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INEPTI 12/47 ( PDF - 426.6 ko)
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 12/47 19 Novembre 2012
La pensée de la semaine
« Il n’est pas indispensable d’être fou pour faire du cinéma. Mais ça aide beaucoup. »
Samuel Goldwyn
Microsoft warns of first critical Windows 8, RT security flaws
http://www.zdnet.com/microsoft-warns-of-first-critical-windows-8-rt-security-flaws-7000007175/?s_cid=e539
It's been less than a month since Windows 8 and Windows RTpowered Surface tablets were launched and went on sale, but
Microsoft is already warning that the two next-generation
operating systems contain critical security vulnerabilities that are
due to be patched this coming Tuesday. Among the various flaws,
versions from Windows XP (Service Pack 3) all the way through to
Windows 8 are affected, including versions of the Office suite, and
versions of Windows Server. Released only in September,
Windows Server 2012 requires patching to maintain maximum
security. The latest vulnerabilities include three critical security
vulnerabilities for Windows 8, and one critical security vulnerability
for the Surface-based Windows RT operating system. These flaws
are considered "critical" and could allow remote code execution
on vulnerable systems.
Among the flaws, a few patches will be delivered for Internet Explorer that will fix a flaw that allows drive-by attacks on vulnerable
systems, such as if the user visits a malicious Web page through the browser. Older versions of Internet Explorer, versions IE6, IE7
and IE8, which run on Windows XP, will not be patched. The latest version of Internet Explorer 10, exclusive to Windows 8 and
Windows RT machines, contains no vulnerabilities that Microsoft is yet aware of.
For Office, where a machine could allow remote code execution if a user opens a malicious Office document. Rated as "important," it
requires user intervention -- in this case, the code can only run if the user opens up the document. In all, the six patches will fix 19
vulnerabilities, and will be released through the usual channels in the coming days -- on so-called "Patch Tuesday."
Météo France choisit Bull pour viser les 5 petaflops en 2016
http://www.lemagit.fr/technologie/datacenter-technologie/architectures-datacenters/2012/11/08/meteo-france-choisi-bull-pour-viser-les-5-petaflops-en-2016/
Météo France prépare une nouvelle génération de moyens de calcul et a choisi Bull pour l’accompagner côté super calculateur en
pariant sur les Bullx B700 DLC. Objectif : atteindre une puissance crête totale de plus de 5 Petaflops à l’horizon 2016. Ils seront
installés à Toulouse, sur le site de Météo-France, à partir du premier trimestre 2013, puis à l’automne à l’Espace Clément Ader,
projet fédérateur regroupant l’Institut Clément Ader (ICA), le CRITT Mécanique & Composites, la plateforme de micro-caractérisation
des matériaux ainsi que la plate-forme de calcul intensif – qui hébergera notamment les supercalculateurs de Météo-France et du
Pôle Recherche et Enseignement Supérieur « Université de Toulouse ». Dotés d’un système de refroidissement innovant ultra
performant et des processeurs Intel Xeon de dernière génération, les supercalculateurs Bullx livreront lors une première étape
(2013-2014) une puissance de calcul d’environ 1 petaflop. Puis, à l’horizon 2016, la performance totale dépassera 5 petaflops.
Pour Météo France, cette augmentation des moyens de calcul se traduira par le passage de la technologie vectorielle à la
technologie scalaire qui repose sur les standards du marché et permet de fournir une puissance de calcul parallèle nettement
supérieure pour un moindre coût total de possession. Le choix de Météo-France souligne le savoir-faire développé par Bull en
matière de parallélisation des codes applicatifs utilisés dans les domaines de la météorologie et des sciences du climat. Une plus
grande parallélisation est essentielle pour l’utilisation optimale des machines. Elle entraîne une évolution indispensable des codes de
calcul et représente en elle-même un grand challenge, auquel sont confrontés tous les instituts météorologiques dans le monde.
Météo-France a souhaité contenir les consommations en électricité et systèmes de refroidissement de ses supercalculateurs, tout en
multipliant par un facteur de près de 50 la puissance de calcul utile disponible. La consommation électrique des data centers –
plusieurs mégawatts pour les plus grands – est devenue en effet le principal facteur limitant la puissance de calcul.
Le Brésil et la France veulent fabriquer des supercalculateurs ensemble
http://pro.01net.com/editorial/579611/le-bresil-et-la-france-veulent-fabriquer-des-supercalculateurs/#?xtor=EPR-3-[NL-01net-Pro-Quotidienne]-20121108
Le groupe informatique Bull s’est mis sur les rangs pour participer à ce projet de coopération bilatérale, dont le but
serait de fournir une puissance de calcul à Petrobras et aux forces armées.
Le Brésil et la France sont en train de négocier un accord pour la production industrielle de supercalculateurs en territoire brésilien,
rapporte mercredi 7 novembre 2012, le quotidien économique brésilien Valor. Ces négociations « pourraient marquer une nouvelle
étape dans la coopération entre les deux pays dans le domaine technologique », souligne le journal. Elles pourraient aussi gagner un
« élan politique » lors de la visite qu'effectuera la présidente Dilma Rousseff à Paris quand le transfert de technologie sera au menu
de l'agenda des accords bilatéraux, ajoute Valor. Dans des déclarations à ce quotidien, l'ambassadeur du Brésil à Paris, José Bustani,
souligne l'importance qu'il y a pour son pays d'avoir un accès à la technologie de calcul à haute performance « considéré comme
essentiel pour les opérations de la compagnie pétrolière Petrobras, les forces armées et les laboratoires de recherches ». Le groupe
informatique français Bull qui travaille en collaboration avec le gouvernement français a remis récemment une lettre d'intention au
gouvernement brésilien pour formaliser son désir d'engagement dans ce projet de coopération bilatérale.
Quatre pays seulement maîtrisent cette technologie
La technologie des supercalculateurs n'est détenue que par quelques pays dans le monde comme les Etats-Unis, la France, la Chine
et le Japon. Cette coopération permettrait au Brésil« de faire un saut technologique de plus de 20 ans de recherche », selon Valor.
Pour M. Bustani, il s'agit pour le Brésil « de réaliser un véritable partenariat stratégique avec la France qui est le seul pays à
transférer sa technologie ». Et pour Valor, « l'intérêt pour la France d'un partenariat avec le Brésil est encore plus significatif dans la
conjoncture actuelle. La crise économique est forte et les entreprises savent que le marché brésilien continue à croître. »
Supercalculateurs français du TOP500
http://www.top500.org/statistics/sublist/
Rank
Site
System
Cores
Rmax (TFlop/s)
Rpeak (TFlop/s)
Power (kW)
11
CEA/TGCC-GENCI France
Curie thin nodes - Bullx B510, Xeon E5-2680 8C 2.700GHz, Infiniband
QDR Bull SA
77184
1359.0
1667.2
2251
20
Commissariat a l'Energie Atomique (CEA)
Tera-100 - Bull bullx super-node S6010/S6030 Bull SA
138368
1050.0
1254.5
4590
31
CNRS/IDRIS-GENCI
BlueGene/Q, Power BQC 16C 1.60GHz, Custom IBM
65536
690.2
838.9
328.8
32
EDF R&D
Zumbrota - BlueGene/Q, Power BQC 16C 1.60GHz, Custom IBM
65536
690.2
838.9
328.8
61
Bull
Bull Benchmarks SuperComputer II - Bullx B510, Xeon E5 (Sandy
Bridge - EP) 8C 2.70GHz, Infiniband QDR Bull SA
20480
360.9
442.4
99
Airbus
HP POD - Cluster Platform 3000 BL260c G6, X5675 3.06 GHz,
Infiniband Hewlett-Packard
24192
243.9
296.1
104
(GENCI-CINES)
Jade - SGI ICE 8200EX, Xeon E5450 4C 3.000GHz, Infiniband SGI
23040
237.8
267.9
1064
123
CNRS/IDRIS-GENCI
Ada - xSeries x3750 Cluster, Xeon E5-2680 8C 2.700GHz, Infiniband
FDR IBM
10624
191.9
229.5
243.7
133
Government
Cluster Platform 3000 BL2x220, L54xx 2.5 Ghz, Infiniband
Hewlett-Packard
24704
179.6
247.0
137
Commissariat a l'Energie Atomique (CEA)/CCRT
airain - Bullx B510, Xeon E5-2680 8C 2.700GHz, Infiniband QDR ull SA
9440
177.5
203.9
260
149
EDF R&D
Ivanhoe - iDataPlex, Xeon X56xx 6C 2.93 GHz, Infiniband IBM
16320
168.8
191.3
510
161
Commissariat a l'Energie Atomique (CEA)
Tera-100 Hybrid - Bullx B505, Xeon E56xx (Westmere-EP) 2.40 GHz,
Infiniband QDR Bull SA
7020
154.0
274.6
225
IDRIS
Blue Gene/P Solution IBM
40960
119.3
139.3
261
CEA/TGCC-GENCI
Curie hybrid - Bullx B505, Xeon E5640 2.67 GHz, Infiniband QDR Bull
SA
5040
109.9
198.2
270
CEA)/CCRT
GENCI-CCRT-Titane - BULL Novascale R422-E2 Bull SA
11520
108.5
130.0
276
Bull
Bull Benchmarks SuperComputer I - Bullx B510, Xeon E5 (Sandy
Bridge - EP) 8C 2.70GHz, Infiniband QDR Bull SA
5760
107.0
124.4
279
Total Exploration Production
SGI Altix ICE 8200EX, Xeon quad core 3.0 GHz SGI
10240
106.1
122.9
442
328
EDF R&D
Frontier2 BG/L - Blue Gene/P Solution IBM
32768
95.5
111.4
252
385
Manufacturing Company
Cluster Platform 3000 BL460c G6, Xeon X5570 2.93 GHz, Infiniband
Hewlett-Packard
8576
88.5
100.5
391
Bull
Layon - Bull bullx super-node S6010/S6030 Bull SA
11520
87.5
104.6
392
CEA/TGCC-GENCI
Curie fat nodes - Bullx S6010 Cluster, Xeon 2.26 Ghz 8-core, QDR
Infiniband Bull SA
11520
87.5
104.4
315
477
108.8
La Google Nexus 7 32 Go est disponible à 244 €
http://www.tablette-tactile.net/nouveaute/la-google-nexus-7-32go-est-disponible-a-244e-131888/
Comme prévu, Google vend désormais son modèle Nexus 7 avec une capacité de stockage de 32
Go pour 249 euros. Le modèle 32 Go + 3G devrait être disponible la semaine prochaine.
