Viva la vida ! CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE FRIDA KAHLO

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Viva la vida ! CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE FRIDA KAHLO
Viva la vida !
CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE FRIDA KAHLO
http://www.evene.fr/arts/actualite/centenaire-naissance-frida-kahlo-peinture-mexique-923.php
En associant son prénom au mot allemand “frieden”, son père espérait qu’elle incarne la paix. Ironie du sort, jusqu’à son
dernier soupir Frida Kahlo ne connaîtra pas un moment de répit à son martyre. “Un ruban autour d’une bombe”, ainsi André
Breton décrivait-il cette peintre résistante à tous niveaux, vivante dans notre mémoire comme l’une des figures les plus
emblématiques et attachantes de l’art du siècle dernier.
Elle se plaisait à faire croire qu’elle avait vu le jour le 7 juillet
1910, en même temps que l’insurrection zapatiste. Pas moins
enfant de la révolution, Frida Kahlo est en vérité née le 6 juillet
1907 dans les environs de Mexico à Coyoacan où ses parents
avaient édifié leur villa, la fameuse Maison bleue, sur le site
d’un ancien couvent.
Troisième fille de Wilhelm rebaptisé Guillermo Kahlo, un
élégant expatrié mi-allemand mi-hongrois parti récrire son
destin le plus loin possible de Baden-Baden, la petite Frida se
fait aisément pardonner son caractère turbulent par un père
conscient de l’éclatante intelligence de sa fille. De sang espagnol et amérindien, Matilde Kahlo met au monde sa quatrième
fille Cristina seulement onze mois après Frida. Autant dire qu’elle n’a guère connu le privilège d’être la cadette de la famille, et
de se faire choyer en conséquence. Toutefois la vie est douce sous le soleil de Coyoacan.
Un tramway nommé douleur
A six ans, Frida contracte une poliomyélite qui la cloue au lit pendant
quelques mois. Son pied droit hérite des séquelles de la maladie, lui
valant une démarche déséquilibrée et le sobriquet humiliant de “Frida
pata de palo” (“Frida jambe de bois”). La petite fille n’est cependant pas
de nature à se laisser abattre et en 1923, elle est l’une des rares reçues
à l’Ecole nationale préparatoire. Membre d’honneur des “Cachucas”, une
bande de révolutionnaires en culottes courtes pour qui l’activisme se
pratique à coups de farces, lors d’un de ses “attentats” potaches
Frida surprend Diego Rivera, monstre sacré de l’art mexicain, affairé
sur une fresque dans l’enceinte de son lycée. Très impressionnée
par son aura qui n’a d’équivalent que sa carrure, l’étudiante se
promet de conquérir le coeur du collectionneur de compliments et
de femmes. Pour l’heure, elle se contente de lui jouer des tours.
C’est probablement en chemin vers d’autres sabotages drolatiques que
Frida et son galant Alejandro Gomez Arias prennent le mauvais bus. Retrouvée à moitié nue parmi les débris du véhicule
réduit en miettes, le bas du corps de la jeune fille est transpercé de part en part, la collision entre le bus et le tramway n’ayant
pas laissé beaucoup de survivants. Miraculée mais prisonnière de corsets de plâtre qu’elle ne quittera que très rarement,
immobilisée pendant des mois, Frida supporte son calvaire à l’idée qu’Alejandro est vivant et qu’il l’attend. Jusqu’au jour où
elle pourra reprendre sa vie là où elle l’avait laissée, ses parents l’encouragent à s’occuper tant que ses mouvements le lui
permettent. A défaut de trouver les mots pour regagner l’amour de son ancien compagnon de crime, Frida peint un
autoportrait qu’elle envoie à Alejandro en 1926, un an après l’accident. Echo des supplices qu’elle essaye encore de masquer
sous des traits séduisants, la toile est sombre et paradoxalement animée par un sourire aussi impénétrable que celui de la
Joconde, et par le regard profond, mélancolique d’un sujet qui n’a pas fini d’endurer des épreuves. Elle les devine
manifestement.
Comme son état s’améliore péniblement, les Kahlo font installer un miroir au plafond de son lit à baldaquin pour que la
convalescente puisse décrire son propre reflet, un recours maintenu à chaque fois qu’elle sera condamnée à l’alitement.
Néanmoins Frida a toujours soutenu qu’étant le sujet qu’elle connaissait le mieux, se raconter en images tenait de la volonté
et non pas du dépit. Abandonnée l’idée de devenir médecin, l’art est une voie qui soigne à sa manière. Entre deux
toiles la frêle jeune fille se remet progressivement de ses blessures et clopin-clopant regagne la ville vers de
nouveaux combats à la hauteur de son énergie créatrice.
