Les seniors croquent la vie - Dernières Nouvelles d`Alsace

Dimanche 23 octobre 2016
D67
Un supplément des Dernières Nouvelles d’Alsace, de l’Est Républicain, de Vosges Matin
Le magazine des seniors
Les seniors et
les réseaux sociaux
Les cheveux gris
sont à la mode
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Cela vous paraît beaucoup ? Simple impression, car aujourd’hui, en termes marketing, on est senior dès la cinquantaine.
Cette population se segmente en trois générations : les babyboomers (50­64 ans), ceux de l’après-guerre qui ont vécu la France des « trente glorieuses ». Depuis 10 ans, 700 000 d’entre eux arrivent à la retraite chaque année alors que la moitié est encore en activité. Cette catégorie est la plus aisée et la plus dépensière.
Les 65­75 ans sont considérés comme des retraités actifs. Au nombre de 5 millions ils profitent au maximum de leur nouvelle vie grâce à un pouvoir d’achat confortable. Plus d’enfants à la maison, emprunts payés, disposant souvent d’un héritage de leurs parents, ils consacrent beaucoup de temps aux voyages mais continuent aussi à exercer leurs compétences au sein d’associations caritatives ou de conseils municipaux. Un nombre croissant de ces retraités actifs n’hésite pas à adopter le statut d’auto entrepreneur et de franchisés.
La dernière catégorie correspond aux plus de 75 ans, ceux qui ont eu 20 ans dans les années 50. Ils ont beaucoup appris de la vie, font preuve d’une grande sagesse et en font profiter leur entourage. 50 % d’entre eux vivent seuls, en particulier les femmes.
Au­delà de 80 ans ils sont seulement 600 000 personnes à vivre en maison de retraite, de nombreuses familles s’organisant pour le maintien à domicile.
Supplément gratuit
des Dernières Nouvelles d’Alsace
du 23 octobre 2016
Editions des Dernières Nouvelles d’Alsace,
S.A. au capital de 58 927 230 €
67077 Strasbourg Cedex
17-21, rue de la Nuée-Bleue (Siège social)
03 88 21 55 00 - CCP Strasb. 12 72 T
68002 Colmar Cedex
7, rue de la Gare - 03 89 20 37 37
68061 Mulhouse Cedex
2, avenue Robert-Schuman - 03 89 66 85 66
75002 Paris Cedex
4, rue Gaillon - 01 42 66 86 06
Président : Michel Lucas
Directeur Général, Directeur de la Publication : Francis Hirn
Principal actionnaire : Société Presse Investissements
Tirage quotidien septembre 2016 : 155 427 exemplaires
Tirage et vente contrôlés par
l’Office de justification de la Diffusion
N° com. Par. 0719 C 86450 - ISSN 0150-397 X
Notre publication adhère au
Et s’engage à suivre ses
Recommandations en faveur
d’une publicité loyale et
respectueuse du public.
11 rue Saint-Florentin
75008 Paris
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On n’imagine pas à quel point la musique peut être bénéfique dans le traitement du stress. Rien de bien nouveau puisque
les anciennes peuplades avaient déjà perçu les bienfaits des effets sonores sur le comportement et les émotions.
Aujourd’hui, la musicothérapie est le
résultat de recherches scientifiques
très poussées de sorte qu’elle est
utilisée dans certains centres hospi­
taliers, soit en tant que complément
thérapeutique ou carrément à part
entière. Elle donne aussi de très
bons résultats dans les centres psychiatriques, en prison ou dans les centres d’accueils d’enfants ou en­
core dans les maisons de retraite.
La musique de relaxation
La musique la plus relaxante est celle qui a recours à des instruments
tels que la guitare, le piano, les percussions, la flûte ou la harpe. Cer­
tains éprouvent une formidable sensation d’évasion et de liberté en
écoutant un son de mer ou des sifflements d’oiseaux. Toute une gamme
de CD est à votre disposition pour
vous libérer de la tension qui gagne
votre corps. Quelques stations de radio se sont même spécialisées dans
la diffusion de musique douce, en
particulier les webradios. À titre
d’exemple, Radio Zen propose toute
une liste de musiques douces pour
accompagner des séances de massage ou de relaxation. Radio Plénitu­
de est spécialisée dans un style musical apaisant, idéal pour créer
une atmosphère sereine et chaleureuse. En allant sur www.lawebradio.com ou sur www.internetradio.com/stations/meditation vous
pourrez accéder à un programme de
musique relaxante. Pour vous dé­
tendre, pas besoin de vous rendre
dans un endroit dévolu à la relaxation. On peut très bien se détendre au
bureau en écoutant de la musique
pendant la pause à l’écart de ses collègues.
Chez vous il suffit de vous installer
sur votre lit, sur un tapis ou dans votre jardin pour améliorer facilement
votre humeur ou apaiser vos nerfs
avec une musique bien choisie.
L’écoute de musique s’avère aussi
très efficace pour l’endormissement. Certaines méthodes musicales permettent également de lutter
contre la perte de mémoire ou d’ar­
rêter de manger compulsivement.
Vous voulez tester l’effet relaxant de
la musique ? Écoutez­en une demi­
heure par jour pendant 3 semaines
et faites le point sur votre ressenti. Il
y a de fortes chances pour que vous
continuiez à écouter de la musique
de relaxation !
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Les besoins nutritionnels ne diminuent pas avec l’âge, certains augmentent même. Ainsi existe­t­il, à partir de 55 ans, des recommandations spécifiques qui permettent de continuer à vivre en forme. En voici trois parmi tant d’autres.
LAIT ET PRODUITS LAITIERS
3 OU 4 PAR JOUR
Le lait, les laitages et le fromage sont la principale source de
calcium qui permet de conserver des os solides et ainsi de
lutter contre l’ostéoporose et ses conséquences, no­
tamment le risque de fractures. Ils apportent également des protéines animales, ce qui est d’autant plus
important si vous mangez peu de viande, de poisson ou d’œufs.
VARIEZ VOS CHOIX
Plus un fromage est à pâte dure (emmental, tome…), plus il est riche en calcium mais également en graisses. Les fromages fondus et à tartiner sont, quant à eux, riches en matières grasses et en sel et souvent pauvres en calcium. Si vous n’aimez pas beaucoup les laitages, pensez à en mettre dans vos préparations : flans de légumes, sauce blanche, entremets maison, gratins, lait mixé avec des fruits, riz au lait… et aussi dans vos omelettes, vos pâtes….
MATIÈRES GRASSES
AJOUTÉES
Elles sont indispensables,
mais en petites quantités
car, végétales (huile, margarine) ou animales (beur­
re, crème fraîche, lard,
saindoux, graisse d’oie), el­
les sont toutes très caloriques. Pour la cuisson,
l’huile (d’olive, d’arachide…)
est préférable au beurre. Pour l’assaisonnement,
l’huile de colza, l’huile d’olive, l’huile de noix,
l’huile de tournesol… Et puisque les huiles végétales apportent de la vitamine E qui protège nos
cellules, variez-les pour le goût mais aussi pour
bénéficier de toutes leurs propriétés. Réservez
enfin le beurre pour vos tartines du petit­déjeu­
ner et cru en noix sur les légumes et les fécu­
lents. Veillez enfin à limiter la consommation des
graisses ajoutées : sauces, graisse de cuisson…
DE L’EAU EN QUANTITÉ
SUFFISANTE
Elle est indispensable pour assurer le travail des reins, l’élimination des déchets alimentaires,
la régulation thermique et l’hydratation de la peau. Le corps a
ainsi besoin d’au moins 1 litre à
1,5 litre d’eau par jour.
APPRENDRE À « BOIRE SANS SOIF »
Laissez une bouteille d’eau ou une carafe sur la table.
Créez-vous des rituels : buvez en revenant des courses, en lisant, faisant vos mots croisés, devant la télévision… Pensez aux autres boissons : jus de fruits (100 % pur jus), lait et boissons lactées, soupes, gas­
pacho, potages et bouillons de légume, café, chicorée, thé, tisane et occasionnellement (car très sucrés) aux sodas et sirops de fruits. Certains ali­
ments sont également très riches en eau comme le melon, l’orange, le raisin, le concombre, la courgette,
la tomate… Mettez­en chaque jour au menu.
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Joseph Pilates, un infirmier allemand est fait prisonnier pendant la 1re Guerre Mondiale. Depuis sa cellule, il invente une nouvelle gymnastique. Il enseignera ensuite sa méthode à partir de 1926. Le Pilates est né.
Le Pilates est accessible aux hom­
mes et femmes de tous âges. Cette
discipline renforce les muscles en
douceur et ses exercices combinent
respiration et contraction muscu­
laire pour un travail en profondeur.
Pour la pratiquer, le plus simple est
de s’inscrire à un club qui la dispen­
se. Ainsi, vous n’avez qu’à vous mu­
nir d’un tapis de sol et de revêtir une
tenue de sport dans laquelle vous
vous sentez à l’aise. Les autres accessoires, tels le ballon, l’élastique,
le cercle ou le boudin en mousse
vous seront alors prêtés lors des
cours. Sport santé par excellence,
la méthode Pilates atténue les dou­
leurs et booste le moral. Attention,
il est conseillé de la pratiquer avec
un professionnel pour éviter toutes
blessures inutiles.
