cahiers spéciaux

Transcription

cahiers spéciaux
BRUNO ST-DENIS,
UN COURTIER IMMOBILIER QUI A LE VENT DANS LES VOILES!
Ê
tre courtier immobilier fait partie de la personnalité de
Bruno St-Denis. En effet, il possède toutes les qualités
requises : honnête, fiable, dynamique, passionné et
travaillant.
Sa plus grande marque de commerce : établir une
relation de confiance et offrir un bon service. Bruno
St-Denis est capable de donner un service rapide et
efficace à ses clients. “Pour moi, c’est très important d’être
disponible, de répondre au téléphone et de faire rapidement mes suivis téléphoniques auprès de mes clients”,
indique-t-il.
Bruno St-Denis caressait depuis longtemps le rêve de
devenir courtier immobilier. C’est en 2008 qu’il fait le saut
en allant suivre sa formation au Collège d’enseignement en
immobilier à Montréal. Puis en 2009, il fait ses débuts chez
Remax Vision avec l’objectif de se tailler rapidement une
place sur le marché. Pour y arriver, il ne compte pas ses heures, il y met beaucoup de volonté et de passion. Son travail
est récompensé puisque l’année suivante, soit en 2010, il
devient le courtier ayant enregistré le plus grand nombre
de transactions au cours de cette même année au bureau
Remax de Buckingham. “Pour moi, j’attribue mes résultats
à un principe de base très simple: le travail, l’honnêteté, la
transparence et le service à la clientèle”, mentionne-t-il.
Avec ses clients, il joue toujours franc jeu, il mise sur la
communication. Bruno St-Denis le dit ouvertement: “Le
courtier et son client doivent faire une équipe, ils doivent
travailler ensemble afin d’atteindre de façon agréable
leurs objectifs. Si quelque chose ne va pas, j’en informe
mes clients. Je les invite également à m’aviser s’ils se sentent inquiets ou déçus concernant la vente ou l’achat de
leur propriété. Je suis toujours prêt à les écouter. Je veux
qu’on me le dise si une situation ne va pas afin qu’on puisse
y remédier rapidement. C’est comme un couple; il faut
communiquer et dire les vraies choses au fur et à mesure”.
Selon ses clients, Bruno St-Denis est un courtier qui a et qui
offre ce petit quelque chose de plus. S’il peut faire une action pour valoriser une propriété avant une visite, il le fera.
Avec les acheteurs, il met autant d’effort; par exemple s’ils
se questionnent au sujet de l’entre-toit, il ira voir. Quand
vient le temps des négociations, l’agent se doit de savoir
bien œuvrer afin d’arriver à une entente qui plaira autant
à l’acheteur qu’au vendeur. Bruno St-Denis aime ces
moments-là et il agit comme un as.
Bruno St-Denis tient à profiter de cette occasion pour
remercier tous ses clients qui lui ont fait confiance
depuis ses débuts. Il demeure à leur disponibilité et c’est
toujours un grand plaisir de les revoir. Il tient également à souligner et à remercier l’aide constante de son
assistante, sa conjointe Isabel Blais qui fait pour lui un travail
inestimable. De plus, Bruno démontre une grande fierté
envers ses enfants: Alexis et Jahel. “Ils sont très compréhensifs envers les exigences de mon travail” confiera-t-il.
Bruno conclut en disant: “Je suis un homme choyé,
chanceux et bien entouré”.
BRUNO ST-DENIS
UN COURTIER DÉVOUÉ, HONNÊTE ET DYNAMIQUE!
Cahier 50 ans La Petite-Nation
2 - www.lapetitenation.com
re/max vision (1990) inc.
www.brunostdenis.com
819 983-8607
3781759
Bruno St-Denis connaît bien la Petite-Nation. Il
y habite depuis 43 ans. Il a même construit sa
résidence sur la terre paternelle à Papineauville.
Avant de se lancer dans l’immobilier, Bruno a étudié
les mathématiques à l’université pour ensuite travailler 12 ans dans le domaine de la construction,
suivi d’une dizaine d’années au Parc Oméga où les
projets de construction ne manquaient pas. Son expérience dans ce domaine est aujourd’hui pour
Bruno un très grand atout. “Mes connaissances en
bâtiment rassurent souvent mes clients. Si je vois un
problème, je suis en mesure de le leur montrer et de
trouver des solutions avec eux. Mes clients, acheteurs
et vendeurs, apprécient énormément cette façon de
faire”, confirme-t-il.
La Petite-Nation
:
la petite histoire d’un grand journal!
Sylvain Dupras
[email protected]
C’est un véritable groupe de presse que Gérald Bonicalzi a créé en fondant La Vallée de la
Petite-Nation en 1961, trois ans après le lancement du Bulletin de Buckingham et deux ans
après celui de La Revue de Gatineau.
Ce nouveau journal, qui porte aujourd’hui le nom de La Petite-Nation, couvre la région
de la Petite-Nation, dans l’est de l’Outaouais, autour de la municipalité de Saint-André-Avellin.
Le premier numéro est publié le jeudi 9 novembre 1961. Dans son message publié à la une,
M. Bonicalzi évoque les conclusions d’une commission d’enquête sur les publications, rendue
publique en 1960, pour expliquer la publication de ce journal.
«Le rapport recommande la fondation d’hebdomadaires dans les milieux ruraux d’une
certaine importance», écrit-il. Et c’est le cas dans la Petite-Nation avec plus d’une vingtaine
de petites municipalités. «La direction offre aux commerçants et aux hommes d’affaires le
moyen de se faire connaître de leurs concitoyens et d’annoncer leurs produits à des prix et à
un tarif qui leur seraient prohibitifs dans les quotidiens à fort tirage », écrit le propriétaire en
rajoutant que son journal «ouvre aussi ses pages aux organismes sociaux, religieux et
autres ».
À la une du premier numéro, le vice-président de la Chambre de commerce de la PetiteNation, Romuald Aubry, se réjouit de l’arrivée de ce nouveau journal. “Les raisons de se
réjouir sont multiples. D’abord, cette naissance comble l’absence d’un journal régional. C’est
un moyen de publicité moderne lequel rapport assurément de gros bénéfices si on en juge
par les sommes énormes allouées par tous les journaux. Un journal c’est aussi un moyen
d’information très puissant.”
Dans ce premier numéro, on remarque également que le nom de la ville de Buckingham
apparaît comme ville d’identification sous le logo bien que la distribution soit effectuée dans
la vallée de la Petite-Nation.
Abonnements et tirage
Le nouvel hebdomadaire d’expression française et d’inspiration catholique lance aussi sa
campagne d’abonnements qui atteint les 300 pour le lancement du premier numéro. Le coût
de l’abonnement est de 3$ par année en 1965 et de 5$ en 1975. Le tirage du journal est de 2
000 exemplaires en 1962 et de 3 500 en 1975. La distribution gratuite du journal débute dans
les années 80 et le tirage grimpe à 8 800 exemplaires en 1985.
En 2006, le tirage est toujours semblable à 8 825 exemplaires. L’histoire de ce journal en
est une également de nom. En 1972, il est rebaptisé La Petite-Nation jusqu’en 1984, avec
une période de six mois sous le nom de Tam-Tam de l’Outaouais en 1979. En 1984, il
devenait, le temps d’un mois, La Petite-Nation Plus, pour ensuite reprendre son nom de La
Vallée de la Petite-Nation, de février 1984 à juillet 1985.
Puis, avec la fusion avec La Revue de Papineau, en 1985,
le journal devient La Revue de la Petite-Nation. Quelques
années plus tard, il prendra le nom définitif de La PetiteNation.
En 1974, la compagnie Les Entreprises
Commerciales Outaouaises devient propriétaire de La Petite-Nation
avec Robert Lévesque à la direction générale, Serge Lamarche au poste de présidentdirecteur général et Jacques Lamarche, rédacteur en chef. En 1985, Les Hebdos de
l’Outaouais, groupe constitué par Publications Dumont de ville LaSalle, achète La PetiteNation et Serge Lamarche en demeure directeur jusqu’au début des années 90.
Michel Blais, également éditeur du Bulletin de la Lièvre, devient alors le nouvel éditeur.
En 1988, le groupe Cogéco acquiert les journaux de Publications Dumont et le groupe
Transcontinental fait de même en 1996. Parmi les rédacteurs de ce journal, outre Jacques
Lamarche, il y a eu entre autres Paul Cadieux, Claude Chénier, Suzanne Hudon, Ernest
Whissell, Jacqueline Lalonde, Thérèse Gagnon, Roméo Chartrand, Sylvain Dupras, Paul
Gauthier, Stéphanie Verner,Yan Proulx et Jessy Laflamme.
Par et pour la région
Sous la férule de Jacques et Serge Lamarche, La Petite-Nation est un journal d’opinion et la page
éditoriale tient une place prédominante. Dans l’édition du 23 avril 1985, Serge Lamarche signe
un éditorial revendiquant la construction de l’autoroute 50 afin de relier l’Outaouais avec le reste
du Québec avec ce lien est-ouest. «Et la solution n’est pas d’élire un nouveau gouvernement;
elle est de bâtir cette autoroute 50 tant réclamée, tellement désirée, tellement nécessaire», écrit
M. Lamarche. Vingt-six ans plus tard, ce lien routier n’est toujours pas complété.
Le 19 mai 1986, Serge Lamarche se questionne sur la présence du député provincial Mark
Assad. «Fraudra-t-il comprendre que le député Mark Assad ne peut rien faire pour notre (et sa)
circonscription et, en particulier, pour notre vallée de la Petite-Nation?». Au début des années
2000, Yan Proulx aborde le même thème dans une chronique d’humeur sur Mark Assad, alors
député fédéral. Il le qualifie de «chaise » pour souligner ses absences. En plus des nouvelles
municipales, les informations culturelles tiennent une place importante dans La Petite-Nation.
La Petite-Nation a aussi innové en adhérant à la publication de L’Étudiant Outaouais, un
mensuel entièrement rédigé par les élèves du secondaire de l’Outaouais. En 2004, le journal
concentre ses efforts avec la publication de La Petite-Nation Étudiant produite par les élèves
du secondaire de son territoire. Un gala d’excellence a lieu à la fin de l’année scolaire pour
reconnaître les meilleurs textes des jeunes journalistes, la relève de demain. Une façon
également d’intéresser les jeunes à la lecture.
Félicitations!
À toute l’équipe de la Revue de la Petite-Nation, j’offre mes
plus sincères félicitations pour ce 50e anniversaire.
La revue de
La Petite-Nation
est au coeur de
l’actualité locale,
communautaire,
culturelle et sportive
de la Petite-Nation.
Depuis 50 ans, elle a
toujours su informer
avec exactitude la
population de la
région qu’elle dessert.
Bravo pour l’excellent
travail que vous
effectuez depuis les
50 dernières années.
Norm MacMillan
lll#eVgadchfX#dg\
Député de Papineau
Ministre délégué aux Transports
Mario Laframboise
Candidat Bloc Québécois
d’Argenteuil-Papineau-Mirabel
542, rue Principale, Lachute, Québec J8H 1Y3
450-562-4445, 1-855-395-0088
Télécopieur: 450-566-5566
Courriel : [email protected]
Ministre responsable de la région de
l’Outaouais
3845304
Circonscription
122-6, rue Principale
St-André Avellin Québec
29e étage J8L 2H1 J0V 1W0
Tél. : 819 983-6868
Téléc. : 819 983-2806
3859651
Félicitations
au journal
La Petite-Nation
pour votre
implication
depuis 50 ans
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 3
fondateur
Le
de La revue de La
Petite-Nation a légué
un journal en santé
Dernière photo de Gérard Bonicalzi. On le voit ici avec un exemplaire du cahier souvenir
du 40e anniversaire du Bulletin de Buckingham. (Photo: Serge Boisvert)
Patrick Voyer
[email protected]
Gérard Bonicalzi vivait depuis longtemps sous les écrans radars lorsque rejoint l’année
dernière peu avant son décès, mais le sympathique homme de 81 ans était encore prêt à
échanger avec ses amis francophones de l’Outaouais en se rappelant du bon vieux temps!
Dernier entretien avec le fondateur de votre journal.
Aujourd’hui, quand on veut devenir journaliste ou espérer obtenir un poste de cadre dans
une entreprise médiatique, on doit étudier dans ce domaine et gravir les échelons. Mais en
1958, les réalités étaient bien différentes et quelle ne fut pas la surprise des francophones de
la Lièvre de voir un contracteur en construction fonder le premier journal français de
Buckingham! Devant le succès de ce journal, La Revue de Gatineau naît un an plus tard et
celle de la Petite-Nation, deux ans après. C’était le début d’une ère prospère pour les
publications locales en Outaouais.
«Au début, c’était pour donner le service aux francophones, car c’était anglicisé à
Buckingham. Ça créait une certaine tension (chez l’élite anglophone et le lectorat du
Buckingham Post), mais les Canadiens-français méritaient d’avoir un journal francophone,
vu qu’ils représentaient 80% de la population!», confie Gérard Bonicalzi, au bout du fil, dans
son havre de paix quelque part sur la rive-sud de Montréal.
C’est lors d’une séance du conseil municipal de Buckingham que Gérard Bonicalzi a eu
l’idée d’offrir ce cadeau à ses concitoyens. «Il y avait un anglophone sur sept échevins et quand
il se mettait à parler anglais, tout le monde parlait anglais jusqu’à la fin!», relate-t-il. C’est la
goutte qui fait déborder tous les vases: M. Bonicalzi n’en peut plus de cette injustice, de cette
absurdité; il prend donc le mors aux dents et dénonce ce dont tous se plaignent tout bas.
L’ardent défenseur de la culture québécoise et amateur d’écriture suscite alors l’intérêt de
quelques citoyens et prend la tête de ce projet.
À cette époque, l’informatique ne simplifiait pas la tâche aux artisans des journaux! «Le
problème qu’on avait c’était l’ouverture des chemins, on pouvait pas toujours se rendre. Pour
imprimer, il fallait se rendre à une telle heure à Gatineau ou à Hull, sinon le journal était
nul (n’était pas publié)», explique M. Bonicalzi.
Outre les moyens techniques évolués, les choses ont peu changé en 50 ans: les trois
publications fondées par M. Bonicalzi sont encore ancrées dans la communauté malgré la
faillite personnelle que l’aventure médiatique lui aura causée. Gérard Bonicalzi laissait toutefois
aller sa plume de temps en temps afin de “faire triompher la plus belle langue”, tel qu’il le
spécifie, privilège du directeur du journal qui n’est plus coutume de nos jours. Il a de plus écrit
deux bouquins au cours de sa vie, dont un sur son grand-père, un ancien maire de Notre-Damedu-Laus.
M. Bonicalzi goûtait depuis longtemps à une retraite bien méritée en compagnie de son
épouse avec laquelle il était marié depuis 61 ans! Il était bien fier de ses neuf enfants (un est
malheureusement décédé) et de ses 14 petits-enfants.
Partenaire du journal depuis 1978
D
EPUIS 1978, Jean Daniel Clément, agent immobilier et, depuis 1989,
les courtiers de l’Agence immobilière J. D. Clément Inc. annoncent des
maisons à vendre dans le journal La Petite-Nation. Encore aujourd’hui, il
fait partie du paysage chaque semaine.
Le propriétaire Jean Daniel Clément profite de ce 50e anniversaire de La PetiteNation pour souligner l’esprit entrepreneurial et le dévouement des gens qui ont
participé à la création de l’hebdomadaire et à son cheminement, dont Gilles
Lanthier, Jacques Lamarche, Serge Lamarche et Denis Legault. Il pense aussi à
Marie-Andrée Bérard qui travaille à La Petite-Nation depuis 35 ans.
Pour Jean Daniel Clément, le journal est une façon de rejoindre les gens, leur montrer que l’agence immobilière Jean Daniel Clément existe. En fait, cette agence a
été la première agence immobilière à installer son siège social sur le territoire de
la Petite-Nation.
Récemment il y a eu un déplacement de courtiers. Nous offrons toujours la même
qualité de services sur laquelle s’est construite la réputation de l’agence.
En fait, Jean Daniel Clément reste entouré des mêmes courtiers immobiliers depuis
fort longtemps. Ainsi, ce n’est pas l’expérience qui manque dans cette agence au
grand avantage des vendeurs et acheteurs. «Grâce aux relations qu’on tisse, c’est
toujours un plaisir d’aider les gens à réaliser leur rêve», affirme M. Clément.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
4 - www.lapetitenation.com
De gauche à droite, Danielle Payer, Lucie Brazeau, Lise Laflamme,
Michel Chabot, Line Bélanger, Pierre-Yves Fournier, Jean Daniel Clément
et Cathie Bussières.
Tout comme le monde de la publication, l’immobilier a vécu plusieurs modifications au cours des années, il suffit de penser au taux d’intérêt. L’agence JD Clément
a toujours su tirer son épingle du jeu en étant avant-gardiste. «Nous avons été l’une
des premières agences à concevoir un site Internet», précise M. Clément. C’est
d’ailleurs le moment de revisiter ce site puisqu’il a changé d’image récemment!
M. Clément en profite pour remercier tous les gens qui, au fil des ans, ont cru et
encouragé l’entreprise pour acheter ou vendre des propriétés. Nous gagnons notre
salaire grâce à vous et nous vous en remercions.
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«Le journal a joué et joue toujours un rôle au point de vue économique et communautaire dans la Petite-Nation, souligne M. Clément. Ça n’a pas toujours été
facile et malgré tout, ces gens ont donné leur énergie et leur créativité. Ils y ont
vraiment cru.»
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Cahier 50 ans La Petite-Nation
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Éric Lafleur mise
sur le
local
Éric Lafleur est l’éditeur de La Petite-Nation depuis deux ans.
Jessy Laflamme
[email protected]
Éric Lafleur est l’éditeur de La Petite-Nation depuis maintenant près de deux ans.
