Monsieur le Président
Transcription
Monsieur le Président
MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page1 Le médecin Yvelines des N° 65 Juin 2012 - 5 € LETTRE D’INFORMATION TRIMESTRIELLE DU CONSEIL DEPARTEMENTAL DE L’ORDRE DES MEDECINS DES YVELINES Sommaire EDITORIAL Docteur Frédéric Prudhomme Président du Conseil Départemental des Yvelines de l’Ordre des Médecins « Le grand cœur » du collège national des cardiologues des hôpitaux… page 2 L’ASSOCIATION « MEDECINS BENEVOLES » Faire face à la grande précarité page 5 Le Prado n’est pas une promenade de santé page 6 Des aides pour le maintien à domicile page 7 EVITER LES PLAINTES DE VOS PATIENTS Le certificat pour le sport, une formalité pas si simple page 8 Le Médecin des Yvelines 1, rue de Verdun - 78590 Noisy le Roi Tél. : 01 30 80 82 82 - Directeur de Publication : Docteur Frédéric Prudhomme. Rédacteur en Chef : Dr Odile Buisson. Rédacteur en chef adjoint : Dr C. Richard. Hanlet. Photos : O.Buisson, C.R. Hanlet, JJ Carrère. Dessin : Awneir PMorin Secrétariat de rédaction JJ Carrère Ideme Sarl. Service abonnement : Sylvie Couturier Imprimeur : La Fourmi -78000 Versailles. Dépôt légal - 2ème trimestre 2012 Monsieur le Président L e peuple français vient de vous porter à la plus haute fonction de l’Etat après une campagne électorale qui a laissé le corps médical sur sa faim quant à votre vision de la prise en charge de la santé de nos concitoyens. Les attentes sont nombreuses au niveau de ce corps si dévoué à la population, qu’il s’agisse des médecins libéraux ou des médecins salariés. Le malaise est palpable et il est nécessaire maintenant d’avoir une ligne claire non seulement pour les nouvelles générations, mais également pour les plus anciennes qui sont sur le départ et qui souhaitent ne pas laisser leurs patients en déshérence. Les premiers gestes de Madame le ministre ont été pour les médecins hospitaliers qui avaient eu le sentiment d’être abandonnés par le précédent gouvernement ; mais quid de la médecine de ville, dont le défi est de continuer à exister dans une société qui ne reconnaît pas ses mérites ? Allez-vous remplacer les cabinets médicaux libéraux par des centres de santé de salariés ? Faire disparaître la médecine de consultants de proximité pour ne garder en ville que la médecine générale ? Sacrifier l’hospitalisation privée sur le socle du tiers payant obligatoire ? Confier la prise en charge des patients à des corps intermédiaires dénués de la formation correspondant aux responsabilités données (la santé des femmes aux sages-femmes, le suivi des pathologies chro- niques aux pharmaciens, l’éducation thérapeutique aux caisses d’assurance maladie et aux mutuelles...) ? Les médecins et les patients ont besoin de réponses précises pour savoir comment sera géré dans les années à venir un des biens les plus précieux : la santé. Le tissu sanitaire de proximité est au bord de l’explosion : pendant que l’on crée à grands coups de médias des pôles de santé -façon de montrer que l’on s’agite-, de nombreux cabinets de groupe vont imploser à la suite du départ à la retraite d’un ou plusieurs associés faute de successeurs, les charges devenant trop lourdes pour les survivants… Quant aux montants des charges, ils ne peuvent être occultés, surtout en Île de France. Beaucoup de nos confrères sont dans l’attente de vos premières décisions : n’oubliez pas qu’une politique de santé doit concerner l’ensemble de la population et des pathologies, et ne pas se focaliser sur telle ou telle thématique. Nous devons faire évoluer notre système de santé tout en préservant l'équilibre qui en fait la qualité. Les médecins sont à l’écoute, mais ne s’engageront que sur des faits et non sur des discours. Votre politique de santé sera-t-elle pragmatique ou idéologique ? ■ Docteur Frédéric Prudhomme MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page2 ACTUALITÉ NATIONALE INTERVIEW « Le grand cœur » du collège national des cardiol Le Docteur Bernard Livarek, chef de service de la cardiologie du centre hospitalier de Versailles, nous explique la place majeure que représente le collège national des cardiologues des hôpitaux dans la cardiologie française (CNCH) et l’intérêt du livre blanc que le collège vient de publier. Démontrer l’importance du CNCH est une étape préalable à sa juste reconnaissance. Propos recueillis par le Docteur Odile Buisson Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 Odile Buisson : Que représente le collège national des cardiologues des hôpitaux (CNCH) ? Dr Bernard Livarek : Le CNCH regroupe la cardiologie hospitalière non universitaire, les établissements de santé privés d’intérêt collectif (ESPIC) et les hôpitaux militaires, soit environ 400 hôpitaux et 2 296 cardiologues (38 % des cardiologues). Il concentre à lui seul la moitié de l’activité cardiologique en France et prend en charge des pathologies de niveau de gravité élevé. La cardiologie libérale et la cardiologie de CHU se partagent l’autre moitié. OB : Pourquoi un livre blanc ? BL : Il est important que le CNCH, qui est une entité spécifique, démontre son importance dans le maillage territorial national et dresse ainsi une sorte d’état des lieux. Un positionnement est également nécessaire par rapport aux CHU et au secteur privé vis-à-vis des décideurs, des tutelles et des firmes. OB : Quels sont les atouts du CNCH ? BL : Ils sont nombreux ! Nous bénéficions d’un maillage national homogène ce qui garantit à l’ensemble de la population un bon accès au soin. De plus, ce maillage propose différents niveaux de prestations avec des 2 liens concrets entre des hôpitaux de proximité et des structures dotées de plateaux techniques lourds. Ceci permet de moduler et d’adapter la prise en charge des pathologies en fonction de leur gravité tout en étant économe avec l’argent public. En un certain sens les CNCH ont devancé la loi hôpital santé et territoire mise en œuvre récemment. OB : Pourriez-vous donner un exemple concret de cette modulation des prises en charge ? BL : En ce qui concerne la cardiologie interventionnelle, je peux donner l’exemple de notre coopération avec le service de cardiologie de Rambouillet avec qui nous avons passé convention en 2005. Depuis cette date, à Rambouillet sont pris en charge les douleurs thoraciques et les syndromes coronariens aigus sans élévation du ST, qui nous sont adressés sans urgence après avoir été stabilisés, alors que nous sont adressés directement sur la table de coronarographie et par le SAMU les patients de Rambouillet présentant un infarctus (Syndrome coronariens aigu avec sus-décalage du segment ST). De cette façon nous avons pu réguler le flux des patients et limiter les dépenses (un seul centre concentre l’équipement lourd et l’as- treinte médicale et infirmière) avec une prise en charge ciblée et adaptée. OB : Etes-vous touché par les problèmes de démographie médicale ? BL : Le livre blanc a permis de voir que le maillage territorial est bon mais demeure fragile. L’âge moyen des car- MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page3 œur » nal des cardiologues des hôpitaux Le Docteur Bernard Livarek : « Il faut occuper la place qui nous revient ». diologues du CNCH est de cinquante ans et Il n’y a pas assez de relève. De plus certains hôpitaux n’arrivent plus à recruter, des postes restent vacants ou bien il leur faut faire appel à des médecins étrangers. Il faudrait très certainement, pour inverser cette situation, proposer des condi- tions de travail et des rémunérations plus attractives : une semaine d’astreinte est rémunérée 150 euros ! Des salaires décents, des gardes et des astreintes correctement rémunérées pourraient sans doute faire venir nos jeunes cardiologues. Par ailleurs, il est prévu dans leur maquette que les internes doivent accomplir deux semestres hors des CHU mais souvent ceci n’est pas effectué, et contribue à nos difficultés de fonctionnement, mais aussi à la méconnaissance par ces internes de ce que nous pourrions leur proposer. 