GRAND HOTEL
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devenus un peu pliis rares el les pédorisdpmes^gUei Oyaient lin peu disparu, çin.si quéJé £oïi par lettre où par journal ; n^ais, d4$ ce jour, ils doivent îotalepent disparaître* tes facteurs ruraux ont bien autre efeose'à faire qu'à prendre les coflimissions de MM. les curés, à colporter l ^ s listes électorales ou leurs petites correspondances : ce sont des employés dépendant d'une administration gouver¬ nementale, obligés de remplir rigoureusèmerit leur devpir, et nous signalerions publiquement lout fonctionnaire qui vou¬ drait en faire encore, comme autrefois, des commissionnaires particuliers. plus d'animation, plus d-importance, principalem,ent,po |ju?-celle,du. 15 ^ û t , ne ppurrmt^onpasfoiideç à (jetteépoque'" un concours agricole annuel, où-seraieât représentés la Savoie, la Haute-Savoie, les départements limitrophes, et mêmç les cantons suisses ? Nous pourrions citer plusieurs localités de la Savoie, dont les foires ont une importance plus grande que celles de Chambéry; ainsi, celles d'Annecy, la Roche, Montmélian,, SaintFélix, Cluses, etc., attirentlafoule, tandis que les nôtres sont presque désertes. Nous croyons donc qu'il est nécessaire, dans l'intérêt du pays, de réduire à deux seu¬ lement les quatre foires existantes aujourd'hui, et, pour les mettre à mê¬ me d'entrer en concurrence avec cel¬ les des autres départements de l'empire, de leur donner là plus large publicité qu'il sera possible. Tous les départements de l'empire (celui de la Savoie excepté) pos¬ sèdent des annuaires. Il existe un recueil dont la vente au public est immense, YAlmanach Firmin Didot : on y cherche vainement les foires de la Savoie. Il en est de même dans la plupart des au¬ tres indicateurs des départements. Nous croyons qu'il suffira de signaler à M . le préfet ces observations pour que des me¬ sures conformes aux vœux des popula¬ tions soient prisés. : 1 ,*— On assure que M M . les maire et ad¬ joints de notre municipalité viennent de faire décider que désormais les sépultu-, res des gens morls sans ressources n'au¬ ront plus Heu dans une bière commune, etqueces: naalheureux ne seront plus, comme ils l'ont été jusqu'à ce jour* ver¬ sés presque nus dans la fosse. C'était une méthode barbare et inhumaine dont nous avons dû demander bien souvent la sup¬ pression à la municipalité, et la mesure prise, si elle est- vraie-, proovera que tichtre mairie .n'est, pas toujours sourde aux justes réclamations. s| ,:^-lt* ù\ -l If L.:..'... r — Lés conseils dé fabrique dçs pa¬ roisses vont enfin être prochainement organisés selon les lois françaises".' Ce progrès trouvera nos ultramontains aussi souples et aussi dociles que ceux du ma¬ riage civil et des registres tenus par les municipalités» eonlre lesquels ils avaient pourtant poussé dans le Courrier des 4/pesjdgsifurieusesi dameurs. -.. i NfU^ sommes heureux de les vb venir tous à demeUleufs sentiment^. f!.— te gbïïV&^*|èpaenl continue àfen ^ | e ; f ^ cHaquë murticipalité rurale un bfi>n pelitj journal-affiche,,. le Moniieiir'/ des Communes, quidoit être placardé au ^riïldipiKlacaitfefour de l a lo'dalité, sous la jrau;te|saWéi]lance du maire et |de|s eiâployés.. C'est une ëièellente mesure qui fera peu àpeu pénélrer les lumièWs dans nos campagnes^ -0n nous assuna que q'tiëlquês mair^s^de' cômnifunns Rurales n'ont pa§ affiché les derniers'nûçaéros, surtout cçïùi concernant ji? magnifique discours du prince Napoléon «usjijet de l'Italie. Nous prions DOS abonnés de nous ie|iir au courant de ces infractions, Sou¬ vent attribuées à des manoeuvres! et au désir de n© pas faire connaître tel ou tel acte du gouvernement, tel ou tel discours pTÔnoricé au parlement , et nous les sighalerbris Sans' ménagement dans notre — Uhe mort prématurée vient Oyenleyer à sa famille unjeune homme.de no¬ tre ville, M. Gustave Gros. Par son testa¬ ment, M . Grosa légué à la ville une som¬ me de 10,000 fr. pour l'établissement d'un chauffoir public. • ; : :.;rPpur toupies articles non signés : I. légendaji^;! ''.'"