D`un commun accord D`un commun accord Le camp d`hiver célèbre
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D`un commun accord D`un commun accord Le camp d`hiver célèbre
D’un commun accord 2015 No 2 Le camp d’hiver célèbre son e 20 anniversaire Camps des jeunes Le camp dans le sud du Chili motive les jeunes pour suivre la voie de Dieu Le Coin des écrivains Quatre dons dont vous vous passeriez… mais dont vous avez absolument besoin Contact personnel Jésus n’a-t-il pas été ressuscité un dimanche ? Quelques mots du Président L’une des plus grandes joies que je ressens dans mon travail consiste à visiter nos frères et sœurs. Au mois de janvier, Sharon et moi avons rendu visite à quatre congrégations différentes sur une période de quatre semaines. Lors du sabbat du 10 janvier, nous étions à Dallas, dans le Texas. Pendant le sabbat du 17 janvier, nous étions à Mexico. Le jour du sabbat du 24 janvier, nous étions à la Barbade et pendant le sabbat du 31 janvier, nous étions à Austin, dans le Texas. Au cours du mois de janvier, nous avons rendu visite à près de 500 frères et sœurs de quatre congrégations situées dans trois pays différents. Quand je visite une congrégation locale, je trouve les frères et sœurs chaleureux et amicaux, et ils font toujours en sorte de m’accueillir en me souhaitant la bienvenue. Je souhaite que ceux qui visitent l’une de nos congrégations vivent la même expérience. Dans le deuxième chapitre de l’épître de Jacques, est abordé le problème de la partialité au sein d’une congrégation (Jacques 2:1-4). Jacques utilise l’exemple de deux hommes venus à l’assemblée, l’un habillé richement et l’autre « misérablement vêtu ». La leçon ne concerne pas la façon de s’habiller pendant le sabbat, mais plutôt la démonstration du même respect et du même amour pour chacun, sans partialité et sans considération pour sa situation financière. Le regretté John R.W. Stott a écrit un livre en 2003 intitulé Ce que Christ pense de l’Église, basé sur le message aux sept Églises contenu dans le livre de l’Apocalypse, chapitres 2 et 3. De ces messages, Stott a construit un modèle de l’Église telle qu’elle devrait être. Ce modèle représentait une congrégation locale qui était zélée, pleine d’amour et pure sur le plan de la doctrine. Dans son introduction, Stott écrivait en parlant de Jésus Christ, « Comment Lui, maintenant, voit-Il Son Église ? ». Dans le livre, il a choisi un aspect particulier de chacun des messages pour construire sept signes distinctifs d’une véritable Église vivante. Pris tous ensemble, ils révèlent ce que le Christ pense de Son Église, à la fois telle quelle est, et telle qu’elle devrait être. Nous croyons qu’Apocalypse 2 et 3 donnent une vue d’ensemble prophétique à travers les âges, mais nous ne devrions pas oublier qu’elles étaient de vraies congrégations et que les messages ont été écrits en tant qu’avertissements à l’Église en tout temps, et en particulier pour le temps de la fin. Le tout premier message à l’Église d’Éphèse l’avertit de la perte de son « premier amour » et le message final adressé à l’Église de Laodicée la met en garde contre la complaisance. Les deux parlent du même problème, mais selon deux perspectives différentes. A partir des Écritures, nous voyons la congrégation idéale comme un groupe de personnes, charitable, dévoué et accueillant pour les visiteurs. Comment nous comparons-nous à ce modèle aujourd’hui ? Nous n’avons probablement pas beaucoup de visiteurs d’un sabbat à l’autre, mais que se passera-t-il si cela 2 2 D’un commun accord doit changer ? Cette année passée, nous avons eu 2,6 millions de visiteurs sur notre site internet en anglais LifeHopeandTruth.org (VieEspoirEtVérité.org), une augmentation de 450% par rapport à 2013. Comment cela va-t-il se traduire en termes de nombre de visiteurs aux assemblées ? Nous ne le savons tout simplement pas. Ce résultat est au-delà de notre contrôle, mais nous pouvons absolument contrôler la façon dont les visiteurs sont traités, une fois qu’ils viennent. Je me demande ce que Christ penserait s’Il venait rendre visite à l’une de nos congrégations. Trouverait-Il un groupe chaleureux et amical, dévoué dans son adoration pour Dieu ? En réalité, nous ne voulons pas demander à Jésus Christ ce qu’Il pense de Son église : nous pouvons le lire dans Son message aux sept Églises du livre de l’Apocalypse. La vraie question est de savoir si nous vivons chaque semaine selon le noble modèle montré par Jésus-Christ, le véritable Chef de l’Église ! Notre espoir est que chaque congrégation soit un endroit de joie, de chaleur et d’enthousiasme, où les visiteurs sont les bienvenus ! Jim Franks Président de l’Église de Dieu, Association Mondiale @jimbfranks eddam.org .org Photo de couver ture par Elizabeth Adolphi l Ce que Christ pense de l’Église D’un commun accord Table des matières 2015 No 2 7 5 6 © 2015 Church of God, a Worldwide Association, Inc. Tous droits réservés. Conseil Ministériel d’Administation : David Baker, Arnold Hampton, Joël Meeker, Richard Pinelli, Larry Salyer, Richard Thompson et Leon Walker Président : Jim Franks ; Directeur des médias : Clyde Kilough ; Rédacteur en chef : Larry Salyer ; Directrice de la rédaction : Elizabeth Cannon Glasgow ; Relectrice : Becky Bennett ; Version française : Joël Meeker, Bernard Hongerloot, Hervé Dubois, Daniel Vernaud Toutes les citations de la Bible sont tirées de la traduction de Louis Segond, Nouvelle Édition de Genève (© 1979 Société Biblique de Genève), sauf si mention est faite d’une autre version. En soumettant des photographies ou des articles à l’Église de Dieu, Association Mondiale, SA., ou à D’un commun accord, tout collaborateur autorise l’Église à les publier sans restrictions et sans recevoir de rémunération. Tout collaborateur accepte également le fait que ce qu’il soumet pour publication peut être utilisé par l’Église comme elle le décide, y compris le droit de les modifier, de les réduire, ou de les retravailler. 4 5 Le camp d’hiver célèbre son 20e anniversaire Le camp d’été dans le sud du Chili motive les jeunes pour suivre la voie de Dieu 6 Les campeurs en Afrique du Sud ont profité d’une semaine entière d’activités pour former des liens affectifs 7 Quatre dons dont vous vous passeriez … mais dont vous avez absolument besoin 9 10 Contact personnel Jésus n’a-t-il pas été ressuscité un dimanche ? Annonces 2015 N 23 o Le camp d’hiver célèbre son 20e anniversaire L Par Gary Black es campeurs sont arrivés par des températures glaciales pour commencer le camp d’hiver de fin décembre. La neige n’a pas fait son apparition avant le jour du sabbat (l’avant dernier jour du camp) mais cela n’a en rien refroidi le bon état d’esprit des campeurs. Cette année a marqué le 20e anniversaire du camp d’hiver. Il a commencé en 1995 avec 43 campeurs et 18 personnes d’encadrement. Le nombre d’inscriptions a progressivement augmenté au cours des quatre dernières sessions du camp. Sans compter tous ceux qui étaient originaires du Midwest, les autres participants venaient de la Floride, du Texas, du Kansas, de l’Arkansas, de la Virginie, du Tennessee et du Kentucky. Nous avions des campeurs venus du Canada et de Nouvelle-Zélande. Les activités comprenaient du patin à glace, du « ballon-balai » (en anglais broomball, un sport originaire du Canada), du volleyball, du flag football, « la course fantastique », un bal, un défi en équipes, un jeu de capture, et un cours de survie en hiver. Cette année, nous avons ajouté un jeu de ballon « gaga », une variante du jeu du ballon prisonnier. Le camp d’hiver est unique pour plusieurs raisons et l’une d’entre elles est que le coucher du soleil intervient beaucoup plus tôt, vers 16h30. Nous passons en outre une bonne partie du temps à l’intérieur dans des activités fusionnelles aidant les campeurs à mieux faire connaissance les uns avec les autres. Ces activités comprenaient un jeu de Bunco, deux bals, une soirée de jeux et un show de variétés. Le thème du camp de cette année était « La voie étroite : un défi à relever ». Les campeurs ont écouté les sujets de vie chrétienne concernant le fait d’être une lumière brillante, en montrant un bon exemple ; les leçons tirées de Luc 18:18 et ce qu’il faut avoir pour entrer dans le Royaume de Dieu ; continuer de marcher dans la voie étroite quand nous revenons à la maison ; ce que c’est que d’être un adolescent au Ghana ; l’importance du courage ; ce qui se trouve à la fin de la voie étroite ; et l’importance de garder son esprit propre et net de toutes les pollutions spirituelles de ce monde. Les filles et les garçons ont été séparés en deux classes pour l’étude des talents dans la vie. Les filles ont identifié un certain nombre de défis auxquels elles font face en marchant dans la voie étroite, et les garçons ont parlé de l’art et de la manière de devenir un vrai gentleman. Pour marquer ce 20e anniversaire, l’équipe de vidéo du camp a réalisé un hommage spécial qui a été présenté au cours du bal final clôturant le camp. Il incluait des commentaires vidéo de la part de plusieurs campeurs et membres du personnel d’encadrement qui ont fréquenté le camp depuis des années et il montrait des images des « jours anciens ». Beaucoup de commentaires ont été exprimés pour remercier Gale et moi-même pour notre implication au fil des ans. Cela nous a surpris et touché. Merci pour vos prières et votre soutien. Dieu nous a vraiment béni avec un merveilleux camp d’hiver cette année. Nous avons hâte d’y revenir l’année prochaine. dcA 4 D’un commun accord eddam.org Le camp d’été dans le sud du Chili motive les jeunes pour suivre la voie de Dieu Par Daniel Sepulveda SolÍs C ette année, Dieu nous a béni une fois de plus avec un excellent camp d’été dans un internat situé à 30 kilomètres à l’est de la magnifique ville de San Fabián de Alico, dans le sud du Chili. Les campeurs sont venus de plusieurs congrégations du Chili, comprenant celles de Osorno, Temuco, San