In order to understand each other, the 27 member - Indo
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In order to understand each other, the 27 member - Indo
Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une langue plus ancienne? PIE tu IndoIranien Grec Ancien Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique Slave PIE IndoIranien tu t su tu t hu kwos kas kwos kwos khwaz kos pater pitar pater pater phathar (h)ater mater mater mothar mater moter mater phrater frater brathar brater brater bhrater bhratar mater matar bhrater bhratar swesor tu Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une langue plus ancienne? Grec Ancien Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique Slave tu tu tu t su tu t hu tu tu kos kwos kas kwos kwos khwaz kos kos pater pitar pater pater phathar (h)ater mater mater mothar mater moter phrater frater brathar brater brater - matar - svasar hwehor swosror swistar swehor sesor swesor svasar hwehor swosror swistar swehor sesor dhugter duhtar thugater - dukhtar dukter dukter dhugter duhtar thugater - dukhtar dukter dukter sunus sunus huius - - gwous gaus bous ekwos kwon sunuz su-th sunus sunus sunus huius bos kouz bous govs gwous gaus bous asvas ekwos ekwos ekhwaz ekwos ekwos svan kwon kan khun kon sun kwon krd serd kard kord khert kred srd pod pad pod ped phot (h)ed newos navas newos nowos newaz esti asti esti esti isti bhero bhara phero fero bera widtos vittas wistos wissos wissaz oinos eenas oinos oinos dwo dva dwo dwo treis trees threis kwettar kwatwor fidwar trejes trayas kwetwor katur kmtom satam kãton kentom sunuz su-th sunus bos kouz bous govs asvas ekwos ekwos ekhwaz ekwos svan kwon kan khun kon sun krd serd kard kord khert kred srd ped pod pad pod ped phot (h)ed ped nowos nevos newos navas newos nowos newaz nowos nevos esti esti esti asti esti esti isti esti esti bero bero bhero bhara phero fero bera bero bero fissos vistos widtos vittas wistos wissos wissaz fissos vistos ainaz oinos enos oinos eenas oinos oinos ainaz oinos enos two dwo dvo dwo dva dwo dwo two dwo dvo treis trees threis treis triis kwettar kwatwor fidwar kwetwor ketur kentom smtom khundan - treis triis trejes kwetwor ketur kwetwor katur kentom smtom trayas kmtom satam kãton kentom khundan - Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle. Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle. Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une langue plus ancienne? Pouvez vous croire que ce ne sont pas des dialectes d’une langue plus ancienne? PIE IndoIranien Grec Ancien Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique Slave PIE IndoIranien Grec Ancien Latin Germa- Celtique BaltoAncien nique Slave tu tu t su tu t hu tu tu tu tu t su tu t hu tu tu kwos kas kwos kwos khwaz kos kos kwos kas kwos kwos khwaz kos kos (h)ater (h)ater pater pitar pater pater phathar pater pitar pater pater phathar mater matar mater mater mothar mater moter - mater matar mater mater mothar mater moter - bhrater bhratar phrater frater brathar brater brater bhrater bhratar phrater frater brathar brater brater swesor svasar hwehor swosror swistar swehor sesor swesor svasar hwehor swosror swistar swehor sesor dhugter duhtar thugater - dukhtar dukter dukter dhugter duhtar thugater - dukhtar dukter dukter sunus sunus huius - sunuz su-th sunus sunus sunus huius - sunuz su-th sunus govs gwous gaus bous bos kouz bous govs - ekwos asvas ekwos ekwos ekhwaz ekwos gwous gaus bous bos kouz bous ekwos asvas ekwos ekwos ekhwaz ekwos kon sun kwon svan kwon kan khun kon sun kred srd krd serd kard kord khert kred srd (h)ed ped kwon svan kwon kan khun krd serd kard kord khert (h)ed ped pod pad pod ped phot - pod pad pod ped phot newos navas newos nowos newaz nowos nevos newos navas newos nowos newaz nowos nevos esti asti esti esti isti esti esti esti asti esti esti isti esti esti bhero bhara phero fero bera bero bero bhero bhara phero fero bera bero bero widtos vittas wistos wissos wissaz fissos vistos widtos vittas wistos wissos wissaz fissos vistos oinos eenas oinos oinos ainaz oinos enos oinos eenas oinos oinos ainaz oinos enos dwo dva dwo dwo two dwo dvo dwo dva dwo dwo two dwo dvo treis trees threis treis trees threis treis triis kwettar kwatwor fidwar kwettar kwatwor fidwar kwetwor ketur kentom smtom trejes trayas kwetwor katur kmtom satam kãton kentom khundan treis triis trejes kwetwor ketur kwetwor katur kentom smtom Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle. trayas kmtom satam kãton kentom khundan Aucun linguiste ne le fera! L’ancêtre commun de ces langues est le Proto-Indo-Européen (PIE) parlé en Europe il y a 4000 ans et reconstruit par les linguistes depuis le 18ème siècle. De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000 personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles, circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506 possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante. Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123 millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles. A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous, Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la “lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le français est commun à tous les provinces et territoires de la France. L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/. De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000 personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles, circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506 possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante. Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123 millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles. A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous, Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la “lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le français est commun à tous les provinces et territoires de la France. L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/. De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000 personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles, circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506 possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante. Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123 millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles. A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous, Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la “lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le français est commun à tous les provinces et territoires de la France. L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/. De manière à se comprendre, les 27 états de l’Union Européenne doivent assurer le plus grand service de traduction du monde: plus de 4000 personnes travaillent à Bruxelles, Strasbourg et Luxembourg. Parmi elles, circulent les traducteurs Espagnol-Polonais, Italien-Danois, FrançaisFinnois Finnois-Estonien, Allemand-Bulgare etc. afin d’assurer les 506 possibles paires de traducteurs nécessaires pour traduire 23 langues officielles entre elles. Même les Nations Unies avec 6 langues de travail n’ont pas à faire face à une tâche aussi écrasante. Tout cet énorme système de communication a un coût scandaleusement élevé. Des données récentes de 2005 parlent d’un budget de 1.123 millions d’euros investis en traduction et en services d’interprètes; cette somme représente 1% du budget de l’Union Européenne soit 2,28 euros par habitant Pour le dire plus simplement, sur chaque 100 euros du budget de l’UE, un euro est utilisé pour que les 27 se comprennent. A chaque adjonction d’une nouvelle langue 25 millions supplémentaires sont à dépenser alors que les langues régionales telles que le catalan, le basque ou le galicien sont déjà reconnues officiellement par Bruxelles. A l’exception de la Finlande, de l’Estonie et de la Hongrie, (17 millions d’habitants), le reste de Européens (480 millions) parle une langue dérivée du Proto–Indo-Européén (PIE). Alors pourquoi ne pas faire revivre cette langue mère, culturellement neutre et commune à nous tous, Européens? Si des mesures ne sont pas prises, l’Anglais devenu de fait la “lingua franca” de l’UE continuera de prédominer avec, comme argument, son poids mondial à cause des Etats-Unis. Le professeur suisse François Grin, expert en économie linguistique, a publié en 2005 un rapport qui met l’accent sur le fait que la Grande Bretagne, grâce à la prédominance de sa langue, a gagné environ 17.000 millions d’euros annuellement car les autres pays doivent investir pour apprendre l’anglais. Inutile de souligner l’énergie perdue chaque jour par les Européens à cause de l’abscence d’une langue commune, comme le français est commun à tous les provinces et territoires de la France. L’association DNGHU (Fr. “langue”) est sans but lucratif, elle est localisée en Europe. Ses objectifs sont l’enseignement et l’apprentissage d’une versión moderne du Proto-Indo-Européen, ainsi que l’adoption de l’Indo-Européen comme langue officielle principale de l’UE. Pour toute information, consultez le site: http://dnghu.org/.