Stages Photo à Paris - photographs by David Henry
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Stages Photo à Paris - photographs by David Henry
Bon p de Stages Photo à Paris n jour u r ou • la photographie nocturne: les réglages pour les meilleures expositions globales dans les hautes et basses lumières. • l’heure: les plus belles lumières pour photographier les monuments parisiens. • images naturelles: rendez-vous invisible, et faites les images qui transportent des personnes dans la scène que vous photographiez. Prenez contact avec David Henry: al ta s • perspectives: comment les différents angles peuvent changer • portraits: repérez les meilleurs l’ambiance d’une image; explorez les diverses longueurs focales et les cadres et endroits pour prendre des perspectives qu’elles donnent, les gros plans dramatiques qui créent images flatteuses, qui montrent le vrai des images qui sortent de l’ordinaire. caractère de votre sujet. Prenez des photos à l’extérieur, avec de la lumière • «timing»: Prévoyez les prochains mouvements de votre sujet, et ambiante, qui semblent avoir été prises saisir «l’instant décisif», comme est souvent dit au sujet des dans un studio! photographies de Henri Cartier-Bresson. is é Astuces, trucs et conseils d’un photographe professionnel travaillant à Paris: g e p son n er • le flash électronique: «fill-in» flash, comment équilibrer l’exposition flash avec la lumière ambiante, que ce soit pendant le jour ou la nuit; des réflecteurs pour adoucir le flash, les meilleurs angles pour diriger le flash, et le flash stroboscopique. • comment vous rendre «chanceux»: je crois fortement qu’il est possible de créer sa propre chance. Apprenez à vous mettre où et quand l’action aura lieu des secondes ou des minutes plus tard. Téléphone: 06 33 65 51 19 E-mail:[email protected] Site web:http://www.davidphenry.com Questions et réponses sur les stages photo: Qui est David Henry? Je fais de la photo depuis l’âge de treize ans. J’ai commencé avec des appareils que je trouvais dans des brocantes, avec lesquels je devais deviner la distance, l’ouverture, et la vitesse d’obturation. J’ai étudié la photo au Massachusetts College of Art, avec Nicholas Nixon et Baldwin Lee. J’ai grandi et passé la plupart de ma vie à Boston, dans le Massachusetts, et je vis à Paris depuis seize ans. La plupart de mes travaux consistent en des images sur les thèmes de tourisme et de voyage, pour des graphistes, des architectes, des agences de publicité, des éditeurs de livres, des magazines et d’autres publications. Ma plus grande réussite en date fut la série de photos prises pour l’édition illustrée du roman «Le da Vinci Code», sortie novembre 2004. Quelle sorte de matériel est nécessaire? On peut apprendre plein de sujets techniques et esthétiques avec n’importe quel appareil: reflex, bridge ou compacte, au moins qu’il propose les quatre modes d’exposition classiques «PSAM»: Programme, Priorité à la Vitesse, Priorité à l’Ouverture, et Manuel. Les participants sont invités à amener les accessoires qu’ils veulent mieux apprendre: le flash électronique, des objectifs zoom, grand angle ou téléobjectif, le trépied, etc. Si vous ne disposez pas d’un appareil permettant des expositions manuelles, mon reflex numérique Nikon ou mon appareil de poche numérique Nikon. Quel est l’accessoire essentiel pour réussir les photos les plus belles? Je conseille fortement un trépied «de table», le meilleur étant le Slik Mini Pro III. Ça peut sembler ringard et cartésien de prendre des photos sur un trépied en ce moment quand on nous vante des sensibilités d’ISO 6.400 et plus, mais des photos floues, bruitées, qui manquent de la profondeur de champ ne sont pas très palpitantes non plus. Un trépied permet de baisser la sensibilité à fond et fermer l’objectif à moitié, voire plus, parce que le temps de pose n’a pas d’importance: Ça peut être aussi bien une seconde, dix secondes ou trente secondes. Où est-ce que se tiennent les stages photos? J’enseigne la photographie dans la ville de Paris, toujours à l’extérieur, dans un quartier de votre choix. Le choix de quartier peut être fait par rapport à quelle sorte d’images que vous aimez prendre: si vous aimez photographier des bâtiments et des monuments, une promenade à l’île