Dans la mesure du possible rendre un document similaire

Dans la mesure du possible rendre un document similaire complété scanné ou sous
forme de fichier image sur l'espace de travail TS. Sinon le porter au labo de SVT
pour vendredi.
2) La place des fossiles dans un cladogramme
A partir de l'activité 5 pages 28 et 29 :
Faire la question 1 au brouillon
Utiliser le document ci dessous pour faire la question 2. Remarques : on ne peut jamais être sûr que le fossile trouvé
est le 1er être vivant à présenter l'innovation évolutive trouvée chez lui, il sera donc sur une branche courte partant de
l'ancêtre commun qu'il a avec une espèce actuelle. Cependant l'âge des fossiles sera retenu pour situer l'ancêtre
commun. Les espèces actuelles doivent être écrites sur une même ligne. Dans la mesure du possible rendre un
document similaire complété scanné ou sous forme de fichier image sur l'espace de travail TS.
Temps en millions d'années
-100
-150
-200
-250
-300
-350
-400
-450
-500
0
Place de certains fossiles dans un arbre phylogénétique
100
Lire de paragraphe 5 p 33
Bilan : Les données paléontologiques donnent un cadre temporel aux phylogénies obtenues.
III)Utilisation des données moléculaires
1) Les méthodes cladistiques
On considère ici l'apparition de gènes nouveaux au cours du temps. Ceci est une innovation évolutive et on
considère un gène comme un caractère. L'état ancestral correspond alors à l'absence de ce gène et l'état dérivé à sa
présence.
A partir du document 13 p 26 compléter l'arbre ci -dessous en établissant les liens de parenté entre les taxons
proposés dans le tableau à partir des deux innovations évolutives qui seront également positionnées sur l'arbre :
l'apparition du gène de la HLP et l' apparition du gène de la HCG. Vous indiquerez également le titre et les
légendes.
2) les méthodes phénétiques
Lire le document 15 p 27 puis compléter à partir du document 16 P 27 l'arbre esquissé ci – dessous en utilisant les
données moléculaires concernant l'alpha globine.
Arbre phylogénétique précisant les relations
de parenté entre quelques Vertébrés.
Remarque : la phylogénie obtenue est en accord (après correction!) avec celles obtenues à partir des données
morphologiques, anatomiques et embryologiques.
BILAN :
En utilisant ces méthodes on se base sur la quantité de ressemblance ou de différence. La notion de caractère
homologue ancestral ou dérivé n'est pas utile ici.
La séquence d'un gène ou d'une protéine constitue alors le caractère étudié. La ressemblance des séquence montre que
les molécules étudiées chez les différentes espèces sont homologues et qu'elles dérivent d'une molécule possédée par
un ancêtre commun. On parle alors de gène ancestral possédé par l'ancêtre commun. Les différences observées
proviennent alors de l'accumulation de mutations au cours du temps. Le degré de similitude renseigne alors sur le
degré de parenté. On admet que des molécules homologues évoluent régulièrement dans le temps et à un rythme égal
dans différentes lignées. C'est ce que l'on appelle l'horloge moléculaire.
Les divergences entre deux molécules de même origine sont de plus en plus importantes au cours du temps.
Pour s'entrainer faire l'exercice corrigé 5 p 37 et l'exercice de bac p 38.