Si vous n’avez pas encore craqué, sachez que la Nexus 7 32 Go est en stock et expédiable sous 4 à 5 jours si
vous la commandez sur le Google Play Store. Les magasins partenaires la proposeront d’ici peu. En ligne,
Boulanger.fr la propose déjà à €244 grâce au code promo BLG-NOV (à saisir lors de votre commande).
Les + Qualité de l’écran IPS Processeur puissant Tegra 3 Android 4.1 Jelly Bean Une finition de qualité Le meilleur rapport
qualité/prix
Les - Le contenu francophone et l’offre doivent s’étoffer Pas de port microHDMI Pas de port microSD Stockage limité
A Key Addition to Phones Lacking Keyboards
http://gadgetwise.blogs.nytimes.com/2012/11/05/a-key-addition-to-phones-lacking-keyboards/?nl=technology&emc=edit_ct_20121108
Some phone shoppers bemoan the steady disappearance of physical keyboards. But having one means your phone
will be heavier and fatter than most. Plus there’s the possibility of suffering “BlackBerry shame.”
But you aren’t necessarily stuck with the small selection of keyboard phones. The
electronics maker Favi makes a portable Bluetooth keyboard with a touchpad that can
add a complete set of physical keys to a phone.
Billed as the “Favi Mini Bluetooth Keyboard with Touchpad Mouse Plus Laser Pointer,”
the keyboard will connect to any Bluetooth device. To accommodate the full keyboard
and the touch screen, the $80 device is a bit larger than the average mobile phone. It
easily fits into a pocket, but not perhaps at the same time as your phone. They
keyboard has keys that are specific to Android, like Back, Home and Menu keys, and
also keys that you won’t find on common phone keyboards, like audio and video controls. Although the keyboard works with
an iPhone, some of the functions didn’t, including the touchpad.Pairing was easy. There is a clearly marked Bluetooth button that
you tap to connect with other devices. The company claims a battery life of about a week in use, 30 days in standby. The keyboard
can be found online and in Staples stores. Typing was relatively simple on the slightly crowned keys, although I prefer keys with a
little grip to them – these are hard plastic. The touchpad has a tap-to-enter feature, which wasn’t always reliable, but usually
worked. And of course, as the mouthful of a name indicates, there is a laser pointer built in, for presentations and amusing your cat.
Japan Display produit un écran LCD à 651 ppp
http://www.clubic.com/materiel-informatique/ecran-lcd/actualite-520845-japen-display-ecran-lcd-651-ppp.html#ixzz2BoOAZGoF
Japan Display, coentreprise établie par Toshiba, Sony et Hitachi en novembre 2011, a annoncé qu'elle était parvenue
à un tour de force : produire le prototype fonctionnel d'un écran LCD d'une résolution de 651 pixels par pouce.
Pendant que d'autres fabricants comme Sharp ou AU Optronics se concentrent sur les grandes
diagonales, avec leurs écrans Full HD de 5’’ (et donc de 443 ppp), JDI prend le problème dans l'autre
sens puisque son écran mesure 2,3’’ (5,8 cm). Il repose néanmoins sur le même procédé de fabrication
LTPS (low temperature poly-silicon) que les écrans susmentionnés. Au ratio 16:9, cette diagonale et
cette résolution donnent probablement une définition HD de 1280 x 720 pixels, en supposant qu'il y a
de légers écarts liés aux arrondis (les calculs donnent précisément 1302 pixels de large).
À ce stade Japan Display ne destine son écran à aucun usage plus qu'à un autre, il ne s'agit encore que
d'un tour de force. Il pourrait directement servir à un viseur électronique, derrière un œilleton
grossissant. À terme, la maitrise d'une telle résolution ouvre la voie à des écrans Full HD de diagonales
plus raisonnables, pour des smartphones de 3,5 à 4,5’’.
Viseur OLED SONY
La Grande (sur-) Bouffe : pour en finir avec le gaspillage alimentaire
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/71366.htm
260 kg, tel est le poids du gaspillage alimentaire par personne et par an, en France, tout
au long de la chaîne de production des aliments. Aujourd'hui, un tiers des aliments
destinés à la consommation des humains est perdu ou gaspillé, depuis le champ jusqu'à
l'assiette. Ce qui est jeté en Europe et en Amérique du Nord permettrait de nourrir jusqu'à
trois fois le milliard de personnes qui souffrent encore de la faim dans le monde !
Peut-on éviter cette Grande (sur-) Bouffe et de quelle manière ? Le livre de Bruno
Lhoste(€5), directeur général d'Indigo, une société de conseil et d'ingénierie en
développement durable, dresse l'état des lieux de la situation française à partir des études
les plus récentes et explore les solutions envisageables. Ainsi en s'inspirant d'actions
innovantes en France comme en Europe, il propose des pistes d'amélioration à court
terme. Mais l'auteur présente également les moyens de faire évoluer plus profondément le
système de production alimentaire actuel afin de générer des réductions pérennes du
gaspillage, avec à la clé des conséquences positives, tant en termes de santé publique
que d'emplois. Un petit ouvrage à "goûter" au plus vite. Un régal!
Google Doodle : le 172ème anniversaire d’Auguste Rodin et le métier de sculpteur
http://www.e-orientations.com/actualites/google-doodle-le-172eme-anniversaire-d-auguste-rodin-et-le-metier-de-sculpteur-11472
A l’occasion du 172e anniversaire d’Auguste Rodin, Google a décidé de consacrer un Doodle au célèbre sculpteur
français. De son côté, Orientations vous détaille la profession relativement méconnue de sculpteur.
Le moteur de recherche célèbre aujourd’hui le 172e anniversaire d’Auguste Rodin
(1840-1917), l’un des plus importants sculpteurs français de tous les temps, par le
biais d’un Doodle relativement simple représentant son célèbre Penseur.
Rodin n’a découvert la sculpture qu’à l’âge de 15 ans. Malgré la confiance et le soutien
de ses professeurs, il échoue à 3 reprises au concours d’entrée des Beaux-arts : il
réussit pourtant l’épreuve de dessin, mais enregistre un triple échec à celle de
sculpture… Son style n’était pas conforme aux traditions néo-classiques de l’époque !
Il devra ainsi attendre 1877, avec son œuvre L’Âge d’airain, pour remporter son premier succès entaché d’accusations, à l’époque,
lui reprochant d’avoir moulé son modèle, tellement la statue grandeur nature paraît réelle ! L’année suivante, Rodin crée son Saint
Jean Baptiste, plus grand que nature pour prouver définitivement qu’il n’a pas eu recours au moulage, et remporte un vif succès.
Dès lors, Rodin va multiplier les œuvres monumentales. Consacré lors de sa rétrospective, à l’occasion de l’Exposition universelle, il
multiplie les chefs d’œuvre, comme Le Baiser(1889), Le Penseur (1906) ou encore La porte de l’enfer (1917).
Nexus 10 : 5 bonnes raisons de l'acheter
http://www.generation-nt.com/nexus-nexus10-google-samsung-achat-exynos-5250-malit604-tablette-exynos5dual-actualite-1653052.html
C'est le 13 novembre que les livraisons de tablettes Nexus 10 débuteront. Google, en partenariat avec Samsung, a
mis les petits plats dans les grands avec un premier prix à 399€ (version 16 Go). Malgré cela, la firme de Mountain
View n'a fait aucune concession sur ses caractéristiques. Bien au contraire...
Tout comme nous avons salué l'arrivée du smartphone Nexus 4, voici 5 éléments qui distinguent
la Nexus 10 des autres tablettes du marché.
Maxi résolution Les résolutions élevées ont débuté sur les "petits" écrans de nos smartphones.
