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ESPACE PAUL REBEYROLLE centre d'art route de Nedde 87120 Eymoutiers tel. 05 55 69 58 88 fax 05 55 69 58 93 [email protected] www.espace-rebeyrolle.com Joan Miró Œuvres Graphiques et Grands Livres Illustrés exposition prolongée jusqu'au 12 décembre 2010 1 communiqué de presse Joan Miró Œuvres Graphiques et Grands Livres Illustrés exposition prolongée jusqu'au 12 décembre 2010 Depuis son ouverture, en 1995, l’Espace Paul Rebeyrolle a aussi pour ambition de proposer des expositions temporaires de grande envergure aux côtés de Paul Rebeyrolle avec l’originalité de montrer des œuvres rares et moins connues. Il y a tout juste 10 ans l’espace créait l’événement avec les sculptures de Joan Miró, « Un monde fantasmagorique ». Cet été, nous posions un nouveau regard sur le travail de cet immense artiste avec l’exposition Joan Miró, Œuvres Graphiques et Grands Livres Illustrés . Initialement prévue du 30 mai au 7 novembre, l'exposition rencontre un vrai succès; elle est donc prolongée jusqu'au 12 décembre 2010. En marge de l’œuvre peint, la lithographie et la gravure ont toujours occupé une très grande place dans l’œuvre de Joan Miró (1893-1983) qui expérimente ces procédés dès les années 1930. Son intérêt pour la littérature et la poésie l’amèneront à illustrer à l’aide de ces techniques de nombreux textes. Il entretiendra d’ailleurs toute sa vie des relations amicales avec de célèbres poètes et participera à l’élaboration de nombreux livres illustrés avec André Breton, Robert Desnos, Paul Eluard, Tristan Tzara, Francis Ponge, René Char, Michel Leiris, Jacques Prévert, Raymond Queneau... La fascination pour l’écrit de Miró est très tôt perceptible dans son art. C’est le caractère plastique de l’écriture qui le passionne. Sa manière picturale emprunte à la calligraphie « le tracé linéaire et minutieux du visible ». L’image est poème, les poèmes sont images. Cette exposition organisée sous le commissariat de Jean-Louis Prat et en partenariat avec la Bouquinerie de l’Institut à Paris, réunit près de 120 estampes (gravures, lithographies, dessins…). Elle fait l’objet d’un catalogue édité pour l’occasion et est accompagnée de documents photographiques, textes et projections de films. 2 Miró et l’illustration extrait de Jacques Dupin, Miró, 2ème édition 1993, Flammarion éditeur Jarry, Tzara, Eluard, Péret, Crevel, Char, Frénaud et tant d’autres : s’agit-il, à vrai dire, pour Miró, dans ces livres, d’illustration ? Le poème contemporain, détaché de l’anecdote, de l’effusion, du sujet, et découvrant la spécificité de l’écriture et le pouvoir de l’image n’est plus illustrable au sens traditionnel du terme. De leur côté, les peintres se sont éloignés, parfois jusqu’à la rupture et l’abandon, de l’image naturaliste. Peintre et poète, en s’éloignant de la représentation, se rencontrent de manière plus étroite et plus essentielle. Image graphique et image poétique jaillissent du même creuset et leurs affinités les projettent dans le même espace imaginaire. le graveur n’illustre plus, mais rejoint, accompagne, interprète, éclaire et scande le texte auquel il est confronté, et noue avec lui des liens plus intenses que tout ce que recouvrait trop souvent de médiocre, de descriptif, de redondant ou de décoratif le terme d’illustration. A cet égard, l’attitude de Miró est la plus significative. Il refuse toutes les contraintes et pense que c’est en allant le plus loin dans l’affirmation de soi et de sa propre écriture qu’il a une chance de rencontrer l’autre, l’écrivain venu d’ailleurs, d’ouvrir l’unité d’un espace à leur échange et à leur accord. Pourtant, il est d’abord le lecteur scrupuleux du texte. Il s’en approche longuement, non sans candeur, avec des précautions et une ferveur minutieuse. Il s’imprègne du poème, il s’endort