XLPh decembre 03

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XLPh decembre 03
Ixellophone
Numéro 36
Edito: L’Apeee dans la vie de l’école
Raison d’être
L’Association des Parents d’Elèves de l’Ecole
Européenne Bruxelles III, comme toutes les
autres APEEE, a été créée pour représenter les
intérêts des familles dans tous les organes de
représentation où les parents peuvent faire
entendre leur voix : les Conseils d’Education
primaire et secondaire, Conseil de Discipline,
Conseil d’Administration de l’Ecole, Conseil
Supérieur, ainsi que les Comités Pédagogiques
et d’Inspections, etc.
Pour ce faire, chacune des classes élit
démocratiquement au début de l’année scolaire
ses représentants qui, à leur tour, ont la
possibilité de se présenter comme membre du :
· Conseil d’Administration de l’APEEE en tant
que représentant de section linguistique (primaire
ou secondaire)
ou directement élu par
l’Assemblée Générale. Les membres du Conseil
d’Administration élisent, parmi leurs membres,
les membres de son Bureau : 1 Président, 2
Vice-présidents (Affaires Administratives et
Affaires Pédagogiques) 1 Secrétaire, 1 Trésorier,
1 Responsable à l’information et 1 Septième
membre sans portefeuille.
• Conseils d’Education (primaire ou
Secondaire) élu par leur Section linguistique.
Grâce à ce système d’élection ouvert et
démocratique, le Conseil Supérieur des Ecoles
Européennes et, par conséquent, les Directions
des Ecoles ont tendance à considérer les APEEE
comme les seuls organes de représentation
légitimes.
Nouvelle équipe
Une nouvelle équipe vient d’être élue à la tête
de l’APEEE par les membres de notre CA. Cette
nouvelle équipe considère que, pour mieux
défendre les intérêts de tous les parents et des
élèves, le dialogue doit être soit ouvert, soit
continu avec tous les partenaires et notamment :
• Avec la Direction de l’Ecole. Pour ce faire
existe déjà le Conseil d’Administration de l’Ecole
où l’APEEE est représentée par leur Présidente
et leur Vice-présidente Administrative. Etant
donné qu’il n’y a que trois réunions par année
scolaire, nous avons demandé à la Direction de
l’Ecole de se réunir en plus avec les membres de
notre Bureau une fois par mois afin d’établir un
dialogue permanent et d’essayer de résoudre
ensemble les problèmes posés.
Nous remercions la Direction de l’Ecole d’avoir
tout de suite accepté notre proposition, car une
collaboration plus étroite ne peut être que
bénéfique pour tous, et notamment les élèves.
Personne ne doit oublier que nous devons tous
chercher ce qui est le mieux pour les élèves de
notre école et travailler ensemble pour améliorer
leur quotidien afin de leur assurer un meilleur
avenir.
Décembre 2003
•
Avec les APEEE des autres Ecoles
Agenda
européennes, et notamment - pour de simples
raisons de proximité - celles des Ecoles
Européennes d’Uccle (Bxl I) et de Woluwé (Bxl II).
Nous considérons que la plupart des Congés —Fin des
20 Déc
préoccupations des parents sont partagées aussi cours le 19 à 15h20 au 6 jan
par les parents des autres écoles et nous sommes
7 Jan
aussi convaincus que nous pourrons mieux Bulletin 4, 5, 6 et
atteindre nos objectifs si nous
travaillons 7ème Sec
ensemble. Nous avons proposé aux APEEE de Exam 5ème Sec
14 au 20
Bruxelles I et II de nous réunir régulièrement afin de
Jan
définir ensemble les différents terrains de
info 3ème
20 Jan
collaboration possible et d’élaborer les projets ou Soirée
Sec
propositions à présenter conjointement aux
différents organes décisionnels.
Bulletin 1, 2 et
23 Jan
Nous voudrions remercier les membres du CA 3ème Sec
des APEEE de Bruxelles I et II, et plus précisément
Réunion Conseil
26 au 28
leurs Présidents respectifs, Mme Perret et M. Soyer, Supérieur
Jan
pour l’enthousiasme avec lequel ils ont accepté
notre proposition qui nous conduira sans aucun
partielles
26 Jan
doute à une meilleure défense de nos intérêts Épreuves
Bac
au 6 Fev
communs.