3 OB: Quelles informations nouvelles vous a donné le livre blanc du CNCH ? BL : Il a permis de mettre en évidence que nous sommes leaders et premier acteur de la permanence des soins en cardiologie. Nous prenons en charge 60 % des insuffisances cardiaques, 60 % des infarctus, Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page4 ACTUALITÉ NATIONALE Le CNCH propose un site internet très complet avec entre autres la liste des praticiens et des hôpitaux : www.sfcardio.fr/cnch/. Il publie aussi un annuaire www.cnch.fr 32 % de la cardiologie inet une lettre terventionnelle coronaire d’information. et nous sommes le deu- xième acteur en rythmologie conventionnelle (pacemaker). De plus nous avons eu la surprise de voir que nous avons une activité importante en recherche clinique, malgré le fait que nous ne soyons pas universitaires. OB : Avez-vous des financements adéquats pour ces Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 recherches cliniques ? BL : Nous aimerions bénéficier de davantage de financements et notamment les financements dont bénéficient les CHU en priorité (financem e n t s MERRI). Mon service finance par les études cliniques rémunérées deux attachés de recherches cliniques ce qui nous permet de faire quatre à cinq publications par an, de gérer des bases de données réglementaires ou qui nous intéressent, et de participer à des protocoles. Ceci est loin d’être négligeable compte tenu du désengagement financier des laboratoires. Nous sommes vraiment motivés pour faire de la 4 recherche d’autant que nous avons un grand recrutement de patients et une vraie autonomie dans notre travail. Nous avons constaté que, sur les cinq dernières années, le CNCH a produit 700 publications médicales référencées sur Pubmed ! OB : Quelles sont vos propositions pour le futur de la cardiologie hospitalière ? BL : Il faudrait d’abord consolider le maillage territorial avec un modèle économique pérenne et notamment aligner les tarifs de cardiologie interventionnelle sur ceux de la cardiologie libérale qui sont 30 % plus chers. Le renforcement de l’attractivité de nos postes passe par une révision de la rémunération en général, des gardes et des astreintes en particulier, et par un travail sur le statut des PH. Par ailleurs nous ne re- cevons aucune aide pérenne concernant l’éducation thérapeutique dans les maladies chroniques. Or le vieillissement de la population augmente la prévalence de l’insuffisance cardiaque et il n’existe pas de politique claire d’aide à la prévention. Mon service finance une structure d’éducation thérapeutique de l’insuffisant cardiaque et nous devrions théoriquement recevoir un jour un forfait annuel de 250 euros par patient afin de rémunérer kinésithérapeute, diététicienne, infirmière d’éducation, etc. Or le financement tarde à venir de l’ARS, alors même que nous avons été agréés par celle-ci, dans des conditions très sélectives. Il faudrait également renforcer la représentativité du CNCH auprès des tutelles afin d’occuper la place qui nous revient… ■ MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page5 L’association «Médecins bénévoles» est implantée dans plusieurs sites dans les Yvelines : ci-contre à gauche le site de Maurepas (Pôle Santé Malmedonne), et à droite à Trappes (Espace de Solidarité). L’ASSOCIATION « MEDECINS BENEVOLES » Faire face à la grande précarité Si l’on n’a jamais vu un membre du Conseil général ou de l’ARS travailler bénévolement pour venir soulager la grande précarité, les médecins de l’association « Médecins bénévoles » reçoivent gratuitement 500 patients par an, en grande précarité. Le Docteur Jacques Segal, président de l’association, invite d’autres praticiens à rejoindre son association. ’association, loi de 1901, déclarée en mars 1998, a pour objet de donner des soins aux personnes en situation de grande précarité qui n‘ont pas accès aux structures de soins habituelles, quelle que soit leur situation administrative. Les soins pour ces personnes sont gratuits. Nous sommes environ 70 adhérents, dont huit médecins généralistes entourés de bénévoles, formés à l’accueil des personnes en situation de grande précarité ; nous recevons des malades uniquement sur rendezvous pris par des travailleurs sociaux au sens large : Personnels des Secteurs d’Action Sociale, des Permanences d’Accès aux Soins de Santé (PASS) des hôpitaux de Versailles et Rambouillet, des Centres Communaux d’Action Sociale (CCAS), d’asso- L 5 Le Docteur Jacques Segal est Président de «Médecins bénévoles» qui compte 70 adhérents, dont huit médecins généralistes. ciations caritatives (Secours Catholique, Secours Populaire Français, Resto du Cœur etc.), associations d’éducation spécialisée, tous salariés ou bénévoles au contact de la précarité. Nous recevons nos malades, environ 500 par an, sur quatre sites : au Pôle Santé de Maurepas, siège de l’Association, à Trappes à l’Institut de Promotion de la santé (IPS) et à l’ Espace Solidarité, ainsi qu’au foyer de travailleurs ADEF de Coignières. Agréments et réseau de spécialistes Nous travaillons avec un réseau de spécialistes, hospitaliers ou non, laboratoires, pharmaciens, chirurgiens dentistes, opticiens, etc. Nous sommes agréés par l’association « Pharmacie Humanitaire Internationale » (PHI) qui nous approvisionne sous certaines conditions en médicaments. Nous avons accès à des psychologues cliniciens Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page6 ACTUALITÉ DÉPARTEMENTALE formés à l’écoute des personnes en situation de grande précarité, si spécifique, et nous donnons des formations sur l’ethnomédecine, les différentes possibilités d’accès aux soins, la fonction de bénévole dans la société, etc. Nous sommes financés par l’Agence régionale de santé (ARS), le Conseil général, la Communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines (CASQY), les communes avoisinantes, les cotisations et les dons. Le Prado n’est pas une promenade de santé Dans notre département, le « Projet du retour précoce à domicile » (PRADO) consiste à faire sortir les accouchées au deuxième ou troisième jour après l’accouchement pour une en prise en charge à domicile. Si la Caisse nationale d’Assurance maladie (CNAM) le présente comme un progrès destiné à mieux accompagner le retour des femmes à domicile, c'est aussi un gros gisement d’économies… La précarité progresse Nous observons depuis quelques années une aggravation de la précarité en matière d’accès aux soins, et sommes maintenant souvent amenés à soigner aussi de façon ponctuelle des personnes définies (sic.) comme « nouveaux pauvres », titulaires d’une carte vitale, au dessus du plafond de la CMU et en dessous de 900 euros par mois de revenus pour une personne seule, sans mutuelle, qui représentent officiellement plus de quatre millions de personnes en France. Nous ne sommes jamais « médecins référents » et restons en relation confraternelle avec ces derniers lorsqu’ils existent. Nous souhaitons, si nous en avons les moyens, élargir notre activité pour faire face aux besoins, et souhaiterions que d’autres praticiens nous rejoignent pour donner un peu de leur temps à cette cause, en fonction de leur disponibilité. Docteur Jacques Segal pour contacter l’association Médecins bénévoles 06 60 28 41 34 