avec les mots, les rythmes, les senteurs qui en émanent ; il les incorpore aux couleurs et à son langage de graveur, jusqu’à l’inconscience et l’aveuglement. De cette rencontre, de cette alchimie intérieure, naîtront des suites de gravures dont on peut débattre à l’infini de l’adéquation au texte qu’elles accompagnent, mais dont il apparaît à l’évidence que chacune diffère de l’autre dans la mesure où chacune est profondément pénétrée du texte et de l’esprit de l’auteur. Miro ne traite pas de la même manière les poèmes lumineux et limpides d’Eluard et le sombre flux énigmatique de Tzara. Il tire de chaque livre un enrichissement décisif, une faveur inconnue, une lumière singulière auxquels il donne réplique et contre-chant. 3 les techniques de gravure utilisées par Joan Miró plaque peut être encrée, puis pressée pour être imprimée. Lithographie : procédé d’impression à plat qui repose sur le principe de la répulsion de l’eau par les corps gras, jouant des pleins et des vides dessinés directement sur une pierre calcaire, rendue rugueuse ou polie, Pointe sèche : procédé de gravure en selon l’effet recherché, avec un crayon gras taille-douce. Le graveur entaille lui-même le ou un pinceau trempé dans une encre métal avec la pointe, repoussant de chaque grasse, l’encre lithographique. La pierre est côté de la taille une petite partie de métal ensuite lavée avec un mélange d’acide que nitrique et de gomme arabique, procédé accrochent l’encre influençant la qualité de appelé « morsure de la pierre ». Avant l’impression. l’on nomme les barbes, et qui l’impression, la pierre est mouillée et les parties pellicule réservées d’eau. se couvrent L’encre est d’une ensuite Aquatinte : procédé de gravure indirect appliquée sur la pierre au moyen d’un dérivé de l’eau-forte permettant d’obtenir rouleau. Lorsque la pierre est assez encrée, une surface composée de points plutôt que on pose le papier et on le passe sous de presse. La lithographie en couleur nécessite décapée, la plaque est mise dans une boite autant de pierres que de couleurs. spéciale destinée à recouvrir la plaque de traits. Après avoir été poncée et grains de résine, de façon plus ou moins Eau-forte : procédé de gravure en creux dense. Au sortir de la boîte, la plaque est sur plaque métallique. La plaque de métal, chauffée afin de faire fondre la résine, puis généralement en cuivre, est recouverte sur plongée dans un bain d’acide afin d’être ses deux faces d’un vernis résistant à mordue. Après la morsure, la plaque est l’acide. Le graveur effectue le dessin à nettoyée à l’essence de térébenthine et l’aide d’une pointe qui entame le vernis, peut être colorée mettant à nu les lignes et parties qui seront attaquées à l’acide, c’est ce qu’on appelle la morsure. Ensuite le vernis est retiré et la 4 Joan Miró (1893, Barcelone - 1983, Palma de Majorque) 1893 Naissance le 20 Avril à Barcelone. 1907 Etudes à l’Ecole de Commerce de Barcelone. Suit également les cours de l’Ecole des Beaux Arts de la Lonja. 1910 Travaille comme employé aux écritures dans la maison de commerce Dalmau Oliveiras de Barcelone. 1912 S’inscrit à l’Ecole d’Art de Francesc Gali. Exercices de dessin d’après le toucher, qui sont à l’origine de sa vocation de sculpteur. Rencontre le céramiste Josep Llorens Artigas. Premières peintures à l’huile. 1924 Grande amitié avec Aragon, Breton et Eluard. A partir de cette époque, participe activement aux expositions surréalistes. 1925 Commence la période des peintures « oniriques » qui s’étendra jusqu’en 1927. 1926 Collabore avec Max Ernst aux décors de Roméo et Juliette pour les Ballets Russes de Diaghilev. A Montroig, peint des paysages « imaginaires ». 1927 S’installe à Montmartre, Cité des Fusains, où vivent déjà Arp, Eluard et Max Ernst. 1915 Fréquente l’Académie de dessin du cercle San Luch où il travaillera jusqu’en 1918. Début de sa période « Fauve ». 