Archidoc News 10 () - Service des victimes de la guerre

Transcription

Archidoc News 10 () - Service des victimes de la guerre
- PB -
Septembre 2014
ArchiDoc News
Périodique du service archives et documentation
de la Direction générale Victimes de la guerre
- PB -
- PB -
ArchiDoc News
Périodique du service archives et documentation
de la Direction générale Victimes de la guerre
- PB -
Fonds particulier
les Lohnüberwesunglisten
Un fonds assez volumineux des archives de la DG Victimes
de la Guerre contient les Lohnüberweisunglisten, les listes
de salaires des résidents belges qui ont travaillé, de force ou
volontairement, dans les firmes recrutées par l’Organisation
Todt (O.T.) dans le Nord de la France.
Le fonds consiste exactement en 60 liasses soit 665 dossiers,
chaque dossier correspondant à une firme. Dans quel
contexte ces listes ont-elles été utilisées ?
L’Organisation Todt, du nom de son
fondateur Fritz Todt, ministre du Reich
pour l’Armement et les Munitions (mars
40 - février 42), est créée, à la base, dans le
cadre de l’achèvement de la ligne Siegfried
(« West Wall ») en 1938. Elle devient
ensuite rapidement une organisation
permanente chargée de l’exécution des
constructions militaires dans un but
défensif pour l’armée allemande. Dès
- PB -
mars 1942, elle est notamment chargée de la construction
du Mur de l’Atlantique.
Tous les travailleurs étrangers, excepté les propres
travailleurs de l’Organisation Todt ou d’une firme, étaient
considérés comme de la « main-d’œuvre assignée ».
Certains étaient volontaires, les « Hilfswillige », les autres,
les « Zwangsarbeiters », des travailleurs forcés. La plupart
étaient utilisés en tant que travailleurs manuels dont certains
pouvaient être des travailleurs qualifiés (l’affectation la plus
élevée étant « contremaître » ou « contremaître qualifié »).
Le salaire fixé par l’Organisation Todt variait en fonction
du statut de l’ouvrier (manœuvre, contremaître, apprentis,
spécialistes,…) et de son âge. Au départ, la rétribution variait
selon la nature du contrat qui liait la firme avec l’O.T. Ce n’est
qu’en 1943 qu’apparaît un tarif plus uniforme, sauf pour les
travailleurs forcés. Après une retenue pour
la nourriture et les cotisations sociales
obligatoires, les ouvriers pouvaient
recevoir une avance sur salaire ne pouvant
dépasser 1.5 RM /jour. Le solde était alors
envoyé à leurs ayants droit ou versé sur un
compte d’épargne. Notons également que
certaines sommes pouvaient être octroyées
en tant qu’indemnité de séparation, de
danger ou allocations familiales. Ces
indemnités ne concernaient toutefois pas
les travailleurs juifs obligatoires.
- PB -6-
Les salaires devaient être payés au moins une fois par mois,
au plus tard 3 jours après la clôture de la période concernée.
Chaque travailleur devait recevoir un décompte de son salaire
avec la mention du salaire brut, des suppléments de salaire
éventuels, des indemnités, des primes, le nombre d’heures
accomplies ainsi que le montant des retenues effectuées.
Les salaires versés aux familles en Belgique par la Banque
de Paris et des Pays-Bas (BPPB) à Bruxelles transitaient,
en vertu des réglementations générales, par les succursales
locales de la Banque de France. Les formalités prenant du
temps, la Banque de Paris et des Pays-Bas pouvait payer une
avance suffisante à l’Office national du Travail à Bruxelles
qui répartissait l’argent aux ayants droit, via ses Offices du
Travail régionaux. Dans les listes de transfert, rédigées en
plusieurs exemplaires, les périodes de salaires couvrent
15 jours et mentionnent les noms, prénoms et adresses
des destinataires ainsi que le montant du salaire en francs
belges. Des frais de banque s’ajoutaient au total final qui
devait être indiqué en francs belges et français.