C'est Apple qui avait ouvert la voie au "Retina Display" avec l'iPhone 4 (326 ppp sur son écran
de 3.5’’). Les autres constructeurs lui ont emboité le pas : Sony Xperia S avec 342 ppp et
maintenant HTC Butterfly J affichant de la 1080p sur son écran de 5’’, soit 440 ppp. Les modèles
haut de gamme se caractérisent tous (exception faite du Galaxy Note II qui a perdu en
résolution par rapport à son prédécesseur) par une densité de pixels supérieure à 300 ppp..
Apple avait ensuite introduit le Retina Display avec l'iPad 3 (2048 par 1536 pixels sur son écran de 9.7’’, soit 264 ppp). Mais, Google
et Samsung font mieux avec la Nexus 10. La tablette affiche 2560 par 1600 pixels (rapport 16:10) sur son écran de 10,055’’ po uces,
soit 300 ppp. Pour aller plus loin, on peut calculer le "Retina Display trigonometrical pixel density". Il s'agit du nombre de pixels qui
sont vus par l'œil humain à une distance d'utilisation "classique" dans un triangle ayant un angle de 1 degré. Les iPad 3 et 4 se
caractérisent par une densité de pixels par degré de 69 ppd ; c'est le fameux Retina Display selon Apple. La distance "utile" choisie
par Apple est de 38 cm pour une tablette de 10’’, distance au-delà de laquelle une augmentation de la résolution serait imperceptible
par l'œil humain. Un calcul identique donne 78 ppd pour la Nexus 10.
Les avis des experts restent toutefois partagés au sujet du Retina Display défini par Apple. Certains estiment que l'œil humain est
bien plus sensible que ce qu'Apple avance. La densité de pixels de 300 ppp de la Nexus 10 serait donc pertinente.
ABB Advance Makes Renewable-Energy Supergrids Practical
http://www.technologyreview.com/news/507331/abb-advance-makes-renewable-energy-supergrids-practical/
A high-power circuit breaker makes it possible to create highly efficient DC power grids.
Renewable sources of energy could reduce carbon dioxide emissions, but they are far-flung and intermittent. Highly efficient DC
power lines can help by pulling together power from widespread resources to help smooth out variations.
ABB, the large power and automation company, has developed technology that could provide an efficient way to transmit power
from widely distributed solar panels, wind turbines, and other sources of renewable energy. The new technology is a fast and
efficient circuit breaker for high-voltage direct-current (DC) power lines, a device that has eluded technologists for 100 years. The
breaker makes it possible to join high-voltage DC transmission lines to form a resilient power grid.
If renewable energy is ever to account for a large part of the total energy supply, countries will need to install new, large-scale
transmission grids, both to get power to cities from remote areas such as deserts that often have the best renewable resources, and
to combine power from widely distributed wind turbines and solar panels, which can help average out fluctuations in their output. In
Europe, there's been talk for years of a supergrid that would pull together power from hydroelectric dams in Scandinavia with wind
farms in Germany and large solar farms in Spain and even North Africa (see “A Supergrid for Europe”).
But such a supergrid has faced serious technical hurdles. The transmission lines that make up conventional power grids use
alternating current (AC), which loses large amounts of power over long distances unless complicated and expensive measures are
taken. DC is more efficient over long distances, and it offers the additional benefit of working well underground and underwater,
reducing or eliminating the need for the unsightly transmission towers that can make it difficult to site new transmission lines.
DC lines have long been used to transmit power across the North Sea, and from large hydroelectric dams to cities. But until ABB's
advance, it wasn't safe to connect DC lines into a large-scale grid.
ABB's circuit breaker changes that. Within five milliseconds it can stop the flow of a huge amount of power—equal to the entire
output of a nuclear power plant, ABB says. The breakers could be used to nearly instantaneously reroute power in a DC grid around
a problem, allowing the grid to keep functioning. “Ordinarily, if something goes wrong anywhere, all the power goes off,” says Claes
Rytoft, ABB’s chief technology officer. “The breaker can cut out the faulty line and keep the rest healthy.”
Researchers have been trying to develop high-voltage DC circuit breakers for a century (see “Edison’s Revenge: The Rise of DC
Power”). Mechanical switches alone didn't work—they shut off power too slowly. Power electronics made of transistors that can
switch on and off large amounts of power offered a possible solution, but they proved far too inefficient. ABB's solution combines
power electronics with a mechanical switch to create a hybrid system that's both fast and efficient. The new circuit breaker could
also be far less expensive than systems that use only transistors.
“The cost of the power electronics breaker was humongous,” says Ram Adapa, a power delivery technical leader at the Electric
Power Research Institute. “The hybrid breaker should be less costly.”
With the major hurdle to DC grids out of the way, ABB is now developing algorithms to control them. The system will still need to
work in concert with AC lines for distributing the power in local communities, since there is no inexpensive DC equivalent of the
transformers needed to step down power to the relatively low voltages used in homes and businesses. One of the first markets for
the new technology could be Germany, which has decided to turn off its nuclear power plants and rely heavily on renewable energy
(see “The Great German Energy Experiment”).
The degree to which high-voltage DC grids can help renewables may depend on the economics of installing underground cables
versus overhead lines. Obtaining rights-of-way is one of the biggest obstacles to installing new transmission lines in many countries,
and underground installations don’t require obtaining new rights-of-way, since they can be easily installed along existing roadways.
ABB says that when the entire system cost is taken into account, underground installations are only slightly more expensive than
overhead ones. But Adapa is skeptical, saying that underground installations could cost five times as much.
Apple est-il en bout de course ?
http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/52729/apple-est-il-en-bout-de-course.shtml
Les ventes record de l’iPhone 5 et le lancement attendu de l’iPad mini ne sauraient masquer cette question : après avoir créé le
marché des smartphones et des applications mobiles, Apple a-t-il définitivement perdu sa place de leader incontesté ?
La part de marché d’Apple sur le marché des smartphones a atteint 14,9% au troisième trimestre 2012, contre
16,9% au trimestre précédent.Selon les estimations publiées par le cabinet de recherche IDC le 1er novembre dernier, le
système d’exploitation Android de Google équipe désormais 75% des appareils, soit 136 des 182,1 millions de smartphones vendus
dans le monde au troisième trimestre. La marque à la pomme, connue pour la fidélité quasi-religieuse de ses utilisateurs, les
fascinerait-elle moins aujourd’hui ? Un rapport de Strategy Analytics paru la semaine dernière met en évidence le fait qu’Apple ne
serait plus autant vu comme le leader de l’innovation qu’il était il y a encore quelques mois. Il démontre en effet que la loyauté des
utilisateurs d’iPhone recule. Ainsi, aux Etats-Unis, les utilisateurs d’iPhone prévoyant de rester fidèle à Apple lors de leur prochain
achat sont aujourd’hui 88%, alors que ce chiffre était de 93% l’an passé. En Europe occidentale, cette proportion plonge de
12 points (de 88 à 75%). Certes, la chute n’est pas énorme et le nombre de possesseurs d’iPhone continue d’augmenter, mais
cette baisse semble marquer un signe avant-coureur. D’autant plus que le nombre de smartphones vendus n’est pas la
seule bataille perdue récemment par Apple. Deux autres batailles décisives l’ont été également.
La première est hautement symbolique : il s’agit du nombre d’applications disponibles sur le store. Même si une étude
d’Adeven a montré qu’une grande partie des applications disponibles sur les stores n’ont jamais été téléchargées (applications dites
« mortes » ou « zombies »), le nombre d’applications disponibles a toujours été un argument marketing pour Apple. Et avec les 700
000 applications disponibles sur Google Play, soit autant que sur l’App Store, les consommateurs ont aujourd’hui un choix qu’ils
n’avaient pas auparavant.
La seconde se situe également sur le terrain des applications. Après avoir tenté de se passer de Google pour son application
de cartographie, Tim Cook a dû présenter ses excuses aux utilisateurs : la nouvelle application « Plans » intégrée par défaut dans
les iPhones présentant de nombreuses erreurs et approximations qui provoquent des réactions dont Apple n’était pas coutumier.
Il est très surprenant qu’Apple laisse penser, à travers ses récentes décisions, qu’il n’a pas pris la mesure de la
situation. Les ventes de l’iPad mini nous diront si le choix était le bon. Mais le maintien d’un prix élevé, supérieur à la concurrence
pour une tablette de taille similaire et dont l’écran semble décevoir certains commentateurs spécialisés, a surpris.
C’est dans ce contexte qu’Apple a publié récemment les nouvelles conditions tarifaires de son AppStore, applicables
à certains pays, majoritairement de la zone Euro. Principal enseignement : les tarifs des applications payantes et de
l’achat in-app augmentent. La première tranche qui était de 0,79 € passe à 0,89€ ; la seconde passe de 1,59 à 1,79€, la dixième
de 7,99 à 8,99€, etc. Ces augmentations ont été justifiées par les variations des taux de change €/$. On peut également
y voir la volonté d’Apple de faire un geste envers les éditeurs en augmentant ainsi leurs revenus. Mais malheureusement, cette
réforme tarifaire aura été réalisée sans concertation. La hausse est certes très faible en valeur (de quelques centimes à quelques €
d’augmentation), mais non négligeable en proportion (12,5% en moyenne). Même s’ils bénéficient en partie de cette hausse des
prix, les éditeurs sont mis devant le fait accompli. Et au final, ce sont les consommateurs qui vont en assumer les conséquences.
