la déportation de répression dans l`aube

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LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION DANS L’AUBE
(par Rémi Dauphinot et Sébastien TOUFFU)
I. LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION : LES SOURCES ET L’HISTORIOGRAPHIE
ll y a encore quelques années, dans une étude sur le phénomène terrible de la déportation, on aurait distingué celle des « juifs » et celle des «
résistants et politiques ». Pierre Laborie l'a rappelé récemment dans un colloque sur les déportés résistants (20 juin 2005) : la recherche et le
vocabulaire utilisé aujourd'hui par la plupart des historiens tendraient plutôt à opposer une déportation dite de « persécution » et une déportation
dite de « répression ».
La première regrouperait en gros des familles entières (hommes, femmes, enfants, vieillards) déportées et sélectionnées pour la mort, arrêtées et
éliminées parce que nées juives, et la seconde regrouperait le plus souvent des adultes arrêtés et déportés pour ce qu'ils ont fait ou sont
susceptibles de faire contre le IIIe Reich. Par ailleurs, dans cette déportation de répression, on joint désormais à la figure des " résistants " et
" politiques " le sort des " otages ", des " droits communs " et aussi plus récemment celui des " requis du STO " et des " prisonniers de guerre "
ayant accompli des actes hostiles au Reich.
Cette distinction fondamentale dans la politique de déportation du IIIe Reich n'est pas que formelle. Elle peut être éclairée par le sort de trois
déportés aubois qui ont été arrêtés pour des faits de résistance ou l'appartenance à un mouvement de Résistance. Pierre Huberfeld, qui a distribué
des journaux de Libération-Nord, Hélène Jakubowicz, agent de liaison du parti communiste parisien à Troyes, et Jacqueline Rachi, elle aussi
résistante troyenne, ont été arrêtés et internés dans un premier temps pour réprimer leurs actions. Dans un deuxième temps, au lieu d'être internés
à Compiègne comme la plupart des résistants, ils sont acheminés à Drancy et déportés en tant que juifs et non résistants. Pour les nazis, la
distinction est donc très claire.
Notre méthode
Pour aboutir à une " synthèse " (si ce mot est acceptable, tant la diversité des situations et des destins l'a emporté) sur la déportation de répression
dans l'Aube, notre souci a été d'abord de revenir aux parcours individuels de chacun des déportés. Pour cela, il a fallu repartir des différentes
sources et les croiser. Nous avons ainsi essayé d'actualiser et de compléter le plus possible la liste des déportés depuis le département de l'Aube.
Pour ce faire, nous avons utilisé les fiches individuelles réalisées pour chaque déporté aubois par les correspondants du Comité d'histoire de la
deuxième guerre mondiale (CH2GM). Nous les avons ensuite comparées et complétées avec celles des fichiers de l'Office national des anciens
combattants (ONAC). Le Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de
persécution, 1940-1945, (quatre volumes de plus de 1 000 pages chacun), paru en juin 2004, instrument de recherche d'une richesse incroyable, a
ensuite facilité grandement notre tâche et nous a permis de mesurer la complexité du parcours des déportés dans la toile concentrationnaire
allemande (pour ne pas alourdir le texte nous l'appellerons ci-dessous plus simplement Livre-Mémorial).
Un sujet longtemps polémique
Rappelons ici que ce sujet ô combien complexe, et par certains aspects piégé, a été longtemps l'objet de polémiques. Annette Wierviorka en fait
l'historique dans un ouvrage issu de sa thèse, Déportation et génocide. La querelle entre le CH2GM et la FNDIRP (Fédération nationale des
déportés et internés résistants et patriotes) a d'abord porté sur les chiffres, au début des années 1970. Le CH2GM dénombre ainsi, à partir du
travail des correspondants départementaux, " seulement " 52 000 déportés non juifs. Pour la FNDIRP, c'est trop peu. La méthode entraîne aussi
des passes d'armes. Comment éviter de compter deux fois la même personne : faut-il compter les déportés par rapport aux lieux d'arrestation, aux
lieux de résistance ou aux lieux de résidence ? Une synthèse nationale regroupant tous les travaux des correspondants départementaux, qui aurait
été possible, ne peut voir le jour dans les années 1970. Pour certains anciens déportés, compter les déportés ne reviendrait-il pas à compter le
poids de chaque mouvement ? Or, le contexte politique des années 1970 est encore marqué par la guerre froide. Il y a dix ans, dans un contexte
plus serein, et pour combler ce manque et ce retard de la recherche française, la Fondation pour la mémoire de la déportation (FMD) prend
l'initiative de relancer les travaux et de réaliser un Livre-Mémorial du même type que celui de Serge Klarsfeld pour les juifs déportés de France
(paru en 1978) et confie le travail de recherche à des historiens de l'université de Caen. Ceux-ci, après un travail considérable et un partenariat
efficace, aboutissent au chiffre de 86 000 déportés de répression. Ce chiffre, beaucoup plus proche de la réalité, est cependant provisoire ; il est
amené à sensiblement augmenter (depuis la publication du Livre-Mémorial, 2 000 nouveaux noms ont ainsi été transmis aux chercheurs via la
FMD. Ce fait ne peut nous surprendre : dans l'Aube, une quarantaine de déportés attestés dans les listes des Archives départementales ou de
l'ONAC, dont la déportation ne fait pas de doute, n'apparaissent pas dans le Livre-Mémorial, soit à peu près 10 % du chiffre total de la
déportation de répression dans l'Aube.
Difficulté d'une statistique de la déportation
Pendant longtemps, le problème des chiffres était d'abord celui de la définition du mot " déportation ". Dans les fiches du CH2GM, on retrouve
parfois mélangés des requis du STO, des prisonniers de guerre, des juifs. Ce travail de clarification et de classement a été difficile à réaliser, face
à des listes de noms dont aucun témoin ne pouvait infirmer ou confirmer le statut. Pour éviter de compter deux fois la même personne, le cadre
géographique pris en compte par le correspondant du CH2GM a été celui du département d'arrestation. Or, ce lieu d'arrestation a bien souvent été
différent de celui du lieu de résistance. Ce qui ne va pas sans poser des problèmes ou des cas de conscience.
Prenons juste deux exemples. Pierre Mulsant, grand résistant aubois s'il en est, revenant d'une mission en Angleterre, est arrêté en Seine-etMarne à Fontainebleau. Il apparaît néanmoins dans la statistique auboise. Né à Troyes, ayant accompli la plupart de ses actions de résistance dans
l'Aube, il eut été difficile de l'inscrire comme déporté de Seine-et-Marne. Or, le traitement statistique est différent pour ses deux radios Honoré et
Barrett, qui ont eux aussi été arrêtés à Fontainebleau. Bien qu'ayant accompli des actes de Résistance dans le département de l'Aube, ils
n'apparaissent pas dans les fiches individuelles auboises : deuxième cas qui montre toute la difficulté d'une méthode uniforme. Faut-il compter
parmi les déportés aubois, ceux qui ont été arrêtés dans leur tentative de franchir les Pyrénées ? Jean Laroche, jeune lycéen de Provins, domicilié
au Mériot dans l'Aube, arrêté en 1943, n' a pas été retenu, alors que Louis Bannholtzer arrêté exactement dans les mêmes conditions apparaît
dans les fichiers individuels aubois. Qu'on ne lise pas à travers ces exemples une critique, mais au contraire un hommage au travail accompli par
les correspondants du CH2GM qui ont travaillé les premiers sur ce sujet, souvent dans des conditions difficiles, face à des témoins rares, et avec
des données parfois complexes à rassembler (date et motif d'arrestation, date de déportation, date de décès.)
Ces fiches réalisées par le CH2GM demeurent ainsi un instrument incontournable de connaissance de la déportation, mais aussi de la Résistance.
Dans 90 % des cas, le motif d'arrestation est indiqué, à la différence du Livre-Mémorial qui n'indique pas cette information. Nous avons ainsi pu
saisir la chronologie et la géographie de la répression allemande et mesurer les coups durs successifs reçus par la population civile et les
différents mouvements et réseaux de résistance. Dans l'Aube, ce travail de synthèse a été mené et publié par Bernard Gildas. Les résultats ont été
publiés en 1968, dans le Bulletin du CH2GM et dans La Vie en Champagne (n°169, juillet-août 1968). Les chiffres qu'ils donnent montrent peu
de différences avec ceux qui résultent de notre recherche. Il n'y a rien de trop étonnant à cela, car l'essentiel de notre base de donnée est issu des
recherches de Bernard Gildas. Signalons qu'en 1985, Jean-Pierre Husson a réalisé la première étude universitaire en Champagne-Ardenne sur la
déportation, en comparant les chiffres des départements des Ardennes, de l'Aube, de la Marne et de la Haute-Marne. On peut d'ailleurs retrouver
les données de cette étude comparée sur le site Internet du CRDP de Reims.
Une autre difficulté de vocabulaire réside dans la distinction classique entre quatre catégories de déportés : les " résistants ", les " politiques ", les
" droits communs " et les " otages ". Cette distinction est parfois compliquée à prendre en compte. Il est souvent délicat de considérer comme
" politique " et " non-résistant ", une personne arrêtée comme " communiste " ou membre du Front national en 1941-1942. L'historien Jean
Quellien, qui s'est considérablement impliqué dans les travaux du Livre-Mémorial, propose ainsi d'opposer ou plutôt de prendre en compte, outre
les cas des " otages " et " droits communs ", les déportés issus d'une Résistance que l'on pourrait qualifier d'organisée (regroupant des membres
de réseaux et de mouvements), et les déportés issus de la Résistance civile, arrêtés pour avoir, d'une manière ou d'une autre, aidé, soutenu la
Résistance, ou réalisé un acte anti-allemand sans forcément appartenir à une organisation.
Si on peut espérer un apport de notre travail sur la déportation, il est donc dans la vérification et la constitution de listes individuelles des
déportés de répression. Nous avons conscience qu'elles sont presque obligatoirement incomplètes, bien souvent on aimerait savoir beaucoup plus
de choses sur le parcours individuel avant l'arrestation, et bien qu'elles comportent peut-être des erreurs ou des approximations, elles sont en fait
le résultat d'un moment donné de la recherche.
Notice de Rémi Dauphinot (Recherche de Rémi Dauphinot et Sébastien Touffu)
II. LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION : MOTIFS D’ARRESTATION ET SOCIOLOGIE
Résistance organisée et Résistance civile
Dans l'Aube, 383 personnes ont été déportées en Allemagne au titre de la répression. Si les motifs d'arrestation ne sont pas connus pour 32
personnes (8,3 % du total), une première catégorie de déportés se détache nettement, celle des résistants (323 personnes, soit 84,3 % du total). On
peut cependant distinguer à l'intérieur de cette " Résistance ", deux groupes différents.
Au sein de la " Résistance organisée " (celle des mouvements, des réseaux, des syndicats, des partis politiques), on a tout d'abord 253 déportés.
Deux mouvements ont été touchés à peu près avec la même dureté. Le mouvement Ceux de la libération, fortement implanté dans l'Aube, a subi
ainsi la déportation de 52 de ses membres. Le mouvement FTP, lui aussi très bien représenté dans le département, a connu 51 départs en
Allemagne. On trouve ensuite 27 arrestations et déportations de membres du Front National, 19 pour le BOA, 13 pour le parti communiste, 12
pour l'Armée secrète, 10 pour le mouvement Libération-Nord, trois pour les commandos M. On a donc un total de 187 déportés issus des
mouvements ou partis de la Résistance. Dans une moindre mesure, on a ensuite des membres de réseaux présents dans l'Aube, 14 personnes au
total, à savoir un membre du réseau Hector, un membre de Jade, un de Manipule, un de Jade et Manipule, le chef du SNI clandestin, un membre
de l'organisation Schmidt, un membre du réseau Buckmaster, un représentant du réseau Kléber-Nord (membre par ailleurs de l'OCM), un
membre du réseau Shelburn, un fondateur de corps francs (Arnoult), deux FFI, un FFC, un RIF. On peut ajouter 35 personnes qui sont déportées
pour appartenance " à la Résistance ", sans que nous sachions le nom de leur mouvement ou réseau, 16 déportés que l'on peut qualifier de
" politiques " et le cas particulier d'Albert Lecourt, résistant déporté après avoir trahi tous les membres de son maquis, condamné à mort à son
retour de déportation.
Toujours dans la " Résistance ", mais dans ce qu'on peut appeler la " Résistance civile ", caractérisée par des actes individuels très diversifiés, de
plus en plus réprimée par les Allemands au cours de la guerre, on recense 70 cas de déportation. Cette résistance civile est une réalité importante,
longtemps sous-estimée par les historiens. Beaucoup de personnes qui aident les résistants et qui manifestent une hostilité envers les Allemands
sont en effet déportées sans appartenir à un mouvement ou un groupe organisé. Les motifs d'arrestation sont alors très variés, avec par ordre
décroissant : 14 déportations pour une aide à la Résistance (sous la forme de renseignements, d'hébergement, de ravitaillement, de fourniture de
cartes d'identité, d'aide aux réfractaires ou de soins médicaux à des blessés), 14 déportations également pour détention d'armes, 10 pour aide aux
aviateurs alliés, neuf pour rébellion contre l'armée allemande, 9 pour sabotage (des signaux SNCF, du dépôt SNCF, du dépôt d'essence, de
transports allemands, de moissonneuse-batteuse), 6 pour propagande anti-allemande ou anti-nazie, quatre pour écoute de Radio-Londres, 1 pour
détention d'effets allemands, pour inaction lors d'une action de la Résistance, pour détournement de courrier au préjudice des Allemands et pour
accident mortel à l'encontre d'un soldat allemand. Dans cette résistance civile, on peut enfin rajouter 5 réfractaires au STO qui refusent de
travailler en Allemagne, déportés pour ce motif dans des KL ou des prisons.
On a ensuite une deuxième catégorie de déportés, celle des otages, avec 13 personnes déportées (3,5 % du total). Une troisième catégorie est
beaucoup moins représentée, celle des délits de droit commun avec 6 déportés (1,6 % du total).
Sociologie
On retrouve dans les 383 déportés des adultes de tout âge (des étudiants, des pères et mères de famille, des retraités), mais surtout des personnes
issues de tous les milieux sociaux (des chirurgiens, des industriels, beaucoup d'ouvriers, des agriculteurs, des chômeurs), de toutes les
professions. On parle ici de la résistance des " sans-grades " ; la résistance s'exprime alors comme un miroir de la société. Par ordre décroissant,
avec des implications et des fonctionnalités différentes au sein de la Résistance, on retrouve les métiers suivants :
- 27 cheminots de la SNCF (cette profession, extrêmement politisée et structurée avant-guerre, paie assurément le plus lourd tribut ; elle a été
touchée notamment à Romilly le 29 juillet 1942 avec le démantèlement d'un groupe de cheminots communistes) ;
- 23 agriculteurs (avec autant de cultivateurs et vignerons), ce qui montre l'implication directe du monde rural dans la résistance auboise ;
- 19 employés dans la bonneterie ;
- 13 agents de l'ordre (10 policiers et trois gendarmes, ce qui conteste la vision trop tranchée d'une adhésion pleine et entière au régime de Vichy
de ce corps militaire, qui a compté des résistants dans ses rangs bien avant les ralliements de l'été 1944) ;
- 12 commerçants et négociants ;
- 9 employés du bâtiment ;
- 9 mécaniciens ;
- 7 chauffeurs ;
- 7 employés du service de ravitaillement général de Troyes (qui a servi de couverture à l'Armée secrète avant qu'une rafle ne vienne frapper son
chef et de nombreux cadres en janvier 1944) ;
- 7 exploitants-forestiers (avec là encore une couverture professionnelle pour des activités de résistance, avec un groupe de résistants organisant
et réceptionnant des parachutages à Épothémont avant le démantèlement du groupe) ;
- 5 militaires (dont un retraité, et un intendant militaire, représentant de l'OCM) ;
- 5 professions médicales (trois docteurs, un ophtalmologiste et un chirurgien, avec là encore un lien direct entre leur profession et leur activité au
sein de la Résistance, puisque dans le cadre du réseau du docteur Maillard, leur mission consiste à cacher et soigner des aviateurs alliés blessés) ;
- 4 étudiants, 4 cafetiers, 4 employés des PTT, 4 surveillants de prison, 4 bouchers-charcutiers, 4 garagistes ;
- 2 instituteurs (dont le secrétaire général du SNI à la retraite), 2 employés, 2 électriciens, 2 libraires, 2 manutentionnaires, 2 comptables, 2
contremaîtres ;
- un manoeuvre, un vendeur de journaux, un coiffeur, un retraité, un notaire, un receveur-buraliste, un agent d'assurances, un entrepreneur, un
secrétaire, un camelot, un marin,un marchand d'immeubles, un ajusteur, un papetier-relieur, un bûcheron, un étameur, un chef d'équipe, un
marchand forain, un ébéniste, un papetier, un receveur et un contrôleur des impôts, un menuisier, un fonctionnaire, une ménagère, un
chaudronnier, un livreur, un équarisseur, un restaurateur, une coutourière, un maréchal-ferrand...
III. LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION : CHRONOLOGIE ET GÉOGRAPHIE
Aborder la géographie et la chronologie de la déportation nécessite d'aborder au préalable la question des lieux d'internement. Pour ceux-ci, il
faut avouer que les données sont souvent lacunaires. Sur les fiches individuelles des déportés réalisées par les correspondants du CH2GM, les
lieux d'internement de l'Aube et de la région parisienne sont parfois notés, mais pas systématiquement. La plupart des résistants arrêtés dans
l'Aube ont connu la détention et très souvent la torture au siège de la Gestapo, boulevard Gambetta, ou à la prison de la rue Hennequin à Troyes,
avant de connaître un transfert à Châlons-sur-Marne. La prison de Clairvaux a été elle aussi un lieu préalable de détention de beaucoup de
déportés politiques. Les registres d'écrou de Clairvaux concernant la période de l'Occupation ayant récemment été retrouvés, on devrait bientôt
mieux connaître le fonctionnement de cette prison comme instrument de la répression anticommuniste menée concomitamment par Vichy et les
Allemands.
La durée d'internement avant la déportation est très variable, allant de quelques jours à plusieurs mois, allant plutôt dans le sens d'un
raccourcissement vers la fin de l'Occupation. Avant l'Allemagne, de nombreux résistants aubois sont transférés dans les prisons parisiennes : la
prison de Fresnes et celle du Cherche-Midi pour les hommes, et le fort de Romainville pour les femmes sont les trois lieux qui reviennent le plus.
Immédiatement avant le départ, la moitié des déportés de répression arrêtés dans l'Aube a connu l'internement au camp de Compiègne, qui
s'oppose ainsi en partie au camp de Drancy réservé à la quasi-totalité des juifs. Le départ pour l'Allemagne se fait ensuite soit depuis les gares
parisiennes (surtout depuis la gare de l'Est), soit depuis le camp de Compiègne (189 déportés sur les 383).
On peut ensuite distinguer principalement trois phases chronologiques dans la déportation de répression.
De 1941 à 1942, les départs en Allemagne se font dans de petits convois cellulaires, souvent de 30 à 50 personnes réparties au sein de wagons de
voyageurs encadrés par des soldats. La déportation commence, mais concerne très peu de personnes. La politique de déportation de répression
n'est pas encore fixée. Les personnes arrêtées, notamment les communistes, sont souvent fusillées et non déportées. Dans l'Aube, cela se traduit
par des exécutions à Clairvaux ou à Troyes.
Durant la deuxième phase, de 1942 à la première moitié de 1943, la déportation commence à être davantage organisée et structurée. Elle se fait
désormais dans le cadre de la procédure « Nuit et Brouillard » et se substitue clairement à la politique d'exécution des otages. Les déportés sont
destinés à être jugés par des tribunaux en Allemagne et sont pris en charge par les autorités militaires.
La troisième phase chronologique commence dans la deuxième moitié de 1943 et va jusqu'à l'extrême fin du mois d'août 1944. C'est la période la
plus dure pour la Résistance, dans un souci de plus grande efficacité, la déportation est de plus en plus confiée aux soins de l'Office central
d'administration de la SS (Wirtschaftsverwaltungshauptamt, ou WHVA) en charge de l'administration des camps. En effet, comme l'explique
l'historienne Claudine Cardon-Hamet, "celui-ci intervient auprès de l'Office principal de sécurité du Reich (Reichssicherheitshauptamt, RSHA),
qui a le monopole de l'internement en camp de concentration afin qu'il accroisse la population concentrationnaire qui travaille pour les
industries militaires depuis que l'Allemagne est engagée dans la guerre totale". L'application de ces directives est bien sûr facilitée par le fait que
le monopole de la répression en France passe à partir du 1er juin 1942 des mains de la Wehrmacht au profit du représentant direct d’Himmler en
France, à savoir Karl Oberg, chef supérieur de la SS.
Les Allemands déportent jusqu'aux instants ultimes de l'Occupation. On doit ainsi souligner que les deux tiers des déportés de répression aubois
sont partis en Allemagne en 1944, rien que dans les huit derniers mois de l'Occupation, soit 245 personnes (63,9 % du total). Pour l'Allemagne
nazie, la déportation de répression devient un enjeu vital, elle prend d'ailleurs une dimension de plus en plus économique. Cela se traduit par la
constitution de très grands convois avec pour certains plus de 2 000 personnes. Beaucoup d'Aubois sont déportés dans ces grands convois : on a
par exemple les convois pour Buchenwald du 17 et 22 janvier 1944, et le tristement célèbre "Train de la mort" pour Dachau du 2 juillet 1944
(avec 530 décès durant le transport).
Alors que les lieux d'extermination des juifs sont concentrés à l'est du Reich dans les " centres de mises à mort " que sont Auschwitz, Sobibor ou
Maïdanek, la géographie de la déportation de répression frappe par son éparpillement. On parle souvent d'une véritable " toile
concentrationnaire " qui correspond en fait à l'effort de guerre du IIIe Reich. Les déportés sont insérés directement dans l'industrie d'armement à
travers les camps principaux que sont Buchenwald, Dachau, Neuengamme, Mathausen, ou Bergen-Belsen et les centaines de kommandos qui
dépendent de ces camps, pour la construction des VI et V2, pour la fabrication de moteurs d'avions, de sous-marins, de chars, de munitions. On
doit signaler enfin que 87 déportés aubois n'ont pas connu de camps de concentration, ayant été transférés exclusivement dans des prisons ou des
forteresses. Bien que les conditions de survie y aient été très difficiles, le pourcentage de décès constaté est deux fois moins important que dans
les camps de concentration : 24 décédés sur 87, soit 27,5 % du total.
IV LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION : DES DESTINS TRÈS DIFFÉRENTS
Parler de « déportation » au singulier présente l'inconvénient d'aborder des situations complètement différentes. La déportation des juifs dans le
cadre de la Solution finale présente une grande unité : il s'agissait en effet pour les nazis d'exterminer tous les juifs, 90 % des juifs ne rentraient
d'ailleurs pas dans les camps et partaient directement à la chambre à gaz, et ceux qui étaient sélectionnés pour travailler devaient les rejoindre tôt
ou tard dans la mort par les sélections et l'épuisement. En ce qui concerne la déportation dite de « répression » visant les résistants, les politiques,
les otages et les droits communs, la diversité des situations domine. Même si la mort était au final le destin commun des déportés, ceux qui ont
survécu en conviennent les premiers, ils ont connu des parcours très différents, et à l'intérieur même des camps ont dû affronter des réalités fort
changeantes.
Précisons tout d'abord que nous ne reviendrons pas ici sur certains aspects spécifiques de la déportation de répression étudiés dans d'autres
notices. C'est le cas de la déportation des femmes, avec ce constat difficilement explicable d'un taux de mortalité des résistantes auboises très en
dessous de la moyenne nationale. Nous ne reviendrons pas non plus ici sur la déportation dans le cadre de la procédure « Nuit et Brouillard » qui
concerne plus de 71 Aubois, qui sont jugés par le tribunal militaire de Breslau ou de Cologne, Aix-la-Chapelle pour les femmes. Les " NN "
avaient un statut nettement inférieur et ont connu des conditions de survie beaucoup plus dures, qui expliquent un taux de mortalité plus
important avec 56 % de décès. De même, nous reprendrons plus loin deux thèmes que l'historiographie de la déportation a récemment ouvert : le
sort des républicains espagnols et celui des Aubois arrêtés sur le territoire du IIIe Reich, à savoir des prisonniers de guerre et des réfractaires au
STO qui ont été déportés dans des prisons ou des KL pour des sabotages ou des faits de résistance.
Dans la notice sur la chronologie et la géographie de la déportation, nous avons aussi évoqué le cas des résistants déportés dans des prisons avec
des peines de travaux forcés. Certains restent dans les prisons sans connaître de camp de concentration et sont libérés en mai 1945, d'autres sont
transférés dans des camps de concentration dans le cours de l'année 1944.
Si la déportation de répression est liée à la recherche d'un main-d'oeuvre d'esclaves à exploiter jusqu'à la mort, il ne faut oublier non plus que
certains déportés sont décédés à la suite d'une condamnation à mort. Lors d'un colloque à l'Assemblée nationale, Pierre Laborie a souligné qu'il
n'existait pas pour l'instant d'étude comparée sur l'espérance de vie des résistants par rapport aux droits communs ou aux otages, mais son
intuition est qu'elle semble à la fois plus longue et plus courte. Le paradoxe n'est qu'apparent : les résistants savent pourquoi ils ont été arrêtés et
luttent pour des idéaux, ce qui renforce leur désir de survivre. De même, à l'intérieur des camps, la solidarité est plus importante entre les
résistants, mais en contrepoint la haine des SS est plus tenace contre eux avec des peines capitales prononcées plus souvent, notamment pour les
chefs de réseaux. Pierre Mulsant est ainsi fusillé en tant que haut responsable aubois du SOE, Raymond Birer est quant à lui décapité le 7
septembre 1944 à Breslau en tant que responsable du mouvement de résistance communiste à Romilly. Trois de ses camarades des FTP
connaissent le même sort tragique le 4 janvier 1945, exécutés le même jour à Breslau : Roland Bouhelier, René Jouvet, et André Maire.
On a ensuite trois convois qui ont été étudiés par des chercheurs et qui concernent des Aubois, dont on doit rappeler ici la spécificité.
Il s'agit tout d'abord du convoi du 6 juillet 1942 pour Auschwitz. Il est connu comme le convoi des " 45 000 " (ce qui correspond à la série initiale
des matricules de la plupart des déportés) et a été étudié par Claudine Cardon-Hamet. Elle a pu montrer dans sa thèse que le convoi du 6 juillet
1942 pour le camp d'Auschwitz-Birkenau occupe une place particulière dans la déportation de répression. Placé sous la bannière de la croisade
contre le " judéo-bolchévisme ", il se mêle à la politique d'exécution des otages et les tous premiers transports des juifs depuis la France. Ce
convoi politique du 6 juillet a concerné 1 175 hommes, pour la plupart des résistants communistes. À Auschwitz, les conditions de détention sont
si dures que 90% des décès surviennent dans les six mois de l'arrivée dans ce camp de concentration et d'extermination. Les trois Aubois du
convoi sont ainsi décédés en seulement quelques semaines : Robert Riché le 25 août 1942, Joseph-Émile Andrès le 16 septembre 1942, et Pierre
Arnoult, un des premiers résistants aubois, le 18 septembre 1942. Au final, seuls 119 hommes de ce convoi sont survivants en mai 1945.
