Le programme du symposium est maintenant disponible!

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Le programme du symposium est maintenant disponible!
L’ENSEIGNEMENT DE LA JUSTICE SOCIALE
AU CŒUR DES DROITS D ES FEMMES
DU 28 D U 2 8 F É V R I E R A U 1 E R M A R S 2 0 1 6
WINNIPEG (MANITOBA)
Bienvenue au Symposium sur les questions
féminines de 2016
Tous les ans, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants tient un symposium sur les
questions féminines qui est accueilli par l’une de ses organisations Membres. Ce symposium rassemble
des porte-paroles de la profession enseignante et des représentantes des groupes de femmes de partout
au pays afin d’étudier une question ou un thème donné dans le but de renforcer la condition féminine et
d’améliorer la situation des femmes au sein de la profession enseignante et dans le vaste contexte social.
Le thème de cette année :
L’enseignement de la justice sociale au cœur
des droits des femmes
Cette année, nous sommes extrêmement reconnaissants à la Manitoba Teachers’ Society pour son aide
précieuse dans la planification et l’accueil du Symposium. Un merci tout à fait spécial au Musée canadien
pour les droits de la personne pour avoir préparé un exposé informatif et inspirant sur les droits des
femmes au Canada et dans le monde.
Nous espérons que vous apprécierez votre séjour à Winnipeg alors que nous examinerons ensemble les
questions de justice sociale qui touchent les femmes de façon disproportionnée, discuterons des
stratégies visant à améliorer la condition des femmes et des filles, et célèbrerons le centenaire de
l’obtention du droit de vote par des femmes au Canada.
Pour des raisons de santé, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants a
adopté une politique pour un milieu de travail sans parfum. Les produits parfumés tels que les
fixatifs, les parfums et les déodorants peuvent déclencher des réactions comme de la
détresse respiratoire et des maux de tête. Nous vous saurions gré de ne pas porter ces
produits au Symposium.
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Hôtel Victoria Inn & Convention Centre
(À moins d’indication contraire, les présentations seront faites en anglais.)
Le dimanche 28 février 2016
17 h 30
Inscription à l’hôtel Victoria Inn, salle Embassy
18 h 30
Vin et fromage
19 h
Présentations
Norm Gould, président de la Manitoba Teachers’ Society, vice-président de la FCE
Heather Smith, présidente de la Fédération canadienne des enseignantes et des
enseignants
La condition de la femme au Canada vue sous l’angle politique
Niki Ashton, députée du Nouveau Parti démocratique de la circonscription de Churchill—
Keewatinook Aski
Finding Freedom (trouver la liberté) par Shamin Brown
Puissant slam qui dénonce la marginalisation et l’isolement social des femmes et des
enfants que le commerce du sexe maintient derrière un mur de silence et de honte.
Le lundi 29 février 2016
Déjeuner libre
8 h 15
Autobus de l’hôtel Victoria Inn au Musée canadien pour les droits de la personne
9h
Bienvenue au Musée canadien pour les droits de la personne
(MCDP)
John Young, Ph. D., président-directeur général, MCDP
9 h 05
Survol de Parler vrai au pouvoir Canada
Heather Smith, présidente de la FCE
Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en
anglais.
Rosemary Sadlier, présidente de l’Ontario Black History Society et l’une des
12 défenseuses et défenseurs des droits de la personne de Parler vrai au pouvoir
Canada
Les questions pourront être posées en français ou en anglais.
10 h 15
De 10 h 30
à 11 h 30
Pause
Un musée visionnaire
Aperçu de la riche collection de ressources éducatives que le Musée canadien pour les
droits de la personne met à la disposition du personnel enseignant, dont des
ressources qui font le lien entre les programmes d’études et les expositions. Seront
aussi présentés les programmes éducatifs du Musée, actuels et en préparation.
Mireille Lamontagne, gestionnaire des programmes éducatifs et des projets spéciaux,
MCDP
Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en
anglais.
