Octobre 1912 - Site en travaux, le week

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Octobre 1912 - Site en travaux, le week
ILi«
Quatrième Année — N» 70
INTumAi^o
ECHO
? e»
Vendredi 4 Octobre 1912
C4»zxtizn*s
BRETAGNE
(Ancien QUIMPERLOIS)
Journal Républicain, Politique, Littéraire, Financier, Industriel, Agricole, Commercial et Maritime
Pax*fiiissaxit
l e
V e a c i r e c i i
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pour Pannée suivante.
Les mis aries
Armée de terre, armée de mer, armée
de l'air ! Qui eût osé, il y a dix ans à
peine, prédire qu'aux préoccupations
de notre défense sur le sol et sur les
flots s'ajouterait celle de notre préservation dans l'élément fluide, cet espace
que l'homme a tenfé de vaincre dès la
plus haute antiquité, même fabuleuse,
et dont il ne cessa d'être le jouet,
malgré les découvertes les plus ingénieuses !
Eh bien, non seulement l'air lui a été
soumis par ses recherches patientes,
mais encore, par une extension de sa
puissance dans ce domaine hier inaccessible, il entend y porter l'affirmation de ses droits et, pour sa patrie, y
soutenir les mêmes lufîes que dans les
deux autres empires où évoluèrent
jusqu'à présent ses légions et ses
navires.
Et combien peu de temps il a fallu
pour qu'à l'art de la guerre fat adaptée
la manœuvre des immenses oiseaux
qu'on eût cependant souhaité ne devoir
qu'au développement du progrès pacifique ! Chez nous, qui avions élé les
initiateurs des grands raids dont celui
de Blériot fut une date dans l'histoire
moadeeiëansl^AWD^çklure de nos
iastes on n'envisagea pas tout d'abord
l'utilisation des engins nouveaux. On
y voyait surtout un sport applicable,
par l'extension de ses moyens, à la célérité des relations libérées des vieilles
entraves que créent les frontière::;.
C'est seulement aux manœuvres de
Picardie, en 1910, que quelques avions
pilotés par des s|)éciali.sles civils, avec
le concours d'un nombre infime
d'élèves militaires, firent leur apparition, sans toutefois que l'on escomptât pleinement les services qu'ils
étaient appelés à rendre. Chez les
adeptes de la routine — il y en a
parmi les gens les moins prévenus —
on était porté à ne considérer l'aéroplane que comme une périlleuse smu{•etle. Il fallut bien se rendre à l'évidence et réformer ce jugement lorsque
l'on contrôla les renseignements recueillis par ces « observations » mobiles sur les mouvements de troupes,
sur leurs positions, sur la topographie
des lieux elles surprises auxquelles les
partis en présence étaient exposés.
Dès lors il ne fut plus permis de
concevoir le moindre doute ; il fallait
faire sortir du néant la flotte aérienne
qui serait l'auxiliaire indispensable de
la stratégie, il fallait, tandis que se
multiplieraient les appareils audacieux,
que se multipliassent également les
aviateurs soldats qui apporteraient
dans ce rôle les mêmes vertus de courage et d'abnégation que dans celui
qu'ils remplissaient jusqu'alors, artilleurs ou fantassins, prêts à donner tout
d'eux à la France, sur n'importe quel
point qu'elle les appelât.
L'émulation était d'autant plus désirable que les Allemands dont les
esprits superficiels, les éternels infatués plaisantaient les échecs —
grossis à plaisir — de leurs dirigeables, avaient su, par un concours
du pouvoir et de la population, préparer une organisation dont aujourd'hui l'examen étonne quiconque l'étudié sans autre désir que celui de s'instruire.
Ne résulte-t-il pas d'une inspection
récente accomplie par un écrivain très
entendu qu'ils possèdent à cette heure
un outillage de tout premier ordre,
non .seulement par la quantité des
aéronefs, mais encore par les proportions des hangars et la répartition
du per>onnel affecté aux services
divers ? Chez nous, on a le sarcasme
facile ; au lieu de rire de leurs déconvenues, nous eussions mieux agi en
nous pénétrant des mêmes efforts que
les sujets de Guillaume. Il devenait
superflu, dès lors, de hâter la compo9iUaQ de la qoatiièjue arme et nous
la ligna 0 fr. 2 0
—
0 fr. 2 B
—
0 fr. 6 0
f On traite à forfait pour les annonces répétées)
nous épargnions les anxiétés qui, un
moment, s'emparèrent de nous devant
la constatation du retard où s'était
complu notre amour-propre de devan
ciers.
Maintenant le mal est à peu près
guéri ; si nous sommes en dirigeables
moins pourvus que nos voisins, nous
avons la supériorité très évidente des
aéroplanes, bi-plans et mono-plans
plus conformes par leur maniabilité au
tempérament de potre race. La revue
qu'en a passée le ministre de la Guerre
à la fin de septembre, «;omme pour
clore la série des épreuves qui attestent la valeur de noire oganisation
militaire, doit inspirer pleine confiance,
et cela, aux esprits les plus réservés.
Après le succès incontesté des manœuvres de Tourraine et la démonstration éclatante qu'en matière d'aéronautique appropriée à la défense
nous avons regagné le temps perdu,
voici le lancement d'un super-Dreadnought, le Paris, monstre de 23.000
tonnes auquel neuf mois ont suffi
pour sortir du néant, qui démontre
l'activité de notre renaissance maritime
dont la Bretagne, contrairement à ses
craintes dissipées par les déclarations
officielles, n'aura pas à se plaindre.
Et ce sera justice, puisqu'elle est la
pépinière des matelots qui font tant
d'honneur à la grande patrie, à la plus
grande France.
Lorsque tant d'éléments périlleux se
combinent en Europe pour menacer la
paix, il est bon pour nous de savoir,
que nous sommes prêts à subir un
choc, d'où qu'il vienne.
question, a émis l'avis que, dans l'intérél
du commerce, l'emploi de ces enveloppes
doit continuer à être autorisé, à la condition :
1® Que la transparence assure une par
faite lisibilité de l'adresse, môme à la
lumière artificielle ;
2° Que la partie transparente soit dis
posée dans le sens du plus grand côté de
l'enveloppe ;
3° Que l'emplacement du timbre d'affranchissement soit indiqué par un cadre
« Plusieurs
listes appartenant
à une même
imprimé à l'angle droit supérieur.
circonscription
peuvent
déclarer
mettre
en
Il est recommandé toutefois de ne pas
commun leurs suffrages en vue de
l'attribution
des sièges correspondant
aux restes. » I l suffit faire usage des enveloppes parcheminées
de le déclarer à la préfecture, dix jours ou gélatineuses sur lesquelles les figurines
francs avant celui du scrutin.
d'affranchissement adhèrent mal et les
Cette trouvaille, ami Nicolas, est merveilleuse 1 En somme, les proportionnalistes timbres à date ne donnent que des em
disent aux diflérents partis : « Jadis, vous preintes illisibles ; on évitera ainsi des
vous coalisiez sans nous prévenir : c'était risques de taxation à l'arrivée et des confâcheux ; désormais, vous vous apparente- testations sur la date de la mise à la poste
rez en le déclarant hautement : ce sera très
des envois en cas de réclamation.
Le concubinage, c'est l'apparenlemenl.
Nos apothicaires erpéistes ont découvert;
un beau matin, que les partis se fivraient à
des coalitions électorales. Ils ont admis
fort justement, que ces sortes d'exercices
étaient profondément regrettables. Pour en
empêcher le retour, ils ont voté un projet
de loi proportionnaliste, fort admiré de
ceux qui n'en comprennent pas le premier
mol. Parmi les articles abracadabrants de
cette loi, il en est un qui constitue la pana
cée propre à guérir à tout jamais fes impertinents qui se permettaient de flirter en
période éfectorale. Le voici ;
bien ; le principal était de nous en avertir
11 n'est pas nécessaire que vous ayez les uns
pour les autres la moindre sympathie. Vous
ne faites pas un mariage d'amour, mais une
alliance de circonstance. Publiez vos bans
chez le préiet en temps voulu, et tout sera
pour le mieux dans le meilleur des erpéismes. »
Qu'en dit-tu, Nicolas ?
UNE UTILE LEÇON
Nous, nous appelons cela un monstrueux
accouplement autorisé, encouragé par la
toi. Les proportionnalistes ne recommanLe discours que M. Steeg a prononcé,
dent môme pas l'apparentent aux partis voidans la Gironde, mérite mieux
les
sins, se connaissant un peu, ayant des vues,
des idées, des préférences communes. C'est, honneurs de l'actualité ; il mérite qu'on
comme tu dis, le cadet de leurs soucis. Que le relise et médite à loisir.
les monarchistes s'allient aux collectivistes,
Ce Bernard Roudier, qui l'a inspiré ne
les papistes aux républicains dissidents, fut qu'un modeste représentant du peuple.
qu'importe ? Les erpéistes estiment l'accouplement admirable, puisqu'il aura été Une domina ni à la Chambre ni à son parti.
Il ne fut ni un homme d'Etat à l'aulorilé
déclaré à l'avance.
La Politique
Tu trouveras, comme nous, Nicolas, que
voilà une singulière manière de supprimer
les coalitions. Sans -doute, celles-ci étaient
détestables; mais elles pouvaient dans bien
aes cas, n'être que passagères, ne réussir
LIBKES FEUILLETS
qu'une fois, le parti le pfus nombreux ayant
les chances de triompher encore, par son
effort,sou esprit de discipline,sa propagande.
Mais, là, c'est l'enregistrement officiel et
définitif des alliances tant réprouvées aupasur le
ravant, c'est la prime aux plus astucieux
marchandages, aux plus etlrontées tractations. Nous te laissons deviner ce que feraient des minorités pour se faire attribuer,
La
notre ami Nicolas, cyltiiiateur
lors de la préparation des sièges provenant
et Conseiller Municipal
des restes, un de ceux ravis à la majorité.
Te souvient-il, ami Nicolas, des fiançailles
Vraiment, Nicolas, plus nous examinons
de ta fille Mari-Gaït et du grand Youen ? cette loi, plus nous voyons qu'elle est inComme nous les aimions, ces enfants ! ventée dans le dessein de détruire toute maCombien l'émotion nous étreignait lorsque, jorité, de constituer des minorités hostiles
levant nos verres de « chistr-mad », autour entre elles, d'en faire de faux ménages, de
de la table de famille, nous leur disions, leur confier l'arbitrage des élections et des
simplement, nos vœux, nos espoirs I Tu gouvernements, et, surtout, de créer un état
étais charmé, tu envisageais l'avenir. Le d'anarchie où se perdrait de plus en plus le
gars aurait quelques champs, ta fille recueil- vieil idéalisme républicain. Dans ces coalilerait ion héritage. Et puis, ils se connais- tions autorisées que sont les apparentements,
saient si bien I ils avaient grandi côte à il y a une chose qui disparaîtrait : c'est la
côte ; leur union serait un mariage conception républicaine de la discipline des
« d'amour » en même temps qu'un mariage partis, fa notion d'éfémentaire probité qui
« de raison ». Tu trouverais, près de chez veut qu'on ne inêfe pas son buffetin de vote
toi, une nouvelle famille. C'est ainsi que à cefui de f'éternef adversaire. Oui, Nicofas,
chez nous l'on devient « pareil ». H faut, au cette notion s'eflacerait de fa conscience des
préalable, se comprendre, s'estimer, éctian- électeurs si fa R. P. était appfiquée. La conger de l'affection.
voitise des sièges restés en f'air, fe désir de
Ce soir d'accordailfes
fut
délicieux...
récolter quelque butin à f'hôtef du « dé*
crochez-moi çà » provoqueraient f'oubfi des
• •
En évoquant ce souvenir, nous ne pouvons grands principes républicains.
Voilà donc, une fois de plus, le germe de
nous défendre de penser aux fiançaifles, aux
mariages de jeunes gen* qui se sont ren- mort trouvé dans cette loi.
Ami Nicolas, si jamais le hobereau du
contrés selon te hasard des voyages, des
soirées de casinos, des flirts de plages ou bourg venait te parler d'un apparentement
d'hôtels cosmopolites, fis s'ignoraient ; leurs possible, nous connaissons d'avance ta réfamilles également. Que sera, pour eux, le ponse. Vieux démocrate, tu renverrais ce
lendemain ? Âh ! Nicolas, un mariage pour saint Jean-bouche-d'or à ses flirts avec ses
nous autres est chose sensée, mais dans pareils, car lu as, malgré fes erpéistes, une
biiîn des cas ce n'est qu'un accouplement suprême confiance en la force invincibfe de
ton parti et, pour tout dire, en ta simple
incertain, un mauvais « apparentement ».
*
honnêteté 1
« «
 vendredi prochain, Nicolas 1
Tu fronces le sourcil, Nicolas, parce que
J E A N - P I E R R E et J E A N - C L A U D E .
nous venons de te parler d' « apparentement » ? Tu as entendu déjà prononcer cet
élégant vocable par le hobereau proportionnaliste du bourg. Tu établis, iavolontairement, une comparaison entre ceux qui font
de mauvais ménages et ceux qui, en politique, veulent s'apparenter ? Tu n'as pas tort,
L'emploi de certaines enveloppes transNicolas. If existe actueftement une catégoparentes
ou à fenêtre présente des inconrie de gens très intelligents, très distingués,
vénients
pour
le service des postes. En
à l'esprit subtil, qui veulent, pai tous les
moyens, unir devant M. le Préfet des êtres
''rance, l'usage de ces enveloppes est
qui ne s'aiment pas du tout ou ne se con- néanmoins toléré^ mais des pays étrannaissent nullement. Coûte que coûte, ils
s'obstinent à vouloir tes «apparenter». Sous gers, notamment l'Allemagne, l'Angleprétexte qu ifs les avaient parfois surpris terre, la Belgique, le Luxembourg et la
en un tlirt inacceptable, ils jugent à propos Suisse, ont cru devoir le subordonner à
de les marier ou, si tu préfèies, de les acco- des conditions restriclives. L'office suisse
ler en un concubinage imprévu. Ifs s'en
a môme complètement interdit l'usage
réjouissent et pensent naïvement avoir
trouvé le moyen rapide et élégant d'empê- d'enveloppes ajourées : il n'admet les enveloppes transparentes que si la partie à
cher à jamais les tlirts malencontreux.
•
travers laquelle apparaît l'adresse est dans
JEAN
MÉRAC.
LETTRES PAYSANNES
Système Franco-Chinois de la R. P.
Les Enveloppes Transparentes
• «
Le remède, Nicolas, est pire que le mal.
Les flirts dont nous te parlons, c'étaient
les coalitions.
e sens de la longueur de l'enveloppe.
Le comité consultatif des postes et télégraphes, qui s'est préoccupé de cette
inconstestée, ni un orateur de puissante
éloquence. Et, pourtant, M. Steeg eut raison de saluer, devaflt le monument élevé
en son honneur, la mémoire d'un des hommes qui ont droit, le plus sûrement, à la
gratitude des républicains.
« Magistrat, il renonça aux fonctions
qui lui étaient confiées ; républicain, il
lie voulait pas pi ôler serment à l'Empire,
^ien ne montre mieux ce qu'il availdenellelé dans ses convictions, dè droiture dans
sa conscience. Ces précurseurs n'étaient
pas de ceux qui transigent avec leur pensée. Leur sens moral s'étendait au domaine
politique comme à la vie privée. Nulle
jarole prononcée n'était pour eux chose
négligeable, nul engagement, caduc ;
nulle restriction mentale, admissible. S'ils
avaient prêté serment à l'empire il l'aurait
loyalement servi. Ils n'y consentaient pas :
ils brisèrent leur carrière, lis n'acceptaient
)as de s'installer dans la place j)our la mieux
livrer et de vivre de l'empire pour le combattre plus sûrement. Noble exemple,
exemple toujours actuel, que nous ont
donné ces républicains qui ne croyaient
pas qu'il fût possible, pour un fonctionnaire, d'isoler la fonction de la nation, ni
homme de sa fonction. »
Par ces mots, le ministre de l'Intérieur
n'a pas fait qu'évoquer l'âge héroïque de
la République ; il a, à propos, rappelé
'impérieux devoir qui s'impose à tous ses
serviteurs.
Chez un trop grand nombre de ceux-ci,
e souci de l'intérêt corporatif a obscurci
la notion de l'intérêt national.
« Ils vivent de la République », et ils
font alliance avec qui la combat. C'est,
pourtant, la République, non celle de leurs
rêves, mais celle qui est la réalité présente c'est la République, seule, qu'ils doivent servir sans restriction et sans conditions.
Le noble et ferme langage de M. Steeg
sera entendu.
Certes, il faut doter, sans délai, tous les
"onctionnaires d'un Statut égal, qui précise
eurs devoirs et garantisse leurs droits.
Vlais, dès maintenant, il n'est pas chimérique d'espérer qu'en dépit de leurs pré'ércnces politiques secrètes, ils useront
vis-à-vis de la République, de la même
loyauté dont témoignèrent les républicains
l'égard de l'Empire.
Aucun sophisme, en vérité, ne saurait
avoir raison de cette règle d'élémentaire
probité : dès lors qu'on a engagé sa foi à
un régime pour en obtenir une fonction,
on ne saurait garder la fonction et trahir
sa foi.
Après lesjjanœuvres
Si les grandes manœuvres annuelles
ne devaient comporter que la satisfaction
qui provient d'un beau spectacle militaire
celles de 1912 fourniraient le thème de la
plus profonde admiration aux écrivains
doués de quelque lyrisme.
Elles furent magnifiques, se déroulèrent
dans une admirable région où les troupes
purent évoluer tout à leur aise ; elles em
pruntèrent un caractère de réalité aussi
étendu que possible, et, de plus, elles présentèrent un attrait nouveau des plus puissants : l'emploi des aéronefs, maniés par
des officiers formés à ce périlleux exercice
dans un délai d'une brièveté surprenante
en raison de leur maîtrise et de ses résultats.
Tout cela est fait pour nous rassurer,
nous consoler de bien des défaillances
encore récentes, nous permettre d'envisager sans craintes les éventualités d'une
agression ; cer, à ne nous en rapporter
qu'aux impressions de la presse germanique, jamais la France ne fut plus piéte,
plus entraînée, jamais l'esprit des masses
ne fut plus disposé à accepter les conséquences d'une rencontre si, par malheur,
elle devenait inévitable.
Si, d'une part, le chauvinisme braillard
et agressif, le nationalisme théâtral et
claironnant se sont atténués et mués en
dignité tranquille, le vrai patriotisme a
repris possession des âmes, refoulant, annihilant l'anti-patriotisme, qui cherche des
formules pour masquer la stérilité de sa
propagande.
Voilà bien de quoi nous incliner aux
méditations que suggère l'état présent de
l'Europe, et nous y conduire avec quelque
sérénité. Oui, sans doute les manœuvres
de 1912, en Touiaine, auront élé pour
éblouir nos yeux et pour faire vibrer no.»»
espoirs légitimes en une paix que garantit
uotre force, mais il y avait quelque chose
de plus dans celte démonstration des pro
grès incessants de notre armée, il y avait
jar la présence sur le terrain du grand
duc Nicolas, oncle du Tsar et chef de l'armée russe, la preuve du resserrement de
'Alliance et de l'intérél que l'on porte chez
nos amis du Nord à nous savoir prêts devant toute attaque pour préparer l'intervention qu'elle déterminerait de la part de
ceux qui doivent combiner leur action
avec la nôtre.
Cette présence du grand duc, qu'accomlagnait sa femme, venait justement après
e voyage si bien apprécié de M. Poincaré
à Pélersbourg et à Moscou, constituant la
réplique aux avances de Guillaume 11 et
eur commentaire.
Elle se produisait précédant de quelques
ours la visite en Angleterre de M. Sazonofi", ministre des Affaires étrangères de
\ussie, et|sa réception au château de
jalmoral où il serait l'hôte du roi Georges.
Il faut que bien des éléments nouveaux
aient été introduits dans les rapports des
juissances pour que ces deux rivales, la
Grande-Bretagne et la Moscovie en soient
venues à de pareils échanges de politesses.
)e ces aménités symptomatiques d'une
union plus étroite on peut dire que l'artisan principal, c'est la diplomatie fran<
çaise, laquelle, avec une vision précise des
enchaînements inéfuctables, a compris que
e contre-poids le plus sûr de la TripleAlliance devrait être la Triple-Entente,
ui enserrerait cette dernière dans un réseau propre à en paralyser les mouvevements.
A première vue, peu de difficultés s'op)osaient à cette association, le champ des
rivalités entre Russes et Anglais s'étanl
restreint par le partage des influences en
•erse et par le règlement de diverses
uestions où les deux peuples étaient en
antagonisme. Cependant on s'était trop
pressé de croire que toutes difficultés
étaient applanies.
Outre que l'anarchie persaune pourrait
amener « un troisième larroti » à vouloir y
)orter un remède, privant anisi la Russie
u port sur le golfe persique qu'elle convoite et qui lui ferait implicitement un
débouché sur des parages à elle interdits
usqu'à présent, la dislocation imminente
à des courants opposés, et l'agitation balka nique, qui peut se changer en incendie
général d'un instant à l'autre, réclament
autant de solutions à l'élude desquelles se
heurtent les susceptibilités des deux contractants. De là l'obligation de remanier
fes bases de f'accord anglo-russe.
Ce ne sera pas trop de toute l'habileté et
de toute la bonne volonté des négocialeurï
pour élablir un modus viccndi qui fasse
disparaître toute trace de difficuflés. Avec
l'intention ferme d'uboulir, on parviendra,
sans doute à un règlement équitable, sauf
a se consentir de mutuels sacrifices.
La Russie, prolectrice naturelle des
nationalités slaves, s'est vue dépouillée
d'une ['arl de son prestige par l'Autriche ;
d'autre part l'Angleterre ne saurait renoncer à son rôle modérateur parmi ces
mômes nationalités.
H en est de même en Chine où le Thibel
fait l'objet des désirs de trois concurrents
et qui deviendra possession du plus adroit,
de celui qui arrivera bon premier à Lhassa
uù les moines boudhistes subiront le joug
britannique, moscovite ou chinois, selon
la rapidité de l'envahisseur.
Les journaux allemands grossisent gratuitement tous ces obstacles, nous avons
la certitude qu'ils seront surmontés et que,
malgré le dépil qu'ils en éprouveront, la
Triple-Entente, dûment nouée, ne manquera pas de donner ses fruits.
Ne serviiail-eife qu'à brider f'ambilion
germanique, qu'elfe devra se conclure, ou
l.lulôt se fortifier par le senlimtjnl d'une
mutuelle préservation.
J. M.
Les Balkans en feu
Nous empruntons à notre confrère leAoHvelhsle du Morbihan le court aperçu cidessous delà situation dans les Balkans :
Bulgarie, Serbie, Gièce, Monténégro
ont décidé, d'accord commun, de mobiliser leurs troujies et de les grouper sur les
frontières ottomanes.
En Bulgarie. — A Sofia, capitale de la
Bulgarie, la mobilisation a élé annoncée
officiellement lundi soir. Celte nouvelle a
produit un enthousiasme général dans la
population qui, en grande foule, a manifesté dans les rues, en poussant des acclamations ininterrompues.
Devant la légation d'Italie, le drapeau
italien a élé joyeusement acclamé.
En Serbie. — La Serbie est sous les armes, en attendant la décision du gouvernement ottoman au sujet des reverrdicclions qu'elle a formulées dans un récent
ultimatum.
En Grèce. — On télégraphie d'Athènes :
« D'accord avec les autres Etats des
Balkans, la Grèce a décidé de mobiliser
toutes ses troupes sur terre et sur mer.
« Celle mobilisation générale est motivée, dit un communiqué, par la mobilisalion de l'armée turque et par l'état intérieur inquiétant de la Turquie,qui pourrait
déterminer la Porte à chercher, dans une
attaque contre les Etats voisins, un moyen
de faire diversion aux difficultés qu elle
doit surmonter.
« Le roi, qui était à Vienne, est arrivé
lier jeudi. »
Au Monténégro.— On télégraphie de
Celtigné que le roi du Monténégro a ordonné la mobilisation générale de l'armée.
Les hostilités auraient déjà commencé.
Ou signale, en effet, de Conslantinoplej
qu'un combat a eu lieu à Grabovitch, entre les Monténégrins et les troupes
turques.
Plusieurs turcs auraient été tués ou
blessés.
En Turquie. — Pour répondre aux mesures prises par la Bulgarie et les autres
nations balkaniques, le Conseil des ministres turc a décidé de diriger des troupes
sur la frontière et aussi, parait-il, de renforcer les troupes en manœuvres.
Cependant, dans les cercles officiels, on
ne croit pas à la guerre.
Le gouvernement ottoman a réquisitionné tous les moyens de transport et tous les
vapeurs, notamment les transports grecs,
pour l«>i passage de ses troupes.
Le bruit court à Constanlinople que la
Porte, en vue de concentrer tous ses efiorts
de la Cbint où It nord et le sud obéissent sur les points menacés dM BiJkans, serait
valeur des prix ci-dessus à tout propriétaire Voilà ce que Beaufrère appelle faire ne pas faire de réclame) profitant de la
bonne occasion qui lui était offerte pour
primé, ne faisant pas parti* de la Société de l'esprit I !
d'Agriculture.
TRAIT
Mais c'est aflaire entre lui et ceux expérimenter ses appareils, fit approcher
Tout concurrent qui aura présenté des
Première prime : une Médaille de vermeil^ animaux ne lui appartenant pas depuis trois qu'il ne craint pas d'assimiler, sans le malade, et du jet formidable d'une de
offerte par M. Pichon, sénateur du Finistère mois ou fait une fausse déclaration sera que rien ne l'y autorise, aux plus re- ses pompes, le rappela à la vie.
Pftie, hébété, il se releva, se frotU les
et 60 fr. ;
50 fr. ; 3-, 40 fr. ; 4-, 30 fr. ; "
exclu des Concours de la Société d'Agricul- doutables bandits des temps anciens et
20 l'r. ; C-, 10 fr. ; 210 fr.
yeux,tflta ses poches et en courant,d*toute
ture pendant deux ans et sa prime sera modernes.
la force de ses jambes, disparut.
l'OL'LAINS l-T l'OULICIlKS ^'-DESSOUS DE 3 ANS réservée.
L a revue de la-, meute ^ e M . L e
ÉLEVÉS DANS L'ARRONBISSEMENT
Comme uu coup de veut il entra au
NOTA. M. Le Floch, vétérinaire à
(sang el demi-sang)
Quimperlé, est commis i l'inspection dbs Louédec (comme le dit le spirituel bureau des postes, et à la hAte, nerveusePremière prime, 40 fr. ; 2-, 30 fr. ; 3-,
animaux qui seront exposés au Concours.
Beautrumea'ù) n'aurait pas été com- ment, il rédigea le télégramme suivant :
Chaque exposant devra se munir d'un plète si notre .indécrottable aboyeur
fr. ; 4-, 15 fr. ; 5-, 10 fr. ; total : 120 fr.
« Barbe, Maire Moelan,
certificat d'origine qu'il remettra au vétéTRAIT «
ne s'était attelé aux chausses d'un
« Manifestalion monstre organisée contre
rinaire
préposé
à
la
surveillance
du
Concours
(poulains et pouliches)
avant de placer les animaux aux lieux qui des meilleurs amis de notre sympa- « vous demain Brigneau, votre carrière poliPremière prime, 50 fr. ; 2-, 40 fr. ; 3-,30fr
lui seront indiqués par les Commissaires, thique député, que, les sarcasmes de u tique menacée. Attendez nous demain soir,
4-. 25fr.;5-, 20 l'r.; 6-, 15 fr. ; 7-, 10 fr.
Ce certificat dévra être libellé dans la forme toutes les feuilles de sacristie réunies << bâclerons banquet Quimperlé vivement el
total : 190 francs.
« amènerons renforts. Vous en prie pas
suivante :
•
ont le don de laisser absolument indif- « d'imprudence. »
PRIX D'ENSEMBLE. — Une Médaille
Le Maire de la commune de
férent.
d'argent sera attribuée au plus bel exemple certifie : 1° Que le sieur
C'était clair et transparent n'est-ce pas I
d'animaux de l'espèce cfîevaline. Chaque demeurant au village de
Nousavonsvu M. Hirigoyen, aucours
I l fallait à tout prix que la fêle de Briconcurrent devra exposer au moins trois
, a déclaré vouloir exposer au de la réunion publique de mardi, demananimaux.
Concours de la Société d'Agriculture d* derà M . Loui» Beaufrère qui ne cessait gneau qui devait être honorée de la présence de notre Député échouât — il ne
Espèce Bovine
Quimperlé, qui se tiendra à Clohars-Carnoêt:
TAUREAUX RACE C0RN0UA1LLES
La question se pose d'ailleurs dans les
le 7 octobre 1912,
(indiquer le nom de grimacer dans des soubresauts in- fallait pas que l'on puisse diie que dans
mêmes termes pour d'autres denrées de
(au-dessous de 2 ans)
bre) animaux de l'espèce
indiquer quiétants, d'avoir pour une fois dans cetle petite bourgade de pécheurs, l'on ait
si
les
animaux
appartiennent
à
l'espèce son existence le courage de tenir en réussi à attirer plusieurs milliers de perGO
l'r.,
2-,
50
fr.
;
3-,
40fr,
Première
prime,
de première nécessité, comme la viande,
bovine, porcine ou chevaline) ; 2° Que public les propos qu'il marmottait de sonnes, lorsqu'à Quimperlé le cuacuurs
4-, 30 fr. ; 5-, 20 fr-, ; lotal : 200 francs.
le sucre et le café.
dans ledit village, aucun cas de mala^lie
A Quimperlé le prix du pain paraît TAUREAUX MARQUANT MOINS DE 4 ANS EN BOUCHE contagieuse ne s'est produit depuis un sa place et que l'intéressé, de ce fait, échouait si piteusement.
Le mot d'ordre iut suivi. Le maire de
Première prime, 50 ir. ; 2-, 40 fr. ; 3-, 30 Ir,
ne pouvait entendre. Beaufrère qui
exhorbitant. La population se plaint non
mois au moins.
.Moëlan
ne fit Sun apparition a Brigueau
total
:
120
francs.
A
, le
1912 aboie si crânement quand il s'abrite
sans raison que la diminution qui a porlé
U ue Médaille de vermeil, offerte par M. Le
qu'à
5
heures
du soir alors que les regates
Si MM. les Maires croient devoir refuser derrière une feuille de papier, n'a tout
sur le prix des blés et des farines n'ait eu Louédec, Député, Conseiller général. Présiel les jeux divers étaient termines. Au
ce
certificat
pour
une
cause
quelconque
de même pas osé risquer le vigoureux
aucune répercussion sur le prix du pain dent de la société, sera attribué au plus
premier tuurnanl de la route, l'on pouvait
l'intéressé devra en référer à M. le Préfet du
qui reste invariablement fixé à 1 fr. 10 beau taureau de la race bovine pie-noire.
Finistère qui commettra un vétérinaire pour coup de talon qui l'aurait renvoyé à apercevoir par dessus la haie quelques
son chenil méditer sur les vicissitudes lêtes qui osaient risquer uu wil luquiet.
TAUREAUX RACES DIVERSES
les 6 livres.
visiter le troupeau.
Fait et arrêté en séance, les 4 août et de la vie.
Première prime, 40 fr. ; 2-, 30 lr.;3-. 20 fr.
Qu'attend le Maire de Quimperlé pour
C étaient les renforts 1
8 septembre 1912.
Ce qui est inflniment amusant,
prendre les mesures nécessaires en vue de total : yo francs.
Monsieur le Maire de Moëlan, pâle, s'aLes taureaux primés seront gardés dans
Le Président. J. LE L O U É D E C .
d'autre part, c'est d'entendre Beaufrère vance, traverse la foule qui ne s'occupe pas
lui donner satisfaction ?
I nri-ondissemeiit pendant un an pour être
Le Secrétaire, E. MORVAN.
et ses amis, coutumiers des procédés de lui. Subitement un pécheuf qui de^^uis
livrés à la reproduction. Les prim.;s ne seVU ET APPROUVÉ :
qu'on leur connaît, parler de la cour- le malin portait le seul drapeau (iricoloie)
ront remises qu'à cette époque sur la préQnimper, le 12 septembre 1912.
sentation des animaux. Les taureaux déjà
toisie, de l'aménité et de la correction qui ail pu dire prété par la mairie de
Moëlan, s'arrête stupéfait, il vieni d'aperprimés pourront concourir l'année suivante
Le Préfet, CHALEIL.
qui préside à leurs actes.
cevoir le premier magistral de la comA l'occa.sion du concours de la Société mais pour une supérieure seulement.
Pour un comble, c'en est un 1
mune. Eh bien, dit-il, c est a c t heure que
VACHES LAlTliiRES RACE CORNOUAILLES
départemenlale d'agriculture. M. Pams,
N'avons-nous pas entendu le « Pho- l'arri>es?'? Roulant des yeux eu bjuie
PLEINES ou A LAIT ^au-Ucssous de 7 ans
minisire de l'agriculture, s'est rendu dinographe » de la troupe municipale, de lolo, paraissant encore plus énormes à
f'romière prime 50 fr. ; 2 , 40 fr. ; 3-, 30 fr
manchederni.!ràPoutivy, Des fête.--avaient
traiter d ' a n a r c h i s t e » à cette mémo- travers les verres grossissants ue aes bi4-, 20 fr. ; tolal 140 Irancs.
été organisées à celte occasion. Malheurable conférence, un paisible ouvrier, nocles,dans un mouvement de colère, il lui
VACHES LAITIÈRES RACES DIVERSES
reusement elles ont été contrariéees par le
qui tentait de réfuter les argumenta- jeta ces mois : Je suis notaire avanl loui
Première prime, 30 fr. ; 2-, 20 francs ; to
Diplômé de la Faculté
de Médecine
mauvais temps.
el mes affaires me retenant principalement
tions de l'orateur ?
tal : 50 francs.
de Paris
Un banquet de 600 couverts a eu lieu à
liÉNISSES RACE CORNOUAILLES
La contradictiôn apportée contre le dimanche, je fuis d'abord mes aU'uires.
midi sous la prés-idence du ministre. Des
56, rue Kéréon, QUIMPER
A d'autres qui avaient eu vent Uu leiei^au-dessous de 2 ans)
toute attente par M . Hirigoyen à l'argramme
lance la veille et qui lui demanPremière prime, 40 fr. ; 2-, 30 fr. ; 3-, 20
discours y ont été prononcés par M, Rolh,
gumentation du champion erpéiste enTous les Vendredis, CO.'VCARIVEAU
daient la cause de sou arrivée aussi tarpréfet du Morbihan ; M. Langlais, maire fr. ; 4-, 10 fr. ; lolal lOU francs.
gagé par le « barnum » de la place
dive, il ré^iondit : Mon lils ayant eu une
2, QUAI D'AIGUILLON, 2
de Pontivy; MM. Brard,Nailet Le Rouzic, OKNISSES MARQUANT MOI.N.S DE 3 ANS EN BOUCHE
Hervo, a eu pour conséquence de dé- t>anne d'auto je n'ai pu \enir JJIUS lùl,
(PRÉS L'HÔTEL LE CLINCHE)
3-,
30
fr
Première
prime,
45
fr.
;
2.-,
35
fr.
;
députés et par M. Pams.
montrer à l'auditoire que le système mais j'ai tenu a venir quand même ; étant
A la fin du banquet, est arrivé M. Le 4-, 20 ir. ; 5 , 15 ir. ; lotal : 145 ir.
électoral,
prôné par tous les réacteurs maiie du («aya c'est mon droit.
Cabinet ouvert de 8 heures à 4 heures
GIvMSSES RACES DIVERSES
Louédec, député de Quimperlé, qui, acqui veulent le substituer au scrutin
C'est même uu peu votre devoir MoSsieu
Première prime,30 fr. ; 2 ,20 fr. ; 3',I0fr.
comp:igné de M. Calloc'h, sous-préfet de
uninominal actuellement en vigueur
le Maire 1 I
tolal GO francs.
Quimperlé, s'y élail rendu pour saluer
Pendant ce temps les renforls, n'ayant
n'a pour but que de mettre la majorité
PKIX D'ENSEMBLE. — Une Médaille
.M. le Ministre de l'Agricullure. Nous re- d'urgent G. M.j, ollcrlo par la société.
républicaine du pays sous le j o u g des vu aucune manif'eatalion, et pour cauae,
Ce pri.v sera allribué au plus bel exemple
portant au compte-rondu [lublié par notre
La série dos déboires continue pour minorités coalisées ; que les foules ne t'avancèrenl ; ils s'a\ancèreni au milieu
excellent confrère le Populaire de Nantes, d'animaux de l espèue bovine, présenté au Beaulrère. 11 n'y a pas à dire, lu gui
comprendront jamais que la loi du de l'inaillerence générafe, accueillia seuconcours el apparleiiaul au iiicine proprié'
lement par les rires et les sarcasmes des
une ovation a été faite au député de Qui;u
nombre ne soit pas respectée ; el
taire. Les concurrents devront en faire la gne s'allachc invariablement à tou
marins. Tiens, dit l'un d eux, en voila
perlé.
déclaration le jour du concours, a la Mairie ceux qui l'approchent. Le dernier au qu'enfin, le mécanisme de cette loi qui sont sans doute fatigues de regarder
M. Le Louédec a profité de son voyage de Cloliais-Carnoèt, avant 11 heures du quel il a élé donné du faire la triate — volée par la Chambre contre la vodepuis 3 Jours les vachea du concours de
à Pontivy pour demander à .M. le Minislie matin.
constatution de ce que nous avonçons lonté d'une majorité de 200 députés Quimjjerlé, et qui daignent maïulenant
E»>pâce l'orcine
de l'Agriculture de bien vouloir se faire
.sans crainte do déraeniis c'est bien le républicains, — est si compliquée que venir nous rendre visite; c'est un peu tard,
VERRATS
représenter au concours de la Société (au-dessous de2ans, sans distinction de races malheureux conlércncier — premier cette seule raison serait suffisante pour V iendra l'heure où nous vous reparleroiu
d'Agriculture de Quimperlé qui doit se
de vos preferences.
Première prime, 30 fr. ; 2-, 20 fr. ; total rôle disait l'ariiche — que la troupque le pays la repousse.
tenir lundi prochain à Clohars-Carnoët. 50 francs.
municipale de Quimperlé nous a exhibé
Tant qu'il ne s'agit que du calcul du
Trois quarts d'heures après larrivée,
Accueillant favorablement la demande du
TRUIES RECONNUES PLEINES OU SUITÉES
mardi soir dans la pièce palpilante quotient et de la répartition des pre- voyant l'accueil glacial qui lur était fait,
député de Quimperlé, M. Pams a désigné (au-dessous ce2aus, sans Uistiiictiou de races) intitulée « Représentation Proportion
miers sièges, c'est très bien. Mais, après et entendant les cris nourris de vive Le
Première prime, 30 fr. ; 2-, 20 l'r. ; 3'. 15 fr.
pour le représenter M. Gerbil, inspecteur
nolle 1 (Paroles el musique de M
cela, l'apparentement ; l'histoire du Louédec, poussés par la population mari'
des eaux et forêts, secrétaire particulier 4-, 10 fr. ; lotal : 75 francs.
Charles Benoist).
siègeattribuéau groupement qui, ayant lime, les visiteurs de la dernière heure,
jugèrent que leur visite avait réussi aussi
Volailles
du Ministre de l'Agriculture.
Régisseur, chef d'orchestre et de la majorité absolue des votants, n'a
bien que le concours de la race pie-noire,
Une certaine somme est mise à la disposi
D'autre part, les députés républicains
claque, Directeur des Chœurs et de pas déjà la majorité absolue des sièges j firent demi tour, honteux el conf'u».
du Morbihan, MM. Brard, Nail et Le lion du .lury pour la volaille vivante.
le procédé des moyennes, division par
l'Union Agricole^ le maestro Loui
Celle suuimc ne pourra être supérieure
I l est grand temps d'aller dfner, dit
Rouzic ont promis à M. Le Louédec de
les
sièges précédemment attribués, Beau fi ère.
Beaulrère
n'avait
rien
négligé
pour
10 francs.
venir également au concours de Clohars.
ménager à sa nouvelle r..crue une plus un ; ensuite le partage du butin
P r é p a r a t i o n des Beurres
Un gars de la côte.
Première prime, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3-, 10 entrée sensationnelle. Notre imprésario entre les groupements el les listes
Les Horreurs de l'Enlisement fr. ; 4-, S l'r. ; 5', 7 fr. ; G-, G fr. ; 7- 5 l'r, ; 8 municipal n'avait même pas craint de isolées ; autant de casse-léle donlnous
5 l'r. ; total : 7G francs.
garantir à son « numéro » un succès ne frapperions même pas le crûne lusA Cherrueix, près de Dol-de-Bretagne,
Une somme de 10 francs est à la disposi
loi quo sa renommée emportée sur les tré de Beaufrère, de crainte de le
deux jeunes gens, MM. Chambion el tion du Jury pour récompenser des expo
», Hue de lu ilairie à U K k S r ,
Peuvrel, récemment libérés du servici sants qui présenteront des beurres sans sel ailes du « Canard Agricole el Maritime » faire hurler.
l>rie les personnes qui désirent que leurs
militaire, ramassaient des huîtres, lorsConcours de labourage
aux quatre coins de Quimperlé, sulliL'assistance a tellement bien comenfants atteints de la T e i g u e puissent
qu'ils furent surpris par la mer. Ils s'eii(cliarrucs en tous genres)
rail à asseoir ses plus beaux rêves pris
ces
lumineuses
explications,
luirentà toutes jambes, mais Peuvrel seulit
être soignés en une seule fois et le même
Première prime, 50 l'r. ; 2-, 40 fr. ; 3-, 30 d'av<inir. C'était plus qu'il n'en fallait,
qu'après
avoir
affirmé
son
désir de ne jour de lui écrire une lettre pour demander
tout à coup le sol s'enfoncer sous ses pas. fr. ; 4-, 20 fr. ; 5 , 10 fr. ; total : 150 fr.
on l'avouera, pour décider«à marcher» vouloir accorder évenluellemenl ses un rendez-vous à l'avance.
Le malheureux eut beau se débattre, il
Ces primes seronl attribuées au laboureur le plus « désintéressé » des conférens'enlisa dans les sables mouvants, sous les
suffrages qu'à un candidat foncièreyeux de son camarade, impuissant à lui et non au propriétaire de la charrue ou des ciers.
ment el honorablement connu de la
porter secours. La marée montante le sub- attelages. Les charrues devront être attelées
masse,
elle a accueilli les dernières
soil
de
deux
chevaux
ou
de
deux
bœufs
et
Mais
si
l'Association
B^'aufrèremergea, après une agonie atroce. Son cadavre a été retrouvé samedi, encore enfoui un cheval, .soil de trois chevaux.
ipurlier propose, d'autres, à l'heure )aroles du « morticole de PlomoChaque laboureur devra labourer et conjusqu'à la ceinture.
acluelle, disposent el notre très cléri- diern » par un tel concert de vociféraduire — seul — sa charrue et son attelage.
cale
municipalité a bien di^ se rendre lions que celui-ci, épouvanté, s'enfuit
S'il s'adjoignait un conducteur, la charrue
par celte raison, serait mise hors concours. compte que les électeurs de Q u i m - sans attendre son reste. E l les :
On prendra en considération la force et la jerlé n'é!aient pas du tout disposés à
A bas la calotte ! Reiourncz à PloInstruction publique
vitesse des attelages.
communier avec elle sous les auspices modiern I Hou ! Hou I Conspuez
M. Faudry, professeui ;2 clas.-.e) a l'école
La profondeur Ue la raie devra être de
îeautrumeau ! retentiront longtemps normale de Quim^cr, est nommé directeur
de la Réforme électorale, eslimant
18 ceutimètres au moins. Les lauréats des
ses oreilles.
de l'Ecole primaire supérieure de Nantes,
ivec
raison
que
l'expérience
de
la
concours antérieurs ne pourront coucourir
Nous donnons à nouveau le program ne
en remplacement de M. Labourdette, adP. scolaire, tx laquelle ils ont été
que
pour
une
prime
supurieure
à
celle
déjà
du Concours annuel de la Société d'Agrimis a faire valoir ses droits à la retraite.
obtenue
par
eux.
conviés,
sulflsait
amplement
à
former
culture de rarrondisseraent de Quimperlé,
l>roduits
Agricoles
et
Horticoles
eur opinion sur la matière.
M. Colin Arsène, est nommé à l'Ecole
qui se tiendra à Clohars-Carnoêt le lundi
Une somme d'argeut qui ne pourra dépas7 octobre courant.
normale de Quimper, en remplacement de
L a simple lecture de l'article conser 100 l'r. sera mise à la disposition-du Jury
Chaque boite 1 kilogramme, brut ou M. Faudry.
A M fi L I 0 R A T I 0 N S F O N C I È R E S
par le Président pour récompenser les ex- sacré par le Directeur de la feuille net, SUCRE DE J . U X E CHANTENAY
i ° Itoiinc tenue des l'ermes
posants qui présenteront les plus belles municipale à la funambulesque réu- chaque botte 1 kilogramme, brut ou ncl,
Première prime : Une Médaille de Vermeil,
c.jllcciioi)s
de produits agricoles et Hor- nion tenue salle
Chauvel
mardi
Contributions indirectes
oflerle par .\I. le .Ministre de l'Agriculturo,
SUCRE SCIÉ, RANGÉ, CH.WTEN.VY,
soir, suflit pour convaincre les moins
et 250 fr. ; Deuxième pri(n<Nj> Une Médaille ticoles.
Par
ariêlé de M. le Conseiller a'Eiai, dicarton cuir, bottes brunes (yenre PARIS)
d'argent el 150 l'r. ; Troisiè'ïne prime : Une
Tout établissement subventonné par l'Etat avertis du résultat négatif obtenu par
recteur
général des Contributions ludi.Médaille de bronze et 100 l'r. ; Quatrième ou le départemeul ue pourra exposer que "o « transfugij de Ploinodiern » en qui contient un ticket prime.
reclt'S :
prime : 50 l'r. ; total : 550 fr.
30 tickets prime donnent droit à 1 kilohor.-. concours.
notre « saint homme de maire avait mis
M. L'Uelgouac'h, surnuméraire du dépar^
Cidres
gramme, brut ou net SUCRE CHAN'i<> l'i-airiesi Artincielle.s
ses dernières espérances. »
tenieut
est noiuuié couiuiia commis à yuiuil'LA.NTF.S SAHCLIiHS, THÈKLES HT nAY-ORASS
Première prime : une Médaille de vermeil
TENAY.
per, eu reuip.aceinent do M. Couan, appelé
E l il est ds l'ail que la conduite réPremière prime : Une Médnilllc d'argenl et 20 f r . ; 2 , une Médaille d'argent et 15 f r , ;
Le SUCRE CHANTENAY est le plus sous les drapeaux.
(G. M.) el 60 fr. ; Deuxième prime : Une 3-, u n e Médaille de bronze et 10 f r . ; 4-, 5 f r . ; servée au porte-paroles de la troupe de
>lanc,
le plus pur, sucre le mieux I
M. Dainbrine, surnuméraire à Quimper,
Médaille d'argenl (P. M.)ct50fr. ; Troisième tolal : 50 francs.
saltimbanque qui tyrannise Quimperlé,
est nommé commis â la môme résidence.
prime : Une Médaille de bronze et 40 fr. ;
Kaux-de-Vie de Cidre
"
n'a pas sa pareille dans les annales de
M. Auges, surnuméraire à Morlaix, est
total : 150 fr.
Première prnie, 10 fr. ; 2 , 5 l'r. ; total 15
a ville. N i lui ni ses amis ne pourront
nommé commis à la môme résidence, en
H" l'i-nirics .Vutiirellcs
francs.
reinplaceinent de .M. Ducasse, appelé sous
s'en vanter.
CltKATlO.N, ASSAl.NISSK.MKNT, l>nAllIAGE
{Serviteurs Uuraux
les drapeaux.
D E
B R I G N E A U
Nous
nous
allendions
un
peu
à
voir
HT IMRIGATION
M. Lucas, commis à Saint-Ld, est nommé
Première prime, 50 fr. ; 2-, 40 fr. ; 3-, 30 3eaufrère traduire sa déconvenue dans
Première prime : Une .Médaille d'Argent,
en la même qualité à Brest en remplacement
fr.
4-,
20
fr.
;
5
,
15
fr.
;
G-,
10
fr.
;
total:
165fr.
Le
samedi
21
septembre
dernier,
un
offerte par .Ministre de l'Agriculture, et 150 ir.;
;s icrnifs agressifs el malhonnêtes
Servantes
halluciné de la Place Hervo, à Quimperlé, Je .M. Aranseaux, appelé sous les drapeaux,
deuxième prime : Une Médaille d'argenl,
dont il a le secret. Son répertoire déM. Lesteven, commis à Bi-e»t, e<t nommé
Première prime, 40 l'r. ; 2-, 30 fr. ; 3-, 20
accompagné de quelques conseillers mu['. M.) el (iO l'r. ; troisième prinm : Une
à Quimperlé, vn remplacemenl de .M. Foulassc
nos
prévisions
el
s'accroU
dans
Médaille de bronze et 50 l'r. ; quatrième priin-j l'r. ; 4-, 15 fr. ; 5 , 10 fr. ; total : 115 fr.
nicipaux de Iff ville, parcourait pour la
es proportions que nous n'osions vinglième fois l'exposition des machines quaud, appelé sous les drapeaux.
45 l'r. '; cinfpiième prime 40 fr. ; sixième
Ces primes seront exclusivemeiitattribuées
M. Di.->sez, surnuméraire daus les Colesprime 30 fr. ; total 375 l'r.
pour les siirvices agricoles. Les serviledrs Soupçonner.
agricoles organisée à l'occasion du Con- du-Nord, e-.l nommé a Brest, eu lemplacequi ont déju obtenu uue prime ne pourront
4° Coiicour.s do l'osscs tV Purin
Tuus ceux qui n'ont pas l'heur de cours de la race pie-noire. Le pauvre hère meiit de M. Lesteven.
se prùsciiler que pour obieuir une prime
Une somme de "25 fr.
ui plaire sonl gonsdesac et do corde,
ui, depuis la veille, s'arrachait de désesM. Kerebel, surnuméraire du département,
supéiieure. — Ceux des communes du canest nomme commis a Brest, en reuiplacemcnl
5° l'rimes spuciulcs
ton Ue Quimperlé sont seul admis à concou- lire-laine et coupe-bourso, propres à )uir quelques uns des rares cheveux qui de .M. lUvoallon.
toutes les vilaines besognes, à tous encadrent encore sou « u f d'autruche, en
Une médaille d'Aargent pour bonne tenue rir.