En ce qui concerne la remise des traitements aux ayants
droit des travailleurs juifs obligatoires à l’Organisation Todt,
dont les noms figurent sur des listes de transferts spéciales,
ce fut difficilement réalisable en raison de la déportation
massive vers l’Est. Vu la complexité de la tâche, la Banque
de Paris et des Pays-Bas chargera l’Association des Juifs
en Belgique (AJB) de la recherche des bénéficiaires. La
Lo
- PB -7-
grande majorité des travailleurs Juifs de Belgique quitteront
l’Organisation Todt dans le courant d’octobre 1942 et seront,
pour la plupart, déportés de Malines par les convois XIV,
XV, XVI et XVII.
Ces listes permettent de retracer les parcours individuels des
intéressés, que l’on peut identifier et localiser dans le temps et
l’espace. Elles fournissent, en outre, des informations sur les
dispositions prises envers les travailleurs assignés pendant
la guerre à l’Organisation Todt dans le Nord de la France.
Photo :
Fonds des
Lohnüberwesunglisten
(SVG-DOS )
- PB -8-
Photo : Liste
de salaires
Erbes Bau
Jüdischer
Arbeiter
(SVG-DOS,
OT farde
21/142 bis)
- PB -9-
Photo : Liste
de versement
des salaires
(SVG-DOS,
R.451/
Tr.211667/6)
- PB -
Les statuts de
reconnaissance nationale
RÉSISTANTS PAR LA PRESSE
CLANDESTINE
Dès le 15 juin 1940, des vétérans de la guerre 14-18,
bientôt suivis par de nombreux Belges, utilisent « la presse
clandestine », par exemple le journal « Cœurs belges », afin
d’empêcher le défaitisme provoqué par la presse au service
des occupants.
Les seules armes de ces résistants étaient les articles de
presse, dont l’efficacité indéniable fut assimilée à une forme
de résistance combattante, au même titre que les actes des
résistants armés.
Les auteurs de la presse clandestine encouraient, en effet, de
lourds risques ; les représailles allemandes furent sévères,
plusieurs d’entre eux furent torturés, fusillés ou moururent
en captivité.
e
- PB -
Afin de rendre hommage à ces héros de l’ombre, le législateur
assimila, au départ, leur activité à la résistance civile1 mais
leur statut fut définitivement réglé par une loi 2créant le
statut de reconnaissance nationale de résistant par la presse
clandestine.
Qui peut bénéficier de ce statut ?
Les personnes qui ont participé à la Résistance patriotique
à l’ennemi :
•
•
•
•
d’une manière personnelle et « désintéressée »
tout en ayant conscience des risques encourus
au sein d’une organisation
pendant une période de plus de six mois
`` par la rédaction, l’impression, la constitution de
dépôts, le transport et la diffusion systématiques
de publications entrant dans la catégorie des
organes de presse dans des conditions telles
qu’ils s’exposaient aux représailles de l’ennemi.
`` via des publications n’entrant pas dans la
catégorie des organes de presse : tracts,
affiches, communiqués, etc... , si cette activité
a été la cause directe de rigueurs qu’elles ont dû
endurer de la part de l’ennemi ou de personnes
servant sa politique.
1 Article 1er, alinéa 2, de l’arrêté-loi du 24 décembre 1946 (M.B. 16 janvier 1947)
2 Loi du 1er septembre 1948 (M.B. 27/28 septembre 1948), modifié par la loi du
9 juillet 1951 (M.B. 9-10 juillet 1951)
- PB - 12 -
Par ailleurs, la loi impose également des conditions de
nationalité et détermine des motifs d’exclusion. Ainsi, des
personnes qui ont travaillé volontairement pour l’ennemi ou
qui se sont comportées d’une manière indigne sont exclues
du statut.