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En 5 points :
Les muscles sont renforcés en profondeur, les douleurs sont réduites
● La silhouette est tonifiée et affinée
● Le souffle est amélioré grâce aux exercices de respiration
● Une sensation de détente et d’apaisement est ressentie car le Pilates aide à lutter contre le stress physique et moral
● La posture générale du corps est corrigée
●
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Les seniors, hostiles aux nouvelles technologies ? Pensez-vous !!! Contrairement aux idées reçues, les quinquas (et les autres) font preuve d’un intérêt grandissant pour tous ces appareils connectés.
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La téléassistance est devenue un outil
de prévention pour toutes les personnes
qui ont besoin de contacter leurs proches en cas d’urgence. Cette montre
connectée Zem br o apporte sécurité et
tranquillité, aussi bien à son possesseur
qu’aux membres de sa famille. Au desi­
gn sobre et esthétique, cette montre
ultra légère sera tel un ange gardien qui
veille sur vous. Une simple pression sur
le cadran suffit pour entrer en contact
avec son entourage ou donner l’alerte….Elle permet surtout de localiser à
chaque instant son propriétaire…
Montre disponible sur www.zembro.fr via un abonnement de 29 € TTC par mois
ou bien au prix de vente de 399 € TTC
Les Français font partie des Européens les plus connectés mais font
également partie des populations
qui passent le plus de temps à sur­
fer sur la toile. Achats en ligne,
recherches d’information ou inté­
grer les réseaux sociaux par exemple, ces pratiques entrent dans les
mœurs de cette « silver génération », et tendent surtout à être par­
faitement maîtrisées au quotidien.
L’adhésion aux écrans d’ordinateur,
le passage vers la téléphonie mobi­
le puis vers les smartphones, sans
oublier tous les appareils dits
« connectés » qui facilitent la vie,
tout ceci a mis du temps à être
accepté. Mais force est de constater
qu’aujourd’hui, elles sont plus que
solidement ancrées dans les habi­
tudes de consommation.
L’e xpé rience d es pl us je unes
Certains freins subsistent malgré
tout encore, liés surtout au manque
de confiance ou la défiance faite à
certaines pratiques ou sites à la
réputation douteuse ou encore la
complexité technique de certains
appareils. L’une des forces sur lesquelles les seniors peuvent s’appuyer, et ne s’en privent pas, c’est la
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
Ce nouveau smartphone lancé par Dor o est une belle alternative pour
toutes celles et ceux qui ne se sentent pas à l’aise avec l’utilisation
d’un téléphone portable. Son point fort réside dans son interface
inédite basée sur des actions claires : appeler, voir ou encore envoyer,
qui permettent à l’utilisateur de profiter des fonctionnalités de l’appareil de façon très intuitive.
Accompagné de son application Dor o Connect & car e, la famille de
l’utilisateur saura toujours où se trouve la personne et pourra la
localiser très aisément en cas de besoin.
En vente au prix
de 179 €, chez les
différents opérateurs téléphoniques ou sur
www.doro.fr
possibilité de profiter des conseils
et des expériences des générations
« plus jeunes » pour qui ces nouvelles technologies n’ont plus beau­
coup de secrets. Chacun y trouvant
finalement son compte. Aujourd’hui, internet joue un rôle prépondérant car il permet de relier des
personnes de tous les âges aux
actualités et au monde qui nous
entoure, aux différents services et
ressources de santé dont on peut
avoir besoin, et aux désormais très
nombreux services en ligne (SNCF,
banques, cinémas, théâtres…). De
nombreux seniors découvrent, avec
toujours plus d’intérêt, les bienfaits
que les réseaux sociaux tels que
Facebook ou Twitter peuvent leur
apporter au quotidien : excellents
outils de distraction ou moyen sim­
ple et relativement efficace pour se
faire de nouvelles relations. Et donc
limiter l’isolement et combattre la
solitude…
sitionnent déjà sur des solutions
d’objets communicants directement pensés pour les personnes
âgées et personnes en perte
d’autonomie. Ces objets ayant pour
objectif de faciliter autant que possible le maintien à domicile.
Électroménager connecté et relié
au Wifi de votre domicile ou accessible via une application Smartphone
pour une assistance 24h/24 et 7j/7,
bijoux connectés à un boîtier vocal
relié à un centre de téléassistance
en cas de détection de chute, pilu­
lier connecté qui alarme le médecin
ou un membre de la famille en cas
de consommation anormale de mé­
dicaments, webcam pour sur­
veillance visuelle sans faille ou
encore fauteuil roulant connecté
pour vous aider dans vos déplacements de tous les jours, on ne
compte plus les initiatives pour
vous accompagner et assurer votre
sécurité quotidienne.
Objets connectés et S il ver économ ie font l a pair e
Alors que les secteurs de la santé et
du bien­être sont parmi les plus
porteurs en matière d’objets connectés, de nombreux acteurs se po­
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
Grâce à Hi) de F enotek , votre maison est sous bonne garde. Il
détecte tout mouvement sur votre
propriété et envoie une notification sur votre portable dès qu’il
détecte un mouvement lors de
votre absence. Que vous soyez
chez vous ou non, Hi) identifie et
reconnaît les membres du foyer
ou de votre famille et vous donne
la possibilité de savoir qui arrive à
votre porte et de lui faciliter l’accès via votre mobile : entrer en
contact vocal avec votre visiteur,
ouvrir la porte à distance ou contrôler l’allumage des lumières.
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UP T V, l 'apli TV p our par tage r vos ém issions pr éférées
Up Tv est la toute première solution
connectée de Social TV qui permet
d’échanger avec ses proches ou
amis, chacun bien assis devant son
écran télé. Grâce à sa carte PCMCIA
que l’on branche directement sur
son téléviseur et grâce à une appli­
cation gratuite à télécharger sur
son smartphone ou sa tablette, vous
accédez à de nouvelles fonctionnalités et pourrez partager et commenter les contenus qui vous
intéressent….
Parmi les fonctions à découvrir :
* zapper à partir de son smartphone
* afficher des messages et des pho­
tos sur sa télé et celle de ses amis
* Interagir en direct sur des émissions télévisées
* Accéder à un guide de programme
complet
Arom at hérapie pour tous
Aromacare, ce compagnon connecté propose des séances individuel­
les d’aromathérapie à l’aide de
capsules prêtes à l’emploi. Chaque
capsule contient un mélange bien
spécifique d’huiles essentielles bio
et un programme santé associé
avec une variation de diffusion spé­
cifique à chaque recette. Il suffit
simplement d’insérer la capsule de
son choix dans l’appareil puis de
lancer sa session bien­être de 20
minutes pour profiter de ces recettes élaborées.
AromaCare fonctionne en diffusion
sèche. Un ventilateur propulse de
l’air à travers les capsules qui contiennent des billes de polymères
imprégnées d’huiles essentielles. Ces billes sont 100 % recyclables et
adaptées pour les huiles essentielles. Une fois le programme bien­
être choisi (tonus, détente…), il
suffit simplement d’insérer la capsule et de lancer la session de diffu­
sion soit manuellement en
appuyant au­dessus de l’appareil
soit directement depuis l’application mobile AromaCare (disponible
prochainement sur l’AppleStore et
PlayStore).
Disponible sur KissKissBankBank.
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Il est le réseau social le plus connu et le plus utilisé avec près d’un milliard et demi d’utilisateurs travers le monde… P ourquoi tout le monde ou presque « lik e » ?
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

Follower : De l’anglais « to follow »,
« suivre », il s’agit des personnes abon­
nées à votre compte qui suivent vos
activités. Vous pouvez avoir des followers sur Twitter ou Instagram, le réseau social consacré aux photos. Sur
Facebook, vous n’avez pas de followers
mais des « amis ».
Timeline : ou fil d’actualité, regroupe
l’ensemble des messages postés par les
personnes que vous suivez sur Twitter.
Lorsque vous vous connectez, vous consultez les tweets publiés en votre absen­
ce en remontant votre timeline. Plus
vous suivez de comptes, plus elle est
abondante et variée.
Filtre : sur Instagram, cette fonction
permet d’améliorer la qualité des pho­
tos partagées : rétro, noir et blanc
En France, ce sont près de 30 mil­
lions de personnes qui ont fini par
se « convertir » à Facebook ou qui
sont entrées dans l’ère des réseaux
sociaux. Initialement destiné à toucher à majorité une population jeu­
ne, Facebook a convaincu
également des générations plus
âgées de venir voir ce qui s’y passait. Alors cette proportion reste
encore largement minoritaire, puis­
que seulement près de 15 % des 55
et plus ont un profil Facebook. Mais
on constate malgré la toute-puissance de ce réseau, que de plus en
plus de jeunes semblent « quitter le
navire Facebook », toutes proportions gardées bien sûr, au profit
d’autres réseaux, tel Twitter ou en­
core Instagram ou SnapChat. La
raison en est simple… Les jeunes
vont là où leurs parents ne sont
pas… Et comme ces derniers vien­
nent en masse sur Facebook…, ils
ont le sentiment d’avoir perdu leur
espace de liberté.
