/Modélisation
Résultats Modélisation
Sud
Sud
Sud
A7 Nord Isère Roussillon roussillonnais A7 Nord Isère Roussillon roussillonnais A7 Nord Isère Roussillon roussillonnais
/ Sablons
/ Sablons
/ Sablons
2
1.1
1.3
0.8
1
2E-3
2.5E-05
3.9E-05
3.3E-05
54
154
57
23
143
93
19
1
1
1
28
27
8.2
7.1
1.8
3
4
4
4
3.1
4.7
4.2
1
1
-
Tableau 27 : comparaison mesures/calculs (en µg/m3) stations fixes
Le tableau ci-dessous indique les mesures du réseau ATMO Rhône-Alpes (moyenne des concentrations annuelles sur la période 2008 à 2010) ainsi que les
résultats de la modélisation.
5.4.3.1
5.4.3
Campagne de mesure des polluants émergents 2006-2007
Campagnes de mesures spécifiques
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
µg/m3
Acétaldéhyde
Arsenic
1,3 butadiène
Benzène
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Dichlorométhane
1,2 Dichloroéthane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
DREAL Rhône-Alpes
Unité
Substances
Mesures Réseau ATMO
Rapport Mesures
ATMO/Modélisation
Roussillon Cité Roussillon Fixe Roussillon Cité Roussillon Fixe Roussillon Cité Roussillon Fixe
(RC)
(RF)
(RC)
(RF)
(RC)
(RF)
1.2
2.0
0.1
0.1
11
18
3E-04
1E-04
7E-05
9E-05
3
1
2E-01
2E-01
6E-02
7E-02
3
3
1.6
2.1
1.2
1.3
1
2
4E-04
7E-04
2E-04
2E-04
3
4
3E-05
3E-05
1E-04
2E-04
0.2
0.2
10.0
24.4
0.008
0.004
1 184
6 228
0.14
0.13
6E-06
5E-06
21 672
28 509
0.5
1.4
0.07
0.07
7
19
2.4
8.8
0.2
0.2
11
38
4E-03
5E-03
2E-03
2E-03
3
2
6E-04
6E-04
0.07
0.09
0.01
0.01
3E-03
2E-03
9E-04
1E-03
3
1
7E-03
7E-03
3E-03
4E-03
3
2
19
19
5
7
4
3
4
3
4
5
1
1
1
0.62
5E-05
3E-05
19 084
17 971
3
6
0.2
0.3
12
23
0.32
0.69
1E-05
9E-06
23 022
75 245
6E-04
3E-04
4E-04
6E-04
1
0.4
Le tableau ci-dessous indique les résultats des mesures réalisées par le réseau ATMO Rhône-Alpes pendant la campagne
et Santé 3 zones à la loupe » (cf. paragraphe Tableau 25) ainsi que les résultats de la modélisation.
Tableau 28 : comparaison mesures/calculs étude CIRE/ATMO Rhône-Alpes
5.4.3.2.1
5.4.3.2
page 63
page 64
tertiaire/résidentiel et 2010 pour les sources industrielles et le trafic routier.
Pour tous les métaux, la modélisation donne des résultats du même ordre de grandeur que les
- 3 zones à
concentrations mesurées par ATMO Rhônela loupe ».
Pour le 1-3 butadiène, le benzène, le dioxyde de soufre, les résultats sont également du même ordre
de grandeur que les mesures ATMO Rhône-Alpes.
Les concentrations en benzo(a)pyrène obtenues par la modélisation sont légèrement inférieures aux
mesures du réseau ATMO Rhône-Alpes.
majoritairement par le secteur résidentiel et les émissions prises en compte proviennent de
-Alpes. La différence mesures/modélisation peut
donc être imputable au
Les concentrations en éthytlbenzène, en formaldéhyde et en toluène sont plus faibles que les
mesures ATMO (environ 10 fois plus faible). Ces trois substances sont émises majoritairement par le
. La sous-estimation des
trafic su
émissions
liées au trafic.
dichlorométhane, trichloroéthylène, tetrachloroéthène, et 1,2
Pour quatre polluants
dichloroéthane-, les résultats de la modélisation sont très inférieurs aux mesures du réseau ATMO
Rhône-Alpes
émises que par les sources industrielles. Cette large sous-estimation des concentrations peut donc
être imputable soit à une mauvaise estimation des émissions industrielles,
pouvant expliquer ces différences,
sions non identifiées.
Le naphtalène est le seul polluant pour lequel la modélisation donne des concentrations supérieures
aux mesures ATMO. Le trafic est le principal émetteur de naphtalène sur la zone. Une surestimation
des émissions pourrait expliquer cette différence modélisation/mesures.
5.4.3.2.2
Bilan des mesures en dioxines et métaux dans l'air ambiant 2006 à 2009
Le tableau ci-dessous indique les moyennes des mesures réalisées par le réseau ATMO Rhône-Alpes
pour les dioxines et les métaux pour les années 2008 et 2009.
du point Roussillon-Cité. Les dépôts ont été mesurés sur les deux années et au niveau des points
VRD3 et VRD4.
DREAL Rhône-Alpes
Tableau 29 : comparaison mesures/calculs
au niveau du point Roussillon-Cité
5
869
451
322
4918
38970
194
7712
pg i-tec/m²/j
ng/m2/jour
ng/m2/jour
ng/m2/jour
ng/m2/jour
ng/m2/jour
ng/m2/jour
ng/m2/jour
Dioxines et Furanes
Antimoine (Sb)
6
721
349
194
4475
13122
194
3681
VDR4
0.004
299
12
20
175
102
1
63
VDR3
0.005
252
12
18
168
92
2
61
VDR4
DREAL Rhône-Alpes
page 65
1419
3
38
16
28
382
142
122
VDR3
1174
3
30
11
27
142
115
61
VDR4
Rapport Mesures ATMO/Modélisation
Que ce soit pour les métaux ou les dioxines, la modélisation sous-estime les dépôts au sol par rapport aux mesures ATMO Rhône-Alpes.
Arsenic (As)
Cadmium (Cd)
Chrome (Cr)
Manganèse (Mn)
Mercure (Hg)
Nickel (Ni)
VDR3
Unité
Substances
Tableau 30 : comparaison mesures/calculs dépôts
Unité
Mesures Réseau ATMO
Substances
Mesures
Résultats
Rapport Mesures
Réseau ATMO
Modélisation
ATMO/Modélisation
Dioxines et Furanes
pg i-tec/m3
4E-02
7E-04
56
Arsenic
ng/m3
8E-01
7E-02
11
Cadmium
ng/m3
2E-01
1E-01
2
Nickel
ng/m3
3E+00
9E-01
3
Plomb
ng/m3
1E+01
3E+00
5
Au niveau des métaux, les résultats obtenus par la modélisation sont du même ordre de grandeur que les concentrations mesurées par le réseau.
Pour les dioxines, la modélisation donne des résultats plus faibles que les concentrations données par ATMO Rhône-Alpes.
5.4.4
page 66
Conclusion
Excepté pour le dichlorométhane, le trichloroéthylène, le tetrachloroéthène, le 1,2 dichloroéthane
et le naphtalène, les résultats de la modélisation sont cohérents avec les mesures réalisées par
ATMO Rhône-Alpes.
tertiaire/résidentiel et 2010 pour les sources industrielles et le trafic routier.
DREAL Rhône-Alpes
page 67
6. INCERTITUDES
Les incertitudes liées à la modélisation de la
(Morgan M.G, 1990)
comme étant le cumul, au prorata de leurs contributions, des incertitudes des différentes données
nécessaires au fonctionnement du modèle et au modèle lui-même. Ces incertitudes peuvent être
-dessous :
Incertitudes
totales
=
Incertitudes
dues au
modèle
+
Incertitudes
due aux
données
+
Variabilité
(Hanna, 2004) :
La variabilité des résultats due aux fluctuations naturelles de la concentration dans
modèle prenant en compte des phénomènes météorologiques ;
: émissions, données sur les instruments de mesures
ou manque de représentativité des instruments de mesures par exemple ;
Les erreurs dues à la représentation de la physique dans les modèles soit dues à des erreurs
de formulation soit dues à des incertitudes dans les paramètres utilisés dans les
formulations.
6.1
6.1.1
INCERTITUDES LIEES AU MODELE : VALIDATION DES MODELES SWIFT, SPRAY ET TRAMES
SWIFT
ive à divergence nulle. Développé à partir
météorologique
vent (SODARS). On peut citer entre autres les expériences EDF de CREYS-MALVILLE 1983, CHOOZ
1986, VALLEE DU RHONE 1989 et la Campagne Européenne FOS 1983.
6.1.2
SPRAY et TRAMES : étude de comparaison mesure /calcul sur la zoneindustrielle de FosBerre
Cette référence reprend des résultats de comparaisons mesure/calcul pour plusieurs techniques de
modélisation de la dispersion atmosphérique. Les résultats ont été présentés à la « 9th International
Conference on Harmonization within Atmospheric Dispersion Modeling for Regulatory Purposes - June
2004
Rhône)19 :
- Modèle eulérien HERMES (Origine EDF-R&D),
- Modèle lagrangien à bouffées gaussiennes : TRAMES (Origine EDF-R&D commercialisé par
-EPA,
- Modèle lagrangien stochastique à particules : SPRAY (ARIA Technologies et ARIANET Milan),
approche semblable à celle de NAME (UK- Met Office) ou MATHEW (US-LLL).
19
« Operational on-line modelling tool: evaluation of the three most common techniques (Gaussian puff,
Eulerian and Lagrangian). Application on Fos-Berre data. », Alexandra Fresneau, Julien Commanay, Jacques
Moussafir, Armand Albergel , Jean-Marc Lacome
DREAL Rhône-Alpes
page 68
Ces comparaisons (en termes de dispersion de polluants) ont été réalisées sur les mêmes champs
de
SWIFT).
Les résultats ont montré que :
(1) SPRAY donne les meilleurs scores avec plus de 80% des données calculées dans la barre
;
(2) ce score est porté à 63% pour TRAMES (bouffées gaussiennes) ;
(3) HERMES, utilisé avec une grille non représentative de la géométrie des panaches pour être
compatible avec un temps CPU acceptable, donne le moins bon score avec 46% des valeurs
Figure 28 : score en erreur relatif des trois approches
6.2
INCERTITUDES LIEES AUX DONNEES D ENTREE
:
les émissions ;
la météorologie ;
les paramètres du modèle choisis.
6.2.1
Incertitudes liées aux émissions
La concentration calculée par le modèle à une échéance donnée est directement proportionnelle aux
flux émis pour chaque polluant. Les approximations faites au niveau des émissions ont donc un
impact direct sur les concentrations et dépôts calculés.
La quantification des émissions se base sur de nombreuses hypothèses qui engendrent des
incertitudes
6.2.1.1
Emissions industrielles
Les émissions ont estimées
proviennent soit de
difficilement quantifiable.
DREAL Rhône-Alpes
les industriels. Ces émissions
eurs de campagnes de
-même)
page 69
De plus, une partie des émissions est générée par des sources diffuses qui sont par essence difficile à
quantifier
quantifiable.
disponible. Des hypothèses ont donc été appliquées sur les émissions en chrome total :
o
o
un ratio de 31% de CrVI est retenu pour les installations de combustions de
charbon20;
un ratio de 10 % est retenu pour les installations d'incinération et les autres sources
d'émissions industrielles21.
Pour les poussières, peu
étaient disponibles au niveau de la granulométrie
les émissions en poussières totales ont été assimilées aux PM10 et aux PM2,5 à 100%.
hypothèse majorante.
6.2.1.2
Emissions liées au trafic routier
La quantification des émissions se base sur de nombreuses hypothèses qui engendrent des
incertitudes :
la vitesse de circulation des véhicules : la vitesse prise en compte sur certains tronçons est
considérée comme constante. Elle ne tient pas compte des accélérations et décélérations en
début et fin de tronçons ;
Le nombre de véhicules pris en compte ;
Le nombre de véhicules roulant à froid ;
par TREFIC (facteurs COPERTIV).
Pour le chrome
sur la spéciation chrome III/ chrome VI. Les
émissions en chrome total ont donc été assimilées successivement à 100% au chrome III et à 100%
au chrome VI.
e.
6.2.1.3
Emissions liées au secteur tertiaire et au secteur résidentiel (source : ATMO Rhône-Alpes)
réalisée par ATMO Rhône-Alpes. Les émissions prises en compte sont donc entachées des
incertitudes propres à cet inventaire, comme par exemple :
Incertitude liée aux facteurs
considéré par substance
polluants ;
Incertitude liée aux activités : les émissions des feux de jardin présentent une incertitude
et la nature exacte de ce
qui est brûlé. En revanche, on connaît précisément les consommations régionales de gaz.
émissions en chrome total ont donc été assimilées successivement à 100% au chrome III et à 100%
20
-EPA, «
anches
charbon d'une Grande Installation de Combustion », INERIS-DRC-03-P45956/ERSA-n°93-CBo/GICversionfinale
21
ASTEE-Nov.2003
DREAL Rhône-Alpes
6.2.1.4
Emissions non prises en compte
au trafic fluvial
6.2.2
page 70
s émissions
les émissions naturelles, et les émissions liées au trafic aérien, et
t donc une incertitude à prendre en compte.
Incertitudes liées aux paramètres du modèle
Dans les modèles complexes prenant en compte de façon fine les géométries et ayant des
-à-dire des options de calcul mais également de la génération du
t conduire à des résultats présentant des
écarts importants.
Concernant les paramètres liés aux polluants (vitesse de dépôt, coefficient de lessivage, type
DREAL Rhône-Alpes
page 71
7. CONCLUSION
Dans le cadre de la réalisation de la première phase de l'étude du Suivi Environnemental Global du
Pays Roussillonnais, ARIA Technologies a réalisé la modélisation de la dispersion des polluants
:
atmosphériques intégrant toutes les sources du doma
les sources industrielles ;
les sources liées au trafic routier ;
les sources liées au secteur tertiaire et au secteur résidentiel.
Conformément au cahier des charges, les émissions concernant le transport ferroviaire, le transport
fluvial e
Les objectifs de cette modélisation sont les suivants :
aide à la réalisation de campagnes de mesures complémentaires à prévoir dans
;
évaluation les contributions respectives des indu
globale ;
réalisation ultérieurement une étude prospective de la contamination des milieux, au cours
Dans le cadre de cette étude, les substances suivantes ont été modélisées :
Antimoine
Oxydes d'azote (NOx éq.NO2)
Vanadium
Monoxyde de carbone
1-2 Dichloroéthane
Acide chlorhydrique
1,3 Butadiène
Acroléine
égale à 10 µm
Benzène
Chlorométhane
égale à 2,5 µm
Cumène
Dioxines et Furanes
Dichlorométane
Arsenic
Ethylbenzène
Baryum
Formaldéhyde
Cadmium
Phénol
Chrome III
Tetrachloroéthène
Chrome VI
Toluène
Cuivre
Trichloroéthylène
Mercure
Benzo(a)Pyrène
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
La modélisation a été réalisée
modèle ARIA Industry.
Les mesures du réseau de surveillance ATMO Rhône(stations de mesures fixes et campagnes de mesures ponctuelles) ont permis de comparer les
résultats de la modélisation avec les mesures.
Excepté pour le trichloroéthylène, le tetrachloroéthène, le 1,2 dichloroéthane, le dichlorométhane
et le naphtalène, les résultats de la modélisation sont cohérents avec les mesures réalisées par
ATMO Rhône-Alpes. Les concentrations en poussières PM10 estimées par le modèle sont cependant
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plus faibles que les concentrations mesurées par le réseau, ce qui
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par la non
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ANNEXES
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page 74
Annexe 1 :
Généralités sur la pollution atmosphérique
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Définition
La directive du 30 décembre 1996 sur la loi sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie donne la
définition suivante de la pollution atmosphérique :
"La pollution atmosphérique est l'introduction par l'homme, directement ou indirectement, dans
l'atmosphère et les espaces clos, de substances ayant des conséquences préjudiciables de nature à
mettre la santé humaine en danger, à nuire aux ressources biologiques et aux écosystèmes, à influer
sur les changements climatiques, à détériorer les biens matériels, à provoquer des nuisances
olfactives excessives."