Apple peut-il encore se permettre ce type de décision dans un contexte de plus en plus concurrentiel ? Pour le
moment, les chiffres parlent d’eux-mêmes : même si la proportion d’iPhones dans le parc mondial de smartphones diminue, Apple a
en vendu 58% de plus que l’an dernier à la même période. Les ventes record de l’iPhone 5 ne laissent pas présager une mort
soudaine, loin de là, car, dans le même temps, les ventes d’iPad ont augmenté de 26%, même si là encore Apple n’est plus aussi
dominateur qu’avant. Avec la sortie de Windows 8, les prévisions de l’IDC désignant Apple comme troisième acteur en 2016, derrière
Google et Microsoft sont-elles en train de se réaliser ? Apple est tout à fait conscient que pour conserver son avance de
leader et ne pas voir le marché qu’il a créé lui échapper, son salut passe par l’innovation. C’est ce que tous les
utilisateurs d’iPhone attendent, sous peine de rejoindre rapidement la communauté des androinautes.
Cray's Titan system takes supercomputer crown
http://www.zdnet.com/crays-titan-system-takes-supercomputer-crown-7000007198/?s_cid=e539
Titan is a Cray XK7 system that hit 17.59 Petaflop/s on the Linpack benchmark. Titan features 560,640 processors,
including 261,632 Nvidia K20x accelerator cores.
The Oak Ridge National Laboratory had the fastest supercomputer with a system called Titan, which consisted of Cray and Nvidia
technology, according to the twice a year Top500 list.
Specifically, Titan is a Cray XK7 system that hit 17.59 Petaflop/s on the Linpack benchmark. Titan features 560,640 processors,
including 261,632 Nvidia K20x accelerator cores.
The results will be announced at the SC12 supercomputing conference Monday.
Titan bumped Sequoia, an IBM BlueGene/Q system, to No. 2. Sequoia is installed at the Lawrence Livermore National Laboratory
and was No. 1 in June. Sequoia---16.32 Petaflop/s---has 1,572,864 cores. The rest of the top 5 included Fujitsu's K computer in
Kobe, Japan, a BlueGene/Q system dubbed Mira at the Argonne National Laboratory and another BlueGene/Q system named
JUQUEEN at the Forschungszentrum Juelich in Germany.
Dell cracked the top 10 with Stampede, based on PowerEdge servers and Intel's Xeon Phi processors, University of Texas in Austin.
By geography, the U.S. had 251 of the top 500 systems with Asia having 123 systems. Europe has 105 systems. There are 72 high
performance computing systems installed in China.
Among the notable details:

Overall, 23 systems have Petaflop/s performance.

62 systems are using Nvidia GPUs to accelerate computation.

7 are accelerated by Intel's Xeon Phi processors.

84.6 percent of systems use processors with six or more cores.

Intel processors are used in 76 % of the Top500 systems. AMD is in 12 % of systems and IBM's Power in 10.6 %.

IBM has six of the top 10 systems and 32 entries in the top 100.

IBM has 192 entries in the Top500 list followed by HP at 149 and Cray at 30.
C7 : un nouveau Chromebook signé Acer
http://www.zdnet.fr/actualites/c7-un-nouveau-chromebook-signe-acer-39784425.htm#xtor=EPR-100
Animé d’un processeur Intel Core et d’un écran de 11,6 pouces, l’Acer C7 est le 3ème modèle de Chromebook qui se
place en entrée de gamme à $199. Il est pour le moment disponible aux États-Unis et en Angleterre.
Google vient d’enrichir sa gamme de Chromebook d’un troisième modèle. Il s’agit du C7 fabriqué par
Acer qui l’a équipé d’un écran 11,6 pouces 1 366x 768 pixels, d’un processeur Intel Core (puissance
non précisée), d’une caméra frontale HD et de 320 Go de disque dur complétés par 100 Go d’espace
sur Google Drive offerts pendant 2 ans.
Côté connectique, on trouve 3 ports USB 2.0, 1 port HDMI, 1 port VGA, une prise Ethernet et un
module WiFi. L’autonomie de la batterie est donnée pour 3,5 heures et le poids du C7 est de 1,4 kg.
En ce qui concerne le prix, il est positionné à $199, ce qui en fait le Chromebook le plus abordable
comparé aux deux Samsung Chromebook et Chromebook 550 à respectivement $249 et $449.
Google indique que le C7 est disponible en Angleterre sur Google Play, Amazon, chez PC World et Currys. Il doit sortir aux US dans
la semaine. Pas de date pour la commercialisation dans d’autres pays. En France, un seul Chromebook est disponible, le Samsung
Séries 5 à €399.
SIGFOX UNB TECHNOLOGIE
http://www.sigfox.com/fr/page/5-technologie.html
Avec sa technologie UNB brevetée et son réseau dédié au bas-débit, SIGFOX réussit un incroyable pari: transmettre de manière
économique, éco-responsable, efficace et fiable, les milliards de données de l’Internet des Objets.
Une technologie radio ultra efficace Une des clés de l’incroyable compétitivité de la solution proposée par SIGFOX pour les
communications M2M bas-débit et l’Internet des Objets réside dans la technologie radio utilisée. Baptisée « UNB » (Ultra Narrow
Band), cette technologie utilise les bandes de fréquences libres (gratuites) pour transmettre sur un spectre très étroit les données
destinées ou en provenance des objets connectés.
Conçue pour la transmission bas-débit (typiquement de 10b/s à 1kb/s), la technologie sans-fil UNB bénéficie d’un très haut niveau
de sensibilité qui permet de transporter les données sur une longue distance (jusqu’à 40km en champ libre) et de communiquer avec
des équipements enfouis, de manière parfaitement fiable et avec une puissance consommée minimum. L’émission en bande étroite
couplée à un traitement du signal sophistiqué assure une protection efficace contre les interférences et garantit l’intégrité des
données transmises. Un autre avantage de l’excellente sensibilité des dispositifs UNB est l’économie de ressources. La technologie
permet en effet à SIGFOX de déployer un réseau de communication bas-débit très efficace en limitant fortement le nombre
d’antennes (stations de base). Comparé à un réseau cellulaire de type GSM, pour le même niveau de couverture la solution SIGFOX
nécessite environ 1000 fois moins d’antennes et des stations de base 100 fois moins chères à construire et à opérer. De plus, tous
les éléments radio utilisés dans le réseau (émetteurs et récepteurs) sont très nettement moins consommateurs d’énergie que des
dispositifs utilisant une technologie concurrente (GSM ou radio large bande). Cette prouesse permet à SIGFOX de limiter fortement
l’empreinte de son réseau, tant au niveau économique qu’écologique et d’offrir les tarifs les plus bas du marché pour les
communications M2M et IoT bas-débit.
Le réseau SIGFOX Architecture du réseau Sigfox SIGFOX couvre la chaîne de transmission de bout en bout, depuis vos équipements
jusqu’à votre système d’information. Résolument tourné vers l’Internet, et utilisant un « cloud » spécifiquement conçu et adapté, le
réseau SIGFOX utilise des protocoles de communication du Web pour faciliter l’intégration à vos applications.
Le réseau SIGFOX possède une structure hiérarchique :
-les modems UNB communiquent avec des stations de base, ou cellules, qui couvrent de larges zones de plusieurs centaines de
kilomètres carrés,
- les stations de base routent les messages vers les serveurs,
- les serveurs vérifient l’intégrité des données et routent les messages vers votre système d’information.
Conçu pour les applications critiques SIGFOX a intégré dès la conception les contraintes de fiabilité requises pour des
applications destinées à faire communiquer de manière fiable un très grand nombre d’équipements ou d’objets sur une très longue
période. Pour garantir une qualité de service de très haut niveau, le réseau SIGFOX bénéficie d’infrastructures redondées et
surveillées en permanence. Chaque station de base dispose de 2 liens IP minimum pour échanger les informations avec le cloud
SIGFOX qui héberge et traite les flux de données. Les informations transmises par chaque objet sont captées simultanément par
plusieurs antennes, garantissant ainsi une continuité de service en cas d’indisponibilité d’un nœud de connexion.
Robustesse et disponibilité Côté infrastructures réseau, l’architecture matérielle et logicielle des serveurs est conçue pour assurer
une disponibilité maximale et une forte tolérance aux pannes. Chaque fonction est redondée et les bases de données sont
répliquées, avec une sauvegarde distante régulière.
Le centre de supervision de vos équipements En plus du routage des messages, les serveurs centraux archivent les messages
et surveillent le comportement des modems UNB, fournissant des fonctions de supervision et d’alerte. Notre réseau étant conçu pour
des applications industrielles, vous pouvez consulter le trafic réseau par modem, mais aussi par famille de modem, et configurer des
alertes qui seront levées en cas de silence d’un modem (panne de l’équipement, perte d’alimentation, incident réseau…) ou niveau
de batterie insuffisant.