Carlos, Talca et Santiago. Nous avons eu aussi la bénédiction d’accueillir trois campeurs de Bolivie et trois de Buenos Aires, en Argentine. Les 85 campeurs sont tous arrivés le 26 décembre 2014 dans des cars loués par l’EDAM. Une fois qu’ils se sont installés, les campeurs heureux d’être à nouveau au camp, ont tout de suite fait le plein d’énergie et de joie. Lors de cette soirée de sabbat, nous avons dîné ensemble dans la salle à manger de l’internat. Avant le camp, de nombreuses congrégations de la région ont décidé de jeûner pour demander à Dieu Son soutien pour les activités que nous aurions pendant le camp. Et Dieu a vraiment répondu, étant donné que nous n’avons eu ni problèmes, ni accidents pendant les huit jours du camp. Dieu nous a donné aussi une excellente météo, de magnifiques journées tantôt ensoleillées, tantôt pluvieuses et, ce qui est le plus important, un esprit de joie que Lui seul peut donner. Il n’y a aucun doute qu’Il était avec nous à tout moment. Au camp de cette année, le thème était « Dieu est réel ». Nous croyons que nous tous, les jeunes comme les moins jeunes, nous devons avoir une ferme conviction de l’existence de Dieu et apprendre à agir en conséquence. Certains campeurs ont été baptisés l’année dernière, et nous sommes très heureux de voir que ces camps ont eu un impact positif et évident sur les jeunes gens de Dieu. L’une des activités les plus importantes au camp est peut-être l’art oratoire en public. Les campeurs peuvent se porter volontaires pour faire un discours sur le sujet de leur choix. Cette année, l’un des discours était intitulé « Les raisons pour lesquelles vous ne devriez pas abandonner la voie de Dieu » et beaucoup ont choisi un sujet similaire. Cela nous a vraiment montré que nos jeunes comprennent ce qu’est l’Église, les bénéfices retirés quand on fait partie du peuple de Dieu, ainsi que l’opportunité merveilleuse et unique de vivre conformément à la loi de Dieu. Comme toujours, nous avons eu droit à un feu de camp de bienvenue le samedi soir, organisé cette année par Rodrigo Zuñiga, un membre de l’EDAM à Temuco, qui apporte son aide dans l’organisation des activités des jeunes dans le sud du Chili. Les nouveaux campeurs se sont tous présentés et ont été accueillis par leurs camarades. Cette introduction a permis que tous puissent échanger les uns avec les autres, apprennent à vivre ensemble et prennent part aux activités pendant le reste du camp. En matinée, nous avions des études bibliques présentées par l’un des adultes avec du temps réservé à l’étude de la Bible pour toutes les équipes dans une activité que nous appelions Souvenez-vous de votre Créateur. Cette année, leur étude était centrée sur le dernier chapitre du livre de Job. Après le repas, les campeurs ont participé à des activités sportives de football, volleyball, tir à l’arc, ski nautique ou se sont simplement assis sous un arbre pour discuter. A la fin du camp, chaque équipe a présenté une pièce inspirée par les vies de Josué, Esther, Élie ou Daniel. Avec quelques effets seulement à portée de main et beaucoup de créativité, les quatre équipes ont toutes réussi à réaliser d’excellentes présentations tirées de la Bible, bien conçues, encourageantes, inspirantes et impliquant tout le monde. Cette activité a montré tous les talents que nos jeunes possèdent quand il s’agit de s’organiser et de produire des idées exceptionnelles. Je ne saurais terminer ce reportage sans mentionner et remercier tout le soutien reçu de nos jeunes, des coordinateurs et du personnel d’encadrement. Tous ont fait preuve d’un esprit de coopération et de responsabilité. Nous espérons vraiment que Dieu a eu plaisir avec tout ce qui a pu ressortir du camp cette année. Nous sommes absolument certains que notre Créateur nous a aidé pendant son déroulement et qu’Il a choisi ce temps spécial pour montrer à notre jeunesse qui Il est, d’une façon claire, intime et forte. dcA 2015 No 25 Les campeurs en Afrique du Sud ont profité d’une semaine entière d’activités pour former des liens affectifs L Par Leanne Helfrich e deuxième camp de jeunes de l’EDAM en Afrique du Sud a commencé par une magnifique journée d’été le 14 décembre 2014. Vingt-quatre campeurs et cinq personnes de l’encadrement se sont réunis dans le cadre des superbes montagnes Magaliesberg à l’école Bekker d’enseignement secondaire. La durée du camp a été prolongée sur une semaine entière par rapport aux cinq jours de l’année dernière et comprenait un repos de sabbat bien nécessaire après cinq jours d’agréables activités. Le personnel d’accompagnement et les campeurs ont passé la première matinée au camp en aidant un fermier local à récolter ses poivrons et ses épinards. Bien que le travail ait été dur, en particulier sous le soleil ardent, il nous a rempli de satisfaction. Nous avons considéré différemment le fait de manger des poivrons et des épinards en comprenant maintenant ce qu’il faut mettre en œuvre pour les amener