La directive européenne n°96/62/CE du Conseil du 27 septembre 1996 donne les définitions de
termes souvent utilisés dans le domaine de la qualité de l'air :
Air ambiant : L'air extérieur de la troposphère, à l'exclusion des lieux de travail.
Polluant : Toute substance introduite directement ou indirectement par l'homme dans l'air
ambiant et susceptible d'avoir des effets nocifs sur la santé humaine et/ou l'environnement
dans son ensemble.
Origine de la pollution atmosphérique
La pollution atmosphérique est d'origine très diverse. Elle peut provenir des industries, des activités
domestiques ou encore du trafic routier. Il existe plusieurs types de pollution atmosphérique :
La pollution urbaine
Elle affecte principalement la santé humaine. En effet, l'exposition à plusieurs substances
indésirables simultanément augmente leurs effets nocifs. La pollution urbaine détériore aussi les
bâtiments par corrosion et salissure.
Les pluies acides : Elles sont dues à la formation d'acides nitriques et sulfuriques formés par
combinaison de pluie et d'oxydes d'azote et de soufre. Ces polluants proviennent des rejets en zones
urbaines. Les pluies acides sont l'une des causes du dépérissement des lacs et des forêts (par les
dépôts acides, secs et humides).
La pollution photochimique ou smog
Elle provient principalement des véhicules. Les oxydes d'azote, le monoxyde de carbone et les
carbones organiques volatils sont à l'origine de la formation de l'ozone troposphérique (basse
altitude) et du PAN (Peroxyacétylenitrate). Il y a formation de brouillard ou smog lorsque les
concentrations en ozone ("mauvais ozone") dans l'air ambiant sont élevées.
La destruction de la couche d'ozone : La disparition progressive de la couche d'ozone stratosphérique
(à haute altitude) provient de l'action du chlore et du brome gazeux issu des activités domestiques.
telles que des cancers de la peau, car les radiations U.V. ne sont plus filtrées par la couche.
La modification de l'effet de serre : L'effet de serre est causé par l'accumulation de certains gaz, ce
qui entraîne un échauffement de l'atmosphère. Ce phénomène est naturel, mais une accumulation
trop grande de ces gaz pourrait entraîner des modifications climatiques importantes.
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page 76
Principaux phénomènes
fet de serre
L'effet de serre naturel, qui permet à la Terre d'être habitable, est accru par certains gaz émis par les
activités humaines, dits gaz à effet de serre (GES). Le réchauffement climatique observé à l'échelle de
la planète en est la conséquence. Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal représentant des gaz à
effet de serre, mais il n'est pas le seul : on peut aussi citer par exemple le méthane (CH4) ou le
protoxyde d'azote (N2O).
Contrairement aux gaz à effet de serre, la pollution dans l'air a un effet local direct sur la santé et sur
l'environnement. En France, elle est surveillée par des associations indépendantes comme AIRPARIF.
Les principaux polluants qui posent problème en région parisienne sont le dioxyde d'azote, les
particules et l'ozone.
Figure 29 : phénomène «
» (source : AIRPARIF)
La pollution photochimique
La pollution photochimique désigne un mélange complexe de polluants formés chimiquement dans
solaire, à partir de composés précurseurs émis par des sources
3).
La production ph
2)
par le rayonnement
:
oléculaire (O2
:
:
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météorologiques, de sorte que la production des polluants photochimiques est favorisée au
3,
et la pollution
photochimique peut se manifester plus amplement loin des émissions de précurseurs. En milieu
urbain, où les émissions de (NOx) sont importantes du fait du trafic automobile et des foyers de
maxima de pollution sont généralement mesurés en zones périurbaines ou rurales sous le vent des
panaches urbains.
La pollution acide (ou pluies acides) est liée aux polluants acides (SO2, NOx, NH3, HCl, HF) émis par les
activités humaines qui retombent en partie à proximité des sources, mais aussi à des centaines, voire
des milliers de kilomètres de leurs sources émettrices. Ces polluants retombent sous forme de
retombées sèches ou humides. Pendant le transport, ces polluants se transforment. SO2 et NOx se
transforment en sulfates (SO42-) et en nitrates (NO32-) dans le cas où l'atmosphère est sèche, ainsi
qu'en acide sulfurique (H2SO4) et en acide nitrique (HNO3) dans le cas où l'atmosphère est humide.
Les phénomènes de pollution acide à grande échelle ont été mis en évidence par l'acidification des
eaux des lacs Scandinaves et Canadiens. Le pH des eaux est devenu acide entraînant des
modifications importantes de la faune piscicole. Certaines pluies ont un pH compris entre 3 et 4 alors
que l'eau pure a un pH de 5,6.
Les retombées acides ont des effets sur les matériaux, les écosystèmes forestiers et les écosystèmes
d'eau douce.
Figure 30
: CITEPA)
La dispersion des polluants atmosphériques
Les concentrations, en polluant dans l'atmosphère, peuvent fluctuer dans le temps et dans l'espace
suivant :
l'intensité des émissions des différentes activités qui varie dans le temps : en hiver le
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la topographie locale qui peut favoriser ou non le
déplacement des masses d'air,
les conditions météorologiques : les vents forts
peuvent entraîner un rabattement du panache
des cheminées, les vents calmes limitent la
dispersion des polluants,
la structure thermique de l'atmosphère : une
inversion thermique de température (ci-contre)
limite la dispersion des polluants.
La topographie locale
La topographie d'un site peut influencer la circulation des masses d'air. Par exemple, les rues canyon,
les bords de mer et les vallées peuvent modifier la dispersion des polluants.
Le littoral : la nuit, les masses d'air ne se déplacent pas dans le même sens que de jour. En effet,
durant la journée la brise de mer ramène les polluants sur les côtes. Mais de nuit, ce phénomène
s'inverse car le sol se refroidit plus vite que la mer. La pollution est alors envoyée sur la mer.
Le jour : brise de mer
La nuit : brise de terre
Les vallées : les masses d'air ne se déplacent pas dans le même sens de jour et de nuit. En effet, le
jour l'air s'échauffe sur les pentes et crée un courant qui remonte la vallée. Les polluants se
dispersent rapidement. Mais de nuit, ce phénomène s'inverse : l'air froid s'écoule le long des pentes
et s'accumule au fond de la vallée, tout en la descendant. La pollution évacuée dans la journée est
alors ramenée dans la vallée la nuit.
Le jour: brise montante
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La nuit : brise descendante
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La structure thermique verticale de la troposphère peut varier suivant les jours et les heures.
En situation normale de diffusion, la température diminue avec
l'altitude. La structure thermique de l'atmosphère ne freine pas la
diffusion des polluants.
Parfois, à partir d'une certaine hauteur, la température peut
augmenter avec l'altitude. Il y a alors inversion thermique : une
couche d'air chaud se trouve au-dessus d'une couche d'air plus froid.
L'air pollué, qui se disperse vers le haut en situation normale de
diffusion, est alors bloqué par cette couche d'air plus chaud qui agit
comme un couvercle thermique.
Ce phénomène contribue à la pollution locale et peut conduire à la
formation de dôme urbain de pollution. Il se rencontre lors de
conditions météorologiques particulières :
- en début de matinée, suite à une nuit dégagée et sans vent,
- en hiver, lors de conditions anticycloniques.
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page 80
Annexe 2 :
Description
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Descriptif du modèle SWIFT
SWIFT détermine les champs météorologiques tridimensionnels nécessaires aux calculs de
météorologiques qui déterminent la façon dont l
» car la finalité est la
reconstruction la plus exacte possible des séquences temporelles de champs de vents, de turbulence
et des autres paramètres météo pouvant intervenir dans la dispersion des polluants (température,
SWIFT réalise ses calculs sous de fortes contraintes :
(1)
sur des ordinateurs de types PC ;
(2)
(3) Le champ de vent doit respe
(4) Le champ de vent doit conserver la masse (« mass consistent 22
-domaine.
(5) Le champ de vent doit respecter les propriétés induites par la
(6)
;
;
des situations stables à très stables)
(dynamique vs.
Figure 31 : s
éolienne au nord du Maroc
22 Parmi les logiciels de ce type, on peut désigner parmi les plus connus avec SWIFT :
-
-EPA
MATHEW du Laurence Livermoore Lab.
SPEEDI (CRIEPI Japon)
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page 82
La gamme SWIFT se décline en :
- MICRO-SWIFT adapté pour des calculs pour des petits domaines (de 0 à quelques kilomètres)
avec la modélisation explicite des sillages des obstacles ;
- N-SWIFT comme Nested-Swift adapté à la résolution simultanée à plusieurs échelles et
plusieurs résolutions, les grands domaines alimentant les sous domaines inclus (cf par
exemple Figure 31)
- P-SWIFT
clusters présentant un grand nombre de processeurs. La parallélisation porte alors soit sur
les échéances temporelles, soit sur le découpage du modèle en tuiles, soit une combinaison
optimisée des deux.
1.
Données d'entrée
*
*
*
*
Modèle numérique de terrain (MNT)
Paramètre de rugosité Z0 sur le même maillage horizontal (facultatif)
Masque terre - mer (le cas échéant)
Toutes les données météorologiques disponibles (Vent, Température)
Les données météorologiques fournies en entrée peuvent être des données de mesure éparses, des
traité, défini par le MNT.
2. Méthodes de calcul
SWIFT comporte deux étapes de calcul distinctes :
1. Interpolation des données existantes pour fournir une première ébauche des champs de
vent et de température recherchés.
2. Ajustement itératif, par une méthode variationnelle, de la solution, destiné à créer un
champ de vitesses à divergence nulle, en prenant en compte les contraintes imposées par la stabilité
atmosphérique.
3.
Description des sortie
1 - Respecte les valeurs fournies en entrée au voisinage des points de données.
234 - Comporte un champ de vitesse verticale cohérent avec la topographie.
En partant des champs de vent et de température calculés par SWIFT, il est possible (mais facultatif)
responsabilité du calcul de ces coefficients.
4.
simulation de la dispersion. Cette option est facultative
-même qui à la
Références
nalyse objective à divergence nulle. Développé à partir
mé
vent (SODARS). On peut citer entre autres les expériences EDF de CREYS-MALVILLE 1983, CHOOZ
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1986, VALLEE DU RHONE 1989 et la Campagne Européenne FOS 1983. Actuellement dans sa Version
4.0 Il est distribué et maintenu depuis 1990 par ARIA Technologies.
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Descriptif du modèle SPRAY
INFORMATIONS DE BASE
Version :
Version 3.0
Champs d'application :
Modèle de dispersion lagrangien à particules. Il simule la dispersion des émissions atmosphériques
par le mouvement stochastique de pseudo-particules dans le flux turbulent atmosphérique sur
terrain complexe. Il peut effectuer des simulations de l'échelle locale (500 m-5 km) à la méso-échelle
(100 km).
INFORMATIONS DETAILLEES
Description :
SPRAY est un modèle de dispersion dit « lagrangien stochastique à particules » ou quelques fois
« lagrangien Monte-Carlo
lagrangien à bouffées gaussiennes » relativement
courants comme CALPUF (US-EPA) ou SCIPUFF (US-DOD). SPRAY simule la dispersion des émissions
atmosphériques par le mouvement stochastique de pseudo-particules virtuelles dans le flux
turbulent atmosphérique sur terrain complexe. Il peut effectuer des simulations à plusieurs échelles,
-SPRAY).
SPRAY est un modèle tridimensionnel pour la simulation de la dispersion des polluants dans
l'atmosphère et peut tenir compte des variations du flux et de la turbulence atmosphérique aussi
bien dans l'espace (conditions hétérogènes) que dans le temps (conditions non stationnaires). Il est
en mesure de reconstruire des champs de concentration à partir de sources ponctuelles, linéaires,
surfaciques ou volumiques.
Le polluant est simulé par des "particules virtuelles" dont le mouvement dans un domaine
tridimensionnel est défini par le vent local et dont la dispersion est obtenue par le truchement de
fluctuations de vitesses aléatoires solutions des équations différentielles stochastiques, qui
reproduisent les caractéristiques de la turbulence atmosphérique locale. De cette façon, différentes
parties du panache émis sont directement pilotées par différentes conditions atmosphériques
virtuelle se trouve. Cette méthode permet des
simulations plus réalistes en conditions difficiles que celles réalisées par des modèles traditionnels
(vent calme, inversion de température avec l'altitude, impact avec une topographie complexe,
dispersion sur des sites avec de fortes discontinuités spatiales de type "terre - mer" ou "ville campagne").
Les particules interpolent linéairement la valeur du vent au point x, y, z où elles se trouvent en
utilisant les valeurs de ces matrices. Il est possible de simuler des conditions non stationnaires en
interpolant linéairement dans le temps la valeur entre deux matrices successives.
Le mouvement turbulent des particules est décrit à l'aide de l'intégration le long des axes cartésiens
x, y, z, de 3 équations de Langevin pour les composantes des vitesses selon les schémas optionnels
suivants :
- Equations linéaires couplées avec une fonction de forçage aléatoire correspondant à une
distribution de probabilité tridimensionnelle non gaussienne selon une réalisation du schéma
de Thomson 23(1984). Des schémas de travail plus simples sont en outre pris en compte
(équations découplées) pour traiter des problèmes à plus grande échelle.
23
Meteorol. Sot. 110, 1107-l 120.
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J. Roy.
-
page 85
Equations non linéaires avec forçage gaussien selon le schéma de Thomson24 (1987). Des
schémas de description non gaussienne de la turbulence verticale sont également pris en
compte selon la distribution bi-gaussienne Gram-Charlier du 3ème ordre ou du 4ème ordre.
Sur le niveau de la couche limite, la part turbulente du mouvement des particules peut être
optionnellement obtenue par l'intégration des équations stochastiques sur les
déplacements.
Les champs de turbulence peuvent être « hérités
SPRAY suivant schéma de génération interne des champs de turbulence, construits à travers les
profils verticaux de similarité obtenus en considérant les caractéristiques du terrain.
Les variables d'échelle de la couche de surface (vitesse de frottement u*, longueur de Monin
Obukhov L, et vitesse convective verticale d'échelle w*) ainsi que la hauteur de la couche limite hmix,
sont calculées, sur la base des données d'entrée, pour chaque point du maillage grâce à un
préprocesseur météorologique (Paine25, 1987). Puis les profils verticaux des variables turbulentes
nécessaires à la simulation sont générés à partir de relations dépendantes de la stabilité
atmosphérique (Hanna26, 1982). La surhauteur des panaches est calculée par la formule d'Anfossi
(Anfossi27, 1985), capable de tenir compte des variations verticales et horizontales du vent et de la
stabilité atmosphérique, grâce à une matrice tridimensionnelle de température sur la même grille
que les grilles météorologiques.
Entrées météo :
SPRAY ou Micro SPRAY reçoit en entrée une série temporelle de champs tridimensionnels de vent, de
température voire de turbulence sur le maillage « météo », dans un format binaire.
Les champs de turbulence peuvent être générés en interne ou fournis sur le même maillage dans le
même fichier que le vent, issu d'un modèle de dynamique des fluides externe. Dans le premier cas,
doivent être fournies au modèle les matrices bidimensionnelles de caractérisation du sol, contenant
les valeurs de : la hauteur de la rugosité Zo, l'albédo et le rapport de Bowen (rapport entre le flux de
chaleur sensible et latente au point du maillage). Il est en outre nécessaire d'avoir une série
temporelle des données météorologiques qui couvre la période complète de simulation, en
particulier pour la radiation solaire, la température et le gradient thermique vertical à l'aube, utilisés
dans les schémas de paramétrisation de la turbulence de la couche limite.