www.medecinsbenevoles.net Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 Docteur Odile Buisson : 15 % de dépressions nerveuses surviennent dans le post-partum, beaucoup ne sont pas diagnostiquées es Pays-Bas semblent être un modèle inépuisable de santé publique et le nouveau paradigme pour la surveillance des suites de couches. En Hollande, c’est seulement quelques heures après la délivrance que les mamans peuvent rentrer chez elles. Il est donc assez agréable de rentrer chez soi pour récupérer sereinement de la fatigue d’un accouchement, d’autant qu’une aide postnaissance arrive aussitôt au domicile pour effectuer quatre à six heures de travail par jour pendant dix jours ! L’aide post-naissance fait les courses, prépare les repas, emmène et va chercher les enfants à la crèche, fait le ménage et la lessive... bref L prend en main les enfants et le travail domestique. La jeune mère peut donc se reposer dans une période particulièrement sensible. En effet 15 % de dépressions nerveuses surviennent dans le post-partum dont beaucoup ne sont pas diagnostiquées. Une sage-femme vient également au domicile pour le suivi de l’accouchement et du bébé. Le rêve de toutes les mamans françaises exténuées par leur accouchement et les mauvaises conditions de leur hospitalisation ! Belle maternité en vérité, qui contraste étrangement avec le marbre et le jardin tropical de la CPAM de Versailles ou de n’importe quel local administratif qui se respecte. Il n'est sûrement pas venu à l'idée des administrateurs de l’assurance maladie que diminuer d’un jour la durée Séjours écourtés et maternités dégradées En France, la caisse d’assurance maladie a remarqué que la durée des séjours en maternité a diminué progressivement mais elle ne semble pas avoir fait le lien avec l’état de dégradation des chambres et des sanitaires, souvent communs, qui pousse les plus aguerries vers la sortie… A titre d’exemple, la maternité de Poissy — deuxième maternité de France qui compte 4500 accouchements par an—, a dû être flanquée en toute hâte de baraquements construits sur des parkings extérieurs. 6 d’hospitalisation dans le post partum sur tout le territoire revient à économiser 240.000 journées d’hospitalisation. Ceux-ci déclarent vouloir mieux accompagner le retour à domicile des femmes, en proposant une ou deux consultation(s) de sages-femmes libérales pendant cette période de retour à la maison. C’est ainsi que le protocole PRADO (Projet MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page7 du retour précoce à domicile), signé directement et exclusivement entre la CNAM et les sages-femmes libérales, a contourné résolument les sages-femmes de PMI et les médecins et que la mode néerlandaise est imposée chez nous. Le fait est accompli. Mais dans ce projet français, où sont donc passées les 60 heures de travail domestique de l’aide post-naissance, destinées à soulager les femmes de ce retour précoce ? Inutile de chercher, il n’y a rien de prévu. Un poste administratif inutile La caisse d’assurance maladie répond que 87 % des ont déjà plusieurs enfants à leur domicile ? Celles qui n’ont pas de famille proche ? Celles qui ont fait un bébé toute seule ? La CNAM allègue qu’il n’y a pas de sortie contrainte, mais seulement des sorties volontaires. Dans ce cas pourquoi avoir créé, de toute pièce, un poste d’administratif chargé d’aller au chevet des mamans pour faire la promotion du système et y exercer un soupçon de persuasion ? Remarquons au passage que si les économies portant sur la santé des femmes sont à l’ordre du jour, les économies de personnel administratif se font toujours attendre. On le voit, le PRADO Des aides pour le maintien à domicile Présence à domicile est une association de Croissy sur Seine créée en 1994, époque où l’aide à domicile était encore relativement peu développée, et tenue quasi exclusivement par le monde associatif. Monsieur Jean-Claude Charon, son Président, présente au « Médecin des Yvelines » son association. es conditions de vie étaient de plus en plus génératrices de solitude pour les personnes dépendantes ; en cause le veuvage fréquent, l’éclate- L handicapées chez elles, mais aussi des aides maternelles à domicile pour les mamans travaillant en entreprise. Puis il faut participer à la réinsertion des personnes en recherche d’emploi, désireuses de se reconvertir dans le soutien à la personne, en les aidant à acquérir expérience pratique et qualification. Ces deux objectifs définissent toujours l’objet de nos statuts. L’importance du professionnalisme Monsieur Jean-Claude Charon, Président de «Présence à domicile». 4000 femmes seraient satisfaites de ce système. C'est certainement vrai pour les femmes ayant accouché normalement d’un bébé en bonne santé et ayant un entourage présent et attentionné. Mais toutes les autres ? Celles qui ont des soucis secondaires à l’accouchement ? Un problème avec le bébé ? Celles qui ne sont pas aidées ? Celles qui semble davantage servir les intérêts de la CNAM que la bonne santé physique et morale des accouchées, qui sont priées de rentrer chez elles et de se remettre à leur travail domestique. Trois jours d’hospitalisation ? Puis deux ? Et pourquoi pas le lendemain de l’accouchement ? Le progrès est phénoménal, en effet. ■ Docteur Odile Buisson ment des familles, mais aussi l’exigüité des logements, les conditions sociales, des foyers dissous et/ou recomposés… La demande d’assistance à domicile était en expansion. Notre raison d’être est donc issue de ces considérations et nous avons voulu répondre à ces problématiques en orientant notre projet sur deux axes. Il s’agit d’abord d’apporter tous les services propres à maintenir les personnes vieillissantes, malades, 7 Titulaires de l’agrément qualité préfectoral depuis l’origine, nous avons obtenu début 2011 la certification « Qualisap », qui renforce notre objectif de valeurs dans les « Services à la personne ». C’est dire l’importance que nous attachons à la notion de professionnalisme. Cela ne nous détourne pas de notre profond engagement associatif auquel nous sommes très attachés. Aujourd’hui, les contraintes qui nous sont imposées ne nous permettent guère de recruter des candidats sans aucune expérience, mais nous sommes encore très impliqués dans la formation, en acceptant des stagiaires en apprentissage, et en Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page8 ACTUALITÉ DÉPARTEMENTALE organisant des sessions de « validation des acquis de l’expérience » (VAE). Environ 75 personnes en moyenne travaillent pour « Présence à domicile », soit 45 équivalents temps plein (ETP), et apportent leurs bons soins (non médicaux) à environ 150 familles, personnes, ou enfants qui peuvent ainsi demeurer dans leur environnement familier. VACCINEZ-VOUS, REVACCINEZ-VOUS pour éviter les plaintes de vos patients Le certificat pour le sport, une f Deux situations : Une mère vient avec sa fille atteinte d’une scoliose pour obtenir Situation 1 Madame A. vous amène sa fille Virginie, 13 ans, atteinte d’une scoliose, pour obtenir une dispense de sport. une dispense de sport Ethique et proximité Présence à domicile se doit de continuer sa mission avec une équipe bénévole solide, gage de pérennité d’une part, mais aussi garante de la préservation de son éthique de service et de convivialité. Nous tenons à notre spécificité de proximité de la personne, attentive à son bien-être, et au propos individualisé. Un médecin honoraire, membre fondateur et devenue une véritable amie, nous a accompagnés efficacement durant toutes ces années. Mais aujourd’hui trop âgée, c’est elle qui a désormais besoin d’aides. Aussi, nous