Saint-Louis, à l’île de la Cité, ensuite vers le musée du Louvre est un bon choix. Si vous aimez prendre les photos des gens, il y a plein d’endroits à Montmartre avec des sujets à tour de bras. Si des vieilles rues sinueuses à l’ambiance médiévale vous chantent, le Marais et d’autres quartiers sur la rive gauche sont de bonnes idées. Bien sûr, il est possible d’organiser des séances aux alentours de Paris, par exemple à Versailles, à Fontainebleau, à Chartres, etc. Quelles sont les compétences exigées des participants? Je travaille avec des gens de tous niveaux, des débutants, aux gens qui connaissent la photo mieux que moi d’une certaine façon. Les participants n’ont besoin d’aucune connaissance préalable de la photo, la seule exigence est une volonté de prendre des photos, d’apprendre, l’énergie de faire des exercices d’esthétique sur le terrain, et la motivation pour mettre en pratique les idées que j’enseigne. Quand est-ce que les stages photos sont-ils organisés? Les leçons de photo ne sont en rien pré-organisées, les stages sont programmés entièrement selon votre disponibilité. Le mieux, c’est de réserver vos stages une ou deux semaines avant, afin de vous assurer que je serai à Paris et disponible aux dates que vous désirez. Combien de participants y a-t-il par stage? La plupart du temps, il n’y a qu’un seul participant: Vous, à moins que vous préféreriez participer avec des amis! Ces stages de photographie sont entièrement personnalisés, et conçus selon ce que vous voulez apprendre. Vous pouvez les considérer comme une opportunité d’apprendre les techniques que j’ai acquises à travers des décennies de travail, et de poser des questions auxquelles la plupart des gens n’auraient pas de réponses. Que faire quand il pleut, quand il fait froid, ou quand il y a de la grisaille? Évidemment, on préfère prendre des photos les jours il fait beau. Réussir de belles photos quand il fait froid ou quand il pleut est aussi un défi, et il y a sûrement dans l’histoire de la photo des images impressionnantes prises sous des conditions «non optimales». Quand il pleut, il faut un (grand) parapluie et il faut se couvrir. Une astuce consiste à chercher des chaussées mouillées et luisantes, de repérer des reflets par terre, souvent des enseignes néons des cafés, bars et tabacs, ou bien des monuments, des gens. Quand il fait froid, une fois de plus, il faut se couvrir. Moi, je viens de Boston, là où il fait moins dix à midi tous les jours pendant une semaine en février, et il ne dégèle pas souvent les mois de décembre, janvier et février. Si on est vraiment frigorifié, on peut toujours aller dans une église et apprendre la photo en basse lumière, avec le trépied. Ce qui est impressionnant, c’est qu’on voit beaucoup plus dans ces photos qu’à l’œil nu. Quand il y a la grisaille totale (ce qui peut être pire que la pluie…), une solution consiste à attendre le soir, et à faire la photo la nuit, quand la ville des lumières s’allume. À part ça… voilà, on préfère plutôt la photo le printemps, l’été et l’automne. Sauf qu’il vaut mieux rester en activité toute l’année et savoir affronter des épreuves. Pourquoi des stages photo? La photographie est en train de renaître. Vers la fin des années 1980 jusqu’à la fin des années 1990, les technologies photographiques stagnaient un peu, tellement de chemin avait déjà été fait. Il y avait peu de différence entre un appareil des années 1985 et un appareil sorti il y a douze ans. Aujourd’hui, des appareils numériques sont tendance comme tout et beaucoup de gens ont acheté un appareil pour la première fois, ou pour la première fois depuis dix ou vingt ans. Traditionnellement, il y avait trois sortes de film: le négatif noir et blanc ou couleurs et le film à diapositives, tandis qu’avec les appareils d’aujourd’hui, les gens ont envie d’apprendre sur des sujets tels que la balance des blancs, la résolution, les formats de fichier Jpeg, Tiff et Raw, et pleins d’autres questions techniques. L’acquisition d’un nouvel appareil donne envie de se réhabituer sur la prise de vue et d’apprendre comment mieux réussir leurs photographies, techniquement et esthétiquement et en tirer le mieux de son appareil numérique. Regarder la page web: http://www.davidphenry.com/Paris/stage-photo-Paris.htm