jusqu’à la table du repas ! Les autres activités de la semaine comprenaient du volleyball, du softball (une variante du baseball), du football, de la natation, des jeux de dynamique de groupe et une randonnée matinale. Les campeurs se sont tout de suite mobilisés et ont travaillé en équipe une fois confrontés au défi consistant à traverser un cours d’eau pendant la randonnée. Un vieil arbre abattu a été déplacé au-dessus de l’eau, les campeurs et les moniteurs s’aidant les uns les autres pour atteindre l’autre rive. Un bâton tenu par deux garçons a servi de rampe ferme bien utile pour l’équilibre. Nous avons aussi ajouté cette année une course d’orientation et du tir à l’arc et nous avons apprécié ces deux nouvelles activités à fond. Messieurs Neil Becker et Neville Smith ont présenté matins et soirs des études bibliques encourageantes et motivantes et les campeurs ont aussi aimé les messages vidéo de MM. Joël Meeker et Clyde Kilough. Notre premier sabbat passé au camp a été très agréable. Les filles ont aidé à dresser les tables le vendredi soir et le chef cuisinier nous a préparé un repas spécial. Nous avons profité du matin de sabbat pour chanter ensemble des cantiques ; et après l’assemblée, les campeurs et le personnel d’encadrement ont prolongé l’après-midi par une douce promenade. Ce camp a été encore une fois très agréable et réussi et nos remerciements vont à tous ceux qui y ont contribué. dcA 6 D’un commun accord eddam.org Le Coin des écrivains Quatre dons dont vous vous passeriez … mais dont vous avez absolument besoin Tout le monde aime recevoir un cadeau. Mais qu’en est-il des dons que vous avez reçus au cours de votre vie, sans réellement les apprécier ? Comment pouvezvous en retirer le maximum ? C omment se fait-il que certaines personnes semblent s’élever au- dessus de circonstances difficiles alors que d’autres s’y trouvent bloqués ? De nombreux facteurs existent pour édifier ou pour briser une personne. Mais considérez ceci : tout le monde rencontre des défis au cours de sa vie. Au lieu de voir ces défis d’une façon totalement négative, nous pouvons les regarder comme des dons. Toutefois, notre façon d’examiner ces dons et la manière dont nous réagissons changera notre vie pour toujours. 1. le don de l’Adversité Les temps difficiles font universellement partie de la vie. Il est impossible de par Debbie Pierce les éviter. De même que nous repoussons les limites de notre corps en testant son endurance pour voir ce qu’il peut supporter, notre caractère personnel se révèle aussi dans l’adversité. Quand la vie devient la plus dure que nous puissions connaître, c’est alors que nous en venons à nous voir tels que nous sommes, avec nos forces et nos faiblesses. Si nous faisons bon accueil à la rudesse du moment, parce que nous comprenons qu’elle est une part nécessaire de notre apprentissage, alors nous la supportons différemment. La Bible nous apprend que nous pouvons considérer « comme un sujet de joie complète les diverses épreuves » que nous pouvons rencontrer lorsque nous nous trouvons dans l’adversité, « sachant que la mise à l’épreuve de votre foi produit la patience » (Jacques 1:2-3). 2. le don de la souffrance L’adversité amène souvent avec elle certaines formes de souffrances. Notre attitude toutefois, joue un rôle important dans sa façon de nous modeler. Si nous pensons que la vie nous a traité injustement et si nous permettons à des graines de frustration de germer et de prendre racine, alors le ressentiment, la colère et l’amertume en seront le résultat final. Considérez ces mots dans 1 Pierre 2:1920 : « Car c’est une grâce de supporter des afflictions par motif de conscience envers Dieu, quand on souffre injustement. En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu ». Quand nous souffrons en raison d’une mauvaise décision de notre part, nous pouvons réfléchir à ce que nous devons faire différemment la prochaine fois et endurer pa- 2015 No 27 tiemment les pénibles conséquences. Mais si nous souffrons à tort, nous n’avons pas besoin de ressasser cette injustice : nous apprenons notre leçon et nous allons ensuite de l’avant. 3. le don du travail acharné Nous pourrions tous accomplir de grandes choses si elles n’exigeaient pas tant d’efforts ! Malheureusement, beaucoup parmi nous ne veulent pas travailler pour obtenir quoi que ce soit. Nous voulons posséder, mais seulement si c’est facilement à portée de main. Mais avez-vous noté que bien souvent, nous ne valorisons pas autant les choses qui nous ont été données gratuitement ? Ce n’est que lorsque nous nous appliquons de tout cœur à une tâche que nous récoltons les bénéfices qui en découlent. Lisez notre article « Le travail acharné » présentant un point de vue biblique sur une éthique appropriée du travail. 