serions heureux si un praticien nouveau retraité, et ayant un peu de temps à offrir, décidait de nous rejoindre. Son appui sera essentiel dans l’évaluation et le suivi des situations de dépendance de nos bénéficiaires. Il pourra prodiguer aussi d’importants conseils vis-à-vis de nos salariés sur les aspects de santé au travail, savoir être, bien-être moral. Une vocation ? ■ Jean-Claude Charon pour contacter l’association et un jeune garçon vient vous demander en urgence un certificat pour une compétition qui a lieu l’après-midi. Le Docteur Emmanuel Roubertie (en haut) animateur de cette rubrique, a sollicité le Docteur René Jacob-Vestling, médecin du sport, (photo du bas) co-auteur de cet article. Présence à domicile 01 39 76 31 32 Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 8 Bases médico-légales : • Code de déontologie : Art. 28. « la délivrance d’un rapport tendancieux ou d’un certificat de complaisance est interdite ». • Décret du 11 octobre 1988 instituant l’obligation de faire certifier une inaptitude physique par un certificat médical précisant le caractère total ou partiel de cette inaptitude. • Arrêté du 13 septembre 1989 confirmant le décret et instituant, en cas d’inaptitude totale ou partielle, une surveillance particulière « par le médecin de santé scolaire en liaison avec le médecin traitant ». Commentaire : Le professeur d’éducation physique, en règle générale, fera confirmer la contre-indication par le médecin scolaire, qui est destinataire de votre certificat, s’il est établi pour une durée supérieure à trois mois. Le mieux est de vous poser d’abord la question de savoir si cette dispense de sport est justifiée. Après un examen soigneux : • Si la demande vous paraît fondée, le mieux, et le plus déontologique, est de faire une lettre à l’attention du médecin scolaire pour lui expliquer la situation. • Si la demande vous paraît injustifiée, vous pourrez discuter avec la jeune patiente pour tenter de mieux comprendre sa demande. • Si elle maintient malgré tout cette demande, vous pourrez là encore faire une lettre au médecin scolaire, lui expliquant les réticences de la patiente. Ce qu’il vous est conseillé d’éviter : • Faire un certificat sans examen du patient. • Contre-indiquer le sport à un enfant dont l’état ne le justifie pas. Les vraies contre-indications au sport sont bien rares. Essentiellement certaines cardiopathies. Citons encore l’asthme et l’épilepsie pour la plongée. Les troubles de la crase sanguine, le rein unique, l’œil unique pour les sports de contact, la myopie pour la boxe. Les affections ostéoarticulaires aiguës, les hépatites, le syndrome néphrotique…, constituent des contre-indications temporaires. Certaines contre-indications « réputées » ne sont en fait pas justifiées : la scoliose même évolutive (avant de nécessiter un traitement MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page9 r les plaintes de vos patients r le sport, une formalité pas si simple orthopédique, c’est-à-dire au dessous de 30° lombaire, et si elle est symptomatique), l’asthme (sauf pour la plongée), ne sont plus des contre-indications au sport bien compris, qui peut même avoir valeur thérapeutique. • Sous-estimer un blocage psychologique, pouvant dénoter un état anxieux, voire dépressif, pour lequel les avantages et inconvénients respectifs du sport devront être bien pesés. Le « sport sous contrainte » n’est certainement pas la meilleure réponse, et une incitation progressive est de loin préférable. qui présente une scoliose évolutive en cours de traitement, actuellement à 18° lombaire. Sa maman a entendu dire que le sport pouvait l’aggraver. J’ai tenté de la persuader que le sport n’était pas contre-indiqué, et lui conseille de réinterroger à ce sujet l’orthopédiste avec lequel nous avons organisé la surveillance. En fait, la réticence de l’enfant tient surtout au problème esthétique, et je vous laisse le soin d’en discuter avec la jeune patiente et ses parents, pour étudier avec eux la meilleure solution. Merci de votre compréhension, et bien cordialement ». Ce qu’il vous est conseillé de faire : Plutôt qu’un certificat, une lettre au médecin scolaire. Par exemple : « Cher Confrère, Virginie A. me demande une dispense de sport. Il s’agit d’une enfant Situation 2. Antoine P., 14 ans, vient vous demander de signer « rapidement entre deux consultations » sa licence de tennis, car il a une compétition cet aprèsmidi. Bases médico-légales : • Loi du 16 juillet 1984 : obligation du certificat pour toute compétition. • Loi du 1er juillet 1987 : confirmation de la précédente et de l’obligation d’un contrôle médical dans les établissements des premier et second degrés. • Loi du 27 mai 1990 concernant le dopage. • Code de la Sécurité sociale : Art. L.321-1 fixant la liste limitative des dépenses couvertes par l’assurance maladie. • Code civil. Art. 1382 et 1383 et Code Pénal art. 121-3 sur la responsabilité. Commentaire : Demande fréquente en début d’année, ce certificat préalable à la compétition n’est pas anodin. Il engage, comme tout certificat, votre responsabilité, que vous ne devez pas sous-estimer. Rares sont les accidents, mais ils existent et votre 9 responsabilité sera systématiquement recherchée. Ce qu’il vous est conseillé de faire : • Un examen complet s’impose, à la recherche notamment de troubles circulatoires, cardiaques (ECG obligatoire pour la compétition à partir de l’âge de 12 ans), articulaires (pieds, genoux), orthopédiques (rachis, axes des membres), visuels (notamment en cas de demande pour les sports de contact)… ou d’une mauvaise tolérance à l’effort. Hors compétition, le test de Martinet ou de RuffierDickson est une bonne approche, mais pas toujours suffisante, notamment chez un adulte de la cinquantaine, qui reprend le sport après une longue période d’arrêt. Chez ce dernier une épreuve d’effort sera plutôt conseillée. • Dans le doute, vous Quel que soit le sport, toutes les fédérations exigent un certificat pour la compétition. La loi du 16 juillet 1984 est explicite : « obligation du certificat pour toute compétition ». Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page10 ACTUALITÉ PRATIQUE devez adresser le patient à un confrère compétent en médecine du sport, ou spécialiste du problème spécifique (cardiologue, orthopédiste) • Profitez de l’examen pour quelques recommandations : entraînement progressif, alimentation, produits pharmaceutiques interdits (voire pour une information non liée au sport : MST, contraception, vaccinations …). • Pour l’adulte de la cinquantaine évoqué ci-dessus, il est hautement conseillé de l’informer du risque à vouloir reprendre à son niveau antérieur ou à vouloir reprendre avec des enfants (les siens par exemple) pouvant l’entraîner au delà de ses nouvelles limites. Ce qu’il vous est hautement recommandé d’éviter : • Faire un certificat sans examen, ou après un examen trop superficiel du patient. Votre responsabilité sera systématiquement recherchée en cas d’accident lié à un état préexistant non dépisté. • Un simple « coup de tampon » sur la licence a la même valeur médico-légale qu’un tel certificat et ne saurait vous exonérer de cette responsabilité, bien au contraire. Par ailleurs, vous ne devez pas permettre un remboursement lorsque le patient vient exclusivement pour son certificat. Cette délivrance est interdite dans l’esprit de l’Art. L.321-1 du Code de la Sécurité sociale. ■ Docteur Emmanuel Roubertie Docteur René Jacob-Vestling Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 HUMOUR HUMEURS MASSACRANTES Saine gestion et remise T Docteur Richard Hanlet rente ans qu'ils se battaient