La description des émissions : des sources de typologie multiple sont prévues (ponctuelles, linéaires
et surfaciques) ce qui permet donc de simuler des cheminées ou des routes. La modalité du calcul du
nombre de particules pour chaque source est sélectionnée par l'utilisateur et le modèle en
détermine automatiquement la masse en fonction des caractéristiques de l'émission.
24
els of Particle Trajectories in Turbulent
-556.
25 Paine, R.J., 1987. User's Guide to the CTDM Meteorological Preprocessor (METPRO) Program, U.S.
Environmental Protection Agency EPA/600/8-88/004 (NTIS 8-162102), RTP, NC, 160pp.
26 Hanna, S. R., G. A. Briggs, and R. P. Hosker, 1982. Handbook on Atmospheric Diffusion. DOE/TIC-11223. U. S.
Department of Energy, Oak Ridge, TN.
27 Anfossi, D., Ferrero, E., Brusasca, G., Marzorati, A., and Tinarelli, G.: A simple way of computing buoyant
plume rise in lagrangian stochastic dispersion models, Atmos. Environ., 27(A), 9, 1443 1451, 1993.
Et Anfossi, D.: Analysis of plume rise data from five TVA steam plants. J. Clim. Appl. Met., 24, 1225 1236, 1985.
DREAL Rhône-Alpes
page 86
Données de sorties générées :
Fichiers binaires de particules contenant la position, la masse, la source d'origine et le temps de
vie de chaque particule, mémorisés à des intervalles de temps sélectionnés par l'utilisateur.
Matrices tridimensionnelles de concentrations sur un maillage "terrain-following" sélectionné
par l'utilisateur, sur des temps moyennés et à des intervalles présélectionnés, avec la méthode
du comptage dans chaque maille, sur un fichier binaire de structure similaire à celle du fichier de
vents utilisé en entrée.
Fichiers binaires de reprise générés à des intervalles réguliers choisis par l'utilisateur et utilisés
soit pour la récupération après d'éventuelles ruptures du calcul, soit pour diviser les simulations
de longue durée en sections plus brèves analysées séparément.
Fichier ASCII d'informations sur le déroulement de la simulation.
Figure 32 : s
industriel de FOS-BERRE
Validation :
Simulations sur terrain plat :
Confrontation à des données mesurées durant une campagne dans la vallée du Rhin près de
Karlsruhe (Thomas et al., 1983).
Le modèle a été modifié dans la partie relative à l'équation de mouvement vertical, de façon à tenir
compte des hétérogénéités de la turbulence et a été appliqué pour la simulation des conditions
neutres et convectives de l'expérience de Karlsruhe (Brusasca et al., 1989).
Simulation en conditions d'atmosphère stable et vent faible.
Il a été implémenté un algorithme ad hoc pour la simulation du vent meandering dans des conditions
de vent faible et dans cette version, le modèle a été utilisé pour simuler l'expérience de traçage
réalisé près du laboratoire INEL en Idaho (Sagendorf and Dickson, 1974). Les résultats ont été publiés
dans deux articles (Anfossi et al., 1990; Brusasca et al., 1992).
Simulations de la surhauteur dynamique.
Il a été inséré et validé un algorithme pour le calcul de la surhauteur des fumées chaudes. Les
résultats ont été confrontés avec des données de Lidar enregistrés durant la campagne
internationale de Sostanj en 1991 en Slovénie (Anfossi et al., 1993).
Simulations sur terrain complexe :
DREAL Rhône-Alpes
page 87
Expérimentation en soufflerie EPA sur des collines bidimensionnelles.
Des confrontations avec les données obtenues dans le cadre de l'expérience EPA RUSHIL
(Khurshudyan et al., 1981) de dispersion sur des collines bidimensionnelles ont été réalisées. Les
résultats obtenus ont été publiés (Tinarelli et al., 1994) et présentés aux congrès internationaux de
l'American Meteorological Society de Portland - 1992 (Tinarelli et al., 1992) et du CCMS NATO à
Valencia - Espagne (Tinarelli et al., 1993).
Expérience Transalpine.
Des simulations ont été effectuées sur l'expérience Transalp. 1989, qui consistait au rejet d'une
substance traçante à l'embouchure des vallées Levantina et Blenio dans le canton Ticino (Suisse) dans
le but de vérifier les effets de la canalisation. Le jour simulé est le 19 octobre, de 11h à 17h, avec des
conditions d'atmosphère instable à stable et sur une topographie extrêmement complexe. Les
résultats ont été publiés dans un numéro spécial "d'Atmospheric Environment" consacré à la
campagne Transalp. (Anfossi et al., 1998). Le travail a été entre autre présenté au congrès
international CCMS NATO de 1995 à Baltimore (Brusasca et al., 1995).
Campagne Sostani.
Des simulations de la période relative à la campagne de 1991 près de la centrale thermique de
Sostani en Slovénie ont été réalisées conjointement par ENEL, CISE et Josef Stefan Institute de
Lubiana. Le site est modérément montagneux et les situations de stabilité simulées étaient
caractérisées par des conditions neutres et instables, avec quelques périodes de vent calme. Les
résultats, présentés au congrès ENVIROSOFT 1994 de Barcelone (Espagne) et au workshop de Manno
"Intercomparison of advanced practical short range atmospheric dispersion models" de 1993
(Tinarelli et al., 1993), ont été comparés avec ceux de modèles eulériens simples pour terrain
complexe et d'un modèle lagrangien à bouffées montrant une supériorité de la part du modèle
effectuer ces simulations avec SPRAY est décrit entre autre dans un rapport interne de l'ENEL
(Tinarelli et al., 1994).
Applications :
Poste de centralisation intelligent de Fusina et Porto Marghera. Une version simplifiée du code
environnemental de la région de Fusina et port Marghera (Stefani et al. 1997) où il est en
mesure de fonctionner en temps réel, alimenté par des données fournies en automatique
par le système d'acquisition des données.
Système de mesure environnemental de la décharge de Barricalla
sur un financement européen dans le cadre du projet LIFE 1, un système de contrôle de
l'impact des émissions provenant de la décharge d'ordures toxiques située près de Turin dans
la commune Barricalla (Pacitti et al., 1997). Le modèle SPRAY a été inséré dans ce système
sur PC (Pacitti et al., 1997), et est utilisable sur demande pour réaliser des simulations de la
dispersion des substances émises par la décharge ou des émissions du trafic provenant des
axes routiers environnements.
Application dans le cadre de l'étude pluridisciplinaire du dépérissement du pin forestier et des
autres espèces biogéniques de la vallée d'Aoste (Manzi et al., 1998). Des simulations de la
dispersion des polluants provenant des principales émissions (trafic routier, industrie et
chauffage domestique) recensées dans la région ont été effectuées sur un domaine de 100
80 km2. Les simulations, sur une durée moyenne de 10 à 15 jours, ont permis de fournir une
description climatologique du site sur un domaine extrêmement complexe, aussi bien pour
des conditions estivales qu'hivernales.
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page 88
Simulation des émissions provenant de la centrale thermoélectrique de Vado Ligure, pour le
compte de la province de Savone. Des simulations de la dispersion des fumées émises par la
centrale ont été réalisées sur une durée d'environ 10 jours sur un domaine de 20 23 km2.
L'objectif était de contrôler l'impact de la centrale sur le territoire environnant, à forte
complexité topographique, et le niveau de représentativité du réseau de mesures
météorologiques ou de qualité de l'air géré par l'ENEL et la province de Savone.
Références :
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windspeed stable conditions", Proc. of 9th Symposium on Turbulence and Diffusion, American
Meteorological Society, Roskilde (Denmark), April 30 - May 3, 6.1, 160-163.
Anfossi D., Ferrero E., Brusasca G., Marzorati A., Tinarelli G. (1993): "A simple way of computing
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Brusasca G., Tinarelli G., Anfossi D. (1989): "Comparison between the results of a Monte Carlo
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Tinarelli G., D. Anfossi, G. Brusasca, E. Ferrero, J. Moussafir (1993) "A complete 3-D Lagrangian
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DREAL Rhône-Alpes
page 90
Annexe 3 : Concentrations au niveau des points
cibles
DREAL Rhône-Alpes
DREAL Rhône-Alpes
Étiquettes de lignes
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Poussières PM10
AUTRES_2
1.0E-01
4.2E-02
7.4E-05
2.1E-02
1.5E-04
6.2E-02
1.2E+00
1.3E-04
7.8E+01
8.8E-01
1.3E-03
1.3E-03
1.2E-03
3.6E-02
1.1E-05
6.5E-06
9.9E-03
6.7E-02
2.3E-01
1.4E-02
3.3E-05
1.6E-03
7.1E-02
8.7E-04
7.0E+01
2.8E-03
7.0E-10
5.2E+00
AUTRES_3
3.7E-02
1.6E-02
6.1E-05
9.9E-03
1.1E-04
2.3E-02
8.4E-01
9.0E-05
4.6E+01
1.6E-01
9.2E-04
9.1E-04
8.3E-04
1.7E-02
1.9E-06
2.5E-06
2.1E-03
2.5E-02
7.8E-02
9.3E-03
2.6E-05
8.0E-04
3.5E-02
5.1E-04
3.2E+01
1.7E-03
5.0E-10
3.1E+00
AUTRES_1
9.5E-02
3.8E-02
6.6E-05
1.9E-02
1.4E-04
5.6E-02
1.1E+00
1.2E-04
7.1E+01
1.1E+00
1.2E-03
1.2E-03
1.1E-03
3.2E-02
1.4E-05
6.6E-06
1.9E-02
6.0E-02
2.1E-01
1.6E-02
3.0E-05
1.4E-03
6.4E-02
7.7E-04
6.4E+01
2.5E-03
6.3E-10
4.6E+00
AUTRES_4
1.5E-01
6.2E-02
4.8E-05
3.8E-02
1.4E-04
9.7E-02
8.9E-01
1.5E-04
1.0E+02
4.4E-01
1.6E-03
1.6E-03
1.4E-03
6.4E-02
6.6E-06
3.2E-06
7.4E-03
8.8E-02
3.1E-01
4.5E-03
2.0E-05
2.6E-03
1.1E-01
1.2E-03
1.3E+02
3.9E-03
6.2E-10
6.9E+00
Tableau 31 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Autres
page 91
DREAL Rhône-Alpes
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
CULT_1
6.0E-02
1.8E-02
9.3E-05
9.7E-03
1.4E-04
2.3E-02
1.3E+00
1.6E-04
5.3E+01
1.3E+00
1.4E-03
1.3E-03
9.6E-04
1.6E-02
4.1E-05
1.7E-05
9.6E-02
2.9E-02
1.8E-01
AUTRES_1
4.1E+00
5.0E-03
3.8E+00
1.2E-04
2.1E-01
3.1E-05
3.6E-04
AUTRES_2
4.6E+00
5.5E-03
4.0E+00
5.2E-05
2.4E-01
1.4E-05
4.0E-04
AUTRES_3
2.9E+00
2.6E-03
3.1E+00
4.1E-05
8.9E-02
1.1E-05
2.0E-04
CULT_2
7.4E-02
2.8E-02
9.7E-05
1.4E-02
1.6E-04
3.8E-02
1.2E+00
1.7E-04
6.5E+01
8.8E-01
1.5E-03
1.5E-03
1.2E-03
2.4E-02
1.7E-05
1.1E-05
3.3E-02
4.6E-02
1.7E-01
CULT_4
5.3E-02
1.9E-02
1.0E-04
1.0E-02
1.5E-04
2.5E-02
1.2E+00
1.8E-04
5.7E+01
7.8E-01
1.5E-03
1.5E-03
1.1E-03
1.7E-02
1.7E-05
1.2E-05
3.2E-02
3.0E-02
1.3E-01
CULT_5
4.4E-02
1.4E-02
1.0E-04
7.9E-03
1.4E-04
1.9E-02
1.2E+00
1.7E-04
5.3E+01
7.4E-01
1.4E-03
1.4E-03
1.0E-03
1.3E-02
1.8E-05
1.4E-05
3.0E-02
2.3E-02
1.1E-01
CULT_6
6.7E-02
1.3E-02
6.2E-05
6.8E-03
1.1E-04
1.6E-02
8.3E-01
8.4E-05
4.1E+01
1.7E+00
8.3E-04
8.0E-04
6.0E-04
1.1E-02
8.4E-05
3.4E-05
3.3E-02
2.2E-02
2.2E-01
CULT_3
4.3E-02
1.3E-02
9.6E-05
7.3E-03
1.3E-04
1.8E-02
1.2E+00
1.5E-04
5.0E+01
8.0E-01
1.4E-03
1.3E-03
9.6E-04
1.3E-02
2.1E-05
1.5E-05
3.6E-02
2.1E-02
1.2E-01
CULT_7
8.1E-02
3.1E-02
7.4E-05
1.6E-02
1.4E-04
4.5E-02
1.1E+00
1.2E-04
6.8E+01
1.1E+00
1.2E-03
1.2E-03
1.1E-03
2.7E-02
1.6E-05
8.1E-06
1.6E-02
4.9E-02
1.9E-01
CULT_8
9.1E-02
3.6E-02
6.8E-05
1.8E-02
1.4E-04
5.3E-02
1.1E+00
1.2E-04
7.0E+01
1.2E+00
1.2E-03
1.2E-03
1.1E-03
3.1E-02
1.5E-05
6.8E-06
1.6E-02
5.7E-02
2.1E-01
AUTRES_4
5.5E+00
9.9E-03
2.9E+00
5.7E-05
3.2E-01
1.5E-05
