Rapport - Région Rhône

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Rapport - Région Rhône
DEVAUX Alizée
Licence Géographie et Aménagement – Lyon III
Diplôme Universitaire Ingénierie de l’Espace Rural – ESE IER
Rapport de fin de séjour
Bourse Explora’Sup
Stage Karumbé –
URUGUAY
Année 2013
Sommaire
1. Vie pratique
1.1 Logement
1.2 Argent
1.3 Santé
1.4 Télécommunications
1.5. Stage
1.6. Vie quotidienne
1.6.1. Climat
1.6.2. Rythme de vie, horaire d’ouverture
1.6.3. Transports
1.6.4. Nourriture
1.6.5. Loisirs
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Bilan et suggestions
2.1. Bilan personnel
2.2. Préparation du voyage
2.3. Suggestions, améliorations
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Dans le cadre de ma double formation constituée d’une Licence
Géographie et Aménagement de Lyon III et du Diplôme Universitaire Ingénierie
de l’Espace Rural de l’Ecole Supérieure Européenne IER de Poisy, je dois réaliser
un stage à l’étranger en fin de cursus.
Après avoir effectué un échange universitaire de 3 mois en Argentine, j’ai
décidé de réaliser mon stage en Uruguay. En effet, je voulais découvrir un autre
pays de l’Amérique latine et pouvoir en apprendre un peu plus sur les
différentes traditions. De plus, rester encore 4 mois dans un pays
hispanophone me permet de parfaire ma maîtrise de l’espagnol.
J’ai fait parti de l’association Karumbé et travaillé dans leurs locaux de
Montevideo et de La Coronilla pendant 4 mois. C’est une organisation non
gouvernementale, à but non lucratif, ayant pour mission la protection et la
réhabilitation des tortues marines. Pour cela, elle réalise des captures pour
mesurer et marquer les tortues, des estimations de population, un suivi de
leurs mouvements et surtout des soins aux tortues échouées qui sont
transportées dans les centres pour recevoir des traitements. L’association
travaille avec de nombreux volontaires de tous horizons.
Ce rapport retrace donc mon parcours et comment se déroule la vie en
Uruguay.
1. Vie pratique
1.1.
Logement
Au départ, je devais aller vivre dans l’appartement de mon maître de stage à Montevideo.
Etant localisé loin de l’association et à côté d’un quartier sensible j’ai préféré chercher un
autre logement plus près du zoo de Montevideo car ce sont là que se trouvent les locaux de
l’association.
J’ai commencé ma recherche sur internet et j’ai trouvé un site « Rentahome » qui propose
de nombreux appartement à louer sur Montevideo. Par chance, il y avait un studio
disponible dans le quartier que je souhaitais, à 5 minutes à pieds du zoo. Ma recherche a
donc vite été fructueuse. J’ai pris contact avec cette entreprise par mail et nous avons
communiqué par mail pour la réservation, la caution… Le seul point négatif est qu’il faut
envoyer la caution par Western Union dans les deux jours après avoir fait la demande de
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réservation sinon l’appartement est remit en location. Une fois la caution reçue, la
confirmation de réservation est alors effectuée. Le problème est que la caution doit être
versée en dollars américain et à ce moment là j’étais en Argentine et il y avait une restriction
sur la somme que l’on pouvait envoyée par mois et par personne. Heureusement, je n’étais
pas toute seule, ainsi, les personnes qui étaient avec moi ont aussi fait un envoi à leur nom
pour que le destinataire reçoive la somme totale. Le lendemain j’ai reçu la confirmation de
la réservation. Un autre point négatif est qu’il faut payer la totalité du loyer à l’entrée dans
l’appartement ce qui n’est pas toujours facile quand on a une carte bancaire plafonnée, ce
qui est mon cas. Il faut donc s’y prendre à l’avance pour faire ses retraits.