Au fur et à mesure des décisions rendues, la jurisprudence
des Commissions de contrôle a joué un rôle important dans
la précision des éléments nécessaires à l’obtention du statut :
•
•
•
•
notamment quant à l’étendue de l’activité
sa durée
son caractère systématique
la nature de la « publication écrite ou imprimée », c’està-dire la diffusion
• la définition des organes de presse
• le but poursuivi : la discussion des faits, de pensées ou
d’idées.
Des avantages divers ont été octroyés par la loi aux
bénéficiaires du statut et notamment la bonification pour
la pension de retraite du temps passé dans la résistance
par la presse clandestine.
Une étude systématique de cette jurisprudence a été réalisée
par Mme Nadia Simal dans le cadre de son rapport de stage
et est disponible en nos services.
Photo :
« Cœurs Belges,
novembre 1943»
(SVG-DOS) et « De
Vrijheidsklok n°6,
februari 1943 »
(SVG-DOS)
- PB - 13 -
- PB -
FONDS WERBESTELLE
NON ENCORE EXPLOITé
Dans le cadre d’un stage en archivistique réalisé à la DG
Victimes de la Guerre, Matthieu Triffaux, étudiant en dernière
année de Master Histoire à l’Université Libre de Bruxelles,
a eu pour tâche de dépouiller, comprendre, classer et
reconditionner des archives non encore exploitées concernant
le service de la mise au travail obligatoire pour l’effort de
guerre allemand, la Werbestelle.
Sont concernées, les Werbestellen de six provinces : Arlon,
Bruxelles, Hasselt, Liège, Mons et Namur. Par manque de
temps, seules les liasses de la Werbestelle d’Arlon ont été
traitées. Elles se composent de deux types de questionnaires,
chacun se référant à une ordonnance allemande3, auxquels
étaient le plus souvent joints des documents administratifs.
3 Le premier se réfère à l’ordonnance du 6 octobre 1942 qui instaure la mise au
travail obligatoire sur le territoire allemand des hommes de 18 à 65 ans et des
femmes de 21 à 35 ans, alors que l’autre se réfère à l’ordonnance du 27 juillet
1943 et s’adresse à tout homme entre 16 et 65 ans et à toute femme entre 17
et 45 ans résidant en Belgique et dans le Nord de la France.
- PB -
Ces ordonnances et la documentation du Service, ont permis
d’expliquer la signification et l’utilité de ces questionnaires
ainsi que la procédure de convocation au travail obligatoire.
La première tâche de l’occupant fut de dresser la liste
des personnes aptes à travailler pour l’effort de guerre
allemand, sur base des registres de population. Chaque
individu recensé était fiché et une convocation envoyée à ceux
susceptibles d’être soumis au travail obligatoire. La personne
convoquée devait fournir divers renseignements comme
le nombre d’enfants à charge et la composition de famille,
la profession exercée ou le nom de la firme l’employant
et la date d’engagement… Lors de son renvoi complété à
la Werbestelle, le questionnaire pouvait être accompagné
de pièces justificatives : certificats médicaux invoquant
une infirmité, composition de famille prouvant une famille
nombreuse à charge, attestations de l’employeur certifiant le
travail dans une entreprise utile à l’effort de guerre allemand
ou à l’économie de la région, preuves du travail dans une
culture d’au moins quinze hectares... Plusieurs critères des
ordonnances précitées dispensaient certaines personnes
du travail obligatoire, soit définitivement soit pour un délai
maximum d’un an.
Sur base des nombreuses listes mises à jour et répertoriant
les noms des personnes dispensées, des catégories de
dispenses de travail obligatoire ont pu être établies : des
employés de la S.N.C.B, des agriculteurs, des ouvriers
travaillant à l’étançonnement dans les mines, ou encore
- PB - 16 -
Photo :
Attestation
d’un employeur
(SVG-DOS)
- PB - 17 -
des employés de la Régie des Téléphones et Télégraphes…
Enfin, d’autres listes de noms sont classées par commune
et par date à laquelle le formulaire devait être délivré.