Le convoi pour Auschwitz du 27 avril 1944 est quant à lui appelé le convoi " des déportés tatoués ". Ce grand convoi est composé de résistants
envoyés à Auschwitz, mais qui, pour une raison qui reste encore aujourd'hui indéterminée, n'y restent que deux semaines avant d'être transférés
au KL Buchenwald ou au KL Flossenburg puis dans de nombreux kommandos. Vingt-deux Aubois font partie de ces déportés et leur destinée a
été souvent la mort puisqu'en 1945, on ne compte que cinq survivants : Henri Curin, Jean Doussot, André Gaugue, Fernand Gaulard et Michel
Juft. Il faut remarquer que ce taux de décès des résistants aubois (77,3 %) est très largement supérieur à la moyenne déjà élevée du convoi (816
décès sur un total de 1 653 hommes soit 49,6 %). Les 17 victimes sont les suivantes par ordre alphabétique : Edmond Bouguier, Germain
Christmann, Maurice Defert, Albert Ferrand, Roger Gauroy, Jean Henry, Robert Herr, Fernand Hestin, Jean Hoppenot, Jean Lanez, André
Laurens, Léon Martin, Charles Massart, Roger Ruffier, Marcel Tissot, Daniel Traini et Marcel Unterwald. Parmi eux se retrouve une majorité de
membres de l'Armée secrète auboise qui a été décimée par le démantèlement de son mouvement en janvier 1944 et trois jeunes réfractaires au
STO arrêtés dans l'Aube en mars 1944, à Marnay-sur-Seine, après avoir participé au maquis FTP du Vignot situé à la limite entre l'Yonne et
l'Aube.
La forte identité du convoi est renforcée par un fait rare. Après guerre, les survivants, rejoints aujourd'hui par leurs enfants et petits-enfants, ont
créé une association du convoi des " déportés tatoués ". Dans l'Aube, Jacques Dham, né en 1920, déporté depuis la Marne où il était résistant à
Épernay, fait partie des quelques survivants de ce convoi qui peuvent encore aujourd'hui témoigner. Son fils, Christophe Dham a pris depuis
plusieurs années la relève du travail de mémoire dans le bureau de l'association, avec notamment l'organisation dans toute la France d'une
exposition itinérante destinée au grand public et aux scolaires sur l'histoire spécifique du convoi.
Le troisième transport identifié par un surnom est le convoi pour Dachau du 2 juillet 1944, c'est-à-dire le tristement célèbre " train de la mort ".
Dans une canicule extrême, sans eau, dans une France de l'Est marquée par le sabotage des voies de chemin de fer, le convoi a été ralenti
longtemps dans les gares de la Marne. Les nombreuses tentatives de libération échouent les unes après les autres. Durant les quatre longues
journées que dure le transfert vers Dachau, un tiers des 2 000 personnes décède par asphyxie et déshydratation. Le 240e convoi parti de France,
selon les listes du Livre-Mémorial, a transporté 31 résistants aubois, parmi lesquels les 11 personnes suivantes décèdent pendant le trajet, soit là
aussi un tiers : Émile Buck, Auguste Buck, Marcel Dore, André Dussolier, Henri Eple, Jean Hurtault, Émilien Paquier, Émile Patris, Roger Prat,
et Albert Rovelli.
Au-delà du cas particulier de ces trois convois, la norme reste cependant le transfert dans un grand camp principal pour le travail. Si on prend en
compte le premier lieu de déportation, les camps connus par les Aubois sont les suivants par ordre d'importance : Buchenwald (78), Dachau (54),
Neuengamme (41), Hinzert (34), Auschwitz (22), Natzweiler (15), Mathausen (14), Sachsenhausen (12) et, pour les femmes Ravensbrück (11).
Précisons que le camp d'Hinzert a le statut d'un camp d'internement, mais que dans la réalité, il ne se différencie pas d'un camp de concentration,
et que le complexe d'Auschwitz-Birkenau est à la fois un camp d'extermination (ou autrement dit un " centre de mise à mort ") et un camp de
concentration. Au total 281 personnes, soit 73,3 % des Aubois déportés dans le cadre de la répression connaissent comme premier lieu de
déportation un grand camp.
À l'arrivée dans ces camps, après un trajet qui a pu durer de un à quatre jours, la plupart des prisonniers reçoivent un matricule (rappelons que les
déportés du 27 avril 1944, déjà évoqués plus haut, connaissent un traitement différent puisqu'ils sont tatoués sur le bras à leur arrivée à
Auschwitz). Abasourdis, ils réalisent très vite que les camps ne ressemblent en rien à des simples camps de travail ou aux centres d'internement
qu'ils ont pu connaître en France. Il leur faut apprendre très vite les gestes qui assurent une survie qui reste de toute manière incertaine. Ils sont
ensuite envoyés soit dans des kommandos extérieurs, soit dans un autre camp, soit ils restent dans le camp principal. De manière générale, les
nombreux transferts connus par les déportés de répression constituent encore aujourd'hui une réalité souvent mal connue. Si 38,6 % des déportés
n'ont connu qu'un seul camp, un quart a connu au moins deux camps (28,2 % plus précisément), un cinquième au moins trois (19,2 %), alors que
11,7 % des déportés de répression aubois connaissent plus de trois camps. Parmi ces derniers, on trouve essentiellement des déportés " NN "
transférés de Hinzert au tribunal de Breslau et ensuite déportés de nouveau après leur jugement vers une ou plusieurs prisons ou des camps de
concentration. Pour notre recherche, le Livre-Mémorial s'est avéré un guide très précieux sur la précision des parcours concentrationnaires. Nous
avons cependant constaté à de nombreuses reprises des contradictions avec les fiches individuelles des déportés déposées aux archives
départementales. Ce n'est pas si étonnant, si on veut bien accepter l'idée que pour beaucoup de survivants, plongés dans un univers inimaginable,
des espaces inconnus et une langue hostile, la connaissance du parcours a parfois été très approximative. Pour ceux qui sont décédés, la
différence de données concernant le parcours semble par contre logique.
Au-delà de la diversité des destins, on peut dire cependant que les derniers mois de la détention ont été terribles pour tous les déportés. L'étude
des dates de décès (connue dans 85 % des cas) montre en effet une concentration de la mortalité dans les six derniers mois. De décembre 1944 à
mai 1945, on a un total de 86 morts (soit 51,5 % du total). Sur cette même période, le nombre de décès dans les prisons et les kommandos est
particulièrement important. Certains kommandos extérieurs sont connus pour leur mortalité effroyable. Dans ceux-ci, l'extermination se fait par
le travail, l'épuisement, la faim, les violences, les exécutions...
En ce qui concerne le retour, là encore il n'y a pas d'unité et on peut sans nul doute dire que presque chaque déporté a connu une destinée
particulière. Beaucoup d'auteurs soulignent tout d'abord l'ambiguïté du mot " libération ". Certains connaissent les marches de la mort, certains
réussissent à s'évader, d'autres sont libérés par les Américains ou les Russes sur le front de l'Est. Certains rentrent par leurs propres moyens quand
ils en ont la force, d'autres sont évacués par la Croix-Rouge, ou par les autorités militaires. D'autres affrontent l'horreur de la baie de Lübeck où
des avions britanniques bombardent par méprise des navires allemands qui transportent des milliers de déportés. Parmi eux, bien peu survivent.
On a par exemple le résistant romillon André Barbenoire.
D'autres ont la fierté de participer à la libération de leur camp. C'est le cas de Pierre Brision qui fait partie de la Résistance à l'intérieur du camp
de Buchenwald et qui a réussi à cacher des armes avant l'arrivée des Américains. Beaucoup décèdent aussi dans les jours et les semaines qui
suivent leur rapatriement. C'est pourquoi le chiffre de 167 décès sur les 383 déportés de répression aubois doit être pris avec prudence. De même,
l'amertume du retour a été un sentiment souvent partagé et évoqué. Dans un pays dont la plupart des territoires sont libérés depuis plusieurs mois,
dans une France en liesse qui fête le 7 et le 8 mai la capitulation sans condition de l'Allemagne, les survivants reviennent dans un monde qui leur
est désormais étranger. Pour beaucoup d'anciens déportés, l'écart énorme des situations vécues par leurs concitoyens devient très vite un mur
d'incommunicabilité qui ne sera pas franchi par certains avant parfois des décennies.
V LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION DES FEMMES
Longtemps mise de côté par l'historiographie traditionnelle, l'histoire des femmes déportées est à bien des titres une histoire singulière. Pour
aborder ce thème, on peut s'appuyer sur les travaux récents d'Évelyne Morin-Rotureau, historienne qui a déjà publié de nombreux livres sur les
femmes et sur la Seconde Guerre mondiale. Parmi ces dernières publications, 1939-1945 : combats de femmes, Françaises et Allemandes, les
oubliées de la guerre, qui rassemble des textes d'historiens et des témoignages de résistantes et déportées. Dans son livre, elle revient tout d'abord
sur de la situation des femmes dans la France des années 1930. Les femmes françaises se singularisent déjà par leur situation de non-citoyennes :
contrairement aux Américaines, aux Anglaises ou aux Allemands, elles n'ont pas le droit de vote. Malgré cela, elles ont pourtant fait preuve
d'engagement et de courage, tout autant que les hommes.
Si on fait la part belle aux stratégies militaires dans l'histoire de la Résistance, les actions des femmes sont souvent passées sous silence.
Emblématique de ce déni, lorsque les femmes déportées revenaient de camp en 1945, les phrases du type " on ne savait pas qu'elle était juive "
étaient courantes, comme s'il avait été impossible d'être femme et résistante. Ainsi, dans l'Aube, 46 femmes ont été arrêtées puis déportées dans
le cadre de la répression des faits de résistance. Ce chiffre doit cependant être interprété avec prudence. La recherche des femmes déportées est
en effet plus difficile, du fait de la double identité de nombreuses femmes mariées. À de nombreuses reprises, en comparant les dates de
naissance, nous avons ainsi constaté que des femmes étaient comptées deux fois alors qu'il s'agissait en réalité de la même personne. Au niveau
national, les données collectées en 2004 par les auteurs du Livre-Mémorial indiquent que les femmes représentent 10,8 % du total des personnes
déportées dans le cadre de la répression. Ce pourcentage est sans doute provisoire et devrait être réévalué par la poursuite des recherches. Dans
l'Aube, elles représentent d'après nos recherches 12 % dans le total des personnes déportées dans le cadre de la répression.
Cette déportation de répression des femmes doit être abordée pour elle-même. En amont à l'engagement dans la Résistance, ces femmes devaient
en effet se démener avec les soucis du quotidien, avec un approvisionnement insoluble, dans le cadre d'une société où leur corps est régi par
l'État. Malgré tout cela, elles cachent des aviateurs (Georgette Joly), elles hébergent des réfractaires (Henriette Picard), des résistants (Juliette
Sisternas), elles rédigent ou diffusent des tracts (souvent pour le parti communiste ou le Front National, comme par exemple pour Mireille
Kirchner, Suzanne Parise, Marguerite Pavoille, Mafalda Romagon, Paulette Schmidt), elles diffusent des journaux (Paulette Blasques diffuse
dans l'Aube des exemplaires de Libération-Nord qu'elle va régulièrement chercher en train à Paris), elles ravitaillent les maquis (Huguette
Bidault, Madeleine Billat), dans l'ombre et dans la modestie, et à la Libération, bien peu obtiennent et demandent des décorations.
Leur rôle traditionnel est celui d'agent de liaison. Paulette Chaton est celui de l'organisation Schmidt, Madeleine Duban est agent de liaison au
téléphone de l'hôtel de ville de Troyes, Hélène Jakubowicz qui n'a que 17 ans lorsqu'elle est arrêtée, elle exerce cette activité pour le parti
communiste entre Paris et Troyes. Marcelle Saignoux est agent de liaison pour le mouvement CDLL. Certaines sont arrêtées pour leurs opinions
politiques, c'est le cas de Germaine Dissert à qui en outre on reproche d'avoir écouté Radio-Londres. On trouve aussi des femmes à des postes de
responsabilité ou qui sont déportées pour leur engagement auprès de leurs maris. Suzanne Wauters est ainsi arrêtée et déportée alors qu'elle
soutient depuis le début les efforts de son mari Georges Wauters pour organiser la Résistance auboise.
Toutes les professions sont représentées. On a une pluralité de métiers et une pluralité des origines sociales : Paulette Chaton est ouvrière en
bonneterie, Paulette Blasques buraliste, Viviane Gervais est commerçante, Simone Gervaisot est secrétaire, Georgette Joly est employée de
bonneterie, Anne Legall est femme de chambre, Anna Monchecourt est couturière, Henriette Pare est employée de gare, Marcelle Saignoux est
commerçante foraine. On peut dire la même chose pour les classes d'âge qui sont à peu près toutes représentées. Si la plus jeune, Anne
Jakubowicz n'a que 17 ans lorqu'elle est déportée pour le camp d'extermination d'Auschwitz où elle disparaît, la plus âgée, Marie-Louise
Demange, a 58 ans au moment de sa déportation. L'âge moyen des 46 femmes auboises déportées dans le cadre de la répression est de 33,8 ans.
Si on excepte une moindre utilisation des armes, il n'y a pas de différences avec les hommes, les motivations sont identiques. Dans la Résistance,
les historiens s'accordent à dire qu'elles représentent 10 à 20 % des effectifs des différents réseaux et mouvements. Au moment où il a fallu
valider des états de service, en particulier par la demande de la carte de CVR (combattant volontaire de la Résistance), la moitié de ces femmes
déportées ne l'a toutefois pas demandée. Ainsi, 24 l'ont obtenue dont trois à titre posthume, alors que 22 femmes qui auraient eu le même droit ne
l'ont pas demandée.
La destination principale des femmes déportées est le plus souvent le camp de Ravensbrück. Vingt-sept des 46 Auboises (58,6 %) sont en effet
passées à un moment ou à un autre dans le principal camp de concentration de femmes du IIIe Reich. Sur ce total de 27 femmes, 6 sont décédées
à Ravensbrück : Anne Marie Jégou le 19 mars 1945, Marie-Louis Demange gazée en février 1945, Georgette Stéphane elle aussi gazée à une
date inconnue, Sophie Monchecourt le 10 avril 1945, Renée Schmidt le 28 février 1945, et Georgette Grand le 8 février 1945. Les cinq autres
décès constatés ont eu lieu dans cinq lieux différents : Germaine Dissert à Paderborn le 2 janvier 1944, Viviane Gervais à Breslau le 13 mars
1944, Célina Bidault au kommando de Zwodau le 15 mars 1945, Eugénie Parisot au camp de Schirmeck le 3 février 1944 et enfin Odile Gagon à
la prison de Melk le 24 décembre 1944.
Au total, avec 11 décès sur 46 (soit 23,9 %), le taux de survie des femmes auboises dans les camps est largement supérieur à la moyenne
nationale (le taux de mortalité des femmes dans le cadre de la déportation de répression est de 40 %). Ce fait est délicat à expliquer. On peut
peut-être avancer avec prudence le fait que sur les 35 femmes qui ont survécu, 24 ont été libérées dans des prisons ou des kommandos dépendant
de Ravensbrück où les conditions de vie étaient un peu moins dures que dans le camp principal. De même, beaucoup de résistantes arrêtées en
France et déportées sont exécutées, décapitées, pendues ou abattues. Or, il n'y a pas à notre connaissance de cas de femmes résistantes auboises
exécutées dans les camps. Enfin, alors que pour les hommes du département, on constate que les deux tiers des " NN " sont décédés, sur les neuf
Auboises qui ont été déportées dans le cadre de la procédure Nuit et brouillard, six sont revenues, dont 5 sont libérées à Jauer dès février 1945
par l'avancée des troupes soviétiques.
Les conditions de déportation ont pourtant été très dures : dans certains convois, elles sont 100 par wagons, à chaque fois les coups et les
aboiements s'abattent sur elles. Il leur faut tout comme les hommes s'habituer au vocabulaire de la déportation. Les " schnell " (vite !) se mêlent
aux " stuck " (morceaux, ou choses, terme utilisés par les SS ou les kapos pour désigner des individus qui n'ont plus aucun droit) ou encore plus
explicite " scheize " (merdes). Il faut dormir au milieu des punaises, à trois sur des paillasses larges de 60 centimètres, subir les appels
interminables et des WC d'une saleté repoussante à cause de la dysenterie. Ravensbrück, c'est aussi les terribles expériences médicales. Les
Polonaises, véritables cobayes humains, sont surnommées les " lapins de Ravensbrück ". C'est d'un univers devenu complètement fou dont on
parle... Germaine Tillon, la grande ethnologue, a cependant noté qu'à Ravensbrück, malgré les conditions de survie, la solidarité l'emportait entre
les prostituées, les droits communs et les résistantes. Là, elles se retrouvent aux milieu de milliers de femmes de toutes les nationalités, qui vivent
dans des conditions d'hygiène épouvantables. Arriver aux lavabos est une véritable performance. C'est le règne de la survie dans le froid (il n'y a
pas de vitres aux fenêtres...). Dans ce camp, les nouveaux nés étaient noyés... Seuls cinq enfants ont survécu grâce à la solidarité entre les
femmes.
Himmler s'est enrichi grâce à Ravensbrück. Un détenu " coûte " 35 pfennigs, il le loue 6 marks soit 17 fois plus ! L'entreprise Siemens utilise
ainsi cette main-d'oeuvre servile en tenant compte d'une espérance de vie de 9 mois, espérance de vie calculée et intégrée dans les programmes
de production...Dans les kommandos, où elles fabriquent des armes, elles sabotent au mépris du danger, ce qui importe avant tout c'est que le
Reich soit défait. Elles travaillent dans des carrières de pierre, on les force à abattre des arbres malgré leur déchéance physique.
La Libération est un moment difficile. Certaines sont libérées par la Croix-Rouge suédoise le 23 avril 1945 : Louise Bernard, Anne Couturier et
Émilienne Masson. Certaines font partie des " marches de la mort ", pendant trois semaines avec des centaines de femmes " mortes vivantes ".
Sans eau ni nourriture, elles doivent marcher sous une chaleur accablante. Certaines parviennent à s'évader (Mafalda Romagnon et Marguerite
Pavoille lors de l'évacuation de Jauer). Elles reviennent parfois en France dans des wagons à bestiaux. Souvent, elles ne peuvent pas rester à
l'hôtel Lutétia de Paris qui recueille tous les survivants, car le spectacle est trop horrible. Dans son témoignage, Paulette Blasques rappelle ainsi
qu'elle n'a qu'une seule idée à son retour, revoir au plus tôt son fils. Le retour est aussi marqué par de l'amertume. Certaines apprennent que leurs
maris ou des parents ont parfois été déportés et sont morts dans les camps, que certains ont été fusillés sans qu'elles le sachent.
" Et le retour ? ". Simone Weil, a souvent écrit ou témoigné de la difficulté à se faire comprendre : " on ne nous entendait pas ". Comment
comprendre ce qui est inimaginable ? Pour beaucoup de ces femmes, il a fallu prendre une revanche sur la vie. Revenir de l'enfer
concentrationnaire a été le triomphe sur le mal absolu pour Geneviève Anthonioz de Gaulle. Leur idée a souvent été de faire très vite un enfant,
donner, transmettre la vie.
Notice et recherche de Rémi Dauphinot
VI LA DÉPORTATION « NUIT ET BROUILLARD »
Origine et mise en place de la procédure
Pendant longtemps, on a cru qu'il y avait une équivalence entre la déportation de répression des résistants et politiques et la déportation dans le
cadre de la procédure « Nuit et Brouillard ». Le film chef-d'oeuvre d'Alain Resnais (1955) et son énorme succès ont sans doute joué un rôle dans
cette confusion. En réalité, selon les départements, les déportés "NN" ne représentent que 10 à 20 % du total des déportés de répression. Dans
l'Aube, le pourcentage des déportés "NN" s'élève à 18,5 % du total de la déportation de répression (71 sur 383). Soixante-et-onze (60 hommes et
11 femmes) ont donc été déportés en Allemagne dans le cadre de la procédure « Nacht und Nebel » ou « Nuit et Brouillard ».
Si l'expression n'apparaît dans un document pour la première fois qu'en août 1942, cette procédure spécifique de la déportation de répression
trouve pour origine la rupture du pacte germano-soviétique, le 22 juin 1941, par l'offensive des troupes allemandes contre l'URSS. Dans cette
nouvelle phase de la guerre, Hitler s'engage désormais dans un anéantissement total du "judéo-bolchévisme". Dans toute l'Europe de l'Ouest, en
France, et dans l'Aube, des milliers d'arrestations préventives de militants communistes ont ainsi lieu. À Troyes et dans le département, une
première série d'arrestation a lieu les 13 et 14 juillet 1941, suivie d'une deuxième vague le 11 novembre 1941. En parallèle, une politique de
terreur marquée par des exécutions d'otages est mise en place. Le 16 septembre 1941, Hitler dicte à cet effet au maréchal Keitel, chef du Haut
Commandement de la Wehrmacht, une première ordonnance rendant possible l'utilisation systématique de la peine capitale pour les résistants.
Dans l'Aube, les exécutions ont lieu à Clairvaux au printemps 1942.
Au lieu de diminuer l'engagement résistant, ces mesures de terreur le renforcent tout au contraire. Face à cet échec de la répression antirésistante, un nouveau système répressif utilisant la déportation comme moyen de terreur est mis en place progressivement. Pour l'armée, il s'agit
alors de s'inspirer des méthodes déjà utilisées par les SS dans les pays de l'Est. Trois décrets, connus sous le nom de décrets Keitel, sont
promulgués les 7 et 12 décembre 1941 ; ils mettent en place la procédure Nuit et Brouillard. Le premier décret du 7 décembre 1941 affirme dans
son article 1 que "la peine de mort est de rigueur pour tous les actes délictueux commis par des civils non allemands, dirigés contre le Reich ou
contre la puissance occupante". L'article 3 énonce le principe du secret et de l'isolement des personnes déportées en Allemagne. Il faut faire peur
à la population, sans nouvelle de ses proches. Cette politique de répression est dévolue à l'autorité militaire. Le deuxième décret, daté du 12
décembre 1941, affirme le principe de la déportation : "Le Führer est d'avis que les peines de privation de liberté et même les peines de réclusion
à vie, sont (...) regardées comme des signes de faiblesse. Un effet de frayeur efficace et durable ne peut être atteint que par la peine de mort, ou
par des mesures propres à maintenir les proches et la population dans l'incertitude sur le sort des coupables. Le transport en Allemagne permet
d'atteindre ce but". Le troisième décret, daté du même jour, explicite les motifs d'arrestation pour lesquels les personnes doivent être soumises à
la procédure NN : la détention illégale d'armes (et bientôt de fusils de chasse), les attentats contre les soldats allemands, les sabotages,
l'espionnage, les activités communistes, les troubles de toute nature, l'aide à l'ennemi (et notamment l'aide aux soldats alliés).
Une nouvelle ordonnance du maréchal Keitel du 16 avril 1942, explicite l'expression "Nacht und Nebel". Littéralement, les déportés doivent
disparaître dans la "nuit et le brouillard" : "les coupables transportés en Allemagne ne sont autorisés à aucun contact avec le monde extérieur :
aussi n'ont-ils le droit ni d'écrire ni de recevoir lettres, colis, visites. Ceux-ci sont à renvoyer avec la mention que tout contact avec le monde
extérieur est interdit au coupable". L'application de la procédure Nacht und Nebel se distingue du reste de la déportation de répression par la mise
en place de camps devant accueillir les déportés "NN" et l'organisation de transferts de ceux-ci devant des tribunaux spécifiques. Deux tribunaux
sont compétents, celui de Cologne puis celui de Breslau en Silésie. Le camp spécial d'Hinzert (situé à une centaine de kilomètres de Cologne)
reçoit la très grande majorité des déportés "NN". Après le passage devant le tribunal, les condamnés sont transférés dans des prisons ou dans des
camps de concentration. À partir de 1943-1944, le camp de Natzweiler se substitue à celui d'Hinzert. Cependant, comme dans tout le système
répressif allemand, il existe des exceptions. Face aux "NN" que l'on peut qualifier de "NN Wehrmacht", la Police allemande organise à partir de
juillet 1943, le départ en Allemagne de "NN Gestapo". Il semble qu'elle utilise alors la procédure pour déporter plus facilement certaines
personnes, sans qu'elles passent toutefois devant un tribunal militaire.
Face à l'encombrement des affaires devant les tribunaux, la procédure "NN" est d'ailleurs abrogée par le décret du 30 juillet 1944. En septembre
1944, tous les déportés "NN" doivent être remis à la Police. Il n'existe plus de régime spécifique pour les déportés. Les "NN" sont alors intégrés
dans le système concentrationnaire.
Les « NN » aubois
On doit distinguer plusieurs destinations pour les déportés "NN" qui évoluent selon la chronologie. En 1942, les hommes sont tous déportés à
Hinzert en attendant d'être traduit devant le tribunal militaire de Breslau (46 personnes sur 71, soit 64,7 % des NN aubois sont déportés à
Hinzert). Dix femmes "NN" sont déportées au préalable à Aix-la-Chapelle, avant d'être le plus souvent condamnées par le tribunal militaire de
Cologne ou de Breslau.
De 1942 à 1943, les motifs de déportation des "NN" montrent une grande unité. Il s'agit alors pour les Allemands de réprimer la Résistance
communiste, très active dans le département aubois. Cette répression marque incontestablement des points avec le démantèlement de groupes
locaux du parti communiste, du Front National et des Francs tireurs et partisans. Treize FTP sont ainsi arrêtés dans l'Aube de juin à juillet 1942 et
déportés dans le convoi du 12 novembre 1942 à destination d'Hinzert. Il s'agit de Roland Bouhelier, Joseph Hueber, Michel et René Jouvet,
André Lefevre, André Maire, Abel Marchizet, Léon Moreau, Jean-Marie Neveu, Marcel Nicolas, Gaston Noël, André Parise et Germain Royer.
La surmortalité de ce groupe doit être soulignée : en effet sur les 13, seuls trois reviennent de déportation en 1945.
Dix-neuf membres du Front National aubois sont arrêtés à la même époque, dont 16 rien que dans la ville de Romilly-sur-Seine le 29 juillet 1942.
Ils sont déportés dans le convoi du 22 octobre 1942 à destination d'Hinzert. Dix d'entre eux décèdent au cours de leur parcours
concentrationnaire. C'est le cas de Marcel Bardin, Boitard Calixte, Alphonse Denuault, Franck Fandard, Mary Favin, René Guidet, René
Michelot, Maurice Pérard, René Réaux et Lucien Sevestre. Neuf résistants de ce groupe du Front National survivent à la déportation : Raymond
Baldet, Raymond Hélou, Paul Leleux, Constant Lucot, Aimé Poignant, Roger Protat, Bernard Prunier, Lucien Roy, et Eugène Verget. Dans le
convoi du 3 décembre 1942, quatre résistantes du Front National, Mireille Kirchner, Suzanne Parise, Marguerite Pavoille et Mafalda Romagon
sont déportées. Toutes les quatre survivent, deux d'entre elles s'évadent dans les marches de la mort lors de l'évacuation de Jauer. Deux résistants
communistes, Raymond Birer et Marcel Bulard, sont déportés le 12 mars 1943 à Hinzert. Au final, les militants du parti communiste, du Front
National et des FTP représentent plus des deux tiers des déportés "NN" aubois.