Sécurité et confidentialité des données Les serveurs sont situés dans des centres d’hébergement sécurisés sur des sites dont
l’accès est contrôlé. Par ailleurs, l’intégralité du réseau SIGFOX utilise des protocoles de communication cryptés garantissant la
confidentialité et l’intégrité de vos données. Le réseau est aussi un canal de communication transparent, et vous seul conservez la
connaissance de la nature des données transportées. Le back-office de gestion des modems dispose enfin d’un système de gestion
de droits hiérarchique, vous permettant de créer et gérer de façon autonome des groupes d’utilisateurs ayant une visibilité et des
permissions restreintes sur vos modems.
Une connexion simple et rapide au réseau SIGFOX Modems UNB Disponibles auprès de partenaires qualifiés, les modems
UNB sont faciles à intégrer et à piloter. Disposant d’une interface série et d’Entrées/Sorties numériques, les modems sont également
contrôlables via un jeu de commandes AT.
Connexion à votre système d’information Afin de garantir une intégration simple et rapide des flux de données à votre système
d’information, la solution SIGFOX offre une interface de type Webservice, normalisée W3C. De plus, vous pouvez à tout moment
vous connecter et visualiser vos données à travers un simple navigateur web.
First BlackBerry 10 handsets to be revealed at end of January
http://www.zdnet.com/first-blackberry-10-handsets-to-be-revealed-at-end-of-january-7000007262/?s_cid=e589
The first Research In Motion smartphones to run the new BlackBerry 10 operating system will be revealed in 30
January, in a worldwide event that will mark the formal introduction of the platform.
BlackBerry handset maker Research In Motion (RIM) has confirmed that it will lift the wraps on its first
BlackBerry 10 hardware and formally introduce the new operating system at the end of January.
The launch event will happen simultaneously in multiple countries around the world and, as well as marking
the introduction of the platform, will unveil the first two handsets to use the new OS for the first time.
"In building BlackBerry 10, we set out to create a truly unique mobile computing experience that constantly
adapts to your needs. Our team has been working tirelessly to bring our customers innovative features
combined with a best in class browser, a rich application ecosystem, and cutting-edge multimedia
capabilities," Thorsten Heins, chief executive of RIM, said.
The Canadian smartphone manufacturer has suffered a declining share in both the consumer and enterprise markets in recent
months. However, it sees the transition to BlackBerry 10, its new OS for tablets and smartphones, as the route back to users' hearts.
BlackBerry 10's headline features include an adaptive dual layered on-screen keyboard, BlackBerry Balance for keeping work and
business content separately stored on the phone, and BlackBerry Flow and Hub for easier navigation and quick notification updates.
Google Play Musique désormais disponible en France
http://www.zdnet.fr/actualites/google-play-musique-desormais-disponible-en-france-39784441.htm#xtor=EPR-100
Google Play Musique est enfin disponible en France. Pour le géant, il s'agit de relancer son service d'achat de
musique en ligne, à la traine par rapport à la concurrence.
Google Music arrive de ce côté-ci de l'Atlantique, dans sa version francisée Google Play Musique. Une offre double basée sur un
stockage gratuit de sa musique dans le cloud, et la possibilité d'intégrer directement la musique achetée sur Google Play.
Accessible pendant quelques semaines par des moyens détournés lors de son lancement en beta aux Etats-Unis, en juin 2011, le
service avait ensuite été localisé. Impossible de suivre ses évolutions depuis.
Reconnaissance de musique Sur la forme, rien ne change vraiment. L'application pour Android a été revue (rappelons que
Google Play Musique n'est accessible qu'en web app sur iOS), et le site web semble très proche de la version beta.
Sur le fond, le système cherche à se démarquer de la concurrence par un système basé sur le transfert de la musique déjà existante
chez l'utilisateur. C'est la promesse de Google : vous ne repayez pas pour les morceaux déjà possédés, il suffit de les scanner pour
les retrouver automatiquement sur son espace en ligne. La nouveauté était réelle il y a plus d'un an, elle l'est un peu moins
aujourd'hui puisque de nombreux services proposent désormais des fonctionnalités similaires (iTunes Match chez Apple). Pour le
reste, Google Play Musique peut accueillir jusqu'à 20 000 morceaux, et permet d'acheter de la musique sur la boutique Google Play.
Catalogue étoffé Les deux fonctionnalités fonctionnent très bien à première vue. Après achat, ou vérification du disque dur, les
morceaux sont rapidement disponibles dans "Ma Musique". Si un morceau scanné sur le disque dur n'est pas reconnu, il sera
téléchargé vers l'espace en ligne, et éditable à la main. Notons que lors de l'achat d'un morceau, il est possible de le "partager". En
réalité, il s'agit de ne permettre qu'une seule écoute du morceau à ses contacts. Le catalogue est mieux fourni qu'auparavant,
notamment grâce à l'ajout des morceaux détenus par Warner Music.
La boutique d'achat de musique était déjà disponible, mais n'a visiblement pas rencontré le succès escompté. Google espère
ainsi relancer l'intérêt pour son service, concurrent direct d'iTunes ou de Xbox Music.
Le dernier né des supercalculateurs de Cray sera unique…
http://www.silicon.fr/dernier-calculateur-cray-unique-80890.html?utm_source=2012-11-13&utm_medium=email&utm_campaign=siliconfr_daily
Le XC30 est un ‘one shot’ de Cray dans la course aux supercalculateurs, avec sa technologie d’interconnexion innovante, son million
de cœurs de processeurs et ses 100 petaflops en vue…
Il pourrait bien enterrer ses rivaux lorsqu’il se découvrira début 2013… mais il en restera là !
Aakash 2 : la tablette qui valait 20$
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/aakash-2-la-tablette-qui-valait-20-132002/
En début d’année, l’Inde présentait un projet innovant ayant pour but de fournir l’accès
aux tablettes tactiles à un maximum d’étudiants pour la modique somme de 35$.L’Aakash de
première génération était née. Malheureusement, les prix ont flambés et sont montés à 60$.
Mais loin d’abandonner l’idée, le gouvernement Indien réitère le coup en préparant l’Aakash
2, qui tournera sous Android 4.0 ICS et embarquera un processeur Cortex A8 ainsi que 512
Mo de RAM (les mêmes caractéristiques que laMID74C de Mpman). Il y aura aussi un port
micro-SD et 4 Go de stockage interne. La tablette sera produite par la société Britannique
DataWind et vendue au prix très bas de 40$. Le gouvernement Indien fournira une
subvention de 20$ pour les étudiants, ce qui portera le prix final à 20$.
C’est donc une belle initiative sur le papier, mais il faut espérer qu’elle suivra la même route dans la réalité. Si c’est le cas, de
nombreux étudiants auront un accès à Internet, une chose encore trop rare en Inde.
Samsung Galaxy Camera
http://www.36000solutions.com/blog/la-maison-connectee/article/test-samsung-galaxy-camera
Toujours dans la poche, partage facile des photos... On utilise de plus en plus lessmartphones
pour prendre des photos. Nous avons testé en avant-première, un nouveau type d'appareil
photo qui embarque Android : le Samsung Galaxy Camera. Sa promesse : la qualité photo
alliée aux avantages d'un smartphone.
Un appareil photo avec écran géant La première chose que j’ai remarqué lorsque j’ai déballé
le Samsung Galaxy Camera, c’est son grand écran tactile. Il ne laisse pas indifférent avec ses
12,1 cm (4,77’’). J’ai pu voir clairement les scènes prises en photo et réaliser un bon cadrage. C’est
un vrai plaisir de prendre des clichés avec. Les menus sont aussi plus lisibles sans pour autant être
envahissants sur l’écran en mode « photo ». Les commandes tactiles ont très bien répondu. À
noter, les dimensions de l'écran en font un appareil plus imposant qu'un compact traditionnel.
Un appareil photo polyvalent Le Samsung Galaxy Camera est avant tout un appareil photo. Et au niveau des clichés, il assure
une bonne qualité d’image digne d'un bon compact. J'ai pu réaliser des portraits pris de loin grâce à son gros zoom x21,
mais aussi prendre des monuments dans leur intégralité grâce à son grand angle (la Cathédrale de Rouen voir ci-contre). À noter
que certaines photos en extérieur avec le mode auto sont parfois trop lumineuses. J’ai apprécié les nombreux modes de l’appareil :
"auto", "intelligent" (qui s’apparente au mode "scènes") et "expert" (priorité vitesse, priorité ouverture...). Cela en fait un appareil
très complet. Autre point, j’ai trouvé que les menus, en particulier le mode "intelligent", proposaient des conseils très clairs pour
une prise en main rapide. J’ai aussi pu filmer en Full HD 1080p des vidéos courtes, idéales pour partager avec ma famille.
Android : cap sur les effets spéciaux pour ses photos Quel est l'intérêt d'avoir Android sur son appareil photo ? Cela permet
de bénéficier des applications dumarket Android (Google Play) pour faire des photos originales. J’ai ainsi testé les
applis Instagram et Fx Camera (gratuite) qui ajoutent des effets "vintage" ou "fisheye", ainsi que l’application PicsArt (gratuite)
qui elle aussi permet d’avoir en direct des effets divers. Bon point, pour ceux qui n’ont pas de compte Google, Samsung propose
aussi sa propre application exclusive à l’appareil : Paper Artist. Disponible immédiatement, elle multiplie les possibilités
offertes de base pour apporter une touche originale à ses photos.
