Le champignon destructeur de "plastique" : En

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Le champignon destructeur de "plastique" : En
Le champignon destructeur de "plastique" :
En continuité du précédent article, OSEA vous propose des pistes de réflexions sur la mise
en application potentielle des découvertes effectuées lors de l’étude menée par l’Université de Yale.
Ainsi après différentes simulations financières et techniques : deux possibilités de
valorisations sont sorties du lot:
–
Industrialisation du procédé :
Dans cette situation, la première étape passe par une expérimentation sur des surfaces bien
définies, ce, afin d'éviter tout risque sanitaire. Estimation des coûts des tests sur un an :
280K€.
Une fois celle-ci validée, il faut s'assurer de la capacité de limiter à un secteur précis, la
prolifération de ce champignon, afin d'éviter les risques de perturbation des écosystèmes.
In fine cette première option, n'a pour objet, en cette analyse actuelle, qu'un effet de
dépollution locale et non de recyclage ! (perte fi)
–
Vulgarisation du procédé :
Commercialisation de ce champignon dans un kit qui serait accessible au grand public, soit
dans les surfaces de type jardinerie ou dans les magasins de type nature et ...
En complément de ce kit, il sera intéressant de proposer la possibilité à l'utilisateur d'être
acteur d'une étude coopérative. Mise sous forme de jeux et d’un centre de collecte
d’information, afin de connaitre les temps de décomposition, les quantités de plastiques
absorbées...
Coût moyen d'un Kit : 15€.
La seconde ouverture nous semble être la plus valorisante pour l’application de cette découverte.
Nous tenterons dans une prochaine publication de développer plus profondément le procédé.
OSEA – 19/03/14
Sandro Casagrande – Responsable Développement

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