Durant cette première phase de la procédure « NN », on a également des arrestations individuelles et des départs dans différents convois. Dans le
cadre de l'opération Porto, André Mutter est arrêté à Troyes le 9 octobre 1941 et déporté à Hinzert. Il a la chance d'être libéré, ce qui lui permet
de revenir en France et de reprendre son activité résistante à la tête du mouvement Ceux de la Libération. La possession d'une arme entraîne
l'application de la procédure « Nuit et brouillard » pour Anne-Marie Couturier (déportée à Aix-la-Chapelle le 26 juin 1942), et pour Edmond
Barbieux (déporté le 13 août 1943 à Hinzert), On trouve un autre motif d'application de la procédure dans l'arrestation de Paul Marchal, à qui il
est reproché de s'être "rebellé contre les autorités allemandes". Pour cela, il est déporté à Hinzert le 18 mai 1943. Le 17 septembre 1942, la
résistance non communiste est touchée avec le démantèlement du réseau d'évasion Maillard, réseau qui organise le sauvetage d'aviateurs alliés, et
entraîne la déportation de sept de ses membres. Anne Marie-Jégou est aussitôt déportée en tant que " NN " à la prison de Friburg. Le 12 mars
1943, Jean-Marie Allegatière, Charles Ferry, Pierre Irigoyen, le docteur Jean-Pierre Maillard, et Jean Tabutiaux sont déportés à leur tour à
Hinzert. Émilienne Masson, est quant à elle déportée à Aix-la-Chapelle en avril 1943.
De la fin de 1943 à l'été 1944, une autre destination principale pour les "NN" se substitue à Hinzert et à Aix-la-Chapelle, celle du camp de
Natzweiler. Neuf Aubois y sont alors déportés : Maurice Viard le 26 novembre 1943, Jules Anginot et André Anginot le 23 mars 1944, Paul
Aviat et Fernand Doré le 4 mai 1944, Robert Blondeau, Robert Brouillard, Jean Diebold et Constant Schneider. Contrairement aux années 1942
et 1943 où les militants communistes ou proches du parti communiste sont les plus touchés, à travers le Front National ou les FTP, les motifs
d'arrestation sont plus diversifiés. Dans 5 cas sur 9, la possession d'armes est le motif d'arrestation, 3 sont déportés pour appartenance à la
Résistance, et un neuvième est déporté pour avoir aidé des aviateurs américains. Il faut noter enfin deux cas particulier, celui de Georges Lapierre
et d'André Rousseau, qui sont tous les deux déportés en tant que "NN" par la Gestapo et non par les autorités militaires. Le motif de l'arrestation
d'André Rousseau n'est pas connu, Georges Lapierre a quant à lui été arrêté pour avoir reconstitué clandestinement le Syndicat national des
instituteurs. Alors qu'il n'en a pas le droit en tant que "NN", Lapierre écrit pourtant à sa famille une correspondance clandestine. Lorsque cette
activité illégale est découverte, il est transféré en représailles au camp de Natzweiler.
Au final, le bilan s'avère très lourd. Sur les 71 déportés aubois "NN", 39 déportés décèdent. Soit un taux de 54,9 %, taux largement supérieur à la
moyenne des décès des déportés de répression. En outre, la comparaison des lieux de déportation des "NN" et celle des lieux de décès montre
qu'après leurs jugements ou la fin de la procédure en août 1944, les "NN" ont été dispersés dans tout le territoire du IIIe Reich, dans des prisons
et des camps de concentration. Vingt-et-un décès ont eu dans des KL et 18 dans des prisons. Le chiffre élevé des décès montre aussi que le statut
de "NN" a entraîné davantage de sévices et de privations. Dans les camps, de nombreux témoignages de "NN" ayant survécu évoquent des coups,
des punitions, des exécutions plus fréquents pour ceux qu'ils faut faire disparaître. On doit enfin souligner que dans les 39 décès de "NN" aubois,
4 résistants sont condamnés à mort et exécutés. Raymond Birer est décapité à Breslau le 7 septembre 1944. Roland Bouhelier, René Jouvet et
André Maire sont tous les trois exécutés à Breslau le 4 janvier 1945. Marie-Louise Demange est quant à elle gazée à Ravensbrück en février
1945.
VII LA DÉPORTATION DES AUBOIS DEPUIS LE IIIème REICH
Nous abordons ici un sujet finalement peu connu, à savoir la déportation des personnes arrêtées non pas en France mais sur le territoire du IIIème
Reich. Cette mesure de répression spécifique, depuis l'Allemagne, a concerné avant tout des requis du STO et plus rarement des prisonniers de
guerre qui ont commis soit des sabotages, soit des tentatives d'évasion ou bien proféré des propos anti-allemands. Transposé dans le cadre du
département de l'Aube, que peut-on dire sur le sort de ces déportés ? Combien d'Aubois ont été touchés par cette déportation spéciale ? Où ont-ils
été déportés ?
Un thème de recherche récent
Dans le Livre-Mémorial publié en juin 2004, Arnaud Bouligny et Ludovic Hamelin expliquent que le "lancement d'une recherche particulière sur
les déportés arrêtés sur le territoire du IIIème Reich s'est imposé peu avant la publication du document probatoire du Livre-Mémorial (2001)". Si
on savait depuis longtemps que des prisonniers de guerre avaient été transférés dans des camps de représailles, tels que Kobierzn ou RawaRuska, on ne possédait aucune étude d'ensemble sur les Français arrêtés sur le territoire du IIIème Reich et déportés dans des camps de
concentration ou des prisons. Arnaud Bouligny et Ludovic Hamelin ont ainsi retrouvé le parcours de 6 391 déportés, qui permet aujourd'hui de
réévaluer de 7,4% le bilan total de la déportation de répression (soit 85 908 déportés). Comme les deux chercheurs le soulignent, "ce
recensement, à lui seul, constitue une avancée majeure de la connaissance d'un aspect particulier de la politique de répression". Parmi ces 6
391, déportés combien retrouve-t-on alors d'Aubois ?
Dans le département de l'Aube
La principale source qu'on peut utiliser dans le département de l'Aube est constituée par les listes établies par le Comité d'histoire de la Seconde
Guerre mondiale (CH2GM). La côte NA 10146 est ainsi intitulée : "fiches individuelles de prisonniers de guerre ou de requis du STO, arrêtés
par l'autorité d'Occupation et ayant encouru une condamnation (évasion, refus d'obéissance". Son dépouillement s'est avéré délicat. Pour
certaines fiches, on retrouve seulement un nom et un prénom et des renseignements extrêmement lacunaires qui ne permettent pas avec assurance
de confirmer une déportation réelle ou d'identifier le statut du déporté. Nous avons d'abord pris en compte les fiches de personnes dont la
déportation attestée aux archives départementales de l'Aube peut être confirmée par le Livre-Mémorial. Nous avons ainsi pu retrouver le parcours
d'au moins 14 Aubois, 2 prisonniers de guerre (Collin Marius et Lenoir Roland) et 12 STO (dans l'ordre alphabétique : Bertrand Jean,
Charpentier Gaëtan, Digot André, Hospital Henri, Lenoir Roland, Marie Émile Victor, Mascello Gino, Mayaud Georges, Mouny Alix, Nourrissat
André, Parmentier Fernand, Pillot Roland et Simon André).
Nous avons également pris en compte le parcours d'Aubois arrêtés en Allemagne qui ont été internés dans des prisons allemandes après un acte
de résistance. Ces 7 personnes n'apparaissent pas dans le Livre-Mémorial, mais on possède à leur sujet, dans les listes départementales élaborées
par le CH2GM, des renseignements suffisants, tels que la date d'arrestation, le motif et le lieu de déportation ou d'internement : c'est le cas de
Didelot Marcel, Drancourt Louis, Guillemin Gilbert, Hahn Marcel, Lemoult Roger, Martin Edmond, et Paris Jean-Paul. Au total, on peut établir
qu'il y a eu au moins 15 Aubois arrêtés en Allemagne, déportés dans des camps de concentration et 6 dans des prisons. Si ces 21 Aubois n'étaient
pas à proprement parler des "résistants", ces deux prisonniers de guerre, ce volontaire pour le travail en Allemagne et ces dix-huit déportés du
STO, ont commis à un moment donné des actes réels de "résistance" qui leur ont valu un internement ou une déportation. On retrouve ainsi cinq
chefs d' accusation principaux : le refus d ‘obéissance, l'appartenance à la Résistance, des propos anti-allemands, des actes de sabotages ou
l'écoute d'une radio interdite. L'écoute de la radio anglaise ou de tout autre radio non-allemande est passible de la peine de mort pour un
Allemand. Deux Aubois sont déportés à Dachau pour ce motif, l'un étant en outre accusé de "diffusion de communiqués de Londres par des
tracts". De même, quatre Aubois sont arrêtés et déportés pour des propos anti-allemands ou anti-nazis. L'un d'eux a ainsi déclaré après juin 1944
que "les Allemands perdraient la guerre", un autre est condamné pour "mauvaises paroles et idées politiques contre l'Allemagne". Autre motif
d'arrestation important : les actes de sabotage dans les usines de guerre, c'est le cas pour quatre Aubois.
En réalité, les motifs de condamnation puis de déportation sont souvent liés à des actes multiples. C'est le cas de quatre Aubois : le premier est
condamné puis déporté pour "refus de travail, sabotage, propagande gaulliste", le deuxième pour "sabotage et propagande anti-allemande", le
troisième pour "querelle avec des SS, destruction d'affiches de propagande, sabotage de machines de guerre dans l'usine", le dernier pour
"ravitaillement de déportés politiques et possession d'un poste de radio". Ces arrestations ont eu lieu principalement en 1944. On décompte quatre
arrestations en 1943, treize en 1944 (dont neuf après le 6 juin 1944 et l'annonce du débarquement en Normandie), trois en 1945 et une à une date
indéterminée. Ces mesures de répression visent pour la grande majorité des homme jeunes, souvent célibataires (les deux tiers des 21 Aubois
arrêtés sur le territoire du IIIème Reich sont ainsi nés de 1920 à 1924, on retrouve tout naturellement les classes d'âges visées par le STO). Après
la condamnation, souvent prononcée par un tribunal allemand, vient la déportation. La moitié des Aubois arrêtés sur le territoire du IIIème Reich
a alors été déportée au camp de concentration de Dachau (10 sur 21). Deux sont déportés au KL Sachsenhausen, deux autres au KL Mathausen,
un au KL Buchenwald. Cinq autres connaissent des lieux d'internement dans des prisons : Bautzen, Graslitz, Magdebourg, Ulm-Donau, ou
Wolfenbuttel. Signalons qu'un Aubois a été d'abord déporté au camp de Schirmeck puis dans six prisons successives en Allemagne. Le bilan est
le suivant à la libération des camps et des prisons : quatre décédés et dix-sept survivants.
VIII LES RÉPUBLICAINS ESPAGNOLS DE L’AUBE DÉPORTÉS DANS DES CAMPS DE CONCENTRATION
Ce sujet est lui aussi difficile étant donné le peu de sources disponibles, mais aussi parce que pendant longtemps il a été négligé par
l'historiographie de la déportation de répression. En effet, les Républicains espagnols réfugiés en France après leur défaite lors de la guerre civile,
engagés volontaires dans l'armée française, faits prisonniers et envoyés dès 1940 dans le système concentrationnaire depuis les Stalags (camps de
prisonniers) où ils avaient été regroupés, n'apparaissent dans les statistiques globales de la déportation que depuis l'immense travail réalisé par les
auteurs du Livre-Mémorial (publié en juin 2004). Dans l'Aube, nous n'avons pas trouvé à ce jour aux archives départementales de liasse
regroupant les fiches individuelles des Républicains espagnols réfugiés dans l'Aube et déportés dans des KL. On trouve seulement une page
indiquant une liste de 12 noms, liste malheureusement incomplète car Bernard Gildas, correspondant du CH2GM pour l'Aube, indique dans sa
statistique de la déportation publiée en 1968 un " nombre non compris de 21 réfugiés politiques espagnols arrêtés en 1940 et 3 en 1941, déportés
en 1940, 1941 et 1942 à Mathausen ". Il nous manque donc l'identité de 9 personnes.
Pour ceux qui sont identifiés, on connaît pour sept d'entre eux le nom de la commune dans laquelle ils étaient réfugiés avant-guerre. Juan AyusoGonzalez et Vincente Fans-Monllco étaient ainsi réfugiés à Romilly-sur-Seine, Joaquin Balboa-Garcia, Miguel Cueras-Carril et Angel GelasCiutat étaient réfugiés dans la commune de Piney, Francisco Carmona-Rubio et Andrès Casbas-Guerre étaient quant à eux résidents de la ville de
Troyes. On ignore par contre dans quelle ville étaient arrivés François Bailo-Mata, Bienveninido Chico, Pédro Bustamente, Segundo EspallargasCastro et José Gracia. Sur ces 12 noms, seuls 7 apparaissent dans les listes du Livre-Mémorial.
On peut donc, grâce à ces recherches nouvelles menées par les équipes de l'université de Caen en association avec la FMD, évoquer avec
précision leur parcours concentrationnaire si longtemps négligé. Ils ont tous été transférés d'août 1940 à avril 1941 au camp de Mathausen. Cette
phase chronologique très rapide, antérieure à la mise en place de la déportation « Nuit et Brouillard », répond à une logique propre au projet
répressif allemand mais correspond aussi à une entente entre le régime nazi et l'Espagne franquiste. Francisco Baila-Mata, Joaquin BalboaGarcia, Miguel Cuevas-Carrill, Pédro Diez-Bustamente, Segundo Espallargas-Castro et Angel Gélas-Ciuta ont tous les six survécu et connu la
libération le 5 mai 1945, lorsque le camp de Mathausen est enfin libéré par les troupes alliées. Un seul décès parmi les réfugiés aubois est attesté,
celui de Pédro Diez Bustamente qui est décédé le 8 février 1945 au kommando de Steyr.
Ces données partielles pourraient laisser entendre que les Républicains espagnols ont connu alors des conditions de vie meilleures que les autres
déportés de répression. Il n'en est rien, en ayant des renseignements sur un seul tiers des républicains espagnols aubois, on obtient des résultats en
fait complètement faussés. En effet, il est évident que parmi les 14 autres réfugiés espagnols évoqués par Bernard Gildas, dont nous n'avons pas
retrouvé trace, les décès ont dû être très nombreux. Il suffit de se baser sur la statistique globale de la mortalité des Républicains espagnols qui
établit que sur les 6 737 qui ont été déportés, 4 297 sont décédés (soit 63,8 % du total), dont une très grande majorité au kommando de Gusen,
dépendant du KL Mathausen. En appliquant cette moyenne à l'Aube, avec toutes les réserves que cette hypothèse implique, nous devrions avoir
pour les réfugiés aubois une mortalité de 13 ou 14 hommes sur 21. Parmi lesquels, peut-être, les 9 personnes non identifiées...
LA DÉPORTATION DE RÉPRESSION DANS L’AUBE
PLAN
I. Liste des personnes arrêtées dans l’Aube et déportées par mesure de répression.
(Classement par ordre chronologique et alphabétique suivant les listes du Livre-Mémorial)
II. Liste des Aubois déportés par mesure de répression, arrêtés dans un autre département
(Classement par ordre chronologique suivant les listes du Livre-Mémorial)
III. Liste des Aubois arrêtés sur le territoire du IIIème Reich et déportés dans un KL ou une prison
IV. Liste des Aubois arrêtées sur le territoire du IIIème Reich, déportés dans un KL ou une prison, dont les noms n’apparaissent pas dans les
listes du Livre-Mémorial
V. Liste de déportés aubois dans un KL ou une prison, dont les noms n’apparaissent pas dans les listes du Livre-Mémorial
VI. Liste de déportés aubois pour lesquels les renseignements sont lacunaires (date et/ou lieu de déportation)
RECHERCHES ET DEPOUILLEMENT DE DAUPHINOT REMI ET TOUFFU SEBASTIEN
Archives principales :
Archives de l’ONAC de l’Aube
Archives départementales de l’Aube
NA 10140, Femmes de l'Aube déportées , 3 septembre 1965
NA 10141, Hommes de l'Aube déportés (A - K)
NA 10142, Hommes de l'Aube déportés (L - Z)
NA10146 : fiches individuelles de prisonniers de guerre ou de requis du STO, arrêtés par l’autorité d’Occupation et ayant encouru une
condamnation (évasion, refus d’obéissance
Sources bibliographiques :
Amicale des déportés tatoués du 27 avril 1944, Le convoi des déportés tatoués, Auschwitz, Buchenwald, Flossenbürg et kommandos , 178 p.
Cardon-Hamet Claudine, Triangles rouges à Auschwitz, le convoi politique du 6 juillet 1942, éditions autrement, 423 p., 2005
Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945, 4 volumes
édités par la FMD, juin 2004
Gildas Bernard, Statistique de la déportation dans l’Aube, La vie en Champagne, n°169, juillet-août 1968
Husson Jean-Pierre, La déportation en Champagne-Ardenne, CRDP de Reims, 1985, 3ème édition-1991.
I.Liste des personnes arrêtées dans l’Aube et déportées par mesure de répression.
(Classement par ordre chronologique suivant les listes du Livre-Mémorial)
Nom, Prénom
Date et lieu de
naissance
Situation
familiale et
profession
Date de
l’arrestation
AUBRAT
14
septembre Célibataire
Robert Georges 1921 à Nogentsur-Seine
7 janvier 1941
DAUTANCOU 15
novembre
RT Raymond
1911 à Reims
(Marne)
MASSET
4 janvier 1922 à
Louis
Reims (Marne)
1941 à Troyes
MASSET
Eugène
Divorcé.
Terrassier
Nom du
Lieu
mouvement ou
d’internement
du réseau ;
motif de
l’arrestation
Opinions
Troyes, Clairvaux
politiques,
rebellion contre
l’armée
allemande
Rebellion contre Troyes, Clairvaux
les
autorités
allemandes
Employé
SNCF
20 août 1920 à Employé
Reims
garage
de 8 janvier 1941 Droit commun.
à Troyes
Rébellion contre
les
autorités
allemandes
Date et parcours de déportation
Lieu
d’internement
Destinée
Liste I.5, Les départs de prisons de zone Prison
de Libéré par
occupée vers celles du Reich, en mai 1941
Rheinbach,
les troupes
Prison de Siegburg alliées en
mai 1945
Liste I.5, Les départs de prisons de zone Rheinbach
Libéré en
mai 1945
Liste I.5, Les départs de prisons de zone Siegburg (arrivé le
26 mai 1941),
Trêves
Liste I.9, Les départs de prisons de zone Karlsruhe (arrivé
occupée vers celles du Reich en juillet 1941
le 8 juillet 1941),
Diez
Décédé
à
une
date
inconnue
Libéré à la
prison
de
Diez le 27
mars 1945
DISSERT
Eugène
8 décembre 1896 Veuf.
Commerçant
MUTTER
André
(NN)
DISSERT
Germaine
Madeleine
Née Thierry
Né le 11
novembre 1901 à
Troyes
18 mars 1900 à Mariée
Troyes
GERVAIS
Viviane
Née Cormeux
(NN)
25 septembre Résistant
Troyes
1941 à Troyes Correspondance Fresnes
avec
une
puissance
étrangère
9 octobre 1941
à Troyes
25 septembre Opinions
1941
politiques.
Correspondance
avec puissances
étrangères.
Diffusion
de
nouvelles
de
sources
étrangères :
radio-Londres
26
décembre Mariée.
5 mars 1942 à FTP
Troyes
1904 à Sainte- Commerçante Sainte-Savine
Colombe-surSeine
COUTURIER
Anne
Née Cichon
(NN)
14 juin1912
Moksko
(Pologne)
à Mariée
DUPONT
Raymonde
(NN)
24 mars 1919 à
Bréviandes
ANDRES
Joseph-Emile
31
décembre Garçon
de 26 février 1942 Motif inconnu
1895 à Grange- café à Troyes
sur-Vologne
(Vosges)
ARNOULD
8
septembre Célibataire.
13 mai 1942 à Détention
Vendeuvre
d’armes au cours
d’une
perquisition
à
son domicile.
5 mars 1942 à Résistante
Sainte-Savine
communiste
Arrêté
le
31 Appartenance
Compiègne
Liste I.17, Les départs de prisons de zone Wiesbaden,
occupée vers celles du Reich, en novembre Saarbrucken,
1941
Zweibruchen
Libéré le 28
mars 1945
Liste I.19, Les départs de décembre 1941 vers
les prisons du Reich d’hommes et de femmes
arrêtées dans le cadre de l’opération « Porto »
Liste I.20, Les départs de Paris (hors ceux
effectués dans le cadre de l’opération « Porto
») vers les prisons du Reich, en décembre
1941
Libéré le 15
août 1942
d’Hinzert
Décédée à
Paderborn
le
2
janvier
1944
Déporté à
Nüremberg le 22
décembre 1941
Karlsruhe le 8
décembre 1941),
Anath, Paderborn
Liste I.36, les femmes parties le 4 juin 1942 Aix-la-Chapelle,
de Paris, gare de l’Est et arrivées à Aix-la- Breslau
Chapelle le 5 juin 1942
Décédée à
Breslau le
13
mars
1944
Liste I.39, Les femmes parties le 26 juin Aix-la-Chapelle,
1942, de Paris, gare de l’Est, et arrivées à Flussbach,
Aix-la-Chapelle le 26 juin 1942
Cologne, Breslau,
Jauer,
Ravensbrück
Liste I.39, Les femmes parties le 26 juin 1942 Aix-la-Chapelle,
de Paris, gare de l’Est et arrivées à Aix-la- Flussbach, Breslau,
Chapelle le 26 juin 1942
Jauer
Libérée par
la
CroixRouge le 23
avril 1945
Liste I.42, Transport parti de Compiègne le 6 Auschwitz
juillet 1942 et arrivé au KL Auschwitz le 8 (matricule 45173)
juillet 1942
à Troyes, Clairvaux, Liste I.42, Transport parti de Compiègne le 6 Auschwitz
Libérée par
les troupes
soviétiques
le 14 février
1945
Décédé à
Auschwitz
le
16
septembre
1942
Décédé à
Pierre
1921
14ème)
RICHE Robert
janvier 1941. un mouvement Compiègne
Condamné le de
résistance,
8/07/1941
association
interdite,
détention
d’armes, passage
de
ligne
de
démarcation,
constitution de
corps
franc,
rassemblement
d’armes
juillet 1942
Auschwitz
18
septembre
1942
21 octobre 1897
à saint-Mards-enOthe
26 février 1942 Dangereux
à Saint-Mards- l’occupation
en-Othe
allemande
Liste I.42, Transport parti de Compiègne le 6 Auschwitz
juillet 1942
CHARBONNE 6 février 1904 à
Roger
Nogent
en
Basigny (HauteMarne)
VITREY
15
novembre
André
1902
à
Bourbonne
les
Bains
(HauteMarne)
DUPONT
11 octobre 1899
Maurice
à
Matton
(Ardennes)
Veuf, deux 21 janvier 1942 Résistant.
enfants.
Détention
Boucher.
d’armes et
munitions
Manoeuvre
17 janvier 1942 Détention
à Saint-Julien- d’armes
les-Villas
Décédé
à
Auschwitz
le 25 août
1942
Libéré en
mai 1945
LASNE René
(Paris, Étudiant,
Chauffeur
22
novembre Célibataire.
1920 à Solterre Charcutier
(Loiret)
JÉGOU Anne- 27
novembre
Marie
1895 à Bar-sur(NN)
Aube
à Paris, Compiègne
Troyes, Clairvaux, Liste I.46, Les départs de prisons de zone Karlsruhe,
Compiègne,
occupée vers celles du Reich, en juillet 1942 Rheinbach, Diez
de Fresnes
Châlons-sur-Marne Liste I.46, Les départs de prisons de zone Siegburg,
occupée vers celles du Reich, en juillet 1942 Rochenberg
28 septembre Accident mortel Troyes, Clairvaux
1940 à Troyes à
un
soldat
allemand.
Condamné à 5
ans de prison
Acte de sabotage Troyes, Clairvaux
sur les signaux
de chemin de fer
?
Liste I.52, Les départs de prisons de zone Friburg,
occupée (hors Paris) vers celles du Reich, en Wolfenbuttel
août 1942
Libéré le 11
avril 1945
Libéré le 1
avril 1945
Liste I.52, Les départs de prisons de zone Friburg (le 3 août Libéré
à
occupée (hors Paris) vers celles du Reich, en 1942), Augsburg, Landsberg
août 1942
Karlsruhe,
le 27 avril
Landsberg
1945
Liste I.54, Les départs des prisons de zone Friburg
le
27 Décédée le
occupée vers celles du Reich, en septembre septembre 1942) 19
mars
1942
Gommern,
1945
à
Ravensbrück
Ravensbrüc
GIRY
(NN)
Robert 23
décembre Marié.
1900 à Troyes
Maçon
13 juillet 1942 FTP
à Sainte-Savine
BALDET
Raymond
(NN)
6 août 1915 à
Romilly-surSeine
29 juillet 1942 Front National
à Romilly-surSeine
BARDIN
Marcel
Jean
Albert
(NN)
BOITARD
Calixte
(NN)
25 février 1897 à Marié
Romilly-surSeine
à Romilly-surSeine
30 janvier 1903 à
la
ChapelleRablais (Seineet-Marne)
à Romilly-surSeine
DENUAULT
25 juin 1890
Alphonse (NN)
FANDARD
Franck
(NN)
FAVIN
(NN)
Marié.
Employé
SNCF
22 mai 1897 à Commerçant
Boeurs en Othe
(Yonne)
Mary 15 mai 1898 à Ajusteur
Trainel
SNCF
Troyes
(janvier 1945)
Liste I.56, Les hommes partis le 9 octobre Hinzert,
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à Breslau
Hinzert le 23 octobre 1942
Sachsenhausen
Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert, Wittlich,
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivés à Breslau,
Sachsenhausen
Troyes,
Midi
Cherche- Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert, Breslau,
1942 de Paris, gare de l\'Est, et arrivés à Bergen-Belsen
Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert, Wittlich,
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivés à Schweidnitz
29 juillet 1942
Front National
Troyes,
Midi
Cherche- Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert,
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivés à Wolfenbuttel,
Breslau
4 juillet 1942
Front National
Troyes, Fresnes, Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert, Dora
Chaumont
1942 de Paris, gare de l\'Est, et arrivés à
à Romilly-surSeine
Troyes, Cherche Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert
Midi, Paris
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à
GUIDET René
(NN)
6 mai 1916 à
Essoyes
à Sainte-Savine
Troyes
Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert,
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à Hermeskeil
HELOU
Raymond
(NN)
22 avril 1919 à Mécanicien
Quimperlé
(Finistère)
à Sainte-Savine
Troyes, Chaumont, Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert, Wittlich,
Fresnes
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à Breslau,
Brieg,
Wolhau,
k
Décédé le 8
janvier
1945
à
Sachsenhau
sen
Libéré le 22
avril 1945 à
Sachsenhau
sen
Décédé à
BergenBelsen le 6
février 1945
Décédé
à
Schweidnitz
le
29
janvier
1944
Décédé
à
Breslau à
une
date
inconnue
Décédé le
22 février
1945
à
Nordhausen
Décédé le
24 janvier
1943
à
Hinzert
Décédé le
28 février
1943
à
Hermeskeil
Libéré le 11
avril 1945
LELEUX Paul
(NN)
1er juillet 1911 à
Origny-le-Sec
à Romilly-surSeine
LUCOT
Constant (NN)
29 janvier 1898 à Marié,un
Bargnes (52)
enfant.