J’ai donc emménagé dans l’appartement le 4 février pour 4 mois. Une personne est chargée
de me faire visiter à mon arrivée et sera mon correspondant pendant tout mon séjour si je
rencontre un problème avec l’appartement. L’appartement est meublé, tout confort et
récemment terminé avec service de gardiennage et salle de sport. Par chance, je n’ai pas eu
de problème durant mon séjour.
Le loyer est un peu moins cher qu’en France. Cela dépend des quartiers et de la qualité du
logement. Dans le loyer sont compris, l’eau, internet, la télévision. J’ai juste du payer
l’électricité à l’agence qui s’occupe de la location. L’électricité est facturé 0,3 centimes de
dollars le kilowattheure ce qui reste très abordable.
1.2.
Argent
La monnaie utilisée en Uruguay est le peso Uruguayen. Le coût de la vie est moins cher qu’en
France mais il reste relativement élevé. (1€ équivaut à 25 pesos).
Avant de partir, j’ai pris une option pour ne pas avoir de frais de retrait ou de paiement. Pour
cela, il faut se renseigner auprès de sa banque, pour ma part se fut la LCL et le Crédit
Agricole, pour choisir une carte sans frais ou prendre une option qui permet d’avoir droit à
un certain nombre de retrait sans frais par semaine. Le tout est de bien se renseigner sur les
différentes options qui existent. Ces cartes sont le plus souvent payantes mais en tant
qu’étudiants nous pouvons disposer de réductions et autres avantages.
Je ne me suis pas renseigné pour ouvrir un compte directement sur place car je n’en ai pas
eu besoin, je ne saurais donc dire si c’est une bonne option. Je pense qu’il est quand même
préférable de prendre sa carte bancaire française. Je n’ai pas non plus essayé de changer des
euros en pesos uruguayen en France car avant d’aller en Uruguay j’ai passé 6 mois en
Argentine. En tout cas, pour le peso Argentin il est impossible d’en trouver en France.
Il est possible de retirer de l’argent dans des distributeurs, le seul point négatif pour ma part
est que je ne pouvais pas retirer plus de 3000 pesos par retrait. Pour cela, je pense qu’il est
important de ne pas avoir de frais de retrait. Au distributeur, on reçoit des billets de 1000
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pesos, c’est étonnant au départ mais on s’y fait vite et ces billets sont tellement courants
qu’ils sont acceptés partout donc pas de problème pour avoir de la monnaie.
Le paiement par carte bancaire est possible dans de nombreux lieux. Il faut tout de même
faire attention, dans les villages, sur la côte sud par exemple car il n’y a pas de distributeur. Il
faut donc être prévoyant pour ne pas se faire surprendre.
1.3. Santé
Avant de partir j’ai souscris une couverture internationale par l’intermédiaire du pack monde
de la LMDE. Ce type d’assurance est indispensable et avantageux car il englobe tous les frais
médicaux, la responsabilité civile, le rapatriement…Il faut se renseigner sur les différents
choix possible mais le plus souvent ce sont ses assurances étudiantes qui proposent les
meilleurs prix.
Il n’y a aucune démarche obligatoire à réaliser au niveau de la santé avant le départ.
Je n’ai pas eu de problème de santé pendant mon séjour. Je ne peux donc pas trop donner
de détail à ce sujet.
Il me semble tout de même important avant de partir, de faire en France, une visite
médicale de contrôle chez le médecin ainsi que chez le dentiste. Les pharmacies sont très
nombreuses dans les villes en Uruguay et je pense que l’on peut trouver les mêmes produits
qu’en France mais il me paraît plus sur d’emporter avec soi une trousse de soins comportant
les médicaments de bases que l’on a l’habitude de prendre comme l’aspirine et un
nécessaire en cas de petites plaies.