• Avec le Comité d’élèves et les représentants
des professeurs : nous tenons à signaler que Inside this issue:
l’APEEE est ouverte à collaborer avec eux dans tout Dans ce numéro:
projet qui a comme but d’améliorer la qualité de
l’enseignement reçu par les élèves ou la qualité de
Mrs. Businaro
2
la vie scolaire.
Interview /
En somme, les membres du CA défendent vos Christmas across
intérêts dans tous les organes de représentation
Europe
qui existent et dans lequels l’APEEE a la possibilité
Suite en page 3
de faire entendre sa voix, car ce sont des parents
3
qui sont confrontés aux mêmes problèmes que Christmas across
Europe
vous chaque jour et qui partagent donc les mêmes
inquiétudes.
Springfest /
4
C’est pour cette raison que nous nous permettons
Cours pour
de vous conseiller de vous adresser autant que
professeurs
possible à vos représentants de classe ou de
5
section quand vous avez des soucis au niveau Ecole européenne
Suite en page 6
scolaire.
Nous sommes convaincus que dans la plupart des
cas le moyen le plus efficace de traiter les Ecole européenne
6
Fin / Petites
problèmes est de faire confiance à l’APEEE. Les
annonces
initiatives individuelles - quoique bien
intentionnées - peuvent même s’avérer contreproductives pour la communauté scolaire dans son
ensemble.
Nous invitons déjà tous les représentants de classes à réfléchir sur la
possibilité de se présenter lors de la prochaine Assemblée Générale aux
élections des membres de notre Conseil d’Administration ou en qualité de
représentants des sections linguistiques au sein des Conseils d’Education
de l’Ecole.
Au nom de tous les membres de notre Conseil d’Administration, je
voudrais souhaiter à tous (Direction, parents, professeurs et élèves)
d’heureuses fêtes ainsi que nos meilleurs vœux pour l’année 2004.
A.
Domínguez
Présidente de l’APEEE
Interview with Mrs. Businaro, headmistress of Primary school
Ixellophone recently met Mrs.
Businaro, to discuss some of the issues
preoccupying parents since the start of
the year.
We began with the question of bullying
and violence in the school and the
playground. Mrs. Businaro feels that the
level of incidents has not increased since
she has arrived at the school. What has
increased is the level of awareness and
follow up among the teachers. Incidents
often happen on the playground where
teachers work on a rota as monitors
(surveillants). At peak playtimes when all
sections and years are present on the
grounds, there 11 monitors including one
in the halls, which gives a ratio of
approximately 1 adult for 100 children.
Monitors are meant to intervene when an
incident occurs and report it to the culprit
and victim’s class teacher. Only the more
persistent offenders are brought to Mrs.
Businaro’s attention. At this point, it is
necessary to warn the student’s parents
and a plan is devised together with the
teachers to deal with the bad behaviour.
Mrs. Businaro estimates that there are
fewer than five students in primary who
fall into this category.
On a more general level, Mrs. Businaro
expects a school-wide bullying policy to
be introduced. She is sharing information
with the ES in Bergen to see what lessons
can be learned from their efforts in this
area before making a recommendation for
Ixelles. Nothing has yet been drafted and
sections and classes are cooperating in an
effort to seek solutions as parents and
teachers find it necessary and appropriate.
Mrs. Businaro had good news
regarding the long awaited
playground equipment. Benches are
to be delivered and placed before the
new term in January. They will be
located in front of the “flower mural”
on the lower playground. A jungle
gym, similar in construction to the
one placed in the nursery school
playground has been chosen and the
budget, which is managed by the
Régie des Bâtiments, is expected to
be available as of January. It is hoped
that work will take place over the
2004 summer holidays. Mrs. Businaro
reminds parents that until the
equipment is in place, children are
encouraged to bring in their own toys,
but balls must be made of foam, since
even soft plastic could harm another
child.
Last year’s bugbear (and an issue
which continues to cause concern) the state of the primary toilets - has
improved to some extent, thanks
partly to a full-time cleaner who can
quickly be dispatched to remedy any
problems. Teachers have also been
provided with soap dispensers in their
classrooms to ensure that children
wash their hands properly.