Ajusteur
SNCF
29 juillet 1942 Front national
à Troyes
MICHELOT
René
(NN)
15 avril 1915 à Caoutchoutier 29 janvier 1942 Front National
Romilly-surMarié, deux à Romilly-surSeine
enfants
Seine
PERARD
Maurice
(NN)
10 janvier 1897 à Manœuvre
Paris
SNCF,
à Romilly-surdomicilié à Seine
Gélannes
9 octobre 1894 à Marié,deux
Quevilloncourt
enfants.
à Romilly-sur(Aisne)
Employé
Seine
SNCF
POIGNANT
Aimé
(NN)
Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivés à
Troyes,
Midi
Cherche Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre
1942 de Paris, gare de l\'Est, et arrivés à
Troyes, Paris
Liste I.57, Les hommes partis le 22 octobre Hinzert
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivés à Wolfenbuttel
Troyes,
Midi
Troyes,
Midi
Front National
Troyes,
Midi
à Romilly-surSeine
Troyes,
Midi
PROTAT
Roger
(NN)
12
1910 à Romilly- Employé
sur-Seine
SNCF
à Romilly-surSeine
PRUNIER
Bernard (NN)
9 mai 1905 à Caoutchoutier 29 juillet 1942
Faux-Fresnay
(Marne)
REAUX René
(NN)
14 février 1918 à Marié,
Châtres
Employé
SNCF
Schweidnikt,
Gross
Rosen,
Dora
Hinzert,
Wolfenbuttel,
Breslau,
Wolfenbuttel
Hinzert,
Brangdeburg,
Hinzert,
Wolfenbuttel
Libéré
à
Brandenbou
rg Görden
Libéré en
juin 1945
Décédé le 6
mai 1944 à
Wolfenbutt
el
Hinzert, Breslau,
Décédé
à
Gross
Rosen, Dora à une
Dora
date
inconnue
Hinzert
Libéré le 27
(matricule 5468), avril 1945 à
Wolfenbuttel,
Brandenbur
Breslau,
g-Görden
Wolfenbuttel
Hinzert,
Libéré le 27
Wolfenbuttel,
avril 1945 à
Breslau,
Brandenbur
Wolfenbuttel
g-Görden
Hinzert
Libéré le 27
Wolfenbuttel,
Brandenbur
Breslau,
g-Görden
Wolfenbuttel
Hinzert
Décédé le
(matricule 5473)
18 janvier
1943
à
Hinzert
ROY
(NN)
Lucien 10 mars 1906 à Manoeuvre
Romilly-surSeine
à Romilly-surSeine
Troyes
SEVESTRE
Lucien
(NN)
10 mars 1896 à Employé
Romilly-surSNCF
Seine
à Romilly-surSeine
Troyes
VERGET
Eugène (NN)
27 janvier 1899 à
Conflans
sur
Seine (Marne)
27 juillet 1942
Troyes
BOUHELIER
Roland
(NN)
Front National
FTP
Juillet 1942
FTP
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivés à (matricule 5475),
Brangdeburg,
Wolfenbuttel
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à (matricule 5476),
Breslau, Dora
Liste I.63, Transport parti le 12 novembre
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivé à
Hinzert le 13 novembre 1942
HUEBER
Joseph (NN)
15
décembre Cordonnier
1875 à Villiersles-Nancy
JOUVET
Michel
(NN)
JOUVET
René
(NN)
29 mars 1925 à Rebrousseur 13 juillet 1942 FTP
Troyes
en bonneterie à Troyes
19 août 1914 à Bonnetier
Blessey (Côted’Or)
9 juillet 1942 à FTP
Sainte-Savine
LEFEVRE
André
(NN)
20 juin 1907 à Marié.
Culitre
(Côte- Chauffeur
d’Or)
d’autos
13 juin 1942 à FTP
Sainte-Savine
Troyes, Clairvaux, Liste I.63, Transport parti le 12 novembre
Compiègne
MAIRE André
(NN)
28
décembre
1920 à Troyes
13 juillet 1942
Troyes
FTP
Troyes, Clairvaux, Liste I.63, Transport parti le 12 novembre
Compiègne,
Fresnes
Troyes, Chaumont, Liste I.63,Transport parti le 12
Paris
1942 de Paris, gare de l’Est, et
Troyes,
Paris, Liste I.63,Transport parti le 12
Fresnes
novembre
arrivés à
novembre
arrivés à
Liste I.63, Transport parti le 12 novembre
Libéré en
avril 1945
Décédé le
26 février
1945
à
DoraMittelbau
Hinzert
Libéré en
(matricule 5478), mai 1945
Wolfenbuttel
Hinzert,
Exécuté à
Wolfenbuttel
Breslau le 4
Breslau
janvier
1945
Hinzert
Décédé en
(matricule 5650), janvier
Breslau,
1945
à
Gross-Rosen
Gross
Rosen
Hinzert, Breslau,
Rentré
Schweidnitz,
Hirschberg
Hinzert
Éxécuté à
(matricule 5653), Breslau le 4
Breslau, Wittlich
janvier
1945
Hinzert,
Décédé le
20
avril
1943
à
l’hôpital
d’Hermeske
il
Hinzert, Breslau
Exécuté à
Breslau le 4
janvier
1945
MARCHIZET
Abel
(NN)
14 mars 1903 à Marié,cinq
Mont-Saintenfants.
Léger
Manœuvre
SNCF
21 juillet 1942 FTP
à Troyes
Troyes, Chaumont, Liste I.63, Transport parti le 12 novembre Hinzert,
Décédé le
Fresnes
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à Norhausen, Trêves, 23
mai
Dora,
1945
Buchenwald
MOREAU
Léon
(NN)
NEVEU JeanMarie
(NN)
NICOLAS
Marcel
(NN)
7 mai 1890 à
Bourgueil (Indreet-Loire)
12 mars 1900 à Vendeur de
La
Bouxière journaux
(Ille-et-Vilaine)
Agriculteur
22 juillet 1942 FTP
à Saint-Julienles-Villas
22 juillet 1942 FTP
à Troyes
Fresnes
Souligny
Clairvaux
NOEL Gaston 6 février 1901 à Mécanicien
(NN)
Mussy-sur-Seine
(Aube)
Mussy-surSeine
PARISE André 21
(NN)
1924 à Troyes
Charcutier
22 juillet 1942 FTP
à Troyes
PAVOILLE
André
(NN)
29 juillet 1921 à
Troyes
ROYER
15 avril 1902 à Marié.
Arrêté
une Front National
première fois le
31 mars 1941 à
Troyes.
Le
tribunal
de
Breslau décide
de le libérer.
Arrêté
une
deuxième fois
en 1944 après
son retour de
déportation
Trêves,
Fresnes
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à Brieg,
Volhau,
Bergen
Belsen,
Hinzert,
Gross
Rosen, Dora
Diez,
Fresnes
1942 de Paris, gare de l’Est, et arrivés à Schweidnitz,
Gross
Rosen,
Dora,
Ravensbrück
Troyes
Déporté deux fois
Hinzert (arrivé le
12 novembre 1942,
Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de Liste I.63), Diez,
Compiègne et arrivé le 14 mai 1944 au KL Breslau,
Buchenwald
Buchenwald,
Dora,
Ellrich,
Sachsenhausen,
Bergen-Belsen
Troyes, Fresnes
Troyes
Liste I.63, Transport parti le 12
novembre Hinzert, Breslau
arrivés à
novembre Hinzert,
Diez,
arrivés à Brieg,
Breslau,
Dora
novembre Hinzert,
Diez,
arrivés à Schweidnitz
Liste I.63, Transport parti le 12 novembre Hinzert, Brieg
Décédé le
26 juillet à
Breslau
Décédé
à
Dora le 15
février 1945
Décédé à la
prison
de
Schweidnitz
le 4 février
1944
Libéré le 30
avril 1945 à
Dora
Libéré le 30
avril 1945 à
Ravensbrüc
k
Décédé le
15
avril
1945
à
BergenBelsen
Décédé
le
Germain (NN)
la-Ferté-surOuvrierAube
(Haute- mécanicien
Marne)
JORANT René 2 mars 1923 à
Dijon
(Côted’Or)
Troyes
Début 1943 à
Sainte-Savine
Liste I.65, Les départs des prisons de zone
occupée vers celles du Reich, en novembre
1942
KIRCHNER
Mireille
Née Jacquard
(NN)
5 avril 1914 à Mariée
Arcis-sur-Aube
PAVOILLE
Marguerite
Née Bourgeois
(NN)
8 août 1894 à Mariée.
Troyes
Bonnetière
22 juillet 1942
PARISE
Suzanne
Née Gauvin
(NN)
7 avril 1903 à Mariée
Saint-André-lesVergers
8 janvier 1942 Front National
à Troyes
ROMAGON
Mafalda
Née Zanin
(NN)
19
septembre Mariée
1942 à Palazzolo
Dello Stella
23/07/1942
JEANMOUGI
N René
12 avril 1904 à Bonnetier
Troyes
OTTOGALI
Alfred
RICHARD
Louis
Propagande
communiste
Front national,
propagande
communiste
Liste I.67, Les femmes parties le 3 décembre
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivées à Aixla-Chapelle le 4 décembre 1942
Liste I.67, Les femmes parties le 3 décembre Aix-la-Chapelle,
Évadée le
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivées à Aix- Flusbach, Lauban, 28 janvier
la-Chapelle le 4 décembre 1942
Breslau, Jauer
1945 lors de
l’évacuation
de Jauer
Troyes, Fresnes, Liste I.67, Les femmes parties le 3 décembre Aix-la-Chapelle,
Libérée le
Chateaubriant
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivées à Aix- Flusbach,
12 février
Breslau, Jauer
1945
propagande
communiste
2
décembre Communiste,
1942 à Troyes distribution
de
tracts
7 novembre 1922 Célibataire.M 29 janvier 1944 Propagande
à
Vilosmes écanicien
à Troyes
communiste
(Meuse)
18
décembre Marié,deux
17 septembre Parachutage
1942 à Wassy enfants.
1942
à Ceux
de
la
(Haute-Marne)
Coiffeur
Chavanges
Libération
20
décembre
1944
à
Brieg
Karlsruhe,
Libéré
à
Rheinbach,
Siegburg le
Siegburg
10
avril
1945
Aix-la-Chapelle,
Libérée à
Friburg, Breslau, Aichach
Jauer, Aichach
29 le 1945
Rentrée
Troyes, Châlonssur-Marne,
Compiègne
Troyes, la Santé,
Fresnes,
Poissy,
Compiègne
Compiègne
Liste I.67, Les femmes parties le 3 décembre Hinzert, Flusbach, Évadée le
1942 de Paris, gare de l'Est, et arrivées à Aix- Breslau, Jauer
28 janvier
1945 lors de
l’évacuation
de Jauer
Liste I.74, Les hommes partis le 24 janvier Sachsenhausen
Libéré en
1943 de Compiègne et arrivés le 25 janvier au (matricule 58250) mai 1945
KL Sachsenhausen
Dachau
Libéré en
1943 de Compiègne et arrivés le 25 janvier au (matricule 59240) mai 1945
KL Sachsenhausen
Rentré
1943 de Compiègne et arrivés le 25 janvier au (matricule 57792)
KL Sachsenhausen (matricule 57792)
Heinkel
YERNAUX
Paul
13
novembre Chauffeur de 22
1910 à Nogent- taxi
1942
sur-Seine
Liste I.74 du Livre-Mémorial, les hommes Sachsenhausenpartis le 24 janvier 1943 de Compiègne et (matricule 58140)
arrivés le 25 janvier au KL Sachsenhausen
Buchenwald,
Leikel
DEMANGE
4 juin 1887 à
19 septembre Résistance
Troyes, Auxerre, Liste I.75, Les départs des prisons de zone Aix-la-Chapelle,
Marie-Louise
Toul
1942
à
Fresnes
occupée vers celles du Reich, en janvier 1943 Cologne, Anath,
(NN)
Chavanges
Gommern,
Ravensbrück,
Beeferlde, BergenBelsen
ALLEGATIER 6 avril 1924 à Représentant 7
septembre Activité
Cherche-Midi
Liste I.84, Transport parti le 12 mars 1943 de Hinzert
E Jean-Marie Mussy-sur-Seine de commerce 1942 à Troyes résistante, aide
Paris, gare de l'Est, et arrivé à Hinzert le 13 (matricule 6369),
(NN)
à Troyes
aux anglais, aux
mars 1943
Wittlich, Breslau,
parachutistes
Gross Rosen
AUBEL Lucien 12 juillet 1913 à
?
?
Liste I. 84, Transport parti le 12 mars 1943 de Hinzert, Wittlich,
(NN)
Gennevelliers
Paris, gare de l’Est, et arrivé à Hinzert le 13 Breslau,
Gross
(Seine)
mars 1943
Rosen
BIRER
Raymond
(NN)
22 janvier 1913
BULARD
Marcel
(NN)
23
décembre Marié,
un 21 avril 1942 à Front National
1918 à Clesles
enfant.
Romilly-sur(Marne)
Menuisier
Seine
SNCF
FERRY
Charles (NN)
25
novembre
1901
à
Brainville-surl’Eau (Meurthe
et Moselle)
15
décembre
1914
IRIGOYEN
Pierre
(NN)
Ateliers
SNCF
Romilly
octobre Politique
Romainville
21 avril 1942 à Front National
de Romilly-surSeine
Liste I 84, Transport parti le 12 mars 1943 de
Paris, gare de l’Est, et arrivé à Hinzert le 13
mars 1943 (matricule 6367)
Troyes, Fresnes
Liste I.84. Transport parti le 12 mars 1943 de
Paris, gare de l\'Est, et arrivé à Hinzert le 13
mars 1943
Marié, deux 17 septembre Aide à aviateurs Troyes, Cherche Liste I.84, Transport parti le 12 mars 1943 de
enfants.
1942 à Troyes alliés
Midi à Paris
Paris, gare de l'Est, et arrivé à Hinzert le 13
Garagiste
mars 1943 (matricule 6377)
Directeur
commercial
17 septembre Aide
à
des Troyes
1942 à Troyes aviateurs alliés
Liste I.84, Transport parti le 12 mars 1943 de
Paris, gare de l'Est et arrivé à Hinzert le13
mars 1943
Rentré
Décédée,
« gazée » en
février 1945
à
Ravenbrück
Décédé à
Gross
Rosen le 9
février 1945
Décédé à
BergenBelsen
16
mars
1945
Hinzert
Condamné
(matricule 6367) à
mort,
Wolfenbuttel,
décapité à
Breslau
Breslau le 7
septembre
1944
Hinzert
Libéré le 27
(matricule 6377) avril 1945 à
Wolfenbuttel,
Brandenbur
Breslau,
g-Görden
Magdebourg
Hinzert
Libéré le 15
Breslau,
Gross BergenRosen,
Witlich, Belsen
Bergen-Belsen
Hinzert
Décédé en
Wittlich, Breslau, Mathausen
Gross
Rosen,
MAILLARD
Jean-Pierre
(NN)
TABUTIAUX
Jean
(NN)
POULIQUEN
Edouard
ARON
Albert
8 février 1908 à Chirurgien
Troyes
7
septembre Aide à aviateurs Troyes, Fresnes,
1942
alliés – réception, Cherche Midi
hébergement et
évasion
d’aviateurs
anglais
23 avril 1913 à Docteur
en 17 septembre Ceux
de
la Troyes
Maucourt
médecine
1942
à Libération
(Meuse)
Chavanges
Aide à aviateurs
alliés
10 mars 1920 à
27 juillet 1942 Résistance
Paris (13ème)
Paul 8
septembre Profession
1901 à Andlau non connue
(67)
ARON William 13 octobre 1924
à Troyes
BERNARD
Louise
Née Thomas
24 février 1920 à Mariée
Estissac
DUMEZ
Eugène
24 janvier1905 à Coiffeur
Vauchassis
MICHE Robert 24 janvier 1923 Mécanicien
( ?)
Arrêté le 16 Opinions
Compiègne
février 1943 à politiques
Saint-Parresles-Vaudes
18 février 1943 Dans le cadre Compiègne
d’une rafle
Compiègne
24 janvier 1943 FTP.
à Estissac
Détention
d’armes.
Résistant
MASSON
Émilienne
Née Demange
(NN)
9 juin 1912 à Mariée
Bar-le-Duc
17 septembre Activité
1942
résistante
BELLICAUD
12 août 1894 à Marié,
10 mars 1943 à Délit
de
Mathausen
Liste I.84, Le Transport parti le 12 mars 1943 Hinzert
de Paris, gare de l'Est, et arrivé à Hinzert le (matricule 6366),
13 mars 1943
Breslau,
Gross
Rosen, Leitmeritz,
Wittlich,
Flosenburg
Liste I.84, Le Transport parti le 12 mars 1943 Hinzert, Breslau,
de Paris, gare de l'Est, et arrivé à Hinzert le Flossenbürg
13 mars 1943
Libéré le 23
avril 1945 à
Flossenbürg
Liste I.89, Les trois transports partis les 25,
27 mars et 1er avril 1943 de Paris, gare de
l’Est en direction de Trêves, et arrivés les 27,
29 mars et 3 avril 1943 au KL Mathausen
Liste I. 95, Les hommes partis de Compiègne
le 28 avril 1943 et arrivés au KL
Sachsenhausen le 30 avril 1943
Mauthausen
(matricule 25647)
Steyr-Münichholz,
Mathausen
Sachsenhausen
(matricule 65129)
Heinkel
Libéré le 5
mai 1945 à
Mathausen
Liste I. 95, Les hommes partis de Compiègne
Liste I.95, Les femmes parties de Compiègne
le 28 avril 1943 et arrivées au KL
Ravensbrück le 30 avril 1943
Sachsenhausen
(matricule 65130)
Heinkel
Ravensbrück
(matricule 19441)
Rentré en
mai 1945
Troyes, Châlons- Liste I.95, Les hommes partis de Compiègne
sur-Marne,
Compiègne
Sachsenhausen le 30 avril 1943 (
Liste I.95, Les hommes partis de Compiègne
occupée vers celles du Reich, en avril 1943
droit Compiègne
Libéré le 23
avril 1945 à
Flossenbürg
Liste I.100. Transport parti le 8 mai 1943 de
Rentré en
mai 1945
Libérée par
la
CroixRouge le 23
avril 1945
Sachsenhausen
Libéré en
matricule 64921) mai 1945
Staken, Falkensee
Sachsenhausen
Libéré le 21
(matricule 64869) avril 1945
Heinkel
Aix-la-Chapelle,
Rentrée
Flussbach,
Gommern,
Ravensbrück,
Mathausen
Sachsenhausen
Décédé le
Lucien
RomanècheThorins (71)
commerçant, Troyes
domicilié à
Gennevilliers
LAFLOTTE
Gabriel
8 décembre 1900 Marié, quatre 8 avril 1943 à Parti communiste Troyes
à
Froidos enfants.
Polisy
(Meuse)
Employé
SNCF
MOTTE Raoul
12 juin 1900 à Employé
Bailly-Carrois
SNCF
(Seine-et-Marne)
VANDENBOS 21 janvier 1920 à
CH Gérard
Wattrelos (Nord)
BOISEREAU
Georges
17 octobre 1911 Marié,
un
à Vouzon (41)
enfant.
Surveillant à
la prison de
Clairvaux
DUBOIS
Ernest
16 mai 1896 à Terrassier
Troyes
CARREAU
Charles
10 avril 1898 à Employé de
Romilly-sur
– bonneterie
Seine
BARBIEUX
Edmond
(NN)
13 mars 1903 à Marié, deux
Reims (Marne)
enfants
commun
2 avril 1943 à Politique
Polisot
Propagande
communiste
Troyes
Compiègne et arrivé le 10 mai 1943 au KL (matricule 65980) 1er
avril
Sachsenhausen
Buchenwald
1945
à
Buchenwal
d
Liste I.100, Transport parti le 8 mai 1943 de Sachsenhausen
Décédé
à
Compiègne et arrivé le 10 mai 1943 au KL (matricule 66332) Küstrin le
Sachsenhausen
Küstrin
23
avril
1944
Décédé le
Compiègne et arrivé le 10 mai 1943 au KL (matricule 66334) 12
mai
Sachsenhausen
Buchenwald
1945
à
Buchenwal
d
15 avril 1943
Résistance
Décédé
à
Compiègne et arrivé le 10 mai 1943 au KL (matricule 66211) une
date
Sachsenhausen
Speer
inconnue au
kommando
de Speer
12 mars 1943
Diffusion de la Clairvaux, Hauts- Liste I.102. Le transport parti de la prison de Prison de Fribourg, Libéré le 13
radio anglaise
Clos
Troyes le 14 mai 1943 vers celle de Friburg- Kislau-Baden,
janvier
en-Brisgau
Nieder-Roden
1944
à
NiederRoden à la
fin de sa
peine
17 juillet 1942 Communiste .
Liste I.102, Le transport parti de la prison de Friburg,
Kislau- Libéré
le
à Romilly-sur- Sabotage
Troyes le 14 mai 1943 vers celle de Friburg- Baden
10/04/1945
Seine
en-Brisgau
21
octobre FTP.
Clairvaux, Fresnes Liste. I.105, Les départs de prisons de zone Zigenheim,
Libéré en
1942
à Manifestation
occupée (hors Paris) vers celles du Reich, en Rheinbach,
mai 1945
Romilly-suranti-allemande
mai 1943
Neumunster
Seine
7 juillet 1943 à Rafle, détention Troyes, Paris
Liste I.122, Transport parti le 13 août 1943 de Hinzert, Wittlich, Décédé le
Bar-sur-Aube
d’armes
Paris, gare de l’Est, et arrivé à Hinzert le 14 Breslau,
Gross 23 janvier
août 1943
Rosen
1945
à
Gross
Rosen
BATLLE
Fernand
11 octobre 1915
( ?)
12
décembre Activité
1941
résistante
Liste I.124, Transport parti de Paris, gare de Sarrebruck,
l’Est le 16 août 1943 et arrivé à Sarrebruck Dachau
(camp de Neue Bremm) le 17 août 1943
(matricule 50544)
Libéré le 29
avril 1945
ROUSSEAU
André
(NN)
29 avril 1896 à
Bressuire (DeuxSèvres)
7 avril 1943
Liste I.125, Transport parti de Paris, gare de
l’Est le 23 août 1943, et arrivé à Sarrebruck
(camp de Neue Bremm) le 24 août 1943
(matricule 34607)
occupée vers celles du Reich, en août 1943
Sarrebruck,
Mauthausen
Décédé le 9
avril 1944 à
Mauthausen
Fribourg (16 août
1943), Karlsruhe,
Gotteszell,
Bautzen,
Gommern,
Magdebourg
Liste I.131. Transport parti de Compiègne le Buchenwald
3 septembre 1943, et arrivé au KL (matricule 22152),
Buchenwald le 4 septembre
Laura
Rentrée
Libérée le
12
avril
1945
à
Magdebour
g
Libéré le 30
avril 1945 à
Allach.
Rentré
l’Est le 13 septembre 1943, et arrivé à
Sarrebruck (camp de Neue Bremm) le 14
septembre 1943
Sarrebruck,
Sachsenhausen
(matricule 71879)
Natzweiler,
Dachau
Décédé
à
Dachau le 4
février 1945
LABLANCHE 1er juin 1924 à Le Mariée.
Blandine Née Girouard
Surveillante
Chougine
(Vendée)
d’un
établissement
pénitenciaire
de Troyes
BOISAUBERT 22 août 1922 à
René
Paul Voué
Raymond
17 novembre Opinions
1941
politiques
13 juin 1943
près de PortVendres
(PyrénéesOrientales)
2 mars 1943 à
Périgny-laRose
Réfractaire
STO
LAPIERRE
Georges (NN)
28 février 1886 à Marié.
Barbuise
Retraité
BOIVIN
Marceau
Armand
14 mai 1911 à
Troyes
REGNAULT
Marcel
23 juillet 1896 à Manutentionn 14 juillet 1941 Communiste
Joinville (Haute- aire
à Sainte-Savine
Marne)
au Compiègne
Organisation de Fresnes
la
Résistance
dans le corps
enseignant (SNI
clandestin),
OCM,
Libération-Nord
et
ConfrérieNotre-Dame
9
septembre
1943
à
Gérardmer
Liste I.139. Les départs des prisons de zone Karlsruhe,
Libéré le 24
occupée vers celles du Reich, en septembre Rheinbach, Kassel, décembre
1943
Straubing
1943 ou le
4
mai
1945 ?
Clairvaux,
la Liste I.145, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Décédé le
Santé,
Fresnes, 28 octobre 1943 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 30606) 10
juillet
Compiègne
le 30 octobre 1943
1944
à
Buchenwal
d
PARISOT
Madeleine
Née Pierron
La-ChapelleSaint-Luc
7 août 1943 à Libération-Nord
Chappes
Liste I.148, Les départs de prisons de zone Jauer (le 8 octobre Libérée à
occupée (hors Paris) vers celles du Reich, en 1943),
Anhath, Jauer le 12
octobre 1943
Jauer
février 1945
VIARD
Maurice (NN)
9 août 1899 à
Troyes
11 août 1943 à Résistant
Troyes
GOUYARD
Lucien
(NN)
9 novembre 1908 Agriculteur
à Jully-sur-Sarce
13
octobre Arrêté avec un Troyes
1943
à revolver
Villemorien
Liste I 155, Transport parti le 25 novembre Natzweiler
1943 de Paris, gare de l’Est et , arrivé au KL (matricule 6315),
Natzweiler le 26 novembre 1943
Schweidnitz,
Hirschberg
Liste I.168, Transport parti le 6 janvier 1944 Natzweiler
de Paris, gare de l’Est et arrivé au KL (matricule 6842),
Natzweiler le 7 janvier 1944
Dachau
OZOUF Désiré 23 avril 1900 à Célibataire
(NN)
Paris (Seine)
AUBERT
Paulin
13
octobre Détention
1943 à Cunfin d’armes
Troyes
23 février 1884 à Marié, quatre 16 janvier 1943 Dénonciation
Troyes,
Estissac
enfants
à Chuisay
pour
activités Compiègne
politiques
BEN-BARBI
Né au Maroc à
ou
BEN- une
date
LARBI
inconnue
Mohammed
(à ajouter)
24 juillet 1943 Prisonnier
de
à Épothémont guerre
évadé,
réfugié auprès du
résistant Albert
Chrétien,
il
participe
avec
celui-ci à des
parachutages et
cache des armes.
CARRÉ
15 octobre 1913 Marié,
un 17 juillet 1943 Ceux
de
la
Bernard
à
Fleury-surenfant.
sur le terrain de Libération.