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Le lundi 29 février 2016
11 h 30
Quiet (tranquille) par Mary Black
Œuvre parlée qui, en dépeignant la vie d’une femme autochtone tranquille dans un
quartier défavorisé du centre-ville, met des mots sur les problèmes qui, sans bruit,
consument nos communautés et nos vies.
De 11 h 40
à 13 h 15
Marche jusqu’au restaurant indien Clay Oven www.clayoven.ca/
De 13 h 30
à 16 h
Les droits des femmes aujourd’hui
Isabelle Masson, chercheure et conservatrice, MCDP
Les membres du personnel professionnel du Musée feront vivre aux participantes et
participants des activités expérientielles qui les aideront à mieux comprendre les
épreuves que les femmes et les filles ont dû surmonter et continuent de devoir
surmonter pour faire respecter leurs droits au Canada.
Les personnes participantes se rendront compte à quel point les obstacles
systémiques et les attentes traditionnelles à l’égard des femmes et des hommes
façonnent les perspectives, les comportements et les attitudes, et peuvent limiter la
capacité à s’épanouir et à se réaliser pleinement. En parcourant le Musée, elles
rencontreront une foule de personnages, parfois extraordinaires, parfois ordinaires,
mais toujours inspirants, qui ne ménagent aucun effort pour parvenir à l’égalité entre
les sexes au Canada et ailleurs dans le monde.
Cette activité axée sur l’égalité et les droits des femmes au Canada et dans le monde
a pour but de déconstruire les barrières qui menacent l’égalité et l’équité entre les
sexes. Plus précisément, nous tenterons d’atteindre les objectifs suivants :




comprendre le concept de l’égalité entre les sexes et son lien avec les droits
des femmes;
comprendre en quoi les normes sexospécifiques créent une pression sociale
qui finit par mener à la négation des droits de la personne;
comprendre que la lutte en faveur de l’égalité entre les sexes au Canada et
dans le monde ne date pas d’hier et se poursuit encore aujourd’hui;
dresser une liste de femmes qui, de par leurs qualités de chef de file, peuvent
changer les choses, et le font, ici et ailleurs.
Supports visuels bilingues — Les questions pourront être posées en français ou en
anglais.
Les exercices en table ronde seront menés en français et en anglais.
16 h 30
Temps libre pour explorer le quartier historique de La Fourche et ses boutiques
18 h
Retour par autobus à l’hôtel Victoria Inn à partir de La Fourche
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Le lundi 29 février 2016
19 h
Célébration du centenaire de l’obtention du droit de vote par des
Salle
femmes au Canada
Embassy — L’honorable Patricia Hajdu, ministre de la Condition féminine
Hôtel Victoria
Inn
Souper suivi d’une performance musicale de Good Karma Co. (aussi appelé le Good
Karma Collective), qui réunit trois jeunes femmes, toutes chanteuses et parolières
reconnues, qui se servent de la voix et d’instruments multiples pour créer un son à la
fois naturel, authentique et coloré.
Le mardi 1er mars 2016
Déjeuner libre
Groupe A (matin) / Groupe B (après-midi)
8 h 30
Atelier sur l’éducation
contre l’oppression
Groupe B (matin) / Groupe A (après-midi)
8 h 30
Plan d’action pour venir à bout de
la violence contre les femmes

Alex Wilson, Ph. D., professeure
agrégée et directrice des études à
l’Aboriginal Education Research
Centre de l’Université de la
Saskatchewan

Diane Redsky — Les femmes
autochtones assassinées ou
disparues et la traite de personnes
Barb Byers — Sur la nouvelle
initiative DV@Work (les effets de la
violence conjugale sur le milieu de
travail). Supports visuels bilingues — Les
questions pourront être posées en
français ou en anglais.
10 h
Pause
10 h 15
Atelier sur l’éducation
contre l’oppression (suite)
10 h 15
Les femmes peuvent changer le
cours des choses! — Groupe de
discussion



11 h
Nancy Peckford, À voix égales
Bobbi Taillefer, The Manitoba
Teachers’ Society
Catherine Hart, enseignante et
activiste, Winnipeg (Manitoba)
Passons à l’action
Animation par le personnel de la MTS
Les discussions en table ronde se dérouleront
en français et en anglais.
