YACOBSON BALLET DE SAINT PETERSBOURG
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YACOBSON BALLET DE SAINT PETERSBOURG
YACOBSON BALLET DE SAINT PETERSBOURG Samedi 31 décembre 2016 – 20h30 Dimanche 1er janvier 2017 – 16h00 Grand Auditorium – Palais des Festivals et des Congrès RENSEIGNEMENTS ET ORGANISATION Palais des Festivals et des Congrès - Direction de l’Evénementiel La Croisette CS 30051 - 06414 CANNES Cedex - Tél. : 04 92 99 33 83 Durée 2h40 (avec entracte) Tarifs Carré d’Or : 55€ 1re série orchestre et 1er balcon : Plein : 44€ Tarif Réduit/Groupe 41 € Abonné : 38 € -26 ans : 38€ / -10 ans : 10 € 2e série balcon : Plein : 34 € Tarif Réduit/Groupe : 31 € Abonné : 28 € -26 ans : 28€ / -10 ans : 10 € Points de vente BILLETTERIE Palais des Festivals : Sur place : Esplanade G.Pompidou – Accès par l’Office de Tourisme de Cannes Par téléphone : avec transmission carte bancaire +33 (0)4 92 98 62 77 Par mail : [email protected] Du lundi au samedi de 10h à 18h et 1 heure avant chaque représentation sur le lieu du spectacle. Par internet : www.palaisdesfestivals.com Autres points de vente : réseaux FNAC, Ticketmaster, Digitick, Cultura, Carrefour, Auchan, E.Leclerc, Géant Casino, Intermarché, Coral Parking Forfait parking du Palais des Festivals : 6€ pour7 heures En vente avant chaque représentation à la Billetterie du Palais des Festivals sur présentation de votre ticket spectacle. Suivez-nous sur les réseaux sociaux Cannes is yours Palais des Festivals Contact Presse Elisabeth Lara [email protected] Blandine Dugenetay [email protected] Tél : 04.92.99.84.46 Tél : 04.92.99.84.45 Cannes is yours Distribution Chorégraphie Jean-Guillaume Bart d’après Marius Petipa Musique Piotr Ilitch Tchaïkovski Livret de Ivan Vsevolojski, Marius Petipa d’après le conte de Charles Perrault Décors et costumes Vyacheslav Okunev Durée acte I : 68 min / entracte / acte II : 32 min / entracte / acte III : 40 min Directeur Artistique : Andrian Fadeev, Artiste émérite de la Fédération de Russie Directrice adjointe : Lidia Zernova Maîtres de Ballet : Veronika Ivanova, Darya Pavlova, Tatyana Kvasova, Yuliya Kasenkova, Ekaterina Mikhailovtseva, Sergey Vikharev, Nikita Shcheglov, Igor Nikitin, Alexey Shanin, Nikolay Semenov Responsable du ballet : Yanina Kuznetsova Régisseur Yegor Ivanov Directeur technique Evgeny Nikiforov Techniciens Viktor Matveev, Alexey Nazarov Lumière Maxim Greller Son Sergey Petrov Costumes Nina Gurova et Madina Bogdanova Maquillage Alexandra Gauer et Olga Chudakova Premiers solistes Alla Bocharova, Elena Chernova, Darya Elmakova, Svetlana Svinko, Andrey Sorokin, Stepan Demin, Artem Pykhachov Solistes Anna Ignatyeva, Sofia Matyushenskaya, Olga Mikhailova, Anna Sergeeva, Sergey Davydov, Andrey Gudyma, Igor Iachmenev, Sergei Krylov Corps de ballet Natalya Astashina, Darya Belova, Nathalie Valev de Bares, Luisa Garieva, Svetlana Golovkina, Angelina Grigoryeva, Natalya Inyushkina, Yuliya Kabatova, Inga Karpova, Nuria Kartamysova, Maria Kastorina, Santa Kachanova, Alexandra Kozhevnikova, Valentina Kozintseva, Nana Kurauchi, Ksenia Ring, Anna Semakina, Anna Skvortcova, Roxelana Shmakova,Darya Tokareva, Yana Chernoritskaya, Ekaterina Yalynskaya, Galina Yanovskaya, Hasan Allahverdiyev, Roman Andriyenko, Evgeny Vladykin, Kirill Vychuzhanin, Tasman Davids, Marseille Kazykhanov, Lambert Lawrence James, Nikita Smolkin, Vadim Smorodin, Yaroslav Timofeev, Leonid Hrapunski, Rail Kunafin, Konstantin Shukov Management de tournée : Le Trait d’Union Propos artistique La Belle au bois dormant est la première