Customer Case NMP FR
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CUSTOMER CASE - GIS Les canalisations se mettent en ligne. Des documents cartographiques sécurisés, disponibles partout et à toute heure. La Société Nationale de Transport par Canalisations (SNTC) gère la pose, l’entretien et le contrôle d’une série de canalisations qui sillonnent la Belgique. Du nord au sud et d’ouest en est. Cette petite SA occupe une position clé pour la collecte d’informations sur l’emplacement, l’état et l’utilisation des canalisations, ainsi que la mise à disposition sécurisée de ces informations à ses utilisateurs. Les grandes entreprises pétrochimiques telles que BP, Shell, Bayer ou Fina Olefins doivent pouvoir transporter leurs produits. Des produits très variés. A cet effet, elles utilisent des canalisations. La taille et la composition des canalisations sont dès lors fonction des volumes à transporter et de la nature des produits. On pense d’emblée à l’essence et au pétrole, mais dans les ensembles de canalisations, on trouve également des réseaux distincts pour le chlore, l’éthylène, l’azote, l’hydrogène, etc. Au début des années 80, afin de structurer la gestion de toutes ces canalisations, la Société Nationale de Transport par Canalisations (SNTC) a été créée par arrêté royal. Avec pour mission d’assurer, en toute indépendance, la coordination entre l’Etat et les entreprises privées. Elle était chargée de coordonner la pose et la gestion des futures canalisations pétrochimiques qui sillonneraient notre pays. Une mission pour laquelle on ne ferait pas appel à l’argent du contribuable, mais qui serait financée par les utilisateurs mêmes des canalisations. En tant que petite SA, la SNTC était donc un acteur économique qui devait non seulement couvrir ses propres frais, mais aussi mener une politique saine et rentable. Un prestataire de services pour de nombreux intervenants. La pose et la gestion des canalisations génèrent une masse de documents que l’on complète en permanence, et qui doivent à tout moment être disponibles pour veiller à l’intégrité des canalisations. Ainsi, pour chaque demande de travaux, il y a lieu d’examiner s’il n’y a, à proximité, aucune canalisation dont il faut tenir compte. En effet, hormis les repères triangulaires et, de temps à autres, une station intermédiaire en surface, peu d’éléments à la surface permettent d’imaginer le réseau qui sillonne le sous-sol de notre pays. “Et c’est là précisément que se situe une bonne part de notre intérêt pour le GIS”, explique Guy De Schrijver, ingénieur et Project Manager à la SNTC depuis des années. “Des documents cartographiques ont toujours été disponibles, mais sous les formes les plus diverses. Dans le meilleur des cas, ils sont déjà numérisés, mais souvent, il s’agit encore de dessins sur papier. Et toutes ces cartes ne sont pas stockées au même endroit. Certains plans se trouvent dans des bureaux d’étude spécialisés, tels que Tractebel ou Haecon. Mais si l’on veut faire un recoupement entre ces cartes et les terrains et leurs propriétaires, il faut recourir à d’autres Etant donné que la SNTC ne dispose pas en interne d’informaticiens capables de réaliser une telle chose, elle s’est mise en quête d’un partenaire pour l’informatisation. C’est là que RealDolmen fait son apparition. Une discussion approfondie et une analyse des besoins ont débouché sur cartes et d’autres bases de données. Et si l’on veut en plus connaître le relief et les différences de niveau, il faut avoir recours au matériel cartographique de l’Institut Géographique National.” une proposition d’informatisation qui s’écartait dans une large mesure du concept original de BP. Guy De Schrijver: “C’était un moment crucial. Au lieu d’un système central relié à des postes de travail, RealDolmen nous a proposé une application web. Les avantages sont évidents: possibilité de consultation en tout lieu et à toute heure. Au début, la technologie proposée par RealDolmen a soulevé pas mal de questions par rapport à l’approche plus classique de BP. Il ne fallait pas se lancer à la légère. Nous avons demandé un audit ...qui a conclu que la proposition de RealDolmen était une bonne proposition. Souple et sûre.” Dans ces conditions, il n’est pas simple pour la SNTC de fournir, de manière intégrée, un matériel cartographique en fonction de ses clients. Et indépendamment des distances. Guy De Schrijver se rappelle fort bien comment tout à commencé. “BP, l’un de nos principaux utilisateurs, avait une grande expérience en matière de systèmes GIS et de mise à disposition de matériel cartographique. En Grande-Bretagne, l’entreprise avait mis au point un système basé sur un serveur central auquel des postes de travail étaient reliés. BP ne demandait qu’à transposer un système GIS similaire en Belgique.” REALDOLMEN � Expérience de longue date en CAD, GIS, TDM. � Attention particulière sur le monde de l’internet. � Une équipe d’ingénieurs spécialisés. � Une solution à la plupart des problèmes (géo)graphiques. � Reconnaissance officielle en tant qu’Autodesk Authorized Training Center, Autodesk Value Added Reseller, Tele Atlas Authorized Partner, Oracle Certified Solution Partner, et autres. � Certifié pour ISO 9001. Industriezone Zenneveld – A. Vaucampslaan 42 – B-1654 Huizingen TEL +32 2 801 55 55 – WWW.REALDOLMEN.COM Après la phase d’étude et d’implémentation, la plateforme a été développée davantage. Une modification importante visait l’intégration du Point de Contact Informations Câbles et Conduites (CICC). Les entrepreneurs notifient leurs travaux planifiés dans ce système. Les notifications sont ensuite automatiquement importées dans le système d’information géographique (GIS). Cette procédure permet de déterminer immédiatement si un chantier se situe dans une zone à risque ou non et, sur cette base, de créer des lettres standards et des cartes pour les entrepreneurs. Récemment, le système est passé à une nouvelle plateforme (Autodesk Infrastructure Map Server). Ce nouveau système permet notamment d’afficher automatiquement via des services web la version la plus récente du GRB (Fichier de Référence à Grande échelle) et des photos aériennes en tant que calque. En outre, il est désormais possible d’utiliser le GIS hors ligne sur un appareil mobile (iPad). De nouveaux outils spécifiques ont également été développés : par exemple, il est maintenant possible de montrer simultanément la profondeur d’une conduite à côté de la carte. Une autre nouvelle application permet par ailleurs de visualiser rapidement l’impact d’une éventuelle fissure dans une conduite, un outil qui peut être utilisé lors de l’élaboration de plans d’urgence.