On the subject of the school
canteen, parents have been
dissatisfied with the length of the
lunch and playtime. Changes have
taken place to fulfil the need for two
sittings at lunch and thus improve
safety, reduce congestion and the
level of noise. At present, the lunch
CHRISTMAS ACROSS EUROPE
Joyeux Noel et Bonne Année!
Nearly every French home at Christmas-time displays a
Nativity scene or crèche, which serves as the focus for the
Christmas celebration. The crèche is often peopled with little
clay figures called santons or "little saints." An extensive
tradition has evolved since the seventeenth century around
these little figures which are traditionally made by craftsmen
in the south of France throughout the year.
After mass on Christmas Eve a night-long feast known as le
réveillon begins. Favorite foods include oysters and foie gras,
goose or turkey, Strasbourg pâté and boudin blanc, washed
down with wine and champagne. Dessert is a traditional Yule
log-shaped cake called the bûche de Noël, or "Christmas
Log." In Belgium Christmas breakfast is a special sweet bread
called 'cougnou' or 'cougnolle' - the shape is supposed to be
like baby Jesus.
Children receive gifts from Père Noel who travels with his
stern disciplinarian companion Père Fouettard. Père
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bell rings at 11.35 for first and second year
primary who then have 25 minutes to leave
their classrooms, eat and get outside for
play, with lessons resuming at 12.35.
Third, fourth and fifth years have a
different schedule with 20 minutes’ play
before lunch and 15 minutes after. Mrs.
Businaro
recognises that the split
playground time for years three to five is
not ideal. The only solution would be to
lengthen the school day. At present, Ixelles
has the shortest day of the three Brussels
schools. To lengthen the day would have
repercussions on the bus schedule and
périscolaire activities and would a knockon effect on general planning. For the time
being, however, any changes will have to
wait until next year; none are planned in
the immediate future.
Concluding our interview, we touched
briefly on the forthcoming theatre week.
Mrs. Businaro has personal fondness for
drama and considers it an important means
of understanding a culture and language.
There is a purpose-built theatre on the
grounds, providing the opportunity of an
authentic experience. Each teacher is
encouraged to participate in one way or
another by performing or watching another
group’s play. Parents should keep an eye
out for information from their child’s class
teacher and perhaps volunteer to support
the school effort.
Lastly, Mrs. Businaro noted that she
found the relationship between the
administration and the parents very
cooperative, an encouraging comment for
the incoming APEEE team.
Tanya Morton
Fouettard reminds Père Noel of just how each child has
behaved during the past year. In some parts of France and the
whole of Belgium children receive small gifts on St. Nicholas
Eve (December 6) and again at Christmas, while adults
generally wait until New Year's Day to exchange gifts.
Merry Christmas and a Happy New Year !
The custom of singing carols at Christmas is of English
origin. During the middle ages, groups of serenaders would
travel around from house to house singing ancient carols and
spreading the holiday spirit. The word "carol" means "song
of joy."
The hanging of greens, such as holly and ivy, is a British
winter tradition with origins far before the Christian era.
Greenery was probably used to lift sagging winter spirits and
remind the people that spring was not far away. The custom
of kissing under the mistletoe is descended from ancient
Druid rites. The decorating of Christmas trees, though
primarily a German custom, has been widely popular in
England ever since 1841 when Prince Albert had a Christmas
tree set up in Windsor Castle for his wife Queen Victoria, and
their children.
See page 3
Ixellophone
CHRISTMAS ACROSS EUROPE
The custom of gift -giving at
Christmas also dates back to Victorian
times. Before then it was more
common to exchange gifts on New
Year's Day or Twelfth Night. The
direct ancestor of Father Christmas (or
Santa Claus) is a certain pagan spirit
who regularly appeared in medieval
mummer's plays. The old-fashioned
Father Christmas was depicted wearing
long robes with sprigs of holly in his
long white hair.
Boxing Day, 26 December, is
traditionally the day on which the alms
box at every English church is opened
and the contents distributed to the poor.
It also used to be the day when
servants had the day off to celebrate
with their families and when working
people broke open their tip boxes.
Known as St. Stephen's Day in Ireland,
the day also involves the solicitation of
money. One unusual custom is that of
the Wren Boys. Local people adorn
colorful dress, blacken their faces with
coal and begin a procession of song
and dance through the villages and
towns. They carry a long pole on top of
which is attached a holly bush. The
bush supposedly contains a captured
wren, and for whose sake the people
ask for money.