collaboration entre le Leonid Yacobson Theatre et le chorégraphe français Jean-Guillaume Bart. Lors de sa venue à Saint-Pétersbourg, c’est ce conte de Perrault qu’il choisit de mettre en scène. Un ballet qu’il connait bien pour avoir obtenu le titre honorifique de Danseur Étoile suite à son interprétation du Prince Désiré sur la scène de l’Opéra de Paris. La première de La Belle au bois dormant a eu lieu en 1890 à Saint-Pétersbourg. Cependant, le ballet initial a connu des changements drastiques au fil du temps, notamment au niveau des attentes du public, des techniques du ballet et de la forme physique des danseurs. La pièce présentée ce soir a pour but de faire revivre la production spectaculaire du passé, d’une manière qui parlerait au public moderne. Jean-Guillaume Bart a souhaité éviter de transformer le ballet en une forme d’art synthétique, et de ne pas le résumer qu’à une prouesse technique, de telle sorte que la danse ne soit pas excessivement acrobatique. Le chorégraphe considère la danse de ballet comme de la narration par le langage du corps. Pour lui, la combinaison entre la chorégraphie classique et la musique a ses propres capacités dynamiques, expressives, et narratives. La fée Carabosse, est ici un rôle dansé et non mimer tel qu’il l’était dans la production de 1890. De plus, ce ballet se part d’un préprologue qui apporte un éclairage sur l’origine de la haine de Carabosse. Livret Prologue Dans le château royal, chacun s’affaire aux préparatifs de la grande fête organisée à l’occasion du baptême de la princesse Aurore. Les bonnes sorcières, dirigées par la Fée Lilas, offrent tour à tour leurs merveilleux présents. Soudain, le tonnerre gronde. Alors qu’elle n’est pas invitée, la méchante Fée Carabosse entre en furie. Longtemps auparavant, le jeune et vigoureux roi Florestan a banni la sorcière. Offensée, cette fête est pour elle l’occasion de se venger. Carabosse a également préparé un « cadeau » pour Aurore : à son seizième anniversaire, Aurore se piquera le doigt et mourra ! La fée Lilas, qui n’avait pas encore offert de don, ne peut qu’alléger la terrible sentence. Aurore ne mourra pas ; elle s’endormira profondément et seulement l’amour d’un beau prince pourra rompre le charme. Pris de désespoir, le Roi interdit désormais à ses sujets d’utiliser des objets pointus. Il espère ainsi sauver sa fille de la malédiction. Acte I 16 ans après. C’est de nouveau un jour de fête au Château. On célèbre l’anniversaire d’Aurore. Quatre princes sont venus en ce jour pour demander sa main. L’assemblée profite joyeusement des plaisirs de la réception. Soudain, une vieille femme vêtue de noir s’avance vers Aurore. Elle tend un fuseau à la jeune fille. Le roi se rue vers la princesse, mais il est trop tard… Le doigt d’Aurore a été piqué et celle-ci tombe sur le sol, inconsciente. La fée Lilas apaise le roi et la reine, en leur assurant que leur fille n’est pas morte, et qu’elle est simplement plongée dans un sommeil profond. Elle respecte sa promesse : Aurore et la cour dormiront pendant cent ans jusqu’à l’arrivée du prince qui réveillera la princesse. Acte II. 100 ans se sont écoulés. Dans une forêt aux couleurs automnales, le Prince Désiré chasse entouré de la cour. Il s’écarte du groupe, par ennui des mondanités. Resté seul, le jeune homme entend une merveilleuse mélodie. Soudain, la Fée des Lilas apparaît devant lui. Elle raconte au prince l’histoire de la belle Aurore, en lui montrant son image entourée de fabuleuses Néréides. Desiré tombe amoureux de la princesse. Il supplie la