bulletIn offIcIel - Ministère de l`Intérieur

Transcription

No 2011-02
(Février 2011)
30 juin 2011
rÉpublique française
ministère de l’intérieur, de l’outre-mer,
des collectivités territoriales et de l’immigration
bulletin
officiel
Sommaire thématique
Sommaire chronologique
Direction
de l’information légale
et administrative
26, rue Desaix
75727 Paris Cedex 15
ISSN : 1282-7924
Edité par :
La délégation à l’information
et à la communication
du ministère de l’intérieur,
de l’outre-mer,
des collectivités territoriales
et de l’immigration
Directeur de la publication :
Monsieur Michel MOSIMANN,
délégué à l’information
et à la communication
Application du titre Ier de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978
relatif à la liberté d’accès aux documents administratifs
NOTA
Les annexes citées et non incluses dans le présent
document peuvent être obtenues, sur simple demande,
auprès des directions dont elles émanent.
Il est important de donner les références précises
(date et numéro de code).
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTérieur
Sommaire thématique
Textes
Délégations de signature
Décision du 1er février 2011 portant délégations de signature du directeur général de l’OFPRA
Décision du 28 février 2011 portant délégation de signature (direction de l’accueil, de l’intégration
et de la citoyenneté)....................................................................................................................... 1
2
Finances locales
Budgets locaux
Circulaire du 11 février 2011 relative au recensement des communes connaissant des difficultés
financières particulières justifiant l’attribution d’une subvention exceptionnelle au titre de
l’année 2011................................................................................................................................... Circulaire du 21 février 2011 relative au recensement pour le remboursement par l’État de
l’indemnité aux régisseurs des polices municipales...................................................................... 3
4
Concours financiers de l’État
Circulaire du 7 février 2011 relative à la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR)
– Exercice 2011.............................................................................................................................. Circulaire du 23 février 2011 relative au renouvellement des membres élus du comité des
finances locales............................................................................................................................... 5
Immigration
Circulaire du 1er février 2011 relative au recours au mandataire pour les demandes d’autorisations
de travail et de titres de séjour....................................................................................................... Circulaire du 10 février 2011 relative à la procédure de guichet unique auprès de l’Office
français de l’immigration et de l’intégration pour certaines catégories d’étrangers..................... 7
Personnels d’État
Arrêté du 1er février 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 31/3 de
Nantes (Loire-Atlantique).............................................................................................................. Arrêté du 1er février 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 13/6 de
Narbonne (Aude)............................................................................................................................ Arrêté du 3 février 2011 fixant la répartition des emplois éligibles à la nouvelle bonification
indiciaire dans les services du secrétariat général à l’immigration et à l’intégration du ministère
de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, pour les
personnels exerçant des fonctions de responsabilité supérieure.................................................... Arrêté du 3 février 2011 fixant la répartition des emplois éligibles à la nouvelle bonification
de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration.......................... Arrêté du 4 février 2011 portant nomination au grade d’aspirant à titre temporaire dans la
gendarmerie nationale.................................................................................................................... 6
8
9
10
11
12
13
février 2011. – intérieur 2011/2 – THE – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTérieur
Textes
Arrêté du 10 février 2011 relatif à la réorganisation du dispositif de la gendarmerie départementale
de la région de gendarmerie d’Île-de-France................................................................................. Arrêté du 10 février 2011 portant dissolution de la brigade territoriale d’Ambès (Gironde)....... Arrêté du 10 février 2011 portant dissolution de la brigade de recherches de Bar-le-Duc
(Meuse)........................................................................................................................................... Arrêté du 21 février 2011 portant nomination (régisseurs d’avances et de recettes).................... Arrêté du 24 février 2011 portant modification des compagnies de gendarmerie départementale
de Blois et Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher)........................................................................ Arrêté du 24 février 2011 portant modification des brigades territoriales de Contres et Vineuil
(Loir-et-Cher)................................................................................................................................. Arrêté du 24 février 2011 portant nomination (régisseurs d’avances et de recettes).................... Arrêté du 24 février 2011 portant institution d’une régie d’avances auprès de la sous-direction
de l’accès à la nationalité française relevant du secrétariat général à l’immigration et à
l’intégration.................................................................................................................................... Arrêté du 25 février 2011 portant nomination des membres de la commission d’examen des
candidatures pour le cycle de formation préparatoire au concours interne d’accès au corps de
conception et de direction ; session de sélection 2011.................................................................. Arrêté du 28 février 2011 portant dissolution de la brigade territoriale de Saint-Chartier
(Indre)............................................................................................................................................. Décision no 10488 du 2 février 2011 relative à l’attribution du diplôme de qualification militaire
gendarmerie.................................................................................................................................... Décision no 2313 du 3 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Corse.............................................................................. Décision no 12300 du 3 février 2011 portant attribution du 1er échelon exceptionnel du grade de
lieutenant-colonel........................................................................................................................... Décision no 295 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’armement...................................................................................... Décision no 12521 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – pilotes »............................................................................................... Décision no 12528 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »...................................................... Décision no 12535 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »..................................................................... Décision n° 12543 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « affaires immobilières »................................................................................................ Décision no 12552 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « montagne ».................................................................................................................. Décision no 12559 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « systèmes d’information et de communication »......................................................... Décision no 4926 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « infanterie »............................................................. Décision no 4924 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française » . ............. 14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
Textes
Décision no 4925 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « cavalerie ».............................................................. Décision no 15898 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine................................................................ Décision no 15895 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest.................... Décision no 5155 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes............................................................ Décision no 3790 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie........................................................... Décision no 4127 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................................... Décision no 8758 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire............................................................ Décision no 7397 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie du Centre............................................................................. Décision no 11815 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur............................... Décision no 11820 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud.............................. Décision no 6606 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Lorraine.......................................................................... Décision no 8294 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est......................................... Décision no 4362 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne..................................................... Décision no 1425 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer............................................................. Décision no 1426 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « ambassade ».................... Décision no 504 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie maritime............................................................................................... Décision no 19407 du 8 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France.......................................................... Décision no 19405 du 8 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris........................ Décision no 6153 du 8 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................................... Décision no 4353 du 8 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Picardie.......................................................................... Décision no 1645 du 8 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’air................................................................................................. Décision no 9853 du 9 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Bretagne......................................................................... 36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
Textes
général de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais....................................................... Décision no 8424 du 9 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord...................................... Décision no 2226 du 9 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie des transports aériens.......................................................................... Décision no 10123 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées...................................................... Décision no 4029 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Limousin.............................................................. Décision no 16618 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes......................................................... Décision no 16668 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est........................ Décision no 4143 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne................................................................ Décision no 4566 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté..................................................... Décision no 8305 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie
nationale – branche « administrative »........................................................................................... Décision no 2917 du 11 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace.................................................................... Décision no 14905 du 11 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale................................... Décision no 6437 du 14 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne............................................................ Décision no 6876 du 14 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du centre technique de la gendarmerie nationale.................................................... Décision no 17371 du 25 février 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats
exceptionnels à titre exceptionnel.................................................................................................. Décision no 9627 du 28 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon.......................................... Décision no 20423 du 28 février 2011 relative à l’attribution du diplôme d’état-major de la
gendarmerie.................................................................................................................................... Circulaire du 14 décembre 2010 relative aux modalités et contenus de la formation pour l’accès
au grade de commandant de police................................................................................................ Circulaire no 8778 du 25 janvier 2011 relative à la formation des militaires de la gendarmerie
dans le domaine équestre............................................................................................................... Circulaire no 13894 du 8 février 2011 relative à l’avancement des officiers et à la nomination
au grade de sous-lieutenant des aspirants et des sous-officiers de la réserve opérationnelle pour
l’année 2011................................................................................................................................... Police administrative
Circulaire du 9 février 2011 relative aux licences restaurant et vente à emporter........................ 58
59
60
61
62
63
64
65
66
67
68
69
70
71
72
73
74
75
76
77
78
Textes
Réglementation
Circulaire du 1er février 2011 relative à la simplification de la procédure de délivrance et de
renouvellement des cartes nationales d’identité (CNI) et des passeports – Rappel...................... Circulaire du 23 février 2011 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles
des personnes majeures. Résultats définitifs 2009 – Premiers résultats 2010............................... Circulaire du 25 février 2011 relative à l’impact financier des schémas départementaux de
coopération intercommunale : présentation des outils mis à disposition...................................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des communes 2011....................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des départements 2011................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des intercommunalités à fiscalité
propre 2011..................................................................................................................................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des régions 2011............................ Circulaire du 28 février 2011 relative à la politique nationale d’exercices : orientations et
programmation pour l’année 2011................................................................................................. Sécurité civile
Arrêté du 25 février 2011 modifiant l’arrêté du 8 janvier 2002 modifié relatif aux cycles de
travail particuliers applicables à certains services relevant de l’administration centrale du
ministère de l’intérieur................................................................................................................... Circulaire du 15 février 2011 relative au renouvellement des représentants du conseil général
au conseil d’administration des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS)........ Sécurité et circulation routière
Décision du 28 février 2011 relative à la composition du comité de concertation de l’éducation
routière............................................................................................................................................ 79
80
81
82
83
84
85
86
87
88
89
février 2011. – intérieur 2011/2 – THE – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
Sommaire chronologique
Textes
Circulaire du 14 décembre 2010 relative aux modalités et contenus de la formation pour l’accès
au grade de commandant de police................................................................................................ Circulaire no 8778 du 25 janvier 2011 relative à la formation des militaires de la gendarmerie
dans le domaine équestre............................................................................................................... Arrêté du 1er février 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 31/3 de
Nantes (Loire-Atlantique).............................................................................................................. Arrêté du 1er février 2011 portant dissolution de l’escadron de gendarmerie mobile 13/6 de
Narbonne (Aude)............................................................................................................................ Décision du 1er février 2011 portant délégations de signature du directeur général de
l’OFPRA......................................................................................................................................... Circulaire du 1er février 2011 relative au recours au mandataire pour les demandes d’autorisations
de travail et de titres de séjour....................................................................................................... Circulaire du 1er février 2011 relative à la simplification de la procédure de délivrance et de
renouvellement des cartes nationales d’identité (CNI) et des passeports – Rappel...................... Décision no 10488 du 2 février 2011 relative à l’attribution du diplôme de qualification militaire
gendarmerie.................................................................................................................................... Arrêté du 3 février 2011 fixant la répartition des emplois éligibles à la nouvelle bonification
de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, pour les
personnels exerçant des fonctions de responsabilité supérieure.................................................... Arrêté du 3 février 2011 fixant la répartition des emplois éligibles à la nouvelle bonification
de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration.......................... Décision no 2313 du 3 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Corse.............................................................................. Décision no 12300 du 3 février 2011 portant attribution du 1er échelon exceptionnel du grade de
lieutenant-colonel........................................................................................................................... Arrêté du 4 février 2011 portant nomination au grade d’aspirant à titre temporaire dans la
gendarmerie nationale.................................................................................................................... Décision no 295 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’armement...................................................................................... Décision no 12521 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – pilotes »............................................................................................... Décision no 12528 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »...................................................... Décision no 12535 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »..................................................................... Décision n° 12543 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « affaires immobilières »................................................................................................ 75
76
9
10
1
7
79
24
11
12
25
26
13
27
28
29
30
31
FÉVRIER 2011. – INTéRIEUR 2011/2 – CHR – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
Textes
Décision no 12552 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « montagne ».................................................................................................................. Décision no 12559 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la
spécialité « systèmes d’information et de communication »......................................................... Décision no 4926 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « infanterie »............................................................. Décision no 4924 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française » . ............. 32
33
34
35
général de la garde républicaine – branche « cavalerie ».............................................................. 36
Décision no 15898 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine................................................................ 37
Décision n 15895 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest.................... 38
général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes............................................................ 39
général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie........................................................... 40
Décision n 4127 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................................... 41
général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire............................................................ 42
général de la région de gendarmerie du Centre............................................................................. 43
Décision n 11815 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur............................... 44
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud.............................. 45
général de la région de gendarmerie de Lorraine.......................................................................... 46
général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est......................................... 47
général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne..................................................... 48
général du commandement de la gendarmerie outre-mer............................................................. 49
général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « ambassade ».................... 50
o
o
o
o
o
général de la gendarmerie maritime............................................................................................... Circulaire du 7 février 2011 relative à la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR)
– Exercice 2011.............................................................................................................................. 51
5
Textes
cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France.......................................................... 52
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris........................ 53
général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................................... 54
général de la région de gendarmerie de Picardie.......................................................................... 55
o
général de la gendarmerie de l’air................................................................................................. Circulaire no 13894 du 8 février 2011 relative à l’avancement des officiers et à la nomination
au grade de sous-lieutenant des aspirants et des sous-officiers de la réserve opérationnelle pour
l’année 2011................................................................................................................................... o
général de la région de gendarmerie de Bretagne......................................................................... Décision no 8422 du 9 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais....................................................... Décision no 8424 du 9 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord...................................... Décision no 2226 du 9 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie des transports aériens.......................................................................... Circulaire du 9 février 2011 relative aux licences restaurant et vente à emporter........................ Arrêté du 10 février 2011 relatif à la réorganisation du dispositif de la gendarmerie départementale
de la région de gendarmerie d’Île-de-France................................................................................. Arrêté du 10 février 2011 portant dissolution de la brigade territoriale d’Ambès (Gironde)....... Arrêté du 10 février 2011 portant dissolution de la brigade de recherches de Bar-le-Duc
(Meuse)........................................................................................................................................... Décision no 10123 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées...................................................... Décision no 4029 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Limousin.............................................................. Décision no 16618 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes......................................................... Décision no 16668 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est........................ Décision no 4143 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne................................................................ Décision no 4566 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté..................................................... Décision no 8305 du 10 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
nationale – branche « administrative »........................................................................................... Circulaire du 10 février 2011 relative à la procédure de guichet unique auprès de l’Office
français de l’immigration et de l’intégration pour certaines catégories d’étrangers..................... 56
77
57
58
59
60
78
14
15
16
61
62
63
64
65
66
67
8
Textes
cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace.................................................................... Décision no 14905 du 11 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale................................... Circulaire du 11 février 2011 relative au recensement des communes connaissant des difficultés
l’année 2011................................................................................................................................... Décision no 6437 du 14 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne............................................................ Décision no 6876 du 14 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du centre technique de la gendarmerie nationale.................................................... Circulaire du 15 février 2011 relative au renouvellement des représentants du conseil général
au conseil d’administration des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS)........ Arrêté du 21 février 2011 portant nomination (régisseurs d’avances et de recettes).................... Circulaire du 21 février 2011 relative au recensement pour le remboursement par l’État de
l’indemnité aux régisseurs des polices municipales...................................................................... Circulaire du 23 février 2011 relative au renouvellement des membres élus du comité des
finances locales............................................................................................................................... Circulaire du 23 février 2011 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt des familles
des personnes majeures. Résultats définitifs 2009 – Premiers résultats 2010............................... Arrêté du 24 février 2011 portant modification des compagnies de gendarmerie départementale
de Blois et Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher)........................................................................ Arrêté du 24 février 2011 portant modification des brigades territoriales de Contres et Vineuil
(Loir-et-Cher)................................................................................................................................. Arrêté du 24 février 2011 portant nomination (régisseurs d’avances et de recettes).................... Arrêté du 24 février 2011 portant institution d’une régie d’avances auprès de la sous-direction
l’intégration.................................................................................................................................... Arrêté du 25 février 2011 portant nomination des membres de la commission d’examen des
conception et de direction ; session de sélection 2011.................................................................. Arrêté du 25 février 2011 modifiant l’arrêté du 8 janvier 2002 modifié relatif aux cycles de
travail particuliers applicables à certains services relevant de l’administration centrale du
ministère de l’intérieur................................................................................................................... Décision no 17371 du 25 février 2011 portant attribution, en 2011, de la prime de résultats
exceptionnels à titre exceptionnel.................................................................................................. Circulaire du 25 février 2011 relative à l’impact financier des schémas départementaux de
coopération intercommunale : présentation des outils mis à disposition...................................... Arrêté du 28 février 2011 portant dissolution de la brigade territoriale de Saint-Chartier
(Indre)............................................................................................................................................. Décision du 28 février 2011 portant délégation de signature (direction de l’accueil, de l’intégration
et de la citoyenneté)....................................................................................................................... Décision no 9627 du 28 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon.......................................... 68
69
3
70
71
88
17
4
6
80
18
19
20
21
22
87
72
81
23
2
73
Textes
Décision no 20423 du 28 février 2011 relative à l’attribution du diplôme d’état-major de la
gendarmerie.................................................................................................................................... Décision du 28 février 2011 relative à la composition du comité de concertation de l’éducation
routière............................................................................................................................................ Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des communes 2011....................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des départements 2011................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des intercommunalités à fiscalité
propre 2011..................................................................................................................................... Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des régions 2011............................ Circulaire du 28 février 2011 relative à la politique nationale d’exercices : orientations et
programmation pour l’année 2011................................................................................................. 74
89
82
83
84
85
86
FÉVRIER 2011. – INTéRIEUR 2011/2 – CHR – Page 10
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
ofpra
Office français de protection
des réfugiés et apatrides
_____
Décision du 1er février 2011 portant délégations de signature
du directeur général de l’OFPRA
nor : IOCR1104326S
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment les livres II et VII de ses parties législative
et réglementaire ;
Vu le décret no 54‑1055 du 14 octobre 1954 portant publication de la convention de Genève du 28 juillet 1951 sur le
statut des réfugiés ;
Vu le décret no 60‑1066 du 4 octobre 1960 portant publication de la convention de New York relative au statut des
apatrides ;
Vu le décret du 14 juillet 2010 portant nomination du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides,
Décide :
Article 1er
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Jean-François Cordet, directeur général de l’Office français de protection
des réfugiés et apatrides, délégation est donnée à M. Benoît Meslin, secrétaire général, ou en son absence à Mme Agnès
Fontana, chargée de mission, ou en son absence à M. Pascal Baudouin, directeur de cabinet, pour signer toutes décisions
individuelles prises en application de l’article L. 721‑2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile ou
de la convention de New York du 28 septembre 1954, toutes réponses aux demandes de l’autorité judiciaire et, en tant que
de besoin, toutes réquisitions de la force publique, ainsi que tous actes administratifs, décisions individuelles, engagements
comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion administrative et financière de
l’Office.
Article 2
Délégation est donnée à M. Benoît Meslin, secrétaire général, pour signer, au nom du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides, toutes décisions individuelles prises en application de l’article L. 721‑2 du
code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, ou de la convention de New York du 28 septembre 1954, tous
actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office devant les juridictions, toutes réponses aux
demandes de l’autorité judiciaire et, d’une manière générale, tous documents, certificats, courriers ou actes relevant de ses
attributions.
Article 3
Délégation est donnée à Mme Agnès Fontana, chargée de mission, pour signer, au nom du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, engagements comptables,
ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion administrative et financière de l’Office.
Article 4
Délégation est donnée à Mme Sylvie Jimenez, chef du service des ressources humaines et de la formation professionnelle,
et en cas d’absence ou d’empêchement, à son adjoint M. Thierry Doucement, pour signer, au nom du directeur général
de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, engagements
comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion des ressources humaines et de la
formation professionnelle de l’office.
Article 5
Délégation est donnée à Mme Pascale Doucement, chef du service du budget, pour signer, au nom du directeur général
de l’office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions relevant de ses
attributions, tous engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement concernant la gestion administrative et
financière de l’Office.
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 1/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
Article 6
Délégation est donnée à Mme Régine Bordes, chef du service de l’interprétariat, MM. Jean-Paul Levi, chef du service de
l’informatique, Philippe Truy, chef du service des moyens généraux, pour signer, au nom du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, relevant de leurs attributions
respectives.
Article 7
Délégation est donnée à M. Mourad Derbak, officier de protection principal, chef de division et en son absence à
Mme Pascale Baudais, officier de protection principal, adjointe du chef de division, pour signer, au nom du directeur général
de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application de l’article L. 721‑2
du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile se rapportant aux attributions des services placés sous
leur autorité, tous actes individuels pris en application de la convention de New York du 28 septembre 1954, ainsi que tous
actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’Office devant les juridictions ayant à connaître du
contentieux des apatrides.
Article 8
Délégation est donnée à Mme Laurence Duclos, MM. Franck Eyheraguibel, Patrick Renisio, officiers de protection
principaux, chefs de division, et en leur absence à leurs adjoints, MM. Pascal Roig, Pascal Lieutaud et Ludovic Champain,
officiers de protection principaux, pour signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés
et apatrides, tous actes individuels pris en application de l’article L. 721‑2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et
du droit d’asile, se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité.
Article 9
Délégation est donnée à Mmes Delphine Bordet, Leïla Chebbi, Aline Montaubrie, MM. Georges Barbière, Jacques
Deysson et Jean-Michel Salgon, officiers de protection principaux, Mmes Caroline Morin-Terrini, Coralie Capdeboscq,
Isabelle Castagnos, Christine Bargoin, Frédérique Spéranza, Adeline Braux, Leila Benshila-Kesen et Marie Despretz,
MM. Adlan Jamil Addou, Ghislain de Kergorlay, François Doyharcabal, Arnaud Pujal, Nicolas Wait, officiers de protection,
chefs de section, pour signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous
actes individuels pris en application de l’article L. 721‑2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile,
se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité, à l’exclusion des décisions de retrait de la qualité de
réfugié.
Article 10
Délégation est donnée à Mme Elsa Matteodo-Charles et M. Shridar Radje, officiers de protection, responsables d’unité,
pour signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels
pris en application de l’article L. 721‑2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, se rapportant aux
attributions des services placés sous leur autorité, à l’exclusion des décisions de retrait de la qualité de réfugié.
Article 11
Délégation est donnée à M. Jean‑Marie Cravero, officier de protection principal, chef de division, et en son absence à
Mme Geneviève Sohier, officier de protection, adjointe du chef de division, à M. Michel Eyrolles, Mmes Barbara Derain
et Sophie Pegliasco, officiers de protection, chefs de section, pour signer, au nom du directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides, tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office
devant les juridictions ayant à connaître du contentieux des réfugiés, ainsi que tous actes visés à l’article 40 du code de
procédure pénale, toutes réponses aux demandes de réquisition de l’autorité judiciaire se rapportant aux attributions des
services placés sous leur autorité.
Article 12
Délégation est donnée à Mme Anna Owczarek, officier de protection principal, chef de la mission accueil, enregistrement
et numérisation, et en son absence à Mme Anne-Lise Marzal, officier de protection, adjointe du chef de la mission, pour
signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris
en application de l’alinéa 3 de l’article R. 723‑1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.
Article 13
Délégation est donnée à Mme Isabelle Ayrault, officier de protection principal, chef de division, et en son absence à
Mme Hamida Echikr, officier de protection principal, adjointe du chef de division, pour signer, au nom du directeur général
de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’actes d’état civil, tous extraits,
copies, livrets de famille, certificats administratifs ou de coutume, toutes décisions portant sur le maintien, la cessation ou
le retrait du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire, tous actes individuels se rapportant aux mineurs
n’ayant pas déposé de dossier individuel et aux bénéficiaires de la protection subsidiaire, ainsi que toutes demandes aux
fins de requérir, en cas de besoin, le concours de la force publique lorsque celui-ci est nécessaire au fonctionnement des
services placés sous leur autorité.
Article 14
Délégation est donnée à Mmes Béatrice Bigot, Johanne Mangin, Myriam Redjem et M. Mahyar Dabir Moghadam, officiers
de protection, chefs de section, pour signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides, tous certificats tenant lieu d’acte d’état civil, tous extraits, copies, livrets de famille, certificats administratifs et
de coutume, toutes décisions portant sur le maintien du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire, ou la
renonciation à ceux-ci, ainsi que tous actes individuels se rapportant aux mineurs n’ayant pas déposé de dossier individuel
et aux bénéficiaires de la protection subsidiaire.
Article 15
Délégation est donnée à Mmes Viviane de Chaptes, Hülya Celik, Armelle Dieudegard, Julie Lengrand, Gaëlle Mazzella,
Ingrid Perianin, Zübeyde Surmeli, Marie-Christine Iltchev, Anne-Charlotte Lelong, Annabelle Ligout, Nathalie Roya,
Estelle Sillaire, Béatrice Berjon-Szatanik et MM. Stéphane Cremoux, Farid Nasli Bakir et Jean-René Nkwanga, officiers
de protection, Mme Annabelle Caullier, secrétaire de protection de classe exceptionnelle, Mmes France-Lise Cirany, Sabine
Lin-Olivier et Gina Sanctussy, secrétaires de protection de classe supérieure, Mmes Eline Finet, Fanny Samson Le Roux,
MM. Nicolas Poullain et Ruddy Thrace, secrétaires de protection, pour signer, au nom du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’actes d’état civil, copies, extraits, tous certificats
administratifs et de coutume, les livrets de famille se rapportant aux attributions des services placés sous l’autorité du chef
de la division de la protection.
Article 16
Délégation est donnée à Mmes Anne Angeleau et Bernadette Morin, secrétaires de protection, Mmes Phuong Dang,
Marie-Lucette Glénac, Sylvie Piat, Jeanne Semani et Élise Voeuk, adjoints administratifs d’administration centrale,
Mme Annick Bazin, M. Didier Meslin, adjoints de protection principaux de 2e classe, Mmes Aziza Aouchiche, Saliha Bada,
Sabrina Claudio, Nathalie Dardour, Marie Dayret, Aurélie Decorde, Tatiana Huang Kuan Fuck, Virginie Lelièvre, Michelle
Zig, Mablé Agbotounou, Monique Dubrana, MM. Bakary Mohamed, Benjamin Têtu, Inacio Coelho Simoes et Nicolas
Cabon adjoints de protection de 1re classe, Mmes Nathalie Cavalière, Sabine Favre, Solange Koodruth, Nadine Reubrecht,
Sylviane Sananikone, M. Mouloud Bendaoud, adjoints de protection de 2e classe, pour signer, au nom du directeur général
de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, les copies des certificats tenant lieu d’actes d’état civil se
rapportant aux attributions des services placés sous l’autorité du chef de la division de la protection.
Article 17
Délégation est donnée à M. Daniel Le Madec, officier de protection principal, chef de division, et en cas d’absence ou
d’empêchement à Mme Véronique Péchoux, officier de protection principal, pour formuler, au nom du directeur général de
l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, les avis prévus à l’article R. 213‑2 du code de l’entrée et du séjour
des étrangers et du droit d’asile.
Article 18
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales
et de l’immigration et sur le site de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (www.ofpra.gouv.fr).
Fait le 1er février 2011.
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
J.-F. Cordet
MINISTÈRE DE L’INTéRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
des COLLECTIVITéS TERRITORIALES
_____
Décision du 28 février 2011 portant délégation de signature
(direction de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté)
NOR : IOCN1105523S
Le directeur de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté,
Vu le décret no 2005‑850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
notamment son article 3 ;
Vu le décret no 2007‑1891 du 26 décembre 2007 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère
de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du codéveloppement ;
Vu le décret du 15 juillet 2009 portant nomination d’un directeur à l’administration centrale du ministère de l’immigration,
de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire ;
Vu le décret no 2010‑1444 du 25 novembre 2010 relatif aux attributions du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des
collectivités territoriales et de l’immigration ;
Vu l’arrêté du 26 décembre 2007 portant organisation interne de l’administration centrale du ministère de l’immigration,
de l’intégration, de l’identité nationale et du codéveloppement ;
Vu la décision du 21 juillet 2009 portant délégation de signature (direction de l’accueil, de l’intégration et de la
citoyenneté), modifiée par la décision du 7 septembre 2009 et par la décision du 4 février 2010,
Décide :
Article 1er
À la sous-direction de l’accès à la nationalité française, délégation est donnée aux agents ci-après désignés pour signer,
au nom du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration (secrétariat général à
l’immigration et à l’intégration) tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions qui
leur sont confiées :
I. – Mme Monique Lajugie, conseillère d’administration des affaires sociales, adjointe au sous-directeur.
II. – Premier bureau des naturalisations
M. Éric Magnes, attaché principal des affaires sociales, chef de bureau ;
Mme Anne Wouaquet-Delaunay, attachée principale d’administration des affaires sociales, adjointe au chef de bureau ;
Mme Isabelle Wang, attachée principale d’administration des affaires sociales ;
Mme Pascale Raphalen, attachée d’administration des affaires sociales.
III. – Second bureau des naturalisations
M. Jean-Michel Giraudet, conseiller d’administration des affaires sociales, chef de bureau ;
M. Philippe Landriève, attaché d’administration des affaires sociales, adjoint au chef de bureau ;
Mme Hakima Aubin, attachée d’administration des affaires sociales ;
Mme Florence Pacaud, attachée d’administration des affaires sociales.
IV. – Bureau des déclarations de nationalité
Mme Danièle Peraudeau-Ropars, attachée principale d’administration des affaires sociales, chef de bureau ;
M. Paul-Henri Morin, attaché d’administration des affaires sociales, adjoint à la chef de bureau.
Février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 2/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
V. – Bureau des affaires juridiques et du contentieux
Mme Christine Piltant, première conseillère des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, chef de
bureau ;
M. Pierre Forissier, attaché d’administration des affaires sociales, adjoint à la chef de bureau.
VI. – Bureau du service général
M. Bertrand Leclerc, attaché d’administration des affaires sociales, chef de bureau ;
Mme Françoise Loquet, attachée d’administration des affaires sociales, adjointe au chef de bureau.
VII. – Bureau de l’administration
M. Jean-Philippe Martinez, attaché principal d’administration des affaires sociales, chef de bureau.
Article 2
Délégation est donnée à M. Jean-Marc Pouyet, conseiller d’administration des affaires sociales directement placé sous
l’autorité du directeur de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté, pour signer, au nom du ministre de l’intérieur, de
l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration (secrétariat général à l’immigration et à l’intégration), tous
actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions qui lui sont confiées.
Article 3
Les décisions des 21 juillet 2009, 7 septembre 2009 et 4 février 2010 portant délégations de signature (direction de
l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté) sont abrogées.
Article 4
La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 28 février 2011.
Le directeur de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté,
M. Aubouin
Ministère de l’intérieur,
de l’outre-mer,
_____
Direction générale des collectivités locales
_____
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_____
Bureau des budgets locaux
et de l’analyse financière
_____
Circulaire du 11 février 2011 relative au recensement des communes connaissant des difficultés
l’année 2011
NOR : COTB1102537C
Références :
Articles L. 1524‑4, L. 1612‑4, L. 1612‑5, L. 1612‑14, L. 2335‑2, L. 2335‑2‑1 et D. 2335‑3 du CGCT ;
Article 15 du décret no 85‑260 du 22 février 1985 modifié ;
Circulaire du 19 avril 1983 relative au contrôle budgétaire des actes des communes, des départements, des régions et de
leurs établissements publics (JO du 31 mai 1983) ;
Circulaire du 12 novembre 2009 relative au fonds de soutien aux communes touchées par le redéploiement territorial des
armées.
Résumé :
La présente circulaire a pour objet :
– de rappeler les règles d’attribution des subventions exceptionnelles aux communes connaissant des difficultés
financières ;
– de procéder au recensement par les préfectures des communes remplissant ces critères d’attribution ;
– d’assurer le suivi de la situation financière des communes qui ont bénéficié de telles subventions au titre des dix
années antérieures (2000‑2010).
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de région et de département de métropole.
L’article L. 2335‑2 du code général des collectivités territoriales (CGCT) prévoit que des subventions exceptionnelles
peuvent être accordées par l’État à des communes confrontées à des situations financières particulièrement graves à la suite
de circonstances anormales.
Ces subventions sont financées sur les crédits budgétaires de la mission « Relations avec les collectivités territoriales »
(programme 122 « Concours spécifiques et administration », action 1 « Aides exceptionnelles aux collectivités territoriales »).
Au titre de l’année 2010, 600 000 € ont été attribués à deux communes en difficulté et 500 005 € à 51 communes des
Landes suite à la tempête Klaus.
I. – L’attribution de subventions exceptionnelles aux collectivités locales
Cette aide de l’État ne doit pas être considérée comme un moyen habituel de financement et n’a pas vocation à financer la
totalité du déséquilibre, mais plutôt à favoriser la mise en place d’un plan de redressement. Elle vient donc en complément
de mesures locales. En l’absence d’un effort significatif de la collectivité locale, aucune subvention ne sera accordée afin
de garantir à ce dispositif son rôle incitatif.
1.1. Les conditions d’attribution de ces subventions sont strictement encadrées
Les articles L. 2335‑2 et D. 2335‑3 du code général des collectivités territoriales (CGCT) prévoient que des subventions
exceptionnelles de fonctionnement peuvent être attribuées, par arrêté conjoint des ministres de l’intérieur et de l’économie
et des finances, à des communes « dans lesquelles des circonstances anormales entraînent des difficultés particulières ». Ces
subventions de fonctionnement n’ont pas d’affectation spéciale (livre III, titre III, chapitre V, section 2, du CGCT).
Par ailleurs, ces subventions ne sauraient être versées à une commune dont les difficultés financières proviennent de sa
participation au capital d’une société d’économie mixte locale ou de la garantie qu’elle a accordée aux emprunts contractés
par une telle société (art. L. 1524‑4 du CGCT).
Enfin, le dispositif des aides attribuées au titre du fonds de soutien aux communes touchées par le redéploiement
territorial des armées constituent également des subventions de fonctionnement des budgets communaux, non affectées.
Cependant, la procédure des aides exceptionnelles versées au titre de l’article L. 2335‑2 du code général des collectivités
territoriales est incompatible avec le versement d’une subvention au titre du fonds de soutien. Par conséquent, il vous
appartient de présenter au ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration un seul
et unique dossier, soit une demande de subvention au titre de l’article L. 2335‑2, soit une demande de subvention au titre
de l’article L. 2335‑2‑1 du CGCT.
1.1.1. Le budget de la collectivité doit avoir été adopté en déséquilibre
Une commune ne peut bénéficier d’une subvention exceptionnelle que si son budget a été voté en déséquilibre, au regard
de la définition donnée par l’article L. 1612‑4 du CGCT.
Toutefois, cette subvention n’a en principe pas vocation à financer un déséquilibre résultant essentiellement d’un déficit
de la section d’investissement. Celui-ci doit en effet être apuré par une réduction des programmes d’équipement, par des
recettes propres à la section d’investissement ou, le cas échéant, par une augmentation de l’autofinancement.
1.1.2. Ce déséquilibre a entraîné une saisine de la chambre régionale des comptes
La subvention exceptionnelle ne peut être accordée qu’après examen préalable par la chambre régionale des comptes
(CRC) de la situation de la commune concernée. Cet examen intervient après une saisine, déclarée recevable, du budget
communal au titre de l’article L. 1612‑5 ou L. 1612‑14 du CGCT.
À l’occasion de cette procédure, la chambre régionale des comptes est amenée à proposer des mesures de redressement
(diminution des charges de fonctionnement, report des investissements non strictement nécessaires, hausse des taux de
fiscalité locale) permettant un retour à l’équilibre pour l’année budgétaire.
Pour certaines collectivités, le retour à l’équilibre peut s’avérer plus long, voire relever, selon les termes du juge des
comptes, de la « formalité impossible ». Alors, lorsque les mesures de redressement préconisées par la CRC ne permettent
pas de résorber le déficit de la section de fonctionnement, ou encore lorsque ces mesures ne sauraient être appliquées
dans leur intégralité en raison de la situation locale, l’attribution d’une subvention exceptionnelle d’équilibre peut être
envisagée.
1.2. Loin d’être systématique, l’attribution d’une subvention exceptionnelle doit faire l’objet d’une concertation entre la préfecture concernée et la direction générale des collectivités locales
Dans la très grande majorité des cas, l’examen des dossiers d’attribution de subventions exceptionnelles découle d’une
demande exprimée par le préfet suite au recensement effectué par ses soins.
C’est le bureau des budgets locaux et de l’analyse financière de la DGCL qui assure l’instruction de ces dossiers, en
liaison avec vos services.
Les services préfectoraux sont invités, lors de la période d’examen de ces demandes, à ne prendre aucun engagement
vis-à-vis des collectivités concernées. Les décisions d’attribution relèvent de la compétence exclusive du ministre. En
outre, lorsque son principe a été retenu, le montant de la subvention exceptionnelle ne représente généralement qu’une
part très minoritaire du déficit de fonctionnement de la commune en difficulté. Elle doit néanmoins permettre de susciter
l’élaboration d’un plan de redressement comportant des engagements significatifs de la collectivité (hausse sensible de la
fiscalité locale directe et réduction concomitante des charges) ainsi qu’un éventuel rééchelonnement de la dette avec ses
créanciers.
C’est pourquoi une stratégie concertée doit être mise en place entre la préfecture et la DGCL, notamment à l’occasion du
règlement d’office du budget. Un budget réglé d’office en déficit ne saurait constituer un motif suffisant pour l’attribution
d’une subvention exceptionnelle égale à ce déficit.
Par ailleurs, les crédits budgétaires réservés pour ce dispositif étant limités, toutes les demandes ne sauraient être satisfaites,
surtout lorsque des solutions structurelles peuvent être trouvées pour rétablir l’équilibre budgétaire de la collectivité.
Dans tous les cas, le meilleur effet levier est recherché, ce qui exclut l’attribution d’une subvention aux collectivités qui
s’abstiennent de tout effort substantiel.
Enfin, un contrôle attentif est exercé par la Cour des comptes sur l’emploi de ces crédits, la liste des communes
bénéficiaires étant publiée chaque année dans le rapport sur l’exécution de la loi de finances.
1.3. Procédure à suivre pour solliciter l’attribution d’une subvention exceptionnelle pour une commune
1.3.1. Rappel
Il vous est rappelé qu’il convient d’informer systématiquement le directeur départemental des finances publiques de
tous les cas de saisine de la chambre régionale des comptes d’un budget primitif en application des articles L. 1612‑2 et
suivants du CGCT, afin de permettre à celui-ci de suspendre les travaux de confection des rôles jusqu’à achèvement de
la procédure de règlement du budget prévue aux articles L. 1612‑2 ou L. 1612‑5 et suivants du même code (circulaire
NOR : LBLB0310020C du 10 mars 2003).
En effet, en application des articles L. 1612‑2 et suivants du CGCT, la procédure de règlement du budget primitif peut
aboutir à une modification des taux d’imposition des quatre taxes directes locales qui ont été initialement adoptés par le