Andelle (Eure)
Exploitant
parachutage de Transport
forestier
Géraudot
d’armes
avec
camion.
CARRE Daniel 2
17 juillet 1943 Ceux
de
la
1923 à Fleury- Etudiant dans sur le terrain de Libération.
sur-Andelle
la
marine parachutage de Transport
(Eure)
marchande
Géraudot
d’armes
avec
Décédé
à
Hirschberg
le 18 avril
1945
Décédé le
26
mars
1945
à
Dachau
Liste I 168, Transport parti le 6 janvier 1944 Natzweiler
Libéré en
de Paris, gare de l’Est et arrivé au KL (matricule 6873), mai 1945
Natzweiler le 7 janvier 1944
Dachau, Erzighen
Liste I.171, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 39530),
le 19 janvier 1944 (matricule 39 530)
Flossenbürg
Décédé à
Flossenbürg
14
août
1944
Décédé
à
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 40195), Dora à une
le 19 janvier 1944
Dora
date
inconnue
Troyes, Châlons- Liste I 171, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libéré en
sur-Marne,
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 41328), mai 1945
Fresnes,
le 19 janvier 1944
Dora
Compiègne
sur-Marne,
Fresnes,
le 19 janvier 1944
Dora
Compiègne
Libéré en
mai 1945
CHRETIEN
Albert
21 juillet 1903 à Exploitant
Payns
forestier
camion.
de
à Epothémont Libération,
BOA-action.
Hébergement
réfractaires
Parachutage.
Détention
d’armes et
munitions.
11 juin 1943 à Ceux
de
Ervy-le-Châtel Libération
COLLIGNON
Victor
Virton
Exploitant(Belgique)
forestier
COLLIGNON
Edgard
13 mai 1924 à Exploitant
Ervy le Châtel
forestier
11 juin 1943 à
Ervy-le-Châtel
COLLIGNON
Roger
13 octobre1920 à ExploitantColombes
forestier
(Seine)
11 juin 1943 à
Ervy–le-Châtel
COLLIN
Gaston
1er juin 1922 à Marié.
Dombras
Cultivateur
(Meuse)
24 juillet 1943
à Epothémont
COLSON Léon 20
décembre Retraité
1881 à Ligny-leChâtel (Yonne)
COMBE
Georges
17 août 1943 à
Marnay-surSeine
la Saint Dizier,
Liste I 171, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libéré en
Chaumont, Troyes, 17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 39816), avril 1945
Châlons-surle 19 janvier 1944
Dora, Echbahau
de Marne,
Romainville,
Compiègne
de
la Troyes, Châlonssur-Marne,
Fresnes,
Romainville,
Compiègne
Ceux
de
la Troyes, ChâlonsLibération.
sur-Marne,
dépôt d’armes
Fresnes,
Romainville,
Compiègne
Ceux
de
la Troyes, ChâlonsLibération
sur-Marne,
Fresnes,
Romainville,
Compiègne
Participation
à Troyes, Châlonsdes parachutages sur-Marne,
Romainville,
Compiègne
Parachutage
Troyes, Châlons sur-Marne,
Compiègne
10 mai 1903 à Chef
de 20 juillet 1943 BOA-Action.
Fontainebleau
section
au à Troyes
Participation
à
(Seine-et-Marne) Ravitailledes parachutages.
ment Général
de l’Aube
Décédé le 7
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 41803), mars 1944 à
le 19 janvier 1944
Flossenbürg
Flossenbürg
Libéré en
le 19 janvier 1944
Flossenbürg
Décédé le
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 49830), 15
avril
le 19 janvier 1944
Dora
1945 à Dora
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 40.873)
le 19 janvier 1944
Dora
Liste I 171, Transport parti de Compiègne le
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald
le 19 janvier 1944
Troyes, Châlons- Liste I 171, Transport parti de Compiègne le
sur-Marne,
Fresnes,
le 19 janvier 1944
Romainville,
Compiègne
Décédé
à
Dora à une
date
inconnue
Buchenwald
Décédé
à
(matricule 39819) Buchenwal
d le 13 mai
1944
Buchenwald
Décédé le
(matricule 40809), 30
mars
Flossenbürg
1944
à
Flossenbürg
CONNILLE
Aimé
28
septembre Marié.
1911 à Ménotey Directeur
(Jura)
commercial
GUILLAUME
André
7 avril 1924 à Célibataire.
Troyes
Employé
SNCF
LIEGE Bernard 3 janvier 1922 à
Vergigny ( ?)
29 juillet 1943
Ceux
de
la
Libération.
Transport
d’armes
2 août 1943 à Participation
à
Troyes
des parachutages
Le 24 juillet
1943
à
Épothémont
MAHEE
Georges
19 mars 1905 à Marié, sans 11 juin 1943 à
Erne-en-Artois
enfant.
Troyes
(Pas de Calais)
Ophtalmologi
ste
MILLOT
Roger
23 mars 1903 à Marié, quatre 17 juillet 1943
Provins (Seine- enfants.
à Géraudot
et-Marne)
Commis de
district
au
ravaitaillement
MONET Louis
3 janvier 1909 à Marié, cinq 17 juillet 1943
Nevers (Nièvre) enfants.
à Géraudot
Chef
de
district
au
ravitaillement
général
2 novembre 1890 Notaire
11 juin 1943 à
MONSACRE
le 19 janvier 1944
Flossenbürg,
Hradischo,
Troyes, Châlons- Liste I 171, Transport parti de Compiègne le Buchenwald,
sur-Marne,
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 40.065)
Fresnes,
le 19 janvier 1944
Dora,
Romainville,
Ravensbrück
Compiègne
Réfractaire
au Troyes,
STO,
réfugié Compiègne
auprès
du
le 19 janvier 1944
Dora
résistant Albert
Chrétien,
il
participe
avec
celui-ci à des
parachutages et
cache des armes
Ceux
de
la Troyes, Châlons- Liste I 171, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libération.
sur-Marne,
Organisation de Fresnes,
le 19 janvier 1944
Natzweiler,
,
la
Résistance Romainville,
Kochendorf
dans l’Aube, la Compiègne
Dachau
Marne, la HauteMarne
Parachutages
d’armes
sur-Marne,
Compiègne
le 19 janvier 1944
Dora, Ellrich
BOA.
Parachutages
d’armes.
Délivrance
de
cartes
d’alimentation.
Ceux
de
la
Troyes,
Compiègne
Troyes, Châlons- Liste I.171, Transport parti de Compiègne le
sur-Marne,
Fresnes,
le 19 janvier 1944.
Romainville,
Compiègne
Troyes,
Libéré en
mai 1945
Libéré en
mai 1945
Décédé
à
Dora le 13
janvier
1945
Libéré
à
Dachau fin
avril 1945
Décédé
à
Ellrich le 24
février 1945
Buchenwald
Libéré en
Flossenbürg,
Hradischo
Châlons- Liste I.171, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Décédé le 3
Albert
au Pin (Indre)
Ervy-le-Châtel
Libération
MONTHILLO
T René
15 mai 1911 à Chef
de 20 juillet 1943 BOA.
Saint-Germainsection
au à Troyes
Parachutages
la-Ville (Marne) ravaitailleme
nt général
PAGNIER Paul 11
1925 à Troyes
Secrétaire
2 août 1943 à Parachutages
Troyes
PETIJEAN
Eugène
11 juillet 1887 à
Saint-Nabord
12 février 1943 Résistance
POTHIER
Lucien
4 janvier 1922 à
Chavanges
POTRON Jean- 1er
décembre
Louis
1911 à Amel-surl’Etang (Meuse)
REY Louis
19 octobre 1887
à
Louvenne
(Jura)
RICHARDOT
Gilbert
Né le 5 août
1922 à Mens
(Isère)
THIEBLEMO
28
sur-Marne,
Fresnes,
Romainville,
Compiègne
Fresnes,
Romainville,
Compiègne
Fresnes,
Romainville,
Compiègne
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 40085)
le 19 janvier 1944
Décédé
à
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 39802), Flossenbürg
le 19 janvier 1944
Flossenbürg
à une date
inconnue
Libéré en
le 19 janvier 1944
Dora
Liste I.171, Transport parti de Compiègne le
le 19 janvier 1944
Maçon
de
la Chaumont, Troyes, Liste I.171, Transport parti de Compiègne le
à Epothémont Libération.
Châlons-sur17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald
Participation
à Marne, Compiègne le 19 janvier 1944
des parachutages.
Employé
de
la Troyes, Châlons- Liste I.171, Transport parti de Compiègne le
SNCF
à Géraudot
Libération
sur-Marne,
Parachutages
Romainville,
le 19 janvier 1944
Compiègne
Marié,
un 11 juin 1943 à Ceux
de
la Troyes, Châlons- Liste I.171, Transport parti de Compiègne le
enfant.
Ervy-le-Châtel Libération
sur-Marne,
ReceveurCompiègne
le 19 janvier 1944
buraliste
septembre Bonnetier
24 juillet 1943 Réfractaire
au Compiègne
à Épothémont STO,
réfugié
auprès
du
résistant Albert
Chrétien.
Participe à des
parachutages et
cache des armes.
16 janvier 1943 FTP.
Troyes,
mars 1944 à
Buchenwal
d
Buchenwald
(matricule 39504)
Décédé le
30
août
1944
Buchenwald
Libéré le 15
Dora, Harzungen, BergenBergen Belsen
Belsen
Buchenwald
Libéré
(matricule 41344),
Dora
Buchenwald
(matricule 40031)
Décédé le
30
avril
1944
à
Buchenwal
d
Décédé
à
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 40930), Ellrich le 12
le 19 janvier 1944
Dora
février 1945
Liste I.171,Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libéré
en
NT Henri
1891 à Estissac
à Estissac
TREMET
Georges
11
novembre Célibataire
1921 à Buchères
24 juillet 1943 Parachutages
à Epothémont
BAULARD
Georges
3
septembre
1894 à SaintBenoït-sur-Seine
15
septembre
1910 à Langres
(Haute-Marne)
21 novembre Ceux
de
1943
Libération.
CLAVEL
Pierre
CLEREY Paul
Charpentier
Communiste
Marié.
31
octobre BOA.
Employé au 1943 à Bar-sur- Recherche
RavitailleAube
terrains
ment Général
parachutage ;
réception
officiers
parachutés.
24 mars 1904 à Marié.
10 septembre Hébergement
Troyes
Apprêteur en 1943
à
la d’aviateurs
bonneterie
Rivière-deaméricains
Corps
FANGET
Pierre
3 février 1910 à Marié, deux 1er
Troyes
enfants.
1943
Contrôleur
aux PTT
FLOGNY
Charles
1er avril 1890 à Marié,
Sainte Savine
enfant
GILLOT
Lucien
6 mai 1899 à Commerçant
Mergey
KAPPLER
Roger
19
novembre Gardien de la 1er janvier 1944
1919 à Thaon- Paix
à Troyes
les-Vosges
octobre
un 13 septembre
1943 à Troyes
21 novembre
1943 à Saint
Benoit-surSeine
Compiègne
le 19 janvier 1944
Chaumont, Troyes, Liste I.171, Transport parti de Compiègne le
Châlons-sur17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald
Marne,
Fresnes, le 19 janvier 1944
Compiègne
la Compiègne
le 19 janvier 1944
de sur-Marne,
de Compiègne
le 24 janvier 1944
Troyes,
Compiègne
(matricule 39452)
avril 1945
Buchenwald
Décédé
à
(matricule 40933), Janowitz le
Flossenbürg
30
avril
1944
Buchenwald
(matricule 43411)
Libéré le 11
avril 1945
Buchenwald
Libéré le 5
Mauthausen,
Gusen II
Liste I.172, Transport parti de Compiègne le Buchenwald,
22 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald Mauthausen
le 24 janvier 1944
(matricule 43393),
Gusen II
Décédé
à
Gusen II le
26
novembre
1944
Réseau
Troyes, Châlons- Liste I.172, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libéré en
Manipule ;
sur-Marne, Fresnes 17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 41667), mai 1945
renseignements
le 19 janvier 1944
Dora,
sur le réseau de
Ravensbrück
transmission
allemand
Libération Nord. Troyes,
Châlons Liste I.172, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libéré le 11
Aide à aviateur sur-Marne,
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 42429) avril 1945
allié.
Compiègne
le 19 janvier 1944 (matricule 42429)
Commandos M. Troyes,
Décédé le
Détenteur d’un Compiègne
17 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 43400) 11
avril
poste-émetteur
le 19 janvier 1944
1944
à
Buchenwal
d
Acte de sabotage Troyes, Châlons- Liste I.172, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Décédé le
au dépôt SNCF sur-Marne,
22 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 43414), 30
mai
de Troyes
Compiègne
le 19 janvier 1944
Flossenbürg
1945
à
(Vosges)
LIMOGE Abel
9 février 1913 à
Novy (Ardennes)
10 novembre Trafic d’armes et Troyes,
1943 à Saint- de bonneterie
Compiègne
Phal
MASSON
Gabriel
8 mai 1906 à CafetierMussy-sur-Seine restaurateur
MAYER
Raymond
20 mai 1900 à Agent
Troyes
d’assurances
8
novembre BOA.
1943 à Mussy- Parachutages,
sur-Seine
transports
d’armes
10 septembre Ceux
de
la
1943 à Troyes Libération
MERLINGE
Octave
1er mai 1902 à Marié, cinq 18 janvier 1943 Réseau Kléber- Troyes, Reims
Sallanches
enfants.
à Troyes
Nord (Uranus)
(Haute-Savoie)
Intendant
militaire
NERET
Marceau
7 décembre 1911 Bonnetier
à Mergey
PIERRON
Pierre
9 juin 1903 à Contremaître
Pont-à-Mousson
(Meurthe-etMoselle)
10 avril 1923 à Agriculteur
Montigny-lesCélibataire
Monts
ROBIN Julien
ROBIN René
27 mai 1920 à Agriculteur
Payns
le 19 janvier 1944
sur-Marne,
Compiègne
le 19 janvier 1944
Troyes
le 19 janvier 1944
le 19 janvier 1944
Theresienst
adt
juste
avant son
rapatriemen
t
Buchenwald
Libéré
à
(matricule 43391), Flossenbürg
Flossenbürg
en
avril
1945
Buchenwald
Rentré
(matricule 43392),
Flossenbürg,
Hradischko
Buchenwald
Décédé
à
(matricule 41569), Buchenwal
Weimar
d le 9 mars
1944
Buchenwald
Libéré le 5
Mauthausen
21 novembre Sabotage,
1943 à Mergey résistance
Troyes,
Compiègne
le 19 janvier 1944
Mauthausen,
Ebensee
8
novembre Parachutages,
1943 à Mussy- transport d’armes sur-Marne,
sur-Seine
et de munitions
Compiègne
le 19 janvier 1944
Wiener Neustadt
14
décembre FTP.
1943
à Sabotages
Montigny-lesMonts
sur-Marne,
Compiègne
le 24 janvier 1944
17 novembre Ceux
de
1943 à Payns
Libération.
sabotages
Décédé le
20
mai
1945
à
Ebensee
Libéré le 28
avril 1945
Décédé le
22 ou 23
février 1944
à
Buchenwal
d
la Troyes, Châlons- Liste I.172, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Décédé
à
sur-Marne,
22 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 43412), Flossenbürg
Compiègne
le 24 janvier 1944
Flossenbürg
à une date
SOUTIN
Marcel
17
décembre Cafetier
1905 à Mortery Marié,
(Seine-et-Marne) enfant
23 septembre Ceux
de
un 1943 à Saint- Libération
Lyé
Sabotages
THUILLIER
Gaston
6 avril 192 à Marié, deux
Montigny
les enfants.
Monts
Entrepreneur
du bâtiment
sur-Marne,
Compiègne
le 29 janvier 1944
Wan
6
décembre FTP.
1943
à Parachutages
Montigny-lesmonts
2 février 1916 à Gardien de la 1er janvier 1944 Ceux
de
la
Igney (Vosges)
Paix
à Troyes
Libération.
Sabotage
de
voies ferrées
VANGAMPEL 22 janvier 1914 à Chauffeur
27
octobre Ravitaillement de
EIRE Léon
Armentières
1943
résistants
(Nord)
TRIBOUT
Raymond
inconnue
Libéré en
mai 1945
Décédé
à
sur-Marne,
27 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 43670), Wieda le 13
Compiègne
le 29 janvier 1944
Dora, Wieda
avril 1945
Rentré
sur-Marne,
Compiègne
le 29 janvier 1944
Wan
Troyes
Libéré en
27 janvier 1944 et arrivé au KL Buchenwald (matricule 43555), avril 1945
le 29 janvier 1944
Wan
VARLET
Charles
19 juillet 1916 à Marié,deux
Troyes
enfants.
Policier
24 septembre
1943
à
la
Chapelle-SaintLuc
Ceux
de
Libéré en
Libération.
sur-Marne,
Sabotage,
Compiègne
le 29 janvier 1944
Schömberg
parachutages,
ravitaillement
d’aviateurs
VEYSSIERE
Maurice
12 février 1898 à Entrepreneur
Cherveix-Cubas
(Dordogne)
31
octobre BOA (Chef de Troyes, Châlons- Liste I 173, Transport parti de Compiègne le Buchenwald
Libéré en
1943 à Saint secteur)
sur-Marne,
André-lesCompiègne
le 29 janvier 1944
Dora, Ellrich
Vergers
VUILLAUME
André
21
septembre Bonnetier
1898 à Eclaron
(Haute-Marne)
LAURIER
4 mars 1923 à
1er novembre Réception,
1943 à Mussy- hébergement
sur-Seine
d’un
agent
anglais
pour
repérage
de
terrains
de
parachutage
?
sur-Marne,
Compiègne
le 29 janvier 1944
Libéré en
avril 1945
Compiègne
Rentrée
Liste I.175, Transport parti de Compiègne le Ravensbrück
Paule
Angers (Maineet-Loire-
PIERRE
Raymond
27
novembre Agriculteur
11 février 1944
1920
à
à
CharmontVendeuvre-sursous-Barbuise
Barse. Dans la
liste du Livremémorial il est
indiqué qu’il est
né le 25 octobre
1905 à Paris
un 23 novembre
Saint-Benoit-surenfant
1943 par la
Seine
Gestapo
CHEVANCE
Alinet
31 janvier 1944 et arrivé au KL Ravensbrück (matricule 27185),
le 3 février 1944
Holleischen
Sabotage dans le
travail
Liste I.188, Transport parti le 9 mars 1944 de Mauthausen
Paris, gare de l’Est, et arrivé à Sarrebruck (matricule 61192)
(camp de Neue Bremm) le 14 mars 1944.
Décédé le
30 janvier
1945
à
Mauthausen
Entraves
à
réquisition,
sabotage
de
batteuses, lignes
électriques
et
voies ferrées
six 10 juillet 1941 FTPF.
à Troyes
Communiste
Troyes, Châlons- Liste I.191, Transport parti de Compiègne le Mathausen
Décédé le
sur-Marne,
22 mars 1944 et arrivé au KL Mathausen le (matricule 59738), 21
mars
Compiègne
25 mars 1944
Auschwitz
1945 dans
un
lieu
inconnu
ANGINOT
Jules
(NN)
11 janvier 1881 à Marié, treize 26 novembre Commandos M.
Lézinnes
enfants.
1943
Détention
(Yonne)
Cultivateur
d’armes
ANGINOT
André
(NN)
11 août 1920 à Célibataire.
Channes
Cultivateur
Liste I.192, Transport parti le 23 mars 1944 Natzweiler, Gross Décédé à
de Paris, gare de l'Est et, arrivé au KL Rosen
Gross
Natzweiler le 24 mars 1944 (matricule 8591)
Rosen le 11
novembre
1944
Liste I.192, Transport parti le 23 mars 1944 Natzweiler,
Libéré
de Paris, gare de l'Est et, arrivé au KL Heissingen, Gross Nordhausen
Natzweiler le 24 mars 1944 (matricule 8590) Rosen puis Dora. le 11 avril
1945
PINIGRY René 26 mars 1908 à Marié,
Annay-surenfants.
Serein (Yonne)
Employé
SNCF
GENNERAT
Maurice
28
septembre Marié.
1912 à Troyes
Employé
SNCF
GRAND Léon
6 octobre 1920 à Célibataire
Verrières
26 novembre Activité
1943
résistante,
fourniture
d’armes à
résistance
6 août 1941 à Communiste
Troyes
1 octobre 1941 Communiste
à Saint Julien-
Clairvaux, Rouillé, Liste I.191, Transport parti de Compiègne le Mauthausen
Troyes,
22 mars 1944, et arrivé au KL Mathausen le (matricule 60442)
Fontevrault, Blois, 25 mars 1944
Compiègne
Prison de Dijon
la
Libéré le 28
avril 1945
Gaillon, Clairvaux, Liste I.199, Transport parti de Compiègne le Mauthausen
Libéré en
la
Santé, 6 avril 1944 et arrivé au KL Mathausen le 8 (matricule 62434), mai 1945
Fontevrault
avril 1944
Melk, Ebensee
Troyes, Clairvaux, Liste I.199, Transport parti de Compiègne le Mauthausen
Décédé le 5
Fresnes, la Santé, 6 avril 1944 et arrivé au KL Mathausen le 8 (matricule 62487), août 1944 à
les-Villas
Fontevrault, Blois, avril 1944
Compiègne
31 mai 1916 à Inspecteur de 10 septembre BOA.
Fresnes,
Paris (Seine)
police
1943
Aide à aviateurs Compiègne
6 avril 1944 et arrivé au KL Mathausen le 8
alliés
avril 1944
Melk
PAGET
Jacques
8 décembre 1920
à Paris (14ème)
5
décembre
1943
BELLEUVRE
Henriette
Georgette
5 novembre 1919
à Payns
?
Mauthausen
Rentré
(matricule 62902),
Melk, Ebensee
Ravensbrück
Rentrée
(matricule
35176)
CANOT
Andrée
19 août 1915 à
Arcis-sur-Aube
11
octobre Front
1943 à Chamoy (RIF)
suite à une
dénonciation
GERVAISOT
Simone
Née Denis
28 octobre1902
MESSAIN
Marcelle
13 mai 1911 à
Petites-loges
(Marne)
GUERRY
Roger
Mariée.
Secrétaire
FTP
Alain)
6 avril 1944 et arrivé au KL Mathausen le 8
avril 1944
l’Est, le 18 avril 1944 et arrivé au KL
(groupe
Melk
Mathausen
Libéré en
Ebensee,Melk
National Troyes, Châlons- Liste I.204, Transport parti de Paris, gare de Ravensbrück
sur-Marne,
l'Est, le 18 avril 1944 et arrivé au KL (matricule 35184)
Compiègne,
Holleischen
Romainville
Libérée à
Holleschein
le 5 mai
1945.
11 janvier 1944 Armée
secrète Troyes,
à Troyes
(dactylo)
Romainville
Liste I 204, Transport parti de Paris, gare de Ravensbrück
l’Est, le 18 avril 1944 et arrivé au KL (matricule 35213)
Leipzig
Rentrée
15 janvier 1943 Résistance
à Troyes
Troyes,
Romainville
Liste I.204, Transport parti de Paris, gare de Ravensbrück
Libérée en
l'Est, le 18 avril 1944 et arrivé au KL (matricule 35251) mai 1945
Ravensbrück le 22 avril 1944)
Holleischen
PICARD
Henriette
Née Matuchet
14
septembre Mariée, deux 19 janvier 1944 Libération-Nord. Troyes,
1900 à Recey- enfants
à Marigny-le- Hébergement de Romainville
sur-Ource
châtel
réfractaires
Liste I.204, Transport parti de Paris, gare de Ravensbrück
Libérée le 5
l’Est, le 18 avril 1944 et arrivé au KL (matricule 35269) mai 1945 à
Holleischein
Holleischen
BOUGUIER
Edmond
21 octobre 1890 Marié.
à Plancy
Militaire.
13 janvier 1944 Armée Secrète
à Troyes
Troyes,
Compiègne
CHRISTMAN
N Germain
5 décembre 1895 Camelot
à Troyes
15 février 1944 FTP
Troyes,
Compiègne
Liste I.206, Le transport parti le 27 avril 1944 Auschwitz
Décédé le
de Compiègne et arrivé au KL Auschwitz- (matricule 185139) 15
juin
Birkenau (dit « convoi des déportés tatoués ») Buchenwald
1944
à
d
Liste I.206, « Le transport parti le 27 avril Auschwitz
Décédé le
1944 de Compiègne et arrivé au KL (matricule
22 février
Auschwitz-Birkenau
déportés tatoués »)
des 185300),
Buchenwald
(matricule 53884)
Flossenbürg
(matricule 9490),
Janowitz
1944 de Compiègne et arrivé au KL (matricule 185363)
Auschwitz-Birkenau (dit « convoi des Buchenwald
(matricule 53820)
de Compiègne et arrivé au KL Auschwitz- (matricule 185393)
Birkenau (dit convoi des déportés tatoués)
Buchenwald,
(matricule 53817)
Flossenbürg,
(matricule 9589),
Kamenz,
Dachau
1945
à
Janowitz
10 janvier1944 Armée Secrète. Troyes, Châlons- Liste I.206, Le transport parti le 27 avril 1944 Auschwitz
à Troyes
Sabotage.
sur-Marne,
Compiègne
Birkenau (dit "convoi des déportés tatoués") Buchenwald
(matricule 53862)
5
décembre Employé
7 février 1944 à Ceux
de
la Troyes,
Liste I.206,Le transport parti le 27 avril 1944 Auschwitz
1897 à Malvillers SNCF
Troyes
Libération, BOA Compiègne
(Haute-Saône)
Birkenau (dit "convoi des déportés tatoués"
Buchenwald
(matricule 53818)
Flossenbürg
(matricule 9690),
Flöha
16 juillet 1913 à Marié,
un 18 novembre Déraillement
Troyes,
Pars les Romilly enfant.
1943 à Vaudes d’un train. Aide à Compiègne
Marchand de
un
aviateur
bois
américain
(matricule 53883)
Flossenbürg
(matricule 9764)
Hersbrück
2 août 1908 à Electricien
11 janvier 1944 Ceux
de
la Troyes, Châlons- Liste I.206, Le transport parti le 27 avril 1944 Auschwitz
Courcelles
les
à Troyes
Libération.
sur-Marne,
Libéré en
avril 1945
CURIN Henri
(Non présent
dans
l’applicatif)
DEFERT
Maurice
5 août 1882 à Marié.
Villechetif
Instituteur
DOUSSOT
Jean
27 août 1920 à Célibataire.
Couvignon
Conducteur
de cars
FERRAND
Albert
GAUGUE
André
GAULARD
Fernand
de
à Saint-Mesmin Libération
un 12 janvier 1944 Opinions
Troyes
enfant.