fée de l’aider à retrouver la belle endormie. Après un long voyage, ils arrivent à la porte du château. La Fée Lilas fait ouvrir les grilles et Desiré se précipite dans la chambre d’Aurore. Frappé par la beauté de la princesse, dans un élan de sentiment, il l’embrasse. Le mauvais sort n’est plus. Aurore, sa mère, son père, et de nombreux courtisans se réveillent. L’amour véritable a triomphé de la fée Carabosse. Elle quitte le château. Desiré demande la main d’Aurore. Les heureux parents bénissent les jeunes gens. Acte III. La scène s’ouvre sur le mariage de Désiré et Aurore. Beaucoup d’amis de différents contes de fées sont invités à la fête. Ici et là, on peut voir le chat botté, le petit chaperon rouge, l’oiseau bleu, la princesse Florine, Cendrillon et bien d’autres. Le cortège de fées se joint aux réjouissances. Elles sont venues féliciter le jeune couple. Tous désirent leur bonheur et la prospérité du royaume. La Compagnie Le Yacobson Ballet est un collectif créatif unique combinant le classique et l’actuel, sévérité et expression, caractère et nouveauté. Créée en 1969 par le chorégraphe majeur du XXe siècle Leonid Yacobson, la compagnie devient rapidement un événement clé dans l’histoire de la culture du ballet russe. Conçue comme la première compagnie de ballet détachée d’un opéra, la troupe ne tarde pas à recevoir le titre de « Compagnie miniature », conformément à la forme de ballet développée par son créateur. Cette formation permet un large champ d’expérimentation et la recherche de nouvelles formes chorégraphiques. De cette manière, les séries de miniatures dédiées aux sculptures d’Auguste Rodin sur la musique de Debussy deviennent très vite la marque de fabrique du chorégraphe et de sa compagnie. Durant ses sept ans à la direction artistique, Leonid Yacobson a créé des ballets tels que Shurale, Spartacus, The Bedbug et The Land of Miracles. De célèbres danseurs ont travaillés avec lui, Natalia Makarova, Alla Osipenko, Maya Plisetskaya and Mikhail Barishnikov. De plus, sous l’influence de ce brillant chorégraphe improvisateur, la compagnie a développé toutes les formes et tous les moyens d’expression nécessaires à la création d’une excellente école de ballet. En 1976, après le décès de Leonid Yacobson, son ami et danseur favori, Askold Makarov, est nommé à la direction du théâtre. Sous sa direction, plus de vingt chorégraphes russes et étrangers sont venus travailler avec la compagnie : Georgy Aleksidze, Leonid Lebedev, Ditmar Zeiffert, Ann Hutchinson… Ces années de travail avec différentes techniques et méthodes, toujours basées sur les fondements du ballet classique, ont permis à la compagnie d’être connue internationalement. Aujourd’hui le Yacobson Ballet continue de garder et d’accroître ses traditions dans le répertoire classique, protégeant ainsi l’héritage de son fondateur tout en se dirigeant vers le moderne. Il compte 75 danseurs, les solistes sont capables de combiner avec succès les interprétations précises des pièces classiques et l’expression fluide des rôles expérimentaux. Les tournées ont conduit la compagnie dans des pays tels que l’Afrique du Sud, l’Italie, l’Espagne, l’Israël, la Grèce, le Japon, l’Allemagne, les PaysBas et les USA. Elle a également à son palmarès de nombreux et importants prix du théâtre russe tels que Heritage et Golden Soffit. L’actuel directeur artistique, Andrian Fadeev, porte une attention particulière au retour de l’héritage de Leonid Yacobson – une série de miniatures incluant Rodin et Wedding cortège dédié à l’anniversaire de la