The Scots mainly reserve their
merriment for New Year's Eve which
is called Hogmanay. This word may
derive from a kind of oat cake that was
traditionally given to children on New
Year's Eve. The first person to set foot
in a residence in a New Year is thought
to profoundly affect the fortunes of the
inhabitants. Strangers are generally
thought to bring good luck. This
tradition is known as "first footing."
Frohe Weihnachten und ein
glückliches Neues Jahr!
The Christmas season officially
begins with the beginning of Advent,
four Sundays before Christmas Day.
The tradition of the Advent wreath, a
circle of greenery in which four
candles are set, originated with the
German Lutherans. One candle is lit
the first Sunday of Advent, two are lit
the second Sunday, and so on until the
fourth Sunday. A large white candle in
the centre is lit on Christmas Day. The
Advent calendar, an elaborate calendar
with windows used to count down the
days until Christmas, also originated in
Germany.
The Christmas Tree owes its
widespread popularity to Germany. In
Numéro 36
the Middle Ages the Germans would
put on a mystery play each December
24th, the feast day of Adam and Eve.
The plays invariably featured a
decorated evergreen which represented
the Tree of Life. Over the centuries the
plays and associated festivities strayed
from their religious origins and the
Church ceased to sponsor them. But
the people continued to set up and
decorate a tree in their home every
year at Christmas. In 1880
glassmakers in Thuringia discovered
how to make blown glass balls and
bells, which became the decorations
used to trim Christmas trees all over
the world.
In many German cities special
festive markets with decorated booths
and stalls are set up for weeks before
Christmas. The most famous of these is
the Christmas Market in Nuremberg
which has a history of more than 400
years.
In Austria, on December 6, Heiliger
Nikolaus (St. Nicholas) rewards good
children with sweets, nuts and apples.
On December 24, the Christ Child
brings presents and the Christmas tree
for the children. The children wait until
they hear a bell tinkling. Then they
enter a special room where the
Christmas tree is waiting all decorated
with candles, ornaments and candies.
Hronia polla ke eftihismenos o
kenourios hronos!
To members of the Greek Orthodox
Church, Christmas ranks second only
to Easter in importance. On Christmas
Eve, village children travel from house
to house offering good wishes and
singing kalanda, the equivalent of
carols. The children are frequently
rewarded with sweets and dried fruits.
After 40 days of fasting, the
Christmas feast is looked forward to
with great anticipation by adults and
children alike. Pigs are slaughtered and
on almost every table are loaves of
christopsomo ("Christ Bread"). This
bread is made in large sweet loaves of
various shapes and the crusts are
engraved and decorated in some way
that reflects the family's profession.
Christmas trees are not commonly
used in Greece. In almost every home
the main symbol of the season is a
shallow wooden bowl with a piece of
wire is suspended across the rim; from
that hangs a sprig of basil wrapped
around a wooden cross. Once a day, a
family member, usually the mother,
dips the cross and basil into some holy
water and uses it to sprinkle water in
each room of the house. This ritual is
believed to keep the Killantzaroi ,
which are a species of undesirable
spirits who appear only during the 12day period from Christmas to the
Epiphany (January 6), away from the
house.
Gifts are exchanged on St. Basil's
Day (January 1). On this day the
"renewal of waters" also takes place, a
ritual in which all water jugs in the
house are emptied and refilled with
new "St. Basil's Water."
Vrolijk Kerstfeest en een Gelukkig
Nieuw Jaar!
There are some differences in the
manner in which Christmas is
celebrated in the Netherlands (and to
some extent in Belgium). For one
thing, there is no Father Christmas
delivering presents on Christmas Eve.
Instead, Sinterklaas or Sint Niklaas (St.
Nicholas) hands out presents to good
children on the eve of his feast day,
which is December 6th. This is a very
special time for Dutch children, who
set out their shoes in anticipation of the
candy and presents they will receive in
them in return for putting out hay for
Sinterklaas's white horse.
Because the children receive presents
and candy on Sinterklaas, gift giving is
not as common on Christmas as it is in
some countries, although it is
becoming more customary as time goes
on due to influences from other
cultures. Special dinners and spending
time with families is more the focus
this time of year and people try to relax
and enjoy each other's company.