Retrouver des copains d’avant…
Un MP : ou Message Privé envoyé directement sur votre profil et qui ne peut pas
être vu par vos abonnés ou amis
Hashtag : Le hashtag se retrouve uni­
quement sur Twitter et permet de rassembler les tweets qui parlent du même
thème, par exemple #Météo ou #Alsace.
Il se met à la fin du tweet.
Un Troll : Le troll est une personne
s’amuse à semer volontairement la dis­
corde dans les discussions. Il est recommandé de ne pas lui répondre afin de ne
pas faire son jeu. Donc, « Ne nourrissez
pas le troll » !
Like : Action d’aimer un contenu (vidéo,
photo, citation…) ou une page. Ce terme
est souvent utilisé dans le jargon Facebook.
Tweets ou Gazouillis : terme utilisé
pour décrire un message qui contient un
maximum de 140 caractères, affiché par
un utilisateur sur son compte Twitter.
Sur Facebook, grâce à votre profil,
vous avez notamment accès à l’actualité de toutes les personnes ins­
crites dans le cercle d’amis que
vous vous êtes constitué. L’occasion
de garder le contact avec des personnes éloignées ou perdu de vue
depuis de nombreuses années, de
partager des infos qui vous intéressent, de publier des contenus qui
vous touchent au plus près ou de
Facebook et les réseaux sociaux, pour partager ses meilleurs moments, où que l’on soit. Photo Istock 2016 /
rejoindre des groupes de personnes
ayant les mêmes centres d’intérêt
que vous, voire de faire de nouvelles
rencontres. Cet espace de liberté
offre, au fil de ses actualités la
possibilité de discuter et de dialoguer sur tous les types de sujets :
actu locale, politique, humour, cul­
ture, sport… Au fil du temps, Facebook vous remémore et vous
rappelle certains événements aux­
quels vous avez pris part ou que
vous avez partagés, alimentant ain­
si la boucle du souvenir. Attention
 
cependant à ne pas se bercer d’illu­
sions… A part vos proches et vos
amis de longue date, les « amis
virtuels » restent souvent virtuels et
rares sont ceux qui deviendront un
jour, de « véritables amis ». Il ne
faut donc pas trop compter sur les
réseaux sociaux pour rompre la so­
litude… Attention à ne pas rester
isolé derrière votre écran entouré
de milliers d’amis… virtuels
les emoji sont partout, et facilement reconnaissables sur F acebook. On rit, on pleure, mais surtout, on s’exp rime…
Depuis quelques mois, face à la
demande croissante des utilisa­
teurs qui souhaitaient pouvoir exprimer leur état d’esprit ou leurs
émotions en ligne autrement que
par le traditionnel « j’aime », Facebook a mis en place de petits
emoji. Joie, bonheur, tristesse,
énervement, et pleins d’autres
encore… Vous aussi dites-leur ce
que vous êtes !
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
Il est possible de prévenir l’ostéoporose grâce au sport. Les bénéfices osseux de l’activité physique ont été démontrés à tous les âges. Même en vieillissant, il n’est pas question d’arrêter de bouger.
L’ostéoporose est une maladie gé­
nérale du squelette, caractérisée
par une diminution de la masse
osseuse. Elle est associée à une
altération de la microarchitecture
osseuse, conduisant à une augmen­
tation de la fragilité des os et du
risque de fracture. Chez l’homme,
la perte osseuse est lente, régulière
et linéaire. Elle s’accélère chez la
femme à la ménopause (pendant 5 à
10 ans), en raison d’une baisse du
taux d’hormones dans le sang, pour
se stabiliser ensuite. L’ostéodensitométrie reste l’examen de référence pour porter le diagnostic
d’ostéoporose.
L’activité physique a un impact posi­
tif sur la santé osseuse. Tant que
l’on fait de l’exercice, l’activité des
cellules osseuses entretient la soli­
dité de l’os, mais avec la sédentarité, l’os s’appauvrit. Les os des sportifs sont 20 % plus denses que
ceux des sédentaires, jusqu’à 40 %
chez le senior actif. De plus, les
muscles sont nécessaires à la protection des os. En effet, les processus de densification osseuse sont
également stimulés par les tractions sur les os. La gymnastique et
la musculation améliorent aussi la
consistance des os. Et puis, les
muscles servent d’amortisseurs en
cas de chute. Pas question de courir
un marathon ou de participer à des
compétitions sportives, mais la pratique régulière d’une activité douce
et modérée est préconisée. En tombant dans l’excès de sport, ce sont
les fractures de fatigue qui vous
guettent. La marche est excellente
et convient presque à tout le monde.
Il faut marcher le plus possible, le
plus longtemps et le plus vite possible. Jogging, step, danse, sports de
ballon sont également recommandés. Il convient de privilégier les
sports en charge, car les impacts
transmis au squelette, principalement au niveau des os porteurs
(fémur, tibia, rachis lombaire) exercent un effet stimulant direct sur les
activités de formation osseuse.
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
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La randonnée est aussi bonne sur le plan physique que psychologique, et cela quel que soit l’âge du randonneur… À condition bien sûr de prendre quelques mesures pour conserver sans danger tous les plaisirs du trek et de la marche.
Il n’y a pas d’âge limite pour randonner : pratiqué correctement,
c’est un sport doux et respectueux
du corps. Toutefois, il faut prendre
en considération que le vieillissement modifie la physiologie des in­
dividus qui deviennent plus
vulnérables. La diminution de la tonicité, de la souplesse articulaire et
des fibres musculaires de posture
se combinent pour augmenter le
risque de perte d’équilibre alors que l’ossature est moins solide. La
modification de la masse graisseuse entraîne par ailleurs une plus
grande sensibilité au froid et à la
déshydratation. Enfin, les capacités
cardiaques diminuent (de 20 à 25 %
de 40 à 70 ans) alors que l’inertie
cardiaque (échauffement, récupération) augmente.
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
À partir de 65 ans, il est nécessaire de pratiquer un bilan cardiaque pour les circuits exigeants et de bien se préparer en pratiquant régulièrement une activité physique modérée.
■ Échauffez-vous en commençant par marcher à 50 % puis 75 % de votre
rythme normal pendant au moins 20 minutes.
■ Restez dans le domaine de l’endurance et non de la performance.
■ Hydratez-vous en absorbant l’équivalent d’un verre d’eau toutes les
demi-heures.
■ Utilisez des bâtons de marche pour préserver vos articulations.
■ Couvrez et découvrez-vous fréquemment pour éviter les coups de chaud et de froid.
■ Évitez tout effort intense en dessous de – 5 °C, au­dessus de 30 °C, en cas de fièvre et dans les 8 jours suivant un épisode grippal.
■ N’essayez pas de vous confronter aux plus jeunes : vos capacités cardiaques diminuent de 20 à 25 % de 40 à 70 ans et gardez un mental positif.
■ N’hésitez jamais à demander de l’aide pour franchir les passages
délicats.
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

La peau qui vieillit change de texture : elle s’épaissit ou s’amincit. Elle change aussi en surface avec l’apparition d’anomalies comme des petits vaisseaux ou les fameuses taches brunes.
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
Si l’anti­âge reste le produit phare de nos
trousses de beauté, il semblerait que la
lutte contre les signes du temps, le combat contre la machine à rides ne s’exprime plus tout à fait de la même façon.
La beauté de l’âge
Les couvertures des magazines fémi­
nins affichent de plus en plus de subli­
m e s q u i n q u a g é n a i re s ( e t + ) q u i
partagent leurs secrets de beauté :
manger sainement, bien dormir, marcher, rire, apprécier la vie et les gens,
aimer… Très éduquées sur la beauté,
ces femmes nous disent qu’une crème
ne les ramènera pas en arrière. En revanche, être heureuse, apprécier son
état peut faire gagner 10 ans.
L’industrie cosmétique s’est saisie de
ces bonnes paroles pour entrer dans
l’ère du « mieux vieillir » avec des produits « pro­âge » qui ne cherchent pas à
corriger, ni à dissimuler les change­
ments d’apparence physique des femmes mais tout simplement à entretenir
leur capital beauté et à leur procurer
plus de douceur. En un mot, à sublimer
celles qui ne cherchent plus une « source de jeunesse éternelle » mais qui en­
tendent bien vieillir en beauté et se
sentir bien dans leur âge.
Taches de vieillesse, lentigo solaire,
fleurs de cimetières, elles portent
plusieurs noms mais une chose est
sûre, on voudrait bien s’en débar­
rasser même si elles n’ont pas de
conséquences sur la santé. Devant
l’apparition de taches brunes, il est
indispensable de consulter un der­
matologue pour confirmer qu’il ne
s’agit pas d’un grain de beauté, d’un
mélanome, ou d’une kératose sé­
borrhéique. Si les bords deviennent
irréguliers ou si elles semblent évoluer (changement de couleur, sai­
gnements, épaississement, etc…),
là aussi, consultez sans attendre.
Diminuer la pigmentation
Pour atténuer les taches claires et
éparses, les crèmes peuvent se révéler efficaces en réduisant la formation de la mélanine (crèmes
hypopigmentantes) et en estompant
la coloration (crèmes dépigmentantes). Attention cependant à ne pas
les appliquer sur un temps trop
long. Il convient également de se
contenter d’une application sur la
tache, et non pas sur la peau saine
autour de la tache (risque d’éclaircissement).