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
11 h 30
Diner
12 h 30
Stolen Girls (filles volées) par Hope McIntyre
Cette œuvre en mouvements rappelle l’enlèvement des lycéennes de Chibok, au Nigéria, en
avril 2014. Pourquoi les femmes deviennent-elles des pions dans les guerres entre les
hommes?
12 h 40
Les groupes A et B changeront de programmes.
De 15 h 30 Conclusion et évaluations
à 16 h
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Biographies
(par ordre d’intervention)
Norm Gould est président de la Manitoba
Teachers’ Society (MTS) et vice-président de la
Fédération canadienne des enseignantes et
des enseignants (FCE). Il enseigne depuis
20 ans au Manitoba et en est à sa deuxième
année à la vice-présidence de la FCE. Avant de
devenir président de la MTS, Norm Gould avait
occupé les postes de vice-président de la MTS,
de membre du Comité exécutif provincial, de
président de la St. James-Assiniboia Teachers’
Association et d’enseignant à St. JamesAssiniboia. Il est titulaire d’une maitrise en
éducation avec spécialisation en droit de
l’éducation, et a récemment obtenu la
désignation Certified Risk Manager de
l’Université de Winnipeg.
Heather Smith a été élue présidente de la
Fédération canadienne des enseignantes et
des enseignants pour la période de juillet 2015
à juillet 2017. Jusqu’en juin 2015,
Heather Smith a été directrice d’école et
enseignante à la Janeville Elementary School
tout près de Bathurst. L’ancienne présidente de
la New Brunswick Teachers’ Association est
titulaire d’un baccalauréat en éducation (palier
élémentaire) et en éducation de l’enfance en
difficulté, et d’une maitrise en éducation
(alphabétisation) de l’Université Mount Saint
Vincent. Elle a enseigné 32 ans au palier
élémentaire au Nouveau-Brunswick,
principalement à la maternelle et en 4e année.
Niki Ashton a été élue députée une première
fois dans la circonscription fédérale de Churchill
en 2008, puis a été réélue en 2011 et de
nouveau en 2015, après le redécoupage, dans
la circonscription de Churchill—Keewatinook
Aski. Ancienne professeure au Collège
universitaire du Nord, Niki Ashton a une
maitrise en relations internationales de
l’Université Carleton et un baccalauréat en
économie politique mondiale de l’Université du
Manitoba où elle poursuit des études doctorales
sur la paix et le conflit. Elle parle couramment
quatre langues — le français, l’anglais,
l’espagnol et le grec (sa langue maternelle) —
et en a étudié quatre autres.
John Young, Ph. D., est devenu le présidentdirecteur général du Musée canadien pour les
droits de la personne (MCDP) le 17 aout 2015.
Avant d’accepter ce poste, il était professeur
agrégé de science politique à l’Université de
Northern British Columbia (UNBC), où il s’est
illustré comme enseignant et comme
administrateur. Pendant son séjour à l’UNBC, il
a travaillé à titre de vice-recteur intérimaire à
l’enseignement et à la recherche, et
auparavant, à titre de doyen du Collège des
arts, des sciences sociales et des sciences de
la santé.
Reconnu par l’UNBC pour son excellence en
enseignement, John Young a été professeur
invité aux États-Unis et au Japon, et il a vécu et
travaillé en Allemagne et en Russie. Il a aussi
travaillé au Centre parlementaire canadien. Par
ailleurs, de 2012 à 2015, il a siégé aux conseils
d’administration de la Société Radio-Canada et
du MCDP.
Rosemary Sadlier est présidente de l’Ontario
Black History Society depuis 1993. En sa
qualité, elle contribue à faire reconnaitre
l’histoire des Noires et des Noirs par
l’éducation, la recherche et les programmes
d’information, et a été saluée et honorée pour
son travail acharné. Les pressions qu’elle a
exercées sur le gouvernement canadien sont à
l’origine de la décision, en 1995, de faire de la
célébration du Mois de l’histoire des Noirs et
des Noires un évènement national annuel.
