débuter dans l`aéromodelisme

Débuter dans le modélisme
Version a0.1 - 03 mars 2002
vant toutes choses, je tien à préciser l'esprit dans lequel a été rédiger cette article : je ne désire en aucun polémiquer sur le bien fondé ou non de débuter seul. Je ne tiens pas non plus à effrayer les futurs pilotes par les
sommes évoquées à titre informatif. Comme je le répéterais, il s'agit de budgets moyens, à replacer dans le contexte
(la plupart du matériel acheté vous suivra toute votre vie. Et enfin, ne pouvant que me baser su ma propre expérience
limitée à l'électrique, je m'appuierai sur les témoignage d'autres pilotes pour la partie " Thermique " qui sera plus
brièvement abordée.
Tous les prix sont donnés à titre indicatif.
Cette version sera complétée au fur et à mesure. Vous pouvez librement diffuser ce document sans en altérer le contenu ou la forme. Merci de respecter le travail de l’auteur.
A
Thierry Moens
rue du Manil 13
B- 1301 Bierges
Belgique
[email protected]
http://th.modelisme.com/
1. Notions de base
Piloter un avion radio commandé consiste à utiliser un émetteur qui transmettra les ordres à l'avion via un appareillage électronique spécifique.
1.1 L'avion
Un avion est constitué de parties fixes (fuselage, ailes, empennage) et de partie mobiles appelées gouvernes. On dirige
l'avion par l'action effectuée sur les gouvernes.
1.1.1 La gouverne de profondeur
La gouverne de profondeur est située sur la queue de l'avion. Son fonctionnement est relativement simple : dirigée ver
el haut, l'avion monte ; vers le bas il descend.
1.1.2 La gouverne de direction
Située perpendiculairement à celle de profondeur, son fonctionnement est similaire.
1.1.3 Les ailerons
Sur les avions " 2 axes " on ne retrouve pas d'ailerons ; sur les " 3 axes ", couplé à la gouverne de direction, ils permettent de faire tourner l'appareil. Ceux-ci sont situé sur l'arrière de l'aile. Le Fonctionnement est asymétrique : quand
l'un se lève, l'autre descend.
1.2 L'équipement radio
1.2.1 L'émetteur
Aussi appelée " radio " ; il s'agit en fait du " tableau de bord " de votre avion. Vous y trouvez les 2 manches, les trims
(on y reviendra plus loin) et les interrupteurs d'inversion du sens de fonctionnement des servos.
Les manches sont le " volant " et le "pédales " de votre avion.
C'est caractéristiques sont communes à tous les émetteurs destiné à l'aéromodélisme. A elles seules elles suffisent à
piloter un avion de base.
Le prix des radios augmente en fonction des options techniques proposées : mixage, réglages divers, nombre de
voies, mémoires…
1.2.2 Le récepteur
Complément essentiel de l'émetteur, il est embarqué dans l'avion et recevra les ordres que vous aurez communiqués
via les manches de l'émetteur. Cet émetteur est alimenté en courant par une batterie. Il se charge de recevoir les
ordres et de les dispatcher aux servos.
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Moens thierry 03.03.2003 - tous droits réservés - [email protected] - http://th.modelisme.com/
1.2.3 Les servos
Ce sont de petits boîtiers (souvent noir) contenant un moteur de précision et un petit circuit électronique. Ce sont eux
qui actionneront les gouvernes en fonction des ordres transmis par le récepteur.
2. Seul ou en club ?
Faire voler un avion nécessite certaines aptitudes, beaucoup de patience, de l'expérience et quelques notions
physiques. Il est donc plus que vivement recommandé de se faire aider et de suivre un apprentissage dans un club
auprès de pilotes expérimentés.