Partager les photos de son appareil photo J’ai ensuite envoyé mes photos exactement comme sur mon smartphone.
Mail, Bluetooth, Cloud (Google Drive, Dropbox…)… J’ai vraiment eu l’impression d’avoir mon mobile Android en main. Le
partage se fait facilement en Wi-Fi. Très pratique, j’ai pu m’envoyer des photos sur mon mail mais aussi sur les réseaux sociaux
(Facebook, Twitter...) sans avoir à brancher l’APN à mon ordinateur. J’ai aussi visualisé mes clichés sur mon smartphone et sur
une télévision connectée (Smart TV) grâce aux applications AllShare Play et Groupe Cast en Wi-Fi. Très convivial en famille.
Un appareil compact qui se transforme en une tablette Android Le Samsung Galaxy Cam embarque la dernière version
d’Android 4.1 (Jelly Bean pour les intimes). Une fois un compte Google renseigné, j’ai donc retrouvé mes repères : relevé des
emails avec Gmail, Internet avec Google Chrome, gestion des paramètres, applications Android… C’est une vrai tablette
version mini ! Les habitués du petit bonhomme vert ne seront donc pas perdus. Les néophytes découvriront, eux, une version
ergonomique et facile à prendre en main.
Verdict sur le Samsung Galaxy Camera Cet appareil photo réussi à combiner une bonne qualité photo et les avantages
d'un smartphone : applications pour prendre des photos originales, partager ses photos sans fil... Sceptique au début devant ce
mariage un peu fou, le Samsung Galaxy Camera m’a convaincu de l’utilité d’avoir Android sur son appareil photo. €449.
Omote 3D : l’imprimante 3D qui vous transformera en figurine
http://dailygeekshow.com/2012/11/13/omote-3d-limprimante-3d-qui-vous-transformera-en-figurine/
Que diriez-vous de repartir d'un photomaton avec une votre figurine plutôt qu'avec une photo ? L'idée
vous plaît ? Elle est désormais possible grâce à Omote 3D, un studio photo qui va permettre de vous
numériser et de vous imprimer en miniature 3D.
La Omote 3D, qui sera présentée à l'occasion de l'exposition Eye of Gyre à Tokyo du 24 novembre au 14 janvier, va
vous permettre de réaliser des miniatures de vous-même ou de vos amis grâce à une imprimante3D. Ce système vous
numérisera sur ordinateur et sera ainsi capable de vous reproduire à l'identique sur une figurine de 10, 15 ou 20 cm
pour une somme de 210, 315 ou €410. Les photos de groupes peuvent se faire et réduisent le prix.
Même si l'on trouvera le procédé un peu cher pour avoir un mini-moi, avec les prouesses et la démocratisation très
rapide de l'impression 3D, on peut s'attendre à voir des appareils de ce genre ouvrir à des prix moins élevés. Il
n'empêche que si vous passez par Tokyo et que vous désirez vous faire imprimer le portrait, il faudra réserver à
l'avance sur le site car apparemment la machine rencontre un vrai succès chez nos amis japonais.
Selon Gartner, les dépenses IT progresseront de 1,4% en 2013 en EMEA
http://www.lemondeducloud.fr/lire-le-monde-du-cloud-51138.html?utm_source=mail&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter
Vous avez besoin d'une petite bouffée d'optimisme ? Regardez la dernière étude du Gartner. Sans être euphorique,
elle montre un inversement de tendance entre 2013 et 2012 et de fortes créations d'emplois.
Selon l’institut Gartner, les dépenses IT dans les entreprises atteindront $1154 Bn en 2013, en hausse de 1,4% par rapport aux
1138 espérés pour 2012. L'année 2012 est en baisse de 3,6% par rapport à 2011 pour l'ensemble EMEA, cette baisse atteint les
5,9% pour la seule Europe de l'Ouest. Des chiffres annoncés lors du Symposium du Gartner à Barcelone devant 4 000 DSI.
Sans surprise, Gartner estime que la gestion des données et les mobiles sont les plus grands facteurs de croissance. « Les achats de
tablettes et de smartphones dépasseront les achats de PC traditionnels » assure Peter Sondergaard, senior vice président au
Gartner. Les dépenses sur les appareils mobiles par exemple (PC portables, téléphones portables, tablettes) atteindront 136 milliards
de dollars en 2012 mais passeront à 188 en 2016. En Europe de l'ouest, le seul marché entreprises et grand public des appareils
mobiles a progressé de 8% en 2012, le marché des PC mobiles a baissé de 5%.
Changement complet d'architecture Dans le même ordre d'idées, le Gartner estime qu'en 2016, les deux tiers des salariés
seront dotés d'un smartphone ou d'une tablette. Ce qui modifie leur manière d'acheter des logiciels et transformera le marché. Les
fournisseurs d'applications vont devoir réécrire leurs applications pour ces nouveaux environnements. Les dépenses IT dans
le logiciel vont croître de 3,1% en 2013 et atteindront, en EMEA, $100 Bn en 2016. Pour les entreprises, cette mobilité entraînera un
changement complet de l'architecture de l'entreprise. L'intégration entre le cloud, le mobile, le social et les données va installer une
nouvelle couche d'information et permettra de créer de nouveaux emplois.
Le Gartner a même calculé que 1,2 million d'emplois seront créés en Europe de l'Ouest. Peter Sondergaard s'attend à ce que les
systèmes éducatifs et les entreprises ne puissent pas assurer ces nouveaux besoins. 31% seulement des emplois IT seront pourvus.
Companion devices are not PC replacements
http://www.zdnet.com/companion-devices-are-not-pc-replacements-7000007396/?s_cid=e539
There is no shortage of companion devices -- tablets and pseudo-laptops to name a few. While some considering
such a device try to make a case for it replacing a "real" computer, the fact is those folks are missing the point.
Tablets, Chromebooks, Surface, oh my! Everywhere you look you are bombarded by the wealth of companion devices on the
market, those mobile devices designed to fit the active lifestyle. While such devices can often be used for productive tasks, they will
not replace the need for real computers for most buyers.
We see it all the time, a new mobile device is released and reviewers start lamenting how it can't do everything that a real computer
can do. It's as if there is some driving desire to find one single device that does everything one can possibly want to do.
The reality is no such device exists. Tablets and the like are companion devices in the true sense of the term. They have specific
user scenarios that they fit very well, but they can't do everything a full computer can do. To expect more of companion devices is a
recipe for disappointment. The recent release of the Surface RT tablet by Microsoft is a good example of this phenomenon. While
the inclusion of Windows, albeit a restricted version of it, makes some approach the Surface as if it is a full computer, in reality it is
another companion device. It is designed to be used by Windows PC users who want a mobile version for occasional use.
If approached in this vein, the Surface is a decent companion device. No it can't do everything a Windows desktop can do but it's
not intended for such work. It's a mobile device for Windows PC users that can step in ably when pressed for such duty.
It's not just the Surface that is viewed as a full PC replacement, the same happens with most companion devices. I have covered my
ability to use tablets, iPads and Android tablets alike, for temporary productive tasks. They fill in admirably for temporary work
sessions, but I wouldn't use them all the time. There is still no substitute for computers that run full software.
Even my Chromebook, which is a decent work computer for me, is at its core a companion device. It does what it does nicely, but it
is not a full computer nor can it replace one for me. Like other companion devices, it means I must recognize its limitations.
Some folks don't get the idea of the companion device. They don't see why you'd use a limited device when you could just use a full
computer. That view overlooks the benefits a well-designed companion device brings to the table. Ease of use and comfort are big
advantages of mobile devices and most companion devices deliver that nicely. Sometimes a limited computing session is more than
enough and that's where the companion device shines. Tablets and other companion devices are getting cheaper all the time so it is
becoming easier to have them in addition to full computers. While these devices are getting more capable all the time, they are still
not intended to be the only computer most people need. Recognize them as the companion device they are and a whole mobile
world is opened up.
Le marché des tablettes est en plein boom (les derniers chiffres & études)
http://www.tablette-tactile.net/etudes/le-marche-des-tablettes-est-en-plein-boom-les-derniers-chiffres-etudes-132014/
De nombreuses études sortent actuellement sur le marché des tablettes tactiles. L’occasion de faire le point sur ce
marché en plein essor dans le monde entier.
Les tablettes 7’’ au top On peut dire que les géants américains ont réellement lancé le marché
des tablettes 7’’. Amazon, Google puis plus récemment Apple vont faire décoller les ventes de
petits terminaux. Ainsi, l’an dernier 17 millions de tablettes 7″ ont été vendues. Selon une étude
de IHS iSuppli, les prévisions parlent de 34 millions pour 2012 et 67 millions en 2013 (soit 33% du
marché global).
Toujours plus d’utilisateurs Naturellement, l’explosion des ventes va avec l’augmentation du nombre d’utilisateurs de tablettes.