Il a commencé sa carrière au Bulletin comme conseiller publicitaire en 1994. Après huit
ans, il s’est retrouvé à la Revue à Gatineau. «On m’a alors placé sur le plan de relève où j’ai
commencé à suivre des cours de gestion pour prendre la relève de Michel Blais à sa retraite,
raconte-t-il. Michel Blais était un homme patient, toujours positif et de bonne humeur qui
trouvait une solution pour chaque situation. J’essaie maintenant de m’inspirer de lui.»
Éric Lafleur connaissait peu le territoire de la Petite-Nation lorsqu’il est devenu éditeur
des deux journaux. «J’ai été surpris de constater la fierté des gens pour leur coin de pays,
affirme-t-il. Ils défendent vraiment leur région. D’ailleurs, je suis convaincu que si tout le
monde travaillait dans la même direction, on pourrait facilement concurrencer les
Laurentides, car la région possède des paysages splendides et la proximité des centres urbains.»
Côté travail, l’implication des employés a étonné l’éditeur lors de son arrivée. «L’équipe,
même si elle est peu nombreuse, est très autonome et travaille jour après jour afin de livrer
chaque semaine un produit de qualité, souligne-t-il. Il faut dire qu’avec un des meilleurs taux
de lecture au Québec, c’est motivant pour les employés. C’est grâce à eux, mais aussi au
dynamisme des gens de la région qui veulent savoir ce qui se passe sur leur territoire que le
journal atteint ce taux.»
En plus de livrer chaque semaine un journal et plusieurs cahiers spéciaux pendant l’année,
l’équipe du journal s’implique également dans la communauté. «L’Étudiant Petite-Nation
permet aux jeunes journalistes de publier des textes cinq fois par année dans le journal alors
que le Gala Ados Petite-Nation récompense ces adolescents et leur donne droit de parole,
(Crédit photo : Jessy Laflamme)
indique M. Lafleur. Nous chapeautons ces projets, car la richesse d’une région passe
notamment à travers sa jeunesse. Nous voulons leur permettre de vivre de réelles expériences,
et qui sait, peut-être leur donner le goût de continuer dans cette voie.»
Selon M. Lafleur, la force du journal reste le local. «À la télévision et à la radio, on coupe
les salles de nouvelles locales, explique-t-il. De notre côté, on mise justement sur les nouvelles
de proximité, et c’est certain que nous garderons cette niche.»
Le journal La Petite-Nation évolue aussi avec ses consommateurs. «Nous devons suivre les
tendances, c’est pourquoi nous avons mis en place le site www.lapetitenation.com. Ainsi, nous
permettons à nos annonceurs et lecteurs de nous suivre au quotidien», mentionne M. Lafleur.
La Petite-Nation tient aussi à laisser une voix à ses lecteurs, notamment avec la publication
de tribunes libres ou d’articles citoyens dans le journal et sur le web. «Ce volet est très présent
sur le site puisqu’il est très interactif. Les gens peuvent rédiger des commentaires et voter sur
une question d’actualité. Ils visionnent également le journal de façon électronique. De leur
côté, les entrepreneurs affichent les produits et services par l’entremise de bannières.»
Depuis un an, la section Merkado sur le site offre la chance aux lecteurs de dénicher des
aubaines de produits locaux, régionaux et provinciaux.
Selon M. Lafleur faire partie de la famille Transcontinental est rassurant. «C’est une
compagnie qui a ses employés à cœur et qui en prend soin. Elle offre aussi une formation
continue. Avec plus de 60 hebdos au Québec, nous trouvons toujours quelqu’un qui peut
nous aider ou nous conseiller pour de meilleures façons de faire.»
Le défi d’Éric Lafleur : «continuer de livrer un produit de qualité tout en gardant une
amélioration constante et continuer à adapter notre site Internet avec notamment des vidéos.»
Chose certaine, l’éditeur aimerait bien terminer sa carrière aux journaux La Petite-Nation
et au Bulletin.
Une chaleur et un standard de qualité bien de chez nous
M
ulti Meubles Desrochers, une entreprise bien de chez nous, fête
ses 25 ans d’existence et d’excellence, dans la vente de meubles
de bonne qualité. Son secret, un service personnalisé.
Fondée en 1967 par M. François Desrochers, l’entreprise fonctionnait alors
sous la bannière B.V. (Bonne Valeur). Depuis 1986, l’entreprise a changée
de mains et grandit. Et c’est maintenant, depuis 20 ans, sous la bannière
Multi Meubles qu’elle évolue.
L’entreprise a subi, au fil des ans, bien des transformations. En 1989,
l’extérieur du bâtiment a été rénové et en 1998, c’est l’intérieur du magasin qui fut refait du tout au tout, pour y incorporer des décors chaleureux
et divisés en départements spécialisés.
La vente de meubles serait incomplète chez Multi Meubles Desrochers,
sans la livraison et l’installation de A à Z par nos employés. Mais ce qui
fait la différence, selon Mme Labrosse : « C’est le service personnalisé : nos
conseillers se font un plaisir de guider la clientèle dans les choix possibles
de configurations, de styles et de couleurs. Multi Meubles Desrochers, c’est
un beau décor à la portée de chacun! Et tout cela sous le sceau de la qualité
et du design des produits québécois et canadiens.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
6 - www.lapetitenation.com
Ghislain Guindon et Andrée Labrosse, propriétaires
L’entreprise compte 25 employés à temps plein. Une quinzaine sont en
poste chez Multi Meubles Desrochers. « Car le siège social se situe à
Plaisance, explique M. Guindon et c’est à partir de la Petite-Nation que
l’entreprise gère également son second point de vente : La Détente à
Gatineau qui offre des produits encore plus haut de gamme. » Juste au cas
où vous en voudriez encore plus.
En ce qui concerne l’avenir, des projets sont dans l’air et d’ici quelques
mois, le bâtiment sera de nouveau complètement revampé.
229, rue Principale,
Plaisance, Qc
(819) 427-5111
3845302
Sur deux étages, vous y trouverez donc un vaste choix de meubles de
salon, de salle à manger, de chambres d’adultes et d’enfants, de matelas et
sans oublier la gamme des électroménagers, des appareils électroniques et
de tout pour la décoration.
La Caisse Desjardins
au Cœur-des-vallées
partenaire de sa communauté
L
a Caisse populaire Desjardins du Coeur-des-vallées a
vu jour en janvier 2001, elle fête donc ses dix ans cette
année..
À ses débuts, la Caisse aurait dû obtenir des résultats plutôt
modestes mais c’est tout le contraire qui s’est produit. Alors
qu’à ce moment les actifs se situaient à 160 millions $, ils ont
rapidement grimpé pour atteindre 340 millions $ en 2010.
« C’est une croissance incroyable », soutient le directeur
général, Monsieur Luc Grandmont.
Les cinquante-deux (52) employés motivés ont décerné à leur
employeur un taux de mobilisation de 94%, c’est tout à fait
remarquable !
Siège social (Masson) — 63, chemin Montréal Est
Gatineau (Secteur Masson) (819) 986-3364
Les ristournes ont été nombreuses et généreuses depuis 2001,
avec un total de 9 229 000 $. « Les résultats financiers sont
excellents », d’ajouter le directeur général. La croissance à
l’épargne et aux prêts hypothécaires est aussi très notable.
Par ailleurs, Desjardins demeure le plus grand groupe financier au Québec. Quant à la Caisse populaire Desjardins
du Cœur-des-vallées, elle se distingue à plusieurs niveaux,
notamment grâce à la qualité de ses services. Le sondage annuel effectué auprès des membres le confirme, «Desjardins est
l’institution financière numéro un sur notre territoire », soutient
M. Grandmont.
L’implication de la Caisse Desjardins du Cœur-des-vallées
dans la communauté ne fait aucun doute. Que ce soit à caractère social, humanitaire, communautaire, culturel, éducatif,
pastoral ou sportif, elle n’hésite pas à investir et s’impliquer
dans différentes causes. Depuis les 6 dernières années, c’est
plus de 911 028 $ qui ont été généreusement remis en dons,
commandites et fonds d’aide au développement du milieu.
La Caisse populaire Desjardins du Cœur-des-vallées peut
également compter sur 9 dirigeants et un dirigeant stagiaire
au Conseil d’administration ainsi que 3 dirigeants au Conseil
de surveillance. Ce sont eux aussi, des gens impliqués dans
leur communauté, qui connaissent les membres, qui représentent bien leurs intérêts et qui ont à cœur le bien-être de leurs
employés.
Centre de services Angers — 1205, rue de Neuville
Gatineau (Secteur Angers) (819) 986-3542
Centre de services Plaisance — 275 rue Principale
Plaisance (819) 427-6254
Caisse populaire
du Coeur-des-vallées
Centre de services Thurso — 116, rue Galipeau
Thurso (819) 985-2289
3846083
En 2001, la Caisse comptait quelque 12 000 membres, un
nombre qui s’est enrichi puisque c’est maintenant plus de
15 000 personnes qui en sont membres.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
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Gilles Lanthier a
démarré La PetiteNation en 1961. (Crédit
photo : Jessy Laflamme)
Gilles Lanthier
dévoile des
anecdotes
Jessy Laflamme
[email protected]
Le propriétaire du Bulletin, Gérard Bonicalzi, a fait appel à Gilles Lanthier pour démarrer
le journal La Petite-Nation en 1961.
«Je devais trouver 1500 abonnés pour voir apparaître le premier journal nommé à l’époque
La Vallée de la Petite-Nation. Les gens, même s’ils étaient septiques, ont bien aimé l’idée et
ont embarqué dans le projet.»
L’abonnement du journal coûtait à l’époque 2$ par année. Selon M. Lanthier, les gens
faisaient la file au bureau de poste pour voir le premier exemplaire de huit pages.
Sur la une, on apercevait notamment Benoit Whissell qui vendait de la boisson gazeuse
et le boulanger Réal Boyer. Les articles étaient rédigés par des correspondants postés dans
chacun des villages.
M. Lanthier effectuait la tournée le lundi matin de ces journalistes citoyens pour préparer
le montage du journal. «Un lundi matin, je suis arrivé sur les lieux d’un accident, une collision
frontale. J’ai pris des photos et sorti la nouvelle. C’était très frais comme article», se souvient
M. Lanthier.
En fait, en plus d’avoir démarré le journal, M. Lanthier écrivait quelques textes. «Je
rédigeais surtout des bas de vignettes. D’ailleurs, une fois, on a inversé deux photos sur la une
du journal où l’on annonçait le décès d’un homme et la retraite d’un autre homme. Imaginez
la réaction de la population…», raconte-t-il.
Les Automobiles Baurore 2000 :
un concessionnaire honnête et fiable !
où on le fait bien mieux
ondé en 1975 par André Bédard, les Automobiles Baurore 2000
continuent de prendre de l’ampleur. L’entreprise familiale est
maintenant dirigée par Denis Bédard depuis son déménagement
au 975, chemin de Masson, en 1999.
L’entreprise compte sur une équipe fiable et chevronnée de 32 employés qui est prête à vous offrir un service hors-pair. Avec près de
25% du personnel qui possèdent plus de 20 ans d’ancienneté au
sein de Baurore Auto, soyez assuré que votre expérience d’achat ou
d’entretien sera des plus amicales. Magasiner une voiture n’aura jamais été aussi facile! L’équipe de chez Baurore, qui tient à cœur le
bien-être de ses clients, saura vous démontrer que notre devise «On
le fait bien mieux!» n’est pas seulement un slogan mais bien aussi une
façon de faire avec nos clients.
Ce n’est pas pour rien que les slogans de l’entreprise sont «Honnête et
fiable!» et «On le fait bien mieux!». En traitant avec les Automobiles
Baurore 2000, vous vous assurez de bénéficier de tous les rabais et options possibles afin d’obtenir le meilleur prix, que ce soit pour un achat
ou pour une réparation.
Pour ce qui est du choix de véhicules disponibles, ne vous inquiétez guère. Les Automobiles Baurore 2000 est le seul concessionnaire
dans la région de Gatineau à vous offrir Chevrolet, GMC et Buick sous
un même toit. Toutes les nouvelles gammes de modèles sont offertes:
Chevrolet Cruise, Chevrolet Camaro (disponible cette année en modèle
cabriolet), Buick Regal, Buick Lacrosse, Chevrolet Malibu, GMC Terrain, Chevrolet Equinox,
ainsi qu’un large
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g inventaire de camions GMC
Cahier 50 ans La Petite-Nation
8 - www.lapetitenation.com
et Chevrolet, pour ne nommer que ceux-ci.
Le département de service de Baurore est à la fine pointe de la technologique en matière d’équipement et de formation afin de vous donner
le meilleur service possible. Sans compter que nous avons aussi notre
centre d’alignement. Les Automobiles Baurore 2000 répareront votre
GM de manière
professionnelle.
Vous n’avez pas de
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directement formés
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des pièces vous offre un grand choix
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neuve. Nous avons aussi un département de véhicules usagés qui saura
vous plaire. Rien ne vaut mieux qu’un détour pour constater le tout!
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Romuald Aubry et le notaire Robert rédigeaient des éditoriaux. À l’époque, une publicité
coûtait 5 cents la ligne agate. «Les gens payaient 10$ par année pour s’annoncer dans le
bulletin paroissial. De notre côté, ça coûtait 104$ pour l’année, se remémore M. Lanthier.
Nous avons travaillé fort au début pour convaincre les commerçants.»
À l’époque, les vendeurs de bières étaient de bons annonceurs : Molson, O’Keefe et la 50
achetaient fréquemment de la publicité.
Une petite annonce coûtait 0,50¢.
Pendant six ans et demi, M. Lanthier a travaillé au journal. Il a quitté cet emploi pour
s’occuper de son bureau d’assurance qu’il avait ouvert le 11 avril 1961. «J’ai occupé les deux
postes pendant six ans, puis j’ai décidé de me consacrer à mon entreprise», explique-t-il.
Il ne regrette pas du tout ses six années à La Petite-Nation. «À l’époque, les carnavals étaient
très populaires, on en retrouvait dans presque chaque village, et je devais tous les couvrir. Il
faut dire que les hôteliers étaient très contents de me voir… Alors, quand j’arrivais au carnaval
pour le défilé vers 13h et que je devais rester jusqu’au couronnement vers 19h, j’avoue que
parfois, je suis arrivé à la maison un peu abimé sur les bords. Les lois étaient beaucoup plus
permissives lors de cette période.»
M. Lanthier se souvient aussi des photos et des histoires de la semaine que les gens lui
envoyaient. «Une fois j’avais publié mon fils avec une patate de dix livres cultivée à NotreDame-de-la-Paix.»
Comme l’ancien journaliste aime beaucoup les sports, on voyait fréquemment des portraits
de joueurs de hockey et de quilles.
Il a aussi travaillé avec un dactylographe hyper efficace, même trop efficace. «Une dame
m’avait mentionné à la fin de son texte son souhait de voir l’article paraître la semaine suivante.
Le dactylographe a transcrit cette phrase qui s’est retrouvée dans le journal. C’était incroyable
de le voir aller, il tapait toute la journée sans s’arrêter», raconte M. Lanthier.
Jacques Lamarche a impressionné notre fondateur. «Il écrivait beaucoup et était capable
de prendre des notes tout en discutant avec quelqu’un», se souvient-il.
La merveilleuse histoire du
Fairmont Le Château Montebello
E
n février 1930, l’endroit où se dresse maintenant Fairmont
Le Château Montebello, on ne trouvait qu’une clairière
dans la forêt. À peine quatre mois plus tard, le monumental
pavillon de cèdre rouge que nous connaissons aujourd’hui
était terminé; un exploit qui n’avait pas manqué à l’époque de
frapper l’imagination populaire.
Ce projet était l’œuvre d’un Américain d’origine suisse, Harold
Saddlemire. Les travaux commencèrent par la construction
d’une voie ferroviaire de desserte, raccordée à la ligne
transcontinentale de Canadien Pacifique. Cette ligne allait
permettre le transport de 1200 wagons de bois et de matériaux
de construction. On érigea des camps pour loger les ouvriers,
qui au plus fort de la construction, étaient au nombre de 3500.
Les maîtres charpentiers manipulèrent plus de dix mille billots
de cèdres rouges de l’Ouest pour ériger les trois bâtiments
principaux.
Les ailes du Château qui abritent les chambres sont érigées
autour d’un atrium central haut de trois étages où trône un massif
foyer hexagonal. Les galeries des deux étages supérieurs, aux
rampes élégamment sculptées, offrent une vue plongeante sur
l’âtre. Ce foyer central hexagonal est le pilier de l’architecture
du Château, dont les six ailes se déploient comme les rayons
d’une roue. Les chambres et suites occupent les ailes et elles
offrent des panoramas de la rivière ou des forêts voisines.
Jusqu’en 1970, le Château servit de retraite au Seigniory Club,
dont les membres étaient principalement issus du monde
des affaires et de la politique canadienne, tel que le premier
ministre Lester Pearson ou des personnalités étrangères telles
que la Princesse Grace de Monaco.
En 1970, The Seigniory Club a été pris en charge par la
compagnie hôtelière Hôtels Canadien Pacifique qui le baptisa
Le Château Montebello et ouvrit pour la première fois ses
portes au public. Ainsi, Le Château Montebello ne tarda pas
à s’imposer comme l’un des centres de villégiature les plus
notoires de l’Est du Canada.
80 ANS PLUS TARD
En 80 ans, le Fairmont Château Montebello a subi plusieurs
transformations. L’une des plus récentes est certainement le
nouveau centre de congrès qui a nécessité un investissement de
6,2 millions$.
Ce centre vient ajouter 500m2 (6000 pi2) aux 1050m2
(11300pi2) pouvant déjà servir à des réunions, des congrès ou
des réceptions.
Situé à l’extrémité est de l’hôtel, ce pavillon autonome est
relié à l’édifice principal par un tunnel. Afin de conserver le
même style et l’ambiance du Fairmont Le Château Montebello
ce nouvel ajout a été soigneusement conçu de manière à
reprendre les extérieurs de bois uniques en leur genre et tout à
fait caractéristiques de l’hôtel.