4. le don de l’échec Vous avez donc essayé et vous avez échoué. Que se passe-t-il ensuite ? Allez-vous baisser les bras et conclure que vous perdez votre temps ? Ou bien allez-vous rechercher l’opportunité cachée au milieu de cet échec ? Le succès arrive rarement sans échec, et parfois de nombreux échecs ! En fait, plus vous échouerez tôt, plus vous réaliserez rapidement ce que vous avez mal fait, pour le corriger ensuite et essayer à nouveau. Considérez l’exemple de ceux qui sont réputés pour leurs succès et le nombre de leurs essais avant qu’ils n’obtiennent le succès : Les frères Montgolfier, Louis Pasteur, les frères Lumière, Pierre et Marie Curie. Il y a beaucoup à gagner de l’expérience de ces quatre dons. Voici trois des nombreux bénéfices qui peuvent en résulter : 1. La résistance C’est la capacité à se rétablir après un échec. Imaginez un instant un élastique. Son utilité véritable est d’être étiré et déformé. Considérez maintenant l’histoire de Joseph. C’était un jeune homme qui fut maltraité par ses frères aînés, vendu comme esclave, accusé à tort d’agression sexuelle et jeté ensuite en prison pour plusieurs années. Ce qui arriva après cela est un magnifique exemple de ce qu’une personne peut accomplir en allant au-delà des souffrances de ses propres expériences et 8 D’un commun accord « Le succès arrive rarement sans échec, et parfois de nombreux échecs ! En fait, plus vous échouerez tôt, plus vous réaliserez rapidement ce que vous avez mal fait, pour le corriger ensuite et essayer à nouveau. » en transmettant un impact positif sur les autres. Joseph montra une incroyable résistance dans tout ce qu’il traversa. Lisez Genèse 37 à 45 ! Nous aussi, nous sommes souvent étirés en dehors de nos zones de confort par des situation hors du commun, inconfortables et parfois même douloureuses. Mais nous ne devons pas nous laisser briser par ces situations. Nous pouvons être élastiques et nous pouvons nous rétablir ! 2. La compassion C’est une profonde conscience de la souffrance des autres, combinée avec un désir d’aider. Cela suppose de l’action. Si dans notre souffrance, nous nous refermons sur nous-mêmes et nous ressassons la question « pourquoi moi ? », alors nous perdons une occasion de faire une différence positive pour quelqu’un d’autre. Joseph fut aussi un excellent exemple de compassion. Non seulement, il se souciait de tous ceux qui allaient devoir souffrir d’une famine prévisible (Genèse 41:34-36), mais aussi de ses frères qui étaient pourtant la cause de ses souffrances (45:15 ; 50:19-21). 3. Le contentement Nous parlons beaucoup de notre quête du bonheur. Le bonheur est un sentiment fugitif qui s’appuie sur des choses qui échappent plus ou moins à notre contrôle. Par exemple, nous pourrions dire : « Je serai heureux quand j’aurais un nouveau travail » ou encore « Je serais heureux si seulement j’avais quelqu’un qui m’aime vraiment ». Le contentement toutefois ne dépend pas des évènements à venir ; il n’est satisfait qu’avec les mots ici et maintenant. L’apôtre Paul le comprenait. « Car j’ai appris à être content dans l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette » (Philippiens 4:11-12). Avez-vous hâte de ressortir de vos situations présentes en tant que meilleure personne ? Ces quatre dons : l’adversité, la souffrance, le travail acharné et les échecs, sont ce dont vous avez besoin pour grandir jusqu’à la plénitude de votre potentiel. Il n’y a pas de raccourcis, ne les recherchez donc pas ! Mais au lieu de cela, embrassez les épreuves et les défis de la vie comme les opportunités qu’ils représentent vraiment. Pour en savoir plus sur la façon de gérer les problèmes que nous rencontrons tous dans la vie, lisez notre article intitulé « Faire face à l’anxiété ». dcA Debbie Pierce est psychothérapeute diplômée ayant pratiqué depuis une vingtaine d’années. Elle et son mari sont propriétaires d’un centre de conseil et d’une école d’équitation dans le Wyoming. Ils vont à l’assemblée de Salt Lake City, dans l’Utah. eddam.org r Q Vous prétendez que Jésus n’a pas été ressuscité un dimanche. Veuillez expliquer Luc 24:21. Ce jour-là, le troisième jour, ils marchaient et discutaient. Jésus a dit qu’Il ressusciterait le troisième jour. Or le troisième jour n’était-il pas le premier jour de la semaine, dimanche ? Pourquoi contredisezvous donc la Bible ? (Questions rédigées après la lecture de l’article « Le signe de Jonas : Jésus est-il mort le vendredi saint et ressuscité le dimanche de Pâques ? ») Nous vous remercions de votre question et de l’occasion que vous nous donnez de clarifier ce passage de l’Écriture. L’enseignement selon lequel Jésus ressuscita avant le dimanche (« le premier jour de la semaine ») ne contredit pas la Bible. Lorsque les Écritures sont correctement comprises, elles doivent rester en accord avec elles-mêmes. Jésus a déclaré que « l’Écriture ne peut être anéantie » (Jean 10:35). Cela signifie que cette dernière n’a aucun point de faiblesse qui permettrait à quelqu’un de déconstruire ou d’affaiblir ses enseignements. Tous les commentaires se rapportant au même sujet s’ajustent ensemble. Poursuivez votre lecture, afin