After Sinterklaas has gone back to
Spain, people start preparing for
Christmas by decorating their homes
and shops. Christmas trees are a
common sight in many homes, but not
every house has one. Poinsettias, which
are called Kerststers, are popular plants
at this time of year, and everyone loves
to sing Christmas carols. There aren't
many “white Christmas's" though!
On Christmas Eve, the Christmas
tree may be lit for the first time,
sometimes with real candles. People
may attend church that evening, or on
Christmas Day morning and then join
their families for dinner : venison,
hare, goose or turkey are traditionally
served as the main dish, with
Kerstbrood (Christmas loaf),
Kerstkrans (Christmas Ring) and
different kinds of puddings as desserts.
Christmas carols may be sung, the birth
of Jesus narrated, or favorite Christmas
tales read.
See page 4
Page 3
On parle déjà de la Springfest … ? !
CHRISTMAS ACROSS EUROPE
Feliz Navidad y Próspero Año
Nuevo!
Spain’s patron saint is the Virgin
Mary and the Christmas season
officially begins December 8, the
feast of the Immaculate Conception.
It is celebrated each year in front of
the great Gothic cathedral in Seville
with a ceremony called los Seises or
"dance of the six." Oddly, the
elaborate ritual dance is now
performed not by six but ten
elaborately costumed boys. It is a
series of precise movements and
gestures and is said to be quite
moving and beautiful.
Christmas Eve is known as
Nochebuena. It is a time for family
members to gather together to rejoice
and feast around the Nativity scenes
that are present in nearly every home.
A traditional Christmas treat is
turron, a kind of almond candy.
December 28 is the feast of the
Holy Innocents. Young boys of a
town or village light bonfires and one
of them acts as the mayor who orders
townspeople to perform civic chores
such as sweeping the streets. Refusal
to comply results in fines which are
used to pay for the celebration.
As in many European countries,
the children of Spain receive gifts on
the feast of the Epiphany. The Magi
are particularly revered in Spain. It is
believed that they travel through the
countryside reenacting their journey
to Bethlehem every year at this time.
Children leave their shoes on the
windowsills and fill them with straw,
carrots, and barley or the horses of
the Wise Men.
MERRY CHRISTMAS TO
ALL! [Main source : www.cvc.org/
christmas/index.htm]
Eh oui ! Cela peut paraître un peu tôt,
mais la Springfest édition 2004 figure parmi
les principaux thèmes de ce premier
trimestre. En effet, on ne peut pas laisser au
hasard une fête qui rassemble jusqu’à 2.600
élèves, leurs familles et leurs enseignants cela se prépare ! C’est le principal
enseignement tiré par l’équipe des bénévoles
2003. Le travail formidable des parents
bénévoles et des élèves a permis l’année
dernière de vivre la première Springfest
commune de la maternelle au secondaire.
Vivement encouragé par ce succès, tout le
monde s’est mis d’accord pour proposer une
Springfest annuelle et instaurer une tradition.
M.Hilmerson, notre nouveau directeur, s’est
réjoui d’un tel enthousiasme pour un
évènement visant à mettre en valeur un esprit
commun à toute l’école et à favoriser la
convivialité. Il a donc déjà fixé les dates (à
noter dans votre agenda !) :
les 28 et 29 mai 2004.
Une telle fête a besoin d’une organisation
solide. Les élèves du secondaire ont déjà leur
propre structure et ont déjà repris le travail
avec enthousiasme. Les parents de l’équipe
2003 ont noté les remarques et propositions
issues du bilan des bénévoles dans un Handbook, mine de conseils pour la suite. Sur
proposition, votée au CA de l’APEEE, un
groupe de coordination a été créé. Il sera
composé de représentants des professeurs
responsables SF (1 mat/prim. et 1 sec.), des
élèves secondaires, des parents bénévoles (1
mat/prim. et 1 sec.) et de la Direction. M.
McArdle est nommé coordinateur général par
la direction. Grâce à ce groupe, la
coordination et le dialogue seront facilités. Un
poste de trésorier a également été créé et un
compte ‘spécial Springfest’ ouvert pour
récolter l’argent disponible et les bénéfices.