CETTE ANNÉE, C’EST LE GOLF QUI FÊTE SES 80 ANS ET POUR
CETTE OCCASION, NOUS OFFRONS GOLF EN FÊTE!
Effectivement le golf à 80$, valable du dimanche midi au
vendredi midi tout le mois de mai et jusqu’au 10 juin 2011.
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Le Château est construit sur les terres d’une ancienne seigneurie,
achetée en 1674 de la Compagnie des Indes occidentales
par l’Évêque Laval, le premier prélat du Québec et acquise
en 1801 par la célèbre famille Papineau. Elle y construisit le
Grand Manoir qui se dresse toujours sur la propriété. Le manoir
renferme un musée, ouvert au public en été.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 9
Qui ne se souvient pas de
Jacques Lamarche?
Jessy Laflamme
[email protected]
Dans le cadre de l’écriture de ce cahier, j’ai eu l’occasion de rencontrer plusieurs anciens
travailleurs à La Petite-Nation.
La majorité d’entre eux m’ont parlé de Jacques Lamarche, cet homme qui en 1978 achète
La Petite-Nation pour la somme de 25 000$.
Comme on peut lire dans la biographie de Jacques Lamarche, Un homme une époque
rédigée par sa fille, Claude Lamarche, c’est par un jour d’hiver que Jacques Lamarche informe
ses enfants de son intention d’acquérir le journal La Petite-Nation et leur demande au même
moment d’investir dans ce projet. Les enfants acquiescent et le projet va de l’avant. On y lit
que ce projet n’est pas facile, M. Lamarche y investit beaucoup d’argent, pour peu de
retombées. En 1985, il vend le journal aux Publications Dumont. «Ce deuil, il le vit seul.
Plus sombre est le deuil, plus loin est la lumière. Je n’aime pas voir mon père ivre, je n’aime
pas voir ma mère le lui reprocher», écrit Claude Lamarche pour relater cette vente.
Heureusement, Jacques se trouve rapidement d’autres rêves à réaliser. Il se lance avec
passion dans l’histoire et publie coup sur coup plusieurs fascicules. Ses œuvres sont énumérées
dans quatre pages recto verso dans la biographie, c’est peu dire combien il a écrit et travaillé.
En fait, Jacques Lamarche était fort reconnu comme historien.
En 1992, Colette Duhaime rédigeait un texte Un homme qui n’a pas besoin de
présentation : Jacques Lamarche. Cette journaliste a rédigé un portrait à la suite d’un prix
bénévole qu’il a reçu. Voici un extrait du texte : Monsieur Lamarche, qui s’était vu accorder
le prix du mécénat culturel dans la circonscription Argenteuil-Papineau-Mirabel ne s’attendait
cependant pas du tout à ce que son nom soit retenu pour celui du Québec. Il ne cache pas
d’ailleurs que cela l’a rendu très heureux puisque c’est la première fois que l’on reconnaît son
travail d’écrivain. Car s’il est un habitué des prix littéraires, Jacques Lamarche n’avait jamais
obtenu de reconnaissance officielle pour ses nombreuses heures de bénévolat investies dans
le milieu. Car, même s’il n’a pas toujours fait l’unanimité autour de lui, une réalité qu’il
reconnaît d’ailleurs, tout le monde reconnaît que monsieur Lamarche n’a jamais compté son
temps lorsqu’il s’agissait de défendre les dossiers de la région.
Malheureusement, Jacques Lamarche est décédé le 13 août 2006. La Petite-Nation lui a
rendu un hommage à ce moment qui se lit comme suit : Écrivain, historien, développeur,
Cahier 50 ans La Petite-Nation
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3768917
Jacques Lamarche reste une légende pour la PetiteNation. (Crédit photo : sergeroyphoto.com)
pionnier, fondateur, généreux, bon vivant,
chaleureux, ouvert d’esprit, chacun se souviendra à sa
façon de Jacques Lamarche décédé le 13 août dans son sommeil.
À une certaine époque, alors qu’il était propriétaire de La revue de La Petite-Nation, M.
Lamarche se servait de son journal pour défendre ses opinions à l’aide d’éditoriaux. Pour cette
raison, La Petite-Nation tient à lui rendre un dernier hommage digne de l’homme qu’il a été.
Établi dans la région depuis 1970, M. Lamarche a rédigé près d’une centaine de volumes.
C’est tout à fait par hasard qu’il a commencé sa carrière dans l’écriture. Ses enfants, Claude
et Serge Lamarche, désiraient partir en Europe. M. Lamarche travaillait à cette époque pour
Desjardins, il a offert à ses patrons de rédiger un livre sur le mouvement Desjardins, ce qui
lui a permis d’effectuer le voyage tant désiré. Grisé par cette expérience, il a décidé de
poursuivre cette nouvelle passion. Une très bonne idée puisqu’il a reçu plusieurs distinctions
dont, entre autres, le Prix Jean-Béraud-Molson pour la Saison des feuilles mortes en 1979 et
le Prix Henry Desjardins pour l’ensemble de son oeuvre en 1980. Il a également assisté au
premier Salon du livre de Paris en 1981.
Il s’est aussi découvert une passion pour l’histoire de la Petite-Nation et de la famille
Papineau. Son livre Les enfants Papineau lui a valu, en 1999, le titre de membre honoraire
de la Société historique Louis-Joseph-Papineau. Il a d’ailleurs été le fondateur de la
Corporation des affaires culturelles de Saint-André-Avellin, association qu’il présidait depuis
deux ans…
Selon Serge Lamarche, son père aurait mis la Petite-Nation sur la mappe grâce notamment
à son implication au Conseil régional de développement de l’Outaouais (CRDO).
Le dernier bébé de Jacques Lamarche aura été la construction d’une voûte pour les
archives de Saint-André-Avellin, projet qui s’est concrétisé après son décès.
Source : Jacques Lamarche, Un homme, une époque rédigée par Claude Lamarche et publiée
aux Éditions Collection Outaouais.
50 ans ça se fête !
Un anniversaire, un moment pour apprécier le chemin parcouru
et entamer d’un pas confiant la route qui nous mènera vers l’avenir.
MUNICIPALITÉ DE SAINT-ANDRÉ-AVELLIN
un petit coin de pays où il fait bon vivre
Le journal La Petite-Nation, un
collaborateur essentiel pour la
diffusion de l’information concernant les projets municipaux.
Bravo et merci!
En 1989
L’océan de la vie
pour les élèves
de Providence
par François Lemery
C’est le 6 octobre dernier que les élèves de
cinquième année de l’école Providence se lancaient sur l’océan de la vie. L’océan était la
rivière et leur vie était symbolisée par un bateau
qu’ils ont fabriqué avec coeur. Cette activité fait
partie d’un programme d’éducation religieuse.
Le journal La Petite-Nation,
une vitrine importante pour
nos activités et évènements
que ce soit culturel, sportif
ou communautaire. Bravo
et merci!
Le journal La Petite-Nation, une
présence constante sur laquelle la municipalité a toujours su compter
Le journal de la Petite-Nation,
une équipe accueillante et
professionnelle.
Continuez
votre excellent travail
Enfin, voici quelques réflexions apportées par
ceux qui ont participé à ce lancement mémorable.
- Moi, je ne peux pas vraiment parler de mon
bateau parce qu’il a coulé. Mais je l’imagine
avec les poissons au fond de l’eau. Ce n’est pas
grave, ça arrive souvent... alors!
- J’étais heureux et j’avais un peu de peine
parce que je l’ai fabriqué de mes mains. Je
l’aimais bien, mais j’étais content qu’il parte à
l’aventure pour découvrir le nouveau monde.
- Dès que j’ai lancé mon bateau à l’eau, jai eu
de la peine et après je me suis dit : «Tout le
travail que j’ai fait va vivre une très belle aventure».
Richard Parent, André Dupuis, Germain Charron,
Michel Forget, Marc Ménard, Lorraine Labrosse,
Thérèse Whissell et Claire Tremblay.
3795856
Au nom des citoyennes et
des citoyens de Saint-AndréAvellin, les membres du
conseil municipal félicitent
le journal La Petite-Nation
pour ses 50 ans au service
de notre population.
- Moi, quand j’ai lancé mon bateau, j’étais un
peu triste de le voir partir. Mais j’ai aussi ressenti la vie. C’était pour moi comme une aventure de vie.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 11
Votre air c’est notre affaire
Tout commence par la confiance
L
P
romutuel l’Outaouais est fier
de féliciter La Petite-Nation
pour leurs 50 ans de service
dans la communauté.
Ainsi, les 30 employés retrouveront
des locaux neufs situés à l’ancien
emplacement sur la route 321 d’ici
1er octobre. Ce sera avec plaisir
qu’ils accueilleront les membres
Cette coopérative, référence dans assurés.
le conseil en assurance, profite Promutuel
l’Outaouais
désire
de l’occasion pour annoncer la d’ailleurs remercier ses membres.
construction de son nouveau siège «Grâce à leur appui, les employés
social à Saint-André-Avellin.
ont passé à travers cette épreuve
es propriétaires de
RM,
Réfrigération
Dave Wright et Roy
Lévesque, possèdent ensemble près de 50 ans
dans
le
d’expérience
monde de la climatisation
et de la réfrigération.
difficile», souligne le directeur
général, Gary Thompson.
Robin Saint-Jalmes, gérant et Dave Wright, président
«L’entreprise existe depuis 1981, raconte M. Wright. Nous l’avons acheté
en 1991. Nous avons résidé plusieurs
années sur la route 321, puis nous
avons acheté le bâtiment actuel en
2006.»
LOGO
Réfrigération RM jouit donc d’une salle
de démonstration efficace et possède
aussi un département de pièces pour
appareils ménagers. Toujours à l’affût
de nouveaux défis, l’entreprise vend
maintenant une gamme complète de
produits de chauffage aux granules,
sans oublier le comptoir Sears qui se
trouve aussi à cet endroit.
«Nous sommes toujours présents pour
trouver une solution à un problème. Il
suffit de nous téléphoner ou de venir
nous visiter», souligne M. Wright.
3845287
Réfrigération RM offre plusieurs
services autant au particulier qu’au
commercial: unité murale et centrale,
fournaise électrique, thermopompe, infrarouge et purificateur d’air. Pour voir,
toucher et entendre ces produits, il est
possible de visiter la salle d’exposition
dans les locaux de Réfrigération RM
situé au 3, rue Principale à
Saint-André-Avellin.
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«Pour nous, c’est important
d’offrir un service personnalisé à nos clients. Nous
possédons d’ailleurs un service d’urgence 24 heures»,
précise Dave Wright.
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819 983-6141
3, rue Principale suite 80
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-6555
Luc, Lucie et le Canard Blanc
Les défis sont grands pour ce couple d’expérience. Luc Poupart a été avocat pendant 25
ans et a fait partie des petites équipes qui ont fondé ReMax Québec ainsi que La Capitale
par la suite. De son côté, Lucie Bélanger possède une maîtrise en traduction et a travaillé
en logistique pendant de nombreuses années. Pour son travail elle a voyagé en Asie, en
Europe et en Amérique du Sud.
M. Poupart ne connaissait pas du tout la Petite-Nation avant de rencontrer Lucie. «Ma
première idée était de m’installer dans les Laurentides, mais Lucie connaissait bien
la région et comme nous voulions quitter la ville, c’était le meilleur endroit pour la
poursuite de notre carrière et éventuellement notre retraite. Elle m’a convaincu un jour
de visiter. À force de découvrir le coin et le potentiel futur de la région avec l’arrivée de
l’autoroute 50, je me suis laissé séduire…»
Tout naturellement, le couple s’est lancé dans l’immobilier. «Ce domaine nous permet
de nous intégrer dans la communauté et d’apporter aide et soutien à tous nos clients peu
importe leurs besoins et sans distinction entre eux. Nous aimons rencontrer les gens. Le
couple possède une histoire, mais la maison qu’ils habitent depuis 2 ans a une belle
histoire aussi. La partie avant de cet édifice du 71, rue Principale, a été érigée en 1912.
Ce bâtiment a abrité de nombreuses familles et commerces, dont la famille Filion, un
magasin général, un barbier et plus récemment l’Ébénisterie Bianchi. La propriété a subi
plusieurs transformations et agrandissements au fil des ans.
Luc et Lucie l’ont rénové afin de créer une atmosphère conviviale pour leurs invités et
clients. Les quatre suites sont décorées aux couleurs des saisons et possèdent chacune
une salle de bain. Les clients bénéficient d’un gymnase privé, d’un salon avec écran
géant et de deux bibliothèques et du pub privé « Canard Blanc ».
LUCIE BÉLANGER
Cahier 50 ans La Petite-Nation
12 - www.lapetitenation.com
et
LUC POUPART
«Nous voulons être contributifs pour la Petite-Nation, nous souhaitons créer quelque
chose, combler des besoins, affirme le couple. Et comme nous ne voulons pas n’être
que deux courtiers dans le sens traditionnel du terme, nous avons pensé au gîte. De
cette façon, quand des clients désirent visiter plusieurs propriétés, pour éventuellement
s’installer dans la région, nous les invitons à demeurer dans notre gîte. La région est
grande et la découvrir prend du temps. Avec ces équipements nous transformons la
recherche en une expérience agréable. De plus, avec le temps, les résidants de la région
ont vu dans le gîte un endroit sympathique pour y loger leurs visiteurs, parents et amis».
Même son de cloche pour le centre de formation. Le couple a développé un cours
pour les futurs courtiers immobiliers. «C’est un cours intensif de douze semaines par
correspondance. Une fois par semaine, nous offrons une période de questions virtuelle.
Par la suite, une fois par mois, les élèves viennent passer une fin de semaine de cours
intensif dans notre Gîte», précise M. Poupart. Voir : www.ifci.ca
Évidemment, les produits du terroir sont à l’honneur au gîte. Que ce soit pour la
décoration où la nourriture, les artistes et les commerces locaux sont mis en valeur. Le
Club privé « Canard Blanc » s’adresse d’ailleurs aux principaux acteurs des municipalités
environnantes. «Nous voulons développer un tissu social et économique et favoriser
la visibilité et le réseautage par des activités hebdomadaires qui seront organisées au
Club Canard Blanc. Ainsi, nous prêtons nos locaux pour l’organisation de vernissages,
de conférences et autres. Chaque mois, les membres recevront l’horaire des activités à
venir.» ajoute Lucie Bélanger.
Et pourquoi le nom Canard Blanc? Encore une fois, l’histoire refait surface. Un Algonquin
natif d’Oka vint s’installer dans la Petite-Nation lorsqu’il se maria avec une Iroquoise
originaire de Lac-Simon. Ils vécurent toute leur vie sur l’île du Canard-Blanc au LacSimon et l’Algonquin prit alors le nom d’Amable Canard Blanc. À la mort de sa femme,
il s’installa au village de Chénéville. «Pour survivre, il aurait vendu des souvenirs aux
touristes devenant ainsi l’ancêtre des entrepreneurs de la région», mentionne M. Poupart.
Amable Canard Blanc a été enterré au cimetière de Chénéville.
Pour en connaître davantage sur cette belle histoire, il suffit de faire un arrêt à Chénéville…
et de lire le merveilleux livre de Jean-Guy Paquin « Le pays de Canard Blanc ».
71, rue Principale
Chénéville (Québec) J0V 1E0
819 428-4050
www.gitecanardblanc.com
www.ifci.ca
www.lucetlucie.com
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Il était une fois un couple nommé Luc et Lucie. Ces deux êtres passionnés décidèrent de
s’installer dans la Petite-Nation, plus précisément à Chénéville. Non seulement, ils ont
ouvert un bureau de l’agence immobilière Via Capitale, mais en plus, ils ont créé un gîte
du passant, le Gîte Canard Blanc et un centre de formation.
Bon Anniversaire au Journal de la Petite Nation! Déjà 50 ans!
Matériaux Bonhomme et Le Journal
Au coeur de la Petite-Nation
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Revêtement extérieur * Toiture * Portes et fenêtres * Plomberie * Électricité * Portes intérieures * Moulures
Planchers * Placoplâtre * Quincaillerie
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Au coeur de la petite nation
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 13
Ce positif Michel Blais
Jessy Laflamme
[email protected]
«Si j’ai réussi, c’est grâce aux clients, aux lecteurs et aux employés, souligne d’emblée l’ancien
éditeur de La Petite-Nation, Michel Blais. Comme j’ai été bien entouré, cela explique
pourquoi je suis demeuré aussi longtemps en poste.»
Michel Blais a commencé sa carrière comme conseiller publicitaire au Bulletin en 1983.
Dix ans plus tard, il devient éditeur de La Petite-Nation. «Quand je suis venu rencontrer mon
équipe pour une des premières fois, ça me rappelait mon enfance où lorsque je sortais de
l’autobus, je prenais le journal et l’amenait à mon père», se souvient cet homme natif de
Papineauville.
L’ancien éditeur se considère chanceux. «Devenir éditeur était une opportunité. J’aimais
bien rencontrer les gens et travailler dans le public.»
Michel Blais se souvient des Lamarche. «C’est moi qui ai remplacé Serge au moment de
son départ pour Joliette. J’ai travaillé avec sa sœur, Claude Lamarche qui s’occupait de
l’atelier. Nous avons toujours bénéficié d’une excellente collaboration de cette famille.»
Le journaliste Paul Gauthier a été engagé par Michel Blais. «Il était excellent. Quand il
a commencé, je lui ai expliqué que je désirais une couverture de toutes les municipalités
même les plus petites. Après tout, en 52 semaines, il est possible de faire la une avec un
Michel Blais a occupé le
poste d’éditeur de La
Petite-Nation pendant
16 ans.
événement de chaque village.»
Ainsi, grâce à ce conseil, le taux de lecture de La PetiteNation est passé de 73% à 93%, taux maintenu depuis l’ère Paul
Gauthier.
D’ailleurs, côté rédaction, Michel Blais se considère chanceux.
J’ai toujours embauché de bons employés, que ce soit Paul Gauthier,
Yan Proulx ou Jessy Laflamme.»