1.4. Télécommunications
Les Uruguayens sont des fans inconditionnels de Facebook et des smatphones. De ce fait, les
connexions internet sont relativement bonnes. Pour ma part, dans mon logement j’avais
internet en wifi et la télé avec plus de 100 chaînes. Il y a de nombreuses zones wifi dans les
bars, les shoppings…
J’ai acheté un portable à recharge, le modèle le plus basique qui me permettait de
communiquer avec les personnes de mon stage. Une recharge de 100 pesos ce qui équivaut
à 4€ permet d’envoyer 100 sms. Le prix de communication est d’environ 4 pesos la minute et
1 peso le sms. Je me suis donc toujours arrangée pour que les personnes m’appellent et ne
pas avoir à les appeler moi. Pour se procurer du crédit il n’y a rien de plus simple, il suffit de
se rendre dans un « kiosco », dire son opérateur, son numéro et le montant de la recharge
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que l’on souhaite et c’est fait ! On peut aussi tout simplement aller dans un des nombreux
points de vente de son opérateur et le faire recharger en donnant son numéro.
Pour communiquer avec ses proches la meilleure solution reste skype (gratuit et avec le
visio). Pour ma part, j’ai aussi emmené mon smartphone qui une fois connecté en wifi
permet d’accéder à l’application whatsapp pour envoyer gratuitement des sms en France et
ailleurs, à tous ses contacts qui possèdent l’application.
Il est recommandé de garder son téléphone dans sa poche ou dans son sac et non pas dans
sa main lorsque l’on marche en ville.
1.5. Stage
Après de nombreuses recherches en Argentine et ailleurs, j’ai reçue une réponse positive de
Karumbé, en Uruguay. A la fin de ma période universitaire en Argentine j’ai donc traversé la
frontière en car pour me rendre jusqu’à mon lieu de stage. Avec mon simple passeport
français j’ai passé la frontière sans problème. J’ai eu le droit à un tampon de sortie de
territoire de l’Argentine et un d’entrée en Uruguay. Avec notre passeport français nous
avons un visa touriste de 90 jours. Après 3 mois dans le pays j’ai donc fait un voyage pour
traverser une frontière et avoir de nouveau un tampon et un droit de séjour de 90 jours.
J’ai trouvé mon stage en candidatant de manière spontanée. L’association travaille toute
l’année avec des volontaires. J’ai donc été acceptée en tant que volontaire pour 4 mois. Mon
stage n’est pas rémunéré car l’association ne reçoit aucune aide financière extérieure. Ainsi,
les donations et les ventes de la boutique sont utilisées pour acheter les traitements pour les
tortues, remettre à neuf les expositions… De plus, les volontaires qui séjournent au centre
de La Coronilla doivent payer leur séjour car ils sont loger et nourrit.
A Montevideo, le travail consiste à soigner les tortues en leurs faisant des perfusions, des
injections de vitamines, antibiotiques….les laver à l’eau douce pour leurs enlever tous les
coquillages parasites qu’elles transportent sur elles, ainsi que soigner les éventuelles plaies.
A La Coronilla, les volontaires sont divisés en deux groupes, un du matin et l’autre de l’après
midi. Les tâches sur le terrain sont la capture de tortue pour les mesurer et les marquer,
faire des marches de 20 km sur la plage pour recenser les animaux et faire des estimations
de population et de leurs mouvement. Ensuite, au centre il faut apporter les soins aux
différentes tortues récupérées le plus souvent échouées sur la plage.
Il y a une très bonne ambiance dans cette association, le fait qu’elle travaille avec des
volontaires permet de faire de super rencontres de personnes venant d’horizon très
différents. Les volontaires ont le droit à un ou deux jours de repos par semaine.
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1.6. Vie quotidienne
1.6.1. Climat
Je suis arrivée en Uruguay l’été, en Février, et j’en suis parti au début de l’hiver, en Juin. L’été
il fait très chaud mais heureusement le vent présent presque tous les jours rends cette
chaleur supportable. Il est très important de se protéger avec de la crème solaire car avec le
vent on ne se rend pas compte mais le soleil rayonne fort.
A partir du mois d’Avril, les soirées commencent à se rafraîchir et le vent devient plus frais.