conseil municipal et ont pu être notifiés au directeur départemental des finances publiques antérieurement à la saisine de
la chambre.
Une telle situation entraîne des difficultés techniques dans la mesure où elle peut conduire les services des impôts
à reprendre les travaux de confection des rôles pour intégrer des nouveaux taux d’imposition. Ainsi, l’information du
directeur départemental des finances publiques évite d’alourdir inutilement la tâche des directions départementales des
finances publiques, chargées de l’établissement des rôles d’impôts directs locaux.
1.3.2. Constitution du dossier d’examen
Si vous souhaitez solliciter une subvention exceptionnelle pour une commune qui répondrait aux critères précités, vous
devez transmettre un dossier comprenant, outre une estimation du montant de la subvention, les éléments suivants :
– le budget primitif de l’exercice considéré ;
– une analyse financière de la commune ;
– les années de présence de la commune dans le réseau d’alerte ;
– l’état 1259 relatif au taux des quatre taxes directes ainsi que celui de l’exercice précédent ;
– le précédent budget supplémentaire ;
– le dernier compte administratif établi ;
– une copie du ou des avis de la CRC ;
– une copie du ou des délibérations du conseil municipal apportant ou non des modifications au budget conformément
à l’avis de la CRC ;
– le cas échéant une copie de l’arrêté préfectoral de règlement du budget ;
– le cas échéant une copie du ou des courriers des élus demandant une aide exceptionnelle ;
– un relevé d’identité bancaire du compte de la commune ouvert chez le comptable. Votre attention est attirée sur le fait
que ce document doit être parfaitement lisible et exploitable comportant l’intégralité des numéros de comptes ;
– les SIREN et/ou SIRET de la commune et du comptable ;
– l’adresse et le code postal de la mairie et celle du comptable.
Ce dossier doit être transmis dès que possible à : Direction générale des collectivités locales, sous-direction des
finances locales et de l’action économique, bureau des budgets locaux et de l’analyse financière, 2, place des Saussaies,
75800 Paris.
Par ailleurs, j’attire votre attention sur le fait qu’une communication rapide de ces éléments est essentielle à une instruction
des demandes par mes services le plus en amont possible.
En pratique, l’essentiel du travail d’instruction est réalisé au cours de l’été et des propositions d’arbitrage sont transmises
dès le mois de septembre au cabinet du ministre qui arrête ultérieurement les attributions. Ce calendrier aboutit souvent à
des attributions en toute fin d’année, au cours du mois de décembre. Des demandes de subvention formulées tardivement
encourent donc le risque de ne plus pouvoir être prises en compte.
C’est pourquoi, compte tenu des délais propres aux procédures de contrôle budgétaire devant les chambres régionales des
comptes, et compte tenu des difficultés possibles d’obtention de certains documents, vous êtes invités à adresser dès que
possible à mes services un premier dossier partiel (BP 2011, dernier CA disponible, états 1259, données du réseau d’alerte),
qui sera complété ensuite par les éléments manquants au fur et à mesure de leur disponibilité.
II. – Le recensement des communes connaissant des difficultés financières graves
Afin de déterminer les montants qui seraient susceptibles d’être sollicités, vous voudrez bien recenser les communes de
votre département remplissant les conditions définies ci‑dessus, à l’aide du tableau ci-joint (annexe I).
Les communes mentionnées dans ce tableau seront celles dont le budget primitif a fait l’objet d’une saisine déclarée
recevable par la CRC au titre de l’article L. 1612‑5 du CGCT ou d’une transmission du budget primitif au titre de
l’article L. 1612‑14 du CGCT.
Je vous prie de bien vouloir me transmettre ce tableau pour le 30 juin 2011.
III. – L’évolution de la situation financière des communes
ayant déjà bénéficié d’une subvention exceptionnelle
Pour assurer un meilleur suivi des communes ayant bénéficié d’une subvention exceptionnelle d’équilibre au titre de
l’article L. 2335‑2 du CGCT ou du dispositif de compensation des pertes de base de taxe professionnelle sur les exercices
budgétaires précédents, il est nécessaire de recueillir des informations succinctes sur l’évolution de leur situation financière.
De telles informations permettront de mieux évaluer l’impact du versement de ces subventions sur la politique de
redressement de chaque commune.
À cette fin, je vous serais obligé de compléter le tableau joint en annexe II de la présente circulaire et de me le renvoyer
au plus tard le 30 juin 2011.
Ce tableau devra être accompagné d’un bref commentaire sur l’évolution des finances de chaque commune depuis le
versement de la subvention. Dans le cas d’un plan pluriannuel de redressement, vous expliquerez dans quelle mesure les
objectifs du plan ont pu être respectés par la commune et le cas échéant les raisons de son échec.
Pour toute autre question, vous pouvez contacter le bureau des budgets locaux et de l’analyse financière au 01 49 27 47 26
ou par messagerie informatique à l’adresse suivante : [email protected].
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
É. Jalon
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 3/89 – Page BP 2011 : 100 K€
Section de fonct. : – 70 K€
Section d’inv. :
– 30 K€
Commune
Nombre d’habitants
TEST
(5 500 hab.)
Montant
du dernier déficit
connu (en K€)
Montant
du dernier déficit
connu (en K€)
Commune
Département :
Origines
des difficultés
de la commune
(garanties
d’emprunts, SEM,
endettement…)
Réseau d’alerte
Montant estimé
de la subvention
nécessaire (en K€)
Intervenant
ayant sollicité
la subvention
(maire, député,
sénateur…)
connaissant de graves difficultés financières
Saisine au titre du
L. 1612-5 :
– déficit réévalué (130 K€)
– hausse de la
fiscalité (+ 50 K€),
baisse des investissements (– 30 K€)
– déficit incompressible : 50 K€
Orientations
de l’avis
(le cas échéant)
Fondement
de la saisine
de la CRC
Endettement élevé (financement d’un lotissement)
Origines
des difficultés
de la commune
(garanties
d’emprunts, SEM,
endettement…)
Réseau d’alerte
50 K€
Montant estimé
de la subvention
nécessaire (en K€)
Jean-Pierre Dupondt
(député-maire de
TEST)
Intervenant
ayant sollicité
la subvention
(maire, député,
sénateur…)
Exemples du type d’information recherché pour chaque colonne
Orientations
de l’avis
(le cas échéant)
Fondement
de la saisine
de la CRC
Commune(s)
anne x e I
– demandes de
subventions en 2005
et 2007
– 2005 (L. 2335-2) : 50 K€
Subventions
déjà versées en K€
(L. 2335-2, FNPTP
part résiduelle)
Ancienneté
du dossier
Subventions
déjà versées en K€
(L. 2335-2, FNPTP
part résiduelle)
Ancienneté
du dossier
Autres
observations
Autres
observations
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 3/89 – Page TEST
(5 500 hab.)
Commune
Commune
Département :
L. 2335-2 2003 : 15 K€ 2004 : 15 K€ 2005 : 12 K€ Montant
de la subvention obtenue
chaque année (en K€)
(L. 2335-2, FNPTP part
résiduelle)
Situation en 2011 :
BP 2011
CA 2010
Saisine de la CRC
Orientations de l’avis
Construction d’un parking :
dépense obligatoire. Important volume de dépenses engagées non mandatées
Origines
des difficultés
de la commune
et montant du déficit
lors du versement
de la subvention
BP 2011 :
Équilibre
Situation en 2011 :
BP 2011
CA 2010
Pas de saisine CRC depuis 2005 (fin du plan de redressement)
Saisine de la CRC
Orientations de l’avis
du type d’information recherché pour chaque colonne
Origines
des difficultés
de la commune
et montant du déficit
lors du versement
de la subvention
Situation financière
délicate
Appréciation
du redressement
de la commune
Appréciation
du redressement
de la commune
des communes ayant bénéficié d’une subvention exceptionnelle d’équilibre
Exemples
Montant
de la subvention obtenue
chaque année (en K€)
(L. 2335-2, FNPTP part
résiduelle)
Suivi
anne x e I I
Frein à l’investissement
Autres observations
Autres observations
ministère de l’intérieur,
de l’outre-mer,
_____
_____
_____
Bureau des budgets locaux
et de l’analyse financière
_____
Circulaire du 21 février 2011 relative au recensement pour le remboursement
par l’État de l’indemnité aux régisseurs des polices municipales
NOR : IOCB1102536C
Résumé : circulaire relative au recensement pour le remboursement par l’État de l’indemnité aux régisseurs des polices
municipales ; suite du contentieux « régies de recettes » (Conseil d’État du 22 octobre 2010, ministère de l’intérieur
swc/commune de Versailles et Conseil d’État du 22 octobre 2010, commune de Strasbourg) – Recensement de données.
Pièce jointe : une annexe.
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole et DOM).
I. – Remboursement par l’État de l’indemnisation aux rÉgisseurs de police municipale
L’article 102 de la loi de finances rectificative pour 2004 prévoit que les communes et groupements de communes auprès
desquels le préfet a créé une régie de recettes, pour percevoir le produit des contraventions au code de la route dressées par
les agents des polices municipales et par les gardes-champêtres, sont tenus de verser, au nom et pour le compte de l’État,
une indemnité de responsabilité aux régisseurs des polices municipales, destinée notamment à compenser leurs charges de
cautionnement et d’assurance éventuelle.
Ce versement fait l’objet d’un remboursement par l’État dans des conditions fixées par voie réglementaire. L’arrêté
du 17 juin 2005 publié au Journal officiel du 14 juillet 2005 fixe les conditions de ce remboursement.
Il est prévu en gestion que les préfectures, qui effectuent déjà le recensement des régies, procèdent à la liquidation
et au versement du remboursement des indemnités sur la base de la délégation d’une enveloppe départementale par
l’administration centrale.
La présente circulaire s’applique au remboursement versé par l’État en 2011 sur la base des indemnités dues au titre de
l’exercice 2010.
Afin de procéder le plus rapidement possible à ce versement du remboursement en 2011, cette circulaire vous indique
les modalités du dispositif prévu (A) ainsi que les instructions relatives au recensement des données par vos soins qui peut
être effectué sans délai (B).
A. – Le
dispositif prévu
Le remboursement revenant à chaque commune ou groupement de communes au titre d’une année est calculé, pour
chaque régisseur, dans les conditions fixées par l’arrêté du 3 septembre 2001 (joint en annexe de la présente circulaire).
Ces indemnités sont déterminées selon un barème fixé en fonction du montant moyen des recettes encaissées mensuellement
par la régie.
Il est rappelé que le montant de l’indemnité est fixé à 110 € lorsque le montant moyen des recettes encaissées
mensuellement par la régie est nul. Il y a en effet lieu de considérer dans cette situation que le service reste offert. Il
conviendra toutefois, lorsque aucun montant n’est encaissé sur une période supra annuelle, de s’interroger sur la possible
dissolution de la régie.
En cas de pluralité de régies au sein d’une même commune ou d’un même groupement de communes, le remboursement
correspond à la somme des montants dus à chaque régisseur.
En cas de changement de régisseur, le remboursement tient uniquement compte de la date de nomination du premier
régisseur. En effet, le remboursement est effectué par l’État au profit de la commune. Le changement de régisseur est donc
sans effet sur le montant de l’indemnité revenant à la commune.
Lorsque la nomination du régisseur intervient en cours d’année, le montant du remboursement est proratisé en fonction
de sa date de nomination.
Exemple : pour un régisseur nommé le 1er avril 2009 (91e jour de l’année), le remboursement versé à la commune au
titre de 2009 est calculé en appliquant au montant annuel de l’indemnité (déterminé en fonction du montant moyen des
recettes mensuelles encaissées par la régie), le rapport suivant : (365 – 90) soit 75,34 % (le pourcentage doit être arrondi à
365
la deuxième décimale).
Si la régie encaisse un montant moyen des recettes mensuelles de 2 500 €, le barème annexé à la présente circulaire fixe
le montant de l’indemnité à 110 €.
Ce montant sera repris afin de déterminer le montant du remboursement revenant à la commune au titre de 2009. Il sera
toutefois, dans notre exemple, proratisé afin de tenir compte de la date de nomination.
Le montant de ce remboursement au titre 2010 (versé en 2011) est donc calculé comme suit :
110 € × 75,34 % soit 82,87 €
La commune percevra les années suivantes un montant de 110 € si les recettes encaissées mensuellement restent
inférieures à 3 000 €.
B. – Informations
demandées
Vous voudrez bien en conséquence indiquer pour chaque commune disposant d’une régie les informations demandées
dans le tableau ci-après. Il conviendra en particulier de faire figurer dans le dernier cadre le prorata utilisé lorsque la
nomination du régisseur est intervenue au cours de l’année 2010.
La préfecture doit pour ce faire obtenir des communes concernées le montant moyen des recettes encaissées mensuellement
par la régie. La date de nomination du premier régisseur est utilement reprise de l’arrêté de nomination de ce régisseur pris
par le préfet. Ces informations doivent être détaillées par régie lorsqu’une commune a créé plusieurs régies.
Il appartient à la préfecture de procéder à la centralisation des informations et à l’envoi du tableau ci-après indiquant,
pour chaque commune ou groupement de communes, le nombre de régisseurs titulaires, la date de nomination du ou
des régisseurs titulaires, le montant moyen des recettes encaissées mensuellement par la ou les régies, et le montant du
remboursement correspondant.
Les informations adressées directement à la direction générale des collectivités locales par les communes ou groupements
de communes ne seront en aucun cas prises en compte, ni même réacheminées vers les préfectures.
Par ailleurs, toute réclamation portant sur les montants de crédits délégués en 2010 devra être jointe au tableau, afin que
mes services puissent procéder à un réexamen et à une éventuelle rectification en 2011.
Enfin, j’attire votre attention sur la nécessité de mandater rapidement les remboursements aux communes et aux
groupements de communes concernés, afin de respecter la date de fin de gestion des crédits.
Nom
de la commune
Nombre de régisseurs
titulaires
Date de nomination
de chaque régisseur titulaire
Montant moyen des recettes
encaissées mensuellement
par la ou les régies
Montant
du remboursement
TOTAL
Je vous indique que l’ensemble des informations demandées devra être adressé au plus tard le 30 avril 2011 (délai de
rigueur) directement à la direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action
économique, bureau des budgets locaux et de l’analyse financière, place Beauvau, 75800 Paris Cedex 08.
Pour permettre un recensement optimal, je vous demande de nous envoyer en parallèle sous format Excel ce tableau à
l’adresse électronique suivante : [email protected].
Toute difficulté dans l’application de cette circulaire devra être signalée par téléphone au secrétariat du bureau des
budgets locaux et de l’analyse financière au 01 49 27 36 03.
II. – Recensement de donnÉes dans le cadre du contentieux « rÉgies de recettes »
La circulaire du 3 mai 2002 avait institué l’obligation pour les communes de disposer d’une régie de recettes d’État pour
encaisser les amendes de la police de la circulation. À ce titre, environ 3 300 régies ont été créées.
Dans une décision du 22 octobre 2010, le Conseil d’État a jugé qu’une telle obligation ne peut résulter que d’une
disposition législative, en vertu de l’article L. 1611‑1 du code général des collectivités territoriales, et a, de ce fait, condamné
l’État à indemniser la commune requérante.
Il est à présent nécessaire d’évaluer avec précision les conséquences de cette jurisprudence et les voies et moyens d’un
règlement législatif de cette question.
Compte tenu du calendrier des négociations budgétaires, et afin de connaître précisément le niveau des crédits budgétaires
à solliciter, nous vous remercions de bien vouloir nous faire parvenir, avant le 25 février 2011, par courriel à l’adresse :
[email protected], les données ci-dessous :
– liste des communes ou des groupements de communes disposant d’une régie municipale ou intercommunale ;
– indiquer, pour chacune d’elles :
– le nombre d’amendes émises par les services de police municipale dont relève la régie pour chacune des années 2007,
2008, 2009 et 2010 ;
– le nombre d’amendes recouvrées par la régie pour chacune des années 2007, 2008, 2009 et 2010.
La restitution prendra la forme suivante :
Département de …
Année
2007
2008
2009
2010
Régie
Amendes
émises
Amendes
recouvrées
Amendes
émises
Amendes
recouvrées
Amendes
émises
Amendes
recouvrées
Amendes
émises
Amendes
recouvrées
Régie XX
Régie XX
Régie …
Total
É. Jalon
de l’outre-mer,
_____
Ministère chargé
_____
_____
_____
Bureau des concours
financiers de l’État
_____
Circulaire du 7 février 2011 relative à la dotation d’équipement
des territoires ruraux (DETR) – Exercice 2011
NOR : COTB1103607C
Références :
Loi no 2010‑1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011 (art. 179) ;
Code général des collectivités territoriales (nouveaux art. L. 2334‑32 à L. 2334‑39).
Pièces jointes :
1 liste des communes éligibles ;
1 liste des EPCI éligibles ;
1 fiche portant le montant de l’enveloppe départementale ;
1 avis du Conseil d’État du 28 juin 1988.
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets (métropole, départements d’outremer, Saint-Pierre-et-Miquelon) ; secrétariat général.
– Présentation de la nouvelle Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR), créée par l’article 179 de la loi de
finances pour 2011, et de ses modalités de gestion et d’attribution.
– Communication aux préfectures de la liste des communes et des EPCI éligibles à la DETR en 2011, par application
du nouvel article L. 2334‑33 du code général des collectivités territoriales.
– Notification aux préfectures du montant des enveloppes départementales au titre de l’année 2011 par application du
nouvel article L. 2334‑35 du CGCT.
– Recensement des données relatives au bilan de l’année 2010.
La Dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) a été créée par l’article 179 de la loi no 2010‑1657 de finances
pour 2011 et résulte de la fusion de la Dotation globale d’équipement (DGE) des communes et de la Dotation de
développement rural (DDR).
La répartition de la DETR pour 2011 commencera prochainement avec la réunion des commissions départementales d’élus
chargées de déterminer les catégories d’opérations prioritaires, si elle ne s’est pas déjà réunie dans votre département.
Dans cette perspective, la présente circulaire vous communique la liste des communes et des EPCI éligibles à la DETR
en 2011.
Je vous invite dès réception de la présente circulaire à lancer les appels à projets.
Vous trouverez également ci-joint le montant de l’enveloppe départementale calculée selon les nouvelles modalités
de calcul de la DETR. La mise à disposition des AE attribuées à votre département au titre de 2011 vous parviendra
prochainement.
I. – Communes et EPCI éligibles en 2011
A. – Éligibilité
des communes à la DETR
En application de l’article L. 2334‑33 du CGCT, les communes répondant à certaines conditions démographiques et de
richesse fiscale peuvent bénéficier de la DETR.
Sont donc éligibles à cette dotation, en 2011, les communes remplissant les conditions suivantes :
– celles dont la population n’excède pas 2 000 habitants dans les départements de métropole et 3 500 habitants dans les
départements d’outre-mer ;
– celles dont la population est supérieure à 2 000 habitants dans les départements de métropole (3 500 habitants dans
les départements d’outre-mer) et n’excède pas 20 000 habitants dans les départements de métropole (35 000 habitants
dans les départements d’outre-mer) et dont le potentiel financier moyen est inférieur à 1,3 fois le potentiel financier
moyen de l’ensemble des communes des départements de métropole et d’outre-mer dont la population est supérieure
à 2 000 habitants et n’excède pas 20 000 habitants.
Concernant les critères de population, la population à prendre en compte est la population DGF, définie à l’article L. 2334‑2
du code général des collectivités territoriales.
Je vous précise que les données servant à la détermination des communes éligibles s’apprécient au 1er janvier de l’année
précédant l’année au cours de laquelle est faite la répartition, soit, pour cette année, au 1er janvier 2010.
Le potentiel financier moyen des communes des départements de métropole et d’outre-mer de 2 001 à 20 000 habitants,
pris en compte pour la DETR 2011, s’élève à 894,688 237 € par habitant. Le seuil au-delà duquel une commune de 2 001 à
20 000 habitants (3 501 à 35 000 dans les DOM) n’est plus éligible à la dotation en 2011 est donc de 1 163,094 709 € (soit
1,3 × 894,688 237 €).
Vous trouverez ci-joint, en annexe à la présente circulaire, la liste des communes de votre département éligibles en 2011.
Cette liste est également disponible :
– sur le site intranet de la DGCL sous la rubrique « Finances locales » puis « Dotation » puis « DETR » ;
– sur le site internet de la DGCL (http ://www.dgcl.interieur.gouv.fr) sous la rubrique « Finances locales » puis « Recettes
des collectivités locales » puis « Dotations ».
B. – Éligibilité
à la DETR des EPCI à fiscalité propre et des syndicats mixtes
Les EPCI à fiscalité propre
En application de l’article L. 2334‑33 du CGCT, les groupements de communes à fiscalité propre répondant à certaines
conditions démographiques et de richesse fiscale peuvent bénéficier de la DETR.
Ne sont éligibles à cette dotation en 2011, que les groupements de communes à fiscalité propre remplissant les conditions
suivantes :
– dont la population n’excède pas 20 000 habitants dans les départements de métropole et 35 000 habitants dans les
départements d’outre-mer ;
– dont la population est supérieure à 20 000 habitants dans les départements de métropole et 35 000 habitants dans les
départements d’outre-mer et n’excède pas 60 000 habitants, et dont :
1) soit toutes les communes répondent aux critères d’éligibilité des communes précisés ci-dessus au A ;
2) soit le potentiel fiscal moyen de l’EPCI est inférieur à 1,3 fois le potentiel fiscal moyen de l’ensemble des établissements
publics de coopération intercommunale à fiscalité propre de même catégorie et dont toutes les communes ont une population
inférieure à 15 000 habitants.
Concernant les critères de population, la population à prendre en compte est la population DGF, définie à l’article L. 2334‑2
du code général des collectivités territoriales.
Je vous précise que les données prises en compte pour déterminer l’éligibilité des établissements publics de coopération
intercommunale (EPCI) s’apprécient au 1er janvier de l’année précédant l’année au cours de laquelle est faite la répartition,
soit, pour cette année, au 1er janvier 2010.
Vous trouverez ci-joint, en annexe à la présente circulaire, la liste des EPCI à fiscalité propre éligibles en 2011. Cette
liste est également disponible :
– sur le site intranet de la DGCL sous la rubrique « Finances locales » puis « Dotation » puis « DETR » ;
– sur le site internet de la DGCL (http ://www.dgcl.interieur.gouv.fr) sous la rubrique « Finances locales » puis « Recettes
des collectivités locales » puis « Dotations ».
Les groupements concernés sont des communautés de communes à fiscalité « 4 taxes » et à TPU (taxe professionnelle
unique). Le seuil au-delà duquel un EPCI répondant au critère précité n’est plus éligible à la dotation en 2011 est de
134,989 030 € (1,3 × 103,837 715 €) pour la catégorie des communautés de communes « 4 taxes », et 297,869 168 €
(1,3 × 229,130 130 €) pour celle à TPU (1).
() La détermination de l’éligibilité à la DETR au titre de l’année 2011 étant effectuée sur la base des données 2010, il est encore fait référence à la
notion de taxe professionnelle et non à la notion de fiscalité professionnelle.
Les syndicats mixtes composés uniquement d’EPCI éligibles à la DETR
Je vous rappelle qu’en application de l’article 179 de la loi de finances pour 2011, les établissements publics de
coopération intercommunale sans fiscalité propre et les syndicats mixtes composés uniquement d’EPCI, éligibles à la DGE
des communes ou à la DDR en 2010, restent également éligibles à la DETR en 2011 et en 2012.
Il vous appartient de déterminer la liste des syndicats mixtes éligibles à la DETR en 2011.
II. – Règles de calcul des enveloppes départementales de la DETR
En application de l’article L. 2334‑32 du code général des collectivités territoriales, tel que prévu par l’article 179 de la
loi de finances pour 2011, le montant de la DETR est fixé à 615 689 257 € pour 2011.
Vous trouverez ci-joint le montant des autorisations d’engagement attribuées à votre département pour 2011, dont la mise
à diposition sera effectuée prochainement dans Chorus.
Je vous précise que la DETR est intégrée, conformément à la loi organique no 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux
lois de finances, dans l’action no 1 « Soutien aux projets des communes et groupements de communes » de la mission
« Relations avec les collectivités territoriales », à la sous-action no 6, nommée « Dotation d’équipement des territoires
ruraux ».
Les modalités de détermination des enveloppes départementales de métropole et d’outre-mer sont fixées par
l’article L. 2334‑35 du CGCT.
Après déduction de la quote-part au profit des circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna, des communes ainsi
que des groupements de communes des collectivités d’outre-mer, de Nouvelle-Calédonie et de la collectivité territoriale
de Mayotte, les crédits de la dotation de développement rural sont répartis entre les départements de métropole et d’outremer :
1) pour 70 % du montant total de la dotation :
– à raison de 50 % en fonction de la population regroupée des établissements publics de coopération intercommunale à
fiscalité propre éligibles ;
– à raison de 50 % en fonction du rapport, pour chaque établissement public de coopération intercommunale à fiscalité
propre éligible, entre le potentiel fiscal moyen des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité
propre de sa catégorie et son potentiel fiscal moyen par habitant.
2) pour 30 % du montant total de la dotation :
– à raison de 50 % répartis en proportion du rapport entre la densité moyenne de population de l’ensemble des
départements et la densité de population du département, le rapport pris en compte étant plafonné à 10 ;
– à raison de 50 % en fonction du rapport, pour chaque commune éligible, entre le potentiel financier moyen de
l’ensemble des communes appartenant au même groupe démographique et son potentiel financier moyen.
Le montant de l’enveloppe calculée selon les critères définis aux 1) et 2) doit être au moins égal à 90 % et au plus égal
à 110 % du montant de l’enveloppe versée au département l’année précédente.
Dans le cas contraire, ce montant est soit majoré à hauteur de 90 %, soit diminué à hauteur de 110 % du montant de
l’enveloppe versée l’année précédente. En 2011, ces modalités de calcul sont basées sur la somme des crédits répartis entre
les départements en 2010 au titre de la DGE des communes et de la DDR.
III. – Catégories d’opérations éligibles à la DETR
Il revient au préfet, en lien avec la commision d’élus, de fixer la liste des opérations à subventionner.
La loi de finances précise que la DETR a pour objectif de financer la réalisation d’investissements ainsi que de projets
dans le domaine économique, social, environnemental et touristique ou favorisant le développement ou le maintien des
services publics en milieu rural.
La subvention accordée au titre de la DETR ne doit pas avoir pour effet de faire prendre en charge tout ou partie des
dépenses de fonctionnement courant regroupant principalement les frais de rémunération des personnels, les dépenses
d’entretien et de fourniture et les frais de fonctionnement divers correspondant aux compétences de la collectivité, hormis
celles accordées au titre d’une aide initiale et non renouvelable lors de la réalisation d’une opération.
À cette fin, pour les opérations d’investissement, vous pourrez vous référer aux précisions apportées à cette notion par le
Conseil d’État dans son avis du 28 juin 1988, joint en annexe.
S’agissant des autres opérations pouvant être subventionnées au titre de la DETR, vous pourrez utiliser la liste des
opérations mentionnées dans la circulaire NOR MCT/B/06/00028/C du 16 mars 2006 présentant la réforme de la DDR.
Par ailleurs, vous pourrez également prendre en compte les recommandations des Assises des territoires ruraux (ingéniérie
territoriale, maisons de santé...).
IV. – La commission consultative d’élus
Conformément aux dispositions du II de l’article 179 de la loi no 2010‑1657 de finances pour 2011, la commission
instituée par l’article L. 2334‑37 du CGCT est constituée, pour 2011, des commissions compétentes en 2010 pour la DGE
des communes et la DDR.
La composition de la commission mixte correspond donc à la réunion des commissions relatives à la DGE des communes
et à la DDR en 2010. Il n’y a donc pas à procéder à de nouvelles élections dans l’immédiat.
Dès lors, il vous appartient, dès réception de la présente circulaire, de lancer les appels à projets auprès des groupements
et communes éligibles de votre département afin qu’ils vous communiquent rapidement les projets qu’ils souhaitent voir
subventionnés. Vous pourrez ainsi programmer, si elle n’a déjà été réunie, la première réunion de la commission mixte
avant la fin du premier trimestre 2011.
Cette commission mixte fixe, pour 2011, les catégories d’opérations prioritaires. Elle fixe également des taux minima et
maxima de subvention applicables à chacune d’elles. Le projet de décret qui sera prochainement adressé au Conseil d’État
prévoit que le taux minimum est fixé à 20 %. Il n’y a pas de taux maximum, hormis l’interdiction de dépasser le plafond
de 80 % de subventions publiques figurant à l’article 10 du décret du 16 décembre 1999 qui dispose :
« Le montant de la subvention de l’État ne peut avoir pour effet de porter le montant des aides publiques directes à plus
de 80 % du montant prévisionnel de la dépense subventionnable engagée par le demandeur. »
Il est rappelé que s’agissant de la DGE des communes, les taux minimum et maximum s’établissaient à 20 % et 60 %
du montant hors taxe de la dépense subventionnable. S’agissant de la DDR, seul s’appliquait le plafonnement des aides
publiques directes tel que prévu au 3e alinéa de l’article 10 du décret du 16 décembre 1999, soit « 80 % du montant
prévisionnel de la dépense subventionnable engagée par le demandeur, sauf dispositions particulières fixées par décret pris
sur le rapport du ministre chargé du budget et du ministre intéressé ».
Je vous rappelle que la commission d’élus devra également se réunir une deuxième fois au cours de l’année 2011 pour
émettre un avis sur tous les projets retenus par vos soins et dont le montant de la subvention sera supérieur à 150 000 €.
Une circulaire ultérieure vous précisera les modalités de composition et d’organisation de la commission d’élus issue de
la réforme apportée par la loi de finances pour 2011 et mise en place à compter de 2012. Il convient en effet en premier lieu
de prendre les mesures réglementaires d’application de la loi de finances pour 2011.
V. – Subventions d’investissement de l’État non cumulables avec la DETR
L’article R-2334‑38 du CGCT prévoit que les investissements pour lesquels les communes et leurs groupements à fiscalité
propre sont susceptibles de recevoir des subventions de l’État dont la liste est fixée par voie réglementaire ne peuvent être
subventionnés au titre de la dotation d’équipement des territoires ruraux.
Dans l’attente de la parution du décret qui fixera à partir de 2012 la liste de ces investissements non cumulables avec la
DETR, je vous invite à vous référer, pour l’année 2011, à la liste annexée à l’article R. 2334‑19 du CGCT, modifiée par le
décret no 2009‑637 du 8 juin 2009, qui énumère les dotations inscrites dans les missions, programmes et actions mentionnés
non cumulables avec l’ex-DGE des communes.
VI. – Modalités d’attribution et de gestion des subventions
Dans l’attente du prochain décret qui fixera, à compter de 2012, les modalités d’attribution et de gestion de la DETR,
ces modalités reprendront, à titre transitoire pour 2011, celles définies pour la DGE des communes aux articles R. 2334‑22
à R. 2334‑31 du CGCT (à l’exception de l’art. R. 2334‑27). Ces modalités ont été précisées dans la circulaire du
13 octobre 2003 relative aux modalités d’attribution de la DGE des communes.
VII. – Date butoir des notifications des subventions
L’article L. 2334‑36 du CGCT prévoit que les subventions sont notifiées en totalité au cours du premier trimestre de
l’année civile.
Pour 2011, première année de mise en œuvre de la DETR, cette échéance sera difficile à tenir.
En tout état de cause, vous veillerez à ce que les subventions soient notifiées aux bénéficiaires le 15 mai 2011 au plus tard.
VIII. – Régime budgétaire et comptable de la DETR
La DETR est inscrite à l’action no 1 « Soutien aux projets des communes et groupements de communes » du programme
119 « Concours financiers aux communes et groupements de communes » de la mission « Relations avec les collectivités
territoriales », à la nouvelle sous-action no 6 « Dotation d’équipement des territoires ruraux ». Les deux sous-actions no 1
« Dotation globale d’équipement des communes » et no 2 « Dotation de développement rural » continuent, quant à elles,
à servir à l’imputation des opérations financées au titre de la DGE des communes et de la DDR antérieurement à 2011 et
non encore soldées.
1. Les délégations de crédits aux responsables d’UO déconcentrées
Les délégations de crédits seront effectuées sur l’unité opérationnelle (UO) rattachée au budget opérationnel de programme
(BOP) « Concours financiers aux communes et groupements de communes ».
a) Mise à disposition et restitution des AE et fin de gestion
La mise à disposition des AE attribuées à votre département au titre de 2011 vous parviendra prochainement.
L’engagement des AE est une obligation légale pour la DETR. Le montant de ces AE résulte directement du code général
des collectivités territoriales, sans marge de manœuvre pour l’État d’y opérer une réfaction.
Les éventuelles AE qui n’auront pas été engagées comptablement au 31 décembre de l’année de leur exercice de
rattachement seront annulées.
Si des AE vous paraissent susceptibles de ne pas être engagées avant la fin de l’année, elles devront faire l’objet de
restitutions, afin d’être affectées dans d’autres UO où les besoins dépasseraient l’enveloppe départementale d’AE. Compte
tenu des délais d’engagement, les restitutions d’AE devront être effectuées avant le 31 octobre 2011.
b) Mise à disposition des crédits de paiement (CP)
S’agissant des CP, une provision vous a été déléguée en janvier. Elle a été calculée sur la base de 50 % des crédits ouverts
en loi de finances initiale pour 2011, au titre de la DETR. Une seconde provision correspondant à 40 % des crédits ouverts
en loi de finances initiale pour 2011 au titre de la DETR vous sera déléguée à la fin du premier semestre.
Des demandes de crédits de paiement complémentaires pourront être effectuées auprès de mes services si les montants
des provisions qui ont été mises à votre disposition s’avèrent insuffisants pour répondre aux demandes de versement des
collectivités de votre département. Ces demandes devront être justifiées. Elles devront, en tout état de cause, mentionner le
montant des crédits déjà consommés, le disponible éventuel ainsi que, s’il y a lieu, le montant des dossiers en instance que
l’insuffisance des CP ne vous permettrait pas d’honorer.
Si des crédits de paiement vous semblent susceptibles de rester disponibles en fin d’année, il conviendra de les restituer
à l’administration centrale avant le 15 novembre 2011 au plus tard afin qu’ils puissent être redéployés au bénéfice d’autres
départements.
Je vous précise qu’une nouvelle délégation de CP pourra toujours être effectuée, dans la limite des crédits disponibles,
au cas où les crédits complémentaires que vous auriez demandés s’avéreraient à nouveau insuffisants.
La date limite pour me transmettre vos demandes de CP complémentaires est fixée au 15 novembre 2011.
J’attire votre attention sur la rigueur avec laquelle il convient de suivre la consommation des CP. Aucun crédit sans
emploi ne doit être rendu en fin d’année.
2. Imputation comptable de la DETR
Les dépenses éligibles à la DETR peuvent correspondre à des dépenses d’investissement mais également concerner
des dépenses de fonctionnement voire de personnel. Les dépenses de fonctionnement courant peuvent être accordées
uniquement au titre d’une aide initiale et non renouvelable (cf. nouvel art. L. 2334‑36 du CGCT).
Afin de garantir la fiabilité de l’imputation budgétaire qui sera effectuée par le centre de services partagés de rattachement
de votre préfecture, nous vous invitons à préciser dans les arrêtés d’attribution de subvention :
– le montant des dépenses de l’opération subventionnée relevant des dépenses d’investissement (ces dépenses seront
imputées sur le compte PCE 6531223 § P3 correspondant aux transferts directs aux communes et établissements
publics de coopération intercommunales – Investissements) ;
– le montant des dépenses de l’opération relevant des dépenses de fonctionnement ou de personnel (ces dépenses seront
imputées sur le compte PCE 6531213 § 8J correspondant aux transferts directs aux communes et établissements
publics de coopération intercommunales – Fonctionnement ou non différenciés).
IX. – Bilan de l’année 2010
Il vous a été demandé d’établir le bilan de l’année 2010 avant le 1er février 2011.
Dans le cadre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF) du 1er août 2001, je vous rappelle que les écarts
entre les résultats obtenus et attendus pour chacun des objectifs du programme « Concours financiers aux communes et
groupements de communes », relatifs à la gestion de la DGE des communes et de la DDR antérieurement à 2011, seront
retracés dans le rapport annuel de performance (RAP) 2010.
Le bilan 2010 revêtant donc une importance particulière dans l’élaboration de ce document budgétaire, il doit être établi
par vos soins dans les meilleurs délais, directement via l’application ORIP 2 accessible par le lien suivant :
http://orip2.dgcl.mi
qui vous permettra d’accéder aux tableaux du bilan 2010 (5 tableaux respectifs pour la DGE des communes et la DDR),
une fois que vous vous serez connecté avec les identifiant et mot de passe concernant votre département qui vous ont été
communiqués dans ma lettre du 3 septembre 2009.
Je vous demande par conséquent d’accorder le plus grand soin à la restitution des deux indicateurs de performance du RAP :
– indicateur no 1 (pourcentage de projets bénéficiant d’un taux de subvention compris entre 25 % et 35 %) : vous voudrez
bien m’indiquer le nombre de projets ayant bénéficié d’un arrêté attributif de subvention en 2010 qui sont compris
dans cette fourchette ;
– indicateur no 2 (délai séparant la décision de subvention de la fin de réalisation du projet) : vous voudrez bien renseigner
la rubrique du tableau précisant, pour les opérations dont le paiement a été soldé en 2010, le nombre d’opérations
soldées ainsi que la somme du nombre de mois pour chaque opération séparant la décision attributive de subvention
(2010 ou antérieurement) et le versement du solde de paiement (2010). Il s’agit des opérations soldées en 2010, quelle
que soit la date de l’arrêté attributif de subvention (2010 ou antérieurement).
S’agissant des projets dont le délai d’achèvement a dépassé la valeur cible (moins de trois ans), je vous remercie
de m’informer, par note séparée, des raisons ayant entraîné ce retard (manque de disponibilité des crédits, retard des
collectivités territoriales dans la réalisation du projet, autres...). Ces explications seront précieuses pour l’élaboration du
bilan stratégique du prochain RAP 2010 au Parlement.
Par ailleurs, le volet « Performance » du projet annuel de performance (PAP) de la mission Relations avec les collectivités
territoriales pour 2011 décline les objectifs et indicateurs de résultats associés à la DGE des communes et à la DDR, tout
en annonçant la fusion de ces dotations en une dotation unique.
Par conséquent, avec l’adoption définitive de l’article 179 de la LFI 2011 portant création de la DETR, la mesure de la
performance du programme 119 sera effectuée, à partir de 2011, sur cette nouvelle dotation et les valeurs cibles retenues
dans le PAP 2011 pour la DGE des communes et la DDR seront transposées à la DETR :
– indicateur no 1 (pourcentage de projets bénéficiant d’un taux de subvention compris entre 25 % et 35 %) : valeur cible
fixée à 65 % de projets subventionnés dans la fourchette ;
– indicateur no 2 (délai séparant la décision de subvention de la fin de réalisation du projet) : valeur cible fixée à moins
de trois ans.
*
*
*
Pour toute difficulté dans l’application de la présente circulaire, il vous est possible de saisir la direction générale des
collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État,
tél. : 01 49 27 31 96 ou 01 49 27 32 78, email : [email protected]
É. Jalon
DOTATION D’ÉQUIPEMENT DES TERRITOIRES RURAUX
Exercice 2011
Communes éligibles à la DETR en 2011
Dép.
Code
INSEE
Nom
de la commune
éligible
Population
DGF
Potentiel financier
par hab
Éligibilité
2011
DOTATION D’ÉQUIPEMENT DES TERRITOIRES RURAUX
Exercice 2011
EPCI à fiscalité propre éligibles à la DETR en 2011
Dép.
N° Siren
Nom
du groupement
éligible
Potentiel
fiscal/
habitant
Population
DGF
Type EPCI
Seuil
d’exclusion
éligibilité
2011
MISSION RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITéS TERRITORIALES
Programme 119
Concours financiers aux communes et groupements de communes
Action no 1
Soutien aux projets des communes et groupements de communes
Sous-action no 1
Dotation d’équipement des territoires ruraux
NOTIFICATION DE L’ENVELOPPE DéPARTEMENTALE POUR 2011
DÉPARTEMENT
« DÉPARTEMENT »
MONTANT :
« Enveloppes_2011 » euros
Avis rendu par la section de l’intérieur
N° 344.326 – Mme BECHTEL, rapporteur
Séance du 28 juin 1988
Le Conseil d’État (section de l’intérieur) saisi par le ministre de l’intérieur sur la question de savoir comment doivent être
interprétées, pour l’attribution aux communes et aux départements de la première part de la dotation globale d’équipement,
les dispositions prévoyant que cette dernière est répartie au prorata des dépenses réelles « directes » d’investissement,
et, notamment, si l’on considère qu’il y a « dépense directe d’investissement » lorsque la collectivité territoriale ou
l’établissement susceptible de bénéficier de la dotation en vertu de la loi est le maître de l’ouvrage, ou bien lorsque
l’opération d’investissement porte, au moment où elle est réalisée, sur le patrimoine de cette même personne publique ou
bien encore lorsque ces deux conditions sont réunies.
Vu la loi no 82‑213 du 2 mars 1982, relative aux droits et libertés des communes, des départements et des régions, et
notamment son article 103 ;
Vu la loi no 83‑8 du 7 janvier 1983 modifiée, relative à la répartition des compétences entre les communes, les départements,
les régions et l’État, et notamment les articles 103‑2 et 106 bis ;
Vu le décret no 85‑1510 du 31 décembre 1985 modifié relatif à la dotation globale d’équipement des communes des
départements métropolitains ;
Est d’avis qu’il y a lieu de répondre à la question posée dans le sens des observations ci-après :
Les dispositions des articles 103‑2 et 106 bis de la loi du 7 janvier 1983 susvisée, qui prévoient que la première part
de la dotation globale d’équipement des communes et des départements est répartie au prorata des « dépenses réelles
directes d’investissement » ne font pas intervenir dans la définition de ces dépenses le fait que la collectivité territoriale ou
l’établissement public susceptible de bénéficier de la dotation a la qualité de maître de l’ouvrage ou celle de propriétaire.
Constituent des « dépenses directes d’investissement », au sens de ces dispositions, les dépenses qui sont imputables
à la section d’investissement du budget et qui ont pour objet de financer des investissements réalisés directement par la
collectivité territoriale ou l’établissement public concerné, à l’exclusion, d’une part, des dépenses de fonctionnement et,
d’autre part, des aides ou prêts accordés à des tiers.
Ne peuvent, en outre, être retenues que les dépenses qui portent sur des opérations entrant dans la compétence de la
collectivité territoriale ou de l’établissement public concernés.
de l’outre-mer,
_____
ministère chargé
_____
_____
_____
Bureau des concours
financiers de l’État
_____
Circulaire du 23 février 2011 relative au renouvellement des membres élus
du comité des finances locales
NOR : COTB1102611C
Pièces jointes :
Sept fiches explicatives ;
Fiches annexes à remplir et à retourner ;
Courrier et notice d’information à destination des maires ;
Courrier et notice d’information à destination des présidents d’EPCI.
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole et
outre-mer) ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ; Monsieur le hautcommissaire de la République en Polynésie française ; Monsieur le préfet, administrateur supérieur des îles
Wallis-et-Futuna ; Monsieur le préfet de la collectivité départementale de Mayotte ; Monsieur le préfet de la
collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Institué par la loi no 79‑15 du 3 janvier 1979, le comité des finances locales (CFL), dont le rôle est notamment de
contrôler la répartition des dotations de l’État, comprend des membres des assemblées parlementaires, des représentants
élus des régions et de l’assemblée de Corse, des départements, des communes et de leurs groupements, ainsi que des
représentants de l’État.
Selon les dispositions des articles L. 1211‑2 et R. 1211‑1 du code général des collectivités territoriales, les membres du
CFL sont élus pour trois ans. Le dernier renouvellement a eu lieu en 2008. Il convient dès lors de procéder, dès cette année,
au renouvellement de ses membres.
L’élection des présidents de conseils régionaux et de l’assemblée de Corse et des présidents de conseils généraux membres
du comité sera organisée directement par la direction générale des collectivités locales. Vous n’aurez pas à intervenir dans
le cadre de cette élection.
S’agissant de l’élection des maires et des présidents des établissements publics de coopération intercommunale, je me
permets de vous préciser les tâches qui vous incomberont aux différents stades du processus électoral. À ce propos, j’appelle
toute votre attention sur la nécessité d’un strict respect de la procédure, tout manquement dans ce domaine comportant
le risque d’une annulation contentieuse de l’ensemble des opérations concernant la désignation des représentants de ces
catégories d’élus. Je vous engage ainsi à veiller à l’application minutieuse des instructions contenues dans la présente
circulaire.
Les dates de dépôt des candidatures et de scrutin sont les suivantes :
– date limite de dépôt des candidatures : 15 avril 2011 à 12 heures ;
– date limite d’expression des suffrages : 6 juin 2011 à 12 heures ;
– date de scrutin (dépouillement local) : 7 juin 2011 ;
– proclamation des résultats : 15 juin 2011.
Le concours des préfectures à ces élections est requis en quatre occasions :
1. Information des maires et présidents des établissements publics de coopération intercommunale
Deux lettres d’information à l’intention d’une part des maires et d’autre part des présidents des EPCI de votre département
ou territoire sont jointes à cette circulaire. Ces documents donnent à ces élus toutes les informations utiles sur les conditions
de dépôt des listes de candidature et sur les modalités de vote. Il vous appartient d’en assurer sans délai la diffusion auprès
de l’ensemble des élus concernés. Compte tenu de la limite de dépôt des listes de candidature fixée au 15 avril 2011
à 12 heures, il est indispensable que ces documents parviennent rapidement aux élus concernés afin de leur permettre de
présenter leur candidature sans difficulté.
2. Établissement de la liste électorale des collèges des maires et des présidents d’EPCI
Il vous incombe d’établir la liste électorale du collège des maires et celle des présidents des établissements publics de
coopération intercommunale qui servira de liste d’émargement lors du scrutin du 7 juin 2011.
Vous m’adresserez copie de cette liste électorale, établie sur le modèle des annexes II à VII ci-jointes, pour le 9 mai 2011,
sous forme papier et par voie électronique, au format Excel ou Open Office.
3. Diffusion des instruments de vote
Les instruments de vote (enveloppes extérieures et bulletins de vote) vous seront expédiés le 9 mai 2011 au plus tard par
routage.
Il vous appartiendra d’adresser ces documents, ainsi que les enveloppes intérieures de couleur, aux maires et présidents
des EPCI de votre département ou territoire au plus tard le 13 mai 2011. La clôture des votes étant fixée au 6 juin 2011
à 12 heures, il est nécessaire de respecter ces délais pour permettre aux électeurs d’exprimer leur vote dans les meilleures
conditions.
4. Dépouillement des votes et transmission des résultats
Vous procéderez, selon les indications contenues dans la fiche no 6, à la constitution de la commission locale de recensement,
présidée par le préfet ou le haut-commissaire et dont le secrétariat est assuré par un fonctionnaire de la préfecture ou du
haut-commissariat. Cette commission se réunira le 7 juin 2011 pour procéder au dépouillement des votes.
Les résultats seront immédiatement transmis par télécopie (01 40 07 68 30) à la commission centrale de recensement des
votes. De même, l’un des deux exemplaires du procès verbal lui sera adressé sans délai à l’adresse suivante : commission
centrale de recensement des votes, comité des finances locales, ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités
territoriales et de l’immigration, direction générale des collectivités locales, bureau des concours financiers de l’État,
2 bis, place des Saussaies, 75800 Paris.
Toute difficulté dans l’application de la présente circulaire devra être signalée à la direction générale des collectivités
locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État, 2 bis, place
des Saussaies, 75800 Paris.
Mlle Elen Derrien
M. David Cochu
Mme Carole Puig
Tél. : 01 49 27 34 92
Tél. : 01 40 27 21 41
Tél. : 01 40 07 23 98
Rédacteur
Adjoint au chef du bureau
Chef du bureau
des concours financiers de l’État
des concours financiers de l’État
Secrétaire du CFL
Je vous remercie par avance de votre collaboration dans le renouvellement du comité des finances locales dont je n’ignore
pas la charge de travail qu’il représente pour vos services.
É. Jalon
É L E C T I O N S 2 0 1 1 AU C O M I T É D E S F I NA N C E S L O C A L E S
Fiches
explicatives
FICHE N° 1 : DISPOSITIONS GÉNÉRALES
FICHE N° 2 : LISTES ÉLECTORALES
FICHE N° 3 : LISTES ET DÉCLARATIONS DE CANDIDATURE
FICHE N° 4 : INSTRUMENTS DE VOTE
FICHE N° 5 : MODALITÉS DE VOTE
FICHE N° 6 : DÉPOUILLEMENT DES VOTES
FICHE N° 7 : RÉSULTATS DES ÉLECTIONS – RECOURS
ANNEXES : ANNEXES I À VII
FICHE No 1
Élections 2011 au comité des finances locales
TEXTES DE RÉFÉRENCE
et observations
DISPOSITIONS GÉNÉRALES
Article L. 1211-2 (1)
du code général des collectivités territoriales
Nombre et qualité des représentants élus
Article R. 1211-4
Représentants des établissements publics de coopération intercommunale
7
présidents d’établissements publics de coopération intercommunale titulaires, soit :
1
président de communauté urbaine ou de métropole ;
2
présidents de communautés de communes ayant opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C
du code général des impôts ;
2
présidents de communautés de communes n’ayant pas opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du code général des impôts ;
2
présidents de communautés d’agglomération ou de syndicat d’agglomération nouvelle.
7
présidents suppléants répondant aux mêmes qualités.
Attention !
Article R. 1211-1
Article R. 1211-5
Représentants des communes
15
maires titulaires, dont au moins :
1
maire des communes des départements d’outre-mer ;
1
maire des communes des collectivités d’outre-mer et de la Nouvelle-Calédonie ;
1
maire de commune touristique ou thermale inscrite sur la liste prévue à l’article L. 234-13 du code
des communes dans sa rédaction antérieure à la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant
réforme de la dotation globale de fonctionnement et modifiant le code des communes et le code
général des impôts ;
3
maires de communes de moins de 2 000 habitants ;
1
maire de commune située en zone de montagne ;
1
maire de commune située en zone littorale.
15
maires suppléants répondant aux mêmes qualités.
Article L. 1211-2
Article R. 1211-1
Suppléants
Article L. 1211-2
Article R. 1211-1
Sont élus conjointement :
– autant de suppléants que de titulaires ;
– chaque suppléant doit avoir la même qualité que le titulaire correspondant.
Article R. 1211-18
Prise en charge des frais
Les frais d’élection sont supportés par le comité des finances locales pour l’impression des enveloppes extérieures de vote et des bulletins de vote.
(1) L’article L. 1211-2 a été modifié par l’article 79 de la loi de réforme des collectivités territoriales du 17 décembre 2010. En application de l’article 82
de la même loi, le nouvel article L. 1211-2 entre en vigueur lors du renouvellement du CFL.
FICHE No 2
et observations
LISTES ÉLECTORALES
Électeurs
Sont électeurs :
Article L. 1211-2 (1)
Pour le collège des présidents des établissements publics de coopération intercommunale, les présidents des :
Article R. 1211-4
– communautés urbaines et métropoles ;
– communautés de communes ayant opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du code général des impôts ;
– communautés de communes n’ayant pas opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du code général des impôts ;
Attention !
– communautés d’agglomération ;
– syndicats d’agglomération nouvelle.
Pour le collège des maires, les maires.
Article R. 1211-5
Préparation des listes électorales
Constitution par les préfectures de deux listes électorales (chacune en double exemplaire) pour les deux collèges formés par les
deux catégories d’électeurs (voir modèles joints en annexe) :
PRÉFECTURE
– collège des maires ;
– collège des présidents d’établissements publics de coopération intercommunale.
À COMMUNIQUER À LA DGCL
Ces listes seront tenues à jour jusqu’à la date d’envoi des bulletins de vote.
AVANT LE 9 MAI 2011
NB : le vote se fait par collège, par conséquent :
– un électeur peut voter dans deux collèges.
Tout électeur qui cumule les qualités de maire et de président d’EPCI doit être inscrit sur les deux listes
électorales.
IMPORTANT
– dans un collège, un électeur ne dispose que d’une seule voix.
Dans le cas des présidents de groupements en alternance, est électeur celui qui est président au moment
de la clôture des listes électorales.
IMPORTANT
Communication des listes électorales
Les listes peuvent être communiquées aux représentants des listes de candidats qui en feront la demande
et aux maires ou présidents d’établissements publics de coopération intercommunale.
La consultation a lieu à la préfecture.
de la même loi, le nouvel article L. 1211-2 entre en vigueur lors du renouvellement du CFL. En conséquence, l’article R. 1211-4 sera également modifié
par décret.
FICHE No 3
LISTES ET DÉCLARATIONS DE CANDIDATURE
(maires et présidents d’EPCI)
et observations
Conditions d’éligibilité
– être électeur au titre du collège pour lequel la candidature est présentée ;
– être candidat au titre d’un seul collège :
Un électeur cumulant les qualités de maire et de président vote au titre de chacune de ses qualités, mais ne peut être
candidat que dans un seul collège.
Composition des listes de candidature
Assurée par l’Association
des maires de France
et vérifiée par le
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Collège des présidents des EPCI :
7 titulaires :
1 président de communauté urbaine ou de métropole ;
2 présidents de communautés de communes ayant opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du code général
des impôts ;
Article R. 1211-4 (1)
2 présidents de communautés de communes n’ayant pas opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du code
2 présidents de communautés d’agglomération ou de syndicat d’agglomération nouvelle.
7 suppléants, présidents d’EPCI de même nature.
Article L. 1211-2
Article R. 1211-1
Collège des maires :
Article R. 1211-5
15 maires titulaires, dont au moins :
1 maire des départements d’outre-mer ;
1 maire des collectivités d’outre-mer et de la Nouvelle-Calédonie ;
1 maire de commune touristique ou thermale inscrite sur la liste prévue à l’article L. 234-13 du code des communes dans sa
rédaction antérieure à la loi no 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement et
modifiant le code des communes et le code général des impôts ;
3 maires de communes de moins de 2 000 habitants ;
1 maire de commune située en zone de montagne ;
1 maire de commune située en zone littorale.
Article L. 1211-2
Article R. 1211-1
15 maires suppléants désignés dans les mêmes conditions que les titulaires.
Déclaration individuelle de candidature
– à établir par chaque titulaire et chaque suppléant ;
Association
des maires de France
– mentionnant :
– nom – prénoms ;
– qualité ;
– date de naissance ;
– fonction et lieu d’exercice ;
– signée par le candidat.