Denis Legault reste aussi un incontournable pour Michel Blais. «C’est un gars travaillant,
qui possède la Petite-Nation dans les tripes, autant le journal que la région.»
Souvenirs plus sombres pour l’éditeur : le déménagement dans les locaux actuels de La
Petite-Nation et le changement de distribution du journal.
Malgré tout, Michel Blais garde de bons souvenirs de ses 16 années à la barre de La PetiteNation. Normal puisqu’il est avant tout un être positif. Il pouvait passer une heure avec une
personne choquée dans son bureau à essayer de lui redonner un sourire. De plus, selon lui
chaque problème trouve sa solution et on peut tirer du positif de chaque situation. Paternel
à ses heures, l’éditeur n’aimait pas dire non. «J’ai toujours essayé de faire mon travail du mieux
que j’ai pu. Si j’ai déçu des gens, j’en suis désolé.»
Michel Blais est maintenant à la retraite depuis deux ans. Il profite de ces moments pour
passer du temps de qualité avec ses petits-enfants et faire un voyage à Cuba par année.
Que représente pour vous La Petite-Nation ?
Jessy Laflamme et Michèle
Marchand
Le maire de Boileau, Henri
Gariépy
Ce journal est important, car c’est le
seul qu’on reçoit dans notre
municipalité. Ainsi, c’est le journal
local dans lequel on retrouve un peu les
nouvelles de la région et tout ce qui nous
touche.
Le maire de Chénéville, Gilles
Tremblay
Le maire de Duhamel, David
Pharand
Le journal La Petite-Nation est un
diffuseur d’information écrit de
premier plan pour nos municipalités.
Semaine après semaine il renseigne
nos citoyens sur tout ce qui se passe
dans notre belle région. Longue vie à
ce beau journal.
Le journal est une belle source
d’information et exprime un sens
d’appartenance à la région, C’est un
journal communautaire qui fait éloge
des efforts des citoyens qui
s’impliquent dans leur communauté.
Suite à la page 16
Plaisance : municipalité verte
A
vec les Chutes et le Parc national de Plaisance, la municipalité
de Plaisance est sans contredit la municipalité idéale pour
profiter du plein air.
Il faut dire que Plaisance est la municipalité qui recycle le plus
dans la MRC de Papineau. «En 1997, nous avons fourni un bac de
360 litres à toutes les propriétés de la municipalité, et ce, gratuitement. Cette décision nous a permis d’économiser de belles sommes
au niveau des ordures», affirme la maire.
La municipalité mise sur l’arrivée de l’autoroute 50 en 2012 pour se
développer davantage et attirer de nouvelles familles.
Le ministère des Transports du Québec reprend les routes Papineau et
le chemin de la Presqu’île à partir d’octobre 2011, bonne nouvelle qui
permettra à la municipalité de prendre de l’expansion. «Comme on
désire garder notre école ouverte, nous devons travailler à attirer de
nouvelles familles, souligne Mme Lalande. La maison des jeunes est
d’ailleurs en rénovation présentement et certains vendredis soirs, nous
proposons des soirées jeux de société pour les gens de 30 ans à 60 ans
avec un service de gardiennage.»
Cahier 50 ans La Petite-Nation
14 - www.lapetitenation.com
Les aînés possèdent aussi une place privilégiée à Plaisance. Présentement, la municipalité s’affaire à aménager une maison pour eux.
«Le Complexe funéraire Shields et Berthiaume nous a donné son bâtiment que nous rénovons présentement pour permettre à nos personnes
d’expérience de se réunir», explique Mme Lalande.
On retrouve aussi à Plaisance, le Centre d’interprétation du patrimoine
qui permet à la population et aux visiteurs d’en apprendre davantage
sur l’histoire de ce village.
Bref, Plaisance est une municipalité verte qui mise sur le bien-être de
tous les citoyens et citoyennes à tous les niveaux.
Plaisance rend hommage à La Petite-Nation
«Un journal dans une région est un élément important pour vendre les
villages. Si la municipalité de Plaisance a présentement le vent dans
les voiles, c’est grâce aux gens de chez nous, mais aussi au journal La
Petite-Nation qui nous a toujours appuyée», mentionne Mme Lalande.
Selon cette politicienne, La Petite-Nation est un journal près des
citoyens et citoyennes qui donne toujours l’heure juste autant au
niveau économique que social. «Que la vérité soit bonne ou mauvaise
à entendre, le journal la donne toujours, mentionne-t-elle. Il possède
un sens de la fidélité essentiel dans les petites communautés. Ainsi,
les membres de l’équipe municipale et la population de Plaisance
s’unissent à moi pour rendre hommage à ce média et médium qui
nous a toujours bien servi, et ce, depuis 50 ans.»
www.ville.plaisance.qc.ca
3782067
«On veut offrir un cadre de vie vert à nos citoyens, explique la maire
de Plaisance, Paulette Lalande. Il suffit de penser aux pistes cyclables
et à toutes les installations mises en place pour prôner l’environnement
comme les bacs de recyclage, le compostage et la journée de ramassage annuelle de produits électroniques.»
Qui n’a jamais besoin d’un crayon?
C
’est à la suite d’un souper entre amis que la Papeterie PetiteNation est née. «À cet instant, je n’avais pas d’emploi et
nous voulions obtenir un revenu supplémentaire puisque
notre fille entrait au Cégep», raconte la propriétaire de la Papeterie
Petite-Nation, Céline Guindon.
Ainsi, en juillet 1998, la Papeterie Petite-Nation ouvre ses portes
au 106 rue Principale à Saint-André-Avellin. « Ce type de commerce m’attirait car, ayant suivi une formation en secrétariat,
j’ai toujours aimé le papier et le matériel de bureau. J’aimais
aussi beaucoup magasiner à la Papeterie qui appartenait à Aline
Carrière. Aline nous a d’ailleurs beaucoup aidés à nous lancer en
affaires.»
Au début de l’entreprise, Céline Guindon et son conjoint,
François Lemery, s’associent avec Alain Sabourin et Ginette
Lavigne. Un an plus tard, les parts du deuxième couple sont achetées par Monique Guindon, la sœur de Céline. C’est à ce moment
que la Papeterie Petite-Nation devient une entreprise familiale. En
2008, Karine Lemery, la fille du couple, a racheté les parts de
Monique.
Karine poursuit toujours des études en traduction à l’Université
Laval tout en travaillant au ministère des Transports. Elle prévoit reprendre les rênes de l’entreprise familiale dans quelques années.
«Nous sommes vraiment partis de rien! C’est grâce au soutien de
notre famille et de la Société d’aide au développement de la collectivité de Papineau (SADC) que nous avons réussi à bâtir cet
édifice situé en plein cœur du village», explique Mme Guindon.
L’intérieur de la Papeterie Petite-Nation est haut en couleur et
stimulant, créant une atmosphère accueillante. On y retrouve évidemment tous les articles pour l’école, mais aussi tout ce qui touche la papeterie, le matériel de bureau et de classement.
«Nous misons beaucoup sur la variété des produits. L’année
dernière, nous avions près de trente modèles de sacs d’école pour
satisfaire tous les goûts, dont deux lignes exclusives Louis Garneau. Évidemment, on se fie beaucoup sur les commentaires des
clients pour effectuer nos choix année après année.»
De plus, si le client cherche un objet non disponible en magasin,
la Papeterie Petite-Nation garantit de répondre à la demande dès
le lendemain. «Nous commandons dans la journée afin de recevoir l’item recherché dans les 24 heures.»
La Papeterie Petite-Nation offre la livraison pour les entreprises et
est en contact constant avec les écoles du territoire pour répondre
le mieux possible aux besoins des parents à la rentrée scolaire. «
Nous fournissons également les cahiers d’activités pour les écoles
des environs», précise Mme Guindon.
La Papeterie offre également un service de photocopies couleur,
de télécopieur et une section cadeau où on peut dénicher des jeux
de société, éducatifs ou des casse-têtes.
Les clients peuvent également bénéficier d’une section
d’accessoires informatiques. «Nous avons tout ce qui est connexe
à l’informatique : souris, claviers, CD et des cartouches d’encre à
prix compétitifs.»
La Papeterie Petite-Nation tient à offrir tous ces services à sa
clientèle. «C’est important pour nous que le client trouve ce dont
il a besoin localement. Grâce à leur soutien, nous engageons deux
employés l’été et l’argent reste dans la région, ce qui est important
pour le développement», indique la propriétaire.
Pour ce faire, les propriétaires donnent leur 150% pour satisfaire
leur clientèle. «Plus les gens achètent localement, plus nous sommes en mesure d’offrir des prix compétitifs et des services particuliers.»
La Papeterie Petite-Nation s’adresse à tout le monde, car «Qui
n’a jamais besoin d’un crayon?»
115, rue Principale
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-1544
3747712
Le commerce se développe et l’emplacement au 106 rue Principale devient trop petit. Les propriétaires décident donc, en 2008,
de déménager et de s’installer dans leurs locaux actuels, au 115
rue Principale. Le terrain appartenant déjà au couple, ils y font
construire un bâtiment correspondant à leurs besoins, la conception et le design étant confiés à Erik Maillé et les plans à Pier-Luc
Legris. La construction a été confiée à Construction LC de SaintAndré-Avellin.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 15
Que représente pour vous La Petite-Nation ?
Suite de la page 14
Le maire de Fassett, Michel Rioux
Le journal est notre porte-parole, une
porte d’entrée, pour tous nos citoyens.
En fait, ce sont nos sauveurs, sans eux,
on ne pourrait pas rejoindre les gens.
Je vais tous les jours sur le site
www.lapetitenation.com pour lire les
dernières nouvelles et je lis le journal
électronique une fois par semaine. Je
l’envoie à tous mes proches.
Le maire de Lochaber Canton,
Georges Leduc
Le maire de Namur, Gilbert
Dardel.
Je considère que ce journal me donne
toutes les informations pertinentes de
notre région. Concernant l’actualité,
ce journal me renseigne très bien sur
tous les développements et actions de
mon environnement. Alors, un franc
merci!
La Petite Nation c’est un média
régional et local qui nous donne
l’heure juste et nous tient à coeur
parce qu’il nous rappelle ce qui se
passe dans notre région. J’aime rester
local et régional.
Le maire de Lochaber-PartieOuest, Michel Labrecque
La moitié de la population de ma
municipalité reçoit le Bulletin alors
que l’autre 50% reçoit La PetiteNation. De mon côté, je reçois La
Petite-Nation. J’aime bien ce journal,
car il sent chez nous. C’est le seul
journal que je lis d’un bout à l’autre
La maire de Lac-des-Plages, Josée Simon
C’est une source d’informations et
d’inspiration parce que c’est une petite
région. On est chanceux d’être couvert.
On retrouve dans La Petite-Nation
autant de la culture, des nouvelles et
des publicités. Bref, tout ce qui fait
partie de la Petite-Nation est publié.
C’est un journal de proximité facile à
se servir pour véhiculer les bonnes
comme les mauvaises nouvelles. Il s’est
créé un lien important entre le citoyen de
Lac-des-Plages et le journal. Les gens trouvent
ça important et le demandent quand il n’y en a pas.
Le maire de Montebello, Pierre
Bertrand
Le journal Petite-Nation représente
pour moi un moyen de s’exprimer sur
ce qui se passe chez nous dans le
domaine culturel, sportif, politique ou
autre. Bravo pour ce 50e anniversaire
et longue vie au journal.
La maire de Lac-Simon, Louise
Houle Richard
Le maire de Montpellier, Pierre
Bernier
Le journal est le moyen de
communication pour la population de
la Petite-Nation. Je reste ici depuis
2009 et je lis fréquemment ce journal.
Sans lui, la coordination de tout ce qui
se passe dans le coin serait difficile.
Le journal La Petite-Nation est
extrêmement important dans une
région comme la nôtre, car c’est le
seul
organisme
qui
parle
essentiellement de nous. Il contient
toutes les informations sur notre
région et nos municipalités.
Le maire de Notre-Dame-deBonsecours, Denis Beauchamp
C’est
notre
journal
régional
hebdomadaire de la Petite-Nation
pour qu'on sache tout ce qui se passe
dans la région. On en a besoin sinon
on ne saurait pas ce qui se passe.
Le maire de Papineauville,
Gilles Clément
Le journal est un excellent outil de
promotion, c’est d’ailleurs, lors des
dernières années, le principal outil de
communication de la municipalité.
Nous jouissons d’une bonne
collaboration pour faire connaître le
milieu et ses activités. Le journal
soutient les organismes et met de la
vie dans les municipalités. Bref, c’est
un excellent outil. Je tiens à féliciter
toute l’équipe pour leur excellent
travail qui me permet d’être bien informé
de ma région.
Le maire de Plaisance, Paulette
Lalande
Le journal La Petite-Nation est tout
pour moi. C’est le médium pour
donner des nouvelles et pour dire au
monde ce que l’on fait.
Suite à la page 20
Trente ans de vision pour Iris Papineauville
Comme c’est bien connu, on fait les choses sérieusement
à cette clinique, mais on ne se prend pas au sérieux. C’est
d’ailleurs l’une des raisons qui poussent cette femme d’affaires et optométriste, Diane G. Bergeron à aimer encore son travail après 30 ans de pratique.
«Chaque client est différent et on ne peut pas parler de routine. Les
enfants que l’on examinait à leur entrée à l’école sont devenus adultes
et viennent maintenant avec leurs propres enfants et souvent aussi leurs
parents. On côtoie ainsi différentes générations», précise-t-elle.
L’ambiance est tellement agréable chez Iris Papineauville qu’une de
leurs employées, Mme Carole Méley, y travaille depuis 30 ans. «L’esprit
du bureau est très convivial autant avec les patients qu’entre les cinq
membres du personnel, précise Dre Bergeron. La clinique a déménagé
deux fois pendant ses trente ans de vie. «J’ai commencé dans les locaux
de la clinique dentaire Bergeron Payette Rail, raconte-t-elle. Ensuite,
nous avons déménagé dans le petit centre commercial à côté du Centre local d’emploi de Papineau. En 2004, comme nous avions besoin
d’espace supplémentaire, nous avons déménagé dans notre local actuel situé au 301, rue Papineau à Papineauville.» Cette entreprise s’est
Cahier 50 ans La Petite-Nation
16 - www.lapetitenation.com
Diane G. Bergeron, o.d.
Optométriste
démarquée à quelques occasions. En 2005, elle a
remporté la catégorie Meilleure entreprise de service
lors du Gala de la Chambre de commerce Vallée de
la Petite-Nation, prix aussi gagné lors du gala 2010.
En plus d’être repartie avec ce trophée, le Dre Diane
Bergeron s’est aussi méritée celui de Meilleure entreprise de moins de dix employés en 2010.
Afin d’être à la fine pointe de la technologie, le Dre
Bergeron a investi près de 100,000$ en instrumentation depuis 5 ans; ainsi il est plus facile de dépister les problèmes de
santé oculaire comme le glaucome ou les complications du diabète.
Les patients peuvent également effectuer certains examens de contrôle
ophtalmologiques à Papineauville au lieu de se déplacer continuellement à Gatineau, Ottawa, Laval ou Montréal.
Dre Bergeron tient à sensibiliser la population sur l’importance des
yeux. «Ce sont deux petits diamants irremplaçables dont il faut absolument prendre soin, indique-t-elle. On peut arrêter un problème, limiter
les dégâts mais on ne peut pas redonner ce qui est perdu quand le
patient consulte trop tard…»
Même si Dre Bergeron désire alléger son horaire, elle espère pouvoir
encore pratiquer une bonne dizaine d’année. «Je suis présentement à
la recherche de relève pour partager la gestion de la clinique et ainsi
pouvoir me concentrer davantage sur les consultations puisque j’adore
toujours le contact avec le public.»
301, rue Papineau
Papineauville (QC) J0V 1R0
819 427-5838 1-888-427-5838
Courriel : [email protected] www.iris.ca
3756239
L
a Clinique d’Optométrie Iris Papineauville a fêté
ses 30 ans d’existence en janvier dernier. «On ne
réalise pas toujours que les années passent si vite,
la première fois que nous en avons pris conscience,
c’est quand nous avons engagé une assistante qui était
plus jeune que la clinique… » indique à la blague Dre
Bergeron.
L’expérience au service des gens
L
es pièces d’autos, la famille Piché est
tombée dedans depuis leur naissance.
Et c’est fort de leur grande expérience et
de leur service de première main qu’ils
continuent de répondre aux besoins des gens
de l’Outaouais.
Pièces Piché est présent en
Outaouais depuis 57 ans
quand le premier commerce
a ouvert à Maniwaki. Les
enfants de la famille ont pris
la relève dès leur jeune âge pour poursuivre le
travail amorcé. Deux autres établissements se
sont joints à la famille depuis, soit une succursale dans le secteur de Buckingham en 2000 et
à Papineauville en 2008.
Pierre Piché
42 ans
d’expérience
Tout est donc mis en de l’avant pour répondre aux moindres
besoins de la clientèle de Pièces Piché. C’est ce qui a permis à
l’entreprise de poursuivre ses activités depuis maintenant 57 ans,
un exploit important.
FÉLICITATIONS!
L’entreprise de pièces d’auto sait donc ce qu’il faut pour survivre 50
ans dans un milieu commercial. Elle en profite donc pour saluer le
travail de la Petite-Nation au cours des cinq dernières décennies.
«On se doit de féliciter La Petite-Nation qui est là depuis 50
ans. Un journal, c’est important. La Petite-Nation a toujours été
là pour offrir un service aux commerçants et à la population de la
région.»
Rock Piché
39 ans
d’expérience
Ayant grandi dans ce domaine, la famille Piché a vu évoluer le milieu
automobile et des pièces et peut ainsi répondre rapidement et surtout spécifiquement aux
questions des clients qui cherchent la bonne
pièce pour réparer leur véhicule.
Sylvain Piché
32 ans
d’expérience
C’est ce qui a toujours fait la fierté de Pièces
Piché. «Pour nous, c’est important que le client ait la bonne pièce au bon moment, soutient Pierre Piché. Il n’est pas obligé d’attendre
ou de revenir parce que ce n’est pas correct.»