Les liasses, débarrassées de leur emballage désagrégé
et de tout élément métallique, furent conditionnées dans
des chemises et boîtes non-acides. Les questionnaires et
documents administratifs sont désormais classés par ordre
alphabétique et les listes des métiers dispensés, par thèmes.
Ce fonds d’archives ne présentant, à l’origine, pas d’intérêt
dans le cadre des missions du service, n’avait pas été
dépouillé. Aujourd’hui, l’intérêt historique de ces archives
prend le dessus. Les archives de la province d’Arlon et celles
des autres provinces, prochainement inventoriées sur base
du même schéma de classement, permettront d’intégrer
au fonds Werbestelle de la documentation générale, une
partie « dispense ». Grâce à leur reconditionnement, ces
archives pourront désormais servir à l’étude scientifique
mais aussi intéresser les généalogistes par l’exploitation
des compositions de famille présentes, en masse.
- PB - 18 -
Acquisitions récentes
Nous remercions chaleureusement tous nos donateurs pour l’envoi de
leurs publications qui ont à présent pris place dans le fonds de notre
bibliothèque :
ARCHIVES GÉNÉRALES DU ROYAUME = ALGEMEEN RIJKSARCHIEF ; SÉNAT
= SENAT, Archief en Democratie : Studiedag - 25 november 2009 = Archives
et Démocratie : journée d’étude - 25 novembre 2009. - [Bruxelles] : Archives
Générales du Royaume = Algemeen Rijksarchief, 2009
AUTRIQUE Bob, Beauvois : Moed en zelfopoffering voor het vaderland.
- Kalmthout : [S.n.], 2013
BANNENBERG Dagmar ; KLAWITTER, Petra ; KLAWITTER Holger, Und fragt
uns nicht, wieso ? Die letzten Zeugen der Shoah. – Rostock : Stadtdruckerei
Weidner GmbH, 2013
BECK Philippe, Umstrittenes Grenzland : Selbst- und Fremdbilder bei Josef
Ponten und Peter Schmitz, 1918-1940. – Brussels : P.I.E. Peter Lang, 2013
BIREN Raymond ; COLLING David, J.-L. HOLLENFELTZ, Président provincial
de la Croix-Rouge durant la guerre : entre les contraintes de l’occupant et les
tourments de la population. – In : Bulletin trimestriel de l’Institut archéologique
du Luxembourg – Arlon. - (Avril 2013), p. 102 à 109
BITTNER Alicja ; [et al.]…, Museum of the Second World War : Gdansk 2012.
– Gdansk : Museum of the Second World War, [2012].
BITTNER Alicja ; [et al.]…, Report on the activities of the Museum of the Second
World War in 2013. – Gdansk : Museum of the Second World War, 2014
- PB - 19 -
BODELET Jean-Michel, Les pouvoirs locaux sous l’occupation. Le Nord
Luxembourg dans la tourmente. – In : L’histoire en marche : annales 2013 /
Cercle historique de Marche-en-Famenne, Hotton et Rendeux. – (2013), p.93 à 98
BRÄNDLE Brigitte ; BRÄNDLE Gerhard ; MENTRUP Frank, Karlsruhe erinnert :
1. April 1944 - Widerstandskämpfer aus Frankreich und Belgien, gestorben für
ein Europa ohne Barbarei = 1er avril 1944 - Résistants français et belges, morts
pour une Europe sans barbarie. – Karlsruhe : Stadt Karlsruhe - Kulturamt/
Hauptamt, [2014]
BROSENS Griet, Congo aan den Yser : de 32 Congolese soldaten van het Belgisch
leger in de Eerste Wereldoorlog. – Antwerpen, Brussel : Uitgeverij Manteau,
Instituut voor Veteranen - Nationaal Instituut voor Oorlogsinvaliden, Oud-strijders
en Oorlogsslachtoffers (I.V. - N.I.O.O.O.), 2013
CARNAGHI Benedetta, Virginia d’Albert-Lake, une “comète” à Ravensbrück (1910