6.8E-04
Tableau 32 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Cultures 1/4
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
page 92
CULT_9
8.5E-02
3.5E-02
5.9E-05
1.8E-02
1.3E-04
5.1E-02
9.7E-01
1.1E-04
6.5E+01
4.5E-01
1.1E-03
1.1E-03
9.4E-04
3.0E-02
1.5E-05
5.3E-06
2.5E-02
5.4E-02
1.8E-01
CULT_10
7.1E-02
2.1E-02
7.9E-05
1.1E-02
1.4E-04
2.5E-02
1.2E+00
1.2E-04
5.4E+01
1.7E+00
1.1E-03
1.1E-03
9.2E-04
1.8E-02
7.1E-05
2.0E-05
1.5E-01
3.3E-02
2.3E-01
CULT_11
4.1E-02
1.1E-02
7.1E-05
6.2E-03
1.1E-04
1.5E-02
8.9E-01
1.1E-04
4.1E+01
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
DREAL Rhône-Alpes
CULT_1
1.2E-02
4.8E-05
8.6E-04
4.2E-02
6.1E-04
4.5E+01
2.3E-03
6.4E-10
3.3E+00
3.2E+00
2.5E-03
7.2E+00
2.8E-04
1.0E-01
7.4E-05
2.1E-04
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
CULT_3
1.3E-02
4.7E-05
7.1E-04
3.1E-02
5.7E-04
3.4E+01
2.1E-03
6.4E-10
3.1E+00
3.1E+00
1.9E-03
6.9E+00
1.2E-04
7.1E-02
3.1E-05
1.7E-04
CULT_4
1.3E-02
5.2E-05
8.9E-04
4.2E-02
6.8E-04
4.1E+01
2.5E-03
6.9E-10
3.7E+00
3.6E+00
2.6E-03
8.7E+00
1.9E-04
1.0E-01
5.0E-05
2.2E-04
CULT_5
1.3E-02
5.0E-05
7.5E-04
3.4E-02
6.1E-04
3.6E+01
2.2E-03
6.6E-10
3.3E+00
3.3E+00
2.1E-03
7.9E+00
2.1E-04
7.8E-02
5.6E-05
1.8E-04
CULT_6
9.4E-03
3.6E-05
6.4E-04
3.2E-02
4.1E-04
2.8E+01
1.6E-03
5.1E-10
2.1E+00
2.1E+00
1.8E-03
3.0E+00
5.8E-04
7.3E-02
1.5E-04
1.4E-04
CULT_7
1.5E-02
3.4E-05
1.3E-03
5.7E-02
7.3E-04
5.6E+01
2.4E-03
6.6E-10
4.4E+00
4.0E+00
4.2E-03
4.1E+00
6.2E-05
1.7E-01
1.7E-05
3.1E-04
CULT_12
1.0E-01
2.0E-02
8.8E-05
9.4E-03
1.3E-04
2.2E-02
8.7E-01
1.5E-04
4.7E+01
CULT_14
5.4E-02
1.6E-02
6.3E-05
9.1E-03
1.0E-04
2.3E-02
7.8E-01
1.2E-04
4.3E+01
CULT_15
5.5E-02
1.5E-02
7.1E-05
7.8E-03
1.0E-04
1.9E-02
8.0E-01
1.2E-04
4.2E+01
CULT_16
1.0E-01
4.2E-02
5.5E-05
2.1E-02
1.2E-04
5.9E-02
8.4E-01
1.3E-04
6.5E+01
CULT_13
7.7E-02
2.1E-02
7.2E-05
1.1E-02
1.2E-04
2.8E-02
9.1E-01
1.5E-04
5.2E+01
CULT_17
5.3E-02
1.3E-02
8.9E-05
6.4E-03
1.3E-04
1.5E-02
5.7E-01
1.2E-04
3.0E+01
CULT_2
1.4E-02
4.7E-05
1.2E-03
5.7E-02
7.7E-04
5.0E+01
2.7E-03
7.0E-10
4.3E+00
4.0E+00
3.8E-03
7.5E+00
1.7E-04
1.6E-01
4.5E-05
2.9E-04
page 93
CULT_18
4.4E-02
1.1E-02
7.7E-05
5.6E-03
1.0E-04
1.4E-02
5.8E-01
1.1E-04
3.0E+01
CULT_8
1.5E-02
3.1E-05
1.4E-03
6.2E-02
7.6E-04
6.2E+01
2.5E-03
6.4E-10
4.6E+00
4.1E+00
4.8E-03
3.9E+00
1.2E-04
2.0E-01
3.2E-05
3.5E-04
CULT_19
4.7E-02
1.2E-02
5.3E-05
6.2E-03
1.3E-04
1.5E-02
5.5E-01
1.0E-04
2.9E+01
CULT_9
1.4E-02
2.6E-05
1.3E-03
5.9E-02
6.8E-04
5.9E+01
2.4E-03
5.7E-10
4.1E+00
3.7E+00
4.6E-03
3.1E+00
8.9E-05
1.9E-01
2.4E-05
3.4E-04
CULT_20
4.2E-02
1.0E-02
5.1E-05
5.3E-03
9.3E-05
1.3E-02
5.4E-01
8.1E-05
2.7E+01
CULT_10
1.4E-02
4.1E-05
9.2E-04
4.7E-02
6.0E-04
4.6E+01
2.1E-03
6.3E-10
3.3E+00
3.2E+00
2.8E-03
5.0E+00
3.2E-04
1.1E-01
8.4E-05
2.2E-04
DREAL Rhône-Alpes
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
CULT_11
8.9E-01
9.5E-04
9.2E-04
6.9E-04
1.1E-02
2.5E-05
1.9E-05
3.7E-02
1.8E-02
1.1E-01
9.1E-03
3.6E-05
5.9E-04
2.8E-02
4.3E-04
2.7E+01
1.7E-03
5.2E-10
2.2E+00
2.3E+00
1.6E-03
4.0E+00
3.1E-04
6.3E-02
8.2E-05
1.4E-04
CULT_12
1.6E+00
1.3E-03
1.2E-03
6.8E-04
1.6E-02
2.1E-04
5.7E-05
4.5E-02
3.3E-02
2.9E-01
9.0E-03
5.7E-05
8.9E-04
4.8E-02
5.4E-04
3.5E+01
2.4E-03
5.8E-10
2.6E+00
2.4E+00
2.5E-03
6.9E+00
1.1E-03
1.1E-01
2.8E-04
2.0E-04
CULT_14
1.3E+00
1.0E-03
9.6E-04
6.0E-04
1.5E-02
2.1E-05
1.5E-05
1.3E-02
2.5E-02
1.5E-01
3.4E-03
3.0E-05
7.6E-04
3.5E-02
4.4E-04
3.8E+01
1.8E-03
4.5E-10
2.4E+00
2.3E+00
2.4E-03
6.1E+00
2.6E-04
8.6E-02
6.9E-05
1.9E-04
CULT_15
1.3E+00
1.1E-03
1.0E-03
5.8E-04
1.3E-02
2.5E-05
2.6E-05
1.5E-02
2.3E-02
1.5E-01
5.2E-03
3.8E-05
7.1E-04
3.1E-02
4.3E-04
3.6E+01
1.9E-03
4.8E-10
2.3E+00
2.2E+00
2.0E-03
7.3E+00
2.5E-04
7.4E-02
6.7E-05
1.7E-04
CULT_16
1.0E+00
1.3E-03
1.2E-03
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2.0E-03
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4.9E-04
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3.5E-04
Vanadium
3
Tableau 36 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m Points Cibles Etablissements Sensibles 1/2
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ERP_9
7.1E-02
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1.6E-04
ERP_10
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1.7E-04
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1.3E+00
1.4E-04
DREAL Rhône-Alpes
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
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Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
ERP_1
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1.3E-03
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1.8E+00
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ERP_3
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2.5E+00
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1.3E-04
page 98
ERP_7
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4.1E-04
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1.1E+00
1.2E-03
1.2E+00
8.9E-05
4.1E-02
2.4E-05
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ERP_8
1.2E+02
3.7E-01
1.8E-03
1.8E-03
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1.1E-01
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1.1E-02
3.6E+00
3.6E-05
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7.3E-04
ERP_9
6.2E+01
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4.2E-02
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3.6E-03
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1.9E-04
1.5E-01
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ERP_10
8.8E+01
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1.5E-03
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2.1E-01
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7.3E-05
2.3E-01
2.0E-05
4.5E-04
DREAL Rhône-Alpes
Acétaldéhyde
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Baryum
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1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
ERP_11
8.9E-02
3.7E-02
9.2E-05
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5.4E-02
1.3E+00
1.5E-04
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1.6E-03
1.4E-03
3.7E-02
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5.5E-06
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1.9E-01
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ERP_12
7.7E-02
3.1E-02
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1.6E-02
1.6E-04
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1.7E-04
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1.6E-03
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8.9E-06
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1.3E-03
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7.5E-10
ERP_14
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ERP_15
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ERP_16
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ERP_13
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ERP_17
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1.4E-01
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4.2E-05
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5.8E-02
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4.7E+01
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6.8E-10
ERP_18
6.8E-02
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9.9E-05
1.5E-02
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1.2E+00
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7.4E-06
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1.2E-03
5.7E-02
8.0E-04
4.8E+01
2.7E-03
7.3E-10
Tableau 37 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Etablissements Sensibles 2/2
page 99
ERP_19
7.5E-02
3.1E-02
9.3E-05
1.7E-02
1.6E-04
4.4E-02
1.2E+00
1.6E-04
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1.5E-03
1.3E-03
2.9E-02
5.8E-06
6.0E-06
8.7E-03
5.8E-02
1.6E-01
1.1E-02
4.3E-05
1.3E-03
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5.1E+01
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7.2E-10
ERP_20
8.6E-02
3.6E-02
8.3E-05
2.3E-02
1.5E-04
5.2E-02
1.1E+00
1.5E-04
7.6E+01
3.5E-01
1.5E-03
1.5E-03
1.3E-03
3.8E-02
5.1E-06
6.1E-06
7.1E-03
6.3E-02
1.8E-01
1.2E-02
3.8E-05
1.7E-03
7.4E-02
9.1E-04
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6.9E-10
HAB_1
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1.5E-02
1.6E-04
4.1E-02
1.2E+00
1.6E-04
6.7E+01
8.6E-01
1.5E-03
1.5E-03
1.2E-03
2.6E-02
1.6E-05
1.0E-05
3.1E-02
4.9E-02
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
DREAL Rhône-Alpes
ERP_11
5.7E+00
5.1E+00
5.7E-03
5.0E+00
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2.2E-01
2.4E-05
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Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
HAB_2
6.3E-02
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1.0E-04
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1.5E-03
1.2E-03
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1.5E-05
1.1E-05
2.9E-02
3.8E-02
HAB_4
4.4E-02
1.4E-02
1.0E-04
7.9E-03
1.4E-04
1.9E-02
1.2E+00
1.7E-04
5.2E+01
7.5E-01
1.4E-03
1.4E-03
1.0E-03
1.4E-02
1.8E-05
1.4E-05
3.1E-02
2.3E-02
HAB_5
4.4E-02
1.4E-02
9.7E-05
7.5E-03
1.4E-04
1.9E-02
1.2E+00
1.6E-04
5.1E+01
8.1E-01
1.4E-03
1.3E-03
9.7E-04
1.3E-02
2.1E-05
1.5E-05
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HAB_6
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8.2E-04
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1.1E-02
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HAB_3
5.2E-02
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1.0E-04
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1.2E+00
1.8E-04
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1.5E-03
1.5E-03
1.1E-03
1.7E-02
1.7E-05
1.2E-05
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3.0E-02
HAB_7
7.3E-02
1.4E-02
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1.6E-02
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8.4E-04
8.1E-04
5.6E-04
1.1E-02
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2.3E-02
ERP_12
ERP_13
ERP_14
ERP_15
ERP_16
ERP_17
4.7E+00
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2.4E+00
2.4E+00
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4.1E-03
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1.5E-03
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7.4E+00
2.0E+00
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1.6E+00
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1.3E-04
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4.7E-05
9.2E-05
3.9E-05
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1.9E-01
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7.1E-02
1.8E-01
3.6E-05
5.3E-06
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2.5E-05
1.0E-05
2.4E-05
3.2E-04
7.5E-05
1.2E-04
1.5E-04
1.7E-04
3.0E-04
3
Tableau 38 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m Points Cibles Habitations 1/3