pour nous appauvrir, et cinq ans que Nicolas était obligé de se traîner dans des voitures françaises, mais ils ont enfin fini de nous casser les ...urnes ! Le peuple clairvoyant a décidé quel président nous ruinera en douze mois. Les gens pardonnent difficilement le bien qu'on leur fait. Les peuples encore plus. Rangé le déconomètre électoral, François II va pouvoir s'attaquer aux vrais problèmes de la France. Pas le chômage, le fiscalisme exubérant, le déluge de lois ou la bureaucratie foisonnante, mais bien le seul sujet que la médiaklature nous enjoint chroniquement de combattre : le racisme. On a tout essayé, me direz-vous : lois liberticides, C.V. anonyme, accès direct des « jeunes » à SciencePo', subventions à des milliers d'associations et même épuration des supporters du PSG, rien n'y a fait... Heureusement, une fois de plus, la médecine est là. Une étude de l'Université d'Oxford1 publiée dans Psychopharmacology, a montré que le propranolol ne bloque pas seulement les récepteurs alpha, mais aussi... les préjugés racistes ! (Enfin une molécule qui ne risque pas d'être déremboursée.) Par économie sans doute, l'étude n'a été effectuée que sur trente-six hommes blancs, tant il est réputé que les autres ethnies sont ontologiquement incapables de vilaines pensées. Commentaire d'un des auteurs : « Ce type de recherche soulève l'excitante (sic !) possibilité que nos attitudes 10 racistes inconscientes pourraient être modulées en utilisant des médicaments, une possibilité qui pose de nombreuses questions éthiques. » On ne lui fait pas dire, même si on pressent que pour un aussi noble but, les flics de la pensée ne se priveront pas de creuser la question. Et une des chercheuses a déjà bien flairé le filon : « Après ces premiers résultats sur le racisme, nous allons maintenant étudier les effets des émotions sur d’autres préjugés, sur l’appartenance religieuse ou sur l’homosexualité par exemple ». C'est clair, il y a du Nobel dans l'air ! A l’hôpital, comme en location de vacances, apportez vos draps ! En tout cas, si vous redoutez d'être hospitalisé d'office pour une cure d'Avlocardyl à l'APHP, n'oubliez pas d'emporter vos draps, car malgré le grouillement du personnel administratif, il paraît que la fourniture du linge y est devenue aléatoire. Ce qui n'empêche pas ces mêmes hôpitaux de prétendre gérer la médecine libérale. En effet dans la plateforme politique présentée en début d’année, la Fédération hospitalière de France (FHF) propose un encadrement strict des dépassements d’honoraires, l’interdiction des installations en secteur II dans les zones surmédicalisées, et la possibilité pour l’hôpital public de se substituer à la médecine libérale afin d’organiser les soins de proximité dans MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page11 ion et remise en bon ordre les déserts médicaux. Comme quoi on peut être incapables de compter les alèses, mais avoir des idées sur tout. Et s'il n'y avait que le linge... Le dernier rapport de la Cour des comptes révèle qu' « il carré, cela ferait déjà une ressource de vingt milliards d’euros. Ca en fait, des draps ! Bien sûr quelques privilégiés devraient coucher ailleurs. Car les magistrats de la rue Cambon dévoilent aussi qu'un tiers morale de la FHF puissent profiter de ces mètres carrés « sociaux »... La place me manque, mais dans le même ordre d'idée, allez voir sur internet l'ébouriffant projet « Hôtel-Dieu » concocté par la patronne de l'AP-HP Mireille Faugère (une ex de la SNCF, une référence !) Vous y verrez comment cette caste fait valser l'anse du panier à grands renforts de boîtes de com' pour créer un hôpital sans services hospitaliers, "lieu de partage entre soins, musée, touristes et étudiants" (sic). Vingt milliards d'excédents n’existe pas d’inventaire national du patrimoine immobilier des hôpitaux, affecté aux soins ou non »… A la louche, on estime ce parc à soixante millions de mètres carrés environ, dont vingt millions non-affectés aux soins. Si les hôpitaux se séparaient de ces derniers sur la base de mille euros le mètre des 11.428 logements de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris sont occupés par des personnes qui ne sont pas (ou plus) des agents des hôpitaux. Et quand ils le sont, ils ne relèvent pas, le plus souvent, d’un droit lié à une nécessité absolue de service. Bien sûr, on n'imagine pas un instant que des professeurs de 11 Une bonne nouvelle quand même : vingt milliards d'excédents dans les caisses de la sécurité sociale ce printemps ! C'est beau, non ? Mais c'est en Allemagne. C'est que les Teutons on le sait, n'ont pas cet esprit fin et délié qui nous fait défendre bec et ongle un système que le monde entier nous envie, mais que bizarrement personne ne copie. C'est peut-être pour ça que l'UNOCAM (les « complémentaires ») s'oppose au projet d'arrêté visant à rendre obligatoire la publication des frais de gestion et d'acquisition des complémentaires santé. Ils auraient quelque chose à cacher ? Cela rappelle le rapport sur le financement des syndicats récemment classé « secret défense »... ce beau monde-là se goinfre-t-il au point de craindre une transparence... qu'ils exigent de nos revenus ! Heureusement, François va sûrement mettre bon ordre à tout ça. ■ Docteur Richard Hanlet Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page12 COMPTES RENDUS Extraits de compte rendu du Conseil Contrats reçus Article L.4113-9 et suivants du C.S.P. et article 83 du CDM : 131 Etudes multicentriques : 18 EPU, FMC, Congrès : 111 Maîtres de stage Candidature des Docteurs Eraso-Geysels Anne-Marie Avakiantz Gérard Barbe Jean-Charles Benazeth Philippe Bernard Franz Cordonnier François Kirschleger Stéphane Lecler Lionel Le Quéré Jean-Marc Tandetnik Jean INSCRIPTIONS Séance du 8 février 2012 Docteurs Banu Bogdan ST REMY LES CHEVREUSE (Société CLINEA) Bellier-Caussin Nathalie LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Chaubo Catherine POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Cherni Nabil POISSY Ferrant-Otormin Nathalie HOUDAN (CMPP SESSAD « La Sauvegarde ») Hagmann-Couratier Evelyne Médecin non exerçant Masetti Vincent LE VESINET (Clinique Villa des Pages) DU CONSEIL Morcillo Jean-Louis Médecin retraité n’exerçant plus Nodarian Thomas LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Personnier Claire POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Pradeau Peggy BUC (Société GENERAL ELECTRIC) Riazul Isshaque MARLY LE ROI (SOS Médecins 78) Rochette de Lempdes Godelieve GUYANCOURT (Société BOUYGUES TELECOM INTERNATIONAL) Setra Fouad MEULAN (Centre Hospitalier Intercommunal) Victor-Guvenli Zeynep MAUREPAS Séance du 14 mars 2012 Docteurs Arrivet Françoise VERSAILLES (CPAM 78) Benhabib Nazim Médecin non exerçant Dimitriu Carla Médecin non exerçant Godet-Mardirossian Hélène CHAPET (Clinique de Bazincourt) Hallou Foudil PLAISIR (Centre Hospitalier Charcot) Hamcherif Kaddour LA VERRIERE (Institut Marcel Rivière) Le Magrex Jérôme VERSAILLES (Hôpital Privé de Versailles – Site de la Maye) Mandon Marielle VERSAILLES (Clinique Médicale de la Porte Verte) Morel Alain ANDRESY (Centre Thérapeutique Résidentiel Kairos) Nae Ioana LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Savulescu Gabriela-Antonia POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 Séance du 11 avril 2012 Docteurs Bennaceur Mohammed POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Boitel Jessie MANTES LA JOLIE (Hôpital F. Quesnay) Bouille Séverine Médecin non exerçant Brouzes Serge RAMBOUILLET (Centre Hospitalier) Canonico Giuseppe POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Castel