SUCCURSALE DE GATINEAU
925, CH. DE MASSON - 819 986-7805
Cette satisfaction du service passe en grande
partie par l’excellence des employés de la compagnie, dont plusieurs sont fidèles à l’entreprise
depuis plus de 20 ans. «Ce sont des gens qui
connaissent leur métier et qui aiment leur profession», affirme M. Piché.
Et cet amour et connaissance du métier se
traduit dans le service offert aux clients qui
l’apprécient. «C’est avec ça qu’on a réussi à
fidéliser notre clientèle. On donne satisfaction
au client.»
Simon Piché
27 ans
d’expérience
PIÈCE DE QUALITÉ
Le service est important, mais la marchandise
offerte est aussi un atout majeur pour Pièces
Piché. L’entreprise est affiliée depuis son ouverture avec UAP, devenu depuis quelques
années NAPA.
Grâce à cette association avec cette entreprise de renom, Pièces Piché offrent donc à
sa nombreuse clientèle une gamme de pièces
dont la qualité est reconnue dans le milieu de
l’automobile. Des pièces solides, durables et
à bon prix.
Et avec ses trois succursales partout en Outaouais, Pièces Piché
compte sur un inventaire de près de deux millions de pièces automobiles à porter de main. L’entreprise est donc en mesure de
répondre rapidement aux demandes des clients, toujours dans le
but d’assurer un service rapide et professionnel.
SUCCURSALE DE MANIWAKI
145, RUE PRINCIPALE SUD - 819 449-3630
3846112
Daniel Piché
10 ans
d’expérience
SUCCURSALE DE PAPINEAUVILLE
359, PAPINEAU - 819 427-6257
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 17
Fidèle depuis 1961
T
out comme La Petite-Nation, le
Tigre Géant de Papineauville fête
ses 50 ans cette année. Ce Tigre
Géant fait partie d’une chaîne de magasins
d’escompte familial franchisés canadiens
par excellence.
Pour souligner leur demi-siècle d’existence,
une fête avec barbecue et musique sera organisée le 7 mai prochain. Cela donnera
l’occasion aux consommateurs de découvrir
les produits de base reconnus que nous vendons tous les jours à petits prix. Notre vaste
sélection de produits nous permet de répondre aux besoins familiaux et ménagers de nos
clients à Papineauville.
L’année 2011 a commencé, pour les
vingt-trois employés de Papineauville, dans
le réaménagement. Du 1er au 21 janvier, le
magasin a tout simplement changé de décor.
« Nous avons réaménagé les rayons de vêtements pour hommes, femmes et enfants
et avons repensé nos nouvelles cabines
d’essayage, précise Daniel Paquet, propriétaire du magasin. Nous avons effectué tous
ces changements dans le but de simplifier
l’expérience de magasinage de nos clients
et de rendre les allées plus accessibles. Plusieurs personnes ont l’impression, lorsqu’ils
entrent dans notre magasin, que nous l’avions
agrandi.
Nous avons simplement permis à nos clients
de mieux respirer pendant qu’ils font leurs
emplettes. »
Après tout, l’objectif principal du Tigre Géant
de Papineauville est d’être attentif à la clientèle dans toutes les facettes de l’entreprise.
La compétence, la contribution et l’esprit
d’équipe des employés, ainsi que leur dévouement envers l’entreprise ne peuvent
qu’être des avantages pour notre clientèle.
« Notre entreprise a pour but d’être le chef de
file en matière de rapport qualité-prix dans
les communautés que nous desservons, tout
en offrant à notre clientèle une expérience
de magasinage rapide, chaleureuse et amusante », affirme M. Paquet.
!
Célébrons 50 ans de succès!
Merci à tous!
Daniel Paquet, propriétaire
PAPINEAUVILLE
2011
3845309
1961
3844702
"#
144, rue Papineau
Papineauville (Québec) J0V 1R0
819 427-8163
Pour la demeure qui vous tient à cœur
À
l’âge de 25 ans, Nathalie Laflamme prévoyait déjà devenir courtière
immobilière à 40 ans. Les circonstances de la vie l’ont poussé à réaliser
son rêve avant le temps soit en 2005.
Consacrée meilleure agent vendeur en 2010 dans l’équipe Remax de
Buckingham, on peut affirmer sans se tromper qu’elle a pris la bonne
décision.
«À 25 ans, mes priorités étaient ailleurs, raconte-t-elle. Aujourd’hui, je suis plus
disponible, car il faut se l’avouer, l’immobilier, c’est du sept jours sur sept.
Chaque matin, elle se lève dans l’espoir d’aider une famille ou des gens à
réaliser leur rêve : l’achat d’une première maison.
«C’est un métier passionnant puisqu’il touche à plusieurs aspects de la
vie, dont le côté humain, le marketing, l’aspect légal et même parfois la
psychologie.»
Son objectif à long terme est de promouvoir la Petite-Nation afin d’attirer
de nouvelles familles et garder celles déjà établies dans la région. Selon la
courtière, pour ce faire, il faut axer sur le fait que la Petite-Nation est le pivot
qui relie Montréal, Gatineau et Tremblant, un fort avantage!
Il faut dire que Nathalie Laflamme a la Petite-Nation tatouée sur le cœur. «Même
si je suis Franco-Ontarienne, j’ai décidé d’élever mes enfants ici. Chaque matin,
je prends le temps de parcourir les sentiers pédestres tout près de chez-moi. La
Petite-Nation est, selon moi, synonyme d’une belle qualité de vie.»
Évidemment, la courtière
n’a pas remporté le titre
de meilleur agent vendeur sans effort. «Je suis
des formations de façon
continue
afin
d’être
toujours à jour et d’offrir
un bon suivi auprès de ma
clientèle avant, pendant et
après la vente.» Et j’ai obtenue depuis peu une certification de la qualité au
service à la clientèle (QSC),
j’en suis très fière.
Toujours dans le but
d’offrir
un
excellent
service à la clientèle,
Nathalie Laflamme a engagé une adjointe récemment. «J’essaie d’éviter que
mes clients tombent sur une boîte vocale, maintenant, ils seront en mesure
d’obtenir une réponse. Le contact humain est très important pour moi.»
Pourquoi Remax? «C’est une bannière internationale avec le site le plus visité au Québec. Elle offre une visibilité intéressante et elle est impliquée dans
Opération enfant soleil, une cause qui me tient à cœur»
Cahier 50 ans La Petite-Nation
18 - www.lapetitenation.com
819 773-0131
[email protected]
www.remaxquebec.com
3768865
La marque de commerce de Nathalie Laflamme :
la constance, la disponibilité et l’honnêteté.
La Fondation Santé de Papineau
et La Petite-Nation :
une collaboration essentielle!
D
epuis 1990, la contribution de la Fondation Santé
de Papineau est indispensable. Ayant vu le jour il
y a un peu plus de 20 ans, la Fondation se charge
d’établir, organiser, solliciter, maintenir et administrer des
fonds pour promouvoir l’amélioration des soins et des
services de santé à l’Hôpital de Papineau.
Représentatif des gens qu’elle sert, la Fondation Santé de
Papineau compte sur un conseil d’administration dévoué
et composé de gens de la Vallée-de-la-Lièvre et de la
Vallée de la Petite-Nation qui connaissent plus que bien
les enjeux liés à la santé sur le territoire.
Le travail de la Fondation Santé de Papineau donne
un sérieux coup de main au Centre de santé et de
services sociaux (CSSS) de Papineau. Depuis ses débuts,
la Fondation a recueilli 5,5 M $ à travers diverses
activités de levées de fonds. À titre d’exemple, la
campagne annuelle de l’organisme a permis de récolter
à elle seule 2 080 233 $. Le tournoi de golf V.I.P.,
organisé annuellement, représente un profit total de
1 038 750 $. La course de canards totalise 363 615
$. Ce sont 80 352 $ qui ont pu être amassés grâce à la
vente d’un sou. La Boutique « Juste pour toi » a pu récolter
648 566 $ qui ont été remis à la Fondation. De plus,
la Fondation a lancé une nouvelle activité cette année,
le souper gastronomique, qui lui a permis d’amasser
6 208 $.
Tout cet apport a permis l’acquisition de plusieurs
équipements médicaux spécialisés qui sont maintenant
disponibles à l’Hôpital de Papineau. Entre autres, on
compte parmi ces appareils, un tomodensitomètre, un
appareil de radioscopie, un appareil d’échographie, des
lits électriques, un respirateur de transport et la liste est
encore très longue. Au sein des nouveaux équipements,
il est primordial de noter l’ouverture en février 2012
de l’unité satellite d’hémodialyse qui prendra place
à l’Hôpital de Papineau et qui assurera un service de
proximité pour toute la population de la Vallée de la PetiteNation. Les personnes aux prises avec des problèmes
d’ordre rénal n’auront plus à se déplacer au centre-ville
de Gatineau. Tout ne s’arrête pas là alors que la campagne
annuelle 2011 vise à permettre la mise en place d’un
laboratoire pulmonaire au sein de l’établissement, ce
qui s’ajoute à la liste des services de proximité offerts par
l’Hôpital de Papineau.
Par ailleurs, l’Hôpital de Papineau est aussi avantgardiste grâce à la Fondation qui affiche un tableau de
reconnaissance électronique qui permet à la fois de
remercier les donateurs et de diffuser les objectifs et
réalisations des activités de la Fondation. Il s’agit d’un
projet innovateur à l’ère de la technologie, le premier du
genre au Québec.
La capacité de la Fondation Santé de Papineau à soutenir
le CSSS de Papineau dépend de ses fidèles donateurs et du
support constant et précieux de ses bénévoles. Leur
loyauté et leur dévouement permettent à la Fondation de
prendre encore plus d’ampleur.
Avec des besoins en santé de plus en plus criants, la
population est consciente qu’en plus d’un personnel
médical compétent, il faut compter sur des équipements
à la fine pointe de la technologie. Voilà où la Fondation
Santé de Papineau entre en jeu.
La Fondation Santé de Papineau tient à féliciter La PetiteNation, son fidèle partenaire depuis un peu plus de
20 ans, pour ce louable 50e anniversaire. Meilleurs vœux
de santé, longévité et sincères remerciements pour son
appui continu.
3830498
FONDATION SANTÉ
DE PAPINEAU
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 19
Que représente pour vous
La Petite-Nation ?
Suite de la page 16
Tout le monde lit La Petite-Nation de la première à la dernière
page. Au cours des années, ce journal a acquis une notoriété
pour informer les gens de façon véridique autant dans le monde
municipal, sportif, économique et communautaire. L’équipe de
rédaction trouve toujours l’article adéquat qui décrit bien les
situations qui se passent sur notre territoire. C‘est un gros
avantage d’avoir un médium à l’affût de tout ce qui se passe et
de pouvoir compter sur leur présence à tous les événements.
C’est d’ailleurs pour ces raisons qu’ils sont vrais.
La maire de Ripon, Luc
Desjardins
C’est un bel outil de communication
pour notre région. Il est indispensable
pour la MRC pour que les liens se
fassent entre les communautés. C’est
un outil important.
La maire de Saint-André-Avellin,
Thérèse Whissell.
Le maire de Saint-Sixte, André
Bélisle
Un journal, ça représente beaucoup,
c’est de l’information que l’on peut
faire parvenir à tout le monde de la
Petite-Nation. Je trouve que c’est très
important pour une région. Le journal
répond à mes attentes et nous vivons,
avec l’équipe, une très bonne
collaboration.
C’est une entité ancrée dans notre
quotidien. Je me fais un devoir de le
regarder. J’aime bien éplucher ce
journal, car ça sert à beaucoup de
choses.
Le maire de Saint-Émile-deSuffolk, Michel Samson
Le maire de Thurso, Maurice
Boivin
Je souhaite à La Petite-Nation de se
concevoir pendant les 50 prochaines
de
années comme un outil
communication pour l’ensemble de
la communauté. Pour l’instant, on
imagine mal comment une seule
journaliste sur tout le territoire peut
accomplir cette mission. Selon moi, la
Petite-Nation mérite mieux. Les 50 prochaines
années de La Petite-Nation devraient être synonymes de
développement dans l’esprit de ce que la Petite-Nation
représente pour nous.
Depuis 50 ans, le journal La PetiteNation a accompagné les citoyennes
et citoyens de notre région en terme
d’informations. À ce titre, le journal
fut et est la courroie de diffusion, par
excellence, des activités de nos
communautés. Bon 50e.
Qu’ont en commun la Binerie, l’Aubergine et Calypso’s ?
E
M. Marakis n’est pas avare sur la quantité. Les
assiettes de ses restaurants sont bien remplies.
On peut toujours compter sur de bonnes portions.
Ensuite, il s’est exilé à Thurso pour s’occuper
de la cuisine à l’Escale. Puis, l’opportunité
de devenir propriétaire s’est présentée à lui
en 2004. C’est à ce moment qu’il a acheté la
Binerie.
La qualité du service est aussi primordiale
pour le chef et sa partenaire, Nathalie Vallée.
En 2009, toujours passionné par la restauration, il décide d’ouvrir l’Aubergine à SaintAndré-Avellin. La qualité des aliments est une
priorité pour ce chef. Il tient à toujours offrir
des assiettes de qualité.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
20 - www.lapetitenation.com
Aubergine
81, rue Principale
Saint-André-Avellin (Qc) J0V 1W0
819 983-3311
Les spécialités de ces deux restaurants sont
les plats grecs et italiens, mais aussi les petits
déjeuners. En fait, Emmanuel Marakis a été le
premier à offrir des déjeuners autres que des
œufs et du bacon. Encore aujourd’hui, ses
menus proposent plusieurs choix.
Le chef cuisinier ouvrira bientôt son troisième
restaurant Le Calypso’s à Hawkesbury dans
Binerie
109, rue Galipeau
Thurso (Québec) J0X 3B0
819 985-3311
l’ancien local du Mikes. M. Marakis est certain de tirer son épingle du jeu à cet endroit
grâce notamment à son bon emplacement.
Ce nouveau restaurant se spécialisera dans les
pâtes et les grillades et, évidemment, les petits déjeuners. M. Marakis invite les gens de la
Petite-Nation à découvrir son nouveau menu
lors de leur passage à Hawkesbury.
Ces trois restaurants comptent sur une équipe
de près de 60 employés.
M. Marakis et Mme Vallée tiennent à remercier tous les clients qui les ont encouragés au
cours des années.
Calypso’s
358, Main
Hawkesbury (On)
613 632-2888/2899
3773810
mmanuel Marakis est arrivé au Canada
en 1982 puis en 1992 à Saint-AndréAvellin où il a travaillé dans une cuisine
pendant 4 ans.
Une entreprise en béton
R
aymond Asphalte est une entreprise familiale créée il
y a maintenant 39 ans. «J’ai toujours travaillé dans ce
domaine, j’ai commencé cette carrière à l’âge de 19 ans.
Quand j’ai décidé d’ouvrir à mon compte, je travaillais au pic
et à la pelle», raconte le propriétaire, Raymond Ladouceur.
s"ÏTONPRÏPARÏ
s#OMMERCIAL
s2ÏSIDENTIEL
s!GRICULTURE
Jamais M. Raymond Ladouceur et Mme Diane Gagnon
n’auraient pensé que leur entreprise prendrait une telle
ampleur. Aujourd’hui, leurs fils Daniel, Marco et Dominic
travaillent à leurs côtés. « Quand j’ai commencé, c’était une
toute petite entreprise, si je suis rendu là, comme tout homme
d’ailleurs, c’est parce qu’il y avait une femme derrière moi…»,
souligne M. Ladouceur.
Concrètement, Raymond Asphalte effectue du pavage, de
l’excavation, des fosses septiques, du concassé, de la démolition, de la distribution de sable et de la pierre de drainage.
Elle est la seule carrière de la Petite-Nation productrice de
pierres concassées.
« On s’arrange toujours pour offrir un service rapide. Grâce
à nos sept camions de livraison ainsi que nos excellents
employés, nous sommes en mesure de satisfaire la clientèle.
Nous possédons aussi un camion spécialisé pour étendre de la
pierre dans les caves ».
4ERRASSEMENTsEXCAVATIONsGRAVIER
sCONCASSÏsSABLEsTERRE
En 2007, Raymond Ladouceur a réalisé l’un de ses rêves :
mettre sur pied une entreprise en béton. Effectivement, Béton
Petite-Nation a vu le jour il y a quatre ans. «Nous sommes
les seuls à offrir du béton préparé en usine complètement
informatisée sur le territoire, ce qui assure une qualité
constante du béton», affirme M. Ladouceur.
« Raymond Asphalte est
fier d’être le plus vieil
annonceur du journal
La Petite-Nation.»
Cette entreprise offre du béton pour les projets résidentiels, commerciaux et agricoles et différents ajouts pour
les bétons spéciaux tels que la fibre structurale, accélérant,
retardant, air entraîné et super plastifiant.
Raymond Asphalte est fier d’être le plus vieil annonceur du
journal La Petite-Nation. Depuis 39 ans, cette entreprise
publicise fréquemment ses services.
3848593
Raymond Asphalte
Béton Petite-Nation
695, ch. Philias-Ladouceur
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-2223
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 21
À l’époque où
Jessy Laflamme
3851379
[email protected]
Un nouveau point de vente de Nautique
(Bateau de marque Legend, Mercury) au
403 des Oblats
Maniwaki (J9E-1H1)
819-449-5325
1087, Chemin de Montréal, Gatineau (Qc) 819-986-3595
www.chartrandyamaha.com
Encore aujourd’hui, on se souvient des Lamarche,
ancienne famille propriétaire de La Petite-Nation pour
leurs opinions parfois tranchantes.
Le père, Jacques Lamarche, a commencé à rédiger
des éditoriaux en 1974. En 1977, il achète le journal. Le
1er janvier 1979, son fils Serge Lamarche prend la barre
du journal. «En bon père de famille, il m’a laissé la
place», raconte Serge.