page 100
HAB_8
2.9E-02
9.2E-03
5.5E-05
4.6E-03
8.8E-05
1.1E-02
6.5E-01
7.9E-05
3.0E+01
3.3E-01
7.4E-04
7.0E-04
4.1E-04
7.9E-03
7.3E-06
3.0E-05
8.1E-03
1.6E-02
ERP_18
4.5E+00
4.3E+00
3.9E-03
7.1E+00
1.1E-04
1.7E-01
2.8E-05
3.0E-04
HAB_9
3.2E-02
9.3E-03
6.2E-05
4.9E-03
9.7E-05
1.2E-02
7.0E-01
9.0E-05
3.2E+01
4.9E-01
8.2E-04
7.8E-04
4.5E-04
8.3E-03
9.2E-06
3.9E-05
1.0E-02
1.7E-02
ERP_19
4.8E+00
4.4E+00
4.4E-03
6.6E+00
9.7E-05
2.1E-01
2.6E-05
3.3E-04
HAB_10
5.9E-02
2.3E-02
4.8E-05
1.3E-02
1.0E-04
3.4E-02
7.4E-01
9.4E-05
4.8E+01
4.0E-01
9.1E-04
8.8E-04
6.4E-04
2.2E-02
5.7E-06
9.9E-06
5.4E-03
3.3E-02
ERP_20
5.3E+00
4.6E+00
6.0E-03
6.0E+00
4.5E-05
2.2E-01
1.2E-05
4.3E-04
HAB_11
1.2E-01
4.9E-02
5.8E-05
2.7E-02
1.5E-04
7.3E-02
1.0E+00
1.3E-04
8.2E+01
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
DREAL Rhône-Alpes
HAB_1
1.8E-01
1.5E-02
4.6E-05
1.2E-03
6.0E-02
7.9E-04
5.2E+01
2.7E-03
7.1E-10
4.4E+00
4.2E+00
4.0E-03
7.1E+00
1.6E-04
1.7E-01
4.4E-05
3.1E-04
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
HAB_12
8.5E-02
3.3E-02
5.6E-05
1.8E-02
1.1E-04
4.8E-02
7.8E-01
1.3E-04
5.7E+01
HAB_14
1.2E-01
5.2E-02
4.6E-05
3.3E-02
1.3E-04
8.1E-02
8.7E-01
1.4E-04
9.3E+01
HAB_15
8.9E-02
3.6E-02
5.9E-05
1.9E-02
1.3E-04
5.4E-02
9.6E-01
1.2E-04
6.7E+01
HAB_16
1.1E-01
4.5E-02
5.8E-05
2.3E-02
1.4E-04
6.7E-02
1.0E+00
1.2E-04
7.7E+01
HAB_13
1.2E-01
5.0E-02
4.9E-05
2.6E-02
1.2E-04
7.3E-02
8.5E-01
1.3E-04
7.6E+01
HAB_17
1.1E-01
4.8E-02
6.4E-05
2.4E-02
1.5E-04
7.1E-02
1.1E+00
1.3E-04
8.1E+01
HAB_2
HAB_3
HAB_4
HAB_5
HAB_6
HAB_7
1.5E-01
1.3E-01
1.2E-01
1.2E-01
2.1E-01
2.2E-01
1.4E-02
1.3E-02
1.3E-02
1.2E-02
9.5E-03
8.9E-03
5.0E-05
5.2E-05
5.0E-05
4.8E-05
3.5E-05
3.9E-05
1.1E-03
8.9E-04
7.5E-04
7.2E-04
6.4E-04
6.5E-04
5.0E-02
4.1E-02
3.4E-02
3.3E-02
3.1E-02
3.0E-02
7.4E-04
6.8E-04
6.1E-04
5.8E-04
4.1E-04
4.0E-04
4.5E+01
4.1E+01
3.6E+01
3.5E+01
2.8E+01
2.8E+01
2.6E-03
2.5E-03
2.3E-03
2.2E-03
1.6E-03
1.6E-03
7.1E-10
6.9E-10
6.6E-10
6.5E-10
5.0E-10
4.9E-10
4.1E+00
3.7E+00
3.3E+00
3.1E+00
2.1E+00
2.0E+00
3.9E+00
3.6E+00
3.3E+00
3.2E+00
2.1E+00
2.0E+00
3.3E-03
2.6E-03
2.1E-03
2.0E-03
1.7E-03
1.8E-03
8.4E+00
8.7E+00
7.9E+00
7.2E+00
3.0E+00
3.1E+00
8.2E-05
1.9E-04
2.1E-04
2.3E-04
5.5E-04
3.6E-04
1.3E-01
1.0E-01
7.9E-02
7.5E-02
7.2E-02
7.0E-02
2.2E-05
5.0E-05
5.6E-05
6.2E-05
1.5E-04
9.6E-05
2.6E-04
2.2E-04
1.8E-04
1.7E-04
1.4E-04
1.4E-04
Tableau 39 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Habitations 2/3
page 101
HAB_18
9.3E-02
3.7E-02
6.8E-05
1.9E-02
1.4E-04
5.5E-02
1.1E+00
1.2E-04
7.1E+01
HAB_8
6.3E-02
5.9E-03
3.1E-05
4.8E-04
2.4E-02
3.0E-04
1.8E+01
1.4E-03
4.0E-10
1.5E+00
1.5E+00
1.2E-03
3.5E+00
4.9E-04
5.3E-02
1.3E-04
9.4E-05
HAB_19
8.7E-02
3.4E-02
7.2E-05
1.8E-02
1.5E-04
5.0E-02
1.1E+00
1.2E-04
7.0E+01
HAB_9
7.3E-02
4.0E-03
3.6E-05
5.3E-04
2.5E-02
3.3E-04
2.1E+01
1.5E-03
4.5E-10
1.7E+00
1.7E+00
1.3E-03
4.5E+00
6.6E-04
5.5E-02
1.7E-04
1.0E-04
HAB_20
8.1E-02
3.2E-02
7.6E-05
1.6E-02
1.5E-04
4.5E-02
1.2E+00
1.2E-04
6.8E+01
HAB_10
1.2E-01
1.3E-02
2.2E-05
1.0E-03
4.5E-02
5.0E-04
4.6E+01
1.9E-03
4.4E-10
2.9E+00
2.6E+00
3.5E-03
3.6E+00
1.7E-04
1.2E-01
4.6E-05
2.5E-04
DREAL Rhône-Alpes
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
HAB_11
5.3E-01
1.4E-03
1.3E-03
1.1E-03
4.5E-02
6.4E-06
6.1E-06
6.6E-03
7.3E-02
2.5E-01
2.8E-03
2.3E-05
1.9E-03
8.4E-02
9.0E-04
8.7E+01
3.1E-03
6.1E-10
5.5E+00
4.6E+00
7.1E-03
3.9E+00
1.0E-04
2.6E-01
2.7E-05
4.9E-04
HAB_12
1.1E+00
1.2E-03
1.1E-03
8.1E-04
2.9E-02
1.4E-05
8.1E-06
1.4E-02
5.1E-02
1.9E-01
2.7E-03
2.5E-05
1.3E-03
5.8E-02
6.4E-04
5.7E+01
2.4E-03
4.7E-10
3.6E+00
3.1E+00
4.6E-03
4.0E+00
5.9E-05
1.8E-01
1.6E-05
3.3E-04
HAB_14
2.6E-01
1.4E-03
1.4E-03
1.3E-03
5.5E-02
5.0E-06
3.1E-06
5.6E-03
7.2E-02
2.5E-01
3.5E-03
1.9E-05
2.3E-03
9.1E-02
1.0E-03
1.1E+02
3.4E-03
5.9E-10
6.1E+00
4.9E+00
8.5E-03
2.4E+00
2.3E-05
2.6E-01
6.1E-06
5.9E-04
HAB_15
4.3E-01
1.2E-03
1.1E-03
9.5E-04
3.2E-02
1.5E-05
4.5E-06
2.3E-02
5.6E-02
1.9E-01
1.3E-02
2.6E-05
1.4E-03
6.1E-02
7.1E-04
6.2E+01
2.4E-03
5.6E-10
4.3E+00
3.7E+00
4.9E-03
3.1E+00
4.0E-05
2.0E-01
1.1E-05
3.6E-04
HAB_16
3.7E-01
1.3E-03
1.2E-03
1.1E-03
3.9E-02
1.1E-05
4.8E-06
1.8E-02
6.9E-02
2.2E-01
1.3E-02
2.6E-05
1.7E-03
7.3E-02
8.3E-04
7.5E+01
2.8E-03
6.0E-10
5.0E+00
4.3E+00
6.0E-03
3.0E+00
7.8E-05
2.5E-01
2.1E-05
4.3E-04
HAB_13
6.0E-01
1.3E-03
1.2E-03
1.0E-03
4.4E-02
9.3E-06
4.0E-06
1.0E-02
7.6E-02
2.5E-01
3.1E-03
2.1E-05
1.8E-03
8.2E-02
8.6E-04
8.2E+01
2.9E-03
5.2E-10
5.1E+00
4.1E+00
6.8E-03
3.1E+00
7.8E-05
2.7E-01
2.1E-05
4.7E-04
page 102
HAB_17
6.5E-01
1.3E-03
1.3E-03
1.2E-03
4.0E-02
9.1E-06
5.6E-06
1.6E-02
7.5E-02
2.4E-01
1.5E-02
2.8E-05
1.8E-03
7.8E-02
8.9E-04
7.8E+01
2.9E-03
6.5E-10
5.3E+00
4.6E+00
6.3E-03
3.6E+00
9.7E-05
2.7E-01
2.6E-05
4.5E-04
HAB_18
1.2E+00
1.2E-03
1.2E-03
1.1E-03
3.2E-02
1.4E-05
6.7E-06
1.6E-02
5.9E-02
2.1E-01
1.5E-02
3.1E-05
1.4E-03
6.3E-02
7.7E-04
6.4E+01
2.5E-03
6.4E-10
4.6E+00
4.1E+00
4.9E-03
3.9E+00
6.0E-05
2.1E-01
1.6E-05
3.6E-04
HAB_19
1.1E+00
1.2E-03
1.2E-03
1.1E-03
3.0E-02
1.5E-05
7.7E-06
1.3E-02
5.4E-02
2.0E-01
1.6E-02
3.3E-05
1.3E-03
6.1E-02
7.6E-04
6.0E+01
2.5E-03
6.6E-10
4.6E+00
4.1E+00
4.6E-03
4.1E+00
1.2E-04
1.9E-01
3.2E-05
3.4E-04
HAB_20
1.0E+00
1.2E-03
1.2E-03
1.1E-03
2.7E-02
1.5E-05
8.5E-06
1.9E-02
5.0E-02
1.9E-01
1.5E-02
3.5E-05
1.3E-03
5.8E-02
7.5E-04
5.6E+01
2.4E-03
6.8E-10
4.5E+00
4.1E+00
4.2E-03
4.1E+00
1.3E-04
1.8E-01
3.5E-05
3.2E-04
DREAL Rhône-Alpes
Acétaldéhyde
Acroléine
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
1,3 butadiène
Benzène
Cadmium
Monoxyde de carbone
Chlorométhane
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Formaldéhyde
Acide chlorhydrique
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Oxydes d'azote
Plomb
HAB_21
9.3E-02
3.8E-02
8.9E-05
1.9E-02
1.6E-04
5.1E-02
1.2E+00
1.5E-04
7.4E+01
8.0E-01
1.5E-03
1.5E-03
1.3E-03
3.1E-02
1.3E-05
9.5E-06
2.2E-02
6.1E-02
2.1E-01
1.6E-02
4.2E-05
1.4E-03
6.9E-02
8.6E-04
5.9E+01
2.9E-03
7.3E-10
HAB_22
5.2E-02
1.5E-02
9.0E-05
8.2E-03
1.3E-04
2.0E-02
1.2E+00
1.4E-04
5.1E+01
1.1E+00
1.3E-03
1.3E-03
9.3E-04
1.4E-02
3.3E-05
1.8E-05
6.6E-02
2.4E-02
1.5E-01
1.2E-02
4.6E-05
7.6E-04
3.6E-02
5.7E-04
3.8E+01
2.1E-03
6.3E-10
HAB_24
6.7E-02
2.1E-02
8.9E-05
1.1E-02
1.4E-04
2.7E-02
1.3E+00
1.5E-04
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1.4E+00
1.3E-03
1.3E-03
9.8E-04
1.9E-02
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1.7E-05
1.3E-01
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2.0E-01
1.4E-02
4.6E-05
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4.8E-02
6.4E-04
4.8E+01
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6.4E-10
HAB_25
6.5E-02
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4.5E-05
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1.1E-04
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1.8E-01
9.2E-04
9.0E-04
7.8E-04
2.8E-02
2.7E-06
4.4E-06
3.1E-03
3.7E-02
1.3E-01
2.6E-03
1.6E-05
1.2E-03
5.1E-02
5.9E-04
5.7E+01
2.0E-03
4.8E-10
HAB_26
8.7E-02
3.5E-02
8.0E-05
1.8E-02
1.5E-04
4.9E-02
1.2E+00
1.3E-04
7.1E+01
9.1E-01
1.3E-03
1.3E-03
1.2E-03
2.9E-02
1.4E-05
9.0E-06
2.0E-02
5.5E-02
2.0E-01
1.6E-02
3.7E-05
1.4E-03
6.3E-02
8.0E-04
5.8E+01
2.6E-03
7.0E-10
HAB_23
4.3E-02
1.3E-02
8.7E-05
7.0E-03
1.3E-04
1.7E-02
1.1E+00
1.3E-04
4.7E+01
8.8E-01
1.2E-03
1.2E-03
8.6E-04
1.2E-02
2.4E-05
1.7E-05
4.0E-02
2.0E-02
1.2E-01
1.2E-02
4.3E-05
6.7E-04
3.1E-02
5.2E-04
3.2E+01
2.0E-03
6.0E-10
HAB_27
1.0E-01
2.2E-02
9.2E-05
9.7E-03
1.8E-04
2.3E-02
8.7E-01
1.6E-04
4.7E+01
1.7E+00
1.3E-03
1.3E-03
6.8E-04
1.6E-02
4.9E-05
6.5E-05
2.4E-02
3.5E-02
2.3E-01
6.3E-03
5.9E-05
9.4E-04
7.2E-02
5.6E-04
3.9E+01
2.5E-03
6.0E-10
Tableau 40 : concentrations en moyenne annuelle en µg/m3 Points Cibles Habitations 3/3
page 103
HAB_28
5.5E-02
1.5E-02
7.0E-05
7.2E-03
1.1E-04
1.7E-02
5.5E-01
1.1E-04
3.0E+01
6.1E-01
1.0E-03
9.3E-04
4.4E-04
1.2E-02
1.9E-05
7.9E-05
1.9E-02
2.9E-02
1.2E-01
4.7E-03
5.5E-05
7.4E-04
5.0E-02
4.3E-04
2.5E+01
2.0E-03
4.6E-10
HAB_29
7.5E-02
2.9E-02
1.0E-04
1.5E-02
1.6E-04
4.0E-02
1.2E+00
1.7E-04
6.7E+01
7.4E-01
1.6E-03
1.6E-03
1.2E-03
2.5E-02
1.3E-05
1.1E-05
2.5E-02
4.8E-02
1.7E-01
1.5E-02
4.9E-05
1.2E-03
5.8E-02
8.0E-04
5.1E+01
2.8E-03
7.3E-10
DREAL Rhône-Alpes
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Dioxyde de soufre
Tetrachloroéthène
Toluène
Trichloroéthylène
Vanadium
HAB_21
5.0E+00
4.5E+00
4.8E-03
5.5E+00
7.4E-05
2.1E-01
2.0E-05
3.6E-04
HAB_22
3.1E+00
3.1E+00
2.1E-03
6.5E+00
2.8E-04
8.3E-02
7.3E-05
1.8E-04
HAB_24
3.5E+00
3.4E+00
2.9E-03
6.8E+00
2.6E-04
1.2E-01
7.0E-05
2.3E-04
HAB_25
3.8E+00
3.3E+00
4.4E-03
2.3E+00
6.4E-05
1.3E-01
1.7E-05
3.0E-04
HAB_26
4.7E+00
4.3E+00
4.6E-03
4.4E+00
1.4E-04
2.0E-01
3.7E-05
3.4E-04
HAB_23
2.8E+00
2.8E+00
1.8E-03
5.7E+00
2.7E-04
7.0E-02
7.2E-05
1.6E-04
page 104
HAB_27
2.7E+00
2.5E+00
2.6E-03
8.7E+00
2.8E-03
1.4E-01
7.4E-04
2.1E-04
HAB_28
1.6E+00
1.4E+00
1.9E-03
4.9E+00
2.1E-03
1.1E-01
5.5E-04
1.4E-04
HAB_29
4.5E+00
4.2E+00
3.9E-03
7.8E+00
1.6E-04
1.7E-01
4.2E-05
3.0E-04
page 105
Annexe 4 : Cartes de concentration en moyenne
annuelle
DREAL Rhône-Alpes
page 106
Figure 33 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en dioxyde de soufre
DREAL Rhône-Alpes
page 107
Figure 34 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en oxydes d'azote en
équivalent NO2
DREAL Rhône-Alpes
page 108
des PM10
DREAL Rhône-Alpes
page 109
des PM2,5
DREAL Rhône-Alpes
page 110
Figure 37 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en arsenic
DREAL Rhône-Alpes
page 111
Figure 38 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en cadmium
DREAL Rhône-Alpes
page 112
Figure 39 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en chrome III
DREAL Rhône-Alpes
page 113
Figure 40 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en chrome VI
DREAL Rhône-Alpes
page 114
Figure 41 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en mercure
DREAL Rhône-Alpes
page 115
Figure 42 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en nickel
DREAL Rhône-Alpes
page 116
Figure 43 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en plomb
DREAL Rhône-Alpes
page 117
Figure 44 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en benzène
DREAL Rhône-Alpes
page 118
Figure 45 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en Dichlorométhane
DREAL Rhône-Alpes
page 119
Figure 46 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en 1-2 Dichloroéthane
DREAL Rhône-Alpes
page 120
Figure 47 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en cumène
DREAL Rhône-Alpes
page 121
Figure 48 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en formaldéhyde
DREAL Rhône-Alpes
page 122
Figure 49 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en benzo(a)pyrène
DREAL Rhône-Alpes
page 123
Figure 50 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en naphtalène
DREAL Rhône-Alpes
page 124
Figure 51 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en fg/m3) en dioxines et furanes