1928 Voyage en Hollande. Série des Intérieurs Hollandais. Grande exposition à la Galerie Bernheim à Paris. Premiers papiers-collés et collages-objets. 1917 Peint des portraits et des paysages des environs de Montroig. 1929 Epouse Pilar Juncosa. S’installe à Paris, rue François-Mouthon. 1918 Première exposition personnelle à la galerie Dalmau à Barcelone. Fait partie de l’Agrupació Courbet fondé par Josep Llorens Artigas. Premiers paysages « détaillistes ». 1930 Premières lithographies pour L’Arbre des Voyageurs de Tristan Tzara. Pendant l’été, premières Constructions, assemblage de bois découpés et de divers objets. Premières exposition aux Etats-Unis, à la Valentine Gallery, New York. 1919 Premier voyage à Paris. Amitié avec Picasso. 1920 Désormais, Miró passe chaque année l’été à Montroig et l’hiver à Paris où il s’installe dans un atelier rue de Blomet, voisin de celui d’André Masson. Fait la connaissance de Pierre Reverdy, Max Jacob et Tristan Tzara. 1921 Première exposition personnelle (Galerie La Licorne), insuccès. à Paris 1922 Autour de Miró et de Masson, se retrouvent, rue Blomet, Leiris, Limbour, Artaud, Salacrou, Tual. Termine La Ferme, œuvre décisive de cette période. 1931 Naissance de sa fille Dolores. Exposition de sculptures-objets à la galerie Pierre, Paris. 1932 Décors, costumes, rideau de scène et « jouets » pour le ballet de Massine Jeux d’Enfants, sur une musique de Bizet, chorégraphie de Boris Kochnot, crée le 14 avril à Monte-Carlo. L’été, commence une série de petites peintures sur bois et réalise six objets poétiques. Première exposition à la Pierre Matisse Gallery à New York, qui le représente désormais aux Etats-Unis. 1933 Importante série de grandes peintures d’après des collages. Grave ses premières eaux-fortes pour Enfances de Georges Hugnet. 1934 Début de sa période « sauvage ». 1936 Petites peintures à l’œuf sur masonite et à l’huile sur cuivre. Peintures sur papiers goudronnés et sablés. A l’automne, Miró quitte l’Espagne avec sa famille et s’installe à Paris. 1937 Dessine l’affiche Aidez l’Espagne. Exécute Le Faucheur, grande peinture murale pour le Pavillon de la République Espagnole à l’Exposition Universelle de Paris. 1939 S’installe à Varengeville-sur-Mer. Peintures sur toile de sac. 1940 Commence la série des Constellations. 1941 Première grande rétrospective au Museum Modern Art de New York. 1942 Installation à Barcelone. Profusion d’aquarelles, gouaches, pastels, dessins, uniquement sur papiers, jusqu’en 1944, autour du thème Femme Etoile Oiseau. 1944 Premières céramique en collaboration avec Josep Llorens Artigas. Lithographies de la série Barcelone. Peintures sur des morceaux de toile irréguliers. Premières petites sculptures en bronze : sur une dizaine exécutée entre 1944 et 1950. 1947 Se rend aux Etats-Unis pour la première fois. Exécute une peinture murale pour le Terrace Hilton Hotel de Cincinnati. Exposition de peintures et de céramiques à la Pierre Matisse Gallery, New York. 1948 Exposition à la Galerie Maeght, où toute sa production sera désormais représentée. 1949 Rétrospective aux Kunsthalle de Berne et de Bâle. Pendant les années 1949 et 1950, peint parallèlement deux séries de peintures « lentes » et de peintures « spontanées ». 1950 Exposition à la Galerie Maeght de peintures et de sculptures. Grande peinture murale commandée par l’Université Harvard pour la Graduate Center. 1953 Commence une série de céramiques, achevée en 1956, en collaboration avec Josep Llorens Artigas et le fils de celui-ci, Joan GardyArtigas, qui travaillera désormais avec eux. 1954 Grand Prix International de gravure à la biennale de Venise. 1955 Se consacre à la céramique en collaboration avec Artigas et Gardy-Artigas : plus de 200 pièces, vases, plats, mais surtout sculptures en céramique, seront réalisées au cours de cette période. 