Pour les Lamarche, il était primordial d’écrire un
éditorial par semaine. «Comme nous sommes des
intellectuels, c’était important de nous impliquer et de
donner des opinions dans le journal, c’était notre façon
de nous impliquer et de nous engager», raconte Serge.
Les fusions municipales, certaines décisions du
CLSC et l’incapacité de la MRC à agir sans subvention
ou pression sont des exemples de sujets qu’a épluchés
Serge Lamarche à plusieurs reprises.
«La plus grosse folie dont je me rappelle est la fois où
la Maclaren (Fortress Cellulose Spécialisée maintenant)
offrait à la MRC gratuitement tous leurs sentiers de
chemins de fer de Thurso à Duhamel. Les propriétaires
de ces terrains se sont offusqués et ont demandé à la
Maclaren de leur recéder leurs terres à cause d’une
possible nuisance de bruit. Les maires ont soutenu les
citoyens et ont laissé tomber cette opportunité de
posséder, gratuitement, un futur corridor touristique.»
Serge Lamarche se souvient aussi de l’implication du
journal dans le Mont Grand Pic, aujourd’hui nommé
les Montagnes noires. «C’est la première fois qu’on
voyait un projet régional prendre autant d’ampleur»,
affirme M. Lamarche. Sa seule tristesse est justement
l’échec de celui-ci.
L’ancien éditorialiste et éditeur se considère
chanceux d’avoir pu exprimer ainsi son opinion au cours
des années. «Les maires avaient pour mentalité, parlezen en bien ou en mal, mais parlez-en. Ils me laissaient
donc aller. C’est certain que j’attaquais toujours les idées
et non les gens directement. J’avais vraiment du plaisir,
car je pouvais écrire ce que je voulais.»
Encore aujourd’hui, M. Lamarche possède des
opinions. «C’est certain qu’avoir été en poste, j’aurais
pris position contre la fusion du CLSC. Perdre des hauts
dirigeants dans une région comme la nôtre nuit au
développement local et économique.»
Par contre, Serge Lamarche ne regrette pas son
départ du journal. Il a terminé sa carrière comme
enseignant à l’école Louis-Joseph-Papineau, ce qui l’a
comblé. Maintenant à la retraite, il profite du temps
pour voyager.
Les Lamarche ont aussi effectué un saut vers
Buckingham. En 1980, ils ont acheté le journal Le
Bulletin. Ils l’ont revendu moins de deux ans plus tard.
Ensuite, plusieurs propriétaires ont pris la barre du
journal : Publications Dumont, Cogeco et
Transcontinental. Serge Lamarche est resté éditeur
pendant 16 ans à La Petite-Nation malgré tous ces
changements. «Nous avions vendu à cause de la
concurrence en 1985, nous n’étions plus en mesure de
survivre», relate M. Lamarche.
Une évolution technologique
Serge Lamarche se rappelle encore avoir investi près
de 16 000$ en 1977 pour imprimer des textes et des
Une visite égale plusieurs découvertes
Aujourd’hui, on y retrouve toujours des cours d’aqua-gym, un
sauna et deux salles de bronzage l’une avec une machine couchée
et l’autre avec une machine debout.
En 2006, M. Dupuis fait l’acquisition d’une entreprise
d’importation. Il crée l’entreprise Import Action. Puis en 2009,
le gymnase se transforme en salle de démonstration pour les objets achetés en Indonésie et revendus dans plusieurs boutiques du
Québec et de l’Ontario. «J’achète les produits en Indonésie, car
je sais que les enfants ne sont pas exploités à cet endroit. Tous
les enfants vont à l’école. De plus nous pratiquons seulement du
commerce équitable et nous remettons un don à la fin de l’année
à un organisme venant en aide aux enfants de là-bas», explique
M. Dupuis.
«Les gens
n’ont pas à
être gênés.
Ils peuvent
venir nous
v i s i t e r.
Que
ce
soit pour
voir la piscine, les
salles de
bronzage,
le sauna
ou encore
la salle de
démonstration,
nous sommes toujours ouverts et prêts à les accueillir», affirmet-elle.
Import Action vend des objets de décoration tel que cadres,
lampes, arrangements floraux, masques, sculptures, meubles,
Il est aussi possible de découvrir les objets importés sur le site
www.importaction.ca.
En 2002, Santé vous bien se greffe à l’entreprise puisque Sylvie
Lavarière a terminé un cours de naturopathe axé sur la Nutrition
et l’alimentation saine ainsi qu’un cours de Massothérapie et de
soins corporels.
«J’offre aux gens des programmes de pertes de poids. Je m’assoies
avec eux pour connaître leurs habitudes de vie et leur proposer
une méthode sur mesure à chacun d’eux», explique-t-elle.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
22 - www.lapetitenation.com
miroirs et bien plus encore.
Mme Lavarière achète également des bijoux, des foulards
et des paréos de la Thaïlande et de l’Indonésie qu’elle revend dans
plusieurs boutiques et dans sa salle de démonstration à Papineauville.
Mi-Syl Santé
et Import Action
154, St-Denis
Papineauville (Québec) J0V 1R0
3841602
S
ylvie Lavarière et Michel Dupuis ont installé Mi-Syl Santé à
Papineauville sur la rue St-Denis en 1997.
l’opinion réglait
Serge Lamarche a occupé le poste d’éditeur de La
Petite-Nation pendant 16 ans.
Les dirigeants, la direction générale
et les employés de la Caisse populaire
Desjardins de la Petite-Nation se joignent
à toute l’équipe du journal pour célébrer
ses 50 ans d’existence!
Ce journal local est présent dans la
région depuis 50 ans …
Ce rendez-vous hebdomadaire
est un engagement et une responsabilité
envers plus de 10 000 lecteurs …
L’expérience, bien qu’enrichissante, n’aura pas duré.
Ainsi, l’ancien éditeur de La Petite-Nation, est revenu
dans son patelin pour y enseigner, prendre sa retraite et
partir : «les deux pieds devant.»
Félicitations!!!
Relève
Le fils de Serge Lamarche, Louis-Dominique a
commencé sa carrière en montage à La Petite-Nation.
Maintenant, il est un patron au Journal de Montréal.
SIÈGE SOCIAL
Comme le respect de la vérité assure celui de la liberté,
slogan qu’on retrouve sur la une du journal, a été créé par
les Lamarche.
105, rue Principale,
Saint-André-Avellin Qc J0V 1W0
819 983-7313
www.desjardins.com/caissedelapetitenation.com
3768925
titres. «Notre priorité était de produire le
journal de façon locale, explique-t-il.
C’est pourquoi nous effectuions le
montage directement dans nos bureaux à
Saint-André-Avellin.»
Seule l’impression s’effectuait à
Gatineau. Un délai de 36 heures était
nécessaire entre le moment d’envoyer le
journal et de le recevoir. Aujourd’hui, le
même travail s’effectue en moins de 12
heures.
La famille avait aussi conçu une
chambre noire pour le développement
des photos. «Pour ce faire, nous avions
acheté une machine qui pesait 900 livres
au coût de 20 000$», se souvient M.
Lamarche.
À l’époque, lorsque La Petite-Nation est devenue
gratuite, les journaux étaient distribués directement par
la poste. «J’avais engagé Pierre Massicotte, se remémore,
M. Lamarche. Chaque semaine, il allait chercher les
8000 journaux à l’imprimerie. Ensuite, il faisait le tour
des bureaux de poste. Ainsi, le lendemain, tout le monde
recevait sa copie.»
Serge Lamarche a quitté La Petite-Nation lorsque ses
patrons lui ont demandé de s’occuper d’un autre journal :
celui de Joliette. «Je ne pouvais pas refuser cette offre et
comme cette ville est la capitale de la musique, ma
femme Marthe y voyait aussi une occasion», explique-til.
TV Gauthier Stéréo Plus toujours en évolution
En 1977, son fils Gaétan a pris les rênes de l’entreprise. «J’aime bien
le domaine de l’électronique, car c’est en constante évolution, il faut
toujours se mettre à jour, suivre les tendances et relever de nouveaux
défis», affirme-t-il.
Au départ, le magasin comptait 450 pieds carrés. En 1987, Gaétan
Gauthier agrandit et grimpe ce chiffre à 1200 pieds carrés afin d’ajouter
des matelas Sealy et des électroménagers General Electric.
«Il faut dire qu’à l’époque, tout prenait plus de place, raconte-t-il. Il suffit
de penser aux grosses chaînes stéréos et les télévisions en bois.»
Toujours en constante évolution, TV Gauthier s’associe à Stéréo Plus en
1996. «Grâce à cette franchise, nous sommes en mesure d’offrir une plus
grande gamme de produits
à des prix compétitifs »,
précise le propriétaire.
Pour TV Gauthier, l’année
96 rimait aussi avec l’arrivée
de l’informatique et des
ordinateurs portatifs. «Nous
étions la seule entreprise de
la région à offrir un service
en informatique complet à
ce moment », mentionne
M. Gauthier.
En 2007, le comptoir de service
Télébec s’installe au 169, rue
Principale. TV Gauthier Stéréo Plus
offre maintenant une panoplie de
cellulaires, mais aussi un service
de téléphonie et Internet pour le
domicile.
Actuellement, l’une des grande
force de cette entreprise est
la vente et l’installation, avec
technicien sur place des produits
de réception par satellite Shaw Direct et Bell Télé
Évidemment, TV Gauthier Stéréo Plus offre toujours la vente et la
réparation d’appareils électroniques, l’informatique, la vente et service
de cellulaire en plus de la vente de matelas et d’électroménagers.
TV Gauthier compte sur l’expertise de quatre employés pour bien
répondre aux besoins de la clientèle.
« Comme nous sommes une petite surface, nous pouvons offrir un
service personnalisé à nos clients. Nous pouvons les guider dans leur
démarche d’achat. Nos conseillers prêtent un attention particulière à
leurs besoins et à leurs problèmes. De plus, nous offrons un service
complet, soit la livraison, l’installation et le service après-vente sur tous
nos produits », précise M. Gauthier.
Un arrêt au 169, rue Principale surprend toujours. On y retrouve un
vaste choix d’électroménagers et d’appareils électroniques. Une visite
vous convaincra.
Gauthier TV Stéréo Plus
169, rue Principale
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2133
3756387
T
V Gauthier a vu le jour en 1964. Robert Gauthier réparait des
télévisions dans son sous-sol tout en travaillant ailleurs. Puis, en
1970, il a décidé de s’établir à l’emplacement actuel au 169, rue
Principale à Saint-André-Avellin.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 23
Déjà plus de 20 ans...et to
Rossignol a fêté ses 20 ans en 2010. C’est impressionnant de constater l’évolution de cette entreprise. C’est
par la force du travail et le leadership que les propriétaires Nancy Fontaine et Martin Rossignol ont réussi à
faire grandir leur entreprise.
extérieures. Inspiration et satisfaction garanties, voilà
la vision des propriétaires.
Le couple a lancé l’entreprise à Gatineau en 1990.
Seulement onze années s’écoulent avant qu’ils
acquièrent des terres agricoles à Saint-André-Avellin
afin de favoriser l’intégration verticale de l’entreprise.
Maintenant, Rossignol produit leur gazon, leurs
arbres et arbustes. Ils sont conscients d’avoir une bonne
équipe autour d’eux qui s’élève à plus de 40 employés
en haute saison. L’entreprise possède également
plusieurs camions et équipements pour satisfaire à la
demande croissante de l’Outaouais.
La mission de Rossignol est de rendre concrets les rêves
et les projets d’aménagement paysager de leurs clients
en leur procurant les meilleures idées, les meilleurs
produits, les plus belles conceptions et réalisations
En effet, chez Rossignol on trouve de tout pour
l’extérieur et les services offerts sont nombreux et
de qualité; conception de plans, et réalisation de :
rocailles, patios, engazonnement, bassins d’eau, trottoirs, ainsi que la plantation de végétaux et la pose de
pavés unis. Bref, un service clé
en main qui comblera certainement les désirs de chacun et ce,
en toute tranquillité d’esprit.
Paysagiste certifié membre de
l’Association des Paysagistes,
Professionnels du Québec et
membre de la bannière Maître
Paysagiste, Rossignol met tout
en œuvre pour que les plus
hauts standards de qualité soient
respectés à tous les niveaux.
Rossignol possède également
un centre jardin affilié à la bannière Passion Jardins. On y retrouve une quantité impressionnante de végétaux de qualité;
annuelles, vivaces, arbres et
arbustes, plantes aquatiques,
Cahier 50 ans La Petite-Nation
24 - www.lapetitenation.com
453, Ste-Julie Est
Saint-André-Avellin (QC) J0V 1W0
Téléphone : 819 983-4900
Télécopieur : 819 983-4850
oujours aussi passionnés!
la chambre de Commerce Vallée de la PetiteNation.
plantes comestibles, sans oublier ses articles de décoration tendances tous plus attrayants les uns que les
autres. De tout pour embellir votre extérieur et rendre
jaloux vos voisins.
D’ailleurs, le centre jardin est ouvert sept jours sur sept
à partir de la mi-avril jusqu’à la fin octobre toujours par
souci d’offrir un service de qualité hors pair.
2007 :
prix MÉRITAS de la bannière Passion Jardins
2008 :
prix pour CATÉGORIE DE LA MATIÈRE AU
NATUREL remis par l’Association des Paysagistes Professionnels du Québec.
2008 :
Mérite Agricole, 2e en Outaouais et 4e au
Québec
2011 :
Prix MEILLEUR SERVICE À LA CLIENTÈLE de
la bannière Maître Paysagiste
«Nous sommes reconnus pour notre dynamisme et
pour notre ambiance chaleureuse, affirment les propriétaires. Nous adorons côtoyer nos clients et être à
leur écoute car leurs projets nous passionnent ».
Ainsi, que nous réservera Rossignol pour les prochaines
années ? À suivre…
Félicitations à La Petite-Nation pour votre 50e
En 20 ans, l’entreprise s’est
démarquée à quelques occasions
prix pour COMMERCE
DE DÉTAIL (moins de
10 employés) au gala
de la Chambre de
commerce Vallée de la
Petite-Nation.
2004 :
prix pour ENTREPRISE
DE PRODUCTION au
gala de la Chambre de
commerce Vallée de la
Petite-Nation
2004 :
prix pour COMMERCE
DE DÉTAIL (plus de 10
employés) au gala de
[email protected]
www.paysagesrossignol.com
3765460
2003 :
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 25
Question de relations avec
Jessy Laflamme
[email protected]
Pneus Daniel (Station Daniel):
tout pour satisfaire
D
enis Sabourin ouvre une stationservice à Ripon en 1986. Dix ans
plus tard, son frère Daniel prend la
relève. «L’entreprise a vécu plusieurs agrandissements au cours des années», racontet-il.
Daniel Sabourin a effectué tous ces changements pour répondre à la demande de ses
clients. «Si on veut grossir, il est essentiel
d’écouter sa clientèle», affirme-t-il.
Maintenant, Pneus Daniel offre un service de vente et d’installation de pneus et
de vidange d’huile. Elle est même membre Alliance Michelin. Pendant que les
clients attendent après leurs voitures,
ils peuvent déguster un café et un muffin dans une section aménagée dans le
dépanneur.
«Nous sommes le magasin général de Ripon,
explique M. Sabourin. Ainsi, il est aussi possible de louer des vidéos, de se procurer du
propane et de trouver des articles cadeaux.
Le midi, on vend des sandwichs maison.
Depuis peu, grâce à la demande des clients,
on vend du pain chaud. Ma devise : si on ne
l’a pas, on va l’avoir!»
appelés à offrir un bon service à la clientèle.
De son côté, Daniel Sabourin se sent comme un poisson dans l’eau dans son entreprise. «Servir un client et le revoir est un réel
plaisir», exprime-t-il.
Daniel Sabourin pense à quelques projets
d’expansion pour son entreprise. Il est par
contre encore trop tôt pour en parler. À
suivre…
Comme plusieurs touristes se retrouvent
chez Pneus Daniel, les huit employés sont
92, chemin Montpellier
Ripon (Québec) J0V 1V0
819 983-6472
3793153
Denis Sabourin
Fondateur
Les relations étaient au cœur des préoccupations de
l’ancien conseiller publicitaire, Denis Legault qui a pris
sa retraite en 2009.
Ainsi, pendant 32 ans, il a tissé des liens de confiance
avec ses clients, les intervenants du territoire et ses
collègues.
Le parcours de cet homme est assez spécial. M.
Legault est arrivé dans la région avec peu de moyens. «Je
me suis installé à l’âge de 30 ans dans la Petite-Nation
avec presque rien puisque je venais de me séparer. J’avais
par contre une tête enflée et je croyais à l’adage : mieux
vaut être un roi dans un petit pays qu’un valet dans un
grand», raconte-t-il.
C’est dans cette optique qu’il organise un souper à
l’hôtel Seigneurie afin de peut-être changer sa vie.
«J’avais invité toutes les personnes importantes de la
Petite-Nation, se souvient-il. J’avais dépensé une énorme
somme alors que je n’avais pas un sou.»
À la fin de la soirée, le jeune homme est découragé,
sa vie reste la même. Ce n’est que plus tard que le
téléphone sonne. «C’était Jacques Lamarche. Il
recherchait un conseiller publicitaire pour remplacer
Claude Chénier, raconte M. Legault. À l’époque, un
conseiller publicitaire empochait 80$ de salaire de base
plus 10% de commissions sur les ventes. De mon côté,
j’ai dit à Jacques Lamarche de m’essayer pendant trois
mois et qu’on renégocierait après. Finalement, j’ai
obtenu 20% sur toutes les ventes…»
Déjà, à ce moment, M. Legault adore rencontrer des
gens qui ont des rêves. «Les entrepreneurs croient en
quelque chose. C’est un privilège de les accompagner.»
Il faut dire que pour Denis, le client était essentiel.
«La compagnie me donnait l’occasion de travailler, mais
mon réel patron était mon client, c’est lui qui me faisait
vivre. Sans lui, il n’y aurait même pas de journal.»