- 1997) : résister au féminin. Paris : Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne,
2013. - Mémoire de Master 2 Histoire contemporaine des mondes étrangers
et des Relations Internationales
DELECOSSE Monique ; DE VOS Léa, 1914 - 1918 : soldats, prisonniers, déportés,
victimes de l’entité de Silly. – [S.l.] : [Chez l’auteur], 2014
FÜEG Jean-François, Jozef Bielik n’est pas un héros. – Liège : Les Territoires
de la Mémoire, 2013
GLAS Daniël, De Politieke gevangenen van Ardooie : hun lijdensweg. – In :
Jaarboek / Heemkundige kring Ardooie - Koolskamp. – (2013), p.3 à 55
GORIS Gorik, De Holocaust in Turnhout. – In : Taxandria : Jaarboek van de
Koninklijke geschied- en oudheidkundige kring van de Antwerpse Kempen. –
(2012), p. 165 à 195
LABOUX David, La grande évasion. – In : Le Figaro Histoire. - N°8 (juin/juillet
2013), p.38 – 39
- PB - 20 -
LAURANT Mylène, Le frisson de la victoire. – Tenneville : Editions Memory, 2014
LAUSBERG Sylvie ; BREDAEL Jacques, Bruxelles, 3 septembre 1942. La
déportation des Juifs de Belgique [Images animées]. – Bruxelles : Centre
d’Action Laïque, 2012
LEJEUNE Bernard, Recueil de documents sur les combats qui se déroulèrent
à Nalinnes le dimanche 23 août 1914. – Nalinnes : Syndicat d’initiative de
Nalinnes ASBL, 2014
LOUCHE Marius P. R., De fusillade te Leopoldsburg - 6 september 1944. [Leopoldsburg] : [S.n.], 2013
MARTIN Fernand, Angre : de choses et d’autres (La vie civile). - [Mont-surMarchienne] : [S.n.], 2013
MEINEN Insa ; MEYER Ahlrich ; PAULSEN Jörg, Verfolgt von Land zu Land :
Jüdische Flüchtlinge in Westeuropa 1938-1944. – Paderborn : Ferdinand
Schöningh, 2013
NARDI Alicia, Profils de femmes inconnues : des femmes dans la Résistance
à Charleroi durant la Seconde Guerre mondiale [Ressource électronique]. –
Bruxelles : Université Libre de Bruxelles (U.L.B.), 2013. - Mémoire de fin d’études :
Faculté de Philosophie et Lettres. Département d’Histoire
PERTHUIS-PORTHERET Valérie, Août 1942, Lyon contre Vichy : le sauvetage
de tous les enfants juifs du camp de Vénissieux. – Lyon : Editions Lyonnaises
d’Art et d’Histoire, 2012
PETIT Maurice, Double assassinat allemand à Hodister - 27 décembre 1944.
– In : L’histoire en marche : annales 2013 / Cercle historique de Marche-enFamenne, Hotton et Rendeux. – (2013), p.75 à 92
PETIT Maurice, Gênes au fil du temps. – Rendeux : Administration communale
de Rendeux, 2013
- PB - 21 -
PETIT Olivier, “L’affaire Cornil” : séminaire de recherche sur le jugement rendu
le 6 mars 1944 par la justice allemande à l’encontre des 22 Belges faisant partie
de “L’affaire Cornil”. – Bruxelles : Université Libre de Bruxelles (U.L.B.), 2013
PIRON Julien, Pellenberg tijdens de oorlogsjaren 1940-1945. – In : Lubbeekse
Historische Tijdingen. – (Oktober 2012), p.4 à 71
RUSTIN Hélène, Les enfants juifs cachés au château de Beloeil (Foyer Léopold III)
durant la Seconde Guerre mondiale. - Louvain-la-Neuve : Université catholique
de Louvain (U.C.L.), 2013
RUTTEN Roger, De nazirazzia van 25 mei 1943. – Berchem : Uitgeverij EPO, 2013
STASSART Mouchka ; PAHAUT Claire, Je vous le dis, j’aime la vie. - [Bruxelles] :
Claire Pahaut, 2013
THIERY Laurent, La répression allemande dans le Nord de la France 1940-1944.