Par ailleurs, une trentaine de parents ont
déjà répondu à l’appel pour constituer le
comité 2004 des parents bénévoles. Ils ont
posé les bases d’une organisation qui devrait
permettre à tous les volontaires de mettre
leurs talents et un peu de leur temps au
service d’un évènement privilégié pour les
enfants…et les grands ! Des sous -groupes ont
été établis par thème (Eurovillage, Petit
Marché, Jeux, Spectacles et Finances). Le 16
décembre, le groupe de coordination se
réunira pour la première fois. Mme Verhaeghe
et Mme Dominguez, retenues comme
représentantes parents par le comité des
bénévoles, y présenteront les propositions du
comité.
Les priorités exprimées par les parents – en
dehors du fait d’améliorer encore
l’organisation pratique et financière – visent à
accentuer les interactions entre les différents
acteurs et niveaux de l’école (spectacles,
jeux), à favoriser la convivialité (Eurovillage) et
la découverte de l’école (par exemple journée
portes ouvertes), à trouver des thèmes et
activités fédératrices (par exemple, les jeux
olympiques -paralympiques et l’accueil des
nouveaux pays membres de l’Union), et à
impliquer aussi les enfants du primaire dans
les choix et la préparation.
A nous de donner vie dans les prochains
mois à cette nouvelle fête par des propositions
et une aide concrètes. Vous avez des talents,
des idées qui aideront à améliorer encore cet
évènement ! Des invitations pour les groupes
de préparation suivront. Les coordonnées
seront disponibles sur une page Web.
Pascale Baur
Information concernant les cours de formation pour les professeurs
des différentes sections linguistiques, organisés par leur pays respectif
Les cours de formation des professeurs sont une pratique
suivie dans les pays de l’Union et par conséquent dans toutes
les écoles européennes depuis des longues années. Cette
possibilité est aussi offerte à tous fonctionnaires des institutions européennes et employés d’entreprises.
Lors de la première réunion de l’année scolaire 2003/2004
du Conseil d’Administration de notre APEEE du 1er octobre
2003 et, nous avons été informés par les représentants de la
section germanophone d’un projet de formation de deux jours
destiné aux professeurs de primaire. Au début du mois de novembre nous avons été aussi informés que les autorités espagnoles avaient également organisé une formation à l’intention
de leurs professeurs pour début décembre.
Suite au départ du Président et de la Vice-présidente Pédagogique, une nouvelle équipe a été élue à la tête de l’APEEE.
Le nouveau CA a considéré que nous devions entamer des
démarches pour garantir la formation des professeurs, mais
sans que celle-ci puisse représenter une diminution des 180
jours de classes approuvés par le Conseil Supérieur.
Nous avons décidé de demander au Conseil d’Administration
de l’École (réunion prévue le 15 octobre et reportée au 5 novembre) que les cours soient organisés en dehors des jours
de classe ou, le cas échéant, que l’Ecole prévoit dans son
budget prévisionnel les montants nécessaires pour l’engagement de remplaçants des professeurs titulaires.
Page 4
La Direction de l’Ecole nous a alors expliqué qu’il ne s’agissait pas d’un problème de budget, mais de l'impossibilité des
Directions des trois écoles européennes de Bruxelles de trouver des professeurs pouvant assurer le remplacement de tous
les titulaires de classes à chaque fois qu'il y a des cours de
formation et ce pour toute une section linguistique. Cela ne
serait possible que pour certaines sections, mais pas pour toutes.
Etant donné que l’APEEE doit défendre les droits de tous les
élèves de l’école et que les solutions aux problèmes posées
doivent être applicables à tous les élèves sans exception, nous
avons étudié d’autres possibilités et avons décidé de :
• Demander au représentant d’interparents de défendre le
point lors de la réunion du Comité d’Inspection Mixte
(Primaire et Secondaire) du 20 novembre 2003.
• Présenter notre demande lors de la prochaine réunion du
Conseil Supérieur prévue pour janvier 2004.
• Etablir des négociations avec les autres APEEEs et plus
concrètement avec les APEEEs de BXL I-Uccle et BXL IIWoluwe afin de présenter une demande commune aux trois
grandes écoles de Bruxelles au moins.
L’APEEE ne manquera pas de vous tenir informés de la suite
de ce dossier.
A. Dominguez
Présidente de l’Apeee
Ixellophone
Ecoles européennes : le moment de nouveaux choix
Des écoles en nombre croissant
La première école européenne a vu le
jour à Luxembourg en octobre 1953.
