LA GALERIE D.X EST AU CAP FERRET ! SUMMER EXHIBITION LA

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LA GALERIE D.X EST AU CAP FERRET ! SUMMER EXHIBITION LA
COMMUNIQUE DE PRESSE - JUILLET 2012
LA GALERIE D.X EST AU CAP FERRET !
SUMMER EXHIBITION
2 EXPOSITIONS
14 / 22JUILLET / VERNISSAGE LE SAMEDI 14 JUILLET A 18H
12/ 26 AOUT / VERNISSAGE LE MARDI 15 AOUT A 18H
LA GALERIE D.X
Située en plein cœur de Bordeaux, proche des allées de Tourny et du Grand Théâtre, la Galerie D.X est un
magnifique espace artistique, devenu en quelques années la référence auprès des amateurs et des passionnés
d’art contemporain.
La galerie propose des expositions temporaires de grands artistes internationaux (Richard Texier, Antoni Clavé,
Antoni Tapies, Vladimir Velickovic, Zao Wou Ki, ...ect) et de jeunes plasticiens (Sarah Garzoni, Pedro Marzorati,
Gwen Marseille...etc), également soutenu à l’occasion de foires internationales comme, Drawing Now, salon du
dessin contemporain, Show OFF…
Parallèlement à ces expositions personnelles, la galerie dispose en permanence d’un grand choix d’œuvres
originales et d’estampes de signatures contemporaines (Philippe Pasqua, Kimiko Yoshida, Antoine Schneck,
Sênet, Alain Ballereau, Philippe Croq, Sylvain Polony, Paul Alexis, Tony Soulié, Mozart Guerra, …etc)
/ SUMMER EXHIBITION : LES ARTISTES EXPOSES
Alain Ballereau
/ Né à Paris en 1956
Diplômé de l’école des Arts
Appliqués et des Métiers
d’Art
de
Paris.
De
nombreuses
expositions
personnelles
lui
furent
dédiées depuis 1990 à Paris,
à l’espace culturel Paul
Ricard, la galerie Claudine Legrand, mais aussi à la galerie
Kandler à Toulouse, à l’Ancien Carmel de Tarbes… Il vit et
travaille dans le Tarn et Garonne, depuis 1991.
Son support modeste, le kraft marouflé devient matière
exceptionnelle et vibrante sous les jus d’acrylique. Alain
Ballereau peint des signes-objets évanescents, qui
s’éparpillent dans de grands damiers à douze cases pour
bientôt s’estomper, laissant place à l’ampleur du paysage
abstrait. Récemment des troncs s’imposent en ligne de force
sur fonds vibrant.
Francois Bard
/ Né en 1959
travaille à Paris
vit et
Tout, dans la peinture de
François Bard, combine une
observation aiguë de notre
époque et une mythologie
personnelle. A mi-chemin entre
la grande tradition picturale et
un univers fortement cinématographique, l'artiste campe un
monde profond et intimiste. Telle un clair-obscur, sa
technique déploie un chromatisme flamboyant et sourd à la
fois. Sa peinture fine et vieillie, évoque une fresque, toute
contemporaine, une manière pour l'artiste d'interpréter sa
vision de la Vanité.
La profondeur de ses sujets laisse penser à une toile traitée
comme un écran de cinéma, noir, intense, propice à la mise
en abîme. Le vocabulaire de François Bard puise du côté des
héroïnes de David Lynch, des gueules cassées de Martin
Scorcese et, plus généralement, des grands road movies à
l'américaine. Grands formats et cadrages photographiques
obligent le spectateur à la confrontation. Ses personnages et
ses paysages, bien qu'étrangers, nous paraissent
étonnamment familiers.
Le travail de François Bard est rebelle à toute forme de
catégorie; ses toiles se jouent des codes de la narration et
manipulent à souhait notre regard.
Jorge Enrique
/ Né à la Havane en 1960, vit
et travaille à Miami.
Dans mes travaux récents, les
images résultant d’un ordre
nouveau obtenu en
juxtaposant les flashes de ma
réalité visuelle quotidienne - les
marques et les paysages
urbains qui m’entourent. J’ai
sillonné les rues du quartier de Wynwood où je vis à Miami.
Là, j’ai pris des« empreintes » directement sur place. De
retour à mon atelier, je les ai déchirés et réassemblées, dans
la recherche d’un nouveau sens, d’une nouvelle réalité.
Déconstruire ces images m’a mené vers un nouvel ordre
visuel, un territoire à explorer, comme les fondations d’une
nouvelle maison. Chromatiquement, je poursuis mon cycle,
avec une palette très contrôlée, faite de peu de couleurs aux
tonalités très riches.
Ici, la narration se révèle comme une série de bandes
d’informations, un film fait de ces milliers de bouts d’images,
de données et d’objets qui nous entourent et que nous
devons traiter puis classer.
Voilà qui nous parle de notre temps, des lieux que nous
habitons et nous invite à considérer notre environnement
dans une approche radicalement nouvelle."
Philippe Pasqua
/ né à Grasse, France, en
1965
Philippe Pasqua, artiste
autodidacte, se distingue par un
goût du monumental et une
attirance pour ce qu’il y a de plus
vulnérable : les corps et les visages,
avec parfois ces différences
stigmatisantes que l’artiste, au
travers de sa peinture, reprend à son compte et magnifie :
portraits de transsexuels, de trisomiques ou d’aveugles…
Handicaps, différences, obscénité ou sacré : chaque toile est
le fruit d’une lutte, d’une tension entre ce qui est montrable
et « toléré » et ce qui est socialement refoulé ou occulté.