Apprendre seul c'est être prêt à perdre son avion au premier vol et tout l'argent investi dedans. C'est aussi ne pas parvenir à progresser et être dégoûté du modélisme. C'est aussi prendre le risque de blesser quelqu'un. Rien que pour
cette dernière possibilité, l'adhésion à un club devrait être un réflexe (elle comprend la licence, l'utilisation du terrain
et de ses infrastructures, une assurance). De plus vous verrez qu'on s'ennuie très vite tout seul dans sa prairie…
Vous avez décidé d'aller dans un club ? Bravo !!!! Allez directement sur le site de la Fédération Française d'Aéro
Modelisme (FFAM) et cherchez le club le plus près de chez vous.
Vous voulez débuter seul ? à vos risques et périls… et lisez bien la suite
3. Le choix du modèle
Vous décidez de débuter seul : oubliez déjà tout ce qui est avion à moteur thermique : difficile à régler, vitesse de vol
plus élevée, utilisation non appropriée pour les débutant. Vous devez donc choisir un avion à propulsion électrique ou
un planeur.
remarque : je parle d'avion car à mon sens (et beaucoup partagent mon avis) l'hélicoptère, complexe à faire voler et à
régler, est à réserver uniquement à un apprentissage avec moniteur…
3.1 L'avion électrique et son matériel
Un avion de début possède les caractéristiques suivantes :
-aile haute : gage de stabilité du modèle
- envergure limitée : +/- 1m
- vitesse d'évolution lente (et encore vous verrez, c'est très rapide !)
Les avions répondant à ces caractéristiques portent le nom générique de " trainer " et sont spécialement prévu à l'apprentissage, ce qui n'empêche que beaucoup de pilotes vole encore avec plusieurs années durant.
Vous voilà déjà déçu : et non débuter avec un Spitfire, Tomcat et autres Concorde n'est vraiment pas conseillé et qui
plus est dangereux ! Mais une fois dégrossi, vous pourrez passer à un modèle de transition et puis à votre coucou de
rêve.
Pour voler il vous faut :
- l'avion
- la radio
- un quartz d'émission
- un quartz de réception
- un récepteur
- 2 à 4 servos suivant le modèle
- le moteur
- l'hélice
- le variateur
- un accu de propulsion
- le chargeur
Certains fabricants proposent des " package " complet contenant tout le nécessaire pour démarrer : notons le Pico Cub
de Multiplex et le Twinstar du même fabricant.
Il faut compter un budget de 300 à 500 euros suivant les options retenues.
Signalons que beaucoup d'avions électriques de début sont en polystyrène ou mieux en epp. Gage de réparation facile
et rapide alliés à une solidité à toute épreuve.
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Moens thierry 03.03.2003 - tous droits réservés - [email protected] - http://th.modelisme.com/
3.2. Le planeur et son matériel
Un planeur de début est défini comme suit :
-envergure de 1m50 à 2m
- aile " haute "
Pour la mise en altitude, plusieurs solutions se proposent à vous suivant le modèle choisi :
- le remorquage : le planeur est remorqué par un avion et lâché à l'altitude voulue…
- le treuillage : un treuil tire le planeur et le largue quand celui-ci à atteint l'altitude maximum
- le catapultage : on utilise un sandow pour catapulter l'avion et lui donner une grande vitesse puis le faire monter à la
hauteur la plus haute possible
- le sandow " classique " : on utilise un long sandows suivi d'un long fil de pêche qui permettent d'emmener le planeur
assez haut.
- le lancé main : réservé à des planeurs conçu pour, il on lance le planeur de manière forte à la main, celui monte à
10-15m.
- Le moteur électrique : un petit moteur électrique monté dans le nez ou sur un pylône, tracte le planeur jusqu'à son
altitude d'évolution.
La dernière solution est de loin la plus répandue sur les modèles de début ainsi que celle du sandow. Le lancé main
est également un bon choix pour débuter mais possède un vol court (40secondes) avant de parvenir à optimiser
celui-ci.
Le matériel nécessaire est quasi identique à celui de l'avion électrique, à cela près, qu'il faut adapter suivant son choix
de mise en altitude.
De nouveaux, certains fabricants proposent des packages : citons le Silence de Robbe (140euros auxquels il faut
rajouter un chargeur).
Comme pour les Avions, il existe des planeurs en polystyrène (le silence en est un) et en epp ( le Peewee de Combat
Air Model).