Amour de la révolution, révolution de l’amour
Déterminée à vaincre son traumatisme et si possible l’impérialisme des gringos
capitalistes, Frida Kahlo fréquente l’intelligentsia communiste de Mexico. En 1928,
elle recroise Diego Rivera lors d’une réunion chez la photographe Tina Modotti. Pas
timorée, elle invite le plus célèbre des peintres muralistes à lui donner un avis critique
sur son travail. Elle obtiendra de sa part une implication bien plus importante qu’elle
ne l’espérait. Le 21 août 1929, la “colombe et l’éléphant” sont unis par les liens d’un
mariage dont ils vont réinventer les règles, une valse aux accents de montagnes
russes qui les mènera de bras en bras, de hauts en bas ; la passion ou rien, Frida
Kahlo n’envisage pas sa vie autrement. Elle a 22 ans, lui 43.
Canaille et coquette, dès lors la mariée troque son uniforme de garçonne contre de
somptueux costumes traditionnels Tehuana. Ainsi parée de la tête aux pieds, en
accord parfait avec la “mexicanité” absolue prônée par sa chère moitié, la princesse
aztèque se donne en représentation, sublime et sacrée, sacrifiée. Tel un masque
raillant la dégénérescence, Carlos Fuentes évoque les vêtements mythiques de Frida
Kahlo comme “une façon de s’habiller pour le paradis, de se préparer à la mort.” (1)
Habits pour une cérémonie funeste ? Dans le sillage de Diego et de ses nombreux
contrats aux Etats-Unis, fragilisée physiquement et psychologiquement, en 1932
Frida doit se résoudre au deuil de sa mère et de deux grossesses qu’elle n’a pu mener à terme.
Cette suite d’événements dramatiques la plongent dans une dépression
qu’elle s’efforcera de conjurer en peignant des toiles morbides, hantées
par les fragments sanglants d’un squelette en ruine, matrice meurtrière
d’enfants qui ne naîtront jamais. Un mental d’acier dans un corps à
l’agonie, afin de soulager sa colonne vertébrale sous tuteur de plâtre, les
allers-retours à l’hôpital, évoqués dans ‘Henry Ford Hospital’ (‘Hôpital
Henry Ford’), sont invariablement entrecoupés de réalisations
salvatrices, de rassemblements politiques et de visites amicales entre les
rires et les larmes.
En janvier 1937 un convive de prestige débarque à Coyoacan : en exil
politique Léon Trotski et sa femme Natalia trouvent refuge à la Maison
bleue où ils demeureront deux ans. Le temps pour le leader politique de
goûter aux charmes de son hôtesse qui de cette manière rend la
monnaie de sa pièce à Rivera, maestro des liaisons extraconjugales. L’année suivante, André Breton profite d’un voyage au
Mexique pour rédiger un manifeste des artistes révolutionnaires avec Trotski. Dans la foulée, l’acteur Edward Robinson fait
l’acquisition de quatre toiles de Kahlo. Troublée car elle ne s’était jamais imaginée en tant qu’artiste professionnelle, elle est
conviée à New York pour sa première exposition personnelle à la Julien Levy Gallery, puis à Paris en 1939, mais la belle ne
se plaît pas parmi les dandys bavards et prétentieux de la capitale française. Elle refuse surtout qu’on assimile son travail au
mouvement surréaliste. De retour à New York où elle apprend que son amant Nickolas Muray s’est fiancé en son absence,
Frida Kahlo s’en remet à Mexico et à son mari fidèle à l’infidélité.
Confession d’un masque
A la fin de l’année Rivera et Kahlo décident de mettre un terme à la
mascarade de leur union. La ballade de la dépendance sentimentale
cherche un sevrage avec l’alcool. Portraits de Dorian Gray dédoublés, les
ex-voto de Frida portent les stigmates du spleen ajouté aux dommages
physiques, une introspection intimement liée à l’univers symbolique
aztèque. Aussi l’artiste se figure-t-elle comme un élément d’un cosmos
dual, notamment avec ‘Las dos Fridas’ (‘Les Deux Frida’), où selon un
principe de mort irréductible au principe de vie, chaque entité dévore
inlassablement sa contrepartie. Otages d’un cycle érotique, animalité et
humanité se confondent dans une nature luxuriante. Aussi se met-elle en
scène, déchirée entre sa terre natale et le géant américain, au centre de
‘Autorretrato en la frontera entre México y Estados Unidos’ (‘Autoportrait à
la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis’).A ce titre, Carlos Fuentes
avance que “Frida est l’un des plus grands interprètes de la douleur, dans un siècle
qui n’a peut-être pas connu davantage de souffrances mais vécu plus que jamais
auparavant une forme de souffrance injustifiée.” (2)
Ramenée à une réalité toujours plus tourmentée, son ami Léon Trotski est
assassiné par l’une de leurs connaissances en mai 1940. N’ayant rien à perdre, elle rejoint Rivera à San Francisco où leurs
secondes noces scellent le cours d’un destin en sursis. Trois ans plus tard, en devenant professeurs à La Esmeralda, l’école
d’arts populaires de Mexico, le couple met en pratique un souhait de longue date de participer à la revalorisation des trésors
folkloriques du Mexique.