Sa peinture on la reçoit comme un choc physique mais aussi
comme une vision à la fois explosive et incisive. L’amplitude
des gestes de l’artiste — une danse où alternent brutalité et
finesse, transe et lucidité —, commande le format
monumental de ses toiles. Philippe Pasqua débute ses toiles
en peignant des sortes de fétiches ou d’énigmatiques
silhouettes évoquant le vaudou. Puis, peu à peu, son regard
se tourne vers celles et ceux qui l’entourent. Il s’immisce dans
les plis et replis de l’intimité de ses sujets et va, jusqu’au
tréfonds de leur être.
Mozart Guerra
/ Né à Recife, Brésil, en 1962
Après des études en architecture à
l’université
fédérale
de
Pernambouc et l’obtention de son
diplôme en 1986, Mozart Guerra
travaille comme décorateur pour le
théâtre, le cinéma et la télévision
au Brésil et parallèlement il
commence à développer son travail
de sculpteur.
« L’élément initial qui a influencé mon travail de sculpteur est
indissociable de mes origines brésiliennes. L’art populaire
brésilien (personnages de carnaval, jouets populaires..) réalisé
avec des matériaux simples illustrant un imaginaire ludique,
métissé et parfois irrévérencieux, a profondément nourri mes
réalisations. J’utilise pour le « cœur » de mes sculptures, des
matériaux tels que la résine et le polystyrène, je reste, pour
leur habillage, volontairement attaché à d’autres matériaux
traditionnels détournés de leur usage habituel : cordages,
épingles… Ainsi se perpétue le lien de mes racines
conjuguées aux possibilités contemporaines de la libre
expression. »
Sylvain Polony
/ né en 1973
Sylvain Polony fait partie de la
génération d’artiste qui se plait
à expérimenter de nouveaux
matériaux afin d’ouvrir à la
création des voies inexplorées.
Architecte de formation, il utilise ainsi l’aluminium comme
support, sur lequel il laisse glisser des coulées de laque
glycéro. On l’aura compris la peinture de Sylvain Polony est
une peinture abstraite : la question du sujet lui est en fait très
vite apparue totalement vaine: pour l’artiste l’œuvre
artistique n’a pas besoin de justification par le « sens », mais
doit se suffire à elle même, par son esthétique, sa matérialité,
son évidence, sa capacité à provoquer une émotion. Par
ailleurs l’abstraction est pour cet artiste une manière
d’exprimer son identité propre, sans contrainte autre que
celle que l’on se fixe à soi même.
Le travail de Sylvain Polony est à la foi authentique exigent et
sans concession : élaboration programmatique, quasi
conceptuelle de chaque série de tableaux, et hasard, hasardaccident du geste, de la coulure (hasard signifiant? ) donnent
à l’ensemble de son œuvre une cohérence plastique
saisissante.
Cette exposition estivale proposera également une sélection d’estampes de :
Godwin Hoffmann / Richard Texier / Tony Soulié / Vladimir Velickovic / Zao Wou Ki
ACTUELLEMENT A LA GALERIE
« DE MUSICA RERUM » jusqu’au 30 juillet
Philippe CROQ et GAUTHIER
Philippe CROQ
« J’utilise en première matière, des fragments de ma
mémoire, de mon identité, de l’identité de l’autre…
existence, racines, famille, mémoire, filiation, lieux de vie
voilà ce qui me préoccupe… avec en question de fond :
comment faire surgir la vérité sans le réalisme. Cette œuvre
aérienne, pure, infiniment subtile ou l’incertitude d’être, et
l’aléatoire sont très présent est à la recherche du mystère de
la vie ou de la survie.
La technique est mixte, papier/ bois/ crayon / encre /
acrylique.
GAUTHIER se libère en 2009 de toute contrainte
technique, dessine et réalise la première sculpture
"Matrice". Enfermé dans son bureau-atelier, il calcule les
résistances des matériaux. éprouve aluminium, inox,
caoutchoucs.
De cette quantité de rencontres, de recherches, apparaît le
mécanisme souple et articulé, montable et démontable à
l'infini. les mouvements sont alors rendus possibles.
Fortement Inspiré par la bande dessinée, un projet fou et
génial, entre rêve et bande dessinée, se réalise : « L’armée
sans ennemis ». Elle est composée de 65 mutants pacifistes
de verre et d’aluminium.
L’artiste, par cette conjugaison de verre et d’aluminium, se
démarque, la singularité des créations de Gauthier offrent,
aussi, une maîtrise parfaite de son art : le verre et le cristal
soufflé.
Nous voici témoin de cette aventure verrière, tant pour
l’histoire de ces guerriers amphibiens que pour l’esprit
innovant de leur créateur.
HORS LES MURS
« Carte blanche à la Galerie D.X » jusqu’au 22 juillet
Institut Culturel Bernard Magrez
Jacqueline Devreux / Sarah Garzoni / Philippe Pasqua/ Antoine
Schneck / Kimiko Yoshida
GALERIE D.X
JUILLET / AOUT 3 rue de la Forestière 33950 CAP FERRET
JANVIER /DECEMBRE 10 place des Quinconces 33000 Bordeaux
tél : 05 56 23 35 20 / 06 26 34 63 14
web : www.galeriedx.com / e-mail : [email protected]