Christine POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Fergani-Donneau Khedidja LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Fontaine Emilie Médecin non installée Goyard Jean MEULAN (Centre Hospitalier Intercommunal) Jacques Colette MANTES LA VILLE (Yvelines Santé Travail) Jitaru Graziella-Laurette MANTES LA JOLIE (Hôpital F. Quesnay) Lienhart Hubert Médecin retraité n’exerçant plus Mansat Alina-Nicoleta LE CHESNAY (Etablissement Français du Sang) Rachez Audrey Médecin non installée Sadki Moulay MAUREPAS ____________________ INSCRIPTIONS ET MODIFICATIONS DE SELARL ____________________ Séance du 8 février 2012 SELARL «Centre de Radiologie et d’Echographie de Conflans» Inscrite sous le N° 0025 Transfert du siège social : 1 rue Charles Bourseul – 78700 CONFLANS STE HONORINE 12 Séance du 14 mars 2012 SEL « Dr C. BARBILLON» Inscrite sous le N° 0112 Transfert du siège social : 1 rue Charles Bourseul – 78700 CONFLANS STE HONORINE SELARL de Biologie Médicale « DPM DIAGNOSTICS » Siège social : Centre Commercial de la Petite Mauldre – 78650 BEYNES Inscrite sous le N° 1017 SEL « Cabinet du Dr DHIB » Siège social : Centre d’Hémodialyse – 2 rue Duguay Trouin – 78200 MANTES LA JOLIE Inscrite sous le N° 0125 SEL « Cabinet du Dr Fabien TOURY » Siège social : 5 rue d’Alsace – 78800 HOUILLES Inscrite sous le N° 0126 Séance du 11 avril 2012 SEL de Biologie Médicale « LAB 78 » Siège social : 18 rue JeanClaude Mary – 78300 POISSY Inscrite sous le N° 1019 SELAS de Biologie Médicale « BOUCLE DE SEINE » Inscrite sous le N° 1018 Radiation suite à son absorption par la SELAS « LAB 78 » SEL « Dr Moulay SADKI» Siège social : 5 allée du Bois de Nogent – 78310 MAUREPAS Inscrite sous le N° 0127 QUALIFICATIONS ____________________ PEDIATRIE ____________________ Docteur Bellier-Caussin Nathalie LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) ------------------------------------CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET TRAUMATOLOGIE ____________________ Docteur Amzallag Julien LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) ____________________ CHIRURGIE VISCERALE ET DIGESTIVE ____________________ Docteur Benhabib Nazim Médecin non exerçant ____________________ CHIRURGIE GENERALE ____________________ Docteur Canonico Giuseppe POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) ____________________ CHIRURGIE INFANTILE ____________________ Docteur Dimitriu Carla Médecin non exerçant ____________________ GERIATRIE ____________________ Docteur Setra Fouad MEULAN (Centre Hospitalier Intercommunal) Docteur Richard-Travers Catherine RAMBOUILLET (Centre Hospitalier) Docteur Gomez-Enjolras Maria-Dolores LA VERRIERE (Institut National Marcel Rivière) ____________________ BIOLOGIE MEDICALE ____________________ Docteur Mansat AlinaNicoleta LE CHESNAY (Etablissement Français du Sang) ____________________ PSYCHIATRIE ____________________ Docteur Hallou Foudil PLAISIR (Centre Hospitalier Charcot) MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page13 Docteur Hamcherif Kaddour LA VERRIERE (Institut National Marcel Rivière) ____________________ RADIODIAGNOSTIC ET IMAGERIE MEDICALE ____________________ Docteur FerganiDonneau Khedidja LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) ____________________ MEDECINE GENERALE (spécialité) ____________________ Docteur Bennaceur Mohammed POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Docteur Fontaine Emilie Médecin non installée Docteur Rachez Audrey Médecin non installée DEPARTS - RADIATIONS Docteurs Alberti Paul Médecin retraité n’exerçant pas Alsaid Farid GARGENVILLE Auphan Marie-Madeleine Médecin retraitée n’exerçant pas Benyahia Mohammed El Hadi HOUDAN Birolini Bérangère MARLYL E ROI (SOS Médecins 78) Bouvet Jocelyne Médecin retraitée n’exerçant plus Cailho Anne LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Chevalier Marie-Pierre GUYANCOURT (laboratoire PHARMACIA UPJOHN) De Santi Bettina Médecin non installé Desfosses Christophe VERSAILLES (Clinique Médicale de la Porte Verte) Dubois Etienne ST GERMAIN EN LAYE (Centre Hospitalier Intercommunal) Farah Arnaud Médecin retraité ayant conservé une activité médicale Guignard Eric MONTIGNY LE BRE- TONNEUX (laboratoire LEO PHARMA FRANCE) Kermarec Jean Médecin retraité n’exerçant pas Kutek-Brissault Agathe LA VERRIERE (Institut Marcel Rivière) Ledoux Michel Médecin retraité n’exerçant plus Luigi François Médecin retraité n’exerçant plus Normand-Helouis Sophie MEULAN (Centre Hospitalier Intercommunal) Nguyen Quang Anna MAGNY LES HAMEAUX (laboratoire NEGMA) Nguyen Tien Thang Médecin de l’industrie pharmaceutique Pellerin-Chedeville Christine LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Rabahallah Zohra LA VERRIERE (Institut Marcel Rivière) Saberianfar Ahmad-Reza MEULAN (Centre Hospitalier Intercommunal) Trung Tan Trung Thomas LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Achour Slim POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Ascente Camelia-Nicoleta LE CHESNAY (Hôpital A. Mignot) Bardaune Ilinca Médecin retraité n’exerçant plus Benkaci Yacine VERSAILLES (Clinique des Franciscaines) Blum Nicole Médecin retraité n’exerçant pas Coggia Caroline PLAISIR (Centre Hospitalier Charcot) Gmati Nicolas-Faouzi LE CHESNAY (Service Santé Police Nationale) Koechlin Edmée Médecin retraité n’exerçant pas Lamezec Liliane GUYANCOURT (laboratoire PHARMACIA) Ledée Nathalie POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Mougnaud Jean-Claude Médecin retraité n’exerçant pas Rebois Arnaud Médecin non installé Simian Philippe Médecin n’exerçant pas Cadroy Yves Médecin de l’industrie pharmaceutique Chaouchi Karim MANTES LA JOLIE (Hôpital F. Quesnay) Chaubo Catherine POISSY (Centre Hospitalier Intercommunal) Grillo Abadie Annie Médecin retraitée n’exerçant pas Robin Eric Médecin non installé Rochefer Daniel Médecin non installé MEDECINS DECEDES Docteurs Girard Victor Médecin retraité n’exerçant pas Giraudeau Marcel MAUREPAS Griset Jeanne Médecin retraitée n’exerçant pas Mazet Catherine SARTROUVILLE (Centre de Santé Yves Culot) Nicollet Jean Médecin retraité n’exerçant pas PETITES ANNONCES OFFRES Cessions - Associations – Collaborations en médecine générale en Région Parisienne 78 – VELIZY M.G. recherche successeur pour 2012/2013 - Tél. : 06 30 91 90 01 78 – MAISONS LAFFITTE M.G. envisageant de cesser son activité en mars 2014, cherche successeur ; travail en cabinet de groupe constitué de 4 M.G. ; en S.C.M. ; succession précédée de remplacements réguliers Tél. : 01 39 12 06 98 78 - MONTESSON M.G.femme, installée depuis 1991 en secteur 1, cherche successeur pour reprendre patientèle dans une SCM pluridisciplinaire médicale et paramédicale - départ programmé d’ici 10 à 16 mois pour des raisons de mutation professionnelle familiale - Contact possible au 06 13 79 13 80 78 – MANTES LA JOLIE Cause changement d’orientation, M.G. cède, au 1er.8.2012, patientèle très agréable tenue plus de 30 ans dans Maison Médicale avec 8 professionnels ; emplacement idéal ; excellent potentiel Tél. : 01 34 77 46 46 – 06 60 68 56 14 – Fax. : 01 30 98 48 82 78 – PLAISIR Cause départ à la retraite, M.G. exerçant dans un cabinet de 4 M.G. cherche successeur - Tél. : 01 30 55 36 40 Cessions - Associations – Collaborations en médecine générale en province 09 – SAVERDUN Groupe médical de 3 M.G. recherche un collaborateur libéral à partir de fin octobre/début novembre 2012 dans l’objectif d’une association effective au 1er trimestre 2013 Tél. : 05 61 60 32 10 33 – GRADIGNAN M.G. exerçant dans un cabinet de groupe de 3 M.G. recherche associé(e) à temps partiel (2 à 2,5 