de constater que c’est bien le cas en ce qui concerne la chronologie de la résurrection de Jésus. Quand vous lirez cet article, gardez présent à l’esprit que Jésus énuméra trois événements devant se produire après Sa mort : 1. Il resterait dans la tombe pendant trois jours et trois nuits (Matthieu 12:40) 2. Il serait ressuscité le troisième jour (Matthieu 16:21) 3. Il ressusciterait après trois jours (Marc 8:31) La seule façon pour que ces trois déclarations de Christ concordent serait qu’Il ait été ressuscité exactement 72 heures après Sa mise au tombeau. Comme Sa résurrection devait intervenir après trois jours, et non le quatrième jour, nous pouvons appeler ce jour, « le troisième jour ». Et c’est là la seule manière de rapporter la description précise de Jésus demeurant trois jours et trois nuits au tombeau. Les évènements du 24e chapitre de l’Évangile selon Luc ont bien eu lieu le premier jour de la semaine. Mais la référence du verset 21 au « troisième jour » ne peut pas être utilisée pour prouver que Jésus a été ressuscité le premier jour de la semaine. En fait, les tout premiers versets du chapitre Contact personnel avec Cecil Maranville disent qu’Il était déjà ressuscité quand les femmes arrivèrent au tombeau, de nuit, avant l’aurore. Pour comprendre précisément toute Écriture, il importe de la situer dans son contexte. Dans le cas présent, et en revenant à Luc 24:19, nous voyons que les deux disciples discutaient au sujet du ministère de Jésus, de Sa persécution, de Son arrestation, de Son procès, de Son accusation, de Sa crucifixion et de Sa résurrection ! Tout cela se référait à une période très longue et ce n’est certainement pas ce que ces hommes voulaient dire par trois jours ! Mais quelque chose d’important touchant la résurrection se produisit-il le jeudi, trois jours après le premier jour de la semaine ? Parfois la Bible couvre une partie du sujet en différents endroits. Dans le cas présent, le mystère est dévoilé par Matthieu : « Le lendemain [ jeudi ], qui était le jour après la préparation [ mercredi, quand Jésus fut crucifié et mis au tombeau ], les principaux sacrificateurs et les pharisiens allèrent ensemble auprès de Pilate, et dirent : Seigneur, nous nous souvenons que cet imposteur a dit, quand il vivait encore : Après trois jours je ressusciterai… Pilate leur dit : Vous avez une garde ; allez, gardez-le comme vous l’entendez. Ils s’en allèrent, et s’assurèrent du sépulcre au moyen de la garde, après avoir scellé la pierre ». (Matthieu 27:62-66). Trois jours plus tard, les disciples parlaient avec Jésus sur la route d’Emmaüs. Ce dont ils parlaient dans Luc 24:21 se rapporte aux évènements accompagnant la crucifixion du Christ, et culminant à la fermeture du tombeau. Souvenez-vous que « L’Écriture ne peut être anéantie ». Selon ce qui est écrit dans la Bible, nous croyons que c’est la meilleure explication du verset en question : « mais avec tout cela, voici le troisième jour que ces choses se sont passées » (Luc 24:21). Nous sommes heureux d’avoir pu clarifier pour vous ce verset souvent mal interprété. dcA 2015 No 29 annonces Nous encourageons les membres à nous envoyer leurs annonces à paraître dans le magazine D’un Commun Accord. Nous publions les évènements marquants dans la vie des membres comme les baptêmes, les naissances, les fiançailles, les mariages, les anniversaires de mariages marquants (25, 40, 50, 60, etc.), les remises de diplômes et les avis d’obsèques. En général, elles sont comprises entre 50 et 100 mots ; toutefois, nous demandons à ce que toutes les soumissions restent en deçà des 250 mots. Merci de bien vouloir joindre une photo couleur en haute résolution à la copie du reporter de votre congrégation. BAPTÊMES Kaye et Charles Haughee découpent le gâteau de leur 60e anniversaire de mariage. Un joueur de cornemuse écossaise accueille le couple. Amy Fracheur et Ron Kelley Amy Fracheur, de la congrégation de Greensboro en Caroline du Nord a été baptisée le 18 décembre 2014. La cérémonie a été célébrée par son pasteur, M. Ron Kelley. ANNIVERSAIRES DE MARIAGE Chant’a et Rodney Collier Le 14 janvier 2015, Rodney et Chant’a Collier ont célébré leur 25e anniversaire de mariage. Chant’a et Rodney habitent à Chattahoochee Hills, en Géorgie et assistent aux assemblées de la congrégation de l’EDAM à Atlanta. 