2009-1011_L`histoire d`annie smith

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2009-1011_L`histoire d`annie smith
2009-1011_L'histoire d'annie smith
PATRIMOINE
L’histoire d’Annie Smith
Richards
Une foi solide, une espérance céleste, une vie d’amour
Erica
Oh ! Ne verse pas une larme à l’endroit où je dors ;
Pleure pour le vivant, et non pour le mort.
Pourquoi se lamenter pour l’être fatigué qui, doucement, repose dans la tombe,
enfin libre des fardeaux de la vie, et affranchi de ses ombres ?
Et voilà que je soupire à mon tour après la tombe paisible, solitaire, Car les pas de Jésus ont chassé l’obscurité ;
Je meurs dans l’espérance de revoir bientôt mes frères,
Mes amis que j’aime, et de régner avec Dieu pendant l’éternité*. Ces paroles, puissantes
et courageuses, ont été écrites en 1855 par une jeune femme mourante. Sa courte vie a été un
témoignage de sacrifice et de foi, et ses capacités créatives et artistiques, véritables paroles
d’espérance, ont exercé une influence durable dans notre Église. Je vous présente Annie
Rebekah Smith, une pionnière de la foi adventiste.
Un rêve bouleversant
Née en 1828 à West Wilton, au New Hampshire, Annie se fait baptiser dans l’Église baptiste à
l’âge de 10 ans. Mais en 1844, elle et sa famille abandonnent la foi baptiste pour se joindre au
mouvement millérite. Lorsque la déception frappe le 22 octobre de cette même année, Annie
décide de consacrer ses énergies à une carrière littéraire et artistique.
Elle passe six ans dans sept différentes écoles de district. Six termes s’écoulent au
Séminaire de Charlestown, au Massachusetts. Non confessionnel par nature, le séminaire tient
des études bibliques chaque semaine. On demande aussi aux étudiants d’assister à deux
services religieux le dimanche.
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2009-1011_L'histoire d'annie smith
Une
peinture
d’Annie
Smith
représentant
Ophélie
de
la
pièce posthume
Hamlet
par
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serait
la
mère
en
d’Annie.Pendant
fait
un
autoportrait.
Page
titre
d’un
recueil
de
poèmes
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part
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de
que
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madame
Smith
dise
à
Joseph
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Annie
Bates,
qu’il
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années,
un
pionnier
à
la
Boston,
mère
en
visite
d’Annie,
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chez
inquiète
qu’elle
les
Smith.
l’invite
pour
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la
réunion,
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Peu
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elle
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Lorsque
Le
rêve
dans
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pour
adventiste.
elle
Le
son
réalité
soir
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suivant,
tandis
Annie
en
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Bates,
Herald.
travaille
Le
16
le
Impressionné,
pour
septembre
poème
la
Review
d’Annie
1851,
l’éditeur
dans
«dont
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White
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Joseph
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que
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problème
de
vision
l’empêche
de
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un
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cependant,
White,
Lorsqu’elle
mois
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avoir
décide
àde
en
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Rochester.
de
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au
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séminaire,
une
à
son
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rêve
elle
d’une
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Boston,
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elle
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n’a
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pendant
accepte
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une
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À
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temps
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Annie
du
Le
journal
travail
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recueil
45
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de
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[recueil
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anglais]
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the
Mountains
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claires
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Certaines
inexplicable,
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l’histoire
John
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Andrews
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novembre
hydrothérapique
d’Annie
empirent,
1854,
lui
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coûté
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retourne
espérance
la
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White
de
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tuberculose.
pied.
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Mais
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On
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Annie
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maintenant
pivoine,
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sûre
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poésies.
son
page
:
elle
œuvre.
à
titre
n’en
Son
maison
du
En
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frère,
recueil.
plus
témoignage
pour
Uriah
pour
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longtemps.
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cette
Elle
son
Uriah
époque
se
rêve.
fixe
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alors
lui
Elle
aussi
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un
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éditeur
encore
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la
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La
mère
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la
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d’Annie
mort
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droit
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dans
»
les
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mort
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de
«
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fille
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un
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s’est-elle
Annie,
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Je
frayeur,
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Impressions
durables
une
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cause
vie
paver
préparer
constitue
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la
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et
voie
totalement
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consécration
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grande
un
afin
notre
cantiques
exemple
que
que
par
prochain
nous
soi.
des
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Même
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:
authentique.
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À
Ayant
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a
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continué
:
de
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sacrifice,
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Annie
pour
du
servir,
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Smith
du
Christ
temps,
mené
le
pour
a
bien.
à
et
vécu
une
nous
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La
maison
n’est
plus
très
loin,
maintenant
!
Oh,
pensée
bénie
!
Le
cœur
du
voyageur
solitaire
se
réjouit
;
Car
un
baume
de
guérison
console
l’éploré,
Et
sèche
les
larmes
de
l’endeuillé.
Ne
pleure
donc
plus,
car
bientôt
nous
nous
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Dans
ce
lieu
céleste
où
nos
pas
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s’arrêteront.
Là,
nos
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seront
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seront
entières,
nous
vivrons
en
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dans
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Père.
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Blessed
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production
Pioneer Hope
vol.
153,
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cet
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1976,
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Ronald
p. p.
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vol.
Graybill,
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Les
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«études
P.
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Smith,
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»,
Review
and
Herald,
vol.
164,
17
décembre
1987,
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l’ écrit
Erica
Richards
est
Université
adventiste
Southern
,étudiante
l’Adventist
àLove
Collegedale,
Review
au
quand
Tennessee
elle
(États-Unis).
cet
article.
Elle
travaillait
à
titre
de
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pendant
l’été
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