3.3. La radio
Le choix de la radio est aussi important que le choix de l'avion… La radio étant utilisable pour d'autres avions il est
nécessaire de la choisir avec soin.
Le critère déterminant est : " allez vous ensuite acheter un autre avion, hélico ou autre ". Si vous répondez par la négative ou le doute à cette question, une radio de base " 4voies " suffira (exemple : Futaba Skysport 4). Si vous désirez
par la suite passer à des modèles plus complexes ou à l'hélico, il est peut-être judicieux de s'orienter vers des radios
programmables à l'investissement plus lourd mais qui pourra vous suivre tout au long de votre carrière modéliste (ou
d'où moins durant de nombreuses années). Je ne vous conseillerais pas tel ou tel modèle, à vous de vous renseigner
et vous documenter.
3.5. Derniers conseils
Je ne saurais trop que de vous conseiller de bien vous renseigner avant d'aller acheter votre avion : les vendeur sont
souvent compétent et avares de conseils mais on ne sait jamais. Regardez bien tout ce qu'il existe, surfez sur les
magasins on-line, assommez votre vendeur de questions, prenez le temps de la réflexion. Quand on est débutant il est
préférable de choisir un magasin pour la compétence du vendeur plutôt que pour ses prix… vous verrez qu'il est
agréable d'avoir quelqu'un à qui montrer son avion en cas de problème !
Demandez toujours à voir le contenu des boîtes avant d'acheter (surtout dans le cas des kits pré assemblés) : vérifiez
qu'il n'y a pas de défaut… (Observez que l'aile ne présente pas de gauchissement). Faites-vous expliquer le montage
ou l'utilisation des différents composants.
4. La construction
Ca y est : vous êtes l'heureux propriétaire d'un avions en pièces détachées ou, pour les plus courageux, d'un fagot de
bois.
Commencez par installer un plan de travail dont la taille sera fonction de celle des éléments à assembler. Ouvrez les
boîtes, vérifiez que le contenu correspond bien à ce indiqué ; re-vérifiez que les éléments fournis ne présente pas de
défaut. Sortez les notices des boîtes fournies avec, lisez et re-lisez les. N'hésitez pas à surligner les étapes importantes.
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Moens thierry 03.03.2003 - tous droits réservés - [email protected] - http://th.modelisme.com/
4.1 Construisez….
Suivez les plans et notices fournies…tout devrait bien se passer. Respectez biens les valeurs indiquées !
4.3 Inspection
Vérifiez (toujours et encore) que toutes les gouvernes s'actionnent librement. Testez les différentes fixations. Faites
attention à ce qu'aucun élément ne se ballade : n'hésitez pas à coller et recoller (sans exagérer tout de même).
4.2 Installation radio
Faites avant toue un montage à blanc or de l'avion.
Connectez tous les éléments comme indiqué en respectant bien les polarités ( !)…
Ne collez pas l'accu ! Collez lui une bande velcro et son opposé dans l'avion ce sera plus pratique.
4.4 Equilibre
Afin de voler, votre avion doit être équilibré. C'est une opération simple mais indispensable.
La valeur du centre de gravité est indiquée dans la notice de votre avion, il est impératif de la respecter.
Un doigt en dessous de chaque aile à la hauteur du centre de gravité ; soulevez l'avion ; l'assiette doit être horizontale,
légèrement en avant (5°). Pour obtenir la bonne valeur, déplacez l'accu (d'où l'utilité du velcro). Si vous ne pouvez
plus le déplacer…essayez en rajoutant du plomb (à déconseiller car alourdi l'avion inutilement).
Essayer de respecter la masse donnée par le fabricant…avec une marge de 10-15% en général. Si vous arrivez plus
léger c'est impeccable, plus lourd les performances seront moins bonnes.
4.5 Réglage
Allumez l'émetteur puis le récepteur de l'avion (sans hélice, c'est plus prudent), vérifiez que les débattements sont
conforme à ceux prescrits dans le mode d'emploi. Inverser la course des servos si nécessaire.