Rosemary Sadlier a fait des présentations à des
tribunes nationales et internationales — y
compris aux Nations Unies — sur les thèmes
de l’histoire canadienne des Noirs et des
Noires, des programmes d’études et de la lutte
contre le racisme. Elle a réalisé et publié de
nombreuses études sur l’histoire des Noirs et
des Noires, au Canada et dans le monde. Elle
est diplômée en enseignement et en travail
social. Ses racines canadiennes remontent à
avant la Confédération : la généalogie
canadienne de sa famille maternelle peut être
retracée jusqu’en 1840, tandis que les ancêtres
de son père sont arrivés au Nouveau-Brunswick
en 1793.
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Mireille Lamontagne est titulaire d’un
baccalauréat ès arts avancé en anthropologie,
d’un diplôme en gestion des ressources
culturelles, et d’un certificat de spécialisation en
gestion culturelle. Tout au long de sa carrière,
elle a travaillé pour des musées canadiens et
dans les domaines du patrimoine et de
l’archéologie, notamment pour les programmes
muséaux éducatifs et culturels de Patrimoine
canadien, du Musée du Manitoba et de Parcs
Canada. Présentement, Mireille Lamontagne
est gestionnaire des programmes éducatifs et
des projets spéciaux au Musée canadien pour
les droits de la personne.
Isabelle Masson a fait ses études en science
politique. Elle s’est jointe à l’équipe du Musée
canadien pour les droits de la personne
(MCDP) en 2010. Elle y occupe le poste de
chercheure-conservatrice responsable des
expositions présentées dans la galerie Les
droits aujourd’hui. Isabelle Masson a étudié à
l’Université du Québec à Montréal et à
l’Université York à Toronto. Dans le cadre de
ses recherches, elle a mené des travaux sur le
terrain en Afrique australe et orientale.
L’honorable Patty Hajdu a été élue députée
de la circonscription de Thunder Bay-SupérieurNord lors des élections fédérales
d’octobre 2015. Le premier ministre l’a nommée
ministre de la Condition féminine du Canada.
C’est donc à ce titre qu’elle sert la population
canadienne depuis le 4 novembre 2015.
Depuis plus de 20 ans, Patty Hajdu travaille en
concertation à améliorer la qualité de vie des
gens du nord-ouest de l’Ontario. Elle est
connue et respectée au sein de sa collectivité
pour ce qu’elle a réussi à accomplir en matière
de lutte contre la toxicomanie, de réduction des
méfaits, de logement et de santé publique.
Avant d’être élue à la Chambre des communes,
elle était directrice générale de la Shelter
House, à Thunder Bay, un organisme de
première importance pour la ville, qui répond
aux besoins élémentaires des personnes les
plus démunies tout en préservant leur dignité.
Patty Hajdu est détentrice d’un baccalauréat ès
arts de l’Université Lakehead et d’une maitrise
en administration publique de l’Université de
Victoria. À titre de ministre et de députée, elle
poursuit un cheminement personnel et
professionnel qui a toujours inclus le service
public et la défense d’intérêts sociaux. Cette
expérience, conjuguée à sa compassion envers
autrui, l’a bien préparée à son nouveau rôle,
soit aider les femmes et les filles à relever les
défis qui sont les leurs dans la société
canadienne d’aujourd’hui.
Alex Wilson, Ph. D., est une Moskégonne de la
nation crie d’Opaskwayak. Elle est professeure
agrégée et directrice des études à l’Aboriginal
Education Research Centre de l’Université de la
Saskatchewan. Sa mission professorale a
grandement contribué à mieux faire connaitre le
concept de la bispiritualité (du point de vue de
l’identité, de l’histoire et des enseignements) et
les méthodes de recherche autochtones; à
promouvoir l’éducation contre l’oppression; ainsi
qu’à renforcer la prévention de la violence chez
les Autochtones. Activiste et organisatrice du
mouvement Idle No More, elle participe
activement à des interventions contre la
destruction des terres, des eaux et du corps
humain.