Dépôt des listes de candidature
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Lieu : ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique, bureau des concours financiers de l’État,
2 bis, place des Saussaies, 75800 Paris.
LISTES ET DÉCLARATIONS DE CANDIDATURE
(maires et présidents d’EPCI)
et observations
Il sera délivré un accusé de réception (portée limitée au constat du dépôt).
Article R. 1211-11
Date limite : 15 avril 2011 à 12 heures.
IMPORTANT
Cas d’irrecevabilité des listes de candidature
– les candidatures isolées ne sont pas autorisées. Une liste complète, répondant aux conditions exposées dans la fiche no 1,
peut donc seule être présentée (R. 1211-4 et R. 1211-5) ;
– nombre insuffisant ou supérieur de candidats ;
– composition non conforme ;
– dépôt postérieur à la date fixée.
Les listes complètes sont déposées au ministère de l’Intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration.
Vérification des listes par la DGCL.
En cas de démission, de décès ou d’inéligibilité d’un candidat titulaire survenu après la date limite de dépôt, remplacement
par son suppléant.
Publicité donnée aux listes de candidature
Transmission des listes aux préfectures, avec possibilité de consultation des listes en préfecture.
de la même loi, le nouvel article L. 1211-2 entre en vigueur lors du renouvellement du CFL. En conséquence, l’article R. 1211-4 sera également
modifié par décret.
FICHE No 4
INSTRUMENTS DE VOTE
TEXTES DE RÉFÉRENCE ET OBSERVATIONS
Bulletins de vote (fournis pas la DGCL)
– format 14,8 x 21 cm ;
– papier blanc – graphisme noir ;
– impression par la DGCL ;
– texte reproduisant les listes de candidature ;
– recto verso.
Article R. 1211-12
Enveloppes
Vote sous double enveloppe :
– enveloppe intérieure : celle habituellement utilisée pour les élections générales (bleue), fournie
par les préfectures ;
– enveloppe extérieure (fournie par la DGCL).
PRÉFECTURE
DGCL
Mentions portées :
– au recto :
« Élection des membres du comité des finances locales » ;
« Collège des présidents des établissements publics de coopération intercommunale » ou « Collège
des maires » ;
Adresse de la préfecture.
INSTRUMENTS DE VOTE
– Au verso :
Communes, établissement public de coopération intercommunale représenté ;
nom – prénom
qualité
signature
}
de l’électeur.
L’électeur raye les mentions qui ne concernent pas son vote, remplit et signe le verso.
Des enveloppes extérieures non imprimées peuvent être utilisées par les électeurs sous réserve
qu’ils y portent (manuscrites ou dactylographiées) les mentions ci-dessus.
Transmission aux électeurs
Envoi par les préfectures des :
– bulletins de vote ;
PRÉFECTURE
– enveloppes intérieures ;
– enveloppes extérieures.
Date de transmission aux électeurs
PRÉFECTURE
Dès la réception des enveloppes extérieures et des bulletins de vote.
AVANT LE 13 MAI 2011
Les instruments de vote seront adressés au bureau des élections de la préfecture.
IMPORTANT
Date de transmission : du 9 au 13 mai 2011.
FICHE No 5
modalités de vote
Nature du scrutin
Articles R. 1211-4 et R. 1211-5
L’élection a lieu au scrutin majoritaire de liste à un tour.
Vote
Le vote est personnel, c’est-à-dire émis par l’électeur qui a qualité au moment du scrutin.
Il ne peut donner lieu à délégation à un adjoint, vice-président ou membre du conseil municipal
ou syndical.
Mode
Vote par correspondance :
– sous double enveloppe ;
– en recommandé ;
Articles R. 1211-9 et R. 1211-12
– adressé à la préfecture.
Dépôt à la préfecture contre récépissé.
DOM-COM et Nouvelle-Calédonie : dépôt possible des bulletins de vote dans leurs deux enveloppes.
modalités de vote
Date d’envoi par l’électeur
Date limite d’envoi des plis recommandés (ou de dépôt) : le 6 juin 2011 à 12 heures.
FICHE No 6
DÉPOUILLEMENT DES VOTES
Date de dépouillement des votes : le 7 juin 2011.
PRÉFECTURE
Organe
– commission locale de recensement :
Article R. 1211-9
– siège : préfectures ou hauts-commissariats ;
– compétence : dépouillement des votes des deux collèges ;
COMMISSION LOCALE
– composition : président : préfet ou haut-commissaire (ou leur représentant) ;
– membres : 2 maires désignés par le préfet ou le haut-commissaire ;
PRÉFECTURE
– secrétaire : 1 fonctionnaire de préfecture ou du haut-commissariat.
Cas particulier pour le département de Paris :
La commission ne peut être mise en place à Paris puisque seul le maire de Paris pourrait être
désigné.
En conséquence, une seule commission locale de recensement des votes sera instaurée pour les
départements de Paris et des Hauts-de-Seine.
– commission centrale de recensement :
Article R. 1211-10
– siège : ministère de l’intérieur ;
– compétence : centralisation des résultats et proclamation des listes élues ;
– composition : président : 1 conseiller d’État ;
– membres : 1 représentant du ministre de l’intérieur ;
3 représentants des associations nationales d’élus locaux désignés par le ministre
de l’intérieur.
Processus de dépouillement
– recensement des enveloppes extérieures reçues ;
Article R. 1211-12
– collationnement sur les deux exemplaires de la liste électorale de chaque collège des noms et
qualités figurant sur les enveloppes ;
PRÉFECTURE
(COMMISSION LOCALE)
– élimination et décompte des enveloppes extérieures contenant aucune ou plusieurs enveloppes
intérieures (vote nul) ;
– introduction dans l’urne de l’enveloppe intérieure dont l’enveloppe extérieure est validée.
Décompte des bulletins
Cas de nullité :
– cas prévus par la jurisprudence ou les textes généraux en matière d’élection, notamment :
Articles R. 1211-4 et 5
– suppression ou adjonction de noms ;
– présence de plusieurs bulletins différents dans une enveloppe ou absence de tout bulletin.
DÉPOUILLEMENT DES VOTES
Procès-verbaux
Consignation des résultats sur un procès-verbal du modèle joint en annexe, établi en double exemplaire.
Transmission des procès-verbaux
– date : au plus tard le 7 juin 2011 ;
– pièces annexées au PV : bulletins blancs et nuls dans leurs enveloppes intérieures ;
– adresse : commission centrale de recensement des votes, ministère de l’intérieur, de l’outre-mer,
des collectivités territoriales et de l’immigration – DGCL, bureau des concours financiers de l’État,
2 bis, place des Saussaies, 75800 Paris ;
– double du procès-verbal transmis par fax, dès clôture des opérations (le 7 juin 2011),
au 01 40 07 68 30.
Procès-verbaux
Cas des DOM, des COM et de la Nouvelle-Calédonie.
Résultats transmis par fax et présentés sous forme de PV, confirmés par transmission des PV avec
pièces annexées par courrier avion, hors valise.
Listes électorales collationnées
Un exemplaire des listes électorales de chacun des collèges (maires et présidents des EPCI) sera
adressé à la commission centrale de recensement pour le 9 mai 2011 au plus tard. L’autre sera
conservé en préfecture.
PRÉFECTURE
Les exemplaires émargés (celui de la liste du collège des maires et celui du collège des présidents
des EPCI) seront provisoirement conservés à la préfecture ou au haut-commissariat, et pourront
être expédiés sur demande de la DGCL en cas de recours devant le Conseil d’État.
FICHE No 7
RÉSULTATS DES ÉLECTIONS – RECOURS
Attribution des sièges
– compétence : commission centrale de recensement des votes ;
Article R. 1211-10
– moyens : centralisation des PV locaux ;
– méthode : scrutin majoritaire de liste à un tour : la liste élue est celle qui a le nombre le plus
élevé de suffrages.
Cas d’égalité de suffrages : élection de la liste présentant la moyenne d’âge des candidats titulaires
la plus élevée.
Article R. 1211-6
Proclamation des résultats
– date : 15 juin 2011 ;
– compétence : commission centrale de recensement des votes ;
– rappel : pas de proclamation locale de résultats.
Publication au Journal officiel.
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 6/89 – Page 10
RÉSULTATS DES ÉLECTIONS – RECOURS
Recours
Ouvert :
– aux électeurs ;
– aux candidats ;
Article R. 1211-15
– au ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration.
Juridiction compétente : Conseil d’État.
Délai : dix jours suivant la publication au Journal officiel de la République française.
ANNEXES
Élections 2011
au comité des finances locales
ANNEXE I. Liste des maires.
ANNEXE II. Liste des présidents de communautés urbaines et de métropoles.
ANNEXE III.Liste des présidents de communautés de communes ayant opté pour le régime fiscal de l’article 1609
nonies C du code général des impôts.
ANNEXE IV.Liste des présidents de communautés de communes n’ayant pas opté pour le régime fiscal de
l’article 1609 nonies C du code général des impôts.
ANNEXE V. Liste des présidents de communautés d’agglomération.
ANNEXE VI. Liste des présidents de syndicats d’agglomération nouvelle.
Copie des annexes I à VI à retourner dûment remplie pour le 9 mai 2011
ANNEXEVII. Modèle du procès-verbal.
ANNEXE I
Élections 2011
Collège des maires
DÉPARTEMENT DE
(Territoire de)
No INSEE D’IDENTIFICATION
ou siret ou siren
NOM DE LA COMMUNE
et adresse
NOM DU MAIRE
PRÉNOMS
du maire
AUTRES MANDATS
du maire
ANNEXE II
Élections 2011
Liste des présidents de communautés urbaines et de métropoles
DÉPARTEMENT DE
(Territoire de)
ou siret ou siren
nom
de la communauté
urbaine
nom
du président
siÈge et adresse
prÉnoms
du président
autres mandats
du président
ANNEXE III
Élections 2011
Liste des présidents de communautés de communes ayant opté pour le régime fiscal
de l’article 1609 nonies C du code général des impôts
DÉPARTEMENT DE
(Territoire de)
ou siret ou siren
nom
de la communauté
de communes
siÈge et adresse
nom
du président
prÉnoms
du président
autres mandats
du président
ANNEXE IV
Élections 2011
Liste des présidents de communautés de communes n’ayant pas opté pour le régime fiscal
de l’article 1609 nonies C du code général des impôts
DÉPARTEMENT DE
(Territoire de)
ou siret ou siren
nom
de la communauté
de communes
nom
du président
siÈge et adresse
prÉnoms
du président
autres mandats
du président
ANNEXE v
Élections 2011
Liste des présidents de communautés d’agglomération
DÉPARTEMENT DE
(Territoire de)
ou siret ou siren
nom
de la communauté
d’agglomération
nom
du président
siÈge et adresse
prÉnoms
du président
autres mandats
du président
ANNEXE VI
Élections 2011
Liste des présidents de syndicats d’agglomération nouvelle
DÉPARTEMENT DE
(Territoire de)
ou siret ou siren
nom du syndicat
d’agglomération
nouvelle
siÈge et adresse
nom
du président
prÉnoms
du président
autres mandats
du président
COPIE DE CES FICHES À RETOURNER DûMENT REMPLIE POUR LE 9 MAI 2011
AU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
ET DE L’IMMIGRATION
Direction générale des collectivités locales, sous-direction des finances locales et de l’action économique,
bureau des concours financiers de l’État,
à l’attention de Mlle Elen Derrien.
ANNEXE VII
Élections 2011
PRÉFECTURE DE
(Haut-commissariat de)
COLLÈGE DES (1)..............................................................................................................................................................
PrOCÉS-VERBAL DE L’ÉLECTION DU.................................... DES REPRÉSENTANTS DES (1).............................
..............................................................................................................................................................................................
L’an 2011, le............................................................., en exécution des articles R. 1211‑1 à R. 1211‑18 du code général
des collectivités territoriales, fixant les modalités de désignation des membres élus du comité des finances locales, s’est
réunie la commission de recensement des votes de (2)...........................................................................................................
..................................................................................................................................................................................................
La commission de recensement (3) : – de la préfecture de...............................................................................................
– du haut-commissariat de......................................................................................
Composée de : Mme ou M............................................................................... président, ............................................
et de
Mme ou M............................................................................... maire de...............................................
Mme ou M............................................................................... maire de...............................................
assistée de : Mme ou M............................................................................... secrétaire..............................................
La commission de recensement a procédé au dépouillement des enveloppes adressées par pli recommandé à la préfecture
(ou déposées contre récépissés) avant le....................................................................... à 12 heures.
Nombre d’électeurs inscrits dans le département :
Nombre d’enveloppes extérieures recensées :
Nombre d’enveloppes extérieures non validées (votant n’ayant pas la
qualité d’électeur, présence de plusieurs enveloppes intérieures) :
Reste nombre de votants :
Enveloppes renfermant des bulletins nuls :
Enveloppes renfermant des bulletins blancs ou sans bulletin :
Total des suffrages non exprimés :
Reste suffrages exprimés :
() Maires ou présidents des établissements publics de coopération intercommunale.
() Indiquer le nom du département ou du territoire d’outre-mer.
() Rayer la mention inutile.
Total
des suffrages obtenus par chaque liste de candidats
Liste présentée par :.............................................................................................................................................................
Tête de liste :.......................................................................................................................................................................
Suffrages :............................................................................................................................................................................
Liste présentée par :.............................................................................................................................................................
Tête de liste :.......................................................................................................................................................................
Suffrages :............................................................................................................................................................................
–
–
–
–
–
–
–
–
CLÔTURE DU PROCÈS-VERBAL
Le présent procès-verbal, dressé et clos le ........................................................
à ............................ heures, en double expédition, est signé après lecture par le président, les assesseurs et le secrétaire.
Le président
Le maire de
Le maire de
Le secrétaire
C o u rrier et notice d ’ information
à destination des maires
de l’outre-mer,
_____
ministère chargé
_____
Le ministre
Paris, le
Réf. : Elise n°11-001983-D
Madame le maire,
Monsieur le maire,
La loi no 79-15 du 3 janvier 1979 instaurant le versement d’une dotation globale de fonctionnement par l’État en faveur
des collectivités territoriales a créé un comité des finances locales chargé notamment de contrôler la répartition de cette
dotation.
Le Gouvernement consulte le comité des finances locales sur toutes dispositions législatives et réglementaires à caractère
financier concernant les collectivités locales. Cette consultation est obligatoire pour les projets de décret.
Composé en majorité d’élus, le comité des finances locales compte notamment en son sein quinze membres titulaires
et quinze membres suppléants siégeant en leur qualité de maires élus par le collège des maires. En application de
l’article L. 1211-2 (1) du code général des collectivités territoriales (CGCT), les communes des départements d’outremer, les communes des collectivités d’outre-mer et de la Nouvelle-Calédonie, les communes situées en zone de montagne,
les communes situées en zone littorale et les communes touristiques doivent chacune avoir au moins un représentant.
Ce nombre est porté à trois pour les communes de moins de 2 000 habitants.
Leur mandat arrivant à échéance, il convient de procéder à une nouvelle élection de vos représentants au comité des
finances locales. La date des élections est fixée au 7 juin 2011.
J’ai saisi l’Association des maires de France afin de constituer une ou plusieurs listes pour le collège des maires.
L’Association des maires de France (AMF) devra me transmettre avant le 15 avril 2011 à 12 heures la liste ou les listes de
candidats pour représenter les maires.
Je vous propose donc de vous rapprocher dès maintenant de l’AMF en vue de la constitution de ces listes.
Les bulletins de vote et les enveloppes nécessaires au scrutin vous seront envoyés par la préfecture au cours de la
première semaine de mai. Votre bulletin de vote devra parvenir par lettre recommandée ou être déposé contre récépissé à
la préfecture de votre département au plus tard le lundi 6 juin 2011 à 12 heures.
Les articles R. 1211-1 et suivants du code général des collectivités territoriales précisent les modalités de cette élection.
Celles-ci sont reprises et détaillées dans la notice que vous trouverez jointe à cette lettre et à laquelle vous voudrez bien
vous référer.
Je vous prie de croire, Madame le maire, Monsieur le maire, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
Philippe Richert
() L’article L. 1211-2 a été modifié par l’article 79 de la loi de réforme des collectivités territoriales du 17 décembre 2010. En application de
l’article 82 de la même loi, le nouvel article L. 1211-2 entre en vigueur lors du renouvellement du CFL.
NOTICE RELATIVE AUX MODALITÉS PRATIQUES D’ÉLECTION
DES MAIRES AU COMITÉ DeS FINANCeS LOCALES
Nombre
et qualité des maires
Article L. 1211-2 (1) du code général des collectivités territoriales
Quinze membres titulaires élus par le collège des maires de France dont au moins :
– un pour les communes des départements d’outre-mer ;
– un pour les collectivités d’outre-mer et de la Nouvelle-Calédonie ;
– un pour les communes situées en zone de montagne ;
– un pour les communes situées en zone littorale ;
– un pour les communes touristiques ;
– trois pour les communes de moins de 2 000 habitants.
Quinze membres suppléants élus par le collège des maires de France remplissant les mêmes conditions que les titulaires
ci-dessus énumérés.
Mode d’élection
Article R. 1211-5
« Les représentants des maires sont élus par le collège des maires de France, au scrutin majoritaire de liste à un tour, avec
dépôt de listes complètes sans adjonction ni suppression de noms et sans modification de l’ordre de présentation. »
En conséquence, les candidatures isolées ne sont pas autorisées.
Article R. 1211-6
« En cas d’égalité des suffrages, est élue la liste pour laquelle la moyenne d’âge des candidats titulaires est la plus élevée.
Nul ne peut figurer à la fois sur des listes de catégories différentes. »
Article R. 1211-9
« L’élection des maires a lieu par bulletins de vote adressés par lettre recommandée ou déposés contre récépissés à la
préfecture ou au haut-commissariat.
Les bulletins de vote sont recensés par une commission comprenant :
– le préfet ou son représentant, président ;
– deux maires désignés par le préfet ;
– le secrétariat est assuré par un fonctionnaire de la préfecture.
Les résultats sont centralisés par la commission prévue à l’article R. 1211-10. »
Commission
centrale de recensement des votes
Article R. 1211-10
« Une commission centrale de recensement est instituée auprès du ministre de l’intérieur. Elle est présidée par un conseiller
d’État et doit comprendre un représentant du ministre de l’intérieur et trois représentants des associations nationales d’élus
locaux, désignés par le ministre de l’intérieur. »
Cette commission effectue le recensement des procès-verbaux des votes et proclame les résultats.
Listes
de candidature
Article R. 1211-11
« Les listes de candidature doivent être déposées au ministère de l’intérieur à une date fixée par arrêté du ministre de
l’intérieur. Cet arrêté fixe également la date limite d’envoi ou de dépôt des bulletins de vote au ministère de l’intérieur ou
à la préfecture. »
Bulletins
de vote
Article R. 1211-12
« Chaque bulletin est mis sous double enveloppe ; l’enveloppe extérieure doit porter la mention : “Élection des membres
du comité des finances locales”, l’indication du collège électoral auquel appartient le votant, son nom, sa qualité, sa
signature. »
Calendrier
et modalités pratiques du vote
Dépôt des listes complètes de candidature
Les listes de candidature devront être déposées au ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales
et de l’immigration avant le 15 avril 2011 à 12 heures à l’adresse suivante : ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des
collectivités territoriales et de l’immigration, direction générale des collectivités locales, bureau des concours financiers de
l’État, 2 bis, place des Saussaies, 75008 Paris.
Chaque liste sera accompagnée d’une déclaration individuelle de candidature pour chaque titulaire et chaque suppléant.
La déclaration individuelle portera mention :
– des nom et prénom ;
– de la qualité du candidat (des communes des départements d’outre-mer, communes des collectivités d’outre-mer et
de la Nouvelle-Calédonie ou Polynésie française, commune située en zone de montagne, commune située en zone
littorale, commune touristique ou thermale, commune de moins de 2 000 habitants) ;
– de la date de naissance ;
– de la fonction et du lieu d’exercice ;
– et de la signature de chaque candidat.
Les listes devront être déposées complètes ; aucune candidature isolée ne pourra être acceptée.
Envoi des instruments de vote
Durant la semaine du 9 mai 2011, les listes déposées vous seront adressées en même temps que les bulletins de vote par
les soins des préfets.
Chaque bulletin sera mis sous double enveloppe : l’enveloppe intérieure étant l’enveloppe bleue utilisée pour les élections ;
l’enveloppe extérieure comportera la mention « Élection des membres du comité des finances locales » et devra être signée
par l’électeur.
Date limite d’expression des suffrages : lundi 6 juin 2011 à 12 heures
Le collège électoral est composé de l’ensemble des maires de France. Pour participer au scrutin, chaque électeur devra
faire parvenir par pli recommandé ou déposer contre récépissé à la préfecture l’enveloppe extérieure contenant son vote.
Date de l’élection
La commission locale de recensement des votes se réunira le 7 juin 2011 à la préfecture et établira un procès-verbal des
voix obtenues par chaque liste.
La commission centrale de recensement des votes se réunira le 15 juin 2011 et la publication au Journal officiel de la
République française s’effectuera dans les jours qui suivent.
C o u rrier et notice d ’ information
à destination des présidents d ’ epci
de l’outre-mer,
_____
ministère chargé
_____
Le ministre
Paris, le
Réf. : Elise n°11-001986-D
Madame la présidente,
Monsieur le président,
La loi no 79-15 du 3 janvier 1979 instaurant le versement d’une dotation globale de fonctionnement par l’État en faveur
des collectivités territoriales et de certains de leurs groupements a créé un comité des finances locales chargé de contrôler
la répartition de cette dotation.
Le Gouvernement consulte le comité des finances locales sur toute disposition législative ou réglementaire à caractère
financier concernant les collectivités locales. Cette consultation est obligatoire pour les projets de décret.
Composé en majorité d’élus, le comité des finances locales compte notamment en son sein sept membres titulaires et sept
membres suppléants siégeant en leur qualité de présidents d’établissements publics de coopération intercommunale élus par
le collège des présidents d’établissements publics de coopération intercommunale. En application de l’article L. 1211-2 (1)
du code général des collectivités territoriales (CGCT), les représentants sont nommés à raison d’un pour les communautés
urbaines et les métropoles, de deux pour les communautés de communes ayant opté pour le régime fiscal de l’article 1609
nonies C du code général des impôts, de deux pour les communautés de communes n’ayant pas opté pour les dispositions
du même article et de deux pour les communautés d’agglomération et syndicats d’agglomération nouvelle.
Leur mandat arrivant à échéance, il convient de procéder à une nouvelle élection de vos représentants au comité des
finances locales.
La date des élections a été fixée au 7 juin 2011 et celle du dépôt des listes de candidatures au 15 avril 2011
à 12 heures.
J’ai saisi l’Association des maires de France afin de constituer une ou plusieurs listes de candidats chargés de représenter
les présidents d’EPCI. Je vous propose donc de vous rapprocher dès maintenant de son président en vue de la constitution
de ces listes.
J’appelle votre attention sur le fait que, conformément à l’article R. 1211-5 du CGCT, les candidatures isolées ne sont
pas autorisées.
Les bulletins de vote et les enveloppes nécessaires au scrutin vous seront envoyés par la préfecture au cours de la
première semaine de mai. Votre bulletin de vote devra parvenir par lettre recommandée ou être déposé contre récépissé à
la préfecture de votre département au plus tard le lundi 6 juin 2011 à 12 heures.
Les articles R. 1211-1 et suivants du code général des collectivités territoriales précisent les modalités de cette élection.
Celles-ci sont reprises et détaillées dans la notice que vous trouverez jointe à cette lettre et à laquelle vous voudrez bien
vous référer.
Je vous prie de croire, Madame la présidente, Monsieur le président, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
Philippe Richert
NOTICE RELATIVE AUX MODALITÉS PRATIQUeS D’ÉLECTION
DeS PRÉSIDENTS DeS ÉTABLISSEMENTS PUBLICS De COOPÉRATION INTERCOMMUNALE
AU COMITÉ DeS FINANCeS LOCALES
Nombre
et qualité des représentants des établissements publics de coopération intercommunale
Article L. 1211-2 (1) du code général des collectivités territoriales
Sept membres titulaires élus par le collège des présidents d’établissements publics de coopération intercommunale
dont :
– un président de communauté urbaine ou de métropole ;
– deux présidents de communauté de communes ayant opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du code
– deux présidents de communauté de communes n’ayant pas opté pour le régime fiscal de l’article 1609 nonies C du
code général des impôts ;
– deux présidents de communauté d’agglomération ou de syndicat d’agglomération nouvelle.
Sept membres suppléants élus par le collège des présidents d’établissements publics de coopération intercommunale
remplissant les mêmes conditions que les titulaires énumérés ci-dessus.
Mode d’élection
Article R. 1211-4
« Les représentants des établissements publics de coopération intercommunale sont élus par le collège des présidents
des établissements publics de coopération intercommunale, au scrutin majoritaire de liste à un tour, avec dépôt de listes
complètes sans adjonction ni suppression de noms et sans modification de l’ordre de présentation. »
En conséquence, les candidatures isolées ne sont pas autorisées.
Article R. 1211-6
« En cas d’égalité des suffrages, est élue la liste pour laquelle la moyenne d’âge des candidats titulaires est la plus
élevée.
Nul ne peut figurer à la fois sur des listes de catégories différentes. »
Article R. 1211-9
« L’élection des représentants des établissements publics de coopération intercommunale a lieu par bulletins de vote
adressés par lettre recommandée ou déposés contre récépissés à la préfecture.
Les bulletins de vote sont recensés par une commission comprenant :
– le préfet ou son représentant, président ;
– deux maires désignés par le préfet ;
– le secrétariat est assuré par un fonctionnaire de la préfecture.
Les résultats sont centralisés par la commission prévue à l’article R. 1211-10. »
Commission
centrale de recensement des votes
Article R. 1211-10
« Une commission centrale de recensement des votes est instituée auprès du ministre de l’intérieur. Elle est présidée par
un conseiller d’État et doit comprendre un représentant du ministre de l’intérieur et trois représentants des associations
nationales d’élus locaux, désignés par le ministre de l’intérieur. »
Cette commission effectue le recensement des procès-verbaux des votes et proclame les résultats.
Listes
de candidature
Article R. 1211-11
« Les listes de candidature doivent être déposées au ministère de l’intérieur à une date fixée par arrêté du ministre de
l’intérieur. Cet arrêté fixe également la date limite d’envoi ou de dépôt des bulletins de vote au ministère de l’intérieur ou
à la préfecture. »
Bulletins
de vote
Article R. 1211-12
« Chaque bulletin est mis sous double enveloppe ; l’enveloppe extérieure doit porter la mention “Élection des membres
du comité des finances locales”, l’indication du collège électoral auquel appartient le votant, son nom, sa qualité, sa
signature. »
Calendrier
et modalités pratiques du vote
Dépôt des listes complètes de candidature
Les listes de candidature devront être déposées au ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales
et de l’immigration avant le 15 avril 2011 à 12 heures à l’adresse suivante : ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des
collectivités territoriales et de l’immigration, direction générale des collectivités locales, bureau des concours financiers de
l’État, 2 bis, place des Saussaies, 75008 Paris.
Les listes doivent comporter sept noms de titulaires et sept noms de suppléants, choisis parmi les présidents des EPCI,
et être composées conformément à l’article R. 1211-4 du code général des collectivités locales.
Chaque liste sera accompagnée d’une déclaration individuelle de candidature pour chaque titulaire et chaque suppléant.
La déclaration individuelle portera mention :
– des nom et prénom ;
– de la qualité du candidat (président de communauté urbaine, de communauté de communes ayant opté pour le régime
fiscal de l’article 1609 nonies C du code général des impôts, de communauté de communes n’ayant pas opté pour le
régime de cet article, d’une communauté d’agglomération, d’un syndicat de communes, d’un organisme créé en vue
de la création d’une agglomération nouvelle) ;
– de la date de naissance ;
– de la fonction et du lieu d’exercice ;
– de la signature de chaque candidat.
Les listes devront être déposées complètes ; aucune candidature isolée ne pourra être acceptée.
Envoi des instruments de vote
Durant la semaine du 9 mai 2011, les listes déposées seront adressées en même temps que les bulletins de vote par les
soins des préfets.
Chaque bulletin sera mis sous double enveloppe, l’enveloppe intérieure étant l’enveloppe bleue utilisée pour les élections ;
l’enveloppe extérieure comportera la mention « Élection des représentants des établissements publics de coopération
intercommunale au comité des finances locales » et devra être signée par l’électeur.
Date limite d’expression des suffrages : le lundi 6 juin 2011 à 12 heures
Le collège électoral est composé, dans chaque département, de l’ensemble des présidents d’EPCI visé à l’article R. 1211-4
du code général des collectivités locales.
Pour participer au scrutin, chaque électeur devra faire parvenir par lettre recommandée ou déposer contre récépissé à la
préfecture l’enveloppe extérieure contenant son vote.
Date de l’élection
La commission locale de recensement des votes se réunira le 7 juin 2011 à la préfecture et établira un procès-verbal des
voix obtenues par chaque liste.
La commission centrale de recensement des votes se réunira le 15 juin 2011 et la publication au Journal officiel de la
République française s’effectuera dans les jours qui suivent.
de l’outre-mer,
_____
Secrétariat général à l’immigration
et à l’intégration
_____
Direction de l’immigration
_____
Sous-direction du séjour
et du travail
_____
Bureau
de l’immigration professionnelle
_____
Circulaire du 1er février 2011 relative au recours au mandataire
pour les demandes d’autorisations de travail et de titres de séjour
NOR : IOCL1101731C
Résumé : la présente circulaire rappelle les conditions de recours aux mandataires, applicables dans le cadre des demandes
d’autorisations de travail et des demandes de titres de séjour pour certaines catégories d’étrangers.
Mots clés : Mandat – Autorisation de travail – Titre de séjour.
Textes de référence :
Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, articles R. 311-1 et R. 311-10 ;
Code du travail, articles R. 5221-3 et R. 5221-11 ;
Loi no 71-1130 du 31 décembre 1971 portant réforme de certaines professions judiciaires et juridiques ;
Arrêté du 10 octobre 2007 fixant la liste des pièces à fournir à l’appui d’une demande d’autorisation de travail ;
Circulaire du 8 janvier 2001 relative aux modalités de mise en œuvre de la procédure postale pour l’instruction des
demandes de renouvellement de certains titres de séjour ;
Circulaire no DPM/DMI2/2007/323 du 22 août 2007 relative aux autorisations de travail ;
Circulaire no IMIM1000111C relative aux conditions de délivrance de la carte de séjour temporaire portant la mention
« scientifique ».
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Madame et Messieurs
les préfets de région ; Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Monsieur le préfet de police ;
Mesdames et Messieurs les directeurs régionaux des entreprises, de la concurrence, de la consommation,
du travail et de l’emploi ; Messieurs les directeurs régionaux du travail, de l’emploi et de la formation
professionnelle d’outre-mer ; Monsieur le directeur général de l’Office français de l’immigration et de
l’intégration.
Un ensemble de mesures, visant à favoriser l’attractivité du territoire pour une immigration professionnelle qualifiée, a
été adopté ces dernières années.
Ainsi, la loi no 2006‑911 du 24 juillet 2006 relative à l’immigration et à l’intégration crée les cartes de séjour « salarié en
mission » et « compétences et talents ». Par la suite, le décret no 2009‑477 du 27 avril 2009 a instauré un visa de long séjour
dispensant et valant titre de séjour. Enfin, l’OFII est devenu, à titre expérimental et dans trois départements pilotes, guichet
unique pour les étrangers bénéficiaires des dispositifs « salarié en mission » et « compétences et talents ».
Dans ce contexte et afin de poursuivre cette évolution, la présente circulaire procède à un rappel des possibilités de
représentation par mandataire pour les formalités d’immigration.
I. – La procédure de recours au mandataire
A. – Définition
Le « mandat » ou « procuration » désigne à la fois le pouvoir et le document par lequel ce pouvoir est transmis.
Ces appellations visent la convention par laquelle une personne donne à une autre le pouvoir de faire pour elle un ou plusieurs
actes juridiques.
Le tiers, habilité à agir par le mandat, est le contact des administrations concernées. Il procède à la constitution du
dossier, le transmet au service compétent, assure un suivi administratif et fournit des documents complémentaires le cas
échéant.
B. – Modalités
de mise en œuvre et publics visés
1. Les demandes d’autorisations de travail
L’article R. 5221‑11 du code du travail précise que : « La demande d’autorisation de travail relevant des 5o, 6o, 7o, 8o, 9o,
12o et 13o de l’article R. 5221‑3 est faite par l’employeur. Elle peut également être présentée par une personne habilitée à
cet effet par un mandat écrit de l’employeur. »
En application de cet article, l’employeur conserve donc l’initiative de la procédure, mais il a la possibilité de déléguer
une personne pour déposer la demande d’autorisation de travail. Dans ce cas, le mandat devra être joint à la demande.
La demande d’autorisation de travail présentée au service responsable de la main-d’œuvre étrangère devra comporter
toutes les pièces justificatives listées par l’arrêté du 10 octobre 2007 et être accompagnée du mandat prenant la forme d’une
« lettre mandatant une personne établie en France pour accomplir les démarches administratives en son nom et pour son
compte ».
Dans ce cas, le mandataire doit être en mesure de fournir les renseignements et les documents demandés par l’administration
puisqu’il se substitue à l’employeur. Ainsi, si l’instruction du dossier nécessite des pièces complémentaires, celles-ci sont
demandées directement au mandataire, dont les coordonnées complètes figurent au dossier.
En application de l’article R. 5221‑11 du code du travail, le recours à un mandataire est possible pour les demandes
d’autorisations de travail suivantes :
– profession artistique et culturelle ;
– salarié ;
– travailleur temporaire ;
– travailleur saisonnier ;
– salarié en mission ;
– Communauté européenne : toutes activités professionnelles ;
– autorisation provisoire de travail prévue à l’article R. 5221‑3 (13o) du code du travail.
Vous accepterez donc un mandat pour ces types de demandes, à l’exclusion des autres autorisations de travail mentionnées
à l’article R. 5221‑3 du même code.
2. Demandes de titres de séjour
La présentation physique de l’étranger auprès de l’administration pour le dépôt de son dossier est prévue par
l’article R. 311‑1 du CESEDA. Cet article prescrit une présentation en préfecture, sous-préfecture, voire au commissariat
de police ou en mairie. Il ouvre néanmoins la possibilité d’un envoi du dossier par courrier, conformément à la circulaire
du 8 janvier 2001 relative aux modalités de mise en œuvre de la procédure postale pour l’instruction des demandes de
renouvellement de certains titres de séjour.
Dans tous les cas de recours au mandataire pour l’accomplissement des formalités liées à la délivrance d’un titre de
séjour, vous veillerez en particulier à ce que le demandeur se présente personnellement dans vos services une fois, qui
pourra être lors du retrait de la carte de séjour. Il est également impératif de vérifier que la personne à laquelle le titre est
remis est bien celle qui figure sur les photographies produites par le mandataire lors de la constitution du dossier et produise
l’original de son passeport en cours de validité.
Il apparaît possible de simplifier les procédures pour la délivrance des titres de séjour suivants :
– carte de séjour temporaire portant la mention « salarié en mission » ;
– carte de séjour temporaire ou certificat de résidence portant la mention « salarié » ;
– carte de séjour temporaire ou certificat de résidence portant la mention « travailleur temporaire » ;
– carte de séjour temporaire portant la mention « scientifique » ;
– carte de résident pour contribution économique exceptionnelle.
Les étrangers exerçant la fonction de « mandataire social » sont également inclus dans ce dispositif et peuvent ainsi être
représentés par un mandataire. Ce public peut effectuer une demande de carte de séjour « compétences et talents » ou de
carte de séjour/certificat de résidence portant la mention « commerçant ».
Le mandataire social est une personne physique mandatée par l’employeur lorsque celui-ci est une personne
morale (association, entreprise ou société) : il s’agit par exemple d’un gérant pour une SARL ou une EURL, d’un PDG ou
directeur général lorsqu’il s’agit d’une société commerciale. Le mandataire social est le représentant de l’employeur dans
tous les actes liés à la gestion de l’entreprise, dont il est responsable devant les actionnaires, les partenaires et la loi, et tout
particulièrement dans le domaine de la gestion du personnel et du droit social.
La procédure de recours au mandataire, objet de la circulaire, pour les démarches administratives inclut également les
membres de famille des titulaires des titres de séjour précités. Par ailleurs, vous veillerez à instituer des procédures postales
(première demande et renouvellement) chaque fois que cela s’avère possible, afin de simplifier davantage les formalités
administratives.
Il apparaît dès lors nécessaire qu’un ou des correspondants, bénéficiant du mandat, soient désignés par les organismes,
employeurs, cabinets d’avocats, sous réserve, s’agissant des avocats, des dispositions rappelées in fine, sociétés de relocation
ou par l’intéressé lui-même, de manière à ce que les préfectures puissent rapidement identifier le mandataire et faciliter les
démarches avec ce dernier, le but étant de raccourcir les délais.
Le mandataire désigné pourra procéder au dépôt de la demande de titre de séjour auprès de l’autorité préfectorale, en
première demande et en renouvellement, en présentation physique ou en procédure postale. Il pourra également se voir
remettre le récépissé de première demande de titre de séjour ou de renouvellement. Il ne peut toutefois pas procéder au
retrait de la carte de séjour, cette formalité étant nécessairement accomplie par l’étranger titulaire de la carte.
3. Forme du mandat
Dans le cadre des autorisations de travail et demandes de titres de séjour, il est précisé que si la lettre donnant mandat ne
répond pas à une formulation type, elle doit néanmoins comporter les mentions suivantes :
– nom, titre/fonction et adresse professionnelle du mandant ;
– nom, titre/fonction et adresse professionnelle du mandataire ;
– objet du mandat ;
– date et signatures des parties.
4. Personnes pouvant exercer le mandat
Les personnes pouvant représenter un étranger dans l’accomplissement des formalités d’immigration sont notamment les
avocats, les personnels des cabinets spécialisés, les services de mobilité internationale des entreprises ou les établissements
d’accueil des scientifiques étrangers.
Il convient de souligner que la qualité de mandataire ne nécessite pas de procédure d’agrément. Toutefois, il doit être
en mesure de présenter le document qui lui donne mandat lorsque vos services en feront la demande, dans le cadre de
l’instruction du dossier.
S’agissant de la situation des avocats, l’article 6 de la loi no 71‑1130 du 31 décembre 1971 portant réforme de certaines
professions judiciaires et juridiques prévoit que « les avocats peuvent assister et représenter autrui devant les administrations
publiques, sous réserve des dispositions légales et réglementaires ». En conséquence, les avocats bénéficient de la qualité
de mandataires sans avoir à justifier du mandat qu’ils sont réputés avoir reçu de leurs clients dès lors qu’ils déclarent agir
pour leur compte.
*
*
*
Je vous remercie de veiller à la bonne application des présentes instructions et de me faire part, sous le présent timbre,
de toute difficulté rencontrée à cette occasion.
Le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration,
S. Fratacci
de l’outre-mer,
_____
Secrétariat général
à l’immigration et à l’intégration
_____
Direction de l’immigration
_____
Sous-direction du séjour et du travail
_____
Bureau
de l’immigration professionnelle
_____
Circulaire du 10 février 2011 relative à la procédure de guichet unique auprès
de l’Office français de l’immigration et de l’intégration pour certaines catégories d’étrangers
NOR : IOCL1101251C
Mots clés : guichet unique – OFII – direction territoriale – salarié en mission – compétences et talents – immigration
professionnelle – autorisation de travail – titre de séjour.
Références :
Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (art. R. 311‑1 et R. 311‑10) ;
Code du travail (art. R. 5221‑3 et R. 5221‑11) ;
Arrêté du 10 octobre 2007 fixant la liste des pièces à fournir à l’appui d’une demande d’autorisation de travail ;
Circulaire du 12 mai 1998 prise en application de la loi no 98-349 du 11 mai 1998 relative à l’entrée et au séjour des
étrangers en France et au droit d’asile ;
Circulaire NOR : INTD0000277C du 6 décembre 2000 relative aux pièces justificatives pour la délivrance des titres de
séjour ;
Circulaire NOR : INTD0100008C du 8 janvier 2001 relative aux modalités de mise en œuvre de la procédure postale
pour l’instruction des demandes de renouvellement de certains titres de séjour ;
Circulaire DPM/DMI2 no 143 du 26 mars 2004 relative à la délivrance des autorisations de travail et des titres de séjour
aux cadres dirigeants ou de haut niveau étrangers salariés de sociétés françaises de groupes internationaux ainsi qu’à
leur famille ;
Circulaire DPM/DMI2/2007/323 du 22 août 2007 relative aux autorisations de travail ;
Circulaire IMIG1000124C du 12 novembre 2010 relative aux salariés en mission et aux membres de leur famille ;
Instruction OFII 2010‑06 du 13 juillet 2010 et annexes relative aux procédures applicables aux jeunes étrangers accueillis
en France dans le cadre des accords bilatéraux relatifs à l’échange de jeunes professionnels.
Annexe : coordonnées des services concernés.
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Monsieur le préfet
de la région Île-de-France, préfet de Paris ; Monsieur le préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône ;
Monsieur le préfet des Hauts-de-Seine ; Monsieur le préfet de police ; Messieurs les directeurs régionaux des
entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi d’Île-de-France et de RhôneAlpes ; Monsieur le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration.
Dans le cadre du développement de l’attractivité du territoire français et de la promotion de l’immigration professionnelle,
des titres de séjour pluriannuels ont été mis en place depuis 2006. Afin de poursuivre cette politique, et dans l’objectif de
faciliter la venue des étrangers participant activement à la croissance économique de la France, l’OFII devient « guichet
unique », à titre expérimental, pour simplifier la procédure de délivrance des autorisations de travail et des titres de séjour
pour l’introduction en France des étrangers concernés.
La présente circulaire vise à détailler la procédure de guichet unique tant au niveau de l’autorisation de travail lorsque
celle-ci est requise que dans la demande de titre de séjour. Enfin, le guichet unique va permettre l’obtention de ces documents
dans des délais très brefs.
I. – LA PROCéDURE DE GUICHET UNIQUE AUPRèS DE L’OFII
A. – Définition
L’objectif du guichet unique consiste à instituer un seul interlocuteur jouant le rôle d’interface entre les différentes
administrations. Cette fonction de guichet unique est confiée à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).
Comme tel, le guichet unique constitue une facilité procédurale, mais il ne modifie pas l’état du droit applicable aux
bénéficiaires du dispositif. L’avantage de cette procédure tient en une coordination du processus permettant des délais
raccourcis de traitement des dossiers. Par conséquent, l’OFII est, tout au long de la procédure, le point d’entrée de la
constitution du dossier de l’étranger.
À titre expérimental et pour une période de six mois, à compter du 1er décembre 2010, l’OFII devient le guichet unique
pour toutes les introductions d’étrangers bénéficiaires des procédures « salariés en mission » et « compétences et talents »
dans les départements de Paris (75), des Hauts-de-Seine (92) et du Rhône (69). Ces dispositions résultent du contrat
d’objectifs et de performance de l’OFII signé le 19 juillet 2010.
Il est également rappelé aux services que les circulaires relatives aux cadres dirigeants et cadres de haut niveau demeurent
en vigueur. Le guichet unique OFII mis en place par celles-ci reste applicable, dans les départements de Paris et des Hautsde-Seine, pour les étrangers qui ne seraient pas inclus dans le dispositif « salarié en mission ».
Pour toutes les autres catégories d’étrangers venant en France pour des motifs professionnels, le droit commun de
l’article R. 5221‑16 (1o) du code du travail s’applique, avec un envoi du dossier au service de la main-d’œuvre étrangère
territorialement compétent.
B. – Modalités
pratiques de mise en œuvre
Le guichet unique inclut les aspects relatifs à la procédure d’obtention d’autorisation de travail lorsque celle-ci est requise
et à celle de demande de titre de séjour après l’arrivée de l’étranger sur le territoire français. Il nécessite le respect des
délais indiqués ci-après afin de permettre une réelle efficacité et efficience du dispositif.
S’agissant des membres de la famille, ils bénéficient tous de la procédure de « famille accompagnante » qui prévoit la
venue concomitante de l’étranger et de sa famille (conjoint et enfants mineurs), dans le cadre d’une procédure simplifiée
dérogatoire au regroupement familial.
Il y a donc simultanéité, pour l’étranger et sa famille, à l’occasion de la délivrance des visas, comme lors de la convocation
à la visite médicale et pour la remise de titre de séjour.
Les documents à fournir pour la procédure de « famille accompagnante » sont les suivants :
– copie de l’acte de mariage avec traduction certifiée en français ;
– copie de l’acte de naissance des enfants avec traduction certifiée en français ;
– copies des passeports des membres de la famille ;
– formulaire « famille accompagnante » annexé à la circulaire n° DPM/DMI2/2006/132 du 15 mars 2006 complétant
la circulaire no 143 du 26 mars 2004 relative à la délivrance des autorisations de travail et des titres de séjour aux
cadres dirigeants ou de haut niveau étrangers salariés de sociétés françaises de groupes internationaux, ainsi qu’à leur
famille.
Il est à noter que toutes les dispositions relatives au recours aux mandataires pour l’accomplissement des formalités
administratives s’appliquent à l’expérimentation du guichet unique OFII. En conséquence, les conditions et procédures
applicables auprès des services de main-d’œuvre étrangère et des préfectures restent les mêmes auprès de l’OFII.
1. Procédure d’introduction
En dehors des jeunes professionnels, pour lesquels l’OFII est guichet unique au niveau national, seules deux catégories
déterminées d’étrangers, primo-migrants en France, sont bénéficiaires de la procédure de guichet unique à titre expérimental.
Il s’agit, d’une part, de tous les étrangers éligibles à la carte de séjour « salarié en mission » et, d’autre part, de ceux
éligibles à la carte de séjour « compétences et talents ». Pour les deux catégories concernées, le lieu effectif de l’activité
professionnelle (à Paris, dans les Hauts-de-Seine ou dans le Rhône) est le critère permettant d’appliquer la procédure de
guichet unique.
Par ailleurs, et dans le cadre de la mise en service de l’application FRAMIDE, une expérimentation est également conduite
dans le seul département des Hauts-de-Seine pour l’utilisation de cette application. La saisie informatisée des demandes
d’autorisation de travail constitue dès lors une étape supplémentaire dans la simplification des procédures administratives
relatives à l’immigration professionnelle. À cette fin, vous veillerez à inciter les entreprises à utiliser cette démarche.
a) Étrangers éligibles à la carte de séjour « salarié en mission »
Pour ce public, dont les critères d’éligibilité sont précisés à l’article R. 5221‑30 du code du travail, vous veillerez à ce
que le traitement, une fois le dossier complet, soit assuré dans un délai maximum de quatre à six semaines.
Les directions territoriales de l’OFII (DT-OFII) concernées par le dispositif expérimental sont, à compter
du 1er décembre 2010, destinataires de tous les dossiers des salariés en mission (et éventuellement des membres de leur
famille). Il est demandé aux entreprises qui transmettent les dossiers de demande d’autorisation de travail de joindre deux
enveloppes au format A4, prétimbrées et libellées à l’adresse de l’entreprise. Dans ce cadre, l’OFII communique aux
entreprises ces informations afin de permettre une mise en place rapide du dispositif.
Les DT-OFII transmettent ensuite les demandes d’autorisation de travail, dans un délai de cinq jours, aux services
de main-d’œuvre étrangère (SMOE) des DIRECCTE territorialement compétents.
L’instruction de la demande d’autorisation de travail par le SMOE s’effectue dans des délais similaires à ceux figurant
dans la circulaire DPM/DMI2 no 143 du 26 mars 2004 relative aux cadres dirigeants ou de haut niveau, à savoir dix jours à
compter de la réception du dossier complet.
Après accord sur la demande d’autorisation de travail, le service responsable de la main-d’œuvre étrangère adresse
les exemplaires du formulaire CERFA no 13652*02 « contrat de travail », s’il les a visés favorablement, d’une part, à
l’employeur établi en France ou à l’établissement d’accueil ou au mandataire dûment habilité et, d’autre part, à
la DT-OFII.
La DT-OFII transmet, dans un délai de quarante-huit heures, par voie électronique, le formulaire visé au consulat
de France du lieu de résidence du salarié en mission, accompagné, le cas échéant, des documents relatifs à la famille
accompagnante.
Afin d’accélérer la convocation du salarié en mission par le poste consulaire en vue de la procédure de visa, la DT-OFII
veille à ce que l’adresse personnelle complète (postale, téléphonique, électronique) de l’intéressé dans le pays d’origine soit
complétée dans le formulaire (rubrique 3 – Salarié).
Pour certains ressortissants, la visite médicale a lieu dans le pays de résidence, dans lequel l’OFII est présent (1),
préalablement à la demande de visa. Dans ce cas de figure, l’OFII et le consulat se coordonnent afin de garantir un
traitement efficient des dossiers.
Le consulat de France compétent traite ensuite la demande de visa du salarié en mission et, le cas échéant, des membres
de sa famille (conjoint et enfants mineurs).
b) Étrangers éligibles à la carte de séjour « compétences et talents »
La procédure de guichet unique est prévue pour les introductions d’étrangers éligibles à la carte de séjour « compétences
et talents » dont l’activité professionnelle va se dérouler dans l’un des trois départements pilotes. Cette procédure, qui peut
notamment concerner le mandataire social, s’applique aussi, le cas échéant, aux membres de la famille.
Conformément aux orientations adoptées par la Commission nationale des compétences et des talents (art. 7 et 7 bis) (2),
le public pouvant se prévaloir de ce statut est défini comme suit :
« Article 7
La carte de séjour “compétences et talents” peut être délivrée à un investisseur créateur d’activités, porteur de l’un des
projets économiques suivants :
– projet débouchant sur la création d’au moins deux emplois dont celui du porteur du projet ou la sauvegarde d’au moins
deux emplois ;
– projet comportant un investissement en immobilisations corporelles (actifs consistant en l’acquisition de terrains,
de bâtiments, d’équipements en machine) ou immobilisations incorporelles (actifs consistant en des transferts
de technologies, droits, brevets, licences, savoir-faire ou de connaissances techniques non brevetées) d’au moins
300 000 € ;
– projet porté par une société étrangère créée depuis au moins deux ans ou déjà implantée en France. »
« Article 7 bis
Tout étranger qui souhaite occuper la fonction de représentant légal dans un établissement ou une société en France dès
lors que cet étranger est depuis au moins trois mois salarié ou mandataire social hors de France dans un établissement ou
une société du même groupe et qu’il remplit les critères cumulatifs suivants :
a) rémunération mensuelle brute au moins égale à trois fois le SMIC ;
b) mission en France supérieure à six mois. »
() Maroc, Tunisie, Mali, Sénégal, Turquie, Cameroun.
() Délibérations des 11 décembre 2007 (JO du 28 décembre 2007) et 16 avril 2008 (JO du 21 juin 2008).
Lorsque l’OFII a une représentation à l’étranger (RE-OFII), l’instruction de la demande de carte de séjour « compétences
et talents » est réalisée par ce service. La RE-OFII et le consulat sont par conséquent en lien permanent dans le cadre de
l’examen de la demande et de la procédure de délivrance du visa et participent ainsi à un traitement diligent du dossier.
Afin de faciliter la procédure guichet unique OFII, les consulats demanderont la présentation du dossier de candidature de
l’étranger en deux exemplaires.
En application de la circulaire du 1er février 2008 relative à la carte de séjour « compétences et talents », et en cas de
décision favorable, l’autorité consulaire délivre un visa « CESEDA L. 315‑1 » et établit en deux originaux une décision
attributive du titre. Un original de celle-ci est remis au demandeur et accompagne le visa consulaire. Le second exemplaire
de la décision est expédié, avec deux exemplaires du dossier complet, à la DT-OFII compétente à raison du lieu principal
d’exercice de l’activité professionnelle. L’OFII transmet ensuite un exemplaire du dossier complet au bureau de l’immigration
professionnelle (cf. annexe).
Le cas échéant, l’autorité consulaire délivre simultanément un visa similaire portant mention « CESEDA L. 313‑11 (3o) »
au conjoint et aux enfants mineurs en qualité de famille accompagnante.
2. Procédure de demande de titre de séjour
L’OFII reste guichet unique pour les premières demandes de titres de séjour. La DT-OFII compétente réceptionne les
dossiers des demandeurs titulaires de visas « salarié en mission » ou « compétences et talents ».
Dans tous les cas, les étrangers concernés par le dispositif expérimental restent soumis aux obligations sanitaires
prévues à l’article L. 5223‑1‑4o du code du travail. Toutefois, ces mêmes publics sont tous dispensés du contrat d’accueil
et d’intégration.
2.1. L’instruction de la demande du titre de séjour
L’employeur, ou son mandataire, constitue le dossier de demande de carte de séjour dès l’arrivée de l’étranger sur le
territoire français, en y joignant deux enveloppes au format A4, prétimbrées et libellées à l’adresse de l’entreprise. Ce
dossier est transmis rapidement à la DT-OFII territorialement compétente à raison du lieu d’emploi.