Traitements plus lourds
Si les taches sont plus foncées ou
plus nombreuses, on se tourne vers
Les bons produits : des soins antitache avec filtres solaires et actifs qui limitent la surproduction de mé­
lanine (acides glycolique et citrique, vitamine C…). Mela­D Mains, La Roche­Posay, 14,85 €. Spécial taches récalcitrantes, Clairial C10, SVR, 35 €. Elle freine efficacement la récidive, Melanex® Trio, Crème Dépigmentante Intensive, Noviderm, 26 €.
le laser, à pratiquer chez le derma­
tologue. Mieux que la cryothérapie
(azote liquide, neige carbonique),
qui a tendance à laisser des marques blanches, le laser s’impose
par sa rapidité et sa précision car il
ne déborde pas sur la peau saine. Le
peeling consiste en une application
d’acide sur la peau qui va desqua­
mer puis se régénérer. Notez que
ces traitements entraînent tous la
formation de petites croûtes qui ci­
catrisent en une semaine environ.
Et comme il ne faut pas s’exposer au
soleil après, il est vivement recommandé de les effectuer en hiver.

1er soin spécialement conçu pour les femmes en ménopause avancée et postménopause dont la peau mature est fragilisée par ce changement hormonal.
Le pionnier dans la tendance Pro­âge, C’est Dove
Ce baume (jour/nuit), généreux et
enveloppant, apporte à votre peau
tout ce dont elle a besoin (eau,
lipides, nutriments, etc.) pour lui
redonner confort, fraîcheur et
éclat instantanément. Composé
d’actifs de reconstruction tissulaire (le Proteic Gf et le Pro-Xylane) et d’une nouvelle génération
d’huiles naturelles reconstructrices (huile de carthame, huile de
son de riz et beurre de karité), le
baume pénètre en profondeur
pour nourrir, hydrater et apaiser
intensément, redensifier les volumes et redonner de la souplesse aux traits. Tout simplement
ingénieux et unique.
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
Eh, oui, les cheveux gris ne sont plus l’apanage des mamies ou des papys ! Cette coloration connaît même un certain succès chez certaines jeunes filles.
De plus en plus d’actrices, chanteuses, auteures, mannequins ou femmes politiques portent fièrement
leurs cheveux blancs. Françoise
Hardy, Tatiana de Rosnay, Christine
Lagarde en sont une belle illustration. Il suffit de regarder ces personnages pour constater à quel point le
gris adoucit les traits du visage, leur
enlève de la sévérité. Le gris a cette
capacité d’apporter de la sagesse à
un visage, de l’expressivité. Cette
tendance incite des femmes de 20,
30 ou 40 ans à teindre leurs cheveux
en gris. Et cette coloration leur va
plutôt bien ! Un gris argenté sur une
peau métisse ou hâlée, un gris plus
sombre sur une peau claire, des reflets et des effets de mèches argentés sur des cheveux longs, on est
loin de la connotation vieillissante
de cette teinte. Alors seniors, plus
aucun complexe, avec vos cheveux
gris vous êtes dans le coup !
Choisissez la bonne coupe.
Les coiffeurs rivalisent d’imagina­
tion pour mettre en valeur les cheveux gris. Un beau gris argenté sur
des cheveux mi­longs coupés au
carré, avec une mèche plus courte à
l’avant et balayée sur le front, un
beau mouvement vers l’arrière don­
né aux cheveux et voici votre visage
bien dégagé. Si vous avez quelques
difficultés à assumer vos cheveux
gris, le balayage inversé est une
bonne solution. Votre coiffeur peut
alors colorer certaines mèches en
plus foncé pour obtenir un joli clair­
obscur et laisser apparaître vos
cheveux gris en transparence.
Par contre, si vous avez des cheveux
blancs, vous remarquerez qu’ils
sont plus durs, plus épais et moins
malléables. Normal puisqu’ils sont
dépourvus de mélanine, ce filtre
protecteur naturel contre les UV et
les agressions. Protégez-les avec
des produits sans rinçage, des hui­
les, céramides ou des silicones. Évi­
tez de les porter longs et optez
plutôt pour une coupe courte, carrée
ou pour des mi­longueurs structurées qui accentueront votre personnalité. Afin d’éviter le jaunissement,
utilisez des shampoings spécifiques
qui neutralisent la couleur jaune.
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
Une baisse de forme ? Retrouvez votre tonus, faites le plein d’iode, d’oligo­éléments et de plaisir ! Plongez dans le bien­être d’une cure de thalasso !
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

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Avant tout départ en cure, obligatoirement prescrite par votre médecin pour
une prise en charge par votre Caisse
d’assurance maladie, il faut que vous
fassiez la demande de prise en charge
auprès de cette dernière. Vous devez
alors constituer un dossier complet,
constitué des questionnaires de prise en
charge et de ressources à l’adresser à
votre caisse.
Le remboursement de votre cure ther­
male va dépendre de vos ressources, de
votre situation personnelle ou de l’affection dont vous êtes atteint.
La liste des orientations thérapeutiques
prises en charge par l’Assurance Mala­
die est consultable sur le www.ameli.fr.
L’établissement thermal que vous aurez
choisi doit, lui, être agréé et conventionné.
Certains centres proposent des soins
dans deux orientations thérapeutiques
reconnues. Selon la prescription de votre médecin, vous pouvez prétendre à
une prise en charge par votre caisse
d’assurance.
Bien sûr, une seule cure par année civi­
le, limitée à 18 jours de traitement, sera
accordée. Sauf si votre demande est
faite en fin d’année civile. Vous pourrez
alors suivre votre traitement en début
d’année suivante. Selon la pathologie
dont vous souffrez, le nombre de soins
devra vous être communiqué au préalable.
Toute cure interrompue, sauf cas de
force majeur ou pour raison médicale,
ne pourra donner lieu à un quelconque
remboursement de cette dernière.
L’eau de mer possède des vertus
connues et exploitées depuis l’Antiquité. Dans de nombreuses régions
françaises, de la Normandie à la
Côte d’Azur, sans oublier le littoral
atlantique, les curistes n’ont que
l’embarras du choix. Pas besoin d’une feuille soin pour en bénéfi­
cier, ses bienfaits sont accessibles
à tous et qui font de la thalassothérapie un moment de plaisir avant
tout.
les pores de la peau, favorisant ainsi
la pénétration des actifs. Cette eau
si précieuse contient en effet de
multiples oligo­éléments qui, complétée par l’utilisation des algues et
des boues riches en iode, calcium,
phosphore, potassium, magné­
sium, cuivre, zinc, cobalt et fer, procure des bienfaits inestimables
pour le corps.
L’eau de mer si précieuse…
Les soins prodigués visent à amé­
liorer l’ensemble de vos fonctions
vitales, à savoir le système pulmo­
naire, cardio-vasculaire, les mus­
cles et articulations sans oublier
toutes les défenses de l’organisme.
Les cibles de la thalasso ? Tous ces
petits tracas qui peuvent, à la longue, gâcher la vie : problèmes arti­
culaires, musculaires, mal de dos,
problèmes respiratoires, troubles
endocriniens, cellulite et surpoids,
fatigue, troubles du sommeil. Au
cours de ces cures, c’est votre bien­
être qui doit être au centre de vos
priorités.
L’élargissement des cures aux programmes de médecines douces et
aux soins de beauté à la carte a
Bains chauds, bouillonnants, multi­
jets ou encore hydromassants, dou­
che à jet ou massage sous affusion
d’eau de mer, enveloppement de
boue marine chaude ou d’algues
chaudes, modelage aux huiles essentielles, mais aussi aquagym, relaxation, conseils diététiques… La
liste des soins proposés est longue
pour vous aider à lutter contre les
facteurs stress et d’’anxiété et limi­
ter les atteintes du temps qui contrarient votre quotidien.
L’eau de mer, placée au cœur de ces
soins et sans qui rien ne serait possible, est puisée au large et chauf­
fée entre 31 et 35°C afin de dilater
Photo Istock 2016
La thalasso, source de bien­être
encore développé leurs bienfaits. Rien d’étonnant donc que la thalassothérapie fasse toujours autant
l’unanimité, et ce auprès du plus
grand nombre, toutes générations
confondues.
A chacun son rythme
La plupart de ces cures ont une
durée extrêmement variable et sont
accessibles en seul, en couple ou
très souvent aussi, entre amis. Au
préalable, vous passerez un entretien avec un médecin qui vérifiera
qu’il n’y a pas chez vous de contreindications (maladies infectieuses,
dérèglement de la thyroïde, allergie
à l’iode…). Ensuite, le programme
peut débuter avec un ou plusieurs
soins variés et ciblés par jour. Un
rythme qui vous laisse du temps
pour profiter de l’infrastructure du
centre qui est souvent mis à dispo­
sition, tels le hammam, activités
sportives, massages, soins esthétiques…, ou pour prendre un grand
bol d’air iodé ­ tonifiant et oxygénant ­ sur la plage voisine.