1956 Grande rétrospective des peintures au Palais des Beaux Arts de Bruxelles, puis au Stedelijk Musesum d’Amsterdam et la la Kunstalle de Bâle. Exposition « Terre de Grands Feux » (céramiques) à la galerie Maeght, puis à la Pierre Matisse Gallery, New York. Miró quitte Barcelone pour Palma de Majorque ; son nouvel atelier a été dessiné par l’architecte Josep Lluis Sert. 1958 Termine avec Artigas, deux grandes céramiques murales pour l’Unesco à Paris. 1959 Second séjour aux Etats-Unis, à l’occasion de la grande rétrospective de son œuvre au Museum Modern Art de New York et au musée de Los Angeles. 1960 Peint des Fonds Blancs. Série de Femme et de Femme Oiseau sur toile de sac. Exécute avec Artigas une céramique murale pour l’Université d’Harvard. Expose à New York et à Paris. 1961 Troisième voyage aux Etats-Unis. Tryptique de grandes peintures murales. 1962 Rétrospective au Musée National d’Art Moderne de Paris et exposition d’œuvres gravées au Musée d’Art Moderne de Tokyo. Continue la série commencée en 1959, des peintures sur carton, dont certaines sont lacérées et perforées. 1963 Exposition « Terres Nouvelles de -Artigas » à la Galerie Maeght, Paris. Miró Exposition « Miro-Artigas céramics » Pierre Matisse Gallery, New York. à la 1964 Inauguration de la Fondation Maeght à Saint Paul et de son Labyrinthe, jardin décoré de sculptures et de céramiques. Une salle est consacrée à sa peinture. Expositions rétrospectives à la Tate Gallery de Londres et au Kunsthaus de Zurich. Céramique murale pour la Handelshoschule de Saint Gall. Participe à documenta III à Kassel. 1965 Femme céramique immergée dans la baie d’Antibes. 1966 Premières sculptures monumentales en bronze : L’Oiseau lunaire et L’Oiseau solaire. Exposition des peintures des 10 dernières années à la Marlborough Gallery, Londres. Se rend au japon pour la grande rétrospective au Musée d’Art Moderne à Tokyo, puis au Musée d’Art Moderne à Kyoto. Exposition de l’œuvre graphique complet au Musée de Philadelphie. Exécute une céramique murale pour le Guggenheim Museum de New York ; 1967 Prix Carnegie de peinture. Commence une série de sculptures en bronze pour laquelle il emploie de nombreux objets trouvés. Exposition « L’Oiseau solaire, l’Oiseau lunaire, étincelles » à la Galerie Maeght, Paris, puis Pierre Matisse Gallery, New York 1968 Grande exposition rétrospective à la Fondation Maeght, à l’occasion de son 75ème anniversaire, puis à Barcelone, à l’ancien Hospital de la Santa Cruz. 1969 Exposition rétrospective au Haus der Kunst à Munich. Exposition « Miró otro » organisée par les jeunes architectes de Barcelone. 1970 Grande céramique murale pour l’aéroport de Barcelone. Peinture et céramique murales pour l’exposition internationale d’Osaka. Exposition des sculptures de 1967 à 1970 à la Pierre Matisse Gallery, New York et à la Galerie Maeght, Paris. 1971 Exposition de peintures, sculptures et céramiques au casino de Knokke-le- Zoute. En hommage à son ami Joan Prats, exposition de lithographies à la Sala Gaspar à Barcelone. Exposition itinérante de sculptures organisée par le Walker Art Center, Minneapolis puis au Museum of Art de Cleveland et au Art Institute de Chicago. 1974 Exposition rétrospective de peintures, sculptures, objets, tapisseries et céramiques aux Galeries Nationales du Grands Palais. Exposition au Louisina Museum of Modern Art, Humlebaek (Danemark). Exposition de l’œuvre graphique complet au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris. 1975 Exposition de l’œuvre graphique complet à la Fondation Calouste Gulbenkian, Lisbonne. Exposition de sculptures à la Galerie Schmela, Düsseldorf. 1976 Ouverture de la Fondation Joan Miró à Barcelone. Exécution d’un mûr en céramique pour IBM Barcelone. Préparation d’une céramique monumentale pour le Musée de Ludwigshafen. 