Après avoir vérifié la complétude du dossier, l’OFII le transmet sans délai à la préfecture territorialement compétente à
raison du lieu de résidence, dans le respect des prescriptions de l’article R. 311‑10 du CESEDA.
Les principales préfectures concernées par ce dispositif sont la préfecture de police, la préfecture de Nanterre et la
préfecture de Lyon. Toutefois, si le demandeur réside dans un département extérieur aux trois départements concernés par
l’expérimentation, la DT-OFII adresse alors le dossier de demande de carte de séjour à la préfecture ou sous-préfecture du
lieu de résidence. Dans tous les cas, l’OFII conserve, au titre du guichet unique, un rôle de coordination dans la réalisation
simultanée des deux procédures (convocation au contrôle sanitaire et fabrication du titre de séjour).
Par ailleurs, et concernant les étrangers titulaires de visas « compétences et talents », il est rappelé qu’en application
de l’article R. 315‑7 du CESEDA, l’autorité consulaire prend la décision d’accorder la carte de séjour « compétences et
talents ». Le rôle du préfet se limite donc à remettre le titre de séjour à l’étranger après son arrivée en France.
S’agissant du titre de séjour, sa délivrance est effectuée dans des délais qui ne doivent qu’exceptionnellement excéder
la durée de validité du visa de long séjour, et en tout état de cause dans un délai de trois mois à compter de l’entrée en
France de l’étranger. Dès lors, et dans la mesure du possible, la remise du titre de séjour se fait durant la validité du visa,
afin d’éviter la délivrance d’un récépissé de première demande de titre de séjour.
Lorsque la carte de séjour est prête, la remise est effectuée selon des modalités convenues entre les préfectures et les
directions territoriales de l’OFII concernées. En effet, en application de l’article R. 311‑10 du CESEDA, « le préfet peut
également prescrire que la remise du titre soit faite (...) dans l’une des délégations régionales ou départementales de l’Office
français de l’immigration et de l’intégration ».
2.2. La visite médicale
Afin de diminuer le nombre de visites des étrangers concernés auprès des services administratifs, il convient de lancer
la prise de rendez-vous pour la visite médicale et la fabrication du titre de séjour de manière concomitante, les deux
procédures pouvant être menées en parallèle pour se rejoindre in fine afin de permettre la remise du titre de séjour lors de
la visite médicale OFII.
La visite médicale doit intervenir au plus tard à l’échéance du visa de l’étranger. Lorsque la visite médicale a été
effectuée hors de France (RE-OFII), l’OFII convoque l’étranger pour la remise du titre de séjour dès que la préfecture a
transmis le document.
Lorsque l’étranger régulièrement convoqué à la visite médicale ne se présente pas à la date fixée, l’OFII le convoque une
nouvelle fois. Au-delà du délai d’un mois à compter de la première convocation, le titre de séjour est renvoyé à la préfecture
compétente. L’étranger doit alors se présenter en préfecture pour procéder au retrait de son titre de séjour.
Concernant les étrangers éligibles à la carte de résident pour contribution économique exceptionnelle, vous vous inspirerez
de la procédure de guichet unique pour ce public, sans préjudice des dispositions de ma circulaire IMIM1000117C du
2 août 2010 relative à la délivrance de la carte de résident pour contribution économique exceptionnelle.
*
*
*
Je vous remercie de veiller à la bonne application des présentes instructions et de me faire part, sous le présent timbre,
de toute difficulté rencontrée à cette occasion.
Le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration,
S. Fratacci
ANNEXE
Coordonnées
des services concernés
1. Directions territoriales de l’OFII
OFII, direction territoriale de Paris, 48, rue de la Roquette, 75011 Paris, tél. : 01 55 28 19 40 ; OFII, direction territoriale
de Montrouge, 221, avenue Pierre-Brossolette, 92120 Montrouge, tél. : 01 41 17 73 00 ; OFII, direction territoriale de
Lyon, 7, rue Quivogne, 69286 Lyon Cedex 02, tél. : 04 72 77 15 40.
2. Unités territoriales des DIRECCTE
DIRECCTE Île-de-France, unité territoriale de Paris, service de la main-d’œuvre étrangère, 210, quai de Jemmapes,
75010 Paris ; DIRECCTE Île-de-France, unité territoriale des Hauts-de-Seine, service de la main-d’œuvre étrangère, 13, rue
de Lens, 92000 Nanterre ; DIRECCTE Rhône-Alpes, unité territoriale du Rhône, service de la main-d’œuvre étrangère,
8-10, rue du Nord, 69625 Villeurbanne Cedex.
3. Préfectures
Préfecture de police de Paris, direction de la police générale, sous-direction de l’administration des étrangers,
7e bureau, cellule postale, 9, boulevard du Palais, 75195 Paris Cedex 04 ; préfecture des Hauts-de-Seine, bureau du séjour
des étrangers, 167-177, avenue Frédéric-et-Irène-Joliot-Curie, 92013 Nanterre Cedex ; préfecture du Rhône, bureau des
étrangers, 14 bis, quai du Général-Sarrail, 69006 Lyon.
4. Ministère
Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, secrétariat général à l’immigration
et à l’intégration, direction de l’immigration, sous-direction du séjour et du travail, bureau de l’immigration professionnelle,
place Beauvau, 75800 Paris Cedex 08.
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 1er février 2011 portant dissolution de l’escadron
de gendarmerie mobile 31/3 de Nantes (Loire-Atlantique)
NOR : IOCJ1101976A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le code de la défense, notamment son article L. 3225-1 ;
Vu l’arrêté du 12 juin 2006 modifié fixant les attributions des commandants de région de gendarmerie, des commandants
de groupement de gendarmerie départementale et de gendarmerie mobile et portant organisation des formations placées
sous leur autorité,
Arrête :
Article 1er
L’escadron de gendarmerie mobile 31/3 de Nantes (Loire-Atlantique) est dissous à compter du 1er septembre 2011.
Article 2
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin
officiel du ministère de l’intérieur.
Par empêchement du directeur général
de la gendarmerie nationale :
Le général de corps d’armée, major général de la gendarmerie nationale,
L. Muller
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 1er février 2011 portant dissolution de l’escadron
de gendarmerie mobile 13/6 de Narbonne (Aude)
NOR : IOCJ1101979A
Vu le code de la défense, notamment son article L. 3225‑1 ;
Vu l’arrêté du 12 juin 2006 modifié fixant les attributions des commandants de région de gendarmerie, des commandants
de groupement de gendarmerie départementale et de gendarmerie mobile et portant organisation des formations placées
sous leur autorité,
Arrête :
Article 1er
L’escadron de gendarmerie mobile 13/6 de Narbonne (Aude) est dissous à compter du 1er septembre 2011.
Article 2
L. Muller
de l’outre-mer,
_____
ministère du travail,
de l’emploi
et de la santé
_____
Arrêté du 3 février 2011 fixant la répartition des emplois éligibles à la nouvelle bonification
indiciaire dans les services du secrétariat général à l’immigration et à l’intégration du
ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, pour
les personnels exerçant des fonctions de responsabilité supérieure
NOR : IOCV1033323A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et le ministre du travail, de
l’emploi et de la santé,
Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84‑16
du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 93‑522 du 26 mars 1993 relatif aux conditions de mise en œuvre de la nouvelle bonification indiciaire
dans la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 2002‑552 du 19 avril 2002 modifié instituant une nouvelle bonification indiciaire en faveur des personnels
exerçant des fonctions de responsabilité supérieure dans les services centraux et déconcentrés du ministère de l’emploi et
de la solidarité ;
Vu le décret no 2007‑1891 du 26 décembre 2007 portant organisation de l’administration centrale du ministère de
l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du codéveloppement ;
Vu l’arrêté du 19 avril 2002 modifié fixant les conditions d’attribution de la nouvelle bonification indiciaire dans les
services centraux et déconcentrés du ministère de l’emploi et de la solidarité (secteur emploi et secteur solidarité) pour les
personnels exerçant des fonctions de responsabilité supérieure ;
Vu l’arrêté du 7 octobre 2008 modifiant l’arrêté du 19 avril 2002 fixant les conditions d’attribution de la nouvelle
bonification indiciaire dans les services centraux et déconcentrés du ministère de l’emploi et de la solidarité (secteur emploi
et secteur solidarité) pour les personnels exerçant des fonctions de responsabilité supérieure ;
Vu la convention signée le 10 juillet 2008 relative à la gestion des personnels relevant du ministère du travail, des
relations sociales, de la famille et de la solidarité, le ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative,
affectés au ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire,
Arrêtent :
Article 1er
La nouvelle bonification indiciaire prévue à l’article 1er du décret du 23 novembre 2000 et à l’article 1er du décret du
19 avril 2002 susvisés est attribuée aux titulaires d’emplois supérieurs à la décision du Gouvernement et aux titulaires
d’emplois de direction inscrits au budget du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration, dans les conditions fixées en annexe.
Article 2
Le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités
territoriales et de l’immigration et le secrétaire général du ministère du travail, de l’emploi et de la santé sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui prend effet au 1er janvier 2008. Cet arrêté sera publié
ainsi que son annexe au Journal officiel de la République française.
Le ministre du travail, de l’emploi et de la santé,
Le directeur des ressources humaines,
M. Kirry
Le chef de service de l’administration générale et des finances,
R.-C. Marion
A nne x e
NOMBRE D’EMPLOIs
NOMBRE DE POINTS
par emploi
Directeur de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté
1
150
Adjointe au directeur de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté
1
120
Sous-directeur de l’accès à la nationalité française
1
110
Sous-directeur de l’accueil, de l’intégration et de la prévention des discriminations
1
80
Chef de service de l’administration générale et des finances
1
80
5
540
DéSIGNATION DE L’EMPLOI
TOTAL emplois et points NBI
de l’outre-mer,
_____
ministère du travail,
de l’emploi
et de la santé
_____
Arrêté du 3 février 2011 fixant la répartition des emplois éligibles à la nouvelle bonification
indiciaire dans les services du secrétariat général à l’immigration et à l’intégration du
ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration
NOR : IOCV1033324A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et le ministre du travail, de
l’emploi et de la santé,
Vu la loi no 83‑634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84‑16
du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 91‑1282 du 19 décembre 1991 modifié instituant la nouvelle bonification indiciaire dans les services du
ministère des affaires sociales et de l’intégration et du ministère du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle ;
Vu le décret no 93‑522 du 26 mars 1993 relatif aux conditions de mise en œuvre de la nouvelle bonification indiciaire
dans la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 2000‑40 du 17 janvier 2000 modifiant le décret no 91‑1282 du 19 décembre 1991 instituant la nouvelle
bonification indiciaire dans les services du ministère des affaires sociales et de l’intégration et du ministère du travail, de
l’emploi et de la formation professionnelle ;
Vu le décret no 2007‑1891 du 26 décembre 2007 portant organisation de l’administration centrale du ministère de
l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du codéveloppement ;
Vu l’arrêté du 19 décembre 1991 fixant les conditions d’attribution de la nouvelle bonification indiciaire dans les services
du ministère des affaires sociales et de l’intégration et du ministère du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle,
modifié et complété par les arrêtés des 28 janvier 1993, 31 mai 1994, 13 janvier 1997 et 12 mars 1998 ;
Vu l’arrêté du 17 janvier 2000 modifiant l’arrêté du 19 décembre 1991 modifié et complété fixant les conditions
d’attribution de la nouvelle bonification indiciaire dans les services du ministère des affaires sociales et de l’intégration et
du ministère du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle ;
Vu la convention signée le 10 juillet 2008 relative à la gestion des personnels relevant du ministère du travail, des
relations sociales, de la famille et de la solidarité, le ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative,
affectés au ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire,
Arrêtent :
Article 1er
La nouvelle bonification indiciaire prévue à l’article 1er du décret du 6 mars 1992, à l’article 1er du décret du
19 décembre 1991 et à l’article 1er du décret 14 octobre 1991 susvisés est attribuée dans les conditions fixées par le tableau
suivant :
NIVEAU
de responsabilité
NOMBRE D’EMPLOIS
NOMBRE DE POINTS
par emploi
A
1
40
Coordonnateur statistiques, études et documentations
A-B
1
20
Régisseur d’avances
B-C
1
20
Responsable du secrétariat de directeur
B-C
2
15
Responsable du secrétariat de sous-directeur
B-C
3
15
Responsable du secrétariat de chef de service
DéSIGNATION DE L’EMPLOI
Directeur du cabinet du secrétaire général
B-C
1
20
Agents d’accueil-standardistes
C
2
20
Agents chargés de la maintenance immobilière
C
2
10
13
235
TOTAL emplois et points NBI
Article 2
Le secrétaire général à l’immigration et à l’intégration du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités
territoriales et de l’immigration et le secrétaire général du ministre du travail, de l’emploi et de la santé sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui prend effet au 1er janvier 2008. Cet arrêté sera publié au
Journal officiel de la République française.
R.-C. Marion
Le ministre du travail, de l’emploi et de la santé,
Le directeur des ressources humaines,
M. Kirry
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR,
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
_____
Direction générale de la gendarmerie nationale
_____
Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale
_____
Sous-direction
de la gestion du personnel
_____
Bureau du personnel officier
_____
Arrêté du 4 février 2011 portant nomination au grade d’aspirant à titre temporaire
dans la gendarmerie nationale
NOR : IOCJ1103840A
Vu le code de la défense, notamment ses articles L. 4134‑2, R. 4131‑6, R. 4131‑9 et R. 4131‑10 ;
Vu le décret no 2008‑945 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier des officiers des corps techniques
et administratifs de l’armée de terre, de la marine, de la gendarmerie, du service de santé des armées et du service des
essences des armées,
Arrête :
Article 1er
La personne dont le nom suit est nommée au grade d’aspirant à titre temporaire à compter du 1er mars 2011 : Haffner
Marjorie.
Article 2
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale,
J. Delpont
DE L’OUTRE-MER,
_____
Arrêté du 10 février 2011 relatif à la réorganisation du dispositif de la gendarmerie
départementale de la région de gendarmerie d’Île-de-France
NOR : IOCJ1102405A
Vu le code de la défense, partie réglementaire, III ;
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15‑22 à R. 15‑26 ;
Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Arrête :
Article 1er
La brigade de transfèrement de Paris (Paris) et les brigades territoriales de Paris-Minimes (Paris), Paris-Bastion-XIV (Paris),
Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), Châtillon (Hauts-de-Seine), Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), Le Raincy (SeineSaint-Denis), Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis), Chevilly-Larue (Val-de-Marne),
Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) et Vincennes (Val-de-Marne) sont dissoutes à compter du 1er avril 2011. Corrélativement,
les circonscriptions des brigades territoriales de Paris-Exelmans (Paris), Nanterre (Hauts-de-Seine), Bobigny (Seine-SaintDenis) et Créteil (Val-de-Marne) sont modifiées à la même date dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
Les brigades de translations judiciaires de Paris-Bastion-XIV (Paris), Nanterre (Hauts-de-Seine), Bobigny (Seine-SaintDenis), Chevilly-Larue (Val-de-Marne), Bois-d’Arcy (Yvelines), Fleury-Mérogis (Essonne), Cergy (Val-d’Oise) et Melun
(Seine-et-Marne) sont créées à compter du 1er avril 2011.
Article 3
Les officiers, gradés et gendarmes des brigades territoriales de Paris-Exelmans, Nanterre, Bobigny et Créteil exercent les
attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13
à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o) du code de procédure pénale.
Article 4
L. Muller
ANNEXE
BRIGADES TERRITORIALES
CIRCONSCRIPTION ACTUELLE
CIRCONSCRIPTION NOUVELLE
PARIS
Paris-Minimes
Paris 1er
Paris 2e
Paris 3e
(dissolution)
Paris 4e
Paris 5e
Paris 6e
Paris-Bastion-XIV
Paris 10e
Paris 11e
Paris 12e
Paris 13e
(dissolution)
Paris 18e
Paris 19e
Paris 20e
Paris-Exelmans
Paris 7e
Paris
Paris 8
e
Paris 9e
Paris 14e
Paris 15e
Paris 16e
Paris 17e
HAUTS-DE-SEINE
Boulogne-Billancourt
Chaville
Garches
Issy-les-Moulineaux
Marnes-la-Coquette
Meudon
(dissolution)
Saint-Cloud
Sèvres
Vaucresson
Ville-d’Avray
Châtillon
Antony
Bagneux
Bourg-la-Reine
Châtenay-Malabry
Châtillon
Clamart
(dissolution)
Fontenay-aux-Roses
Malakoff
Montrouge
Le Plessis-Robinson
Sceaux
Vanves
Levallois-Perret
Asnières-sur-Seine
Bois-Colombes
Clichy
(dissolution)
Colombes
Levallois-Perret
Villeneuve-la-Garenne
Nanterre
Courbevoie
Antony
La Garenne-Colombes
Asnières-sur-Seine
Nanterre
Bagneux
Neuilly-sur-Seine
Bois-Colombes
Puteaux
Rueil-Malmaison
Bourg-la-Reine
Suresnes
Châtenay-Malabry
Châtillon
Chaville
Clamart
Clichy
Colombes
Courbevoie
Fontenay-aux-Roses
Garches
La Garenne-Colombes
Issy-les-Moulineaux
Levallois-Perret
Malakoff
Marnes-la-Coquette
Meudon
Montrouge
Nanterre
Neuilly-sur-Seine
Le Plessis-Robinson
Puteaux
Rueil-Malmaison
Saint-Cloud
Sceaux
Sèvres
Suresnes
Vanves
Vaucresson
Ville-d’Avray
Villeneuve-la-Garenne
SEINE-SAINT-DENIS
Le Raincy
Aulnay-sous-Bois
Le Blanc-Mesnil
Clichy-sous-Bois
Coubron
Livry-Gargan
(dissolution)
Le Raincy
Sevran
Tremblay-en-France
Vaujours
Villepinte
Saint-Denis
Aubervilliers
Le Bourget
La Courneuve
Dugny
Épinay-sur-Seine
L’Île-Saint-Denis
(dissolution)
Pierrefitte-sur-Seine
Saint-Denis
Saint-Ouen
Stains
Villetaneuse
Neuilly-sur-Marne
Gagny
Gournay-sur-Marne
Montfermeil
Montreuil
Neuilly-Plaisance
(dissolution)
Neuilly-sur-Marne
Noisy-le-Grand
Rosny-sous-Bois
Villemomble
Bobigny
Bagnolet
Aubervilliers
Bobigny
Aulnay-sous-Bois
Bondy
Bagnolet
Drancy
Le Blanc-Mesnil
Les Lilas
Bobigny
Noisy-le-Sec
Bondy
Pantin
Le Bourget
Les Pavillons-sous-Bois
Clichy-sous-Bois
Le Pré-Saint-Gervais
Coubron
Romainville
La Courneuve
Drancy
Dugny
Épinay-sur-Seine
Gagny
Gournay-sur-Marne
L’Île-Saint-Denis
Les Lilas
Livry-Gargan
Montfermeil
Montreuil
Neuilly-Plaisance
Neuilly-sur-Marne
Noisy-le-Grand
Noisy-le-Sec
Pantin
Les Pavillons-sous-Bois
Pierrefitte-sur-Seine
Le Pré-Saint-Gervais
Le Raincy
Romainville
Rosny-sous-Bois
Saint-Denis
Saint-Ouen
Sevran
Stains
Tremblay-en-France
Vaujours
Villemomble
Villepinte
Villetaneuse
VAL-DE-MARNE
Chevilly-Larue
Arcueil
Cachan
Chevilly-Larue
Fresnes
Gentilly
(dissolution)
L’Haÿ-les-Roses
Le Kremlin-Bicêtre
Rungis
Villejuif
Choisy-le-Roi
Ablon-sur-Seine
Choisy-le-Roi
Ivry-sur-Seine
(dissolution)
Orly
Thiais
Villeneuve-le-Roi
Vitry-sur-Seine
Vincennes
Bry-sur-Marne
Champigny-sur-Marne
Chennevières-sur-Marne
Fontenay-sous-Bois
Joinville-le-Pont
Nogent-sur-Marne
Noiseau
(dissolution)
Ormesson-sur-Marne
Le Perreux-sur-Marne
Le Plessis-Trévise
La Queue-en-Brie
Saint-Mandé
Villiers-sur-Marne
Vincennes
Créteil
Alforville
Ablon-sur-Seine
Boissy-Saint-Léger
Arcueil
Bonneuil-sur-Marne
Alforville
Charenton-le-Pont
Boissy-Saint-Léger
Créteil
Bonneuil-sur-Marne
Limeil-Brévannes
Bry-sur-Marne
Maisons-Alfort
Cachan
Mandres-les-Roses
Champigny-sur-Marne
Marolles-en-Brie
Charenton-le-Pont
Périgny
Chennevières-sur-Marne
Saint-Maur-des-Fossés
Chevilly-Larue
Saint-Maurice
Choisy-le-Roi
Santeny
Créteil
Sucy-en-Brie
Fontenay-sous-Bois
Valenton
Fresnes
Villecresnes
Gentilly
Villeneuve-Saint-Georges
L’Haÿ-les-Roses
Ivry-sur-Seine
Joinville-le-Pont
Le Kremlin-Bicêtre
Limeil-Brévannes
Maisons-Alfort
Mandres-les-Roses
Marolles-en-Brie
Nogent-sur-Marne
Noiseau
Orly
Ormesson-sur-Marne
Périgny
Le Perreux-sur-Marne
Le Plessis-Trévise
La Queue-en-Brie
Rungis
Saint-Mandé
Saint-Maur-des-Fossés
Saint-Maurice
Santeny
Sucy-en-Brie
Thiais
Valenton
Villecresnes
Villejuif
Villeneuve-le-Roi
Villeneuve-Saint-Georges
Villiers-sur-Marne
Vincennes
Vitry-sur-Seine
DE L’OUTRE-MER,
_____
Arrêté du 10 février 2011 portant dissolution
de la brigade territoriale d’Ambès (Gironde)
NOR : IOCJ1102410A
Arrête :
Article 1er
La brigade territoriale d’Ambès (Gironde) est dissoute à compter du 1er juin 2011. Corrélativement, la circonscription de
la brigade territoriale d’Ambarès-et-Lagrave (Gironde) est modifiée dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
L’officier, les gradés et gendarmes de la brigade territoriale d’Ambarès-et-Lagrave exercent les attributions attachées à leur
qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o) du
code de procédure pénale.
Article 3
L. Muller
ANNEXE
Ambès
Ambarès-et-Lagrave
Ambès
Saint-Louis-de-Montferrand
Saint-Vincent-de-Paul
Ambarès-et-Lagrave
Saint-Loubès
(dissolution)
Ambarès-et-Lagrave
Ambès
Saint-Loubès
Saint-Louis-de-Montferrand
Saint-Vincent-de-Paul
de l’outre-mer,
_____
de la brigade de recherches de Bar-le-Duc (Meuse)
NOR : ioCJ1103534A
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15 et R. 15-22 à R. 15-26 ;
Vu la loi no 2009-971 du 3 août 2009 relative à la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
Arrête :
Article 1er
La brigade de recherches de Bar-le-Duc (Meuse) est dissoute à compter du 1er juin 2011.
Article 2
L. Muller
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 21 février 2011 portant nomination
(régisseurs d’avances et de recettes)
NOR : IOCV1103530A
Vu le décret no 62-1587 du 29 décembre 1962 modifié portant règlement général sur la comptabilité publique, notamment
l’article 18 ;
Vu le décret no 92-681 du 20 juillet 1992 modifié relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes
publics ;
Vu le décret no 2008-227 du 5 mars 2008 abrogeant et remplaçant le décret no 66-850 du 15 novembre 1966 relatif à la
responsabilité personnelle et pécuniaire des régisseurs ;
Vu le décret no 2010-1444 du 25 novembre 2010 relatif aux attributions du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des
Vu l’arrêté du 20 juillet 1992 relatif au seuil de dispense de cautionnement des régisseurs d’avances et de recettes,
modifié par l’arrêté du 27 décembre 2001 ;
Vu l’arrêté du 21 mai 2008 portant institution d’une régie d’avances auprès du cabinet et du secrétariat général du
ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire ;
Vu la décision du 18 juillet 2008 portant nomination d’un régisseur d’avances,
Arrête :
Article 1er
Mme Niouma SYLLA, adjointe administrative de 2e classe, est nommée régisseuse d’avances auprès du secrétaire général
à l’immigration et à l’intégration à compter du 1er mars 2011, en remplacement de Mme Sandrine DESMAISON, adjointe
administrative principale de 2e classe.
Article 2
Le sous-directeur, chef du service de l’administration générale et des finances à l’administration centrale du secrétariat
général à l’immigration et à l’intégration, est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de
la République française.
R.-C. Marion
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 24 février 2011 portant modification des compagnies de gendarmerie
départementale de Blois et Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher)
NOR : IOCJ1102943A
Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 ;
Arrête :
Article 1er
Les compagnies de gendarmerie départementale de Blois (Loir-et-Cher) et Romorantin-Lanthenay (Loir-et-Cher) sont
modifiées à compter du 1er mars 2011 dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
Les officiers, gradés et gendarmes des compagnies de gendarmerie départementale de Blois et Romorantin-Lanthenay
exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux
articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o et 4o) et R. 15‑27 du code de procédure pénale.
Article 3
L. Muller
ANNEXE
COMPAGNIE
Blois
SITUATION ACTUELLE
SITUATION NOUVELLE
BR Blois
BR Blois
PSIG Blois
PSIG Blois
BT Bracieux
BT Bracieux
BT Contres
BT Cour-Cheverny
BT Cour-Cheverny
BT Herbault
BT Herbault
BT Mer
BT Mer
BT Muides-sur-Loire
BT Muides-sur-Loire
BT Onzain
BT Onzain
BT Vineuil
BT Vineuil
Romorantin-Lanthenay
BR Romorantin-Lanthenay
BR Romorantin-Lanthenay
PSIG Romorantin-Lanthenay
PSIG Romorantin-Lanthenay
BT Lamotte-Beuvron
BT Contres
BT Mennetou-sur-Cher
BT Lamotte-Beuvron
BT Montrichard
BT Mennetou-sur-Cher
BT Neung-sur-Beuvron
BT Montrichard
BT Saint-Aignan-sur-Cher
BT Neung-sur-Beuvron
BT Salbris
BT Saint-Aignan-sur-Cher
BT Selles-sur-Cher
BT Salbris
BT Selles-sur-Cher
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 24 février 2011 portant modification
des brigades territoriales de Contres et Vineuil (Loir-et-Cher)
NOR : IOCJ1102946A
Vu la loi no 2009‑971 du 3 août 2009 ;
Arrête :
Article 1er
Les circonscriptions des brigades territoriales de Contres et Vineuil (Loir-et-Cher) sont modifiées à compter du 1er mars 2011
dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
L’officier, les gradés et gendarmes des brigades territoriales de Contres et Vineuil exercent les attributions attachées à leur
qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o) du
code de procédure pénale.
Article 3
L. Muller
ANNEXE
Contres
Chémery
Chémery
Choussy
Choussy
Contres
Contres
Couddes
Couddes
Feings
Feings
Fougères-sur-Bièvre
Fougères-sur-Bièvre
Fresnes
Fresnes
Les Montils
Monthou-sur-Bièvre
Monthou-sur-Bièvre
Oisly
Oisly
Ouchamps
Ouchamps
Sambin
Sambin
Sassay
Sassay
Vineuil
Blois
Blois
Chailles
Chailles
La Chaussée-Saint-Victor
La Chaussée-Saint-Victor
Montlivault
Les Montils
Saint-Claude-de-Diray
Montlivault
Saint-Gervais-la-Forêt
Saint-Claude-de-Diray
Vineuil
Saint-Gervais-la-Forêt
Vineuil
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 24 février 2011 portant nomination
(régisseurs d’avances et de recettes)
NOR : IOCV1105678A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre mer, des collectivités territoriales et de l’immigration,
Vu le décret no 62‑1587 du 29 décembre 1962 modifié portant règlement général sur la comptabilité publique, notamment
l’article 18 ;
Vu le décret no 92‑681 du 20 juillet 1992 modifié relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes
publics ;
Vu le décret no 2008‑227 du 5 mars 2008 abrogeant et remplaçant le décret no 66‑850 du 15 novembre 1966 relatif à la
Vu l’arrêté du 21 mai 2008 portant institution d’une régie d’avances auprès du cabinet et du secrétariat général du
ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire ;
Vu la décision du 18 juillet 2008 portant nomination d’un régisseur d’avances,
Arrête :
Article 1er
Mme Marie-Christine Combes, secrétaire administrative de classe exceptionnelle, est nommée régisseur d’avances auprès
de la sous-direction de l’accès à la nationalité française à compter du 1er janvier 2011.
Article 2
Le régisseur est astreint à constituer un cautionnement dont le montant est fixé par l’arrêté du 28 mai 1993 modifié.
Article 3
Le régisseur percevra une indemnité de responsabilité dont le montant est fixé par l’arrêté du 28 mai 1993 modifié.
Article 4
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration est chargé de l’exécution du
présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
R.-C. Marion
de l’outre-mer,
_____
MINISTÈRE DU BUDGET,
DES COMPTES PUBLICS,
de la fonction publique
ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT
__________
Arrêté du 24 février 2011 portant institution d’une régie d’avances auprès de la sous-direction
l’intégration
NOR : IOCV1105704A
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration et le ministre du budget, des
comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement,
Vu le décret no 62‑1587 du 29 décembre 1962 modifié portant règlement général sur la comptabilité publique, notamment
l’article 18 ;
Vu le décret no 92‑681 du 20 juillet 1992 modifié relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes
publics ;
Vu le décret no 2008‑227 du 5 mars 2008 abrogeant et remplaçant le décret no 66‑850 du 15 novembre 1966 relatif à la
Vu l’arrêté du 4 juin 1996 modifié par arrêté du 28 janvier 2002 relatif au montant par opération des dépenses de matériel
et de fonctionnement payables par l’intermédiaire d’un régisseur d’avances ;
Vu l’arrêté du 3 septembre 2001 relatif aux taux de l’indemnité de responsabilité susceptible d’être allouée auxrégisseurs
d’avances et aux régisseurs de recettes relevant des organismes publics et montant du cautionnement imposé à ces agents,
Arrêtent :
Article 1er
Il est institué auprès du secrétariat général à l’immigration et à l’intégration, de la direction de l’accueil, de l’intégration
et de la citoyenneté, à la sous-direction de l’accès à la nationalité française, une régie d’avances pour le paiement des
dépenses suivantes :
– les dépenses de matériel et de fonctionnement, dans la limite du seuil fixé par l’arrêté du 4 juin 1996 modifié
susvisé ;
– les frais de transport SNCF.
Article 2
Le montant de l’avance à consentir au régisseur est fixé à 20 000 €.
L’avance est versée par le comptable assignataire sur demande du régisseur visée par l’ordonnateur.
Article 3
Un compte de dépôt de fonds est ouvert au nom du régisseur ès qualités auprès de la sous-direction de l’accès à la
nationalité française.
Article 4
Le régisseur effectue le paiement des dépenses par les modes de règlement prévus à l’article 12 du décret no 92‑681
susvisé.
Article 5
Le régisseur remet à l’ordonnateur les pièces justificatives des dépenses payées dans le délai maximum de trente jours à
compter de la date de paiement.
Article 6
Le directeur général des finances publiques au ministère du budget, des comptes publics, de la fonction publique
et de la réforme de l’État et le chef de service de l’administration générale et des finances du secrétariat général
à l’immigration et à l’intégration au ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
R.-C. Marion
Le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement,
des finances publiques :
Le sous-directeur,
F. Tanguy
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 25 février 2011 portant nomination des membres de la commission d’examen des
conception et de direction ; session de sélection 2011
NOR : IOCC1105861A
Vu le décret no 95‑654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs de
la police nationale ;
Vu le décret no 2005‑939 du 2 août 2005 portant statut particulier du corps de conception et de direction de la police
nationale ;
Vu l’arrêté du 26 février 2003 modifié par les arrêtés du 2 mai 2005 et du 8 août 2008 relatif à l’organisation d’un cycle
de formation préparatoire au concours interne d’accès au corps de conception et de direction de la police nationale ;
Sur la proposition du directeur général de la police nationale,
Arrête :
Article 1er
En application des articles 4 et 5 de l’arrêté du 26 février 2003 modifié par les arrêtés du 2 mai 2005 et du 8 août 2008
susvisés, la commission d’examen des candidatures pour le cycle de formation préparatoire au concours interne d’accès au
corps de conception et de direction est composée comme suit pour la sélection des 16 et 17 mai 2011 :
Président
Mme Hélène MARTINI, inspecteur général de la police nationale, directrice de l’École nationale supérieure de la police
de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, représentant M. le directeur général de la police nationale.
Membres
Mme Catherine FAURE, contrôleur général de la police nationale, chef du bureau des commissaires de police, représentant
M. le directeur des ressources et des compétences de la police nationale.
Mme Catherine BERTI, commissaire divisionnaire de la police nationale, chef de l’Institut national de la formation de
la police nationale.
Suppléants
M. Thierry CHOLLET, commissaire de police, adjoint au chef de l’Institut national de la formation de la police
nationale.
Mme Agnès FEDERICCI-COURSON, commissaire divisionnaire de la police nationale.
M. Frédéric DEBOVE, maître de conférences, doyen de l’université de Paris II-Melun.
M. Marc SEGONDS, agrégé des facultés de droit, professeur à l’université de Toulouse I Capitole.
Article 2
Le directeur des ressources et des compétences de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté.
Le préfet, directeur des ressources et des compétences de la police nationale,
H. Bouchaert
de l’outre-mer,
_____
de la brigade territoriale de Saint-Chartier (Indre)
NOR : IOCJ1102908A
Arrête :
Article 1er
La brigade territoriale de Saint-Chartier (Indre) est dissoute à compter du 1er août 2011. Corrélativement, la circonscription
de la brigade territoriale de La Châtre (Indre) est modifiée dans les conditions précisées en annexe.
Article 2
L’officier, les gradés et gendarmes de la brigade territoriale de La Châtre exercent les attributions attachées à leur qualité
d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15‑2 et R. 15‑24 (1o) du code de
procédure pénale.
Article 3
L. Muller
féVRIER 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 23/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
ANNEXE
La Châtre
Briantes
Briantes
Champillet
Champillet
Chassignoles
Chassignoles
La Châtre
La Berthenoux
La Motte-Feuilly
La Châtre
Lacs
La Motte-Feuilly
Le Magny
Lacs
Lourouer-Saint-Laurent
Le Magny
Montgivray
Lourouer-Saint-Laurent
Montlevicq
Montgivray
Néret
Montlevicq
Vicq-Exemplet
Néret
Nohant-Vic
Saint-Août
Saint-Chartier
Saint-Christophe-en-Boucherie
Thevet-Saint-Julien
Verneuil-sur-Igneraie
Vicq-Exemplet
Saint-Chartier
La Berthenoux
Nohant-Vic
Saint-Août
(dissolution)
Saint-Chartier
Saint-Christophe-en-Boucherie
Thevet-Saint-Julien
Verneuil-sur-Igneraie
de l’outre-mer,
_____
_____
Sous-direction des compétences
_____
Bureau de la formation
_____
Décision no 10488 du 2 février 2011 relative à l’attribution du diplôme
de qualification militaire gendarmerie
NOR : IOCJ1102998S
Le sous-directeur des compétences,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret du 31 décembre 2010 portant nomination et promotion dans l’armée active (NOR : IOCJ1031728D, JO no 1
du 1er janvier 2011, texte 70) ;
Vu l’arrêté du 25 juillet 1980 modifié portant organisation de l’enseignement militaire supérieur du deuxième degré ;
Vu l’instruction no 37200/DEF/GEND/RH/RF/BFORM du 8 mars 2006 modifiée,
Décide :
Le diplôme de qualification militaire gendarmerie est attribué aux officiers dont le nom suit dans les conditions
suivantes :
Au 1er janvier 2011
Lepetit Gildas
Nigend : ��
195 228
Delorme Catherine
Nigend : ��
232 750
Au 1er février 2011
Michoux Aubin
Nigend : ��
218 647
Au 1er août 2011
Andouard Christine
Nigend : ��
122 333
Lambert Véronique
Nigend : ��
126 727
Dubois Michel
Nigend : ��
167 170
Pellé Pascal
Nigend : ��
169 836
Le général, sous-directeur des compétences,
B. Cavallier
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie
de Corse
_____
Décision no 2313 du 3 février 2011 portant promotion de sous-officiers
de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse
NOR : IOCJ1102306S
Le commandant de la région de gendarmerie de Corse,
Vu le décret no 2008‑952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2009 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’avancement des
sous-officiers de gendarmerie de carrière ;
Vu la décision no 25348 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029430S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mars 2011 :
Brouilloux Didier
Nigend : 137 411
Numéro de livret de solde : 5 324 214
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mars 2011 :
Bossert Jean-Claude
Nigend : 146 447
Vandenbossche Gilles
Nigend : 133 945
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mars 2011 :
Delubac-Loppi Stéphane
Nigend : 163 725
Maissant Catherine
Nigend : 137 752
Pedoussaud Isabelle
Nigend : 142 776
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mars 2011 :
Fourmond Dominique
Nigend : 150 980
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Corse,
C. Rodriguez
DE L’OUTRE-MER,
_____
_____
_____
Sous-direction
_____
Bureau du personnel officier
_____
Décision no 12300 du 3 février 2011 portant attribution
du 1er échelon exceptionnel du grade de lieutenant-colonel
NOR : IOCJ1103709S
Vu le décret no 2008‑946 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des officiers de gendarmerie,
Décide :
Article 1er
Sont admis au 1er échelon exceptionnel de leur grade les lieutenants-colonels désignés ci-après :
à compter du 1er janvier 2011
Roudé Jean-Pierre
00104724
0005172186
Région de gendarmerie d’île-de-France – zone de
défense et de sécurité de Paris
à compter du 1er mai 2011
Dutronc Jean-William
00135375
0005136306
Article 2
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au
J. Delpont
de l’outre-mer,
_____
Gendarmerie de l’armement
_____
de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’armement
NOR : IOCJ1102327S
Le commandant de la gendarmerie de l’armement,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Jamaux Jean-Yves
Nigend : 154 755
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mars 2011 :
Petit Bertrand
Nigend : 140 151
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mars 2011 :
Mignot Marcel
Nigend : 117 314
Article 4
Joly Pierre
Nigend : 208 629
Le colonel, commandant la gendarmerie de l’armement,
C. Fritsch
de l’outre-mer,
_____
_____
de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – pilotes »
NOR : IOCJ1103696S
gendarmerie ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010 relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche
ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte ;
Décide :
Article 1er
Lavergne Stéphane
Nigend : 190 554
Article 2
Roux Guillaume
Nigend : 189 258
Article 3
Bonnefoi Cédric
Nigend : 303 490
Le général, sous-directeur de la gestion du personnel,
G. Miramon
de l’outre-mer,
_____
_____
de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens cellules et moteurs »
NOR : IOCJ1103699S
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Bergon Rémy
Nigend : 169 334
Article 2
Brisbare Sébastien
Nigend : 165 190
Article 3
Geoffroy Jean-Baptiste
Nigend : 198 946
G. Miramon
de l’outre-mer,
_____
_____
de gendarmerie de la spécialité « aéronautique – mécaniciens avionique »
NOR : IOCJ1103701S
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Bellanger Jérôme
Nigend : 202 034
Article 2
Capliez Cédric
Nigend : 165 536
G. Miramon
de l’outre-mer,
_____
_____
Décision n° 12543 du 4 février 2011 portant promotion de sous-officiers
de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières »
NOR : IOCJ1103703S
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Szymczak Jean
Nigend : 98 039
Article 2
Cordier Bertrand
Nigend : 145 171
G. Miramon
de l’outre-mer,
_____
_____
de gendarmerie de la spécialité « montagne »
nor : iocj1103705s
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Escalle Maxime
Nigend : 123 955
Article 2
Arnaud Laurent
Nigend : 151 323
Article 3
Fourcoux Jean-Christophe
Nigend : 171 906
Lucena Sébastien
Nigend : 183 276
Febvre Bruno
Nigend : 163 856
Article 4
Lanne Michel
Nigend : 212 585
G. Miramon
de l’outre-mer,
_____
_____
de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication »
NOR : IOCJ1103706S
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mars 2011 :
Ognier Frédéric
Nigend : 114 644
Favret Jean-Noël
Nigend : 104 414
Bonnal Yves
Nigend : 113 608
Article 2
Lhôte Mickaël
Nigend : 167 665
Collumeau Jean-François
Nigend : 128 987
Article 3
Callens Claude
Nigend : 163 622
Menuet Grégory
Nigend : 147 374
Acker Adrien
Nigend : 178 061
Daguet Frédéric
Nigend : 161 261
Chaimbault Damien
Nigend : 178 721
Mathias Florent
Nigend : 149 565
Desert Estelle
Nigend : 171 046
Boutineau David
Nigend : 155 911
Harnisch Olivier
Nigend : 163 514
Curdy Didier
Nigend : 143 454
Duffo Dominique
Nigend : 164 605
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mars 2011 :
Penide Jérôme
Nigend : 230 524
Tissopin Fabien
Nigend : 230 544
Warnault Fabien
Nigend : 231 323
G. Miramon
de l’outre-mer,
_____
Garde républicaine
_____
de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie »
NOR : IOCJ1102218S
Le commandant de la garde républicaine,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Richard Daniel
Nigend : 111 021
Huck Nicolas
Nigend : 118 306
Article 2
Couet Olivier
Nigend : 144 516
Pelissard William
Nigend : 154 315
Artu Cédrick
Nigend : 159 744
Article 3
Crisapulli Sébastien
Nigend : 185 325
Rispe Sébastien
Nigend : 186 039
Le général, commandant la garde républicaine,
P. Schneider
de l’outre-mer,
_____
Garde républicaine
_____
Décision no 4924 du 7 février 2011 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »
NOR : IOCJ1102219S
gendarmerie ;
Décide :
La musicienne de 3e classe dont le nom suit est promue au grade de musicienne de 2e classe le 1er mars 2011 :
Fremy Laurence
Nigend : 176 097
P. �
Schneider
��
de l’outre-mer,
_____
Garde républicaine
_____
de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »
NOR : IOCJ1102221S
gendarmerie ;
Vu la décision n° 159201 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029384S),
Décide :
Article 1er
Chaussignand Bruno
Nigend : 123 205
Article 2
L’adjudant dont le nom suit
��
est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mars 2011 :
Lievre Yannick
Nigend : 123 755
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit
��
est promu au grade d’adjudant le 1er mars 2011 :
Stirnemann Olivier
Nigend : 150 814
P. Schneider
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie d’Aquitaine
et de gendarmerie
pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Ouest
_____
de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Aquitaine
NOR : IOCJ1102224S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
Sud-Ouest,
gendarmerie ;
Vu la décision no 144796 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029391S) ;
Décide :
Article 1er
Nassau Franck
Nigend : 146 273
Terrien Xavier
Nigend : 137 249
Rateau Frédéric
Nigend : 123 089
Lafon Bernard
Nigend : 134 915
Article 2
Garcia Paul
Nigend : 137 944
Forgues Philippe
Nigend : 158 036
Savy Jean-Bernard
Nigend : 129 760
Fargues Jean
Nigend : 132 546
Barthélemy Michel
Nigend : 104 501
Barrau Patrick
Nigend : 109 498
Article 3
Duport Wilfried
Nigend : 165 664
Allart Philippe
Nigend : 137 534
Robin Olivier
Nigend : 162 572
Poitevin Pascal
Nigend : 159 196
Da-Ros Thierry
Nigend : 155 932
Martinez Sandrine
Nigend : 163 764
Wozniak Jean
Nigend : 110 408
Rodriguez Éric
Nigend : 126 338
Bourdiol Patrick
Nigend : 108 930
Garces Claude
Nigend : 172 152
Broto Pascal
Nigend : 160 510
Article 4
Les gendarmes��
��
dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mars 2011 :
Facci Danielle
Nigend : ��
155 675
Dupas Mickaël
Nigend : ��
204 406
Wittig Emmanuel
Nigend : ��
153 756
Perrichot Benoît
Nigend : ��
228 342
Risch Aline
Nigend : ��
189 657
Ratinaud Stéphane
Nigend : ��
156 959
Dewoitine Philippe
Nigend : ��
131 026
Birot Aurélien
Nigend : ��
182 517
Roatta Christian
Nigend : ��
95 554
Campistron Bruno
Nigend : 166 310
Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,
B. Carmichael
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie d’Aquitaine
et gendarmerie
et de sécurité Sud-Ouest
_____
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest
NOR : IOCJ1102225S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
Sud-Ouest,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Multeau Éric
Nigend : 123 540
Lataste Jean-Claude
Nigend : 140 575
Article 2
Voluzan Didier
Nigend : 123 229
Moreau Yves
Nigend : 102 663
Article 3
Gouard Alain
Nigend : 115 815
Pierne Joël
Nigend : 128 231
Article 4
Mathy Philippe
Nigend : 226 380
Arnaudo Guillaume
Nigend : 209 006
Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,
B.
��
Carmichael
��
féVrier 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 38/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
de l’outre-mer,
_____
de Poitou-Charentes
_____
de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes
NOR : IOCJ1102227S
Le commandant de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes,
gendarmerie ;
Vu la décision no 96/4 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029400S),
Décide :
Article 1er
Monestier Michel
Nigend : 106 546
Le Lay Éric
Nigend : 128 207
Audebert Christophe
Nigend : 148 035
Article 2
Trillaud Alain
Nigend : 105 216
Ibanez Frédéric
Nigend : 156 060
Quattrochi Michel
Nigend : 151 016
Besseau Jean
Nigend : 112 030
Article 3
Louis Xavier
Nigend : 156 757
Cauquil Benoit
Nigend : 134 997
Baracca Philippe
Nigend : 190 344
Légeron Stéphane
Nigend : 168 762
Delattre Bertrand
Nigend : 160 206
Collet Stéphane
Nigend : 155 543
Hermosa José
Nigend : 164 726
Ardoin Christophe
Nigend : 158 131
Article 4
Sire Ludovic
Nigend : 195 493
Girault Frédéric
Nigend : 157 162
Lecointre Franck
Nigend : 158 059
Delaporte Jean-Michel
Nigend : 124 063
De Rycke Laetitia
Nigend : 200 032
Le général, commandant la région de gendarmerie de Poitou-Charentes,
C. Dupouy
de l’outre-mer,
_____
de Haute-Normandie
_____
de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie
NOR : IOCJ1102236S
Le commandant de la région de gendarmerie de Haute-Normandie,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Lévêque Claude
Nigend : 143 901
Larcher Didier
Nigend : 101 959
Article 2
Cresson Jacques
Nigend : 103 058
Cornu Laurent
Nigend : 129 580
Lestrelin Étienne
Nigend : 156 476
Mouquet Thierry
Nigend : 105 075
Article 3
Rourre Armand
Nigend : 157 340
Kerberénes Solène
Nigend : 178 125
Voisin Yannick
Nigend : 160 702
Tritz Stephan
Nigend : 185 326
Decayeux Franck
Nigend : 149 505
Article 4
Duchesne Arnaud
Nigend : 174 215
Baguenier Desormeaux Yannick
Nigend : 176 610
Priest Estelle
Nigend : 224 467
Lecoq Ludovic
Nigend : 183 425
Lecornué Stéphane
Nigend : 187 441
Sizaire Daniel
Nigend : 198 185
Mahon Pierre
Nigend : 160 662
Eveillard Mathieu
Nigend : 196 997
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Haute-Normandie.
J.-C. Goyeau
de l’outre-mer,
_____
de Basse-Normandie
_____
de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie
NOR : IOCJ1102237S
Le commandant de la région de gendarmerie de Basse-Normandie,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Bigot Daniel
Nigend : 101 789
Article 2
Mouget Philippe
Nigend : 139 882
Gour Jean-Marc
Nigend : 150 645
Cabon Olivier
Nigend : 141 071
Article 3
Camier Pierre
Nigend : 112 046
Roussel Stéphane
Nigend : 142 249
Bigot Christophe
Nigend : 146 320
Guislain Jean-Claude
Nigend : 102 639
Malo Stéphane
Nigend : 175 979
Article 4
Jacob François
Nigend : 204 539
Pelletier Fabrice
Nigend : 118 684
Varnerot François-Xavier
Nigend : 180 702
Le Calvez Frédéric
Nigend : 158 678
Di Toro Joseph
Nigend : 182 992
Le Gendre Marie
Nigend : 215 268
Gradelle Philippe
Nigend : 225 190
Hébert Jérôme
Nigend : 157 734
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Basse-Normandie,
G. Dautois
de l’outre-mer,
_____
des Pays de la Loire
_____
du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire
NOR : IOCJ1102239S
Le commandant de la région de gendarmerie des Pays de la Loire,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Bouillaud Jean-Claude
Nigend : 106 361
Wawrzyk André
Nigend : 119 056
Article 2
Thirion Frédéric
Nigend : 143 544
Rahmani Mohamed
Nigend : 124 960
Maurinot Éric
Nigend : 134 831
Litaize Fabrice
Nigend : 151 927
Vaidie Bruno
Nigend : 137 790
Hulin Éric
Nigend : 114 349
Article 3
Gosselin François
Nigend : 129 014
Tonnelier Franck
Nigend : 156 792
Pierre Gildas
Nigend : 161 789
Monfort Laurent
Nigend : 154 530
Périchet Emmanuel
Nigend : 161 161
Derbre Éric
Nigend : 150 971
Lafond Olivier
Nigend : 159 057
Fradet Cédric
Nigend : 166 975
Uguen Yannick
Nigend : 172 495
Sichère Franck
Nigend : 170 830
Article 4
Champroux Frédéric
Nigend : 149 496
Guillaume Cyrille
Nigend : 159 794
Notreami Frédéric
Nigend : 190 457
Delin David
Nigend : 165 205
Juszczak Ludovic
Nigend : 148 911
Bassani Sébastien
Nigend : 217 812
Closier Jérôme
Nigend : 211 143
Marcello Césare
Nigend : 215 751
Hamon Laurent
Nigend : 166 753
Lemaire William
Nigend : 161 767
Favreau Sébastien
Nigend : 189 327
Le colonel, commandant la région de gendarmerie des Pays de la Loire,
F. Alègre de la Soujeole
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie du Centre
_____
du cadre général de la région de gendarmerie du Centre
NOR : IOCJ1102240S
Le commandant de la région de gendarmerie du Centre,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Czaska Jean-Pierre
Nigend : 109 303
Guillemain Serge
Nigend : 111 103
Article 2
Albert Sébastien
Nigend : 162 751
Jullien Michel
Nigend : 139 505
Catillon Jean-Luc
Nigend : 140 524
Guinut Hervé
Nigend : 149 056
Constant Philippe
Nigend : 120 669
Article 3
Delas Jean-Philippe
Nigend : 162 058
Magniez Bruno
Nigend : 152 240
Mathevet David
Nigend : 187 989
Mercier Mickaël
Nigend : 184 282
Caetano Paolo
Nigend : 141 585
Willemet Wilfrid
Nigend : 169 751
Couillard Francis
Nigend : 143 167
Turpin Thierry
Nigend : 140 646
Article 4
Lethore Cédric
Nigend : 203 885
Martinez Olivier
Nigend : 201 172
Labruère David
Nigend : 226 645
Dané Frédéric
Nigend : 219 389
Paskows Christophe
Nigend : 154 984
Bauthamy Ludovic
Nigend : 201 963
Terron David
Nigend : 213 545
Labarrere Nicolas
Nigend : 174 044
Dessaint Manuel
Nigend : 174 017
Delahaye Thierry
Nigend : 159 627
Goulois Thierry
Nigend : 228 325
Jacquet Richard
Nigend : 144 431
Schiel Amélie
Nigend : 192 003
Chilaud Sébastien
Nigend : 202 014
Maitrehut Murielle
Nigend : 228 337
Dupont Grégoire
Nigend : 197 839
Le colonel, commandant la région de gendarmerie du Centre,
S.-P. Baradel
de l’outre-mer,
_____
de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et gendarmerie pour la zone
de défense et de sécurité Sud
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur
NOR : IOCJ1102302S
Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de
défense et de sécurité Sud,
gendarmerie ;
Vu la décision no 117004 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029426S) ;
Décide :
Article 1er
Megy Louis
Nigend : 126 060
Agostini Michel
Nigend : 110 681
Lucas Marc
Nigend : 93 008
Article 2
Camus Frédéric
Nigend : 139 713
Passemard Jean-Pierre
Nigend : 138 850
Guida Philippe
Nigend : 143 479
Arzoumanian Patrick
Nigend : 113 924
Roussignol Sébastien
Nigend : 145 126
Koeger Bruno
Nigend : 156 746
Brousek Thierry
Nigend : 154 919
Schely Patrick
Nigend : 142 510
Castello Alain
Nigend : 145 776
Article 3
Bussola Roland
Nigend : 174 997
Muel Sandrine
Nigend : 186 788
Beauvois Caroline
Nigend : 203 553
Dupre Vincent
Nigend : 160 879
Le Vern Fabrice
Nigend : 163 879
Boy Stéphane
Nigend : 158 786
Escouflaire François
Nigend : 175 462
Biau Stéphane
Nigend : 171 023
Jouanique Stephan
Nigend : 163 521
Dauge Philippe
Nigend : 155 933
Maucotel Bruno
Nigend : 151 545
Poulcallec Éric
Nigend : 212 696
Condette Pascal
Nigend : 174 671
Costa Daniel
Nigend : 146 748
Article 4
Nieto Cédric
Nigend : 227 644
Marin Frédéric
Nigend : 195 142
Faure Bruno
Nigend : 140 215
Legrand Karine
Nigend : 217 370
Gaudin Christophe
Nigend : 148 891
Aït-Talleb Youssef
Nigend : 177 238
Beydon Pascal
Nigend : 169 503
Deman Sébastien
Nigend : 192 146
Girin Frédéric
Nigend : 167 844
Rombeau Bernard
Nigend : 93 328
Bleriot Delphine
Nigend : 234 189
Coutant Aurélien
Nigend : 229 224
Loyau Philippe
Nigend : 215 925
Pagés Cédric
Nigend : 228 383
Chevalier David
Nigend : 164 165
Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,
M. Mondoulet
de l’outre-mer,
_____
de Provence-Alpes-Côte d’Azur
de défense et de sécurité Sud
_____
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud
NOR : IOCJ1102304S
Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de
défense et de sécurité Sud,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Bezia Abel
Nigend : 90 824
Article 2
Rieutor Tristan
Nigend : 69 836
Article 3
Paget Jean-Luc
Nigend : 153 849
Article 4
Lesort Pajot Michel
Nigend : 217 442
Jeanville Claude
Nigend : 188 635
Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,
M. Mondoulet
de l’outre-mer,
_____
de Lorraine et gendarmerie
et de sécurité Est
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine
NOR : IOCJ1102308S
Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Doudoux Michel
Nigend : 102 138
Migeon Frédéric
Nigend : 136 393
Fohney Bernard
Nigend : 98 861
Article 2
Fabing Philippe
Nigend : 127 389
Mary Gérard
Nigend : 140 990
Stephan Charles
Nigend : 115 185
Dvorsak Julien
Nigend : 116 023
Article 3
Romary Gilles
Nigend : 153 379
Joannier Alexandre
Nigend : 171 181
Giraudo Christian
Nigend : 102 947
Lorsin Philippe
Nigend : 98 401
Rauscher Serge
Nigend : 92 731
Oudin Serge
Nigend : 89 048
Article 4
Moreira Olivier
Nigend : 177 931
Peterlini Sébastien
Nigend : 188 064
Maigrot Sébastien
Nigend : 168 580
Defix Nicolas
Nigend : 198 737
Laurent Jérôme
Nigend : 181 126
Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,
G. Deanaz
de l’outre-mer,
_____
de Lorraine et gendarmerie
et de sécurité Est
_____
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est
NOR : IOCJ1102309S
Le commandant de la région de gendarmerie de Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
Est,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Tharsile Philippe
Nigend : 125 776
Lefebvre Jean-Marie
Nigend : 128 074
Article 2
Picon Thierry
Nigend : 115 171
Coutelle Cyrille
Nigend : 124 979
Article 3
Legrand Stéphane
Nigend :145 830
Article 4
Theure Jean-Baptiste
Nigend : 215 850
Spellig Pierre
Nigend : 199 880
Cambria Thibault
Nigend : 198 933
Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,
G. Deanaz
de l’outre-mer,
_____
de Champagne-Ardenne
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne
NOR : IOCJ1102311S
Le commandant de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Noël Didier
Nigend : 070 375
Boyer Pascal
Nigend : 139 707
Article 2
Pierre Lionel
Nigend : 134 706
Francois Éric
Nigend : 129 109
Philippe Alain
Nigend : 153 374
Maret Gérard
Nigend : 119 015
Article 3
Aubertin Yannick
Nigend : 166 715
Pilon Pascal
Nigend : 144 203
Husson Alexandre
Nigend : 177 541
Garczareck Grégory
Nigend : 165 848
Fortin Francis
Nigend : 115 120
Moufle Cédric
Nigend : 181 297
Article 4
Sérandour Sabine
Nigend : 227 145
Cazenave Véronique
Nigend : 214 010
Carpentier Stéphane
Nigend : 182 920
Ritter Annabel
Nigend : 202 360
Balawejder Christelle
Nigend : 224 389
Auguier Sandra
Nigend : 227 615
Hale Sophie
Nigend : 171 224
Baysang Christophe
Nigend : 229 031
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne,
D. Bolot
de l’outre-mer,
_____
Commandement
de la gendarmerie outre-mer
_____
du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer
NOR : IOCJ1102320S
Le commandant de la gendarmerie outre-mer,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Adam Hervé
Nigend : 114 044
Culié Pascal
Nigend : 70 127
Saint-Georges Pascal
Nigend : 114 027
Boulanger Thomas
Nigend : 127 364
Article 2
Verrière Jean-Paul
Nigend : 126 994
Jouin Stéphane
Nigend : 145 438
Rivière Thierry
Nigend : 132 335
Menoret Laurent
Nigend : 157 917
Frery Gilles
Nigend : 145 058
Duval Philippe
Nigend : 139 210
Benjamin Denis
Nigend : 120 645
Tramoy Gilles
Nigend : 107 332
Guillard Sébastien
Nigend : 154 509
Midan Bruno
Nigend : 152 710
Article 3
Labelle Bernard
Nigend : 153 578
Hugon Thierry
Nigend : 131 403
Dhoosche Stéphane
Nigend : 189 314
Renaudie Patrice
Nigend : 135 187
Saunier Gérard
Nigend : 111 025
Bruché Nicolas
Nigend : 159 929
Juan Bruno
Nigend : 152 231
Prouvèze Olivier
Nigend : 152 728
Bourriot Raphaël
Nigend : 162 500
Ducret Patrice
Nigend : 148 711
Legouhy Christophe
Nigend : 148 484
Contesse Stéphane
Nigend : 160 761
Tardif Jean
Nigend : 106 697
Picard Jean-Loïc
Nigend : 160 675
Rully Thierry
Nigend : 152 511
Chupin Élodie
Nigend : 164 874
Lafitte Benoît
Nigend : 144 962
Chavarot Jean-Marc
Nigend : 156 998
Article 4
Gayraud Stéphane
Nigend : 151 488
Alexandre Arnaud
Nigend : 164 143
Kasman Christophe
Nigend : 172 171
Peroteau Emmanuel
Nigend : 149 087
Lesterlin Fabien
Nigend : 149 558
Barre Sylvain
Nigend : 171 794
Hernandez Bruno
Nigend : 134 812
Saupin David
Nigend : 164 026
Maton Fabien
Nigend : 174 061
Fareata Kalani
Nigend : 190 145
Doddoli Franck
Nigend : 197 440
Velleman François
Nigend : 153 504
Aubin Christian
Nigend : 160 178
Le colonel, commandant en second la gendarmerie outre-mer,
P. Maiguy
de l’outre-mer,
_____
Commandement
de la gendarmerie outre-mer
_____
du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « ambassade »
NOR : IOCJ1102321S
Le commandant de la gendarmerie outre-mer,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Fromont Christophe
Nigend : 148 885
Article 2
Soulier Michel
Nigend : 119 913
Le colonel, commandant en second la gendarmerie outre-mer,
P. Maiguy
de l’outre-mer,
_____
Gendarmerie maritime
_____
du cadre général de la gendarmerie maritime
NOR : IOCJ1102328S
Le commandant de la gendarmerie maritime,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Simon Pascal
Nigend : 101 359
Article 2
Soujol Marc
Nigend : 107 106
Article 3
Bourget Laurent
Nigend : 164 912
Richer Hubert
Nigend : 128 830
Article 4
Le Saint Léandre
Nigend : 209 967
Baubinnec Christophe
Nigend : 190 936
Garnerone Olivier
Nigend : 197 355
Le colonel, commandant la gendarmerie maritime,