•* •PARIS ET DÉPARTEMENTS. l h ^!fft)'* (Correspond, particulière de la Qa^ette de Savoie.) !l !-r:.«8 9k)itjnî-ya,e)i5iii;..;-..- : 1 r 1 : J o i r e î • • ; • * « < . ^ÎlËINTÉS VIAGÈRES A p (La tpersprine-a dépassé 73 ans) , ., UN APPARTEMENT, maison Rambért, au 2 étage, avant deux entrées : l'une par l'allée de la banque de Savoie, l'autre sur la route impériale. •«Cet appartèmtfn't,; de deux étages, se "clftnpose d'une grande'salle à manger, chambre h coucher,, avec alcôve, une autre petite chambre à coucher, on grand $al<)Q. avec alcôve fermée, bou¬ doir, chambres de domestique, vaste cuisine et office, un joli petit salon avec gioôve* ayapl vue sur la route impériale. Au troisième étage, trois chambres, deux galetas. ; grande cave et écurie poqr trois chevaux. : . : , n Les cheminées sont en marbre. Dans les chambres ; qui, sont parquetées, se '''trouvent .des;glaces.., : „ Le tout est d'un revenu net de 1,200 é ; : ..francs.', . • - , . .' .-..-.• - •- • ---• e ; S'adresser j pour l!acquisjtion, à M CORSO , notaire à Chambéry , place S j M é ^ ^»^) r i l r SAMUEL ^ ~ ^our,pj£tl|ait : JULES H U V E T . > . , ,.„.•.. •,• ' : ; : |V ET DE l/lIKJDIJSTniU .,.. . ••;.,. Pour extrait : JULES : ' : : M' Société anonyme.—Capitalsocial: 20 millions;.,* , : M ^ Ï DERNIÈRES NOUVELLES i& Avances et crédits sur nantissements .ou con¬ Saint-Pëiersbourg, < 4 mars. signations de marchandises et sur warrants, sur '• ' ' • : ' • ' • : Voici l'analyse du rescrit impérial adressé au; actions, obligations, tilriis'el autres valeurs. ' ; Siège social,'à Paris/rue Lepelle.lier, S. \;,'. prince Gortschàkoff à Varsovie : Agencés aii Hâvrë, à Marseille et à Nantes. . « La pétition''doit être considérée comme • nulle et non avenue: Cependant, ajoute le czar, je ne veux y voir qu'un simple entraînement. Je •t" " ' i ITALIE. consacre tous mes soins aux réformes nécessi¬ tées dans mon empire par la marche du temps Nous croyons pouvoir donner comme posi¬ et le développement des intérêts. Tous les sujets tif, dit la Gazzetla di Totino, que les dispo¬ de mon royaume sont l'objet de mon égale sol¬ sitions suivantes ont été prises parle ministère licitude. J'ai prouvé mon désir de les faire lous du la guerre Les fortifications de Gaele-, détruites par le. participer aux bienfaits des améliorations pro¬ gressives. Je Conserve les mêmes intentions, je' canon,"ne seront pas restaurées,vaéanmoins suis dans les mêmes sentiments, et j'ai le droit les autres fortifications ne seront pas démolies, comme on l'avait annoncé. Un grand péniten¬ de compter qu'ils ne seront ni méconnus ni pa¬ ralysés par des demandes inopportunes ou exa¬ cier sera construit dans la place. géréesque je ne saurais confondre avec le bien Les fortins de Civilella delTronto el Pescara de mes sujets. Je remplirai tous mes devoirs. seront entièrement démolis.' ; 11 est probable qu'on fortifiera HJanfredonia. Je ne tolérerai aucun désordre matériel • >ob n'édifie rien sur_ce terrain. Les aspirations qui Un camp retranché sera établi à Capoue. y chercheraient un appui seraient condamnées ••-r- On écrit de Rome à la Perseveranza •. d'avance. Elles détruiraient la confiance et ren¬ • Un acte de vandalisme s'accomplit ence contreraient une sévère réprobation, puisque ce moment a Rome. Le musée Campanà perd les serait faire reculer mon pays dans la voie d'un chefs-d'œuvre de ses quatorza collections, ven¬ progrès régulier.où mon invariable désir est de dus à la Russie pour le prix de 45&,Ô00 écus, le maintenir. » : s et l'Italie sera condamnée à voir disparaître ce musée, qui était une de ses plus belles gloires j Pour extrait.: JULES HOTET. • artistiques. • , 1 " Le Rédacteur en chef, gérant ; JULES HUVET. : — Lemaréçhài Férgola a commis un acte de véritable barbarie. Un navire de commerce CHAMBÉRY, 1MP. NATIONALE, PLACE CHATEAU. ; PliYËLLlS DE IÏ1AIS0N GIROD ET COMPAGNIE INPÀCE''bËf'L'HOTËL DE LA. POSTE, A ('iHAMBÉHÏ FA il RI oie: re e UNE MAISON c -, r SOUS-COMPTOin '111,1' t;OMMEUtE;. nombreuses gravures et d'exemples. Jean-Marie Farina ; brillantine pour la< Cet ouvrage sera envoyé franco, sous souplesse et la beauté de la barbe, et enveloppe, par Laroquti jeune, libraire, tout ce qui concerne l'article de parfu: quai Voltaire, 1, à Pans, pourBfr. SO c. pierie dé premier clmix. Il contient: Z secïrâtt:HhysiolPgie des 11 se charge aussi de toute espèce organes de la génération. 