M.Varnier, surnuméraire à Saint-.Vazairo,
de laiterie.
DlSPOSlffUNS Rf-GLEMENTAfRES
es mauvais coups. Tels sonl, parce constatant le four complet du Concours
est
nommé commis À Morlaix, en remplttceUne Médaille d'Argent pour bonne conLes propriétaires, cultivateurs et fermiers que payés pour ce faire, doux hono- •"ont à coup il s'écroulait comme une ment de M. Penquer, appelé sous les draduite d'un rucher.
de l'arroudissument de Quimperlé seront rables citoyens, Corentiu Le Guern, masse, évanoui... il venait d'apprendre peaux.
seuls admis a concourir ; ils devront posséA M É L I O R A T I O N S DliS RACES
L^fosse, surnuméraire à Niort est
i l Tine, boucher à Quimperlé et que le lendemain M Le Louédec. député,, M. Ufosse,
Efipèce Chevaline
der les animaux présentés depuis au moins
devait assister a la fête de Brigneau. Ses nommé commis à Brest, en rempiicemen
Sugène Abel, ouvrier typographe qu'il
JUMENTS POULI.NIÈRES SUITÉBS
trois mois.
amis se précipitent, l'emportent, et un de M. Le Moal.
11 sera fait une retenue de 10 0/0 de U désigne tons le sobriquet de Caïa. exposant (que je ne peux {pas citer pour
0 0 PRODUIT DE L'ANNÉE (ssng et demi-sang)
M. Umanètre, •umuméraire, à Vannes,
décidée de faire la paix avec l'Italie.
On signale d'un autre côté que la Crète
s'est insurgée à nouveau, et a envoyé des
députés Jà Athènes pour inviterje gouvernement hellénique à mettre à l'épreuve le
dévouementde sa population tout entière.
Les grandes puissances. — Les représentants des grandes puissances européennes ont adressé des représentations
au gouvernement des Etats balkaniques,
leur enjoignant de résister à l'état d'esprit
lielliqueux manifesté par les populations.
On espère encore que la paix sera maintenue.
lin France. — Les craintes de guerre
dans les Balkans ont produit une influence
sur le marché financier. La rente française
est néanmoins résistante à 90. 10.
M. Poincaré qui vient de reprendre la
direction du ministère des Affaires étrangères, a envoyé des instructions à nos représentants auprès des Etats balkaniques
pour leur prescrire d'exercer à nouveau,
sous la forme la plus nette, toute leur inÉuence en faveur d'une évolution pacifique
dans la crise actuelle.
En Russie. — A la suite de la nomination
du roi Carol de Roumanie comme feld
maréchal de l'armée russe par le tzar Ni •
colas 11, une délégation militaire russe
viendra prochainement remettre au roi
les insignes de ce grade.
Cette attention significative, dans les
circonstances actuelles, produit une excellente impression.
En Italie. — Dans les milieux officiels
italiens, on reste encore sur la réserve relativement à l'atlituda de ritalie dans le
cas où la guerre éclaterait entre la Turquie
et les Etals balkaniques. Toutefois, dans
les cercles diplomatiques intéressés, ou
exprime l'assurance que, pour le moins,
la flotte italienne se maintiendrait en permanence dans la mer Egée.
Ce fait entraînerait notamment comme
consé(]ueuce l'impossibilité, pour la Turquie, d'uliiiser ses troupes d'Asie-mineure
avant un temps assez long, le transport
do ces troupes ne pouvant être effeclué
par mer.
En Autriche. — Ou mande de Vienne
au Courrier de Berlin que si dans 48 heures, le calme n'est pas revenu dans les
Balkans, l'Autriche prendra des mesures
préventives sur la frontière de Serbie.
D'après la Gazette de Fo s, le délai ainsi
imparti ne serait que de 24 heures.
11 convient de noter la déclaration du
comte Berchtold, ministre des Affaires
étrangères d'Autriche-Hongrie, qui est
considéré comme la cheville ouvrière de
la politique internationale dans la question
d'Orient.
« Bien que la situation, dit-il, doive
être considérée comme tout aussi grave en
Serbie qu'en Grèce, je crois devoir faire remarquer qu'entie un ordre de mobilisation
et le commencement des hostilités intervient une décision grave et pleine de responsabdités, et que, comme déjà jusqu'à
présent, les grandes puissances s'efforcent
de conjurer les dangers résultant d'une
pareille situation et continuent à agir en
faveur de la paix. »
Pour la paix.— De source diplomatique,
on apprend que la France, l'Angleterre, la
Russie et les puissances de la Triplice sont
d'accord pour exercer une pression énergique sur tous les gouvernements Balkaniques en vue d'empùcher la guerre.
Rupture diplomatique. — Ou craint quiles démarches des grandes puissoncKS n'ai
teignent pas le but visé, et que les hostilités ne s'engagent à bref délai. Selon, en
effet, une dépèche arrivée à Vienne de
Conslantinople, le ministre de Bulgarie,
dans la capitale de l'Empire ottoman, aurait été rappelé.
La Croix-Houfje mobilise. — Enfin, l'on
annonce de S;iinl-Pétersbourg que les
premières missions de la Croix-Ronge sonl
parties pour Athènes, Sufia et Belgrade.
de réclamer dès maintenant un abaissement des droits de douane espérant qu'on
n'invoquera plus contre cette proposition l'imminence de la récolte prochaine
et l'attente des résultats de cette récolte,
puisqu'on la connait
Le débat devra prendre une grande ampleur, car ii porte au fcfnd sur la queslio
de l'organisation des entrepôts et marchés
des blés et céréales en France.
Evidemment, nous ne demanderons pas
au Gouvernement que, pour abaisser le
coût de la vie, on écrase le producteur
français sous la concurrence étrangère.
Mais les besoins du consommateur ne sonl
pas moins sacrés. 11 s'agit de trouver la
juste limite, surtout en contrôlant les
inlerméi^aires parasites et peu scrupuleux,
dont les spéculations ruinent les un=i. sans
enrichir les autres.
Première prime, 50 fr. ; 2-, 40, ; 3- 30,
4-,10fr. ; total : 130 fr.
M. Pams à Pontivy
JOHN
CROSSLEY
Chirurgien-Dentiste
Les Maliieiirs de Beaufrère
Le Docteur CmilTON (h,., o
biiiïïiiÎLÊ
et Locale
Le Concours Agricole
il8 Glihars-Carnoèt
LE
PA!N_CHER
La cherté croissante de la vie menace
de plus en plus de provoquer une crise
grave. A vrai dire, ce phénomène est
général en France ; c'est une résultante
inévitable du développement de la civilisation, du besoin plus grand de bien-être,
de l'extension du commerce et de l'indus
trie au détriment de l'agriculture. L'abais
sement de la valeur du numéraire et l'aug
mentation progressive des salaires eu sont
le constant .symbole. Mais il est incontestable que la courbe s'exagère en ce moment d'une façon alarmante.
Chez nous, la préoccupation la plus
urgente est celle du pain. On avait espéré
qu'après la récolte il reviendrait à son prix
normal, en raison de la baisse traditionnelle à jiareille époque. C'est au contraire
ime augmentation qui se produit. Si les
pouvoirs publics n'interviennent pas, il
faut perdre tout espoir de voir les prix
s'abaisser au cours de cet hiver. C'est la
misère en perspective pour les familles
pauvres.
Pour justifier cette hausse exceptionnelle, on invoque des raisons de fait. Mais
quelques-uns «les intéressés eux-mêmes
reconnaissent d'autres causes. C'est ainsi
que les meuniers dans une lettre ouverte
au président du Conseil s'en prennent aux
spéculateurs que favorise l'organisation
actuelle du marché des blés.
Un député Tient de prendre l'iaitiative
SUCRES
A Pro|H)s de la Manifestation
est nommé commis des Contributtons Indi
rectes à Morlaix, en rcmplacemeni de M
Joules, appelé sous les drapeaux.
" M. a e c h , surnuméraire à Lorienl, est
nommé commis des Contributions Indirectes
à Morlaix en remplacement de M. Gérard
Brevet élémentaire
Les examens commencés mardi ne se
sont terminés que dans la matinée d^ jeudi
Voici lus noms des aspirantes admises
. définitivement :
Mlles Balay, Ba. douil, Le Bellec, Biauce,
Le Breton, Barban, Carrouer, Castel, Blanche Castrée, Chenon, Clorennec, Marianne
Cornée, Cosquer, Fercoq, Fenoux, Foll,
Gauduchon, Gentric, Goavec, Alexandrine
Le GotT, Gouriou, Marguerite Gourmelen,
Govy, Guillermit, Gnillonoer, Laurence
Guiziou, Marie-Jeanne Guiziou, Harscouft,
Le Her, Jégoudez, Joncour, Jouannic, Kcryell, Lacour, Landrain, Landreau, JLennon
Lharidon, le Moal, Plouhincc, Quéléver
Renaud, Marie Ropars, Elise Le Roux e
Stéphany. — Soit 45 sur 49 admises à subir
les épreuves oialee.
Compagnie des chemins de
fer départementaux du
Finistère.
paiement du dividende. — Le Conseil
d'Administiation de la Compagnie des
Chemins d<J fer départemanlaux du Finistère, a l'honneur de porter à la connaissance des aclionaires qu'un accompte de
vingt flancs (20 fr.) sur le dividende de
l'exercice 1912, sera payable à partir du
l - octobre prochain à la gare départementale de Brest, de 9 à 11 heures du
matin et de 2 heures à 5 heures, dimanches
et fêtes exceptés, contre présentation du
coupons n" 32 pour les actions au porteur
et du certificat pour les actions nominatives.
La somme nette à toucher est de :
Actions nominatives
19 fr. 20
Actions au porteur
18 fr. 95
Les propriétaires d'actions au porteur
sont priés de présenter leuis titres pour
qu'il y soit ajouté une nouvelle feuille de
coupons.
Madame L I O T a l'honneur d'informer
sa nombreuse
clientèle
qu'elle
recevra
ï r modèles"' dernière création de Paris,
pour In Saison d'Hiver. L'exposition aura
i e u l e Lundi
1 Octobre
prochain,
QUIMPERLÉ
\ o s Sous-Pr«îfet«». — M. Tavéra, ancien
sou.s-préfet de Quimperlé, sous préfet de
Montbrison, est nommé sous-préfet de
Bergerac.
^
A u sujet d ' a l i g n e m e n t . — Nous apprenons que l'Administration supérieure, émue
(les abus signalés par YEcho de Bretagne
dans l'afiaire d'alignement touchant la maison Le Borgne, vient d'ouvrir une enqu«ite
au sujet des faits révélés et on nous assure
qu»- des sanctions vont être prises.
Nons continuerons à tenir nos lecteurs au
courant des péripéties de ceJte grave aflaire
dont le Maire de Quimperlé aura sans doute
à répondre.
Conseil m u n i e i p a l . — Le Conseil municipal de Quimperlé se réunira dimanche
prochain â 9 heures en ses.sion ordinaire.
Ordredu jour : élection de deux membres
chargés de la révision de la lisie électorale
de la Chambre de Commerce ; demandes
d'indemnités de logement ; proposition de
l'atrent-voyer en chef au sujet du chemin de
grande communication n» 16, de Clohars
Carnoet à DoSlan ; question des écoles
publiques, etc...
L a T e m p ê t e . — La tempête qui a sévi
sur notre région samedi, dimanche et lundi,
û occasionné de nombreux dégâts. Presque
partout, les prairies ont été inondées ; à
Quimperlé, la Lalta, grossie par les eaux
pluvieuses, a débordé sur les quais Brizeux
et Surcouf. Dans les environs, de nombreux
arbres ont été déracinés. Signalons notamment la chute d'un txiulcau sur la ligne de
Quimperlé à Qiiimper, auprès de Kernault,
on Mellac. Au passage du train de 4 heures,
la voie s'est trouvée obstruée. Fort heureusement, l'accident s' est produit en plein
jour. S'il s'était produit au commencement
de la nuit, il en serait résulté très probablement un déraillement.
De nombreuses épaves ont été jetées à la
côte. En ce qui concerne notre région, on
ne signale pas toutefois d'accidents.
Il n'en est pas de même du côté de Penmarch où il y a eu des naufrages que nous
relatons d'autre part.
O b j e t s p e r d u » et trouvés. — Il a été
perdu à Quimperlé : une broche en or, avec
briilanb;; un carnet avec couverture noire ;
une bague en or avec initiales.
Il a été trouvé : une montre en argent et
une montre en nickel.
Pour tous renseignements, s'adresser au
-'Commissariat de police.
L a F £ t e d e S a i n t - M i c h e l . — L'auxiliaire
le p l u s p r é c i e u x d a n s l ' o r g a n i s a t i o n d e t o u t e
fête a fait défaut celte année au comité qui
avait assumé la lourde tAche de faire réussir
la fête annuelle de Saint-Michel. De véritaIbles trombes d'eau se sont d<^versées sur
notre ville durant la soirée de samedi et
presque toute la journéededimànchenotamment dans l'après-midi. On conviendra qu'il
n'était pas possible, dans ces conditions, que
la fête obtint .son succès habituel. D s communes environnantes, il n'y av<it que peu
de monde, mais les Quimperlois n'ont pas
recul<^ devant la pluie pour assister aux divcrti>senients prévus au programme. Grâce
à l'activité et au zèle des conmiissaires,
toutes les parties du programme ont été
exécutées sans incident et .sans accident.
Les commissaires, en eflet, ont dû faire
contre mauvaise fortune bon cœur et tous à
quelques rares exceptions prés ont fait
preuve de beaucnup de dévouemenl. Nous
disons « à quelques rares exceptions près »,
U ferait peut-être plut juste de dire « à une
A 5 heures. — Mât db cocagne.
seale ». Le commissaire récalcitrant,M.Jean battoir de Quimperlé : 53 bœufs,5 taureaux,
LUNDI 7 OCTOBRE
Hervé, adjoint au maire, est en celte qua- 11 genisses, 17 vaches, 205 veaux, 142 mouA 11 heures. — Courses de chevaux (interna
lité inexcusable. A un commissaire qui de- lons, 35 porcs.
lionales). ~ Galop. — Prix : 15, 10, 5 fr. — Trot,
mandait un renseignement, il fit cette réNaisiances. — Jean Corn, 11 rue du bourgneuf.
ponse «urpreuante : << Je n'en sais rien, je — Marcel Gargam à Kérèse. - Thérèse Danié- - Prix : 15, 10, 5 fr.
A 11 h. 1/2. - Poids. - Prix : 5, 3, 2 fr.
ne suis pas commissaire! » M. Hervé, qui lou à Kergoaler.
A midi. — Banquet par souscription. — Prix
aurait voulu exclure du comité ceux qui
Pubticalions
de mariages. — Joseph-Marie Ker
2 francs.
ne lui plaisait pas, n'avait pas encore digéré lan, rullivateurà Quimperlé elAugnsline Thierry
A 1 h. 112. — Course de bicyclettes (internad'avoir été remplacé comme vice-président
cultivatrice à Rédéné.
tionale). — Prix : 12, 8, 5 fr.
Emmanuel Léonard Chaussé, employé de
La musique municipale, subventionnée
A 2 heures. — Course pédestre (parcours
comme les années précédentes par la caisse banque, el Mademoiselle Hélène-Marguerite Uilomèlres). — Prix : 20, 12, 8, 5 fr.
A 2 h. 1/4. — Course d'hommes. — Prix : 3, 2,
du Comité, prêtait son concours à la fête Driart, institutrice, domiciliés à Quimperlé.
René Gabriel Le Roy, menuisier, el Mlle Jeanne 1, 9fr. 50.
qui s'est ouverte par un concert donné saLouise
Guéroué,
domiciliés
à
Quimperlé.
Course de vieillards de plus de 60 ans. — Prix
medi soir sous la balle Saint-Michel, concert
Mariages.
— Yves-François .Naour, ébétiiate et 3 2 1 0.50.
suivi d'une brillante rclraile aux flambeaux Marguerite-Hérvé s. p. à Quimperlé.
'course d'enfants.-Prix : 1.50,1,0.75,050, 0.25
qui a suivi l'itinéraire fixé à la faveur d'une
Décès. — Pierre Le Maout, 40 ans, forgeron, i\
A 3 heures. — Jeux divers sur la place.
éclaircie.
Kérèze. — Marie-Louise Coadou, 57 ans, corn
A 3 heures. — Luttes bretonnes. — Nombreux
Les courses qui ont eu lieu dans la ma- merçanle 10, Grand'rue.
prix.
tinée de dimanche n'ont pas été contrariées
A 5 heures. — Gavotte d'honneur. — Flots de
C L O H A R S - C A R X O E T . — F ê l e s p u - rubans.
par le mauvais temps, mais il n'en a pas été
bliques. — Voici le programme des fêtes
Nota. — La Municipalité ne répond pas des
de môme l'après-midi.
La course internationale de bicyclettes, qui publiques qui auront lieu à Clohars-Carnoét, accidents qui pourraient survenir pendant les
comportait un parcours de 34 kilomètres, le lundi 7 octobre à partir de 2 heures de réjouissances.
s'est eflecluée sous une pluie battante. l'après-midi, à l'occasion du concours de la
M. Bofdeca fait une course superbe, gagnant société d'agriculture de l'arrondissement de
toutes les primes oflertes à Clohars-Carnoet, Quimperlé :
A l a P r é f e c t u r e . — M. Nau, conseiller
MoPlan et Riec-sur-Bélon, et arrivant à QuimCourses de chevaux. — Au galop. — 1" prix,
de préfecture du Finistère, est nommé
perlé bon premier, ayaiiteflectué le parcours 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3-, 10 fr.
Au trot. — 1" prix, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3-, 10 fr. conseiller de préfecture des Alpes-Maritimes
en 1 h. 3' 50".
Course attelée ouverte à loul l'arrondisseM. Monnier, conseiller de préfecture du
Les jeux et divertissements divers, malgré
Morbihan, est nommé conseiller de préfecle mauvais lemps ont été très suivis ; la ment. — 1" prix, 20 fr., 2', 15 fr. ; 3-, 10 fr. ;
A midi aura lieu, chez M. Laurent Bran- ture du Finistère, en remplacement de
course attelée notamment a àttiré une foule
nombreuse et la journée s'est terminée par goulo, un banquet par souscription sous M. Nau.
lu traditionnelle gavotte d'honnèur suivie la présidence d'honneur de M. le Miaistre
Les r é g a t e s . — Les courses organisée»
de l'Agriculture, de M. le Préfet du Finisde la distribution des prix.
La fête s'est terminée par un grand bal po- tère, de M. le Sous-Préfet de Quimperlé et dimanche par la Société des régates de
pulaire à la halle Saint-Michel, et qui a duré de M. Le Louédec, député, président do la rodet ont eu lieu dans la baie de Kerogan,
jusqu'à 3 heures du malin, et auquej ont as- Société. Le banquet sera présidé par M. par un temp^ exécrable. Le vent soufflait en
sisté près de GOO personnes. Le montant des Gerdil, inspecteur des Eaux et forêts, secré- rafales et plusieurs accidents matériels se
entrées s'est élevé à 11(J francs. Une quête, taire particulier de M. Pams, délégué par sont produits, mais heureusement sans confaite au profit du bureau de bienfaisance, a M. le Ministre de l'Agriculture. Ajoutons séquences gi-aves.
que plusieurs députés républicains du FiVoici les résultats des deux séries :
produit la somme de 13 francs.
Parmi l'assistance, au bal, se trouvait M. nistère et du Morbihan y assisteront.
1" Série, guidon rouge, bateaux non pontés,
Voici le menu du banquet :
au-dessous de 4 m. 30 : I " prix, une palme,
Le Louédec, député, qui, après avoir assisté
Huitres du Pouidu
Viens-Poupoule,
à M. C o s q u é r i c (1 h. 33' 1") ; 2-,
aux courses le matin, s'était rendu à PonHomards el Langoustes à l'américaine
Sparfel,
â M. C r o u a n (1 h. 41' 22") ; 3-, Antonin,
tivy et était rentré dans l'après-midi pour
à M. Tanguy Biger (1 h. 46' 5") ; 4-, .Suzy, à M.
Jambon
assister à la gavotte d'honneur puisa la disRault fils.
Civet de lièvre
tribution des prix.
2' Série, guidon blanc, bateaux demi-ponlés :
Poulet rôti
Avant de clore ce rapide compte-rendu de
1" prix, une palme, Oolo, à M. CralT (1 h. 40'56");
Salade
la fête Saint-Michel, qui aurait surpassé en
bohé2-, Goéland, à M. Cabirol ( l h . 4 r 4 " ) ;
DESSERTS
éclat celles des années précédentes si le cicl
mienne, à M. Cieutal.
Fruits, Gâteaux bretons
avait été plus clément, nous tenons à remerVin blanc el rouge, Cidre
C h a m b r e des buissier.s. — Voici la
cier et féliciter tous les commissaires qui
Café, Cognac
composition de la Chambre des huissiers,
ont pris une part active à son organisation
Champagne
telle qu'elle résulte du scrutin qui a eu lieu
et notamment les membres du bureau,
Prix : 3 francs.
M. Louis Tréguier, industriel, président ;
Les personnes désirant assister au ban- samedi, à Quimper, entre les huissiers de
M. J.-M. Rigoussin, charron, vice-président; quet sont priées do faire parvenir leur adhé- l'arrondissement :
M. G. Roger, trésorier et M. Y. Martelot, sion pour le vendredi 4 octobre au plus lard,
Syndic, M. Le Roch, huissier k Concarneau ;
secrétaire. Et nous leur disons : « A l'année soit au secrétaire de la société d'agriculture secrétaire, M. Le Corre, huissier à Quimper ;
prochaine ! »
à Quimperlé, soit à l'administrateur de rapporteur, M. Aulrel, huissier à Ponl-l'Abbé ;
Voici les résultats des courses et de la l'Echo de Bretagne, soit à M. Laurent Bran- trésorier, M. Lahuec, huissier à Douarnenez ;
membre, M. Vauchel, huisser à Ponl-l'Abbé.
gavotte d'honneur :
goulo Clohars-Carnoèt.
Courses de clie/aux. — Galop. — 3 partants :
Le nombre des adhésions déjà recueillies
I>Ei\MARCH. — L a tempête. Un
-, Goalabré, de Quimperlé ; 2-, Pennec, de est très élevé et l'on peut affirmer à "l'avance
épouvaniable ouragan s°e.-,t abattu sur la càte
Briec ; 3-, Pézennec, de Locunolé.
que le banquet comportera plus de 200 cou- lundi soir. Tout les bâteaux du pêche de StTrot. — 4 parlants : l " et 2-, l'uric, de Tréverts.
Guénolé, Saint-Pierre et Kérity travaillaient
gunc ; 3-, Quémar, de Baye.
Courses de bicyclettes. — Communale. —
Etat-civll du I S au 3 0 septembre. -- dans la baie ; quelques uns purent, avec
l -, J. Pustoch ; y-, F. Boulben ; 3-, Charles; *•, Naissances. — Le Bris .\ndré-Joseph-Marie, de beaucoup de peine, regagner le port de SlGourlay.
Porsguern. — Coguen Piere-Marie, de Langlazic. Guénolé ou d'Audicrne ; le reste, une cenKnfants. - l " prix, Toulliou, du Poteau-Vert, — Ollichon Clémenl-Pierre-Joseph, de Kervoi'n. taine environ, dut se réfugier dans l'anse
en Quimperl6; ' l , (Jlédic Joseph, de Quimperlé ; — Couilliindre Marie-Yvonne, de Kervigoulous. de Pors-Carn.
Bilian, de Bannalec; 4., Bicouard, de Quim- — Le Pézennec Joseph-.Mîirie, de Penlan.
Au large du Menhir, le «Petit-Noël» eut
porié.
Publications
de mariages.
~ Scaviner Yves, 28
Internationale. — 7 partants : 1 • prix, Boiidec, ans, marin du con)nierce, né ù Moëlan, domi- une avarie â son gouvernail ; il allait en déde Melgven, en lli.3'r>0"; 'i-, II. Jicquel, de cilié à Cloliars-Cainoël, et Scaviner Viclorine, rive, lorsque l'é juipage fut sauvé par le pa
Bannalec ; 3-, J. Puslocli, de Quimperlé ; 4-,
ans», couturière, née et domiciliée à Clohars- tron de la « Kerilyennc ».
Boulben, de Quimperlé. v
Le « Boer » eut toutes ses voiles enlevées
Carnoêl ;
Courses à pied. — Enfants. — Bernard,
Le Floch Joseph-Marie, 26 ans, marin de l'Elat, en vue des rochers de Saint-Guénolé. Le
Blenzen, Balquer el Le Bars.
né el domicilié à Cloliars-Carnoet, el Jeanne patron fit mouiller l'ancre ; la chaîne cassa
Hommes. — Poézart, de Mellac ; Perret, de Lopin, l'J ans, coulurière, née el domiciliée à
et l'embarcation dériva. L'équipage fut sauBannalec ; Dagorn, de Baye.
Clohars-Carnoët ;
vé par le canot de sauvetage de Sl-Guénolé
Course attelée — .1", Furie, de Trégunc ;
Plessix Joseph, 47 ans, marin-pêcheur, né el
Le patron de la >< Yole », dut abandonner
2-, Le Roch, de Quimperlé ; 3-, Even,de Lorienl; domicilié à Clohars-Carnoët, veuf de Anne-Ju4-, Quéinar, de Baye ; 0-, Postée, de Quimperlé. lienne Goulven, cl Pusloch Anne-Einilienne, son canot plein d'eau. L'équipage a été reGavoUe d'honneur. — MM. Pocher, de Ker- 31 ans, couturière, née et domiciliée à Moëlan. cueilli par le patron Jean-Joseph, du
gamp, en Quimperlé. Jolivet, de Baye. Ilélou, de
Mariages. — Le Maoul Joseph-Marie, 30 ans, « Charles-Roux ». Celle dernière chaloupe
Querrien. Forlot, de Mellac. Joachin, de Scaer. cl Coullou Marie-Anne, 21 ans. — Bizien Joseph- eut de la peine à rejoindi-e Porl-Carn. Son
Chauvel Céleslin, de Quimperlé. Cariou, de Marie, 23 ans, el Le Claiiclie Louise, 23 ans. — mât de misaine cassa el ses deux vergues
Baye. Le Roux, de Quimperlé. Lopin, de Quim- Ouiffanl Charles-Micliel-Jean-Louis, 21 ans, et furent brisées.
perlé. Runnou, de Bannalec. Kermagoret, de Le Maoul Anne-Julienne, 24 ans. — Ravallec
La '< Nolre-Dame-de-Penhars, patron GarQuimperlé. Pustoch, de Sainl-Tliurien. Le Gall, René, 23 ans, el Guyomar Rhilomène, 17 ans.
de Quimperlé. Derrien, de Quimperlé. Conan,
DMs. — Guéguen Marie-Marguerite, 75 ans, rec fut Chargé ; l'équipage lui sauvé par le
de Quimi)erlé. Kerrec, de Quimperlé. Dagorn, cultivatrice à Locouarn, veuve en premières patron A.ain Cloarec, de la « Oyapock. Les
de Quimperlé. Derrien, de Bannalec. Le Gall, de noces de Jean-Marie Lozachmeur el en secondes matelots qui montaient le « Saint-Corenlin »
Mellac. Rouai, de Quimperlé. Meurlet, de de Yves-Marie Tanguy.—Audren Jeanne-Louise
de Kerily, furent sauvés par une embarcation
Quimperlé.
26 ans, cullivatrice à Kerguélen.
de Saiut-Guénolé.
A r r e s t a t i o n d ' u u l o u . — Hier jeudi, un
Vers huit heures du soir, le venl souflla
MOELA^'. — M o r t e sur l a r o u t e . — de l'ouest, puis de l'ouest-nord-ouesl. La
nommé Nestour François, Agé do 37 ans,
originaire d'Arzano, cultivateur à Rédéné, Une femme nommée Marguerite Paguelle, mer, qui descendait, devint terrible à Porsétant entré à l'hôtel Le Dantec se mit à demeurant à Kerez, en Quimperlé, a été Carn ; les embarcations s'ensablèrent mardi
causer du scandale; mis à la porte il se livra trouvée morte le 30 septembre sur le bord malin, loul était brisé sous l'eau, sauf la
à des excentricités sur la place Nationale. Il de la roule de Moëlan à Bélon, auprès du « Volonté-de-Dieu », qui flotte tant bien que
lieu dit Pontouar.
était nus-pieds el nue-tête.
mal. Beaucoup de patrons sont ruinés, carils
D'après les constatations faites par le doc- ont peidu non seulement leurs bateaux,
Les gendarmes,appelé8pourrapprébender,
le conduisirent à l'hospice. Nestour, dont teur Monol de Moëlan, appelé par le maire mais aussi leurs glets el engins de pêche ;
l'aliénation mentale semble résulter du cha- pour visiter le cadavre, la mort est due à 300 personnes, de ce lait, sont sans travail,
car il est impossible de construire du jour
grin dont il a été aflecté à la suite du décès une congestion provoquée par le froid.
au lendemain.
de sa femme, survenu il y a .quatre ans, est
RlKC-SliH-nÉLOIV. - Incendie. Voici, pour Kérity cl Saint-Pierre, le bipère de quatre enfants.
Samedi, un incendie a éclaté chez un nom- lan du désastre :
Suicide. — Dimanche matin, on a trouvé mé Le Maout Pierre, forgeron, demeurant à
Ont perdu un grand bâleau de pêche et
pendu à un pommier, auprès du village de Kerlippe, en Riec. Le feu a été volontaire- un canot annexe : NoCl Slèphan, Corenlin
Kerez, en Quimperlé, le cadavre d'un homme ment mis à l'immeuble par Le Maout à qui le Cleach, Alain Normand, Auguste Kerisil,
(|ui a été reconnu pour être un nommé propriétaire, M. LeHec, tailleur à Riec, avait Jean Durand, Alain Cloarec, François GourPierre Le Maout, ouvrier forgeron à Ricc- donné congé, étant donné qu'il ne pouvait se laouen, Jean Pichavent, Eugène Le Moigne,
sur-Bélon, Agé de 47 ans. Cet individu avait faire paver. Sans la prompte intervention Thomas Jégou, Louis Jégou, Joseph Jégan,
mis le feu chez lui la veille. Nous relatons d'un voisin, Louis Lijour, tailleur à Ker- Louis Talbut, Robert Louissarn, Jean Tanlippe, deux des enfants Le Maout, âgés de nion, Robert Corre, Henri Crian, Guillaume
d'autre part cet incendie.
4 ans et 3 ans, seraient peut-être rrstés dans Garrec el Kerloin.
C e r t i f i c a t d'études. — Aujourd'hui ven- le feu. Une partie du mobilier a pu être
A Saint-Pierre, les chaloupes « Cyclamen»
dredi a eu lieu à l'école des garçons de sauvé.
« Bon père », la » Romaine », et « RédemQuant à Le Maout, après avoir commis pteur « sont brisée à la côte.
Quimperlé l'examen du certificat d'études
primaires élémentaires pour la session d'oc- son crime, il avait disparu. Le lendemain
On est sans nouvelles de l'équipage Calvez,
tobre. Nous en donnerons les résultats dans matin, on le trouvait pendu auprès de Ke- de Sainl-Guénolé.
rez, en Quimperlé.
notre prochain numéro.
M. Le Bec évalue ses perles â 1500 fr. 11
S e r v i c e du Pouldu. — Depuis le 1" oc- est assuré.
tobre courant, le service par autobus entre
U A \ > A L E C . - Cheval emballé. Quimperlé et le Pouidu est assuré aux
CHATEAULIN. - Fête républicaine.
Mercredi soir vers 4 heures un quart, au
heures suivantes :
— Le Comité républicain démocratique de
moment
ou
les
élèves
rentraient
de
chasse,
Quimperlé-Gare. — Départ": 6 h. 20 et
un cheval s'est emballé, rue de la gare. Une Chalcaulin, à l'occasion de son assemblée
8 h. 4E..; 15 h. 45.
générale du dimanche 13 courant, organisé'
Clohars-Carnoél : G h. 50 et 9 h. 30 ; petite fille a été renversée et assez fortement un banquet qui sera servi à midi, sous la
contusionnée,
_
IG h. 30.
présidence d'honneur de M. le Préfet du
Le Pouidu (Kerankernat arrivée) : 7 h. 5,
\ I Z O ! \ ' . — V o l . — Depuis quelque lemps, Finistère et sous la présidence eflective de
9 h. 45 et 16 h. 45.
M. Péron Jean-Marie, cultivateur, demeu- M. Le Bail, député, assistés de M. Halléguen,
Le Pouidu (Kerankernat).- Départ:7h. 15, rant à Pont-Aven, constalait que presque maire.
•
10 h. 29, 17 h. 49.
journellement on lui volait des haricots
Le comité compté également sur la préClohnrs-Cnrno/'l ; 7 h. 30 ; 10 h. 44 et 18 h. dans l'un de ses champs, situé auprès de s e n c e d e M M . l e s S é n a t e u r s e t D é p u t é s
Quimperlé-Gare. — Arrivée ; 8 h., 11 h. 14 Rustéphan. M. Péron porta plainte à la républicains du département, de M. l'Inset 18 h. 40.
gendarmerie qui ouvrit une enquête. La pecteur d'académie, de M. le Sous-Préfel
coupable est une nommée Lacorne Louise, de Chateaiilin el de toutes les notabilités
A u d i e n c e de r e n t r é e . — Le 2 octobre femme Charuel, âgé de 43 ans, sans pro- de l'arrondissement en entier.
1912, à une heure de l'après-midi, a eu lieu fession et sans domicile fixe, qui vendait à
La journée est appelée à prendre le caracl'audience solennelle de rentrée au Tribunal Ponl-Aven le produit de la cueillette qu'elle tère d'une grande manifestation républicaine
de Quimperlé.
allait faire dans le champ de M. Péron.
Les membres du bureau sont convaincus
M. le Président du Tribunal sur les conInterrogée parles gendarmes,celle femme que tous les républicains de la région se
clusions de M. le Procureur de la Républi- nia d'abord ; mais en présence des témoi- feront un plaisir et un devoir de prendre
que a déclaré ouverte l'année judiciaire gnages des personnes qui lui avaient acheté part à celle fêle.
1912-1912 et a fait connaître que les audien- des haricots, elle dut faire des àveux.
Pour le banquet, dont le prix esUixé à 3 fr.
ces auront lieu aux mêmes jours et aux
prière d'adresser les adhésions avant le 10
mêmes heures que par le passé, conformé. \ ^ V E / . — l'êtes publiques. — Les courant à M. Noèl L'Haridon, trésorier du
m -nt au règlement.
dimanche et lundi 7 octobre auront lieu à comité, à Châteaulin.
Névez des réjouissances publiques à l'occaA s s i s t a n c e J u d i c i a i r e . — Ont été sion de la lête patronale. En voici le proLE FAOU. — Automobile en Ieu. —
nommés membres du bureau d'assistance gramme :
Une automobile, dans laquelle se trouvaient
Judiciaire pour l'année 1912-1913, MM. Bot
DIMANCHE 6 OCTOBRE
et Piédoy- avoués et M. Etchécopar, notaire
A 3 heures. - Courses de chevaux (commu- plusieurs touristes, a pris subitement feu
a Quimperlé.
nales). — Galop — Prix : 10, S, 0, 4 fr. — Trot.— samedi, à deux kilomètres environ du
bourg. Trois des voyageurs ont été légèrePrix : 10, 8, 6, 4 fr.
L e v e n t r e d e Q u i m p e r l é . — Durant
oerte s'élève i une trentaine
A4 heures, — Couiie de bicyclettes (commu- ment brûlés.
le mois de septembre, il a été abnUu à l'A- iule). - Prix : 10, 8, », 4 fr.
de mille frfincf.
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Quimperlé.— Foiredu 30septembre 1912
— Taureaux, le kilo, 0 fr. 65 à »».»»
bœufs de boucherie, 0.75 à »:»» ; vaches de
boucherie,0.45A ».»»; bœufs de travail, ordi
naire; bouvillons, »» à »» fr. pièce,; vaches
laitières, n» à »» fr. ; génisses, »» à »» fr.;
chevaux, élevé ; porcs, 1.35 à ».»» le
kil.; moutons, 0.90 à ».»»; veaux, 1.10 à ».»»
froment, les 100 kilos, 26.00 à »».»» ; seigle
20.00 à »».»» ; orge, 19..50 à »».»» ; sarrasin
19.00 à »».»»; uvoino, 19 50 à »».»»; pommes
de terre, les 100 kil., 7.00 à »».»» l'r.; beurre
le kilo, 2 fr. 20 à »».»» ; œufs, la douzaine
1 fr. 10 ; volailles, le couple, 4 »» h 7 fr. »».
Foin, les 500 kil., 65 fr. à »»; paille, les 500
kil.,38 ir. à »» ; son, les 100 kil., 17.50à »».»»
larine 1" qualité, 38.»» à »».»»; 2« qualité
37.»» à )>».»» ; millet, les 100 kil.,50fr. ; farin*
d'avoine, les 100 kilos, 28 fr. ; pommes à
cidre, les 1.000 kilos, 75 francs.
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REVUE F O N C I E R E
Paris, 28 septembre 1912.
Nous avons il y a hail jours
constaté que la
tenue du marché tout en restant fort
satisfaisante
dans son ensemble, était plus calme el plus
réservée et que l'on commençait
à éprouver
te contre
coup des très vives hausses prises
précdemment
En cette semaine cet étal d'esprit
a
persisté,
l'accentuant
même, car outre le désir de
consolider les cours élevés à peu près partout ou de s'assurer les bénéfices appréciables,
on a du tenir
compte de t'approche de la liquidation,
il
convenait en efl'et, de dégager ta place un peu trop surchargée pour aborder l'échéance sans encombres
C'est ce qu'on a fait tous ces jours-ci
et si, de
ce fait, les cours se sont un peu tassés, du moins
l'effet de ces réalisations
aura été des plus
salutaires. D'ailleurs,
sur aucune séance on n'a constaté un ralentissement
dans les bonnes
dispositions
de notre marché, ce qui permet de prévoir
que,
aussitôt l'échéance passée, on pourra
partir
de
l'avant pour de nouvelles étapes.
Comme précédemment
le marché du
comptant
qui n'a pas à tenir compte des mouvements spéculatifs a fait preuve d'une grande fermeté el d'une
réelle animation.
Au parquet,
on y a traité, entre
autres les actions libérées de moitié,de
l'industrielle
foncière de façon suivie vers 63'^, les
obligations
4 OjO se retrouvent à 467, le 4 / / 2 à 502 ; on sait
qus ces titres sont nets d'imi ûts.
L'action iSociélé Commerciale
du Caoutchouc est
restée ferme à U18, malgré le recul des valeurs de
caoutchouc proprement
dites avec lesquelles on la
solidarise
à tort. Un confond généralement,
en
effet, les litres des entreprises qui ont pour
objet
la production
de la matière première {Hociétés de
plantations
ou d'exploitations
forestières)
el les
titres des Sociétés de fabrication
ou de
transformation du caoutchouc : le sort de ces dernières
n'est pas du tout, comme celui des Sociétés de production, étroitement lié aux ftuctualions
des pri.r
du caoutchouc el loin de sou/Jrir
d'ailleurs de la
baisse des prix, les affaires comme la Société Centrale du caoutchouc
en tirent plutôt avantage.
La
meilleure preuve en est que le chiffre des ventes de
la Société Commerciale
qui l'an dernier
au
août était de 3 millions /7s;.855 francs, s'est élevé
cette année au 31 août à 4.05tS.4S7 francs en huit
mois
d'exercice.
Ce rapide développement du chiff're d'affaires
a
eu pour corollaire
une augmentation parallèle des
bénéfices et il résulte de déclarations
officielles que
te dividende de l'exercice
l'J 12 sera supérieur à la
répartition
de 15 francs effectuée pour
l'exercice
1912. L'action de la Société Centrale du
Caoutchouc qui aux cours actuels de 218 francs
offre
déjà un rendement rénumérateur
de 6.(10 0/0 est
donc appelée à une rapide
plus-value.
A la Itourse de Lille, les tendances
satisfaisantes
que nous constations,
il g a huit jours, sur les actions Vendin le: Itéthune se sont traduites par une
nouvelle hausse de ces titres à 160. L'opinion
unanimement favorable
émise sur ce
charbonnage,
préalablement
à la Constilution
de la Société actuelle, par le service départemental
des mines,
par le Conseil supérieur des Mines et par le Conseil
d'Ëtat, est confirmée d'une façon éclatante par la
qualité des dernières veines recoupées, par
leur
régularité
el par •4es résultats
des analyses
dont
les charbons ainsi mis à jour ont été ou sont l'objet, 11 g a là une série de manifestations
matérielles qui démontrent bien ta valeur de ce
charbonnage dont la hausse des actions est
généralement
considérée à la Bourse de Lille, comme une éventualité ressemblant plus à une certitude
qu'à une
hypothèse.
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Par
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D U VERGER
CHAPITRE XIV
Les résultats à atteindre ne pouvaient
l'être qu'avec un mystère général, absolu.
La journée se passa et, après le repas du
soir, il s'en vint guetter l'effet du piège
tendu.
Non pas qu'il crut que Jougla reviendrait
dès ce premier soir, car il devait avoir fui
trop loin, jusqu'à Bourbonne sans doute
où il se créerait un alibi, pour cela.
Mais plutôt par acquit de conscience,
pour être certain que toute chose était en
place.
On conçoit donc facilement sa stupéfaction, son ennui quand i l constata que
d'autres personnes que Jougla, guidées
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(Journal Officiel da 28 Novembre 1904)
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oolITes et de costumes bretona, de parchemins, de sceaux et
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barres d'aiguilles, barres de prease-tisau, bielles d'cxcenlrique, leviers, bielles
d'arbres, elc., sont fonjèes du meilleur acier au moyen des marteaux à vapeur installés dans In fabrique môme; en outre, elles sont bien trempées, ce qui en augmente
considérablement lii résistance.
Les différentes pièces des machines PfalT sont travaillées, montées et ajustées
de la faïon la plus consciencieuse par des ouvriers habiles et très expérimentés,
voilà pourquoi les machines PfalT se distinguent par leur
grande diirabilité et haute capacité de travail
Toutes machines PfalT possèdent : .j
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de grandes navettes et de grandes canelles q u i c o n t i e n n e n t b e a u c o u p de fli,
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Il le gardait pour en assommer Jotigla son patron voulait être libre dans ses allées
par un chien, venaient au travers de son
et en faire ensuite-hommage, comme une
venues et qu'il n'avait point à surveiller,
! dessein.
lui, la propriété tant que M. de Melval seI Après quelques minutes de profonde preuve d'amour, à Armande.
Et Antoinette lui gâtait sa joie d'écraser rait présent.
angoisse et alors qu'il se demandait si les
Donc il affecta de s'en aller en tournée
visiteurs n'étaient point Jougla el la Sar- mystérieusement ce rival, de rire de son
dans son cantonnement et à l'opposé de
dine, il avait respiré en reconnaissant qu'il écrasement fantastique avec l'aimée.
s'agissait de sa sœur el d'un policier.
Anloinellft passe encore mais quel désa- Marlinville.
Le second soir M. de Melval partit plus
I l avait craint terriblement que sa pour- grément pour le mélange d'un étranger
suite du malfaiteur fût devenue inutile quelconque, d'uu homme de police à une lôl que la veille ; il emportait un fusil.
Dès huit heures il était dans l'intérieur
d'abord el pis, ridicule pour lui, par-dessus aventure absolument intime !
le marché.
M. de Melval ne savait poifit qui était de la propriété.
Mais cette fois il ne se contenta point de
Noibert Daligny et était en droit de redouPas de milieu en effet.
surveiller
les alentours.
ter
des
bavardages
regrettables,
du
zèle
Ou Jougla serait terrifié, écrasé pour le
I l entra dans la maison et n'en ressortit
reste de sa vie, ou l'aventure tournerait en importum.
plus.
Nous savons qu'il avait tort.
farce qui l'exciterait à se moquer à son
Là-bas, à Bourbonne, Jougla s'était
Su par Daligny el Mlle Antoinette son
tour des habitants du Chalet, à les berner
secret était aussi ignoré que s'il fûtlevé de bonne heure et s'en alla, vélu en
sans trêve.
touriste, comme pour une promenade aux
M. de Melval avait été louché de l'affec- reslé sa chose à lui.
La chose de Jougla, la chose de Mme environs.
lion inquiète d'Antoinette, mais tout de
Mais il marcha rapidement, gagna une
môme il lui en voulait, il en voulait à celui Armande.
Quand sa sœur, le policier el Lisette se slation de chemin de fer et, après quelques
qui l'accompagnait d'avoir éventé le piège
furent éloignés, .M. de Melval revint sur détours, se trouvait à Chaumont vers
tendu.
midi.
11 ne doutait point de leur mutisme ses pas, reprit .sa l'acliou.
Rien,
rien
poui
cette
nuit-là.
Il y acheta des journaux, les lut, rien
absolu.
d'extraordinaire
n'y figurait concernant la
Vers
l'aube
il
entra,
examina
le
manneMais tout de même son secret, ce secret
région.
quin,
le
corridor.
qu'il avait tout fait pour cacher à la terre
Tout avait été remis à sa place, aucunes
Donc son assassinat de Martinville était
entière, son secret était défloré, partagé.
encore ignoré.
Cela le gênait dans ce qu'il avait résolu, traces du passage de qui que ce tût.
11 retourna chez Ledrain et y dormit.
Personne n'avait nis les pieds dans la
ne le laissait plus libre de ses mouvements
Le garde avait parfaitetpent compris que propriété depuM son départ, personne n'aet certain des conséquences.
M.
Louis
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n'ayant pas été mouillé, par Wn^ons de 5 à 6.000 kilos.
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tembre prochain.
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du stock qui est très restreint.
vait remarqué qu'une porte de la maison
fût mal lermé, qu'un cadavre, celui de M .
de Melval, baignait dans son sang à l'autre
éxtrémité du corridor.
I l pouvait y retourner.
Ses terreurs s'étaient évanouies.
A la nuit tombante il prit un train qui le
menait dans la direction de Martinville.
Mais point avec descente à Bricon.
I l se servait, cette fois, du chemin de
fer de Ghfttillon-sur-Seine et s'arrêta à
Orchamps.
D'Orchamps il s'en vint, par les bords
du canal, jusque de l'autre cdlé de Martinville, dans la direction prise par le policier
et Mlle Antoinette, à leur retour.
De cette façon il arrivait dans la propriété O'claymorgan à revers, ne passait
plus là oh il avait passé la première fois.
Dix heures sonnaient au clocher de Martinville quand il se risqua sur les marches
du perron.
I l n'attendait pas plus tard parce qu'il
désirait revenir à pied à Chaumont et y
prendre un train de nuit qui lui permettrait de rentrer à Bourhonne d'une manière détournée et de si bonne heure que
l'on ne put supposer qu'il était allé au-delà de Chaumont?
Du premier coup i l avait eonataté que
la porte était restée telle qu'il l'avait laissée, entr'ouverte.
« Ç i allait bien 1 Le crime n'avait point
été découvert. »
Jougla tremblait bien un peu, mais i l
s'avança tout de même.
Une fois de l'autre côté du battant de la
porte il alluma son paquet de bougie roulée, repoussa le battant ouvert tout contre
l'autre et l'y maintint au moyen d'un siège
qu'il poussa.
Il ne voulait plus que Ton parvint jusqu'à lui sans qu'un bruit l'avertit.
Du côté du mort il jeta un regard de curiosité efTarée, mais il évita de s'en approcher.
Le cadavre était là, bien là, toujours
étendu à plat.
C'élait l'essentiel.
Il ne s'en relèverait pas, il ne parlerait
pas.
Le malfaiteur marcha vers le Moublé
qu il n'avait qu'entamé à sa première
eilraclion.
Il acheva de le briser.
Rien, pas d'argent.
,'A Suivre).
Quimperlé. — Impnmrte yaimpeWoue
S. nit) ftiasoD.
U
(HRWH: J. HAMII,
l^m
Quatrième Année — N° 7i
L I ...
N'utzk^t-o
? 6
Vendredi 11 Octobre 1912
G « x i t i x n « s
•liBMggBBHBBBMa
(Ancien QUIMPERLOIS)
Journal Républicain, Politique, Littéraire, Financier, Industriel, Agricole, Commercial et Maritime
Paz*aissa]:it
l e
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n'aura pat, dans un délai de 8 j o u r s , renvoj^^ le journal
avec la mention « refusé », sera considéré comme réabonné
pour l'année suivante.
La jOeDace OMale
Toutes préoccupations d'ordre secondaire disparaissent aujourd'hui devant la levée de J)oucliers des quatre
petits royaumes balkaniques
qui,
simultanément, ayant noué une entente directe en faisant taire leurs
rivalités, se dressent en tace de la
Turquie pour lui arracher,par la guerre,
les concessions relatives aux provinces
chrétiennes qu'elle délient encore,
ayant retusé jusqu'ici d'y introduire
les réformes élémentaires depuis si
longtemps attendues.
Ç'aura même été un beau coup de
théâtre, que l'ordre de mobilisation
transmis à la même heure par les
gouvernements bulgare, grec, serbe et
monténégrin aux quatre armées de ces
quatre Etats que l'on savait bien animés d'une haine violente contre l'Ottoman délenteur de territoires où le
croissant de l'Islam apparait comme
une insulte à la foi des populations.
Néanmoins on n'eût jamais cru que
la turcophobie, pour justifiée qu'elle
fat, d<'S confédérés éventuels prendrait
une forme au^si mpide et aboutirait à
un coiitlil des plus sanglants pour peu
que la Porte s'obstinàt dans son intransigeance et que les grandes puissances européennes ne s'entendissent pas
pour éviter l'effusion du sang en modérant, d'une part, les impatiences
helïénrquST'et slaves, d'autre part,
en arrachant à la Turquie, sans l'humilier, les concessions qui ramènerai»;nt la paix dans la presqu'île des
Balkans.