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
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« PETIT PAYS » DE GAËL FAYE
Le carton du chanteur écrivain
Franco­rwandais, Gaël Faye est
un auteur-compositeur interprète de rap, mais aussi un écri­
vain. Son premier roman « Petit
pays » a reçu un accueil incroyable en librairie et a été sélectionné pour la plupart des grands
prix littéraires, une aventure rare qui mérite d’être soulignée. Son livre est la poignante histoire d’un exil et
d’une fuite racontée par Gabriel dix ans, qui vivait une enfance douce au Burundi avec son père français et sa mère rwandaise. Ce quotidien paisible va se disloquer en même temps que ce petit pays d’Afrique bascule dans l’horreur de la guerre civile et du génocide. Le malheur s’invite et Gaby est plongé malgré lui dans la violence, embarqué avec ses copains dans la folie meurtrière qui les entoure. Ce premier roman, baigné d’ombres et de lumière, de tragique et d’humour, est d’une ampleur exceptionnelle.
Grasset, prix du roman Fnac.
« L’AUTRE QU’ON ADORAIT » DE CATHERINE CUSSET
Chronique d’une descente aux enfers
Universitaire surdoué, Thomas Bulot
a enseigné à l’Université de Columbia.
Amant, puis proche ami de la narratrice, il met fin à ces jours en 2008, à l’âge
de 39 ans. Catherine Cusset retrace la
vie de ce flamboyant qui s’est brûlé les
ailes. Dense et poignant, ce livre conte
une ascension et décrit avec une rare empathie la mécanique implacable d’une descente aux enfers. L’auteure redonne vie à cet homme brillant qui a manqué son destin. Malgré sa popula­
rité et ses facilités intellectuelles, Thomas porte en lui une faille : il ne supporte pas l’échec. Il rate le concours à l’École normale supérieure, s’exile à New York. Ce passionné de Marcel
Proust trouve le havre de paix dont il rêvait. Ces publications tardent trop pour être recruté dans une prestigieuse université. Les amours s’enchaînent et s’enrayent. Sa bipolarité l’enferme dans la solitude et ne fait qu’aggraver la spirale négative. Tho­
mas boit, s’enfonce, se ruine dans une existence au­dessus de ses moyens jusqu’au geste irréparable.
Gallimard
« NOS ÂMES LA NUIT »
DE KENT HARUF
L’amour n’a pas d’âge
Une petite ville du Colorado, Holt,
sa foire annuelle, ses maisons
avec pignon sur rue et jardins à
l’arrière, le décor est planté. Addie,
75 ans, veuve depuis des décennies, fait une étrange proposition à
son voisin, Louis, également veuf.
Elle lui demande s’il voudrait bien
de temps à autre passer la nuit avec elle, simplement pour
parler, pour se tenir compagnie. La solitude est parfois si dure. Ainsi commence une très belle histoire d’amour, lente et paisible, faites de confidences chuchotées dans la
nuit. Ils s’imaginent à l’abri des regards, mais les commérages vont bon train et tout le monde sait que Louis passe la nuit chez sa voisine. Bientôt, les enfants d’Addie et de Louis s’en mêlent par égoïsme et surtout par peur du quand dira­t­on. Pris dans la violence et la rancœur de leurs enfants, les « vieux tourtereaux » résistent mal. Ils renoncent au bonheur. C’est désormais au téléphone et en cachette qu’ils volent quelques instants de bonheur.
Robert Laffont
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

Ce produit 1 00 % naturel et « made in F rance » aurait de nombreuses propriétés bienfaisantes pour notre santé, et plus particulièrement cardiovasculaire.
Sous la forme de compléments ali­
mentaires, boissons, crèmes, gélu­
les, on le retrouve dorénavant un
peu partout.
On connaissait ses vertus antioxydantes, efficaces notamment sur
l’arthrose, le Pycnogenol® ne s’arrête pas là. Des recherches scienti­
fiques (laboratoires Horphag
Research) ont apporté la preuve
d’autres bienfaits. Cet extrait
d’écorce de pin maritime des Lan­
des, associé à une vie saine, contribue à la réduction de certains
facteurs de risques cardiovasculaires. En effet, l’action combinée des
antioxydants (oligo­proanthocyanidines ou OPC et bioflavonoïdes) et
acides organiques contenus dans le
Pycnogenol® permet une meilleure
circulation sanguine tout en stimulant les capacités de dilatation vasculaire et en améliorant le flux
sanguin.
Un anti-inflammatoire naturel
Il permet aussi de soulager les dou­
leurs articulaires et contribue à
l’amélioration de la mobilité et de la
souplesse des articulations et ce
grâce à ses importantes propriétés
anti-inflammatoires naturelles.
Une étude récente menée en dé­
cembre 2015 sur les bienfaits du
Pycnogenol®, en utilisation régulière voire quotidienne, sur les capacités de concentration, de prise
de décision et de mémoire des ba­
by-boomers apporte des résultats
significatifs et pleins d’espoirs. Un
bon moyen donc pour bien stimuler
ses fonctions cognitives passé les
50 ans.
Cinquante fois plus puissante que la
vitamine E et vingt fois plus que la
vitamine C, l’écorce de pin des Lan­
des renforce est également très bé­
néfique pour la peau et la vue en
agissant notamment sur l’élasticité
de la peau, prévenant et en apaisant
les dommages des UV et en amélio­
rant la cicatrisation de la peau en
cas d’acné, de psoriasis.
Photo IStock
entretenir vos défenses antioxydantes, prendre 50 mg/jour. Pour des
problèmes d’arthrose, une dose de
100 à 150 mg/jour, d’insuffisance
veineuse, de 150 à 300 mg/jour.
Attention toutefois, même si aucun
effet indésirable n’est signalé à ce
jour, compte tenu des doses impor­
tantes de flavonoïdes, à éviter chez
les personnes sous anticoagulants
ou qui souffrent de pression arté­
rielle faible (hypotension). Seul lé­
ger inconvénient, un goût
légèrement astringent qui peut pro-
Mode d’emploi et dosage
Pycnogenol® entre dans la composition de plus de 700 produits dans
le monde, que cela soit sous forme
de gélules, gels, crèmes, lotions…
normalisés à 70 % d’OPC. La dose
journalière préconisée est de 30 à
300 mg, selon les besoins : pour
Photo Photo Istock 2016
voquer certaines gênes gastriques.
Il est donc fortement recommandé
de prendre le Pycnogenol® pen­
dant ou après les repas.
Pour en savoir plus :
www.pycnogenol.fr
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Facile à dire ! Si vous fumez depuis que vous êtes adolescent vous avez sans doute déjà tenté de mettre fin à cette addiction. En vain.
Même si vous êtes conscient des
risques du tabac, peut­être est-il
bon de vous rappeler qu’un paquet
de cigarettes par jour entraîne une
d é p e n s e a n n u e l le d ‘ e n v i ro n
3 000 euros, de quoi vous offrir un
beau voyage !
Alors est-ce si dur de mettre fin à
cette fâcheuse habitude ? Question
de volonté diront certains mais
quand on est vraiment accro à cette
drogue, les tentatives sont souvent
vouées à l’échec. Patchs, Champix,
parfois rien n’y fait. La cigarette
électronique a fait une entrée fracassante sur le marché du tabac et
a ouvert des espérances chez tous
ceux qui envisagent de s’arrêter.
Cette opportunité est-elle plus effi­
cace ? En fait, même si elle permet
de réduire la consommation de ni­
cotine, elle représente une autre
dépendance. Il suffit d’observer les
adeptes de cette solution pour
constater qu’ils ont du mal à s’en
séparer. Certes, la cigarette électronique est moins coûteuse que le
tabac, les différents arômes proposés sont plus agréables et le vapotage indispose moins l’entourage. Il
n’en reste pas moins qu’elle contient encore des produits addictifs.
À 50 ans, il est temps !
Dites-vous bien que la cigarette a
des effets néfastes sur votre circulation artérielle et qu’elle multiplie
les risques de complications cardiovasculaires, surtout chez les
hommes. À 50 ans les substances
contenues dans le tabac modifient
négativement la coagulation san­
guine et accélèrent le dépôt de cho­
lestérol dans les artères. Il peut
s’ensuivre des angines de poitrine,
infarctus du myocarde, anévrismes
de l’aorte ou des artérites des
membres inférieurs. Arrêter la ci­
garette à 50 ans réduit le risque de
mortalité de moitié dans les 15 ans
qui suivent. Dernier rappel : on estime à environ 60 000 les décès an­
nuels liés au tabagisme et un décès
sur trois chez les hommes de 45 à
64 ans serait dû à la même cause.
Aux alentours de 60 ans l’abus de
tabac entraîne souvent des bronchites chroniques, des problèmes cardiaques et de l’artérite dans les
jambes. Dernier exemple : après un
sevrage une récidive d’infarctus est
diminuée de moitié un ou deux ans
après. Ça fait réfléchir, non ?
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

Trop peu utilisées, souvent par peur du coût de l’équipement, les prothèses auditives sont de plus en plus perfectionnées et leur gamme ne cesse de s’élargir. Remboursement et reste à la charge de la personne malentendante, vous voulez légitimement être informés sur ce point. Éléments de réponse.
Si vous souffrez d’un déficit auditif
et si l’appareillage est la seule issue
possible pour sortir de l’isolement,
l’Assurance Maladie vous rembourse vos prothèses et leurs accessoires, selon certains critères bien
définis. Une prise en charge des
frais non assumés par l’organisme
est envisageable en fonction du
contrat passé avec votre Mutuelle.