G. Strub
de l’outre-mer,
_____
égion de gendarmerie d’Île-de-France
R
de défense et de sécurité de Paris
_____
du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France
NOR : IOCJ1102214S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
de Paris,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Gelliot Jean-Jacques
Nigend : 93 233
Carlotti Gilles
Nigend : 94 307
Herbin Dominique
Nigend : 101 074
Article 2
Merebbah Rebah
Nigend : 150 438
Bronnec Yves
Nigend : 147 691
Sadys Véronique
Nigend : 153 861
Riallant Franck
Nigend : 138 040
Boisard Christophe
Nigend : 145 160
Sauzeau Stéphane
Nigend : 155 228
Article 3
Gourlay Christophe
Nigend : 167 646
Garcia Vincent
Nigend : 154 846
Dayre Sébastien
Nigend : 157 863
Jeanne David
Nigend : 168 200
Susagna Laurent
Nigend : 173 975
Gombert Max-Antoine
Nigend : 188 233
Mitaine Jérôme
Nigend : 171 086
Article 4
Legras Aurélien
Nigend : 197 345
Rolland David
Nigend : 192 592
Dano Stéphanie
Nigend : 190 278
Berges Jean-Michel
Nigend : 180 007
Calmettes Christophe
Nigend : 195 645
Nguend Olivier
Nigend : 197 425
Aubrun Sébastien
Nigend : 197 283
Veaute Ghislain
Nigend : 169 601
Di Blasi Bruno
Nigend : 196 357
Delobel Julien
Nigend : 084 716
Michel Joeffray
Nigend : 211 395
Gaucher Alexandra
Nigend : 196 330
Menichini Cendrine
Nigend : 216 737
Kindelberger Géraldine
Nigend : 203 363
Mahoudeau Laurent
Nigend : 197 513
Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
C. Brachet
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie d’Île-de-France
de défense et de sécurité de Paris
_____
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris
NOR : IOCJ1102216S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
de Paris,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Ouvré Régis
Nigend : 135 475
Article 2
Dezempte Yves
Nigend : 148 581
Article 3
D’Assonville Alain
Nigend : 146 340
Grosbois Bernard
Nigend : 143 201
Bousquet Henri
Nigend : 121 881
Article 4
Despierre Jérôme
Nigend : 159 780
Abdi Saïd
Nigend : 229 064
Bemerlé Gilles
Nigend : 180 006
Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
C. Brachet
de l’outre-mer,
_____
de Languedoc-Roussillon
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon
NOR : IOCJ1102305S
Le commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon,
gendarmerie ;
Vu la décision no 60787 du 17 décembre 2010 (NOR : IOCJ1032685S),
Décide :
Article 1er
Urena Éric
Nigend : 141 860
Rousselle Alain
Nigend : 128 941
Article 2
Le Bihan Yann
Nigend : 152 098
Pastor Joachim
Nigend : 139 265
Hernandez José
Nigend : 117 979
Blattes David
Nigend : 159 004
Crouts de Paille Philippe
Nigend : 142 544
Guibert Joël
Nigend : 127 274
Article 3
Mombrun Estelle
Nigend : 198 926
Chausse David
Nigend : 173 046
Orset Christophe
Nigend : 145 103
Thieullent Muriel
Nigend : 162 264
Haro Rémy
Nigend : 168 081
Recouly François
Nigend : 132 451
Le Drougmaguet Christophe
Nigend : 157 177
Caumes Christophe
Nigend : 151 056
Lebonvallet Laurent
Nigend : 127 949
Lehoucq Olivier
Nigend : 160 343
Article 4
Bouche Bérangère
Nigend : 234 041
Hennebick Michaël
Nigend : 232 054
Ehrmann Cédric
Nigend : 234 210
Broulhet Deborah
Nigend : 234 114
Piquet Laure
Nigend : 214 415
Roques Anne
Nigend : 232 288
De Bethune Isabelle
Nigend : 196 818
Guillon Thomas
Nigend : 232 189
Castel Nelly
Nigend : 225 038
Delattre Stéphane
Nigend : 231 130
Girard Emilie
Nigend : 231 139
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Rousillon,
M. Lévêque
de l’outre-mer,
_____
de Picardie
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Picardie
NOR : IOCJ1102318S
Le commandant de la région de gendarmerie de Picardie,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Aubin Ludovic
Nigend : 158 617
Article 2
Wibaut Pascal
Nigend : 142 641
Rigaux Christophe
Nigend : 154 433
Guillaume David
Nigend : 165 443
Coasne David
Nigend : 153 421
Demoulin Patrick
Nigend : 122 042
Article 3
Dutriaux Grégory
Nigend : 201 840
Cordier Geoffrey
Nigend : 171 157
Corbec Éric
Nigend : 183 359
Duparcq Xavier
Nigend : 141 928
Aubry Éric
Nigend : 125 889
Lardier Patrice
Nigend : 123 863
Delonghe David
Nigend : 150 006
Caroux Fabrice
Nigend : 149 757
Article 4
Defrance Frédéric
Nigend : 204 135
Vauvray Cyril
Nigend : 200 668
Verpoort Laurent
Nigend : 157 623
Marie Richard
Nigend : 163 048
Ksiezniak Rémi
Nigend : 155 189
Sureau Cristelle
Nigend : 201 823
Dufételle Christophe
Nigend : 177 779
Marécat Olivier
Nigend : 203 025
Bonvarlet Pascal
Nigend : 145 032
Hugot Sandrine
Nigend : 142 832
Le général, commandant la région de gendarmerie de Picardie,
P. Mazy
de l’outre-mer,
_____
Gendarmerie de l’air
_____
du cadre général de la gendarmerie de l’air
NOR : IOCJ1102329S
Le commandant de la gendarmerie de l’air,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Bosne Gérard
Nigend : 109 906
Article 2
Chapuis Denis
Nigend : 93 081
Article 3
Gilles Christophe
Nigend : 136 512
Le colonel, commandant la gendarmerie de l’air,
G. Cazenave-Lacroutz
de l’outre-mer,
_____
de Bretagne et gendarmerie
et de sécurité Ouest
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne
NOR : IOCJ1102233S
Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
Ouest,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Guillou Didier
Nigend : 100 567
Famel Christian
Nigend : 110 840
Article 2
Tramontin Franck
Nigend : 99 342
Piron Michel
Nigend : 136 561
Bodin Patrick
Nigend : 134 985
Rabouan Sébastien
Nigend : 142 783
Le Portier Arnaud
Nigend : 124 597
Gicquere Norbert
Nigend : 142 319
Article 3
Papion Claude
Nigend : 107 310
Restout Dominique
Nigend : 152 387
Chollet Jean-François
Nigend : 161 727
Boutru Laurent
Nigend : 172 394
De Beausse Romain
Nigend : 186 476
Garnier Patrick
Nigend : 142 734
André Olivier
Nigend : 163 830
Boutillon Franck
Nigend : 164 688
Sevrette Gérard
Nigend : 131 436
Article 4
Goby Bruno
Nigend : 138 427
Leroux Frédéric
Nigend : 229 867
Auvray Jean-François
Nigend : 183 740
Tessier Franck
Nigend : 170 164
Guirriec Alain
Nigend : 158 184
Beutier Sylvain
Nigend : 191 327
Le Corre Solen
Nigend : 220 227
Grolleau Guillaume
Nigend : 176 030
Kerloc’H Xavier
Nigend : 137 601
Hochard Ann
Nigend : 212 580
Beaufreton Xavier
Nigend : 163 114
Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest,
S. Caillet
de l’outre-mer,
_____
du Nord - Pas-de-Calais et gendarmerie
et de sécurité Nord
_____
du cadre général de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais
NOR : IOCJ1102315S
Le commandant de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Nord,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Reumont Ludovic
Nigend : 133 254
Riquoir Odile
Nigend : 148 835
Article 2
Feutry Emmanuel
Nigend : 160 628
Laurent Grégory
Nigend : 165 864
Perron Christophe
Nigend : 163 451
Brière Philippe
Nigend : 157 520
Raux Jacky
Nigend : 139 901
Duquenne Jean-Christophe
Nigend : 161 739
Article 3
Blois Philippe
Nigend : 161 091
Lesage Jérémie
Nigend : 180 599
Fontenelle Yann
Nigend : 181 348
Hars Thierry
Nigend : 181 355
Meurin Gabriel
Nigend : 175 989
Ducarne Nicolas
Nigend : 180 520
Marchand Michaël
Nigend : 187 194
Claeys Raphaël
Nigend : 180 469
Costenoble Grégory
Nigend : 168 842
Article 4
Royez Stéphane
Nigend : 174 919
Dijoux Marie
Nigend : 208 818
Mourcely Michaël
Nigend : 185 828
Condette Marjorie
Nigend : 226 821
Camus Périg
Nigend : 187 527
Depouille Vincent
Nigend : 169 014
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,
P. Lunet
de l’outre-mer,
_____
du Nord - Pas-de-Calais et gendarmerie
et de sécurité Nord
_____
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord
NOR : IOCJ1102317S
Le commandant de la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et de la gendarmerie pour la zone de défense et de
sécurité Nord,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Drieux Philippe
Nigend : 70 715
Article 2
Hanon Philippe
Nigend : 141 946
Article 3
Savi Yannick
Nigend : 200 778
Le général de division, commandant la région de gendarmerie du Nord - Pas-de-Calais et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,
P. Lunet
de l’outre-mer,
_____
Gendarmerie des transports aériens
_____
du cadre général de la gendarmerie des transports aériens
NOR : IOCJ1102325S
Le commandant de la gendarmerie des transports aériens,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Monges Patrice
Nigend : 113 124
Article 2
Jurion Bruno
Nigend : 107 868
Salmeron Denis
Nigend : 149 711
Storck Jean-François
Nigend : 149 343
Article 3
Tanic Patrice
Nigend : 158 603
Paillard Frédéric
Nigend : 162 559
Fuchs Fabrice
Nigend : 192 361
Article 4
Davallet Christelle
Nigend : 156 896
Le colonel, commandant la gendarmerie des transports aériens,
D. Striebig
de l’outre-mer,
_____
de Midi-Pyrénées
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées
NOR : IOCJ1102226S
Le commandant de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Nogues Eddy
Nigend : 95 145
Lopez Richard
Nigend : 106 188
Labourey Luc
Nigend : 113 105
Article 2
Sorel Denis
Nigend : 114 523
Gillet Jacky
Nigend : 132 230
Chersouly Franck
Nigend : 111 549
Peyre Hugues
Nigend : 151 694
Dabin Thierry
Nigend : 154 151
Lozac’H Emmanuel
Nigend : 152 699
Article 3
Lefêvre Olivier
Nigend : 169 304
Hourclé Jean-Philippe
Nigend : 156 594
Barreau Guillaume
Nigend : 149 244
Lorvellec Bernard
Nigend : 161 410
Gonon Florence
Nigend : 178 736
Soual Alexis
Nigend : 149 471
Perez Magali
Nigend : 159 576
Pradal Jean-Luc
Nigend : 140 270
Lumineau Mireille
Nigend : 164 103
Lecluse Gwendal
Nigend : 154 866
Garrot Patrice
Nigend : 165 058
Article 4
Rogard Raymond
Nigend : 155 864
Nouhan Denis
Nigend : 175 500
Monier Pierre
Nigend : 172 195
Courselaud Christophe
Nigend : 169 658
Fontana Sébastien
Nigend : 172 036
Huvier Laurent
Nigend : 200 636
Le Carrour Guilhem
Nigend : 231 287
Martinez Guillaume
Nigend : 165 245
Le Quillec Loïc
Nigend : 194 312
Albert Sébastien
Nigend : 166 102
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées,
L. Tavel
de l’outre-mer,
_____
du Limousin
_____
du cadre général de la région de gendarmerie du Limousin
NOR : IOCJ1102231S
Le commandant de la région de gendarmerie du Limousin,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Lac Patrice
Nigend : 138 656
Article 2
Bouyeron Claude
Nigend : 104 624
Article 3
Villemin Éric
Nigend : 163 229
Bernier Lionel
Nigend : 140 779
Ranglaret Michel
Nigend : 100 487
Article 4
Damour Fabien
Nigend : 213 046
Caria Manuel
Nigend : 163 623
Le colonel, commandant la région de gendarmerie du Limousin,
M. Labbé
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Est
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes
NOR : IOCJ1102242S
Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
Sud-Est,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Herpain Didier
Nigend : 122 178
Andouard Pascal
Nigend : 124 126
Mathieu Gilles
Nigend : 96 364
Salvi Benoît
Nigend : 138 867
Hernandez Jean-Marc
Nigend : 126 653
Article 2
Didier Florence
Nigend : 152 821
Fenouillet David
Nigend : 153 072
Eymery Alain
Nigend : 117 963
Colinon Patrice
Nigend : 142 417
Mangel Bruno
Nigend : 147 618
Pitrou Cyril
Nigend : 144 861
Arrivat Frédéric
Nigend : 149 851
Coin Philippe
Nigend : 141 910
Berardi Christophe
Nigend : 149 742
Arsac Walter
Nigend : 106 242
Guyot Frédéric
Nigend : 159 966
Piquer Jean-Luc
Nigend : 133 509
Patruno Vincent
Nigend : 155 335
Lejot-Vignon Hervé
Nigend : 70 816
Maisonnave André
Nigend : 157 057
Article 3
Viala Stéphane
Nigend : 165 484
Delas Frédéric
Nigend : 157 006
Ponard Frédéric
Nigend : 170 390
Vergnes Philippe
Nigend : 119 920
Epal Claude
Nigend : 158 810
Labbé Christophe
Nigend : 157 427
Wieder Ludivine
Nigend : 210 529
Briancon Guillaume
Nigend : 164 050
Barriere Michel
Nigend : 168 514
Collet Frédéric
Nigend : 154 032
Brassac Ludovic
Nigend : 156 874
Franchi Ludovic
Nigend : 159 150
Paquier Christian
Nigend : 118 804
Valle Pascal
Nigend : 179 284
Wellecam David
Nigend : 139 410
Gross Jérôme
Nigend : 162 915
Faucherand Serge
Nigend : 175 562
Allain Vincent
Nigend : 172 231
Germain Jean-Noël
Nigend : 199 882
Lucas Patrice
Nigend : 163 667
Torriero Stéphane
Nigend : 162 134
Article 4
Launay Olivier
Nigend : 163 996
Anthony Adrien
Nigend : 177 240
Sakezin Denis
Nigend : 174 718
Bernad José
Nigend : 162 038
Sylvestre Stéphane
Nigend : 168 133
Paparone Cyrille
Nigend : 219 375
Meda Carine
Nigend : 226 195
Potentier Emmanuel
Nigend : 185 292
Becker Nicolas
Nigend : 189 594
Berthier Stéphane
Nigend : 190 593
Guyoux Fabrice
Nigend : 182 843
Hoden Julie
Nigend : 185 114
Achotte Cyril
Nigend : 163 280
Dansaut Pierre
Nigend : 220 739
Biret-Ormieres Nicolas
Nigend : 168 827
Touboulic Yoann
Nigend : 165 908
Maury Philippe
Nigend : 170 791
Bazzoli David
Nigend : 172 237
Millers Samuel
Nigend : 229 299
Guibert David
Nigend : 230 580
Pidoux Emmanuel
Nigend : 204 510
Gay Jérôme
Nigend : 216 898
Neel Laurent
Nigend : 171 712
Payet Guillaume
Nigend : 173 826
Dehayes Cyrille
Nigend : 186 164
Gneri Marie-Paule
Nigend : 220 195
Jodar Olivier
Nigend : 208 780
Exbrayat Sandrine
Nigend : 190 279
Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,
J. Grandchamp
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Est
_____
du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est
NOR : IOCJ1102244S
Le commandant de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
Sud-Est,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Lacassagne Christian
Nigend : 121 823
Article 2
Messina Dominique
Nigend : 134 935
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont les noms suivent sont promus au grade d’adjudant le 1er mars 2011 :
Géa Frédéric
Nigend : 168 441
Restuccia Bruno
Nigend : 149 951
Article 4
Les gendarmes dont les noms suivent sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mars 2011 :
Ivars Grégory
Nigend : 212 582
Regnier Mickaël
Nigend : 204 636
Truffet Yann
Nigend : 208 675
Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,
J. Grandchamp
de l’outre-mer,
_____
Région de gendarmerie d’Auvergne
_____
du cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne
NOR : IOCJ1102245S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Auvergne,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Fayard Guy
Nigend : 105 686
Birnbaum Germain
Nigend : 134 754
Perron Christian
Nigend : 105 974
Article 2
Desplaudes Sylvain
Nigend : 116 905
Laurencon Daniel
Nigend : 118 772
Massart Dominique
Nigend : 150 434
Peyroux Hélène
Nigend : 156 498
Marchand Éric
Nigend : 141 407
Berard Pascal
Nigend : 143 690
Article 3
Raynaud Éric
Nigend : 142 621
Leroy Olivier
Nigend : 149 307
Gaydier Alex
Nigend : 135 679
Second Philippe
Nigend : 137 482
Broyant Hervé
Nigend : 150 383
Dauzat Thierry
Nigend : 114 887
Cavagna Éric
Nigend : 140 192
Article 4
Jugand Briag
Nigend : 200 424
Vergne Jean
Nigend : 205 825
Triviaux Damien
Nigend : 179 213
Valadou Lionel
Nigend : 206 277
Par empêchement du commandant
de la région de gendarmerie d’Auvergne,
Le colonel,
J.-M. Vollot
de l’outre-mer,
_____
de Franche-Comté
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Franche-Comté
NOR : IOCJ1102314S
Le commandant de la région de gendarmerie de Franche-Comté,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Thiéry Daniel
Nigend : 120 518
Article 2
Perlet Jean-Jacques
Nigend : 95 155
Besancon Clément
Nigend : 100 517
Article 3
Hennequin Dominique
Nigend : 141 949
Cheval François-Xavier
Nigend : 70 549
Lagut Denis
Nigend : 100 274
Article 4
Berthault Laurence
Nigend : 189 274
Zaidel Leslie
Nigend : 201 075
Hildenbrand Laurent
Nigend : 190 875
Colin Sophie
Nigend : 203 023
Maussire Sébastien
Nigend : 174 899
Le général, commandant la région de gendarmerie de Franche-Comté,
A. Coroir
de l’outre-mer,
_____
Établissement central de l’administration
et du soutien de la gendarmerie nationale
_____
nationale – branche « administrative »
NOR : IOCJ1102323S
Le directeur de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Palier Jean-Pierre
Nigend : 124 314
Article 2
Schweitzer Jean-Charles
Nigend : 170 829
Le colonel, directeur de l’établissement central de l’administration et du soutien de la gendarmerie nationale,
F. Rondot
de l’outre-mer,
_____
d’Alsace
_____
du cadre général de la région de gendarmerie d’Alsace
NOR : IOCJ1102310S
Le commandant de la région de gendarmerie d’Alsace,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Rollang Marc
Nigend : 143 391
Article 2
Cordier Yannick
Nigend : 160 621
Kastler Éric
Nigend : 142 452
Vanhecke Philippe
Nigend : 147 277
Article 3
Holl Stéphan
Nigend : 164 472
Geyer Franck
Nigend : 161 611
Guinebert Roland
Nigend : 140 111
Ligutti Christophe
Nigend : 162 941
Malhage Cyril
Nigend : 181 131
Chretien Claude
Nigend : 96 929
Article 4
Bourdette Brice
Nigend : 172 014
Michel David
Nigend : 169 202
Vandevelde Patrice
Nigend : 229 342
Ropars Sylvain
Nigend : 179 013
Dreifuss Rémi
Nigend : 192 936
Le général, commandant la région de gendarmerie d’Alsace,
M. Robiquet
de l’outre-mer,
_____
Commandement des écoles
de la gendarmerie nationale
_____
du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale
NOR : IOCJ1102322S
Le commandant des écoles de la gendarmerie nationale,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Zimolo Pascal
Nigend : 128 472
Bouton Olivier
Nigend : 69 866
Article 2
Lewandowski Franck
Nigend : 153 103
Perez Thierry
Nigend : 70 602
Lipinski William
Nigend : 146 521
Cabaret-Mareuil Cyrille
Nigend : 135 808
Vénuat Pascal
Nigend : 147 098
Article 3
Jourdain Michael
Nigend : 162 088
Sorro Frédéric
Nigend : 142 256
Verro Jérôme
Nigend : 163 932
Byl Philippe
Nigend : 134 761
Vambert Didier
Nigend : 160 597
Minary Jérôme
Nigend : 159 510
Vojetta Denis
Nigend : 111 903
Boellmann Franck
Nigend : 151 740
Schmitt Sébastien
Nigend : 171 952
Vauthier Gérald
Nigend : 162 588
Article 4
Semelane Sylvain
Nigend : 139 284
Gasnier Nadège
Nigend : 182 058
Le général de division, commandant les écoles de la gendarmerie nationale,
C. Métais
de l’outre-mer,
_____
de Bourgogne
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne
NOR : IOCJ1102312S
Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne,
gendarmerie ;
Vu la décision no 722-4 du 1er décembre 2010 (NOR : IOCJ1029438S),
Décide :
Article 1er
Autem Jean-Marie
Nigend : 139 297
Brenot Jean-Luc
Nigend : 112 040
Article 2
Leclerc René
Nigend : 99 711
Pressanto Alain
Nigend : 134 170
Costard Patrick
Nigend : 104 320
Miguet Bertrand
Nigend : 155 327
Article 3
Vairet Jean
Nigend : 106 105
Boutron Fabrice
Nigend : 145 285
Hervier Éric
Nigend : 143 621
Mora Franck
Nigend : 132 062
Fortier Éric
Nigend : 116 248
Bouthemy Joffrey
Nigend : 166 728
Patinote Jean-Luc
Nigend : 94 513
Marin Philippe
Nigend : 177 557
Article 4
Dupont Olivier
Nigend : 177 525
Gevrey Alban
Nigend : 164 464
Dupuy Bruno
Nigend : 178 954
Bronchy Gilles
Nigend : 223 881
Dufour Guillaume
Nigend : 172 419
Dubreuil Arnaud
Nigend : 173 062
Létondal Agnès
Nigend : 185 277
Le général, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne,
J.-R. Bauquis
de l’outre-mer,
_____
Centre technique
_____
du cadre général du centre technique de la gendarmerie nationale
NOR : IOCJ1102324S
Le commandant du centre technique de la gendarmerie nationale,
gendarmerie ;
Décide :
Article 1er
Grand Jean-Marc
Nigend : 116 706
Article 2
Galaup Alain
Nigend : 104 911
Dimmers Patrick
Nigend : 128 162
Article 3
Supligeon Philippe
Nigend : 162 691
Martinez-Raposo Stéphane
Nigend : 164 857
Boedec Sandrine
Nigend : 164 871
Article 4
Urbain Gérard
Nigend : 179 350
Briffa Christophe
Nigend : 187 208
Trouilhat Florence
Nigend : 149 721
Le colonel, commandant le centre technique de la gendarmerie nationale,
O. Guerif
de l’outre-mer,
_____
_____
Décision no 17371 du 25 février 2011 portant attribution, en 2011,
de la prime de résultats exceptionnels à titre exceptionnel
NOR : IOCJ1105083S
Le directeur général de la gendarmerie nationale,
Vu la loi no 2002‑1094 du 29 août 2002 d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure ;
Vu le décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie
nationale ;
Vu l’arrêté du 11 octobre 2004 portant application du décret no 2004‑1073 du 11 octobre 2004 portant création d’une
prime de résultats exceptionnels dans la gendarmerie nationale,
Décide :
Article 1er
Les personnels de la gendarmerie en activité de service dont la liste est jointe en annexe percevront, à titre exceptionnel,
au titre de l’année 2010 une prime de résultats exceptionnels d’un montant de 500,00 € (cinq cents euros).
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Le général d’armée, directeur général de la gendarmerie nationale,
J. Mignaux
ANNEXE
LISTE DES MILITAIRES BÉNÉFICIANT D’UNE PRIME DE RÉSULTATS EXCEPTIONNELS
À TITRE EXCEPTIONNEL D’UN MONTANT DE 500 EUROS POUR L’ANNÉE 2010
NOM Prénom
Nigend
NLS
Abeillon Henri
Nigend : 110 293
Nls : 5 150 300
Abran Jacky
Nigend : 154 907
Nls : 8 012 600
Abric Gaëtan
Nigend : 160 397
Nls : 8 017 400
Adam Jean-Michel
Nigend : 124 029
Nls : 5 269 600
Adamkiewicz Jean-Paul
Nigend : 112 267
Nls : 5 189 300
Adillon Éric
Nigend : 98 568
Nls : 5 088 856
Agostini François
Nigend : 147 153
Nls : 5 257 410
Aguilar Christelle
Nigend : 233 435
Nls : 8 086 133
Aguillon Olivier
Nigend : 124 217
Nls : 5 243 301
Aguirre Pascal
Nigend : 117 630
Nls : 5 241 800
Ait-Ameur Ait-Ali
Nigend : 131 335
Nls : 5 283 401
Akka Nour-Eddine
Nigend : 247 924
Nls : 8 089 289
Alamarguy Yannick
Nigend : 141 327
Nls : 5 272 100
Alessandri Christian
Nigend : 124 640
Nls : 5 269 604
Alibert Hervé
Nigend : 150 606
Nls : 8 008 413
Allais Frédéric
Nigend : 136 448
Nls : 5 324 101
Almeida Victor
Nigend : 111 050
Nls : 5 157 089
Alpino Charles
Nigend : 147 668
Nls : 8 006 000
Amardeil Frédéric
Nigend : 190 489
Nls : 8 038 900
Amato David
Nigend : 193 163
Nls : 8 047 174
Amellal Marc
Nigend : 200 892
Nls : 8 057 016
Amphimaque Stéphane
Nigend : 210 505
Nls : 8 062 285
Andre Luc
Nigend : 125 067
Nls : 5 092 043
Anger Thierry
Nigend : 168 148
Nls : 8 023 802
Antoine Élodie
Nigend : 227 097
Nls : 8 059 302
Appin Maurille
Nigend : 175 954
Nls : 8 036 091
Arambourg Daniel
Nigend : 102 580
Nls : 5 126 501
Argot Julien
Nigend : 219 298
Nls : 8 071 902
Armangeat Teddy
Nigend : 182 998
Nls : 8 036 505
Arnaud Romain
Nigend : 303 061
Nls : 8 102 317
Arsapin Édouard
Nigend : 194 447
Nls : 8 049 493
Artigaud Nicolas
Nigend : 221 000
Nls : 8 083 625
Aubertin Pierre
Nigend : 111 309
Nls : 5 174 701
Audebert Christophe
Nigend : 148 035
Nls : 8 008 703
Audigane Stéphane
Nigend : 162 595
Nls : 8 019 501
Audouin Laurent
Nigend : 170 246
Nls : 8 025 050
Ausset Mélanie
Nigend : 229 071
Nls : 8 084 840
Austruy Éric
Nigend : 157 497
Nls : 8 015 003
Aye Fabienne
Nigend : 156 852
Nls : 8 014 703
Babin John
Nigend : 175 534
Nls : 8 028 503
Babula Francis
Nigend : 134 210
Nls : 5 311 104
Bacou Séverine
Nigend : 205 935
Nls : 8 059 539
Balbo Michael
Nigend : 242 039
Nls : 8 088 316
Baradel Simon-Pierre
Nigend : 132 487
Nls : 5 266 819
Barbancon Frédéric
Nigend : 143 429
Nls : 5 325 085
Barbey Vincent
Nigend : 142 644
Nls : 8 002 501
Bardelli Olivier
Nigend : 133 702
Nls : 5 294 304
Bardet Florent
Nigend : 131 610
Nls : 5 293 909
Bardy Pierre-Yves
Nigend : 214 949
Nls : 6 625 577
Barré Christophe
Nigend : 134 749
Nls : 5 312 207
Barthelemy Christophe
Nigend : 170 665
Nls : 5 223 780
Battaglia Jean-Christophe
Nigend : 176 104
Nls : 8 028 603
Beaumatin Christian
Nigend : 107 601
Nls : 5 157 805
Begin Cédric
Nigend : 188 684
Nls : 8 038 710
Beguin Pascal
Nigend : 127 019
Nls : 5 280 504
Behr Zygmunt
Nigend : 304 619
Nls : 8 103 116
Belaid Billal
Nigend : 202 369
Nls : 8 065 723
Bellamy Gilles
Nigend : 126 747
Nls : 5 279 054
Benazzedine Mohamed
Nigend : 145 277
Nls : 8 003 227
Beraudo Frédéric
Nigend : 162 037
Nls : 8 019 009
Bergoin Frédéric
Nigend : 165 356
Nls : 8 021 902
Bernal Patrick
Nigend : 129 561
Nls : 5 282 605
Bernard Guy
Nigend : 126 596
Nls : 5 280 606
Bernard-Jacquet Fabrice
Nigend : 180 453
Nls : 8 029 808
Bernardini Pascal
Nigend : 167 207
Nls : 5 155 945
Berson Sylvain
Nigend : 219 176
Nls : 8 071 786
Berthier Hervé
Nigend : 163 617
Nls : 8 020 313
Bertrand Cédric
Nigend : 158 003
Nls : 8 015 207
Besancon Alexandre
Nigend : 177 248
Nls : 8 037 741
Bibard Solveig
Nigend : 210 916
Nls : 8 066 269
Biemmi Tiziano
Nigend : 198 147
Nls : 8 055 449
Bihan Pascal
Nigend : 145 156
Nls : 8 003 908
Billard Antoine
Nigend : 205 183
Nls : 6 606 085
Billaud Jérôme
Nigend : 160 407
Nls : 8 017 405
Bitouzet Laurent
Nigend : 150 822
Nls : 6 009 110
Blachon Benoît
Nigend : 173 291
Nls : 8 027 610
Blanc Aurélien
Nigend : 247 595
Nls : 8 099 331
Blanche Christophe
Nigend : 138 893
Nls : 5 323 409
Blancou Rémi
Nigend : 229 208
Nls : 8 084 746
Blanes Julien
Nigend : 202 949
Nls : 8 058 264
Blas Thierry
Nigend : 129 088
Nls : 5 281 315
Bleriot Vincent
Nigend : 176 222
Nls : 8 028 381
Blin Didier
Nigend : 173 997
Nls : 8 027 807
Blondel Dominique
Nigend : 156 536
Nls : 8 014 107
Blondel Nicolas
Nigend : 178 837
Nls : 8 036 791
Bocahut Julien
Nigend : 227 160
Nls : 8 075 496
Bock Marie-Laure
Nigend : 240 778
Nls : 8 087 707
Boget Marc
Nigend : 159 874
Nls : 8 017 100
Boilly Albert
Nigend : 104 306
Nls : 5 126 515
Boireau Brigitte
Nigend : 126 467
Nls : 5 281 004
Bonenfant Patrice
Nigend : 147 684
Nls : 8 008 515
Bonillo Richard
Nigend : 229 075
Nls : 6 568 768
Bonin Fabrice
Nigend : 173 914
Nls : 8 027 705
Bonneau Hubert
Nigend : 142 382
Nls : 5 306 173
Bonneau Thierry
Nigend : 132 490
Nls : 5 282 325
Bonneau Yohann
Nigend : 208 742
Nls : 8 062 392
Bonnin Guillaume
Nigend : 243 612
Nls : 8 088 653
Bonnot Florian
Nigend : 266 651
Nls : 0
Bontout Fabrice
Nigend : 159 118
Nls : 8 016 504
Borderie Stéphanie
Nigend : 178 077
Nls : 8 029 213
Borre David
Nigend : 170 732
Nls : 8 026 413
Bory Alain
Nigend : 132 364
Nls : 5 295 517
Bosc Arnaud
Nigend : 167 810
Nls : 8 023 707
Bottello Alexandra
Nigend : 225 512
Nls : 8 084 241
Bouche Bérangère
Nigend : 234 041
Nls : 8 086 292
Bouche Emmanuel
Nigend : 106 021
Nls : 5 157 326
Bouffiere Christine
Nigend : 215 237
Nls : 8 063 972
Bougy Alexandre
Nigend : 189 023
Nls : 8 035 783
Bouhier Clément
Nigend : 271 899
Nls : 0
Boulbes Marc
Nigend : 110 946
Nls : 5 174 617
Bourbiot Jean-Michel
Nigend : 108 264
Nls : 5 157 942
Bourgerie Thomas
Nigend : 164 559
Nls : 6 552 479
Bourget Lauris
Nigend : 209 958
Nls : 6 032 476
Bourillon Charles
Nigend : 154 449
Nls : 6 021 122
Bourillon Philippe
Nigend : 201 799
Nls : 8 052 597
Bourreau Éric
Nigend : 186 816
Nls : 6 537 328
Bourreau Philippe
Nigend : 148 850
Nls : 8 006 841
Boussin Ludovic
Nigend : 145 387
Nls : 8 004 909
Boussion Cédric
Nigend : 165 977
Nls : 8 022 415
Bouvier Frédéric-Étienne
Nigend : 181 326
Nls : 8 030 208
Bras Stéphane
Nigend : 167 212
Nls : 6 021 124
Braun Nicolas
Nigend : 217 883
Nls : 8 064 717
Breart De Boisanger Antoine
Nigend : 170 671
Nls : 6 037 897
Brebion Pascal
Nigend : 118 519
Nls : 5 242 010
Breffy Éric
Nigend : 139 000
Nls : 5 321 462
Brenon Fabrice
Nigend : 171 269
Nls : 8 026 815
Bressant Jean-Philippe
Nigend : 104 507
Nls : 5 173 753
Breteau Philippe
Nigend : 135 120
Nls : 5 312 132
Breton Pascal
Nigend : 153 928
Nls : 8 011 718
Brice Francis
Nigend : 147 156
Nls : 5 257 436
Brioude Frédéric
Nigend : 204 177
Nls : 8 055 071
Briqué Geoffroy
Nigend : 197 372
Nls : 8 048 801
Brobecker David
Nigend : 150 848
Nls : 8 009 014
Brognard Jean-Pierre
Nigend : 105 768
Nls : 5 172 514
Brot Lionel
Nigend : 158 377
Nls : 5 304 284
Broussard Virginie
Nigend : 308 372
Nls : 8 105 655
Brozek Alexis
Nigend : 105 886
Nls : 5 172 618
Brugnon Éric
Nigend : 101 501
Nls : 5 126 210
Brun Jean-François
Nigend : 177 108
Nls : 8 031 650
Brureau Antony
Nigend : 198 390
Nls : 8 053 412
Bugala Céline
Nigend : 228 671
Nls : 8 076 511
Burger Sylvain
Nigend : 131 749
Nls : 5 282 209
Burvénique David
Nigend : 160 511
Nls : 8 017 518
Cabioch Éric
Nigend : 144 504
Nls : 8 003 414
Caillaud Delphine
Nigend : 207 050
Nls : 8 062 313
Caillet Élodie
Nigend : 236 118
Nls : 8 081 235
Calderini Thierry
Nigend : 161 580
Nls : 8 018 618
Calmettes Cédric
Nigend : 240 576
Nls : 6 677 567
Camguilhem Cédric
Nigend : 169 138
Nls : 8 024 810
Candelier Roger
Nigend : 118 387
Nls : 5 241 021
Canlet Antonio
Nigend : 151 747
Nls : 8 009 820
Canot Joël
Nigend : 139 185
Nls : 5 305 225
Cantelou Philippe
Nigend : 117 019
Nls : 5 218 824
Cantet Éric
Nigend : 142 028
Nls : 5 272 110
Carbon Anne-Sophie
Nigend : 306 353
Nls : 8 100 630
Carette Jean-Louis
Nigend : 116 349
Nls : 5 219 109
Carre Cyril
Nigend : 161 102
Nls : 8 018 219
Carre Steven
Nigend : 315 685
Nls : 8 110 468
Carré Éric
Nigend : 117 652
Nls : 5 241 910
Casas Frédéric
Nigend : 109 176
Nls : 5 156 885
Cassel David
Nigend : 148 856
Nls : 8 006 645
Castanier Philippe
Nigend : 110 700
Nls : 5 150 417
Cat Jean-Louis
Nigend : 135 532
Nls : 5 323 719
Cathala Serge
Nigend : 118 528
Nls : 5 243 119
Catros Stéphane
Nigend : 153 768
Nls : 8 011 513
Caublot Raphaël
Nigend : 152 171
Nls : 8 010 211
Cauet Julien
Nigend : 197 175
Nls : 8 048 377
Caul-Futy Philippe
Nigend : 159 018
Nls : 8 016 319
Caulet Alain
Nigend : 144 795
Nls : 5 313 329
Caumette Brice
Nigend : 176 229
Nls : 6 584 180
Cauvin Christophe
Nigend : 149 990
Nls : 8 007 709
Cazenave Véronique
Nigend : 214 010
Nls : 8 063 926
Cazenave-Lacroutz Guy
Nigend : 123 183
Nls : 5 243 495
Cazzadori Patrice
Nigend : 124 756
Nls : 5 270 651
Celle Philippe
Nigend : 166 311
Nls : 8 022 511
Cenizo Thierry
Nigend : 165 985
Nls : 8 022 423
Cepollaro Philippe
Nigend : 141 769
Nls : 8 001 923
Cervantes Gérard
Nigend : 88 866
Nls : 5 089 627
Chabaud Stéphane
Nigend : 155 788
Nls : 8 013 323
Challe Franck
Nigend : 150 854
Nls : 8 009 019
Chambon Jean-Marc
Nigend : 166 882
Nls : 6 041 984
Champion Ludovic
Nigend : 166 124
Nls : 8 022 711
Chanal Jean-Marc
Nigend : 135 811
Nls : 5 322 112
Chantemerle Dominique
Nigend : 151 621
Nls : 8 009 509
Charles David
Nigend : 178 941
Nls : 8 041 422
Charonnat Olivier
Nigend : 135 812
Nls : 5 322 113
Charpigny Alex
Nigend : 137 416
Nls : 5 324 219
Chartier Laurent
Nigend : 176 234
Nls : 8 028 383
Chasseriau Gérard
Nigend : 94 317
Nls : 5 110 039
Chatelain Sébastien
Nigend : 207 767
Nls : 6 569 996
Chavanne Emmanuel
Nigend : 159 767
Nls : 8 016 922
Chaze Arnaud
Nigend : 182 589
Nls : 8 040 933
Cherault Jean-Luc
Nigend : 160 420
Nls : 6 011 455
Chevet Christophe
Nigend : 166 610
Nls : 8 022 824
Chignara Francis
Nigend : 164 439
Nls : 8 020 912
Chosson Guillaume
Nigend : 204 570
Nls : 8 055 255
Chrétien David
Nigend : 143 313
Nls : 8 000 517
Cieciorko David
Nigend : 244 509
Nls : 8 096 846
Cisowski Alain
Nigend : 170 679
Nls : 5 313 448
Ciszewski Christophe
Nigend : 148 442
Nls : 8 008 518
Claudel Alain
Nigend : 143 581
Nls : 8 002 811
Claudon Hugues
Nigend : 180 015
Nls : 8 029 715
Clement Franck
Nigend : 162 165
Nls : 8 019 204
Clerbout Sébastien
Nigend : 186 639
Nls : 8 034 693
Coateval Marc
Nigend : 214 359
Nls : 8 068 492
Coeurdoux Roxane
Nigend : 316 671
Nls : 8 110 869
Collet Frédéric
Nigend : 151 631
Nls : 8 009 512
Comparot Benoit
Nigend : 186 224
Nls : 8 041 154
Conseil Bruno
Nigend : 159 859
Nls : 5 158 897
Constanza Emmanuel
Nigend : 220 188
Nls : 6 597 834
Contreras Laurent
Nigend : 179 869
Nls : 8 036 766
Convers Benoit
Nigend : 211 399
Nls : 8 063 403
Corbet Jacky
Nigend : 186 727
Nls : 8 038 217
Cordel Bernard
Nigend : 95 733
Nls : 5 108 652
Cordier Joël
Nigend : 149 501
Nls : 8 007 320
Cornic Ronan
Nigend : 152 180
Nls : 8 010 219
Coste Nelly
Nigend : 247 825
Nls : 8 099 524
Cosyns Christine
Nigend : 138 694
Nls : 5 314 257
Cottez Adrien
Nigend : 241 519
Nls : 8 099 341
Coulon Alexandre
Nigend : 164 601
Nls : 8 021 326
Courtay Bruno
Nigend : 138 097
Nls : 5 324 508
Courtet Olivier
Nigend : 138 752
Nls : 5 296 838
Coy Frédéric
Nigend : 178 986
Nls : 8 029 620
Crelier Damien
Nigend : 239 906
Nls : 6 632 138
Cresci Sébastien
Nigend : 156 190
Nls : 5 303 705
Cuchet Alexandra
Nigend : 305 695
Nls : 6 628 471
Curien Philip
Nigend : 241 167
Nls : 8 088 009
Dages Hervé
Nigend : 119 410
Nls : 5 208 532
Daguet Olivier
Nigend : 106 612
Nls : 5 147 612
Dalier Dominique
Nigend : 124 674
Nls : 5 269 543
Damerval Thierry
Nigend : 141 466
Nls : 8 000 522
Danet Vincent
Nigend : 211 651
Nls : 6 549 685
Danthu Roger
Nigend : 144 138
Nls : 8 003 032
Dantzer Jean-Marc
Nigend : 121 147
Nls : 5 242 816
Daré David
Nigend : 203 357
Nls : 8 054 920
Dareoux Romain
Nigend : 217 581
Nls : 8 064 547
Darnet Gilles
Nigend : 160 998
Nls : 8 017 829
Daudrix Stéphane
Nigend : 150 490
Nls : 8 007 993
David Benoît
Nigend : 226 822
Nls : 8 084 585
David Fabrice
Nigend : 120 808
Nls : 5 221 117
Davin Didier
Nigend : 172 413
Nls : 8 027 130
Daziano-Leclercq Philippe
Nigend : 151 066
Nls : 8 009 130
De La Asuncion François
Nigend : 226 177
Nls : 6 594 374
De Serres de Mesples Benjamin
Nigend : 303 161
Nls : 8 102 350
De Trane Christian
Nigend : 167 634
Nls : 8 023 526
De Vanel de Lisleroy Arnaud
Nigend : 133 194
Nls : 5 311 150
Debar Guillaume
Nigend : 137 689
Nls : 5 281 835
Debernardi Philippe
Nigend : 107 724
Nls : 5 173 011
Debonne Stephan
Nigend : 166 328
Nls : 8 022 528
Debonniere Éric
Nigend : 148 171
Nls : 8 006 012
Dehay Michael
Nigend : 143 321
Nls : 8 000 723
Dehoucke Jérémy
Nigend : 241 421
Nls : 8 095 329
Dejean Michel
Nigend : 131 024
Nls : 5 283 230
Delafosse Romain
Nigend : 233 162
Nls : 8 085 949
Delalain Kévin
Nigend : 314 198
Nls : 8 109 632
Delalonde Alban
Nigend : 185 015
Nls : 8 034 316
Delamarre Vincent
Nigend : 176 246
Nls : 8 028 361
Delavaud Jérôme
Nigend : 155 276
Nls : 8 012 729
Delcourte Michaël
Nigend : 169 010
Nls : 8 024 722
Delehaye Gil
Nigend : 157 008
Nls : 8 014 422
Delestre Benoit
Nigend : 248 253
Nls : 8 089 426
Delmas Didier
Nigend : 127 263
Nls : 5 279 415
Delpierre Gilles
Nigend : 155 062
Nls : 5 321 082
Delsanti Fabrice
Nigend : 158 278
Nls : 8 015 726
Demain Jean-Marie
Nigend : 240 585
Nls : 6 644 569
Demazeau Jacques
Nigend : 124 367
Nls : 5 270 525
Demezon Grégoire
Nigend : 223 941
Nls : 6 648 703
Denis Laetitia
Nigend : 193 465
Nls : 8 045 494
Denis Philippe
Nigend : 105 905
Nls : 5 172 530
Deprez Olivier
Nigend : 188 500
Nls : 8 045 486
Derepper Claude
Nigend : 104 088
Nls : 5 173 331
Derville David
Nigend : 214 960
Nls : 6 625 559
Desbins Florian
Nigend : 197 200
Nls : 8 048 392
Desbordes Vincent
Nigend : 140 094
Nls : 5 271 931
Desquibes Dominique
Nigend : 118 408
Nls : 5 241 041
Desravines Magloire
Nigend : 111 808
Nls : 5 191 448
Devoille Dominique
Nigend : 128 161
Nls : 5 271 123
Devoir François-Geoffrey
Nigend : 232 258
Nls : 8 085 370
Dhénin Rémy
Nigend : 193 146
Nls : 8 047 351
Di Meo Michael
Nigend : 162 287
Nls : 6 033 509
Diaz Diégo
Nigend : 241 175
Nls : 8 088 014
Dignat Philippe
Nigend : 100 782
Nls : 5 126 038
Dikoume Éric
Nigend : 249 475
Nls : 6 695 733
Dinh Guillaume
Nigend : 240 586
Nls : 6 606 125
Dolatabadi Pierre
Nigend : 303 162
Nls : 8 102 237
Doré Christophe
Nigend : 163 010
Nls : 8 019 832
Drouet Philippe
Nigend : 110 145
Nls : 5 190 462
Drouot Sébastien
Nigend : 205 900
Nls : 8 058 591
Drut Jérémie
Nigend : 170 942
Nls : 8 025 823
Duault Olivier
Nigend : 161 266
Nls : 8 018 326
Duban Éric
Nigend : 264 048
Nls : 0
Dubeau François
Nigend : 170 691
Nls : 6 000 553
Dubois Cyrille
Nigend : 230 571
Nls : 8 085 051
Dubreucq Arnaud
Nigend : 230 493
Nls : 8 085 113
Dubuis Samuel
Nigend : 159 732
Nls : 6 037 923
Dubus Éric
Nigend : 164 175
Nls : 8 020 728
Dubus Sylvain
Nigend : 96 527
Nls : 5 124 450
Ducos Fabien
Nigend : 186 083
Nls : 8 038 132
Ducreuzet Stéphane
Nigend : 206 891
Nls : 8 060 596
Dumarski Hervé
Nigend : 139 747
Nls : 5 296 044
Dumesnil Richard
Nigend : 168 548
Nls : 8 024 339
Duong Van Hai Sébastien
Nigend : 305 347
Nls : 8 103 342
Dupin Thierry
Nigend : 121 274
Nls : 5 242 320
Dusserre Nicolas
Nigend : 244 412
Nls : 8 096 981
Duval Philippe
Nigend : 139 210
Nls : 5 305 139
Ehl Jean-Christophe
Nigend : 143 599
Nls : 8 002 820
Ehrenfeld Éric
Nigend : 203 888
Nls : 8 055 006
Ehret Alexis
Nigend : 176 549
Nls : 8 032 532
Émile Zola Place Guillaume
Nigend : 162 155
Nls : 8 018 077
Escot Vanessa
Nigend : 180 281
Nls : 8 036 377
Espinal Éric
Nigend : 195 177
Nls : 6 553 576
Estubier Nicolas
Nigend : 242 090
Nls : 8 088 328
Eternot Pascal
Nigend : 161 269
Nls : 8 018 330
Evain Yannick
Nigend : 137 194
Nls : 5 323 048
Fabre Christian
Nigend : 117 277
Nls : 5 219 140
Facca Éric
Nigend : 154 048
Nls : 5 239 743
Fajardo Michel
Nigend : 122 847
Nls : 5 244 033
Fardel Xavier
Nigend : 232 062
Nls : 8 085 539
Farines Luc
Nigend : 136 643
Nls : 5 254 833
Farrugia Nicolas
Nigend : 217 482
Nls : 8 070 793
Fauvelet Stéphane
Nigend : 146 228
Nls : 8 004 527
Faux Myriam
Nigend : 147 579
Nls : 8 005 644
Fenoy Jean-Philippe
Nigend : 105 422
Nls : 5 149 137
Feret Stéphane
Nigend : 179 313
Nls : 8 029 542
Fernandez Philippe
Nigend : 180 662
Nls : 8 033 534
Ferreira Michel
Nigend : 121 278
Nls : 5 242 920
Fevrier Rémy
Nigend : 305 728
Nls : 8 091 020
Ficca Luciano
Nigend : 117 966
Nls : 5 164 703
Figuiere Adrien
Nigend : 175 187
Nls : 8 030 344
Fillias Marc
Nigend : 138 114
Nls : 5 237 216
Fillon Christian
Nigend : 157 823
Nls : 8 015 500
Fischer Philippe
Nigend : 161 851
Nls : 8 018 827
Fléjou Paul
Nigend : 164 183
Nls : 8 021 628
Fobis Bertrand
Nigend : 210 395
Nls : 8 063 034
Fohrer Régis
Nigend : 157 812
Nls : 5 249 356
Fonteneau Harold
Nigend : 129 601
Nls : 5 282 537
Formaux Hervé
Nigend : 156 315
Nls : 8 014 029
Fournier Lucien
Nigend : 98 150
Nls : 5 107 034
Fradin Francis
Nigend : 89 446
Nls : 5 100 833
François Vincent
Nigend : 193 687
Nls : 8 047 553
Francois Julien
Nigend : 221 135
Nls : 8 073 270
François Samuel
Nigend : 247 518
Nls : 8 099 051
François Serge
Nigend : 120 695
Nls : 5 242 638
Frappart Laurent
Nigend : 165 554
Nls : 8 022 135
Freixe Daniel
Nigend : 186 004
Nls : 8 034 634
Fremy Francis
Nigend : 127 170
Nls : 5 280 124
Frenial Nicolas
Nigend : 151 087
Nls : 8 009 145
Friederich Sophie
Nigend : 142 732
Nls : 8 001 545
Fromont Christophe
Nigend : 148 885
Nls : 8 005 458
Fropo Henri
Nigend : 162 525
Nls : 8 019 231
Gabin Olivier
Nigend : 156 208
Nls : 8 013 747
Gaboriau Pierre-Luc
Nigend : 126 937
Nls : 5 280 031
Gagatek Daniel
Nigend : 108 749
Nls : 5 175 242
Gaillard Florence
Nigend : 167 198
Nls : 8 018 140
Gaj Georges
Nigend : 123 040
Nls : 5 270 323
Galin Jean-Marc
Nigend : 165 555
Nls : 8 022 136
Galliano Thierry
Nigend : 127 171
Nls : 5 280 125
Galvagno Gilles
Nigend : 166 007
Nls : 8 022 445
Gamba Hirachi
Nigend : 241 736
Nls : 8 095 018
Gambetta Nicolas
Nigend : 173 934
Nls : 8 027 730
Gandon Fabrice
Nigend : 132 550
Nls : 5 294 635
Garault Daniel
Nigend : 128 315
Nls : 5 282 357
Garcia David
Nigend : 234 817
Nls : 8 080 291
Garcia Philippe
Nigend : 120 451
Nls : 5 210 346
Gardet Paul
Nigend : 200 922
Nls : 8 057 126
Garence Cédric
Nigend : 215 210
Nls : 8 063 742
Garguilo Gilles
Nigend : 88 901
Nls : 5 089 656
Garnier Jean-Claude
Nigend : 191 122
Nls : 5 260 574
Garnier Philippe
Nigend : 138 014
Nls : 5 322 147
Garreau Stéphane
Nigend : 150 300
Nls : 8 008 141
Gauche Guillaume
Nigend : 138 015
Nls : 5 281 648
Gaudy Nicolas
Nigend : 164 461
Nls : 8 020 934
Gaufillier Nicolas
Nigend : 186 058
Nls : 6 572 756
Gazeu Patrick
Nigend : 111 355
Nls : 5 174 649
Gelineau Yannick
Nigend : 136 649
Nls : 5 322 955
Geneste Michel
Nigend : 106 402
Nls : 5 173 873
Genivet Éric
Nigend : 156 446
Nls : 8 013 824
Gentilhomme Bernard
Nigend : 96 020
Nls : 5 106 759
Genty Dominique
Nigend : 125 944
Nls : 5 243 358
Georges Stéphane
Nigend : 181 263
Nls : 8 030 229
Gerard Yohan
Nigend : 310 362
Nls : 8 092 161
Gérard Ghislain
Nigend : 117 973
Nls : 5 241 828
Gerome Yann
Nigend : 169 288
Nls : 8 024 947
Gervasoni Lionel
Nigend : 181 113
Nls : 6 032 067
Gerwig Mathias
Nigend : 227 473
Nls : 8 075 764
Gesquiére Francis
Nigend : 132 833
Nls : 5 294 746
Gest Ludovic
Nigend : 241 086
Nls : 8 087 806
Giacobi Gérald
Nigend : 190 547
Nls : 8 039 247
Gicquère Marc
Nigend : 140 704
Nls : 8 000 341
Gilibert Didier
Nigend : 100 258
Nls : 5 125 231
Gilliocq Mathieu
Nigend : 184 237
Nls : 8 032 751
Gineste Thierry
Nigend : 186 612
Nls : 5 314 064
Giraud Daniel
Nigend : 87 979
Nls : 5 089 271
Giroire Philippe
Nigend : 132 142
Nls : 5 295 431
Glemet Fabien
Nigend : 186 613
Nls : 5 263 161
Godichon Pascal
Nigend : 157 411
Nls : 8 014 335
Godin Jean-Christophe
Nigend : 183 389
Nls : 8 034 035
Goichon Delphine
Nigend : 246 340
Nls : 8 089 042
Gomez Vincent
Nigend : 174 227
Nls : 6 010 937
Gonin Pierre
Nigend : 149 793
Nls : 8 007 461
Gonzalez Alberto
Nigend : 162 314
Nls : 5 135 745
Gosmas Lionel
Nigend : 128 891
Nls : 5 282 917
Gosset Éric
Nigend : 150 827
Nls : 6 009 017
Gouffran Gilles
Nigend : 200 030
Nls : 8 048 737
Gouvernet Guillaume
Nigend : 189 525
Nls : 8 042 491
Grange Christophe
Nigend : 178 108
Nls : 8 029 246
Gravier Cyrille
Nigend : 154 057
Nls : 8 011 849
Gregoire Arnaud
Nigend : 229 303
Nls : 8 084 702
Grether Alexandre
Nigend : 178 109
Nls : 8 028 947
Grignion-Saltiel Philippe
Nigend : 135 155
Nls : 5 312 153
Gris René
Nigend : 115 386
Nls : 5 219 294
Grochowalski Frank
Nigend : 206 584
Nls : 8 060 093
Grondin Régis
Nigend : 161 018
Nls : 8 017 846
Grosjean Jonathan
Nigend : 305 241
Nls : 8 103 782
Grosskost Philippe
Nigend : 144 418
Nls : 8 003 552
Guédon Thierry
Nigend : 92 588
Nls : 5 102 428
Guegan Élodie
Nigend : 307 836
Nls : 8 105 240
Guerin Myrtille
Nigend : 125 528
Nls : 5 271 410
Guérin Fabrice
Nigend : 118 905
Nls : 5 220 855
Guglielmi Philippe
Nigend : 162 221
Nls : 8 019 150
Guichard Éric
Nigend : 109 455
Nls : 5 158 142
Guidou Frédéric
Nigend : 142 918
Nls : 8 002 147
Guilbault Fabien
Nigend : 162 085
Nls : 8 019 055
Guillard Sébastien
Nigend : 154 509
Nls : 8 012 234
Guillaume David
Nigend : 165 443
Nls : 8 022 035
Guillemaud Christophe
Nigend : 143 203
Nls : 8 002 572
Guillerm Mickaël
Nigend : 164 546
Nls : 6 541 947
Guillou Greg
Nigend : 212 310
Nls : 8 067 165
Guillout Patrick
Nigend : 137 437
Nls : 5 254 847
Guitton Jean-Noël
Nigend : 154 749
Nls : 8 012 337
Hallart Manuel
Nigend : 163 328
Nls : 8 020 144
Hamann René
Nigend : 103 204
Nls : 5 173 171
Hanart Fabrice
Nigend : 153 572
Nls : 8 011 242
Hannotel Pascal
Nigend : 167 154
Nls : 5 141 190
Hanquez Frédéric
Nigend : 154 750
Nls : 8 012 338
Hantisse Julien
Nigend : 207 707
Nls : 8 061 659
Harand-Busson Patrick
Nigend : 125 207
Nls : 5 279 737
Hardy Romuald
Nigend : 226 186
Nls : 8 084 441
Harostéguy Frédéric
Nigend : 141 793
Nls : 8 001 947
Haté Franck
Nigend : 123 855
Nls : 5 243 582
Hauffmann Pascal
Nigend : 156 740
Nls : 8 014 258
Havez Olivier
Nigend : 190 877
Nls : 8 045 975
Hayes Jean-Marc
Nigend : 127 280
Nls : 5 279 432
Heard Ludovic
Nigend : 187 942
Nls : 8 038 547
Heliot Richard
Nigend : 154 752
Nls : 8 012 340
Helvin Christophe
Nigend : 111 723
Nls : 5 186 769
Hémon David
Nigend : 173 760
Nls : 8 031 455
Hennequin Laurent
Nigend : 161 860
Nls : 8 018 836
Herbulot Philippe
Nigend : 132 844
Nls : 5 294 757
Heron Franck
Nigend : 172 165
Nls : 8 027 251
Herve Jean-Pierre
Nigend : 90 366
Nls : 5 101 049
Hervy Christophe
Nigend : 158 302
Nls : 8 015 749
Hestault Daniel
Nigend : 117 880
Nls : 5 230 289
Heurteaux Thierry
Nigend : 108 519
Nls : 5 186 522
Heurtevent Franck
Nigend : 151 503
Nls : 8 009 638
Hily Stéphane
Nigend : 218 465
Nls : 8 064 939
Hingant Aurélien
Nigend : 206 099
Nls : 8 055 150
Hocde David
Nigend : 173 081
Nls : 8 027 550
Hodéra Julien
Nigend : 243 482
Nls : 8 096 334
Hoestlandt Yannick
Nigend : 152 681
Nls : 8 010 632
Houzelle Fabrice
Nigend : 161 861
Nls : 8 018 837
Huet Nicolas
Nigend : 183 825
Nls : 8 037 603
Huet Stéphane
Nigend : 209 744
Nls : 8 062 825
Huger Nicolas
Nigend : 194 299
Nls : 8 047 848
Hugon Thierry
Nigend : 131 403
Nls : 5 294 955
Hurault David
Nigend : 200 084
Nls : 8 048 635
Hurault Pierre
Nigend : 95 780
Nls : 5 108 699
Imhoff Estelle
Nigend : 224 442
Nls : 8 083 833
Innocenti Frédéric
Nigend : 164 621
Nls : 8 021 350
Isambourg Hervé
Nigend : 132 845
Nls : 5 294 758
Israel Jean-Marie
Nigend : 122 775
Nls : 5 243 959
Istria Tristan
Nigend : 227 553
Nls : 6 644 345
Izoré Stéphane
Nigend : 159 166
Nls : 8 016 525
Jablanscek Patrick
Nigend : 152 093
Nls : 8 010 041
Jacob Xavier
Nigend : 159 800
Nls : 8 016 954
Jacoutot Philippe
Nigend : 103 212
Nls : 5 173 176
Jaffard Fabien
Nigend : 193 742
Nls : 8 047 453
Jamme Norbert
Nigend : 126 412
Nls : 5 279 881
Jaudon Sébastien
Nigend : 240 590
Nls : 6 605 984
Jaulin Olivier
Nigend : 164 476
Nls : 8 020 949
Jaureguy Alexandre
Nigend : 197 117
Nls : 8 048 524
Jean Patrice
Nigend : 142 746
Nls : 8 001 454
Jeandenand Marc
Nigend : 314 100
Nls : 8 109 552
Jeanville Claude
Nigend : 188 635
Nls : 8 042 381
Jeanvoine Mickaël
Nigend : 227 122
Nls : 8 058 401
Jezequel Sylvain
Nigend : 247 536
Nls : 8 099 066
Jolly Michel
Nigend : 157 561
Nls : 8 015 045
Joonnekindt Alexis
Nigend : 144 178
Nls : 8 003 441
Josselin Stéphane
Nigend : 126 837
Nls : 5 279 254
Jouanneau David
Nigend : 233 202
Nls : 6 556 583
Jouhandeaux Frédéric
Nigend : 148 202
Nls : 8 006 039
Joulin Damien
Nigend : 168 872
Nls : 8 024 651
Judes Ludovic
Nigend : 301 521
Nls : 6 709 696
Jupille Mathieu
Nigend : 231 144
Nls : 8 085 338
Juste Cédric
Nigend : 206 100
Nls : 8 055 151
Kappelmeyer Lionel
Nigend : 120 715
Nls : 5 242 649
Kech Vincent
Nigend : 238 125
Nls : 8 082 760
Kerbriand-Postic Lionel
Nigend : 301 173
Nls : 8 090 186
Kervella Marylène
Nigend : 240 395
Nls : 8 094 601
Kestler Jérôme
Nigend : 176 195
Nls : 5 298 905
Kimmel Christophe
Nigend : 167 547
Nls : 8 023 359
Knittel Patrick
Nigend : 107 643
Nls : 5 157 846
Koenig Christophe
Nigend : 137 948
Nls : 5 281 656
Konrad Olivier
Nigend : 174 549
Nls : 8 028 055
Kouvtanovitch Laurent
Nigend : 152 233
Nls : 8 011 342
Kovès Bruno
Nigend : 70 346
Nls : 5 293 639
Kowalski Thomas
Nigend : 248 271
Nls : 8 089 442
Kuntz Christian
Nigend : 162 388
Nls : 8 019 353
Kurtz Pascal
Nigend : 125 008
Nls : 5 244 346
L’Héréec Stéphane
Nigend : 140 984
Nls : 8 020 639
La Planeta Georges
Nigend : 137 339
Nls : 5 054 563
Lacoine Dorian
Nigend : 244 653
Nls : 8 097 245
Lacôte Alain
Nigend : 117 666
Nls : 5 241 838
Lafargue Dominique
Nigend : 121 708
Nls : 5 244 553
Laffon Bernard
Nigend : 125 837
Nls : 5 279 955
Laget Marion
Nigend : 235 033
Nls : 8 080 568
Laguilliez Philippe
Nigend : 163 036
Nls : 8 019 250
Lambert Gérald
Nigend : 143 493
Nls : 5 226 542
Lambert Jean-Luc
Nigend : 95 007
Nls : 5 110 170
Lambert Nicolas
Nigend : 220 229
Nls : 8 083 401
Lancon Éric
Nigend : 127 614
Nls : 5 281 162
Langlois Bruno
Nigend : 143 496
Nls : 5 325 124
Lanoire Dominique
Nigend : 145 073
Nls : 5 187 179
Larrieu Jean-Philippe
Nigend : 140 574
Nls : 5 325 321
Lartigue Jacques
Nigend : 84 642
Nls : 8 002 473
Lauhea Cynthia
Nigend : 306 983
Nls : 8 104 891
Launay Aurélien
Nigend : 273 986
Nls : 8 112 483
Launay Christophe
Nigend : 123 062
Nls : 5 270 192
Laurent Yann
Nigend : 197 403
Nls : 8 048 851
Lavergne Régis
Nigend : 164 536
Nls : 8 020 381
Lavie Stéphane
Nigend : 144 842
Nls : 8 002 067
Laviéville Cédric
Nigend : 225 668
Nls : 8 084 143
Le Banner Régis
Nigend : 102 888
Nls : 5 173 701
Le Berre Jildaz
Nigend : 169 974
Nls : 8 025 449
Le Bert Alain
Nigend : 131 679
Nls : 5 294 454
Le Brun Hervé
Nigend : 141 255
Nls : 8 001 268
Le Cadre Christophe
Nigend : 156 331
Nls : 8 014 045
Le Cam Erwan
Nigend : 194 925
Nls : 8 049 800
Le Courtois Régis
Nigend : 166 991
Nls : 8 023 056
Le Craz Luc
Nigend : 108 527
Nls : 5 149 663
Le Doussal Christophe
Nigend : 155 460
Nls : 8 013 145
Le Garrec Yannick
Nigend : 150 658
Nls : 8 008 459
Le Guillou Nicolas
Nigend : 182 549
Nls : 8 030 992
Le Guyader Laurent
Nigend : 163 664
Nls : 8 019 260
Le Manhec Jacques
Nigend : 139 621
Nls : 8 000 241
Le Ret Alexandra
Nigend : 200 543
Nls : 8 052 101
Le Tirant David
Nigend : 144 968
Nls : 8 003 667
Le Trequesser Philippe
Nigend : 154 672
Nls : 8 012 279
Leclerc Romuald
Nigend : 178 131
Nls : 8 029 262
Leclère Gérald
Nigend : 165 865
Nls : 8 022 353
Lecomte Cédric
Nigend : 174 368
Nls : 8 030 515
Lecomte Jean-Michel
Nigend : 125 011
Nls : 5 244 349
Leconte Silvère
Nigend : 128 073
Nls : 5 281 271
Lecourt Thierry
Nigend : 193 471
Nls : 5 235 473
Lecru Grégory
Nigend : 185 007
Nls : 8 034 329
Ledent Serge
Nigend : 129 028
Nls : 5 283 673
Ledig Gérard
Nigend : 94 465
Nls : 5 107 288
Lefebvre Cyril
Nigend : 220 542
Nls : 8 072 823
Lefebvre Laurent
Nigend : 248 276
Nls : 8 089 447
Lefeuvre Raphaël
Nigend : 184 727
Nls : 6 536 587
Lefour Jean-luc
Nigend : 167 262
Nls : 5 296 944
Leger Pascal
Nigend : 135 384
Nls : 5 135 758
Legouhy Christophe
Nigend : 148 484
Nls : 8 006 257
Legrand Jérôme
Nigend : 156 754
Nls : 8 013 970
Legrand Julien
Nigend : 193 882
Nls : 8 047 665
Leignel Jacques
Nigend : 111 736
Nls : 5 175 747
Leleu Gilles
Nigend : 120 125
Nls : 5 220 447
Lelievre Éric
Nigend : 123 066
Nls : 5 270 248
Lemonnier Cyril
Nigend : 241 998
Nls : 8 088 261
Lerouge David
Nigend : 233 343
Nls : 6 536 201
Lesaffre Laurent
Nigend : 164 576
Nls : 6 027 431
Lestrez Philippe
Nigend : 135 041
Nls : 5 311 484
Letanoux Gilles
Nigend : 200 282
Nls : 8 050 163
Letoux Pierre
Nigend : 309 427
Nls : 8 106 818
Levoyer Thierry
Nigend : 108 994
Nls : 5 149 783
Lhyvernay Stéphane-Pierre
Nigend : 129 725
Nls : 5 283 060
Lichet Charles
Nigend : 154 304
Nls : 8 012 151
Lievin Bernard
Nigend : 114 001
Nls : 5 191 660
Lionnet Maud
Nigend : 210 144
Nls : 8 050 289
Lippmann Alexandre
Nigend : 212 883
Nls : 8 067 476
Lohier David
Nigend : 140 728
Nls : 8 000 360
Louati Nabil
Nigend : 242 948
Nls : 8 096 026
Louchouarn Erwan
Nigend : 305 379
Nls : 8 103 382
Louis Xavier
Nigend : 156 757
Nls : 8 014 271
Loutz Didier
Nigend : 144 700
Nls : 8 002 276
Luboinski Lionel
Nigend : 310 488
Nls : 8 107 265
Lucas David
Nigend : 150 320
Nls : 8 008 161
Luta Benjamin
Nigend : 190 170
Nls : 8 058 685
Machin François-Emmanuel
Nigend : 148 620
Nls : 8 006 470
Maës Olivier
Nigend : 187 132
Nls : 8 053 692
Mahé Yannick
Nigend : 138 274
Nls : 5 322 362
Maillet Jean-Denis
Nigend : 238 374
Nls : 8 082 885
Maitrehut Murielle
Nigend : 228 337
Nls : 8 058 497
Malard Jean-Luc
Nigend : 108 459
Nls : 5 151 034
Mallet Christophe
Nigend : 188 068
Nls : 8 038 555
Mallet Fabrice
Nigend : 171 448
Nls : 8 026 966
Malville Cindy
Nigend : 240 646
Nls : 8 094 748
Malvoisin Christian
Nigend : 105 821
Nls : 5 172 456
Manceau Julien
Nigend : 192 063
Nls : 8 040 063
Mangeot Julien
Nigend : 167 113
Nls : 8 023 251
Marc Frédéric
Nigend : 194 428
Nls : 8 047 710
Marchal Pascal
Nigend : 143 231
Nls : 8 002 598
Marchal Pierre-Marie
Nigend : 164 212
Nls : 8 020 763
Marchand Bruno
Nigend : 157 187
Nls : 8 014 658
Marestin Philippe
Nigend : 193 752
Nls : 8 047 429
Marie Olivier
Nigend : 317 076
Nls : 8 111 148
Marié Bastien
Nigend : 168 772
Nls : 8 024 568
Marion Virginie
Nigend : 233 747
Nls : 8 080 094
Marotel Xavier
Nigend : 231 412
Nls : 6 664 268
Martin Bruno
Nigend : 125 974
Nls : 5 271 072
Martin Jennifer
Nigend : 224 830
Nls : 8 074 191
Martin Yoann
Nigend : 229 545
Nls : 8 077 246
Martinelli Franck
Nigend : 140 596
Nls : 5 325 342
Martinez Christelle
Nigend : 198 759
Nls : 8 053 663
Martorana Fabien
Nigend : 226 193
Nls : 8 084 448
Marx Christophe
Nigend : 109 694
Nls : 5 149 869
Marzi Jean-Paul
Nigend : 123 532
Nls : 5 269 561
Mas Pascal
Nigend : 121 185
Nls : 5 242 766
Massard Julien
Nigend : 193 676
Nls : 8 047 568
Massiot Hervé
Nigend : 132 862
Nls : 5 294 673
Masson Jean
Nigend : 125 975
Nls : 5 243 373
Masson Rachel
Nigend : 232 610
Nls : 8 079 179
Mathon Renaud
Nigend : 150 773
Nls : 8 007 965
Maudhuit Franck
Nigend : 184 973
Nls : 8 034 335
Maulin Vincent
Nigend : 164 973
Nls : 8 021 570
Maurice Yann
Nigend : 186 130
Nls : 8 038 161
Medici Michel
Nigend : 105 188
Nls : 5 172 284
Meens Michel
Nigend : 164 861
Nls : 8 021 475
Meersch Jean-Christophe
Nigend : 248 290
Nls : 8 089 460
Meneau Christophe
Nigend : 159 987
Nls : 8 017 074
Mertes René
Nigend : 104 691
Nls : 5 173 060
Mesmacre Justine
Nigend : 249 148
Nls : 8 100 135
Messager Pascal
Nigend : 129 550
Nls : 5 233 896
Messaoudi Kamal
Nigend : 232 273
Nls : 8 085 481
Meunier Cyril
Nigend : 163 441
Nls : 8 020 065
Michard Julien
Nigend : 193 536
Nls : 8 047 489
Michaud Didier
Nigend : 135 463
Nls : 5 322 858
Michaux Christopher
Nigend : 306 425
Nls : 8 104 263
Michel Fabien
Nigend : 313 395
Nls : 8 108 964
Michel Jean-Pierre
Nigend : 154 614
Nls : 5 207 709
Michel Nicolas
Nigend : 133 235
Nls : 5 295 270
Michelin Nicolas
Nigend : 245 732
Nls : 8 088 935
Michelin Romain
Nigend : 231 153
Nls : 8 085 346
Michon Marc
Nigend : 186 997
Nls : 8 043 441
Milhe Christian
Nigend : 105 961
Nls : 5 172 566
Milon Gilles
Nigend : 145 999
Nls : 5 272 620
Milonet Stéphane
Nigend : 166 893
Nls : 8 023 117
Mior Philippe
Nigend : 127 305
Nls : 5 279 357
Mirabel Marc
Nigend : 210 635
Nls : 8 065 786
Miraton Hervé
Nigend : 197 381
Nls : 8 048 868
Mitride Stéphane
Nigend : 226 306
Nls : 8 084 341
Molinari Sébastien
Nigend : 179 613
Nls : 8 036 716
Monguillon Dominique
Nigend : 170 860
Nls : 6 015 966
Montrignac Jean-Marc
Nigend : 145 349
Nls : 8 003 790
Morandeau Denis
Nigend : 193 705
Nls : 8 047 573
Morard Jean-Marie
Nigend : 120 851
Nls : 5 221 149
Moreau Philippe
Nigend : 99 516
Nls : 5 148 021
Moret Mickaël
Nigend : 199 888
Nls : 8 047 092
Morice Xavier
Nigend : 193 878
Nls : 8 047 676
Mouaze Sébastien
Nigend : 167 878
Nls : 8 023 668
Mouchet David
Nigend : 147 377
Nls : 8 005 856
Moulins Sylvestre
Nigend : 154 616
Nls : 8 002 476
Mounier Gérard
Nigend : 109 112
Nls : 5 149 854
Mouraud Émilie
Nigend : 243 379
Nls : 8 096 245
Mourelon Bernard
Nigend : 169 113
Nls : 5 225 476
Mousel Christophe
Nigend : 169 204
Nls : 8 024 874
Mucciante Jean-Pierre
Nigend : 109 113
Nls : 5 149 855
Mugierman Steve
Nigend : 232 109
Nls : 8 085 555
Muraro Didier
Nigend : 129 342
Nls : 5 283 762
Narbaud Stéphane
Nigend : 183 281
Nls : 8 033 965
Nicard François
Nigend : 232 204
Nls : 8 085 637
Nicol Éric
Nigend : 139 530
Nls : 5 323 552
Nicolas Jean-Luc
Nigend : 110 894
Nls : 5 150 561
Nicolas Yvon
Nigend : 213 988
Nls : 8 063 939
Nies Thomas
Nigend : 156 243
Nls : 8 013 377
Noloy Thierry
Nigend : 140 903
Nls : 8 000 976
Nomdedeu Arnaud
Nigend : 232 115
Nls : 8 085 557
Norhadian Franck
Nigend : 189 124
Nls : 8 039 075
Norroy Olivier
Nigend : 162 661
Nls : 8 019 566
Nourel Stéphane
Nigend : 312 148
Nls : 8 108 379
Noyelle Loïc
Nigend : 184 976
Nls : 8 034 338
Nys Michaël
Nigend : 229 164
Nls : 8 084 955
Ooghe Fabien
Nigend : 190 251
Nls : 8 038 979
Orvoën Stéphane
Nigend : 69 824
Nls : 5 271 383
Ottonello Jacques
Nigend : 124 505
Nls : 5 244 168
Page Florent
Nigend : 192 327
Nls : 8 040 469
Page Jérôme
Nigend : 150 786
Nls : 8 008 074
Pages Laurent
Nigend : 185 246
Nls : 5 315 763
Painset Éric
Nigend : 165 714
Nls : 8 022 270
Palermo Emmanuel
Nigend : 166 792
Nls : 8 022 967
Paloschi Dominique
Nigend : 116 055
Nls : 5 218 063
Papin Patrick
Nigend : 119 677
Nls : 5 241 071
Pardonneau Vincent
Nigend : 198 685
Nls : 8 030 995
Paris Jean-Marc
Nigend : 159 721
Nls : 8 016 547
Pasquerault Thierry
Nigend : 135 317
Nls : 5 311 618
Passier Émilie
Nigend : 308 769
Nls : 8 091 623
Patricio Christophe
Nigend : 183 285
Nls : 8 033 971
Paul Hervé
Nigend : 169 575
Nls : 8 025 077
Pauty Louis
Nigend : 186 065
Nls : 6 572 822
Pawlik Rodolphe
Nigend : 209 207
Nls : 8 062 914
Peeters Jean-Louis
Nigend : 139 796
Nls : 5 264 385
Pegeot Patrick
Nigend : 166 464
Nls : 8 022 886
Pegot Patrick
Nigend : 70 516
Nls : 5 282 781
Pelleau Grégory
Nigend : 243 099
Nls : 8 088 631
Pellerin Christophe
Nigend : 139 533
Nls : 5 323 554
Pelletier Jean-Pascal
Nigend : 102 270
Nls : 5 126 598
Perbet Richard
Nigend : 121 844
Nls : 5 269 889
Perchec Erwan
Nigend : 157 462
Nls : 8 014 384
Percheval Pierre-Alain
Nigend : 203 667
Nls : 8 058 144
Périgord Sophie
Nigend : 223 924
Nls : 8 083 726
Perrault François
Nigend : 243 167
Nls : 8 088 581
Perreau Laurent
Nigend : 162 566
Nls : 8 019 471
Perrin Jérôme
Nigend : 167 185
Nls : 8 021 189
Perrin Laurent
Nigend : 152 900
Nls : 8 010 777
Perrin Yannick
Nigend : 305 405
Nls : 8 103 408
Perrot Grégory
Nigend : 214 144
Nls : 8 068 447
Perrotin Pascal
Nigend : 123 366
Nls : 5 244 859
Pertue Jean
Nigend : 249 509
Nls : 8 089 897
Peset Patrick
Nigend : 158 860
Nls : 8 015 979
Petillot André
Nigend : 147 162
Nls : 5 257 534
Petit Emmanuel
Nigend : 134 701
Nls : 5 311 865
Petitjean Étienne
Nigend : 98 423
Nls : 5 098 360
Petitpas Tony
Nigend : 184 196
Nls : 8 034 348
Petry Hervé
Nigend : 166 434
Nls : 8 022 887
Peyre David
Nigend : 195 045
Nls : 8 047 785
Peyrottes Christian
Nigend : 129 350
Nls : 5 283 773
Pezza Olivier
Nigend : 215 170
Nls : 6 566 825
Pham Hoaï Emmanuel
Nigend : 223 926
Nls : 8 083 739
Philippe Anthony
Nigend : 177 832
Nls : 8 036 282
Philippe Patrice
Nigend : 145 465
Nls : 8 004 876
Picard Dominique
Nigend : 129 351
Nls : 5 283 774
Picard Xavier
Nigend : 224 263
Nls : 8 083 949
Picot Jean-Luc
Nigend : 206 606
Nls : 8 060 193
Pieri Marlène
Nigend : 187 952
Nls : 8 038 457
Pierrat-Labolle Yanick
Nigend : 154 316
Nls : 8 012 163
Pierre Benoît
Nigend : 163 361
Nls : 8 020 177
Pieters Jean-Philippe
Nigend : 158 970
Nls : 8 016 275
Pillon Martial
Nigend : 215 805
Nls : 8 064 291
Pinault Laurent
Nigend : 168 502
Nls : 8 024 286
Pinna Michaël
Nigend : 196 288
Nls : 8 048 336
Planchon André
Nigend : 136 562
Nls : 5 324 077
Plard Sébastien
Nigend : 163 063
Nls : 8 019 875
Plat Jean-Michel
Nigend : 105 620
Nls : 5 173 579
Plenert Arnaud
Nigend : 211 184
Nls : 8 065 972
Plesel Bruno
Nigend : 189 851
Nls : 8 035 300
Plisson Jean-François
Nigend : 133 120
Nls : 5 295 161
Podevin Christian
Nigend : 85 572
Nls : 5 089 025
Podvin Patrice
Nigend : 126 330
Nls : 5 279 174
Poinsignon Cyriaque
Nigend : 169 328
Nls : 5 318 630
Poiret Thomas
Nigend : 202 673
Nls : 8 054 693
Pommier Cédric
Nigend : 310 381
Nls : 8 092 180
Port Nathalie
Nigend : 173 118
Nls : 8 027 577
Postif Isabelle
Nigend : 151 419
Nls : 8 009 493
Potel Benjamin
Nigend : 208 986
Nls : 8 050 780
Pottier Romain
Nigend : 237 967
Nls : 8 082 624
Poulain Franck
Nigend : 148 125
Nls : 8 008 685
Poumeau de Lafforest Guillaume
Nigend : 186 067
Nls : 6 572 934
Pous Damien
Nigend : 230 071
Nls : 8 077 656
Pradier Éric
Nigend : 154 545
Nls : 8 011 369