Quand le soleil est présent, le climat reste très agréable. Lorsqu’il pleut, ça ne fait pas
semblant, comme les pluies tropicales, les gouttes sont énormes et inondent les rues tout de
suite. Par chance, la fraîcheur et la pluie sont arrivée seulement deux semaines avant mon
départ.
1.6.2. Rythmes de vie, horaires d’ouverture
Le rythme de vie est le même que dans tous les pays latino, on mange tard, on se couche
tard, on sort tard. On peut prendre le repas du midi à 15h et le repas du soir à 23h cela est
tout à fait normal.
Les magasins ouvrent majoritairement entre 9h et 10h et ferme vers 13h. L’après midi ils
ouvrent de 15h à 19h ou 21h. Montevideo étant la capitale certains magasins,
bureaux…restent ouverts toute la journée. Au restaurant il ne faut pas penser aller manger
avant 21h.
1.6.3. Transports
La ville de Montevideo est très bien desservie par les bus. Le seul problème est qu’il faut
connaître à quel arrêt passe le bus que l’on cherche et son circuit. Au début ce n’est pas
toujours facile car la ville est immense. Quand on va pour prendre le bus on ne sait jamais
combien de temps on va l’attendre et combien de temps va durer le trajet car la circulation
peut être très mauvaises aux heures de pointes. Le prix du ticket est de 20 pesos, soit moins
de 1 €.
Les taxis sont aussi très nombreux et le prix n’est pas excessif. Il y en a des milliers partout
dans la ville est parfois bien utile quand il ce met à pleuvoir d’une seconde à l’autre. Pour
prendre le taxi on peut le héler dans la rue ou appeler par téléphone une compagnie.
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Pour voyager dans le pays, il y a de nombreux cars très confortables qui relient les villes et
villages. Pour prendre ces cars, il faut se rendre au terminal d’omnibus, il y en a un dans
chaque ville.
1.6.4. Nourriture
L’asado (grand barbecue) est une tradition, moins présente qu’en Argentine, mais la culture
de la viande reste quand même très forte.
En Uruguay, il y a plusieurs plats typiques. Le chivito, version uruguayenne du hamburger
américain, est servit dans la plupart des restaurants. Le dulce de leche ou confiture de lait
est aussi présent dans la majorité des pâtisseries. L’Alfajores est un biscuit traditionnel qui
ressemble un peu à un macaron sauf qu’il est toujours fourré de dulce de leche ou de
chocolat et peut être enrobé de chocolat ou de sucre glace.
Le maté est la boisson nationale, comme en Argentine. C’est une infusion à base d’une herbe
appelé yerba maté. On met l’herbe dans une calebasse, le maté, on verse de l’eau chaude
dessus et on aspire avec une sorte de pipette métallique, la bombilla. Le goût est assez amer.
Certains rajoutent du sucre ou des feuilles menthe.
Dans les supermarchés on trouve la plupart des produits français mais il est beaucoup plus
avantageux d’acheter leurs produits et leurs marques.
Les restaurants sont nombreux et on trouve de tous les prix. Dans la grande majorité des
restaurants il est possible de trouver le chivito, les pizzas, les pâtes et la milanaise.
1.6.5. Loisirs
Montevideo fut désignée capitale culturelle de l’année 2013. Il y a de nombreux musées,
salles de spectacle, cinéma, bâtiments historiques. On ne peut pas s’y ennuyer.
Les nombreuses plages, permettent de profiter du soleil été comme hiver. Les amateurs de
jogging pourront courir le long de la costanera pendant des heures. Les nombreux centres de
shopping de la ville offrent des accessoires, vêtements…de nombreuses marques à tous les
prix.
Le soir il y a de nombreux bars et boîte et certains quartiers s’animent jusqu’au petit matin.
La ville offre aussi des manifestations comme la semaine de la « rural del prado ». Cette foire
dure une semaine et comprend de nombreux stands d’artisanats, des expositions, des
démonstrations de rodéo par les gauchos du pays. Il y en a vraiment pour tous les goûts.