Les cond itions
Vos prothèses sont prises en charge sur prescription médicale, si el­
les appartiennent à une catégorie
répertoriée sur la LPP (Liste des
produits et prestations remboursables par l’Assurance Maladie). Le
taux de remboursement est de 60 %
sur la base de tarifs officiels, fixés
par la LPP, variables selon l’âge et
le degré de handicap. Cela inclut
l’achat de l’équipement, les accessoires nécessaires à son fonctionnement (piles, embout auriculaire,
coque…), la prise en charge de
l’audioprothésiste (nombre de
séances nécessaires à l’appareillage, la prise en compte de vos de­
mandes, l’examen des conduits
auditifs, les tests nécessaires à
l’appareillage…). Mais aussi, l’éducation prothétique (conseils sur la
manipulation, l’entretien de la prothèse…), le suivi régulier (contrôle
de l’efficacité de l’appareil aux 3e, 6e
et 12e mois après sa délivrance),
puis un suivi bi annuel en fonction
de vos besoins. Si vous a vez m oins
de 20 a ns, les prothèses auditives
sont remboursées à 60 % sur la
base d’un tarif compris en 900 et
1 400 euros, selon la classe de l’appareil prescrit (A, B, C, D). Si vous
avez p lus d e 20 a ns, remboursement à 60 % sur la base d’un tarif
de 199,71 €, quelle que soit la
classe. Un d éficient a ud itif a tteint
de cécité sera remboursé à 60 %
sur la base d’un tarif de 900 à
1 400 € selon la classe de l’appareil prescrit.
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
La nouvelle aide auditive Oticon Opn est
la première du genre à être connectée à
internet. Vous pouvez désormais la relier à de multiples objets connectés de la
vie courante : sonnette d’entrée, système d’éclairage, une télévision et bien
d’autres appareils encore peuvent être
reliés aux aides Oticon Opn, qui leur
envoient des consignes de fonctionnement que vous avez définies.
Grâce à son application pour smartpho­
ne Oticon ON, vous gérez vous-même
toutes vos connexions et réglages, en
toute simplicité.


Primax de Signa – Solutions Auditives
Siemens offre un ensemble de programmes dédiés rendant l’écoute musi­
cale agréable, tant pour les mélomanes
que pour les musiciens et férus de
« musique live ».
Le réglage HD Music « Musique live » :
idéal pour écouter la musique en direct.
Le réglage « Musique enregistrée » : HD
Music offre aussi une solution de pointe
pour ceux qui souhaitent apprécier au
mieux leur musique favorite à la maison.
Le réglage « Musicien » : Primax propose un programme spécialement conçu
pour les chanteurs et les musiciens, afin
qu’ils apprécient toutes les nuances de
leurs performances et de celles de leurs
collègues autour d’eux.
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
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Il est possible d’aménager sa fin de carrière en optant pour la retraite progressive. Il s’agit d’un dispositif permettant, 2 ans avant l’âge légal, de toucher une partie de la retraite tout en exerçant une activité à temps partiel.
Comment en profiter ?
Il faut d’abord que vous soyez âgé d’au moins 60 ans et que vous totalisiez au minimum 150 trimestres dans l’ensemble de vos régimes de base. Par ailleurs vous devez exercer une seule activité à temps partiel. Cette dernière doit être comprise entre 40 et 80 % de la durée légale ou conventionnelle du travail applicable dans votre entreprise ou votre profession. La durée légale du travail doit être exprimée en heures réparties sur la semaine ou le mois. Par contre, certains types de contrats ou d’activité ne permettent pas de bé­
néficier de cette possibilité. Rensei­
gnez-vous bien.
On touche combien ?
La retraite provisoire est calculée sur la base des droits au moment de la de­
mande et la part de retraite est fonction du temps de travail. Pour un temps
partiel de 80 % la part de retraite versée s’élève à 20 %. Pour 65 % de temps
partiel on a droit à 35 %. Au terme de la retraite progressive le montant de la retraite définitive est recalculé. Le montant le plus élevé est alors retenu.
Quels sont les avantages ?
Le premier avantage, c’est le fait que l’on continue à cotiser pour la retraite tant que l’on exerce une activité par­
tielle. Si l’employeur est d’accord, il est
aussi possible de cotiser pour la retraite sur la base du salaire à plein-temps pour une activité à temps partiel. On peut ainsi obtenir une retraite équivalente à celle qui aurait été perçue en travaillant à temps plein.
Source : www.lassuranceretraite.fr
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
Vous souhaitez partir quelques jours en congés. Et une fois n’est pas coutume, vous avez décidé que votre animal de compagnie partirait avec vous….Très bien. Mais attention, voyager avec son animal ne s’improvise pas.
Pour bien préparer ces quelques
jours, se renseigner sur les formalités à remplir concernant l’animal
que vous voulez emmener.
Le pas sepor t europé en pour l es
anim aux de com pagnie
Ce document remplace tous les do­
cuments utilisés jusqu’à présent. Il
mentionne l’identification et la des­
cription de l’animal, toutes les men­
tions sanitaires requises, le nom et
l’adresse du propriétaire.
Pour un séjour dans un pays de
l’Union Européenne, votre animal
doit obligatoire être âgé de plus de 3
mois et porter une identification par
puce électronique.
Prévenez votre assurance
La responsabilité civile est incluse
dans les contrats multirisques, qui
assurent aussi les animaux de compagnie. L’idéal est malgré tout de
prévenir votre assureur que vous
voyagez votre compagnon en voyage. En cas de dégâts matériels, ou
des blessures causés par votre ani­
mal, les frais peuvent éventuellement être couverts par l’assurance
multirisque.
Pour savoir comment partir avec
son animal préféré, vous pouvez
vous référer au site « ils partent
avec nous », qui donne de nom­
breux conseils et astuces des plus
utiles. Sinon, votre vétérinaire est
L'hébe rge ment
Quel que soit l’endroit dans lequel
vous souhaitez séjourner, mieux
vaut se renseigner auprès de l’établissement en question pour savoir
si les animaux sont acceptés et
sous quelles conditions.
En France, sur le site de 30 millions
d’amis, une cartographie indique
les établissements dans lesquels
votre animal est le bienvenu…
Photo Istock 2016
lui aussi en mesure de vous appor­
ter de précieuses infos afin que votre animal puisse vous
accompagner dans les meilleures
conditions. N’hésitez pas à vous rapprocher de lui.
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
Et si le bricolage était le meilleur antidépresseur au monde ? Considéré comme une activité à part entière, il offre plaisir et distraction à celui qui le pratique.
 

Une perceuse visseuse légère et efficace
Le modèle Bosch Ergonomic PSB 18 LI­2
nouvellement sorti, cumule tous les bons
points. Beaucoup plus légère et compacte
que ses concurrents, la perceuse a l’avantage d’afficher un nouveau design ergonomique qui permet une bonne prise en
main et son changement d’accessoires se
fait en un clin d’œil. Grâce à son moteur
EC sans charbon, elle est puissante et sa
batterie possède une grande autonomie.
Côté technique, elle dispose d’une batterie 18 V lithium­Ion (2,5Ah), d’un mandrin
auto serrant de 13 mm, d’un arrêt immédiat en cas de blocage et d’un couple de vissage 28 Nm. Toutes ces caractéristiques, en
font l’un des meilleurs modèles du marché actuellement. Prix constaté : 239€99.
Une pratique comme les autres
À l’instar du golf ou du footing, le bri­
colage peut être assimilé à une activi­
té d’entretien. Bricoler permet de se concentrer, d’oublier ses soucis ou
encore de calmer son stress.
Rendre service, ça fait plaisir
Donner un coup de main à un voisin,
un membre de la famille permet au
bricoleur de se sentir utile et de pou­
voir transmettre son savoir-faire.
Bricoler avec son fils peut aussi, créer
de beaux moments de complicité.
Une maison toujours au top
Quand on est propriétaire, il y a toujours quelque chose à faire. Un trou à
reboucher, une fuite à stopper, accrocher un cadre, changer la tapisserie d’une chambre… Même s’il faut
répondre à une urgence ou à une né­
cessité, cela peut se faire dans la joie
et la bonne humeur. Avec en plus, la
satisfaction du travail accompli et
une maison qui a pris un petit coup
de jeune !
Cependant, il faut savoir raison garder. Tout cela s’applique aux hommes
et aux femmes qui aiment le bricolage à la base. Les maladroits et autres novices devront faire attention à ce
que l’activité ne se transforme pas en
calvaire ou en corvée !
Un outil tout en un
Poncer, scier, découper, meuler, décaper… avec un seul outil, c’est désormais
possible ! Skil vient de lancer son multi­
tasker 1480 AD extrêmement polyvalent.
Il est fourni dans un coffret comprenant
pas moins de 15 accessoires. Il est de plus
compatible avec ceux de la marque Bosch « OIS » et « Starlock ». Il est également
d’une grande précision et son puissant moteur de 300 W vient à bout de tout travail sans difficulté. Prix constaté 89€99.