Diane Redsky est la directrice générale du Ma
Mawi Wi Chi Itata (Ma Mawi) Centre. Fière
mère de trois enfants et kookum (grand-mère),
elle est membre de la bande de la réserve
Shoal Lake no 40. Elle est connue pour son
action de longue date auprès de la
communauté autochtone urbaine de Winnipeg
dans les sphères de la santé, de la justice, de
l’éducation et des services sociaux. À titre
professionnel et bénévole, elle a travaillé avec
des organismes locaux, nationaux et
internationaux, et est devenue une ardente
défenseure des droits des enfants et des
femmes autochtones. Entre 2011 et 2015,
Diane Redsky a été la directrice de projet du
Groupe de travail national sur la traite des
femmes et des filles au Canada de la Fondation
canadienne des femmes.
Barb Byers a débuté sa carrière de travailleuse
sociale en Saskatchewan où elle s’est occupée
de dossiers comme la pauvreté, le chômage
des jeunes, les problèmes des Autochtones,
l’accès à l’égalité et les droits des travailleuses
et des travailleurs. Après avoir assuré la
présidence du Saskatchewan Government
Employees’ Union (SGEU) et de la Fédération
du travail de la Saskatchewan (FTS), elle a été
élue vice-présidente exécutive du Congrès du
travail du Canada en 2002 et secrétairetrésorière en mai 2014. Parmi les nombreux
dossiers qui l’intéressent, Barb Byers a été
chargée de l’éducation syndicale, de
l’assurance-emploi, des questions intéressant
les travailleuses, les travailleurs et travailleuses
ayant un handicap ainsi que les travailleuses et
travailleurs allosexuels. Les fortes racines
communautaires de Barb Byers l’ont portée à
fonder le camp d’été de la FTS pour les jeunes
de la Saskatchewan et à cofonder la Prairie
School for Union Women.
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Nancy Peckford, originaire de Terre-Neuve-etLabrador, a un baccalauréat ès arts en
administration publique avec une mineure en
français et en économie du Collège Smith, l’un
des collèges des arts libéraux les plus réputés
des États-Unis. Nancy Peckford est retournée
faire sa maitrise à Terre-Neuve-et-Labrador où
elle s’est principalement penchée sur la
formation des intérêts politiques des femmes
dans les années 1970 et 1980. Après avoir été
sélectionnée pour participer au Programme de
stage parlementaire en 1999, elle est venue
travailler à titre non partisan pour les bureaux
de Susan Whelan (Parti libéral) et de Bob Mills
(Parti réformiste) à Ottawa. Elle a ensuite
travaillé avec diverses ONG avec qui elle a
dirigé des campagnes nationales sur une
variété de dossiers stratégiques. Mère de trois
enfants et conjointe de Craig, Nancy Peckford a
eu l’occasion de travailler à un certain nombre
de campagnes politiques, depuis l’étape de la
nomination jusqu’à la fin.
Bobbi Taillefer travaille depuis 18 ans pour la
Manitoba Teachers’ Society. Elle y a occupé
divers postes de direction, notamment comme
responsable de la négociation, du personnel,
des services professionnels et des services en
langue française. Elle a aussi été secrétaire
générale adjointe avant de devenir secrétaire
générale en 2015. Avant son arrivée à la MTS,
elle avait été enseignante et directrice d’école à
Winnipeg. Bobbi, son conjoint Paul et leurs
chiens aiment voyager et partir explorer les
sentiers.
Catherine Hart est enseignante et conseillère
en formation d’alliances gais-hétéros à l’école
West Kildonan Collegiate depuis 2010. C’est là
qu’elle a découvert sa passion pour le travail en
solidarité avec les élèves qu’elle veut aider à
trouver leurs voix au travers de l’écriture et de
l’action sociale. En 2014, Catherine Hart s’est
jointe à l’équipe de direction de la Seven Oaks
Teachers’ Association en qualité de présidente
du comité de l’équité et de la justice sociale. En
2015, elle est passée au poste de viceprésidente de l’Association. Avec la Teacher
Action Cohort (2014-2015) et la Teacher-Led
Learning Team (2015-présent) de la MTS,
Catherine Hart se joint à d’autres membres du
corps enseignant pour promouvoir l’équité et
l’inclusion en salle de classe.