Or, que réclament les quatre associés ? Ils réclament, en Macédointprincipalement où ils ont des intérêts
nationaux identiques, mais enchevêtrés, rétablissement d'un régime d'autonomie qui, la Turquie n'y exerçant
qu'une suzeraineté platonique, ferait
de celte province, en possession d'un
gouverneur chrétien, un champ d'altenle, en prévision du partage futur
où chacun trouvera — si cela devient
jamais possible — la satisfaction de
ses droits. D'abord éliminer le Turc
oppresseur ; ensuite on s'entendra sur
la portion respective que l'on croira
devoir revendiquer.
Pour appuyer
ces
prétentions,
Slaves et Grecs disposent présentement de six cent mille hommes formés
suivant les règles les plus modernes,
tuus soldats dans l'âme, tous décidés
aux plus grands sacrifices, tous préparés, et au premier plan de cette préparation, plus savante de leur côté, les
Bulgares qui, depuis vingt ans, travaillent pour se mettre à la hauteur
des suprêmes luttes en vue de libérer
les frères soumis au joug exécré.
En ce moment, outre les armées
régulières qui fournissent un contingent. impressionnant, les réserves s'offrent qui doubleront le nombre des
combattanls, et c'est un spectacle
digne d'admiration émue, que celui
des villes et des campagnes bulgartis,
de la Capitale au^»8i, devenues vides
de lous les sujets adultes ; les femmes,
les enfants et les vieillards restant seuls
pour garder les foyers déserts.
Quand paraîtront ces appréciations,
peut-être l'irréparable sera-til consommé ; peut-être le canon aura-t-il fait
entendre sa voix et les frontières seront-elles franchies pour une série de
contacts meurtriers que de bons juges
estiment devoir être plus horribles
encore que ce que nous montra la
guerre de Manchourie.
E l pourtant la diplomatie, qui peut
suspendre, éviter le gesie initial, aura
)eut-èlrc aussi exercé une influence
)i<:ntaisante entre les adversaires et
fait comprendre à Sofia, Belgrade,
Athènes et Cetiigité, commi; à Constanlinople, que le résultat d'une conflagration, quel qu'il pût être, ne correSf>ondrait pas à la dépense des vies
humaines qui seraient faucliécs.
A cet égard, oo doit féliciter de sa
généreuse initiative M. Poincaré, qui,
profitant de la préâence à Paris de M.
SazonofT, ministre des Affaires étrangères de Russie, s'est employé de toute
l'ardeur louable dont il est pénétré, et
grâce à son grand prestige, à trouver
un terrain d'entente qui permettra aux
uns comme aux autres de déposer les
armes.
Nous avons exposé plus haut les aspirations des penples balkaniques en
ojpposition avec les résistances de la
Sublime Porte, qui eût pu détourner
l'orage prêt à crever en se conformant
à cenain article du traité de Berlin
qui, réglant le statut des nations alors
émancipées de la tutelle ottomane,
stipulait l'introduction de réformes
prévues dans les districts où les chréliens sont en majorité.
Ce qui autorise une lueur d'espoir,
en ce moment, c'est l'adresse avec
laquelle la Turquie, parant le coup, est
allée au-devant des demandes de l'Europe, à supposer que l'Europe puisse
adopter une réaction qui ral ie les diverses chancelleries.
La Turquie, sans accorder tout ce
que les quatre royaumes exigent d'elle,
accepterait de transiger, en revenant
aux stipulations du traité de Berlin et
en concédant à la Macédoine et aux
vilayeis cause de l'agitation une sorte
de ctiarie qui ressemblerait assez à
celle dont jouissent les Crétois.
Mais celle avance tout à la fois prudcnle et hardie sullira-t-elle à détruire
les suspicions et à faire rentrer dans
l'ordre des gens résolus à obtenir bien
davantage ? Qui sait ?... De toute
façon, la Turquie, qui dispose à Andrinople de forces redoutables et qui
ne semble pas prêle à plus de concessions, aura la partie belle, étant chez
elle, celte fois et possédant un esprii
mililaire qu'il ne faut pas méconnaître.
Faisons des vœux pour que la modération l'emporte sur la violence et
[)0ur que, si la guerre ne devait pas
êlre évitée, elle n'ait pas de répercussion en dehors delà zone où elle devrait
se localiser. Il y a si longtemps qu'on
en éloigne le spectre qu'il serait vraiment terrible de la voir éclater I
(On traite à forfait pour les annonces répétées)
véritable attentat contre le suflrage uni
versel, qu'elle frappe de déchéance.
Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que
tous les ennemis de la République ont défendu le projet ridicule voté par la Chambre. El M. Reinach a beau le contester,
en est réduit, pour essayer de donner le
change sur ce point, à classer M. Maurras
parmi les adversaires de la R. P.. alors
que celui-ci a déclaré qu'il y était favorable parce quelle était de nature à faire
beaucoup de mal à nos institutions. (Lettre
au Temps en date du 16 juillet dernier.)
Or, c'est un fait nouveau dans l'histoire
parlementaire, que la législation fondamentale d'un régime ait été transformé en
pleine période de paix intérieure par les
adversaires de ce régime. A plusieurs reprises comme le rappelle M. Reinach, il
s'élait déjà constitué, avec le concours de
la dioite, des majorités de coalition contre tel ou tel cabinet ; mais jamais, même
au temps de M. Méline. on n'avait encore
entrepris de faire aboutir une réforme
quelconque avec l'aide des pires adversaires de nos institutions.
L'École laïque
Il fat un temps ou cléricaux et réactionnaires gardaient sur leurs menées pour re
conquérir l'école un silence prudent. Ce
temps est bien passé. Aujourd'hui, se sen
tant assez forts, ils ne se gênent plus
Devenus maîtres de la place, où ils se sont
introduits par surprises, les voici qu
crient sur tous les tons :
La maison est à nous, c'est à vous d'en
sortir.
L'Autorité annonçait il y a quelques
jours qu'elle allait établir prochainement,
par les chiffres, que « la fenlrée des
classes a manifesté partout une diminution des plus sensibles des élèves des écoles laïques, et une augmentalion correspondante de la population scolaire des-écoles libres. »
Le parti républicain saura-t-il répondre
et enlin agir ? Tandis que nous étions les
seuls à dénoncer le péril, on pouvait croire
que nous noircissions le tableau. Se rendra-t-on h l'évidence, maintenant que lu
contre épreuve de nos adversaires vient
renforcer nos preuves ?
Et sous quel prétexte entreprend-on
celte véritable révolution politique ? En
vue, de couper le contact entre l'électeur et
l'élu, a dit M. la président du Conseil ;
mais, au même moment, M. Joseph Reinach — qui s'était, lui aussi, élevé dans
plusieurs de ses discours à la Chambre
contre la pretendue tyrannie des intérêts
particuliers — est allé auprès de ses élecleurs, et il leur a expliqué que plus on
«•tendra la circonscription électorale, plus
Celle issue violente de la crise balkanile député aura d'autorité pour défendre que était à prévoir. Les exigences granles mandants. C'est ce qui nous a fait dissantes des petits Etals chrétiens à
(lire que c'était pure comédie de la part l'égard de l'Empire Ottoman qu'ils voient
(les proportionnalistes de partir en guerre s'effriter de jour en jour ne pouvaient
contre les mares stagnantes, puisqu'ils guère laisser de doute sur ce point. De
s« proposent seulement de les remplacer son côté, la Turquie ne pouvait céder sans
par des étangs, où ils espèrent patauger lolalement déchoir ; aussi l'intervention
plus à l'aise.
des grandes puissances ne pouvait rien
Or, M. Reinach s'abstient prudemment pour maintenir avec le statu quo, une
de s'expliquer sur ce point. Tout au plus paix impossible. Pourronl-elles, ,tout au
dénonce-l-il les actes de favoritisme qui moins, localiser le conflit et éviter ainsi
auraient, selon lui, provoqué la constitu- des complications européennes ? C'est ce
tion des syndicats de fonctionnaires. Tou- que l'avenir, gros de menaces, ne tardera
tefois, on ne voit pas pourquoi de pareils pas à nous apprendre.
actes de favoritisme ne pourraient pas
Une dépêche parvenue mardi à Londres
aussi bien se produire avec un système était ainsi conçue :
électoral fondé sur le quotient, qu'avec un
« On mande de Cettigné que 1« chargé
JEAN MÉRAC.
mode de scrutin à base majoritaire? Est-ce d'aflaires du Monténégro à Constantinople
qu'avec la R. P. les députés ne dépendront a notifié ce malin à la Porte que le Monpas aussi étroitement des deux cents mem- ténégro a déclaré la guerre à la Turquie. »
bres de leur comité dont la signature leur
Un second télégramme de même origine
sera nécessaire pour être candidats, qu'ils suivait de près. Il disait :
« On mande de Cettigné que le gouverEn réponse à un article de M. Georges ont dépendu jusqu'ici de leurs électeurs ?
Mandel sur le discours de M. Joseph Et &i, d'autre part, l'administration fran- nement Monténégrin a donné l'ordre à son
Heinach à Billy, le député de Digne a çaise est tout entière encombrée de fîls,
adreesé une lettre au Radical à laquelle de gendres et de parents de parlemen- représentant de quitter Constantinople et
a remis son passe-port au chargé d'aflaires
M. Mandel a, à son tour, répliqué par la
taires, quel rapport cela a-t-il avec notre Ottoman. »
lellre suivante :
système électoral 7 Est-ce que demain,
Voici, d'autre pari, le texte de la note
Mon cher directeur,
même si le projet de la Chambre était remise mardi, vers midi, à la Porte, par
M. Joseph Reinach s'est donné bien de ratifié par le Sénat, les gouvernements ne
la peine pour ne pas répondre au principal continueraient pas à dépendre du Parle- M. Plamenatz, chargé d'affaires du Monténégro à Constantinople :
reproche que je lui avais adressé. .
ment? Et quelle garantie nouvelle aurions« Comme la Turquie n'a pas voulu exéEn effet, je m'étais bien gardé de lui de- nous qu'il ne se trouverait plus alors de
mander compte de ses variations succes- ministre assez faible pour céder à certai- cuter les désirs du Monténégro et régler
les questions en litige, le Monténégro se
sives d'opinion'3, au sujet de la réforme nes sollicitations pressantes ?
voit d-ns la nécessité de se faire seule jusélectorale. C'est son droit absolu d'avoir
A
la
vérité,
c'est
là
toute
la
question.
lice par les armes. »
été tour à tour favorable au scrutin de
El
M.
Reinach
eût
été
mieux
inspiré
Après la communication de celte note,
liste, au scrutin d'arrondissement et à la
en
l'abordant
avec
la
courageuse
franchise
es
deux diplomates ont regagné leurs
représenlalion proportionnelle. En se condont
il
sut
faire
montre
en
d'autres
temps,
jouvernements
respectifs.
iredisant ainsi, selon les circonstances,
plutôt
qu'en
paraissant
tirer
argument
L'opinion
publique
^a accueilli avec enl'honorable député des Basses-Alpes peut
même se flatter d'être resté fidèle aux contre les adversaires de la proportion- thousiasme la nouvelle de la rupture des
vrais préceptes de la politique opportu- nelle de l'allilude des bonapartistes. Celle relations turco-monlénégrines. Une vive
niste, dont il fut jadis le champion. C'est altitude n'a rien en effet que de normal. pression est exercée sur le gouvernement
pourquoi il est pour le moins étrange qu'il M. de Dion et ses amis ont espéré, en vo- pour qu'il mette les troupes en campagne
ose aujourd'hui reprocher à certains de tant contre une loi qui, à raison de son sans plus tarder.
exlrême complexité, aurait pour première
Au reste, la concentration est à peu près
s'^s adversaires d'avoir évolué.
conséquence d'écarter de nombreux élec- terminée. On prévoit l'occupation proDe môme, on ne conçoit pas comment,
teurs des urnes qu'ils pourraient-—en se chaine de certains points stratégiques à la
lui qui prétend Yolontiers au titre d'histoprésentant comme lés restaurateurs des rontière turque du côté d'Harymanti et
rien, il ose écrire que Gambetta « n'a pas
droits mutilés du suflrage universel — re- Kirk-Kilisse. Des engagements sont immiplus connu la représentation proportioncommencer, le cas échéant, l'opéralionqui nents.
nelle que les automobiles ou le téléphone ».
a réussi une première fois sous la seconde
On attend d'un moment à l'autre la dé11 sait, cependant, que, dès 1880, Cantagrel
Ri^publique. C'est ce qui faisait dire, il y a cision de la Gièce et de la Serbie pour
avait déposé sur le bureau de la Chambre
encore quelquesmois, à M.,Léon Bourgeois, )rendre position et marcher sans plus de
une proposition qui s'impirait des idées de
de l'opinion de qni M. Reinach sen^clame. retard.
Sluart Mill sur la représentation des mique la représenlalion proportionnelle était
Mardi après-midi, M. Ugron, ministre
norités, et Gambetta a si peu ignoré celte
une seconde loi du 31 mai.
d'Aulriche-Hongrie, et M. de Hartwig,
proposition qu'il la fit combattie parCoOr, est-ce que le parti républicain pour- ministre de Russie, se sont présentés, en
iani dans la Hépublique Française. Je conseille à M. Reinach, qui a la douce amabi- rait être assez oublieux des leçons de qualité de mandataires des puissances
lité de m'inviter à consulter ses œuvres, l'histoire pour renouveler une pareille signataires du traité de Berlin, chez M.
de bien vouloir de son côté, s'offrir le faute ?
Pasitch, président du Conseil des minis
Excusez, mon cher directeur, la Ion 1res et ont fait une démarche dans le sens
pensum de lire ces vigoureux articles de
Colani ; il y verra que nous ne sommes pas gueur de celte réponse, et croyez, je vous de l'entente convenue entre MM. Poincaré
les premiers à avoir pensé que la repré- prie, à mon amical dévouement.
et SazonofT.
sentation proportionnella constituait un
Celte démarche, suivtmt de près le geste
OROROAMANDBL.
La ConiÉilie Proportionnaliste
DANS [^BALKANS
La fiuerre est dÉclarie
belliqueux du Monténégro, est considérée
comme ne devant pas aboutir.
La population serbe a manifesté devant
le palais royal en faveur de la guerre. La
mobilisation est terminée. On n'atlem
que le signal pour marcher à la frontière
Comme conséquence de la mobilisation
grecque, des commandes de charbon arrivent à Cardifl". De 20à30.000 tonnes sont
dirigées sur le dépôt naval grec d'Orio
Environ 200 réservistes grecs ont quitté
Cardiff pour s'enrôler.
La princesse Alice a adressé un appoi
invoquant le patriotisme du peuple grec ;
la princesse invite chacun à travailler avec
elle, à coudre et à distribuer en raison de
la saison avancée, des vêlements aux familles des réservistes.
Cet appel se termine ainsi: « Jesuiscertaine qu'il n'y aura pas un seul grec, homme ou femme, qui refuserait l'appui que
je demande pour les enfants de notre patrie bien aimée. »
LE CONCOUUS
de la Société d'AgricuHure
de
Clohars-Carnoët
Rapport de la Commission chargée de
la visite des fermes dans ie canton
de Quimperié en 1812.
J'ai l'honneur de vous présenter le rapport
de la commission de visite des fermes du
canton de Quimperié.
La lilcfie de la commission a été longue et
laborieuse. Vuus en jugerez, Messieurs, par
te nombre des concurrents, qui se sont présentés pour obtenir les primes que vous accordez aux dillérentes améliorations foncières. Huit demandes de visite nous ont
été adressées ponr les primes accordées à la
bonne tenue des l'ernies, quatorze pour
prairies arlilicielles et plantes sarclées et
douze pour prairies naturelles, c'est-à-dire
que votre coniniission a dû pour satisfaire
ces nombreuses demandes visiter trentequatre lennes.
Si la lAche a été laborieuse, votre comnli^sion a eu la satislaclion de constater
dans la plupart des fermes de réelles améliorations loncières, qui ont été, pour elle,
l'objet d'un travail très minutieux pour la
LES POUDRERIES DE LA MARINE
désignation des lauréats de ce concours.
En revanche elle a eu à déplorer les mauM. Milierand, minislie de la guerre, accompagné du général Gandin et du contre- vaises habitudes qu'ont la plupart des concurrents, pour raison d'économie mal enumiral Le Bris, viendra, la semaine pro- tendue, d'ensemencer leurs prairies avec
chaine, dans le Finistère, où il visitera les des mauvaises graines (lond Ue greniers) au
iiuudreries nationales du Pont de-Buis et lieu d'acheter des compositions qui auraient
du Moulin-Blanc, en vue d'étudier sur place donné des résultats bien supérieurs.
La commission, a aussi remarqué que
iu question du passage de ces deux étalions beaucoup de fermes, les étables et les
blissements de la guerre à la marine, qui
ccui ies ont besoin de nombreuses amélioy fabriquerait, à l'avenir, ses poudres.
ralions, lanl au point de disiribulion (jue
d'hygiène des animaux. .Nous avons été a
mémo de constater que, dans certaines propriétés, malgré de nombreuses amélioralions foncières apportées, les fermiers sont
A \ x
I V I ! a . z * o o
tans l'impossibilité d'augmenter le nombre
De bonnes nouvelles nous parviennent du de leurs animaux, faute de places pour les
Protectorat. Le général commandant les loger. Il est à rcgretlcrque les propriétaires
troupes d'occupation du Maroc Oriental cl ne comprennent pas qu'en facilitant la t;lche
de leurs locataires ils servent leurs intérêts
le haut commissaire du gouvernement ont personnels et ceux de ces derniers.
reçu, lundi, une dél<^gation des tiibu»
Uaouura et Ouled-Raho, venue pouj; saluer
les autorités françaises et les assurer du
leurs sentiments de reconnaissance et de
fidélité.
Jusqu'ici, ces importantes tribus n'avaient cessé de nous comballre avec acharnement. Or, aujourd'hui, elles renoncent à
leur projet de Guerre Sainte contre nous
et demandent la permission de s'établir de
nouveau sur la rive droite.
Comme on le voit, celte demande spontanée de la part de frac4ions que nou&
avions crues irréductibles et toujours alliées des Beni-Ouarain, marque l'avènement d'une politique nouvelle et féconde
dans le Maroc Oriental.
Le général Lyauley procède actuellement à l'oiganiSalion du Haouz. Il a l'uilention de diviser en secteurs la région de
Bonne
tenue des
fermes
1" Pi'ime. — La commission a été una- •
uimc pour vous proposer pour la I " prime
de bonne tenue des fermes : M. David Yves,
propriétaire à Kerviadou, en Baye.
La ferme de .M. David est incontestablement la mieux tenue des fermes que nous
avons vues.
La contenance de la propriété de Kerviadou est de 27 hectares:
8 hectares sous céréales lui ont donné une
bonne récolle ; 4 hectares sont sous plantes
sarclées très bien réussies ; 3 hectares de trèfle violet, sans aucune trace de cuscute et de
bon rapport, et 8 hectares de prairies naturelles ensemencées de bonne composition
de graines.
Le bétail nourri se compose de 26 bêles à
cornes, 4 juments et 7 porcs ; ces animaux
sont en très bon état.
Les bâiiments d'habitation sont bons.
La cour de la ferme est très bien enlretetenue et devant la cour existe un jardin
m u r é , bien piaulé et très bien c n l r c l o m i .
Marrakech, ainsi que cela a été fait dans
M. David nous a présenté un outillage peu
l'autres parties du pays que nous occupons perfectionné mais qu'il se propose d'améliorer. 11 nous a fait voir environ L500 mètres de
miHtairemeul"
Un Sous-Marin coupé en deux
Le sous-marin anglais B-2, heurté le
4 octobre, par le transatlantique Amcrika,
a coule. Les quatorze hommes de 1 équipage ont été noyés.
C'est pendant qu'il manœuvrait avec la
fluttille, au large de South-Foreland, que
le sous-mann B-2 a heurté le traiisallanlique Amerika. Le commandaut est noyé.
Lofticier en second, le lieutenant Bufleyne, â été recueilli par un autre sou»inarin ; jusqu'à ce moment-là, on ignorait
la calastrojjhe.
Le lieutenant Bulleyne. trop épuisé pour
donner des détails, a pu dire seulement
que le sous-marn a été coupé en deux et
qu'il était descendu à une grande profondeur avec le navire.
On suppose que le lieutenant se trouvait
à l'intérieur au moment de la catastrophe.
La troisième flottille de sous-marins est
rentrée à Douvr es. Outre le lieutenant
iulleyne, un patron do chaloupe nommé
Uchads serait également sauvé, mais on
n'a pas la confirmation de cette nouvelle.
Le B-2 était muni des perfectionne
ments les plus récents.
Le roi a envoyé une dépêche de sympathie aux parents des victimes du sousmarin B-2.
route, de création difficile très bien entretenue. Les clôtures et les chemins d'exploitations sont en parfait étal et démontrent
que ce cultivateur apporte tous ses soins à
la bonne direction de sa ferme.
•2« Prime. — Pour la 2' prime de bonne
tenue des fermes, nous vous proposons M.
Brangoulo Pierre, propriétaire au Héder, en
Clohars-Carnoet.
M. Brangoulo nous a présenté .'i hectares
de plantes sarclées et 11 hectares de fourrages verts très bien réussis.
Les 8 hectares qu'il avait sous céréales lui
ont donné une magnifique récolte.
Le bétail nourri se compose de 15 bétes à
cornes, 3 chevaux et ô porcs ; ces animaux
sont en très bon état.
Les bâtiments d'exploitation sont également en bon état.
La laiterie du Héder occupe un apparie
mont très convenable réalisant los conditions nécessaires ; son outillage est parfait.
M. Brangoulo nous a fait voir uu moulin
à moudre les blés, actionné par un moteur
à pétrole. Il possède aussi de niognitiq\ios
plantations de pommiers en plein rapport.
3' prime. — Pour la 3- prime de bonne
lenue des fermes, nous vous proposons
M. Sinquin Jean, propriétaire à Bodel, en
Mollac.
I.n contennnre de la propriété de Bodel
est de 2() hectares. 8 hectares sous cér<;ales
lui ont donné une bonne récolto, G hectares
de plantes sarclées bien réussies et (> hectares de trètle violet lui ont donner une quantité de foin de première qualité.
Le bétail nourri est de 22 biHcs à cornes,
4 chevaux et 4 porcs que nous avons trouvés en bon état.
M. Sinquin a crée 4 hectares de prairies
mais dans lesquelles il devra, pour obtenir
des produits de bonne qualité, exécuter pluBlours drainages.
9
4' prime. —
prime de bunae tenue
des fermes doit être attribuée à M. Cornou
Alain, fermier à Kerjouano, en Quimperlé.
La contenance de la propriété de Kerjouano
est de 17 h. 50.
Los hectares sous céréales lui ont donner une excellente récolte. I-es 2 hectares
de hclleraves et choux bien réussis et les
Cl hectares de trèfle assez bien.
M. Cornou nous a présenté des prairies
très bien irriguées. Le bétail nourri est de
14 vaches, 2 juments, un poulain et 2 porcs.
F»A
J L . M A F I È:
S
AMÉLIORATIONS
FONCIÈRES
1* B o n n e t e n u e des F e r m e s
1" prime, une médaille de vermeil, offerte par
M. le Ministre de l'Agriculture et 200 fr., M.
David Yves, à Kerviadou, en Baye ; 2-, une médaille d'argent, offerte par M. le Ministre de
l'Agriculture et l&O fr.„ M. Brangoulo Pierre,
de Héder, en Clohars ; 3', une médaille de bronze
et 100 fr., M. Sinquin Jean, de Bodel, en Mellac ;
4-, 50 fr., M. Cornou Alain, de Kerjouano, en
Quimperlé.
2* P r a i r i e s A r t i f l c l e l l e s
P r é p a r a t i o n des B e u r r e s
1-- prime, 20 fr., Mme Gorlou, de Toulanblez^
en Quimperlé ; 2-, 15 fr., Mmç Piriou, de CoatSavé, en MoClan ; 3-, 10 fr., Mme Bérou, de Lille,
en Mellac; 4-, 8 fr., Mme Le Gall, de Pont-arGroll, en Quimperlé ; 5-, 7 fr., Mme Audren, de
Kerguwal, en Clohars ; 6-, 6 fr., Mlle Le Gall, de
Kernours, en Quhnperlé; 7-, Ofr., Mme Tanguy,de
Clohars; 8-, 5 fr., Mme Cariou, de Clohars.
Beurres sans sel. — 1" prime, 5 fr., Mme David,
de Kerviadou, en Baye ; 2-, 3 fr., Mme Le Gall,
de Pont-ar-Groll, en Quimperlé ; 3-, 2 fr., Mlle
Gorlou, de Toulanblez, en Quimperlé.
Concours de l a b o u r a g e
(charrues en tous genres)
l - prime, 40 fr., M. Ravalée, de Kertanguy, en
Mellac ; 2-, 30 fr., M. Quentel, de Moélan ; 3-,
20 fr., M. Jacob, de Quimperlé ; 4-, 20 f r „ M. Lecorre, de Moëlan ; 5-, 10 fr., Gégou, de Clohars;
6-, 10 fr., M. Berlhou, de Quimperlé; 7-, 10 fr.,
M. Scoazec, de Moëlan ; 8', 10 fr., M. Meilladec,
de Clohars.
"
P r o d u i t s A g r i c o l e s et U o r t i c o l e s
Horticulteurs. — 1" prime, 20 fr., M. Le Noc
Gabriel, de Quimperlé ; 2-, 18 fr., M. Gillard
Louis, de Quimperlé ; 3-, 15 fr., MM. Le Noc Joseph et Jacques, de Quimperlé; 4-, 5 fr., M. Dérout, du Pouldu, en Clohars ; 5-, 2 fr., M. Morcn,
Hôtel des Postes, Quimperlé.
Cultivateurs. — l - prime, 15 fr., M. Conan, de
Keranguen, en Quimperlé ; 2-, 12 fr., M. Péron,
de Coat-Savé, en Moëlan ; 3-, 10 fr., M. Jouan, de
Kerguyaouet, en MoiUan ; 4-, 8 fr., M. Le Grand,
de Landrein, en Le Trévoux; 5',5fr., M. Chopin,
du Leing, en Quimperlé ; 6', 5 fr., M. Conan, de
Prat-Guen, en Quimperlé ; 7-, 3 fr., M. Tanguy,
de Clohars ; 8-, 2 fr., M. David, de Kerviadou, en
Baye.
Cidres
1" prime, une médaille de vermeil et 20 fr., M
Nerzic de Melgven ; 2-, une médaille d'argent et
15 fr., M. Capitaine, de Moëlan; 3-, une médaille
d'argent el 10 fr., M. Le Gall, de Pont-ar-Groll
en Quimperlé; 4', 5 fr., M. Guyader, de Riec
une médaille de bronze, M. Le Naour, de Guer
rouat, en Nizon.
L'espèce chevaline, notamment, était
très brillamment représentée, par des
sujets amenés de presque toutes les
communes de notre arrondissement :
Bannalec, Le Trévoux, Tréméven, Querrien,
Quimperlé, Baye, Moeian, Riec, Mellac, StThurien, Clohars-Carnoet, etc... Dans la
race de trait, dont l'élevage est particulièrement pratiqué à Clohars, Moêlan, Riec,
Baye, etc., il n'y avait pas moins de 40
concurrent®. La catégorie des juments de
trait suitées du produit de l'année, comportait 16 sujets, tous très beaux. Signalons ici
une amélioration prononcée dan^la production du poulain qui se rapproche de plus en
plus de la forme typique du postier breton.
Les animaux diminuent enfin leur taille et
preun- nt plus de rondeur et d'ampleur dans
les formes.
Les animaux de 1/2 sang étaient moins
nombreux mais de 1*' choix, indiquant de
sérieuses connaissances dans le croisement.
Ici, la qualité compensait largement la quantité.
Les poulains el pouliches étaient exposés
on grand nombre et les commissaires ont
ou fort à faire pour établir un classement.
On ne peut que reconnaître une grande
amélioration, grâce à l'augmentation et au
choix des étalons des haras.
Pour le prix d'ensemble, il n'y avait que
deux concurrents, l'un pour le trait, l'autre
pour le 1/2 sang.
Dans l'espèce bovine, on a remarqué de
jolis spécimens de la race pie-noire, nos
éleveurs s'attachant a imiter l'exemple des
eleveurs Quimpérois. Encore un petit eflort
et ils pourront faire bonne figure auprès de
ces iierniers. Dans la catégorie des races
diverses, on a admiré une fort jolie vache
et une non moins jolie génisse, croisées
Durham. Enfin l'attention des visiteurs a été
surtout attirée par un superbe lot de jersiaises, de race absolument pure.
L'espèce porcine était, elle aussi, fort bien
représentée par de jolis sujets de la race du
pays, ainsi que de croisés-craonnais. Onr>a
surtout admiré une portée de 13 porcelets
âgés de 6 semaines à 2 mois, en très bon
état.
Ajoutons que le service sanitaire n'a eu à
constater aucun cas de maladie et qu'en
conséquence aucune bête n'a été refusée
Quant à Texposition horticole, elle a dépassé en beauté toutes celles qu'il ait été
douner d'admirer dans les concours organisés par la Société d'Agriculture depuis son
origine. Nous n'exagérons rien et nous nous
contentons de rapporter le témoignage des
hommes les plus compétents, celui des ma
ralchers eux-mêmes.
Comme les années précédentes, très nom
breux étaient les concurrents qui avaient
exposé du cidre et de l'cau-de-vie de cidre
Pouvait-il en être autrement à Clohars, pays
par excellence de la production du bon
cidre ?
Knfin, l'exposition des beurres comportait
des échantillons de nos meilleures laiteries
et là aussi les commissaires, pourtant tins
gourmets, ont été irès embarrassés pour
tixer leur choix.
Mais le banquet, qui comptait près de
300 convives, a été sans contredit, le clou de
cette belle journée où, ensemble, ont été
fêtées avec un enthousiasme indescriptible
l'Agriculture et la République.
Servi chez M. Laurent Brangoulo, con
seiller muuicipal au bourg, le traiteur, M
Jégou, s'y est surpassé tant par l'excellence
de son menu, que par l'organisation de son
service de table.
De nombreux fonctionnaires, des Finances,
des Ponts-et Chaussét s, de l'Enseignement,
plusieurs Conseillers généraux et d'arrondissement, s'étaient joints aux maires de la
plupait des communes environnantes, pour
imprimer k cette solennité le caractère
républicain que le Président de la Société
d'Agriculture avait tenu à donner à cette
partie du Concours, pour diftérencier son
banquet de celui organisé à Quimperlé,
quelques jours auparavant, sous les auspices de notie municipalité clérico-réactionnaire.
remercie M. le Ministre de l'Instruction
publique d'avoir bien voulu déléguer spécialement M. l'Inspecteur primaire, témoignant
de son intérêt pour l'enseignement agricole
qui tend à se frayer sa place dan% notre instructiou laïque pour le plus grand bien de
nos populations rurales. Il exprime ses remerciements et tons ses sentiments de gratitude à M. le Maire de Clohars-Carnoet, à
la Municipalité, à la population pour leur
cordiale et grandiose réception. 11 termine
en levant son verre aux Agriculteurs, bons
serviteurs de fa République, car bien servir
l'agriculture, c'est bien servir la République
— à leur ami M. le député Le Louédec qui
défend leurs intérêts auprès des pouvoirs
publics avec un zèle et un dévouement inlassables aux délégués des Ministres et au
Président de la République, Le discours de
M. Hammond fut également très applaudi.
duire in-eztenso le brillant discours si documenté et si riche en enseignemenU de
toutes sortes que les agriculteurs ontécouté
avec le plus grand intérêtet dont ils sauront
sans aucun doute tirer leplusgrand profit.
Des applaudissements fMnétiques ont accueilli son discours et la cérémonie s'est
achevée par la remise des distinctions honorifiques décernéespar les représentants des
ministres de l'agriculture et de l'Instruction
publique.
Ont été nommés ;
Officier du Mérite agricole, M. Audren
Pierre, ancien maire de Clohars.
Chevaliers : MM. Richard, adjoint au
maire de Clohars ; Le^Ny, maréchal-ferrant
à Quimperlé ; Le Gall, conseiller d'arrondissement à Quimperlé ; Le Goft, horticulteur 4 Quimperlé et Louis Tréguier, fabricant de mach nés agricoles à Quimperlé.
Officiersd'Académie: MM. Bonnaire,maire
de Clohars ; Le Boedec Louis, maire de
Mellac et Berlholom, publicisteàQuimperlé.
L'Echo de Bretagne saisit l'occasion qui
lui est oflerte pour adresser à tous ses plus
cordiales et ses plus chaleureuses félicitations.
il était 3 heures environ quand le banquet
a pris fin.
La foule s'est aussitôt portée vers Keranna où ont eu lieu les courses de chevaux,
puis sur la route de Moeian pour assister
à la course attelée.
Pendant ce temps, des binious font danser
de nombreux couples, tandis que les auberges regorgent de monde. Cette journée a
élé en eflet excellente pour les commerçants.
Mais déjà il se fait tard, et la nuit tombant
vite, MM. Le Louédec et Gerdil durent se
Contenter de prononcer sur l'estrade une
couric allocution. De même, il ne fut pas
possible de lire le rapport delà Commission
de la visite des fermes, et le secrétaire de la
Société d'Agriculture, M. Morvan, dut se
borner à proclamer la liste des lauréats.
Nous ne saurions terminer ce compterendu de la magnifique manifestation
agricole de Clohars, sans féliciter les organisateurs du Concours, notamment MM.
Etchécopar, trésorier et Morvan, secrétaire,
ainsi que les organisateurs du banquet ;
nous exprimons nos remerciements à la
municipalité et à la population do CloharsCarnoet, pour l'accueil sympathique qu'elles
ont fait à tous. Nous aurons une mention
spéciale pour la Lyre liannaleccoise, qui,
sous la direction de son distingué chef,
.M. Boulais, a prêté à la fête un concours
qui a été très apprécié.
A l'année prochaine, à Bannalec !
Plantes sarclées et Prairies arlificielles
Pour la première prime de plantes sarPLANTES SARCLÉES, TRÈFLES ET RAY-ORASS
clées et prairies artificielles nous accordons
1" prime, une médaille d'argent (0. M.) et 00 fr.,
le l - prix à M. BoPdec Barthélémy, à Kc
M. Boi'dec Barttiélémy, de KeranUru, en Mellac ;
randru, en Mellac. .M. Boedec nous a pré 2-, une médaille d'argent (P. M.) et 50 fr., M.
senté 3 hectares de betteraves et 4 h. 5 a. de •Naour Joseph, de Keranguen en Tréméven ; 3',
pommes de t-irre bien réussis. Les 7 hecta
une médaille de bronze et 40 fr., M. Audren Eures de fourrages verts, trèfle violet mélangé gène, de Kcrguissal, en Clohars ; 4', Le Du, de
Prenant la parole, M. Le Louédec remercie
llosglas, en Mellac.
de Ray-grass sont de toute beauté.
M. le Ministre de l'Agriculture d'avoir bien
3° P r a i r i e s . \ a t i i r e l l e s
M. BoCdec a cn é une étable modèle qui
voulu se faire représenter à cette manifesCRÉATION, ASSAINISSEMENT, URAINAOE
surtout attiré notre attention ; rien n'a été
tation agricole et du choix tout particulièreET IRRIGATIO:*
omis dans son améuagement pour la soli
ment heureux qu'il a l'ail en la personne d'un
l " prime, une médaille d'argent, offerte par
dite, la commodité, le bel aspect et l'hygiène
délégué aussi aflable, aussi distingué que
M.
le
.Ministre
de
l'Agriculture
el
150
fr.,
M,
Le
elle est toute bétumée avec plafond en
.VI. Gerdil, son sympathique secrétaire partiGall Jean-.Marie, de Kernours, en Quimperlé ; 2-,
ciment.
culier.
une médaille d'argent (P. M.) et 60 fr., M. Le
\1. BoCdec doit créer une fosse ii purin Gac Jean, de Kerlavarec, en Tréméven ; 3-, une
Il remercie le Gouvernement de la Répuqui recevra tout le purin de ses étables et médaille de bronze el 50 fr., .M. Jouan Louis, de
blique et le Minisire de l'Intérieur d'avoir
une plate-forme i fumier et nul doute que, Keniijeannc, en MoClan ; 4-, 45 fr., M. Jambou
désigné pour assister à celle lête, M. Hamdans 4 ans, il aera le candidat le plus sérieux Louis, au Moulin-Iilanc, en Mellac; 5', 40 fr., M.
mond, le dévoué Secrétaire général du Fipour concourir pour la prime de bonne Péron Thomas, de Pempic, en Tréméven ; 6",
nistère, dont l'intérêt à la cause des populafr.,
M.
Péron
Jacques,
de
Kernévénas,
en
tenue dus termes.
tions agricoles du département ne s est jaQuimperlé ; 7', une médaille de bronze, M. Riou
mais démenti el M. Calloc'h, sous-préfet de
2» prime. — La deuxième prime nous
.Mathurin, du Reste, en Mellac.
Quimperlé de quila bienveillance, 1 initiative
paru devoir être attribuée à M. Naour Jo
4* Concours d e Fosses & P u r i n
et le zèle intelligent sont universeileineni
seph, agriculteur à Keranguen, en Tréméven
Prime unique. — Une somme de 25 francs,
appréciés par la population entière de 1 ar
M. Naour nous a présenté une culture M. Le Gall Jean-.Marie, de Kernours, en Quimrondissement.
très soignée et des fourrages magnifiques
perlé.
Il se réjouit doublement de la présence à
qui lui permettent de nourrir 20 bêtes
S* P r i m e s s p é c i a l e s
ce
banquet de M. Pelluet, inspecteur pricornes, 4 chevaux et 8 porcs que nous avons
Une médaille d'argent pour bonne tenue de
maire. Il est heureux de saluer eu lui a la
trouvés en bon état.
laiterie, M. Bérou Guillaume, de Lille, en Mellac;
l'ois le fonctionnaire qui a su conquérir en
3« prime. — Pour la troisième prime, nous une médaille d'argent pour bonne conduite d'un
Eaux-de-Vie de Cidre
très peu de temps par ses qualités l'esliine
rucher,
M.
(pas
décerné).
vous proposons M. Audren Eugène, à Ker
l - prime, 10 fr., M. Nerzic, de Melgven ; 2-, 5 fr
et la sympathie de ses subordonnés el de
AMÉLIORATIONS
DES
RACES
guissal, en Clohars-Carnoet.
M. Ravalée, de Kertanguy, en Mellac.
tous ceux qui l'approchent, eiledélégué que
Espèce t ' I i e v a l i n e
M. Audren nous a fait voir 1 hectare
le Ministre de l'iustiuclionpubliqueachargé
Serviteurs Ruraux
JUMENTS POULINIÈRES SUITÉES
betteraves, 80 ares de choux et 3 h. 50 a
de distribuer eu son nom de précieux en1" prime, 50 fr., M. Couric François, de TréOU PRODUIT I>E L'A.NNÉE (saug et demi-sang)
luzerne et trèfle violet, le tout superbe.
couragements.
méven
;
2-,
40
fr.,
M.
Banquette,
de
Quimperlé
l
prime,
50
fr.,
M.
Kerhervé
Louis,
de
Kerprima,
Prairies Naturelles
Il adresse à son ami, M. Bonnaire, maire
en Bannalec ; 2-, 40 fr., M. Le Galf René, de 3-, 30 fr., M. Josse Jean, de Tréméven ; 4-, 20fr
La Commission accorde un rappel
Kerancalvez, en Bannalec ; 3-, 3U fr., Landrein M. Jaffrézou Alain, de Clohars ; 5-, 15 fr., M. Even
de Cloharij, ses remerciements pour sa ré1" pr.x de prairies de 1903 à M. Nigen,
J(»an, de Keroler, en Le Trévoux ; 4-, 10 fr., Jacques, de Tréméven ; 0-, 10 fr., M. Derrien
ception si cordiale, ainsi que pour les paroles
Kerlescouarn-Bihan, en Tréméven.
Querré Louis, de Keranlhiec, en Bannalec ; 5-, Pierre, de Clohars.
SI flatteuses ^u'il a prououzées dans son disServantes
1" prime. — Votre commission a eu à une mention honorable (au même).
cours à son intenlion. Il l'assure de sou
examiner chea M. Le Gall Jean-Marie à Kerconcours le plus absolu et dit que, chaque
1-- prime, 40 fr., Tanguy Jacquette, de CloTRAIT
nours, en Quimperlé, 3 h. 50 a. de prairies
lois que Ciohars aura besoin de recourir a
l - prime, une médaille de vermeil ofTerte par hars ; 2', 30 fr., Lorit Marie, de Clohars ; 3
parfaitement irriguées et drainées, créées M. Pichou, sénateur du Finistère et 00 franc*, 20 fr., Derrien Joséphine, de Clohars ; 4-, 15 fr,
lui, il sera toujours prêt à preuUre eu
sur une mauvaise lande marécageuse. Au
M. André, de Kergladen, en Bannalec ; 2-, 50 fr., Floch Yvonne, de Clohars ; 5-, 10 fr., Riou Fran
mains la défeube de ses intérêts. L honoM. Favennec, de Saint-Tliurien ; 3-, 40 fr., M. Le cine, de Clohars ; 0-, 10 fr., Berlhou, de Quim
jourd'hui ces 3 h. 50 a. de landes transfor
i-able député de Quimperlé rappelle, daub cet
perlé
;
7.,
10
fr.,
Scoazec,
de
Moëlan
;
8-,
10
fr,
Golf, de Kerlavarec, en Tréméven ; 4-, 30 fr.,
mées en prairies sont d'un bon rapport.
ordre d laées, toutes ses iulervenlious tant
.M. Landurand, de Quét)len, en Quimperlé ; 5-, Méilladec, de Uotiars.
Pour arriver à ce résultat, M. Le Gall
au Couseil général qu auprès des Ministres
20 fr., M. louan, ou Leing, en Quimperlé ; O",
Courses
dû extraire uue énorme quantité de roches 10 fr., .M. Gillard, du Rest, en Tréméven.
intéressés, lutervenlions qui oui, ou abouti
Galop : 1" prix Goalabré, de Quimperlé
et de pierres, qu il a utilisées pour drainer
ou qui sont en voie d'abouUr. Il conslate
Legall, de Bannalec ; 3-, Goalabré, de Quimperlé
POULAINS FT POULICHES AU-DESSOUS DE 3 ANS
et clù'uirer celte prairies.
avec plaisir les progrès toujours plus grands
Trol : 1", Brozec, de Moëlan; 2', Quémar, de
ÉLEVÉS
DANS
L
ARRONOISSEMENT
rt-alisés dans rarrondissentenl de Quimperlé
Celle transformation dénote de la part de
Baye ; 3-, Ricouard, de Baye.
(sang et demi-sang)
par lu population intelligente et laboneusu
M. Le Gall un courage et une persévérence
Courses attelées ; l " , Postée, de Quimperlé
l - prime, 40 fr., M. Pérès François, de Keran- 2', Quémar, de Baye; 3-, Ricouard, de Baye.
qui s'adonne a la culture avec lant de pasdigues de récompense.
colliec, .en Bannalec ; 2", 30 fr., M. Stanguennec,
sion.
2' prime. — Pour la deuxième prime de de Kerolliclion, en Cloliars ; 3-, 25 fr., M. LanM. Courtier a déclaré, dimanche derprairies naturelles, nous vous proposons M
11 lève son verre aux agriculteurs, à tous nier, à son Conseil mi^iicipal, qu'il avait
drein, de Kerotter, en Le Trévoux ; 4-, 15 fr.,
L A .
F E T E
Le Gac de Kerlavarec, en Tréméven.
ceux qui suivent et eucouiugenl leur» ellorts ; cru trouver, en arrivant à la Mairie, les
M. Conaii J.-M., de Prat-Guen, en Meltac ; 5-,
.M. Le Gac est un travailleur intelligent lo fr., M. Le Brozec, du Guilly, en Moêlan.
aux niiuislres qui se sont l'ait reprcseuter, finances de la ville dans une situation jirosFavorisé par un temps splendide, le COD
qu'on doit encourager. H nous a l'ail exami
à leurs aimables délégués, MM. Hammond,
TRAIT
père, mais qu'il avait élé malheureusement
cours organisé à Clohars par la Société
ner uue prairie de 4 hectares environ, créée
Gerdil, Calloc'h et Pelluet, au maire, à la
(poulains
et
pouliches)
induit
en erreur.
d'Agriculture
a
obtenu,
hâtons-nous
de
le
sur une tombière, où les animaux venaient
municipalité, à la commune de Clohars ;
1" prime, 40 fr., M. Gloannec, de Riec ; 2-,
Il avait cru trouver un excédent de res'enliser jusqu'au poitrail, et drainée sur 35 fr., M. Peasec, de Querrien ; 3-, 25 fr., M. Fra- dire, le succès le plus complet, le plus bril
a M. Soulière, professeur déparieujeutal
uue surface de 3 hcclare.,. Quelques amélio
d'agriculture qui a bien voulu prêter son celtes de 23.000 francs. Ce chiflie, hâtons
val, de Riec ; 4-, 20 fr., M. Ricouard, de Quim- lant el le plus mérité,
Peu intimidés par les basses manœuvres
râlions doivent encore y être apportées.
concours éclairé aux opérations delicates nous de le dire, ne repose sur aucune base
perlé ; 5-, 15 fr., M. David, de Baye ; 0-, 10 fr.,
du jury chargé d'atlribuer les lécompeases, et l'on peut se demander où M. Courtier a
.M. l'usioch, de MoÉian ; 7 , 5fr., M. Boédec, de de pression et d'intimidation exercées par la
3« prime. — Nous vous proposons de l'ac
bande
noire
qui
terrorise
Quimperlé,
nos
Mellac
;
»•,
5
fr.,
M.
Jégou,
de
Baye
;
9-,
5
fr.
à tous les maires, conseillers généraux, et élé le chercher. M. Beaufrèic, rendant
corder a M. Jouan Louis, à Keruijeane, en
M. Le Gall, de Pont-ar-Groll ; 10-, 5fr., M. Mello) braves cultivateurs, eu dépit de toutes les
d'arronuissement, représeutanis éius el compte de la séance, fait mieux ; il écrit :
Baye.
de Quimperlé ; 11, 5 fr., M. Goalen, de Quim- diflicultés accumulées avec une ténacité fa
fonutiounuires qui ont bien voulu témoigner « le budget additionnel accusait un >xcéM. Jouan nous a montré une prairie de pene ; 12-, 5 fr., M. Seilin, de Riec ; 13-, M. Pi- rouche par des gens peu scrupuleux et intépar leur présence leur dévouement a la cause
dent de recettes de 23 000 francs ». Où le
6 hectares faile d'une ancienne pinière, très lorgé, de Mellac ; 14-, M. Le Meur, de Riec ; 15-, ressés à faire echouer par tous les moyens
agricole et républicaine, à tous ceux qui ont
M. Le Gall, de Kernours.
' possibles la maniiestation qui se préparait
bien nivelée, semée d'une très bonne com
directeur
de l'Union Agricole a-l-il pu débien voulu participer à cette manilostation
position de graines. Cette prairie a une
nicher pareille sottise, car le budget addiPRl.V D'E.NbEMBLE. - Une médaille d'argent s'étaient rendus nombreux à l'appel de la
dont il se sent heureux et fier.
attribuée au plus bel ensemble d'animaux de Société. d'Agriculture.
végétation luxuriante et d'un excellent rap
tionnel tel qu'il a élé volé par le Conseil
I l prie, eu terminant, les délégués de
l'espèce chevaline. — 1/2 sang : 1- prime, M.
port.
C'est
là
un
témoignage
éclatant
de
l'atta
transmettre à leurs uiinislres respectifs avec municipal se solde par un excédent de
Pour arriver à ce résultat M. Jouan prend Landrein Jean, de Keroter, en Le Trévoux ; chement que nos populations rurales portent
les remerciements de la population de l'ar- recettes de 1.99U fr. 07.
juments suitées : 2" prime, M. Quéré de Keranles boues de la ville de Quimperlé, nous tbiec, en Baniiafec.
k leur dévoué et sympathique représentant
rondissement de Quimperlé, l'expression de
Quoi qu'il en soit, M. Courtier pour ne
• avons remarqué un énorme tas de ce fumier
M. Le Louédec.
ses sentiments de profond attachement à la pas faire montre de sa propre ignorance en
Espèce B o v i n e
qui servira pour l'amender au printemps
Ce témoignage renferme, on en convien
République laïque, démocratique et sociale. maiière budgétaire, rejette la responsabiTAUREAUX RACE CORNOUAILLES
prochain.
dra, la condamnation formelle des procédés
(Applaudissements prolonges. - ^ C r i s de lité d'une erreur relevée par la préfecture
(au-dessous de 2 ans)
4« Primes. — Nous vous proposons di
Vive Le Louédec I Vive la République !)
l - prime, 00 fr., M. Favennec, de Kerchmin,-cn et des mesquineries auxquels pour satissui le compte de la recette muiiicii'ale. Il
l'attribuer à M. Jambou Louis, du Moulin
St-Thurien; 2', 50 fr., M. Guivarch, de Kerallon, faire ses rancunes, la municipalité de Quim
M. Pelluet, inspecteur primaire, est heu accuse même les collaborateurs aux(juels
Blanc, en Mellac.
en Riec ; 3-, 40 fr., M. Prat, de Kerboudou, en perlé n'a pas hésité à recourir, se souciant
reux de se faire l'inlerprèie des seuliments
il s'est adressé el, finalement, comme il
M. Jambou est un travailleur intelligent el St-Thurien ; 4-, 30 fr., M. Leguen, de Baye ; peu de sacrilier les intérêts vitaux de notre
du Miuistredel'lnstruction publique qui s'inA
cette
occasion
des
discours
ont
été
proexiste un déficit qu'il lui faul combler, il
énergiiiue qu'on doit encourager ; son loyer 5-, 20 fr.. Le Meur, de Goulet, en Riec.
ville, en déterminant la Société d'Agriculture
téresse
au
plus
haut
point
à
l'extension
touest de r.iOO fr., actuellement, son prédéces TAUREAUX MARQUANT MOINS DE 4 ANS EN BOUCHE à accepter le reluge que Clohars lui offrait noncés par MM. Bonnaire, Hammond, Le jours plus graude de l'Enseignemenl Agri- déclare hautement qu'il a accepté un hériLouédec, Pelluet el Gerdil.
scur ne payait que 4U0 fr. 11 a beaucouj
pour l'organisation de sou Concours.
