Dossier de presse - Le Château d`Eau

Transcription

Dossier de presse - Le Château d`Eau
Le
C h â t e a u
d’ E a u
pôle photographique Toulouse
Événement à Toulouse - Été 2013
Première grande exposition en France du photographe américain
Arthur Tress
«Transréalités»
Le Château d'Eau et les éditions Contrejour ont décidé de rendre un
hommage à cet auteur subversif à travers une exposition et un livre.
Des images documentaires de sa jeunesses, dont la plupart n’ont
jamais été exposées, aux compositions étranges et surréalisantes qui
ont fait sa réputation, ce projet donne un éclairage singulier sur une
œuvre dont la richesse est étonnamment encore très peu connue en
Europe.
San Francisco, 1964
Flood Dream, NY1971
Une Exposition > 28 juin - 8 septembre 2013
Inauguration le vendredi 28 Juin 2013 de 18h30 à 21h.
Un Livre > sortie fin mai 2013
C’est le premier livre publié en France de l’un des plus grands
photographes américains
Le Château d’Eau
1, place Laganne
31300 Toulouse
+33 (0)56177 09 40
www.galeriechateaudeau.org
Informations pratiques
Exposition : du 28 juin au 8 septembre
2013
-
Ouvert tous les jours de 13h à 19h, sauf lundi.
Inauguration : vendredi 28 juin de 18h30 à 21h
Édition : «Arthur Tress - Transréalités»- aux éditions Contrejour avec la participation du
Château d’Eau
Textes de Claude Nori
C’est le premier livre publié en France de l’un des plus grands photographes américains de la trempe
de Diane Arbus, Duane Michals ou de Lee Friedlander qui regroupe une sélection de ses meilleures
images depuis ses débuts dans les années soixante dans les rues de Brooklyn jusqu’à celles, oniriques et fantasmées qui le rendirent célèbre dans le monde entier.
Livre relié, 24 x 32 cm / 112 pages / Bilingue français / anglais / Prix public 28 euros / Date de sortie: mai 2013
Autres informations pratiques :
Le Château d’Eau - 1 place Laganne, 31300 Toulouse - 05 61 77 09 40 - www.galeriechateaudeau.org
droit d’entrée : plein tarif - 2,50 € / tarif réduit - 1,50 € / gratuit jusqu’à 18 ans
Contact presse : Laurence Mellies - [email protected]
- 05 61 77 09 40
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Communiqué
Depuis 1974 et la présentation remarquée de sa série «Le collectionneur de rêves» aux
Rencontres d'Arles par Alain Tournier, l'oeuvre d'Arthur Tress s'est imposée dans le monde
entier à travers de nombreux livres et expositions.
Avec Diane Arbus, Lee Fredlander, Duane Michals, Leslie Krims et Ralph Gibson, il fit partie de
la génération de ces photographes américains qui dans les années 70 balayèrent les stéréotypes.
Ils mirent leur talent au service d’une esthétique inventive et subversive dont on peut encore
aujourd’hui mesurer l’emprise sur la conception post-moderne de la photographie.
Le Château d'Eau à Toulouse et les éditions Contrejour ont décidés de rendre enfin un hommage
à cet auteur subversif à travers TRANSRÉALITES, un ouvrage et une exposition.
Contrairement aux autres photographes de sa génération qui renouvelèrent une seule
approche de la photographie, Arthur Tress, lui, a fait voler en éclats les genres classiques. En
introduisant une bonne part de fiction dans ce qui normalement ne devait être qu’un point de
vue documentaire il a opéré une subversion dans le reportage.
Cette exposition et ce livre mettent en tension différents ensembles de cet auteur à l’énergie
créatrice rare. Regroupant une sélection de ses meilleures photographies depuis celles qu’il
prit dans les années cinquante dans les rues de New York et de Brooklyn jusqu’aux images
oniriques et fantasmées qui le rendirent célèbre ce projet met en lumière une œuvre à la
richesse encore peu connue en Europe. L’exposition compte notamment quelques unes de ses
images de reportage réalisées à San Francisco durant l’été 64, perles d’insolite et d’humour, qui
n’ont jusqu’ici jamais été exposées.
Le choix des images insiste pour la première fois sur l’influence cinématographique et plus
particulièrement néoréaliste des débuts de l’auteur ainsi que sur sa vision radicale rompant
avec la « street photographie »conventionnelle de l’époque.
« Mon lycée se trouvait dans le quartier de Brighton Beach et
de Coney Island et, bien que la photographie n’y soit pas
enseignée, il avait une très bonne section artistique. Ma sœur
m’avait offert un Rolleiflex et, à la morte-saison, je traînais
après les cours dans les parcs d’attractions abandonnés et les
manèges désaffectés, produisant des images très introverties et
mélancoliques qui reflétaient peut-être ce que je ressentais en
tant qu’adolescent à l’homosexualité naissante qui n’avait pas
beaucoup d’amis. ».
Arthur Tress
Boy in Burnt out Furniture store. Newark, 1969
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