77* section: d'ouvrages en cheveux , tels que ta¬ Puberté; âge viril ; morale de la physio¬ bleaux, bracelets, clic.,'ta tout confec¬ logie gtëhéraliye ; vraie «l fausse mora¬ tionné au dernier goût dé Paris. (699) lité. 77/ section : Le mariage dans ses rapports physique, moral et social ; ses A VENDRE espérances et ses désappointements. jY section : Spermalorrhée et impuis¬ sance; stérilité des deux sexes ; maux que l'on se caiise soi-même ; iristes ; Située à Moûtiers, firande-Bne, conséquences de la négligence. V sec¬ Composée d'un magasin au rez-detion: Vices dés écoles ; effets de certai¬ chaussée et d'une cave, second el troi¬ nes^ habitudes pernicieuses sur les fa¬ cultés mentale et génératiye ; impor-; sième élage, et galelasvau-rdessus. tance de la discipline morale. TP sec¬ S'adresser, à Moâtiers, à M Colin, tion : Traitement de la débilité nerveuse avoué, el, à Chambéry.à M. More!, ea(8}8) et générative ; impuissance et stérilité ; fetier, rue du Lycée. ^; résultats, dangereux de. divers remèdes nouveaux ; principes du traitement mé¬ dical, diéfiqué et général de l'auteur, DE BUCHAREST ET CASSOBA basés sur vingt ans d'une pratique cou,A COCONS JAUNES ronnêe de succès. / ..,.,./'-; e e DE LINGERIE ET CHEMISES GARANTIES SUR M E S U R E ' Flanelles de toute qualité, Gilets, Caeçons et Ceintures hygiéniques, De¬ vants "de Chemises fantaisie et haute uïéaulé. ' ; GRAND CHOIX,,J^ ,'; De toiles du Çifpi'd, de màdapôlam de Mulhouse, articles anglais'." Gros et dé; ail. s! " ' ;;;;V . '^/" \m) Stomachique souverain, excellent denti¬ frice et eau de lajlelle sans rivale, le=cumul de ces qualités et SON EMPLOITPEU COÛTEUX en fonttine liqueur indispen¬ sable dans un ménage. '.,:-.,• : En flacons cachetés, à 4 fr^ et 51 fr;, avec timbre et griffe de l'invenleuF, H . 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[Gazette de Gêries:j- -'• -— On fit $&u?\'-0$servator_e iôrtonese : ' « Avis est, donné â to'us l'es valeureux: jeunes " gens qui attendent l'appel du généralGaribaliJ.i pour le .suivre dans ses patriotiques entrepri¬ ses, d'avoir a se trouver dimancho, 17 courant, à 3 heures de l'après-midi, dans la villa Tedeschi, dite la Ribrocca, au faubourg de SiintBerhardin, pour une communication impor¬ tante. » -—On écrit de Rome : , i L'existence de l'armée pontiliçale est gran¬ dement menacée. Le colonel de Beçdelièvre, qui depuis quelque, temps était en niésintelligenco avec M; de Mérode, a dû donner, sa d é mission sur l'invitation du ministre des ârmeg,; ..; et il va rentrer en France. Le commandement des zouaves a été, me dit-on, offert à M. Athanaso de Charetle, puis à un autre officier, qui auraient également réfusé. On ajoute môme que ces doux messieurs et beaucoup d'autres ont une forte envie de se retirer. Dans les ca¬ sernes, on discute continuellement sur la pro>habilité d'un licenciement dos volontaires, et M. de Mérpde est.de moins en moins sympa¬ thique. Je ne prends parti pour personne, jn me borne ù constater ; mais je comprends sans trop de peine que ce prélat ne gagne point de la popularité, quanti on me cite des faila comme celui-ci :* . . . , « Un jeune Français des zouaves, M. de la Salmonière, tomba gravement malade, il y a 45 jours ou 3 semaines; ses jours étaient comptés. M. de Beçdelièvre adressa une dépêche télé¬ graphique à son père pour l'avertir (le se hâter s'il voulait embrasser encore son fils. Le pau,vre jeune homme demandait sans cesse son , père, et la mort lui apparaissait bien plus cru¬ elle à cause de cet inexplicable abandon :'/il mourut sans avoir été exaucé.. La dépêche.