M. Bonnaire au nom de la commune de cole qui se uonne dans les écoles de l'arron- tage sans le bénéfice d'un inventaire et que
1" prime, 50 fr., M. Conan Jean-Marie, de Pratamélioré ses terres en d(M'richant des landes
Nous répéterons jusqu.à satiété que le Clohars Cornoël, remercie M. le Ministre de dibseiuent de Quimperlé. Il lélicite les orga- le Con-seil actuel n'a qu'à s'incliner pour
Guen, en Mellac ; 2", 40 fr., M. Bisquay, de la Gade mauvaise qualité qui, actuellement, lui
renne, en Riec; 3-,30 fr., Jouan .\ndré, du Leing, Concours serait resté à Quimperlé, si la So- l'Agriculture pour l'honneur qu'il a bien nisateurs du brillant concours auquel il a payer les dettes contractées par l'ancien
procurent de bonnes récoltes et en créant en Quimperlé. .
ciété d'Agriculture n'avait vu dans le refus voulu faire à la Société d'Agriculture de assisté el les remercie def l'accueil qu'ils lui Conseil. Et le voilà parti dans une énuméune prairie de 1 h. ÔO, non irriguée, sur un
Une médaille de vermeil, oITerte par M. Le opposé par le Conseil Municipal de Quim- Quimperlé en se faisant représenter à son ont réservé. Les personnes présentes ont ration de chiffres auxquels nous prions
versant aboutissaul à la vallée de l'Isole
Louédec, député, conseiller général, attribuée au perlé de voter les 150 francs nécessaires à
témoigné à M. Pelluet leur profonde symd'une bonne végétation, plantée de pom- plus beau taureau de la race bovine pie-noire l'organisation des traditionnelles réjouis concours par son secrétaire particulier. M, pathie en saluant son discours par des ap- nos lecteurs de se reporter dans notre
Gerdil,
inspecteur
des
Eaux
et
forêts.
Ses
compte-rendu de la séance.
miers en plein rapport.
.M. Bisquay Louis, de La Garenne, en Riec.
sances qui accompagnent son Concours, une remerciements vont également à M. le Mi- plaudissements prolongés.
Pour arriver au résultat obtenu par
TAUREAUX RACES DIVERSES
marque d'hostilité qui rendait inévitable le nistre de l'Instruction publique qui en
M. Moren a lenu, avant que la discusM. Gerdil, représentant le Ministre de
1 •• prime, 40 fr., M. Le Gall Mathurin, de Ker- transfert sollicité par Clohars.
M. Jambou, il lui a fallu faire des travaux
sion
ne lût close, à faire pruclamcr pur lo
déléguant
pour
le
représenter
au
concours
l'Agriculture,
après
avoir
remercié
les
ora
relativement difficiles, vu la déclivité du sol naour, en Mellac; 2-, 30 fr., M. Boëdec BarthéChassée de Quimperlé — le mol-tt'aduit la
maire que les centimes additionnels qu'il
et les nombreux mètres cubes de pierres lémy, de Kerandru, en Mellac; 3-, M. Nigen, de situation — elle a accepté l'asile que lui M. Pelluet, inspecteur primaire, a tenu à leurs qui l'ont précédé des paroles élo
témoigner de l'intérêt qu'il porte à nos gieuses dont il a été l'objet, exprime les y avait lieu de voler étaient destinés à
Kerpinvic, en Quimperlé.
qu'il lui a fallu transporter.
oflraient généreusement nos voisins de la populations agricoles. Il exprime sa grati- regrets du Ministre de n'avoir pu assister en payer des dettes contractées par l aucien
M. Jambou nous a lait voir une autre
VACHES L A I T I È R E S RACE CORNOUAILLES
côte.
tude à M. le minisire de l'intérieur pour personne, comme il l'aurait, désiré, au con
conseil municipal.
prairie de 50 ares très bien irriguée. Sa pro
PLEINES OU A L A I T (au-dessous de 7 ans)
Que chacun prenne donc ses responsa- s'être fait représenter, lui aussi, par M. cours agricole de Clohars. Empêché, dit-il
priélé est très bien entretenue.
Nous allons renettre leschosvsau point.
1" prime. 45 fr., M. Gargam Yves, de Mellac ; bilités el que M. Courtier conserve pour lui Hammond secrétaire général du Finistère, par le Concours Central Agricole et l'Expo
5« Prime. — La 5« prime doit être attribuée
, 35 fr., M. Manon Louis, de Baye ; 3-, 25 fr., la réprobation qui s'attache à ses exploits.
L'exercice
1911 a élé clos, le 31 mars
et par M. Calloc'h, sous-préfet de Quimperlé sition de l'Automobile Agricole, il se réserve
à M. Péron Thomas, fermier à Penpic
M. Brozec, de Moeian ; 4-, 20 fr., M. Marion Louis,
1912, par un excédent de recettes s'élevant
dont
tous
connaissent
la
sollicitude
pour
de
profiter
de
la
première
occasion
qui
en Tréméven.
de Baye ; 5-, 10 fr., M. Ricouard, de Baye.
.2'20f.D7
à la somme de.
On peut évaluer à près de 7,000, le nombre tous les intérêts de notre arrondissement. s'oflrira à luipour venir témoigner aux agriM. Péron nous a fait examiner une prairie,
VACHES L A I T I È R E S RACES DIVERSES
culteurs
finistériens
tout
l'intérêt
qu'il
porte
De
celte
somme,
il
y
a
lieu
Après avoir remercié tous les membres
de 1 h. 50 ares, établie dans les laudes ro1- prime, 30 fr., M. Pérès Guillaume, de Ke- des visiteurs qui ont témoigné de leur inà la Bretagne agricole.
de déduire les restes à payer,
cheuses, autrefois incultes et sans produc- ranquelvnn, en Bannalec; 2-, 20 fi., M. Guyader térêt à ce brillant concours dont l'organisa- présents d'avoir bien voulu honorer de leur
Dans un discours très documenté, très c'est-à-dire TOUTES les détion appréciable. Celte prairie est bien Jean, de Riec-sur-Bclon ; 3-, 10 fr., M. Bran- tion, d'un avis unanime, n'a rien laissé à présence le concours et le banquet qui vient
désirer. Il est bon de noter en passant que d'être servi, il les convie à se joindre à lui littéraire et de la plus haute portée au point penses engagées par l'anirriguée par des captations.
goulo Louis,, de Héder, en Clohars.
cette foule comprenait un bon millier de pour remercier le sympathique député de de vue économique et social, M. Gerdil, avec cienne municipalité, et non
GÉNISSES RACE CORNOUAILLES
6* Prime. — Quant à la 6' prime nous vous
Quimperlois, au bas mot. Leur présence à l'arrondissement M. Le Louédec, président une aisance qui traduit sa compétence in
soldées à cette date, s'elcvant
proposons de i'attribuer à M. Péron Jac(au-dessous de 2 ans)
Clohars revêt une signification qui a dû at- de la Société d'Agriculture. (Applaudisse- discutable eu maiière agricole, aborde
21.301 36
1 •• prime, 40 fr., M. Péron, commerçant au
ques, de Kernévenas, en Quimperlé, pour
teindre assez profondément le Maire de ment'4).
l'étude des problèmes qui passionnent à tel
création de 2 h. 50 ares de prairies sur bourg de Baye ; 2', 30 fr., M. Bourhis, de PeQuimperlé, dans son incommensurabln or
Il ne veut pas rappeler par suite de quelles point l'auditoire que chaque donnée do son
un terrain en déclivité ; la partie supérieure uanrun, en Riec ; 3-, 20 fr., M. Corvellec, de gueil, pour que nous nous dispensions de
Différcnoe
5.9191.'.'!
circonstances le Concours s'est trouvé discours recueille des applaudissements
est parfaitement irriguée et le bas fond Quimperlé ; 4-, 10 fr., M. Berlhou, de Kergoa- remuer davantage l'arme dans la plaie.
M.
Courtier
a
donc
reçu
de
son
pièdetransféré de Quimperlé à Cloliara-Carnoet, unanimes et prolongés.
drainé. Celte prairie a une bonne végéta- labré, en Riec.
cesseur, M. Le Louédec, de quoi payer
mais
il
s'excuse
auprès
des
personnes
préAprès
avoir
félicité
sans
réserve
les
orga
M.
Le
Louédec,
de
son
côté,
avait
fait
GÉNISSES MARQUANT MOINS DE 3 A N ^ EN BOUCHE
tion et parait d'un excellent rapport.
sentes de n'avoir pu les recevoir avec plus nisaleurs du Concours, M. Gerdil ajoute TOUTES les dépenses engagées anléneuM. Tanguy Yves, de Mellac; grandement les choses.
1- prime, 45 fr., M
7« Prime. — Votre commission attribue
d'apparât.
remeiit par le Conseil municipal, soit
qu'il est heureux de complimenter tout spé
A
sa
demande,
les
Ministres
de
l'Intérieur,
35 fr., M. Favennec François, de St-Thurien ,
la médaille de vermeil pour bonne conduite
« Clohars-Carnoet, dit-il, est isolé des cialemeut la commune, la municipalité et le 21.301 fr. 36 y compris les 664 fr. 90 pour
30 fr., M. Rivoal losepli, de Riec ; 4-, 20 fr.j de l'Agriculture et de l'Instruction publique
d'un rûcher, aucune demande ne lui étant M. Legall Mathurin, de Mellac; 5-, 15fr., M. Rosavaient tenu a être représentés i cette ma- des villes environnantes ; les moyens de maire de Clohars de l'hospitalité qu'ils ont les fêles de la Pomme, plus un excédant
parvenue, à .M. CaCric Pierre, propriétaire à tren Jiicques, de Quimperlé.
nifestation de l'industrie bretonne. Reçus à locomotion nous font défaut. J'espère que réservée au Concours de la Société d'Agri- net disponible de cinq mille neuf cent dix
Kerlescouarn, en Tréméven, pour création
GÉNISSES RACES DIVERSES
leur arrivée par M. Bonnaire, maire, entouré si, plus tard, la commune de Clohars-Carnoet c u l t u r e .
neuf francs vingt et un centimes.
de prairies en bonne voie d'achèvement.
Il félicite en M. Le Louedec son prési
l " prime, M.Pérès Guillaume, de Bannalec; 2', de son Conseil municipal qui leur souhaita la a encore le bonheur d'être le siège du Con
Dans ses prévisions de recettes, au bud20
fr.,
M.
Le
Gall
Mathurin,
de
Mellac
;
3-,
10
fr.
bienvenue,
les
délégués
après
avoir
accepté
dent
de
la
parfaite-réussite
de
celle
manicours
de
la
Socité
d'Agriculture,
de
plus
Primes spéciale*
get
additioniiel, M. Courtier avait prévu
Le Gall Jean-Marie, de Quimperlé.
le vin d'honneur qui leur était oflert, se rendi- grandes commodités seront assurées k tous l'eslalion agricole. Il tient également à faire
Fosse à purin
PRI.X D'ENSEMBLE. - Une médaille d'argent rent immédiatement sur les lieuxduconcours. et que le meilleur accueil pourra vous être connaître aux populations agricoles tout le l'encaissement du montant total de l'emLa prime pour fosse à purin doit être at- (G. M.), offerte par la Société, M. Le Borzec, au Et les exposants ont pu remarquer avec
dévouement du député de Quimperlé pour prunt contracté pour l'agrandissement du
fait.
tribuée à M. Le Gall Jean-Marie à Keruours, Uuily, en Moëlan ; M. Marion, de Baye.
quel intérêt, M. Le Louédec, président de
Je bois à la prospérité de la Société qui M. Pams nourrit la plus grande sympa- cimetière, soit 22.400 francs, alors que
eu Quimperlé.
la Société d'Agriculture accompagné de d'Agriculture, à son Président et à la thie. Son autorité dans les milieux agrico- lâ.oOO fiiiiics avaiont déjà été encaissés,
Espèce P o r c i n e
M. Le Gall nous a montré une fosse d'une
MM. Bonnaire, maire de Clohars ; Gerdil, République 1 »
les, dit-il, son zèle pour les travailleurs de en juin 1911. Qu'on ne vienne pas pour
VERRATS
bonne contenance. Des rigoles conduisent
secrétaire particulier du Ministre do l'AgriDes applaudissements frénétiques et les la terre le classcift dans cette catégorie de cela dire que le bu iget se trouvait en
au-dessous
de2aDS,8ansdistinction
de
races)
l'excédent de purin des étables à cette fosse.
l " prime,25 fr., M. Le Tallec Joseph, de Ban- culture ; Hammond, secrétaire général de cris do : Vive Bonnaire I saluent la fin de ce députés ruraux qui, par leur droiture, leur delicil de pareille somme, étant donné que
Laiterie
courage et leur mérite personnel ont conquis
nalec ; 2-. 13 fr., M. Le Tallec Jacques, de Ban- Préfecture dn Finistère ; Calloc'h, sous-pre- discours.
ces 15.000 fraucs étaient compris d;uis les
let de Quimperlé ; Pelluet, inspecteur priLa parole est ensuite donnée à M. Ham- à la cause républicaine les populations
La médaille pour bonne tenue de laiterie nalec ; 3-, 10 fr., .M. Conan, de Riec.
restes a payer », c'cst-a-dii e dans la
maire ; Soulièriî, professeur départemental mond, secrétaire général du Finistère.
qui jusqu'ici étaient encore sous le joug de
doit être attribuée à M. Bérou Guillaume,
TRUIES RECONNUES PLEINES OU SUITEES
d'agriculluro et Tanguy, Conseiller général,
siiinmc de '21.;i01 Ir. 36. Cette dernière
la
réaction.
M.
Hammond,
secrétaire
général
du
Fiagriculteur à l'Ile, en Mellac.
au-dessous e2an8, sans distinction de races) oui visité les diverses sections de l'exposiSes compliments et ses remorcienicnts Somme c jm,iienail aussi, nous le répénistère, après avoir excut^é le Préfet, eml " prime, 25 fr., M. Célin, de Clohars ; 2 , 20 fr.,
La laiterie de l'Ile occupe un appartement
tion agricole et horticole.
vont
également 6 toules les autorités pré- tons, le montant dû (lour liquidation de»
pêché
au
dernier
moment,
dit
combien
il
est
M.
Pocher,
de
Clohars
;
3-,
1&
fr.,
Favennec,
de
très convenable, réalisant les conditions néCeux qui avaient fait courir le bruit que heureux de l'honneur qui lui échoit d'avoir sentes et il ajoute qu'il sera heureux de se frais de la fêle de la Pomme, somme que
cessaires, son outillage est parfait et com- Quimperlé ; 4 ,10 fr., M. David, de Bayej; 5-,5fr.,
M. Lozachmeur, de Clohars.
le concours de 1912 aurait été M un four » à souhaiter la bienvenue, au nom du dépar- faire l'interprite près du Ministre de l'Agri- M. Hervé aurait pu se faire payer avaut le
prend divers instruments de contrôle.
parce que transféré du chef-li» u de canton tement, à M. le délégué du Ministre d^ culture des desiderata et des besoins de la 31 mars s'il s'y elail piis à tempes cl M.
Volailles
Tel est. Messieurs, l'exposé du travail de
I " prime, 6 fr., M. Guyomarch Joseph, de au bourg d'une commune voisine, situé à l'Agriculture qui connaît et aime la Bre- région de Quimperlé, ainsi que des senti- Courtier aurait dû ajouter qu'il a eOectué
la commission de la visite des fermes.
Clohars ; 2-, 4 fr., 3., 3 fr., M. Portier, de Clohara; 10 kilomèties, ont été fortement défus en tagne. Il fait l'éloge de l'agriculteur Breton, ments profondément républicains qui luiont
Le rapporteur,
c« litre une recellci de 96 fr.
2 fr., M. Rostren Jacques, de Kerlen, en Quim- examinant les produit* exposés dans ses et en particulier de l'agriculteur flnistérien été exprimés.
NAOUR
JBAN-MABIB,
Oa sait quo lo budget additionnel n'e«t,
dillérentes
partiel.
Noui regrettOD*
ne pouvoir repro*
qui 9uit coDstanineatla roie du progrès. I l
nu fucrr«ii«t, n Nlzo», perlé.
Escamotage et 6asp:ilage
à la Mairie de Çuimperit
M. Morren. — Qu'on réduise le traitement des nouveaux moyens de communication avec
à l'école primaire supérieure de Quimperlé, quelle cette institutrice à droit à l'indemnité de
tamment les articles 46 et 47 de cette loi
député 1
Quimperlé et la grande ligne. La question,
résidence.
est
nommée
professeur
d'anglais
à
l'école
relatifs au fonctionnement des Conseils
Avant de lever la séance publique, M. Cour
Chemin de grande communicntion N' 16 — Une
rappelée à chaque session du Conseil généprimaire
supérieure
de
Guingamp
;
Mlle
municipaux.
gomme de 130 francs est votée comme part con- lier déclare aux conseillers qu'il est à leur dis
Cbartier professeur k l'école primaire supé- tributive de la commune dans l'entretien du position pour répondre aux questions qu'ils ral par M. Le Louédec, député, semble être
L e quatrième alinéa de l'article 46 sti
en bonne voie d'aboutir.
rieure de Quimperlé, est nommée professeur chemin de grande communication n* 16, de voudront bien lui poser
pule que « pendant les sessions ordinaires
Si l'assemblée départementale ne veut pas
{ordre des sciences), à l'école'primaire su- Clohars A Doeian rive droite, apr^s que le maire
M. Bernard demande la parole,
le Conseil municipal peut s'occuper de périeure de Mayenne ; Mlle Marchand, est eut expliqué que la commune ne peut se sousi l propos d'un cochon ladre.—M. Bernard pose se i-ésoudre à doter la commune de Cloharsà M. Courtier la question suivante : u On a fait Carnof't d'une ligne de chemin de fer à voie
toutes les matières qui rentrent dans ses déléguée, pendant l'année 1912-13, dans les traire à cette charge.
Demande de concession. -— Une demande en courir le bruit en ville qu'un cochon alteiiit de étroite, nous aimons à croii-e que tout au
fonctions d'institutrice (ordre des sciences),
attributions. »
à l'école primaire supérieure de Carhaix concession perpétuelle d'un emplacement situé ladrerie aurait été abattu à l'hospice et donné en moins le voudra bien décider la création
L'article 47 a trait aux sessions extraorconsommation aux malades.
d'une ligne de tramway. I l nous semble
(emploi nouveau); Mlle Grange, est nommée près de la croix de mission au cimetière,
dinaires et le deuxième alinéa est très net
« Est-ce vrai 't »
présentée
i
la
précédente
session
par
M.
Corqu'il
sulfit que la question s»it posée pour
professeur
(ordres
des
sciences),
à
l'école
M. Courtier se dit très heureux de la question
« L a convocation contient alors l'indication
bierre et renvoyé pour étude à la commission,
primaire supérieure de Carhaix {emploi nouqui lui est posée. Les bruits qui ont couru en être résolue.
est repoussée.
des objets spéciaux et déterminés pour
veau) ; Mlle Bernier, licencié ès-sciences,
Que le Conseil général veuille bien reLes Ursulines. — M. Courtier expose au Con- ville ont pris naissance, dit-il, à l'abattoir. Il en
lesquels le Conseil doit s'assembler, et le est déléguée dans les tonctions de professeur
prendre le piojet qu'il a repoussé en l'JU3,
seil que la commune de Quimperlé n'est que fut prévenu par M. Gillard et, immédiatement
Conseil ne peut s'occuper que de ces ob
(ordre des scieoces) à l'école primaire supé- locataire de l'ancien couvent des Ursulines, que il avait prié M. Le Floch, vétérinaire, de se projet tendant à l'établissement d'une ligne
jets. »
rieure de Quimperlé.
le bail est annuel et se poursuit par voie de rendre & l'hospice pour visiter l'animal.
de tramway de Lorient à Quimperlé. La
tacite reconduction.
Après avoir inspecté la viande, M. Le Floch ligne est à moitié construite puisqu'elle
O r , voici
les questions inscrites à
L'administration préfectorale demande au lui déclara que la viande qui lui était présentée vient ju.'iqu'aux Cinq-Chemins, à dix kilomèl'ordre du j o u r de la séance de dimanche
Conseil municipal de décider soit l'acquisition ne paraissait pas suspecte.
tres de Quimperlé. D'ailleurs, à l'occasion
dernier, indiquées sur les convocations,
M. Courtier ajoute qu'à la suite de cette dé
de cet immeuble par voie d'expropriation pour
sur le placard apposé à la M a i r i e et trans
cause d'utilité publique, soit la construction de claration il pria M. Gillard, qui lui avait annoncé de l'inauguration de la ligne Lorient-Guidel
une interpellation à ce sujet de se rendre, le le 13 septembre dernier, M. Swol, président
nouvelles écoles.
Quant aux 600 francs affectés anx frais crites sur le registre des délibérations
Nous ne refusons pas de construire, dit le lendemain avec M. Le Floch à l'hospice pour as du Conseil d'administration des tramway de
Chaque
bolle
1
kilogramme,
brut
ou
«
1°
Budget
additionnel
;
2®
Election'
de
d'achat de l'immeuble pour l'hôlel des
Lorient, a exprimé l'espoir de voir bientôt
Maire, mais, pour ma part, je trouve la ques- sister A l'inspection de la viande incriminée
postes ; aux 119 fr. 33 pour contributions de deux membres de la commision de net, S U C R E D E L U X E C H A N T E N A Y ; tion prématurée. Je ne suis pas d'avis, en tout L'opération, dit-il, fut convaincante, aucune trace la ligne prolongée jusqu'à Quimperlé. A peu
revision de la liste électorale pour la chaque botte 1 k i l o g r a m m e , brut ou net, cas, de poursuivre l'expropriation actuellement, de ladrerie n'ayant été relevée sur les morceaux de Irais, le Conseil général pourra ensuite
du même immeuble, ne sont-ils pas cou
Chambre de Commerce ; 3" Demandes S U C R E S C I É , R A N G É , C H A N T E N A Y , car il y a toujours pendante devant les tribunaux de viande qui furent examines.
verts, et au-delà, parune recette de 1374fr.
donner satisfaction aux désiderata de la
Il est vrai, poursuit M. Courtier, que le porc commune de Clohars-Carnoei. Il y a urgence
d'indemnités de logements ; 4° C h e m i n de carton cuir, boites brunes (yenre P A R I S ) une revendication faite par les époux Mancel
montant de la hicalion de cet immeuble
qui ont eu raison devant la Cour de Cassation en question, avait été mis en vente sur le champ
grande communication n® 16 de Clohars
à ce que notre assemblée départementale
encaissé au budget addilionnel et dont M
pour la moitié des bâtiments.
contient un ticket prime.
J e foire puis refusé par l'acheteur parce que
jirenne cetlc décision s'il ne veut laisser
Courtier s'esi bien donné garde de faire Cainoët à Doëlan ; 5° Questions diverses
Si
vous
décidez
de
poursuivre
l'expropriation
quelques
taches
de
ladrerie
avaient
été
relevées
30 tickets prime donnent droit à 1 kilorelatives aux écoles publiques ; 6* Ré
pour cause d'utilité publique, je crois devoir sous la langue. Celle ladrerie n'était d'après lui s'échapper au profit du Morbihan toutes les
mention.
g r a m m e , brut ou net S U C R E C H A N - vous prévenir que l'expropriation coûte tou- que localisée et on conséquence la viande pou- ressources d'une des communes les plus
ponse au questionnaire de M . Meunier
Les fiais de procès dans l'aflaire Maret iinportanles du Finistère.
jours très cher. Nous ne savons pas ce que vait èlre consommée à l'hôpital. Il a fallu
TENAY.
7° Assistance aux vieillards (comité secret)
sille résultent, il faut le dire, d'une très
décidera le jury. Si nous pouvons nous rendre ici M. Courtier accuse, en le no amant, un
L e S U C R E C H A N T E N A Y est le plus acquéreurs des immeubles par voie d'adjudicaL e Conseil municipal ne devait donc
vieille affaire liquidée à l'amiable en fa
boucher de la ville d'avoir colporté ce bruit et
.MOKLA.V. — l i i c e u d i c . — Un incendie a
s'occuper que de ces sept questions, et blanc, le plus pur, sucre le mieux I
tion publique, la chose serait préférable. Si la il ne cache pas que, pour l'exclure, lui personveur de la ville, puisque celle-ci n'a eu à
dévoré vendredi .soir, au village de Poulvez,
revendication des époux Mancel avait été traitée nellement, des adjudications pour la fourniture
sont nulles de plein droit, en vertu de l'arjiayer que le 1/3 des frais engagés, tanen faveur du liquidateur, nous aurions pu ex- de viande à l'hospice et au bureau de bienfai- en .Muëlan, une meule de paille apparlenaiit
ticle 63, les autres délibérations prises au
M. Jeaii-.Maiie Gouyec. Le l'eu avait élé
dis que M. Maisille en a asssumé les '2;3
proprier. Dans l'état actuel des choses, c'est sance, il a fait insérer dans le cahier des charges
cours de cette séance.
mis par un ganiiii de 5 ans (|ui s'amusait
impossible.
Que signifie cette observation de .M.
une clause spéciale.
Celle question devra èlre tranchée un jour ou
E n outre, le Conseil municipal n'avait pas
« Voilà, Messieurs, qui fera cesser les bruits avec des alluineltes. Grdce au.\ secour.s des
Courtier relativement à la gratification
l'autre.
Les
bâtiments
seront
mis
en
vente
et
joniiiiers de .Moëlaii avisés par les voisins,
malveillants.
«
C
o
n
s
e
i
l
m
u
n
i
c
i
p
a
l
.
—•
Le
Conseil
muà
entendre
la
lecture
du
procès-verbal
de
la
accordée aux employés d'oclroi ? I l re
alors vous pourrez vous en rendre acquéreurs.
Puis M. Courtier donne lecture du rapport do
a maison d'habitation ainsi que les autres
proche à l'ancien Conseil d ' a \ o i r vote dernière séance. A signaler que, tout de nicipal de Quimperlé s'est réuni dimanche
Jusqu'à voir, je vous demande de ne pas pren- M. Le Floch, vétérinaire, dans lequel il déclare biUiments purent être pré.^ervés.
dernier
à
9
heures,
en
session
extraordi600 francs en faveur de ces modestes em- môme celle fois, le secrétaire a lu les
dre de décison. Si par hasard on nous mettait que la viande qu'il a élé appelé à expertiser paLes dégills évalués A l.SWJ t'r. sont eu partie
naire, sous la présidence de M. Courtier, à la porte, nous serions à temps de demander raissait saine et propre à être consommée par
ployés, atcrs que lui-njôme a fait porter délibérations prises en comité secret.
couverts par une assurance.
maire. Tous les conseiller s y assistaient, à la déclaration d'utilité publique pour cause d'oc- les malades de l'hospice.
Alors que, lors de la précédente séance,
cetlc gralilicalion à 1.200 francs ?
l'e.xception de MM. Gillard etGallo, excusés. cupation.
M. Courtier termine en disant qu'il a donné
B A . \ . \ A L E C . — t i i c / . le.s h a p c u r s Pour solder
les frais d'agrandisse- on avait omis de lire ce qui aurait dû
Le procès-verbal de la dernière séance,
Af. Le Ny. — .Ne pourrait-on pas contracter un des instructions pour que, désormais, aucun p o i u p i c r . s . — Par décret en date du 2ti sepment
du
cimetière,
opération qu'il ôire lu, cette fois, quand il ne lallait rien y compris celte fois les délibérations prises bail ?
porc ne soit abattu à l'hospice sans avoir élé
tembre 1912, .M. Le Meur René, a été nommé
ire du tout, on a tout lu.
M. Courtier. — L'.\dminislralion des Domaines au préalable visité par le vétérinaire.
était impossible de reculer davantage,
en comité secret, a été lu par M. Bernard,
sous-lieutenant de la subdivision des sapeursne
consent
la
location
que
pour
un
an.
Nous
ne
Cartes
de
faveur.
—
M.
Bernard
pose
au
maire
D'après les dispositions de l'article 47, secrétaire, et n'a donné lieu à aucune obM . Courtier
a
trouvé largement ce
connaissons pas le jugement de la Cour de Cas- une autre question au sujet des caries de faveur pompiers de Banualec.
a communication du syndicat d'initiative, servation.
qu'il lui fallait dans le reliquat dissation ; la préfecturéne le connaît pas davantage. olTertes par la municipalité à l'occasion du banLe Conseil ddibère ensuite sur les ques- Attendons.
ponible de l'txeicice 1911. Enfin M . qui ne révélait aucun caractère d'urgence
quet du 22 septembre.
I i i c e i u l i c . — Le 8 courant, vers G heures
dont
quelques-unes,
Courtier a agité comme un épouvantail était superflue, de même qu'en fin de tions suivantes,
M- Peyron. — La Préfecture devra d'abord
Très heureuxde celle question, M.Courtier dit du matin, un incendie s'est déclaré chez
comme
nous
le
signalons
d'autre
part,
nous fournir les renseignements nécessaires: que sur les indications de M, Soulière il avait
la question du concours de la race bovine séance M . Courtier aurait agi sagement en
Cutullic Yves, cultivateur à Trémuur, en
n'étaient pas inscrites à l'ordre du jour.
après, nous prendrons une décision.
invité les députés, sénateurs, et conseillers géné- Buiinalec.
bretonne pie-noire, concours qu'il n'a pas s'abstenant de la petite comédie préparée
M. Courtier. - Je suis d'avis d'attendre la mise raux du département, les deux conseillers d'arM. Cutullic,qui se levait, vit des étincelles
demandé et qu'il eut été peut-étie heuieux d'avance sous la forme d'interpellation.
Syndicat d'inilialive. — M. le Maire donne en ,vente car l'expropriation coûte toujours fort rondissement du canton, les membres du Jury,
de voir transféré soit à Clohars, soit à
M. Soulière, son secrétaire et les deux emplo- tomber sur ses animaux dans l'écurie. .\usM . Courtier avait annoncé à nos conci- connaissance au Conseil d'une lettre qu'il a cher.
reçue de M. Ilabrial, vice-président du syndicat
M. Le Ny. — Certainement, les bâtiments, qui yés de la sous-préfecture qui l'avaient aidé en silùt, il réveilla sa famille et la lit sortir,
.Mellac, pour lequel en tout cas il a^ail toyens, avant les élections, qu'il allait toul
initiative du Kinistère, remerciant l'assemblée sont pourtant vieux, nous coûteraient cher. Ce qualité de secrétaires-adjoints et la musique.Pas
ainsi que - es animaux et donna l'alarme.
l a i t \ o l e r la st-mme de 1.800 francs.
changer à la Mairie. I l y réus.-it merveil- communale pour la subvention de 100 francs
serait préférable de construire des bâtiments d'autres. Tous les conseillers municipaux maire
Quelques instants après tous les hiihitants
eusemeiit dans son ignorance absolue des qu'elle a votée en faveur du syndicat.
A ce moment, M . Courtier s'est donné
en tête, ont payé leur carie. Les pompiers n'é- (le ce villiigc (|ui compte au moins 70 méneufs
1912.
—
Vote
de
centimes
Budget
additionnel
de
M. Peyron. — Supposons que les bâtiments du taient pas de la fête et, en outre, aucune presgarde de dii e que celte somme n'a pas été charges de son mandat. D'autre pait, nous
additionnels. — Gravement, M. Courtier annonce couvent soient occupés par les anciennes reli- sion, dit-il, n'a élé faite pour y faire venir les nages su lrouvaieiitsurleslieu.\ derineendie.
établissons, chiffres en mains, que si M .
eiitièiemenl déj ensée.
.Mais aucun sauvetage n'était possible el il
assemblée municipale qu'elle va avoir i s'oc- gieuses ; nous serions obligés de partir. Nous fonctionnaires municipaux.
fallut se borner à noyer les décombres. Les
De tout ce <iue nous avons relevé ci- Courtier n'entend pas le premier mot à cuper d'une question excessivement grave. Il risquons en tout cas de les payer cher, jrès
L'incident est clos, et la séance est levée.
agit du budget additionnel de 1912. Il avait cher.
immeubles qui étaient couverts en chaume
dessus, il ressort donc nettement que l'établissement d'un bu.lget, il excelle, par
ont été dévorés avec toul ce qu'ils conteM . Courtier a voulu t u i p i e n d i e la bonne contre, dans l'art de fausser les situations cru, dit-il, trouver les finances de la ville dans
La construction de nouveaux bâtiments scoC
'
c
r
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d
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t
u
d
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s
p
r
i
m
a
i
r
e
s
(
Session
une situation prospère, avec un excédent de laires nous reviendrait meilleur marché.
naient, le mobilier et la récolte, dans l'eses plus claires.
foi du public, heureusement secondé en
d'Octobre). —
recettes de 23.000 francs en chiffres ronds.
pace d une demi-heure.
M. Le Ny. — Si nous avions un terrain proGARÇONS
cclà par le directeurde son j .uinal officiel.
Maltieureusemcnt, il avait été induit en erreur,
pice, nous aurions certainement intérél à consLa perle subie par .M. Ciituilic, dans cet
Ecole publique de liannalec. — légou Joseph.
les chilVres fournis par la recette municipale
Mais la où la mauvaise fui de M . Courtier
truire.
Ecole publique de Concarneau. — Prigcnt Noi'l. incendie, est évaluée à ôlMJO francs et est
étant erronés. Dans les 23.000 francs, on avait
dé|..asbe les bornes et devient du cyni&rae
M. Peyron.— On pourrait demander ce que
Ecole publique de Tréyunc. — Carduner J.-M. couverte par une assurance à la (.''' itu Sofait figurer 15.000 francs perçus, au titre do
insolent,c'est'lorsqu'il vient dire que la siEcole publique de Quimperlé. — Cadic François, leil. On ignore les couses de ce .>;inisLre. Une
l'exercice précédent, en accompte sur l'emprunt nous coûteraient de nouvelles écoles.
M. Hervé. — Environ 300.000 francs d'après ce Couic Auguste, Couliou Joseph, Caillibot Pierre,
contracté pour l'agrandissement du cimetière,
tuation obérée qu'il accuse est la résulenquête est ouverte par la gendarmerie.
Guillou Jean-Joseph, Guillou l'ierre-Josoph,
L'abondance des matières nous empê
de sorte que ces 15.000 francs ont été comptés que m'a dit M. l'inspecteur primaire.
tante, de la mauvaise gestion de M . Le
M.
Courtier.
—
11
faut
compter
en
moyenne
Ilabrial .Maurice, Kervarec Laureiit, Lois René,
en trop.
. \ l / 0 . \ . — l . a liiïte p a i r o i i a i e . —
Louédec. O r , le registre des délibérations che de traiter aujourd'hui la question
une dépense de lO.OOO fr. par classe. Il y a lieu Morlec Guillaume, Nadan Bertrand, .N'estour
agitée
au
Conseil
municipal
relative
à
Le
receveur
municipal,
ajoute
M.
Courtier,
ne
de
noter
qu'il
faudrait
construire
en
outre
des
porte, comme point de départ du budget
Louis, Solliec Simon, Tanguy Josoi.h, Lhel L'Union Agricole, du ( i o d o b i e nous apprend
qu'à l'occa.-ion de la l'été patronale un bansaurait être blâmé. Son servi, e est très com- logements pour les maîtres et des dortoirs Vves, Boniicfoi Marcel.
addilionDt-l de 191'2, un. excédent de re- l'abattage à l'hospice d'un porc atteint de
quet par souscription a eu lieu chez .M. Flépliqué, plus compliqué que celui d'une simple pour les pensionnaires.
ladrerie.
Ecole
privée
de
Quimperlé.
—
Auffret
Alo.xancettes Ue 21.301 f . 3 6 a u lieu de 27.220fr.D7.
perceiition et il y a lieu de remarquer que, dans
M. Peyron. — J'estime que l'achat de l'établis- dre, Cornou François, lléry Guillaume, Le Bris cher, sous la présidence d'honneur de
Nous reviendrons sur cette question et un temps relativement court, les opérations se
M . Courtier ne tient compte que du monsement des Ursulines nous coûtera, avec les Vves, Pensec Louis, Quéméner Joseph, yuénié- •M. Corentin Guytio, conseiller général du
canton de Pont-.\ven.
tant des restes à payer qu'il porte i m m é - la traiterons à fond dans notre numéro de rapportent à la gestion de trois comptables suc- grosses réparations, plus cher que de nouvelles ner Louis.
cessifs.
Si nous relevons cette relation, ce n'est
constructions.
diatement en dépenses et il ne fait au- vendredi prochain.
Ecole publique de Clohars-Carnoët. — Gouyec
pas qut; nous soyons surpris de Vdir M.
Le budget additionnel, dit-il, a été établi avec
M. Courtier. — Je suis de votre avis.
Joseph.
cune mention du reliquat disponible de
Guyho, accompagné de M. La Villemaïqué,
le concours de certains dont la compétence lui
M. Le Ny. — Je serais d'avis d'acheter le couEcole publique de Moëlan. — Fauglas Pierre, évoluer à son aise au milieu d'une nuinici^.9l9fr.21.
C'est lii un tour d'escamotage
paraissait indiscutable. Il s'est trouvé qu'4 la vent à condition que nous l'ayons à bon compte.
LeBloa Joseph, Jouan Isidore, Tanguy François. palité qui n'a de pareille dans l'arroiidissepréfecture on a relevé l'erreur et qu'en consé- Dans le cas contraire, il vaut mieux construire.
inqualifiable, commis sciemment
dans
Ecole publique de Beuzec-Conq. — L e C r a s V.
mcint que celle de y i i e r r i o n .
quence le budget n'a pu èlre approuvé à raison
H. Courtier. — La question est très délicate,
l'esi'oir qu'il servira à masquer la situaElèves présentés par tes parents. — Gourmelin
Depuis longtemps nous savons dans quels
d'un déficit de 6.328 fr. 50 qu'il y a lieu de com- très épineuse. Voulez-vous que nous attendions
Raymond, Malcoste Victor, Le Visage André.
tion désastreuse oii ont été précipitées les
milieux .M. Guyho, à qui X'Union
Agricole
bler par le vole d'une nouvelle imposition de des instructions de la Piéfeclure?
FILLES
finances de la ville par la bande d'incaaccolle l'étiquette républicaine, recrute ses
I l centimes 60 (1).
At. Peyron. — Bien sûr!...
« Vous ne pouvez pas, ajoute le Maire, revenir
Ecole publique de Tourc'h. — Balay Hélène, pa tisans.
Adopté à l'unanimité.
pables qui siège à l'Hôtel-de-Yille sous la Diplômé
de la Faculté
de
Médecine sur ce que vous avez déjà voté. PersonnelleCours d'adultes. — Une dépense de 300 francs Bourhis Anna.
présidenee de M . Courtier. Nous ne voude
Paris
ment vous n'avez rien voté de trop : 200 francs allouée chaque année, dit M. Courtier, par le
Ecole publique de Quimperlé. — Braban Paule,
lons 1 as tarder davantage à relever celte
en faveur du Syndicat du bâtiment, 100 fr. pour Conseil municipal pour les cours d'adultes, n'a Cariou Marie, Leduc Jeanne, Kerhervé r.lotilde.
56, rue Kéréon, QU IMPER
erreur qui ne peut être que voloiitaiie,
le Syndical d'inilialive du Finistère, 400 fr. pour pas été comprise au budget additionnel. Il y Renambot .Marguerite, Guillou Angèle, Kerhervé
la bibliothèque scolaire, 1.800 fr. pour le con- aurait lieu de la voter.
Simone.»
car il deviendrait impossible par la suite
Monsieur et .Madame E.MI'AIN, les
Elèves présentées par les parents. — Briand
M. Peyron. — Comment faire 1 .Nous sommes
de savoir c e que serait devenue celte T o u s l e s V e n d r e d i s , C O X C . \ H X E A U cours de la race bovine pie-noire. Vous ne pouvez pas revenir sur ces votes.
Familles
LI;DI:ITT.É, F.\viti;r, Mniiv i.\I,
Magdeleine,
Caradec
Marie-Françoise,
Gloaguen
en déficit.
QUAI D'AIGUILLON, 2
scinme. Une rectification s'impose. Nous
Françoise, N'igneron Joséphine, Getfroy .Mario.
N ous ne faites que payer les dettes de vos
DANILLOU, LAUGÈHE r e m e r c i e n t b i e n
M.
Courtier.
—
La
somme
de
1.800
fr.
volée
(PRÈS L'HÔTEL LE CLI.NCHE)
verrons bien si M . Courtier la fera. En tout
prédécesseurs.
pour le concours de la race pie-noire n'a pas élé
sincèrement les personnes qui o u i
Et ici, M. Courtier énumère ce qu'il dit être entièrement dépensée. Nous aurons un reliquat
cas, nous attirons sur ce point l'attenlion
S e r v i c e d u P o u l t l u . — Voici l'hobien voulu assister au ccnvoi et à
de l'administralion supérieure au contiôle Cabinet ouvert de 8 heures r 4 heures une lourde charge dans l'héritage que le nou- sur lequel nous pourrons prélever celle somme. raire qui est mis en application, sur
veau Conseil municipal a dù accepter sans le Adopté.
l'inhumation de
la ligne 3 (service d'hiver 1912-13), par aude laquelle, on l'a vu d'autre part, M.
bénéfice d'un inventaire :
Non-valeur. — Une somme de 22 fr. 50 pour tobus, entre Quimperlé et Le Pouidu :
Courtier voudrait se soustraire.
664 fr. 90 traitement d'un malade décédé à l'hospice, deFêle de la Pomme
Amortissement de l'emprunt pour
meurant irrecouvrable, est admise à non-valeur.
A nos compatriotes .lous ferons remarQUIIHPERLÉ AU POULDU
338
50
l'agrandissement du cimetière...,
ainsi (jue celles qui leur ont témoiRéforme administrative. — Le Conseil répond
quer ceci : Depuis cinq mois que M .
STATIONS
•aUn
nitin
uir
Complément de l'annuité pour l'Hôau
questionnaire
présenté
par
M.
Paul
.Meunier,
gné leurs sympathies dans cette
Courtier est à la mairie, le Conseil muni826
38 député, chargé de faire un rapport sur les li- Quimperlé, Muirie
lel des Postes
8 40
l i 40
donloumiise
circonstance.
cij'ala voté vingt et un centimes trenle-cinq
Qiiimperlt, Gun.
.Arrirée...
Frais d'achat d'un immeuble pour
bertés et les prérogatives municipales.
6 20
? 45
ouimpcrlè. Gare, .déimrl..
î:. "li
l'Hôtel des Postes
f.00
d'imjiosHions nouvetles, ce qui représente,
Résumons en quelques lignes les réponses du Coutuero, aiT(!t fnciillnlif...
t
1) -U
16 4
Conlribulions de la maison HoGare de lu Korèl, nrrOl
Conseil municipal de yuimperlé.
le centime communal étant de 545 francs,
C 32
T 12
fociiUalif
119
mancer
43
16 l-,'
11 est d'avis que la commune peut être émanune somme totale de onze mille six cent
C 46
nrrfit fuciilUitif...
y 26
16 26
Voici la liste des candidats admis à la Procès affaire Marsille
934
52 cipée de la tutelle administrative ; — qu'il n'y a Kerunna,
G
:iu
Bourg lie Cloliiirs-Oirnoël...
!6 :tii
Irenle-c inq francs soixante
quinzecenlimes. suite des épreuves orales au brevet élé
Gratification aux employés de l'ocfi 51
y m
16 ;ti
pas lieu de.souniettre ses décisions à l'appro- Lanilgiazic,
y
1.)
16
15
600
Croi.x
de
Kerankernal
troi
M . Courtier a e n o i i i r e dilapidé le reliquat mentaire d'instituteur :
bation d'une autorité supérieure qui n'a pas le Le Pouidu, les GrandPurge d'hypothèque du terrain du
caractère électif, c'est-à-dire au Prefel ; ~ qu'en
disponible de 5.919 fr. 21 résultant de
Sables
y 4y
16 ly
.MM. Le Daccon, Bleunven, L e Bonizec,
315
cimetière
tous cas les recours devront èlre jugés au chefl'exercice 1911 et, à l'neure actuelle, il n'a
POULDU A QUIMPERLE
.800
ëiÊiii M mr m mt
mmu^
L e Borgne, Bochorel, Bourhis, Campion, Concours de la race pie-noire
lieu du département et non à Paris ; que ces
pas la moindre ressource disponible pour
STATIONS
•ilin
ailtin
Uir
recours seront portés non devant le préfet mais
Ennemi
de
li>ute
réclame
tapageuse
et charCharles, Connan, L e Corre, Danzé, Even,
6.199 fr. 20
La Pouidu, les Grand!!faire face à la plus petite dépense imdevant le Conseil général.
lataiiesijue nous préférons continuer à donner
Snblcs
10 25
ir45
Soit, donc, poursuit M. Courtier, une somme
Féon,
E
m
i
l
e
L
e
Gall,
François
L
e
Gall,
prévue.
les meilleures prouves de notre méthode en
11 demande que les élections municipales se Croix de Kérankernat
7 15
10 29
17 4y
totale de plus de 6.000 francs, que nous avons
Landgiazic
7 26
10 40
18 DC publiant les guérisons obtenues.
Nos compatriotes constateront qu'en Gestin, Louis Gloaguen, L e Goaër, Goar- dù voter pour solder les dépenses engagées par fassent d'après la R. P. ; — estime qu'il n'y a Bourg de Clohars
7
30
lu
44
18 4
pas lieu d'augmenter le nombre des conseillers
Nous avons reçu des certillcats de guérison
7 31
10 48
18 8
cinq mois de temps douze mille francs vet, Jean Guéguen, L e Guen, L e Guillou, nos prédécesseurs. .Nous pourrions dans une municipaux ; — est d'avis que le Conseil géné- Kéranna, urrèl TaculUitif. .
avec autorisation de les publier des personnes
Gare de la ForOt, arrél
certaine
mesure
réduire
les
crédits
que
nous
environ ont été engloutis ; que le budget Guinwarch, H e r r y , Heydon, Hugonnot,
fucullalir
7 48
11 2
18 22
ci-dessous :
avons volés, mais il conviendrait d'éviter celte ral doit avoir le pouvoir d'opérer le sectionne
Coatdéro, arriM facallalif...
7 56
11 10
18 30
M. \ olant Alain, à Kerdousten en Combrit,
de l'année prochaine se solde d'ores et Kerbrat, Kerguélen, Labous, Lamballais, façon afin • que les services municipaux n'en ment des communes dès qu'il en est requis ;• — Quimperlé, Gure. .arrivée...
8 »o
11 14
18 34
qu'en cas de désaccord la question soit tran- Quimperlé, Gure. .départ...
par Pont-l'Ahbé (FinistèreV
déjà par un déficit de 5000 fr., qu il a fallu Leiièvre, Léon, Jean Louboutin, Thomas soulTrenl pas.
chée non par le Préfet mais par le Ministre ; — Quimperlé, Mairie
8 :to
18 ÎÔ
M. Guollec, à Bcyle, près Riec (Finis-tèro).
« Je vous propose donc, Messieurs, de voter
combler au moyen de centimes addition
Louboulin, Marchnnd, Moigne, Michard,
que, pour la création de communes nouvelles,
M. J. Bovdiil.A Hrelès,p,ir L.iiiililul(l"inislèro;.
une
imposition
nouvelle
de
11
centimes
60
(1)
m i s ; que la caisse municipale n'a aucune Noblet, Le Page, Palud, Paubert, P i n g a m ,
le Conseil d'Etat soit seul compétent ; — il
S e r v i c e d e s a u t o b u s . — Nous donnons
M. Pouliqiieii Alain, à St-Thégonnoc (Finistère'.
pour combler le déficit du budget pour insuflldemande que les répartiteurs soient directe- d'autre part l'horaire qui est mis en applidisponiblilé. Mis en présence de ce triste
M. Le <Juin(iiiis (Ils, 106, rue de la \'icrge, à
Pichon, Prigcnt, Richard, Rolland, Rosuel sance de revenus. »
ment élus par le Conseil municipal (ici se place cation par la Société des Transports Auto- Lambézelloc (l'inistère).
bilan, ils reconnaîtront sans difficulté que
M.
Moren.
—
Il
est
bien
entendu
que
ce
n'est
et L e Ster.
un mot de M. Courtier : « Je vois. Messieurs, que mobiles Bretons, depuis le 1 " octobre couRojotoz d»nc au loin vos appareils do torture.
pas nous qui avons contracté ces dettes 7
la situation florissante du budget, à l'époque
vous ne voulez rien céder de vos prérogatives) ;
.Nous Iroiivoroz auprès de M. GLASEli, de
M. Courtier. — Nous avons accepté l'héritage — il n'admet pas que les délibérations des Con- rant entre Quimperlé et Le Pouidu.
où M . Le Louédec était m a i r e , n'a rien
Paris, loulo la .«alisfartion désinthle ear son
de nos prédécesseurs. Nous sommes bien obli- seils municipaux, dans un très nombre de cas,
Omettant de critiquer le départ de Quini- appareil osl le plus loger rent fois plus eflicace
de comparable à la situation dans laquelle
ges de payer leurs dettes.
perlé-Gare
fixé
à
8
h.