jours/semaine) avec possibilité d’augmenter le temps de travail en vue d’une succession ; remplacements préalables possibles pour 2 à 3,5 jours/semaine - Tél. Dr Albert Roche : 05 56 89 15 96 13 33 – LE BOUSCAT M.G. exerçant seul recherche successeur à partir du 1er juillet 2012 ; cabinet en location non informatisé ; clientèle tenue 35 ans Tél. Dr Bernard Baggio : 05 56 08 84 78 33 – PESSAC M.G. en SCM de 4 M.G. recherche successeur ; clientèle tenue 30 ans : rachat de parts de SCI souhaité ; possibilité de remplacements au préalable - Tél. : 06 07 29 38 66 08 – TOURNES Cause retraite, M.G. recherche successeur à partir de janvier 2013 ; exercice en milieu rural au sein d’une maison médicale pluridisciplinaire ; secrétariat ; une à trois visites à domicile/jour ; Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page14 PETITES ANNONCES repos hebdomadaire le jeudi ; clientèle créée en 1976 ; bon chiffre d’affaire ; aide à l’installation et au maintien de 10 000 euros/an - Tél. Dr Michel Bonfils : 03 24 52 64 86 – [email protected] 30 – GARD M.G. cède patientèle ; cabinet de 155 m2 ; médecine en zone rurale ; bon C.A. ; loyer très peu élevé ; pas de charge ; conditions très intéressantes : conviendrait à un couple - Tél. : 04 66 85 31 70 30 – GARD M.G. souhaitant prendre sa retraite cherche successeur ; cabinet de 4 M.G. au sein d’un centre médical ; patientèle importante Tél. Dr Christian Saladin : 04 66 89 53 06 – 06 72 42 16 88 – [email protected] 47 – TONNEINS M.G. cède cabinet ; patientèle fidélisée 31 ans ; cabinet informatisé ; possibilité d’association Tél. Dr Jacques Mejean : 05 53 84 47 00 – [email protected] 11 – AUDE Cabinet de 2 M.G. recherche un médecin pour association ou collaboration 2 à 3 jours/semaine Tél. : 04 68 78 16 81 66 – PYRENEES ORIENTALES M.G. installée depuis 15 ans recherche, en vue d’association, un collaborateur ou une collaboratrice ; cabinet situé dans un centre médical Tél. : 06 13 23 59 31 84 – VAUCLUSE Cause départ envisagé fin 2012, M.G. recherche un successeur ; cabinet de groupe ; milieu semirural ; très forte activité médicale très bon chiffre d’affaires : 250 KE - Tél. Dr Patrice Cordoliani : 06 16 22 54 93 – [email protected] 20 – BASTIA M.G. cesse activité pour raisons de santé - Tél. Pharmacie Maroselli : 04 95 31 45 51 Cessions - Associations – Collaborations en médecine générale dans les Doms Toms NOUVELLE CALEDONIE M .G. recherche un remplaçant, voire un associé à mi temps ; cabinet médical neuf ; environ 10 patients/jour ; logement personnel - C.A. mensuel : 8 500 euros Contact : [email protected] Cessions - Associations – Collaborations en spécialité en Région Parisienne 78 – TRAPPES La S.C.M. (2 pédiatres, 2 ophtalmos, 1 M.G., un gastro, un orthophoniste) recherche un praticien pour remplacer son 8ème associé partant à la retraite ; beau local près de la gare et de la mairie ; accueil ; secrétariat ; pas d’apport financier ; charges progressives - Tél. 06 11 75 70 42 Cessions - Associations – Collaborations en spécialité en province 43 – LE PUY EN VELAY Cause retraite 2013, pédiatre recherche un associé ; cabinet de 105 m2 ; activité importante - Tél. Dr Michel Bach : 04 71 09 58 76 25 – BESANCON Gastro entérologue, avec option préférentielle colo-proctologie médico chirurgicale, cherche suc- cesseur ; départ prévu le 30 juin 2014 - Tél. Dr Siméon Mistilopoulos : 03 81 80 03 78 ou 06 06 58 10 75 – mistilopoulos.simeon @wanadoo.fr Postes 78 – TRAPPES Le centre de santé municipal recrute un M.G. salarié 20 h/semaine ; consultations sur rendez-vous ; équipe pluridisciplinaire Adresser candidature et C.V. à [email protected] 78 - LOUVECIENNES La clinique du Val de Seine recherche un M.G./gériatre ; poste en CDI à 35 h/semaine ; Médecin thésé avec D.U. ou capacité en gériatrie Envoyer C.V. et lettre de motivation sur le site internet : www.medica-france.fr ou à Clinique du Val de Seine – 1 Chemin du cœur volant – 78430 Louveciennes 78 – YVELINES La Maison Bleue recherche des médecins pour des crèches situées à Chatou et Freneuse ; expérience professionnelle souhaitée - Envoyer candidatures à La Maison Bleue – Service des opérations – 31 rue d’Aguesseau 92100 Boulogne 95 – ARGENTEUIL L’Ecole intégrée Danielle Casanova recherche des médecins ; C.D.I. ; profil recherché : O.R.L. phoniatre ou M.G. souhaitant se former à l’audiophonologie ; poste à temps plein ou temps partiel - Envoyer C.V. et lettre de motivation à Edith Heveline, directrice, EIDC – 22 rue de Picardie – 95100 Argenteuil – Tél. : 01 39 98 42 60 – casanova.argen [email protected] L’Association Valentin Haüy Aveugles et malvoyants dans les Yvelines Il existe une Association au service des aveugles et malvoyants dans les Yvelines. Vous pouvez éventuellement en communiquer les coordonnées à vos patients qui recherchent écoute, conseils et informations. Il sʼagit de L’Association Valentin Haüy 6 Bis rue Edouard Lefèbvre - 78000 VERSAILLES Tél. : 01 39 50 75 20 [email protected] www.avh.asso.fr/comites Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 14 ILE DE FRANCE Cause départ à la retraite, établissement recherche un chirurgien gynécologueobstétricien ; pas d’apport ni de rachat de clientèle ; plateau technique complet ; aide à l’installation Envoyer C.V. à [email protected] – Site internet : www.kaduce.fr 85 – CHALLANS Le Centre hospitalier « LoireVendée-Océan » et les hôpitaux du Nord-Ouest Vendée recrutent des M.G. temps plein ou temps partiel pour les sites de Machecoul (44) – Noirmoutier, St Gilles Croix de Vie (85) ; expérience ou capacité de gériatrie souhaitée - Contacter Pierre Vollot, directeur – 02 51 49 50 02 - [email protected] 09 – SAINT JEAN DE VERGES Le Centre hospitalier du Val d’Ariège recherche un médecin à temps partiel pour l’unité d’hospitalisation à domicile ; il faut être Docteur en Médecine inscrit à l’Ordre ; une expérience en soins palliatifs ou en gériatrie est souhaitée - Renseignements auprès du Dr Pons : 05 61 03 27 10 – [email protected] Candidature à envoyer à M. le directeur du CH du Val d’Ariège – BP 90064 – 09017 Foix – Tél. : 05 61 03 30 50 – [email protected] 09 – FOIX La Maison des Personnes en Situation de Handicap recherche un médecin pour un mi-temps ; salaire mensuel équivalent à un temps plein s’élève à 3 300 euros auxquels s’ajoute une indemnité pour même quotité de travail de 443 euros- Tél. : 05 61 02 18 14 – poste 0320 09 – BALLESTAT La Résidence « Le Sapin d’Or », EHPAD, recherche un médecin coordonnateur, DU ou capacité en gériatrie requis ; il faut avoir un savoir-faire en animation de réunions, une bonne capacité à rendre compte (oral et écrit) Tél. : 05 61 01 66 01 – Fax : 05 61 01 23 27 16 – CONFOLENS Le Centre hospitalier recherche un M.G. ; temps plein MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page15 Adresser candidature et C.V. à Mme Sabrina Delmas – service des ressources humaines – BP 83 – 16500 Confolens – Tél. : 05 45 84 40 06 – [email protected] 35 – REDON Le Centre hospitalier recherche un médecin polyvalent Soins de suite et de Rééducation ; connaissances en gériatrie (capacité) et DU de soins palliatifs ; poste dédié à la gestion de 14 lits polyvalents - Contacter Mme MarieAnne Delrieu : marie-anne.delrieu @ch-redon.fr – Tél. : 02 99 71 71 52 49 – POUANCE Le Centre hospitalier Tierry de Langeraye recherche un médecin coordonnateur à 50 % ; possibilité de logement Contacter ou envoyer candidature à M. Pascal Benard, directeur des ressources humaines et des affaires médicales – Centre Hospitalier Tierry de Langeraye – Boulevard de la Prévalaye – 49420 Pouance – Tél. (Mme Emeline Peigne) : 02 41 94 87 