Entre 1946 et 1953, portraits et opérations chirurgicales de la colonne
vertébrale (son corps en aura enduré plus d’une trentaine) partagent les
peines et les joies de Frida Kahlo.
Lors de sa première et dernière exposition à Mexico, le 13 avril 1953 à la
galerie Lola Alvarez Bravo, on doit l’emmener au vernissage en
ambulance et l’allonger dans son fidèle lit à baldaquin installé sur place
pour l’occasion. Augure d’une veillée funèbre, en silence les invités
défilent pour encourager l’artiste. L’état de santé de Frida s’aggrave
rapidement. Déjà privée de trois doigts de pieds à la jambe droite, les
médecins décident de l’amputer jusqu’au genou. La gangrène a-t-elle
atteint son esprit, à l’exception de son ‘Journal’ et de quelques natures
mortes qualifiées de “vivantes”, Frida Kahlo arrive à peine à peindre,
affaiblie par les doses de morphine qu’elle absorbe en grandes quantités.
Aussi malade que l’est son pays, en juillet 1954 elle participe à une
manifestation politique en chaise roulante, dernier élan vital avant de rendre l’âme le 13 juillet, officiellement à la suite d’une
embolie pulmonaire, officieusement le saura-t-on jamais...
Envolée la colombe ? La délivrance s’est encore fait attendre : à l’image de sa vie tumultueuse, les derniers hommages
rendus à Frida Kahlo furent tout aussi agités. Avant que la dépouille ne soit incinérée, Diego Rivera place un drapeau orné de
la faucille et du marteau sur le cercueil de sa bien-aimée, valant au directeur des beaux-arts où se déroulait la cérémonie un
renvoi immédiat. La lutte finale a un goût d’ultime farce, “que sera sera”, paix à la camarade Frida.
(1) : Carlos Fuentes in ‘Le Journal de Frida Kahlo’, éditions du Chêne, Paris, 1995.
(2) : Ibid
Caroline Bousbib pour Evene.fr - Août 2007
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l'existence de Frida peintre, Frida engagée, Frida malade, Frida amoureuse des hommes mais aussi des mots... avec la
douleur que cet amour suppose.
Informations [pratiques]
Traduit de l’espagnol par Christilla Vasserot
Prix éditeur : 28 euros - Prix Fnac : 26.6 euros
ISBN : 9782267019353
410 pages
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Portraits [et interviews]
CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE FRIDA KAHLO
Viva la vida !
En associant son prénom au mot allemand “frieden”, son père espérait qu’elle incarne la paix. Ironie du sort, jusqu’à son
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Les extraits de "Frida Kahlo par Frida Kahlo"
La première phrase
J'avais souri. Rien d'autre. Mais la clarté fut en moi, et dans les profondeurs de mon silence.
Morceau choisi
Je te laisse deviner mon angoisse de n'avoir pas su comment tu allais, ni ce jour-là ni le lendemain. Après mon opérationj'ai
vu débarquer Salas et Olmedo. Quel plaisir de les voir ! Surtout Olmedo, je t'assure. Je leur ai demandé de tes nouvelles et
ils m'ont répondu que c'était douloureux, mais rien de grave. Tu n'imagines pas commej'ai pleuré, Alex, en pensant à toi, et
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- chapitre : Lettres à Alejandro Gomez Arias - page : 43 - éditeur : Christian Bourgois - date d'édition : 2007 Voir tous les extraits
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gondoles, et les nouveaux venus - moins nombreux cette année -, la concurrence promet d'être rude avant la remise des
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Seule au milieu d'un monde artistique dont elle n'accepte pas les règles, Frida Kahlo rêve de son Mexique qui ne la quitte
jamais. Transportés par ses toiles, ses souvenirs lui reviennent avec violence. Avant l'heure du vernissage, elle les
rassemble et nous les offre avec passion. Ils sont les clefs de sa peinture faite de cette rage du vrai qui la traverse, de ses
souffrances, de ses joies et de ses illusions. Frida Kahlo regarde sa vie avec lucidité et la transpose dans une oeuvre qui
marque pour toujours le monde des arts.
De et avec Lupe Velez
Interprétation danse de Balkis Moutashar et Rosa Cadima

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