DREAL Rhône-Alpes
page 125
Figure 52 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en acétaldéhyde
DREAL Rhône-Alpes
page 126
Figure 53 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en chlorométhane
DREAL Rhône-Alpes
page 127
Figure 54 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en phénol
DREAL Rhône-Alpes
page 128
Figure 55 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en acide chlorhydrique
DREAL Rhône-Alpes
page 129
Figure 56 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en µg/m3) en baryum
DREAL Rhône-Alpes
page 130
Figure 57 : cartographie des concentrations moyenne annuelle (en ng/m3) en cuivre
DREAL Rhône-Alpes
page 131
Annexe 5 : Dépôts au niveau des points cibles
DREAL Rhône-Alpes
DREAL Rhône-Alpes
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome III
Arsenic
Étiquettes de
lignes
1.4E-02
1.4E-02
7.1E-03
2.5E-02
2.1E-01
1.5E-02
9.7E-03
6.5E-03
2.8E-02
2.3E-01
Autres 2
1.1E-02
2.1E-02
7.0E-03
1.7E-02
1.8E-01
1.7E-01
1.4E-01
3.6E-02
1.5E-03
1.6E-01
3.1E+00
9.7E-02
3.4E-01
6.7E-09
6.0E+03
2.5E+03
5.5E-01
4.1E-02
Autres 1
9.8E-03
1.9E-02
6.5E-03
1.7E-02
1.6E-01
1.6E-01
1.3E-01
3.2E-02
1.3E-03
1.5E-01
2.8E+00
8.7E-02
3.2E-01
5.7E-09
5.4E+03
2.2E+03
4.9E-01
3.8E-02
8.0E-03
9.9E-03
5.0E-03
1.1E-02
1.1E-01
1.1E-01
9.5E-02
1.7E-02
1.1E-03
8.4E-02
1.5E+00
5.7E-02
2.0E-01
3.2E-09
3.6E+03
1.6E+03
2.5E-01
2.0E-02
Autres 3
1.5E-02
1.0E-02
6.8E-03
2.4E-02
2.1E-01
Cultures 4
1.4E-02
7.9E-03
6.4E-03
2.1E-02
1.9E-01
Cultures 5
1.0E-02
6.8E-03
4.8E-03
1.6E-02
1.4E-01
Cultures 6
1.3E-02
7.3E-03
6.1E-03
2.1E-02
1.8E-01
Cultures 3
1.1E-02
1.6E-02
6.6E-03
1.7E-02
1.6E-01
Cultures 7
7.2E-03
3.8E-02
6.5E-03
1.7E-02
1.8E-01
1.8E-01
1.5E-01
6.4E-02
8.6E-04
2.6E-01
4.6E+00
1.2E-01
4.2E-01
1.1E-08
8.0E+03
2.9E+03
9.8E-01
6.8E-02
Autres 4
Tableau 42 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Cultures 1/3
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
Naphtalène
Nickel
Plomb
Mercure
Manganèse
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Arsenic
Baryum
Cultures 2
page 132
Tableau 41 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Autres
Étiquettes de
lignes
Cultures 1
1.0E-02
1.8E-02
6.6E-03
1.7E-02
1.6E-01
Cultures 8
9.0E-03
1.8E-02
6.0E-03
1.6E-02
1.5E-01
Cultures 9
2.8E-02
1.1E-02
7.1E-03
6.2E-02
4.6E-01
Cultures 10
DREAL Rhône-Alpes
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Plomb
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Arsenic
Baryum
Étiquettes de
lignes
Vanadium
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Étiquettes de
lignes
Cultures 12
1.2E-02
9.4E-03
5.3E-03
2.0E-02
1.7E-01
8.5E-02
1.6E-02
1.7E-03
9.2E-02
1.8E+00
6.2E-02
2.9E-01
1.1E-02
6.2E-03
5.0E-03
1.6E-02
1.4E-01
8.8E-02
1.1E-02
1.5E-03
6.7E-02
1.2E+00
5.5E-02
2.3E-01
1.4E-01
2.4E-02
2.0E-03
1.3E-01
2.5E+00
9.1E-02
3.5E-01
4.7E-09
5.0E+03
2.2E+03
3.7E-01
3.1E-02
1.2E-01
1.6E-02
1.8E-03
9.8E-02
1.8E+00
8.1E-02
3.5E-01
4.0E-09
3.8E+03
1.8E+03
2.6E-01
2.4E-02
Cultures 11
Cultures 2
Cultures 1
1.3E-01
1.7E-02
2.2E-03
9.8E-02
1.8E+00
8.1E-02
3.3E-01
3.6E-09
4.3E+03
2.0E+03
2.6E-01
2.4E-02
Cultures 4
1.2E-01
1.3E-02
2.2E-03
8.2E-02
1.5E+00
7.4E-02
2.9E-01
2.9E-09
3.8E+03
1.8E+03
2.1E-01
2.0E-02
Cultures 5
7.9E-02
1.1E-02
1.5E-03
7.2E-02
1.3E+00
5.3E-02
2.4E-01
4.5E-09
2.5E+03
1.2E+03
1.8E-01
1.6E-02
Cultures 6
1.4E-02
9.1E-03
5.0E-03
2.1E-02
1.6E-01
7.7E-02
1.5E-02
1.4E-03
9.0E-02
1.5E+00
5.9E-02
4.2E-01
Cultures 14
1.6E-02
7.8E-03
4.9E-03
2.3E-02
1.8E-01
7.7E-02
1.3E-02
1.7E-03
8.6E-02
1.3E+00
6.0E-02
4.6E-01
Cultures 15
8.7E-03
2.1E-02
5.5E-03
1.7E-02
1.5E-01
1.0E-01
3.5E-02
1.1E-03
1.6E-01
3.0E+00
8.2E-02
3.3E-01
Cultures 16
1.1E-02
1.1E-02
5.3E-03
2.0E-02
1.6E-01
8.8E-02
1.9E-02
1.5E-03
9.8E-02
1.9E+00
6.3E-02
3.2E-01
Cultures 13
1.2E-01
1.3E-02
2.0E-03
7.9E-02
1.4E+00
7.0E-02
2.8E-01
3.1E-09
3.6E+03
1.7E+03
1.9E-01
1.9E-02
Cultures 3
page 133
8.9E-03
6.4E-03
3.9E-03
1.3E-02
1.2E-01
5.6E-02
1.1E-02
1.5E-03
7.0E-02
1.3E+00
4.4E-02
2.4E-01
Cultures 17
1.3E-01
2.7E-02
1.5E-03
1.3E-01
2.5E+00
8.4E-02
3.1E-01
5.3E-09
5.1E+03
2.2E+03
4.2E-01
3.3E-02
Cultures 7
9.0E-03
5.6E-03
3.8E-03
1.2E-02
1.1E-01
5.3E-02
9.5E-03
1.7E-03
6.7E-02
1.1E+00
4.2E-02
2.3E-01
Cultures 18
1.3E-01
3.1E-02
1.3E-03
1.5E-01
2.7E+00
8.6E-02
3.2E-01
5.6E-09
5.3E+03
2.2E+03
4.7E-01
3.6E-02
Cultures 8
7.9E-03
6.2E-03
3.6E-03
1.5E-02
1.1E-01
5.3E-02
1.0E-02
1.0E-03
6.0E-02
1.2E+00
4.1E-02
2.1E-01
Cultures 19
1.1E-01
3.0E-02
1.2E-03
1.4E-01
2.6E+00
7.8E-02
3.0E-01
5.2E-09
4.8E+03
2.0E+03
4.6E-01
3.5E-02
Cultures 9
7.4E-03
5.3E-03
3.4E-03
1.2E-02
1.0E-01
5.1E-02
8.9E-03
9.6E-04
5.4E-02
9.9E-01
3.8E-02
1.8E-01
Cultures 20
1.4E-01
1.8E-02
2.0E-03
1.2E-01
2.0E+00
1.2E-01
6.4E-01
4.7E-09
3.9E+03
1.8E+03
3.0E-01
3.3E-02
Cultures 10
5.1E-09
3.0E+03
1.3E+03
2.5E-01
2.2E-02
Cultures 22
1.2E-02
9.5E-03
5.2E-03
1.9E-02
1.7E-01
1.6E-01
8.3E-02
1.6E-02
1.5E-03
9.0E-02
1.7E+00
5.9E-02
3.3E-01
3.2E-09
3.1E+03
1.4E+03
2.5E-01
2.3E-02
3.2E-09
2.6E+03
1.3E+03
1.6E-01
1.5E-02
Cultures 21
9.0E-03
5.3E-03
4.0E-03
1.2E-02
1.2E-01
1.1E-01
5.5E-02
9.0E-03
1.8E-03
6.5E-02
1.1E+00
4.4E-02
2.2E-01
6.2E-09
1.8E+03
8.5E+02
1.4E-01
1.2E-02
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
Étiquettes de
lignes
DREAL Rhône-Alpes
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Cadmium
Chrome
Chrome III
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cultures 12
Cultures 11
Étiquettes de
lignes
1.5E-02
9.2E-03
5.4E-03
2.3E-02
2.0E-01
1.9E-01
8.3E-02
1.6E-02
1.5E-03
9.4E-02
1.5E+00
6.4E-02
4.7E-01
3.1E-09
3.0E+03
1.3E+03
2.4E-01
2.6E-02
Cultures 24
3.2E-09
2.8E+03
1.3E+03
2.4E-01
2.4E-02
Cultures 14
9.4E-03
2.6E-02
6.8E-03
1.7E-02
1.7E-01
1.7E-01
1.4E-01
4.3E-02
1.2E-03
1.9E-01
3.5E+00
1.0E-01
3.6E-01
7.3E-09
6.4E+03
2.6E+03
6.5E-01
4.8E-02
Cultures 25
4.2E-09
2.6E+03
1.2E+03
2.1E-01
2.3E-02
Cultures 15
1.3E-02
1.9E-02
7.3E-03
2.1E-02
2.0E-01
2.0E-01
1.5E-01
3.1E-02
1.8E-03
1.5E-01
3.0E+00
9.9E-02
3.6E-01
6.1E-09
5.8E+03
2.5E+03
4.8E-01
3.8E-02
Cultures 26
6.3E-09
4.9E+03
2.0E+03
5.4E-01
4.0E-02
Cultures 16
1.2E-02
9.3E-03
5.2E-03
2.0E-02
1.7E-01
1.6E-01
8.5E-02
1.6E-02
1.6E-03
8.7E-02
1.6E+00
6.0E-02
3.0E-01
2.8E-09
3.2E+03
1.4E+03
2.4E-01
2.2E-02
Cultures 23
3.1E-09
3.5E+03
1.5E+03
2.9E-01
2.5E-02
Cultures 13
page 134
1.4E-02
1.4E-02
7.3E-03
2.5E-02
2.2E-01
2.1E-01
1.5E-01
2.4E-02
2.2E-03
1.2E-01
2.4E+00
9.3E-02
3.5E-01
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Cultures 27
6.7E-09
1.7E+03
8.0E+02
1.7E-01
1.4E-02
Cultures 17
1.5E-02
1.4E-02
7.3E-03
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2.2E-01
2.1E-01
1.5E-01
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1.2E-01
2.3E+00
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3.4E-01
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2.3E+03
3.5E-01
3.0E-02
Cultures 28
5.4E-09
1.7E+03
7.9E+02
1.5E-01
1.3E-02
Cultures 18
8.4E-03
5.7E-03
4.1E-03
1.2E-02
9.9E-02
9.4E-02
5.5E-02
9.6E-03
1.5E-03
6.3E-02
1.1E+00
4.0E-02
2.0E-01
5.5E-09
1.9E+03
9.0E+02
1.5E-01
1.3E-02
Cultures 29
2.8E-09
1.6E+03
7.6E+02
1.6E-01
1.4E-02
Cultures 19
9.5E-03
7.0E-03
3.8E-03
1.5E-02
1.2E-01
1.1E-01
5.8E-02
1.2E-02
1.7E-03
7.2E-02
1.2E+00
4.5E-02
2.6E-01
6.7E-09
2.0E+03
9.1E+02
1.8E-01
1.6E-02
Cultures 30
3.2E-09
1.5E+03
7.0E+02
1.4E-01
1.2E-02
Cultures 20
DREAL Rhône-Alpes
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
Naphtalène
Nickel
Plomb
Mercure
Manganèse
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Arsenic
Baryum
Étiquettes de
lignes
9.7E-03
9.7E-03
5.2E-03
1.5E-02
1.3E-01
1.3E-01
7.5E-02
1.6E-02
1.3E-03
8.9E-02
1.5E+00
5.3E-02
2.7E-01
4.7E-09
3.0E+03
1.4E+03
2.5E-01
2.1E-02
1.0E-02
7.7E-03
4.6E-03
1.6E-02
1.4E-01
1.3E-01
6.7E-02
1.3E-02
1.5E-03
7.9E-02
1.3E+00
5.1E-02
3.1E-01
4.2E-09
2.4E+03
1.1E+03
2.0E-01
1.8E-02
8.1E-03
1.8E-02
5.0E-03
1.6E-02
1.4E-01
1.4E-01
9.1E-02
3.0E-02
1.1E-03
1.4E-01
2.6E+00
7.1E-02
2.9E-01
5.4E-09
4.1E+03
1.7E+03
4.6E-01
3.4E-02
Cultures 33
7.1E-03
2.6E-02
5.3E-03
1.6E-02
1.5E-01
1.4E-01
1.1E-01
4.3E-02
9.9E-04
1.8E-01
3.4E+00
8.9E-02
3.3E-01
8.0E-09
5.5E+03
2.1E+03
6.6E-01
4.7E-02
Cultures 34
Cultures 32
Cultures 31
page 135
9.1E-03
1.9E-02
6.1E-03
1.6E-02
1.6E-01
1.5E-01
1.1E-01
3.1E-02
1.2E-03
1.4E-01
2.7E+00
8.0E-02
3.0E-01
5.4E-09
5.0E+03
2.1E+03
4.8E-01
3.6E-02
Cultures 35
6.2E-03
5.0E-03
4.1E-03
6.8E-03
7.4E-02
7.1E-02
4.8E-02
8.5E-03
8.5E-04
5.2E-02
9.6E-01
3.1E-02
1.4E-01
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2.1E+03
1.0E+03
1.3E-01
1.0E-02
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1.5E-02
1.5E-01
1.5E-01
1.2E-01
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1.2E-03
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8.6E-02
3.1E-01
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1.1E-01
1.1E-01
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1.3E-03
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1.4E+00
4.7E-02
2.0E-01
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1.8E-01
1.4E-02
ERP_3
6.4E-03
1.0E-02
5.2E-03
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9.3E-02
9.1E-02
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1.8E-02
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8.9E-02
1.5E+00
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1.8E-01
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3.6E+03
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2.7E-01
2.0E-02
ERP_4
4.9E-03
6.1E-03
3.5E-03
6.6E-03
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6.5E-02
5.1E-02
1.0E-02
5.8E-04
5.4E-02
1.0E+00
3.2E-02
1.2E-01
1.7E-09
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1.6E-01
1.3E-02
ERP_5
5.1E-03
5.3E-03
3.5E-03
6.9E-03
6.6E-02
6.5E-02
5.1E-02
8.9E-03
6.3E-04
4.9E-02
8.7E-01
3.1E-02
1.2E-01
1.5E-09
2.0E+03
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1.4E-01
1.2E-02
ERP_6
4.2E-03
4.5E-03
2.9E-03
5.9E-03
6.4E-02
6.1E-02
4.0E-02
7.5E-03
4.9E-04
4.2E-02
8.6E-01
2.5E-02
1.1E-01
1.7E-09
1.4E+03
6.5E+02
1.2E-01
8.9E-03
ERP_7
ERP_12
1.4E-02
1.6E-02
7.5E-03
2.4E-02
1.2E-02
2.2E-02
8.0E-03
1.9E-02
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
8.4E-03
5.6E-03
5.1E-03
1.2E-02
ERP_14
7.7E-03
7.2E-03
4.9E-03
1.1E-02
ERP_15
5.9E-03
8.3E-03
4.2E-03
8.4E-03
ERP_16
7.3E-03
3.9E-03
5.5E-03
6.4E-03
ERP_13
1.2E-02
1.5E-02
6.9E-03
2.1E-02
ERP_17
Tableau 46 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Etablissements Sensibles 2/2
ERP_2
ERP_1
ERP_11
DREAL Rhône-Alpes
page 136
Tableau 45 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Etablissements Sensibles 1/2
Étiquettes de
lignes
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Vanadium
Naphtalène
Nickel
Plomb
Mercure
Manganèse
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Arsenic
Baryum
Étiquettes de
lignes
1.4E-02
1.5E-02
7.4E-03
2.3E-02
ERP_18
9.9E-03
4.1E-02
8.0E-03
2.0E-02
2.2E-01
2.1E-01
1.9E-01
6.8E-02
1.3E-03
2.9E-01
5.2E+00
1.4E-01
4.9E-01
1.2E-08
9.2E+03
3.5E+03