En travaillant 32 ans à La Petite-Nation, Denis
Legault a vécu toutes sortes de situations. «Que ce soit
les Publications Dumont, Cogeco ou Transcontinental,
jamais je n’ai senti un manque de respect.»
Élément surprenant quand on sait que Denis a déjà
travaillé contre son propre employeur. «À une certaine
époque, il était question de fusionner Le Bulletin et La
Petite-Nation. Les patrons analysaient la situation. De
mon côté, j’ai mis en place une pétition à Buckingham.
Finalement, la fusion n’a jamais eu lieu. J’avais eu à ce
moment la chance de m’exprimer clairement avec le
responsable de cette décision, je me suis senti écouté et
jamais ça ne m’a porté préjudice.»
La même situation s’est reproduite des années plus
tard. «Cette fois-ci, il était question de fusionner les
locaux du Bulletin et de La Petite-Nation à Thurso. Nous
avions écrit une lettre collective qu’on a envoyée chez
Transcontinental. Nous trouvions important de préserver
le journal, qu’il garde son identité.»
Denis Legault regrette un peu l’époque des Lamarche
justement pour la notion d’engagement. «Lorsque les
Lamarche écrivaient des éditoriaux, je pouvais facilement
dire aux gens, le journal est peut-être contesté, mais il est
lu. Aujourd’hui, c’est différent. Quand les éditoriaux ont
cessé, je savais que c’était un virement pour le journal.
Un média a pour but d’informer, mais aussi de tisser un
lien entre la population.»
Denis Legault pense notamment au cahier Réalité
devenir ou encore celui intitulé Chez nous d’abord mis
en place avec la Chambre de commerce Vallée de la
Ébénisterie Bianchi É
Plus de quarante ans
d’expérience à votre service.
tabli dans la Petite Nation depuis
maintenant 23 ans, René Bianchi,
ébéniste artisan est un grand
amoureux du bois. Il a entraîné dans
son sillage ses deux fils, Sébastien et
Benjamin qui, à eux deux cumule 35 ans
d’expérience. Vous trouverez la salle
de montre ainsi que l’atelier au centre
de Chénéville. Le tout occupe une superficie de 15,000pieds carrés et on y
compte onze employés. L’excellence
du travail fourni par ces artisans fait en
sorte que personne ne manque de travail.
Ébenisterie Bianchi est un spécialiste
de la personnalisation de meuble. Que
ce soit pour un salon, une cuisine, une
chambre à coucher, une salle de bain
ou tout autre , ils créeront des meubles
au style et au goût du client.
Si vous n’avez pas de plan ou d’idée,
René se fera un plaisir d’aller vous rencontrer et d’en discuter avec vous et
ce, sans frais. Si vous avez des idées et
ou des plans, qu’ils soient de votre cru
ou de celui d’un designer, il vous préparera une soumission sans frais.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
26 - www.lapetitenation.com
RUE0RINCIPALE#H£N£VILLE*6%s
3854463
Une visite vous entraînera dans le
monde merveilleux du meuble fait sur
mesure.
Denis Legault
Petite-Nation (CCVPN) pour vanter l’achat local.
«C’était de belles façons pour le journal de s’impliquer
dans la communauté et de créer des liens avec les
organismes», affirme-t-il.
Denis Legault a assuré la présidence de la CCVPN
pendant six ans.
Encore aujourd’hui, il est un homme engagé. Il siège
à l’Association de chasseurs, pêcheurs, trappeurs et
archers de la Petite-Nation (ACPTA) où il milite
notamment contre la privatisation des cours d’eau.
La décision de prendre sa retraite n’a pas été facile.
«Ça été extrêmement difficile, je n’avais pas le goût
d’arrêter, mais finalement ça va bien. Il faut dire que
j’éprouvais de la difficulté à m’adapter à la nouvelle
technologie…»
Lorsque Denis Legault a commencé sa carrière, il a
appris que la vente se déroulait de personne à personne.
«J’avais lu dans un manuel que deux bedons égalent deux
nombrils, qu’il fallait être en relation pour vendre. Ce qui
n’est plus vraiment le cas aujourd’hui avec l’ère Internet.»
En plus d’avoir travaillé au journal, Denis Legault a
suivi une formation pour devenir thérapeute. «J’aime
beaucoup aider les autres. Mon idole de jeunesse était le
Père Ambroise, un missionnaire. J’ai essayé de pratiquer
pendant quelques années avec des gens de l’extérieur de
la Petite-Nation puis j’ai cessé.»
Sa formation de thérapeute lui a permis de devenir un
mentor pour ses collègues. Les employés se souviennent
encore aujourd’hui de quelques paroles sages qu’il a pu
échapper…
Grâce à son cours, il s’est d’ailleurs rapproché de
Marie-Andrée Bérard, employée du journal depuis 36
ans. «J’ai toujours dit que c’est mon âme sœur, car c’est
la femme qui me connaît le plus. Elle sait tout sur moi
puisqu’elle a tapé mes textes de thérapie, mes synthèses.
Et 32 ans, c’est une relation plus longue qu’avec aucune
autre femme.»
Denis Legault a toujours avoué son besoin de
reconnaissance. «J’ai été amplement satisfait à ce niveau.
Il suffit de me remémorer mon départ, j’ai reçu tellement
de reconnaissance et de messages. Je pense aussi au prix
Ovation que j’ai reçu au sein de Transcontinental parmi
12 000 employés.»
Selon Denis, la plus grande richesse de l’homme, ce
sont les relations. «L’argent rend le malheur confortable,
mais les relations véritables, c’est ce qui nous reste.»
Compétences et expérience à la
Clinique dentaire Bergeron-Payette-Rail
T
rente ans plus
tôt, un bâtiment
est érigé sur la
rue St-Denis à Papineauville. Les initiateurs de ce projet,
René Bergeron et
François
Payette,
construisent leur clinique dentaire alors
qu’ils n’ont même pas
encore terminé leurs
études.
Ces deux jeunes étudiants voyaient
grand et ils avaient raison, car en trente
ans ils sont passés de deux associés et
trois employés à trois associés et onze
employés.
«Natifs de Montréal, René Bergeron
et moi voulions pratiquer notre métier pas trop loin de notre ville natale,
raconte Dr Payette. Un an auparavant,
un projet de clinique avait avorté à
Papineauville. Nous avons repris l’idée
et jamais nous n’avons regretté notre
choix. Nous avons bénéficié d’une
belle qualité de vie et d’une pratique
généralisée.»
M. Payette se souvient d’ailleurs de sa
première patiente âgée alors de douze
ans. «Certaines de nos premières clientes sont maintenant devenues des
grands-mères. Le contact humain est
important dans notre métier, c’est un
privilège de côtoyer ainsi des générations.»
Dre Marie-Ève Rail est arrivée dans
l’équipe en 2002. Les trois dentistes
gèrent plus de 3500 dossiers actifs.
«La beauté de notre métier est de pouvoir améliorer la qualité de vie des
gens en leur prodiguant le meilleur
traitement possible et en nous adaptant
à leurs besoins», souligne M. Payette.
Clinique dentaire Bergeron-Payette-Rail
190, rue St-Denis, bureau 201
Papineauville (Québec) J0V 1R0
819 427-6202
3760433
Le contact humain a poussé Denis Legault à travailler à La PetiteNation pendant 32 ans.
Félicitations
50 ans c’est un beau bout de chemin de parcouru
Serge et son équipe s’unissent pour féliciter
La Petite-Nation pour ses 50 ans.
Ils souhaitent à l’hebdomadaire de la région encore une longue vie.
Comptoir Sears
819 427-1114
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367, rue Papineau,
Papineauville
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 27
Paul
Gauthier
Le légendaire
Boutique Lambert :
Paul Gauthier
la ville à la campagne
L
a boutique Lambert existe depuis
1967. Au cours des années, elle a
subi plusieurs changements. À sa
création, elle se basait sur la fourrure,
le remodelage et les services connexes
à la fourrure.
Jessy Laflamme
[email protected]
En 1991, Nathalie Lambert rachète
l’entreprise pour lui faire subir une
cure de rajeunissement. Dès lors, du
prêt-à-porter pour dames et jeunes
dames y est inauguré. Des produits
tels que manteaux, vêtements et accessoires modes y sont présentés. Depuis,
la vente de chaussure s’est ajoutée à
ses cordes.
Nathalie et Magali sont toujours à
l’affut de nouveaux produits d’origine
canadienne et abordables qui sauront
plaire à la clientèle.
538, rue Notre-Dame,
Montebello (Québec) J0V 1L0
L
L’ACPTA veille sur les lacs
’Association des chasseurs, pêcheurs, trappeurs et archers de la PetiteNation (ACPTA) travaille au bien-être récréotouristique et économique
de la région par le biais de l’ensemencement de rivières et de lacs accessibles au public et de l’aménagement de ruisseaux, de rivières et de lacs
en collaboration avec les ressources du milieu.
Concrètement, l’ACPTA a ensemencé 371 615 truites dans plusieurs lacs
accessibles à tous.
Cet organisme sans but lucratif veille aussi à l’amélioration de la qualité des
cheptels de chasse et à la promotion de la protection de la faune, de la flore
et de l’environnement.
«Amateurs de plein air, de pêche, si nous désirons conserver pour nous et
pour nos enfants le privilège d’avoir accès à des plans d’eau, lacs et rivières,
nous devons être présents et à l’écoute des tendances et des mouvements
engendrés par différents groupes ayant des visions différentes des nôtres»,
mentionne le président de l’ACPTA, Serge Pilon.
L’association organise différentes activités sociales et sportives de chasse et
pêche, dont son traditionnel souper de doré qui a attiré 500 personnes en
2010 et des cours de maniements d’armes à feu.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
28 - www.lapetitenation.com
Texte complet de Claude Lamarche disponible sur le
site www.despagesetdespages.com.
3756242
Afin de récompenser sa clientèle
fidèle, la Boutique Lambert vous offre
maintenant une carte privilège. Ce sysÀ la Boutique Lambert, le but est de re- tème permet aux clientes d’accumuler
joindre une clientèle variée en offrant des points-rabais.
des produits mode qui se démarquent
L’équipe vous invite à suivre l’évolution
des grandes boutiques urbaines.
des collections et des promotions en
Vous y trouverez des collections boutique via leur page Facebook.
différentes et flamboyantes que vous
pourrez vous procurer dans les tailles Nathalie et son équipe se feront un
de 2 à 18 ans. Des nouveautés vous y plaisir de vous accueillir.
Saisissez l’occasion, venez découvrir!
attendent à chaque mois.
Pour ce faire, l’ACPTA a créé
plusieurs collaborations avec
différents partenaires, dont le
comité de loisirs de Montpellier,
la municipalité de Duhamel, la
Société des établissements de
plein air du Québec (SEPAQ) et
les résidants de Duhamel.
Dans le cadre du projet du
Plan de développement intégré de la rivière Petite-Nation
(PDI), l’ACPTA analyse les
possibilités d’implication et
d’ensemencement de la rivière.
L’association croit que la rivière
Petite-Nation peut avoir un
impact important sur le taux
d’appréciation de la pêche dans
la région, et ceci, tant pour les
résidants de toutes les municipalités que les villégiateurs et
les touristes.
L’ACPTA recherche activement des membres prêts à prendre en main différents dossiers : ensemencement, accès aux lacs et cours d’eau, amélioration des accès existants, activités d’autofinancement, signalisation, carte
routière pour pêcheurs, création d’un site Internet, formation, aménagements fauniques, membership, gestion de cheptels de chasse, etc.
«L’ACPTA a non seulement survécu au temps, elle a acquis une reconnaissance des amateurs de plein air, de la population en général et par des
instances supérieures, souligne M. Pilon. Il est important de continuer en
ce sens.»
Comme vous pouvez voir, ce ne sont pas les projets qui manquent pour cette association fondée
en 1992 qui a maintenant le vent dans les voiles.
Devenez membre de l’ACPTA au coût de 15$. Votre adhésion est un
encouragement et un témoignage stimulant aux actions et aux démarches
réalisées par l’association.
ACPTA
264, rue Bissonnette
Papineauville (Québec) J0V 1R0
819 983-4358
Petite-Nation
3756237
Nathalie et son équipe vous offrent
une expertise de styliste designer et un
service des plus personnalisé, qui saura
vous charmer. Leurs petites attentions
font de votre séance de magasinage un
moment de détente.
Que dire de Paul Gauthier! Même s’il était reconnu
principalement pour ses escapades dans les hôtels de la
Petite-Nation, jamais l’équipe du journal n’a attendu
après lui.
«Il était toujours à temps dans ses textes. Il pouvait
écrire le journal pendant toute la nuit et disparaître
ensuite plusieurs jours, mais nous n’avons jamais retardé
la publication à cause de ses absences», se rappelle l’une
de ses anciennes collègues, Marie-Andrée Bérard.
De son côté, son ancien collègue Denis Legault se
souvient de la tendance de Paul Gauthier à fumer. «Il
en produisait de la boucane, c’était terrible.» Selon M.
Legault, Paul était un bon vivant très généreux. «Il
donnait toujours plus qu’il recevait, sa parole était sacrée
et il était très bon pour synthétiser dans ses textes.»
En fait, l’ancien conseiller publicitaire se rappelle
avoir assisté à une rencontre avec Paul Gauthier à la
Maclaren. «Je le voyais prendre des notes dans son petit
calepin et lorsque nous sommes sortis, j’avais des doutes
concernant son article, et finalement je l’avais mal jugé.
Je m’en veux encore d’ailleurs. Il avait très bien rédigé
son texte.»
Lors de son décès le 29 avril 2002, son ancienne
collègue, Claude Lamarche lui a rendu hommage en
publiant un texte sur Internet. Voici ce court écrit qui en
dit beaucoup. Je suis de celles qui croient qu’on vient sur
terre pour faire l’expérience de la vie. J’ai travaillé avec
Paul Gauthier pendant de nombreuses années au
journal La Petite-Nation. Il arrivait très tôt le matin et il
écrivait. Abondamment, facilement. Nous produisions
un hebdomadaire, il aurait pu remplir un quotidien. Ça
lui brisait le cœur de devoir choisir les textes à publier.
Pour réussir à en faire paraître le plus possible, il a
développé un talent inouï du condensé. Il avait l’amour
et le respect des mots. C’est par écrit qu’il parlait le
mieux.
Paul Gauthier a quitté La Petite-Nation à une
certaine époque pour LeDroit. Même s’il ne travaillait
plus à La Petite-Nation, il n’avait pas oublié ses racines.
Il collaborait quelquefois à des cahiers spéciaux, dont
celui sur l’agriculture. Comme il devait donner
l’exclusivité au journal LeDroit, il changeait tout
simplement sa signature…
Un parcours à l’envers pour Colette Duhaime
[email protected]
Après avoir interviewé Jacques Brel, Nana Mouskouri et
Marc Carbonneau, un membre de la Fédération de
libération du Québec (FLQ), Colette Duhaime s’est
retrouvée journaliste à La Petite-Nation.
«Une de mes amies m’a déjà dit que je terminerais
ma carrière comme rédactrice en chef du journal des
Cercles de fermières», raconte-t-elle.
Il faut dire que Colette Duhaime a effectué un
parcours assez particulier comme journaliste. Elle a
commencé sa carrière à La Patrie, un journal à diffusion
provinciale. «Je voulais ardemment devenir journaliste,
alors à chaque trois semaines, je téléphonais au
responsable du personnel, Yves Michaud. Finalement,
il m’a embauché comme commis aux horaires de la
télévision, jusqu’au jour où il m’a envoyée couvrir Émile
Genest lors de l’Exposition universelle. Je tremblais des
pieds à la tête, car c’était une grosse vedette», se souvientelle.
Après ce test, Mme Duhaime devient officiellement
journaliste.
Ensuite, elle se retrouve quelques années plus tard au
Journal de Montréal pour une période de quatre ans.
Elle rencontre, dans la même période, son futur mari
qui travaille à Ottawa. Ainsi, Mme Duhaime tente
d’obtenir un emploi au journal LeDroit, mais
malheureusement son anglais n’est pas assez fort. Elle
déménage quand même dans la Capitale nationale.
Débrouillarde, elle décroche un poste au Service
canadien de la faune. «J’étais en train de mourir comme
fonctionnaire, se remémore-telle. J’étais habituée
d’écrire entre deux à trois papiers par jour et là je
rédigeais un communiqué de presse aux trois semaines.»
Grâce à cet emploi, Mme Duhaime a publié un
article dans le magazine Actualité. «On m’avait envoyé
à Ungava pour la migration des caribous. Mon article est
resté six mois sur la glace au Service canadien de la faune.
Je me suis tannée et me suis tournée vers l’Actualité…»
Comme le métier de journaliste lui manque, Mme
Duhaime tente de nouveau sa chance au journal
LeDroit, un essai qui porte fruit. C’est quelques années
plus tard soit vers la fin des années 1970 que Colette
Duhaime travaille à La Petite-Nation. «Mon mari et moi
voulions nous établir en campagne. Alors, quand j’ai
entendu parler d’un emploi dans la Petite-Nation, j’ai
sauté sur l’occasion», explique-t-elle.
L’ancienne journaliste se rappelle de plusieurs cahiers
sur lesquels elle a travaillé : un économique et un sur le
tourisme.
Mme Duhaime a couvert le Sommet économique de
Montebello en 1981. «J’avais réussi à prendre des photos
des pâtisseries grâce à un employé et à obtenir le petit
livre rouge de la GRC. Quand j’ai sorti ces nouvelles,
j’entendais les autres journalistes se demander comment
j’avais réussi à obtenir des informations. C’était normal
puisque je connaissais bien mon territoire.»
Par la suite, Mme Duhaime décide de travailler à la
pige. À un certain moment, elle voit des chèvres dans un
endroit. Elle tombe en amour. «Mon mari et moi en
avions acheté deux puis, elles ont eu des bébés.
Rapidement, nous nous sommes retrouvés avec 25
chèvres. Comme ça commençait à coûter cher, nous
nous sommes renseignés et nous avons décidé de
produire des fromages.»