En près de 50 ans, et jus qu’à l’an 2000,
pas moins de 12 écoles furent créées
dans sept Etats membres : Allemagne,
Belgique, Espagne, Italie, Pays Bas,
Royaume Uni. La Belgique accueille le
plus d’écoles : quatre, dont trois à
Bruxelles.
Suite à la décision d’élargir l’Union, le
Conseil Supérieur a décidé de créer deux
écoles supplémentaires : une quatrième à
Bruxelles et une seconde à Luxembourg,
outre l’école de Séville et celle de
Francfort déjà décidées. Ainsi, le nombre
total des écoles fut porté à 14.
Les écoles à un tournant
Cette croissance pose de nouveaux
défis, parmi les quels trois sont prioritaires:
- celui de l’accroissement de leurs
effectifs - près de 19.000 élèves fin 2002
(dont près de 12.000 à Bruxelles et
Luxembourg)
nécessitant
un
accroissement équivalent de leur capacité
d’accueil ;
- celui de leur financement qui découle
en partie du premier ;
- enfin, celui de la « gouvernance » des
écoles européennes: il est temps de
repenser aussi bien le fonctionnement du
Conseil Supérieur que la pondération des
différents acteurs.
Le diagnostic portant sur ces trois défis
fait l’objet d’un assez large consensus,
même si sur les solutions les réponses
parfois divergent.
Améliorer les capacités d’accueil
Les décisions permettant d’assurer des
capacités d’accueil suffisantes ont tardé.
En effet, la construction d’une école
peut durer de cinq à six ans, voire plus. La
décision concernant les deux nouvelles
écoles n’a été prise que récemment, alors
que plusieurs milliers de nouveaux élèves
sont attendus au cours des trois
prochaines années, notamment à
Bruxelles et Luxembourg.
Du coup, des sites provisoires sont
recherchés pour faire face aux besoins.
Le Conseil Supérieur devrait trancher sur
ces aspects lors de sa prochaine réunion
fin janvier 2004, à Bruxelles.
La question des capacités d’accueil
revêt une grande importance dans le
contexte de l’élargissement de l’Union,
tant d’un point de vue symbolique –
accueillir convenablement les nouveaux
Etats membres – que du point de vue de
la masse d’élèves concernés par une
surpopulation des écoles, près de 2/3 des
élèves se trouvant sur Bruxelles et
Numéro 36
Luxembourg.
Obtenir
les financements
nécessaires
La question du financement est
posée par les Etats membres mais
aussi par le Parlement européen,
puisque le budget communautaire
assure près des 2/3 du financement
des écoles, indépendamment des
bâtiments qui sont à la charge des
Etats membres d’accueil.
Par type d’enseignement dispensé,
l’expatriation dans un contexte
européen des enseignants, rendent
certes les écoles européennes plus
chères dans leur fonctionnement.
Le Parlement a exprimé à
plusieurs reprises son insatisfaction
concernant de nombreux aspects du
fonctionnement et du financement
des Ecoles européennes, la dernière
fois dans le Rapport Bösch de
novembre 2002 qui met en exergue
la nécessité d’une réforme, puisque
la contribution du budget de l’Union
européenne versée aux écoles est
en hausse constante..
Le Conseil Supérieur fait aussi
preuve d’un constant souci
d’économies qui souvent se traduit
dans les faits par une révision à la
baisse de la diversité de l’offre
pédagogique. Mais il faut éviter que
le souci de maîtrise du coût de
fonctionnement des écoles ne se
traduise par :
- une réduction de l’offre
pédagogique ou linguistique ;
- une réduction injustifiée du
nombre des écoles, les petites
écoles faisant les frais de la
recherche d’un meilleur contrôle du
budget;
- enfin, une réduction trop grande
du nombre d’élèves dits de
« catégorie 3 », dont les parents ne
font pas partie du personnel
communautaire ou d’organismes
internationaux ayant passé un
accord ad hoc à cet effet ; une telle
réduction obérerait l’ouverture des
écoles européennes aux sociétés
d’accueil et modifierait négativement
leur idiosyncrasie.