Ainsi l’étude d’IHS iSuppli prévoit qu’en 2015, plus de 50% des américains auront une tablette !
1 vente sur 4 d’équipement informatique est une tablette Si on considère que de juillet 2012 à septembre 2012, 87,7 millions
d’ordinateurs ont été vendus contre 27,7 millions de tablettes (chiffres IDC – IDC2), cette dernière représente 1 vente sur 4. Le
phénomène devrait s’accélérer avec les modèles hybrides tablette/clavier …
La star à Noël : les tablettes pour enfants Il n’y a pas que des tablettes pour “adultes”. Les grandes marques de jouet ont sorti
des tablettes éducatives et elle sera la star pour Noël. En effet NPD Group a calculé qu’environ 250 000 tablettes préscolaires
pour les 4-9 ans seront vendues à Noël. D’ailleurs, on y reviendra rapidement sur le site pour vous aider à choisir.
Du coté des tablettes grands publics, une étude de Deloitte.com montre que 19% des consommateurs souhaitent une tablette (14%
l’an dernier) mais que seulement 4% ont l’intention d’en offrir une. Comme on dit, on n’est jamais mieux servi que par soi-même …
Les professionnels à l’assaut de la tablette Toujours d’après une étude Gartner, la tablette fait également évoluer le monde
professionnel. Ainsi en 2012, les professionnels vont acheter environ 13 millions de tablettes. Ce chiffre va plus que tripler d’ici 2016
avec une prévision de ventes de 53 millions de tablettes vendues. L’arrivée de Windows 8 devrait booster le marché professionnel,
notamment la commercialisation massive des tablettes hybrides, à mon sens bien plus confortable pour travailler. Gartner estime
que Microsoft représentera 39% du marché des tablettes dans le monde pro d’ici 2016.
Les hybrides entre smartphones et tablettes sont-ils l'avenir du mobile ?
http://www.commentcamarche.net/news/5861349-les-hybrides-entre-smartphones-et-tablettes-sont-ils-l-avenir-du-mobile?
Les records de vente du Galaxy Note II laissent penser que les smartphones à écran 5,5 pouces ne
sont pas simplement un phénomène de mode. De nombreuses marques suivront l'exemple de
Samsung, pour faire concurrence aux tablettes 7’’.
Au moment de son lancement, le Samsung Galaxy Note avait été accueilli avec un certain dédain
par la communauté high-tech, qui le trouvait trop gros pour être utilisé en tant que téléphone, et
trop petit pour faire office de tablette. Pourtant, sa deuxième version, le Galaxy Note II, s'est
vendue à 3 millions d'exemplaires en un mois, avant même sa commercialisation aux États-Unis. Par
comparaison, Sony a vendu au total 8,8 millions de smartphones dans le monde au 3T 2012.
Les records de vente du Galaxy Note II laissent penser que les smartphones à écran 5,5’’ ne sont pas simplement un phénomène de
La nouvelle grande tendance du mobile ? A en croire le Chinois Lenovo et les principaux concurrents de Samsung, ces appareils
hybrides pourraient représenter l'avenir du mobile. Pendant une conférence sur les bénéfices de la compagnie, Yang Yuanqing, PDG
de Lenovo, a expliqué que si les tablettes 10’’ sont menacées par les PC convertibles, la dernière génération de tablettes 7’’ pouces
est en concurrence directe avec les smartphones : "Le marché tolère davantage les tablettes 7’’ que les tablettes 10’’. On peut
penser que les tablettes visent moins à remplacer le traditionnel PC que les smartphones à écran large".
Des nouveautés chez LG, HTC... et Sony? Conscients de cette menace potentielle, les constructeurs de smartphones ont lancé
le développement de téléphones à écran 5’’. LG a ainsi récemment lancé son Intuition aux États-Unis, et HTC proposera le Droid
DNA le 13-11 aux US. Le site spécialisé suisse Android Schweiz a quant à lui publié des photos de ce qui pourrait être un
smartphone 5 pouces de Sony, et la tendance pourrait se développer, chez Android du moins.
Le site note également qu'au moment du lancement de l'iPhone 5 d'Apple, Steve Wozniak avait critiqué la décision de la marque de
ne pas varier les tailles d'écrans. Il expliquait au site africain TechCentral : "J'aurais préféré qu'on propose [...] une petite version et
une version plus grande de l'iPhone... Tout le monde ne désire pas la même chose. Nombreux sont ceux qui désirent des écrans
larges... On a l'impression d'obtenir plus avec un écran plus grand".
Nokia lance son service de cartographie Here
http://www.01net.com/editorial/580101/nokia-lance-son-service-de-cartographie-here/#?xtor=EPR-1-[NL-01net-Actus]-20121114
Le fabricant finlandais a transformé son service de cartographie Maps pour en faire une vraie nouveauté appelée Here. Découverte.
Parallèlement à la sortie de ses nouveaux Lumia, Nokia a lancé hier, mardi 13 novembre 2012, un nouveau service de cartographie
appelé Here. Accessible pour le moment uniquement sur Internet, ce service sera bientôt disponible sur tous les smartphones sous
forme d'appli mobile. A priori sur iOS d'abord, par l'intermédiaire d'une application réalisée sur une base HTML5, sur Android ensuite,
puis sur le futur Firefox OS, grâce à un partenariat avec Mozilla. Les internautes ne seront pas déstabilisés. Here reprend les
fonctions classiques des services de cartographie concurrents (Google Maps et Plans d'Apple) : la localisation, la recherche de points
d'intérêt ou d'adresses, le calcul d'itinéraire, avec modes piéton, voiture et transports en commun. La carte est disponible en trois
versions : plan proprement dit, terrain ou vue satellite. On y retrouve par ailleurs des contenus contextuels (photos des monuments
par exemple) et de nombreuses vues 3D dans une trentaine de grandes villes. Aux US, l'info trafic est également de la partie pour
les grandes métropoles. Espérons que les grandes villes européennes bénéficieront prochainement de ce type d'information.
Gagner des utilisateurs La dimension collaborative n'a pas été oubliée. Les utilisateurs peuvent sauvegarder des collections de
points d'intérêt et éventuellement les partager. Autre possibilité, apporter des modifications aux cartes afin de les rendre plus
précises. Quel intérêt pour Nokia de proposer ses services sur des plates-formes concurrentes ? « Avoir plus d'utilisateurs permet
d'améliorer les services de localisation », répond le PDG de l'entreprise Stephen Elop. Pour Thomas Husson, spécialiste de la
mobilité au sein de Forrester, « Here est destiné à tous les matériels connectés (tablettes, téléphones, voitures...). Il pourrait ainsi
jouer un rôle central dans le développement futur de la marque. » Selon lui, « cette approche horizontale est un moyen pour Nokia
de faire fructifier sa licence en la proposant à d'autres marques utilisant l'écosystème Android. »
Chronopost bascule ses 3500 collaborateurs vers les Google Apps
http://www.silicon.fr/chronopost-google-apps-collaboratif-google-80975.html?utm_source=2012-11-15&utm_medium=email&utm_campaign=siliconfr_daily
Nouveau succès pour les Google Apps, adoptés aujourd’hui par Chronopost International. Et ce n’est qu’un début,
car la société souhaite aller au-delà de la simple utilisation de Gmail.
Les grands comptes, frileux à l’idée de mettre leurs données dans le cloud ? Non, semble nous répondre Google avec l’annonce de
la signature d’un nouveau contrat massif. Chronopost International vient en effet de devenir client des Google Apps for Business.
Un choix qui n’est pas le fruit du hasard. En effet, depuis mai 2012, 2500 employés sur les 3500 que compte la société ont basculé
sur Gmail. Les 1000 restants, des collaborateurs itinérants, devraient faire de même prochainement.
Une décision motivée par la volonté de disposer d’une plate-forme collaborative moderne. « L’adoption de technologies innovantes
(messagerie instantanée, réseau social d’entreprise, agenda partagé) stimule les liens au sein des équipes en répondant également
plus fortement aux attentes des nouvelles générations dans l’entreprise », explique Bernard Lemaire, DRH.
Du ‘C2B’… Mais ce n’est pas la seule raison invoquée par la direction de l’entreprise. Les habitudes des employés, qui connaissent
bien cette offre, ont également joué. « L’adoption de Google Apps a été perçue comme une évidence, car beaucoup de
collaborateurs ont déjà l’habitude d’utiliser ces applications dans leur version grand public », confirme Bernard Lemaire.
« L’adoption de Google Apps va insuffler une nouvelle dynamique en interne et permettre de passer dans une autre dimension
culturelle plus réactive, moderne et collaborative. Nous souhaitons développer l’utilisation de Google Apps dont nous découvrons
chaque jour de nouvelles fonctionnalités, notamment celles de Google Drive et du réseau social Google+. »
IBM lance Storwize V3700, une baie de stockage d'entrée de gamme
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-ibm-lance-storwize-v3700-une-baie-de-stockage-d-entree-de-gamme-51170.html
Big Blue a dévoilé une baie de stockage d'entrée de gamme, Storwize V3700, dont le prix débute à $11 000.