à Troyes
politiques
Mécanicien
la Troyes,
Compiègne
Troyes
(dit
«
convoi
Libéré en
avril 1945
Décédé le
17
mars
1945
à
Dachau
Décédé le
11
juillet
1944
à
Flöha
Libéré en
mai 1945
Libéré en
mai 1945
Montbeliard
Sabotage
camions
allemands
de Compiègne
18 novembre Résistance
1943
(matricule 53807)
Flossenbürg
(matricule 9765)
Troyes,
Liste I.206, Le transport parti le 27 avril 1944 Auschwitz,
Compiègne
(matricule 53525)
Sachsenhausen
Troyes,
Compiègne
1944 de Compiègne et arrivé au KL (matricule
Auschwitz-Birkenau (dit « convoi des 185739),
Buchenwald
(matricule 53885)
Flossenbürg
(matricule 9802),
Troyes,
Compiègne
(matricule 53805)
Flossenbürg
(matricule 9803)
Troyes,
Compiègne
de Compiègne et arrivé au KL Auschwitz- (matricule
Birkenau (dit « convoi des déportés tatoués ») 185754),
Buchenwald
(matricule 53908)
Flossenbürg
(matricule 9804)
Troyes, Châlons- Liste I.206, Le transport parti le 27 avril 1944 Auschwitz
sur-Marne,
Compiègne
(matricule 53824)
GAUROY
Roger
23 mars 1917 à
Gouaix (Seineet-Marne)
HENRY Jean
16 août 1912
HESTIN
Fernand
23 août 1908 à Employé
Saulxures (BasRhin)
3 mars 1944
HOPPENOT
Jean
4 février 1895 à
Troyes
5 février 1944 à Armée Secrète
Troyes
(Chef militaire
départemental)
JUFT Michel
24 octobre 1889 Contremaître
à Troyes
LANEZ Jean
10 juillet 1897 à
Meudon (Seineet-Oise)
de
la
à Troyes
Libération.
Délivrance
de
cartes d’identité
pour
la
Résistance
12 janvier 1944 A été arrêté parce Troyes,
à Dienville
que son nom Compiègne
figurait sur une
liste.
N’avait
Marié, deux 12 janvier 1944 Armée Secrète
enfants.
à Troyes
Militaire.
Fourniture
de
renseignements
sur
l’aviation
allemande et sur
le PPF
Décédé le 2
septembre
1944
à
Sachsenhau
sen
Décédé le 8
mai 1945 à
Janowitz
Décédé le 6
mai 1945 à
Thérésina
Décédé le
15
novembre
1944
à
Flossenbürg
Libéré en
mai 1945 à
Buchenwal
d
Décédé le
de Compiègne et arrivé au KL Auschwitz- (matricule 185846) 15 janvier
1945
à
(matricule 53806) Flossenbürg
encore rien fait
LAURENS
André
14 mai 1920 à Marchand
Sainte-Maure
d’immeubles
12 janvier 1944
à Troyes
Compiègne
Liste I.206, Le transport parti le 27 avril 1944
de Compiègne et arrivé au KL AuschwitzBirkenau (dit « convoi des déportés tatoués »)
RUFFIER
Roger
6 octobre 1919 à Célibataire.
Montreuil
aux Marin
Lions (Aisne)
17
octobre Résistant
1943
à
Vaupoisson
Troyes,
Compiègne
TISSOT
Marcel
9 juin 1909 à la Commissaire
Fourgues
de police
(Doubs)
6 mars 1944 à Armée secrète
Troyes
Troyes,
Compiègne
7
décembre Résistance
1943 à Saint
Parres-lesVaudes
Troyes,
Compiègne
Troyes,
Compiègne
TRAINI Daniel 26 mars 1924 à
Villemoyenne
UNTERWALD 20 avril 1898 à Marié, deux 12 janvier 1944 Armée Secrète
Marcel
Troyes
enfants.
à Troyes
Militaire
BAZIN Victor 26 août 1890 à Veuf.
Arthur
Lantages
SNCF
AVIAT
Paul 5
mars1899
à Marié,
14 avril 1941 à Activité
anti- Clairvaux, Poitiers,
Troyes
allemande,
Fresnes,
propagande
Compiègne
un 1er mars 1944 FTP.
Flossenbürg
(matricule 9944),
Janowitz
Auschwitz
(matricule 185858)
Buchenwald
(matricule 52773)
Flossenbürg
(matricule 9945),
Kamenz
Auschwitz
(matricule
186369),
Flossenbürg,
Hersbruck
Auschwitz
(matricule 186473)
Buchenwald
(matricule 52774
Flossenbürg
(matricule 10237)
Kamenz
Auschwitz
(matricule
186485),
Buchenwald
(53887),
Flossenbürg
(matricule 10230)
Hersbruck
Auschwitz
(matricule 186504)
Buchenwald
(matricule 53856)
I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de Buchenwald,
Compiègne et arrivé le 14 mai 1944 au KL Schömberg
Buchenwald (matricule 52110)
Liste I.210, Transport parti le 4 mai 1944 de Natzweiler,
Décédé
à
Kamenz à
une
date
inconnue
Décédé le 2
décembre
1944
à
Hersbruck
Décédé
Kamenz
à
Décédé le 6
décembre
1944
à
Hersbruck
Décédé le 9
mars 1945 à
Zwieberge
(Langenstei
n)
Libéré
le
1er
mai
1945
Libéré le 29
René
(NN)
Hébergement de
maquisards ;
d’aviateurs alliés.
Constitution de
dépôts d’armes
DORE Fernand 20
septembre Marié, deux 12 novembre Porteur
d’un Troyes
(NN)
1908 à Hortes enfants.
1943
à pistolet
lors
(Haute-Marne)
Ajusteur
Champignol
d’une rafle
Paris, gare de l'Est, et arrivé au KL Dachau
Natzweiler le 5 mai 1944 (Matricule 13 835)
avril 1945 à
Dachau
Liste I. 210, Transport parti le 4 mai 1944 de Natzweiler,
Paris, gare de l\'Est, et arrivé au KL Dachau
Natzweiler le 5 mai 1944, (matricule 13845) (matricule 98945)
Libéré en
mai 1945
JACQUINOT
Marcel
28
septembre Papetier1893 à Sainte- relieur
Savine
14 juillet 1941 Menées
à Sainte-Savine communistes
Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de Buchenwald
Compiègne et arrivé le 14 mai au KL (matricule 49790)
Buchenwald
Strassen Bau
Libéré en
avril 1945
MAIRE René
21
novembre
1918 à Conde
(Moselle)
19 mai 1888 à Veuf
Marseille
(Bouches-duRhône)
11 janvier 1944
PELISSON
René
21 avril 1922 à Gendarme
Lantenay (Ain)
RENAUD
Alexandre
20 mai 1895 à AideParis
cuisinier
Divorcé
10 janvier 1898 à Bûcheron
Nogent-sur-Seine
Buchenwald,
Libéré le 15
Wieda,
Dora, avril 1945 à
Bergen Belsen
BergenBelsen
1943
Activité politique Compiègne
Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de Buchenwald
Décédé le 4
Compiègne et arrivé le 14 mai 1944 au KL (matricule 51479) juin 1945
Buchenwald
14 juillet 1941 Communiste
Clairvaux, Poitiers, Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de Buchenwald
Rentré
à Nogent-sur- Distribution de Troyes,
Compiègne et arrivé le 14 mai 1944 au KL (matricule 51421)
Seine
tracts
anti- Compiègne
Buchenwald
allemands
PANTEL
Ernest
TETE André
Herbisse
enfant.
Cultivateur
Troyes, Romilly,
Fresnes,
Poissy,
Melun, Châlonssur-Marne,
Compiègne
Compiègne
Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de
Compiègne et arrivé le 14 mai 1944 au KL
Buchenwald
5 avril 1941 à Front National, Troyes, la Santé, Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de
Saint-Andrépropagande
Fresnes, Clairvaux, Compiègne et arrivé le 14 mai au KL
les-Vergers
communiste
Melun, Châlons - Buchenwald
sur-Marne,
Compiègne
12 avril 1944 à ?
Liste I.211, Transport parti le 12 mai 1944 de
Ervy-le-Châtel
Compiègne et arrivé le 14 mai 1944 au KL
Buchenwald
Buchenwald
Bergen-Belsen
Rentré
Buchenwald
(matricule 51223)
Libéré en
mai 1945
VUILLE Julien 29 juillet 1907 à Chauffeur
Radonvilliers
SNCF
GERVAIS
René
16
décembre Marié,
1902 à Paris
enfant
GUIGNER
Robert
9 août 1917 à
Barberey Saint
Sulpice
THIBAUDEA
U
Robert
6
septembre
1905 à Chamoy
MOREAU
Antoine
10 mars 1878 à Militaire
Cérilly
(Côte- retraite
d’Or)
CANIVEZ
Roger
17 juillet 1941 Activités
à Troyes
politiques
Résistant
communiste
un 5 mars 1942 à Opinions
Sainte-Savine
politiques
Propagande
antinazie
8 janvier 1944 Résistant
à
BarbereySaint-Sulpice
Liste I 211, Transport parti le 12 mai 1944 de Buchenwald
Buchenwald
Clairvaux, Voves
Liste I.214 Transport parti le 21 mai 1944 de Neuengamme
Neuengamme
Kommando Brême
Farge
Troyes
Liste I.214, Transport parti le 21 mai 1944 de Neuengamme
Compiègne, et arrivé le 24 mai 1944 au KL (matricule 31687)
Neuengamme
Hamburg
Troyes,
Compiègne
Liste I.214, Transport parti le 21 mai de Neuengamme
Neuengamme
Falkenstein,
Wobbelin
Liste I.220, Les départs en mai et juin 1944 Eisenberg (arrivé
de « personnalités-otages » vers les le 30 juin 1944)
kommandos de Bad-Godesberg, Plansée et
Eisenberg
en 18 mai 1944
Ceux
de
la
Libération.
Fiché
comme
susceptible
de
reprendre
les
armes
contre
l’ennemi
26 mars 1918 à Manutentionn 20 février 1944 FTP. Distribution Troyes,
Sainte-Savine
aire
à Troyes
de tracts et vente Compiègne
de
vignettes
France d’Abord.
CASIMIR
Wenceslas
24 mai 1892 à Marié,
Auxon
enfant.
Maçon
un 14 avril 1944 à FTP
Chessy-lesPrés
CASSE Robert
3 juin 1901 à Marié, deux 14 avril 1944
Paris
enfants.
Docteur
Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de Neuengamme,
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL Stocken
Neuengamme
Troyes, Châlons- Liste I.223, Transport parti le 4
sur
-Marne, Compiègne, et arrivé le 7 juin
Compiègne
Neuengamme
Soins
aux Troyes,
résistants blessés Compiègne
et malades
Compiègne, et arrivé le 7 juin
Neuengamme
Décédé le
11
avril
1945
à
Buchenwal
d
Décédé le 3
décembre
1944
à
Brême
Farge
Décédé le
15
mars
1945
à
Hamburg
Décédé le
28
avril
1945
à
Wobbelin
Porté
disparu en
avril 1945.
Probableme
nt tué dans
une grange
par les SS
juin 1944 de Neuengamme
Décédé le
1944 au KL (matricule 33242) 12 février
Schandelah
1945
à
Schandelah
juin 1944 de Neuengamme
Libéré en
1944 au KL (matricule 33485) avril 1945
Hambourg,
CHARTON
Lucien
18 juin 1897 à Cultivateur
Lavau
10 avril 1944
Fulsbortel. Prisoncamp de Desdorf
Rentré
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL Sachsenhausen
Neuengamme
Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de Neuengamme
Décédé
à
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL (matricule 35008) une
date
Neuengamme
Stocken
inconnue
Décédé le
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL Bergen-Belsen
15
mai
Neuengamme
1945
à
BergenBelsen
Décédé le
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL Sachsenhausen,
19
mars
Neuengamme
Mauthausen
1945
à
Mauthausen
Libéré
à
une
date
Neuengamme
Sandbostel
inconnue
Communiste
Troyes, Châlons,
Compiègne
CONTIER Jean 30 avril 1901 à Marié
Viviers-surArtaut
DOLEINE
16 mai 1918 à
Marcel
Nogent-sur-Seine
13 avril 1944 à Parachutage
Viviers-surArtaut
2 mars 1944 à FTP
Nogent-surSeine
Compiègne
DROUILLY
Sadi
23 mai 1897 à
Chervey
13 mars 1944 à FTP.
Chervey
Parachutages
Compiègne
FLOQUET
Robert
28 janvier 1911 à
Troyes
Compiègne
FORGEOT
Maurice
6 août 1891 à Vigneron
Essoyes (Aube) Marié
9 mars 1944 à Ceux
de
la
Jeugny
Libération.
Sabotage, agent
de liaison
13 mars 1944 à Résistance
Essoyes
GORGAN
Betschika
20 février 1921 à Etameur
Mors (Belgique)
12 mai 1944
LEGRAND
Roger
28 mars 1899 à Bonnetier
Marigny-leMarié
Châtel
2 mai 1944 à FTP.
Troyes, Châlons- Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de Neuengamme,
Saint-Oulph
Propos
et sur-Marne,
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL Sachsenhausen
propagande anti- Compiègne
Neuengamme
allemande
en
représaille de son
fils
détenu
politique
en
Allemagne
Troyes
Dans une rafle Compiègne
comme otage
Neuengamme
Mauthausen
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL Bergen Belsen
Neuengamme (matricule 33326)
Décédé le
13
mars
1945
à
Mauthausen
Décédé le
1er
avril
1945
à
Bergen
Belsen
Rentré
LUDOT Léon
MARCHAND
Wenceslas
PERRIN
Robert
Troyes
enfants
trois 6 mars 1944 à FTP.
Troyes
Logeait
un
résistant qui tirait
des journaux de
la Résistance
28 septembnre Marié, deux 14 mars 1944 à Ravitaillement et
1901 à Davrey
enfants.
Davrey
hébergement de
Agriculteur
résistants
4 décembre 1920 Chef
à Troyes
d’équipe
PETIT Maurice 9 avril 1919 à Marchand
Troyes
forain
PRADERE
Henri
PRELAT
Raymond
1er mai 1896 à Ebéniste
Marseille
(Bouches-duRhône)
21
décembre Viticulteur
1904 à Essoyes
Troyes, Châlons- Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de Neuengamme
sur-Marne,
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL
Compiègne
Neuengamme
Troyes Châlons- Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de
sur-Marne,
Compiègne
Neuengamme
9 mars 1944 à FTP.
Troyes, Châlons- Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de
Troyes
Agent de liaison sur-Marne,
de l’état-major
Compiègne
Neuengamme
12 avril 1944 à Réfractaire
au
Troyes
travail
Propagande antinazie
34 avril 1944 à Libération-Nord
Troyes
Troyes, Châlons- Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de
sur-Marne,
Compiègne
Neuengamme
Troyes
13 mars 1944 à Parachutages
Troyes, ChâlonsEssoyes
Aide
à
des sur-Marne,
prisonniers
Compiègne
13 mars 1944 à Parachutages
Châlons-surVerpillières
Marne, Compiègne
ROBERT Paul
2
septembre Agriculteur
1899 à Troyes
STEPHANE
Henri
16 avril 1914 à Marié, trois 3 mars 1944 à FTP
Troyes
enfants.
Troyes
Papetier
WINCKEL
Pierre
15 février 1915 à
Troyes
de
Libération.
JEANSON
Adeline
1er
novembre Mariée
1915 à Troyes
4 mai 1944 à Réseau
Jade, Troyes,
Troyes
agent P2. Sous- Romainville
Troyes
la Troyes
Décédé le 9
décembre
1944
à
Neuengam
me
Neuengamme,
Décédé le
(matricule 33638) 25
mars
Stoken, Hambourg, 1945
à
Hannovre
Hannovre
Neuengamme
(matricule 84854)
Sachsenhausen,
Ebensee
Neuengamme
Rentré
(matricule 35069)
Stocken
Libéré en
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL (matricule 35020), mai 1945
Neuengamme
Sachsenhausen
Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de
Neuengamme
Liste I.223, Transport parti le 4 juin 1944 de
Compiègne et arrivé le 7 juin 1944 au KL
Neuengamme
Neuengamme,
(matricule 84885)
Sachsenhausen
Neuengamme
(matricule 35002)
Gardelegen,
Stocken
Compiègne et arrivé le 7 juin 1944 au KL (matricule 35047)
Neuengamme
Stocken, Hannovre
Libéré le 26
avril 1945
Décédé le
26 janvier
1945
à
Hamburg
Décédé le
15
mars
1945
à
Hannovre
Décédé le 2
Compiègne, et arrivé le 7 juin 1944 au KL (matricule 33633) avril 1945 à
Neuengamme
Bergen
Belsen, Bergen
Gardelegen
Belsen
Libérée par
l'Est, et arrivé à Sarrebruck (camp de Neue Ravensbrück (le les troupes
Née Freliger
lieutenant
des
FFC.
Parachutage
d’armes région
d’Orléans
21 janvier 1944 BOA
Bremm) le 12 juin 1944
TRUCHETET
Armand
(NN)
6 juin1927 à
Fleurey
Sur
Ouche
(Côted’Or)
ANGLADE
Joseph
12 mars 1900 à Receveur des 24 avril 1944 à Libération-Nord
Prades (43)
contributions Aix-en-Othe
indirectes
ARGILAGA
Vincent
(à ajouter)
Né le 13 mars
1915 à Bercelone
(Espagne)
Arrêté le 28
mars 1944.
Compiègne
BAUDURET
Paul
18 mai 1912 à gendarme
Villard-Brienne
(Jura)
6 août 1911 à Menuisier
Lérida (Espagne)
23 mai 1944 à
Troyes
Compiègne
CASAS José
CONAT
Georges
JOLLIET
Raymond
MARIE René
PIQUEMAL
Jean-François
10 mars 1944 à FTP. Agent de
Troyes
liaison
départemental
2 août 1920 à Mécanicien
24 avril 1944 à Libération-Nord.
Troyes
Troyes
Distribution de
fausses
cartes
d’identité
17 mars 1924
Employé PTT
Détournement de
courriers
au
préjudice
des
Allemands
30 août 1897
Fonctionnaire 18 novembre Ceux
de
la
1943 à Nogent- Libération
sur-Seine
26
novembre Marié, trois 24 avril 1944 à Libération-Nord,
1901 à Thoiry enfants.
Troyes
Fabrication
de
(Savoie)
Contrôleur
fausses
cartes
25 juin
Leipzig
1944), alliées après
l’évacuation
de
son
kommando
Liste I.228, Transport parti le 15 juin 1944 Natzweiler
de Paris, gare de l’Est, et arrivé au KL (matricule 17285)
Natzweiler le 16 juin 1944
Dachau,
Mauthausen,
Ebensee
Troyes, Châlons- Liste I.229, Transport parti de Compiègne le Dachau
sur-Marne,
18 juin 1944 et arrivé le 20 juin au KL
Compiègne
Dachau
Liste I.229, Transport parti de Compiègne le Dachau
18 juin 1944 et arrivé le 20 juin 1944 au KL
Dachau
Dachau
sur-Marne,
18 juin 1944 et arrivé le 20 juin 1944 au KL
Compiègne
Dachau
sur-Marne,
Compiègne
Dachau,
Clairvaux
Fresnes,
Compiègne
Dachau
(matricule 72365)
Allach
Dachau
(matricule 74161)
Mathausen
Dachau
(matricule 72445)
Allach
Liste I.229, Transport parti de Compiègne le Dachau
18 juin 1944 et arrivé le 20 juin 1944 au KL (matricule 72659)
Dachau
Liste I.229, Transport
18 juin 1944 et arrivé
Dachau
Troyes, Châlons- Liste I.229, Transport
sur-Marne,
18 juin 1944 et arrivé
Compiègne
Dachau
parti de Compiègne le Dachau,
le 20 juin 1944 au KL Allach
Libéré le 6
mai 1945
Décédé à
Dachau
le12 mars
1945
Libéré le 29
avril 1945
Libéré le 30
avril 1945 à
Allach
Libéré en
mai 1945
Libéré le 30
avril 1945
Décédé le
31
mars
1945
à
Dachau
Rentré
parti de Compiègne le Dachau
Libéré en
le 20 juin 1944 au KL (matricule 72861) mai 1945
Allach
principal des
contributions
indirectes
d’identité
RANIEFF
Serge
21 février 1924 à
Troyes
Mai 1944
Troyes
CHATON
Paulette,
née Aubert
7 novembre 1912 Mariée.
13/04/1944
à Bar-le-Duc
Ouvrière en Troyes
bonneterie
JOLY
Georgette
Née Duquesne
9 décembre 1907 Mariée.
à Troyes
Employée de
bonneterie
à
Troyes
à Organisation
Romainville
Schmidt (agent
de
liaison).
Distribution de
tracts,
Aide à aviateurs
alliés du réseau
Shelburn, souslieutenant
des
FFC
STÉPHANE
24 octobre 1911 Mariée, trois 3 mars 1944 à FTP
Georgette, née à Troyes
enfants.
Troyes
Louis
Ménagère,
Georgette
WAUTERS
Suzanne
Née Guénot
3 août 1906 à Mariée, deux 29
décembre Ceux
de
la
Troyes
enfants
1943 à Troyes Libération.
Épouse
et
secrétaire du chef
régional évasion
aviateurs anglais,
rédaction
de
fausses cartes
VIAUT
ou 3 août 1923 à
Viant Albert
Soumaintrain
(Yonne)
30 mars 1944
BLANC
Auguste
14 février 1944 Ceux
de
à Troyes
Libération.
26 mai 1906 à
Troyes
FFI
Dachau
l’Est, et arrivé à Sarrebruck (camp de Neue
Dachau
(matricule 72892)
Rentré
Sarrebruck,
Rentrée
Ravensbrück le 7
juillet 1944
(matricule 44615)
Schönefeld,
l'Est, et arrivé à Sarrebruck (camp de Neue Ravensbrück (le 7
juillet
1944),
Neuengamme,
Ravensbrück
l'Est et arrivé à Sarrebruck (camp de Neue Ravensbrück (le 7
juillet 1944)
Matricule 44660
Rentrée
Liste I.232, Transport parti de Besançon le 24 Dachau
juin 1944 et arrivé au KL Dachau le 26 juin (matricule 75033)
1944
Flossenbürg,
Hersbruck
Décédé
à
Hersbruck
le
1er
novembre
1944
Libéré
à
Berneau le
Décédée,
« gazée » à
Ravensbrüc
k à une date
inconnue
Troyes, Châlons- Liste I.230, Transport parti de Paris, gare de Sarrebruck,
Libérée le
sur-Marne,
l’Est, et arrivé à Sarrebruck (camp de Neue- Ravensbrück le 7 23
avril
Romainville
juillet
1944, 1945
à
(matricule 44 668), Schönefeld
Schönefeld
Dijon, Besançon
la Troyes, Fresnes
Liste I.236. Les départs des prisons de zone Karslruhe,
occupée vers celles du Reich, en juin 1944. Kalseau-Berneau
ALICOT
André
27 février 1917 à Charcutier
Bar-sur-Seine
24 mai 1944
AUGUSTE
22 août 1901 à Cultivateur,
13 mai 1944
Marceau Raoul Aubeterre
marié, quatre
enfants
Fabrication
de
fausses
cartes
d’identité
FFI.
Troyes, ChâlonsHébergement de sur-Marne,
réfractaires et de Compiègne
membres de la
Résistance
Activité
résistante, aide à
aviateur
néozélandais après le
bombardement
de
Mailly-leCamp
BALTET
un 13 mai 1944 à Prisonnier
de
Maurice
Buxières-surenfant,
Laubressel
guerre. Évadé le
Arce
surveillant de
25 août 1943 de
prison
son stalag. Entré
en résistance le
10
septembre
1943. Chef de
groupe
FTP,
possession
d’armes, dénoncé
par
Egele
(Gestapo)
BELLANGER 6 juillet 1915 à Marié, agent 6 mai 1944 à Suite
à
Maurice Louis Montdoubleau
de police
Troyes
l’explosion
du
(Loir-et-Cher)
réservoir
d’essence
de
Saint-Julien.
Inactif lors de
l’opération
de
résistance.
BINGER Louis 20 juillet 1882 à Marié.
6 juin 1944
Ceux
de
la
Schalbach
Chaudronnier
Libération
(Moselle)
Domicilié à
Auguste est déporté le 18 juin 1944 à la
prison de Karlsruhe
7 mai 1945
Liste I.240, Transport parti le 2 juillet 1944 Dachau,
Rentré en
de Compiègne et arrivé le 5 juillet 1944 au (matricule 76421) avril 1945
KL Dachau
Neckargerack,
Neckarels
Troyes, Châlons- Liste I.240, Transport parti le 2 juillet 1944 Dachau
sur-Marne,
de Compiègne et arrivé le 5 juillet 1944 au
Compiègne
KL Dachau
Décédé
à
Dachau le
15
mars
1945
Troyes, Châlons, Liste I.240, Transport parti le 2 juillet 1944 Dachau,
Compiègne
de Compiègne et arrivé le 5 juillet 1944 au Neckargerack,
KL Dachau
Neckaretz
Rentré le 29
avril 1945
Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
sur-Marne,
Compiègne
KL Dachau
Décédé
dans le train
dans la nuit
du 2 au 3
juillet
Troyes, Châlons- Liste I 240,Transport parti le 2 juillet 1944 de Dachau
sur-Marne,
Compiègne et arrivé le 5 juillet 1944 au KL (matricule 76567)
Compiègne
Dachau
Décédé
à
Dachau le 7
mars 1945
BOURGOIN
Fernand
Troyes
17 janvier 1900 à Garagiste
Villy-en-Trodes
22 mai 1944 à BOA
Troyes
Action)
(réseau Troyes, Châlonssur-Marne,
Compiègne
9 mai 1944 à Réseau Hector et Troyes, Fresnes
Troyes
Ceux
de
la
Libération.
Passage
de
personnes
en
zone libre. Soins
à des aviateurs
américains
BOUVIER
Maurice
21 février 1900 Docteur
au
KremlinBicêtre
BUCK Emile
24
décembre Marié, cinq 27 avril 1944 à BOA
1886 à Paris
enfants.
la Rivière-deLivreur
Corps
BUCK Auguste 8 décembre1909 Plâtrier
à Nanlay
CARTIER
Roger
16 juin 1910 à Chef
Dienville
chantier
forestier
COLIN
Maurice
29
décembre
1898 à Fralignes
DELIVET
Auguste
4 janvier 1944 à
Fronville (HauteMarne)
DORE Marcel
1er
novembre
1907 à Méry-surSeine
DUQUESNE
28 février 1902 à Bonnetier
27 avril 1944 à BOA.
la Rivière de Communiste
Corps
de 14 avril 1944 à Ceux
de
la
Troyes
Libération
et
BOA. Sabotage
des presses de
fourrage ;
23 mai 1944 à Résistance
Fralignes
Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
KL Dachau
KL Dachau
Dachau
Libéré le 2
(matricule 76557) mai 1945
Riem
Dachau,
Libéré en
Neckaretz
mai 1945
Troyes,
Compiègne
KL Dachau
Troyes,
Compiègne
KL Dachau
Décédé le 2
juillet 1944
dans le train
de la mort
Décédé le 2
juillet 1944
dans le train
de la mort
Dachau,
Libéré en
Neckargerach,
Allach
sur-Marne,
Compiègne
KL Dachau
Troyes
KL Dachau
Marié,
un 4 mai 1944 à Sabotage
du Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
enfant. Agent Troyes
dépôt d’essence sur-Marne,
de police
de Saint Julien Compiègne
KL Dachau
les Villas
Marié, trois 13 mai 1944 à Aide
à
des Troyes
enfants.