Prevent Thierry
Nigend : 168 001
Nls : 8 024 176
Prieur Didier
Nigend : 140 271
Nls : 5 296 250
Provost Patrice
Nigend : 105 726
Nls : 5 127 179
Provost Pierre-Yves
Nigend : 143 388
Nls : 8 000 679
Pruniaux Samuel
Nigend : 206 071
Nls : 8 055 163
Pury Vincent
Nigend : 234 162
Nls : 8 086 405
Quartesan Cédric
Nigend : 171 344
Nls : 8 026 878
Quelen Yann
Nigend : 238 763
Nls : 8 087 221
Quéré Christine
Nigend : 220 263
Nls : 8 083 469
Queva Jean-Michel
Nigend : 147 149
Nls : 5 281 902
Quint Sébastien
Nigend : 199 548
Nls : 8 050 081
Quintard Thierry
Nigend : 167 268
Nls : 5 286 786
Raballand Sandy
Nigend : 245 522
Nls : 8 097 879
Rabaste Jean-Pierre
Nigend : 132 449
Nls : 5 295 476
Racine Stéphane
Nigend : 181 608
Nls : 8 036 733
Ragel Franck
Nigend : 157 601
Nls : 8 015 079
Rajca Thierry
Nigend : 148 962
Nls : 8 006 690
Rambour Romain
Nigend : 241 270
Nls : 8 088 117
Rastouil David
Nigend : 176 392
Nls : 8 028 779
Rathouin Jean-Claude
Nigend : 119 405
Nls : 5 038 210
Raud Sébastien
Nigend : 184 013
Nls : 8 042 317
Raulet Jean-Claude
Nigend : 193 041
Nls : 5 268 724
Ravan-Nalbandian Sébastien
Nigend : 165 468
Nls : 8 022 074
Ravet Damien
Nigend : 199 384
Nls : 8 050 082
Ravotti Frank
Nigend : 217 990
Nls : 8 064 819
Ray Marie-Christelle
Nigend : 182 362
Nls : 8 038 019
Rayton Yannick
Nigend : 129 749
Nls : 5 282 983
Razgallah Mansour
Nigend : 139 902
Nls : 5 272 182
Real Patrick
Nigend : 164 645
Nls : 8 021 374
Recht Alexandre
Nigend : 202 773
Nls : 5 293 202
Recorbet Fabrice
Nigend : 155 624
Nls : 8 012 987
Redon Patrice
Nigend : 173 351
Nls : 8 027 683
Reiland Jean-Philippe
Nigend : 133 251
Nls : 5 311 177
Renard Mickaël
Nigend : 198 579
Nls : 8 046 958
Renard Pascal
Nigend : 135 070
Nls : 5 311 514
Renaud Kevin
Nigend : 301 785
Nls : 8 101 168
Rendy Rodrigue
Nigend : 202 649
Nls : 8 054 386
Renou Jean
Nigend : 96 092
Nls : 5 106 724
Renouis Patrick
Nigend : 187 295
Nls : 5 082 385
Resplandy Christophe
Nigend : 103 710
Nls : 5 173 256
Resseguier Éric
Nigend : 135 071
Nls : 5 311 515
Revaux Angéline
Nigend : 205 714
Nls : 8 058 543
Rey Serge
Nigend : 144 214
Nls : 8 002 888
Reynaert Jean-Louis
Nigend : 99 734
Nls : 5 125 859
Reynaud Francis
Nigend : 192 121
Nls : 8 040 084
Reynaud Frédéric
Nigend : 158 709
Nls : 5 273 028
Richalet Frédéric
Nigend : 126 979
Nls : 5 280 079
Richard Fredy
Nigend : 147 082
Nls : 8 005 085
Richoux Arnaud
Nigend : 226 465
Nls : 8 084 528
Ridao Jean-Patrick
Nigend : 114 694
Nls : 5 154 533
Rigaux Christophe
Nigend : 154 433
Nls : 8 012 083
Rimbault Christophe
Nigend : 212 253
Nls : 6 546 787
Ringenbach André
Nigend : 100 300
Nls : 0
Rio Olivier
Nigend : 226 300
Nls : 8 084 346
Rioux Stéphane
Nigend : 155 860
Nls : 8 013 280
Rivoal Nicolas
Nigend : 167 893
Nls : 8 023 684
Robbe Christian
Nigend : 114 024
Nls : 5 191 874
Robert Bertrand
Nigend : 157 476
Nls : 8 013 991
Robert Bruno
Nigend : 171 635
Nls : 8 026 173
Robert Fabien
Nigend : 191 807
Nls : 8 051 916
Robin Line
Nigend : 167 130
Nls : 8 023 269
Roble Frédéric
Nigend : 192 803
Nls : 8 049 257
Rodanet Claude
Nigend : 177 582
Nls : 8 029 180
Rodrigo Michel
Nigend : 141 544
Nls : 8 000 588
Roletti Bruno
Nigend : 303 026
Nls : 8 090 589
Rolland Frédéric
Nigend : 176 226
Nls : 6 581 571
Rolland Patrice
Nigend : 163 913
Nls : 8 020 678
Romain Thierry
Nigend : 114 720
Nls : 5 021 514
Ronecker Sophie
Nigend : 196 393
Nls : 8 048 343
Rossi Thomas
Nigend : 207 103
Nls : 8 061 164
Roulet Serge
Nigend : 162 574
Nls : 8 019 480
Roussakoff Sébastien
Nigend : 230 533
Nls : 8 085 149
Rousseau Christian
Nigend : 123 448
Nls : 5 244 969
Rousseau Tanguy
Nigend : 163 555
Nls : 8 020 274
Rousselin Jesahel
Nigend : 190 872
Nls : 8 039 790
Rousset Didier
Nigend : 108 388
Nls : 5 173 941
Rouyer Michael
Nigend : 167 585
Nls : 8 023 294
Royer Josselyn
Nigend : 239 954
Nls : 8 087 566
Rusin Éric
Nigend : 134 437
Nls : 5 311 382
Sabine Michael
Nigend : 217 222
Nls : 8 070 594
Sachot René
Nigend : 89 550
Nls : 5 100 967
Saffour Najib
Nigend : 213 540
Nls : 8 063 829
Sainz David
Nigend : 167 133
Nls : 8 023 273
Salic Stéphane
Nigend : 150 595
Nls : 8 008 391
Sammartano Claude
Nigend : 134 180
Nls : 5 294 885
Sanchez Frédéric
Nigend : 169 587
Nls : 8 025 083
Sanis Patrick
Nigend : 127 539
Nls : 5 188 745
Santoul Florent
Nigend : 305 516
Nls : 8 103 931
Sarhado Sébastien
Nigend : 234 169
Nls : 8 086 412
Satge Daniel
Nigend : 168 129
Nls : 5 320 917
Sauget Dominique
Nigend : 113 147
Nls : 5 189 389
Schely Patrick
Nigend : 142 510
Nls : 8 001 764
Scherrer Ghislain
Nigend : 163 071
Nls : 8 019 883
Schneider Arnaud
Nigend : 138 316
Nls : 5 322 403
Schneider Philippe
Nigend : 126 771
Nls : 5 093 011
Schoefflen Dany
Nigend : 106 690
Nls : 5 147 578
Schoenher Dominique
Nigend : 164 568
Nls : 6 552 602
Sergent Jean-Yves
Nigend : 155 507
Nls : 8 013 187
Serra Christophe
Nigend : 140 758
Nls : 8 000 390
Serrier Jérôme
Nigend : 181 412
Nls : 6 546 139
Servettaz Jérôme
Nigend : 150 832
Nls : 8 009 203
Sery Jean-Bernard
Nigend : 150 925
Nls : 8 009 083
Seys Fabien
Nigend : 109 274
Nls : 5 157 017
Signorotto Alexandre
Nigend : 171 953
Nls : 8 027 084
Simon David
Nigend : 218 698
Nls : 8 065 035
Simonet Aurélie
Nigend : 205 737
Nls : 8 058 552
Sinuchkine Michel
Nigend : 138 604
Nls : 5 324 892
Sistou Julien
Nigend : 184 925
Nls : 8 036 943
Skoczylas Frédéric
Nigend : 107 325
Nls : 5 172 876
Skzryerbak Ludovic
Nigend : 172 219
Nls : 8 027 289
Soetens Lloyd
Nigend : 241 934
Nls : 8 095 195
Soubes Xavier
Nigend : 175 803
Nls : 6 555 475
Souche Laurent
Nigend : 124 731
Nls : 5 269 598
Sourbé Laurent
Nigend : 163 075
Nls : 8 019 887
Spalart Pierre
Nigend : 125 151
Nls : 5 279 691
Steffen Alan
Nigend : 209 925
Nls : 8 063 006
Steinmetz Bornert Stéphanie
Nigend : 248 001
Nls : 8 089 411
Subtil Mickaël
Nigend : 193 539
Nls : 8 047 518
Sueur Daniel
Nigend : 88 819
Nls : 5 091 193
Sutter Lionel
Nigend : 137 383
Nls : 5 322 782
Taillez Antoine
Nigend : 312 308
Nls : 8 107 742
Tapie David
Nigend : 308 818
Nls : 8 106 012
Tardieu Arnaud
Nigend : 171 353
Nls : 8 026 887
Taupin Fabrice
Nigend : 162 293
Nls : 8 019 223
Taverny Laurent
Nigend : 181 934
Nls : 8 005 692
Tenneguin Bruce
Nigend : 185 496
Nls : 8 044 685
Tetard Grégory
Nigend : 190 563
Nls : 8 038 994
Thibault Franck
Nigend : 135 915
Nls : 5 322 095
Thiriet Sylvain
Nigend : 131 196
Nls : 5 283 380
Thomas Charles-Antoine
Nigend : 164 550
Nls : 8 020 388
Thomas Lorane
Nigend : 249 483
Nls : 8 090 151
Thomas Sébastien
Nigend : 161 189
Nls : 8 018 295
Thomas Thierry
Nigend : 135 108
Nls : 528 460
Thomes Pascal
Nigend : 160 836
Nls : 8 017 792
Tinarelli Thomas
Nigend : 244 451
Nls : 8 097 037
Titus David
Nigend : 183 178
Nls : 8 033 883
Tolikoli Xavier
Nigend : 313 858
Nls : 8 109 480
Tortosa Nicolas
Nigend : 312 211
Nls : 8 108 533
Toulotte Bruno
Nigend : 168 927
Nls : 8 024 696
Touzel Olivier
Nigend : 166 064
Nls : 8 022 493
Treguier Laure
Nigend : 306 876
Nls : 8 104 413
Tréville Jean-Patrick
Nigend : 95 204
Nls : 5 110 387
Triquet François
Nigend : 197 649
Nls : 8 055 950
Tual Julien
Nigend : 191 078
Nls : 8 039 894
Tuneau Emmanuel
Nigend : 168 607
Nls : 8 024 391
Turquois Jean-Michel
Nigend : 69 973
Nls : 5 282 086
Ursch Franck
Nigend : 196 559
Nls : 8 053 333
Uséo Stéphane
Nigend : 309 192
Nls : 0
Valentin Christophe
Nigend : 142 377
Nls : 5 281 989
Vallée Patrice
Nigend : 186 838
Nls : 6 024 407
Vallot Alexandre
Nigend : 173 000
Nls : 8 033 382
Vander Eecken Pierre
Nigend : 103 922
Nls : 5 171 986
Vanhove Frédéric
Nigend : 135 346
Nls : 5 311 545
Vanin Stéphane
Nigend : 161 562
Nls : 8 018 593
Varsallona Vincent
Nigend : 105 992
Nls : 5 172 597
Vassiaux Thierry
Nigend : 131 087
Nls : 5 283 296
Vatonne Alban
Nigend : 225 901
Nls : 8 074 728
Vautrin Patrick
Nigend : 128 368
Nls : 5 282 390
Vedrine Jean-Pierre
Nigend : 132 513
Nls : 5 182 863
Vella Stéphanie
Nigend : 165 349
Nls : 8 028 788
Venturoli Loïc
Nigend : 155 637
Nls : 8 013 097
Vergine Pierre
Nigend : 147 663
Nls : 8 005 689
Verite Olivier
Nigend : 181 045
Nls : 8 029 796
Vermote Julien
Nigend : 226 326
Nls : 8 084 355
Viale Franck
Nigend : 165 273
Nls : 8 021 894
Videau Hervé
Nigend : 139 560
Nls : 5 323 579
Vidil Grégory
Nigend : 196 244
Nls : 8 053 090
Vieille Jérôme
Nigend : 102 992
Nls : 5 148 698
Viez Davy
Nigend : 186 533
Nls : 8 038 097
Vigna Pierre-Jean
Nigend : 143 276
Nls : 8 002 638
Villeron Olivier
Nigend : 173 363
Nls : 8 027 697
Villers Élodie
Nigend : 171 121
Nls : 8 026 694
Vincent Nicolas
Nigend : 190 393
Nls : 8 039 599
Violet Stéphane
Nigend : 154 568
Nls : 8 012 299
Virade Nicolas
Nigend : 307 806
Nls : 8 105 137
Vire Philippe
Nigend : 151 977
Nls : 8 009 796
Visconti Laurent
Nigend : 151 978
Nls : 8 009 996
Vitse Laétitia
Nigend : 202 473
Nls : 8 057 943
Vivet Yann
Nigend : 247 337
Nls : 6 586 619
Vivot David
Nigend : 221 418
Nls : 8 083 710
Voillot Jean-François
Nigend : 154 461
Nls : 8 012 433
Voisin Frédéric
Nigend : 171 487
Nls : 8 026 999
Wagner Gaby
Nigend : 100 013
Nls : 5 148 128
Wahl Matthieu
Nigend : 243 992
Nls : 8 096 721
Wahl Pierre
Nigend : 183 489
Nls : 8 034 098
Warnier Fréderic
Nigend : 242 615
Nls : 8 088 490
Willig Xavier
Nigend : 311 406
Nls : 8 092 339
Wirth Jean-François
Nigend : 161 349
Nls : 8 018 398
Woirin Patrick
Nigend : 122 126
Nls : 5 243 458
Wolski Jean-Christophe
Nigend : 221 420
Nls : 8 083 712
Ydee Stéphane
Nigend : 231 254
Nls : 8 085 300
Ysenbaert Jean-Philippe
Nigend : 132 476
Nls : 5 295 499
Yvrard Yoann
Nigend : 313 380
Nls : 8 109 000
Zanelli Philippe
Nigend : 108 352
Nls : 5 147 596
Zobele Bruno
Nigend : 133 153
Nls : 5 295 193
de l’outre-mer,
_____
de Languedoc-Roussillon
_____
du cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon
NOR : IOCJ1102385S
Le commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon,
gendarmerie ;
Vu la décision no 60787 du 17 décembre 2010 (NOR : IOCJ1032685S),
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er avril 2011 :
Philippet Gérard
Nigend : 98 007
Salvati Alain
Nigend : 114 948
Mignard Michel
Nigend : 98 323
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er avril 2011 :
Daligault Didier
Nigend : 156 191
Viannes Valérie
Nigend : 146 181
Boileau Bruno
Nigend : 109 961
Fournier Christophe
Nigend : 157 152
Boissonnade Patrick
Nigend : 111 671
Lamoureux Bernard
Nigend : 160 781
Nicolas Didier
Nigend : 153 843
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er avril 2011 :
Ginja Martinho Bruno
Nigend : 142 568
Gisbert Pascale
Nigend : 149 051
Planeilles Jean-Louis
Nigend : 144 715
Lesieur Frédéric
Nigend : 136 539
Licari Philippe
Nigend : 134 153
Souchet Jean-Guy
Nigend : 160 017
Hays Sylvain
Nigend : 170 771
Birycki Patrice
Nigend : 142 863
Laporte Thierry
Nigend : 164 315
Mahé-Rivard Joseph
Nigend : 141 966
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er avril 2011 :
Colin Mélanie
Nigend : 229 076
Delabye Pierre
Nigend : 220 806
Magenti Aurélie
Nigend : 208 490
Massoulle Laure
Nigend : 233 112
Lopez David
Nigend : 193 388
Dhem Stéphane
Nigend : 234 207
Chauvey Delphine
Nigend : 232 028
Milheau Léa
Nigend : 233 510
Lenoir Alexandre
Nigend : 231 222
Bertaud Adrien
Nigend : 233 172
Roche Nicolas
Nigend : 234 092
Cabes Grégory
Nigend : 223 736
Navarro Julien
Nigend : 229 330
Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon,
M. Lévêque
de l’outre-mer,
_____
Direction générale
_____
_____
_____
Décision no 20423 du 28 février 2011 relative à l’attribution
du diplôme d’état-major de la gendarmerie
NOR : IOCJ1105818S
Le sous-directeur des compétences,
Vu l’arrêté du 18 mars 1980 modifié portant organisation de l’enseignement militaire supérieur du premier degré ;
Vu l’instruction no 110448/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 21 juillet 2006 (BOC/PP 2, 2007, texte 12),
Décide :
Le diplôme d’état-major de la gendarmerie est attribué à compter du 1er janvier 2011 aux officiers dont le nom suit :
Castaing Patrick
Nigend : 186 078
André Sébastien
Nigend : 205 199
B. Cavallier
de l’outre-mer,
_____
Circulaire du 14 décembre 2010 relative aux modalités et contenus de la formation
pour l’accès au grade de commandant de police
NOR : IOCC1029559C
Résumé : cette circulaire constitue le règlement des études prévu par le décret no 2005‑716 du 29 juin 2005 portant statut
particulier du corps de commandement de la police nationale et par l’arrêté du 14 juin 2010 fixant les modalités de la
formation professionnelle pour l’accès au grade de commandant de police.
de police ; Mesdames et Messieurs les préfets de région et des départements de métropole et d’outre-mer ;
Monsieur le préfet délégué du Gouvernement pour la Nouvelle-Calédonie et les îles Wallis-et-Futuna, hautcommissaire de la République en Nouvelle-Calédonie et dépendances ; Monsieur le haut-commissaire de
la République, délégué du Gouvernement en Polynésie française ; Messieurs les préfets délégués pour la
défense et la sécurité ; Monsieur le préfet adjoint pour la sécurité en Corse ; Messieurs les directeurs et chefs
des services centraux de la police nationale.
La présente circulaire relative aux dispositions prévues par le décret no 2005‑716 du 29 juin 2005, modifié par l’arrêté du
14 juin 2010, fixant les modalités de la formation professionnelle pour l’accès au grade de commandant de police a pour
but de préciser les modalités d’organisation et le contenu de cette dernière.
I. – MODALITÉS D’ORGANISATION DE LA FORMATION
Un cycle de formation professionnelle est dispensé aux capitaines de police inscrits au tableau annuel d’avancement pour
le grade de commandant de police. Il a pour but de préparer ces fonctionnaires à l’exercice des responsabilités attachées à
ce grade.
La sous-direction de l’administration des ressources humaines (bureau des officiers de police) de la direction des
ressources et des compétences de la police nationale (DRCPN) établit la liste nominative des capitaines retenus après avis
favorable de la Commission administrative paritaire nationale et inscrits au tableau d’avancement.
Celle-ci est alors communiquée à l’école nationale supérieure des officiers de police (ENSOP) qui la renvoie aux
directions et services centraux, accompagnée du calendrier prévisionnel des stages et du nombre de places attribuées pour
chaque session de formation, à charge pour eux de positionner les fonctionnaires relevant de leur compétence. Les officiers
seront alors convoqués par l’ENSOP.
Les capitaines sont tenus de se rendre à la convocation qui leur est adressée. Aucun report de stage n’est admis.
Toutefois, en cas de force majeure avérée (après avis de la direction d’emploi et appréciation de la situation par la
DRCPN/ SDFDC [sous-direction de la formation et du développement des compétences]), une autre session de formation
pourrait éventuellement être proposée au candidat. À défaut, la formation du candidat sera considérée comme non valide et
ce dernier sera retiré du tableau d’avancement de l’année en cours.
Conformément à l’article 3 de l’arrêté du 14 juin 2010, la formation obligatoire, d’une durée de 90 heures, se déroule à
l’école nationale supérieure des officiers de police, y compris pour les capitaines de police affectés en outre-mer.
La validation de la formation consiste en la présence effective des stagiaires durant l’intégralité du cycle de formation. De
fait, la présence assidue des fonctionnaires est requise pendant toute la durée du stage. Aucune absence ne sera tolérée.
Toutefois, la SDFDC pourra, à titre exceptionnel et après rapport motivé du fonctionnaire, autoriser deux jours d’absence.
Au-delà, la formation du candidat sera considérée comme non valide et ce dernier sera retiré du tableau d’avancement de
l’année en cours.
À l’issue du stage, le stagiaire qui a suivi l’intégralité de la formation se voit remettre une attestation de validation de
cette dernière.
Les fonctionnaires qui renoncent à suivre la formation en informent par écrit, dans les meilleurs délais, la SDFDC et leur
direction d’emploi.
Lors de la formation, le stagiaire est soumis aux mêmes obligations qu’en service. En cas de non-respect des règles
disciplinaires ou déontologiques applicables aux fonctionnaires de la police nationale, il sera tenu de s’en expliquer par
compte rendu adressé au directeur de l’ENSOP et au SDFDC, qui en avisera la hiérarchie du fonctionnaire.
En cas de faute grave, le DRCPN ou son représentant en sera immédiatement avisé et prendra immédiatement toutes
mesures nécessaires.
À l’issue du stage, le fonctionnaire dont la formation n’a pas été validée est informé de sa situation par l’ENSOP (sous
la forme d’un rapport).
Cas particuliers des capitaines ayant participé aux stages de formation pour l’accès au grade de commandant à l’ENSOP
entre octobre 2005 et octobre 2009 :
1) Les capitaines de police inscrits au tableau d’avancement et ayant suivi une formation « franchissement de grade de
commandant » comprise entre le mois d’octobre 2005 et le mois d’octobre 2006 en conservent le bénéfice sans condition
de délai. S’ils sont retenus au tableau d’avancement, ils n’auront pas à suivre la formation dont la présente circulaire fait
l’objet (cf. circulaire NOR : INTC0500109C du 12 décembre 2005).
2) Les capitaines de police inscrits au tableau d’avancement et ayant suivi une formation « franchissement de grade de
commandant » comprise entre le mois de novembre 2006 et le mois d’octobre 2009 en conservent le bénéfice pendant une
durée maximale de cinq ans qui suivent l’année au titre de laquelle ils ont été candidats pour la première fois au grade de
commandant de police (cf. circulaire NOR : INTC0600112C du 26 décembre 2006).
Au-delà de ce délai, ils seront tenus de suivre la formation dont la présente circulaire fait l’objet s’ils sont inscrits au
tableau d’avancement.
II. – LES CONTENUS
Les contenus des formations portent essentiellement sur les capacités professionnelles requises et les champs managériaux
correspondant aux responsabilités exercées par un commandant de police, quelle que soit sa direction d’appartenance.
Il s’agit :
Capacités professionnelles :
– synthétiser des données professionnelles ;
– cadrer et structurer les ressources ;
– planifier et traduire en objectifs opérationnels les activités ;
– prendre des décisions ;
– évaluer les performances ;
– réguler les relations interpersonnelles et entre groupes ;
– expliciter pour une meilleure communication interne, externe et opérationnelle.
Champs managériaux :
– communiquer avec les partenaires et les médias ;
– gérer un groupe ;
– gérer les motivations ;
– piloter un retour d’expérience ;
– évaluer et noter des personnels ;
– savoir déléguer ;
– exercer le pouvoir et l’autorité ;
– veiller au respect des règles de déontologie ;
– aborder le concept de culture de la performance ;
– analyser et résoudre un problème.
Le directeur des ressources et des compétences de la police nationale devra être tenu informé des difficultés rencontrées
dans l’application de ces dispositions.
Le préfet, directeur général de la police nationale,
F. Péchenard
de l’outre-mer,
_____
_____
Direction des personnels militaires
_____
_____
_____
Circulaire no 8778 du 25 janvier 2011 relative à la formation des militaires
de la gendarmerie dans le domaine équestre
NOR : IOCJ1101483C
Références :
Arrêté du 18 avril 2002 portant organisation du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du
sport délivré par le ministère de la jeunesse et des sports ;
Circulaire no 8250/DEF/GEND/OE/SDSPSR/PA du 5 août 2004 (N.i. BO – CLASS. : 33.00) ;
Circulaire no 29250/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 14 octobre 2005 (BOC, 2005, p. 8485 BOEM 651.1) modifiée ;
Circulaire no 15400/DEF/GEND/RH/RF/FORM du 1er février 2008 (N.i. BO – CLASS. : 32.01) ;
Instruction no 10000/DEF/GEND/OE/SDSPSR/BFMS du 18 janvier 2008 (N.i. BO – CLASS. : 33.00) ;
Instruction no 22000/DEF/GEND/RH du 13 février 2008 (BOC n° 18 du 16 mai 2008, texte 2 BOEM 620‑4.1.3.1)
modifiée ;
Instruction no 139300/DEF/GEND/RH/SDC/BFORM du 27 octobre 2008 (BOC no 15 du 7 mai 2009, texte 7 BOEM
651.1).
Pièces jointes : quatre annexes.
La gendarmerie nationale détient, avec le régiment de cavalerie de la garde républicaine, seule unité montée des forces
armées françaises, une expertise de haut niveau dans le domaine équestre, reconnue en national et à l’international. Outre
ses missions d’honneur, cette maîtrise lui permet de mettre en œuvre au quotidien, au profit de l’ensemble des forces de
sécurité intérieure, des capacités d’encadrement et de formation, et des modes d’action spécifiques, tant dans le domaine
de la sécurité des territoires que dans celui de la sécurité des grandes manifestations. Cette complémentarité suppose du
personnel qualifié et une remonte adaptée aux conditions d’emploi.
La présente circulaire a pour objet de présenter les modalités de sélection et l’architecture de formation des militaires de la
gendarmerie servant au titre de la technicité équestre, soit à titre permanent, soit au titre de détachements de circonstance.
1. Dispositions générales
Les militaires de la gendarmerie servant dans la technicité équestre suivent une formation structurée en quatre niveaux
distincts :
– le certificat d’aptitude à la pratique équestre en gendarmerie (CAPEG) ;
– le certificat de cavalier de la garde républicaine (CCGR) ;
– le certificat de formateur équestre de la gendarmerie (CFEG) ;
– le certificat d’instructeur équestre de la gendarmerie (CIEG).
1.1. Expressions des besoins en formation et répartition des places
Les commandants de région de gendarmerie ou de formation assimilée adressent, pour le 15 novembre de chaque année,
au commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie dans la zone de défense et de sécurité de
Paris, leurs besoins éventuels en places pour l’année suivante. Ils reçoivent en retour le calendrier des stages précisant, par
région, le nombre de militaires admis à chaque session. Une copie du calendrier sera adressée à la direction générale de
la gendarmerie nationale, direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale, sous-direction des compétences,
bureau de la formation (DGGN/DPMGN/SDC/BFORM).
1.2. Conditions générales d’admission
L’accession à chacun des niveaux de la formation est conditionnée par :
– une aptitude médicale à la pratique équestre, conformément à l’instruction de troisième référence ;
– la détention de prérequis, précisés dans le descriptif de chaque formation.
Les formations dispensées au centre d’instruction du régiment de cavalerie (CIRC) débutent par une évaluation initiale
destinée à vérifier le niveau équestre des stagiaires. Les savoir-faire requis pour chacune des formations sont listés dans le
référentiel des actions de formation correspondant (annexes II et III). En cas d’insuffisance caractérisée, les candidats sont
remis à la disposition de leur commandant d’unité.
1.3. Dispositions administratives
Les personnels déplacés hors garnison dans le cadre des stages identifiés supra peuvent prétendre aux indemnités de
déplacement dans les conditions réglementaires. Ces indemnités sont imputées sur les BOP des organismes administratifs
de gestion.
Les stagiaires doivent être en possession, à leur arrivée en formation, de l’imprimé modèle 652.0.048.
2. Certificat d’aptitude à la pratique équestre en gendarmerie
La formation au CAPEG (1) se compose d’une formation initiale à l’aptitude équestre et d’un module périodique de
vérification de cette aptitude.
2.1. Formation initiale
2.1.1. Objectifs
Cette formation vise à faire acquérir aux militaires de la gendarmerie :
– les connaissances élémentaires dans le domaine de l’hippologie, des soins aux chevaux, de l’entretien des
harnachements ;
– la pratique de l’équitation en milieu ouvert adaptée à l’accomplissement des missions de sécurité publique à cheval ;
– la maîtrise des procédés technico-tactiques liés à l’intervention professionnelle à cheval.
2.1.2. Organisation
Ce stage, d’une durée de deux semaines, se déroule au CIRC.
Le programme du stage est établi par le commandant du régiment de cavalerie.
2.1.3. Conditions d’admission
Détenir un certificat médico-administratif d’aptitude à la pratique équestre établi dans les conditions prévues par
l’instruction de troisième référence.
Posséder un niveau minimal en équitation, sans condition de diplôme détenu, mais équivalent au niveau « galop 5 » de
la fédération française d’équitation.
Être amené à servir dans le cadre de patrouilles équestres de la gendarmerie.
2.1.4. Désignation des stagiaires
Chaque région ou unité assimilée assure la désignation et la mise en route du stagiaire puis en informe le commandant de
la Garde républicaine, au plus tard quinze jours avant le début du stage. En cas de défaillance d’un militaire, il appartient
au gestionnaire de pourvoir à son remplacement.
2.1.5. Sanction de la formation
La réussite au stage est sanctionnée par l’attribution du certificat d’aptitude à la pratique équestre en gendarmerie
(CAPEG) (2), délivré par le commandant de la garde républicaine (annexe IV). L’obtention de ce certificat permet aux
militaires de la gendarmerie d’être employés dans le domaine équestre durant une période de trois ans.
Les gendarmes adjoints volontaires ayant satisfait aux épreuves finales du stage de formation complémentaire équestre
au CIRC se voient également attribuer le CAPEG.
Code savoir : 0501509 – Certificat d’aptitude à la pratique équestre en gendarmerie.
() Le CAPEG remplace le certificat militaire d’aptitude à la pratique équestre (CMAPE). () Un militaire ayant suivi la formation au CAPEG cours de l’année (A) doit être recyclé avant le 31 décembre de l’année (A + 2). février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 76/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
2.2. Vérification de l’aptitude à la pratique équestre en gendarmerie
2.2.1. Objectifs
Ce module a pour objectif de vérifier tous les trois ans les compétences des titulaires du CAPEG et de procéder à une
remise à niveau.
2.2.2. Organisation
Ce stage, d’une durée d’une semaine, se déroule au CIRC.
2.2.3. Conditions d’admission
Être titulaire du CAPEG ou du CMAPE (1).
Être amené à servir dans le cadre de patrouilles équestres de la gendarmerie.
2.2.4. Désignation des stagiaires
Chaque région ou unité assimilée assure la désignation et la mise en route du stagiaire, puis en informe le commandant
de la garde républicaine, au plus tard quinze jours avant le début du stage. En cas de défaillance d’un militaire, il appartient
au gestionnaire de pourvoir à son remplacement.
2.2.5. Sanction de la formation
En cas de réussite, l’attestation de stage délivrée par le commandant de la garde républicaine permet au militaire d’être
employé dans le domaine équestre pour une période de trois ans.
Code savoir : 0501501 – Recyclage certificat d’aptitude à la pratique équestre en gendarmerie.
NB : dispositions transitoires : Les militaires ayant satisfait au stage de formation CMAPE ou au stage de validation
CMAPE au cours des années 2010 et 2011 conservent leur aptitude à la pratique équestre pour deux ans. Les militaires
ayant obtenu le CMAPE en 2010 et 2011 par validation des acquis ou reconduit le CMAPE sans avoir suivi le stage de
validation conservent le bénéfice de leur aptitude équestre sur les années 2010 et 2011 mais devront satisfaire au recyclage
du CAPEG au cours de l’année 2012.
2.3. Dispositions particulières pour l’outre-mer
Le commandant de la gendarmerie de l’outre-mer est autorisé à organiser localement des stages de formation au CAPEG
encadrés par des formateurs du régiment de cavalerie de la garde républicaine.
Le CAPEG est délivré dans les conditions définies au 2.1.5, suivant l’avis du formateur de la garde républicaine. Ce
certificat est également soumis à une vérification triennale.
Toutefois, les militaires pressentis pour une affectation outre-mer dans une de ces unités doivent suivre le stage
préalablement à leur embarquement. Dans ce cas, la demande de stage est formulée par le commandant de la gendarmerie
de l’outre-mer.
3. Certificat de cavalier de la garde républicaine (CCGR)
3.1. Objectifs
Cette formation vise à faire acquérir aux sous-officiers du régiment de cavalerie de la garde républicaine les compétences
militaires et d’homme de cheval nécessaires à l’exercice de leurs missions dans les domaines suivants :
– connaissance en hippologie, soins aux chevaux, travail quotidien du cheval, entretien du matériel ;
– école d’escouade et maniement du sabre, à pied et à cheval ;
– maîtrise des procédés technico-tactiques liés à l’intervention professionnelle à cheval.
3.2. Organisation
Ce stage de formation, d’une durée de vingt semaines, se déroule au CIRC.
Le programme du stage est établi par le commandant du régiment de cavalerie, conformément aux compétences définies
en annexe II.
() Code savoir : 0301904 – CERT MILI APT ÉQUESTRE. février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 76/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
3.3. Conditions d’admission
Être reconnu apte à servir au régiment de cavalerie de la garde républicaine à l’issue du module de sélection effectué au
sein du CIRC .
Être dans la première année d’affectation au régiment de cavalerie de la garde républicaine.
3.4. Sanction de la formation
La réussite au stage est sanctionnée par l’attribution du certificat de cavalier de la garde républicaine (CCGR), délivré
par le commandant de la garde républicaine.
Code savoir : 0501510 – Certificat de cavalier de la garde républicaine.
Les cavaliers ayant réussi les épreuves du CCGR obtiennent par équivalence le CAPEG.
Le stagiaire est autorisé à un redoublement dans le cas où il contracte, au cours du stage, une blessure ne lui permettant
de poursuivre la formation.
En cas d’inaptitude avérée à la pratique de l’équitation, décelée au cours du stage, le personnel fait l’objet d’une mesure
de gestion arrêtée par le commandant de la garde républicaine.
La vérification de l’aptitude à la pratique équestre est réalisée tous les cinq ans. Les modalités sont établies par le
commandant du régiment de cavalerie.
4. Certificat de moniteur équestre de la gendarmerie (CMEG)
4.1. Objectifs
Cette formation vise à faire acquérir aux officiers et aux sous-officiers du régiment de cavalerie de la garde républicaine
les compétences liées à l’enseignement de l’équitation et à l’éducation du jeune cheval destiné aux missions de sécurité
publique et au travail en arme.
4.2. Organisation
Cette formation, d’une durée de dix mois, se déroule au CIRC. Elle s’articule sur deux volets :
– le brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et des sports (1) (BPJEPS) activités équestres, mention
« équitation » ;
– deux modules de compétences spécifiques permettant de répondre aux domaines missionnels du régiment de
cavalerie :
– maîtrise de l’intervention professionnelle à cheval ;
– préparation et éducation du jeune cheval au travail en arme et aux missions de sécurité publique.
4.3. Conditions d’admission
Être volontaire.
Être officier ou sous-officier de carrière au début de la formation.
Détenir un certificat médico-administratif d’aptitude à la pratique et à l’enseignement équestres établi dans les conditions
prévues par l’instruction de troisième référence.
Servir au sein du régiment de cavalerie de la garde républicaine.
Être âgé de moins de 35 ans à la date du début du stage.
Être titulaire du certificat de compétences « prévention et secours civiques de niveau 1 ».
Être retenu aux tests de sélection organisés au sein du régiment de cavalerie.
Avoir satisfait aux épreuves de la validation des exigences techniques préalables (VETP).
4.4. Établissement des dossiers de candidature
Les dossiers de candidature (imprimé modèle 314.18), assortis des avis hiérarchiques, sont adressés au général
commandant la garde républicaine pour le 1er juin de chaque année. La liste des stagiaires, limitée annuellement à six
candidats de la garde républicaine, est arrêtée par le commandant du régiment de cavalerie.
() Habilitation du régiment de cavalerie.
Ils comprennent :
– le formulaire de reconnaissance relatif à l’admission à l’une des formations affectées du lien au service conformément
aux dispositions définies par l’instruction de quatrième référence ;
– les avis hiérarchiques sur la candidature du militaire ;
– un certificat médico-administratif d’aptitude à la pratique et à l’enseignement équestres établi dans les conditions
4.5. Sanction de la formation
L’obtention du CFEG est soumise à la réussite à l’examen final de fin de stage organisé par le CIRC pour les modules
de compétences spécifiques liées au domaine missionnel du régiment de cavalerie ainsi que la capitalisation de toutes les
épreuves spécifiques du BPJEPS. Pour les candidats disposant déjà du BPJEPS obtenu en milieu civil, seule l’UC 10 (1),
dite d’adaptation, devra être passée au même titre que l’examen final. La réussite au stage est sanctionnée par l’attribution
du certificat de moniteur équestre de la gendarmerie (CMEG), délivré par le commandant de la garde républicaine.
Codes savoir :
0501511 – Brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et des sports, activités équestres, mention
« équitation ».
0201500 – Certificat de formateur équestre de la gendarmerie.
5. Certificat d’instructeur équestre de la gendarmerie (CIEG)
Le certificat d’instructeur équestre de la gendarmerie (CIEG) est attribué indifféremment à l’issue soit du brevet supérieur
de technicien de l’armée de terre – équitation (BSTAT), soit du brevet d’État d’éducateur sportif du second degré (BEES2) /
partie spécifique équitation.
5.1. Objectifs
Cette formation a pour objectif de former les instructeurs équestres nécessaires aux besoins du régiment de cavalerie.
5.2. Organisation
5.2.1. Brevet supérieur de technicien de l’armée de terre – équitation (BSTAT)
Mis en œuvre par le centre sportif d’équitation militaire (CSEM) de Fontainebleau (77), le stage préparatoire à l’obtention
du brevet supérieur de technicien de l’armée de terre – équitation (BSTAT) se déroule sur un cycle de deux années. Il
s’articule en trois phases :
– une première phase de deux semaines bloquées (en septembre et/ou octobre de l’année A) ;
– une deuxième phase pour mise en situation pédagogique et pratique se déroulant du mois de novembre de l’année A
au mois de juin de l’année A + 1 au CSEM, à Fontainebleau. Durant l’été, le sous-officier est remis à la disposition de
son unité ;
– une troisième phase, qui correspond aux épreuves finales se déroulant sur une période de trois semaines en octobre de
l’année A + 1.
5.2.2. Brevet d’État d’éducateur sportif du second degré/partie spécifique équitation
Le brevet d’État d’éducateur sportif du 2e degré (BEES2), partie spécifique équitation, se déroule à l’Institut français du
cheval et de l’équitation (IFCE) de Saumur (49). Il s’articule en six modules de quinze jours.
5.2.3. Module complémentaire gendarmerie
Ayant réussi la formation au BSTAT équitation ou au BEES 2, partie spécifique équitation, le militaire suit un module
de formation complémentaire, d’une durée d’une semaine, au CIRC, permettant l’attribution du certificat d’instructeur
équestre de la gendarmerie (CIEG).
5.3. Conditions de candidature
Être volontaire.
Détenir un certificat médico-administratif d’aptitude à la pratique et à l’enseignement équestres établi dans les conditions
Servir au sein du régiment de cavalerie de la garde républicaine.
Être au minimum du grade de maréchal des logis-chef.
() Unité capitalisable 10 : éducation du jeune cheval aux missions de la sécurité publique.
Être âgé de moins de 40 ans à la date du début de la formation.
Pour le BSTAT – équitation : être titulaire du CFEG ou du CT1 équitation depuis au moins trois ans au début de la
formation.
Pour le BEES2 équitation : être titulaire du CFEG ou du CT1 équitation, et du BEES1 ou du BPJEPS équitation depuis
au moins trois ans au début de la formation.
5.4. Établissement des dossiers de candidature
Les dossiers de candidature (imprimé modèle 314.18), assortis des avis hiérarchiques, sont adressés au général
commandant la garde républicaine pour le 1er juin de chaque année. Ils comprennent :
– le formulaire de reconnaissance relatif à l’admission à l’une des formations affectées du lien au service, conformément
aux dispositions définies par l’instruction de quatrième référence ;
– les avis hiérarchiques sur la candidature du militaire ;
– un certificat médico-administratif d’aptitude à la pratique et à l’enseignement équestres établi dans les conditions
prévues par l’instruction de troisième référence ;
– les documents et titres permettant de justifier des conditions requises au 5.3.
5.5. Désignation des stagiaires
S’agissant d’une formation réalisée auprès d’un prestataire extérieur à la gendarmerie, le bureau de la formation de
la DGGN assure la désignation des stagiaires, sur proposition du commandant de la garde républicaine et leur mise en
route.
5.6. Sanction des formations
La réussite au BSTAT équitation est prononcée par le commandant du CSEM.
Code savoir : 301502 – Brevet supérieur de technicien de l’armée de terre – équitation.
La réussite au BEES2/partie spécifique équitation, est prononcée par le jury du ministère de la jeunesse et des sports.
Code savoir : 0501901 – Brevet d’État d’instructeur d’équitation.
La réussite au CIEG est prononcée par le commandant du régiment de cavalerie.
Code savoir : 0301500 – Certificat d’instructeur équestre de la gendarmerie.
B. Cavallier
ANNEXE I
ANNEXE II
1. Référentiel des activités
Famille d’emploi : Sécurité publique générale.
Poste : Cavalier
Activités
Sous-activités
Tâches
Participer à des services d’honneur à
cheval ou à pied.
Préparation du matériel et du cheval.
Participer à la revue du détachement et s’assurer que sa tenue est irréprochable.
Veiller à la préparation du transport du cheval, lorsque le service ne se réalise pas
sur place.
Assurer l’embarquement et le transport du cheval.
Se mettre en place pour le service d’honneur : position statique si à pied, position
statique ou mobile (escorte, défilé).
Tenir son rôle dans l’exécution du service d’honneur.
Retourner au quartier.
Remise en condition du cheval et du matériel.
Entraîner, maintenir en condition, éduquer le couple cavalier-cheval.
Éduquer le cheval à adopter et à tenir la position statique.
Désensibiliser le cheval au milieu urbain (bruit, klaxon, véhicules...), à la présence d’une
foule (bruit, forme, couleur) et à l’agression physique.
Effectuer des exercices d’entraînement en manège ou à l’extérieur.
Entraîner le cheval aux missions incombant à la garde républicaine.
Effectuer les services d’entretien du
quartier.
Entretenir les écuries : – laver les boxes, les couvertures, les selles, les cuirs ; – pratiquer les soins vétérinaires et en assurer le suivi ; – gérer la contingence (stocks de fourrage, ...) ; – vérifier la sécurité au sein des écuries.
Assurer les fonctions de planton d’écurie.
Effectuer des services de surveillance
générale à cheval.
Effectuer des postes et des patrouilles dans des milieux variés : milieu rural, urbain
ou péri-urbain.
Surveiller la zone d’engagement, et notamment les lieux spécifiques (massifs boisés).
Lutter contre les infractions relatives à la chasse, à la pêche, à l’environnement.
Se mettre en contact avec différents organismes ou interlocuteurs potentiels (Office
national des forêts, Office national de la chasse et de la faune sauvage, promeneurs...)
afin d’obtenir du renseignement.
Participer aux services
spécifiques à la garde
républicaine
Participer à un dispositif de
recherche.
Participer aux services au
profit de la GD et de la
GM
Concourir au dispositif d’interpellation ou antidélinquance.
Compléter un dispositif de bouclage comportant des zones forestières ou propices à
l’engagement du cheval.
Rechercher des personnes disparues, des indices ou des informations.
Participer à la sécurisation des grands
rassemblements de personnes.
Ouvrir un itinéraire aux véhicules prioritaires, notamment aux véhicules d’incendie et
de secours et aux ambulances.
Canaliser une foule.
Surveiller et observer une foule (renseigner les personnes...).
Constater et réprimer la commission de troubles à l’ordre publique.
Assurer le contact et le recueil de renseignements auprès de la population.
Maîtriser les principes d’action et les
techniques d’approche et d’intervention à cheval.
Mettre en œuvre des tactiques d’intervention.
Maîtriser sans armes un adversaire.
Maîtriser avec armes un adversaire.
Participer sous réquisition à des services d’ordre en accompagnement
d’une troupe mobile à pied.
Canaliser une foule dense et non hostile.
Filtrer.
Refouler une foule.
Interdire le passage, mettre en œuvre un barrage fixe, filtrant.
Renseigner sur la nature, le volume et l’attitude d’une foule.
Ouvrir un itinéraire à travers une foule dense.
Dissuader une foule d’occuper un lieu de rassemblement.
ANNEXE III
2. Référentiel des compétences
Priorisation des compétences
Le sous-officier « cavalier » maîtrise le socle de compétences du gendarme APJ. Par ailleurs, des compétences sont
spécifiques à ses missions :
Compétences
Technique équestre
Niveau requis
Cavalier
Cavalier de la GR
Formateur
Instructeur
S (1)
A (2)
M (3)
E (4)
Pratique autour du cheval
S
A
M
E
Lutte contre les atteintes à l’environnement
S
S
S
S
Service d’ordre
S
A
A
A
Recherche de personnes disparues
S
S
S
S
Intervention professionnelle – à cheval
S
A
M
M
Techniques de patrouilles – à cheval
S
A
A
A
(1) Sensibilisation. (2) Application. (3) Maîtrise. (4) Expertise.
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 76/89 – Page Code savoir :
A (lieu du stage)
se voit attribuer le certificat …..................................................................... à compter du
le (grade, nom, prénom, nigend)
Par Décision N°
Pour le ministre de l'intérieur de l'outre-mer et
des collectivités territoriales et de l'immigration
et par délégation
CERTIFICAT DE FORMATION
« LIBELLE DU STAGE »
MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR DE L'OUTRE MER
DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L'IMMIGRATION
ANNEXE IV
ANNEXE Iv
de l’outre-mer,
_____
Direction générale
_____
_____
Sous-direction
_____
Bureau du personnel
de la réserve militaire
_____
Circulaire no 13894 du 8 février 2011 relative à l’avancement des officiers et à la nomination
au grade de sous-lieutenant des aspirants et des sous-officiers de la réserve opérationnelle
pour l’année 2011
NOR : IOCJ1104123C
Références :
Code de la défense ;
Arrêté du 4 août 2010 fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission prévue à
l’article L. 4163‑3 du code de la défense ;
Arrêté du 7 juin 2010 fixant pour la gendarmerie nationale les conditions à remplir pour être proposable au grade
supérieur dans la réserve opérationnelle ;
Arrêté du 7 juin 2010 pris pour l’application de l’article R. 4221‑21 du code de la défense.
Pièces jointes : six annexes.
La présente circulaire fixe, pour l’année 2011, les conditions à remplir pour être promu ou nommé dans le corps des
officiers de la réserve opérationnelle de premier niveau. Elle décrit les modalités d’exécution des travaux préparatoires à la
charge des régions.
1. Rappel des dispositions réglementaires
1.1. L’officier ou le sous-officier de réserve ne peut être promu au grade supérieur que s’il compte, dans le grade détenu,
une ancienneté au moins égale à celle de l’officier ou du sous-officier de carrière du même corps et du même grade le
moins ancien en grade promu, à titre normal, la même année (art. L. 4143‑1 du code de la défense).
1.2. Conformément aux dispositions de l’article R. 4221‑23 du code de la défense, l’avancement de grade des réservistes
est prononcé uniquement au choix. Sous réserve de l’application des articles R. 4221‑21 et R. 4221‑22 dudit code, les
promotions ont lieu de façon continue de grade à grade.
1.3. Les réservistes recrutés en qualité de spécialistes au titre de l’article L. 4221‑3 du code de la défense et les réservistes
citoyens ne peuvent pas et ne doivent pas être proposés à l’avancement.
1.4. L’article R. 4221‑21 du code de la défense permet la nomination exceptionnelle, contingentée et sous conditions,
de sous-officiers au premier grade d’officier (sous-lieutenant). Pour être autorisée à mettre en œuvre cette procédure
particulière, la gendarmerie doit adresser au ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration, le nombre de réservistes pressentis pour en bénéficier. Cette procédure constituant une dérogation au droit
commun, il convient de lui conserver son caractère exceptionnel.
2. Conditions d’avancement des officiers, des aspirants et des sous-officiers de réserve
2.1. Conditions à remplir par les officiers de réserve
Pour être proposables, les candidats doivent réunir les conditions suivantes :
2.1.1. Conditions générales
Être titulaire d’un contrat ESR homologué (1) et en cours de validité au 1er décembre 2011.
() Seule la date d’homologation du contrat par le commissaire des armées fait foi.
2.1.2. Conditions d’ancienneté
2.1.2.1. Officiers de réserve rattachés au corps des officiers de gendarmerie :
Pour le grade de
Grade et ancienneté minimum de grade exigés
Colonel
2 ans et 5 mois minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2011
Lieutenant-colonel
Chef d’escadron
Capitaine
4 ans minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2011
Lieutenant
1 an minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2011
2.1.2.2. Officiers de réserve rattachés au corps technique et administratif :
pour le grade de
grade et ancienneté minimum de grade exigés
Colonel
Lieutenant-colonel
Commandant
Capitaine
4 ans minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2011
Lieutenant
1 an minimum d’ancienneté de grade au 31/12/2011
Qu’il s’agisse des officiers de réserve rattachés au corps des officiers de gendarmerie ou des officiers de réserve rattachés
au corps technique et administratif de la gendarmerie, l’ancienneté de grade doit tenir compte des éventuelles interruptions
d’ESR.
S’agissant des anciens cadres d’active, ces dispositions sont applicables aux officiers de réserve rayés des cadres d’active
avant le 1er janvier 2011 et qui ont effectué un minimum de cinq jours d’activité dans la réserve.
2.2. Conditions à remplir par les aspirants de réserve pour une nomination au grade de sous-lieutenant :
– être titulaire d’un contrat ESR en cours de validité au 1er décembre 2011 ;
– être proposé par la région d’affectation, au regard de la manière de servir ;
– compter au moins trois mois d’ancienneté de grade au 1er décembre 2011.
2.3. Conditions à remplir par les sous-officiers de réserve au titre de l’article R. 4221‑21 du code de la défense pour une nomination au premier grade d’officier de réserve :
– être titulaire, soit d’une licence de l’enseignement supérieur général ou technologique, soit du diplôme de qualification
supérieure gendarmerie, soit d’un diplôme équivalent des autres forces armées ;
– être titulaire d’un contrat ESR en cours de validité au 1er décembre 2011 ;
– réunir au moins deux ans de grade de sous-officier et être à plus de deux ans de la limite d’âge de leur grade
au 1er décembre 2011 ;
– pour les anciens militaires de carrière ou contractuels, avoir été radié des cadres ou rayé des contrôles au plus tard au
31 décembre 2010 ;
– avoir effectué sous ESR au moins 30 jours d’activité cumulés au 31 décembre 2010 ;
– être bien noté.
3. Fusionnement
Pour le fusionnement des conditionnants, il doit être tenu compte de :
– la durée des activités effectuées ;
– la qualité du renfort apporté à la gendarmerie et son impact, en particulier pour les officiers occupant de hautes
fonctions ou responsabilités.
Tout réserviste, qui remplit les conditions requises, est pris en compte pour l’avancement et fusionné par sa région
d’affectation au 1er janvier 2011. Le cas particulier des sous-officiers de réserve réunissant les conditions pour être nommés
au premier grade d’officier est évoqué au paragraphe 4.3.
Les réservistes proposables rattachés au corps technique et administratif de la gendarmerie nationale font l’objet d’un
fusionnement distinct.
Les réservistes proposables affectés en gendarmerie mobile font également l’objet d’un fusionnement distinct réalisé au
niveau de la région zonale de gendarmerie.
Les réservistes proposables affectés à la garde républicaine et au GIGN font l’objet d’un fusionnement spécifique.
Les réservistes proposables affectés en gendarmerie de l’air, maritime, des transports aériens, de l’armement, au CGOM
et au CAGN sont fusionnés par leur commandement respectif.
4. Établissement des travaux d’avancement
4.1. Activités à prendre en compte
Les activités effectuées au sein de la réserve militaire durant les cinq dernières années (2006, 2007, 2008, 2009 et 2010)
sont prises en compte dans l’appréciation des services. Ces activités sont arrêtées au 1er janvier 2011.
4.2. Établissement des travaux d’avancement à titre normal (officiers et aspirants)
Le commandant de région (1) fait établir :
– l’état récapitulatif des activités des officiers proposables pour chaque grade et leur mention d’appui « TSA, TA, P, A
ou NP » sur lequel il fusionne tous les candidats relevant de son commandement (annexe I) ;
– un état récapitulatif des ESR successifs des candidats proposés (annexe II).
Il fait transmettre :
– à la DGGN, direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale, sous-direction de la gestion du
personnel, bureau du personnel de la réserve militaire (DGGN/DPMGN/SDGP/BPRM) avant le 30 juin 2011, par
messagerie électronique (2) :
– les annexes I et II en version OpenOffice.org Calc ;
– l’ensemble des ESR depuis la date du grade actuel de chaque candidat sous forme de scan ;
– à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPRM pour le 30 juin 2011, terme de rigueur, l’annexe I signée par le commandant de
région et l’annexe II ainsi qu’une copie de l’ESR en cours de validité au 1er décembre 2011 pour chaque réserviste
proposé.
4.3. Établissement des travaux d’avancement à titre exceptionnel des sous-officiers de réserve dans le cadre des dispositions de l’article R. 4221‑21 du code de la défense
Le commandant de région fait informer des possibilités offertes les sous-officiers réunissant les conditions techniques
détaillées au paragraphe 2.3, et qu’il souhaite voir nommer au premier grade d’officier. Pour cela, il leur fait adresser une
correspondance à laquelle est jointe la pièce figurant en annexe III.
Il fait établir, au vu des candidatures exprimées :
– un état chiffré précisant la qualification des réservistes pour lesquels il demande une nomination au titre de l’article
R. 4221‑21 du code de la défense (annexe IV) ;
– un état nominatif et récapitulatif des activités des sous-officiers proposables (les candidats sont fusionnés entre eux
TSA, TA, P, A ou NP) (annexe V) ;
– un état récapitulatif des ESR successifs des candidats (annexe VI).
Il fait transmettre :
– à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPRM avant le 31 mai 2011, par messagerie électronique (2) :
– les annexes IV, V et VI en version OpenOffice.org ;
– l’ensemble des ESR depuis la date du grade actuel de chaque candidat sous forme de scan ;
– à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPRM pour le 31 mai 2011 :
– l’annexe IV (accompagnée des copies des diplômes détenus), l’annexe V signée par le commandant de région et
l’annexe VI ;
– la copie de l’ESR en cours de validité au 1er décembre 2011 pour chaque réserviste proposé ;
– un extrait d’acte de naissance, le numéro matricule et l’adresse de l’intéressé.
() Sauf mention particulière et chaque fois qu’ils sont employés dans la présente instruction, les termes « commandant(s) de région » et « région(s)
de gendarmerie » visent aussi respectivement le(s) commandant(s) et commandement(s) de la gendarmerie outre-mer, de la garde républicaine (GR), du
groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, de la gendarmerie des transports aériens, de la gendarmerie de l’armement, de la gendarmerie maritime
et de la gendarmerie de l’air.
() À : [email protected] et [email protected].
Nota : L’attention est tout particulièrement attirée sur les dates de validité des ESR fournis (la date de début de l’ESR est
la date de l’homologation par le commissaire des armées). Le cas échéant, il importe de prendre toutes dispositions pour
assurer le renouvellement des contrats arrivant à échéance avant le 1er décembre 2011. En cas de changement de résidence
et de signature d’un nouvel ESR auprès d’une nouvelle région d’affectation après le 30 juin 2011, le nouveau contrat doit
parvenir dans les meilleurs délais à DGGN/DPMGN/SDGP/BPRM.
J. Delpont
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 77/89 – Page Région de gendarmerie de
État
récapitulatif des
…………
proposables pour le grade de
Année 2011
A nne x e I
………… (a)
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 77/89 – Page récapitulatif des ESR successifs des officiers candidats au grade supérieur
État
A nne x e ii
A nne x e I I I
Nomination
au grade de sous-lieutenant de réserve des sous-officiers
au titre de l’article R. 4221‑21 du code de la défense
Je soussigné (1) ......................................................................................... déclare :
 être candidat pour une nomination au grade de sous-lieutenant de réserve (2).
 ne pas être candidat pour une nomination au grade de sous-lieutenant de réserve (2).
À ....................................... , le . ................................
(signature)
– Réponse souhaitée pour le........................................
– Au-delà de cette limite, votre réponse ne sera pas prise en compte.
() Grade, prénom, nom.
() Cocher l’une des deux cases.
A nne x e I V
État
des personnels proposés pour la nomination au premier grade d’officier
au titre de l’article R.
4221‑21
du code de la défense
effectif concerné
Année 2011 demande
Nomination au premier grade d’officier
de sous-officiers réunissant les conditions
requises au paragraphe 23
de la présente instruction
Nom – Prénom – Grade – Qualification (1)
–
–
–
–
–
–
Total :
À ......................................., le .................................
Le .................................................................................................
Commandant la région de gendarmerie de..................................
() La copie des diplômes détenus doit être jointe à la présente annexe.
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 77/89 – Page Région de gendarmerie de
État
(art. R. 4221-21
du code de la défence)
(a)
récapitulatif des sous-officiers proposables pour le grade de sous-lieutenant
Année 2011
A nne x e V
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 77/89 – Page 4221-21
du
CD
récapitulatif des ESR successifs des sous-officiers candidats
au grade de sous-lieutenant au titre de l’article R.
État
A nne x e V I
de l’outre-mer,
_____
Direction des libertés publiques
et des affaires juridiques
_____
Cabinet
_____
Bureau des polices administratives
_____
Circulaire du 9 février 2011 relative
aux licences restaurant et vente à emporter
NOR : IOCD1104197C
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs les préfets ; Monsieur le préfet de police.
Jusqu’à la fin de l’année 2010, les restaurants, les débits de boissons à consommer sur place et les établissements de
vente d’alcool à emporter étaient soumis à une obligation de déclaration fiscale prévue à l’article 502 du code général des
impôts. Le récépissé de déclaration fiscale, délivré par les services des douanes, attestait de l’accomplissement par son
titulaire de la formalité déclarative et formalisait l’entrée en exercice en faisant droit à la licence.
Depuis le 30 décembre 2010, date d’entrée en vigueur de la loi no 2010‑1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificative
pour 2010, cette obligation de déclaration fiscale est supprimée (art. 52 de la loi).
1. Suppression de la déclaration fiscale et incidences sur l’enregistrement des restaurants,
débits de boissons à emporter et débits de boissons à consommer sur place
Aucune démarche déclarative à la recette locale des douanes n’est plus exigée des personnes désirant exploiter un
restaurant ou un débit de boissons à emporter. Les débits de boissons à consommer sur place (cafés, brasseries...), visés à
l’article L. 3331‑1 du code de la santé publique, demeurent, quant à eux, soumis à l’obligation déclarative auprès du maire
(à Paris, le préfet de police) prévue à l’article L. 3332‑3 du même code.
La suppression de la déclaration fiscale pose une difficulté pour l’enregistrement de ces établissements au registre du
commerce et des sociétés. En effet, le récépissé de déclaration fiscale valait jusqu’à présent « droit d’exercice » pour les
restaurateurs et les débitants de boissons à emporter. Il n’est aujourd’hui plus délivré, alors même qu’une pièce justificative
de déclaration demeure exigée par les articles R. 123‑95 et R. 123‑96 du code de commerce lors du dépôt de toute
demande d’inscription au registre du commerce et des sociétés. Faute de disposer de cette pièce, certains greffes refusent
l’immatriculation.
2. Les évolutions attendues du projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation de la législation
au droit de l’Union européenne en matière de santé, de travail et de communications électroniques
Le projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation de la législation au droit de l’Union européenne en matière de
santé, de travail et de communications électroniques, adopté en première lecture par l’Assemblée nationale le 13 janvier 2011,
prévoit d’aligner les établissements de restauration et les commerces de vente d’alcool à emporter sur le régime déclaratif
imposé actuellement aux seuls débits de boissons à consommer sur place. Ces établissements seront tenus d’effectuer