L’enseignement de la justice sociale au cœur des droits des femmes
Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
Venir au Musée
Le Musée est situé au 85, Israel Asper Way, à
La Fourche, dans le centre de Winnipeg
(Manitoba), Canada. L’entrée principale se
trouve juste à côté d’un planchodrome et
d’une statue à l’effigie de Mahatma Gandhi.
L’entrée des groupes se situe au niveau des
feux de circulation où Mahatma Gandhi Way
et Israel Asper Way se rencontrent.
Adresse exacte :
Musée canadien pour les droits de la
personne
85 Israel Asper Way
Winnipeg (MB) R3C 0L5
Il y a des espaces de stationnement public avec
parcomètres autour du Musée. Le stationnement
est gratuit dans le secteur de La Fourche, mais limité
à trois heures. Il y a aussi des espaces de stationnement en face de l’entrée des groupes où le prix à la
journée est de 9 $.
Winnipeg Transit a 33 trajets d’autobus qui desservent le secteur de La Fourche et le Musée canadien
pour les droits de la personne. Avec des arrêts sur la rue Main juste à l’extérieur de la gare Union, sur
William Stephenson Way et sur Israel Asper Way, il est très facile de se rendre au Musée en autobus.
Utilisez Navigo, le planificateur de trajet en ligne de Winnipeg Transit, pour planifier votre trajet jusqu’au
Musée (http://winnipegtransit.com/en/navigo).
Les cyclistes trouveront des supports à vélo à l’entrée principale et à l’entrée des groupes.
OÙ ALLER ET COMMENT FAIRE À VOTRE ARRIVÉE
Lorsque que vous êtes devant le Musée sur Israel Asper Way, entrez par la porte de droite de l’entrée
des groupes, nous vous y accueillerons. Signalez votre présence à la sécurité, au comptoir. Nous irons
vous y retrouver.
Nous vous fournirons une lanière bleue que vous devrez garder sur vous lorsque vous serez au Musée.
Ces lanières vous donnent accès aux salles de classe, où les séminaires auront lieu, ainsi qu’aux
galeries. Nous vous demanderons de nous redonner les lanières à la fin de chaque journée. **Notez
bien que la lanière ne permet pas l’entrée aux expositions itinérantes. Pour visiter une exposition
itinérante, vous devrez payer les droits d’admission et de visite d’exposition temporaire normalement
prévus.
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À quoi s’attendre
R AMPES
Le Musée propose un parcours de l’ombre à la
lumière. Vous y entrez au niveau du sol, dans
un espace que l’on croirait souterrain. Vous
montez ensuite graduellement grâce à une
série de rampes inclinées, la lumière
augmentant au fur et à mesure. Le Musée
compte six niveaux d’expositions et 11 galeries.
On peut très bien faire un parallèle entre ce
parcours singulier et celui des droits de la
personne : les deux requièrent des efforts et
présentent bien des virages et des détours,
mais dans les deux cas, le fait d’aller jusqu’au
bout est très gratifiant.
Portez des chaussures confortables si vous
avez l’intention de marcher et gardez votre
appareil photo à portée de la main — la lumière
naturelle qui se mêle à l’albâtre recouvrant les
rampes séduit toujours les photographes.
Les photos sont permises, mais sans flash. Les
photos doivent être pour fins personnelles et
non commerciales. Les trépieds et les perches
à égoportrait (selfie-sticks) sont interdits.
la tour. En période de haute activité comme lors
des vacances saisonnières et des longues fins
de semaine, le temps d’attente peut être de
30 minutes ou plus.
ALIMENTS ET BOISSONS
Le restaurant ERA Bistro, situé au rez-dechaussée, offre des repas et des collations.
Il est interdit de manger et de boire dans les
galeries.
Vous pouvez sans problème boire et manger
dans la salle Bonnie & John Buhler et sur la
terrasse C au niveau 5.
Veuillez ne pas apporter d’aliments contenant
des noix au Musée.
La restauration sur place se fait par Era Bistro.
Toute restauration de l’extérieur est interdite.
Vous pouvez apporter un sac-à-diner.