45,
étant
donné
que
doivent être soumises à l'approbation des hauts
que tout aulro ; il so porte jour ol nuit s.nns
P a r arrélé de M . le .Ministrede l'instruc
se trouve la commune de Quimperlé deM. Moren. — 11 est bon que le public le fonctionnaires de la République pour être ren- trè* probablement, à partir du 15 courant,le
gène et immobilise toutes les hernies en cpielsache.
lion publique :
puis que M . Courtier lui a succédé.
dues exécutoires ; — il voudrait que les bud- train qui n'arrive actuellement en gare de ques mois ce qui lui a valu d'innombrables téLa proposition de M. Courtier tendant à l'imM. Heldl est délégué, pendant l'année position de I I centimes 60 (1) est votée à l'una- gets, impositions, octrois, etc, soient dispensés Quimperlé qu'à 9 h. 12 arrivera comme le^ moignages les plus élogioux du corps médic.il.
de toute approbation de l'administration supé- hivers précédents à 8 h. 40, nous ne pouvons
.Nous invitons lous les hernioux des deux
l912-13,danslesfontionsd'instiluteur-adjoint
nimité.
rieuse ; — que le Conseil municipal puisse pas toutefois ne pas protester contre le dé- sexes à faire une visite A M. GI.ASKIt, ipii fera
tordre des sciences), à l'école primaire suChambre de Commerce. — Sont désignés pour créer lui-même dos hôpitaux, asiles, etc. sans
périeure de Concarneau ; Mlle Angenol, faire partie de la Commission chargée de revi- Intervention du pouvoir central de Paris ; — part du soir, fixé à 15 h. 45, soit cinti mi- l'application de ses .ippareils A :
C)UIMPERLÉ, le 11, HOtel du l.ion-dOr;
pourvue du certificat d'aptitude au profes- ser la liste électorale i la Chambre de Com- que les administrateurs de ces établissements, nutes avant l'arrivée du train de Lorient.
LORIENT, le 12, Ilrttel de Bretagne.
sorat des écoles normales et des écoles pri- merce, MM. Beaufrére et Génol.
Si l'autobus, comme il le devrait, part à
étui par le Conseil, soit augmenté ; que le nomM. GI.ASER, SpécialistP, 3S, Boulovanl .<éh,i!«
Indemnités
de
logement
et
de
résidence.
—
Sont
Le devoir le plus élémentaire pour le maires supérieures, est nommée professeur renvoyés, sur la proposition de M. Courtier, à bre des adjoints soit augmenté et qu'il ne soit l'heure, il n'assure pas la correspondance lopol à Paris. Brochure contre 1 fraiir.
jamais inférieur à deux ; — que les adjoints aux nombreux voyageur» venant de Lorient.
ordre des li ttres), à l'école primaire supéchef d'une municipalité est de connaître la
la commission des finances, les demandes d'in- ëpéciaux soient nommés par la C.ommiseion
rieure de Quimperlé ; Mlle Verdarguer, proSi la Société veut, au contraire, qu'il atloi municipale de 1884. L e saint homme fesseur à l'école primaire supérieure de demnités de logement présentées par Mlle Keri- déparlepientale et non par le Préfet ; — que le
tende l'arrivée du train, qu'elle change son
Etude de M ' Etchceopar, notaire
vcl
et
Mme
Te.xier,
institutrices
et
par
M.
Le
Préfet n'ait pas le pouvoir de suspendre indéfiqui préside aux destinées de Quimperlé a Guingamp, est nommée professeur (enseihoraire ; les voyageurs seraient ainsi taxés.
à Quimperlé
Meur, instituteur.
niment
l'exécution
d'un
arrêté
municipal
et
qu'il
l'air d'en ignorer totalement le texte ; à gnement de l'anglaisi, à l'école primaire suUne demande d'indemnité de résidence, faite y a lieu de limiter la durée de la suspension ; —
Nous profitons de cette circonstance pour
moins qu'il ne trouve préférable,pour plu^ périeure de Quimperlé ; Mlle Tréglos, ins- par Mme Texier, est transmise à la Préfecture et que même il ne convient pas, en dehors du signaler que durant l'été qui vient de s'écouA
V E N D R E
de commodité, de pa.^ser outre à ses pres- titutrice à l'école primaire supérieure de qui a qualité pour tlxer la date i partir de la- Préfet de le Boumetlre au Conseil d'Etat ; — il ler le service n bien souvent laissé â désirer,
est d'avis enfin que les maires, adjoints et con- à raison des nombreiise.s pannes survenues
criptions. Nos lecteurs pourronL d'ailleurs Quimperlé, est déléguée, pendant l'année
seillers municipaux devront être payés, si, étant à l'une des voilures. Actuellement, une seule
se rendre comote, par les réponses faites scolaire 1912-13, dans les fonctions d'institu( I ) .\OTK IMPOHTA.\TE. — Xous r a p p r .
trice (ordre des lettres), à l'école primaire loiiN que la vulrur du erntiine est k Quini> indigents, ils en font la demande.
voiture est mise en circulation ; nous sousituée à i U i x i l - C r o i x . en Cloharspar si.n Conseil municipal au question
supérieure de Lannion ; Mlle Gachon, adCes réponses au questionnaire de M. Meunier haitons que, durant l'hiver 1912-1913, elle
Carnoët, contcnant
hectares eiiiiaire de M. Meunier, député, sur les li- mi.ssibleaux épreuves orales du concours prrié de S I S rrnncN, I l jr M Heu de fnire remarquer, parnullf), qn<> c c H i l cenllmeii 6 0 , ont été émises sans discussion. Relevons seu- permette d'assurer des communications plus
viron.
bertés et les prérogatives municipales, que d'entrée à l'école normale supérieure de K'aiaulant aux 9 cenliaie* 7S votéH * la lement les propos ci après :
régulières que l'hiver dernier.
S'adre.^ser à M ' K T C H l - C O P A R .
cette loi apporte à son mandat, tel qu'il le Fonteuay aux-Roses, est déléguée, pendant drrnière MPHNIOU, augmentent, en moins de
M. Ueaufrére. ~ Nous ne voulons pas que les
Nous no pouvons que nous associer aux
préfets
se
mêlent
de
nos
alTuires
I
cinq
molH
que
M.
Courtier
ent
à
la
téle
de»
conçoit, de lourdes entraves d<flit i i serait l'année scolaire 1912-13, dans les fonctions
paroles prononcées lundi dernier, au banM. Morren. — Il taut les supprimer...
d'institutrice adjointe (ordre des lettres), alTalres municIpalcH, leM ImpoHillonM reprétrès heureux de pouvoir s'affranchir.
quet du Concours agricole, par M. Bonnaire,
Quimperlé. — Imprimerie {Juimpertni^e
Une voix. — Le» sous-préfets aussi...
sentant la part contribnilve de l a commune
i
l'école
primaire
supérieure
de
Carhaix
S. rue Bisson.
Nous disons donc que M. Courtier ignore
M. Guiomar. — Les traitementg des préfets maire de Clohars-Carnoét, lorsqu'il expriet
que
devront
supporter
les
QnlmpcrUls
(emploi nouvMu) ;.Mlle Gatrot, iniUtutrice
serviront à payer Ict conBcillera municipaux. mait le vœu de voir }a çpnmune dotée de
nvft DE V P i f t T r o v n CENT.
9U feint d'ignorer 1« loi municipal*, et noLe Gérant: J. H A W B .
somme toute, que le complément du bud
gel de l'aabée précédente, puisqu'il sei l
liquider les dé|)en<>fs survenues en cours
d'exercice et qu'il a été impossible de pr^i
voir au budget primitif. De la sorte, l'ad
ministration de M. Le Louédec léguait une
succession libre de toute charge, avec un
avoir de 5.919 fr. 21.
Au sujet des autres déjienses que M
Courtier a sotteai«jnt énumérées nous
dirons ceci. la somme de 338 fr. 52 pour
amortissement de l'iMupiunt du cimetière
et celle de 826 ft. 3G pour paiement d'une
annuité de l'emprunt contracté pour l'hô
tel des postes sont imputables à l'exercice
1912, c'e-st-à-dire à la seule gestion de
M. Courtier, étant donné que la première
annuité pour ces deux emprunts part de
1912.
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Toutes les femmes connaissent les
dangers qui les menacent à l'époque
du RETOUR D'AGE. Les symptômes
sont bien connus. C'est d abord une
sensation d'étoufïement et de suffocation qui étreint la gorge, des
boull'ées do chaleur qui montent au
visage pour faire place à une sueur
froide sur tout le corps. Le ventre
deviont douloureux, les règles se
renouvellent irrégulières ou trop abondantes et bientôt la femme la plus robuste se trouve affaiblie et
exposée aux pires dangers. C'est alors qu'il faut sans
plus tarder faire une cure avec la
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avec la mention « refusé », sera considéré comme réabonné
pour l'année suivante.
ténégro est le premier entré en danse
par une déclaration de guerre aussitO
suivie d'esca'rmouches avec les garni'
sons turques qui gardaient les positions
Ce serait bien mai connaître la Tur
avoisinant le petit royaume et leur dé
quie, que de lui prêter des intentions bordemcnten vieille Serbie, cri Albanie
de paix définitive avec l'adversaire également, où les Malissous, tribus
italien devant l'imminonce du lormi- chrétiennes, soulevées de façon perdable assaut que préparent contre elle manente contre la domination maholes quatre nations balkaniques.
métane, leur a fait une réception enJamais nécessité de négocier ne se thousiaste.
lil plus impérieuse pour un belligérant
Sur la foi des télégrammes, les
à qui l'éloignement de son champ d'ac- montagnards de la Tchernagsre pour
tion rend, pour ne pas dire impossible qui leur vieux monarque, beau-frère du
très difticile la résistance qu'il oppose
roi d'Italie — n e l'oublions pas — est
Havitailler la Tripolitiiiiie et la Cyré- une sorte de jière, n'auraient jusqu'à
naïque d'hommes et de moyens pour présent rtcueilli que des succès. Mais
contrarier la conquête de cos deux pos- sans qualifier de tartarinades ces bul-
SOMBRE PERSPECTIVE
sessions par un
envahisseur muni
de
tout ce qui manque aux Ollomans, apparaissait déjà comme une tentative
chimérique lorsque nul autre lacteur
de retraite (inale n'était entré en jeu
dans ce duel inégal. Penser maintenant que puisse se prolonger la partie
quand surgissent aux l'ronlièrcs mômes
do l'Empire des périls beaucoup plus
grands, voilà qui dénote, aux yeux les
nioin^ exercés, une aberration qui jure
avec la finesse bien connue des hommes d'Elat de Constaiilinople.
Et, pourtant, tel est le spectacle qu'ils
auront donné à l'Europe attentive, qui
croyaii, logiquement, que, pour ménager sa liberté de mouvements en
face do la Coulisation slavo-hellénique,
la Turquie allait s'cmpressi-r de conclure l'inévitable arrangement, qui
sauvant son |)rfslige au regard dfs
populations musulmanes lui rendrait
la di.sposilion de sa marine pour le
transport des trou[)es, voire l'j blocus
de certains ports favorables aux besoins de ses ennemis.
Il a donc fallu qu'une cause protonde — laquelle ? — déterminât celle
temporisation, puisque les objections
turques se sont produites à l'heure où
l'on attendait l'échange des signatures
au bas du protocole laborieusement
rédigé qui, Tripoli changeunl de maîtres ofticiellemcnt, allégerait la Por.c
du souci, d'ailleurs de pure forme —
de maintenir son drapeau sur le sol
africain.
l e t i n s de v i c t o i r e s r e m p o r t é e s p a r des
guérillas préparées à la luLte d'embuscades, nous devions considérer qu'elles
opèrent dans une région où les Ottomans n'ont point concentré d'armée
véritable. Courageux, eertes, audacieux,
méprisant la mort, les rudes enfants de
la « Montagne-noire », ce nid d'aigle
inexpugnable, peuvent en toute sûreté
se livrer à leur passion belliqueuse
pourvu qu'ils n'avancent pas trop audelà du terrain qui leur est familier.
Là leur nombre pourrait être insuffisant et insuffisante aussi pourrait se
révéler leur connaissance de la guerre
scientifique, à moins qu'ils pussent
établir un contact avec les coalisés
donl ils ont devancé l'entrée en cam
p:igne.
Ce contact, les troupes monténégrines ne le réaliseront pas, son isolement le lui interdit. Tout au plus immobiliseront elles le contingent turc
appelé à les maintenir, lequel, composé
d'Albannais farouches, nous promet
d'en découdre avec elles assez pour que
nous ayons de ce côté un spectacle de
belle horreur.
Pour qui redoute les grandes batailles, c'est vers la Bulgarie que doivent se porter les yeux. C'est elle, apparemment qui livrera ou supportera
le premier choc, quand sa mobilisation
sera achevée. Elle le sera quand notïe
journal parviendra à ses lecteurs, el
alors seulement, les quatre puissances
alliées, ayant décliné poliment l'offre
Le prétexte allégué par les diplo- d'intervention des grandes puissances,
mates turcs proviendrait du respect poseront leurs conditions formelles à la
de l'opinion publique contraire à tout Turquie qui, décemment, ne saurait les
démembrement, de rojjinion qui doit justifier.
s'exprimer aux élections pour le recruGrosso modo, ce que réclament
tement de la Chambre, laquelle pour- Bulgarie, Grèce, Monténégro et Serbie,
rail frapper de nullité un accord donl, c'est non plus que l'Europe « prenne
il n'apparii'-nt pas aux seuls ministres en main » (formule Poincaré) les rédu Sultan d'arrêter les bases.
formes à introduire en Macédoine et
Ce sont là explications qui auraient
leur poids dans un pays où loul est
soumis aux rigoureuses lois du parlementarisme. Mais ici, où, justement
les élections invoquées nous reporteront à une date assez lointaine, l'argument perd de son autorité. Il vaudrait
mieux chercher dans la crainte des
rivalités de par.is, el dans la peur qui^
l'un d< ux, c< lui du Comité UnionProgrès bii particulier, mis récemment
en laillite poliliqu.-, n'exploite à son
profil, pour repnmdn; le pouvoir, les
coiicc&sions tàit'.sà l'Iialie.
S'il en était ainsi, il faudrait convenir que les hommes du gouvernement
subordonnent le salul de la patrie à
des intérêts bien mesquins. Ils risqueraient gros devant la nation qui ne
comprendrait peut-être pas qu'on paralysât ses forces en les disséminant,
en ne lui permeUant pas de concentrer
Bon efiort sur le point le plus menacé
de ce qui lui reste à préserver de toute
atteinte.
Il y a là un mystère assez étrange.
Les faits i'éclaireront-ils ?
L( s faiis, eux, s'ils ne se sont point
précipités avec la rapide allure qu'ont
fait augurer les premiers événements,
suivent, néanmoins la marche pour
ainsi dire fatale qui doit amener sur
le terrain du combat les armées auxquelles il lie reste qu'à combiner, soit
leur jonction, point possible pour
toutes, suitleura mouvemenisd'altaque
simuliauée.
Du reste, on le sait déjà, le Mon-
la ligne G fr. 2 0
—
0 fr. 2 6
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0 fr. 6 0
(On traite à forfait pour les annonces répétées)
A Constantinople, les préparatifs de
Cs sont là conseils qu'il faut écou- sentation proportionnelle el le principe du
gnerre
s'opèrent avec une fiévreuse acti
quotient
électoral
;
ter. Le temps n'est plus où l'on viva
« Compte sur la sagesse, la fermeté et vité. Toutes les troupes sont désorma
chez soi, exclusivement pour soi.
M.Foizy,consejllergénéral,progre.s.sisle,
importe aujourd'hui de compter avec l'entente des répubUcains du Sénat et de la mobilisées. Plus de 40.000 Albanais ont a été élu, dimanche, dépulé de Laon i Ai.sne),
demandé
des
armes
pour
marcher
conti
Chambre pour réaliser une réforme élec
l'universalité des répercussionsécono
par 8733 voix, contre 4G1I à M. Longuet,
les Seibes et les Monténégrins.
niiques, et c'est ce qui, devant l'assom torale, par un scrutin élargi, sans déroga.socialiste unifié, et 2515 à M. Guérin, raLe Conseil des Ministres de Turquie
brissement de la perspective en tion au principe majoritaire ».
dical.
donné
ordre aux ministres ottomans à So
Et maintenant, les réactionnaires ne
Orient, nous laisse espérer que la
Il s'agissait de remplacer .M. Caslelin,
vont pas manquer de railler : « Toujours fia, Belgrade et Athènes, de rentrer immé dépulé indépendant, décédé.
sagesse prévaudra dans les consei"
des potentats qui disposent des des- la même chose 1 s'écrieront-ils. Les répu diatement à Constantinople, sans prendre
blicains radicaux votent des résolutions congé des gouvernements auprès desquels
tinées de millions d'êtres fort peu dé
négatives,
mais ils s«nl incapables de dire ils étaient accrédités.
sireux de s'entredétruire.
La Rentrée des Chambres
ToulefoiSf bien qu'elle rappelle les mi
ce qu'ils veulent ; quel est le projet qui
JBAN M É R A C .
nislres ottomans dans les capitales des
leurs préférences ?... »
Bien que le Conseil de Cabinet n'en ait
Patience I La question est actuellement Balkans, la Porte n'a remi que hier pas délibéré dans sa séance de samedi
posée devant le Sénat, et il y a à la haute matin leurs j>asscports aux ministres hul malin, on peut considérer la date du mardi
Assemblée assez d'hommes de raison pour gare, serbe el grec à Constantinople.
5 novembre, comme Jefiniliveuienl ariéLa situation inquiétante créée à l'Europe tée pour la couvocaliou des Chambres.
qu'on leur fasse confiance el qu'on ne leur
par le conflit balkanique a causé dans
mâche pas la besogne.
les diverses capitales de véritables pa ni
C'est une simple question de déférence
Le Congrès radical, qui vient de tenir
LlltHES Fl!:iJILl.Krs
ses assises à Tours, prenait, celte année Les républicains radicaux ont dit ce qu'ils ques. Les fonds d'Etat eux-mêmes sont
profondément
alTeclés
el
accusent
une
un inlérôl loul parliculier en raison du voulaient : un scrutin élargi, c'est-à-dire
vote qu'il avait à émellre sur la réforme le scrutin de liste à base majoritaire, dans baisse anormale.
A Berlin, de nombreux suicides se sont
des cil conscriptions assez étroites pour
électorale.
sur la
produits
à la suite d'opérations de Bourse
permettre
une
équitable
représentation
On sait que le parli radical et radical
M. Poincaré, prégidenldu Conseil, a réu
socialiste, depuis 12 ans au pouvoir, cons des minorités et des majorités. Voilà qui
tilue la fraction la plus importante du est net. La parole est maintenant au Sénat. ni, lundi après-midi, plusieurs de ses col
La Huilième à notre ami klcclas, cultivateur
lègues, ainsi que les chefs d'élat-major de
JEA.N LANORE.
parli républicain. Cependant, grflce à une
et unselller Municipal
l'armée, de la marine, les directeurs des
scission qui s'est produite entre proporservices
des
Affaires
étrangères,
le
direc
Nous
avons
savouré, ami .Mcolas, le
liounaliblcs et antiproporlionnalistes, le
ctiariue et l'ironie de la lellrc. "l u nous as
leur
du
mouvement
des
fonds
et
le
direcprojet de réforme électorale présenté par
teur général de la comptabilité publique (Jit uvec liumour ce que pcnseiil tous les
M. Poincaré a été volé malgré l'opposilion
paysans ri''putjlicaiiis de France, qui se reluEn dépit des démentis officieux, on atta- !>i;nt à accoplcr la prédominance liaulaine,
pe la majorité radicale, et, ce qui e.st plus
e^iave, M. Poincaré a pu affirmer, après
Les événrmenls se précipitent en Orient. che, dans les milieux politiques, une cer- distante, insolente de curtains apcMrcs dos
poinlage, qu'il était également approuvé La guerre est déclarée; les troupes tur- taine importance à celle réunion inallen colcries i)arisienncs. T u sais par expérience
le danger ijuc lirciil courir à ia KépuLlique
par la majorilé des républicains de la ques l'avaient rendue fatale en franchi's- due, qui semble se rattacher aux événe- les esprits brouiilon» el ambitieux de Paris
ments actuels.
Chambre, — en y comprenant il est vrai sant les fiontières serbe el bulgare.
au iiioincnt du liou.angisiiie e l d u iialionaiisnie, cl lu conslatcs aujourd'hui, en cc.s
ies uiiitiés cl les progressistes.
D'autre part, laissant de côté ses appréleiiiiis de l'olie proportionnalisle, l'u-uvrc
Quelle allait être l'altitude du parti ? hensions antérieures, la Grèce vient d'acnélastc de leurs iniitaleurs. A Iruutc ans
Trois solutions s'oflraient à lui : rester di- céder au vœu unanime de la Crète, en déd inlervalte, lu retrouves la inônie s i t u a t i o n :
visé, ce qui eut été la pire des fautes ; ou clarant l'annexion de cette ile imporlanle
les conservateurs et les rcvolutionuaires
M. Frank se plaint de ne plus lire alliés, ciilrainantà leur suite un petitgroupe
•icccepter le tait accompli et faire la con- à la monarchie hellénique.
de poliliciens républicains en mal de réciliation sur le projet voté par la ChamEnfin, pour avoir les mains libres, la que rarement /'Écho de Bretagne. Jlé- clame, nuis par I intérêt électoral, merveillas!
moi-même
je
ne
lis
plus
que
rarebre ; ou bien encore écouter les exhorta- Turquie a consenti un suprême sacrifice en
leux de pose et de snobisme.
tions de ses directeurs de conscience, MM. acceptant les conditions que, profitant de ment le Progrès du Finistère ; el je
Clemenceau, Combes, Sarrien, etc..., et la situation, l'Italie exige d'elle en vue de prie cependant M. Frank de croire
que j'attachais autant d'importance à
iepous.ser la R. P. et le système du quo
la conclusion de la paix.
Lt c'est à ces derniers que lu veux crier
ses
articles qu'il en attachait à mes ton indignation, car tu comprends très bien
lient.
Mardi soir, en eflel, à 6 heures, les pléiinporiancc de leur rcspon.sabililé. Tu sais
La question était d'importance. Disons nipotentiaires italien et turc, réunis à Ou- I Radotages ». Nous perdons donc
que
leur appui a permis aux contempteurs
'un
et
Vautre,
par
celle
ignorance
réloul de suite qu'elle a été résolue avec une chy (Suisse), ont signé les prélimiuaire.s
du régime de nous mener où nous sounnes.
ciproque
de
choses
intéressantes
que
netlelé qui ne laisse place à aucune équi- de la paix.
Dans une des seauces du congrès dù
voque : le Congrès radical ne veut ni la
Aux termes de cet accord, la Turquie nous pouvons écrire, une occasion de l'ours, alors qu'un proportionnaliste pariR. P., ni le quotient ; il a repoussé, à la reconnaît l'autonomie de la Tripolilaine el tolémiquer.
sien laisait la statistique des reccntes élecA ce mal — car c'est un mal — je ne tions cl énuniérait quel jucs succès erpéistes
quasi unamilé, les deux principes volés de la Cyrénaïque.
jar la Chambre, et il a indiqué ses préféDès que la notification de la convention vois qu'un remède simple el pratique. un délégué majoritaire a lancé cette apo.srences pour un scrutin élargi, basé- sur le telo-turque aura été faite aux puissances, Je propose à M. Prank de lui faire troplie : « Gnlce à vous 1 .. Oui, .\icolas
c'est grâce à la présence de proportionnai
système majoritaire.
es gouvernements ottoman et italien reti- servir /'licho de Bretagne avec l'espoir libtes républicains dans les rangs des co-i
Les propoi lionnalistes s'appliquent main- reront leurs troupes respectives du théâ- qu'en retour, il me fera adresser le lisés que, plusieurs fois, des électeuis
épublicanis ont cru pouvoir élire des er
rogrès du Finistère.
tenant à opposer cette décision à celle qui tre de la guerre.
Élection Législative
A U CONGRÈS RADICAL
avait été adoptée au précédent congrès de
"Jtmes, et qui comportait l'adoption du
scrutin de liste avec représentation des
minorités. Mais, M. Georges Trouillot,
rapporteur au congrès, a répondu Irè^
en surveille platoniquement l'exécu- iVanchement et par avance à ce reproche
tion par la Turquie, mais que cette d'inconséquence. « Nous avions pensé,
dernière divise la Macedoine en trois a-t-il dit, que le vœu du congrès de Nîmes
)rovinces reliées à l'Etat vers lequel répondait au désir de tous les républicains;
es portent leurs affinités de race, nous nous sommes aperçus par la suite
,rois provinces bulgare, grecque et qu'il était palroné surtout par les adverserbe. Il va sans dire que la Porte ne saires de la République, c'est pourquoi
se résoudra pas à celle amputation, nous avons changé d'avis. »
quelques palliatifs que l'on y mette
D'autre part, M. Abel Ferry, député
lour sauvegarder son prestige. C'est
proportionnaliste des Vosges, a allégé la
donc le sort des armes, lui seul qui
conscience de beaucoup de ses amis en
décidera demain de la solution, si, à
enant dire très crânement à la tribune :
'issue des bat;)illes quelqu'un — ils
« Nous nous sommes trompés, c'est vrai ;
sont deux, la Russie et l'Autriche —
mais en adhérant à la proportionnelle
ne prononce son quosego en modifiant
nous étions de bonne foi, el vous ne poue résultat de la rencontre.
vez pas dire avec cette brutalité que le
Le vrai danger apparaît uniquement quotient, qui fùl une transaction, est un
à cette échéance ; car si, par grandis- attentat contre le parli républicain.
sime malheur, pareille manifestation
Il est certain que cette simple déclarase produisait, ce serait la transforma- tion va mettre à l'aise un grand nombre de
ion et la transposition du conflit qui dissidents qui s'étaient laissé entraîner
se produirait, jetant les unes sur les dans l'aventure proportionnalisle, el
autres les nations de la Triple-Alliance qui n'osaient pas revenir avec le gros de
et celles de la Triple-Entente.
'armée républicaine, de crainte qu'on les
Jusqu'alors toutes les volontés ten- traitûl de renégats.
dent vers la localisation des hostilités.
Le terrain est maintenant déblayé, el
es déclarations sont formelles qui 'union — l'union tant désirée et à laquelle
n'autorisent pas d'erreur. Et il faut en on a si souvent fait appel en vain 1 — peut
admettre d'autant mieux la sincérité se faire entre républicains. L'ordre du
que la peur de l'engrenage où chacun jour volé ne laisse, avons nous dit, aucune
iourrail être pris a provoqué sur li s équivoque ; le voici :
marchés financiers des principales
« Le Congrès déclare que la réforme
)laces européennes un effondrement électorale, donl il a toujours été partisan,
des cours assez caractéristique des ne peut et ne doit être réalisée que par la
dispositions pour la paix du monde mnjoi ilé républicaine de;» deux Chambres ;
des alliiires , quelque langue qu'il parle
Rappelant que les scrutins majoriel à quelque gouvernement qu'il se taires ont toujouis donné une large reprérattache.
sentation aux minorités, repousse la repré-
L E N R E S PAYSANNES
Système Franco-Chinois de lafi.P.
DANS LES BALKANS
BA
Le traité définitif de paix sera signé
aujourd'hui ou demain. Il est vraisemblable qu'il portera le nom de traité de Lausanne.
En Grèce la mobilisation se poursuit
aclivement dans toute l'étendue du
royaume hellénique : 130.000 hommes
sont déjà rassemblés sous les drapeaux.
Les hostilités auraient déjà commencé,
Quelques escarmouches auraient, dit-on,
eu lieu à la frontière.
Un engagement important met depuis
)lusieurs jours les troupes turques el
serbes en présence aux environs de Ristovac. Les Serbes auraient deux tués el sept
jlessés. Les troupes turques, au nombre
'environ 3.000 hommes, auraient repassé
a, frontière.
Le gouvernement bulgare a reçu l'offre
de cinq aviateurs russes et de dix aviateurs
italiens. L'offre a été acceptée et un lieu
de concentration leur sera désigné dès que
es hostililsés seront commencées. Les
aviateurs ont des appareils français.
La ville de Touzi s'est rendue mardi malin avec sa garnison et ses fortifications,
les Monténégrins y ont trouvé cinq canons qui avaient été foriement endo.i:ma(fés par leur propre artillerie.
Le butin comprend en outre huit mitrailleuses, 7000 fusils Mauser, de nombreux chevaux, 800 tentes, et des vivres
pour huit jouis.
La garnison comprenait six bataillons
de Nizams ; trois mille prisonniers ont été
envoyés à Pogoridza.
Les Monténégrins ont fait une entrée
triomphale dans la ville. Une musique milaiie précédait le prince Danilo, commandant les troupes. Les Mnlissores ont
acclamé avec joie les vainqueurs.
Les derniers télégrammes annonçant
qu'on se bat déjà sur toutes les frontièrea.
VAIWAGË
péistes. A l'exemple qui leur éluil donné
M. Franck me demande ce que je des dissidents, des mécontents, des n-iifs
jense de M. Pierre Miryens, el il a ont conibaitu des majoritaires sans avoir
soin de me prévenir que M.
Pierre pour ceiu le sentiiuent qu'ils niéconiiaissaieiil les principes directeurs du narli
Miryens est un député socialiste. Je républicain, la H. 1'., à leurs yeu.v, „• .vait
ne connaissais pas xM. Pierre Miryens, pas ixclusiveinenflcliquetle réactionnaire
mais maintenant, grâce au Progrès du elle p o r t a i t i e s l a n i p i l l o r e p u b u c a i n e . L ' é o u i '
inistère je sais que c'est un homme voque était grande, le danger reel. Oui V a '
,,..„
'rés courtois envers les messieurs de vail v o u l u 1 N eUient-ce , pas ces ir,^.»
gens auxla tonsure. Brave M. Miryens!
quels l u taisais allusion dans ta lettre et o u i
El vous voulez savoir ce que je pense
de lui, M. Frank ? Mais je pense d'abord que les portes du ciel s'ouvriront
ouïes grandes devant un citoyen aussi
respectueux de la soutane.
Cependant, je ne le crois pas réaclonnaire, M. Frank. Les socialistes
ne sont pas des réactionnaires ; ils
sont simplement les dupes de ceux-ci el
quelquefois leurs complices,
M. Pierre Miryens est-il dupe ou
complice ? Je ne le sais trop. M. Frank
serait-il assez aimable pour me l'apprendre ?.. •
Pierre KE RM A DEC
TÉLÉGRAMMES
Le public est actuellement admis à déposer les télégrammes aftranchis, au moyen de timbres postes, dans les bottes aux
lettres principales des buieaux pourvus du
service télégraphique.
Un décret en date du mai 1912 a décidé
que les télégrammes de celle nature pourront désormais ûlre déposés, aux risques
et péril des expéditeurs, dans les boites
aux lettres de toute catégorie urbaines
ou rurales d'où il seront exil ails et acheminés sur le bureau dont relève la b^lc
aux lettres, dans les mêmes conditions que
la correspondance postale contenue dans
la dite botte.
n'eurent j a m a i s assez de sarcasmes p o u r
e x p r i m e r aux paysans comme à l o i leur
mépris.
Uirtce ù eux, la campagne p r o p o r t i o n n a liste a a t t e i n t le m a x i m u m de violence e l
d'intensité.
GrAce à eux, une fraction de la gauctie de
la Chambre a apporté aux conjurés 1 aonoint
de ses voix.
' '
Grrtco ù eux, enlin, le monstre informe a
présenté aux électeurs français toute
sa
ludeur.
Mais c ta ne d o i t pas a v o i r p o u r résultat
Nicolas, de te taire r e n t r e r , coinuie tu lé
dis, dans le b o u r b i e r q u i borde ta marc .Si
ton curé el ton chrttelain j u g e n t à propos d,.
luanileslcr quelque m o r g u e et de n o u r r i r
quelque espérance de représailles, nous n .
pouvons p o i n t les en empêcher, niais i,,
peux être certain que ces me.ssieurs c a r r ^
sent des illusions qu'ils devront perdre b i o ^
l ô l . S'ils croient t e n i r une v i c t o h e ^ o "
chaîne, ils se t r o m p e n t lourdement et . ô.iJ
donnons à .Nicolas 1 assurance que les rémi
blicaïus n'ont rien a r e d o u t e r des r é a c l i o ^
naircs crpéisles de leur village. Avant que là
p r o p o r l i u n n e l l e ne lasse de ton hobereau u n
maire et de ton curé son a d j o i n t i l „ „ „ «
faudra attendre quelque I c m p t encoie é ^ s l
nous en j u g e o n s par les s y m p l ô n . e j quo
présente a 1 heure actuelle le pays, ce teinns
béni a beaucoup de chances de ne ms
venir.
'
T u as lu dans les j o u r n a u x , Nicolas. le
compte rendu de la grandiose manifestation
de Dôle.Uansjle Jura, où le j i n r l i r é p u b l i c a i n
fut t o u j o u r s vivace et clairvoyant, la II P
n'a recueilli que la faveur des réaclionnaireB'
Ces jour» dernier», le» militants jurassiens
se «ont réunis. Avec un fMmissement de co-
1ère ils ont repoussé la proportionnelle et,
en un vibrant enlhousiasme ils ont acclamé
la République majoritaire, gardienne des
droits du peuple souverain. Il y avait làbas trois cents délégués sénatoriaux, soixante maires, quinze conseillers généraux,
mille électeurs, qui mirent tout leur espoir
en la lornu IV- «lu Sénat pour renvoyer à la
Ctiaiiibre son machiavélique projet.
Dans toute la France, des réunions semblables s'organisent. Le paysan français sort
de sou ioditlérence. Il a compris qu'on touchait à ses droits, et il se défend. C'est lui
qui a envoyé au congrès de Tours les mille
déléjjués qui firent comprendre aux intellectuels parisiens qu'on ne joue pas impu
némenl avec le suHrage universel. C'est 1 "
q>ii leur a donné mandat de •.•éexpédiei
Paris les erpéistes, avec le quotient dans
leur poche. C'est lui qui a parlé par la voix
éloquente de Georges Trouillot et qui a dit
sa volonté.
•
•
Oui, Nicolas, de tous côtés une clameur
de réprobation s'élève. Le campagnard, l'artisan des petites villes, dont sa moquaient
les gens d'esprit et les rôdeurs en marge du
Parlement, ont déclaré qu'ils n'entendaient
pas être sacrifiés à des oligarchies. Us proclament hautement leur droit et disent
qu'ils sauront le l'aire respecter.
C est pour cela Nicolas, que la propor
tionnelle a vécu.
Promène-toi, ami Nicolas, dans les rues
de ton village. Ton curé, nous a-t-on dit, l'ai'
depuis deux jours piteuse mine. Il a, croit
de
on, reçu de très mauvaises nouvelles
la R. P.
,
Présente-lui, cher ami, toutes nos condo
léances.
. ,
J E A N - P I E B R E et J E A N - T L A U D H
De Violentes Bagarres
pour un nouvel Evêqu
Mardi matin, M. de la Porte, le nouve
évèque du Mans, faisait son entrée solenn e l l e dans la ville du Mans.
A celle occa
sien, le clergé et les groupements calho
liqiies avaient formé le dessein d'organi
ser un grand cortège de 1 Eglise de la
Coulure à la Calhédiale, ceci malgré un
arri>lé municipal portant interdiction des
piocessiyns. Pour prévenir des désordres,
M. Légué, maire du Mans, avait, lundi
p r i s un nouvel arrêté inlerdisanl le cor
lège et tous rassemblements sur la voie
publique. En réponse à celte mesure de
police, les vicaires généraux faisaient afficher, dans la nuil, un appel à la population
calhdique en vue d'une grande maniles
talion.
Dès neut heures, mardi malin, la place
d e ' . a u l l'église de la Coulure el
le boule
void Levasseur étaient noirs de monde
A n e u f heures et demie, M. de la Porte el
ses \icaiies généraux montent en landau
el sortent de 1 église. La foule les acclame
el chante des cantiques. Pour empêcher
le désordre, les gendarmes coupent le
cortège qui se forme derrière la voiture
épiscopale. Ils soul violemment conspués
Un cheval, frappé d'un coup de canne
fait un écart el renverse une femme el une
fillclle qui sont légèrement blessées
Enlin, ré\êque el les dix mille personnes qui reiilourenl arrivent à l'entrée de
la rue Dumas. Gendarmes et agents laisseul passer l'évûque, puis, derrière lui
forment un barrage.
Des prêtres el des jeunes gens s'élancenl alors contre les forces de police el
frappent les repiésenlants de l'autorité.
M. Chabné, commissaire central, surpris
à l'iniproMste par deux prêtres qui lui
donucul des coups de poing dans la poitrine, tombe sur le Irolluir. M. Guesnon,
commissaire du premier arrondissement,
est également entouré par un groupe de
piôlies qui le frappent à coups de pied.
Les gendarmes el les agents reçoivent de
durs horions. Plus loin, au carrefour SiNicolas el au carrefour de la Sirène, de
véritables batailles sont livrées à la force
publique. Place des Jacobins, un prêtre
frappe d'un coup de poing une dame dont
le fils Ncnail de crier : « Vive la République ! »
Enfin, après de multiples incidents,
l'évêque el sa suite entrent à la cathédrale. Là se sont terminées les bagarres
Une seule arrestation a été maintenue
celle d'un jeune homme nommé Lecomle,
employé d'r.ssuraiices.
PÊCHEURS 4 FABRICANTS
Le conflit pendant à Douarnenez entre
les marins-pêcheurs et les fabricants de
conserves est terminé.
Le syndicat des pêcheurs avait refusé
d'accepter ce que son bureau avait approuvé concernant la limitation de la
pêche.
Une entente est intervenue, hier, entre
le Syndicat el les fabricants et, par suite,
tout est rentré dans le calme.
SUCRES
Chaque boite 1 kilogramme, brut ou
net, SUCRE DE L U X E CHANTENAY ;
chaque boîte 1 kilogramme, bnil ou nef,
SUCRE SCIÉ, RANGlî, CHANTENAY,
carton cuir, boites brunes (^[enre PARIS)
contient un ticket prime.
30 tickets prime donnent droit à 1 kilogramme, brut ou net SUCRE CHANTENAY.
Le SUCRE CHANTENAY est le plus
blanc, le plus pur, sucre le mieux !
A l'Hôpital de Ouimperlé „
on a donné aux Malades
ds ia Vianda ladrique
Il y a un mois environ, une rumeur
qui s'acctnluail de jour en jour el qui
prenait corps à mesure que les commentaires venaient préciser la situation, a circulé à Quimpârlé.
La gravité du fait nous commandait la
plus grande circonspeclion à raison du
bon renom dont jouit l'hôpital-hospice de
Quimperlé et nous l'eussions passé sous
silence si, avec la maladresse dont il est
coutumier, M. Courtier n'avait fait soulever
la question à la dernière réunion du conseil
municipal.
La viande de porc, — nos ménagères ne
ne le savent que trop — se vend actuellement à un prix très élevé. Comme l'hospice possédait au mois d'août dernier
({uatre cochons gras, la commission administrative de cet établissement que préside M. Courtier, maire, décida, sur la proposition de M. Jean Peyron qui se connaît
en spéculation du genre, de mettre en
vente trois d'entre eux el de faire abattre
le quatrième pour les besoins de l'hospice.
Les trois cochons amenés sur la place
du marché trouvèrent acquéreur mais
l'inspection de ces animaux fit découvrir
à l'acheteur, M'»'Vve Denmat, charcutière
à Plouay, que l'un d'entre eux était atteint
de ladrerie et elle refusa d'en prendre livraison. L'échange de ce porc ladre contre celui resté dans sa soue fui proposé à
Mme Denmat qui l'accepta. Lrt cochon ladre regagna son étable tandis que l'autre animal, qui était sain^ prit la direction
de Plouay. Ceci se passait le 23 août.
Que faire de l'animal qui n'avait pu être
vendu ? Les braves commerçants municipaux qui président à la distribution de la
manne aux hospitalisés décidèrent de le
faire abattre et, puisque personne n'en
voulait, de le faire mangerparles pensionnaiies de l'hôpital.
Ce qui fut dit, fut fait. Et le cochon,
abattu à l'hospice môme, dépecé et salé,
commença à servir d'ordinaire aux malades
hospitalisés.
Des témoins afTirment que la maladie
èlait à tel point généralisée dans le corps
de l'animal, qu'ils avaient constaté la présence de vésicules « non seulement dans la
bouche,le poitrail elles viscères maisencore
burlecœur, qui présentait à sa suiface
une éruption symptomalique, aQeclanl la
forme el la taille d'une grappe de raisin. »
Justement ému, un conseiller municipal
qui avait eu vent de ces faits, écrivit immédiatement au Maire pour l'informer
qu'il lui demanderait des explications à ce
sujet, à la plus prochaine réunion du
Conseil.
Affolé à l'idée des proportions que cette
triste aflfaire menaçait de prendre, notre
saint homme de Maire se mit immédiatement en campagne et réussit à mettre sa
responsabilité à couvert.
Mais ce n'est pas suffisant.
Ne connaissant pas au juste ce que ces
rumeurs contenaient de fondé, nous avons
ouvert une enquête dont nous ferons connaître ultérieurement les résultats, s'il y
a lieu, nous réservant, de faire état des attestations que nous possédons, altistalions
qu'il nous sera facile de faire corroborer
par de nombreux témoignages.
En tout cas, nous retenons ceci : M
Courtier, piésident de la Commission
administrative, maire de Quimperlé, et
répondant, en ces deax qualités, à la question qu'il avait prié un de ses conseillers
municipaux, M. Bernard, de lui poser U)
a re.onriu, en seance publique du Consei
municipal, que le porc en question avait
bien trois vésicules ladriques sous la langue et que cest pour celte raison qu'il fut
refusé par l acheteur, Mme Vve Denmat,
de Plouay.
Craignant que l'interpellation annoncée
par M. Gillard ne dégénérât en un scandale, M. Courtier se hâta de faire venir à
1 hôpital M. Le Floch, vétérinaire, chargé
du service sanitaire de la ville de Quimperlé, à qui furent soumises des viandes
de porcs, extraites d'un charnier et que
M. Le Floch trouva propres à la consommation.
Nous ne mettons nullement en doute
la teneur du rapport de M. Le Floch. Cette
atlestation, nous le savons, a été établie en
toute sincérité et loyauté. Mais rien ne
prouve que la viande qui lui a été sou
mise provenait du porc incriminé.
Nous admettons que M. Le Floch,
mis en présence de la viande suspecte
n'ait rien trouvé dans les morceaux qu'il
a découpés, c'est entendu, mais aussi rien
n'établit que les autres morceaux qu'il n'a
pas inspecté n'étaient pas infectés.
Nos lecteurs nous excuseront d'entrer
ici dans des développements techniques
que nous nous efforcerons de rendre aussi
clairs que possible. Ils se rendront ainsi
compte de la gravité de la faute commise
par M. Courtier, maire de Quimperlé, président de la commission administrative
de l'hospice, en laissant donner en consommation, à des vieillards et à des malades des viandes qu'il est interdit de
faire consommer à des perssnnes bien purtantes.
Ouvrons le grand dictionnaire encyclopédique Larousse, établi par des hommes
éminenls dont la compétence esl indiscutable. Nous y lisons :
La ladrerie des porcs peut se transmettre i
l'homme. Elle est caractérisée par la présence,
dans lo tisHU cellulaire et les muscles, de vésicules d'un cysticeique, le cyslicercMs cellulose.
La ladrerie de l'homme, comme celle du porc,
est due à l'ingestion d'œufs de tœnia solium,
existant dans l'eau de boisson, les salades, les
(1) Nous disons bien que M. Courtier avait
prié M. Dernurd de lui poser celte question el
que la pseudo-interpellation de M. Bernard n'est
qi^^ne pure comédie, car M. Courtier avait tout
prfl, sous la main, le certiflcat de M. Le Floch,
vétérinaire, pour en donner lecture, ce qui
>roure surabondamment qu'il avait provoqué
ul-mérae l'incident.
légumes verts, etc. Ces œufs se développent en
cysticerques qui envahissent spécialement le
tissu cellulaire, les muscles, le foie, la rate, le
poumon, et aussi les méninges et le cerveau.
Chez les animaux, la ladrerie est caractérisée
par la faiblesse, la pâleur des muqueuses, l'in
flltration du tissu cellulaire ; son symptôme
patliognomonique (pathognoraonique, toujours
d'après le Larousse, se dit d'un signe abso
lument propre A une maladie et sufAsant pour
la caractériser sans ambigUité) le plus net M/
la présence sous la langue, de petites wsicules
dues au cysticerque; aussi les experts char
gés de recoimaltro les porcs ladres sont-ils
désignés sous le nom de tangueyeurs.
Chez l'homme, la présence de cysticerques se
manifeste également par le développement d'un
nombre plus ou moins considérable de vésicu
les, que l'on observe principalement sous la
peau, dans les muscles et même dans l'œil
Ouand les cysticerques se développent dans les
méninges et dans le cerveau, ils donnent lieu
des accidents qui permettent de diagnostiquer
leur présence, si l'on a soin d'éliminer d'abord
comme cause de ces accidents, la tuberculose
et la syphilis : ce sont des céphalées vives et
continues, des attaques épiieptiformes et des
convulsions, diverses paralysies, des troubles
psychiques.
Quand la ladrerie n'atteint que le tissu cellu
laii-e et les muscles, elle est quelquefois spon
tanément guérissable et ne présente générale
ment pas un danger immédiat ; il n'en est pas
de même quand les cysticerques ont envahi le
cerveau et les méninges ; la mort survient iné
vitubiemeiit, par ménnigite ou rupture du Kyste
La ladrerie est incurable. Les viandes ladres
susceptibles de transmettre le ténia aux per
sonnes qui en useraient sont impropres i la
consommation. On les fond pour en retirer la
graisse, qui peut servir i l'industrie.
On empêche le porc de devenir ladre en ne lo
nourrissant que d'aliments propres et sains et
en l'empêchant d'ingérer des ordures.
D'ores et déjà, des éléments que nous
avons, nous pouvons retenir :
1" Que le porc était « ladre », au dire de
la marchande de Plouay qui a refusé de
prendre livraison pour ce motif, et d'après
l'aveu qu'en a fait M. Courtier, lui-m«me,
en séance du Conseil municipal.
2® Que.siles traces de vésicules ladriques
peuvent disparaître après salaison de
morceaux préalablement choisis, des
témoins peuvent certifier que les viscères
qui n'ont jamais été soumises à l'examen,
du vétérinaire, attestaient que la bête était
profondément contaminée ;
3° Qu'en tout état de cause, la plus
élémentaire prudence commandait de,
prendre à l'égard des malades de l'hospice
les mêmes mesures préservatrices qu'à
l'égard des autres consommateurs.
Nous doutons que le Maire de Quimperlé, quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse,
puisse changer quelque chose aux conc usions que nous venons de formuler.
Escamotage et Gaspil age
à la Mairie de Çuimperlé
M. Le Louédec a fait paraître dans
Y Union Agricole la lettre ci-après :
Monsieur le Gérant,
En ma qualité de chef de l'ancien Conseil
municipal qui a été mis en cause à plusieurs
reprises dans une partie du compte-rendu de
la séance du Conseil municipal de Quimperlé du 6 octobre 1912, paru dans le numéro
L'opinion de M. Leclainche, inspecteur de l'Union Agricole du 10 octobre suivant
général, chef des services sanitaires au je vous prie, conformément à la loi, de faire
ministère de l'Agriculture et dont la com- paraître la rectification suivante aux mêmes
lieu et place que l'article visé.
pétence est indisculable, est la suivante
Il ressort de votre compte-rendu : 1" Que
« Certains réglemenls municipaux sont
le Conseil municipal actuel ne serait pas
très tolérants, d'autres très rigoureux
Certains ordonnent la saisie, quel que soit responsable de la situation dans laquelle se
trouvent les finances de la commune
le degré de gravité de l'infeslation para2° Que l'imposition de onze centimes soisitaire. D'autres tolèrent la consommation xante que le Conseil a dû voter dans sa
si les vésicules ne sont pas très nombreu
séance du 6 octobre 1912, serait motivée par
ses. Cette conduite est des plus illogiques le paiement des dettes contractées par le
et l'inspection ne permet de découvrir que Conseil municipal que j'ai eu l'honneur de
peu de vésicules dans les muscles et la présider ; 3° Que le résultat de ma gestion
saisie apparaît toujours nécessaire. Celte se serait traduit par « un déficit de
opération, il esl vrai, esl onéreuse et il est 6.328 fr. 50 » qu'il s'agit de combler.
Il est de mon devoir de m'élever contre
à désirer que la pratique de la stérilisa
cette version en tous points contraire à la
lion s'y substitue. El encore, la stérilisa
vérité el de faire connaître aux contribua
lion ne pourrait être ordonnée que s'il s'agit bles Quimperlois qui auraient pu être
d'infeatalion localisee et peu grave. »
induits en erreur à la lecture de vos insi
V O I C I , d'aulre part, l'opinion de M
nuations tendancieuses que, loin d'accuser
Rennes, veterinaire départemental- de un d ficit, le budget de 1911 s'est soldé par
un excédent net disponible de 5.919 f. 21 c
Scine-el-Oise :
ainsi
qu'il ressort des chiffres ci-après :
« Si les parasites sont nombreux, la
L'exercice 1911 a été clos, le 31 mars 1912
saisie totale s'impose d'elle-même. Si les
par un excédent de recettes s'élevant à la
parasiles sont rares, deux cas peuvent se
somme de
•
27.220f.57
présenter ; dans le premier, l'état généra
De cette somme, il y a lieu de
esl mauvais ou douteux el la saisie est déduire les « restes à payer »,
encore indiquée ; mais dans le second cas c'est-à-dire TOUTES les dépencelui où l'animal eal eu bon état général ses engagées par l'ancienne muil esl diflicile de se prononcer sans s'expo- nicipalité, et non soldées à
21.301 36
ser à se tromper dans un sens ou dans celte date, s'élevant à
à cochon » que l'on vous envoyait par Ira
vers la figure.
Mais avez-vous seulement compris la
signification de celle manifestation ?
Ces « poires à cochon » ne vous disentelles rien ?
L. B
çant, boulevard de la gare. — Guigourés (ano
nyme), Petite-Fontaine. — Pierre Scaviner, 65
ans, veuf de Louise Lolrer, cultivateur, A l'hospice. — Julien-Maiburin Lucas, 78 an», propriétdire, 16, rue dif Bourgneuf. — Alain-Michel Le
Bara, 63 ana, gendarme en retraite, décoré de la
médaille militaire.
i
TRÉMÉVE.'V. — I n c e n d i e . — Un incendie a eu lieu dans la nuit de mardi à
mercredi chez Mme l<e Bras, à Beg-ar-Koz,
en Tiéméven. Réveillée subitement, Mme
Le Bras n'eut que le temps de se sauver
aveu ses enfants cl de faire sortir son bétail.