Luyères
aviateurs alliés
Equarisseur
KL Dachau
12 mai 1944 à Aide à aviateurs Troyes
Dachau
Libéré le 29
Allach
Dachau
Libéré en
(matricule 76722) mai 1945
Fahiguen
Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944 Dachau
Décédé
dans
le
« Train de
la mort »
Décédé le
Bernard
Troyes
Marié
Sainte-Savine
alliés
DUSSOLIER
1er mai 1925 à Agriculteur
André
(à Fouchères
ajouter)
23 mai 1944 à Résistance
Fouchères
EPLE Henri
25 juillet 1901 à
Troyes
FONS Justin
14 avril 1912 à Marié
Toulouse (HauteGaronne)
12 mai 1944 à Ceux
de
Creney
Libération.
Fourniture
d’armes à
Résistance
20 juin 1944 à Résistance
Aix-en-Othe
GERMAINE
Pierre
de Compiègne et arrivé le 5 juillet 1944 au (matricule 76777),
KL Dachau
Flossenbürg,
Hersbruck
sur-Marne,
Compiègne
KL Dachau
la Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
sur-Marne,
Compiègne
KL Dachau
la
29
novembre Marié, deux 12 mai 1944 à Transport
de
1906 à Pont- enfants.
Pont-Saintevivres et d’armes
Sainte-Marie
Négociant
Marie
pour
la
Résistance
FTP et Armée
Secrète
GUENIN Henri 13 mai 1907 à Marié, deux 26 mai 1944 à BOA
(Chef
Doulevant-leenfants.
la Loge-Bailly départemental)
Château (Haute- Garagiste
Marne)
HURTAULT
Jean
Troyes
Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944 Dachau
sur-Marne,
de Compiègne et arrivé le 5 juillet 1944 au (matricule 76858)
Compiègne
KL Dachau
Troyes
6 mai 1905 à Marié, deux 26 juin 1944 à Armée secrète. Troyes,
Chauffour
les enfants.
Chauffour-les- Dépôt d’armes, Compiègne
Bailly
Agriculteur.
Bailly
BOA
KAUFFMANN 15 juin 1920 à Marié
Albert
Troyes
KL Dachau
13 avril 1944 à Porteur de tracts Troyes
Troyes
anti-allemands
KL Dachau
Allach,
Flossenbürg
KL Dachau
KL Dachau
20 octobre
1944
à
Hersbruck
Décédé
dans le train
de la mort
pour
Dachau
Décédé
dans le train
de la mort
pour
Dachau
Décédé
à
Dachau le
16 janvier
1945
Libéré en
mai 1945
Décédé
à
Flossenbürg
le
23
octobre
1944
Décédé
dans la nuit
du 2 au 3
juillet 1944
dans le train
de la mort
Dachau
Décédé
à
(matricule 76977), Hersbruck
Flossenbürg,
le
30
Hersbruck
janvier
1945
LAFILLE
Georges
LEGER Pierre
LOISEAU Just
MAIRE André
13 octobre 1896 Bonnetier
à Villemoyenne
24 mai 1944 à Résistant
Villemoyenne
Troyes
KL Dachau
30 août 1905 à la Marié,
un 6 mai 1944 à Sabotage
du Troyes, Châlons, Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
Saulsotte
enfant.
Sainte-Savine
dépôt d’essence Compiègne
Gardien de la
de Saint Julien
KL Dachau
Paix
les Villas le 4
mai 1944
14
septembre Marié,
un 12 mai1944 à Ceux
de
la Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
1889 à Droupt- enfant.
Troyes
Libération . aide sur-Marne,
Saint-Basle
Secrétaire de
à aviateurs alliés Compiègne
KL Dachau
police
Dachau
(matricule 77045)
KL Dachau (matricule 77098)
KL Dachau
PATRIS Emile
23
septembre Marié, deux 12 mai 1944 à Aide à aviateur Troyes,
1908 à Laines- enfants.
Laines-auxanglais
Compiègne
aux-Bois
Vigneron
Bois
KL Dachau
PRAT Roger
14 avril 1912 à Marié, trois 6 mai 1944 à Participation à un Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
Flacy (Yonne)
enfants.
Sainte-Savine
sabotage
sur-Marne,
Policier
Compiègne
KL Dachau
ROVELLI
Albert
12 octobre1895
Marié.
Débitantrestaurateur
5 juin 1944 à FTP
Saint-Lyé
SIRET Bernard 21 mai 1908 à Marié,
un 26 mai 1944 à
Sainte-Savine
enfant.
la Loge Bailly
Industriel
bonnetier
BOA
Transport
d’armes et
poste-radio
Décédé le
13 février
1945
Libéré en
avril 1945
Dachau
Libéré le 26
(matricule 77086), avril 1945
Neckarelz
12 mai 1944 à FTP.
Troyes
Troyes
Hébergement
d’aviateurs alliés
31 octobre 1897 Marié, trois 13 mai 1944 à Résistance, aide Troyes
aux
Grandes- enfants.
Aubeterre
à aviateur allié
Chapelles
Agriculteur
PAQUIER
Emilien
9 février 1901 à Négociant
Arcis sur Aube
Célibataire
Dachau
(matricule 76990)
Troyes, Châlons en Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944
Champagne,
Compiègne
KL Dachau
Troyes, Châlons- Liste I 240, Transport parti le 2 juillet 1944 Dachau
sur-Marne,
de Compiègne
KL Dachau
Libéré en
mai 1945
Décédé le 2
juillet 1944
dans
le
wagon
le
conduisant
à Dachau
Décédé
dans
le
transport le
conduisant
à Dachau
Décédé
dans le train
de la mort
vers Dachau
Décédé
dans le train
de la mort
vers Dachau
Libéré en
avril 1945
VINCENT
Louis
10 octobre 1909
12 mai 1944 à Hébergement
à Espels (HauteTroyes
d’aviateurs alliés
Saône)
BARBENOIRE 24 février 1901 à Commerçant, 6 juin 1944
FTP
André-Henri
Soligny-lesMarié, deux
Étangs
enfants.
CAGNON
Serge
22 juillet 1901 Employé
aux Essarts-le- SNCF
Vicomte
CHANDON
DE
BRIAILLES
François
CHOLET
Marcel
30 juin 1892 à
Paris (7ème)
DRIOTON
Clément
KL Dachau
Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944
KL Neuengamme
Dachau
(matricule 77513),
Neckerelz
Neuengamme
(matricule 36917)
Brême-Blumenthal
Troyes, Châlons- Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme
sur-Marne,
Compiègne
KL Neuengamme
LudwigshlestKiel, Wöbbelin
3 octobre 1899 à Marié, deux 18 juin 1944 à Front National. Troyes, Châlons- Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme,
Moreuil
enfants.
Romilly-surSabotage et non sur
-Marne, de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au Theresienstadt,
(Somme)
Libraire
Seine
observation des Compiègne
KL Neuengamme
Flossenbürg
ordres
de
l’ennemi.
17 juillet 1921 à Célibataire.
12 mai 1944
Commandos M
Troyes, Châlons- Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme,
Troyes
Etudiant
sur
-Marne, de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au Farge, Osterort
Compiègne
KL Neuengamme (matricule 36919)
HENGY Roger 25 octobre 1922 Bonnetier
à
Boulogne-
à Libération-Nord
6 juin 1944 à Transport
Vauchassis
d’armes.
Libéré en
avril 1945
Libéré le 5
mai 1945
dans la baie
de LübeckNeustadt
Libéré le 5
sur-Marne,
de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au Brême-Blumenthal mai 1945
Compiègne
KL Neuengamme
dans la baie
de LübeckNeustadt
3 avril 1944 à Front National et
Romilly-surFTP.
Seine
Responsable du
groupe
de
sabotage de la
CGT illégale
Célibataire.
16 juin 1944
PersonnalitéTroyes, Châlons- Liste I.247, « Transport parti le 15 juillet Neuengamme
PropriétaireOtage
sur-Marne,
1944 de Compiègne et arrivé le 18 juillet (matricule 36711)
exploitant
Compiègne
1944 au KL Neuengamme
Theresienstadt,
Brezani
Agent
de 6 mai 1944 à FTP
Troyes, Châlons- Liste I.247,Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme,
police
Saint-Juliensur-Marne,
les-Villas
Compiègne
KL Neuengamme
Sandbostel
31 juillet 1904 à
Nouan
le
Fuzelier (Loir et
Cher)
CLERY Michel 23 juillet 1922 à Coupeur en ?
1944
Maraye-en-Othe bonneterie
Vauchassis
DOUHERET
Paul
Compiègne
Troyes ; Châlonssur-Marne,
Compiègne
Troyes, Châlons- Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme,
sur-Marne,
de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au Hambourg,
Libéré en
mai 1945
Libéré en
mai 1945
Libéré en
mai 1945
Libéré en
mai 1945
Disparu le 3
mai 1945
dans la baie
de Lubeck
Libéré en
mai 1945
Billancourt
(Seine)
LAGRANGE
Robert
MAITROT
Raymond
Fait prisonnier à
l’attaque
du
maquis
15
18 juin 1944 à Sabotage et non
1925 à Paris
Libraire
Romilly-surobservation des
Seine
ordres allemands.
« Personnalitéotage ».
25 août 1900 à Marié, quatre 24 mai 1944 à FTP
Fouchères
enfants.
Jeugny
Employé
SNCF
.
MITSCHKE
William
(à
ajouter)
PARVENCHE
RES Louis
11
septembre Comptable
1893 à Roubaix
(Nord)
18
novembre Commissaire
1890
de police
PROTAT
Robert
9 février 1902 à Négociant en 12 juin 1944 à FTP.
Vallant-Saintvin
Nogent-surSecrète
Georges
Marié, trois Seine
enfants
SCHERER
Jacques
16
décembre
1920 à Grand
Couronne (SeineMaritime)
9 mars 1923 à Régisseur
Montcharvot
(Haute-Marne)
ZAHND Paul
19 mars 1941
12 juin 1944
Compiègne
Sandbostel
Libéré le 8
sur-Marne,
de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au (matricule 37557) mai 1945
Compiègne
KL Neuengamme
Flossenbürg,
Theresienstadt
Décédé le 7
sur-Marne
, de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au (matricule 37371) mai 1945 à
Compiègne
KL Neuengamme
Brême-Frage,
Sandbostel
Sandbostel
« PersonnalitéOtage »
12 mai 1944 à Confection
de Troyes
Troyes
fausses
cartes
d’identité pour la
Résistance
Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme
de Compiègne, et arrivé le 18 juillet 1944 au
KL Neuengamme
Armée Troyes, Châlons- Liste I.247,Transport parti le 15 juillet 1944
sur-Marne,
Compiègne
KL Neuengamme
Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944
KL Neuengamme
Rentré
Décédé le
17
novembre
1944
à
Neuengam
me
Neuengamme,
Décédé le
Brêmen-Farge,
26
Hamburgnovembre
Spaldingstrasse
1944
à
Hamburg
Neuengamm
Décédé en
Falkenstein
Lubeck
Troyes
Troyes,
Compiègne
23 juin 1944 à Agent de liaison
Cunfin
Ravitaillement
maquis
Langres, Châlons- Liste I.247, Transport parti le 15 juillet 1944 Neuengamme,
sur-Marne,
de Compiègne et arrivé le 18 juillet 1944 au Hambourg
Compiègne
KL Neuengamme
Libéré
le
1er
mai
1945
BIDAULT
Célina
Née Couche
Mariée
5 mars 1890 à
Praslin
Arrêtée
à Résistante
Villemorien le
29 avril 1944
BIDAULT
Huguette
Née Roux
Arreilles
30 avril 1944
BIDAULT
Renée
17 mai 1920 à
Villemorien
Arrêtée
à
Villemorien le
29 avril 1944
MONCHECO 8 avril 1914 à Couturière
URT
Sophie Herne
Anna
(Allemagne)
l'Est, et arrivé à Sarrebruck Neue Bremm le Ravensbrück,
18 juillet 1944
(matricule 47324)
Zwodau
Avoir ravitaillé Troyes, Châlons- Liste I.248, Transport parti de Paris, gare de Sarrebruck,
des résistants
sur-Marne,
l'Est, et arrivé à Sarrebruck Neue Bremm le Ravensbrück
Romainville
18 juillet 1944
(matricule 47379)
Rentrée
l'Est, et arrivé à Sarrebruck Neue Bremm le Ravensbrück,
18 juillet 1944
(matricule 47325)
Neubrandebourg
Libérée de
Neubrandeb
ourg le 1er
mai 1945
Décédée le
10
avril
1945
à
Ravensbrüc
k
Décédé le
17 janvier
1945
à
Neuengam
me
Libéré le 3
mai 1945
dans la baie
de LübeckNeustadt
Libéré en
mai 1945
28 avril 1944
Résistant auprès Romainville
de
Montcalm
depuis 1943
l'Est, et arrivé à Sarrebruck Neue Bremm le Ravensbrück
18 juillet 1944
(matricule 47637)
30 juin 1944
Résistant
KL Neuengamme
GUERIN Jean
1eroctobre 1900 à
Châlons-surMarne (Marne)
JOUVET Léon
19 mars 1933 à Formeur en 14 juillet 1941 Communiste
Vic (Côte-d’Or) bonneterie
à Troyes
Troyes, Clairvaux, Liste I.250, Transport parti le 28 juillet 1944 Neuengamme
Rouillé, Royan, la de Compiègne, et arrivé le 31 juillet 1944 au (matricule 39797),
Rochelle
KL Neuengamme
Bremen-Osterort
ROUSSINEAU 28
novembre Marié, deux 2 mai 1944 à BOA,.
Maurice
1911 à Essoyes
enfants.
Bar-sur-Seine
Parachutages
Employé au
Ravitaillement Général
Troyes, Châlons- Liste I.250, Transport parti le 28 juillet de Neuengamme
sur-Marne,
Compiègne, et arrivé le 31 juillet 1944 au KL (matricule 40922)
Compiègne
Neuengamme
Troyes
Décédée au
kommando
de Zwodau
dans
l’ancienne
Tchécoslov
aquie le 15
mars 1945,
BROULHET
Raymond
20 janvier 1925 à Mécanicien
Varennes
sur Marié
Seine
17 mars 1944
LASSERON
René
30
novembre
1904 à Reims
(Marne)
Clérey
BLONDEAU
Robert Désiré
(NN)
25 juin 1904 à Cultivateur
Chambon-laforet (Loiret)
BROUILLAR
D Robert
(NN)
DIEBOLD
Jean
(NN)
15 mai 1911 à
Buchères
du Troyes, Fresnes
Nogent-sursecteur
de
Seine
Nogent-surSeine, détention
d’un fusil de
chasse
6 mars 1944
Ceux
de
la Troyes, Fresnes
Libération
SCHNEIDER
Constant (NN)
six 6 mars 1944 à Résistant
Senoncourt
enfants.
Troyes
Propagande
(Saône)
Mécanicien
politique
Troyes
Liste I.259, Transport parti le 6 août 1944 de
Paris, gare de l'Est, et arrivé au KL
Natzweiler le 7 août 1944
BILLAT
Madeleine
9 juin 1927 à La Célibataire
loge -Romblin
25 mars 1944 à Aide
à
la
Bernon
résistance
(groupe Robert
Massé)
14 juillet 1941 Politique
à Troyes
Châlons-surMarne,
Petit
Roquette,
Roimainville
Troyes, Clairvaux
Pantin le 11 août 1944, et arrivée à
Sarrebruck (camp de Neue Bremm) le 17
août 1944
Pantin et arrivé le 20 août 1944 au KL
Buchenwald
27 avril 1908
4 août 1944 à Hébergement de Troyes
Romilly-surrésistants
9 décembre 1900 Célibataire.
à Morschwiller Agriculteur
(Bas-Rhin)
CLAVIER
Gaston
CRIBELLIER
Roger
28 mai 1944
Ceux
de
Libération
Aide
à
aviateurs
américains
la Troyes, Fresnes
des Troyes
Liste I.253, Les départs des prisons de zone Karlsruhe,
occupée vers celles du Reich, en juillet 1944 Francfort,
Rheinbach, Kassel,
Straubing
Liste I.253, Les départs des prisons de zone Fribourg (le 3
occupéevers celles du Reich, en juillet 1944
juillet
1944),
Halle, Karslruhe,
Francfort,
Wolfenbuttel
Liste I.259. Transport parti le 6 août 1944 de Natzweiler,
Paris, gare de l’Est, et arrivé au KL Dachau,
Natzweiler le 7 août 1944 (matricule 22190) Dautmergen
Libéré le 5
mai 1945
Natzweiler le 7 août 1944 (matricule 22191)
Natzweiler le 7 août 1944
Libéré en
mai 1945
Natzweiler,
Dachau
Libéré le 11
avril 1945 à
Wolfenbutt
el
Décédé le 5
décembre
1944
à
Dautmergen
Natzweiler
Décédé le
(matricule 22207) 25
Dautmergen
décembre
1944
à
Dautmergen
Natzweiler
Décédé
à
(matricule 22235) Mathausen
Dachau,
Mathausen
Sarrebruck,
Libérée le 5
Ravensbrück
mai 1945
(matricule 61465),
Holleischen
Buchenwald,
Décédé
à
Ellrich
Ellrich le 26
décembre
1944
Buchenwald,
Décédé
à
Dora, Ellrich
Ellrich le 29
Seine
Buchenwald
CUGNY
Lucien
5 juin 1878 à Viticulteur
22 juin 1944 Résistant
Bar-sur-Aube
Marié, deux par
la
enfants
Feldgendarmeri
e
HOUX
François
17 mars 1895 à Marié, deux 7 février 1944 à
Rosières-auxenfants
Vinets
Salins (Meurtheet-Moselle)
VAN
Jeanne
REY 27
décembre
1900 à Paris
GROSNOM
Gilbert
11 mars 1908 à Electricien
Paris
Marié
JEANSON
Pierre
25 mai 1916 à Employé
Bréviandes
Marié,
enfant
LECOURT
Albert (nom à
ajouter)
MARTINEZ
Jean
1er juin 1944
Buchenwald
Opinions
Troyes
politiques
Rébellion contre
les
autorités
allemandes
Appartenance
aux FFC
Buchenwald
29 juin 1944 à FTP
Troyes
Ravensbrück
Troyes, Châlons- Liste I.265, Transport parti de Compiègnesur-Marne
Rethondes le 18 août et arrivé au KL
Buchenwald le 21 août 1944
4 mai 1944 à Réseau Jade et Troyes, Fresnes, Liste I.265, Transport parti de Compiègneun Troyes
Manipule.
Compiègne
Rethondes le 18 août et arrivé au KL
Parachutages
Juillet 1944
8 mai 1888 à
Rioja (Espagne)
Troyes
20 juin 1944
Résistant arrêté Compiègne
puis retourné par
les Allemands,
ayant
dénoncé
plus
d’une
dizaine
de
camarades
du
maquis
de
Rigny-laNonneuse.
Compiègne
Liste I.265, Transport parti de CompiègneRethondes le 18 août et arrivé au KL
décembre
1944
Buchenwald
Décédé
à
d le 24
décembre
1944
Buchenwald
Décédé le
(matricule 76865), 13
mars
Ellrich
1945
à
Ellrich
Ravensbrück
(matricule 57933),
Torgau, Abteroda
Buchenwald
(matricule 81309),
Weimar,
Neu
Stassfurt
Rentrée
Décédé le
18
avril
1945 entre
Bocwitz et
Raitzen
(Marche de
la Mort)
Buchenwald
Libéré en
Neu Stassfurt
dans
la
région des
Sudètes
Buchenwald
Rentré.
(matricule 81565) Condamné
à mort à son
retour
de
déportation,
peine
commuée
en travaux
forcés
Liste I.265, Transport parti de Compiègne- Buchenwald
Rethondes le 18 août 1944 et arrivé au KL (matricule 80974)
Rentré en
mai 1945
Troyes, Châlons, Liste I.265, Transport parti de Compiègne- Buchenwald
Décédé le
Compiègne
Rethondes le 18 août et arrivé au KL matricule 78858), 23
avril
Neu Stassfurt
1945 entre
Nassau et
Clausnitz,
au
cours
d’une
«
marche de
la mort »
FTP.
Châlons-surListe I.265, Transport parti de Compiègne- Buchenwald
Libéré le 15
Armée Secrète
Marne, Compiègne Rethondes le 18 août et arrivé au KL (matricule 81557), avril 1945 à
Dora,
Ellrich, BergenBergen Belsen
Belsen
Ceux de
la Troyes, Châlons- Liste I 265, Transport parti de Compiègne- Buchenwald
Libéré en
Libération.
sur-Marne,
Rethondes le 18 août et arrivé au KL (matricule 81307) avril 1945
Sabotage
de Compiègne
voies ferrées
Aide
aux Bar-sur-Aube,
Liste I.267, Transport parti de Belfort le 29 Neuengamme
Décédé le
réfractaires
et Troyes, Châlons- août 1944 de Belfort vers le KL (matricule 43514) 22
mars
résistants
sur-Marne
Neuengamme
1945
à
Neuengam
me
Libération-Nord
Liste I.267, Transport parti le 29 août 1944 de Neuengamme
Décédé le
Belfort vers le KL Neuengamme
(matricule 43487), 26 janvier
Wilhelmshaven
1945
à
Wilhelmsha
ven
Activité
Prison Lafond du Liste I.268, Les arrivées au KL Natzweiler le Natzweiler
Libéré le 25
résistante
(sur 20 jullet 1944 au 19 août 1944 en provenance de Brest, La (matricule 22706), avril 1945 à
liste Gestapo)
12 août 1944
Roche-sur-Yon, La Rochelle, Poitiers, Dijon Dachau,
Waldsee,
Schömberg
évadé
pendant une
marche de
la mort
Armée Secrète
Troyes, Châlons- Liste I.269, Les arrivées au KL Natzweiler le Natzweiler
Décédé le
sur-Marne
19 août 1944 en provenance de Chälons-sur- (matricule 22818), 23
Marne
Schömberg
décembre
1944
à
MASSEY
Lucien
16 janvier 1903 à Cafetier
Ossey-les-3Maisons
18 juin 1944 à Armée secrète
Ossey-les-3Maisons
PARIS Michel
25
1925 à Troyes
Etudiant
27 juin 1944
WAUTIER
Gaston
15 juin 1944 à
Chevannes
Surveillant de Assencières
(Loiret)
prison
HAILLOT
André
6 mars 1899 à Marié, trois 25 juin 1944 à
Metz-Robert
enfants.
Chesley
Maçon
MILLERAT
Jean
9 avril 1897 à Marié. Chef 22 août1944 à
Beaulon (Allier) d’atelier
à Clairvaux
Clairvaux
BAILLEUIL
François
18 avril 1905 à Marié,deux
Paris (Seine)
enfants.
Comptable
MASSIN
André
22 janvier 1914 à Marié, deux 14 juillet 1944
Bertignolles
enfants
à Saint Andréles-Vergers
20 juillet 1944
POTRON
Raymond
un 11 juillet 1944 FTP.
Troyes
enfant.
à Troyes
Transport
Transporteur
d’armes
SAVOY
Bernard
17 juillet 1922 à Célibataire.
Troyes
Bonnetier
VIOLLEAU
Gilbert
4 novembre 1895 Marié,
un 16 juillet 1944 FTP
à
Fontevrault enfant.
à Bouilly
(Maine et Loire) Mécanicien
LHERBIER
Jules
(à ajouter)
23 octobre 1892
à
Agnez-lesDuisans (62)
SCHMIDT
25 mars 1918 à
Verrier Renée Troyes
Paulette
14 juillet 1944 FTP
à Troyes
Sabotages
10 juin 1944
15 avril 1944 à
Troyes
GUILLARD
Albert
8 décembre 1921 Employé PTT 21 juin 1943 à
à
Barny-lesTroyes
Metz
NOURISSAT
André
20
novembre Facteur
1920 à Vivierssur-Artaut
LEQUIN
Marcel
(NN)
9 mai 1907 à Chauffeur
Troyes
13 juillet 1942
à
Activité
résistante
Schömberg
Décédé
à
Dachau en
janvier
1945
Troyes, Châlons- Liste I 269, Les arrivées au KL Natzweiler le Natzweiler
Libéré en
sur-Marne
19 août 1944 en provenance de Châlons-sur- (matricule 22836) , mai 1945
Marne
Dachau
Troyes, Châlons- Liste I.269, Les arrivées au KL Natzweiler le Natzweiler
sur-Marne
19 août 1944 en provenance de Châlons-sur- (matricule 22831),
Marne
Dachau
Troyes, Châlons- Liste I 269, Les arrivées au KL Natzweiler le Natzweiler
Décédé
sur-Marne,
19 août 1944 en provenance de Châlons-sur- (matricule 22839),
Compiègne
Marne
Dachau, Fribourg
Liste I.281, Le « Train de Loos », transport Cologne,
parti le 1er septembre 1944 de la gare de Sachsenhausen,
Tourcoing et arrivé le 3 à Cologne.
Bergen-Belsen,
Hambourg
FTP.
Troyes, Châlons- Liste I.282, Les arrivées au KL Ravensbrück Ravensbrück
Convoyeuse et sur-Marne, Fresnes du 4 septembre 1944 de femmes parties de (Matricule 62930)
agent de liaison,
Belfort le 1er septembre et de Sarrebruck le 2
diffusion
de
septembre
tracts
Résistant
Mulhouse,
Liste I.295, Les arrivées au SL Schirmeck de Schirmeck (le 5
Strasbourg
juillet 1940 à juillet 1944 de personnes octobre
1943),
arrêtées en zone occupée
Karlsruhe,
Frankfurt,
Mannheim, Metz,
Weimar,
Requis du STO
Liste I.295 du Livre-Mémorial : les arrivées Schirmeck,
arrêté
le
4
au SL Schirmeck de juillet 1940 à juillet Mulhouse,
septembre 1943
1944 de personnes arrêtées en zone occupée. Strasbourg,
pour « refus de
Karslsruhe,
travail
et
Mannheim, Kassel,
évasion »
Weims
Liste I.301, Liste alphabétique de déportés au Hinzert, Wittlich,
Sonderlager Hinzert entre le 29 mai 1942 et Cologne,
le 10 novembre 1943 en provenance de Paris, Sonnenburg,
gare de l’Est
Sachsenhausen
Rentré
Décédée le
28 février
1945
Rentré le 13
mai 1945
Libéré le 25
avril 1945
Libéré
à
Sachsenhau
sen le 22
avril 1945
MARCHAL
Paul
(NN)
17
décembre Maréchal1895 à Saint ferrand
Loup
de
Buffigny
24 avril 1943
GRAND
Georgette
Emilie
Née Mozelle
27
septembre Mariée
1896
22 juillet 1942
à Saint-Julienles-Villas
LEBEAU
Edmond
31 janviert 1915
à
Montreuilsous-Bois (Seine)
PARISOT
Eugénie
Née
Zimmermann
15 juillet 1912 à Mariée
Givrycourt
(Moselle)
HOSPITAL
Henri
le 28 juin 1924 à
Saint-Phal
Rébellion contre
les
autorités
allemandes
21
1943
décembre
Arrêté
dans Action
l’Aube dans le résistance
village
des
Loges
Margueron le
27 août 1944
de
Liste I.301, Liste alphabétique de déportés au Hinzert (arrivé me
Sonderlager Hinzert entre le 29 mai 1942 et 18 mai 1943),
le 10 novembre 1943 en provenance de Paris, Brieg
gare de l’Est
Décédé le
1er janvier
1945 à la
prison
de
Brieg
Décédée à
Ravensbrüc
k
le 8 février
1945
Libéré
à
Allach le 30
avril 1945
Liste I.302, Liste alphabétique de personnes Breslau
(13
arrêtées en zone occupée déportées vers le novembre 1942),
Reich (1940-1944)
Anath,
Jauer,
Ravensbrück
(matricule 102423)
Liste II.11, Les arrivées au KL Natzweiler de Natzweiler le 29
janvier à février 1943, de personnes arrêtées janvier
1943
en zone annexée
(matricule 2430)
Dachau,
Allach
Liste II.27, Les arrivées au SL Schirmeck de Schirmeck (le 12 Décédée à
janvier à juillet 1944, des personnes arrêtées janvier 1944)
Schirmeck
en zone annexée
le 3 février
1944
Liste IV.1 du Livre-Mémorial (liste Dachau
alphabétique d’hommes déportés dans des
prisons et des camps de concentration du
Reich)
Décédé
à
Dachau le
27
mars
1945
II. Liste des Aubois déportés par mesure de répression, arrêtés dans un autre département
LAROCHE
Jean (NN)
BANNHOLTZ
ER Louis
17 janvier 1925 à Lycéen
à
Villadin (Oise)
Provins.