une déclaration administrative auprès du maire ou, pour Paris, du préfet de police. Lors du dépôt de cette déclaration, un
récépissé valant justification de la licence sera délivré au déclarant.
3. La gestion d’une période transitoire dans l’attente de l’adoption définitive de la loi précitée
Dans l’attente de l’adoption définitive de ce projet de loi, les restaurants et les établissements de vente d’alcool à emporter
ouverts depuis le 30 décembre 2010 ne peuvent accomplir les formalités nécessaires à leur exploitation.
Aussi, afin de remédier à cette difficulté, le projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation de la législation au
droit de l’Union européenne en matière de santé, de travail et de communications électroniques prévoit également des
dispositions permettant de gérer au mieux cette période transitoire.
Ainsi, les professionnels qui auront ouvert un débit de boissons à emporter ou un restaurant entre le 30 décembre 2010 et
la date effective d’entrée en vigueur des nouvelles mesures déclaratives (à savoir le premier jour du troisième mois suivant
la promulgation de la future loi) bénéficieront d’un délai de deux mois pour déclarer leur activité auprès de l’autorité
compétente.
Je vous informe de cette disposition afin de vous permettre de répondre aux questions qui vous sont adressées par les
professionnels confrontés à cette difficulté provisoire : les intéressés peuvent continuer à s’inscrire au registre du commerce
et des sociétés en étant, pour le moment, dispensés de justifier d’une démarche déclarative préalable. Ils auront à l’effectuer
ultérieurement.
La réforme actuellement en cours n’exonère pas de l’obligation de procéder à l’enregistrement de l’exploitation au
registre du commerce et des sociétés. Le Conseil national des greffiers prépare actuellement un avis à l’attention des
greffiers du registre du commerce et des sociétés, leur demandant de tenir compte de cette période transitoire et de ne pas
interrompre la prise en charge des professionnels sollicitant leur inscription au dit registre.
Je ne manquerai pas de vous informer de l’adoption définitive par le Parlement de ces dispositions législatives.
Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques,
L. Touvet
de l’outre-mer,
_____
Ministère des affaires
Ministère de la justice
étrangères et européenneset des libertés
_____
_____
Circulaire du 1er février 2011 relative à la simplification de la procédure de délivrance
et de renouvellement des cartes nationales d’identité (CNI) et des passeports – Rappel
NOR : IOCD1102108C
Références :
Décret no 2010‑506 du 18 mai 2010 relatif à la simplification de la procédure de délivrance et de renouvellement de la
carte nationale d’identité et du passeport ;
Circulaire IOCK 1002582C du 1er mars 2010.
La ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes, le garde des sceaux, ministre de la justice et des
libertés, le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et
Messieurs les chefs des postes diplomatiques et consulaires ; Mesdames et Messieurs les procureurs généraux ;
Mesdames et Messieurs les greffiers en chef des tribunaux d’instance spécialisés en matière de nationalité ;
Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets (métropole et outre-mer) et hauts-commissaires
de la République ; Monsieur l’administrateur supérieur des îles Wallis-et-Futuna.
La publication au Journal officiel du 19 mai 2010 du décret no 2010‑506 du 18 mai 2010 relatif à la simplification de la
procédure de délivrance et de renouvellement de la carte nationale d’identité et du passeport (1) a consacré la réforme de
grande ampleur engagée début mars sur ce thème par la circulaire du 1er mars 2010.
L’objectif premier de cette réforme demeure de simplifier la nature et le nombre des justificatifs demandés pour apporter
la preuve de son état civil ou de sa nationalité. Or, il nous revient de façon régulière que des difficultés persistent dans
la compréhension et l’application des nouvelles procédures. Nous vous demandons donc de bien vouloir assurer à cette
réforme une pleine portée afin que nos concitoyens ne soient plus confrontés à des demandes de justificatifs excédant le
strict nécessaire.
À cet égard, nous rappelons que l’accent a été mis sur l’établissement de la nationalité par la mise en œuvre de la
possession d’état de Français de sorte que la production d’un certificat de nationalité française doit maintenant devenir une
exception, limitée aux cas dans lesquels la nationalité française ne peut être établie par aucun autre moyen.
Si la délivrance d’un certificat de nationalité française s’avère toutefois nécessaire, il convient de veiller, sans remettre
en cause les exigences particulières imposées par la loi en matière de nationalité, à faciliter la gestion et le traitement
des demandes tendant à sa délivrance en donnant une information précise à l’usager, dès la réception de sa demande,
sur l’ensemble des documents qu’il devra produire pour obtenir le certificat qu’il sollicite. Ce traitement particulier pour
chaque personne sera la garantie d’une simplification des démarches pour l’usager. Il devra intervenir dans les meilleurs
délais afin d’éviter aux demandeurs d’avoir à subir des délais de traitement anormalement longs.
Pour l’application des autres grands principes de la réforme, vous vous référerez à la circulaire du 13 janvier 2010
relative aux conditions de délivrance et de renouvellement des passeports qui est régulièrement actualisée et dont les
dernières mises à jour vous sont parvenues le 21 décembre 2010.
Par la présente circulaire, nous vous demandons donc de vous impliquer personnellement dans la mise en œuvre de cette
réforme. À cet effet, vous sensibiliserez les agents placés sous votre autorité à l’importance du respect des instructions
qui vous ont été communiquées. Vous entamerez des démarches auprès des communes, lorsqu’elles sont des partenaires
essentiels de cette procédure, pour vous assurer qu’elles appliquent elles-mêmes correctement la réforme. Enfin, vous
n’hésiterez pas à engager des actions de communication en direction de la population en mettant l’accent sur la simplification
des démarches administratives.
Vous voudrez bien adresser à l’administration centrale dont vous dépendez un bilan de l’application de cette réforme,
pour ce qui vous concerne, à la fin du premier trimestre de l’année 2011.
Le ministre de l’intérieur,
La ministre d’État,
Le garde des sceaux, de l’outre-mer, des collectivités territoriales
ministre des affaires
ministre de la justice et de l’immigration,
étrangères et européennes,
et des libertés,
Brice Hortefeux
Michèle Alliot-Marie
Michel Mercier
() JORF no 114 du 19 mai 2010 - Décret n° 2010-506 du 18 mai 2010 relatif à la simplification de la procédure de délivrance et de renouvellement
de la carte nationale d’identité et du passeport.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022227459&dateTexte=&categorieLien=id
de l’outre-mer,
_____
Direction des libertés publiques
et des affaires juridiques
_____
Bureau des questions pénales
_____
Circulaire du 23 février 2011 relative aux statistiques de recherches dans l’intérêt
des familles des personnes majeures. Résultats définitifs 2009 – Premiers résultats 2010
NOR : IOCD1104611C
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Mesdames et Messieurs
les préfets (métropole et outre-mer) ; Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les sous-préfets
(en communication).
J’ai le plaisir de vous adresser le rapport d’activité concernant les recherches dans l’intérêt des familles pour la période
2008‑2009. Il dresse la synthèse des résultats au niveau national pour l’ensemble des préfectures ainsi que pour le bureau
des questions pénales, soit un taux de 54,81 % de personnes retrouvées (résultats partiels) pour 4 700 demandes concernant
l’année 2009. À la suite d’un rapport de l’Inspection générale de l’administration, une réflexion sur la procédure de
recherches dans l’intérêt des familles est en cours.
Afin d’établir le rapport d’activité pour l’année 2010, je vous prie de bien vouloir me retourner, avant le 1er mai 2011, les
tableaux statistiques ci-joints complétés.
Vous prendrez exclusivement en compte les demandes de recherches émanant des requérants domiciliés dans votre
département, à l’exclusion de celles émanant des autres préfectures.
Je vous remercie de bien vouloir me communiquer vos réponses à l’aide du tableur Excel ci-joint prévu à cet effet. Vous
voudrez bien me faire parvenir vos résultats par voie électronique à l’adresse suivante : [email protected]. Par
ailleurs, afin d’enrichir le rapport, je vous invite à accompagner vos données statistiques de commentaires ou suggestions
pour améliorer l’efficience de la procédure.
Le directeur des libertés publiques et des affaires juridiques,
L. Touvet
RAPPORT D’ACTIVITé DES ANNéES 2008 ET 2009 DES SERVICES DE RECHERCHES
DANS L’INTéRêT DES FAMILLES
Ce rapport d’activité présente les résultats 2009 des recherches de personnes effectuées par le bureau des questions
pénales et les préfectures.
Les résultats prennent en compte les nouvelles demandes déposées en 2009 ainsi que le volume de demandes
global concernant les années 2008 et 2009. En effet, la procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles
donne lieu à une inscription des personnes au fichier des personnes recherchées, dont la durée s’étend de l’année d’inscription
à la fin de l’année suivante, déterminant ainsi le temps de recherche consacré par les services aux dossiers déposés une
même année.
Depuis deux ans, le bureau des questions pénales cherche à moderniser et à simplifier le recueil des statistiques afin de
faciliter le travail des préfectures, d’automatiser les calculs et de présenter des résultats plus lisibles et actuels qu’auparavant
malgré la contrainte que représentent ces deux années de chevauchement d’instruction des dossiers dû à l’inscription au
FPR.
1. Évolution de la procédure : vers la primauté du principe de la liberté de circulation des individus
L’origine de cette procédure administrative se trouve aux lendemains de la Première Guerre mondiale quand l’État a
apporté son concours aux particuliers pour recomposer les familles dispersées par le conflit. Après la Seconde Guerre
mondiale, l’État a confirmé cette aide par une circulaire du ministère de l’intérieur du 26 mai 1945.
Puis, la nature des recherches n’a plus eu de lien avec les évènements évoqués et la question de la communication de
l’adresse de la personne recherchée, si celle-ci n’y consentait pas, a été soulevée.
Actuellement cette procédure est encadrée par la circulaire no 83‑52 du 21 février 1983 qui a pris en compte la diffusion
nationale de la recherche avec l’inscription au fichier national des personnes recherchées (FPR). Elle vise à répondre à des
demandes formulées par des personnes majeures qui recherchent un parent sur notre territoire.
Elle repose désormais sur la liberté de circulation des individus, le respect de la vie privée, et ne présente aucun caractère
de contrainte ou d’obligation. Le droit à disparaître s’est ainsi imposé.
Cas particuliers
Sont exclus de la procédure administrative de recherches dans l’intérêt des familles :
– les mineurs et les majeurs protégés.
– les personnes disparues dans des conditions inquiétantes dues aux circonstances, aux conditions d’âge ou de santé
(art. 26 de la loi no 95‑73 du 21 janvier 1995, et art. 74‑1 du code de procédure pénale).
2. Traitement des demandes : une procédure uniforme
Le traitement de la recherche est uniforme quelle que soit l’origine de la demande. Il consiste en :
– une diffusion nationale avec l’inscription au fichier des personnes recherchées, après des recherches locales
infructueuses ;
– des formalités de recherches aux niveaux départemental et régional auprès de toutes les administrations, ou organismes
privés, susceptibles de détenir des renseignements concernant l’adresse de la personne disparue.
En cas de découverte, l’accord de la personne retrouvée est un préalable indispensable à la communication de son
adresse.
La validité des avis de recherche court de l’année d’inscription à la fin de l’année suivante.
Un certificat de vaines recherches, sans valeur juridique, peut être délivré au requérant après six mois de recherches
infructueuses et entraîne la cessation des recherches.
2.1. Spécificité du bureau des questions pénales
Le bureau des questions pénales reçoit et traite les demandes en provenance de l’étranger par l’intermédiaire du ministère
des affaires étrangères, via les représentations consulaires, ou par l’intermédiaire de la Croix-Rouge (1).
Les demandes transmises par la Croix Rouge proviennent en très grande majorité des pays de l’Europe de l’Est ou de
l’Asie du Sud-Est. La proportion de ces dossiers avoisine les 15 % du total. Les recherches concernant les dossiers en
provenance d’Asie sont, en raison des états civils qui ne répondent pas à nos critères, extrêmement difficiles et les résultats
très minces. Il n’y a cependant guère plus d’une dizaine de dossiers par an.
() Pour mémoire, les demandes émanant de personnes résidant en France sont directement adressées aux préfectures dont relèvent les requérants.
Sur l’ensemble des dossiers, on constate une grande disparité dans la provenance des demandes. En outre, l’origine
géographique de ces dernières semble de moins en moins être déterminée par les conséquences de conflits ou de situations
politiques précaires.
Parmi les demandes de recherches transmises par le ministère des affaires étrangères, on constate une baisse continue
des demandes en provenance d’Afrique du Nord et en particulier d’Algérie. Après des séparations de quarante ans, ou plus,
beaucoup de personnes sont décédées, introuvables, ou ne souhaitent pas renouer de contacts.
Les demandes en provenance d’Europe de l’Est sont proportionnellement peu nombreuses.
2.2. Activités annexes au bureau des questions pénales
Outre la mission principale de recherches de personnes sur le territoire français, la section de recherches du bureau des
questions pénales est destinataire de courriers et appels téléphoniques émanant de particuliers, relatifs à la disparition de
personnes, qui appellent un travail d’orientation et de conseil.
Le service joue également un rôle de conseil auprès du service de recherches dans l’intérêt des familles de chaque
préfecture et suit l’évolution des réglementations susceptibles d’avoir une incidence sur les règles de fonctionnement de la
procédure, en particulier sur les conditions de recevabilité des demandes.
3. Résultats statistiques
Globalement, le nombre de demandes de recherches dans l’intérêt des familles est en baisse constante et l’année 2009
confirme ce mouvement.
Pour l’année 2009, l’ensemble des résultats est le suivant :
8 692 dossiers en stock (nouvelles demandes 2009 et demandes 2008) ;
4 700 nouvelles demandes déposées en 2009 ;
3 016 dossiers ont débouché sur la localisation des personnes ;
54,81 % des personnes retrouvées, soit 1 653 dossiers, ont consenti à communiquer leur adresse.
Ainsi, alors que le bureau des questions pénales enregistrait 472 demandes en 2004, le nombre de dossiers passe à 206
en 2009, c’est-à-dire une baisse de 56 % en cinq ans. Les préfectures enregistraient 4 494 demandes de recherches en 2009,
contre 8 039 en 2004, soit une baisse de 55 %.
Il convient par ailleurs de noter la disparité des résultats d’une préfecture à une autre. Une quarantaine de préfectures
ont réussi à élucider au moins 50 % des affaires traitées et une dizaine dépassent les 70 %, pour des volumes variant de
quelques dizaines à quelques centaines de dossiers.
Plus de 1 500 personnes ont donc connu une issue favorable à leur demande de recherches. Mais plus que les chiffres
eux-mêmes, ce sont les résultats en termes de facteurs humains qui doivent être pris en considération, car ils sont parfois
inestimables.
Le pourcentage de personnes retrouvées qui consentent à communiquer leur adresse est, dans les résultats des préfectures,
en général supérieur à celui obtenu par le bureau des questions pénales, une rupture de longue durée avec le pays d’origine
ne favorisant pas la reprise des contacts familiaux.
4. Analyse des résultats
Cette année, le bureau des questions pénales a requis des services en charge des RIF au sein des préfectures leur avis
concernant les difficultés qu’ils rencontrent sur le terrain dans la mise en œuvre de la procédure.
Il en ressort des commentaires et suggestions pertinents afin d’améliorer la gestion des dossiers de recherches dans
l’intérêt des familles.
Il existe des points de convergence dans ces remarques. Ainsi plusieurs services évoquent la possibilité de déployer une
application qui permettrait des échanges dématérialisés entre les services des différentes préfectures et sous-préfectures
qui gèrent cette compétence. Cela permettrait, selon ces services, de réduire les délais et d’améliorer l’efficience de cette
mission.
Dans le même esprit, il est suggéré la consultation directe par les agents en charge des RIF, des différents fichiers nationaux
hébergés dans les préfectures : fichier des étrangers, fichier national des permis de conduire, système d’immatriculation des
véhicules...
Enfin, les services des préfectures reconnaissent l’intérêt de mutualiser les bonnes pratiques sous l’égide de la direction
des libertés publiques et des affaires juridiques et soulignent les points qu’ils aimeraient y voir abordés (précisions sur le
respect de la procédure et le dépôt des demandes, liste d’organismes et d’administrations qui peuvent être sollicités dans
le cadre des recherches).
Pour conclure, un nombre important de demandes concernent des recherches dont la finalité et l’utilité posent question.
Il s’agit notamment de la recherche de débiteurs lorsqu’il s’agit de justifier une aide sociale à l’hébergement pour les
personnes âgées. Ce type de demandes représente une charge de travail non négligeable, notamment pour les services de
la préfecture du Nord. Pour illustration, depuis les six derniers mois, la préfecture comptabilise une centaine de dossiers
relatifs à cette problématique et cette activité représente 50 % d’un équivalent temps plein. Si la motivation du requérant
ne doit pas être prise en compte dans la mise en œuvre d’une RIF, ce même objectif pourrait néanmoins être atteint par des
procédures civiles dédiées et décharger ainsi les préfectures d’une tâche qui ne leur revient par directement.
Enfin, des informations remontées par les services de recherches dans l’intérêt des familles, il ressort que la circulaire qui
date bientôt de trente ans et qui encadre la procédure, manque de précision et est devenue inadaptée. Par conséquent, et sauf
meilleur avis de votre part, il pourrait être opportun de compléter la circulaire no 83‑52 du 21 février 1983 ou de la remplacer
par une nouvelle. En effet, actualiser cette circulaire permettrait de mieux définir la finalité de la procédure, notamment en
donnant une définition de la notion d’intérêt de famille et en précisant ce qui, de ce fait, peut être considéré comme une
procédure abusive, en outre de mieux encadrer la recevabilité des demandes (par exemple, préciser les documents exigés
pour déposer une telle demande) et enfin d’actualiser la dénomination et l’adresse des services du ministère mentionnés
dans cette circulaire (circulaire jointe).
DE L’OUTRE-MER,
DES COLLECTIVITéS TERRITORIALES
_____
_____
MINISTÈRE DU BUDGET,
DES COMPTES PUBLICS
de la fonction publique
ET DE LA RÉFORME DE L’ÉTAT
_____
Direction générale des finances publiques
_____
Circulaire du 25 février 2011 relative à l’impact financier des schémas départementaux
de coopération intercommunale : présentation des outils mis à disposition
NOR : COTB1105468C
Références :
Circulaire du 27 décembre 2010 portant information générale sur la loi no 2010‑1563 du 16 décembre 2010 de
réforme des collectivités territoriales et instructions pour l’élaboration du schéma départemental de coopération
intercommunale ;
Circulaire du 4 février 2011 portant modalités de composition et de fonctionnement de la CDCI.
Pièces jointes : deux annexes.
Le directeur général des collectivités locales et le directeur général des finances publiques à Madame et Messieurs
les préfets de région ; Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Madame et Messieurs les délégués
du directeur général ; Mesdames et Messieurs les directeurs régionaux et départementaux des finances
publiques ; Mesdames et Messieurs les trésoriers-payeurs généraux (métropole et DOM).
La loi no 2010‑1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales a été publiée au Journal officiel du
17 décembre 2010.
Aux termes de son article 35, les préfets sont chargés d’élaborer un schéma départemental de coopération intercommunale
(SDCI). Ce schéma est un document destiné à servir de cadre de référence à l’évolution de la carte intercommunale dans
chaque département en répondant aux trois objectifs suivants :
– la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre et la suppression des enclaves et discontinuités
territoriales ;
– la rationalisation des périmètres des EPCI à fiscalité propre ;
– la réduction du nombre de syndicats intercommunaux ou mixtes et notamment la disparition des syndicats devenus
obsolètes.
Il devra être achevé au plus tard le 31 décembre 2011. Dès sa publication et au plus tard le 1er janvier 2012, les préfets
disposeront de pouvoirs accrus pour mettre en œuvre le SDCI jusqu’au 1er juin 2013.
Cette circulaire conjointe présente les implications en matière d’informations budgétaires, financières et fiscales associées
à la réalisation de ces SDCI et à l’évolution de l’intercommunalité, ainsi que les outils mis à votre disposition pour y
répondre.
1. Calendrier d’élaboration du SDCI
Aux termes de l’article 37 de la loi de réforme des collectivités territoriales, le schéma départemental de coopération
intercommunale (SDCI) est arrêté par le représentant de l’État dans le département avant le 31 décembre 2011. En amont,
le processus d’élaboration du schéma s’inscrit dans le calendrier suivant :
1.1. Élaboration du projet de SDCI
Conformément à la circulaire du 4 février 2011, il convient de tenir la réunion d’installation de la CDCI avant le
30 avril 2011 afin que le projet de schéma soit présenté dans des délais compatibles avec la nécessité de procéder ensuite
aux consultations prévues par la loi en temps utile pour une approbation du schéma d’ici à la fin de l’année.
La loi de réforme des collectivités territoriales précise que le SDCI « peut proposer la création, la transformation ou
la fusion d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, ainsi que la modification de leurs
périmètres. Il peut également proposer la suppression, la transformation, ainsi que la fusion de syndicats de communes ou
de syndicats mixtes ».
La rationalisation de la carte de l’intercommunalité se traduira ainsi par plusieurs types d’évolution, tels que mentionnés
dans la circulaire du 27 décembre 2010 (création, extension de périmètre ou fusion d’EPCI à fiscalité propre ; dissolution,
extension de périmètre ou fusion de syndicats).
Ces situations peuvent se combiner entre elles. Si toutes les propositions d’évolution doivent être présentées dans le
cadre du SDCI, les fusions doivent faire l’objet d’une attention particulière.
Le directeur départemental des finances publiques sera associé, par le préfet, en qualité d’expert aux réunions de la
CDCI.
1.2. Avis des communes, EPCI et syndicats mixtes concernés
Le projet est ensuite adressé pour avis aux conseils municipaux des communes et aux organes délibérants des EPCI et
des syndicats mixtes concernés par les propositions de modification de la situation existante, lesquels disposeront d’un délai
de trois mois pour se prononcer (à défaut la réponse sera réputée favorable).
Durant cette période de concertation, les communes et les EPCI concernés par le projet de SDCI sont susceptibles de
prendre l’attache de vos services afin d’obtenir des informations juridiques, financières et fiscales. Les services préfectoraux
assureront la coordination et la transmission de cette information, en prenant appui, le cas échéant, sur l’expertise des
services des DRFiP/DDFiP. Si ces derniers venaient à être saisis directement par une collectivité, ils en informeront sans
délai les services préfectoraux.
1.3. Avis de la CDCI
À partir des avis rendus par les communes et les EPCI concernés, la CDCI dispose d’un délai de quatre mois pour se
prononcer sur le projet de schéma accompagné des avis émis. Elle dispose de la possibilité d’amender le projet à la majorité
des deux tiers de ses membres.
À défaut de délibération dans ce délai, celle-ci est réputée favorable.
1.4. Arrêté préfectoral
Aux termes de l’article 37 de la loi de réforme des collectivités territoriales, le schéma est arrêté par le préfet au plus
tard le 31 décembre 2011.
2. Une étude d’impact budgétaire et fiscal doit accompagner les projets de fusion d’EPCI
dont l’un au moins est à fiscalité propre
Il convient au préalable de rappeler que l’article 42 de la loi de réforme des collectivités territoriales, modifiant les
dispositions du I de l’article L. 5211‑41‑3 du CGCT, dispose qu’en cas de fusion d’établissements publics de coopération
intercommunale dont l’un au moins est à fiscalité propre, le ou les représentants de l’État dans le département notifie « le
projet de périmètre, accompagné d’un rapport explicatif et d’une étude d’impact budgétaire et fiscal ».
Pour les fusions d’EPCI intervenant selon la procédure de droit commun, la production par le préfet de cette étude
d’impact est une condition juridique de la validité de la proposition. Cette obligation est donc strictement définie et ne doit
pas s’entendre comme un accompagnement des propositions figurant dans le SDCI.
En revanche, cette production, si elle peut être recommandée, n’est pas juridiquement obligatoire lorsque la fusion est
mise en œuvre par le préfet dans le cadre des pouvoirs temporaires issus du III de l’article 60 de la loi de réforme des
collectivités territoriales. Or, en pratique, il convient de noter que la plupart des fusions d’EPCI dont l’un au moins est à
fiscalité propre interviendront sans doute sur cette dernière base légale jusqu’au 1er juin 2013.
L’étude d’impact comportera pour chaque EPCI à fiscalité propre et ses communes membres concernés un état de leur
situation budgétaire, financière et fiscale, et une estimation de la situation résultant de la fusion.
Vous trouverez ci-joint la maquette de l’étude d’impact à produire, qu’il vous appartiendra de compléter localement, en
accompagnement de chaque arrêté de périmètre qui serait soumis à consultation. Elle comportera :
– d’une part, les données budgétaires, financières et fiscales à compléter par les DRFiP/DDFiP (annexe I) ;
– d’autre part, les éléments concernant l’évolution des dotations à compléter par les préfectures (annexe II).
Des simulations fiscales pourront être effectuées à partir d’outils bureautiques à compter du mois d’avril (voir § 3.3). Les
études d’impact intervenant à compter de cette mise à disposition de ces outils intégreront les simulations fiscales décrites
au § 3.3.
En tout état de cause, il est rappelé que ces études d’impact ne sont obligatoires que pour la mise en œuvre des dispositions
de l’article L. 5211‑41‑3 du CGCT concernant les fusions d’EPCI à fiscalité propre, dans les conditions rappelées ci-dessus,
et non pour l’élaboration des SDCI, même dans l’hypothèse où ceux-ci comporteraient des projets de fusion.
2.1. Concernant la première partie relative aux données budgétaires, financières et fiscales (voir annexe I)
Elle se structure en :
– un premier tableau relatif aux données budgétaires et financières ;
– un second tableau relatif aux données fiscales.
Le premier tableau sera directement extrait des volets no 1 et no 2 des fiches AE2F du dernier exercice disponible pour
les communes et les groupements à fiscalité propre.
Le second tableau sera issu d’un outil d’export de données de fiscalité directe locale afférentes à l’exercice 2010, qui
sera mis à la disposition des DRFiP/DDFiP par le bureau CL2A de la DGFiP, accompagné d’une fiche méthodologique. Il
comportera notamment les montants des CVAE, IFER et TASCOM notifiés au cours du mois de décembre dernier.
Les chargés de mission « analyse financière » des divisions « secteur public local » des DRFiP/DDFiP veilleront, après
communication par les services préfectoraux des groupements à fiscalité propre et communes concernés par les projets, à
la collecte de ces données.
Après avoir été compilée, la première partie sera transmise dans les meilleurs délais aux services préfectoraux en charge
de la synthèse de l’étude d’impact.
2.2. Concernant le second tableau relatif à l’évolution des dotations (voir annexe II)
Des versions dématérialisées et prêtes à l’emploi du tableau seront disponibles sur l’intranet de la DGCL dans l’espace
réservé intitulé « Aide à la préparation des schémas départementaux de coopération intercommunale (SDCI) », rubrique
« Outils » et dans l’espace « Finances locales », rubrique « Dotations », sous-rubrique « Outils de calculs des dotations »
s’agissant des dotations.
3. Les outils à la disposition des services au-delà de l’élaboration des études d’impact
prévues à l’article L. 5211‑41‑3 du CGCT L’élaboration des SDCI pourra mobiliser une analyse des données fiscales et financières des structures concernées. En
outre, si les obligations prévues par la loi ne sont prescriptives que pour les seules fusions, vous serez très vite confrontés
aux questions posées sur ce thème par les élus, et ce pour tout type d’évolution.
Ainsi, il vous appartiendra de répondre aux questions juridiques, financières et fiscales susceptibles d’être posées, une
fois connu le projet de SDCI, et d’estimer localement le niveau de réponse à apporter à ces demandes pour lesquelles aucun
formalisme n’est requis ainsi que le moment de leur prise en compte.
3.1. Aide à l’identification des structures à faible activité dans le cadre de la réduction du nombre de syndicats intercommunaux/mixtes
Les DDFiP/DRFiP tiendront à la disposition des services préfectoraux, au plus tard début mars, un fichier départemental
recensant de manière exhaustive les syndicats intercommunaux et mixtes. Ce fichier comprendra, outre le numéro de SIREN
et le libellé du syndicat connu dans le référentiel de la DGFiP, sept agrégats financiers significatifs (budget principal
+ budgets annexes) calculés sur les trois derniers exercices clos (à partir des comptes de gestion 2008 et 2009 et des
balances comptables provisoires comprenant les données de la journée complémentaire de l’exercice 2010) :
– les charges totales de fonctionnement dont les charges de personnel ;
– les produits totaux de fonctionnement ;
– les dépenses totales d’investissement dont les dépenses d’équipement directes et les remboursements d’emprunt ;
– l’encours de la dette.
Ce fichier, établi par le bureau CL2A de la DGFiP, doit permettre, à travers les données financières établies sur les deux
derniers exercices clos (2008 et 2009) et les données provisoires à l’issue de la journée complémentaire de l’exercice 2010,
d’établir un premier diagnostic des syndicats potentiellement en situation de non-activité ou d’activité résiduelle. Ce premier
diagnostic nécessitera localement d’être corroboré, notamment auprès des comptables concernés, en fonction également
d’éléments d’appréciation extra-financiers.
3.2. La mise à disposition de données budgétaires, financières et fiscales
Les données figurant en annexe I pourront utilement être communiquées au préfet dans la phase d’élaboration du projet
de SDCI. En aval, lors de la phase de consultation sur le projet, elles pourront également constituer un support pour les
échanges avec les élus. En revanche, ces données factuelles n’ont pas à figurer dans le schéma lui-même.
3.3. Les simulations fiscales
Les fonctionnalités de l’application FIDELIO permettant d’effectuer des simulations fiscales de fusions d’EPCI seront
disponibles dans le courant du second semestre de 2011. Néanmoins, à compter du mois d’avril 2011, les DRFiP/DDFiP
disposeront d’outils bureautiques pour effectuer, à la demande des services préfectoraux, des simulations de fusions d’EPCI
à fiscalité propre.
Il est précisé que ces outils de simulation permettront de répondre aux configurations suivantes de fusion pouvant faire
intervenir jusqu’à trois EPCI à fiscalité propre :
– fusion d’EPCI à fiscalité additionnelle, avec ou sans option pour la fiscalité professionnelle unique (FPU) ;
– fusion d’EPCI à fiscalité additionnelle et à FPU ;
– fusion d’EPCI à FPU.
Ces simulations porteront sur :
– les bases prévisionnelles des impôts directs locaux ;
– les produits de référence des impôts directs locaux (établis avec les taux n – 1 rebasés et les bases prévisionnelles)
et des CVAE, TASCOM, IFER ;
– les allocations dont la DCRTP et le versement/prélèvement au titre de la garantie individuelle de ressources (GIR) ;
– les taux moyens pondérés.
En dehors de ces trois configurations de simulation portant exclusivement sur des fusions d’EPCI à fiscalité propre,
les demandes portant sur les autres types de projets de modifications intercommunales (création ex-nihilo, extension de
périmètre...) ne pourront pas dans un premier temps faire l’objet de simulations.
3.4. Les simulations de dotations
Il vous sera possible d’illustrer l’intégration fiscale des groupements à fiscalité propre concernés par le SDCI en vous
appuyant sur le coefficient d’intégration fiscale en tant qu’indicateur normalisé du niveau d’intégration financière des
groupements à fiscalité propre.
S’agissant du calcul lui-même des dotations, les outils de simulation habituels demeurent accessibles et utilisables pour
répondre aux besoins autres que les fusions. Ils sont accessibles sur le site intranet de la DGCL à l’espace « Finances
locales », rubrique « Dotations », sous-rubrique « Outils de calcul des dotations ». J’attire toutefois votre attention sur le
fait que les fiches de calcul 2011 ne seront disponibles qu’après la période de répartition. Enfin, s’agissant de simulations,
elles doivent être utilisées avec les réserves d’usage.
4. Les éléments à incorporer dans le schéma lui-même
Aux termes de l’article 35 de la loi (art. L. 5210‑1‑1 nouveau du CGCT, § III), « le schéma prend en compte les
orientations suivantes [...] 3o L’accroissement de la solidarité financière ».
Il est donc souhaitable que le schéma lui-même contienne des éléments tendant d’une manière générale à démontrer que
les évolutions qu’il prescrit auront pour effet d’accroître la solidarité financière. Cette démonstration pourra s’appuyer sur
les éléments mentionnés dans la présente circulaire, ainsi que sur la carte des potentiels fiscaux par EPCI à fiscalité propre
et sur la carte des potentiels financiers par commune (fournis par l’INSEE comme indiqué par l’annexe II de la circulaire
du 16 décembre 2010).
5. La question des attributions de compensation
Parmi les orientations que le schéma doit prendre en compte figure « le transfert des compétences exercées par les
syndicats de communes ou les syndicats mixtes à un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité
propre » (art. L. 5210‑1‑1 nouveau, § III, 5o). Par ailleurs, les évolutions de périmètres peuvent concerner des EPCI à
fiscalité professionnelle unique.
Dans tous ces cas, les EPCI à fiscalité propre concernés seront confrontés à la question de l’évolution des attributions
de compensation versées par ces derniers à leurs communes membres. La question des relations financières entre les
collectivités, notamment les évolutions en matière d’attribution de compensation, sont du ressort des seules collectivités
concernées en rapport, en amont, avec l’évaluation des compétences transférées par la commission locale d’évaluation des
charges transférées (CLECT).
À défaut d’unanimité, le calcul des attributions de compensation est strictement encadré par la loi. Ce calcul obéit à
un processus qui peut s’avérer très long : nous vous incitons par conséquent à évoquer avec les élus concernés, le plus
en amont qu’il vous sera possible localement, la question de la composition de la CLECT, afin de permettre à celle-ci de
débuter ses travaux dans les meilleurs délais.
É. Jalon
Le directeur général des finances publiques,
P. Parini
A nne x e I
Première
partie relative aux données budgétaires, financières et fiscales
Département : . ................................................................................................
Poste : .....................................................
Instruction comptable : M14
N° SIRET : ..............................................
Population avec double comptes :.............................................................
Gestion : .................................................
Nombre de communes appartenant au groupement : .......................
Régime fiscal : . ...............................................................................................
Nature juridique : ...........................................................................................
Données budgétaires et financières
Montant
en euros
Montant en euros par habitant pour
GFP
Région
France entière
FONCTIONNEMENT
Total des produits de fonctionnement = A
Dont :Impôts locaux
Reversements sur impôts et taxes
Autres impôts et taxes
Taxe d’enlèvement des ordures ménagères
Redevance d’enlèvement des ordures ménagères
Dotation globale de fonctionnement
Attributions de péréquation et de compensation
Total des charges de fonctionnement = B
Dont : Charges de personnel (montant net)
Achat et charges externes (montants nets)
Charges financières
Subventions versées
Résultat comptable = A – B = R
INVESTISSEMENT
Total des ressources d’investissement budgétaires = C
Dont : Excédents de fonctionnement capitalisés
Dettes bancaires et assimilées (hors ICNE)
Autres dettes à moyen long terme
Subventions reçues
FCTVA
Autres fonds globalisés d’investissement
Amortissements
Provisions
Total des emplois d’investissement budgétaires = D
Dont : Dépenses d’équipement
Remboursement de dettes bancaires et assimilées
Remboursements des autres dettes à moyen long terme
Reprise sur amortissements et provisions
Montant
en euros
GFP
Région
France entière
Charges à répartir
Immobilisations affectées, concédées
Besoin de financement résiduel = D – C
+ Solde des opérations pour compte de tiers
Besoin de financement de la section d’investissement
ÉLÉMENTS RELATIF À LA DETTE
Encours total de la dette au 31 décembre
dont encours des dettes bancaires et assimilées
Annuités des dettes bancaires et assimilées
CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT NETTE des remboursements de dettes
FONDS DE ROULEMENT (au 31 décembre de l’exercice)
Montant
en euros
GFP
Région
France entière
GFP
Région
France entière
COMPOSANTES DE L’AUTOFINANCEMENT
Excédent brut de fonctionnement = EBF
Résultat comptable = A – B = R
Produits réels de fonctionnement
Charges réelles de fonctionnement
Capacité d’autofinancement brute
Produits de cessions d’immobilisations
CAF nette de remboursements de dettes bancaires et assimilées
POURCENTAGE DANS LES PRODUITS DE FONCTIONNEMENT CAF
Impôts locaux
Dotations et participations reçues
Dont : Dotation globale de fonctionnement
Taxe d’enlèvement des ordures ménagères
Redevance d’enlèvement des ordures ménagères
POURCENTAGE DE FISCALITÉ REVERSÉE
POURCENTAGE DANS LES CHARGES DE FONCTIONNEMENT CAF
Dont : Achats et charges externes (montant net)
Charges de personnel (montant net)
Charges financières
Subventions versées
POURCENTAGE DANS LES DÉPENSES D’ÉQUIPEMENT
Autofinancement net
Dettes bancaires et assimilées (hors ICNE)
Subventions reçues
FCTVA
AUTRES RATIOS
Encours des dettes bancaires et assimilées au 31 décembre/CAF brute
GFP
Région
France entière
Annuités des dettes bancaires et assimilées/EBF
Encours des dettes bancaires et assimilées au 31 décembre/Produits réels de fonctionnement
Coefficient d’autofinancement courant
Rigidité des charges structurelles
Données fiscales
Nom du groupement
d’appartenance ....................................................................... Nom de la commune....................................................................... Population .............................................................
ÉLÉMENTS DE FISCALITÉ DIRECTE LOCALE 2010
Les bases imposées et les réductions (exonérations, abattements) accordées sur délibérations
Bases nettes imposées au profit de la commune
En milliers d’euros
Euros par habitant
Réductions de bases accordées sur délibérations
Taxe
Euros par habitant
Taxe d’habitation (y compris THLV)
Taxe foncière sur les
propriétés bâties
Taxe foncière sur
les propriétés non
bâties
Cotisation foncière des
entreprises au profit
de l’état en 2010
Les taux et les produits de la fiscalité directe locale
Produits des impôts locaux
Euros par habitant
Taux voté
Taxe
Taxe d’habitation
Taxe foncière sur
bâties
Compensation - Relais
2010
-
Les nouvelles impositions en euros
CVAE totale 2010
-
IFER total 2010
-
TASCOM total 2010
-
Nom du groupement
d’appartenance ....................................................................... Population .............................................................
ÉLÉMENTS DE FISCALITÉ DIRECTE LOCALE 2010
Les bases imposées et les réductions (exonérations, abattements) accordées sur délibérations
Réductions de bases accordées sur délibérations des communes membres
Bases nettes imposées au profit du groupement
Euros par habitant
Taxe
Euros par habitant
Taxe d’habitation (y compris THLV)
Taxe foncière sur
bâties
Les taux et les produits de la fiscalité directe locale
Produits des impôts locaux
Euros par habitant
Taux voté
Taxe
Taxe d’habitation
Taxe foncière sur
bâties
Compensation - Relais
2010
-
Les nouvelles impositions en euros
CVAE totale 2010
-
IFER total 2010
-
TASCOM total 2010
-
A nne x e I I
Notice d’utilisation
des fiches de simulations des dotations d’intercommunalité des EPCI fusionnés
Les trois fiches de simulations portent sur les cas suivants :
– communauté d’agglomération ;
– EPCI à fiscalité additionnelle ;
– EPCI à fiscalité professionnelle unique.
S’agissant de simulations, elles reposent sur les données de référence (CIF de la catégorie, valeurs de point) et les
données individuelles (potentiel fiscal, population) utilisées pour la répartition de la dotation d’intercommunalité de l’année
précédente, soit 2010.
Les données de références sont rentrées « en dur » dans le tableur Excel.
La dotation d’intercommunalité est une des deux parts de la dotation globale de fonctionnement des EPCI. Celle-ci est
également composée d’une dotation de compensation, qui est une dotation « figée » dont l’évolution ne dépend que de
l’indexation de la masse totale. Les EPCI faisant application de l’article 1609 nonies C se voient cependant transférer la
part compensations de leurs communes membres.
1. Rappels généraux sur la dotation d’intercommunalité
La dotation d’intercommunalité est composée de deux parts :
– la dotation de base, qui représente 30 % de la masse de la dotation d’une catégorie d’EPCI déterminée, est calculée à
partir de la population « DGF » de l’EPCI et du coefficient d’intégration fiscale de l’EPCI ;
– la dotation de péréquation, qui représente 70 % de la masse de la dotation d’une catégorie d’EPCI déterminée, est
calculée à partir de la population « DGF » de l’EPCI, de l’écart du potentiel fiscal de l’EPCI donné au potentiel fiscal
moyen de la catégorie, et du coefficient d’intégration fiscale.
À ces deux parts s’ajoutent des majorations et des garanties.
En cas de fusion d’EPCI, les règles de droit commun de calcul de la dotation d’intercommunalité ne s’appliquent pas en
totalité puisque la dotation d’intercommunalité de l’EPCI résultant de la fusion est calculée avec le CIF le plus élevé des
EPCI préexistants.
Les EPCI issus d’une fusion bénéficient de la garantie de fusion. Cette garantie assure au nouvel EPCI, les deux premières
années qui suivent sa transformation ou sa fusion, un montant de dotation par habitant au moins égal à celui perçu l’année
précédente. D’une manière générale, ils bénéficient de l’ensemble des mécanismes de garanties prévus pour les EPCI et il
convient de retenir le plus favorable trouvant à s’appliquer.
Pour l’application de ces garanties, la dotation d’intercommunalité par habitant de l’année précédente servant de référence
est la plus élevée des EPCI préexistants.
2. Fonctionnement des fiches de calcul
La première colonne est relative aux données fiscales : le 2010 simulé est la somme des données fiscales des EPCI
préexistants, majorées le cas échéant des données fiscales de communes isolées entrantes et minorées des données fiscales
de communes sortantes.
La somme de ces données fiscales permet d’obtenir le potentiel fiscal par habitant du nouvel EPCI, qui est comparé au
potentiel fiscal par habitant moyen de la catégorie pour obtenir l’écart relatif de potentiel fiscal.
La deuxième colonne est relative au calcul de la dotation d’intercommunalité et de la DGF du nouvel EPCI.
La dotation de base est calculée de la manière suivante :
1) Nombre de points = population DGF du nouvel EPCI * CIF le plus élevé des EPCI préexistants.
2) Valeur de point = valeur de point base de la catégorie d’EPCI concernée l’année précédente.
3) Dotation de base = nombre de points * valeur de point.
La dotation de péréquation est calculée de la manière suivante :
1) Nombre de points = population DGF du nouvel EPCI * CIF * écart relatif de potentiel fiscal.
2) Valeur de point = valeur de point péréquation de la catégorie d’EPCI concernée l’année précédente.
3) Dotation de péréquation = nombre de points * valeur de point.
Des majorations s’appliquent selon la catégorie d’EPCI considérés. À titre d’illustration, pour les CA issues d’un syndicat
d’agglomération nouvelle, il s’agit de majorer, si nécessaire, le montant de leur dotation d’intercommunalité de telle sorte
que leur dotation par habitant soit au moins égale à la dotation moyenne par habitant de la catégorie des SAN. Pour les
EPCI à fiscalité additionnelle, une majoration s’applique afin de garantir que leur dotation d’intercommunalité par habitant
soit au moins égale à celle des EPCI à fiscalité additionnelle de plus de deux ans dans la catégorie.
Enfin, s’agissant des garanties, les fiches de calcul permettent de vérifier l’éligibilité à la garantie de fusion (cf. supra).
7
305 206
Somme
données
communes
entrantes
54 165 508
54 165 508
– 384,88
Potentiel fiscal moyen
Écart relatif de potentiel fiscal (ERPF)
903,74
275 825 822
0,172 4
0,172 4
– 1 269 207 519
1 269 207 519
0
0,001 6
0
0,004 7
787 089 856
0,004 7
787 089 856
0,002 2
3 384 597
– 715 312 030
2010 simulé
0,314 178
0,002 2
Somme
données
communes
sortantes
7
305 206
2010 simulé
3 384 597
0
715 312 030
Somme
données
communes
entrantes
Somme
données
communes
sortantes
Potentiel fiscal par habitant
Potentiel fiscal brut
Compensation part salaires
Taux moyen national TP
Transferts de bases de TP (loi du 10 janvier
1980)
Bases brutes TP
Taux moyen national TH
Bases brutes TH
Taux moyen national FNB
Bases brutes FNB
Taux moyen national FB
Transferts de bases de FB (loi du 10 janvier
1980)
Bases brutes FB
Somme données des
EPCI d’origine
Fiscalité
Coefficient d’intégration fiscale (indiquer le plus élevé des EPCI préexistants)
Population DGF
Nombre de communes
Somme données des
EPCI d’origine
Estimation DGF 2010
Fusion d’EPCI vers CA
non
DGF totale 2010 estimée
=
–
Part CPS de la dotation forfaitaire 2010 des communes sortantes
Dotation de compensation estimée
+
Part CPS de la dotation forfaitaire 2010 des communes
entrantes
Somme dotation compensation 2010 EPCI préexistants
Dotation de compensation 2010 estimée
Dotation intercommunalité totale (minimum)
Garantie fusion ?
Dotation intercommunalité spontanée par habitant
Dotation intercommunalité spontanée
Majoration totale (si CA issue de SAN)
Majoration dotation de péréquation (pt péré *VP majo base)
Valeur de point péréquation
Majoration dotation de base (pt bases *VP majo base)
61 057 593
54 328 005
54 328 005
6 729 588
2 936 114
12,429 22
3 793 474
– – 5,449 607
– 2,274 952
– =
Dotation de péréquation
Valeur de point base majoration
93,578 268
x
– 3 793 474
=
Nb de points péréquation (pop DGF* CIF*ERPF)
39,561 097
x
Dotation de base
95 889
22,049 331
Valeur de point base
Nb de points Base (pop DGF* CIF)
DI par habitant la plus élevée des EPCI préexistants
La nouvelle CA est-elle issue de SAN ?
Dotation d’intercommunalité 2010 estimée
FÉVRIER 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 81/89 – Page 12
13
9 670
Somme
données
communes
entrantes
1,283 372
103,84
719 574
46 282
0,030 3
– 6 493 960
0,025 1
7 167 349
0,106 2
1 004 730
0,038 3
– 4 958 809
2010 simulé
0,471 881
Somme
données
communes
sortantes
13
9 670
2010 simulé
74,41
46 282
0
6 493 960
7 167 349
1 004 730
0
4 958 809
Somme
données
communes
entrantes
Somme
données
communes
sortantes
Transferts de bases de TP (loi du 10 janvier 1980)
Bases brutes TP
Bases brutes TH
Bases brutes FNB
Transferts de bases de FB (loi du 10 janvier 1980)
Bases brutes FB
Somme données des
EPCI d’origine
Fiscalité
Population DGF
Nombre de communes
Somme données des
EPCI d’origine
Estimation DGF 2010
Fusion d’EPCI vers EPCI à FA
29
Garantie fusion ?
Majoration totale (si EPCI >2ans)
Majoration dotation de péréquation (pt péré *VP majo
base)
Majoration dotation de base (pt bases *VP majo base)
=
367 790
46 421
46 421
321 369
– 33,233 61
321 369
38 926
28 795
4,917 124
10 131
2,220 139
209 043
=
Valeur de point base majoration
35,696 359
x
5 856
73 400
=
Dotation de base
16,085 538
x
4 563
OUI
Nb de points Base (pop DGF* CIF)
Les EPCI d’origine ont-ils plus de 2 ans d’existence ?
14
11 105
Somme
données
communes
entrantes
103,12
229,13
1,550 0
1 145 105
257 328
257 328
– 6 281 040
0,002 5
9 954 834
0,011 4
244 190
0,003 7
– 7 362 204
2010 simulé
Somme
données
communes
sortantes
0,336 272
11 105
14
2010 simulé
0,132 6
0
6 281 040
9 954 834
244 190
0
7 362 204
Somme
données
communes
entrantes
Somme
données
communes
sortantes
Transferts de bases de TP (loi du 10 janvier 1980)
Bases brutes TP
Bases brutes TH
Bases brutes FNB
Transferts de bases de FB (loi du 10 janvier 1980)
Bases brutes FB
Somme
données des
EPCI d’origine
Fiscalité
Population DGF
Nombre de communes
Somme
données des
EPCI d’origine
oui
Garantie fusion ?
=
–
sortantes
+
entrantes
745 832
258 100
258 100
487 732
17 954
42,303 29
469 778
110 641
Bonification base (pt bases *VP bonification)
29,628 334
278 261
=
Valeur de point bonification
48,075 147
x
5 788
80 876
=
Dotation de base
21,657 709
x
3 734
43,920 045 7
Nb de points base (pop DGF* CIF)
Le nouvel EPCI est-il éligible à la bonification ?
Estimation DGF 2010
Fusion d’EPCI vers EPCI à FPU
de l’outre-mer,
_____
_____
Département des études
et des statistiques
_____
Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des communes 2011
NOR : COTB1104558C
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets.
Comme chaque année, la direction générale des collectivités locales s’apprête à calculer des ratios financiers à partir des
budgets primitifs communaux.
Je vous saurais gré de m’adresser les éléments suivants :
– un exemplaire du budget primitif 2011 des communes de plus de 30 000 habitants, accompagné de son état de dette ;
– un exemplaire de la balance générale du budget primitif 2011 des communes de 10 000 à 30 000 habitants.
Ces documents sont à envoyer dès que possible, et au plus tard le 15 juin 2011 à : Mlle Karine SOGUET, département
des études et des statistiques locales, direction générale des collectivités locales, 2, place des Saussaies, 75008 Paris.
Si certaines de ces collectivités n’avaient pas adopté leur budget primitif ou ne vous l’avaient pas transmis en temps
utile, il conviendra de m’en informer. Dans ce cas, vous procéderez à un envoi complémentaire quand les informations
manquantes seront en votre possession.
É. Jalon
de l’outre-mer,
_____
et des statistiques locales
_____
Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des départements 2011
NOR : COTB1104578C
Pièce jointe : 1 tableau à renseigner par retour de courrier.
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets.
Je vous remercie de bien vouloir faire parvenir à la direction générale des collectivités locales un exemplaire du budget
primitif 2011 de votre département accompagné de ses annexes, et notamment celle traitant de la dette.
L’obtention de ces données conditionne notamment la publication dans des délais utiles de l’ouvrage « Les budgets
primitifs des départements en 2011 ». Elle permet également d’avoir un éclairage précoce sur les finances départementales
à paraître dans le rapport de l’Observatoire des finances locales.
Ces documents sont attendus dès qu’ils sont disponibles.
S’ils ne sont pas disponibles à la date de réception de cette circulaire, je vous saurais gré de bien vouloir renseigner le
tableau suivant, et le renvoyer par mél à la DGCL à l’adresse suivante : [email protected]
J’attire votre attention sur la nécessité de remplir ce tableau, notamment sur la date prévue du vote du budget afin
d’éviter des relances inutiles, et de le renvoyer à l’adresse mél indiquée.
Ces renseignements sont en effet indispensables pour suivre en temps réel l’état d’avancement et les conditions de
l’adoption des budgets départementaux, qui font l’objet cette année encore d’un suivi renforcé.
Les documents BP 2011, annexes et état de la dette sont à transmettre, dès que possible, et au plus tard le 30 avril 2011 à :
Mme Michèle LAVIGNE, direction générale des collectivités locales, département des études et des statistiques locales,
2, place des Saussaies, 75008 Paris.
É. Jalon
_____
_____
Document à renvoyer par mél avant le 10 mars 2011
à [email protected]
Circulaire no COT/B/1104578/C
Budgets primitifs 2011 des départements
Département : .................................................................................................................................................
Le budget a-t-il été voté à la date du 1er mars 2011 ?
Si oui
Quel est le taux de foncier bâti ?
 oui
 non (1)
.......................... %
..................... %
(taux de référence 2010)
(taux voté 2011)
Ce budget est-il en équilibre ?
Le budget a-t-il été transmis à la DGCL ?
 oui
 oui
 non
 non
(1) (2)
(1)
Si non
Connaissez-vous la date prévue du vote ?
Si oui, préciser la date ................................................
 oui
 non
(1)
Merci d’envoyer les documents demandés dès cette date.
(1) Cocher la case.
(2) Merci de joindre une note explicative en cas de budget voté en déséquilibre. février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 83/89 – Page BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’intérieur
de l’outre-mer,
_____
_____
_____
Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs
des intercommunalités à fiscalité propre 2011
NOR : COTB1104587C
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets.
Comme chaque année, la direction générale des collectivités locales va procéder à l’analyse des budgets primitifs des
intercommunalités à fiscalité propre.
Je vous saurais gré de m’adresser un exemplaire du budget 2011 accompagné de son état de dette des communautés
urbaines, communautés d’agglomération, syndicats d’agglomération nouvelle de votre département dès qu’ils vous auront
été transmis.
Ces documents sont à envoyer dès que possible, et au plus tard le 15 juin 2011, à :
Mme Sabine MEUNIER, direction générale des collectivités locales, département des études et des statistiques locales,
Si certaines de ces collectivités n’avaient pas adopté leur budget primitif ou ne vous l’avaient pas transmis en temps
utile, il conviendra de m’en informer. Dans ce cas, vous procéderez à un envoi complémentaire quand les informations
manquantes seront en votre possession.
É. Jalon
de l’outre-mer,
_____
_____
_____
Circulaire du 28 février 2011 relative aux budgets primitifs des régions 2011
NOR : COTB1104711C
Le ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration chargé des collectivités territoriales à Mesdames et Messieurs les préfets de région.
Comme chaque année, la direction générale des collectivités locales procède à l’analyse des budgets primitifs des régions.
Je vous saurais gré de m’adresser un exemplaire du budget 2011 de votre région dès qu’il vous aura été transmis.
Vous voudrez bien y joindre les annexes et notamment le rapport de présentation, dont les informations sont précieuses
pour l’analyse des crédits votés.
Ces documents sont à envoyer dès que possible, et au plus tard le 30 avril 2011 à :
Mlle Angéline MAHEN, direction générale des collectivités locales, département des études et des statistiques locales,
É. Jalon
de l’outre-mer,
_____
Secrétariat général
_____
Direction de la prospective
et de la planification
de sécurité nationale
_____
Haut fonctionnaire de défense adjoint
_____
Direction de la sécurité civile
_____
Sous-direction
de la gestion des risques
_____
Bureau de la coordination
interministérielle
_____
Circulaire du 28 février 2011 relative à la politique nationale d’exercices :
orientations et programmation pour l’année 2011
NOR : IOCA1106063C
Pièces jointes :
Annexe I : programmation des exercices majeurs (SGDSN), nationaux et sectoriels ;
Annexe II : rappels réglementaires en matière d’exercices ;
Annexe III: modalités pratiques ;
Annexe IV: modèle de tableau de programmation d’exercices.
de police ; Messieurs les préfets de zone de défense et de sécurité ; Madame et Messieurs les préfets de
région ; Mesdames et Messieurs les préfets (métropole et outre-mer) ; Messieurs les hauts-commissaires de