13 – [email protected] 24 – PERIGUEUX Le Conseil Général de la Dordogne recrute un médecin de PMI en territoire sur le Secteur de Hautefort en Dordogne, un médecin de PMI, Directeur adjoint du Pôle PMI (action de santé) à Périgueux et un directeur technique CAMPS Envoyer les candidatures avec C.V. et photo à Monsieur le Président du Consei Général – Hôtel du département – Direction des ressources humaines – 2 rue Paul-Louis Courier – 24019 Périgueux Cédex – Tél. : 05 53 02 59 20 ou 05 53 02 59 13 (Mmes Pichardie et Garcia) – [email protected] – [email protected] MAYOTTE Le Centre hospitalier recherche 2 médecins polyvalents à orientation oncologie et cardiovasculaire ; prise en charge du billet d’avion + indemnité de changement de résidence + mise à disposition d’un logement et d’une voiture dans les 2 premiers mois Tél. Dr Juliette Woessner : 06 39 66 03 10 – [email protected] Dr Pascal Meliani : [email protected] Locaux 47 – DAMAZAN Cause décès céde cabinet médical dans bastide ; maison d’habitation ; locaux professionnels et matériel Tél. : 07 78 81 16 09 95 – ARGENTEUIL Près de la gare local 113 m2 ; possibilité parking ; loyer mensuel : 1 930 euros ; reprise de bail : 30 000 euros Tél. M. Lopez : 06 07 74 19 37 04 – DIGNE LES BAINS Pour la création d’un centre médical, propriétaire met à disposition immeuble plein sud entièrement rénové avec ascenseur, parking ; 3 niveaux divisibles à la demande ; possibilité de logements- Tél. : 06 20 87 02 88 – [email protected] décembre 2012 (mardi, jeudi, samedi matin une semaine sur deux + quelques semaines à temps plein en août et novembre) ; possibilité de gardes au cabinet ; opportunité de prolonger les remplacements au sein de ce cabinet de 2 médecins en 2013 (jours à définir) ; patientèle agréable, cabinet informatisé, secrétariat - Conditions : 70 % et 100 % en garde - Tél. : 06 13 51 03 98 [email protected] DEMANDES 20 – BASTIA Suite à l’arrêt d’activité du M.G. cherche à louer local à un ou deux M.G. ; type F3 en rez-dechaussée Tél. : 06 18 18 80 54 78 - BAILLY A louer local de 11 m² avec salle d'attente commune à généraliste et ostéopathe ; Conviendrait pour sage femme, diététicienne ou profession paramédicale Tel : 06 60 62 61 80 [email protected] Remplacements 78 – MORAINVILLIERS Cause congé de maternité, M.G. propose remplacement d’août à 78 – HOUILLES M.G. cherche association, idéalement précédée d’une période de remplacements, ou une collaboration libérale ; disponible à partir de septembre 2012 ; recherche cabinet au maximum 10 km de Houilles - Tél. Melle Emine Dzemaili– 06 24 38 45 66 – [email protected] 69 – VILLEURBANNE Cardiologue libérale recherche reprise patientèle, association ou activité de consultation cardiologique dans un centre de santé de la région parisienne Tél. Dr Christine Goldman : 06 08 80 03 84 –[email protected] Abonnez-vous au Médecin des Yvelines Bulletin d’abonnement année 2012-2013 Je soussigné Docteur ............................................. souhaite m’abonner à la revue : «Le Médecin des Yvelines» pour 4 numéros par an Bulletin d’inscription à retourner à : Conseil de l’Ordre des Médecins des Yvelines Nom : ....................................... Prénom : ............................................ Adresse N° :........ Rue : ....................................................................................... Code postal : .......................... Ville : .................................................. «Le Médecin des Yvelines» 1, rue de Verdun 78590 Noisy le Roi Adresse e.mail : .............................................................. Ì Pour tout renseignement s’adresser à Abonnement : 20 euros Date et Signature : joindre un chèque à l’ordre de «Le Médecin des Yvelines» Madame Sylvie Couturier Tél. : 01 30 80 82 87 15 Le Médecin des Yvelines N° 65 - Juin 2012 MED-65-Lima.qxd:MED39f 04/06/12 14:26 Page16 PETITES ANNONCES Conseil de l’Ordre des médecins des Yvelines Cotisations : courrier non distribué A la suite du rappel de cotisations, il est apparu qu’un certain nombre de chèques qui nous ont été adressés courant janvier 2012 ne nous sont jamais parvenus en raison de dysfonctionnements dans la distribution du courrier. Une enquête est d’ailleurs en cours auprès de la Poste. Nous sommes désolés des démarches supplémentaires (lettre de désistement et renvoi de chèque) qui en résultent pour tous ceux dont le chèque daté du mois de janvier n’a pas été encaissé et qui, de ce fait, n’ont pas reçu leur timbre pour l’année 2012. La Douleur et le Patient Douloureux, «Mieux comprendre pour mieux soulager» Réunion de lʼOuest Parisien - MARDI 16 OCTOBRE 2012 - Palais des Congrès de Versailles ompte tenu des progrès constants dans la prise en charge de la douleur et des patients douloureux la 5ème Journée se fera sur les mêmes principes multithématiques afin dʼapporter aux professionnels de santé les dernières actualités adaptées à leur pratique quotidienne. La prise en charge du patient douloureux fait appel à plusieurs acteurs de santé, justifiant une C formation continue pour la mise à jour des connaissances, seul gage dʼune amélioration de la qualité de nos soins. Pour cela les « structures douleurs » de notre région se sont à nouveau associées pour proposer un programme qui sʼinscrit dans lʼesprit de concertation et de dialogue autour du symptôme subjectif et abstrait : La Douleur de lʼAutre. Principes actuels de l’évaluation de la douleur chez la personne âgée. Patrice RAT - Gériatrie. CHU Marseille Douleurs neuropathiques, exemple de la personne âgée. Haiel ALCHAAR – CETD*, Neurologie Nice Céphalée et migraine de l’enfant. Comment éviter les pièges. Luigi TITOMANLIO – Neurologie pédiatrique. Hôpital R. Debré - Paris Douleurs en contexte psychiatrique, c'est démentiel ! Djea SARAVANE – Psychiatrie, Ville Evrard - Neuilly Sur Marne Place de l’éducation thérapeutique dans la prise en charge de la douleur. Françoise LAROCHE – Rhumatologie CETD*. Hôpital St Antoine - Paris La fibromyalgie en 2012 comprendre et agir autrement. Etienne MASQUELIER - Médecine Physique ; Helyette WARDAVOIR – MKT CHU Bruxelles (Belgique) Les morphiniques dans les douleurs non liées au cancer. La rigueur s’impose. Richard TREVES – Rhumatologie et douleur. CHU Limoges Les blocs nerveux à domicile : une évolution technique, une révolution culturelle. Eric BURES – Anesthésie ; Florence DELAVAUD – Cadre IDE SOS Douleur Domicile – Angoulême Prévention des douleurs séquellaires iatrogènes post-interventionnelles. Eric VIEL – Anesthésie - CETD*. CHU Nîmes La douleur en imagerie cérébrale, fiction ou réalité ? Rolland PEYRON – Neurologie - CETD*, INSERM. CHU St Etienne Conférence « Douleur et Culture » A déterminer Centre d’évaluation et traitement de la douleur Douleurs rebelles en cancérologie : stratégie consensuelle en Ile de France Sylvie ROSTAING – CETD* UMSP. Hôpital St Antoine - Paris Inscription Pour vous inscrire à la 5ème Journée Douleur du Mardi 16 Octobre 2012, prière de renvoyer ce coupon à : Jocelyne HERRUEL - Hôpital A. MIGNOT - 78157 Le Chesnay Cedex Fax : 01 39 63 87 38 – e-mail : [email protected] Tél. : 01 39 63 97 80 M. K Mme K Médecin K Mlle K Pharmacien K Nom ............................................ Dentiste K Infirmière K Prénom ................................................................... Psychologue K MKT K Autre : K Adresse Rue………………………………………………………………………………………………………………………… Code postal……………………….. Ville……………………………………………………………………………….. Téléphone……………………………………. E-mail (lisible SVP) ……………………………………………………………………………………………………. Participera à la Journée du Mardi 16/10/2012 : OUI K NON K