première représentation de la compagnie a récemment été présentée – ainsi qu’à la parfaite exécution des pièces classiques telles que Le Lac des Cygnes, Giselle, CasseNoisette, Roméo et Juliette. Depuis 2008, le théâtre tend à développer la danse contemporaine, en lançant le festival Alternative, au sein duquel les jeunes chorégraphes ont la possibilité de voir leur travail intégrer le répertoire du Théâtre. Note d’Intention de Jean-Guillaume Bart «J’ai depuis toujours été profondément attaché à la grande tradition du Ballet classique. Après avoir effectué un long travail de recherches, il m’est apparu que la Belle au bois dormant avait subi de nombreux changements au fil des décennies. Il suffit de voir les récentes tentatives de reconstitution pour s’apercevoir qu’il ne reste que fort peu de choses de la chorégraphie originale de Marius Petipa. Les attentes du public, la technique classique et le corps des danseurs, tout cela a beaucoup changé. Il m’apparaît donc important de “réactualiser” régulièrement ces œuvres du passé, afin de leur donner une légitimité auprès d’un public qui n’est plus le même qu’il y a 125 ans. Le risque aujourd’hui (et je le constate de plus en plus régulièrement), c’est de se tourner vers une danse purement virtuose, athlétique, spectaculaire qui flirte avec l’acrobatie. Et je refuse catégoriquement de suivre cette mode, qui fait de l’art du Ballet une discipline hybride. Ce phénomène actuel est pourtant aux antipodes des doctrines instaurées par le roi Soleil et par JeanGeorges Noverre, grand réformateur du 18e siècle et père du “ ballet d’action ”. Car pour moi, un ballet est avant tout une histoire dansée, et non un prétexte à danser et/ou à faire briller les danseurs. Le geste classique, tels des vers ou des notes de musique, possède sa propre dynamique, sa propre expressivité et a vocation à véhiculer un message. Ne voyons-nous pas aujourd’hui un véritable travail dramaturgique dans le domaine du théâtre ou de l’opéra, notamment dans la direction d’acteurs? Pourquoi le ballet ne pourrait-il point en bénéficier ? Ici, la fée Carabosse devient un rôle dansé et non mimé comme le veut la tradition. Il pourra être interprété soit par une femme (comme un contre point au personnage de la fée Lilas), soit par un homme (comme lors de la création de 1890). Et puis il y a cette magnifique partition de Tchaïkovski, qui est bien davantage que de la simple musique de ballets. Depuis trop longtemps, sa “Belle” a souffert de coupures souvent barbares, et de changements de tempi incessants qui, sous prétexte d’être devenus des “ conventions ”, dénaturent la partition et la privent de toute cohérence musicale. En m’appuyant sur ma propre expérience, j’ai souhaité donner davantage d’importance au rôle du prince Désiré (tel que je l’ai appris en dansant les grands ballets de Rudolf Noureev), mis en scène la plupart du temps comme un simple faire-valoir de la ballerine. Non seulement d’un point de vue de la danse, mais aussi d’un point de vue dramatique, notamment au début du 2e acte, évoquant un 18e siècle superficiel et libertin. Enfin – et c’est là, je crois, une grande première – j’ai imaginé un “pré prologue” mettant en scène Carabosse et le Roi. Ce bref épisode a pour but de justifier le caractère maléfique de Carabosse et donner davantage de lisibilité et de cohérence à l’histoire elle-même. J’espère ainsi amener un rythme de narration plus soutenu, tout en respectant notre patrimoine chorégraphique, brillamment défendu ici par les danseurs du Ballet Yacobson de