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Le bricolage n’est plus réservé aux hommes. Les choses ont bien changé et c’est tant mieux ! Les femmes représentent aujourd’hui près d’un bricoleur sur deux, tous profils confondus : en couple, célibataire, vivant en ville ou à la campagne. Autre bonne nouvelle, la plupart bricole par volonté et non par nécessité. Selon une enquête, 95 % d’entre elles affir­
ment ne pas avoir besoin des hommes pour s’y mettre et 76 % préfèrent se débrouiller toutes seules plutôt que de demander de l’aide autour d’elles. Cette tendance, les enseignes de bricolage l’ont bien comprise et proposent de plus en plus d’outils repensés pour la gen­
te féminine : outils et accessoires plus légers, plus maniables et plus design.
Et si vous bricoliez en couple ? Faire des travaux c’est sympa, le faire à deux c’est mieux ! Profitez de cette occasion pour réaliser de jolies choses ensemble. À la clé, un moment convivial et la satisfaction partagée du travail accompli.
Vous manquez d’idées pour un cadeau original pour votre père ou grand-père ?
Avez-vous pensé à lui rendre hommage de façon humoristique ?
« Si papi ne peut pas le réparer,
personne ne peut ». Admettez-le,
il y a du vrai dans cette citation !
Offrir ce tee­shirt provoquera à
coup sûr le sourire et puis certainement un peu de fierté…
Retrouvez cette phrase culte im­
primée sur différents vêtements :
t­shirt, sweat à capuche, pull…
accompagnée de graphismes di­
vers.
On parie que Papi le portera lors
de sa prochaine session de bricolage ?
À re t ro u v e r n o t a m m e n t s u r
tshirt48h.com, amazon ou chez
tous les spécialistes de t­shirt hu­
moristiques.
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Commencez par réduire la surface
à entretenir et privilégiez les plan­
tes « faciles à vivre » comme les
couvre­sols (asaret, fougère de
Tabouret de jardin sur roues : Outiror, 19€99
Noël…), les vivaces (sedum, échina­
cée, coréopsis), les buissons de type
fusain ailé ou encore les petits ar­
bustes comme le lilas des Indes.
Vous pouvez aussi vous faire plaisir
en créant plus de plantes en pots et
de jardinières sur pieds. Elles ont
l’avantage d’être décoratives et de
ménager votre dos.
Optez ensuite pour un équipement
adapté avec des outils légers et
ergonomiques voire télescopiques.
Pour le travail du sol, pensez à
utiliser un tabouret/repose genoux
ou un modèle avec roues (photo
ci-contre) pour vous assurer, à la
fois, une position de travail idéale et
une facilité de déplacements. Préparez-vous aussi un petit panier
avec les 4 ou 5 outils les plus utiles
et transportez-les partout !
Enfin, osez solliciter de l’aide. Jardiner à plusieurs, c’est sympa et
moins fatigant. Vous pouvez aussi
partager votre potager avec un voisin ou un ami. En échange du coup
de main, partagez les récoltes !
Pensez aussi à initier vos petits­en­
fants. Jardiner, leur permettra de
développer leurs différents sens, de
découvrir et d’observer la nature.
C’est aussi la promesse d’un beau
moment de complicité partagée.
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Vous avez envie de fleurs et de plantes dans votre maison mais vous n’avez pas envie d’installer des pots au sol ? Pensez aux jardinières suspendues ! Ces systèmes sont parfaits pour apporter une touche de déco sans encombrer le plancher. À portée de main, il est d’autant plus facile de les entretenir. Sur le marché, il existe une multitude de modèles et de cache­pots très design. Faites-vous plaisir !
Cache­pots Serax : 17€95 pièce
À la retraite, c’est indéniable, vous avez plus de temps libre mais vous avez peut­être un peu moins d’énergie physique. Il existe plusieurs façons de continuer de s’occuper de son jardin. En voici quelques­unes.
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Dans le large panel d’activités qui entrent dans le cadre des services à la personne vous trouverez de nombreuses prestations qui pourront considérablement améliorer votre quotidien.
Dans l’aide aux tâches quotidiennes
on pourra notamment faire appel
aux différents organismes pour les
courses et les repas.
Moment de plaisir privilégié, le repas a une importance capitale dans
le rythme de la journée. Il est donc
primordial de ne pas négliger ce
moment pour le plaisir de la table
mais aussi pour prévenir tous les
problèmes liés aux carences ou à
une mauvaise alimentation fréquentes chez les personnes âgées.
La livraison des repas c’est l’assurance d’une alimentation saine, variée et adaptée aux besoins
nutritionnels de la personne.
À qui s’adressent ces services ?
Dans le cadre de l’activité de servi­
ces à la personne, proposée par des
entreprises ou des associations, le
service de livraison de repas à do­
micile s’adresse à tous ceux qui
souhaitent en faire la demande,
personnes actives comme personnes âgées ou en situation de handi­
cap.
crédit d’impôt. En revanche la fourniture des denrées alimentaires
ainsi que les opérations de fabrica-
tion des repas effectuées hors do­
micile en sont exclues.
Aides et crédit d’impôt
Comme tous les services d’aide à la
personne, vous pouvez bénéficier,
selon votre situation, d’aides socia­
les comme l’Allocation personnalisée d’autonomie, la Prestation de
compensation du handicap ou encore l’Allocation compensatrice tierce
personne. Le Chèque emploi servi­
ce universel (CESU) peut servir au
paiement des livraisons de repas.
La livraison de repas permet également de bénéficier de réduction ou
La livraison des repas à domicile, une prestation toujours appréciée Photo Istock 2016/
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Fixer une étagère, poser des rideaux, remplacer un joint… Ces tâches vous semblent insurmontables ? Simplifiez­
vous la vie et contactez un prestataire de services à la personne qui propose l’activité de petit bricolage.
Quell es pr estat ions ?
Pour entrer dans le cadre légal des
services à la personne, les prestations concernées :
• Doivent être élémentaires et occasionnelles
• Ne nécessiter aucun savoir-faire
professionnel particulier
• Pouvoir être réalisées en deux
heures maximum
Sont exclus de l’activité de petit bri­
colage :
• Les enlèvements de matériels, le
débarras de cave ou de grenier, les
activités de déménagement.
• Les activités de construction,
d’entretien et de réparation des bâ­
timents, qui correspondent à des
métiers de gros œuvre, de second
œuvre et de finition du bâtiment.
• La mise en place, l’entretien et la
réparation des réseaux utilisant des
fluides ainsi que des matériels et
équipements destinés à l’alimentation en gaz, au chauffage et aux
installations électriques.
La vente de produits ou de maté­
riels est exclue de la prestation.
L’approvisionnement des petites
fournitures nécessaires à l’intervention peut toutefois être effectué
à prix coûtant contre remboursement mais n’ouvre pas droit à la
réduction ou au crédit d’impôt.
Plaf ond d e d épe nses
Le plafond annuel des dépenses de
petit jardinage ouvrant droit à la
réduction ou crédit d’impôt est fixé à
5000 euros.
Photo Istock 2016/
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La question du maintien à domicile se pose forcément à un moment donné de notre existence. Les différentes résidences proposent des solutions adaptées pour répondre à cette problématique.
Des espaces à vivre spacieux et confortables Photo Jardins d’Arcadie/
Avec l’arrivée progressive à l’âge de
la retraite de toute une génération
née du baby­boom et de l’allongement de la durée de vie, le vieillissement de la population va connaître
une accélération significative d’ici
quelques années. D’où la nécessité
de trouver des solutions adaptées
pour leur permettre de bien vieillir.
Même si sa part reste encore relativement faible comparée aux autres
types d’hébergements (Ehpa, Eh­
pad etc…), le secteur des résidences seniors s’affirme de plus en
plus et trouve sa place dans le pay­
sage résidentiel. Selon les estimations, le seuil des 1000 structures
devrait être atteint en France d’ici
2020… Très bientôt donc. Ce qui
portera à 80 000 le nombre de logements proposés. Un essor dont pro-
fitent bien sûr les principaux
acteurs de ce marché, qu’ils soient
nationaux ou régionaux : Domitys,
les Jardins d’Arcadie, Ovélia ou en­
core certains promoteurs tel Patrick Singer. Ces derniers proposent
à travers toute la région de nom­
breux programmes et contribuent à
dynamiser ce secteur d’activité
pourtant déjà très actif.
Une alternative de choix
Les nombreux complexes de résidences pour seniors qui se développent représentent donc désormais
une alternative séduisante et inté­
ressante. Pouvoir profiter de son
temps libre et se dégager des grandes contraintes du quotidien aux­
quelles on a dépendu tout au long
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de notre existence, telles sont les
principales promesses faites par
les résidences pour seniors. Et force est de constater que ces arguments font mouche et plaisent. Et
elles ont, en plus d’autres arguments de choix à faire valoir. Géné­
ralement situées dans des cadres et
environnements des plus at­
trayants, dans les grands centresvilles et à proximité de toutes les
commodités, elles offrent un cadre
de vie idyllique et optimal. C’est le
cas par exemple des Jardins d’Arcadie qui, au cœur de la cité de Bar­
tholdi, proposent à la location pas
moins de 107 appartements fonctionnels et équipés. Grâce à des
prestations sur­mesure, la cible vi­
sée y trouve son compte et est sé­
duite de plus en plus massivement.