* m'affirmé-t on, retenue par M. de Mérôde, ne partit qu'après son dernier soupir. » . . ; Paris* 14 mars. Ladiscussion générale sur le projet d'adresse a été clôs^e, Ljer au corps Législatif, et cette troi¬ sième Ué"a'nce a élé de beaucoup supérieure, comme intérêt ei comme joule oratoire, que les deux précédentes. Quoiqu'on puisse no point partager les opinions de M. Keller, orateur du parti catholique, on/ne peut s'empêcher d'ad¬ mirer son éloquence. M. Keller, si nous ne nous trompons pas, a été un des signataires d'une ; adressé, au pape restée célèbre. : v Dans les graves questions qui s'agitent au¬ jourd'hui, M. Relier n'a vu 'qifu'ne.' lutte entre la foi révolutionnaire el la foi catholique, comme si l'on ne pouvait être.révolutionnaire sans ces¬ ser d'être catholique. Dans les affaires d'Italie, M. Keller s'est préoccupé avant des intérêts-de .la papauté temporelle. _,,. L'orateur a, dans le cours de son énergique plaidoyer, fait une citation que l'on peiti qua¬ lifier de malheureuse : c'est un fragm'gjrjft du jgMiKItDilt. •.• Buu}_ .,V;V----i. :- ^/-' ':' . î. - ^ testament politique d'Orsini. Celte lecture n'a "pas manqué de provoquer dans la chambre »b-^ Quelqtfés^ufts de nos abonnés nous fine vive agitation. C'est toujours un mauvais Jt|éjttsmettéht les, observations suif aiïtes, argument que celui qu'on emprunte aux. der¬ iqiie. nous croyons utile de reproduire et nières paroles d'un assassin. Et M. Billault a de.dgaaleru;à,la;'miiiiicàpalite deCham interprété justement les sentiments de lacham•• bre en regrettant que de telles paroles aient été s ae.Çhanibéry sont trop nomentendues dans son enceinte. Quoiqu'il en soit, .touses, et quelquesrunes d'une inutilité le discours de -M. Keller .tf'a pas pécbé par dé¬ depuis; longtemps reconnue. Ne serait-il faut de franchise, et il a conclu en demandant au gouvernement de so prononcer entre Victorppas de bonne administration d'en réduire Emmanuel el Pie IX, entre la révolution et les è nombre à deux ? Et pour leur donner £ "; : D J ; prinéipëa (Msîïv'atèurs, ou p6Ur rrikuxdirfi )a.' réaction, car oe sont les lermo*- extrêmes de toute.conduite politique.' . . • .. M. Billault, qui à réprjridu à M. Keller, s'est attaché à sépàrer.ia'q'ueslion religieuse de la, question politique, ôt à démontror que le gou¬ vernement impérial issu du suffrage, universel ne pouvait allée combattre en Italie le principe sur lequel est basée sa légitimité. La discussion par paragraphes a commencé dans la séance d'aujourd'hui et a porté sur l'amendement des cinq députés libéraux relatif à la loi de sûreté générale et à là presse. Là parole a été donnée à M. Jules Favre pour Soutenir l'amendement dont ij est un des signa¬ taires. Voici comment le Siècle a apprécié, dans son dernier numéro, le magnifique discours du prince Napoléon, discours dontla popularité augmente chaque jour : « Les opinions libérales du prince sont celles « de la France. Les sympathies dû peuple fran« çais sont bien, comme i l l'a dit, pour ceux « qui savent défendre ses opinions libérales. « Telles sonl les idées émises daus une adresse « signée par un grand nombre d'habitants de « Metz pour être envoyée au prince Napoléon. » Ce n'est pas seulement à Metz qu'on pense ainsi, mais dans tous les déparlements de l'an¬ cienne comme de la nouvelle France. Ces justes réflexions du Siècle devaient être reproduites ; elles sont vraies, quoi qu'en disent quelques dltramontains qui s'agitent dans le vide en croyant tromper le gouvernement im¬ périal, par .la vaine poussière qu'ils soulèvent autour d'eux. La banque de France vien t d'abaisser de \ 0/0 le taux de son escompte, ce qui le met à 6 0/0. Cette mesure sera très favorablement accueillie parle commerce parisien. Je vous l'avais bien dit' hier, l'arrestation de. Jud est encore une fois démentie. Encore quel¬ ques mois, el Jud deviendra un personnage On tient à la disposition dés éduca¬ teurs qui en feront la demande dis échantillons de cocons, produit des graines qui leur seront vendues. Prix : A5 fr. l'once de 30 grammes. . Dépôt chez M. Hector Julien, agent d'affaires, place Saint-Léger, 61-, à Cham-Î béry. A LOUER MAISON DE CAMPAGNE Aux Chârraettes (tout près de Chambéry). S'adresser au bureau du journal. Prix approximatif : de 200 à 250 fr. DIGESTIONS DIFFICILES FERMIER DEMANbf 1