Les dégâts sont évalués à 4.UOO l'r. couverts
seulement eu partie par une assurance.
Le bâtiment appartient à M. Even, de
Kerlescouarn.
SHRONU
lI EÉ
l eO
iA
I LE
et Looale
Vaccinations
M. le douleur Le Doze, de CloharsCarnoët, vaccinera gratuitement, le 21 octobre à Clohars-Carnoët, à 9 heures du
matin et à Moëfan, à 2 heures de l'après
midi ; à Riec sur-Bélon, le 23, à 2 heure»
de l'après-midi.
— M. le docteur Clavey, de Ponl-Avpn
vaccinera le '28 octobre à Nevez, le 29 à
Nizon et le 30 à Pont-Aven, à 10 heures
du matin.
,
— M. Le docteur Le Loiig, de Scuôr
vaccinera le 23 octobre à Scaër el le 26 a
Sainl-Thurien, de 2 heures à 3 heures de
l'après-midi.
Les séances de revision auront lieu res
peclivemenl dans chacune de ces com
inunes, la semaine suivante, les mêmes
jours et aux mêmes heures»
JOHN
CROSSLEY
Chjrurgien-Oentiste
Diplômé
de la
Faculté
de
de Paris
Médecine
56, rue Kéréon, QUIMPER
Tous les V e n d r e d i s , CO.XCARAEAU
2, QUAI D'AIGUILLON, 2
(PRÈS
L'HÔTKL
Cabinet ouvert de 8
Q U I f M P
LE
CLINCHK)
heures i
4
heure*
£ K L £
A l a postei — M. Guillou, receveur des
postes el télégraphes à Quimperlé est nom
uié en la mémo qualité et aveu avancuuiuni
u Pantiu (iicine).
Toutes nos lelicitations.
RlE<J-SL'R-UÉLO.\. - E t a t - C i v i l du
m o i s d e s e p t e m b r e * — Naissances. —
Guével Louis-Piiilippe, de Kerlippe. — Kerlau
Mane-Yvoiine et Korluu Jeau-Frau^uis-Louiis, de
Keniéven (enraiits jumeaux).— Mulie Luuis-ltenc,
du bourg. — Tanguy rjimcune-Jusépnine-Mane,
de Kosbras.— Dorven Jean-.vlarie-l.ouia-lsiijore,
de Landeloluan. — Tanguy Magdeieine-.MarieJuannc-Vvoniie, du l'aou. — Morvau liernadelleVvoiine, du bourg. — Uuilloré André, de (Juilibcrt. — Coloinbert Magdeleine, de Laiidemeur.
— Uuillou JosèpUe-X icloire, de Kereslou. ~ Le
Liraiid Sunéune-Eniilie-Isabelle, de Kergrippe. —
Liueinallec Jean-l-'ransom-Louis, du bourg. —
.\laiii Marie-Josephine, de Losten-Voën.
Mariages. — (^liapalain Eruii^oiii-Jean-.Mûrie,
ans, marin de commerce et Ureuu .MahuN'éroiiique-.Vliclielle,
ans, servante. — Kacliel
Jules-Murie, 30 ans, comptable el Le Po^'aiii
Adolphine-Marie, Zi ans, sans prolessiuii. —
l'érè» JoaepU-Vves, 28 ans, cultivateur el (iloaiiec Marie-Josèphe-Anna, 18 ans, cultivatrice.
Décès. — Lozacnmeur Marie-Calhei ine, 00 ans,
Miènagére, veuve de liabnul Guillou, de Kerestou. — Scaviner Louis-l''rançuici-.Vlane, 40 ans,
cullivateur, veuve de Bisquay Luuise-Ainia.\Iarie, de Kernézel. — Guillon Josépne-X icloire,
7 heures, de Kerestou.
MOEL.A.\' — A r r e s t a t i o n d'un fou
é v a d é . — Depuis deux mois environ, le
nommé Guyader Bernard, de l'enprat, en
Uioc-sur-Beloii, qui s'ctiiil évadé de 1 asile
d aliéuiis de y m i u p e r , élail r .cherché par la
gendarmerie.
Jeudi duruiur, les gendarmes de PontAven ont réussi à le découvrir chez son
coubia Hobut, de Penamprat, en MoCian, qui
ijjnoruit sa proseiicc ulicz lui. Guyader e u i t
cuchÊ dans uu gruuier a loin.
Conduit à l'hospice de Quimperlé, Guyader
a été ensuite dirigé bur l'asuu d'aliénés du
yuimper.
. \ É \ ' E / « — L e l ' a r d o n . — Le pardon a
été lavorisé par un soloii radieux. Aussi,
grande élait lailluence des puisonnes accourue, dus uommuucs voisines pour assister aux uivtriissemenis q u i c u r u i l lieu à
1 occasion de celle iéie. b)ii voiui le conipiercndu :
A l'Ecole Supth-ieurc des garçuusi—
.M. Legubliur esl iiouimé insiiluicur uU|oiiit
délégué a l'éuole primaire supérieure de
garçons de Quimperlé, en rumplacbiiieut de
M. Klienne, mis eu congé sur sa demande
Journée du dimanche. — Courses de chevaux
(coiiuiiuiialcs). — Lialop : l " prix, Le l.oucilec,
de Keraoul ; Z-, (juernic, de Keraiiibail ; 3-, IJertiiou, du boui g. — Trol : l - prix, Peion. de K.;l ado ; ' l , berlhou, du bourg ; 3-, Le Loueder,
de Keraoul.
Course de bicyclettes (communale). — i " prix,
Haccoii ; 3-, Le uall ; l-,
R é u n i o n du Comité des f ê l e s du Kerlaiid, du bourg ;
lune.
Suiul-.Uiehel. — Uu nous prie U uniiuncer
Journée du lundi. — Courses de chevaux (inque le Comité de la tète de Saint Michel du leriialionaies). — Ualop : 1 •• prix, l'éron, de
ulcniarec, de .Nizoïi ; 3-, K..., de Ti ii1^12 est convoqué pour demain samedi, à b •Nizoïi ;
guiic. — Trol : l " el 'i- prix, l-uric, de Tréguiic ;
heures du soir, a la haile, pour p i c i i d i c .i-,
l'éron, de -NiZon.
connaissance des uoniptes du Irés-oricr.
l'autre ; ou bien on retirera de la con
Couise de bicyclettes (interiiatioiiole). — l Diflérence
5.919 f. 21
prix, Jiquel, de Uunnalec;
Boédoc, de Melgsommation une viande dont le danger
La municipalité actuefle a donc trouvé à
C u u i b r i o l a g e à l a (fai-e. — Dans la veii ; 3', Jiquel, de liauiialec.
minime puul-être facilement écarté par son entrée en fonctions de quoi payer toutes
t.ouise pcdesire. — 1" prix, Itio, de Baïuialec;
une cuisson suftisanle, ou bien ou laitisera les dépenses, sans exception, engagées par nuit de vundiedi a samedi, uus cunibriulcuib
Caudaii, de .Nevez; 3", Bourliis, de 'l'régunc ;
uemcuiés iuuounus se boiil lutruduiia daub •1-, .Moncaicourl, de Baiinalec.
lugerer aux consommateurs des muscles l'ancien Conseil municipal, plus un excédent
le bureau des employés dt* la grande vitesse
Course pédestre (vieillards). — !•• prix, Le
qui contenaient un nombre de cysticerques net disponible de cinq mille neuf cent dix
Deux tiroirs-uaisse, dans iu.>>qii.cls il y usait Bris Yves ; U-, Le Bris Kranvois ; 3-, Tallec ; 4-,
bellin Jean ; 5', Guillou.
plus considérable qu'il ne paraissait au neuf francs vingt el un centimes.
une ueataïue de iraucs, onl élé iruclurés
Liuvutle U'iiuuiieur. — l - prix, i>icollec ; '1-,
Il apparaît donc nettement et de manière Unaulie liroir l u i égulcmeut 1 objet d une
premier abord ; ce dernier doute surtout
Briec ; 3-, Guillaïuet ; 4-, Jaouen ; 5-, N'oblel
irréfutable que le reliquat disponible de tentalive d'ellrauiiou, mais les nidil'uiteuib r.Nizoïi) ; 0-, Seilin Jean-.Marie, de Kerroreii ;
esl inquiétant.
5.919 fr. 21 a été absorbé ; que, d'autre part
/•, Cadiou Honoré, Kerroreii ; 8-, Jolais el Elisa
ne purent l'cubsir a lu forcer*
« La meilleure solution de la question
Le Liall ; 'J-, Jaouen Y. ; lU', l'eru, Trégunc ; 11-,
la somme de 6.328 fr. 50 constitue bien un
Une
enquête
est
ouverte
par
la
police.
Urouguuel, Trévignon : lï-, .Morvéïcii, bourg ;
consiste dans la stérilisation des viandes nouveau déficit qui porte à 12.247 fr. 71
13-, Madic ; 14-,
; 15-, Guillanl, «le .Nizon ;
ladres, soil par la cuisson prolongée à la déficit total du budget additionnel de 1912,
10-, liiiec, de Kerscall ; 17-, .V... ; lo-, Kersulec,
A r r e s t a t i o n d ' u n v o l e u r . — Dans la
vapeur d eau, soil de préférence, par la voté, sur la proposition de M. Courtier, par
iimliluleur
;
l'J-,
Coriiou,
.Nizon ; '.iy,
nuit de jeudi a vendredi, une géuissc lui ïl-, Sellm, de Kerlosquet ;de'£1-,
.Meslric ; 23-,
réfrigéialion pendant trois semaines ^u le nouveau Conseil municipal.
volée de 1 élable de M. Dréval, cultivateur t'elliii l'ierre, de Tréiiiorvézen ; 24-, Cadiou, de
Voilà
ce
qu'il
faut
que
les
contribuables
moins. Lorsque la stérilisation par l'un ou
au Faouêt. Fensanl bien que le voleur avait Kercanic ; 25-, Coalabré Marc, de Kercanic, etc.
Eu somme, journée amusante dont les .Névél'autre proccdé ne pourra être mise en sachent.
dû se rendre à yuimperié, où il y avait zieiis
garderont un excellent souvenir.
Signé, J. L u LOUÉDF.C
oeuvre, nous sommes d avis que l'on doit se
foire, il se rendit sur lu place du Marché et
Bien
qu'il
ne
soit
pas
possible
à
toute
montrer sévèrt et prononcer la saisie sans
ne tarda pas à y retrouver sa génisse. La
tenir compte du nombre de parasites personne de bonne foi de mettre en doute personne qui la tenait en main était M
l'authenticité de ces chiffres et de ne pas Nélias Louis, journalier à Kcrl'elez, en Mel
visibles. «
en
saisir la clarté, M. Courlier a cru devoir l'ac, qui, le luatm môme, l'avaii auhctéc
En etlet, la ladrerie n'est pas une malay
répondre
en essayant de faire croire moyeuuanl le prix de 135 l'r. a un individu
die localisee ; elle envahit, au contraire,
de Berné, qui se rendait a la foire de Quimlout l'organisme. Quand des œufs de que si le budget additionnel de 1912
perlé.
établi
par
lui
se
solde
par
un
déficit
de
lœnia sont absorbés par un porc, arrivés a
Par lui-même, l'argent no sert à rien, l i n e
Les gendarmes se mirent aussitôt à la re
1 eslomac, ils traversent les parois de l'ap 6.328 fr. 53, la faute en incombe à l'ancien uherche de cei individu qu'ils trouvôrenl vaut que par ses revenus el par l'ai-anco
pareil digestif, sont pris par le sang el conseil municipal.
dans uu débit voisin de la plaue. C'est uu qu'ils procurent. Celui qui dispose de
M. Courlier nous a adressé une copie de nommé Robic Laurent, âgé de 24 ans, jour- 3.0IJ0 francs de rente, fussent-elles viagères,
transportes dans toutes les parties de l'orest aussi riche que celui qui po>.Nède un caganisme. Par conséquent, quand ou trou- sa prose dont il aurait dû avoir la défé
nalier à Ploêrdut (.Uorbilian). 11 a été écroué pital de 100.000 francs placé à 3 pour cunt.
à la maison d'arrêt.
ve des grains de ladre dans une partie de rence de nous réserver la primeur. Qu'i
Or ces 3.000 francs de r> nies, on peut les
avoir pour 30 000 francs si l'on est âgé de
l'animal, l'animal lout entier est dangereux se rassure ; M. Le Louédec, acluellement
A m a t e u r d e p e r n o d . — Un nommé 65 ans, pour 24.000 francs, si l'on e>t âgé de
à Paris, se propose de réfuter sans relard
pourl'hommeet devrait être saisi.D'ailleurs
la démonstration fantaisiste de M. Cour- Goragucr Barthélémy, âgé de 31 ans, origi 72 ans, et enfin pour un peu plus do 21.(HX»
ces vues sont confirmées par de hautes lier, et il y parviendra sans peine.
naire de Ponl-Croix, lut trouvé lundi der- francs si, étant âgé de 50 ans, on consent à
nier, en état d'ivresse, quai Brizeux. L'i- rester dix ans sans toucher la rente.
compétences de l'arlvétérinaire.
Mais il convient de ne s'adretiscr qu'à une
vrogne était en possession d'une bouteille
Parmi l«s régions atteintes et facileSociété possédant toutes les garanties comme
de
pernod
qui
semble
provenir
d'un
vol.
ment explorables, se trouvent le cœur
la Compagnie d'Assurances Générales
Procès-verbal pour ivresse et injures en- sur la Vie, la plus ancienne des Comet le muscle diaphragme. Or ces deux
vers l'agent Guillou lui a été dressé.
pagnies françaises, qui paie annuellement
régions ne sont jamais mises dans le charprès
de 6 3 millions d'arrérages de renies
Ma
vanité
et
mon
orgueil,
devenus
légennier et.en l'espèce, n'ont pas été examinées
viagères, soit a elle seul* à peu près autant
A v i s a u x d é b i t a n t s . — On nous a si
daires pour vous, ainsi que [lour quelques
par le vétérinaire.
gnalé que plusieurs débitants de la localité que toutes les Compagnies françaises réuUn seul symptôme est palhognomonique uns de vos camarades, devraient me dis- omettent de fermer leuis établissements à nies. Son fonds de garantie est de 9 3 6 milel il est bien tardif, c'est la présence de penser de répondre à vos attaques el à vos l'heure réglementaire, qui esl lU heures de- lions, onlièremunt réalises, et dépasse de
vésicules cystiques sous les muqueuses insultes.
puis le 1" courant. i)u ils prennent guide, 2 6 0 millions celui de toute autre Compugniu française.
Ah
I
où
sont
les
beaux
articles
d'autreminces accessibles à l'exploration (mucar la pofice a déjà dressé plusieurs contraLnvoi g r a t u i t de notices et tarifs sur
(|ueuse de la face inférieure de la langue fois me concernant el provenant de vous ? ventions et est décidée à faire appliquer demande adressée soit au siège social.de la
I l a seulement suffi que je sois l'ami et strictement l'arrêté préfectoral.
el muqueuse oculaire).
t;ompagiiie, 87, rue de Hichelicu, Paris,
soit à l'un de ses représentants dans les
Les lésions sont représentées par les partisan de M. Le Louédec (avant que
A q u i l a v a c h e ? — Une vache laitière, départements, notamment à M. COULIOU,
cystiques ladriques seulement, c'est-à-dire, honorable député n'ait eu aucun mandat
Agent Principal, 8, rue des Ecoles, à Quimque les vésicules sont transparentes, de la jolitique), pour que vous me traîniez dans race pie-noire, ayant cassé son attache,s'est perlé.
réfugiée,
hier
jeudi,
dans
la
cour
de
M.
"a
boue.
C'est
ma
démission
de
conseiller
grosseur d'un grain de blé, contenant chaCouic, rue des écoles, où elle tenue i la discune une tête de ténia armé, à quatre municipal qui vous empêche de dormir,
position de son propriétaire.
c'est
la
démission
collective
des
sapeursentouses et double couronne de crochets.
Q L ' E R R I E . \ . — Suicide. — Le nommé
Leur nombre est extrêmement variable. pompiers qui vous met hors de vous, et
A p p e l s . — Le Gall Jean-Marie a inter- François G..., âgé de 25 ans, avait quitté son
Parfois difficiles à découvrir, elles sont si qui vous font aboyer de la sorte.
eté appel du jugement qui l'a condamné domicile depuis inai*di, l " octobre courant.
Que vous me traitiez de pantin, d'officier pour outrages publics et voie de fait à (J Ses parents et amis, inquiets de son abnombreuses dans d'autres cas que les tissence, s'étaient mis à sa recherche. l U le
de pacotille, etc..., cela me laisse indif- mois de prison.
sus eu paraissent criblés.
— Lacorne Louise-Marie a également fait retrouvèrent, dimanche matin, dans un
La présence ûe cysticerques ladriques 1 érent, nous savons qui vous êtes : « l'intaillis dépendant du village de la Villeétablit le diagnoslic de la maladie, mais sulteur professionnel de Députés, des Sous- appel du jugement qui l'a condamnée pour Neuve-Troadec ; mais, le malheureux jeune
une constat ition négative n'établit pas Préfets, des délégués de Minisires et des vol de réuulles à 3 mois et un jour de prison. homme qui ne jouissait pas de toutes sos
péremptoirement la nou-existeuce de la Préfets, en un mot, insulteur de loutes les
Elat-Clvll. — Nuissances. — Hryinonde-José- facultés, avait mis lin à ses jours on se
ladrerie. D après le professeur Raillet, une lonnêtes gens ».
phine Keraudren, 6, rue des Ecolf ». — 'l'iioinas pendant à l'aide de son mouchoir. La mort
Rappelez-vous que dernièrement vous Bûcher à Coat-Uéro. — Jeaiinc-l'raiiîoise Le devait remontera plusieurs jours.
fois sur quatre ou cinq, on ne trouve pas
de vésicules sous la langue. Le pronostic vous dérobâtes devant un sincère et loyal .Naour, 8, rue des Ecoles.
Publication» de mariage*. — Martin Delon, genU.V.\.\/%LEC. — A qui les bœufs ? —
est très grave, non parce que la vie des républicain qui vous envoya ses témoins. darme i cheval à Saint-Lé (.Manche), el MarieMercredi
9 courant, M. Péron Louis-.Marie,
Votre
réponse
et
votre
conduite
furent
malades est en danger, mais parce que
Louise-Célesline Jalliézou, s. p., à yuimperlé ; totichcur de bestiaux, demeurant à KcrcnKugénc-Juseph Illnin, mécanicien, et Méhinieles viandes ladriques doivent être retirées devant eux, lout ce que nous attendions de
Ircch, eu Lorient, con<luisait un troupeau
vous, la fuite honteuse. Je ne renouvel- Marie-Joséphine Jufl'rézou, s. p., à ^luimperlé.
de la consommation.
de
bœufs provenant de la foire de Bannalec.
Mariages.
—
Louis
l'allac,
cultivateur
et
Maric«
erai pas la tentative que notre ami dis• •
'rançoise t.e Moal, domestique ii Ouimperlé. — \iiprès de Cn'is-Obct, cc troupeau croisa
La ladrerie du cochon abattu à l'hospice paru fil vis-à-vis de vous, cl tout nu plus, Joseph-Yves-Marie Borgne, mécanicien à Car- un autre troupeau qui rcgignait son élable.
pourrai-je, comme lui le désirait, « vous haix et Louise-Marie Coatsaliou, couturière à Les bœufs se trouvèrent a un moment d-miié
de Quimperlé est nettement établie et re
tirer les oreilles si vous dtsvenez par trop ^luiniperlé. — Kugèiie llerpin, inspecleur A In mélangés puis le toucheur poursuivit sa
connue par M. Courtier lai-même.
direction desrecherchesa .Mondonhian et Augusfamilier ».
Laurent B R A N G O U L O .
oule. En airivanl à Lorient, il constata
tine Clignac, s. p. i Quimperlé. — Joseph-YvesLa consommation des viandes ladres
qu'il avait deux bœufs de plus que son
Marie
Le
Moël,
artillcier
au
3rég.
d'art,
col.
et
constitue pour l'homme un danger très
Nota. — Vous avez omis, dans le compte
Maric-Mathurine Le Uuyader, ménagère i (,)uim- compte.
^rave, et la plus élémentaire prudence rendu du concours agricole de Clohars- lerlé. — I\ené Bodren, cultivateur, et MarieCes deux beufs Ont été mis en fourrière et
commandait à M. Courlier de faire dé* Carnotit, la levée de bras unanime qui faillit .le«nne Le Coz, cultivatrice i Quimperlé.
sont tenus à la dispositioD de l«ur propri4>
Ûicii,
Jean'M«ri« Perron, 49 an*, ooiomer- tair»,
Iruire Ifi viande en question»
^
Toua «oMrelir sous U quantité de « poiros
A quoi sert
l'argent ?
A imSULTEOB BEAUFREBE
M E L f a ' E K . — S u i c i d e . — Ces jours
derniers, la veuve Lijour, à^ée de 52 ans
demeurant à Kei-ampaou-Coz, en Melgven
a été trouvée pendue à son domicile, auprès
du foyer. On ignore les causes qui l'ont dé
terminée à mettre fin à ses jours. Cette
femme s'adonnait, parait-il, à la boisson
K E R X É V E I . . — I n c e n d i e . — Une petite
étable couverte en cliaume a été incendiée
la semaine dernière au village de Keran
guen, en Kernével. Grâce aux secours
promptement organisés, les bùlimcnls voi
sins purent être préservés. Les dégâts sont
évalués à une cenlaiue de francs.
Le sinistré, M. Bolloré Thomas, n'était
pas assuré.
Les causes de cet incendie sont demeurées
inconnues.
Giiérison des Infirmités
Sans Appareils, «an» Opération»
Le Docteur SALMON
Orthopédique d
Canteleu-Lille {Nord), par une méthode qui
lui est spéciale et qui supprime les opérations sanglantes, les corsets et tous les
appareils dits orthopédiques, aussi gênants
qu'inutiles, assure la guérison des déviations
du dos et des membres, des boîteries, scoliose, coxalgies et auties tumeurs blanches
paralysies, pieds-bots, maladie de Dittle
(raideur des membres), rhuiiialisiues chro
niques, etc., etc.
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ger depuis quinze ans. Le docteur SAL.MO.N
consultera à yULMPER,//()/«/de l'Epée, le
lundi 28 octobre
QÙiMPER
T e n t a t i v e d e d é r a i l l e m e n t . — Une
tentative de déraillement a été commise
sur la ligne de Pont-l'Abbé à Pont-Croix
Trois cailloux avaient été placés sur un des
rails. Ils furent aperçus quelque temps
avant le passage d'un train.
Les auteurs de cette tentative de déraille
menl sont activement recherchés.
BOSPURDE.'V. — Elat-CUil. — Naissances
Jeiiii-.l.)soi>li-l'ninçois-l.ouis, au Ponl-Rlals.
.Meur Joseph-Kianïois-Marlc, rue des Vaches.
Prigeiil Albert-Yves-Marie, Place de l'Eglise.
Gourmelen Yves^Marie, route de Ouimper.
Moaligou Marie-Louise, rue de yuimper.
Le .Naour Yves-Krançois-Marie, A Uiouiflun.
Le Mamliec Marie-.Aiine-Euphrasie, rue de
t)uiiiiper.
Publications de mariages. — Matelot i)ésiréLéon, marin île coinmcrce à l.ocniaria (Morbihan) et Le Du Jeanne-Marie-Josèpbe, sans profesbion à Lorient.
Bihaniiic Jeaa-l.ouis, employé de chemin de
fer à Rosporden el Gurguen ,\ima-Marip, cuisinière à Heuzec-C.onq.
Mariw/es. — Gourmelen Corenlin-Pierre-Marie,
cullivntctir à Sainl-Yvi el Bleuzen Mahe-Yvonne,
cultivatrice à Hosporden.
.Nicolas Jean-.Marie, menuisier à Rosporden
et Le liiuirhis Juséphine-Marie-Louise Victorine,
cultivatrice à Rosporden.
ùi'cèi. - (iouitïés Jeanne-Marie, débitante,
4'.) ans, Vve Le Doz Louis, rue du Moulin. —
Le .Naour Kranïoise-Marie-IIélène, 17 ans, repasseuse, Place du Blé.
CO.\C.\H.\E.4ti.— Succès scolaires.—
8 élèves de l'école primaire supérieure de
Coucarneau ont subi avec succès à (^uiniper
le 8 octobre l'examen du brevet de capacité.
Ce sont :
Baccon Georges de Trégunc. — Bothorel
de la Forôt-FouesnouanL— CampionGabriel
de l'Ile-Tudy. — Le Guen Charles de L'Hôpital Camfrout, — Léon Jean de Cléden-Poher. — Laniballais Remy de Concarneau. —
Paubert François de Pont-L'Abbé. — Noblet
Victor de Kiec.
A l a justice de p a i x . — .M. Le Cranc,
maire de Beuzec-Conq est nommé suppléant
du juge de paix de Conoarneau, en remplaccuieut
.M. Bonduelle, démissionnaire.
l'O.XT - L'ABBK. — I n c e n d i e d ' u n
a ^ i l e d e v i e i l l a r d s . — l'n incendie d une
grande vio!<'nce a éclaté, dans la nuit de
mardi à mercredi, dans rétablissement servant d'asile de vieillards, à Pout-l'Abbé.
Malgré la promptitude des>ecours, l'immeuble a élé entièrenieul détruit.
.Malheureuseaieiit, les hospitalisés, surpris en plein sommeil, n'ont pas pu tous se
dérober au fléau. Cinq des plus impotents
ont péri : quatre carbonisés el un asphyxié.
Les dégAls matériels s'élèvent à cent mille
iraiics.
PI.OB.W.VALEC. — Incendie volont a i r e . — U n incendie dû à la maivi;illance a
éclaté dimanche dernier à Kerguen-Plonévet. L'auteur du crime, un nommé Mévellec,
a été arrêté.
_ _ _ _ _ _ _
MORBIHAN
I.ORIE.VT. — P e t i t f l n i s t é r i e n égar<Ç.
— Un pftit gars du Fmistère, Auguste .Merlin, ilgé d'environ douze ans, arrivait mercredi en gare de Lorient par le rapide de
sf-pt hijures du malin. Il venait de Paris, où
il était allé voir sa maman, mais ne pouvait
exhiber au coiilrùleur du train qu'un ticket
de quai de 0 t'r. K».
Interrogé, l'enfant répondit que sa mère
avait dù faire crreuj-, car elle avait bien pris
un billet à la gare d Uisay, puis un ticket
pour raccompagner jusqu'au train. Par mégarde, elle lui avait donné le ticket et gardé
par devers elle le billet valable pour le
parcours.
En attend nt que ses dires soient vérifiés,
l'enfant a él conduit à l'hôpital.
nez coupé, les lèvres en bouillie, le menton seignements ont été recueillis a récoUé des diffirencet de iOO franc» à 300 franc» et plu».
Ain»i que nou» l'avons déjà annoncé, le Crédit
() jours de prison avec sursis pour délit de
A peu près disparu. Deux coups de coutea
Fronçait
et d'autre» grande» banques
françaises
lui avaient été portés, l'un à l'aîne, le second rébellion et 5 fr. d'amende pour la contra /ont, en ce moment, l'émittion de 52.000 obligation»
vention connexe d'ivresse.
àl'œiL
de 500 franc»
à 4 0 / 0 net de la Compagnie de
A r z a n o . — Prévenu d'outrages publics à Chemin de fer de» Alpe» Bei-noi»e»
*
Dans l'auberge de Moulin-Gilet, les gen
(Berne-Loetsla
pudeur
et
de
voie
de
fait
sur
la
personne
darmes recueillirent de précieux témoigna
chberg-Simphon).
de Mme Guéguanà Arzano, le6 octobre cou
Cet emprunt est de»tlné au parachèvement
de la
ges. En eflet, dimanche avait lieu à Ré
à l'établi»»eguiny l'assemblée de Saint Clair. Avec plu- rant. Le Gall Jean-Marie 39 ans, sabotier ligne du Loel»berg et en particulier
domici'ié à Lorient, a été condamné à 6mois ment de la double vole qui n'avait pa» été prévue
sieurs camarades, Olivo s'y était rendu
définitivement
et qui augmentera
considérablement
Naturellement de nombreuses bolées de cidre de prison.
l'inlenslté du trafic et la valeur générale du réseau.
Les débats de cette aflaire ont eu lieu i
y furent bues et déjà il était assez tard
L'émis»lon est faite au prix de 488 fr. 50, Jouishuis-clos.
lorsqu'on se décida à regagner le logis.
sance du 1" Novembre 1912 intérêt annuel : 20 fr.
Audience du 8 octobre
A l'auberge de Moulin-Gilet, une discus
net de tous impôts actuels suis»es et français,
cousion s'engagea entre les consommateurs et
B a n n a i c c . — A la requête de M. Char pons payables semestriellement {30 Juin el 31 Découpon intercalaire
rel'on vit 0 ivo et Justum en venir aux mains
don, greffier de paix à Bannalec, ayant cembre^ avec un premier
A un moment donné, Jean-François Guer- M» Piton pour avoué, le sieur Louis Mon- pré»enlant l'intérêt de deux moi» jusqu'au 31 Dénic, 27 ans, qui travaille chez ses parents chicourt père, perruquier, demeurant à Ban- cembre 1912.
Au taux d'émission le placement
ressort
ainsi
à Kerdelanne, en Moréac, voulut intervenir nalec, a été condamné pour chasse sur le
à 4.10 0/0 net de tous impôts sans compter la
et séparer les combattants. Olivo se retourna terrain d'autrui à IG francs d'amende avec prime de remboursement.
de son côté et lui chercha Querelle. Guernic sursis, à 5 francs de dommages-intérêts enCes obligations
comportent ta garantie
de l'état
eut, aussi lui, une lutte à soutenir.
vers la partie civile el aux dépens.
de Berne {loi des 16 el 17 Juillet 1912) le plus
Il sortit d'ailleurs bientôt, mais resta près
M o ë l a n . — En août 1912, Quentel Joseph- riche de tous les cantons suisse pour te paiement
intégral.
de la porte du débit, où il fut rencontré par Marie, 52 ans, patron marin-pêcheur à Ker- des coupons jusqu'à leur remboursement
•Vincent Le Clair, de Glémarec, qui lui de- cornant, en Moêlan, s'estemparé de la barre Elles jouissent en cuire et exclusivement d'une hymandait ce qu'il faisait là. Guernic se con- de pont du bateau de Bourhis Pierre, du pothèque de second rang sur toute la ligne {de
Frutiyen
à Brigue) et ses accessoires.
tenta de lui répondre qu'il ferait bien mieux village de Blorimon en ladite commune, et
La souscription
aura lieu le 22 octobre 1912, et
de lui payer un bolée, ce à quoi Le Clair l'a clouée sur son propre canot. Coût : 25 fr.
dés à présent tes demandes seront reçues
accompaaccéda. Dans le débit se trouvait toujours d'amende.
gnées d'un premier versement de 100 francs. En
Olivo qui déclara à Guernic ne pas lui en
A r z a n o . — Le 28 septembre dernier, France à Paris, au Crédit Français, 52 rue Chavouloir, bien qu'il eut été blessé aux jambes
Tanguy Julien-Marie, 30 ans, cultivateur è teaudun, à la Société Centrale des Banques de
H était, à ce moment, environ 10 heures Ménébairé, en Arzano, a élé surpris en ac- Provinces, 29 bis rue Lafayette, ru Crédit Foncier
du soir.
tion de cliassc à une centaine de mètres de d'Algérie et de Tunisie, 43 rue Cambon, à la banLes gendarmes se rendirent immédiate- son habitation, sans être muni d'un permis. que Suisse el Française 20 rue Lafayette.
L'Informateur Financier, 16, Rue Drouot, Paris.
ment au village de Kei delanne, où ils trou- Il prétend pour sa défense qu'il était à la
vèrent Guernic au lit, bien qu'il fut 1 h. 1/2 recherche d'un de ses lapins domestique.
de l'après-midi. Interrogé, il se borna à des Il n'en récQlte pas moins 16 francs d'amen ie ;
dénégations, mais fut gardé à vue jusqu'à et l'arme dont il était porteur a été conl'arrivée du parquet.
fisquée.
Le parquet, composé de M. Le HuérouAlelgven. — Pour avoir excité ces chiens
Kerizel, juge d'instruction, M. Simonin,
la poursuite d'un lièvre, le 27 septembre
procureur de la République, M. Dougct, dernier, sur le territoire de la commune de
auut
M u n 0
commis-greffier, accompagné des médecins .Melgven, Piriou Corentin, 37 ans, cultivaIl est prolunaeiaenl douloureux de songer
légistes, MM. Joubioux, de Biud, et Le Che- teur à Luzuen, en Nizon, s'est vu infliger
valier, de Locminé, arriva en automobile.
pour chasse sans permis 25 francs d'amende. tous ceux affligés de hernies mais il esl plus
Pendant que les médecins pratiquaient
Q u i m p e r l é . — Morvan Joachin, 41 ans, pénible encore de constaler combien tous ces
braves gens sont si souvent martyrisés, écorl'autopsie du malheureux Olivo, les magis- cultivateur à Stang-huel, en Bannalec, a élé chés à vif par de véritables bandages de torture ;
trats interrogeaient l e Guernic. Celui-ci se condamné à 16 francs d'amende pour avoir, les autres voient leur hernie se développer et
décida enfin a passer des aveux. C'était bien le 8 septembre 1912, voyagé en chemin de prendre des proportions énormes.
lui qui avait porté les coups, mais il affirma fer, sans billet, d'Elampes à Quimperlé.
Pourquoi continuer ainsi, pourquoi n'appelez
ne pas croire qu'ils fussent mortels. Il ajouta
Quimperh^. — Ivrogneetbrulal, Clémence vous pas à votre aide le renommé spécialiste
Glaser, <le Paris. C'est lui l'innovateur d'un
qu'il avait élé attaqué par Olivo et qu'il Yves-Marie, ^ ans, braconnier à Quimperlé,
estimait se trouver en état de légitime dont le casier judiciaire est orné de 28 con- nouvel appareil pour le traitement des hernies,
défense.
damnations, a récolté pour délit d'ivresse en 100 fois plus efficace que ceux existant à ce
our. Sans sous-cuisse et sans ressort il- se
Le vol n'avait pu être le mobile du crime, récidive et voies de l'ait sur la personne de
porte jour et nuit, sans gêne ni interruption de
puisqu'on a trouvé sur la victime une somme la veuve Guillou, crêpière au Gorréquer, travail il est le plus solide.
de 2 fr. 70, lui restant des 7 francs qu'il
mois d'emprisonnement.
Pourquoi alors continuez-vous i vous servir
possédait le matin et dont il avait dépensé
de ces mauvais bandages puisque, vous pouvez
une bonne partie en compagnie de ses
vous procurer l'appareil de M. Glaser, dont la
supériorité a élé reconnue par les sommités
camarades.
Le Spécialiste
médicales. Les tiernies les plus tenaces s'incliLe meurtrier a élé conduit aussitôt à la
. O A T T a r . Ph"*.,
nent'et s'effacent devant son imposante efllca
' l . R u e d Orchies,»
prison de Ponlivy.
Ill-Amand.lei-Etui (lin), tnroi»
grmtit
le m e y a n
cité.
I r a d l c a l d e se d e b a r r a s i e r «nqaeldaea J e n r e
Les noms de personnes guéries ci-après, pU'
I d e Douleurs, retard, suppresaions ou toutes
lirrégrularitâs Inquiétantes des époques,
bliés avec autorisation, prouvent d'une façon
(Lui éorire le cas en ooofianoe).
absolue et irréfuable, ce que nous alTirmons ci
dessus.
M. Lorseti Villeneuve Sl-Vislre, parliarbonne
Audience du 15 octobre
Fayel (Marne).
Q u e r r i e n . — Dans la nuit du 27 au 28 féM. Millet A. jardinier à Nanteau sur Lunain,
vrier 1912, un vol de linge assez important
par Nemours (Seine-et-Mqrne).
fut commis dans un lavoir au préjudice de
M, Devé garde-champétre'à Dernières, parles
Paris, 12 Octobre 1912.
Mme Gallic, propriétaire à Kergroas, en
Andelys (Eure).
Il semble inutile de revenir sur les événements qui
Querrien. Le 9 juin suivant, Mlle Marguerite depuis le début des mois ont si fortement et si brusM, Hayer Auguste i Torié (Sarthe).
Gallic ayant reconnusacoille sur la tête de la quement modifié les dispositions, auparavant
tris
M. Leliouc (Ils, chemin Vicinal de Change à
fille Le Floch,|de Rozauville, en la mêmejcom- fermes de notre marché, tout ayant élé dit à ce Laval (Mayennne).
Mme Laigue, i Sl-Solen par Dinan (Cotes-dumune, prévint ausssilôt la gendarmerie de sujet. Ce qu'il convient seulement de signaler
'est que en dépit du fait accompli (la
déclaration
Nord).
Quimperlé. Une perquisition fut faite au
Louis lils Canlonnier à Sl-Gilles (Ille-el-Vilaine.
domicile de la femme Le Floch, au cours de de guerre d laquelle on s'attendait), le marché loin
de retrouver quelque calme, comme cela se produit
M. Pouliquen Alain, à Sl-Tliégonnec (Finistère).
laquelle on retrouva une partie des objets
plus souvent, n'a fait qu'accentuer
sa
réaction
D'après ces guérisons vous voyez, lecteurs el
dérobés. Malgré ses dénégations la femme
vive cependant déjà la semaine précédente.
lectrices, soulTrant de hernies, qu'il ne faut pas
Le Floch a été condamnée à 2 mois de priC'est ainsi qu'après trois séances à peine meilconfondre la haute science de M. Glaser avec
son, avec sursis.
leures, celles de Jeudi et de Vendredi ont été désascertains charlatans et commis voyageurs justes
P o n t - A v e n . — Pour vol de légumes au treuses, c'est le mot, marquées par un désarroi et bons à vous vendre un objet de peu de valeur à
préjudice de M. Pérou, cultivateur à Pont- un affolement aussi vifs, sinon plus, que ceux des des prix formidables. N'achetezplus de bandages
premiers jours
du mois aux première»
nouvelle»
Aven, la nommée Lacorne Louise-Marie, des événements actuels. Cette altitude qui peut sur- avant d'avoir vu M. Glaser dont le dévouement
est apprécié de tous, el qui vous recevra lui42 ans, journalière, demeurant au môme prendre d'abord, explique par ce fait d'ordre di- même de 8 h. du matin à 4 h. du soir à :
lieu, qui a subi de nombreuses condamna- rectement boursier que noire place était encore à
PONT-L'ABBÉ, le 7 .Novembre, Hôlel du I.iontions et se trouve en état de récidive légale, fin Septembre nettement orientée à la hausse el très d'Or.
chargée,
aussi
le
rendement
a-t-il
été
aussi
brusque
s'est vu infliger 3 mois et un jour d'emq u i m p e r l é , le 8, Hôtelîdu Lion-d'Or;
qu'accentué, les réalisations se succèdent sans autre
prisonnement.
(JUIMPEU, le 9, Hôtel de l'Épée,
but que de se dégager à tout prix, même à des
BUEST, les 10, II, llOlel de France.
— Le 16 septembre, vers 5 h. 1/2 du soir, cours parfois trop dépréciés. Il serait temps de
CHATEAUl.lN, le jeudi 14, Grand'Maison.
un sieur Coppola Henri, sujet italien, âgé mettre un terme à cet état de choses et à défaut
DOUAHNE.NEZ, le 15, ll.Hel de France.
de 27 an-, qui exerce la profession de mar- d'une reprise impossible en ce moment, de retrouver
La brochure explicative est envoyée contre
chand d»" crème glacée à Douarnenez, se au moins une allilude plus calme et des dispositions 1 franc en timbres adressés à M. GLASER,
trouvait à Pont-Aven, dans le débit de Mme plus raisonnables, d'autant que la liquidation de Boulevard Sébaslopol, 38, Paria. Maison princiMorvan, en état complet d'ivresse. La dé- quinzaine approche, ce qui n'est pas fait pour amé- pale à Courbevoie.
bitante ayant refusé de lui servir à boire. liorer la situation.
Vouloir
mentionner
toutes les réactions
serait
Coppola, rendu subitement furieux,renversa
une table, brisa une vingtaine de b .uteille faire la nomewlalure de la cote en entier, aussi
de cidre, et il a fallu pas moins de deux bien tes a-l-on déjà mentionnés ici. Rappelons simplement que les plus fortes baisses ont eu lieu, naMudam—, «ri élu iiuiaiim
pour go»
gendarmes aidés par d'autres personnes turellement sur les fonds d'Etats dont certaines
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ïsuir^uïâîi'
pour le conduire à la chambre de sûreté.
comme le Turc el le Serbe ont perdu plus de huit et
toflru M tevti eontluie» «v D- du Ubcratolr* d* IpéLe prévenu qui n'a jamais été condamné douze points dans la huitaine, et sur les grandes
clilltfe, tt, Bout. Piyln, U a L «»( r«M liiil^utf* un
M H
« " M M , ItfUtI *t M M 0ug*f. g M M
valeurs à marché inlernalional
où l'on a enregistré
et sur le compte duquel les meilleurs ri n
FOIRES A
Qui m perlé. — Foire du 17 Octobre 1912.
— Taureaux, le kilo, 0 fr. 65 à
»;
bœufs de boucherie, 0,70 à »,)») ; vaches de
boucherie,0.45à ».»»; bœufs de travail, ordinaire ; bouvillons, »» à »» fr. pièce, ; vaches
laitières, »» à »» fr. ; génisses, »» à »» fr.;
chevaux, élevé ; porcs, 1.40 à ».))» le
kiL; moutons, 0.95 à
; veaux, 1.10 à ».»»;
froment, les 100 kilos, 26.00 à »•>.»» ; seigle,
21.»» à »».»» ; orge, 19.i>0 h »».»» ; sarrasin,
20.»» à »».»»; avoine, 18.50 à »».»»; pommes
de terre, les 100 kil., 7.»» à »».»» fr. ; beurre,
le kilo, 2 fr. 10 à
; œufs, la douzaine,
1 fr. 35 ; volailles, le couple, 4 »» à 7 fr. »».
Foin, les 500 kil., 65 fr. à »»; paille, les 500
kiL,40 fr. à »» ; son, les 100 kil., 16.50à »».»»;
farine 1" qualité, 38.»» à »».»»; 2« qualité,
37.»» à »».»»; millet, les 100 kil.,50rr. ; farina
d'avoine, les 100 kilos, 27 fr. ; pommes à
cidre, les 1.000 kilos, 120 francs.
R
A
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9 47 12 42 15 38 19 32
9 58 12 .53 15 49 19 43
10 2 12 57 15 53 19 47
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DEMANDE
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{ culture,liidiistriesdiverses,l'oiids
pour
renseujncmcnh
à
S'adresser
pennionM'^'
GOALEÙ,iC, propriiUairCt
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à l'hôpital
de Quimperlé
ou à
M' PESCIIARD,
notaire.
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QUIMPERLÉ
rue de la Tour-d'Auvcrgiie, u" 1
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AVendreparadjudicationvolontaire
RETARD DES EPOQUES
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licencié en droit, notaire à PonlAven.
Iriilunal CoiTectionnel de Ouimperié
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Elude de M'E. Péan de Ponfilly,
MESDAMES
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à Quimperlé
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cultivateur du village de Lorennec, en .Moréac, M. Mathurin Onno, se rendait de
bonne heure lundi matin au bourg, en vue
d'assisîer à une cérémonie religieuse. 11
était environ G h. 1/2. En liaversant le PratBias, prairie qui s»-paresa f»-.rme de la voie
ferr e, il aperçut tout à coup un cadavn;
tout eii^anKlanté. A côté de lui se voyait une
mare de sang coagidr. Il était vèlu d'une
blouse bleue et paraiseail âgé d'environ
35 ans.
.M. Onno n'eut pas de peine à reconnaître
en la victime Joseph Olivo, domestique chez
sa tante, Mme Olivo, fermière au village de
Kerponner. Les voisins lurent immédialemenl («ri'-veiius, ainsi que les gendarmes de
Locrniné, qui arrivèrent en hâte.
Afjrès avoir procédé aux premières constatiilions, le maréchal-dtr.s-logis Monnier
pr -vint télégraphiijucment le parquet de
Pontivy et commença immédiatement son
enquête.
Après avoir établi l'identité de la victime,
le« gendarmes interrogèrent les roisioB. Le
malheureux Olivo avait lA fifurc hachée, le
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ainsi que tous les membres du cercle. Elle
est délirante.
— Ah ! tous les membres du Sport la
connaissent ?
— Sans doute. Une étoile qui fait courir
tout Paris, la grande attraction du moment.
Maurice ne vous en a rien dit ?
— Rien. 11 la connaît aussi ?
— Parbleu ! comme moi, comme les
autres.
— Comment l'avez-vous nommée ?
— Cara Dolci. Si la fantaisie vous prend
de la voit, dites-le à votre mari. I l se fera
un plaisir de vous conduire à l'Eden.
Cela fut dit avec une aisance parfaite,
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sans la moindre apparence de malice.
— Oui, je veux y aller, fit nettement le
jeune femme, mais pas avec lui. Que faitesvous ce soir ?
— Peu de chose. Comme à l'ordinaire,
je flâne, je m'ennuie à périr dans ma cellule de la rue de Vemeuil, à moins de tuer
le temps quelque part, au théâtre.
— Donc vous êtes libre ?
Le conseiller poussa un profond soupir.
— Hélas gémit-il.
-Voulez-vous m'accompagner àl'Eden?
— Vous ne craignez'pas de me faiie
massacrer.
— Par qui.
— Par Maurice, donc 1 II est d'une jalousie ! . . .
— Ne plaisantez pas... Voulez-vous ?
— Vous y tenez ?
— Infiniment.
— Trop d'honneur. A vos ordres?
— Nous prendrons une loge. Retenez-la...
de côlé, dans l'ombre autant que possible
— Vous avez juré ma mort.
Diane feignit de ne pas entendre.
— Ecoutez, dit-elle très vite, ma mère
tient à ses habitudes de la campagne. Après
le dîner, elle monte chez elle de bonne
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D'ailleurs quoi de plus innocent 7
Le conseiller poussa un soupir ii enfler
les voiles d'un sloop :
— C'est trop vrai ; quoi de plus innocent I
répéta-t-il.
Il parut déplorer in6niment cette innocence. Pouiquoi la plus vertueuse des
femmes est-elle flattée en pareil cas ?
— Est-ce entendu ? reprit Diane.
— Comme il vous plaira I Je suis d'un
naturel d'esclave. En m'achetant sur un
marché, une femme aurait eu la main
heureuse.
— Allez- donc.
— C'est l'affaire d'un instant. Je cours,
vole et reviens.
I l prit son chapeau et sortit.
M. liunoré causait avec les deux matrones et s'extasiait sur un petit meuble hideux et vermoulu, mais ancien, qu'il avait
découvert dans la journée au fond d'un
bouje sordide dans un cul-de-sac infecTte.
Il avait dû reculer devant, le chiflre demandé, mais i| ajoutait en clignant de b a i l
avec le contentement de l'amateur sûr du
triomphe final :
— Je l'aurai I
Le trio n'avait rien entendu de la conversation de Diane el de son cousin.
Après le départ de Maxime, pour éviter
des questions qu'elle voyait poindre sur
es lèvres de sa mère, Mme de Faudoise se
leva lentement et alla s'asseoir à son piano.
Sa taille n'avait rien perdu de sa légèreté, mais ses épaules plus pleines, sa poitrine plus développée, arrivaient au degré
de perfection de la femme dans toute sa
splendeui.
La baronne l'admirait d'un'regard émerillonné qui allait du visage de la mère,
comme une flatterie, au corsage souple de
Diane.
— Est-ce que ce ne serait pas un crime
de tromper une telle créature ? dit-elle à
M. de Bazuuges.
— He 1 qui donc y songe seulement ?
répliqua le vieillard.
— Mais...
— Son mari 7 Allons donc I Un brave
garçou qui a de la fougue, de la jeunesse,
tiu sang, de l'énergie, et qui les dépeuse.
Il se calmera.
— Vous ne voyez de mal nulle part, mon
oncle, observa la comtesse.
M. Sourit avec bonhomie.
— Moi, je vous d u que mon geodr*
court trop les distractions du dehors...
— L'esprit est prompt et la chair est
faible, observa la douairière.
— Vous aimez Diane ! reprit la comtesse
en s'adressant à son oncle.
— Ventre de biche I
— Si elle était malheureuse, que diriez •
vous 7
— C'est impossible. Malheureuse, ma
Diane I
— Regardez-là.
La jeune femme avait ouvert uue partition, Carmen, el 'commençait nonchalamment l'ouverture.
Au bout de quelques mesures, elle s'arrêta brusquement, referma le cahier, et
en prit un autre qui ne tarda pas à avoir
le même sort.
Elle se mit à la fenCtre el regarda au
dehors.
Le temps était brumeux mais très doux.
C'était l'heure où l'on va faire un tour
de Bois avaut le dtner.
— Mon oncle, dit-elle, en revenant s'accouder au fauteuil du savant, voulez-vous
vous dévouer.
— Que faut-il faire?
— Une promenade.
— Avec bonheur, dit-il.
EUf tOBMi Mélaine parut ausaitôt.
administrateur
du Domaine,
y
— Qu'on attelle le coupé, ordonnat-elle.
— Bien, madame.
— Je voudrais .savoir où est monsieur,
repril-elle, très nerveuse. .M )nsieur s'émancipe, en vérité. Monsieur en prend à
son aise.
Elit! prononçait ce motM^ ( ^ r , comme
elle aurait jelé un caillou à la tête d'un
insolent, avec rage.
—Jamais je ne t'ai vue ainsi, dit M. Honoré. Qu'est-ce que tu as?
— Moi, je n'en sais rien. Ce qu'il y a de
sûr c'est que les nerfs me font mal, et que
j'ai la féte en feu.
— Veux-tu une ordonnance ? Prête moi
ton bras. Pouls agité, rapide, peau chaude
et sèche. Ce ne seia rien. Deux tasses de
tilleul ce soir et du repos.
Vos malades vous manquent, mon oncle,
et vos collections. Si nous allions à la
campagne !