La solution de stockage d'entrée de gamme, Storwize V3700, présentée par IBM, comprend plusieurs fonctionnalités comme la
virtualisation ou le thin provisioning. Ces dernières peuvent gérer ensemble une combinaison de stockage avec des disques dur et
des SSD, précise la firme d'Armonk. Cette gestion a été simplifiée par une interface utilisateur améliorée. Le matériel comprend des
outils et des pilotes pour supporter OpenStack. Efficace avec les données structurées et non structurées, cette baie est destinée aux
applications cloud ou big data en étant, précise Ed Walsh, vice-président marketing et stratégie chez IBM. L'équipement va intégrer
quelques fonctionnalités présentes dans la baie haut de gamme Storwize V7000.
Une orientation PME La baie V3700 cible les petites et moyennes entreprises. La configuration standard voit son prix débuter à
$11 000 et elle est disponible immédiatement. Elle est livrée dans un rack 2U et peut évoluer en capacité jusqu'à 180 To. Le système
disque est doté de 2 contrôleurs, où chacun peut gérer jusqu'à 8 Go de mémoire cache. Le contrôleur hôte est disponible en iSCSI
1Gigabit/s, avec une option en Fiber Channel 8G ou un lien FCoE 10G.
La solution d'IBM est optimisée pour le stockage flash. Elle automatise le thin provisioning et la gestion des volumes. Elle bénéficie
aussi de la compression en temps réel (spécificité du rachat de la société Storwize) qui devrait accroître les capacités utilisables par 2
ou par 5, explique Ed Walsh. En matière de déduplication, la baie s'appuie sur l'outil Protect Tier d'IBM.
Défendant Windows Phone, Steve Ballmertacle Apple et Android
http://www.businessmobile.fr/actualites/defendant-windows-phone-steve-ballmer-microsoft-tacle-apple-et-android-39784505.htm#xtor=EPR-100
Le P-DG de Microsoft a qualifié Android d’écosystème « incontrôlé » et celui d’Apple trop cher et trop encadré. Selon
lui, seule la plateforme Windows Phone propose le bon compromis.
Steve Ballmer est adepte des petites phrases qui font le buzz. Cette fois, le patron de Microsoft n’a pas mégoté en donnant son
sentiment sur ses deux rivaux sur le marché mobile que sont Android et Apple.
Au cours d’un entretien avec Reid Hoffman, co-fondateur de LinkedIn et investisseur, Ballmer a qualifié Android d’écosystème «
indomptable » et « incontrôlé », soulignant les problèmes de compatibilité et la prolifération de malwares du fait de la fragmentation
de l’OS avec différentes versions utilisées par Google, Samsung, Amazon et d’autres constructeurs. « À l’inverse, le système d’Apple
est très contrôlé et cher », assène-t-il, estimant que Windows Phone offre le « meilleur de ces deux mondes ». Globalement salué
par la critique, l’OS mobile de Microsoft entend jouer les outsiders et s’imposer comme 3 ème écosystème à la place de RIM.
Tester Windows 8 sur un écran de70’’, c’est possible!
http://www.tablette-tactile.net/actualite-generale/testez-windows-8-sur-un-ecran-de-70-pouces-cest-possible-132104/
Vous le savez peut être déjà mais Microsoft a investi 1,5 milliards de dollars pour
promouvoir la sortie de Windows 8. Outre les publicités classiques, la firme
américaine a aussi mis dans des espaces publics des écrans tactiles de 70’’ qui
permettent de tester le nouvel OS de façon optimale.
Rien de mieux qu’un écran tactile pour tester ou utiliser Windows 8 au quotidien (il faut
l’avouer, sur un PC classique le nouvel OS de Microsoft perd de son intérêt). Tout
naturellement, Microsoft a mis à disposition des usagers de la gare d’Anvers et de Bruxelles
Midi, 2 écrans géants tactiles multitouch de pas moins de 70’’, histoire d’être à l’aise.
L’écran a été conçu par la société Jorizon et porte le nom de “Edge”. Il est multitouch et
spécialement conçu pour des expositions publiques grâce à un large pied qui sert de socle et
qui assure une stabilité maximale sans avoir besoin de fixation au sol.
Inriality : une plateforme voulant appréhender le numérique
http://pro.clubic.com/actualite-e-business/actualite-523339-inriality-plateforme-apprehender-numerique.html#ixzz2CNNk9Hc1
Se voulant ouverte au débat, la plateforme Inriality est officiellement lancée par l'Inria. Objectif : réfléchir à
l'évolution de la société numérique dans le cadre de rendez-vous thématiques.
Mercredi 14 novembre, était lancé Inriality. À l'initiative de l'institut de recherche en mathématiques et informatique, Inria, cette
plateforme veut devenir un lieu d'échanges entre professionnels, mais pas que. Pour inaugurer ce cycle de rendez-vous à thèmes,
l'Inria a réuni cinq intervenants pour embrasser la question de l'explosion du volume des données, et pour répondre à quelque 'unes
des nombreuses problématiques que pose cette tendance. « L'objectif est qu'Inriality soit un lieu ouvert tant aux chercheurs qu'aux
entreprises ainsi qu'aux médiateurs », peut-on lire sur le site dédié. « Hier, les données numériques étaient peu nombreuses et
enfermées dans des banques sécurisées. En surfant, échangeant sur le Net, envoyant des photos, les internautes produisent chaque
jour des millions de données. Les modes de création se diversifient avec la multiplication de capteurs, objets connectés, puces
RFID… Résultat, aujourd'hui, ces données augmentent de manière exponentielle : 90% d'entre elles n'existaient pas il y a deux ans
! », introduit l'organisateur, qui qualifie ces datas de « nouvel or noir ».
Pour porter ce changement, des acteurs ont émergé, comme Data Publica. Invité à l'événement, François Bancilhon, son fondateur
et p-dg, explique que sa société a pour mission d'identifier les sources de données, d'extraire ces données, de les structurer puis de
les livrer en mode DaaS, pour Data as a Service, moyennant un abonnement. Pour illustrer ses services, il prend l'exemple d'un
parking de magasin Walmart. « Avec des photos prises du ciel, on relève plusieurs fois par jour le nombre de voitures. Cela permet
de déduire le nombre de clients et les horaires, jours et périodes où ils se rendent au magasin. Ces informations sont ensuite
structurées pour être facilement lisibles, et sont livrées aux financiers et actionnaires pour aiguiller leurs décisions plus finement. Ce
service est facturé environ 200 000 dollars », explique ainsi François Bancilhon, pour donner corps à l'exploitation des données.
Autre application fournie par le patron de Data Publica, concernant les chiffres du chômage. Rendus publics à un instant T par Pôle
Emploi, ils peuvent être connus 3 semaines à l'avance, et par un moyen bien différent. « Google a scanné les requêtes des
internautes qui demandaient des informations sur leurs allocations chômage. Il s'avère que la courbe de ces recherches est
parfaitement corrélée à celle des chiffres du chômage, sauf qu'elle est connue trois semaines avant ».
Des freins techniques à l'exploitation d'un grand volume de données
Mais qui dit prolifération des données, dit besoin de traitement conséquent. Sur ce point, François-Xavier Lévy, de la société de
conseil en systèmes d'informations, Arkama, rappelle que les Data Centers ont souvent des limitations techniques. « Pour analyser
ces informations massives, on a besoin d'une source d'information, caractérisée par le disque dur, d'un espace de travail, ce qui est
le rôle de la mémoire RAM, et d'une équipe de travail, incarnée par le processeur », image l'intervenant. Problème : l'accès aux
données reste limité par la lenteur relative des disques durs, comparé à la vitesse d'exécution des deux autres composants.
« Pour pallier ce problème, on stocke les données dans la mémoire RAM, beaucoup plus véloce », préconise-t-il, selon le principe du
In-Memory Computing. De même, modifier la manière dont sont stockées les données, comme le fait SAP HANA, permettrait
d'améliorer significativement les performances, « jusqu'à 3 600 fois, et sans changer de matériel ». Mais dans les deux cas, FrançoisXavier Lévy déplore que ces deux solutions se heurtent à un frein non négligeable : leur coût.
Finalement, l'enjeu n'est peut-être pas tant la quantité de données, mais également la façon dont on les organise, tient à souligner
Serge Abiteboul, directeur de recherche à l'Inria. « Google est capable d'indexer des milliards de pages, mais ça, ce n'est pas très
difficile. Ce qui fait son succès, c'est son algorithme, capable de faire remonter les bonnes données au bon moment, et le plus en
adéquation possible avec les demandes des internautes », commente-t-il.
Dans la même veine, les algorithmes ont un grand rôle à jouer avant même la requête, estime-t-il, par le biais de la
recommandation. Selon le chercheur, que ce soit sur Netflix, Meetic ou Amazon, des logiciels savent rapprocher des données
relatives à l'utilisateur pour faire émerger des choix possibles, « et avec des résultats parfois surprenants, mais pertinents ».
Pour continuer la réflexion, Inriality a publié sur son site une liste de pistes à explorer sur ce thème des données telles que
l'extraction des données du cerveau, la mesure de la qualité des données ou encore la gestion de leur propriété d'un point de vue
juridique.