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2.
Bilan et suggestions
2.1. Bilan personnel
J’ai passé un séjour très agréable en Uruguay. J’ai autant apprécié mon stage que de
partager la vie des Uruguayens. Je ne regrette rien de la façon dont s’est déroulé mon
voyage. L’ambiance du pays, l’accueille et la générosité des uruguayens m’ont enchanté. Je
pensais trouver un pays accueillant, différents du notre avec des paysages et des populations
diverses et variées, et je n’ai vraiment pas été déçue ! J’ai eu la chance de rencontrée des
personnes vraiment géniales. L’accueil qui m’a été réservé fut extrêmement chaleureux, j’ai
tout de suite été intégrée à la vie rythmée de l’association. La convivialité et la simplicité des
rapports entre les personnes m’ont vraiment plu. Je voulais découvrir une nouvelle culture,
des paysages époustouflants et j’ai vraiment été comblée par ses plages à perte de vue
notamment.
En ce qui concerne mon stage, ce travail m’a beaucoup plu. J’ai pu acquérir des
connaissances dans des domaines nouveaux et en savoir un peu plus sur les menaces qui
pèsent sur les tortues marines et leur habitat. Cette mise en situation m’a aussi permit de
remplir un autre de mes objectifs qui était de parler couramment l’espagnol.
J’ai pu voyager un peu et voir des paysages vraiment magnifiques, des petits villages de
pêcheurs reculés, accessibles seulement par les dunes, des couchers de soleil à couper le
souffle…
2.2. Préparation du voyage
J’ai effectué mes recherches de stage pendant mon échange universitaire en Argentine. J’ai
préparé mon voyage en Argentine tout au long de l’année avec l’aide de mon école qui nous
a suivi pour réaliser tous les documents administratifs. Une fois partie j’ai juste eu à
m’organiser pour me trouver un logement en Uruguay et traverser la frontière, rien de plus.
Toutes les démarches telles que souscrire une assurance santé, responsabilité civile,
rapatriement, une carte bancaire sans frais… je n’ai pas eu à le refaire car j’avais déjà tout en
Argentine. En ce qui concerne le visa, j’ai choisi de sortir du pays tous les 3 mois car n’étant
pas en France je ne pouvais pas faire de démarche d’obtention d’un visa. Pour renouveler
son visa il suffit de traverser une frontière en prenant le bateau pour aller à Buenos Aires ou
de traverser la frontière brésilienne dans la ville du Chuy. L’autre solution est de se rendre au
centre d’immigration et de payer pour avoir un nouveau tampon.
Il me paraît important de se renseigner sur la vie du pays avant de partir. Pour ma part j’ai
acheté un guide sur le pays et fait des recherches sur internet. J’ai aussi photocopié et
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scanner tous mes papiers d’identité, de banques, de sécurité sociale en cas de problèmes, de
pertes, de vols…
2.3. Améliorations et suggestions
Il me paraît judicieux d’arriver dans le pays quelques semaines avant pour s’habituer au
rythme de vie, au décalage horaire et progresser dans la langue car cela peut parfois être
bien utile et les argentins adorent parler. Visiter une partie du pays avant d’arriver dans la
ville pour étudier permet de comprendre le fonctionnement de la société et de relativiser
sur certains points.
La région Rhône Alpes pourrait mettre en place un outil pour que les étudiants qui partent
vers un pays puissent communiquer avec d’autres qui ont déjà vécu l’expérience.
La bourse est une aide précieuse pour réaliser ce séjour mais il faut malheureusement
prévoir une somme suffisante avant de partir car la bourse nous parvient tardivement ce qui
peut être problématique.
Le fait de vouloir communiquer avec les documents originaux n’est pas pratique. Il serait
plus facile d’envoyer les documents scannés et de faire parvenir les originaux une fois
revenu en France.
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