la République ; Messieurs les préfets délégués pour la défense et la sécurité.
Notre pays a connu au cours de l’année 2010 des situations de crise de forte intensité telles que la crise des
approvisionnements en carburants, la tempête Xynthia, les inondations du Var et les épisodes neigeux de décembre qui ont
mobilisé tous les services concernés du MIOMCTI et des autres départements ministériels. La nécessité de se préparer et
de s’entraîner à faire face à tout type de risques et de menaces est plus que jamais d’actualité.
Plusieurs enseignements peuvent être tirés sur la façon dont ces événements ont été gérés ainsi que sur la programmation
et la réalisation en 2010 des exercices aux niveaux départemental et zonal.
La présente circulaire vise à insister sur certains domaines qui se sont révélés particulièrement sensibles et à vous
indiquer les orientations à suivre pour l’année 2011.
Ces instructions s’inscrivent dans la continuité de la circulaire NOR : IOCA1006596C du 8 mars 2010 qui rappelle le
contexte juridique de la politique nationale d’exercices et le corps de doctrine de référence.
1. Instructions générales pour l’année 2011
Votre attention est appelée sur les cinq points transversaux suivants.
Renforcer le réseau des gestionnaires de crises
Les exercices sont l’occasion d’associer l’ensemble des services concernés par le scénario et de favoriser la constitution
autour du préfet d’un « réseau interservices des gestionnaires de crises », permettant de consolider les relations
interpersonnelles, les acquis et les pratiques de gestion de crise.
Ils permettent aux membres du corps préfectoral et à leurs équipes interministérielles de prendre la mesure de l’organisation
nécessaire en cas de situation réelle. Aussi, votre participation active et celle des sous-préfets aux exercices doivent être
systématisées.
Risques et menaces
L’ensemble du spectre des risques et menaces doit être plus largement pris en compte dans les scénarios d’exercices qui
sont élaborés par les départements et les zones de défense et de sécurité.
Tout en respectant l’actualité de la planification et la périodicité imposée ou conseillée dans le cadre des obligations
réglementaires liées aux exercices (cf. annexe II), les problématiques et vulnérabilités propres à chaque zone et/ou
département, les domaines où l’entraînement des services est à améliorer, il s’agit de prendre en compte les menaces et
risques de tous types : terrorisme, catastrophes naturelles, accidents industriels, évacuations de populations, crises routières,
crises sanitaires, ordre public, intelligence économique, etc.
Circulation de l’information
Les difficultés rencontrées dans le partage montant et descendant des informations entre les acteurs sont l’un des éléments
récurrents des retours d’expérience réalisés lors des différents événements majeurs que nous avons connus en 2010. Des
marges de progrès importantes existent dans ce domaine :
– une attention toute particulière doit être portée à la communication entre acteurs de la gestion de crise en mode
dégradé situation souvent rencontrée lors des intempéries l’année dernière ;
–la liaison département/zone de défense et de sécurité doit également être testée à l’occasion des exercices zonaux qui
associent un ou plusieurs départements de la zone ;
– l’appropriation par les joueurs des outils de transmission de l’information lors de ces entraînements (ACROPOL,
ANTARES, portail ORSEC...) doit faire l’objet d’une attention particulière. Par ailleurs, l’ADRASEC pourra utilement
être sollicitée lors de la préparation de l’exercice pour être intégrée dans le scénario.
Décret du 4 mars 2010 relatif aux pouvoirs des préfets de zone de défense et de sécurité
Le décret du 4 mars 2010 confie aux préfets de zone de défense et de sécurité la mise en œuvre de la politique d’exercices
définie au niveau national, l’organisation d’exercices zonaux et l’appui aux préfets de département dans le domaine de la
conception et de l’évaluation des exercices. Ce dispositif nouveau doit prendre toute sa place en 2011.
S’agissant de l’appui aux départements, les zones doivent en particulier veiller à une bonne coordination entre les thèmes
d’exercices retenus par chacun et les territoires concernés (exercices départementaux, interdépartementaux, zonaux, interzonaux, voire transfrontaliers) et à un suivi de leur réalisation tout au long de l’année.
Les retours d’expérience
La pratique du retour d’expérience sur les exercices est réaffirmée afin que les enseignements à tirer puissent être
exploités, tant au niveau local qu’au niveau national.
La circulaire du 8 mars 2010 demandait aux préfets de zone de recueillir les retours d’expérience des exercices
départementaux, d’en faire une synthèse reprenant les modifications et les améliorations proposées et de les faire parvenir
à la DPSN et à la DSC.
La marge de progrès est dans ce domaine très importante, au regard du faible retour de la part de l’échelon territorial, en
réponse à ces instructions. Elles sont renouvelées pour 2011.
2. Instructions particulières pour l’année 2011
Les exercices ne doivent plus simplement impliquer les autorités publiques et les services de secours mais associer
la population et les opérateurs publics ou privés essentiels (opérateurs téléphoniques, sociétés d’autoroutes, distributeurs
d’eau, etc.). La participation active des collectivités territoriales aux exercices, tant dans la phase de préparation que dans
la phase d’exécution, doit également être recherchée. Enfin, vous solliciterez également les médias, en particulier en vous
appuyant sur les conventions signées avec Radio France et France Télévision.
Exercices départementaux
Il vous est demandé d’organiser au moins trois exercices d’initiative départementale (hors exercices zonaux ou relevant
des programmations listées en annexe I), aussi souvent que possible réalisés en grandeur réelle, et il vous est recommandé
d’en choisir les thèmes parmi les suivants :
– les intempéries (pluies cévenoles, chutes de neige, tempêtes) et les inondations majeures, qu’elles soient d’origine
naturelle ou liées à la rupture d’un barrage, en y associant autant que possible des mesures d’évacuation de la population
(cf. guide ORSEC départemental, tome G.2, sur les dispositions générales et mode d’action « soutien des populations »
édité par la direction de la sécurité civile) ;
– les dysfonctionnements des réseaux de distribution d’énergie : l’électricité au premier chef, les hydrocarbures et le
gaz ;
– les accidents de transport de matières dangereuses sous tunnels routiers ou ferroviaires ;
– la sécurité des activités d’importance vitale ;
– les accidents graves dans les établissements soumis à la directive SEVESO II (cf. guide ORSEC départemental,
tome S.1.2, sur les dispositions spécifiques « plan particulier d’intervention » et « guide thématique sur les exercices
PPI » de 2010, édités par la direction de la sécurité civile) conformément à la périodicité obligatoire rappelée en
annexe II.
Par ailleurs, afin de tester les dispositifs prévus en matière de sûreté nucléaire, un exercice-cadre devra être organisé dans
chaque département ayant une installation nucléaire sur son territoire.
Ces exercices devront permettre de travailler sur le renforcement du fonctionnement du COD en interservices, d’être en
mesure de déporter le COD et/ou le PCO sur d’autres sites et de mettre l’accent sur la répartition des rôles entre le COD
et le PCO.
L’utilisation de Système d’Information Géographique est fortement conseillée au cours de ces exercices (fonction
cartographique de SYNERGI ou demande de concours du système d’information géographique du COGIC).
Exercices zonaux
Il est demandé aux préfets de zones de défense et de sécurité d’en organiser au moins deux dans l’année.
Ils prendront en compte, outre les thématiques retenues au niveau national, celles issues de l’analyse des risques et
menaces de la zone et des départements qui composent la zone. Ils devront systématiquement avoir pour objectif la
coordination zonale et être joués avec tout ou partie des départements de la zone, sur des thématiques telles que le plan
POLMAR, les intempéries, les crises routières, etc.
En prévision de la déclinaison territoriale du plan gouvernemental NRBC que vous serez appelés à mettre en œuvre au
cours de l’année, vous vous attacherez à organiser un exercice afin de tester la méthode présentée dans le guide : « NRBC :
préparer la réponse territoriale ».
Enfin, l’instruction interministérielle relative à la coopération civilo-militaire et donc l’engagement des armées sur le
territoire national en cas de crise majeure doit être prise en compte dans la rédaction des scénarios.
Vous voudrez bien communiquer, sous couvert des préfets de zone de défense et de sécurité, à la direction de la prospective
et de la planification de sécurité nationale et à la direction de la sécurité civile, avant le 8 avril 2011, la programmation des
exercices envisagés pour l’année en cours, sous forme d’un tableau (modèle joint en annexe IV). Le module exercices et
retours d’expérience du portail ORSEC sera également renseigné.
Le préfet,
directeur de la prospective et
de la planification de sécurité nationale,
J.-M. Falcone
Le préfet, directeur de la sécurité civile, A. Perret
A nne x e I
Programmation prévisionnelle des exercices à l’initiative du sgdsn,
des ministères et des exercices sectoriels
Exercices
majeurs : circulaire SGDSN/PSE no 530 du
26 novembre 2010
1 – Programmation 2011
BLUE CURRENT 10 (25 et 26 janvier 2011)
NUIT TOTALE 10 (mars 2011)
ALERTE 11 (premier semestre 2011)
NRBCE 11 (juin 2011)
PIRANET 2011 (décembre 2011)
NUIT TOTALE 2011 (24 mars 2011)
2 – Prévisions 2012
PIRATE MER 12 (début 2012)
METROPIRATE 12
SECNUC 12
Exercices
nationaux
1. Ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration
1.1. RICHTER 38 (en zone Sud-Est : départements 38) le 14 avril 2011
1.2. Exercice national de sécurité civile sur une crue du Rhône avec participation au niveau national de la DSC/COGIC et du CNOF et des zones de défense Sud-Est et Sud (au 4e trimestre 2010)
2. Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement prévoit
de réaliser plusieurs exercices sur les thèmes suivants
2 1. EVAC-AGGLO : 1er trimestre 2011, en zone de défense et de sécurité Est
3. Ministère du travail, de l’emploi et de la santé
3.1. Un exercice canicule (date non précisée)
Exercices 2011 d’urgence
nucléaire et radiologique :
circulaire interministérielle NOR : IOC/E/10/26565/C
Exercices SAR (Save
and Rescue) : instruction du
15 décembre 2010 no 10 227 / Département SAR
(DGAC) du MEDDTL
de la direction générale de l’aviation civile
Exercices
maritimes : instruction no 00005 du
du secrétariat général à la mer
10 janvier 2011
(SGMER)
A nne x e I I
Tableau récapitulatif des obligations
réglementaires liées aux exercices
Nom
Tous exercices
Textes
Périodicité
Code de la défense (art. L 1324-1 et R.1324-1)
1 exercice « en vraie grandeur » par département
et par an
Loi du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile (Titre 3
de l’annexe)
Directive interministérielle n° 1210/SGDN/PSE/PPS du
15 novembre 2004 relative à la politique nationale d’exercices
de défense et de sécurité civiles
Circulaire annuelle relative à la politique nationale d’exercices
(programmation des exercices)
Circulaire diffusée par la DSC au cours du 4e trimestre
de l’année n pour l’année n + 1
ORSEC
Décret n° 2005-1157 du 13 septembre 2005 relatif au plan ORSEC
(art. 4)
Calendrier annuel ou pluriannuel arrêté par chaque
préfet de département, de zone, maritime
POI
Décret n° 77-1133 du 21 septembre 1977
L’exploitant doit tester son POI tous les trois ans
maximum (souhaitable 1 fois par an)
PPI
Décret n° 2005-1158 du 13 septembre 2005 relatif aux PPI
(art. 11)
5 ans (règle générale)
3 ans pour :
– SEVESO II seuil haut ;
– stockages souterrains de gaz naturel, d’hydrocarbures liquides, liquéfiés ou gazeux ou de produits
chimiques à destination industrielle
NUC & RAD
Directive interministérielle du 7 avril 2005 sur l’action des pouvoirs publics en cas d’événement entraînant une situation
d’urgence radiologique (paragraphe VI-2)
et
Circulaire annuelle relative à la planification des exercices d’urgence nucléaire et radiologique
Règle générale : 5 ans
(cf. décret no 2005-1158 relatif aux PPI)
– Fréquence abaissée pour les sites nucléaires
complexes
– Exercices locaux organisés par pouvoirs publics
et exploitants
– Exercices proposés aux départements sans PPI
(exercices sur TMR ou situations d’urgence diffuse)
Aérien
Consignes permanentes SAR* de la DGAC (titre VI)
1 exercice international, national ou régional par an
et par RCC*, RSC* ou PC SAR*
Aérodrome
Circulaire interministérielle n° 99-575 du 10 novembre 1999
relative au plan de secours aérodrome pour les accidents
d’aéronefs en zone d’aérodrome ou voisine d’aérodrome
2 ans : exercices d’application générale
années intermédiaires : exercices partiels
(normes internationales OACI)
Ferroviaire
(Y compris les tunnels)
Instruction interministérielle n° 01-105 du 27 mars 2001, PSS pour
les accidents ferroviaires (chapitre IV)
1 an : exercices partiels
5 ans : exercices de portée générale
Tous les ans dans les tunnels bi nationaux
Tunnels routiers de + de 300 m
L’article R.118-3-8 du code de la voirie routière
1 exercice annuel
POLMAR
Instruction interministérielle du 2 avril 2001
1 par an par façade maritime
1 tous les trois ans au moins par département
Pandémie grippale
Plan gouvernemental du 9 janvier 2007
1 exercice par zone et par an
1 exercice par département chaque année
Canicule
Plan national Canicule version 2008
Régulièrement à tous les niveaux
etc.
etc.
etc.
A nne x e I I I
Modalités pratiques
1. Aide financière et en matériel NRBC-e
Comme chaque année, une aide financière pourra, le cas échéant, vous être apportée pour la réalisation de vos exercices.
Les demandes seront adressées à la direction de la sécurité civile, avec copie au référent zonal exercices (cf. formulaire
et liste infra). Il est rappelé que la restauration des personnels sur exercice et l’achat d’équipement pour vos centres
opérationnels ne relèvent pas de cette enveloppe financière.
Les demandes de moyens NRBC-e pour l’année 2011 seront transmises en utilisant le formulaire ci-joint mis en place
par le bureau de la coordination interministérielle de la direction de la sécurité civile et adressées au minimum un mois
avant la date de l’exercice.
Cependant, pour permettre de programmer dans les meilleurs délais la répartition des crédits entre les départements et
les zones, vos demandes devront parvenir avant le 15 avril 2011.
Une fois la demande acceptée, la somme vous sera déléguée sur le programme 128.
2. Remontées d’informations
Utilisation du portail ORSEC
Afin de permettre le jeu d’exercice, le centre opérationnel zonal créera, sur demande de la préfecture, un dossier dans
SYNERGI (le mot « exercice » devra systématiquement apparaître dans la dénomination du dossier). La création d’un
dossier permet à une préfecture de faire jouer des acteurs non présents en préfecture mais qui ont accès à SYNERGI. Il est
donc possible, grâce à cette fonctionnalité, d’obtenir des remontées d’informations transverses.
Cette organisation vaut également pour les exercices interdépartementaux.
Pour les exercices zonaux ou interzonaux, une demande d’ouverture de dossier sera faite au niveau national.
Un moteur de recherche doit être créé prochainement pour permettre, comme pour le module « Retour d’expérience »,
d’effectuer des recherches sur ces dossiers.
La section « exercices, retours d’expérience et synthèses opérationnelles » du bureau de la coordination interministérielle
de la DSC ainsi que le pôle planification de la DPPSN peuvent vous apporter, dans leurs domaines de compétence respectifs,
l’appui dont vous pourriez avoir besoin tant dans la préparation, le montage ou l’animation de vos exercices, la formation
de vos cadres que pour l’envoi d’évaluateurs ou observateurs.
Transmissions des retours d’expérience
Les retours d’expérience des exercices départementaux seront transmis au niveau zonal et à la DSC. Le préfet de zone en
fera une synthèse, ainsi que de ceux des exercices zonaux, reprenant les modifications et les améliorations proposées pour
enrichir la planification gouvernementale et la réponse nationale, qu’il fera parvenir à la DPPSN et à la DSC.
Liste des correspondants exercices nationaux et zonaux
DSC
M. Jean-Guy MERCAN, chef du bureau de la coordination interministérielle – DSC/SDGR.
LCL Alain CHEVALLIER, chargé de mission exercices au bureau de la coordination interministérielle – DSC/SDGR.
Cdt Gil RANNOU, chargé de mission retour d’expérience au bureau de la coordination interministérielle – DSC/
SDGR.
États-majors interministériels de zone
Mme Sylvie CHAMBOST, responsable du suivi des exercices de l’état-major interministériel de la zone de défense et
de sécurité Sud-Est.
M. Enrique CARO NAVARRO, chef du bureau formation et relations interservices de l’état-major interministériel de la
zone de défense et de sécurité Nord.
Mme Anne-Emmanuelle GOUJON, chef de la section planification de l’état-major interministériel de la zone de défense
et de sécurité Île-de-France.
Mme Betty TELCHID, responsable du suivi des exercices de l’état-major interministériel de la zone de défense et de
sécurité Île-de-France.
M. Bernard CALAS chef du bureau administration de l’état-major interministériel de la zone de défense et de sécurité
Sud-Ouest.
Monsieur Gérard MARTIN, chef du bureau planification de l’état-major interministériel de la zone de défense et de
sécurité Ouest.
Commandant Sylvain CORDEL, responsable du suivi des exercices à l’état-major interministériel de la zone de défense
et de sécurité Sud.
Chef de bataillon Marc FEIGNEUX, responsable du suivi des exercices à l’état-major interministériel de la zone de
défense et de sécurité océan Indien.
Lieutenant-colonel Patrick TYBURN, adjoint au chef d’état-major interministériel de la zone de défense et de sécurité
Antilles.
Capitaine Bruno TONNELIER, responsable des exercices à l’état-major interministériel de la zone de défense et de
sécurité Est.
Commandant Philippe BOURGAIN, chef d’état-major interministériel de la zone de défense et de sécurité de la
Guyane.
Modèle de formulaire de demande de crédits d’exercice
Préfecture / Zone de :
Adresse :
Code postal, ville :
Affaire suivie par :
Téléphone :
Télécopie :
à : Bureau de la coordination interministérielle
Sous-direction de la gestion des risques
Bureau de la coordination interministérielle
87-95, quai du Docteur-Dervaux
92600 Asnières-sur-Seine
01 56 04 76 64
Demande de financement pour un exercice
DATE DE LA DEMANDE
NOM DU DEMANDEUR
DATE ET LIEU DE L’EXERCICE
DESCRIPTION du matériel ou service financé
PRIX UNITAIRE TTC
TOTAL
TOTAL
1. Adresser votre demande au minimum 1 mois avant la date de l’exercice.
2. Seuls les matériels et les locations ayant un rapport avec l’exercice peuvent faire l’objet d’une demande de
financement.
3. La nourriture et les boissons ne peuvent pas être financées par le budget exercices de la sécurité civile.
4. Les devis ou factures proforma concernant l’achat ou la location de matériels ou de services doivent être obligatoirement
joints à la présente demande, sinon ils ne pourront pas être pris en compte. Toutes ces pièces peuvent être scannées et
envoyées par message à : [email protected]
Une copie de la demande doit être transmise au chef d’état-major de votre zone de défense.
Autorité signataire
Date
Modèle de formulaire de demande de moyens NRBC-e
Préfecture / Zone de :
Adresse :
Code postal, ville :
Téléphone :
Télécopie :
Courriel :
à : Bureau de la coordination interministérielle
Sous-direction de la gestion des risques
Bureau de la coordination interministérielle
87-95, quai du Docteur-Dervaux
92600 Asnières-sur-Seine
01 56 04 76 64
DATE DE LA DEMANDE
Demande d’équipements NRBC-e
pour un exercice départemental / zonal
Nom de l’exercice
NOM DU DEMANDEUR
(service ou agent concerné)
DATE ET LIEU DE L’EXERCICE
DESCRIPTION du matériel demandé
Nombre d’unités demandées
Total
Cadre rempli par le fournisseur de matériels
Date et lieu de la perception :
Date limite de réintégration :
Consignes à l’attention du demandeur :
1. Adresser votre demande au minimum 1 mois avant la date de l’exercice. Les matériels devront être réintégrés dans les
15 jours qui suivent l’exercice.
2. Les matériels seront réintégrés dans un état identique à celui observé lors de la perception. Ces derniers seront donc
rendus nettoyés (ou désinfectés si besoin est) et allotis suivant un état de colisage précis
3. Un état des seuls matériels pouvant être demandés est fourni en page 2 de ce document. Il s’agit de matériels d’instruction
devant servir au plus grand nombre. Il vous est donc demandé d’en prendre soin. Cette demande doit être signée, scannée et
retournée par messagerie électronique à : [email protected] ; [email protected]
4. Une copie de cette demande doit être transmise au chef d’état-major de votre zone de défense et de sécurité (uniquement
en cas d’exercice départemental).
Autorité signataire
Date
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 86/89 – Page Date
de l’exercice
Domaine
du risque
Catégorie
du risque
Type
du risque
Thème
de l’exercice
des exercices
Exercice
partiel ou
général
Exercice
cadre et/ou
terrain
Exercice
préparé ou
inopiné
pour la zone ou le département de :
Objectifs
de l’exercice
Commentaires
2011
(1) Départemental, interdépartemental, zonal, interzonal, national, frontalier ou international.
Département
Programmation
A nne x e I V
COD
activé
PCO
activé
Niveau
de jeu de
l’exercice
(1)
de l’outre-mer,
_____
Arrêté du 25 février 2011 modifiant l’arrêté du 8 janvier 2002 modifié relatif aux cycles de travail
particuliers applicables à certains services relevant de l’administration centrale du ministère
de l’intérieur
NOR : IOCE1102182A
Vu le décret no 85‑1057 du 2 octobre 1985 modifié relatif à l’organisation de l’administration du ministère de
l’intérieur ;
Vu le décret no 2000‑815 du 25 août 2000 modifié relatif à l’aménagement et à la réduction du temps de travail dans la
fonction publique de l’État, notamment son article 4 ;
Vu le décret no 2002‑146 du 7 février 2002 portant dérogation aux garanties minimales de durée de travail et de repos
applicables à certains agents en fonction dans les services relevant de la direction de la défense et de la sécurité civiles ou
relevant de la direction générale de l’administration du ministère de l’intérieur ;
Vu l’arrêté du 6 décembre 2001 portant application du décret no 2000‑815 du 25 août 2000 relatif à l’aménagement et à
la réduction du temps de travail pour les personnels relevant de la direction générale de l’administration du ministère de
l’intérieur ;
Vu l’arrêté du 8 janvier 2002 modifié relatif aux cycles de travail applicables à certaines services relevant de la direction
générale de l’administration du ministère de l’intérieur ;
Vu l’avis du comité technique paritaire local de la base d’avions de la sécurité civile en date du 19 novembre 2010 ;
Vu l’avis du comité technique paritaire spécial du groupement des moyens aériens en date du 23 novembre 2010,
Arrête :
Article 1er
Il est ajouté un article 7 quater à l’arrêté du 8 janvier 2002 susvisé ainsi rédigé :
« I. – Le régime de travail des personnels sol de la base d’avions de la sécurité civile (BASC) dont l’activité est directement
liée à l’activité opérationnelle (agents d’opérations et agents du bureau technique aviation [BTA]), à l’exception des ouvriers
de piste, est un cycle annuel organisé selon les modalités suivantes :
a) Hors saison feux, les personnels concernés prennent leur service à 8 heures, ou une heure avant les vols si l’activité
démarre avant 8 heures, jusqu’à la fin de l’activité (fin des vols pour les agents d’opérations et fin des activités de maintenance
pour les agents du BTA), avec une pause méridienne de quarante-cinq minutes.
b) Hors saison feux, en cas d’alerte des avions prévue le lendemain, un agent d’opérations et un agent du BTA assurent
une astreinte de nuit, indemnisée ou compensée selon les dispositions du décret no 2002‑147 du 7 février 2002.
c) En saison feux, les agents d’opérations assurent leur service de 12 h 30 jusqu’à la fin de l’activité et reprennent, après
une astreinte de nuit, le service le lendemain de 7 h 30 jusqu’à 12 h 30, éventuellement prolongé jusqu’à la fin de l’activité
si nécessaire.
Les agents du BTA assurent leur service de 12 h 30 jusqu’à la fin de l’activité et reprennent, après une astreinte de nuit,
le service le lendemain de 7 heures jusqu’à 12 h 30, éventuellement prolongé jusqu’à 19 heures si l’activité le nécessite.
L’astreinte de nuit est indemnisée ou compensée selon les dispositions du décret no 2002‑147 du 7 février 2002.
d) Les heures effectuées en semaine sont comptabilisées heure pour heure. Cependant, les heures effectuées entre
22 heures et 7 heures ainsi que celles effectuées les samedis, dimanches et jours fériés sont affectées du coefficient 2.
e) Avec les modalités de comptabilisation définies au d ci-dessus, les agents d’opérations et les agents du BTA ont une
durée annuelle du temps de travail de 1 607 heures.
Le cas échéant, les jours de fractionnement viennent en déduction de cette durée annuelle pour une durée de sept heures
par jour acquis.
II. – Le cycle de travail applicable aux agents de la BASC dont l’activité n’est pas directement liée à l’activité
opérationnelle s’organise de la manière suivante :
a) Pour les agents des moyens administratifs, de la division informatique, de la division de recueil et d’analyse des vols
et le secrétariat du chef de la BASC : cycle hebdomadaire de trente-huit heures.
Hors saison feux, les horaires se décomposent ainsi qu’il suit :
– plage mobile : du lundi au jeudi : matin : 8 h-9 h 30, soir : 16 h 30‑18 h 45 ;
le vendredi soir : 16 heures‑18 h 30 ;
– pause méridienne : 12 heures-14 heures (avec quarante-cinq minutes minimum) ;
– plage fixe : du lundi au jeudi : matin : 9 h 30‑12 heures, après-midi : 14 heures-16 h 30 ;
le vendredi après-midi : 14 heures-16 heures.
Un système de crédit-débit est mis en place. Seules douze heures sont reportables sur le mois suivant, au-delà, les heures
sont écrêtées.
En saison feux, les agents placés en astreinte la veille prennent leur service le lendemain à 8 heures et terminent à 16 h 15
avec une pause méridienne de quarante-cinq minutes minimum alors que les autres agents ont des horaires identiques à
ceux pratiqués hors saison feux.
L’application de ce cycle de travail particulier donne droit à seize jours ARTT.
Les astreintes et interventions sont indemnisées ou compensées selon les dispositions du décret no 2002‑147 du
7 février 2002. Les permanences sont indemnisées ou compensées selon les dispositions du décret no 2002‑148 du
7 février 2002.
b) Pour les agents de l’interface technique hors personnel d’encadrement : cycle hebdomadaire de trente-six heures
trente.
Les horaires se décomposent ainsi qu’il suit :
– plage mobile : du lundi au jeudi : matin : 8 heures-9 h 30, soir : 16 h 30‑18 h 45 ;
– pause méridienne : 12 heures-14 heures (avec quarante-cinq minutes minimum) ;
– plage fixe : du lundi au jeudi : matin : 9 h 30‑12 heures, après-midi : 14 heures-16 h 30 ;
le vendredi après-midi : 14 heures-16 heures.
Un système de crédit-débit est mis en place. Seules douze heures sont reportables sur le mois suivant, au-delà, les heures
sont écrêtées.
En saison feux, les agents placés en astreinte la veille prennent leur service le lendemain à 8 heures et terminent à
16 h 15 avec une pause méridienne de quarante-cinq minutes minimum alors que les autres agents ont les mêmes horaires
que hors saison feux.
L’application de ce cycle de travail particulier donne droit à 7 jours ARTT.
c) Pour les chauffeurs : cycle hebdomadaire de trente-cinq heures.
En saison feux, les chauffeurs peuvent être placés en astreinte. Les astreintes et interventions sont indemnisées ou
compensées selon les dispositions du décret no 2002‑147 du 7 février 2002.
III. – Les personnels d’encadrement de la chaîne technique à la BASC effectuent 208 jours de travail par an avec les
horaires suivants :
– plage mobile : du lundi au jeudi matin : matin : 8 heures-9 h 30, soir : 16 h 30‑18 h 45 ;
– pause méridienne : 12 heures-14 heures (avec 45 minutes minimum) ;
– plage fixe : du lundi au jeudi : matin : 9 h 30‑12 heures, soir : 14 heures-16 h 30 ;
le vendredi soir : 14 heures-16 heures.
L’application de ce cycle de travail particulier ne permet aucune capitalisation d’heures supplémentaires mais donne droit
à 18 jours ARTT.
Les personnels d’encadrement de la chaîne technique à la BASC peuvent être placés en astreinte par le chef de la
BASC ou son représentant. Les astreintes et interventions sont indemnisées ou compensées selon les dispositions du décret
no 2002‑147 du 7 février 2002.
IV. – Le temps de travail des personnels sol, à l’occasion de l’exercice des missions de sécurité cabine à bord des DASH,
est comptabilisé ainsi qu’il suit :
Le temps de travail est décompté de l’heure estimée du décollage moins une heure à l’heure d’atterrissage (fin de mission)
plus une heure.
Les heures effectuées en semaine sont comptabilisées heure pour heure. Cependant, les heures effectuées entre 22 heures
et 7 heures ainsi que celles effectuées les samedis, dimanches et jours fériés sont affectées du coefficient 2.
Les personnels de sécurité cabine peuvent être placés en position d’alerte à une heure. Celle-ci est comptabilisée une
demi-heure pour une heure, sauf entre 22 heures et 7 heures ainsi que les samedis, dimanches et jours fériés où elle est
comptabilisée une heure pour une heure. Ils peuvent également être placés en alerte à trois heures. Dans ce cas, les heures
effectuées en semaine sont comptabilisées un quart d’heure pour une heure, les heures effectuées entre 22 heures et 7 heures,
ainsi que celles effectuées les samedis, dimanches ou jours fériés sont comptabilisées une demi-heure pour une heure.
Dans le cadre d’une mission aérienne de transport ou de liaison qui comprend une escale en dehors de la base d’avions de
la sécurité civile, le temps d’escale est comptabilisé heure pour heure. Lorsque cette escale est de nuit, elle est compensée
forfaitairement par 6 heures. »
Article 2
Le directeur de la sécurité civile est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du
ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration.
Le directeur de la sécurité civile,
A. Perret
de l’outre-mer,
_____
_____
Sous-direction des sapeurs-pompiers
et des acteurs du secours
_____
Bureau des services d’incendie
et de secours
_____
Circulaire du 15 février 2011 relative au renouvellement des représentants du conseil général
au conseil d’administration des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS)
NOR : IOCE1104871C
Date d’application : immédiate.
Objet : élections des représentants du conseil général au conseil d’administration des services départementaux d’incendie
et de secours.
Références :
Code général des collectivités territoriales, parties législative et réglementaire ;
Décret no 2010-1399 du 12 novembre 2010 portant convocation des collèges électoraux pour procéder au renouvellement
de la série sortante des conseillers généraux et pour pourvoir aux sièges vacants ;
Arrêté NOR : IOCE1101874A du 20 janvier 2011 (JO du 4 février 2011) fixant la date limite des élections des
représentants du conseil général aux conseils d’administration des services départementaux d’incendie et de secours
(CASDIS).
Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration à Madame et Messieurs
les préfets de zone de défense et de sécurité ; Messieurs les préfets délégués pour la défense et la sécurité ;
Mesdames et Messieurs les préfets des départements de métropole et d’outre-mer ; services départementaux
d’incendie et de secours.
En application des articles L. 1424‑24‑1 et L. 1424‑24‑2 du code général des collectivités territoriales, les représentants
des départements au conseil d’administration du SDIS sont élus dans les quatre mois suivant le renouvellement des conseils
généraux.
La présente circulaire a pour objet de préciser les règles relatives à ces élections, ainsi que les conséquences qui en
découlent pour les SDIS.
En effet, dans la mesure où l’actualisation de la partie réglementaire du code général des collectivités territoriales, qui
s’impose du fait des modifications introduites dans la partie législative de ce code par la loi no 2004‑811 du 13 août 2004 de
modernisation de la sécurité civile, n’est pas encore achevée, il paraît nécessaire d’apporter une réponse aux interrogations
d’ores et déjà formulées par les SDIS et préciser certaines dispositions.
Dès lors, dans l’attente de cette mise à jour, il convient de préciser certaines dispositions. À cet égard, il est rappelé qu’en
application de la hiérarchie des normes juridiques les articles législatifs priment sur les articles réglementaires, et c’est donc
à eux qu’il convient de se référer en cas de contrariété entre les deux textes.
1. Date limite des élections
Le décret du 12 novembre 2010 cité en référence ayant fixé les élections cantonales aux 20 et 27 mars 2011, la date
limite des élections des représentants du conseil général est fixée au 27 juillet 2011. Cette date limite a été fixée par l’arrêté
ministériel du 20 janvier 2011 cité en référence, pris sur le fondement de l’article R. 1424‑4 du CGCT.
2. L’élection des représentants des départements au conseil d’administration
du service départemental d’incendie et de secours
2.1. Remarques liminaires
En premier lieu, il convient de rappeler que les élections cantonales 2011 emportent seulement des conséquences sur
la représentation du conseil général au conseil d’administration du SDIS. Il appartient au conseil général d’élire ses
représentants au conseil d’administration du SDIS, en application de l’article L. 1424‑24‑2 du CGCT, en fonction du
nombre de sièges dont il dispose actuellement.
Dès lors, il n’y a pas lieu de procéder :
– à une délibération du conseil d’administration du SDIS visant à fixer le nombre et la répartition des sièges, dans la
mesure où cette délibération n’est prévue, en application de l’article L. 1424‑26 du CGCT, que lors du renouvellement
des représentants des communes et des EPCI. Ce renouvellement ayant eu lieu en 2008, le nombre et la répartition des
sièges sont à présent figés depuis 2008 pour six ans ;
– au renouvellement des représentants des communes et des EPCI. En effet, le renouvellement des sièges de représentants
des communes et des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) au conseil d’administration
du SDIS a eu lieu en 2008, sur le fondement de l’article L. 1424‑24‑3, 3e alinéa, du CGCT, qui dispose que « les
représentants des établissements publics de coopération intercommunale et de communes sont élus dans les quatre
mois suivant le renouvellement général des conseil municipaux ». Ce renouvellement général ayant une périodicité de
six ans, les sièges des représentants des communes et des EPCI seront renouvelés en 2014 ;
– au renouvellement de la commission administrative et technique des services d’incendie et de secours (CATSIS), ni à
celui du comité consultatif départemental des sapeurs-pompiers volontaires (CCDSPV).
En effet, s’agissant de la CATSIS, l’article L. 1424‑31 du CGCT dispose, dans son 3e alinéa, que les membres de cette
commission, représentants des sapeurs-pompiers professionnels et volontaires, sont élus dans les quatre mois suivant le
renouvellement général des conseils municipaux.
En ce qui concerne le comité consultatif départemental des sapeurs-pompiers volontaires, prévu par l’article R. 1424‑23
du CGCT, l’article 3 de l’arrêté du 7 novembre 2005 portant organisation du CCDSPV, pris pour l’application de l’article 54
du décret no 99‑1039 modifié du 10 décembre 1999 relatif aux sapeurs-pompiers volontaires, précise que l’élection des
représentants des sapeurs-pompiers volontaires à ce comité est organisée par la préfecture dans les quatre mois suivant le
renouvellement général des conseils municipaux.
En conséquence, il n’y a pas lieu de procéder en 2011 au renouvellement des représentants des sapeurs-pompiers à ces
deux instances, élus en 2008 pour une durée de six ans.
À noter toutefois que le renouvellement des représentants du conseil général au conseil d’administration du SDIS va
entraîner une nouvelle désignation des représentants de l’administration au CCDSPV, à la commission administrative
paritaire (CAP) et au comité technique paritaire (CTP) (Cf. ci-dessous paragraphe 3.2.5.).
2.2. Représentation du département
Aux termes de l’article L. 1424‑24‑2 du CGCT, les représentants du département sont élus par le conseil général en son sein.
Toutefois, le président du conseil général, président de droit du conseil d’administration du SDIS, n’est pas soumis à
élection. Son siège est cependant compté dans le nombre de sièges attribués au département.
2.3. Mode de scrutin
L’article L. 1424‑24‑2 du CGCT précise désormais que les représentants du département sont élus par le conseil général
en son sein au scrutin de liste à un tour. Le choix par les parlementaires d’un scrutin de liste avec prime majoritaire a pour
objet d’assurer la coïncidence des majorités au conseil général et au conseil d’administration du SDIS tout en permettant
une représentation de l’ensemble des composantes du conseil général.
Ces élections sont organisées sous la responsabilité du président du conseil général.
2.4. Les suppléants
En application de l’article L. 1424‑24‑4 du CGCT, des suppléants, appelés à remplacer les membres titulaires absents ou
empêchés, sont élus dans les mêmes conditions et pour la même durée.
L’article R. 1424‑8 du même code dispose que « chaque candidature à un siège de titulaire est assortie de la candidature
d’un suppléant ».
Si cette disposition ne pose pas de difficulté pour l’élection des représentants des communes et des EPCI, en revanche,
s’agissant des départements, il apparaît que, pour certains d’entre eux, le nombre de membres du conseil général est
insuffisant pour permettre de disposer d’autant de suppléants que de titulaires. Toutefois, il est rappelé que l’article R. 1424‑6
dispose que « les représentants titulaires et suppléants du département au conseil d’administration du SDIS sont élus selon
des modalités fixées par le conseil général ».
Dès lors, il appartient au conseil général de fixer par délibération les modalités d’élection de ses représentants au conseil
d’administration du SDIS, dans le respect des dispositions de l’article L. 1424‑24‑2 du CGCT. Dans ces conditions, en cas
d’impossibilité de présenter des listes complètes, si le mode de scrutin proportionnel retenu à l’article L. 1424‑24‑2 précité
interdit au conseil général de prévoir une possibilité de panachage, en revanche, aucune disposition législative ne s’oppose
à ce que la délibération du conseil général autorise des listes incomplètes.
3. Organisation des élections
3.1. Date des élections
L’arrêté du 20 janvier 2011 précité du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de
l’immigration a fixé la date limite des élections des représentants du conseil général au conseil d’administration du SDIS
au 27 juillet 2011.
Il convient de préciser que l’article L. 3121‑22 du code général des collectivités territoriales permet qu’après l’élection
de sa commission permanente dans les conditions prévues à l’article L. 3122‑5, le conseil général nouvellement élu procède
à la désignation de ses membres pour siéger au sein d’organismes extérieurs.
L’article L. 3121‑23 du même code précise que « le conseil général procède à la désignation de ses membres ou de ses délégués
pour siéger au sein d’organismes extérieurs dans les cas et conditions prévus par les dispositions régissant ces organismes ».
Dans ces conditions, une élection des représentants du conseil général au SDIS, dans les conditions fixées par
l’article L. 1424‑24‑2 du CGCT, qui aurait lieu lors de la réunion de droit qui suit chaque renouvellement triennal du
conseil général, soit, en application de l’article L. 3121‑9 du même code, le deuxième jeudi suivant le premier tour des
élections cantonales, paraît juridiquement fondée. Ainsi, cette élection pourrait ainsi se dérouler le 31 mars 2011, dans les
conditions prévues par l’article L. 1424‑24‑2 précité.
Toutefois, aucune obligation sur ce point ne s’imposant aux conseils généraux il apparaît fréquent qu’un certain nombre
de ceux-ci différent à une séance ultérieure ces désignations, dans le délai de quatre mois suivant son renouvellement fixé
expressément par l’article L. 1424‑24‑2 du CGCT.
3.2. La période transitoire
Les élections des représentants du conseil général au conseil d’administration du SDIS pouvant avoir lieu à compter
de l’installation des assemblées délibérantes et au plus tard le 27 juillet 2011, il est possible d’apporter des précisions
sur le fonctionnement du conseil d’administration pendant cette période, dans le cas où certains membres de ce conseil
d’administration perdraient leur mandat électif.
3.2.1. Fonctionnement du conseil d’administration du SDIS
Le mandat d’un membre du conseil d’administration prend fin lorsqu’il cesse d’exercer la fonction ou le mandat électif
au titre duquel il a été élu.
Ce principe s’applique aux membres du conseil général dont le siège est soumis à renouvellement, et dont le mandat
expire à l’ouverture de la séance d’installation du conseil général, qui a lieu de plein droit le second jeudi suivant le premier
tour de scrutin (art. L. 3121‑9 du CGCT), soit le 31 mars 2011.
La perte de ce mandat met fin, par voie de conséquence, aux différentes fonctions exercées en qualité de conseiller général,
et ceci quand bien même le conseiller sortant serait réélu .Les autres conseillers généraux, non soumis à renouvellement,
poursuivent leur mandat au sein du conseil d’administration du SDIS, soit en tant que titulaires, soit en tant que suppléants,
aussi longtemps que le conseil général n’a pas procédé à leur remplacement.
C’est donc lors de l’installation du conseil général que les vacances de sièges au sein du conseil d’administration du SDIS
apparaîtront. Dans ces conditions, en cas de perte du mandat électif d’un membre du conseil d’administration du SDIS, et
dans l’attente du renouvellement du conseil d’administration, il conviendra de faire application de l’article R. 1424‑15 du
CGCT qui dispose que « en cas de vacance d’un siège de représentant titulaire du département, des communes, des EPCI
ou des sapeurs-pompiers, ce titulaire est remplacé par son suppléant pour la durée du mandat restant à courir », dans la
mesure où ce dernier n’est pas lui-même touché par la fin du mandat au titre duquel il a été élu.
À cet égard, il est rappelé que le conseil d’administration du SDIS ne peut valablement délibérer que lorsque la majorité
de ses membres en exercice est présente (art. R. 1424‑16 du CGCT). Ainsi, pour le calcul du quorum, seuls sont pris en
compte les membres dont le mandat n’a pas pris fin lors de la réunion du conseil d’administration dont le nombre est réduit
en raison de la vacance d’un certain nombre de sièges.
Ainsi, entrent dans le calcul du quorum les représentants titulaires du conseil général dont le siège n’est pas soumis à
élection, les suppléants des représentants titulaires dont le siège est soumis à élection, à la condition qu’ils ne soient pas
eux-mêmes soumis à renouvellement, ainsi que les représentants des communes et des EPCI.
Toutefois, on doit considérer qu’une nouvelle désignation des représentants du département par le conseil général
issu des élections cantonales met fin aux mandats exercés précédemment par les conseillers généraux au sein du conseil
d’administration sortant, à défaut de disposition expresse prévoyant la prorogation des mandats jusqu’à l’installation des
nouveaux conseils d’administration.
3.2.2. Le président du conseil d’administration
La situation du président du conseil d’administration du SDIS suit le régime applicable à l’ensemble des conseillers
généraux.
Ainsi, pendant la période comprise entre les élections cantonales et l’installation du conseil général renouvelé, le président
du conseil d’administration du SDIS, qu’il s’agisse du président du conseil général lui-même ou de son représentant,
continue à assurer la présidence du conseil d’administration.
Toutefois, dans le cas où son siège est soumis à réélection, son mandat prend fin dès la séance d’installation du conseil
général.
En effet, à compter de l’élection du président du conseil général, celui-ci devient immédiatement président du conseil
d’administration du SDIS en vertu de l’article L. 1424‑27 du CGCT. Toutefois, le président élu après les élections
cantonales ne pourra désigner, pour se faire remplacer, un des membres du conseil d’administration, au plus tôt, qu’après
le renouvellement des représentants du département.
Il convient de rappeler à cet égard que, pendant la période comprise entre l’installation du conseil général et l’élection
des représentants du département au conseil d’administration du SDIS, le conseil d’administration ne pourra délibérer que
si les conditions de quorum sont réunies sur le fondement de l’article R. 1424‑16 du CGCT, soit, si le total des représentants
du conseil général dont le siège n’est pas soumis à renouvellement et des représentants des communes et des EPCI fait
apparaître un nombre suffisant.
Dans le cas contraire, il paraît possible de considérer que l’on se trouve dans une situation comparable à celle prévue à
l’article L. 1424‑30‑1 du CGCT, et que le président du conseil général, président de droit du CASDIS est chargé d’expédier
les affaires courantes.
3.2.3. Le bureau
Le bureau est une émanation du conseil d’administration ; dès lors, il ne peut fonctionner que dans la mesure où ses
membres n’ont pas perdu leur mandat électif. Dans ces conditions, son fonctionnement pendant la période transitoire doit
être apprécié au cas par cas, au vu des situations locales.
3.2.4. Les commissions d’appels d’offres
Composées en application des articles 22 et 23 du décret no 2006‑975 du 1er août 2006 portant code des marchés publics,
du représentant légal de l’établissement public ou son représentant, et de deux à quatre membres de l’organe délibérant,
désignés par celui-ci, elles ne peuvent valablement être réunies si les élus concernés ont perdu leur mandat électif.
3.2.5. Les instances paritaires
Ces instances sont composées d’un nombre égal de représentants de l’administration et de représentants élus du personnel.
Dès lors ces instances ne peuvent valablement être réunies que dans le respect des conditions prévues par les textes qui les
régissent.
Le mandat des représentants de l’administration à ces instances :
Les représentants de l’administration au comité consultatif départemental des sapeurs-pompiers volontaires (CCDSPV)
sont ceux siégeant au comité technique paritaire en application de l’article 2 de l’arrêté du 7 novembre 2005 portant
organisation du CCDSPV. Or, l’article 3 du décret no 85‑565 du 30 mai 1985 relatif aux comités techniques paritaires des
collectivités territoriales et de leurs établissements publics dispose que « le mandat des représentants des collectivités locales
et de leurs établissements publics expire en même temps que leur mandat ou fonction ou à la date du renouvellement total
ou partiel de l’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement ».
Une disposition identique est prévue pour les CAP par l’article 3 du décret no 89‑229 du 17 avril 1989 relatif aux
commissions administratives paritaires (CAP) des collectivités territoriales et de leurs établissements publics, aux termes
duquel « les représentants des collectivités et établissements cessent de siéger lorsque leur mandat électif prend fin ».
Les conditions de quorum et de parité :
Il convient de tenir compte de la condition de quorum prévue pour le CCDSPV par l’article 7 de l’arrêté précité du
7 novembre 2005 aux termes duquel cette instance ne peut valablement délibérer que lorsque la majorité de ses membres
en exercice est présente.
De même, les CAP ne peuvent être réunies que dans le respect de la condition de parité prévue par l’article 33 du décret
no 89‑229 du 17 avril 1989 précité, et de la condition de quorum prévue à l’article 36 du même décret.
En ce qui concerne les CTP, l’article 30 du décret no 85‑565 du 30 mai 1985 dispose que « les deux tiers au moins des
membres doivent être présents ou représentés lors de l’ouverture de la réunion. Lorsque ce quorum n’est pas atteint, une
nouvelle convocation est envoyée dans le délai de huit jours aux membres du comité, qui siège alors valablement sur le
même ordre du jour quel que soit le nombre des membres présents. »
Dès lors, s’agissant des CAP et du CCDSPV, ces instances ne peuvent être réunies pendant la période transitoire que
dans la mesure où les représentants de l’administration non soumis à réélection sont en nombre suffisant pour que soient
remplies les conditions de parité et de quorum pour la CAP, et de quorum pour le CCDSPV.
En revanche, les dispositions du décret no 85‑565 du 30 mai 1985 précité relatif aux CTP permettent davantage de
souplesse pour les réunions de cette instance, sous réserve des dispositions prévues par son règlement intérieur.
4. Installation du nouveau conseil d’administration
Les textes législatifs et réglementaires ne prévoient pas les modalités d’installation du nouveau conseil d’administration.
Le règlement intérieur qui, aux termes de l’article R. 1424‑16 du CGCT, précise les règles générales d’organisation et de
fonctionnement du conseil, peut éventuellement contenir une disposition sur ce point. À défaut, le président du conseil
général, en tant que président de droit du conseil d’administration du SDIS (art. L. 1424‑27 et L. 1424‑28 du CGCT)
procède à la convocation de l’ensemble des membres du conseil d’administration, à la suite des élections cantonales.
4.1. Présidence du conseil d’administration
L’article L. 1424‑27 du CGCT dispose que le conseil d’administration est présidé par le président du conseil général ou
l’un des membres du conseil d’administration désigné par le président du conseil général.
Il convient de préciser que le président du conseil général, s’il décide de présider le conseil d’administration, est compris
dans le nombre de sièges attribués au conseil général.
4.2. Composition du bureau
L’article L. 1424‑27 du CGCT précise la composition du bureau du conseil d’administration qui comprend le président,
trois vice-présidents et, le cas échéant, un membre supplémentaire. Le nombre maximum de membres du bureau est donc
clairement limité à cinq.
La composition du bureau est fixée lors de la première réunion suivant chaque renouvellement du conseil d’administration
du SDIS. La durée du mandat de membre du bureau est donc de trois ans.
Au cours de cette réunion, les membres du bureau autres que le président sont élus parmi les membres du conseil
d’administration ayant voix délibérative à la majorité absolue de ces derniers.
Il convient de rappeler à cet égard que, pour marquer l’importance de l’implication des élus de proximité dans la gestion et
le fonctionnement des SDIS, la loi prévoit qu’un vice-président au moins est élu parmi les maires représentant les communes
et les EPCI ou, si aucun maire ne siège au conseil d’administration, parmi les représentants des communes et des EPCI.
Si l’élection n’est pas acquise lors des deux premiers tours de scrutin, il est procédé à un troisième tour et l’élection a
lieu à la majorité relative des suffrages exprimés. En cas de partage des voix, elle est acquise au bénéfice de l’âge.
4.3. Participation du préfet aux séances du conseil d’administration
En application de l’article L. 1424‑25 du CGCT, le préfet de département ou son représentant assiste de plein droit aux
séances du conseil d’administration.
Votre présence est, en effet, hautement justifiée par votre rôle prépondérant dans le fonctionnement du SDIS, tant en
matière opérationnelle (directeur des opérations de secours, pouvoir de réquisition des moyens de secours...), qu’en matière
administrative (contrôle de légalité, pouvoir de conomination des officiers de SPP et de SPV dans leur grade et dans leur
emploi jusqu’au grade de capitaine).
À cet égard, il vous appartient, de rappeler, le cas échéant, aux présidents de conseil d’administration nouvellement
installés, qu’il importe de pourvoir, conjointement avec le ministre de l’intérieur, les postes demeurés vacants de directeur
ou de directeur départemental adjoint.
4.4. Membres avec voix consultative du conseil d’administration
Représentation des sapeurs-pompiers
En application de l’article L. 1424‑24‑5 du CGCT participent aux réunions du conseil d’administration avec voix
consultative le directeur départemental des services d’incendie et de secours, le médecin chef du service de santé et de
secours médical des sapeurs-pompiers et des représentants des sapeurs-pompiers professionnels et volontaires élus à la
commission administrative et technique des services d’incendie et de secours. Ils devront donc être convoqués lors de
l’installation du CASDIS.
Représentation des organismes partenaires du SDIS
L’article L. 1424‑24‑6 du CGCT, créé par la loi du 13 août de modernisation de la sécurité civile donne désormais
au conseil d’administration la faculté de s’ouvrir, à titre consultatif, à des organismes partenaires du SDIS afin de les
associer plus étroitement à la définition d’objectifs partagés. Les représentants des organismes ainsi désignés par le conseil
d’administration sont nommés par le président du conseil d’administration sur proposition de ceux-ci.
Les partenaires désignés par le précédent CASDIS n’ont pas à être convoqués lors de l’installation du nouveau CASDIS,
qui devra procéder à une nouvelle désignation de ces partenaires.
Compte tenu de la nécessité de permettre aux SDIS d'assurer leurs missions dans les meilleures conditions, je vous
demande de veiller à ce que les nouveaux conseils d'administration puissent être installés le plus rapidement possible après
l'élection par les conseils généraux de leurs représentants à ces conseils d'administration.
Le préfet, directeur de la sécurité civile,
A. Perret
de l’outre-mer,
_____
Délégation à la sécurité
et à la circulation routières
_____
Décision du 28 février 2011 relative à la composition
du comité de concertation de l’éducation routière
NOR : IOCS1106941S
Vu la décision du 16 janvier 2007 relative à la création d’un comité de concertation, au sein de la DSCR, auprès du sousdirecteur de l’éducation routière,
Décide :
Article 1er
La composition du comité de concertation de l’éducation routière (CCER), créé au sein de la direction de la sécurité et
de la circulation routières (DSCR), est modifiée comme suit :
Représentants de l’administration
Membres titulaires
M. Meunier (Marc), président, sous-directeur de l’éducation routière (DSCR-ER).
M. Stefanizzi (Pierre), chef du bureau du permis de conduire (DSCR-ER2).
M. Dorival (Jean-Baptiste), chef du bureau de l’animation de la politique éducative (DSCR-ER3).
M. Pinson (Serge), sous-directeur des actions transversales et des ressources (DSCR-ATR).
M. Mauri (Robert), adjoint au sous-directeur de l’action interministérielle (DSCR-AI).
Mme Chaux-Debry (Geneviève), directrice de la direction régionale de l’équipement de l’Alsace.
M. Bonelli (Jean), directeur départemental territorial de l’Ain.
M. Henry (Éric), chef du service sécurité et gestion de crise (DDT 49).
Membres suppléants
M. Ginefri (Pierre), adjoint du sous-directeur de l’éducation routière (DSCR-ER).
Mme Rozé-Wang (Annick), adjointe au chef de bureau du permis de conduire (DSCR-ER2).
Mme Vassel (Michèle), adjointe au chef du bureau de l’éducation à la conduite et à la sécurité routière (DSCR-ER1).
Mme Fouquereau (Rosaline), adjointe au chef du bureau de la coordination et de la synthèse (DSCR-ATR4).
Mme Le Fevre (Emmanuelle), chef du bureau des coordinations politiques et des partenariats nationaux (DSCR-AI1).
M. Crocherie (André), directeur régional de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement
de Midi-Pyrénées.
M. Bajard (Michel), directeur départemental adjoint des territoires du Val-d’Oise.
M. Kehringer (Thierry), chef de service déplacements et sécurité routière (DRIEA-UT 92).
Représentants du personnel
SNICA-FO
Membres titulaires
M. Grolier (Christian).
M. Boone (Matthieu).
M. Chopin (Patrick).
Mme Maset (Pascale).
M. Guerrin (Bernard).
M. Demont (Nicolas).
Membres suppléants
Mme Leguay (Isabelle).
M. Giraud (Thierry).
M. Lahaye (Pascal).
M. Sanchez (Christophe).
M. Bergue (Simon).
M. Malbert (Jean-Michel).
UNSA-ER
Membre titulaire
M. Nauwelaers (Christophe).
Membre suppléant
M. Blot (Ludovic).
CGT
Membre titulaire
M. Marcuzzi (Jean-Bernard).
Membre suppléant
M. Carrié (Jean-François).
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités
territoriales et de l’immigration.
La préfète, déléguée à la sécurité et à la circulation routières,
M. Merli
février 2011. – intérieur 2011/2 – Texte 89/89 – Page

bulletIn offIcIel - Ministère de l`Intérieur

Transcription

Documents pareils

Devenez gendarme adjoint volontaire - Champs-sur

Forum des métiers de la défense

ECOLE SAINT-HONORE D`EYLAU

arrêté 24.02.2016 - nombre de places SOG session mars 2016

Dénonciation du reçu pour solde de tout compte

relevé de compte 21 mai 2013 - Crédit Agricole Centre Ouest

Les métiers de la Police Nationale et de la Gendarmerie Nationale

Protection des entreprises - lutte contre les vols de métaux

Mise en page 1 - Société Générale

TEAM SWAT - Guide de l`image et de la création numérique