1.0E+00
7.4E-02
ERP_8
1.3E-02
1.7E-02
7.2E-03
2.1E-02
ERP_19
1.4E-02
1.4E-02
6.9E-03
2.4E-02
2.1E-01
2.0E-01
1.4E-01
2.3E-02
1.9E-03
1.2E-01
2.4E+00
8.7E-02
3.5E-01
4.5E-09
4.7E+03
2.1E+03
3.6E-01
3.0E-02
ERP_9
1.1E-02
2.3E-02
6.8E-03
2.0E-02
ERP_20
1.2E-02
2.4E-02
7.8E-03
1.8E-02
1.9E-01
1.9E-01
1.6E-01
4.0E-02
1.6E-03
1.8E-01
3.3E+00
1.1E-01
3.7E-01
7.3E-09
6.8E+03
2.8E+03
6.1E-01
4.6E-02
ERP_10
DREAL Rhône-Alpes
Manganèse
Naphtalène
Nickel
Cadmium
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Étiquettes de
lignes
Vanadium
Antimoine
Poussières PM2,5
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Manganèse
2.2E-01
2.2E-01
1.5E-01
2.7E-02
2.1E-03
1.4E-01
2.6E+00
9.7E-02
3.7E-01
4.8E-09
5.5E+03
2.4E+03
4.1E-01
3.3E-02
1.1E-01
1.0E-01
7.3E-02
9.6E-03
1.1E-03
6.0E-02
1.1E+00
4.2E-02
1.7E-01
2.1E-09
2.6E+03
1.3E+03
1.5E-01
1.3E-02
1.1E-01
1.0E-01
7.4E-02
1.2E-02
1.1E-03
6.8E-02
1.3E+00
4.5E-02
1.8E-01
2.4E-09
2.8E+03
1.3E+03
1.9E-01
1.5E-02
7.8E-02
7.6E-02
6.5E-02
1.4E-02
7.1E-04
7.1E-02
1.2E+00
4.1E-02
1.5E-01
2.4E-09
2.7E+03
1.2E+03
2.1E-01
1.7E-02
Tableau 47 : dépôts en µg/m2/j Points Cibles Habitations 1/3
8.1E-02
7.9E-02
6.3E-02
6.6E-03
7.6E-04
4.9E-02
9.2E-01
3.2E-02
1.3E-01
1.3E-09
2.8E+03
1.4E+03
1.0E-01
7.8E-03
page 137
1.9E-01
1.8E-01
1.4E-01
2.5E-02
1.8E-03
1.3E-01
2.5E+00
8.7E-02
3.2E-01
4.7E-09
5.0E+03
2.2E+03
3.9E-01
3.1E-02
2.1E-01
2.0E-01
1.5E-01
2.5E-02
2.1E-03
1.3E-01
2.5E+00
9.4E-02
3.5E-01
4.9E-09
5.3E+03
2.4E+03
3.9E-01
3.2E-02
2.0E-01
1.9E-01
1.5E-01
2.9E-02
1.9E-03
1.4E-01
2.8E+00
9.5E-02
3.4E-01
5.1E-09
5.5E+03
2.4E+03
4.4E-01
3.5E-02
1.4E-02
1.5E-02
7.2E-03
2.4E-02
2.2E-01
2.1E-01
1.4E-01
2.6E-02
1.9E-03
1.3E-01
2.6E+00
9.3E-02
1.4E-02
1.2E-02
6.9E-03
2.5E-02
2.2E-01
2.1E-01
1.4E-01
2.1E-02
2.1E-03
1.1E-01
2.2E+00
8.9E-02
1.4E-02
7.9E-03
6.4E-03
2.2E-02
2.0E-01
1.9E-01
1.2E-01
1.4E-02
2.2E-03
8.3E-02
1.5E+00
7.4E-02
1.3E-02
7.5E-03
6.3E-03
2.2E-02
1.9E-01
1.8E-01
1.2E-01
1.3E-02
2.0E-03
8.1E-02
1.4E+00
7.1E-02
1.0E-02
6.7E-03
4.9E-03
1.6E-02
1.5E-01
1.4E-01
7.9E-02
1.1E-02
1.5E-03
7.2E-02
1.3E+00
5.4E-02
1.5E-02
9.9E-03
6.8E-03
2.4E-02
2.2E-01
2.1E-01
1.3E-01
1.7E-02
2.2E-03
9.7E-02
1.8E+00
8.1E-02
1.0E-02
6.8E-03
4.4E-03
1.7E-02
1.5E-01
1.4E-01
7.4E-02
1.1E-02
1.5E-03
7.4E-02
1.3E+00
5.3E-02
8.0E-03
4.6E-03
4.0E-03
1.1E-02
9.7E-02
9.2E-02
5.3E-02
7.9E-03
1.3E-03
5.4E-02
9.7E-01
3.6E-02
8.9E-03
4.9E-03
4.3E-03
1.1E-02
1.1E-01
1.1E-01
5.8E-02
8.3E-03
1.6E-03
5.9E-02
9.9E-01
4.0E-02
Habitation 1 Habitation 2 Habitation 3 Habitation 4 Habitation 5 Habitation 6 Habitation 7 Habitation 8 Habitation 9
1.9E-01
1.9E-01
1.7E-01
3.7E-02
1.8E-03
1.7E-01
3.2E+00
1.1E-01
3.7E-01
6.5E-09
6.6E+03
2.8E+03
5.6E-01
4.3E-02
Habitation
10
7.6E-03
1.3E-02
4.8E-03
1.2E-02
1.1E-01
1.1E-01
7.5E-02
2.2E-02
1.0E-03
1.1E-01
2.0E+00
5.6E-02
1.9E-01
1.9E-01
1.5E-01
3.8E-02
1.7E-03
1.7E-01
3.2E+00
1.0E-01
3.6E-01
7.2E-09
6.1E+03
2.5E+03
5.9E-01
4.4E-02
3.5E-01
5.0E-09
5.2E+03
2.3E+03
4.0E-01
3.2E-02
Habitation
11
8.1E-03
2.7E-02
6.6E-03
1.6E-02
1.6E-01
1.6E-01
1.2E-01
4.5E-02
1.0E-03
2.0E-01
3.7E+00
9.6E-02
3.5E-01
7.8E-09
6.4E+03
2.5E+03
6.9E-01
4.9E-02
Étiquettes de
lignes
DREAL Rhône-Alpes
Antimoine
Vanadium
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Manganèse
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Arsenic
Vanadium
page 138
3.2E-01
3.5E-09
4.3E+03
2.0E+03
2.6E-01
2.4E-02
3.0E-01
3.0E-09
3.8E+03
1.8E+03
2.1E-01
2.0E-02
2.9E-01
3.2E-09
3.6E+03
1.7E+03
2.0E-01
1.9E-02
2.4E-01
4.8E-09
2.5E+03
1.2E+03
1.8E-01
1.6E-02
Habitation
14
6.6E-03
3.3E-02
6.1E-03
1.5E-02
1.6E-01
1.6E-01
1.4E-01
5.5E-02
8.3E-04
2.3E-01
4.0E+00
1.1E-01
3.7E-01
9.2E-09
7.0E+03
2.7E+03
8.4E-01
5.9E-02
Habitation
15
9.1E-03
1.9E-02
5.8E-03
1.6E-02
1.5E-01
1.5E-01
1.1E-01
3.2E-02
1.1E-03
1.5E-01
2.7E+00
8.1E-02
3.1E-01
5.4E-09
4.9E+03
2.0E+03
4.9E-01
3.7E-02
Habitation
16
8.8E-03
2.3E-02
6.3E-03
1.6E-02
1.6E-01
1.6E-01
1.2E-01
3.9E-02
1.1E-03
1.7E-01
3.2E+00
9.2E-02
3.4E-01
6.6E-09
5.8E+03
2.3E+03
5.9E-01
4.4E-02
Habitation
13
7.6E-03
2.6E-02
5.7E-03
1.7E-02
1.6E-01
1.5E-01
1.2E-01
4.4E-02
9.1E-04
1.9E-01
3.6E+00
9.3E-02
3.3E-01
7.4E-09
5.8E+03
2.2E+03
6.7E-01
4.8E-02
2.5E-01
5.0E-09
2.3E+03
1.1E+03
1.8E-01
1.6E-02
Habitation
17
9.5E-03
2.4E-02
6.8E-03
1.7E-02
1.7E-01
1.7E-01
1.4E-01
4.0E-02
1.2E-03
1.8E-01
3.4E+00
9.8E-02
3.5E-01
6.9E-09
6.2E+03
2.5E+03
6.2E-01
4.6E-02
Habitation
12
8.0E-03
1.8E-02
4.9E-03
1.7E-02
1.5E-01
1.4E-01
9.3E-02
2.9E-02
1.1E-03
1.3E-01
2.5E+00
7.1E-02
2.9E-01
5.3E-09
4.2E+03
1.7E+03
4.5E-01
3.4E-02
3.4E-01
4.0E-09
4.7E+03
2.1E+03
3.2E-01
2.8E-02
Habitation
18
1.0E-02
1.9E-02
6.5E-03
1.7E-02
1.7E-01
1.6E-01
1.3E-01
3.2E-02
1.3E-03
1.5E-01
2.8E+00
8.7E-02
3.2E-01
5.7E-09
5.4E+03
2.3E+03
4.9E-01
3.7E-02
1.7E-01
4.7E-09
1.7E+03
8.6E+02
1.2E-01
1.0E-02
Habitation
19
1.1E-02
1.8E-02
6.7E-03
1.7E-02
1.7E-01
1.6E-01
1.3E-01
3.0E-02
1.4E-03
1.4E-01
2.6E+00
8.7E-02
3.2E-01
5.9E-09
5.3E+03
2.3E+03
4.5E-01
3.5E-02
2.0E-01
4.7E-09
2.0E+03
9.5E+02
1.3E-01
1.1E-02
Habitation 1 Habitation 2 Habitation 3 Habitation 4 Habitation 5 Habitation 6 Habitation 7 Habitation 8 Habitation 9
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Antimoine
Étiquettes de
lignes
Habitation
20
1.1E-02
1.6E-02
6.8E-03
1.7E-02
1.7E-01
1.6E-01
1.3E-01
2.7E-02
1.5E-03
1.3E-01
2.5E+00
8.5E-02
3.1E-01
5.3E-09
5.2E+03
2.2E+03
4.2E-01
3.3E-02
Habitation
10
2.4E-01
4.5E-09
3.3E+03
1.4E+03
3.5E-01
2.6E-02
DREAL Rhône-Alpes
Antimoine
Vanadium
Naphtalène
Nickel
Plomb
Poussières PM10
Poussières PM2,5
Manganèse
Chrome
Chrome III
Chrome IV
Cuivre
Mercure
Arsenic
Baryum
Benzo(a)pyrène
Cadmium
Étiquettes de
lignes
Habitation
21
1.3E-02
1.9E-02
7.3E-03
2.1E-02
2.0E-01
2.0E-01
1.5E-01
3.1E-02
1.8E-03
1.5E-01
3.0E+00
9.8E-02
3.6E-01
6.0E-09
5.8E+03
2.5E+03
4.8E-01
3.7E-02
Habitation
22
1.4E-02
8.2E-03
6.2E-03
2.3E-02
2.1E-01
2.0E-01
1.2E-01
1.4E-02
1.8E-03
8.6E-02
1.5E+00
7.3E-02
3.1E-01
3.8E-09
3.6E+03
1.7E+03
2.2E-01
2.1E-02
Habitation
24
1.8E-02
1.1E-02
6.7E-03
3.4E-02
2.9E-01
2.7E-01
1.3E-01
1.9E-02
1.8E-03
1.1E-01
2.0E+00
8.9E-02
4.2E-01
4.6E-09
4.1E+03
1.9E+03
3.0E-01
2.7E-02
Habitation
25
6.3E-03
1.7E-02
5.1E-03
1.0E-02
1.1E-01
1.0E-01
8.7E-02
2.8E-02
7.3E-04
1.3E-01
2.2E+00
6.3E-02
2.3E-01
5.1E-09
4.4E+03
1.8E+03
4.3E-01
3.1E-02
Habitation
26
1.1E-02
1.8E-02
7.1E-03
1.8E-02
1.7E-01
1.7E-01
1.4E-01
2.9E-02
1.6E-03
1.4E-01
2.7E+00
9.1E-02
3.2E-01
5.6E-09
5.5E+03
2.4E+03
4.5E-01
3.5E-02
Habitation
23
1.2E-02
7.0E-03
5.8E-03
2.0E-02
1.7E-01
1.6E-01
1.1E-01
1.2E-02
1.8E-03
7.5E-02
1.3E+00
6.5E-02
2.7E-01
3.4E-09
3.3E+03
1.6E+03
1.8E-01
1.8E-02
Habitation
27
1.2E-02
9.7E-03
5.5E-03
1.9E-02
1.6E-01
1.5E-01
8.2E-02
1.6E-02
1.6E-03
9.2E-02
1.9E+00
6.0E-02
3.0E-01
4.5E-09
3.1E+03
1.4E+03
2.5E-01
2.2E-02
page 139
Habitation
28
8.2E-03
7.2E-03
3.7E-03
1.4E-02
1.2E-01
1.2E-01
5.6E-02
1.2E-02
1.2E-03
7.0E-02
1.4E+00
4.3E-02
2.1E-01
4.2E-09
1.8E+03
8.1E+02
1.9E-01
1.5E-02
Habitation
29
1.4E-02
1.5E-02
7.3E-03
2.5E-02
2.2E-01
2.1E-01
1.5E-01
2.5E-02
2.1E-03
1.3E-01
2.5E+00
9.5E-02
3.5E-01
4.7E-09
5.2E+03
2.3E+03
3.9E-01
3.2E-02
page 140
Annexe 6 : Cartes de dépôts
DREAL Rhône-Alpes
page 141
Figure 58 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en arsenic
DREAL Rhône-Alpes
page 142
Figure 59 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en benzo(a)pyrène
DREAL Rhône-Alpes
page 143
Figure 60 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en cadmium
DREAL Rhône-Alpes
page 144
Figure 61 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en chrome III
DREAL Rhône-Alpes
page 145
Figure 62 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en chrome VI
DREAL Rhône-Alpes
page 146
Figure 63 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en dioxines et furanes
DREAL Rhône-Alpes
page 147
Figure 64 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en naphtalène
DREAL Rhône-Alpes
page 148
Figure 65 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en nickel
DREAL Rhône-Alpes
page 149
Figure 66 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en plomb
DREAL Rhône-Alpes
page 150
Figure 67 : cartographie des dépôts (en µg/m2/j) en poussières assimilées à des PM10
DREAL Rhône-Alpes
page 151
Figure 68 : cartographie des dépôts (en µg/m2/j) en poussières assimilées à des PM2,5
DREAL Rhône-Alpes
page 152
Figure 69 : cartographie des dépôts (en ng/m2/s) en baryum
DREAL Rhône-Alpes
page 153
Figure 70 : cartographie des dépôts (en ng/m2/j) en cuivre
DREAL Rhône-Alpes
Annexe 7
Résultats des calculs de risques sanitaires
1.20E-03
7.74E-05
4.86E-05
2.00E-04
2.20E-06
2.12E-06
5.73E-03
8.10E-05
2.35E-06
1.00E-04
2.43E-02
1.40E-03
3.50E-05
3.99E-03
4.00E-03
mg/m3
Cair
1.20E-03
7.74E-05
4.86E-05
2.00E-04
2.20E-06
2.12E-06
5.73E-03
8.10E-05
2.35E-06
1.00E-04
2.43E-02
1.40E-03
3.50E-05
3.99E-03
4.00E-03
USEPA, 1991
USEPA, 2002
US EPA, 1998
ANSES,2009
USEPA, 1995
OEHHA, 2007
-
2.20E-06
3.00E-05
1.20E-02
3.40E-06
4.70E-07
2.50E-06
-
9.00E-03
2.00E-05
0.001
2.00E-03
0.06
1.00E-04
9.00E-02
0.001
0.4
3
1.04
1
2.00E-02
0.02
5
(mg/m3)
0727.01/RN005/gar
USEPA, 1991
USEPA,2003
RIVM, 2000
USEPA,2002
RIVM, 2000
US EPA, 1998
USEPA,2001
RIVM, 2000
USEPA, 1997
ATSDR, 2001
ATSDR, 2000
US EPA, 1991
USEPA, 1995
RIVM, 2000
US EPA, 2005
Source
VTR
Inhalation
Source
USEPA, 1991
USEPA, 2002
US EPA, 1998
ANSES,2009
USEPA, 1995
OEHHA, 2007
-
(µg/m3)-1
2.20E-06
3.00E-05
1.20E-02
3.40E-06
4.70E-07
2.50E-06
-
ERU Inhalation
9.00E-03
2.00E-05
0.001
2.00E-03
0.06
1.00E-04
9.00E-02
0.001
0.4
3
1.04
1
2.00E-02
0.02
5
USEPA, 1991
USEPA,2003
RIVM, 2000
USEPA,2002
RIVM, 2000
US EPA, 1998
USEPA,2001
RIVM, 2000
USEPA, 1997
ATSDR, 2001
ATSDR, 2000
US EPA, 1991
USEPA, 1995
RIVM, 2000
US EPA, 2005
VTR
Inhalation
Source
(mg/m3)
Valeurs toxicologiques de référence
Effets cancérogènes
Effets toxiques
Source
(µg/m3)-1
ERU Inhalation
ERU– Excès de risque unitaire par voie d'exposition, substances à effets sans seuil
VTR – Valeur toxicologique de référence, substances à effets avec seuil
ERI – Excès de Risque individuel pour les substances à effet sans seuil
QD– Quotient de danger pour les substances à effet avec seuil
Acétaldéhyde
Acroléine
Baryum
1,3 butadiène
Chrome III
Chrome VI
Chlorométhane
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Acide chlorhydrique
Phénol
Toluène
Acétaldéhyde
Acroléine
Baryum
1,3 butadiène
Chrome III
Chrome VI
Chlorométhane
Cuivre
Cumène
1,2 dichloroéthane
Dichlorométhane
Ethylbenzène
Acide chlorhydrique
Phénol
Toluène
mg/m3
Cair
Effets toxiques
BG
1/1
QD < 0,2 et ERI < 10-6
0.2 < QD < 5 et 10-4 < ERI <10-6
QD > 5 et ERI > 10-4
03/03/2013
Inhalation - Scénario 2 (Résidentiel Sédentaire)
Paramètres d'exposition
DJE inhalation de vapeurs
Calculs des Risques
Substances à
Substances à
Fréquence Fréquence
Substances à
Substances à Substances à Substances à
Durée
effets sans
effets sans
d'exposition d'exposition
effets avec
effets avec effets sans seuil effets avec seuil