FONTAINES À BOIRE
Il y a des fontaines à boire près des salles de
toilettes aux niveaux 1, 4, 5, 6 et 7.
ASCENSEURS
Si vous souhaitez voir une galerie en particulier
ou préférez ne pas emprunter les rampes, vous
pouvez utiliser l’ascenseur de la salle Bonnie &
John Buhler, qui s’arrête à chaque étage des
galeries, du 2e au 7e. Un autre ascenseur
accessible depuis le Jardin de contemplation au
3e étage permet de se rendre aux galeries
situées aux étages supérieurs ainsi qu’à la Tour
de l’espoir. Vous pouvez donc visiter les
galeries et la Tour de l’espoir comme bon vous
semble.
VISITE DE LA TOUR DE L ’ESPOIR ISRAEL ASPER
La Tour de l’espoir offre une vue panoramique
de Winnipeg. Vous pouvez vous y rendre en
utilisant l’ascenseur ou, si vous n’avez pas le
vertige, vous pouvez emprunter les escaliers en
colimaçon. La capacité de la Tour étant limitée
pour des raisons de sécurité, il est possible que
vous deviez attendre votre tour pour accéder à
HYPERSENSIBILITÉS ENVIRONNEMENTALES
Par respect pour les personnes ayant des
hypersensibilités environnementales, veuillez
éviter l’utilisation de produits parfumés.
TEMPÉRATURE
Habillez-vous chaudement. Pour répondre aux
exigences liées à la conservation des artéfacts
rares, le Musée exerce un contrôle étroit sur la
température et l’humidité dans l’ensemble de
l’édifice et des galeries d’exposition. En raison
de cette pratique muséale courante, vous
pouvez vous attendre à des températures
moyennes de 19 à 20 °C (66 à 68 °F). Nous
vous encourageons donc à apporter un gilet ou
un manteau léger au cas où vous en auriez
besoin pendant votre visite. Si vous oubliez,
veuillez garder à l’esprit que notre boutique
offre plusieurs choix élégants pour se garder
bien au chaud.
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Symposium sur les questions féminines de la FCE-MTS
EFFETS PERSONNELS
Des portemanteaux situés près de l’entrée des
groupes seront désignés pour votre groupe,
sans frais. Vous pouvez laisser vos manteaux
et vos effets personnels lorsque vous visitez les
galeries dans les salles de classe, elles sont
toujours fermées à clef.
Les sacs à dos sont interdits dans les galeries
et doivent être laissés dans les salles de classe.
Vous pouvez aussi laisser votre sac au vestiaire
près de la billetterie à l’entrée principale.
EXIGENCES PARTICULIÈRES
Le Musée est entièrement accessible. Si vous
avez des exigences particulières en plus de
celles indiquées au moment de la réservation,
veuillez communiquer avec nous au moins
24 heures à l’avance, pour que nous puissions
faire les préparatifs nécessaires.
Avant le début du programme, veuillez rappeler
à votre guide s’il y a des adaptations à faire
pour réduire la durée de la marche ou prévoir
des pauses assises.
CONCEPTION UNIVERSELLE ET ACCESSIBILITÉ
Nous avons travaillé fort pour rendre nos
expositions et nos programmes inclusifs et
accessibles à tous. Qui que vous soyez, vous
aurez pleinement accès au contenu du Musée.
Les rampes sont conformes au Code du
bâtiment et permettent de se reposer
régulièrement. Toutes les vidéos sont
accompagnées d’un sous-titrage visible,
d’audiovision et d’une interprétation en langage
gestuel (« American Sign Language » et langue
des signes québécoise). Vous pouvez vous
procurer un appareil mobile avec fonctions
d’accessibilité au service de billetterie et
d’information à votre arrivée ou demander de
l’aide à un membre du personnel afin que nous
puissions répondre à vos besoins.
Nous vous encourageons aussi à télécharger
l’application du Musée pour bénéficier d’un
« guide ».
ACCÈS WIFI
Il y a un accès wifi dans les salles de classe et
dans les galeries; vous n’avez pas besoin de
vous identifier.