Pour financer : faire preuve
d’imagination
Il n’est pas interdit de penser que
l’évolution des coûts des écoles peut
être maîtrisée autrement que par
l’adoption de solutions
malthusiennes. Des propositions
alternatives existent, parfois
élaborées par les associations des
parents.
P
a
r
exemple, la
création d’un
lycée
à
Bruxelles,
en plus de trois écoles accueillant
essentiellement primaires et maternelles,
se traduirait on le sait à la fois par une
réduction du coût de fonctionnement et
par une amélioration de l’offre
pédagogique. Cela prouve qu’en matière
de maîtrise des coûts, l’organisation
d’une large concertation incluant de
manière active les usagers peut être
davantage productive qu’une approche
de type « technocratique ».
Il en est de même pour le maintien des
enfants de « catégorie 3 » au sein des
écoles, nécessaire pour l’ouverture des
écoles à leur société d’accueil, la
sauvegarde des petites écoles, pour des
raisons pédagogiques. L’accroissement
des frais d’inscription pour les rapprocher
des coûts réels qui amènera le minerval
à un niveau difficilement supportable
pour de nombreuses familles, doit à la
fois respecter les attentes légitimes des
familles ayant déjà inscrit leurs enfants
dans les écoles, et être accompagné
d’une réelle politique d’exonération pour
des enfants déjà acceptés dans les
écoles européennes dont les parents ne
disposeraient pas du revenu nécessaire
pour payer un minerval fortement
augmenté.
Enfin, s’agissant des petites écoles,
des partenariats doivent être recherchés
avec des partenaires locaux (collectivités
locales mais aussi chambres de
commerce, etc.) qui peuvent trouver un
intérêt à leur maintien sur place –celui-ci
accroissant l’attrait de leur territoire - et
qui donc doivent assurer une partie de
leur financement.
Une nouvelle « gouvernance »
La gestion des écoles européennes est
déterminée par le Conseil Supérieur. Les
représentants des parents disposent
d’une voix pour toutes les matières qui
n’ont pas d’impact budgétaire. Or la
plupart des décisions pédagogiques
revêtent une dimension budgétaire.
Par ailleurs, si les deux tiers du budget
des écoles sont assurés par le budget
communautaire, la Commission ne
dispose, on l’a vu, que d’une voix. Les
Etats membres, à l’exception de ceux qui
accueillent les écoles et à qui incombent
les frais de construction et d’entretien, ne
prennent en charge que le coût des
salaires nationaux des enseignants
détachés.
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Ecoles européennes : suite
Le Parlement européen ne dispose donc en
quelque sorte que d’un contrôle a posteriori.
Autrement dit, comme l’a noté le représentant de
la Commission au dernier Conseil Supérieur du
mois d’octobre 2003, il y a actuellement une
divergence entre les dispositions actuelles de la
convention portant sur le statut des écoles
européennes – de nature intergouvernementale –
et leur financement substantiel par le biais du
budget de l’Union.
Des questions se posent aussi sur le contrôle
des écoles, les possibilités de recours des
usagers contre des décisions de la Direction des
écoles ou du Conseil Supérieur, leur autonomie,
voire la mise en place de filières alternatives pour
les enfants en situation d’échec scolaire.
Dans le même ordre d’idées, les associations
des parents réclament depuis dix ans qu’une
évaluation des « performances » des écoles soit
réalisée périodiquement en vue de l’amélioration
de leur fonctionnement.
Sur l’ensemble de ces questions, une évolution
doit se dessiner sur la base d’un vaste débat
entre les acteurs concernés. La Commission
s’est engagée à publier prochainement un
plan d’action concernant les écoles
européennes. On pourra alors vérifier si la
Commission se donnera les moyens
d’organiser les vastes consultations que
l’ampleur du chantier requiert.
Enfin, la croissance future du nombre des
écoles
ne
pourra
pas
suivre
systématiquement les voies du passé. La
question, évoquée depuis dix ans par le
Parlement
européen,
de
« l’européanisation » des enseignements
nationaux doit être relancée et expérimentée
à travers la mise en place rapide de projets
pilotes sur les sites – tel celui de
Strasbourg – qui s’y prêtent le mieux.
L’évaluation à terme de ces projets pilotes
permettrait de répondre à la question du
« dépérissement » des écoles européennes
et de l’intégration de leur modèle dans les
systèmes nationaux, ou, devrait-on dire
alors, européens.
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