Domicilié au
Mériot dans
l’Aube.
21 mai 1906 à
Troyes
MULSANT
Pierre
13 juillet 1914 à Industriel
Villefranche-surSaône
GAGON Odile
6
septembre
1917
à
Villenauxe-laGrande
Franchissement
frontière
espagnole
(Basses-Pyrénées)
Franchissement
Compiègne
frontière
espagnole
(Basses-Pyrénées)
13 juillet 1944 Commando M et Fresnes
à Fontainebleau membre du SOE.
(Seine-etHébergement
Marne)
d’officiers, détention
d’armes et de posteémetteurs
4 avril 1944 à ?
Bordeaux
Bordeaux
(Gironde)
Liste I.90, Transport parti le 8 avril 1943 Hinzert
de Paris, gare de l’Est et arrivé à Hinzert (matricule 6503),
le 9 avril 1943
Witlich, Breslau,
Gross
Rosen,
Dora, Nordhausen
Liste I.100, Transport parti le 8 mai 1943 Sachsenhausen
de Compiègne et arrivé le 10 mai 1943 au (matricule 65819)
KL Sachsenhausen
Liste I.260, Transport parti de la gare de Sarrebruck,
l'Est à Paris le 8 août 1944 et arrivé le 9 Buchenwald
août 1944 au camp de Sarrebruck Neue
Bremm
Décédé le 4
avril 1945 à
Nordhausen
Liste I.261, Transport parti le 9 août 1944 Dachau,
de Bordeaux et arrivé le 28 août 1944 au Mathausen
KL Dachau
Melk
Décédée
à
Melk le 24
décembre 1944
Libéré
Schwerin le
mai 1945
Exécuté le
octobre 1944
Buchenwald
à
2
5
à
III.Liste des Aubois arrêtés sur le territoire du IIIème Reich et déportés dans un KL ou une prison
LEGRAND
Gabriel
7 février 1922 à Instituteur
Châtres
BELNOT
Georges
(à ajouter)
3 août 1914 à
Plaine-SaintLange
11 février 1944 Requis
du
STO. Arrêté sur le Liste III.6 Les déportés arrêtés sur le
à Augsbourg
Propos anti-nazis
territoire
du territoire du IIIème Reich (hors d’AlsaceIIIème Reich
Lorraine) et internés au KL Dachau
7
novembre Réfractaire STO très Arrêté sur le Liste III.7, Les déportés arrêtés sur le
1942 à Plaine- probablement
territoire
du territoire du IIIème Reich (hors AlsaceSaint-Lange
IIIème Reich
Moselle) et internés au KL Buchenwald
Dachau
(matricule 66233),
Allach
Kassel, Breitenau,
Kassel, Buchenwald
(matricule 60961)
Libéré le
5
mai
1945
Libéré le
11 avril
1945
à
Buchenwa
ld
LENOIR
Roland
12
novembre
1918 à Troyes
MASCELLO
Gino
27 mars 1924 à Domicilié à 27 juin 1944
Piennes
Sainte-Savine
(Meurthe-etMoselle)
CHARPENTIE 14
novembre Électricien
R
1921 à DrouptGaëtan
Sainte-Marie
FRIBOULET
Bernard
11 mars 1922 à
Troyes
5 février 1945
Prisonnier de guerre. Arrêté sur le Liste III.7 Les déportés arrêtés sur le Erfurt, Buchenwald, Décédé le
Résistance,
opinion territoire
du territoire du IIIème Reich (hors d’Alsace- Dachau
2
mai
gaulliste
IIIème Reich
Lorraine) et internés au KL Buchenwald.
1945 au
moment
du
rapatriem
ent
Requis
du
STO. Arrêté sur le Liste III.7 Les déportés arrêtés sur le Buchenwald
Libéré le
Sabotage
territoire
du territoire du IIIème Reich (hors d’Alsace- (matricule 71928)
29 avril
IIIème Reich
Lorraine) et internés au KL Buchenwald. Dachau
1945.
Rentré.
15 septembre Requis
du
STO.
1944
Propagande
par
diffusion de tracts des
communiqués
de
Londre
Opinion politique
Arrêté sur le Liste III.8 du Livre-Mémorial : les
territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du IIIème
IIIème Reich
Reich (hors d’Alsace-Moselle) et internés
au KL Dachau
Wurzburg,
Dachau
(matricule 117004)
kommando
Bau
Lager 1
Arrêté sur le Liste III.8 du Livre-Mémorial : les Münich, Dachau
territoire
IIIème Reich
au KL Dachau
Libéré le
29 avril
1945.
Décédé à
Dachau le
19 janvier
1945
MARIE Émile
Victor
12 mai 1911 à Bonnetier
Thaon
Troyes
(Calvados)
MAYAUD
Georges
24 janvier 1905 à
Courtavant
MOUNY Alix
18 octobre 1921 Employé
à
Saincaize- SNCF
Mauce (Nièvre) Troyes
à 26 janvier 1945 Requis
du
STO. Arrêté sur le Liste III.8 du Livre-Mémorial : les Dachau
Ravitaillement
de territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du IIIème (matricule 117939)
déportés politiques et IIIème Reich
possession d’un poste
au KL Dachau.
de radio
Libéré en
avril
1945,
rentré le
17
mai
1945
Libéré le
1er mai
1945
juin 1944
Requis du STO . Arrêté sur le Liste III.8 du Livre-Mémorial : les Münich, Dachau,
Écoute de la radio territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du IIIème Münich
anglaise
IIIème Reich
au KL Dachau.
23 mars 1944
Requis du STO.
Arrêté sur le Liste III.8 du Livre-Mémorial : les Nüremberg, Dachau Libéré le
Refus
de
travail, territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du IIIème (matricule 68365),
30 avril
sabotage, propagande IIIème Reich
Reich (hors d’Alsace-Moselle) et internés Allach
1945
gaulliste
au KL Dachau.
à
PARMENTIER 19 octobre 1916 Domicilié à 11 mai 1944
Fernand,
à
Saint-Dizier Troyes.
(Haute-Marne).
Mécanicienchauffeur.
Requis
du
Sabotage
STO. Arrêté sur le Liste III.8 du Livre-Mémorial : les
territoire
IIIème Reich
au KL Dachau.
DIGOT André
2 décembre 1921 Domicilié
à Châlons-sur- Troyes
Marne (Marne)
BERTRAND
Jean
29 juillet 1923 à ÉbénisteTroyes
vernisseur
15 septembre Requis
du
STO. Arrêté sur le Liste III.16 du Livre-Mémorial : les
1944
Sabotage, propagande territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du III ème
anti-allemande
IIIème Reich
Reich (hors Alsace-Moselle) et internés
au KL Sachsenhausen
PILLOT
Roland
le 18 avril 1915 Sergent
à Villemorien
15 septembre Querelle avec SS,
1944
destruction d’affiches
de propagande et
sabotage de machines
de guerre dans l’usine
Dachau
Libéré le
(matricule 116533), 13 avril
Buchenwald,
1945
Langestein
à 30 janvier 1945 Requis
du
STO. Arrêté sur le Liste III.12 du Livre-Mémorial : les Mathausen
Activité résistante
territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du IIIème (matricule 133512)
IIIème Reich
au KL Mathausen.
Décédé le
23 avril
1945
Düsseldorf,
Rentré.
Sachsenhausen
(matricule 102860),
kommando Kluiker,
Heinckel
Arrêté sur le Liste III.16 du Livre-Mémorial : les Sachsenhausen
libéré le 2
territoire
du déportés arrêtés sur le territoire du IIIème (matricule 104271). mai 1945
IIIème Reich
Reich (hors Alsace-Moselle) et internés
à
au KL Sachsenhausen.
Schwerin
IV.Liste des Aubois arrêtées sur le territoire du IIIème Reich, déportés dans un KL ou une prison, dont les noms n’apparaissent pas
dans les listes du Livre-Mémorial
COLLIN
MariusGeorges-Paul
15 juillet 1910 à
Marcilly-leHayer
DIDELOT
Marcel
13 mai 1924
Domicilié à
Sainte-Savine
DRANCOURT 11 janvier 1922 à Domicilié à
Louis
Auxerre
Troyes. Père
de
deux
enfants
GUILLEMIN
Gilbert
2 mars 1921 à Domicilié à
Charmoy
Brienne-leChâteau
HAHN Marcel
3 février 1922 à
Longueville
(Seine-et-Marne)
20 février 1924 à
Bar-sur-Aube
LEMOULT
Roger Marcel
Domicilié à
Romilly-surSeine
Domicilié à
Proverville.
Manœuvre.
Prisonnier de guerre
en
Autriche
(Knittelfeld). Arrêté
pour
« suspicion
d’appartenir
à
la
résistance ».
Requis
du
STO,
condamné à la prison
après un acte de
« sabotage »
Volontaire pour Condamné par un
le travail en tribunal allemand pour
Allemagne,
le délit de « sabotage »
parti
le
9
octobre 1942
4
décembre Requis
du
STO,
1944
Condamné
le
4
décembre 1944 pour
« propos
antiallemand »
14 juin 1944
Requis
du
STO,
condamné
pour
« activité résistante »
septembre 1943 Requis
du
STO,
condamné par un
tribunal allemand pour
« avoir dit que les
Allemands perdraient
la guerre »
Arrêté sur le Interné au camp de concentration de Mathausen
territoire
du Mathausen du 1er décembre 1944 au 10 (matricule 132651)
IIIème Reich
janvier 1945
Rentré le
1er mai
1945
Arrêté sur le Bautzen
territoire
du
IIIème Reich
Rentré
Arrêté sur le Interné à la prison de Wolfenbüttel
territoire
du
IIIème Reich
Décédé le
13 mars
1943
à
Wolfenbü
ttel
Rentré
Arrêté sur le
territoire du
IIIème Reich
Heidelberg
Arrêté sur le Dachau
territoire
du
IIIème Reich
Arrêté sur le Interné à la prison de Magdebourg
territoire
du
IIIème Reich
Dachau
Rentré
Libéré le
25 avril
1945
MARTIN
Edmond
François
5 janvier 1921 à Domicilié à mai 1943
Paris (Seine)
Loches-surOurce.
Boulangerpatissier.
PARIS JeanPaul André
21 mai 1920 à
Nogent-sur-Seine
5 janvier 1944
Requis
du
STO,
condamné par un
tribunal allemand pour
« mauvaises paroles et
idées politiques contre
l’Allemagne ».
Requis du STO arrêté
en Allemagne pour
« refus d’obéissance »
Arrêté sur le Prison disciplinaire d’Ulm-Donau
territoire
du
IIIème Reich
Libéré le
30
mai
1944
Arrêté sur le Interné à la prison de Graslitz
territoire
du
IIIème Reich
Rentré
V.Liste de déportés aubois dans un KL ou une prison, dont les noms n’apparaissent pas dans les listes du Livre-Mémorial
ENFROY
Jacques
3 août 1922 à Plombier
Herbisse
8 janvier 1941 Droit
commun. Troyes,
à Troyes
Bagarre avec des Clairvaux
soldats allemands
VOLPERT
Albert
21 mars 1910 à
Saint Petersbourg
(Russie)
9 avril 1888 à
Charbonnat sur
Arroux (Saône et
Loire)
25 juin 1941 à Distributions de tracts
Troyes
Opinions politiques
FEVRE
Antoine
LELLOUCHE
Maurice
11 juin 1911
PICHON
André
21 janvier 1909 à
Vitry-le-François
(Marne)
21 avril 1907 à
Troyes
LEROMAIN
Jean
JUFT Julien
PELEE Joseph
ZYTA Jean
HECKLER
Frederick
ADOLPHE
Charles
Célibataire.
Commerçant
Troyes,
Compiègne
Menuisier
Marié
26 mai 1941
Trêves, Cologne, Libéré
en
Rheinbach,
avril 1945
Siegburg,
Hanovre
Déporté le 25 mars 1942 à la prison de Wulsbourg
Rentré
Wulsburg
Troyes
Troyes
Aide au tirage de
tracts
Sabotage de transports
allemands
Marié, quatre Mars 1942
Activité politique
enfants.
Commerçant
25 juin 1942
Zigonen,
Rheinbach
Libéré
Déporté en Allemagne le 7 juin 1942
Evadé le 1er
avril 1945 de
Nordhausen
Maçon
Marié
Déporté le 8 août 1942 à Scheurleck
Buchenwald
(matricule
58715),
Nordhausen
Scheurleck
16 novembre
1941 à PrécySaint-Martin
Marié,
un 1er
février
enfant.
1943 à SainteBonnetier
Savine
13 mars 1915 à Employé
Troyes
SNCF
Résistance
FTPF
Propagande
allemande
Clairvaux
anti-
12 mars 1943 à Ceux de la Libération. Troyes, ChâlonsTroyes
Délivrance de fausses sur-Marne,
cartes d’identité.
Compiègne
Hébergement de juifs
5 janvier1914
?
?
25 juin 1922 à Célibataire.
1er juin 1943 à Réfractaire au STO
Bochum
Chef d’atelier Troyes
(Allemagne)
14 avril 1917 à AideVol en réunion
Maizières
boulanger
13
décembre Marié, deux 11 juin 1943
Opinions politiques,
1897 à Saxey
enfants.
détention d’un fusil de
Agriculteur
chasse
Rentré
Déporté le 15 mars 1943 à la prison de Brême
Brême
Rentré
Déporté le 30 mars 1943
Sachsenhausen-Oranienburg
Libéré en mai
1945
vers Sachsenhausen
Kustrin
Déporté le 6 avril 1943 à Dachau
Dachau
Déporté à la prison de Buzbach le 23 juin Buzbach
1943
15 juillet 1943
Déporté le 2 août 1943 à Gross Rosen
Sort inconnu
Rentré
Prison
de Sort inconnu
Bochoren
Gross Rosen
Décédé à une
date inconnue
HAMET Marie 22 mars 1896 à
Troyes
JACOB
25 avril 1911
Menuisier
Armand
DESQUET
André
BARBARAT
Edouard
Marcel
(NN)
FROMONT
Jules
6 janvier 1907 à
Pontoise (Seineet-Oise)
12 mai 1909 à
Sainte-Savine
Agriculteur
Célibataire
Marié.
SNCF
14
septembre Marié
1895 à Nanteuils
les
Meaux
(Seine-et-Marne)
LEGALL Anne 31
décembre Femme
1908 à Brest
chambre
MASSIN Jean
GRAMMONT
Fernand
MAJCHRZAK
Stanislaus
GUENIN
André
13 mars 1926 à Célibataire
Herbisse
31 mars 896 à Hôtelier
Paris
23 juin 1943 à Résistance,
dépôt
Lantages
d’armes
23 avril 1943 à Détention
d’effets Troyes
Châtres
allemands et activité
gaulliste
3 mars 1943 à Otage, résistant
Troyes
11 juin 1943
11 septembre 1943
Prison
Poskring
de Libéré le 2
mai 1945
Réseau
Hector. Troyes, Cherche- Déporté le 11 septembre 1943 à Hinzert Hinzert,
Décédé à
Détention d’armes
Midi
(ce qui correspond au convoi I.133 du Chemnitz,
Dora à une
Livre-Mémorial)
Breslau, Gross date inconnue
Rosen ,Dora
16 janvier 1943 FTP
à Estissac
de Juin 1943
Troyes
Déportée à la prison de Aibach le 5
Rentrée
août1943
28 août 1943
Rastadt, Wittlich, Rentré
Darmstadt
Troyes
à Dénonciation
pour
propagande antinazie
6
septembre
1943 à Troyes
26 juillet 1943
à Troyes
Manifestation
anti- Troyes
allemande
Refus de travailler Troyes
avec
l’occupant.
Propos hostile
3 octobre 1904 à
23 septembre
Castrop
1943
(Pologne)
15 janvier 1923 à Marchand de 6 juillet 1943 à Réseau Buckmaster
Essoyes
confection
Compiègne
17 septembre 1943 à Buchenwald
Buchenwald
Il fait partie des personnes décédées
durant le transport dont le nom n’a pu être
retrouvé par les auteurs du LivreMémorial. Liste I 136 Transport parti de
Compiègne le 17 septembre 1943 et arrivé
au KL Buchenwald le 18 septembre 1943
(effectif recensé du départ : 934, effectif
estimé : 993)
Décédé
pendant son
transfert
à
Buchenwald
Déportée à la prison de Schewingen en Schewingen
septembre 1943
Rentrée
Déporté le 25 octobre 1943 à la prison de Francfort-sur-le- Rentré
Francfort-sur-le-Main
Main
26 octobre 1943
Hanau, Francfort Rentré
Déporté le
Schirmeck
Saint-Quentin,
Compiègne
17
décembre
1943
à Schirmeck
Déporté le 17 janvier 1944 vers Buchenwald,
Buchenwald avec le matricule 39939. Or Dora,
le nom d’André Guénin est absent de la Ravensbrück
liste du convoi I.171 du Livre-Mémorial
Rentré
Rentré
LEQUEY
André
28 juin 1899 à Divorcé.
Nogent-sur-Seine Maçon
DEZAUNAY
Albert
et ce matricule est attribué à Marcel
Renard
23 septembre Sabotage de batteuses Troyes, Châlons- janvier 1944 à Buchenwald
Buchenwald,
/1943 à Saint- Coup de feu contre les sur-Marne,
Dora
Lyé
gendarmes
Compiègne
Décédé le 14
janvier 1945
dans un lieu
inconnu
de Non rentré
21
septembre
1890 à Mailly-leCamp
ZERBIB David 11 juillet 1908 à
Ain-Beida
(Algérie)
GENNIGES
29 juin 1896 à Commerçant
Jean-Pierre
Hayange
(Moselle)
31
octobre Politique
1943 à Mailly
2 février 1944
Prison
Nurzbourg
3 janvier 1944
Déporté en Allemagne le 10 février 1944
?
Décédé
27
octobre Droit commun
1943 à Maillyle-Camp
Troyes, Fresnes
Février 1944
Rentré
GOGNON
Jean-Marie
Compiègne
28 mars 1944 vers Mauthausen (57865)
à Marié
Novembre
Armée Secrète
1943 au camp
de Ségoyé
28 mars 1944
Résistant
Karlsruhe,
Bruchsal,
Stuttgart,
Rottenburg
Mauthausen
30 mars 1944 vers Dora
Dora
à Peintre
en
bâtiment
à Mariée.
Commerçante
11 juin 1943 à Diffusion
Bar-sur-Seine
anglaise
30
décembre FTPF
1943
19/03/1921
Romilly-surSeine
WTORKOWS 5 juin 1899
KI Czreslaw
Poznan
(Pologne)
JOURDAIN
5 août 1885
Gaston
Landreville
RENAUD
11 juin 1911
Née Schwartz Rumilly-lesLéa
Vaudes
à Employé
SNCF
VAUBOURG
Paul
15 avril 1907 à Marié.
Thil
Bonnetier
3 mai 1944
MICHEL
Jacques
12 octobre 1923 Maçon
à Romilly-surSeine
11
novembre Mariée.
1910 à Pont-sur- Buraliste
Seine
4 mars 1944 à Propagande
Pont-sur-Seine allemande
BLASQUES
Paulette,
née Fourrier
radio Troyes, Dijon
Troyes
Réfractaire au STO
anti- Troyes, Fresnes
Décédé le 6
mars 1945 à
Mathausen
Décédé à une
date inconnue
Déporté en Allemagne le 12 avril 1944
Aichach, Kislau, Rentré
Kassel
Déportée le Holleischein le 17 avril 1944
Rentrée
(matricule 50750)
Déporté le 13 mai 1944 à la prison de Bernshausen
Bernshausen
Rentré
Déporté le 26 mai 1944 à la prison de Karlsruhe,
Karlsruhe
Preumgesheim
Rentré
Arrêtée le 21 Libération-Nord.
Prison de Troyes, Déportée en Allemagne le 15 juin 1944.
février
1944 Agent de liaison entre Fresnes
suite à une Paris et l’Aube
dénonciation à
SchwäbischLibérée
en
Gmünd, prison avril 1945.
dépendante
du
camp de Dachau
Pont-sur-Seine
MONY
Marcel)
SISTERNAS
Juliette
30 janvier 1914
17 août 1896 à
Confrentes
(Espagne)
DELAGNEAU 2 janvier 1924 à
Bernard
Villemaur
sur
Vanne
DELAGNEAU 22 août 1926 à
Roger
Villemaur-surVanne
MUSSATI
27 août 1919 à
Yvette
Romilly-surNée Mozet
Seine
GUILLEY
Pierre)
RONDEL
André
Droit commun
28 avril 1944 à RIF. hébergement de
Villemorien
résistants
01/07/1944 vers Buchenwald (matricule Buchenwald
60809)
Déportée à Ravensbrück le 8 juillet 1944 Ravensbrück,
Haselhorst
Gartenfeld
Rentré
?
Célibataire.
Manœuvre
20 juin 1944 à Rafle
Aix-en-Othe
Auxerre
28 juillet 1944 vers Mauthausen
Mauthausen
Libéré en mai
1945
Célibataire.
Manœuvre
20 juin 1944 à Rafle en montant au Auxerre
la Coudre
maquis
28 juillet 1944 vers Mauthausen
Mauthausen
Libéré en mai
1945
Mariée.
Aiguillière
16 mars 1944 à Aide à résistants FFI
Troyes
Déportée le 10 août 1944 à Sarrebruck
(cela correspond probablement au convoi
I.260, Transport parti de la gare de l’Est à
Paris le 8 août 1944 et arrivé le 9 août
1944 au camp de Sarrebruck Neue
Bremm. D’autant plus que la notice
signale que seules trois femmes ont pu
être identifiées alors que des témoins en
ont vu d’autres)
24 août 1944
Sarrebruck,
Ravensbrück,
Holleischen
Rentrée
Zwischau
Décédé
4 février 1913
6 janvier 1924 à Marié.
Jully-sur-Sarce
Manœuvre
2 août 1944 à Aide à la Résistance
Mussy-surSeine
Troyes, Châlons- Déporté le 29 août 1944 à la prison Ascassenbourg
sur-Marne, Metz d’Ascassenburg
VI. Liste de déportés aubois pour lesquels les renseignements sont lacunaires (date et/ou lieu de déportation)
Rentré
BARBE Daniel 2 mai 1913 à Boulanger
Ramerupt
Mars 1942
Opinions politiques
Déporté à Bernau à une date inconnue
BARROIS
Etienne
25
septembre Comptable à Avril 1942
1906 à Troyes
EGF
Opinions politiques
Déporté à Kobierzyn à une date inconnue
BAUDIN
Raymond
7 janvier1924
1er
février Sabotage
1944 à Troyes
Déporté à la prison d’Ulm à une date Ulm
inconnue
COLLIN
Joseph
(à
ajouter)
COURTOIS
Marcel
(non
présent
dans
l’applicatif)
COUTURIER
Aimé
(non
présent
dans
l’applicatif)
Cruel Marcel
4 mai 1902 à Bonnetier
Launimadez
(Côte-du-Nord)
17 avril 1942 à Résistance
Troyes
Lieu et date de déportation inconnus
?
8 août 1944 à
lieu et date de déportation inconnus
?
Libéré en
mai 1945
19 mai 1942 à
Vendeuvre
lieu et date de déportation inconnus
?
Libéré
13 octobre 1922 Employé
à Romilly sur SNCF
Seine
2 août 1943
Troyes
Déporté à Mainz à une date inconnue
Mainz
CUISENIER
René
13 mai 1921 à Célibataire
Troyes
Troyes
Déporté à Bayreuth à une date inconnue
Prison
Bayreuth
DELIN
Deguilly
Antoinette
(à rechercher)
1er juillet 1912 à
Jully-sur-Sarce
7 juin 1944 à Rafle
Laines-auxBois
13
octobre
1943
FOUQUERAY 9 avril 1915 à Mariée
Fernande
Montgueux
Née Jeune
22 avril 1942 à
Troyes
Résistant
Bernau,
Rosenheim,
Prim-amChiemsee
Kobierzyn,
Hanovre
Rentré 18
mai 1945
Rentré
Rentré
Décédé à la
prison
de
Mainz à une
date
inconnue
de Libéré en
mai 1945
Déporté à Mathausen à une date inconnue Mathausen
Rentrée
Déportée au Struthof à une date inconnue
Rentrée
Struthof
(à rechercher)
HONORE
Rose Née Glad
1er janvier 1917 Mariée
à Farschiler
LETANG
André
Domblain
enfant.
(Vosges)
Ouvrier
agricole
MARCEL Paul 20 mai 1904 à
Voiron (Isère)
MESSAIN
10 mai 1919 à
Maurice
Sainte-Savine
SAIGNOUX
13 mai 1911 à
Marcelle
Toulon
THIEBAULT
16
novembre
Clémence
1909 à Amance
Née Durand
18 janvier 1943
à Troyes
un 22 août 1944 à
Saint-Parresaux-Tertres
Août 1941 (?)
11 mai 1944 à
Troyes
Commerçant 15 janvier 1944
foraine
à Troyes
Mariée,
un 13 mars 1943 à
enfant
Vendeuvre
VIDAL
26 janvier1923 à
Fernand
Arrentières
ZAJAC Michel 11
novembre Agriculteur
1920 à Tarlow
(Pologne)
Déportée à Halberstadt à une date Halberstadt
inconnue
Rentrée
Lieu et date déportation inconnus
Décédé
Opinions politiques
Déporté à Spandau à une date inconnue
Droit commun
Déporté à la prison de Lanhtouft à une Lanhtouft
date inconnue
Lieu et date déportation inconnus
?
Rentré en
mai 1945
Rentrée
Déportée à Ravensbrück à une date Ravensbrück
inconnue
Rentrée
Déporté à la prison de Nüremberg à une Nuremberg
date inconnue
?
Auschwitz,
Dachau
Libéré en
avril 1945
Rentré
Ceux de la Libération
(agent de liaison)
Outrage à l’armée
allemande
4
décembre Opinions politiques
1943
15
octobre Rafle, otage
1941
à
Maizières-lesBrienne
Compiègne
Spandau
Rentré

la déportation de répression dans l`aube

Transcription

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