1977 Exposition de peintures au Musée de Céret. Réalisation d’une céramique pour Wichita University, Etats-Unis. Grande tapisserie pour le hall de National gallery of Art, Washington. Participation aux Editions du Seuil de Ceci est la couleur de mes rêves, entretiens avec Georges Raillard. Parution des Carnets catalans aux Editions Skira. 1978 Exécution d’un ensemble sculptural en résine synthétique pour l’esplanade de l Défense à Paris et d’un mur pour le Musée Vitoria (Espagne). A l’occasion de son 85ème anniversaire, rétrospective au Museo español de Arte contemporaneo à Madrid et exposition d’œuvres graphiques au Salas de la Direccion General del patrimonio artistico de Madrid. Exposition de peintures à la galerie Théo et à la galerie Celini, Madrid. Exposition rétrospective de peintures à Palma de Majorque. Exposition de dessins, gouaches, et d’une grande sculpture en céramique intitulée Omenatje à Josep Llorens Artigas à la Galerie Maeght, Barcelone. Création de décors et de costumes pour le spectacle de la troupe de la Claca Mori el merma qui s’intègre dans l’univers de l’artiste, présenté au Centre Georges Pompidou à l’occasion de deux expositions. Exposition de sculptures au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris. Exposition de peintures récentes à la Galerie Maeght, Paris. Exposition de peintures à la Pierre Matisse Gallery, New York. Exposition de sculptures et de gravures à la Banco de Grenada. 1979 Exposition de peintures sur papier à la Galerie Maeght, Zurich. Exposition de dessins à la Hayward Gallery, Londres. Exposition itinérante de sculptures au Japon pendant toute l’année. Pour la première fois Miró aborde le vitrail. Les ateliers Simon (Reims) réalisent les vitraux pour la Fondation Maeght. Exposition de sculptures à la Fondation Joan Miró à Barcelone. 1980 Exposition rétrospective au Musée d’Art moderne de Mexico. Exposition de peintures au Hirshhorn Museum, Washington. Exposition itinérante au Japon. Céramique monumentale pour le nouveau Palais des expositions et des congrès de Madrid. Grande tapisserie murale pour la Fondation Maeght. 1981 Sculpture monumentale pour la ville Chicago. Exposition à la Galerie Dueci, Rome. Exposition rétrospective à Milan. de 1982 Exposition au Museum of Fine Arts, Houston. Exposition organisée par le Scottish Arts Council à Edimbourg. 1983 Exposition de peintures des années 1920 à la Fondation Joan Miró, Barcelone. Exposition à la Galerie Maeght s.a. Paris. Exposition à la Galerie Adrien Maeght, Paris Exposition à la Pierre Matisse Gallery, NewYork. Exposition de sculptures à la Stadische Galerie, Karlsruhe. Mort le 25 décembre à Palma de Majorque. renseignements pratiques www.espace-rebeyrolle.com Ouvert tous les jours du 1er juin au 30 septembre de 10h à 19h. du 1er octobre au 31 mai de 10h à 18h. Sauf en décembre, de 10h à 17h fermé du 24 décembre au 31 janvier inclus, et le 1er mai. Prix d'entrée donnant accès à la collection permanente et aux expositions temporaires plein tarif: 5 €, tarif réduit et groupes: 2.50 €, gratuit pour les moins de 12 ans. Librairie: accès libre. Service pédagogique Visites commentées, ateliers et animations toute l'année (se renseigner). Visites commentées de groupe (à partir de 10 personnes et sur réservation). Accès Depuis Paris, par l'autoroute A20, sortie Feytiat/Eymoutiers. Par la route (D979), à 40 km au sud-est de Limoges, à Eymoutiers, prendre direction Nedde. En train, gare SNCF Eymoutiers-Vassivière. Contact Franck Dentressangle coordination Tel. 05 55 69 58 88 fax 05 55 69 58 93 [email protected] Espace Paul Rebeyrolle route de Nedde 87120 Eymoutiers l’Espace Paul Rebeyrolle L’Espace Paul Rebeyrolle est ouvert depuis 1995 à l’initiative du maire Daniel Perducat et du conseil municipal de la ville d’Eymoutiers. Dans