In order to understand each other, the 27 member - Indo

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In order to understand each other, the 27 member - Indo
Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une
langue plus ancienne?
PIE
tu
IndoIranien
Grec
Ancien
Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique
Slave
PIE
IndoIranien
tu
t su
tu
t hu
kwos
kas
kwos
kwos
khwaz
kos
pater
pitar
pater
pater
phathar
(h)ater
mater
mater
mothar
mater
moter
mater
phrater
frater
brathar
brater
brater
bhrater bhratar
mater
matar
bhrater bhratar
swesor
tu
Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une
langue plus ancienne?
Grec
Ancien
Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique
Slave
tu
tu
tu
t su
tu
t hu
tu
tu
kos
kwos
kas
kwos
kwos
khwaz
kos
kos
pater
pitar
pater
pater
phathar
(h)ater
mater
mater
mothar
mater
moter
phrater
frater
brathar
brater
brater
-
matar
-
svasar
hwehor
swosror
swistar
swehor
sesor
swesor
svasar
hwehor
swosror
swistar
swehor
sesor
dhugter duhtar
thugater
-
dukhtar
dukter
dukter
dhugter duhtar
thugater
-
dukhtar
dukter
dukter
sunus
sunus
huius
-
-
gwous
gaus
bous
ekwos
kwon
sunuz
su-th
sunus
sunus
sunus
huius
bos
kouz
bous
govs
gwous
gaus
bous
asvas
ekwos
ekwos
ekhwaz
ekwos
ekwos
svan
kwon
kan
khun
kon
sun
kwon
krd
serd
kard
kord
khert
kred
srd
pod
pad
pod
ped
phot
(h)ed
newos
navas
newos
nowos
newaz
esti
asti
esti
esti
isti
bhero
bhara
phero
fero
bera
widtos
vittas
wistos
wissos
wissaz
oinos
eenas
oinos
oinos
dwo
dva
dwo
dwo
treis
trees
threis
kwettar
kwatwor fidwar
trejes
trayas
kwetwor katur
kmtom satam
kãton
kentom
sunuz
su-th
sunus
bos
kouz
bous
govs
asvas
ekwos
ekwos
ekhwaz
ekwos
svan
kwon
kan
khun
kon
sun
krd
serd
kard
kord
khert
kred
srd
ped
pod
pad
pod
ped
phot
(h)ed
ped
nowos
nevos
newos
navas
newos
nowos
newaz
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nevos
esti
esti
esti
asti
esti
esti
isti
esti
esti
bero
bero
bhero
bhara
phero
fero
bera
bero
bero
fissos
vistos
widtos
vittas
wistos
wissos
wissaz
fissos
vistos
ainaz
oinos
enos
oinos
eenas
oinos
oinos
ainaz
oinos
enos
two
dwo
dvo
dwo
dva
dwo
dwo
two
dwo
dvo
treis
trees
threis
treis
triis
kwettar
kwatwor fidwar
kwetwor
ketur
kentom
smtom
khundan
-
treis
triis
trejes
kwetwor
ketur
kwetwor katur
kentom
smtom
trayas
kmtom satam
kãton
kentom
khundan
-
Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le
Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et
reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle.
Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le
Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et
reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle.
Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une
langue plus ancienne?
Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une
langue plus ancienne?