De quoi garantir aux résidents une
certaine autonomie au quotidien.
Toutes, ou presque, mettent à dis­
position des résidents des espaces
collectifs, des salons, des salles de
sport et de remise en forme ou
encore des espaces dédiés à la dé­
tente et la culture. Des aménage­
ments qui permettent de maintenir
des liens sociaux à l’intérieur de
l’établissement, favorisent les
échanges et contribuent à une certaine convivialité au cœur de la résidence.
Confort et sécurité
Faire le choix d’intégrer une résidence pour seniors confère de
nombreux avantages. Le premier,
nous l’avons évoqué, consiste à proposer des cadres de vie confortables, adaptés et préférentiels. Mais
ce que recherchent les résidents,
mais aussi les membres de leur
famille qui décident d’opter pour
cette alternative, c’est avant tout en
environnement sécurisé. Grâce à
un personnel qualifié et présent
24h/24, des concierges qui assurent
l’intendance, toutes les conditions
sont réunies. Tant dans les parties
communes, dont les accès sont
contrôlés, que les appartements, la
sécurité des lieux et des résidents
sont au cœur des priorités. Des systèmes d’appels d’urgence connectés au personnel peuvent être mis
en place. Le personnel de ces établissements, disponible et formé,
est présent pour renseigner les résidents, coordonner les rendezvous médicaux ou autres, appeler
un taxi…
Tout est fait pour que tous les résidents se sentent et vivent le mieux
possible en offrant par ailleurs des
conditions d’accueil notamment
pour les familles qui souhaitent
rendre des visites aux résidents.
Pour faciliter au maximum le quoti­
dien, il n’est pas rare que les struc-
tures adaptent les horaires des
différents prestataires (kiné, méde­
cin, coiffeur, esthéticienne…) à
leurs résidents. Mais bien sûr, tout
ceci à un coût, et mieux vaut se
renseigner au préalable, lorsque
vous visitez l’établissement. Cela
évitera de bien mauvaise surprise et
des désagréments.
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Les professionnels doivent s’adapter aux attentes tout en garantissant aux familles la meilleure réponse à leurs vraies priorités, qui restent immuables : honorer leurs proches en étant bien écoutées et bien accompagnées.
Première priorité pour les familles,
malgré les évolutions de la moder­
nité : quel que soit leur budget, être
en mesure d’honorer leurs proches
comme elles le souhaitent. Tous les
opérateurs funéraires sont à même
de proposer une offre correspondant à un budget minimum, soit
environ 1500 euros (correspondant
aux prestations de base : cercueil,
porteurs, corbillard, opération d’in­
humation ou de crémation et formalités administratives). Pour que
les familles puissent faire leur choix
librement et de façon éclairée, les
professionnels du funéraire et les
pouvoirs publics ont construit un
modèle de devis, qui doit être obli­
gatoirement fourni aux familles. Il
détaille les prestations obligatoires,
les prestations optionnelles et les
frais non imputables aux entreprises funéraires mais qu’elles règlent
à des tiers (avis dans la presse,
achat de concession, frais de culte,
taxes municipales, vacations…). Les
professionnels ont engagé une réflexion sur ce modèle, pour amélio­
rer encore sa lisibilité, au bénéfice
des familles.
Être bien accompagné, conseillé et écouté
Le tabou de la mort et la baisse des
solidarités conduisent de plus en
plus les professionnels à accueillir
des familles en état de choc. L’étude* « Les Français et la Mort », réalisée par le sociologue Tanguy
Châtel pour la Confédération des
Professionnels du Funéraire et de la
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Marbrerie, l’a bien montré : face à
l’épreuve, les familles attendent des
professionnels une compétence
élargie face à la complexité croissante des opérations (multiplication
des options, démarches administratives) mais surtout une grande
qualité d’écoute et d’accompagnement. Bien conscients de ces priori­
tés, qui correspondent à leurs
missions primordiales et à leur vocation, les professionnels du funé­
raire ont œuvré pour garantir la
qualité de leurs services.
Ainsi, pour exercer les fonctions de
conseiller funéraire, il faut depuis le
1er janvier 2013, être titulaire d’un
diplôme national, obtenu après
avoir suivi une formation renforcée ;
celle­ci met l’accent sur les attentes des familles (psychologiques,
symboliques…) et sur les connaissances réglementaires et profes-
sionnelles. Par ailleurs, des
entreprises funéraires ont engagé
des processus de certification ga­
rantissant une qualité d’accueil et
de prestations. Et pour rester à
l’écoute de la société, la CwPFM a
créé, en partenariat avec la Société
de thanatologie, le comité national
d’éthique du funéraire (composé de
sociologues, philosophes, historiens, responsables des cultes…).
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La fin de vie désormais se planifie, s’organise. La demande grandissante d’obsèques réglées à l’avance correspond à ce besoin. Les contrats obsèques permettent ainsi d’anticiper leur financement.
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• Capital ou prestations ? Mieux vaut
envisager le second contrat. Celui en
capital ne sert qu’au financement. Soyez
attentif à ce qu’une clause prévoit le
versement du solde du capital au bénéfi­
ciaire dans le cas où les frais des obsè­
ques seraient inférieurs au montant
facturé par l’opérateur funéraire.
• Veillez à obtenir le maximum de dé­
tails. Au regard de la loi du 26 juillet
2013, toutes les prestations doivent être
détaillées et personnalisées.
Comment faire pour que les proches n’aient pas à supporter la
charge financière des funérailles ?
Le plus simple peut être déjà, pour
un couple, de disposer d’un compte
joint, qui ne sera pas bloqué lors du
décès du premier des deux conjoints. Autre solution : ouvrir par
exemple un livret d’épargne au nom
d’un proche ou de toute autre personne de confiance, dont le montant
servira à financer les obsèques.
Une simple assurance vie peut aussi permettre à son bénéficiaire de
récupérer les frais qu’il devra avancer pour financer les obsèques, car
les fonds ainsi placés ne pourront
toutefois pas être débloqués assez
rapidement. Reste la solution des
contrats d’assurance obsèques,
une formule proposée par de très
nombreux intermédiaires, banques,
assurances, mutuelles et bien sûr
entreprises de pompes funèbres.
On dénombre à ce jour plus de
3 millions de contrats d’obsèques
souscrits, et ce nombre est en constante évolution. D’ici à 2025, on s’attend à ce que le pourcentage des
décès couverts par un contrat d’ob­
sèques atteigne les 40 %.
Le premier type de contrat obsè­
• Prenez garde aux exclusions. Vérifiez
bien que certains types de décès (et
notamment accidentels) ne sont pas exclus et assurez-vous qu’il n’y a pas de
délai de carence : si vous décédez pen­
dant ce laps de temps, l’assureur n’aura
rien à verser. Les contrats obsèques
étant ouverts à tout le monde, il ne doit
pas y avoir de formulaire de santé à
remplir.
• Demandez un relevé annuel des cotisations versées.
• Évitez les versements en viager. Sur le
long terme, cela peut vous coûter cher,
surtout si vous battez des records de
longévité.
• Enfin, avertissez vos proches que vous
avez souscrit un contrat. Cela peut faciliter leurs démarches.
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ques ne prévoit que le versement
d’un capital destiné à couvrir les
frais des funérailles. Le capital,
souvent entre 3000 et 7000 €, est
ainsi versé au (x) bénéficiaire(s) dé­
signé(s), qui doivent toutefois organiser les obsèques avec une société
de pompes funèbres. Rien ne ga­
rantit cependant à la famille le bon
usage de ces fonds ! Il est toutefois
possible d’inclure au contrat une
clause dite « à titre onéreux », pour
être certain que l’argent sera bien
utilisé.
Le contrat de « règlement de prestations d’obsèques à l’avance »
Le deuxième type de contrat, plus
complet, permet non seulement de
financer ses funérailles, mais aussi
de les préparer dans les moindres
détails, auprès d’une entreprise de
pompes funèbres. Avantages : sou­
lager ses proches des soucis de
l’organisation et être sûr du respect
de ses dernières volontés. L’opérateur funéraire doit placer la somme
correspondant au contrat signé
(suite à un devis détaillé et chiffré),
auprès d’un organisme financier
assureur. Certains contrats ne concernent que des prestations stan-
dardisées, sans entrer dans les
détails des services et produits proposés.
Le fonctionnement des contrats
Ces contrats bénéficient du délai de
30 jours de réflexion prévu par le
Code des assurances. Avant la si­
gnature, l’assureur doit bien sûr rem e t t re a u s o u s c r i p t e u r l e s
informations relatives aux conditions de fonctionnement du contrat,
ainsi qu’un devis détaillé des prestations souscrites. Bien entendu, il
ne peut pas imposer au souscrip­
teur un opérateur funéraire. L’assuré peut modifier certaines des
prestations en cours de contrat. Il
peut choisir entre le versement
d’une prime unique (a priori préférable), temporaire ou viagère (jus­
qu’à son décès). Certains contrats
comportent des frais de gestion ou
« de dossier ».
Après le décès du souscripteur,
l’assureur ­à prévenir dans les 24 h­
verse le montant du contrat soit à
l’entreprise de pompes funèbres
choisie, soit aux bénéficiaires dési­
gnés, dans un délai de 48 à 72
heures.