ce lieu unique sont actuellement exposées cinquante œuvres représentatives de l’artiste et des différentes époques de sa vie. Cette collection s’est enrichie au fil des années de peintures, mais aussi de sculptures aux dimensions exceptionnelles où s’exprime toute la générosité du créateur sur des matériaux divers, jusqu’alors plus négligés. Elles sont présentées à l’extérieur du bâtiment dont l’architecte est Olivier Chaslin. En 2005, à l’occasion du dixième anniversaire de l’Espace Paul Rebeyrolle, l’exposition Plongeons dans la peinture, mettant l’artiste à l’honneur, rassemblait des œuvres de la collection et de prêts importants de collections publiques et privées. Chaque année, l’Espace Paul Rebeyrolle organise des expositions temporaires qui s’inscrivent dans un projet culturel invitant les visiteurs à découvrir des parcours singuliers mais toujours exceptionnels. Jean-Paul Riopelle, Georges Braque, Michel Macréau, Joan Miró, Fernand Léger, César, Jacques Monory, Roel D’Haese, Jean Dubuffet ou encore Pablo Picasso en 2008, Marc Chagall en 2009 ont été présentés sur les cimaises de l’Espace ; Joan Miró est présent en 2010. Ces expositions d’envergure contribuent au développement de l’image d’Eymoutiers et à la dynamique de la région Limousin. Déclarée à la préfecture de la Haute-Vienne, le 13 mars 1992, l'Association pour la Création et le Développement de l'espace Paul Rebeyrolle (loi 1901) a pour objet de "promouvoir à Eymoutiers, la création d'un espace Paul Rebeyrolle, destiné à recevoir des œuvres et à présenter des expositions de Paul Rebeyrolle et également des œuvres de peintres contemporains de façon permanente ou par des expositions." Actuellement, l'association est composée de 13 membres cotisants. Pour le fonctionnement et les projets artistiques de l'espace Paul Rebeyrolle, l'association perçoit des subventions du Conseil Régional, du Conseil Général de la Haute-Vienne, de la DRAC Limousin et du Parc Naturel Régional Millevaches. De plus, la municipalité d'Eymoutiers prend en charge les frais afférents aux locaux. les partenaires "Depuis plusieurs années, le Conseil Régional du Limousin s'est résolument engagé dans une politique de développement culturel qui a fait de notre région l'une des plus riches en matière d'art contemporain. C'est dans cet esprit que nous apportons notre soutien au développement de l'Espace Paul Rebeyrolle, lieu incontournable consacré à l'un des grands artistes français." Marie Annick Bernard Griffiths, Direction du Développement Culturel, Conseil Régional Limousin. "C'est à Eymoutiers que Paul Rebeyrolle est né en 1926. C'est ici qu'il a grandi. Les valeurs qu'il défend, son combat contre toute forme d'atteinte à la liberté et à la dignité humaine, son amour pour la nature, nous les partageons. C'est avec passion que nous avons agi pour la création de l'Espace Paul Rebeyrolle, c'est avec conviction que nous le soutenons et contribuons à son développement." Daniel Perducat, Maire d'Eymoutiers "Le paysage de l'art contemporain en Limousin se caractérise par la diversité, la complémentarité des projets et des structures sur l'ensemble du territoire. L'Espace Rebeyrolle s'inscrit avec évidence dans ce réseau de l'art contemporain tant par la présentation permanente de l'œuvre de l'artiste Paul Rebeyrolle et les actions en direction des publics menées tout au long de l'année, que par la qualité des expositions estivales mettant en scène de grandes figures artistiques de ce siècle." Jean-Pierre Pottier, Directeur Régional des Affaires Culturelles du Limousin Conseil Général du département de la Haute -Vienne 43 Avenue de la Libération 87000 Limoges Marie-Françoise Pérol Dumont, présidente du Conseil Général Parc Naturel Régional de Millevaches en Limousin 23340 Gentioux-Pigerolles Christian Audouin, président du PNR 1