PIE
IndoIranien
Grec
Ancien
Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique
Slave
PIE
IndoIranien
Grec
Ancien
Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique
Slave
tu
tu
t su
tu
t hu
tu
tu
tu
tu
t su
tu
t hu
tu
tu
kwos
kas
kwos
kwos
khwaz
kos
kos
kwos
kas
kwos
kwos
khwaz
kos
kos
(h)ater
(h)ater
pater
pitar
pater
pater
phathar
pater
pitar
pater
pater
phathar
mater
matar
mater
mater
mothar
mater
moter
-
mater
matar
mater
mater
mothar
mater
moter
-
bhrater bhratar
phrater
frater
brathar
brater
brater
bhrater bhratar
phrater
frater
brathar
brater
brater
swesor
svasar
hwehor
swosror swistar
swehor
sesor
swesor
svasar
hwehor
swosror swistar
swehor
sesor
dhugter
duhtar
thugater
-
dukhtar
dukter
dukter
dhugter
duhtar
thugater
-
dukhtar
dukter
dukter
sunus
sunus
huius
-
sunuz
su-th
sunus
sunus
sunus
huius
-
sunuz
su-th
sunus
govs
gwous
gaus
bous
bos
kouz
bous
govs
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ekwos
asvas
ekwos
ekwos
ekhwaz
ekwos
gwous
gaus
bous
bos
kouz
bous
ekwos
asvas
ekwos
ekwos
ekhwaz
ekwos
kon
sun
kwon
svan
kwon
kan
khun
kon
sun
kred
srd
krd
serd
kard
kord
khert
kred
srd
(h)ed
ped
kwon
svan
kwon
kan
khun
krd
serd
kard
kord
khert
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pod
pad
pod
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-
pod
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newos
navas
newos
nowos
newaz
nowos
nevos
newos
navas
newos
nowos
newaz
nowos
nevos
esti
asti
esti
esti
isti
esti
esti
esti
asti
esti
esti
isti
esti
esti
bhero
bhara
phero
fero
bera
bero
bero
bhero
bhara
phero
fero
bera
bero
bero
widtos
vittas
wistos
wissos
wissaz
fissos
vistos
widtos
vittas
wistos
wissos
wissaz
fissos
vistos
oinos
eenas
oinos
oinos
ainaz
oinos
enos
oinos
eenas
oinos
oinos
ainaz
oinos
enos
dwo
dva
dwo
dwo
two
dwo
dvo
dwo
dva
dwo
dwo
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dvo
treis
trees
threis
treis
trees
threis
treis
triis
kwettar
kwatwor fidwar
kwettar
kwatwor fidwar
kwetwor
ketur
kentom
smtom
trejes
trayas
kwetwor katur
kmtom satam
kãton
kentom
khundan
treis
triis
trejes
kwetwor
ketur
kwetwor katur
kentom
smtom
Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le
Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et
reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle.
trayas
kmtom satam
kãton
kentom
khundan
Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le
Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et
reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle.
De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent
assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000
personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles,
circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506
possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues
officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail
n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante.
Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement
élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123
millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette
somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros
par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du
budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A
chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires
sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le
basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles.
A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions
d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue
dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire
revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous,
Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la
“lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme
argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse
François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un
rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la
prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros
annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre
l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les
Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le
français est commun à tous les provinces et territoires de la France.
L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est
localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage
d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que
l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de
l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/.
De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent
assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000
personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles,
circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506
possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues
officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail
n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante.
Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement
élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123
millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette
somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros
par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du
budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A
chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires
sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le
basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles.
A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions
d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue
dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire
revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous,
Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la
“lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme
argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse
François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un
rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la
prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros
annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre
l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les
Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le
français est commun à tous les provinces et territoires de la France.
L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est
localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage
d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que
l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de
l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/.
De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent
assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000
personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles,
circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506
possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues
officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail
n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante.
Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement
élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123
millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette
somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros
par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du
budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A
chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires
sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le
basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles.
A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions
d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue
dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire
revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous,
Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la
“lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme
argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse
François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un
rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la
prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros
annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre
l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les
Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le
français est commun à tous les provinces et territoires de la France.
L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est
localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage
d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que
l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de
l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/.
De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent
assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000
personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles,
circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506
possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues
officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail
n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante.
Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement
élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123
millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette
somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros
par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du
budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A
chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires
sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le
basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles.
A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions
d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue
dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire
revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous,
Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la
“lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme
argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse
François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un
rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la
prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros
annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre
l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les
Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le
français est commun à tous les provinces et territoires de la France.
L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est
localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage
d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que
l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de
l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/.