d'exposition
seuil
seuil
annuelle
journalière
seuil (toxiques)
seuil (toxiques) (cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(cancérigènes)
années
(jours/an) (heures/jour)
mg/m3
mg/m3
mg/m3
mg/m3
ERI inh
QD inh
adultes
enfants
1.2E-3
1.2E-3
1.0E-4
1.2E-3
2.6E-6
70
365
24
0.13
7.7E-5
7.7E-5
6.6E-6
7.7E-5
70
365
24
3.9
4.9E-5
4.9E-5
4.2E-6
4.9E-5
70
365
24
0.05
2.0E-4
2.0E-4
1.7E-5
2.0E-4
6.0E-6
70
365
24
0.10
2.2E-6
2.2E-6
1.9E-7
2.2E-6
70
365
24
0.00004
2.1E-6
2.1E-6
1.8E-7
2.1E-6
2.5E-5
70
365
24
0.02
5.7E-3
5.7E-3
4.9E-4
5.7E-3
70
365
24
0.06
8.1E-5
8.1E-5
6.9E-6
8.1E-5
70
365
24
0.08
2.4E-6
2.4E-6
2.0E-7
2.4E-6
70
365
24
0.0000059
1.0E-4
1.0E-4
8.6E-6
1.0E-4
3.4E-7
70
365
24
0.00003
2.4E-2
2.4E-2
2.1E-3
2.4E-2
1.1E-5
70
365
24
0.02
1.4E-3
1.4E-3
1.2E-4
1.4E-3
3.5E-6
70
365
24
0.001
3.5E-5
3.5E-5
3.0E-6
3.5E-5
70
365
24
0.002
4.0E-3
4.0E-3
3.4E-4
4.0E-3
70
365
24
0.20
4.0E-3
4.0E-3
3.4E-4
4.0E-3
70
365
24
0.001
Inhalation - Scénario 1 (Résidentiel)
DJE inhalation de vapeurs
Calculs des Risques
Substances à
Substances à
Fréquence Fréquence
Substances à
Substances à Substances à Substances à
Durée
effets sans
effets sans
d'exposition d'exposition
effets avec
effets avec effets sans seuil effets avec seuil
d'exposition
seuil
seuil
annuelle
journalière
seuil (toxiques)
seuil (toxiques) (cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(cancérigènes)
années
(jours/an) (heures/jour)
mg/m3
mg/m3
mg/m3
mg/m3
ERI inh
QD inh
adultes
enfants
4.7E-4
1.1E-3
9.4E-5
1.1E-3
1.0E-6
30
335
24
0.12
3.0E-5
7.1E-5
6.1E-6
7.1E-5
30
335
24
3.6
1.9E-5
4.5E-5
3.8E-6
4.5E-5
30
335
24
0.04
7.9E-5
1.8E-4
1.6E-5
1.8E-4
2.4E-6
30
335
24
0.09
8.6E-7
2.0E-6
1.7E-7
2.0E-6
30
335
24
0.00003
8.3E-7
1.9E-6
1.7E-7
1.9E-6
1.0E-5
30
335
24
0.02
2.3E-3
5.3E-3
4.5E-4
5.3E-3
30
335
24
0.06
3.2E-5
7.4E-5
6.4E-6
7.4E-5
30
335
24
0.07
9.3E-7
2.2E-6
1.9E-7
2.2E-6
30
335
24
0.0000054
3.9E-5
9.2E-5
7.9E-6
9.2E-5
1.3E-7
30
335
24
0.00003
9.6E-3
2.2E-2
1.9E-3
2.2E-2
4.5E-6
30
335
24
0.02
5.5E-4
1.3E-3
1.1E-4
1.3E-3
1.4E-6
30
335
24
0.001
1.4E-5
3.2E-5
2.8E-6
3.2E-5
30
335
24
0.002
1.6E-3
3.7E-3
3.1E-4
3.7E-3
30
335
24
0.18
1.6E-3
3.7E-3
3.1E-4
3.7E-3
30
335
24
0.001
Annexe 7:
Calculs des risques par inhalation d'air ambiant
10.2
295
35
3
1701
0.197
302
746
16
145
137
1
424
0.54
4.96
7.1E-05
mg/kg
Concentration dans sol
OEHHA, 2002
OEHHA, 2009
RIVM, 2000
INERIS, 2003 FET
-
0.42
0.0085
0.2
0.0002
-
0779.01/RN005/Gar
4.00E-04
0.0003
0.2
0.001
1.5
3.00E-03
0.14
0.14
0.002
0.02
0.0036
5.00E-03
0.3
0.02
2.33E-09
USEPA,1991
USEPA, 1993
USEPA, 2005
USEPA, 1994
US EPA, 1998
US EPA, 1998
RIVM, 2000
USEPA, 1996
ATSDR, 2001
US EPA, 1996
RIVM, 2000
USEPA, 1991
US EPA, 2005
USEPA, 1998
JECFA, 2001
USEPA, 1998
OEHHA, 2002
OEHHA, 2009
RIVM, 2000
INERIS, 2003 FET
-
1.5
0.42
0.0085
0.2
0.0002
-
4.00E-04
0.0003
0.2
0.001
1.5
3.00E-03
0.14
0.14
0.002
0.02
0.0036
5.00E-03
0.3
0.02
2.33E-09
USEPA,1991
USEPA, 1993
USEPA, 2005
USEPA, 1994
US EPA, 1998
US EPA, 1998
RIVM, 2000
USEPA, 1996
ATSDR, 2001
US EPA, 1996
RIVM, 2000
USEPA, 1991
US EPA, 2005
USEPA, 1998
JECFA, 2001
Effets toxiques
ERU ingestion
VTR ingestion
Source
mg/(kg.j)
Source
(mg/(kg.j))-1
USEPA, 1998
1.5
mg/kg
10.2
295
35
3
1701
0.197
302
746
16
145
137
1
424
0.54
4.96
7.1E-05
VTR ingestion
mg/(kg.j)
Source
ERU ingestion
-1
Source
(mg/(kg.j))
antimoine
arsenic
baryum
cadmium
chrome
chrome VI
cuivre
manganèse
mercure
nickel
plomb
selenium
zinc
benzo(a)pyrène
naphtalène
PCDD/F
antimoine
arsenic
baryum
cadmium
chrome
chrome VI
cuivre
manganèse
mercure
nickel
plomb
selenium
zinc
benzo(a)pyrène
naphtalène
PCDD/F
Effets toxiques
Concentration dans sol
années
adultes
enfants
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
Durée d'exposition
années
adultes
enfants
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
Durée d'exposition
DJE ingestion
kg/jour
adultes
enfants
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
5.00E-05
1.50E-04
2.3E-6
6.6E-5
7.9E-6
5.6E-7
3.8E-4
4.4E-8
6.8E-5
1.7E-4
3.6E-6
3.3E-5
3.1E-5
2.2E-7
9.5E-5
1.2E-7
1.1E-6
1.6E-11
mg/kg.j
adultes
6.7E-6
1.9E-4
2.3E-5
1.6E-6
1.1E-3
1.3E-7
2.0E-4
4.9E-4
1.0E-5
9.5E-5
9.0E-5
6.6E-7
2.8E-4
3.5E-7
3.3E-6
4.7E-11
mg/kg.j
8.0E-6
2.3E-4
2.8E-5
2.0E-6
1.3E-3
1.5E-7
2.4E-4
5.9E-4
1.3E-5
1.1E-4
1.1E-4
7.9E-7
3.3E-4
4.2E-7
3.9E-6
5.6E-11
mg/kg.j
Calculs des Risques
enfants
9.4E-5
2.7E-3
3.2E-4
2.3E-5
1.6E-2
1.8E-6
2.8E-3
6.8E-3
1.5E-4
1.3E-3
1.3E-3
9.2E-6
3.9E-3
5.0E-6
4.6E-5
6.5E-10
mg/kg.j
9.9E-5
1.9E-8
2.6E-7
2.4E-8
2.2E-10
-
ERI
adultes
0.017
0.64
0.00011
0.0016
0.0007
0.00004
0.0014
0.0035
0.0052
0.0048
0.025
0.00013
0.0009
0.00016
0.020
QD
3.5E-4
6.5E-8
9.2E-7
8.5E-8
7.8E-10
-
ERI
enfants
0.234
9.03
0.0016
0.0229
0.0104
0.00060
0.0198
0.0489
0.0734
0.0665
0.349
0.00184
0.0130
0.00228
0.280
QD
Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
1/1
QD < 0,2 et ERI < 10-6
0.2 < QD < 5 et 10-4 < ERI <10-6
QD > 5 et ERI > 10-4
Ingestion sol et poussière - Scénario 2 (Résidentiel Sédentaire)
DJE ingestion
Calculs des Risques
Fréquence d'exposition
Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil
Taux d'ingestion des sols
annuelle
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
(jours/an)
kg/jour
mg/kg.j
mg/kg.j
mg/kg.j
mg/kg.j
ERI
QD
ERI
QD
adultes
enfants
adultes
enfants
adultes
enfants
adultes
enfants
6.7E-6
7.3E-6
8.7E-6
1.0E-4
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.018
0.255
1.9E-4
2.1E-4
2.5E-4
3.0E-3
2.9E-4
3.8E-4
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.70
9.83
2.3E-5
2.5E-5
3.0E-5
3.5E-4
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.00013
0.0018
1.6E-6
1.8E-6
2.1E-6
2.5E-5
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0018
0.0250
1.1E-3
1.2E-3
1.5E-3
1.7E-2
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0008
0.0113
1.3E-7
1.4E-7
1.7E-7
2.0E-6
5.4E-8
7.1E-8
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.00005
0.00066
2.0E-4
2.2E-4
2.6E-4
3.0E-3
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0015
0.0216
4.9E-4
5.3E-4
6.4E-4
7.5E-3
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0038
0.0533
1.0E-5
1.1E-5
1.4E-5
1.6E-4
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0057
0.0800
9.5E-5
1.0E-4
1.2E-4
1.5E-3
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0052
0.0725
8.9E-5
9.8E-5
1.2E-4
1.4E-3
7.6E-7
1.0E-6
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.027
0.381
6.5E-7
7.1E-7
8.6E-7
1.0E-5
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.00014
0.00200
2.8E-4
3.0E-4
3.6E-4
4.2E-3
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.0010
0.0141
3.5E-7
3.9E-7
4.6E-7
5.4E-6
7.1E-8
9.3E-8
365
365
5.00E-05
1.50E-04
3.2E-6
3.5E-6
4.3E-6
5.0E-5
6.5E-10
8.5E-10
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.00018
0.00248
4.6E-11
5.1E-11
6.1E-11
7.1E-10
365
365
5.00E-05
1.50E-04
0.022
0.305
(jours/an)
adultes
enfants
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil
Taux d'ingestion des sols
annuelle
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
Ingestion sol et poussière - Scénario 1 (Résidentiel)
Annexe 7
Calculs des risques par ingestion de sols et poussières
03/03/2013
Effets sans seuil
(cancérigènes)
ERI
adultes et enfants
6.7E-4
1.2E-7
1.8E-6
1.6E-7
1.5E-9
-
ERI
adultes et enfants
4.5E-4
8.4E-8
1.2E-6
1.1E-7
1.0E-9
-
Effets sans seuil
(cancérigènes)
BG
1.14
3.32
0.35
125
40.1
11.6
5
156.00
0
0
0
0.85
1
0
0
2.49
0
0
0
7.5
53.7
0
0
8.08
1.14
3.32
0.35
125
40.1
11.6
5
156.00
mg/kg
0
0
0
0.85
1
0
0
2.49
Concentration végétaux
Légumes
légumes
légumes
aériens
persistants racinaires
0
0
0
7.5
53.7
0
0
8.08
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
Légumes
aériens
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0.057
0779.01/RN005/Gar
kg/j
adulte
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
Taux d'ingestion
légumes
légumes
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
0.029
kg/j
adulte
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
0.003
mg/kg
arsenic
chrome
cobalt
cuivre
manganèse
nickel
plomb
zinc
arsenic
chrome
cobalt
cuivre
manganèse
nickel
plomb
zinc
Taux d'ingestion
Légumes
légumes
légumes
aériens
Concentration végétaux
Légumes
légumes
légumes
aériens
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
Légumes
aériens
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.025
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
0.018
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
1.5
0.0085
-
USEPA, 1998
OEHHA, 2009
-
ERU ingestion
Source
(mg/(kg.j))-1
0.0003
1.5
0.0014
0.14
0.14
0.02
0.0036
0.3
USEPA, 1993
US EPA, 1998
RIVM 2000
RIVM, 2000
USEPA, 1996
US EPA, 1996
RIVM, 2000
US EPA, 2005
VTR ingestion
mg/(kg.j)
Source
Effets toxiques
Ingestion végétaux - Scénario 1 (Résidentiel)
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
24.3
1/1
1.5
0.0085
-
USEPA, 1998
OEHHA, 2009
-
0.0003
1.5
0.0014
0.14
0.14
0.02
0.0036
0.3
USEPA, 1993
US EPA, 1998
RIVM 2000
RIVM, 2000
USEPA, 1996
US EPA, 1996
RIVM, 2000
US EPA, 2005
Ingestion végétaux - Scénario 2 (Résidentiel Sédentaire)
Pourcentage auto-consommation
Légumes
légumes
légumes
Effets toxiques
aériens
ERU ingestion
VTR ingestion
%
Source
mg/(kg.j)
Source
(mg/(kg.j))-1
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
26.4
%
Pourcentage auto-consommation
Légumes
légumes
légumes
aériens
QD < 0,2 et ERI < 10-6
0.2 < QD < 5 et 10-4 < ERI <10-6
QD > 5 et ERI > 10-4
kg/j
enfants
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
Taux d'ingestion
légumes
légumes
kg/j
enfants
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
0.001
Taux d'ingestion
Légumes
légumes
légumes
aériens
Annexe 7
Calculs des risques par ingestion de végétaux
(jours/an)
adultes
enfants
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
335
années
adultes
enfants
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
64
6
Durée d'exposition
(jours/an)
adultes
enfants
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
365
annuelle
années
adultes
enfants
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
24
6
annuelle
Durée d'exposition
Calculs des Risques
adultes
0.0375
0.0000
0.0025
0.0199
0.0792
0.0057
0.0137
0.0112
QD
enfants
Calculs des Risques
3.0E-6
7.4E-8
-
ERI
0.0767
0.0000
0.0050
0.0413
0.1626
0.0117
0.0280
0.0236
QD
1.68E-05
4.18E-07
-
ERI
adultes
0.0408
0.0000
0.0027
0.0217
0.0863
0.0062
0.0149
0.0122
QD
3.2E-6
8.0E-8
-
ERI
enfants
0.0836
0.0000
0.0055
0.0450
0.1772
0.0128
0.0306
0.0257
QD
Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
5.78E-06
1.44E-07
-
ERI
Effets sans seuil Effets avec seuil Effets sans seuil Effets avec seuil
(cancérigènes)
(toxiques)
(cancérigènes)
(toxiques)
03/03/2013
ERI
adultes et enfants
2.0E-5
5.0E-7
-
Effets sans seuil
(cancérigènes)
ERI
adultes et enfants
8.7E-6
2.2E-7
-
Effets sans seuil
(cancérigènes)
BG

annexes - Plan Régional Santé Environnement

Transcription

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