Saint-Pétersbourg. Car ma démarche est avant tout de faire rêver petits et grands. Que les adultes que nous sommes devenus puissent retrouver le temps d’un spectacle leur âme d’enfant. Car après tout, n’est-ce pas cela, la magie du Ballet classique ?» BIOGRAPHIES Jean-Guillaume Bart, chorégraphe Né en 1972, il entre à l’École de danse de l’Opéra de Paris en 1982. Il est par la suite engagé dans le corps de ballet en 1988, à l’âge de 16 ans. En 1995 il reçoit le prix du cercle Carpeaux, puis en 1996 le prix du public de l’Arop (Association pour le Rayonnement de l’Opéra de Paris. Il est alors promu premier danseur puis à l’issue de la représentation de La Belle au bois dormant de Noureev [rôle du prince Désiré], le 5 janvier 2000, il est nommé étoile. La même année, il reçoit le prix Benois de la Danse et en 2001 le Prix de la Fondation de France Charles Oulmont. En 2008 il met fin de sa carrière de danseur et devient professeur du Ballet de l’Opéra national de Paris. Jean Guillaume Bart chorégraphie plusieurs ballets, que ce soit pour l’Opéra de Paris ou d’autres compagnies, dont le ballet « La Source », créé en 2011 pour le Ballet de l’Opéra national de Paris au Palais Garnier. Andiran Fadeev, Directeur artistique Né en 1977 à Leningrad (désormais St Petersbourg). Andrian est diplômé de la Vaganova Academy Ballet où il a progressé dans la classe du professeur Vladilen Semenov. Il rejoint le ballet du Théâtre du Mariinsky (St Petersbourg) en 1995 pour devenir rapidement Danseur Principal en 1997. Il a joué les parties principales de nombreux ballets tels que La Sylphide, Giselle, La Bayadère, La Belle au Bois Dormant, Le Réveil de Flore, Le Lac des Cygnes, Raymonda, Don Quixote, Le Spectre de la Rose, Petrushka, La Fontaine de Bakhchisarai, Roméo et Juliette. Andrian a dansé dans les ballets de Balanchine : Ballet Imperial (plus tardivement connu sous le nom de Tchaikovsky Piano Concerto No. 2), Tchaikovsky pas de deux, Joyaux et dans les ballets de John Neumeier Spring and Fall et Now and Then. Le chorégraphe a spécialement créé pour lui le rôle principal dans son ballet The Sounds of Empty Ages. Il a également dansé les rôles principaux au Theatres as Deutsche Staatsoper, Teoatro dell’opera di Roma, Bavarium State Opera, National Tokyo Theatre et Wiener Staatsoper. Andrian a de nombreuse fois été récompensé pour la qualité de son travail, il a notament reçu les prix suivants : Prix compétition Vaganova (St Petersbourg 1995) Prix Baltika en 1998 Le St Petersbourg Golden Sofit prize en 1999 et 2000 Le Spirit of dance prize dans la catégorie étoile par Ballet Magazine en 2000 Le prix Léonide Masside en 2006 En 2011, il est nommé comme Directeur artistique du Yacobson Ballet de Saint Petersbourg NOTE ET EXTRAITS DE PRESSE « La technique n’est pas seulement présente dans les fouettés parfaitement exécutés mais également dans le maintien des danseurs, leur manière de porter les costumes et d’exécuter à la perfection chaque mouvement… Le mouvement est une respiration et ces artistes respirent délicatement et avec maitrise. » Prima ballerina du Théâtre Mariinsky et artiste à la carrière internationale, Irina Kolpakova qui a travaillé sur la finalisation du ballet Giselle par le Yacobson Ballet. « Classique et précis. Des décors et costumes de qualités, une virtuosité brillante des solistes et une technique disciplinée du corps de ballet. » Simonetta Trovato, Giornale di Sicilia « Yacobson Ballet combine à la perfection le talent artistique et la technique... » Federica Pezzoli, Radiocitta Ferrara