- Villeneuve d’Ascq : Presses Universitaires du Septentrion, 2013
TILLIET Jacques, Breschler Schmuel, alias Willy Laurent. – In : Trait d’union /
Association des Anciens du Collège Saint-Julien. – (Octobre 1996), p.9 - 10
TRIFFAUX Jean-Marie, Le Dr. Jean-L. HOLLENFELTZ au cours de la Deuxième
Guerre mondiale. In : Bulletin trimestriel de l’Institut archéologique du
Luxembourg – Arlon. - (Avril 2013), p.110 à 115
TURNER Frédéric, Les oubliés de 39-45 : les Britanniques internés à Tost,
Kreuzburg, Giromagny et Westertimke. – Arras : Editions Jaft, 2013
VAN DEN WIJNGAERT Mark ; RODEN Dimitri ; JORISSEN Tine, Auffanglager
Breendonk 1940-1944 : De gevangenen van Breendonk - Gedenkboek =
Les prisonniers de Breendonk - Livre-Mémorial. – Willebroek : Nationaal
Gedenkteken van het Fort van Breendonk = Mémorial National du Fort de
Breendonk, 2012
- PB - 22 -
VANDEVELDE Luc, Afspraak met de dood - voor het leven getekend - het
werdervaren van Ronsenaar Maurice Vandevelde en andere kz-gavangenen in
Buchenwald en Ohrdruf. Deel 1. –
In : Annalen = Annales / Geschied- en oudheidkundige kring van Ronse en
het tenement van Inda = Cercle historique et archéologique de Renaix et du
tenement d’Inda. – (2013), p.221 à 250
VANDEVELDE Luc, Het Zwarteboek van Ronse 1940-1945. - [Ronse] : [Chez
l’auteur], 2013
VANDEVELDE Luc, Le livre noir de Renaix 1940-1945. - [Renaix] : [Chez l’auteur],
2013
WYNANTS Jacques, Emile Tromme, premier agent saboteur du S.O.E. Verviers
1941. – In : Bulletins de la Société verviétoise d’Archéologie et d’Histoire. –
(2012), p. 227 à 294
- PB -
Archidoc News.
Archidoc News est consultable
en ligne sur le site Internet de
la DG Victimes de la Guerre
http://warvictims.fgov.be,
à la page “publications”.
Si vous souhaitez recevoir un
exemplaire d’Archidoc News,
vous pouvez vous inscrire par e-mail
à [email protected], par fax
au 02/528.91.75 ou par courrier
au SPF Sécurité sociale,
DG Victimes de la Guerre;
Archidoc News, 31,
Square de l’Aviation
1070 Bruxelles.
Cette Newsletter est désormais
uniquement disponible en format
électronique4.
4 Les abonnés qui reçoivent déjà Archidoc
News en format papier, continueront à
la recevoir dans ce format.
- PB -
SPF Sécurité sociale
Direction générale Victimes de la Guerre
31, Square de l’Aviation
1070 Bruxelles
Tél : 02/528.91.00
Fax : 02/528.91.75
E-mail : [email protected]
Site internet : http://warvictims.fgov.be
Ont collaboré à cette édition
Gert De Prins, Marie Lejeune, Alexandra Matagne,
Nadia Simal, Matthieu Triffaux,
Ellen Van Cauwenberghe et Sylvie Vander Elst
Réalisation
Service Communication, SPF Sécurité sociale
Traduction
Service de Traduction, SPF Sécurité sociale
Editeur responsable
Claire Barette - septembre 2014
D/2014/10.770/38