— J'ai des nouvelles. Tout va bien k
Briolles. Si mes clients avait'iU besoin de
moi, je rne mettrais eu route sans tarder.
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Les Douceurs du Bagne
Lorsque Beccaria écrivit son célèbre
Ir.iité « Des délits et des peines», le
gnind pliilosoplie criniinalisle, de qui
les idées aidèrent îi transformer la
législalion des pays civilisés, ne se
doutait pas que les théories par lui
•'•mises seraient exagérées à tel point
(|no certains lieux de cliatiment deviendraient presque des régions de
délices. Si excessif que cela paraisse,
(•('la, pourtant, est une réalité.
Celle réalité est d'autant plus attrislante — pas pour les malfaiteurs
([ue, comparé au sort de nos honnêtes
prolétaires, qui luttent si péniblemen
pour le pain de leur famille, le traitement doni jouissent les pires coquins
dans nos colonies dites « pénitentiaires », n'est guère fait pour soutenir
leur loi en l'honnêteté, leur amour du
Iravail, leur esprit de dévouement,
leur courage, toutes les vertus enlin
sur lesquelles est fondé le règne de la
démocratie.
Uuand riiumble ouvrier, le modeste
artisan, le cullivateur raj)proclieril leur
existence de sacrifice de celle qu'une
administration Ppaternelle arrange
ses pensionnaires de la Guyane et de
la Nouvelle-t^alédonie, ils ne peuvent
st! défendre de regretter le choix qu'ils
oui fait du droit chemin, leur respect
de la loi, de la vie, de la propriété,
toutes fariboles dont se rient messieurs
li's bagnards.
Assurément les galériens de jadis,
enchaînés, marqués à l'épaule du stigmate indélébile T. F. étaient frappés
liés souvent avec i»lus de rigueur que
ii en eût comporté le forfait dont ils
poursuivaient l'expiation dans les
. rgastales où la société les isolait du
monde qu'ils avaient consterné par
leur dépravation, leurs tentatives homicides ou simplement lésé dans ses
intérêts matériels par le vol ou par
le taux.
Néanmoins, les mœurs publiques,
en s'adoucissanl, entraînaient dès le
milieu du siècle dernier, la suppression des bagnes situés en France et les
condamnés que l'on se proposait de
régénérer par le travail en leur faisant
espérer un libération relative, étaient
dirigés sur les établissements où nous
trouvons encore leurs tristes imitateurs
pour que cet exil ressemble bien moins
à une géhenne qu'à une terre de promission. On se renseigne vite dans la
pègre. Les coquins de toute espèce
qui pullulent savent que la punition
qui devrait èlre la plus dure, décollalion mise à part, est, au contraire, la
plus souhaitable ; car elle comporte
des agréments, une liberté, une perspective d'évasion ou de situation bourgeoise inconnus pour les réclusionnaires de nos maisons centrales.
sont refusées aux braves défricheurs,
aux industriels, aux éleveurs qui ne
possèdent pas l'auréole du viol ou
do l'assassinat.
A ces derniers toutes l'acilités sont
procurées pour faire bonne figure et
pour peu qu'ils affichent des intentions
matrimoniales et distinguent quelque
belle empoisonneuse ou quelque faiseuse d'anges dont la justice a suspendu les opérations, vite on les
marie, on les dote d'un foyer, d'un
domaine, et ils ont la joie de faire
souche de ))olits chérubins qui les
pourront bénir de l«u- douule ascendance.
Ces tableaux idylliques fréquemment traversés de drames sanglants
ont été contemplés par les voyageurs
assez courageux pour porter leurs investigations à cesdistances effrayantes.
Tous sont du même avis : « 11 n'est
tel que le crime, le crime atroce ou
répugnant, pour valoir l'Eden à ses
praticiens ordinaires.
Toutefois, si la Nouvelle-Calédonie
ne reçj.oil plus de convois réguliers et
si elle est en j)assc de devenir un
« bagne honoraire », la (iuyane, elle,
conserve sa clientèle intéressante d'escarpes, d'apaches, de malandrins,
chourineurs et cambrioleurs, .satyres
et vampires dont les Cours d'Assises
assurent le recrutement. Le climat y
est moins attirant, mais avec un tantinet d'audace et d'ingéniosité, on s'en
échappe môme si bien que le nombre
des fuites est relativement fort élevé,
bien que le fugitif avant de parvenir
dans l'une des régions où il espère
reconquérir quelque sécurité, doit en
traverser d'autres où le guettent tous
les périls imaginables : fatigue, faim
bêtes féroces, marais, flèches et fièvres, tout le cortège enfin des horreurs
affrontés pour revenir un jour se faire
prendre sur le théâtre des anciens exploits.
Mais si la hantise de l'évasion ne
tourmente pas le convict, s'il sait bien
être sage et bien poli, on ne tardera pas
à faire de lui un fonctionnaire, tel Soleilland promu — ô ironie ! — gardien
d'un cimetière d'enfants. On voit que,
dans notre République laïque la conversion au protestantisme sert à
quelque chose.
Très sincèrement la description a
été laite des aimables villégiatures
goûtées à Cayenne par nos illustres
bandits soustraits au couteau de la
guillotine. On n'a pas voulu admettre
qu'elle fût exacte, malgré certaine
lettre collective écrite par les surveillants et dans laquelle ils racontaient
les inimaginables scènes de violence
et de turpitudes hors nature qu'ils
avaient chaque soir sous les yeux, dès
lors que, revenus de leur li\chc quotidienne, l'empierrement éternel d'une
route jamais achevée, les déportés se
retrouvaient ensemble dans les dortoirs où eux, les geôliers, n'eussent
pénétré que pour être immédiatement
occis.
Aussi le rêve, pour les misérables
(jui n'ont plus rien à attendre de la
clémeiice du Jury et qui ont collecA ces révélations invraisemblables
tionné le maximum de pénalités cor- on éprouva quelque émoi. Une comrectionnelles, est-il d'être expédiés sur mission fut nommée qui, envoyée
les rives du Maroni ou dans l'Océan- d'Europe, ne put que confirmer les
Indien, dans la paradisiaque patrie des dires des surveillants.
(Canaques où les colons irréprochables
11 est trop vrai que « travaux forcés »
sont soumis à toutes les vexations, nme à fainéantise latente, que les
tous les ennuis, tous les règlements forçats, reçoivent et adressent des
qui paralysent leurs efl'orts et anémient correspondances — et quelles épîtres !
cette petite France des Antipodes, — fument et boivent des alcools passés
tandis que le rebut de la métropole en fraude, fabriquent et vendent aux
dispose d'une protection aussi insul- touristes des menus objets-souvenirs,
tante pour eux que contraire à toute qu'ils ont des ressources d'argent,
équité.
mènent un jeu frénétique, ont des raOu n'ignore plus désormais que tions de café, de vin, de tabac que leur
toute initiative de nos colons en Nou- envoient nos pauvres soldats de l'invelle-Calédonie ponr exploiter ce sol fanterie coloniale, bref doivent estimer
merveilleux et en écouler les produits que leur abjection est l'état le plus
.se heurte à une série d'obstacles qui profitable.
désespèrent ces braves gens et leur
Et, durant que s'accomplissent ces
font parfois désirer qu'un autre dra- choses, autour de nous, de vaillants
})eau que le nôtre flotte sur les édifices chefs de famille succombent au poids
de Nouméa. Mais pour les forçats et des charges sociales, sont acculés à la
relégués, c'est une toute autre affaire. misère, au désespoir, à ses suites fuA ceux-là va la sollicitude de l'Ad-mi- ne.stes dontfait mention la rubrique du
nis-tra-ti-on ; pour ceux-là un budget suicide.
prévoyant dispose de ressources qui
yuand donc finira celle idiote co-
la ligne 0 fr. 20
G fr. 26
Au'nûuces judiciaires
DIRECTION, RÉDACTION ET ADMINISTRATION
Annonces volontaires
Réclumes
3 ,
F l v i e
B i s s o n ,
3
médie de l'humanilairerie réservée aux
seuls chenapans ?
(Juand les bagnes cesseront-ils d'être
des Eldorados, tandis que nos cités,
pour d'innocentes victimes du capitalisme, sont des bagnes qu'elles n'esquivent que par un volontaire trépas ? Il
serait temps, peut-être, que les honnêtes gens fussent traités avec la
mansuéludequi règne dans nos bagnes.
Du moins, eux, n'en abuseraient-ils
l)as.
JEAN M E R A C .
LlItKKS
FEULLKTS
CE QUI LES ENRAGE
—
Q
X
J
I
M
P
E
R
L
É
-
(On traite à forfait pour les annonce$ répétées)
discussion un peu .sommaires de la malraque et du revolver. La liberté de la parole
leur suffit pour faire triompher leur doctrine, leur programme, leur idéal, n'en
déplaise à ceux qui, moins impatients d'exVoici l'automne. Les arbres se Ul
poser el de préciser leurs vues que de nous chent de rouille, les champs se bislrenl
faire répéter les nôtres, nous refusent et le cidre coule du pressoir, la chùlai
nous dénient tout idéal, tout programme, gne éclate sous la cendre el les veillées
toute doctrine. Mais si nous respectons commençenl.
celle liberté chez nos adversaires les plus
Oh ! ces veillées de Bretagne au
déterminés, à plus forte raison devons- cours desquelles se content des histoires
nous la pratiquer à l'intérieur de noire d'« andons ! » Bien des fois, elles on
propre parti, entre amis momentanément charmé mon enfance el, aujourd'hui
séparés sur certaines questions, décidés encore, je me fais un plaisir extrême
après un temps d'arrêt, à conlinuer, la d'aller de ferme en ferme écoula
main dans la main, la même roule el
quelques-unes de nos belles légende
faire face aux mômes dangers.
anceslrales.
C'est cette pensée du lendemain qui
A Rosporden, nous avions une con
manifestement, hantait les divers orateurs leuse émérite. Elle se nommait Kale
La réforme électorale, quelle qu'en soit et c'était la bonne vieille « au ne
l'importance, n'occupera pas toujours le crochu » dont parle Loti dans Mon
tapis.Quel que soit le projet Iransactionue Frère Yves. Quand tombait le soir
sur lequel SÊ feia l'accord de fa Chambre une certaine Louise venait me prendre
et du Sénat, R. P. ou R. M., scrutin de et, tous deux, à travers des ruelles
liste jmr el simple ou scrutin élargi de. enténebrées, nous nous dirigions ver.
l'heure n'est pas éloignée ou l'opinion et sa chaumière.
le Parlement auront d'autres préoccupa
Je revois encore celte chaumière de
lions.
Kalel, petite, toute noire, pleine de
Dans moins de II ois mois aura lieu L'é
vieux meubles luisants. L'ûlre en étai
leclion présidentielle. On sait l'inffuenci immense ; une crémaillière y pendait
que peut excercer la haute personnalité du soutenant une marmite remplie de
chef de l'étal sur l'orientation générale de châtaignes. De chaque côté de la marde la poliiique extérieure elde la politique mite, il g avait deux bancs. L'un étai.
intérieure de la France. Il n'est pas indif- pour Kalel el l'autre était pour nous
férent que lu parti radical el radical socia- Une chandelle de résine coincée dans
liale arrive à cello élection uni ou divisé un bâtonnet éclairait mal le logis.
Il n'est pas indiflèrcnt non plus que nous N'importe ! on se trouvait bien là,
poursuivions dans la division ou dans l'u- devant les braises mourantes, en face
nion (lt;s membres qui composent notre de celle vieille femme à figure de
parti ia réalilion de notre programme sorcière. De nouveaux auditeurs arriéconomique el social. N'est-il pas vrai que vaient bientôt, des jeunes gens el des
les réfoi mes changent d'uspccl el de ca- jeunes filles. Les uns apportaient des
ractère suivant la majorité qui les vole ? crêpes, les autres du pain noir ou du
Et ne devons-nous pas songer toujours cidre. Tous se rangeaient en cercle
à celle œuvre rèf-jrmalrice dont les déshé- autour de la marmite et un silence
rités cl les souffrants attendent un peu de pesant tombait. Kalel alors se recueilbien-ôlre malérief cl moral ?
lait une minute, puis, d'une voix à
Oui, c'esl cette idée d'union nécessaire, peine chevrotante, .elle commençait un
indispensable, pour les lulles el les réfor- de ces contes fantastiques, tels qu'il
mes de demain, qui a dominé les débals devait s'en dire aux premiers âges du
el donné au congrès de Tours sa véritable monde. Nous l'écoulions, charmés parphysionomie. Nos adversaires de droite et fois, apeurés souvent, émus toujours.
de gauche en .sont également dépités el
Bonne Kalel ! Elle repose à l'ombre
exusjiérés. N'avons-nous pas lieu, dès lors, d'un vieux clocher, près d'un étang
de nous en féliciter cl ne nous en réjouîr ? bleu ou des âmes f/'« anaons » rôdent
sans doute le soir. Je. l'aimais bien el,
Henri MICUEI.,
à celle heure où le crépuscule descend
Sénateur.
avec la brume, il me semble qu'elle va
•evenir me conter encore près de Louise
l'un de ses beaux contes empoignants.
BA
Nos adversaires à quelque nuance qu'ils
apparliennenl sont eu rage contre le parti
radical et radical-socialiste. Les uns et les
aulre.«, escomptant déjà notre succession
prophétisaient h qui mieux mieux sa dislocation, à l'occasion de notre congrès
annuel. Oui, le congrès de Tours devait
maïquer la fin de notre parti. Qucfic dé
coplion ! et combien il faut déchanter
Le Tem])S lui-mi>nic, d'ordinaire si mesuré, s'oublie dans de.s oufrances de style
jusqu'à renifle jalouse Vlluniunilé. Pourquoi ce diable de parti — la Croix dirait
ce parti du diable — s'obstine-t-il ainsi
vivre, malgré les oracles ?
Le fait est que jamais notre parti ne fwt
plus vivant. On l'a vu au congrès. Grande
était l'afflaence des parlementaires cl divs
militants venus de tous les points de la
l'rance. Sur la réforme électorale devait
s'engager une Ijalaille décisive. On le s
vail. Proporlionnalislcs et anlipioportionnalistes élaicnl donc à leur poste, prêts
déployer toutes les res.sources de leur
esprit et de leur éloquence pour faiie
accepter ou j'our faire rejeter la représentation proportionnelle. 11 ne pouvait s'agir
— ou le devine — d'élaborer une loi nouvelle : ce n'était ni le temps, ni le lieu. Un
congrès n'a guère qualité pour légiférer.
Une question de principe était seule en
cause. Le congrès se rallierait-il au principe nouveau de la représentation projiortionnelle, s'en tiendrait-il au contraire au
vieux i)rincipe majoritaire ?
La luUe fut chaude. Mais on put juger,
dès le premier moment, que l'issue n'en
était pas douteuse. On connaît l'ordre du
jour qui mil fin au débat : tous les journaux l'ont cité ; i oint n'est besoin d'y
revenir. 11 fut voté à une énorme majorité,
je ne crois pas être taxé d'exagération en
Election Séiuitorialc
affirmant que les huit dixièmes au moins
des congressistes le volèrent d'enthouDimanche dernier a eu lieu dans tes
siasme. Je n'insisterai pas sur l'importance
Côles-du-Nord une éfection sénatoriale en
de ce vote : elle saule aux yeux. Aussi
remplacement de M. Le Provosl de
bien, tous les journaux, sans distinction
Launay, décédé.
de nuances, en ont-ils souligné la portée.
M. Limon, député libéral de la circonsCe n'est pas, à mon sens, le vote de cet cription de Saint-Hrieuc, a été élu par (>30
ordre du jour qui exaspère à ce point les voix contre 000 à M. Armez, député répuadversaires du parti radical et radical- )licaiu de la 1" circonscription de Saintsocialiste. Les vœux sans nombre émis Brieuc.
contre la R. P. au cours de ces vacances
par les conseils municipaux, les conseils
d'arrondissement, les conseils généraux,
le faisaient pressentir. Ce qui a porté à
son comble la colère des modérés comme
Ainsi que nous l'avons déjà annoncé,
celle des révolutionnaires, c'est la belle
M.
Poincaré, président du Conseil, viendra
tenue du congrès, le débat imposant de
à
Nantes,
dimanche prochain, 27 octobre.
calme et de dignité qui précéda le vote.
l«sera accompagné par MM. Guislhau,
Certes, de part el d'autre, on apporta à
Javid, Ktotz el Bérard.
la discussion beaucoup de vivacité, d'arA l'issue du banquet qui sera servi au
deur, de feu. Jamais la passion n'emporta
Cours
Saint-Pierre, le président du Concependanl les orateurs au delà des limites
seil
prononcera
un grand discours, au
des convenances el de la courtoisie. A
cours duquel il développera le programme
aucun moment le congrès ne donna le
ministériel qui sera soumis aux représenspectacle d'une assemblée désemparée, où
tants à la rentrée des Chambres. Il traitera
celui qui esl à la tribune ne parvient pas à
également la question de la situation exse faire entendre, où celui qui préside est
térieure.
impuissant à dominer le tumulte el à obtenir le silence. Il convient d'ajouter, à
l'honneur des congressistes qui prirent
successivement la parole, que pas un d'eux
ne laissa échapper un mol qui trahît le
dess(;in d'offenser ou de blesser ses conVendredi dernier, les plénipotentiaires
tradicteurs.
Voilà ce qui met hors de leurs gonds les italiens réunis à Ouchy (Suisse) onl signé
jons apôtres qui prédisent périodiquement le traité définitif qui règle les conditions
de la paix entre l'Italie et la Turquie.
a lin de notre ])aili.
Un drapeau italien el un drapeau turc
Faut-il s'étonner de celle correction el
ont
été hissés, à côté d'un drapeau suiise,
de cette tenue? Non. Les radicaux el radiau
dessus
de l'hôtel où le traité de paix a
caux-socialistes laissent aux partisans de
la violence et du désordre les procédés de été signé.
M. Poiiicaré à Xantcs
LAPAIXITALO-TURQUE
0 fr. 60
VARDAGE
Pierre
Sève:, le iSOclohre
KERMADEC.
l'Jl2.
LE BOIS ARTIFICIEL
Laissez vos Plaques sur vos Bicyolettes
Nul cycliste n'ignore que sa bicyclette
doit porter de façon apparente une plaquecontrôle. Presque tous savent que cette
claque doit être fixée à demeure sur le
ube de direction, conformément à un article de la loi de finances du 30 janvier
KK)7. Mais la plupart ne se doutent-ils que
le fait d'enlever cette plaque môme au
cours d'un voyage, afin d'éviter un vol el
alors que la machine est mise aux bagages, constitue une infraction à la loi ?
C'est ce que le ministre des finances, a
répondu à une demande de M. le député
Cassadou. La jurisprudence, en effet, a
décidé que les machines trouvées en gare
comme bagages devaient èlre considérées
comme en circulation. Leur propriétaire
esl passible d'une amende s'il a enlevé la
plaque de contrôle, même en le faisant
constater au départ par un employé de la
compagnie.
Au surplus, la compagnie est évidemment responsable du vol de la plaque donl
la machine esl démunie.
La
& La fiuirre
Nous ne saurions suivre avec trop d'attention les événements qui se déroulent à
l'heure actuelle en Russie, puisque c'est
.surtout de notre amie et alliée que dépend
l'extension ou la limitation du conflit balkanique.
Un symptôme «jui doit nous frapper particulièrement esl l'acuité du mouvement
panslaviste. L'hostilité séculaire contre
la rur(]uic, le fanatisme religieux, les
sentiments de fraternité iK>ur les peuples
balkaniques, l'ambition populaire impatiente de réaliser une « plus grande Russie i»
ont provoqué une efïervence qui esl allée,
dans certain milieuxs, jusqu'à prendre une
forme peu amicale pour les deux autres
puissances de la Triple Entente.
Le but élait, semble-t-il, de brouiller
l'Angleterre el la France et de rompre avec
l'une et l'autre, coupables aux yeux de
quelques-uns de ne pas nourrir d'assez
noirs desseins contre fa Turquie.
Fort heureusement, le gouvernement
russe résiste avec beaucoup de sagesse k
ces impulsions irraisonnées, el continue
de manife.ster à notre égard un cori ection
)arfaite. Nous avons montré à plusieurs
reprises quçM. Sasonof, secondé en France par M. Isvolski, cl d'accord avec M.
Poincaré, n'avait cessé de chercher loyalement à réaliser l'entente des puissances
)our limiter le conflit balkanique.
Mais les chauvins de Russie, notamment
e Novoié Vrémia, en prennent argument
:)our se livrer aux vives attaques contre le
ministère. El leurs clemeurs, paratt-il,
rencontreraient des oreilles complaisantes
usque dans certains cercles politiques
d'ailleurs élevés.
A ces difficultés politiques s'ajoutent
des difficultés financières. Beaucoup de
{grands établissements russes ont fait, ces
temps derniers, des efforts patriotiques
>our maintenir à la Bourse de Paris le
cours de leurs valeurs nationales. Malgré
'importance de leurs achats, ils n'ont ))u
empêcher qu'un temps l'inéluctable. Déjà
lier, malgré la fermeté inespérée du marché de ces jouis derniers une baisse sensible s'est manifestée sur tout le compartiment. Il semble donc biea que les milieux
diplomatiques ou politiques, et même
opinion populaire, s'attendent encore à
des surj>rises.
Dans l'intérêl de la paix européeiuie,
dans celui de la France et de la Russie,
nous souhaitons que l'irréparable ne se
iroduise pas. Le cabinet russe a déjà fait
ses jireuves de pondération el de clairvoyance. 11 saura, nous l'espérons, défendre
el faire triompher la cause de la paix et le
îiincipc de la Triple-Entente contie les
égarements panslavistes. Il sauvegardera,
contre des patriotes mal avisés, la prospéilé économique el la grandeur morale
de la nation russe. El la Russie, grflce à
ses efforts, sortira aussi riche el forte que
jamais de la crise intérieure qu'elle traverse.
L'invention est dùe à un Français, M.
Charré. Elle esl appelée à rendre de grands
services à la charpente, en remplaçant
avantageusement le bois naturel. La solution du problème n'a été obtenue iju'après
six ans d'étude el d'expériences dont les
plus récentes onl donné des résultats complètement satisfaisants.
Le procédé consiste à transfoimer la
vaille en une matière solide, aiibsi résistante que le sapin ou le chêne ; les liges
sont coupées à la machine el réduites
en pâte par la cuisson en y ajoutant
certains produits chimiques. La pAle
ramenée à une substance homogène est
ensuite comprimée sous une très forte
)ression. On obtient ainsi une matière
Première à laquelle on peut donner toutes
es formes, planches, poutres, chevrons,
ailes, baguettes, moulures, de toutes
dimensions. Ce bois artificiel, peut, comme
e bois ordinaire, ôlre facilement scié. La
paille étant partout relalivtîmenl bon marché, les frais sont peu élevés. Le môme
bois de paille serl aussi au chauffage, il
donne une grande flamme el peu de fumée;
on l'emploie également pour la fabrication
des allumettes, il vaut mieux que le peu>licr el coûte beaucoup moins. On en fait
de même usage poui le papier d'emballage,
pour les bouteilles, cruchons et autres obéis si.uilaires. Il se prête à bien d'autres
Des informations contradictoires, suiapplications et son usage ne tardera pas à vant qu'elles proviennent de source turentrer dans la pratique courante.
que ou d« source bulgare, serbe ou grec-
DANS LES BALKANS
M. Courtier, dans l'espace de cinq mois,
qui devaient être prélevés sur l'excédent cotoc
voyer la publication au numéro de ce jour.
Années
H^
<
a
créé un déficit de 12.247 fr. 71. Et ce
des recettes de l'exercice 1911. I l s'imagi
M . Courtier, qui avait fait établir, dès
de la guerre.
n'est pas fini !...
nait que la dillérence, soit 5.919 fr. 21
jeudi matin, par un membre, de sou conS'il fallait en croire les nouvelles de
«o
Contribuables Quimperlois, juge/..
passerait inaperçue, afin d'en disposer
seil municipal devenu son secrétaire partiOl
Voici le texte de la lettre que M. Le
Constantinople, les troupes ottomanes op5
W
W
Ci
sa
gui.'îe,
voire
même
pour
fournitures
culier, la copie qu'il nous a adressée de sa
31—
^sw
O) »—
(« &
Recettes
5
poseraient aux troupes alliées une résis- lettre publiée par \ Union Agricole aurait Louédec a fait tenir samedi dernier au scolaires gratuites aux écoles dites libres
y
tance acharnée et seraient même victo- bien pu nous la faire parvenir un peu plus gérant de l'Union Agricole et que ce
Dans sa naïveté, il n'avait pas prévu que
rieuses. 11 semble que l'on ne doive ap- t6t et, dans ce cas, il nous eût été possible journal a refusé d'insérer .
l'administration préfectorale dont le conMonsieur le Gérant,
le
trôle lui paraît gênant — puisque avec son Wi—^UiH-U'Cnoi
porter que peu de créance à ces informa- de lui donner satisfaction dès la semaine
Diable I I I parait qu'on m'attend avec
C:
La réplique de M. Courtier, ù laquelle conseil municipal il est partisan de la sup
dernière.
tions et que la vérité serait toute autre.
une impatience extrême au Progrès. Seb
vous avez donné asile dans les colonnes de
Dépenses
S tn C-. ta <o o -.D
Toute autre a été l'attitude de M. Beau- votre numéro de l'Union Agricole du 17 oc- pression des préfets et des sous-préfets, —
ruieut ils donc tous malades, ces mesL'attention de l'Europe entière est acrelèverait
son-tour
d'escamotage
;
mainfrère,
—
mettons,
si
vous
voulez,
de
M.
le
sieurs de la tonsure? Après
aboge
tobre, ne signifie rien du tout et il faudra
tuellement attirée sur Andrinople, qui,
tenant, il se trouve contraint do reconnaître
gérant
de
l'Union
Agricole
—
c&r
M.
Le
bien
que
son
auteur,
en
dépit
de
l'indignacomme
des
roquets,
\oicî
qu'ils/i«/7e«/à
avec son camp retranché, peut ôtre consition qu'il alTecte de manifester, finisse par que l'excédent des recettes de l'exercice .»« 0^s w A.
la mort, comme des loups, — à la mort de
dérée comme la clef deConstantinople. On Louédec lui a lait tenir samedi dernier,
?
m
par ministère d'huissier, une nouvelle s'incliner devant la réalité des faits et des 1911 était bien de 27.220 fr. 57. C'est déjà
l'école laïque, bien entendu.
n
g
annonce que les Bulgares se sont empares
o
05 C063 s ^ ;
un point.
lettre que l'Union Agricole n'a pas insérée chiffres publiés par l'Echo de Bretagne.
Hoi des « muffles », toujours « inulle »
d'un certains nombre de forts défen'lant
Je répète que M. Courtier a trouvé à mon
pv
Cet excédent de recettes avait è lair
sous le fallacieux prétexte
que nous
et
encore « mufle 1
Celle fois, [»our un
o
cette place el, notamment, de la ville de n'avions pas encore donné asile à la prose départ de la Mairie de quoi payer toutes les face à des échéances prévues au budget
m
« mufle », je suis un « mufle << de bon teint
dépenses,
S
A
.
\
S
EXCEPTIOlV,
par
moi
Rirk-Kilissé.
de M. Courtier.
O
el de bonne race. Alors?... que Janus—
engagées, plus un excédent net disponible de additionnel de 1912 ; le montant de celles
«c
On annonce également que la ville de
Ce n'est pas une raison.
5 . U 1 9 f r . 2 1 , par lequel l'exercice 1911, ci n'étant que de 21.301 fr. 30, il restait
pardon! que Junius — entonne un chant
•o
o
o
Oc
donc un boni de 5.919 fr. 21.
1 -, i = S
A l'heure actuelle, nous sommes encore arrêté au 31 mars 1912, se trouve soldé.
Salonique est menacée.
Cj
d'allégres'^e, car le clan réactionnaire ren3
PI
«
co
Voici d'ailldurs le compte détaillé des
Mes comptes de gestion étant arrêtés au
lerme une telle quantité de « mufles », de
S
Des engagements dont le ré.sultal n'est en droit de refuser l'insertion de la lettre
0)
« restes à payer » résultant de l'exercice
31
mars
1912,
M.
Courtier
n'a
qu'à
se
repor'à « cafards » et de « cléricafards », que j'ai
de
M.
Courtier,
car
nous
pourrions
atpat. comiu de façon absolue ont eu lieu sur
ter aux chiffres officiels de receltes et de 1911 et à reporter sur l'exercice 1912.
a
bien peur, bien malgré moi, d'en faire
divers points entre les troupes turques el tendre qu'il nous envoie l'huissier. Mais, dépenses pour faire la petite opération
PI
nous savons ce qu'est le droit de réponse
partie
I
les troupes alliées.
suivante :
el, mettant la loyauté avant tout, n'avons
Mais, soyons sérieux, yuebju'un m'at3Au 31 mars 1912, date de clôture de
pas l'habitude d'atte.idre une mise en l'exercice 1911, l'excédent des receltes
tend ; je me présente pour lui répondre :
RESTES A PAYER
»
demeure.
« J ' I G N O U A I S ALLSOI.UMK.NT QI E, OANS I.ES
est de
27.220f.57
Si M. Beaufrère ne connaît pas encore
Kcoi.Ks I.AiyuKs, ni:s IXNIGII.VTS PAVASSK.NT
AU 31 MAKS 1912
SOMMES
A déduire, au 31 mars 1912, les
lis^gîsssocn
les dispositions de l'article 13 de la loi sur restes à pai/er,
c'est-à-dire
2 Fil. O'KTUDES CT JK .M-; I>I;IS cnomi; IÎNCOUK
s
I S
A HUI'OUTKR A 1. r.xi'iicici; tyiV
îiibksbîgèii:
T O U T E S les dépenses non
SA U N T K I . DKsiii i)i; JUSTICE. Que le Progrès
Tout le monde sait que c'est au mois de la presse, il les apprendra.
o —-I —^linCO
5
Dans le refus d'insertion de la lettre de soldées à cette date engagées
du Finidère me cite des noms, me nomme
Juin dernier que le blé el la farine ont at
par la précédente municipalité
Cl o
00 tJl
(O -J <
des écoles,"et je serai le premier ù m'élever
lO -.c O
— tO
c
teint les prix les plus élevés. A cette épo- M. Le Louédec nous voyons une reculade, et imputables au budget addiCliapiti-e
1<
la fuite devant une discussion loyale. Les
contre
de tels actes d'illégalité. Le Progrès
que, on craignait à tort ou à raison la di
tionnel de 1912
•
21.301 3G
a
chiflres exposés par M. Le Louédec sont
du Finistère est-il satisfait ? Qu'il se rasDliPKNhRS
OItDINAlllKS
C;
PI
sette jusqu'aux récoltes.
i),
officiels, par conséquent irréfutables. Ces
sure. J'aime la lumière, toute la lumière,
ce
Reste en excédent surlesdép.
5.919 F. 21
o o «-1 i-ï ^s v
Celles-ci sont terminées et ont été faites ehiflres confondent W. Courtier et nous
a
H
de quelque côté qu'elle vienne. La fera-lnt
PI
Soit encore un reliquat net disponible de GO Emploi des 5 cent, pour
dans de bonnes conditions .sauf en Breta
Ce
03rf»(O U) — c.
comprenons que son journal officiel essaie
il sur ce point en litige ? Je l'espère et à
ÎO
3-.
hs
«o
v;
o
5.919 fr. 21 que M. Courtier feint d'ignorer,
entretien des chemins
gne et dans une partie de la Normandie
de lui épargner cette déconvenue.
mon lum-, j'attends. »
88 fr.
vicinaux
ainsi que le démontre son projet de budget
o
Des statistiques, dressées conscienseMais les Quimperlois sauront apprécier additionnel el dont je lui indique, à nou20
Emploi des prestations.
p»
Le
lMI'ERl.OIS.
Entretien des pompes
comme il convient l'altitude des adver- veau, la provenance.
ment par le Bnlletin des Halles et le Mar
I
I
I
I
M
'
()57
incendie
ô
.saires
de
M.
Le
Louédec.
En dehors des chiffres officiels (pus je
ché Français établissent que la récol76(1 fr. 98
H
Ceci dit, voici la lettre de M. Courtier : viens de citer el auxquels je l'engage ù se
te dernière est suffisante pour notre con'ê
reporter il m'est impossible de discuter.
Chapitre II
sommation. Aussi, a-t-on pu constater que
Oiiimperlé, le 17 octobre 1dl'2.
De deux choses l'une, ou les chiflres que
a
•o
a
depuis le mois de Juillet, les cours sont
o
DKI'KNSKS l:XTItAOHlilNAMti:S
Monsieur le Gérant de
j'accuse sont vrais ou ils sont faux.|
o cc ib. 7. =
a.
?..
S
constamment en baisse. I l n'y a eu qu'une
•.s (O oc W
li
û'
X'iicho de lirelayne.
J'attends, en conséquence, que M. (^)ura
c
Ayant été mis en cause par votre journal tier en reconnaisse Inexactitude ou les réIule
»
légère reprise des cours, il y a quelques
9
Ann. lia l'empr. de 15.61)0 Ir. (et art. 18
dans le numéro du 11 courant, je vous prie, tout comme je réfuie ses comptes qui ne
s
755
fr.
jours, à raison de la guerre balkanique
desiKp.sup'
conformément à la loi d'insérer dans votre représentent à mes yeux qu'une salade dans
4.52
96.746
.11 Igel
cette reprise n'a été que de courte durée
Nous foison.-; rein;iri| le;- q le
laquelle il s'obstine à faire entrer au litre
premier numéro la réponse suivante :
39
44.250
de
19().y,
dont
les
chifl.
!s
figurent
on
ila
el c'est à nouveau la tendance à la baisse
.048
M. Le Louédec, par l'organe de son jour- du budget de 1911 les sommes qui doivent
31.653
L;i ligue de dél'eii.se des iiilérêls dit
liijues au laMeau '•;i-di'><sns est le dernier
40
' 40.000
Au mois de juin, le prix du pain a subi nal VEcho de Jirelugne, prétend que, dans figurer au budget de 1912 et ce dans le but
Brest
el de la ivgion org.ini; e, à hre.sl,
•17
66.000
budget géré par M. lîicliar i. C.e liudget
le contre coup du marché aux blés el aux l'espace de quatre mois, j'ai ruiné la Ville évident de grever ma gestion, pour masquer
pour
le
dimiinclie 27 oelobn-, un grand
Einp.
de
l'imp.
pouri'éseau
accusait un déficit de 5.'lS(t fr. 44. Dès
de (luimperlé, nus à sac la caisse du Rece- un passif de 6.328 Ir. 50 qui n'incombe qu'à
farines et, partout, a été augmenté.
m
téléphonique
meeting
de
protestation, auqui l sont conlui
seul.
veur municipal. Tout juste s'il ne parle pas
l'année suivimle, sans iinposilioti de cenEmp. de la subv. de l'Etat
Depuis cette époque, le prix de la ma- de me donner un conseil judiciaire, et, par
voqués
les
Conseillers généraux elil'arJe mauitiens, en outre, (jue le budget adtimes
pour
i'isulfisanci!
de
revenus,
M.
Le
p' agrandiss. de l'éc. mal
tière première a baissé très sensiblement
exploit d'huissier, il somme le directeur de ditionnel, volé sur la proposition de M.
rondiftseinenl cl les Maires lie. I:i légioii.
12 Louédec comblait ce fîélicit i l. soldait son
597
(etart.lGdesdélib, spéc.)
l'Union Agricole de démontrer, au moyen de Courtier accuse, dès maintenant, un déficit
ruais le prix du pain n'a pas changé.
3.13;t fr. 86 premier budget [lar nu excédent de re- • Dans un appel adressé par .M. Mas.son,
chiffres, qu'il a laissé la situation financière total de 12.247 fr. 75 et que la situation des
Les populations réclament ; elles récla
cettes disponibles de '.I32 fr. 59.
maire de Brest, on lit ce qui suit :
Chapitre I I I
dans un état prospère, grAce à sa bonne finances comnuinales est telle (jue le Conmeront encore.
Le budgfti de 1905 e - l le seul qui se .«oit
gestion.
« Le départ di; la 3' esca ire luule donc
seil se verra sous peu dans l'obligation de
I ) KI • H .N s i ; s s UI ' l. K >1 E N T AI m : s
soldé par un déficitqui e.sl de 3.725 fr. 20. « alleinleaux inlértMs inaiériel.s cl moraux
Qu'attend le Maire de Quimperlé pour
voler de nouveaux centimes.
Je veux seulement lui répondre ceci :
Veut-on savoir la raison la rai.son de ce « de toute noire population linislérienne
L'excédent de recettes de l'exercice 1911
Les affirmations de M. Courtier el les
faire donner satisfaction à ses légitimes
déficit 'Mille est très ."-iiniile à Irouvei'. Kn « el aux inlérètsvilauxde loiile lu région.»
s'élevait à
27.220l'.G7 miennes, on le voit, ne se resscniblenl pas
Entr.des chemins vicinaux
réclamations '?
1.464 fr. 80 1905, les re.s.sources de l liopilal s'élanl
du tout.
y compris les 15.000 fr. que le
en 1910
Empl. de l'empr. de 22.400 f
Heceveur municipal avait reçu
Qui a créé le déficit ? Telle est la question
trouvées insuffisantes, le c^n'^eil munici(annulé faute d'emploi 1»
Xous recelions, li'aulre part, à re sujet,
du Crédit Foncier pour le paie«[ue, pour ma part, je vais m'employer
pal avait dù porter de -s OOl) IV. (ui l. lOS du
crédit
de
7.400
f.)
pour
ment des terrains du cimetière.
élucider pour la plus grande confusion de
les
cominimivations
suivantes, <jue nous
budget p r i m i l i l j à 12.000 fr. la subvention
agrandis, du cimetière. 15.0(H)
A ces 27.220 fr. 57 sont venus
mes détracteurs.
allouée annuellement !i c d elablioscmenr, nous empressons d'insérer :
Amortisseni. pourempruni
s'ajouter
42.947 90
J'ajoute que l'e.xaspération manifestée par
338
du cimetière
par le vole d'un crédit de l.O;)!) fiancs au
I.ii ligue formée à la siiili- de la décision
supplémentaires
M. Courtier dans la note que l'Union Agri
Nous avons eu l'occasion de signaler de recettes
Fête des 9 el 10 juillet [Lu
budget addiiionnel (aii. l.T}.
ministérielle
de la concenlialion des esi'ap
a
r
m
i
l
e
s
q
u
e
l
l
e
s
f
i
g
u
r
e
n
t
cote qualifie de « réponse » aux précisions
Pomme et Dnjardin-Beau
que l'on procède à la lestauration de la
dres dans la .Méditerranée, a .^on hiireaii
L'année
suivante,
I
l
S:MI>
imposiiion
31.000
fr.
^emprunt
jiour
l'achat
597
20
irréfutables
que
j'ai
apportées
dans
ce
débat
melz)
maison Le Borgne, située rue de la Mairie
«léliiiilivement conslilui- ; il esl composé
de l'immeuble Romancer) et
ne constitue, à mon sens qu'un médiocre
17.400 fr. 52 supplémentaire, ce ddicii n'rxi lait p'us
n* 3, et qui est frappée d'alignement. Pour
TOTtl das rasias i payer..
couinie suit :
7.400 fr. (reliquat de l'emprunt
élément
de
défense.
et
l'exercice
1900
se
si
i
lail
lic.ureu.-ieinenl
ôtre exact, il faudrait plutôt dire, au lieu
Président : M. .Masson, maire de liresl.
de 22.400 fr., contracté pour
Le
procédé
ne
m'étonne
pas
plus
qu'il
nt'
par un excédent
i.vt ilisponible
de
de restauration, reconstruction avec agran l'agrandissement du cimetière).
«l':CAI»ITLLATI().\
\'ice-présideiits : M. Kolhind, président
m'intimide.
l.;522 fr. 5«.
dissemenl.
de l-i Chambre de (;ominer('e ; .\i. l'eiii,'am,
D'où en recettes supplémen
Je
viens
de
passer
près
de
4
mois
à
Quim
Nous savons que la propriétaire, Mme Le
A partir de celle ép( • |up, tiin-; les )ii<l- serrélnlre île ia Hourse du Travail ; M.
98
766
Dépenses ordinaires
tairesau budget additionnel... 70.168f.4
perlé ; quatre mois durant, je me suis
Borgne est eu possession d'un arrêté signé
86
133
gels
onl été soldé j pa (îiv? l'xcéilo! il.s do lîoulvard, né^'ociant, rue ilc Siain ; Mnie
Dépenses
extraordinaires.
Or le total des dépenses supévertué à signaler aux contribuables (juim
de M. Courtier, maire, et portant la men52 recettes plus ou inoii, iiiipoilauls cl le Lor/.il, présiJenlc du .Syndicatd^•^ Ouvrières
4(K)
Dépenses supplémentaires
plémentaires
s'élève
à
70.497
perlois,
en
m'aidant
de
faits
et
de
chifirc
tion suivante : «La.maison dont il s'agit
TITtL des Iestas à payer. 2i.:ioi fr. :u dernier reliquat, celui le M. Le Louédec confuctionnuuses.
précis, la mauvaise gestion des finances de
étant frappée d'alignement, les travaux qui
Si'i'ii'lnin: rhiU!,'i' di-s r.'ippolis : .M.
a légué à ses succci. < u:::, alleinl lu
D'où
un
déficit
de
G.328f.53
la
ville.
Avai.s-je
besoin,
pour
ce
faire,
de
y seront faits ne devront pas être conCoude,
député de Brest,
somme
rondelette
de
5
919
fr.
21.
Tous ces crédits figurent au budget ad
forlatifs. » L'original de l'arrêté, daté du
Dans toutes les dépenses engagées au provoquer des réunions publiques el con
Secrétaire chargé de la cori'espondanc :
tradicloiros?
Passons
maintenant
aux
centimes
que
8 août 1912, et transcrit sur le registre budget additionnel, le nouveau Conseil mu
dilionnel del912, quenou.sregretlonsdene
.M. Delpeinl, négociant à Hresl.
La tribune de l'Echo de lirelugneé^&H am
spécial,est écrit de la main de M. Courtier. nicipal n'a voté que les crédits suivants :
l'ancien con.'^eil municipal a dû voler pour
pouvoir publier ni extenso, faute de place
Trésorier : M. Paul Simon, avocat, conplement
sullisantc
pour
faire
connaître
aux
I l ne porte pas, comme tous les autres arSubvention à la .Société des Courses
Ces documents se trouvent d'ailleurs à la insuffisance de i-evenus. De 1904 à 1908, seiller municipal.
poi)ulations
ce
(ju'il
était
de
mon
devoir
de
rêtés du même genre, mention de la signa- comme il était d'usage
t.000 fr.
mairie à la disposition de tout éieclenr ou il n'a pas été volé un seul centime. L'exer.Membres ; les maires de Lambézellec,
porter à leur connaissance.
ture de M. Ollivo, conducteur des travaux,
Subvention au Syndical d'icice l'.H)',» comporte une imposition de Saint-Pierre, Saint-Marc, ou leurs délégués ;
contribuable,
el nous engageons quicon
M.
(Courtier
peut
continuer
à
emprunter
pour la bonne raison que la formule em- nitiative du Finistère
100
ployée par M. Courtier n'est pus semblable
les colonnes de l'Union yl.c/Wco/e, son journal douteruit de la véracité des chifires que 3 centimes, celui lie 1911 une imposition .M. llervagault, adjoint au maire de Brest ;
Subvention au Syndical du
de 1 C. 30 el celui de l'année courante une .M. Gélébart, maire de (iouesnoii ; M.M.
nons publions à y aller en prendre confir
à celle qui figure sur la demande faite, bâtiment
officiel, pour me répondre.
2(HI
llanauer, Fragneau et Alain Simon, conimposition de 5 c. 70.
malion.
sur papier timbré, par Mme Le Borgne,
Tandis
que
dans
les
réunions
publiques
Achatetréparations d'instruseillers municipaux.
« de faire restaurer une maison située rue
les
discussious
portant
sur
des
chiflres
ne
L'imposition
de
3
centimes,
afférente
à
M.
Courtier
reconnaît
avoir
fait
voter
ments deniusique (M. Le LouéLe bureau fait un appel pressant à toute la
de la mairie n" 3. »
peuvent être que confuses, propres tout au par son conseil municipal certaines dépen- l'exercice l'.)09, dont le produit prévu était
dec n'aurait ])as fait celte dépopulation bresloise et invile tous les ciplus
à
engendrer
des
conllits
regrettables
et
Cet arrêté est daté du 8 août. Nous avons pense, car il n'avait qu'une
.ses dont le total n'alteint que la somme de 1.550 l'rancs et le produit réalisé de toyens à donner leur adhésion à la ligue.
à l'organisation desquels je ne me prêterai
de bonnes raisons pour croire que celte musique de 8 musiciens
500
de 4 . 0 0 0 francs, mais, dans son énuméra- 1.011 fr. 11, a été nécessité par le vole Cne permanence est établie à l'Hôtel de
pas, l'exposé de ces mêmes questions, dans
pièce a été établie postérieurement à cette
F'rais d'organisation du Conlion, il a oublié de mentionner les cas- d'une .somme de 2.800 francs pour l'entre
Ville, où l'on peut s'inscrire tons les jours
les colonnes de nos journaux respectifs
date et qu'au contraire elle a été établie cours de la race pie-noire
1.800
tien de l'Etablissement des Ursulines de neuf heures à midi et de deux heures à
quettes de ses musiciens, la machine
présente
i)ar
contre
de
nombreux
avantages
le même jour que les autorisations portant
Je ferai remarquer en passant
occupé par la commune comme bâtiment cinq heures.
écrire, l'envoi des sapeurs-pompiers
dont le moindre est de permettre à la géné
les dates ci-après :
([ue ce crédit sera à peine enscolaire. (Vêtait une charge nouvelle pour
Il est indispensable, devant une question
Lesneven, l'augmentation du prix de l'en
ralité
des
intéressés
de
suivre
jiosément
et
7 Août, ù M. Courrier, pour travaux tamé.
aussi grave el aussi inena<;anle pour les
le
budget
communal.
Il
y
a
lieu
de
lemarlèvemeat
des
boues,
l'augmenlalion
de
la
à
tète
reposée
les
phases
de
la
lutte
engagée
à exécuter rue des Gorgennes ;
.\chat de livresaux bibliothèpour la défense des deniers des contribua
gratification des employés d'octroi, divers quer que celle même année, le Irailement intérêts de la région bretonne, tpi'un mou10 Août, à-Mme Cloirec, pour travaux ques scolaires (pourdonneraux
bles.
travaux aux bâtiments scolaires el com- des employé.» de mairie fut augmenté de vement de solidarité fasse taire tout dissenà exécutei nie Ellé, n" 11 ;
enfants du peuple plus de faciUn peu de patience, que diable ! Chaque munaux, etc.
550 francs et que la part conliibulive de timent ; le bureau a donné re.\emple.
y Octobre, à M. Marain, pour travaux lités «le s'instruire)
4(10
La lettre suivante vient d'être adressée
chose à son temps.
à exécuter rue Leuriou.
A ce propos, nous signalons que le l)ud- la commune pour l'assistance médicale aux élus du département, sénateurs, dépuDons quelques mois s'ouvrira la période
Nous avons fait constater par deux léTotal
gratuite
lut
piesque
doublée.
D'ailleurs
4.000 fr.
gel additionnel ne prévoit aucun crédit
tés, conseillers généraux, conseillers d'armoins la teneur de ces arrêtés. Notre inJe serais heureux si Monsieur Le Louédec, électorale pourlerenouvelloinent du mandat pour l'enlèvement des boues. Or, le crédit ,'exercice 1909 se serait quand môme soldé rondissements :
des
Conseillers
généraux.
vestigation nous a fait découvrir que la maniant les chiflres plus habilement que
)ar un excédent de recettes puisque re.x
« La •< Ligue de Défen.se des Intérêts de
La saison sera alors aux réunions publi- de 12(X) fr. inscrit au budget primitif est
formule d'arrêté venant immédiatement moi-même pouvait me démontrer où il a
cèdent constaté est de 7.448 fr. 07. Mais
Brest el de la région » vous adresse sons ce,
après l'arrêté relatif à l'immeuble Le puisé le reliquat de 5.919 fr. 25 qu'il consi- ques et coulradictoires cl M. Courtier déjà épuisé, et d'ici la fin de l'année il sera
ors de l'établissement du budget, il était pli, le texte de la lettre adressée, par ses
pourra, si le cœur lui en dit, leprendre la dû à M"" Raoulas plus de 600 francs. I l
Borgne porte un arrêté, daté du S octobre dère comme disponible.
nécessaire de prévoir des recettes au moins soins, aux maires de toutes les coinnuiiies
conversation
où
il
l'aura,
d'ici
là,
laissée.
el établi sur pétition en date du
octobre,
faudra
pourtant
bien
qu'elle
soit
payée
Je maintiens ce que j'ai dit au Conseil
du Finistère.
faite par M. Marzin, entrepreneur, pour municipal : « à savoir que toutes les autres
Pour l'heure, qu'il nous explique par quel Comment? Par le vote d'un nouveau cen- égales aux dépenses.
Le comité, dans sa dernière réunion, a
travaux à exécuter rue Leuriou. Celte page dépensesétaient engagées. »
procédé magique il a pu transformer le time, parbleu 1 puisqu'il n'y a plus de réA l'exercice 1911 figure une imposition
décider d'organiser, à Brest, pour le diniiina été barrée d'une grande croix et annulée
reli(iu(il
nel
disponible
de
.'>.91'.)
fr.