Tenez-vous derrière l'avion :
-Profondeur : manche vers le bas, gouverne vers le haut et vice -versa
-Direction : manche à gauche, gouverne à gauche
-Ailerons : manche à gauche, ailerons gauche en haut, droite en bas.
-Gaz : manche en bas moteur coupé.
5. Le premier vol
Allez au club !....ah oui, vous voulez apprendre seul, c'est vrai.
5.1 Chargement de la voiture
Faites vous un check-list de ce que vous avez besoin ( radio, avion, de quoi réparer etc.)
Chargez tout dans la voiture, bloquez tout le spièces fragiles afin d’éviter les mauvaises surprises dûes au transpor tet
dirigez vous vers votre terrain d'évolution.
Attention : n'oubliez pas de charger votre radio et votre accu de réception la veille et ce, durant toute la nuit si nécessaire ! Il est impératif que le tout soit chargé correctement !
5.2 Le terrain
Il faut un endroit dégagé, vierge de tout obstacle. La superficie sera d'au moins un terrain de foot pour la zone que
nous appellerons " possible à l'atterrissage ". Mais la zone d'évolution devra être beaucoup plus grande ( le double
voire le triple)… plus c'est grand, au mieux c'est.
Le terrain idéal sera sans pente et avec des herbes hautes.
Si le terrain est impraticable pour l'atterrissage et que votre avion possède un train, retirez le et faites le atterrir sur le
ventre.
5.3 Les conditions climatiques
Choisissez un jours sans vent. L'absence de soleil sera un plus : on est vite ébloui ! Dans le cas contraire, prévoyez
des lunettes de soleil.
Repérez d'où vient le vent éventuel en lançant des touffes d'herbes en l'air (folklorique mais efficace).
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5.4 Le premier départ
Montez votre avion, vérifiez tout en utilisant la check-list ci-dessous sans omettre aucune étape :
-Accus chargés
-Rien ne bouge dans l'avion
-Interrupteurs ouverts
-Débattements des gouvernes dans le bon sens et normaux
-Moteurs fonctionnels
Si vous avez répondu Ok à tous les points sus cité, le moment est venu :Premièrement, respirez, calmez vous…
Une chose à retenir : on décolle et atterri toujours face au vent !
5.4.1 Avions
Saisissez l'avion par son fuselage, au niveau des ailes ; portez le au-dessus de la tête, mettez les gaz au 1/3, lancez à
plat, sans touchez à la profondeur et la direction, et posez le un peu plus loin en réduisant les gaz, bien dans l'axe.
5.4.2 Planeur
Saisissez l'avion par son fuselage, au niveau des ailes ; portez le au-dessus de la tête, lancez à plat, sans touchez à la
profondeur et la direction, et posez le un peu plus loin, bien dans l'axe.
5.4.3 Sandow
5.5 Premiers tours
Si tout s'est bien passé, corriger éventuellement aux trims si l'avion/planeur part à gauche ou à droite, de même si il a
tendance à piquer ou cabrer. Recommencez 2-3 fois le même lancé avec vol en ligne droite. Ensuite, mettez un peu
plus de gaz ; vous pouvez tenter votre premier virage :
-avions 2axes : actionner la direction doucement, laisser l'avion pencher à 20° d'angle maximum et compenser simultanément la perte d'altitude à la profondeur.
-avions 3 axes : actionner les ailerons doucement, laissez l'avion prendre 20° d'angle maximum et actionnez la profondeur
Pour sortir du virage il suffit de faire l'inverse.
Faites 2-3 tours du terrain en essayant de monter (pas trop fort sinon l'avion décroche).
Une fois cela fait, redescendez, mettez vous face au vent et atterrissez ! (Bonne chance).
5.6 fin de séance
Après votre séance, vérifiez que rien n'a bougé, nettoyez . Déchargez vos accus si ce sont des Ni-Cd, ou rechargez-les
si ce sont des Ni-mh
6. La suite
7. Dico
Aérofreins : (AF), volets situé sur les ailes et permettant de casser la portance de celles-ci dans le bu de récupérer un
modèle pris dans un une trop grosse ascendance ou de réduire la distance nécessaire à l'atterrissage. Les AF fonctionnent en " tout " ou " rien " et de manière symétrique.