10 D’un commun accord C’est au cours d’une merveilleuse soirée, le 1er janvier 2015 que près de 80 amis, membres de la famille et voisins sont venus honorer Kaye et Charles Haughee par une célébration surprise de leur 60e anniversaire de mariage. L’évènement a été organisé par Jeff et Charlene Peterson. Le couple a été conduit en voiture au Clubhouse Mainlands of Tamarac dans le parc Pinellas, en Floride, par leur petit-fils Douglas Mason (d’El Dorado, dans l’Arkansas) accompagné de ses parents, Tay et Joan Haughee Mason (de Mabank, au Texas). Un joueur de cornemuse en costume écossais est venu les accueillir et leur a offert une sérénade, puis les a escortés à la rencontre des hôtes qui les attendaient. A l’insu de Kaye et de Charlie, leur fille cadette Beth Adair (de Plano, dans le Texas) et leur fils cadet Richard (de Cypress, dans le Texas), avaient fait OBSÈQUES dans les années 60 et a été baptisée en septembre 1968. Elle a donné un très bel exemple à tous ceux qui l’ont connue pendant plus de 46 ans de fidèles services à Dieu et à Son peuple. Jean (née Trask) est née à Findlay, dans l’Ohio, en avril 1921 et y a obtenu son diplôme de l’enseignement secondaire. Elle a rencontré son mari, Naz Richard Servidio, alors qu’elle assistait aux cours de l’université de Findlay. Ils se sont mariés en avril 1940 et ont vécu ensemble plus de 62 ans, jusqu’au décès de son époux, survenu en février 2003. Elle a été précédée dans la mort par son fils aîné Ronald en décembre 2011 et laisse derrière elle six autres enfants : Gary, Jim (pasteur de la congrégation de Houston Nord, dans le Texas), Sally, Diane, Mary et Jill. Jean Jean Servidio Jean Servidio, 93 ans, membre de la congrégation de Meadville, en Pennsylvanie est décédée le 27 décembre 2014 à Erie (Pennsylvanie), son domicile depuis plus de sept décennies. Jean est entrée en contact avec l’Église Universelle de Dieu le déplacement en avion. Leur fils aîné Gordon (de Dallas) n’avait pas pu venir. Après les accolades, les embrassades, les larmes et les toasts, tout le monde s’est rassemblé autour d’un délicieux repas. L’orchestre de la famille Peterson (Mike, Jeff, Pat et Matt) a animé musicalement une soirée dansante. Charlie faisait son service militaire dans l’U.S. Air Force quand il a rencontré Kaye en avril 1954. Elle a refusé à plusieurs reprises ses invitations, puis a finalement accepté ; et comme le dit le dicton, « le reste appartient à l’histoire ». Ils vivaient en Caroline du Nord quand ils ont entendu l’appel de Dieu et ils ont été baptisés le 15 juin 1968. Ils ont servis plusieurs congrégations en Caroline du Nord, dans l’Illinois, l’Iowa, la Californie et le Texas, avant de s’installer en Floride. Charlie a été ordonné en tant qu’ancien en décembre 1995 et ils servent actuellement à St Petersburg, en Floride. avaient 10 petits-enfants et 11 arrière-petits-enfants. Jean ne cherchait jamais à se mettre en vedette, mais elle avait une façon toute spéciale d’ajouter de la joie dans les assemblées et les activités par sa simple présence. L’une de ses grandes joies était de faire partie des grands évènements dans l’Église, en particulier à la Fête des Tabernacles. Les années passant, elle a assisté aux Fêtes dans des sites aussi divers que Hawaï ou l’Italie, et apparemment un peu partout entre-temps ! Elle sera très regrettée à la fois par sa famille et par ses frères et sœurs de l’Église. Les obsèques en l’honneur de Jean ont été célébrées à Erie le 31 décembre par Doug Johnson, son pasteur durant ses neuf dernières années. Doug Johnson eddam.org Charles Johnson, 78 ans, est décédé le 8 juillet 2014 à l’hospice de Cherokee County Nursing Home dans la ville de Centre, dans l’Alabama, où il résidait depuis plusieurs mois. Il avait commencé à assister aux assemblées sabbatiques en 1974 et avait été baptisé en 1975. Il avait assisté aux assemblées pendant de nombreuses années à Gadsden, dans l’Alabama, et plus récemment à Trenton, en Géorgie. En 2001, il avait pris sa retraite après avoir travaillé pour la ville de Cedar Bluff, dans l’Alabama. Il y a vécu pendant plus de 47 ans. Il laisse derrière lui Joan, son épouse depuis près de 55 ans, ainsi que quatre enfants, huit petits-enfants et 13 arrière-petits-enfants. Ceux qui connaissaient et aimaient Charles se souviendront toujours de lui comme d’une personne qui savait faire rire les autres. Il sera grandement regretté. Un service à sa mémoire a été célébré le 11 juillet 2014 devant plus de 120 personnes par M. Tom Kirkpatrick, pasteur des congrégations de Birmingham (Alabama), et Trenton (Géorgie). Annette Epperson Raymond Epperson III, 57 ans, membre de la congrégation de Trenton, en Géorgie, est décédé le 27 juin 2014. Il était né à Bentonville (Arkansas), de Ray Jr. et Okemah Epperson. Il laisse derrière lui Annette, son épouse depuis 30 ans et ses filles Amber et Emily, ainsi que son père, deux sœurs, un frère, des nièces, neveux, tantes et oncles, cousins et cousines ainsi que de nombreux amis. Raymond avait assisté aux cours de l’Ambassador College et avait travaillé pour l’Église à Pasadena pendant plusieurs années. Il était diacre et il aimait diriger les cantiques, servir à la Fête des Tabernacles et rencontrer de nouvelles personnes. Son amitié, son sourire et son sens de l’humour attiraient les gens à lui et il avait des amis de tous âges dans de nombreux pays. En juillet 2013, Raymond a été diagnostiqué avec un cancer du pancréas. Sachant qu’il était entre les mains de Dieu, il a affronté une Raymond Epperson épreuve difficile avec courage et intégrité. Il préservait ses forces