21
que
lit alors, en admettant (jue je prenne à
serve disponible.
de 1 c. 30 ayant produit la somme de che 27 octobre, au matin, un grand meetinj?
en conséquence.
mon compte ces 4.000 fr. dont il est parlé je lui ai laissé, en un déficit global de
Signalons également que les 308 francs 700 fr. G5 el qui se rattache à l'augmenta- de protestation auquel il vous prie tout
En tournant le leuillet, on constate que plus haut, y a-t-il oui ou non déficit laissé "12.247 fr. 75 ?
que le conseil avotésau budgelndditionnel tion très légère que (jnelques crédits. Le parlicnlièrenicnt d'assister. Il fait un pr<"iJ. LU LOUIÎDKC,
la formule suivante a été employée pour par Monsieur Le Louédec.
pour l'envoi des pompiers à Lesneven ne iroduit de cette imposition se retrouve sant appel pour que vous agissiez vousla rédaction d'un arrêté daté du 10 août
Voila ce (ju'il faut que les contriijuables
gaiement dans l'excédent disponible de mêmes auprès des élus des communes de
figurent plus sur ce budget. M. Courtier
comme suite à la pétition faite par Mme s^jchent.
votre canton, pour qu'ils viennent nomU d'c.xercice.
s'est donc permis do modifier à sa guise
Cloarec en date du 7 aoAt.
Voilà ce ((u'ils voudraient probablement
Vient à nouveau, à la page suivante, la savoir |aussi : C'est le geste que fera Monce queses conseillers avaient volé. RetranQuant au budget primitif de 1912, il se breux, euxaussi, assister ù cette munifestapétition de M. Marzin et, cette fois, l'arrêté sieur le Député.
cher, supprimer, modifier, tout lui est per- trouve grevé d'une imposition de 5 c. 70, tioii pour ila ^défense des intérêts primordiaux de la région ».
est daté du !/ octobre, non plus du
Nul n'ignore qu'il a acheté pour l'agranmis; le vote du conseil n'est pour lui que devant produire la somme de 3.100 francs
Le Comité est en pourparlers avec des
8 octobre.
dissement du cimetière 882 mètres earrésde
de pure forme. Est-ce ùdire pour cela que
Cette imposition est la résultante de la parlementaires pour ce grand meeting, ipii
M. Courtier soutiendra-t-il, après cela, terrain de plus qu'il n'y était autorisé. Ces
les 308 fr. n'aient pas été payés ? Que décision prise par l'ancien conseil muni- .sera une des inanifeslation les plus impoque l'autorisation de construire accordée 882 mètres, il les a laissés derrière te mur
nenni ! Ils onl été payés sur un chapitre cipal d'allouer des fournitures gratuites à santes (pii auront eu lieu dans In ville de
à Mme Cloirec a été accordée réritable- neuf qu'il a fait construire, ils sont inutilisaSous ce titre, l'Echo de Bretagne a quelconque du budget primitif de 1912. tous les élèves de la commune fréquentant Brest.
ment le 10 août ? Tout le monde sera de bles et nous coûtent 1.764 fr. Qui va payer
Le Secrétaire,
notre avis en pensant qu'elle ne l'a été la note ? La Ville ! à moins que Monsieur Le démontré à .ses lecteurs, dans plu.sieurs C'est un procédé qui n'est pas régulier el les écoles publiques, et pour lesquelles un
E. DELPEI.NT.
(ju'après le 1"' octobre. E l nous avons, Louédec veuille les acheter, je les lui ven- numéros, quels sont les procédés instaurés sur lequel nous attirons l'allention de l'ad- crédit de 3.(KX) fiancs a été voté. Celle
nous le répétons, de bonnes raisons pour drai sur la base de 1 fr. 50 le mètre carré, à la mairie de Quimperlé depuis que les ministration.
décision de l'ancien c(>nseil municipal
du S y n d i c a t do.s U n s n i (irois
croire que l'autorisation accordée à Mme soit 0 fr. 50 de perte.
intérêts communaux ont été confiés, par
L'opinion de nos compatriotes sur les
honore et il ne se trouvera personne pour
du r n r r o u d U N o m c i i l d e UrcNl
Le Borgne ne lui a été délivrée également
Voilà ce que j'avais à dire en réponse aux .surprise, au conseil municipal que dirige jualilés d'administration de M. Courtier
en blrtmer.
a u sujcl du d«<parl do r K s c a d r c .
après le I " octobre, à la suite de l'incident allégations contenues dans la .sommation. si bien le maître absolu Courtier.
est déjà laite. Si .M. Courtier lui-même
Avant de terminer, nous tenons à asLe syndicat du commerce de liquides en
soulevé par VEcho de Bretagne.
Je ne veux pas engager de polémique. J'ai
Le comble, on le sait, a été poussé par s'obstine à ne pasvouloir reconnaître que surer nos lecteurs que tous les chiffres ci- gros de l'arrondissement de Brest, réunis en
autre chose à faire que d'écrire des articles
notre saint homme de Maire, en séance du
e déficit dans lequel se trouvent les tleux dessus sont absolument sincères et vérita- assemblée générale le 10 octobre 1912 :
de journaux. J'ai attaqué en réunion publiConsidérant le tort considérable (causé ù
que l'administration de M. Le Louédec. Je Conseil municipal — et l'Union Agricole judgels qu'il a élaborés sont imputables bles. Que celui qui en doute aille se renl'ai prié d'y assister. Il m'a répondu que, lui a fait chorus en forçent même la noie à lui même, les contribuables Quimperlois seigner à la Mairie de (Juimperlé. S'il est Brest et ù .sa banlieue par le départ de l'espuisque je n'avais pas de mandat, il n'avait — jusqu'à prétendre que M. Le Louédec ont compris, par contre, <jue la faute en de bonne foi, il devra ivconnullre ({ue la cadre pour la Méditerranée ;
Considérant que si l'on doit s'incliner par
ui avait légué les finances de la commune incombe à lui seul avec l'assentiment de commune a perdu en M. Le Louédec un
Ainsi que nous l'avons annoncé dans pas de compte k me rendre. Eh bien ! mainabnégation patriotique devant une mesur."
tenant,
j'ai
un
mandat
et
j'ai
des
comptes
à
dans
une
situation
obérée,
alors
que
le
son
conseil
municipal.
excellent
admini.stral.eur.
notre dernier numéro, M. Courtier nous a
rendre. Qu'il provoque une réunion publi- dernier budget relevant de l'administraPuisque M. Courtier a cherché à faire
La difiérence entre la siluation dans dictée |)ar des raisons d'ordre supérieur,
adressé, avec prière d'insérer, une copie de
l'Etat de son côté ne saurait se dérober au
que et contradictoire où il pourra m'atta- tion de M. Le Louédec s'est soldé par un msser M. Le Louédec et ses collaborateurs
aquelle M. Le Louédec a trouvé les fi- devoir d'indemniser, dans lu mesure ou cela
la lettre qu'il a fait publier dans l'Union quer. Je ne l'imiterai pas : j'irai lui répondre
reliquat disponible de 5.91^ fr. 21.
e l'ancien con.seil municipal pour de nances de la ville en 1904 et celle dans est possible, les Intérêts de Brest et de !a
Agricole du 17 courant. Celte lettre ne et me justifier devant mes électeui-s.
M.
Courtier,
dans
un
but
qu'il
n'avouera
mauvais
administrateurs, il nous a paru laquelle il les a léguées à ses successeurs Bretagne si gravement lésés el sacrifiés aux
nous est parvenue que par le courrier de
Je l'attends.
10 heures, vendredi dernier, au moment
Recevez, Monsieur
le Gérant,
mes jamais, avait pris comme jioint de départ intére.ssanl de mettre sous les yeux des en i y i 2 accuse une économie de 11.4O5f.05, intérêts de la France ;
de son budget additionnel la somme, de contribuables le résultat de tousies budgets réalisée en huit ans. Il avait trouvé un déConsidérant : 1° que dépuis de longues
011 nous allions mettre sous presse, el, salutations.
21.301 fr. ati, montant des«re.stes à payer»
ui onl été gérés par eux.
«nuées, Bresl réclame U réalisation, dans
A. CoVRTIEH.
ficit ; il lai.sse xine situation prospère.
pour cette raison, nous avions dû en renque, parviennent chaque jour du théâtre
de pi. Le
Allôh I Allôh I
Il
S
I
LE PAIN CHER
I
Ligue de Difense
des Intérêts généraux
de Brest & de la Région
A propos falionement
Escamotage et Gaspil age .
à la Mairie de Çuimperli
Uno Lettre de M. Courtier
son a d m i r a b l e i-ade, de grands travaux d'où
tillage q u i l u i p e r m e t t r o n t de j o u e r 1er rôle
de g r a n d p o r t européen auquel la nature
l'appelle ;
•2» Que les p r o p o r t i o n s croissantes en vue
de la vitesse des paquebots, imposent
Brest comme le seul p o r t français capable
de sauvegarder nos intérêts m a r i t i m e s et
commerciaux ;
3° Que, envisageant la question à ce p o i n t
de vue, les intérêts généraux de la France
se confondent avec ceux de Brest et de la
Bretagne ;
4" Enfin, qu'au m o m e n t ou l ' o n sacrifie
d'un côté Brest et la Bretagne à l'intérêt nat i o n a l , on ne d o i t pas de l'autre, s'arrêter
aux intérêts p a r t i c u l i e r s q u i se sont opposés
j u s q u ' i c i à l'œuvre nationale et p a t r i o t i q u e
de Brest transatlantique :
Emet le v i c u que le Gouvernement réclame
p r o m p t e m e n t aux Chambres les crédits né
cessaires à l'exécution des premiers travaux
réclamés p o u r le p o r t de Brest et à la rcfec
t i o n de la ligne de Paris à Brest.
Décide de transmettre la présente dëlibé
r a t i o n à la Chambre de Commerce et au
i : o m i t é de défense des intérêts généraux de
Brest et de la région, q u i seront chargés de
les faire valoir près des p o u v o i r s p u b l i c
A G R i n i L T U R K
l.a situation
agricole
Bonne température d'automne, bien q u ' u n
pi'u pr(^uiaturément froide. Les travaux des
i liamps se poursuivent activement et dans
de bonnes conditions. La c u l t u r e se hâte
d'eflcctuer labours et semailles ; i l en résulte
que les battages sont un peu négligés et que
les marchés sont peu approvisionnés. Aussi
cette semaine, les cours d u blé ont subi une
hausse que r i e n ne paraissait j u s t i f i e r : on a
a t t e i n t , à Paris, les cours de 2t< à 29 fr. 75.
Ces j)rix sont évidemment exagérés, sur
lotit si l'on lient compte des statistiques
récemment publiées par le ministère de l'.V
g r i c u l t u r e , q u i nous affirme que la France
a r o f o l t é , celte année, assez de blé p o u r
suffire à sa consommation. I l y a donc lieu
de pens(!r que l'on reviendra aux cours de
à •27 flanc s, dès que la c u l t u r e aura un
peu mieux approvisionné les marchés.
I.a coupe et la rentrée des regains, l'arra
lachage des betteraves et des pommes de
tiTi-e ont été favorisés par le beau temps. I l
se confirme que la récolte des pommes de
terre est parliciilièrement abondante, mais
l'on craint une mauvaise conservation ; c'est
i;e q u i explique le peu d'empressement des
acheteurs ; les marchés sont à peu près nuls
et les cours restent côtés très bas, la bol
lande d u Gùtinais 95 francs les l.tMKl kilos
i f i i d u s ; la early rose GO à 05 fr. départ ; la
Heauvais 15 à r)5 fr. départ.
I.e N o r d et l'Ouest sont t o u j o u r s abon
d a m m e i i l pourvus en pommes à cidre, et les
très bas p r i x 18 à 19 fr. les 1.000 kilos [ua
tiqiiés la semaine passée ont a t t i r é quelques
ariieteiirs. On traite de 24 à 28 fr. en SeineInférieure ; 29 à 32 fr. dans l'Eure et j u s q u ' à
42 fr. dans la vallée d'Auge.
Les vendanges se t e r m i n e n t avec d'autant
plus d'activité que l'on redoute les gelées.
Le .Midi a eu une bonne et belle récolte ;
partout ailleurs on a généralement lieu
d'être satisfait ; les vins seront fragiles et
d'un taible degré alcoolique. On traite dans
le Midi de 18 à 2:{ fr. l'hectolitre.
GEORGES BONNEFOY.
Informations Militaires
I.e c o n t i n g e n t de 1 9 1
Le nombre des jeunes gens q u i ont été
incorporés s'élève à 230.000, en augmentation de lO.WJO sur le contingent de 191J.
Les subdivisions de région où i l y a une
augmentation notable d'appelés s»nt les
suivantes : .Marseille, 503 ; Seine, 2' bureau,
;i97 ; G u i i i g a m p , 394 ; Saint-Omer, 360 ; la
Hoche-sur-Yon, 352 ; Bennes, 345 ; L i l l e , 343;
Seine, 1 " bureau, 338 ; Brive, 263 ; Nantes,
203.
Par contre, i l y a d i m i n u t i o n dans les
subdivisions suivantes : le Havre, 193 ; Ulois,
145 ; Mayenne, 130 ; .Nevers, 108.
Si l'on examine le tableau des appelés par
r é g i o n , on constate que toutes les régions
ont un nombre d'appelés plus considérable
en 1912, sauf la .'{' région, q u i est en d i m i n u t i o n de 89 unités.
Les 218.000 hommes q u i représentent le
contingent du service armé, déduction faite
de 2.000 hommes passés à la marine, ont été
répartis de la façon suivante :
Dans l'infanterie, y c o m p r i s l'infanterie
coloniale, 150.840, au lien de 143.135 en 1911;
Dans la cavalerie, 20.855, au lieu de 18.495
en 1911 ;
Dans l'artillerie 32.200, au lieu de 32.7(15
en 1911 ;
Dans le génie, 0.,'570, au lieu de 5.075 en
1911;
Dans les troupes de l'aéronautique m i l i taire, 70<i ;
Dans le train des équipages 4.405, au lieu
•le 5.345 en 1911.
iVouvelles Markimes
L n i r é e du port de Bénodet
Les navigateurs sont informés que la
bouée sphéro-conique peinte en rouge, surmontée d'un voyant conique, du Coq de
Bénodet, d o n t un précédent avis a annoncé
la d i s p a r i t i o n accidentelle, vient d'être
remplacée.
Lilloral de PenmarcMi
Les navigateurs sont informés que la
bouée à fuseau peinte en n o i r avec voyant
c y l i n d r i q u e de Basse Spinec, q u i avait été
relevée p o u r réparations comme un précédent avis l'a annoncé, vient d'être remise
• n place.
CKR8NPERÉ610HâL
et Locale
Postes et Télégraphes
M . i'édeneau, coniinis des postes i
y u i n i p e r , est nommé commis principal i
Vannes.
M m e (Jilet, receTen.se des postes i
Clohars-Carnoët, esl nommée dame em
ployée ù Lorient, sur .sa demande.
O U \ m P
E R L É
.A l a m a i s o n d ' u i - r è l .
A la dernière
heure nous apprenons que M. A c h i l l e L o i r e
Agé de 53 ans, gardien-chef de la maison
d'arrêt de Qnimperlé vient d ' o b t e n i r sa mise
à la retraite après 31 ans et 0 mois de bons
et loyaux services tant m i l i t a i r e s que civils
M. L o i r e , q u o i q u e Champenois d ' o r i g i n e
était devenu Quimperlois de cœur et ses
premiers mots en apprenant, ce m a l i n , q u ' i l
allait nous q u i t t e r pour aller v i v r e sa ino
deste retraite aux environs de Clairvaux son
pays natal furent : <> J'aimais bien et j e re
g r e t t e r a i la bonne petite ville de Quiniperlé
q u ' u n heureux hasard me désigna p o u r mon
p r e m i e r et dernier poste de gardien-chef le
I " octobre 1901 ».
Depuis cette époque, malgré un extérieur
un peu rude (juc l u i imposaient ses fonc
lions, i l cachait u n excellent cœur q u i ne" l u i
a valu que des sympathies même auprès de
ses pensionnaires passagers.
F o n c t i o n n a i r e intègre dans toute l'accep
tion du m o t et j u s t e m e n t apprécié de ses
chefs a d i n i n i s t r a l i f s e l j i i d i c i a i r e s , i l laissera
56, rue Kéréon, QUIMPER
tant auprès d'eux qu'auprès de nos concitoyens le m e i l l e u r souvenir.
h'Echo de. Hrelmjnc s'associe aux per
T o u s le.s \ e n d r e d t s , COIVCAKiXE.VU
sonnes de .M. et -M"" L o i r e p o u r leur sou
2, QUAI D'AIGUILLON, 2
haiter une bonne et longue retraite.
JOHN
CROSSLEY
Chirurgien-Dentiste
(PUKS
M.M. I J e a u f r è r e et ( à i i b u u r g , p h a r m a ciens, préviennent leur clientèle qu'à p a r t i r
du 2 7 o c t o b r e leurs pharmacies seront
fermées à t o u r de rôle, les Dimancht-s cl
jours fériés, de m i d i j u s q u ' a u lendemain
matin.
A v i s . — La Toussaint tombant cette
année un vendredi, le marché hebdomadaire se tiendra le lendemain samedi 2 novembre.
_
. V e e i d e n t m o r t e l . — Vendredi soir, un
échafaudage installé pour la restauration de
la maison Peyron. q u a i Urizeux. a brusquement cédé sous le poids de trois personnes :
M.M. A u t l r é d o u , maître couvreur. Chasset u i l i e r et C o u r i e r , couvreurs. Cet accident
est dti à la r u p t u r e d'une coi-de. M. G o u r i e r ,
q u i se t r o u v a i t en face de l'embrasure d'une
fenêtre eut le temps de s'y accrocher. Ouant
M.M. Aufirédou et Chassetuilier ils vinrent
s'abattre m r le sol de la cour d'une hauteur
de 10 m. 50.
.M. .VulVrcdou en fut q u i t t e avec de m u l t i ples contusions et une fracture de l'épaule.
Son état n'insjiire aucune i n q u i é t u d e ,
y u a n t à M. Chasseluillier, i l fut tué |)Oiir
ainsi dire sur le coup. Ce dernier était âgé
de 04 ans.
Les obsèques ont eu lieu, dimanche
a p r è s - m i d i , au m i l i e u d'une nombreuse assistance.
C o n t r a i n t e . — Le nommé I l a m o n "V'ves
Louis, âgé de 25 ans, maçon, q u i avait à
p u r g e r une condamnation prononcée contre
l u i , par défaut, p o u r i n f r a c t i o n à la police
des chemins de fer, a été arrêté par les gendarmes en vertu d'une c o n t i a i n t e jiar corps
et c o n d u i t à la maison d'arrêt pour y être
détenu pendant 10 j o u r s .
E t a t - C i v i l . — A'aissfincfs. — Néant.
Publicalians de mariages. — Félix Grévellec, chaudronnier à r . \ r s e n a l de L o r i e n t et
Maria-Yvonne Guégan, couturière à Qnimperlé à Quimperlé.
Mariages. — René-Gabriel Le Roy et
Jeanne-Louise Guéroué, s. p. à Quimperlé.
Décès. — A u g u s t i n e - M a r i e Rafllé, 41 ans,
bouchère, veuve de Yves Le Gloanec, 23, rue
.Mellac. — A n o n y m e B o u r h i s , rue Bisson. —
Benoit-Auguste Chasseluillier, 04 ans, couv r e u r , époux de Marie Le Gofi, r o u t e d u
Faouï't. — René Guéroué, 47 ans, manœuvre, 3, rue de l ' A b a t t o i r . — M a t h u r i n F r a n çois Kervarec, 50 ans, cultivateur, époux de
Marie-Anne P>ioual,2 Kerenforêt. — JosephJean-Louis Pelletier, 23 ans, cultivateur au
Ouinquis.
r U É . M É l L.\. - I>élil de eliassc.
Samedi dernier, trois jeunes gens, d o n t l ' u n
était armé d'une carabine, se livraient au
plaisir de la chasse. Uune poule appartenant
M. Even, de Kerlescouarn, leur servit de
cible et fut tuée.
Plainte ayanl élé portée contre eux, procè.s-verbal leur a été dressé jiour délit de
chasse.
iVIlZA.VO. — %'iolciices. — Dimanche
après-midi,
un sabotier de Pont-Scorfl',
nomme Kervarrec Jean-Marie, qui travaille
K e r g o u h i n , en Arzano, était couché dans
une cabano quand s u r v i n t le n o m m é Courtet,
de Croussenlon, q u i l u i réclama une somme
de l frariC". Kervarrec ne pouvant la l u i
emettrc Courtet se mit en devoir de dém o l i r sa cabane et il l u i lança un r o n d i n qui
a t t e i g n i t à l'épaule gauche mais sans le
blesser.
Kervarrec a p o r t é plainte à la gendarmerie
contre Courtet q u ' i l accuse en outre d'avoir
proféré des menaces à son égard.
i>élit d e c h a s s e . — -M. Guyonvarch, propriétaire au château d u Laz, a y a n l élé prévenu i)ue cin(( chasseurs avaient été aperçus
chassant sur ses terres, a porté p l a i n t e c o n t r e
eux à la gendarmerie q u i a ouvert une
enquête.
M O E L A . V . — E n t r e v o i s i n s . — La femme
Colin, de Kerhuitaine, et sa voisine la femme
Robet, de Kersécol, ne s'arrangent pas à
merveille. Elles ont d'ailleurs un diflerend
au sujet d'une somme de 5 francs. Un échange de mots aigre-doux, accompagné d'un
crêpage de chignons a été le résultat de l e u r
désaccord.
La femme Colin a porté plainte à la gendarmerie.
% o i d e p o n m i e s . — A y a n t été à ditlérentes
reprises victimes v i c t i m e de vols de pommes
M . Gouyec fJulien, de Kérsécol, a porté
plainte à la gendarmerie contre une voisine
sur laquelle ses soupçons s'étaient portés.Interrogée, cette femme nie les faits q u i l u i
sont reprochés.
E l u l - c i v i l d r .Wol'luii.
.\aissanccs.
Loarer
Catherine. — Scavincr Olive-Marie-Louise. —
Joliff Vyes-Atexandre.
liri^'aiit IJlisa. — Le
Delliou l'rancis-Josepti. - .Scaiiion KrançoisI.ouis.
Le Culullic rieniuilette-Josépliine' —
Garnier Auguste-François-Marie. - .lalTré/.ou
Suzanne-Françoise. — .\n(lré C.Iémenoe Marie
Anne. - Lozaclimcur C'.étinu-Marie-.losépliinc.
Le I)(i!uf Gustave François-Louis. — Mallel .loSpph-Marie. - LozachiiiPur Yves-Marie.
Bnlan
François-Joseti.
Mariages.
Le l'ennec Josepli-.Marie et .Nogèrc
Marie-Louise-Marie Jeanne. — Le Mestric PaulEniile-Désiré et Pénelliou Aiine-Marie Joséphinc.
— Hriec l'ierreJean et LelSourtiis Murie-.losèplie
l.éonie.
Nicolas Knné, V mois. — .Nicolas
doute ne donnera pas lieu au.v complications
ternntionates si redoutées au début de la crise.
Pour toutes ces raisons l'attitude de notre marché a donc été aussi satisfaisant que possible
éi/ard aux circonstances, un moment même,
pouvait craindre que la reprise ne fut trop vive
hdtive ce qui eut été dangereux par ta suite, heu
Compter sur ses amis, sur ses parents, sur
reusement on s'est calmé, ce qui a permis de bien
l'Ktat, pour assurer le pain de ses vieux
consolider les avantages acquis.
Comme il vient d'i'tre dit, c'est sur te marche au jours est le comble de l'imprévoyance. Bien
plus avisés sont ceux qui s'adressent à l'Ascomptant, qu'on a constate la meilleure fermeté
.\otons parmi les titres en excellentes dispositions surance sur la Vie.
tes actions de l'Industrielle l'oneière, libérées seu
Maisquelle que soit la combinaison choiie
tement de moitié qui sont en progrcs à Chl,^.
il importe de ne s'adresser qu'à une Société
Il esl à remarquer que tes fluctuations récentes lirésentant des f,'aranUes exceptionnelles de
du marché n'ont nullement affecté ces titres dont solvabililti. Ati premier rang de ces Sociétés
les cours n'ont pas été, ces derniers temps, infé
se place la C o m p a g n i e d ' A s s u r a n c e s
rieurs à G'.iOfr.
G é n é r a l e s s u r la V i e (entreprise privée
.1 la Ilourse de Lille, si te compartiment d'
eharbonnaijes n'a pu échapper à ta bourrasque assujettie au contrôle de l'Etat;, 87, rue de
qui s'esl abattue sur te marcla' de Paris, du moins Hiclielieu, à Paris, fondée en 1819, la plus
on eonslale que les actions Vendin tei Hethune ont ancienne des compagnies françaises et dont
été résistantes, .\otons quelques avancements dans le Fonds de Garantie est de 8 3 5 m i l l i o n s
les travan.v de .turface. te monlai/e de ta machine entièrement rc^alisés, dépassant de 2 B 0 m i l d'extraction, par exemple, est termine ainsi que
lions celui de toute autre Compagnie francelui de la carcasse de t'appareil ventilateur et
la machine à vapeur qui actionnera celui-ci. Pour i.aise. Fnvoi g r a t u i t de notices et tarifs sur
lemande adressi^e à M. C O I X I O U , agent
assurer le complet fonctionnement de la machini'
[irincipal, I, rue des licoles, Quimperlé.
d'extraction, il ne resie plus qu'à installer les lu
gauteries qu'elle réclame cl pour mettre en état lie
service l'appareil ventilaleur, il ng a plus qu'a
poser tes tugaulcries d'amené île rapeur et d'écliap
pement. ces deux installations sont menées aussi
rapidement i/uc possible.
Itappclons que lu 'souscription de l'emprunt de
32.000 obligations, de 500 francs I 0 0 net
hg
Chaque boUc 1 kilogramme, brut ou pothèquc de ta C.ic du Chemin de fer des .\lpes
octobre l'Jli.
iiel, S U C R E D E L U . \ E C H A N T E N A Y ; liernoises eesl /i.ré au
L'émission esl faite par le ('.redit français, /<
chaque boite 1 k i l o g r a m m e , brut ou net,
Société centrale des Danijues de Province et diverse
S U C R E S C I É , . R A N G É , C H A N T E N A Y , banques en France el à l'étranger.
Il est pi'ul'ondéinciil douloureux de songei' «
Ces ohlii/ations rapporteront un intérêt annuel lotis ceux affligés (te hernies ; niais il est plus
carton cuir, boites brunes (<{enre P A R I S )
de 20 fr. nel de tous Impôts uctuels .s(i/.<.sf.< et pénible, encore de constater combien tous ces
contient un ticket prime.
français ptigable pur semestres tes :)0 juin el :U braves ffeiis sont si souvent martyrisés, écor30 tickets prime donnent droit à 1 kilo- décembre de chaque aunée au cours moijcn du cliés à vif par (le véritables bandages de torture ;
hange .fur ta suisse le jour de l'échéance au siiye les aiiln.'s voient leur hernie se déveloiiper et
g r a m m e , brut ou net S U C R E C H A N •ciutrc (les proportions énormes,
••iocial à Iterne dans les éhililisscment.'' énielleiir
TENAY.
l'oiiniiioi continuer ainsi, pourquoi n'appelezet dans tes hiinqucs ai/rées par la compia/nie. I n
Le S U C R E C H A N T E N A Y e.st le plus premier coupon intercataire de deux mois sera voiis pas à votre aide le renommé spécialiste
M. ijlaser, de Paris. C'est lui l'innovateur d'un
:era détaché te 31 Déeemtire l'JI2.
blanc, le plus pur, sucre le mieux !
nouvel ;ipp;u'eil pour le traitenient des hernies,
L'I-Uat de llcrne te plus riche de toute ta .'iuisst
loO l'ois plus el'licace ijuc ceu.x existant à ce
et dont la fortune (dteint deux millions et demi ga
ranlit (loi du Ki juillet 1012) le paiement des cou- jour. Sans sous-cuissc cl sans ressort il se
pons jusqu'à remboursement gaijé pur une h!i[w- l>urte jcjiir cl nuit, sans gène ni interruption de
thi'ique de second rang e.cetusive sur toute la iujne travail il est le plus solide.
l''«ite K é p i i b l i c n i n e . — L'Union
Agricole le l'rulimjcn à llrigue et ses riccessoires.
l'ourciuoi alors continuez-vous à vous servir
Au taux d'émission le placemcnl re.<sorl à I.IO
le ces mauvais bandages puis<|ue, vous pouvez
nous reproche amèrement de ne n'avoir pas
publié le compte-rendu de la manifestation 0 0 net d'imp'lt net de hais impôts sons conipler ta vous procurer l'appareil de M. Glaser, dont la
supériorité a élé reconnue par les sonmiilés
républicaine q u i a eu lieu à ChAteaulin, le prime de remboursement. On souscrit dès mainte
nant, en l'naice à Paris : au Crédit /•'ranctiis, iy
médicales. Les hernies les plus tenaces s'incti13 courant, sous la présidence de M. Le
rue rue de Chalcaudun. à la .'Société centrale de nent el s'cn'acenl devant son imposante efficaBail. Sans l'abondance des matières nous banques de Province, au Crédit l'one.ier d'Algérie cité.
l'eussions fait. Maintenant c'est un peu l a r d . et de Tunisie, •/.'>' rue Camhon. à la banque .Suis
l.es noms de pursoniKîs guéries ci-après, puEn t o u t cas, cette fête nous l'avions an- et Françidse. 20 rue Lafai/elle. .1 .\iincg à la bliés avec autorisation, prouvent d'une façon
.Société
.\ancéienne
de
Crédit
industriel
et
de
d,
ibsoliie cl irrcfuable, ce i|ue nous affirmons cinoncée dans n o t r e n u m é r o d u 4 c o u r a n t , et,
par n o t r e p u b l i c i t é , nous avons p o u r n o t r e pots, place Saint-.lean. Les publications exii/ées dessus
pur la loi oui été faites dans le ISulletin aes
M. Lorsel à X'illeneuve .St-Vislre, parBarbonne
p a r t c o n t r i b u é à son o r g a n i s a t i o n ,
nonces téi/ates el oldii/ahiires le .V'J seidembn
lyel (Marne).
L'Union Agricole peut-ells en dire autant
dernier.
St. Millet
jardinier à .N'anteau sur Lunain,
Nous avons consulté la collection des derjiar .N'enioui's (."seiiie-ct-Marne).
Z,'Informatciir
Financier,
16.
liue
Drouot,
Paris
niers numéros de ce j o u r n a l et n'y avons
M. Bevé garde-cliamptMre à Bernières, par les
s^i'^m^'xaEMEsaamtÊÊÊaiimi
rien trouvé.
,\ndetys (Ftirc).
M. Beaiifrère a encore |)erdu là une bonne
I.e Spéciali.ite
M. flayer Aufîtisle à Torié (Sartlie).
CATTBT, Pli"' ,
M. I.ebouc lils, chemin Vicinal de Change à
occasion de se taire.
,Ruo d'OrcbieB,&
aval (.Mayennne).
I St-Amand.lai-EauK (tin), »nvoi« gratlt le mojen I
I rndlvaldi'!'ctl«biàrrai*st'ri'iiqnelqac> j o n r a I
Mme t.aigue, à St-Solen parUinan (Coles-duI (le Douleurs, retard, suppressions ou toutes |
.Nord).
lirrôeularilcs inquiétantes des époques.
(Lui écrire ie cas en confiance).
Louis lils Cantonnier à Sl-r.illes(llle-et-Vilaine.
M. Pouli<|uen .Main, A St-Thégonnec (Finistère).
Audience du '22 octobre
D'apr("s ces guérisons vous voyez, lecteurs el
Les braconniers dont les noms suivent
lectrices, soutirant de hernies, qu'il ne faut pas
ont été condamnés p o u r pêche avec engins
infondre la haute science de M. Glaser avec
prohibés la n u i t : Le Reste à 30 francs
certains charlatans et commis voyageurs justes
d'amende ; Gannat à 10 amendes de 30 fr. ;
bons à vous vendre un objet de peu de valeur à
Le NoOn à 5 amendes de 30 francs ; Pelleter
les prix formidables. .N' achetezplus de bandages
IL
f
i
I
L
U
U
2 amendes de 30 francs ; Lucas à une
avant d'avoir vu M. Glaser dont le dévouement
est apprécié de tous, et (jui vous recevra luiamende de 30 francs ; Cléro à 15 amendes
Un écliaiiiii;on dt la fsutiri Cua
même de 8 II. du malin à -1 h. du soir à :
de 30 francs ; Gournay à 12 amendes de
sralis
PO.M -I,'.\BBI', le 7 .Novembre. HOtel du Lion30 francs ; P o u l m a r c h à 10 amendes de
Peut être 'ionni dani da cafi,
d'Or.
30 francs ; Richard à 10 amendes de 30 fr. ;
•Ut !hé, Jii hil, de la liqueur, de
(JUIMPEHLF, le 8, H(itelldu Lion-d'Or;
la bière, de l'eau Oi de la nourBouédec Louis à 4 amendes de 30 francs ;
(^)UIMPi:n, le 9. Ilètel de l'Kpée.
riture, sans que le buveur ail
Bof'dec Guillaume à 4 amendes de30 francs;
besoin de le savoir.
BlU-ST, les 10, 11, H()tel de France.
G u i l l o u à 3 amendes de 30 francs ; Uoulben
Cll.\TF.\i:i.l.\', le jeudi U, Grand'Maison.
UtiitMiji iu untriUtoiu I
12 amendes de 30 francs ; Goalec à 3 amenUOL'.MINF.NL'Z, le L"), ll(>tel de Fiance.
i.a PuiiUre CO/.A produit
La brochure explicative est envoyée contre
des de .'iO francs ; Goalabré à 11 amendes de
reflet men'cllleux de dégoûter
1 ivroKiic de l'alcool iblère, vin,
franc en timbres adressés à M. GLASKH,
30 francs ; Naviner à G amendes de 30 fr.;
obsluthe, fie.) I.a poudre Coin
Boulevard Sébaslopol, 38, Paris. Maison princ
opère
«I
silencieusement
et
si
Le Moigne à 3 amendes de 30 francs ; Pa.spale à Courbevoie.
sftromenl (jue la femme, la
sœur 011 la lille île l'inli'nessé
cot à .'! amendes de 30 francs ; Bleuzcn à 50
peut lu lui donner .i son Insu et
amendes de 30 francs ; Le Dreinge à H
sous qu'il ait jamais iie.soiD de
iwivcir ce 'l'.ii u c.aisé le clianamendes de 30 francs; Le M o i n g à 5 amendes
(.-///i.W/.VS DE EER DE L'ETAT
Rcmcnt.
de 30 francs ; T a n g u y à une amende do 30
I.a loiKtrc COZA u récouclf r a n c s ; Hervé à une amende de 30 francs;
IIA des milliers de familles,
'ÈTE
DE
LA
TOCSSALXT
.•>ii'.iv6 des millicrt; d'hommes
Coui'flic à une amende de 50 francs r t N i do In lioiile et du d^^shonncur
colas Maria-Anne à une amende de 30 francs.
el eii a fait des clloyt^ns vi^-oudes l!i'n<i.es d'.-iiïalrc capnble"-; elle a
Prolonijation de la durée
Pour pêche à l'aide djiine ligne noltante,
plus d'un jeune homme >ur le droit ciiede validité des billets à prix réduits
la n u i t , Bouzec Jacques s'en tire avec deux
iirolo!i;-é
p us un années
m!p du lonhiur
In vie de beaucoup de personnes.
tiancs d'amende, soit au total 139 condam1 l'occasion de la Féte de la Toussaint, les couU Iiiuisoii oi:i pjssùd.: Cftt.: iii. i-vt lll< u.;. iioudri;
pons de retour des billels dits de Bains de .Ver
nations r a i ) p o r t a n t a u x agents vcrbalisateurs
envoie grolultemonl à tous ccux qui en font la
valables normalement 2 el 4 jours),
d'Excursion
dtnijiidc an livre de renorciem«i.l.i v; ur. C-i-lian780 francs.
llllpii. Cnrrespondsnce en Français.
•lu .Vont Saint-.Michet el à Uuelgoal, délivrés du
La durée de la contrainte p a r c o r i ) s a clé
'6 au 31 oclot>re. ainsi que les coupons de retour
M. Cii.vjii.KS l..\I.Nriv,
ordinaires ( Ç,rondes lignes), délivrés d partir du
fixée du m i n i m u m 8 j o u r s à 38 j o u r s .
il la Vt:rrcne de l'ortieux (Vo-'^yi» crlt :
'6
octobre, par toutes tes adres du Réseau de l'Etat
— Flagrant délit. — Pi>éventi d'outrages à
ti'jnes de Normandie el tfe Bretagne), à destination
\ otre inervi illiHi.v C()/.ii n d<'');oul( iin.plil^
agent G u i l l o u et d'ivresse, Goraguer Barment mon ml : 11 n'est plus du lout I lÙMlr. On
le ce Réseau, seront valuljles jusqu'au 6 Novembre
laisse trali -r piirtont des litres d'eau
il n<
thélémy, 31 ans, portefaix, .sans domicile
inclusivement.
les rosar.l s.MilenienI plu : c'est mtrvi'illoux.
En outre, les billets d'aller el retour ordinaires,
fixe, douze fois condamné, s'est vu i n l l i g e r
Aussi je in jinpresse de voii lénioi(.:ncr toute ma
ilélivrés par les gares du Réseau de l'Etat (lignes
recoiin!iiss< iiici.', .'ilnsi (pie lu ilame de mon ainl.
mois d'emprisonnement p o u r le délit d'où
de Sormandiç el de Bretagne}, pour les gares des
laquelle me charge de von icmercici-. Dlen des
trages et 5 francs d'amende pour la contra
personnes pourraient être lieun u^es, si elles conRéseau de l'État (liynes du Sud-Ouestj et d'Orléans
naissaient cette merveilleuse poudre Oizn, mais
ou réciproquement, auront leur durée de validité
vention connexe d'ivresse.
je vous promets d'en fiiire pari à toutes le-- purprolongée
dans tes mêmes conditions que les billels
soiines qui en auront besoin ".
iniliqués ci-dessus.
l: poiiilri Ccii lit gsrintli InoUintne.
V i e n t de P a r a î t r e !
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Ktnde (le M' P é a i i d e P o u U l l } ,
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donnent gratulteraent le livro d'attoslaUonB à
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Jean-Alai»-Arthur-Chi'istoplie. — Troadec Anne
Marie. — Sinquin Jean-Marie-llenri. — Bénol
S C A E K . — . \ c c i d e n l . — Les enfants
linuna-Henriette-Marie. Tallec Sébastien
Lessard, d u village de K e r j o , en Scaêr, gai
Guillaume-Yves. — Peron Marie-Louisc-Berna
d a i e i i l les vaches dans un champ, vendredi dette. — Troadec Maric-Josephine. ~ Bonnefoi
dernier. T o u t - à - c o u p , l'une des bêles de
Louis-François-Marie.
Kerhervé Désiré-Mathurin Féli.x.
Pérou Arinande-Lucie-Marie. venue furieuse, .s'élança sur les enfants e
renver.sa le plus j e u n e d'entre eux, âgé de Bacon Louis-Yves. - Kerbiquel Marie-Louise.
Mariages. — Saux limmanuel-Jean-Marie et
3 ans, q u i f u t bles.sé à la j o u e .
Morvêy.en
L'enfant, q u i avait p e r d u connaissance a Guernalec Marie-Perrine-Louise.
élé transporté à Scaêr, où i l a reçu les soins Jean et Le Qihan Françoise-Marie-l.ouise. Dœuir Louis-Marie el Baccon Marie-Françoise
du docteur Le L o n g .
Dt-cès. — Gourvcllec Josepli û2 ans veuf de
Marie-Anne. — Drod Marcel-Féli.x-François 11
mois.
Plantée lean-Louis 58 ans époux de
Marie-Jeanne Le Borgne. - Laz Marie-JosôpUe
(>5 ans, épouse de Coroller François.— Guill'ant
Marie-Heine-Françoise 17 ans. — Uuigou Marie
Corenline f)8 ans, veuve de Laonet Mathurin.
Iluiban Henri, 71 ans veuf de Thépault Marie
Joseplie. — Cotonnec Jean •..'7 ans, époux de
Postée Cliristophe-Jcau
Diplômé de la Facullé de Médecine GouilTès Françoise.
?1 ans.
de Paris
Auguste, 2 ans. — 'fanguy Aune^Marie-Josèphe,
•1 mois et demi. — Goui'lay Marie-.\nnc 14 ans.
— Haslé François-Louis, 71 ans. — Fauglas
Joseph-Marie, 70 ans. — Orvoiin Joseph-Marie,
27 ans. - t'avennec Théodore, ï nriis. — SoulTez
Françoi.s-I.ouis, r>5 ans.
I.e Pigueller MarieMarguerite, 43 ans.
l.'llÔTKI.
Cabinet ouvert de
9
I.E
CI.INCIIE)
heures à 4
heures
C o n s e i l g é n é r a L — Le Conseil général
l u Finistère est convoqué on session extra
o r d i n a i r e p o u r le l u n d i 28 octobre, à 2 h, 30
de l'après-midi. \ ' o i c i les principales ques
lions q u i sont à l ' o r d r e d u j o u r : Chemins
de fer départementaux (S"' réseau) : p r o j e t d e
convention et de cahier des charges ; —
Cantonniers ; a u g m e n t a t i o n des salaires
r é p a r t i t i o n d'une somme de 40.000 francs
r e t r a i t é s ; — .\gents-voycrs : modifications
au statut ; — Chemins vicinaux : l o i d u
12 mars 1880 ; p r o g r a m m e de 1913 ; — Prestations en nature : remplacement par des
taxes vicinales ; — Emjjloyés de la préfeci'eclure et des sous-préfectures : établissement d'un s'atut ; voies et moyens financiers ; — Prison de M o r l a i x : a c q u i s i t i o n
d'un i m i i i e u b l c ; déclaration d ' u t i l i t é p u b l i (pie ; — Sous-préfecture de Brest : grosses
é p a r a t i o n s ; — S e c o u r s aux marin.s-pècheurs
de Sainl-Guénolé-Peninarc'h, victimes de la
tempête du 1"" octobre.
\ é t é r a n s et S o n v e n i r F r a n v a i s . —
C'est dimanche prochain, 27 octobre, que la
235' seciion des Vétérans célébrera sa fête
annuelle. Le Comité compte l u i d o n n e r ,
cette année, iin retrain exceptionnel d'intérêt en g r o u p a n t dans celte manifestation
p a t r i o t i q u e les médaillés de 1870-71, c'est-àdire tous ceux q u i , aux heures les plus douloureuses et les plus tragiques de n o t r e
h i s t o i r e surent l'aire leur devoir. Ces derniers
sont donc invités à se j o i n d r e aux Vétérans
il figurer à leurs côtés dans toute l'exécution du programme.
Lriiérison des Infirmités
Sans Appareils, sans
Opérations
Nous rappelons à nos lecteurs que le docteur Salmon, directeur de l ' i n s l i t i i l o r t h o pédique de Canteleu-Lille (.Nord), consultera
Q u i m p e r , I/olel
de l'F.pée, l e l u n d i
2 8 o c t o b r e , les i)er.sonnes atteintes de
Déviation* d u dos et des membres et de
boiteries, scoliose, coxalgie, mal de L i t o l e
raideur des membres , rhumatismes c h r o nique.
La méthode du docteur S . \ L M O N supp r i m e opérations, corsets et appareils gênants et inutiles et guérit enfants et adultes.
COVC.VU.XE.VU. - . X n i i f r a g e . - L u n d i
m a l i n , veis sept heures, un f o r t coup de
de vent a chaviré le bateau de pêche n»
1.034, patron Jatlrézic, de Pouldohan, dont
.M. H e n r i Le Marié est a r m a t e u r . L'équipage
a été sauvé par la barcpie d u patron Lozivit.
Ligne N "1 de Quimper à Fouesnant A Bénodet
(Hiver 1912-131
l - l - i - l -
.A L L E R
— 1
S'r.\T10N.s
y 15
yiiiiiipcr. Gariil l'.i
Ùiiiiiipcr. Ville
'.I -ï.'.
Ouimpi r. Ocln.i
•foulindi Ijlandi, .'rolf,... '.1
.Moulin .1» l'uni ....... !l 4G
U 51
ïv-C.li.s
10 «»
l'icnvrn
10
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Foueiiunt, liaul du hnur;;
Le IVriiufl
liénoilLl.pl. (Ieri:;;lisc
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RETOUR
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7 S
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7 lit
7 30
7 _ir.
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ninmlot, pl. <I.-1'K;;M>.'
1.0 l'crquel
fouKnaiil,lNuit ilu Imuri;..
l'k'uvcn
Tv-Gliis
.Nfoulin (lu l'onl
NMilin di 11 lindi, ùroN-....
Ouiiiipcr. Ociroi
Oninipcr. Ville
(Juinipcr, fi.uc
.N.-lt. - L(> service•
samedi.
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Tribunal Correctionnel de Quimperlé
15 45
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19 U
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19 19
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19 4'2
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19 40
9 3» 10 40
19 5ft
? el 8 1n'uni lieu • lUf te lement modeste mais déjà d'une, fortune
''
'
plus solide. Puis ce fut Au souffle des vallées,
t i t r e et i n s p i r a t i o n plus large. Enfin voici
Ligne n- 1 bis, de Quimper à Bénudet
Par delà les geux, un vrai volume, près de
200 pages d'une poésie vibrante, haussée à
1— 1 — 1 — 1 — ALLER — 1 - 1 ~ i - |
tooles les émotions d u cœur et de la pensée.
ST.VTIONS
En trois parties, ce sont des suites de poè'
.
1
ir.
1/• 15
Ouimpcr (Gare)
mes d'une certaine envolée q u i s é d u i r o n t
17' l'J
li»
(Juimpcr (\'ille)
y 23
17• '.'3
( tuinipcr (Octroi)—
sans n u l doute tous ceux q u i a i m e n t un
11 39
17 3U
Moulin de la Lande (licolc.
lyrisme à la fois virulent et p r o f o n d .
1;• 10
y 16
Moulin du l'ont
!) 51
17' 51
Tv-Glas
IS 10
Le D o c t e u r G E R A R D , le .'Spécialiste
10 10
Bénodet (Place de I I église).
bien connu de Paris, Wi, Une de Maubeuge,
L ' a b o n d a n c e des m a t i è r e s nous oblige
1- 1- 1- 1RETOUR l - l
à r e n v o y e r à n o t r e p r o c h a i n n u m é r o l'autour (le lu MÉTHODE ORTHOSPLANCHNiQUC, la ueulu i)ui assure la cure radicale
la p u b l i c a t i o n de nos deux i n t é r e s s a n t s
ïjTATlO.N.S
(le la H s n N I E s^.ns oi.'ération et la guérison
fueilietons.
15
ir.. 15
Bénodel (Place de l'Eglise).
on quelques jours et sans médicaments
7 31
10 1
•f y-Glas
3i»
10 U
internes, des M a U d i e s de M a t r i c e , des
Moulin du Pont
•IC.
Ki. Il)
Moulin de la Lande (licole).
M a l a d i e s d e l ' E s t o m a c e l des N e r f s ,
s •2
u;i 3?
Ouiiiiper (Ociroi)—
môme les plus ancii-nnos et les idus rebelles
s 0
Ki1 30
Ouimper (Ville)
à tout t r a i i f i n e n t et régime, donnera ses
s lu
11!
Oniniper (Gare)
,
Paris, lit Octobrc 1912.
consiiltalioiis
:
.{près avoir pendant deii.v semaines été tr^s fnrL O R I I i N T , Manli l'i
\ovenibie
iement ulleint par tes événements que t'im sait, Uôlelde Bretagne.
Ligne n- 2, de Lootudy à Pont-l'Abbé
notre maretu^ a pu, en rette-ei, faire preuve de
Q U I M P K R L i i , Veudredl I 5\ovtMiitendances nettement meitteures. Des ta première
— I— I— IALLER —
b
r
e , Ilôlel du Lion d'Or.
séance, un mouvement de reprise s'est desssiné i/ui
S'I'.\TI()NS
(Si
1)
(1)
•,3)
10 51) 13 .. 18 15 s'est généralisé et accentué aux jours suivants.
Lorludv-(;(ile....(l(7.. 8 -25
8 28
10 5:i 13 03 18 18
Loclud'y-Boin-K
On a &té bien influencé d'ahord par ta fai;on
Le .Sul.' r
8 3:1
10 .W 13 IIS 18 23
l'oiit-rAlil).'>Vill.'
8 40
11 11 13 21 18 30 plus satisfaisante gu'on ne pensait dont s'est effecPoiit-l'Alilié-Gin-e .iir. 8 19
11 11 13 24 18 39 tué ta liquidation de quinzaine, alors qu'on redoutait de sérieuses difficultés. ICnsuite, te marché du
- I - I - : - RETOUR - I - I eomplaut qui s'était tenu sous une réserve bien
naturelle tous ces temps ci s'est emptogé en de
.STATIONS
(2)
•(»
(«(
n
11 20 14 55 18 45 nombreu.r achats fournissant idnsi au marché te
Pont-l'Abl.é-Giirc ..d. » 10
11 2:< 14 58 18 4H meilleur éléments de reprises et d'activité. Enfin
l'ohl-l'Alihé-Ville.
9 13
L(! .Suler
11 % 15 U 19 m dans une autre ordre d'idées, ta situation erlérieurc
U '20
11 41 15 16 19 00
Loeludy-lliKn'i,'...
9 31
I.orlud'v Cille
.
Il 11 15 19 19 09 si grave qu'elle soit n'a pas donné lieu et sans
9 31
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AVIS D'AWIGATIONS
L e Maire de Quimperlé, Président
de la Commission administrative du
Bureau de Bienfaisance, prévient ses
administrés que le Jeudi 14 Novembre, à 14 heures, il sera procédé dans
une Salle de la Mairie à l'adjudication des Pains, Viandes, Vins
e l Alcools nécessaiies au Bureau
de Bienfaisance du 1 " janvier au
décembre 1913.
Quimperlé, le 20 octobre P.»12.
Le Maire,
H
O
S
A.
F
COURTIER.
I
C
L e Maire de Quimperlé, Président
de la Commission administrative de
l'Hospice, prévient ses administrés
que le Jeudi 74 Novembre,
à 1-1 heures, i l sera procédé dans une des
Salles de la Mairie à l'adjudication
par voie de soumissions cachetées
des Pains, Sons, Farines,Viandes. Vins, Epicerie, Beurre,
Œufs, Charbon, Colie, et Bois
d e C h a u l T a c e nécessaires à l'Hospice du 1*' janvier au 31 décembre
1913.
Quimperlé, le 20 octobre 1912.
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