Accus : accu; accumulateur, source d'énergie électrique pour la réception ou la motorisation; caractérisé par son
intensité en V (Volt) et sa capacité en A (Ampères); aussi défini par le nombre d'éléments qui le composent.
Arrondi : action de cabrer l'avion juste avant que les roues touchent le sol afin de réduire la vitesse du modèle.
Axe : désignation d'une fonction directionnelle pilotable ;
- 2axes : profondeur/direction ou profondeur/ailerons
- 3axes : profondeur/direction/ailerons
- 4axes : profondeur/direction/ailerons-flapailerons
BEC : Battery Eliminator Circuit ; dispositif électronique implémenté au sein des récepteur et permettant de préserver
assez d'énergie que pour assurer la réception dans le cas d'utilisation d'une batterie commune pour assurer la récep-
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tion/motorisation.
Dérive : gouverne verticale, située sur la queue de l'appareil permettant de jouer sur la direction horizontale. Unique
moyen de faire virer le modèle sur les 2axes.
Epp : polypropylène expansé ; mousse déformable de grande résistance aux chocs surtout utilisées sur les pss de
combat et certains modèles de début.
combat : séance de vol ou le but est de de toucher l'autre ou de couper la banderole qu'il tire. Effectué avec des
avions (vcc ou r/c) ou planeurs (en pente).
pss : semi maquette d'avion dépourvu de moteur afin d'évoluer en vol de pente
inter : raccourci désignant un " interrupteur " pilotant une voie " tout " ou " rien " depuis l'émetteur
mixage : dispositif électronique ou mécanique permettant de mixer plusieurs voies ensemble (exemple : pour des
ailerons avec 1 servo / aileron, il faut mixer afin que les servos fonctionnent de manière asymétrique)
Quartz
Flaps
Servo
Stab
Trim : curseur permettant de régler le neutre des gouvernes depuis l'émetteur. Très facile pour corriger un léger défaut
de l'avion. Les Trims se situent autour des manches.
voie :
VDP : vol de pente ; technique de vol où l'on utilise la poussée verticale fournie par le vent lorsqu'il rencontre en relief.
On parle alors de vdp dynamique en opposition du vdp thermique où par l'absence de vent on profite des ascendances crée par l'air chaud montant.
8. annexes
8.1. La radio commande
Portée générale 4km
8.2 Aérodynamisme notions
8.3. Le vol de pente
8.4. Les catégories de concours
Catégories FAI officielles
Vol Circulaire
Vitesse (F2A)
Acrobaties (F2B)
Course par équipes (F2C)
Combat (F2D)
Voltige radioguidée (F3A)
Planeurs radioguidés "3 épreuves" (F3B)
Hélicoptères radioguidés (F3C)
Course aux pylônes radioguidée (F3D)
Planeurs remorqués (F3I règles provisoires)
Planeurs radioguidés de durée (F3J)
Maquettes radioguidées(F4C)
Vol électrique radioguidé (F5B)
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Catégories nationales
A côté des catégories officielles de la FAI, la LBA reconnaît aussi les catégories suivantes pour la pratique purement
nationale. Ces catégories sont suivies par l'AAM
Voltige radioguidée Inter B, National et Sportsman
Voltige radioguidée Grands Modèles ("F3A-X")Inter, National et Novice
Hélicoptères radioguidés Sport et Light
Course aux pylônes radioguidée Club 20 et Quickie 500
Vol électrique 10 Cellules et 7 Cellules
Portage Planeurs
Parachutisme radioguidé
Maquettes à réaction "Sport Jets" ("F4J")
8.5. Les matériaux usités dans le modélisme
balsa
dépron
poly
fibres de verre
fibre de carbone
fibre kevlar
résines
colles
contreplaqué
8.6 Les servos
8.7 Les accus et leur charge
9. liens
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