pour assister aux assemblées aussi longtemps qu’il le pouvait jusqu’au dernier sabbat de sa vie. Raymond était un mari et un père dévoué. Il est très regretté par sa famille et ses nombreux amis. Les obsèques ont été célébrées le 30 juin 2014 par le Dr. Kirkpatrick, pasteur des congrégations de Trenton (Géorgie) et Birmingham (Alabama). Annette Epperson La congrégation de Roanoke, en Virginie, a récemment déploré la perte de Lawrence Collins, un membre de longue date. Né le 2 décembre 1928, M. Collins venait de célébrer récemment son 86e anniversaire. Il avait été membre de l’Église de Dieu pendant plus de 37 ans. Monsieur Collins laisse derrière lui son épouse de 57 ans, Gladys Collins. Lawrence avait fait connaissance avec l’Église pour la première fois au cours des années 50 et il avait été baptisé en juin 1977. Bien que sa famille n’ait jamais partagé sa foi, M. Collins était toujours resté fidèle à son appel et avait continuellement montré un formidable exemple à tous ceux qui le connaissaient. Durant sa longue vie, M. Collins a su faire de nombreuses choses. Vétéran de l’armée après la guerre de Corée, il avait été propriétaire d’un magasin de réparations de télévisions et d’appareils électroménagers, conducteur de bus, musicien, artisan, fabricant de plusieurs instruments de musique, mari et père de famille. Mais par-dessus tout, Lawrence était chrétien. Il avait confiance en Dieu, même dans les moments difficiles et il Lui réservait toujours la première place. Lawrence a été un grand exemple de Matthieu 6:3, « Mais quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ne sache pas ce que fait ta droite ». Alors qu’il gérait son commerce de réparation d’appareils électroménagers, Lawrence modifiait les factures de ses clients quand il pensait qu’ils auraient des difficultés à les régler ou qu’ils Lawrence Collins ne pourraient pas le faire. Il servait les autres discrètement et humblement. Monsieur Collins était un pilier dans la congrégation de Roanoke et même si nous comprenons que le monde dans lequel il se réveillera sera bien meilleur que celui qu’il a quitté, il nous manquera grandement. Mary Lallier Michael Douglas Westberry, diacre de la congrégation de Dallas (Texas) est décédé le 29 septembre 2014, à l’âge de 63 ans. Il avait été hospitalisé un an plus tôt. Alors qu’il séjournait à l’hôpital, il avait été victime d’une crise cardiaque. Suite à cet accident, il avait connu un certain nombre d’ennuis de santé alors qu’il était en soins hospitaliers dans plusieurs centres de long séjour jusqu’à son décès. Ces moments ont été extrêmement astreignants pour Mike, mais il a beaucoup apprécié les visites de ses frères et sœurs et le dévouement de son fils tout au long de son épreuve. Il laisse derrière lui les membres de sa famille proche, avec son unique frère, Robert Delaney Westberry ; son fils Rob et les fils de Rob, Vincent Douglas Santoyo et Ethan Thomas Santoyo. Mike était né à Houston (Texas), le 8 février 1951 de Robert et Annie Jesse Westberry. Le fils de Mike, Rob s’est retrouvé à vivre avec son père à l’âge de 2 ans, quand Mike et sa femme ont divorcé. Mike était technicien en informatique mais il avait aussi travaillé en tant que détective privé pendant un certain temps. Une fois, son travail d’investigation a mené à la capture d’un fugitif et a été retransmis dans l’émission télévisée America’s Most Wanted. Mike avait été appelé à la vérité en 1977 et avait été un membre fidèle jusqu’à la fin de sa course. Pendant de nombreuses années, il s’occupait de la duplication des cassettes audio, de la bibliothèque de l’Église et il s’assurait que les membres malades ou retenus chez eux puissent recevoir les messages. C’était un lecteur avide, chercheur et auteur de plusieurs œuvres dont principalement « Le lieu du sacrifice » (2008) et « Le mystère de Dieu et de l’homme » (2009). Mike aimait contempler les choses profondes de Dieu et de Sa voie. Il chérissait les conversations avec les membres sur les choses de Dieu et ceux qui s’impliquaient dans ces discussions avec lui ressentaient la même chose. Le plus grand travail de Mike, en plus de l’éducation de son fils Rob, restait son dévouement et son amour pour Dieu et pour Christ, pour la vérité, la voie divine et pour les frères et sœurs. La congrégation de Dallas a organisé le 8 novembre après l’assemblée de sabbat et avant le repas, un service du souvenir célébré par M. Andy Burnett, pasteur des congrégations de Dallas et de Sherman, (Texas). Andy Burnett 2015 No 211 Quels sont les jours saints divins ? Les sept fêtes annuelles sont des moments privilégiés pour s’assembler. Données à l’ancien Israël par Dieu à travers Moïse et observées par Christ, les apôtres et l’Église du Nouveau Testament, ces fêtes sont encore aujourd’hui des observances ordonnées. Elles révèlent le plan de salut de Dieu pour l’humanité, et continueront à être célébrées pendant le Millénium. Pour en savoir plus, consulter eddam.org