Vers la fin des années 1980, Mme Duhaime ouvre les
portes de la Biquetterie, son commerce situé au bord de
la route 315. Entreprise qu’elle ferme en 2009 tout juste
après son second mariage. «Mon premier mari est
décédé en 2003, raconte-t-elle. J’ai tenu la fromagerie à
bout de bras pendant six ans, mais je n’en pouvais plus.
De plus, j’ai rencontré un autre homme. On s’est marié,
puis une semaine après, je fermais mon entreprise.»
Aujourd’hui, Mme Duhaime a laissé l’écriture de
côté pour faire place à la peinture et au bricolage. Elle
voyage beaucoup et caresse même le projet de traverser
l’Atlantique.
Colette Duhaime a déjà écrit
dans La Petite-Nation.
La
CCVPN
Se regrouper pour mieux se développer!
C
Les deux principales activités de la
CCVPN sont : la Classique de Golf
annuelle, tenue habituellement en mai,
et le Gala Reconnaissance, plus tard
en octobre. Ces deux évènements sont
des incontournables pour tous ceux qui
désirent se faire connaître davantage
dans le milieu des affaires de leur terriPar l’organisation d’activités de réseau- toire, tisser des liens étroits et créer une
tage, la CCVPN offre l’opportunité à synergie importante avec leurs pairs.
ses quelques 200 membres de briser
l’isolement et créer des liens d’affaires La Classique de Golf de 2011 se tiendra
entre eux. Avec l’éclatement des mar- le 13 mai prochain, la même journée
chés, demeurer compétitif est primor- que l’assemblée générale annuelle.
dial en affaires de nos jours. De concert avec ses partenaires annuels, la Vous pouvez joindre votre Chambre
Chambre de commerce organise des de commerce au 819 427-8450 ou à
sessions de formations selon les besoins l’adresse suivante : [email protected]
actuels de ses membres.
La CCVPN, la Chambre de commerce
ontribuer au développement
économique de ses membres et
de son territoire, par l’exercice
de son leadership ainsi que son pouvoir
de représentation et d’action », telle est
la mission de la Chambre de commerce
Vallée de la Petite-Nation (CCVPN).
«
de chez vous, pour vous !
Félicitations au journal La Petite-Nation
pour ses 50 ans à œuvrer dans notre communauté
et son implication significative!
Partenaires officiels
3853456
Jessy Laflamme
Action Aide Loisir Papineau
Sport, loisirs, activités culturelles et de plein-air, danse, café-rencontres, sorties, voyages, cuisines collectives, éducation, répit-dépannage
Historique
Au début des années 1970, un groupe de parents voulait offrir des services et des
activités de jour à leur enfant, devenu adulte et ayant un handicap. Le mouvement
prit forme et c’est en 1977 que l’on fonde l’Association pour les Personnes Handicapées de la Petite-Nation (APHPN).
L’année 1984 s’avère la pierre angulaire dans l’évolution des services puisqu’un
organisateur communautaire sera embauché par le C.L.S.C.. Sa tâche est d’étudier
et de prioriser certains dossiers tels qu’un centre de jour, des services de réadaptation et de maintien à domicile, en collaboration avec le Pavillon du Parc, La
RessourSe et autres partenaires. Le droit à l’éducation et le transport adapté font aussi
partie des dossiers prioritaires. L’Association négocie également le bail avec le
Centre d’accueil Petite-Nation dans le but d’aménager dans un local permanent
appelé « l’Atelier Petite Boutique ». Par la suite sont nés, grâce aux demarches
soutenues de l’APHPN, l’Atelier de formation Socio-Professionnelle Petite-Nation
en 1987 et le service de transport adapté en 1988.
Graduellement, la demande de service se diversifie. En 2004, l’Association
déménage sur la rue Rossy, avec l’organisme qui lui est tributaire, l’AFSPN, afin
de mieux répondre à la demande. En 2008, dans le souci de cerner davantage sa
mission, l’Association devient
Action Aide Loisir Papineau et
fait l’acquisition, en 2010, d’un
immeuble adapté à ses besoins.
Il est situé au 1165, route 321
nord à Saint-André-Avellin.
Cette acquisition permettra
d’apporter un changement
positif et significatif dans la vie
de plusieurs personnes handicapées de la MRC Papineau.
Grâce à ce déménagement, Action Aide Loisir Papineau accueille, depuis le
14 mars dernier, le centre de jour du Pavillon du Parc dans ses nouveaux locaux et
renforce ainsi son partenariat avec des ressources essentielles du milieu.
Aujourd’hui, en plus d’offrir une panoplie d’activités et de loisirs à sa clientèle
habituelle, l’organisme, fort de ses 34 années d’expérience, offrira, dès juin prochain,
un service de répit dépannage aux proches aidants des aînés, 50 ans et plus, présentant des limitations fonctionnelles permanentes et persistantes.
Perspectives
Notre approche s’inscrit dans un contexte d’amélioration continue de l’accès
et de la qualité des services en contribuant significativement au mieux-être des
personnes de notre communauté. Outre le fait que la Petite-Nation détient le plus
grand nombre de personnes handicapées du Québec, notre démarche se fait également dans un contexte où le vieillissement rapide de la population (près de 22 %)
devient une priorité au regard des services requis. Elle se veut novatrice, innovatrice
et concertée et, nous nous le souhaitons, en mouvance continue.
1165, Route 321 nord, St-André-Avellin, QC, J0V 1W0 Tél. : (819)983-2648 Télec. : (819)983-1469 Courriel : [email protected]
3780501
A
ction Aide Loisir Papineau est un organisme sans but lucratif fondé en 1977.
Il a pour mission d’offrir des services et des activités de loisirs aux personnes
vivant avec des limitations fonctionnelles permanentes et persistantes et demeurant sur le territoire de la MRC Papineau. Son rôle consiste aussi à sensibiliser la population aux différents handicaps que vivent ces personnes et d’aider et
d’accompagner ces gens et leurs proches aidants dans la défense de leurs droits.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 29
Un demi-siècle
au coeur de sa communauté
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clients un service de
haute qualité, fiable et complet. En fait, le chauffage au
gaz, résidentiel ou commercial,
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passant par l’installation et le
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ne lui échappe. En fait, ce qui
fait la différence chez Clément
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branchement et le service après
vente.» Personne ne se relance
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service auquel vous avez droit.
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L’information locale et régionale occupe
encore plus que jamais une place importante
dans le paysage médiatique où règne
l’omniprésence du Web. Or, ce 50e anniversaire du
journal La Petite-Nation témoigne sans contredit d’un
véhicule d’information et publicitaire qui non seulement
s’est solidement enraciné dans son milieu mais aussi
représente un hebdomadaire bien contemporain et rempli
de promesses pour des années à venir.
Tous les artisans qui ont défilé ces cinq dernières
décennies et l’équipe actuelle du journal ont fait de La
Petite-Nation un fidèle et précieux témoin du quotidien de
cette communauté et un complice efficace des gens
d’affaires locaux.
Distribué gratuitement semaine après semaine dans
chacun des foyers, La Petite-Nation offre un contenu
unique en soi, des nouvelles de proximité qui ont un
rayonnement extraordinaire grâce au prolongement
qu’offre le site Internet rattaché à ce journal.
Alors que les quotidiens vendus affichent un recul de
leur tirage et de leur lectorat, la presse hebdomadaire
montre une excellente santé. À preuve, un récent sondage
de Léger Marketing révèle que 80 % des Québécois
estiment qu’un hebdomadaire est un rouage important dans une démocratie.
Voilà un résultat très représentatif de l’intérêt et de l’attachement d’une communauté à la nouvelle locale, à la vie
sociale et économique de son milieu comme l’offre si bien La Petite-Nation depuis maintenant 50 ans.
Encore une fois, bravo à tous ces artisans qui y ont contribué, y contribuent et s’ajouteront au fil des ans !
Serge Lemieux
Vice-président
Groupe des journaux, Québec et Ontario
Transcontinental Médias
Serge Lemieux
À votre service depuis 1957
C
arrière et Poirier Equipment Ltée est au service de sa clientèle depuis 1957 à
Alfred en Ontario.
L’entreprise, fondée par le grand-père René Carrière sous la bannière Massey
Ferguson, se spécialise dans la vente de tracteurs depuis ses débuts. Tâche ardue au
départ puisqu’il devait convaincre les agriculteurs d’utiliser de l’équipement plus industrialisé et productif.
En 1966, sa fille Monique et son futur gendre André Poirier se joignent à l’entreprise
pour former une équipe qui remporte plusieurs prix dont le meilleur volume de vente
en Ontario pour la marque Massey Ferguson.
La crise du baril de pétrole aux États-Unis et la baisse de demande d’équipement agricole dans la région oblige l’entreprise à trouver une nouvelle ligne de produit. C’est
ainsi que la marque Kubota fait son entrée chez Carrière et Poirier Equipment Ltée.
Les tracteurs compacts à 4 roues motrices répondaient à la demande des consommateurs résidentiels qui rêvaient de posséder des petits tracteurs afin de réaliser divers
travaux sur leur propriété.
Depuis ce temps. Michel (fils) s’est joint à l’entreprise. La
compagnie est devenue un des plus grands détaillants
des produits Kubota au Canada. Avec une gamme
complète (tondeuse, tracteur, excavatrice…), ils ont
plus de 100 unités Kubota en inventaire.
Ils sont également détaillant des tondeuses commerciales et résidentielles Exmark depuis 1991. Ils ont
remporté multiples reconnaissances avec Exmark
dont le plus gros détaillant au Canada. Ils ont plus de
40 unités en inventaire.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
30 - www.lapetitenation.com
Carrière et Poirier
Équipement Ltée
Ils sont depuis 2010 détaillant de la marque Terex. Si vous cherchez chargeur sur roues
ou sur chenilles, pépine (backhoe) ou chargeur articulé, ils ont plus de 25 unités en inventaire. Ils ont également gagné le prix du plus gros détaillant compacte Terex en Amérique
du nord à leur première année de vente! Du jamais vu chez Terex.
Avec une équipe de 18 employés et un service de
réparation routier, André et Michel peuvent répondre à la plupart de vos besoins. Vous voulez voir de
l’équipement, vous serez surpris! Une visite vaut le
détour!
5024, county Road 17, Alfred (Ontario) K0B 1A0
1-888-414-2630
www.carrierepoirier.com
3837636
En 1983, André devient l’unique propriétaire de la compagnie René Carrière Compagny
Ltd. Le nom change alors pour Carrière et Poirier Equipment Ltée. Quelques années plus
tard, à cause de la diminution continuelle du nombre d’agriculteurs, André décide de
délaisser la ligne Massey Ferguson pour se concentrer sur la ligne de produits Kubota.
Hommage aux artisans
de La Petite-Nation!
Musée des Pionniers
Félicitations
n
à La Petite-Natio
Au cours de ses 50 ans, notre “petit“ journal
a publié de nombreuses histoires à propos de
personnes, d’événements, de réussites, de succès,
d’implications, de tragédies et encore plus.
e
Merci et bon 50 !
20 rue Bourgeois,
Saint-André-Avellin
819 983-1491
3773790
En mon nom personnel et au
nom de la direction du groupe
Transcontinental, je désire rendre
hommage aux artisans de La Petite-Nation qui
célèbrent leur 50e anniversaire de publication.
Nos employés sont à pied d’œuvre, semaine
après semaine depuis plus d’un demi siècle,
afin de vous offrir le meilleur média
d’information local possible. Nous sommes
également très reconnaissants envers nos
fidèles lecteurs et annonceurs qui rendent
possible cette belle aventure: c’est tout à votre
honneur et nous vous en sommes très
reconnaissants.
Au fil des ans, La Petite-Nation a su
s’adapter aux nouvelles réalités des marchés
du monde de l’information. Lorsque l’on
regarde le succès que connaît le portail de
nouvelles associé à La Petite-Nation,
www.lapetitenation.com, cela confirme nos
choix du passé.
Transcontinental en Outaouais représente
une force économique incroyable qui génère
de nombreux emplois pour la ville de Gatineau et la région de la Petite-Nation.
La Petite-Nation est également imprimée localement à l’imprimerie Qualimax et distribuée par Publi Sac, deux
autres fleurons de Transcontinental.
Longue vie à La Petite-Nation!
Marc-Noël Ouellette
Vice-président principal/Senior Vice President
Groupe des solutions aux communautés locales/Local Solutions Group
Médias Transcontinental S.E.N.C./Transcontinental Media G.P.
Marc-Noël Ouellette
Le Centre nautique Lac Simon fête ses 30 ans
L
’entreprise familiale Centre nautique Lac Simon souligne ses 30
ans cette année.
Cette entreprise est concessionnaire de marques prestigieuses telles
que les embarcations Princecraft, munies des moteurs Mercury, ainsi
que la gamme des moteurs hors-bord et VTT Yamaha.
Le Centre nautique Lac Simon offre aussi de l’entreposage intérieur et
extérieur pour les bateaux et effectue de la location d’embarcations et
de moteurs hors-bord notamment à la marina du Lac Simon. Elle vend
également de l’essence directement sur le lac Simon.
Même avec ses modifications, l’édifice reste trop petit. Quelques projets pourraient voir le jour puisque le Centre nautique Lac Simon possède un autre bâtiment à l’entrée du village qui sert présentement à
l’entreposage.
«Chose certaine, nous aimerions revamper la devanture du magasin,
pour le reste, nous analysons différentes possibilités», précise Serge
Hamelin du Centre nautique Lac Simon.
Le service personnalisé est la marque de commerce de l’entreprise.
«Avec les années, les clients deviennent des amis et on commence
même à servir la deuxième génération, affirme M. Hamelin. Le contact
avec les gens est ce qui nous pousse à continuer à toujours offrir le
meilleur service.»
Le Centre nautique Lac Simon est un endroit à découvrir, il suffit de
pousser la porte pour s’en rendre compte! Pour tout amateur de plein
air c’est le rêve devenu réalité.
111, rue Principale
Chénéville (Québec) J0V 1E0
819 428-3097
www.centrenautiquelacsimon.com
3823165
Au cours des ans, cette entreprise située au 111, rue Principale à Chénéville a subi plusieurs changements. Le bâtiment a été agrandi afin de
pouvoir aménager une salle de montre contenant pontons, bateaux et
quelques VTT. Il est aussi possible de se procurer des accessoires pour
bateaux, des tubes et des skis nautiques directement au magasin.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 31
Un courant familial à Duhamel
Félicitations pour vos
50 ans d’implication
en tant qu’entreprise dans
la région de la Petite-Nation !
Vous avez ouvert la voie
au développement de la région,
une région que nous pouvons être fiers
de développer !
Le CLD Papineau,
acteur principal du développement
socioéconomique de la MRC de Papineau
peut vous aider à réaliser vos rêves !
Nous vous invitons
à soumettre votre projet !
Cahier 50 ans La Petite-Nation
32 - www.lapetitenation.com
Le développement passe par ici !
266, rue Viger,
Papineauville (Québec) J0V 1R0
Tél. : 819 427-6243 www.papineau.ca
«Même s’il a grandi à Montréal, il déteste
la ville. Il a décidé de me suivre ici et m’a
demandé de l’aider à démarrer une entreprise
en électricité, raconte M. Houle. Duhamel
Électrique a donc vu le jour en 2006.»
Présentement, Duhamel Électrique compte
trois employés sur le terrain et un dans le
bureau. «Si la demande continue de croître,
nous engagerons sans problème.»
Avant de s’installer dans la région, le père
de famille était propriétaire de Génératec à
Montréal, une entreprise de confection de
génératrices qui avait pour principal client Bell
Canada.
Duhamel Électrique travaille dans le résidentiel, l’industriel et le commercial. L’entreprise
installe aussi des génératrices et des systèmes
d’alarme et de surveillance.
Le père et le fils rendent des maisons intelligentes grâce à la domotique. Les systèmes
de contrôle en domotique permettent la
gestion d’une quantité d’activités dans la
maison dont l’éclairage, le chauffage, le
système de surveillance, les stores motorisés,
les équipements audio vidéo, tout cela, à
partir de contrôle d’ordinateur. Possédant une
accréditation Hydro-Québec et une nacelle,
Duhamel Électrique peut faire l’entretien des
lumières de rue.
Voici quelques réalisations de Duhamel
Électrique : la bibliothèque municipale de
Chénéville, la garderie Minizamis de Chénéville
et le pavillon de la Société d’établissement
de plein air du Québec (SEPAQ). M. Houle
n’éprouve aucun regret quant à sa décision
de s’installer à Duhamel. «On y retrouve une
qualité de vie et une tranquillité. Je suis bien
ici, le stress n’est pas présent. Je ne sais pas si
je serais encore de ce monde si j’étais resté à
Le service à la clientèle distingue Duhamel Montréal…»
électrique. «Je réponds toujours au téléphone
4776, chemin Lac Gagnon Ouest
Duhamel Électrique inc.
Duhamel (Québec) J0V 1G0
Téléphone : 819 428-2212
Télécopieur : 819 428-1988
[email protected]
3756246
149 Principale, Saint-André-Avellin
819 983-1166
www.rodeostandreavellin.org
D
et nous donnons un service 24 heures sur 24.
C’est important pour nous. Également, quand
nous prenons un rendez-vous, les gens peuvent
se fier sur notre parole. C’est certain que nous
serons présents et à l’heure.»
Félicitations à
notre fleuron régional,
le journal La Petite-Nation !
C’est grâce à la création du journal « La Vallée de
la Petite-Nation en 1961 » que l’encre s’est mise
à couler sur le territoire de la MRC de Papineau ;
Le journal qui couvre la région de la Petite-Nation
auquel s’est ajouté au fil des ans le Bulletin
couvrant la région de La Lièvre a permis à la
MRC de Papineau de faire connaître tous ses
services pour que la population puisse en
bénéficier et ce, depuis 1983.
Depuis ce jour, nous avons une
identité régionale en Outaouais !
Merci au journal La Petite-Nation !
266, rue Viger,
Papineauville (Québec)
J0V 1R0
Tél. : 819 427-6243 www.papineau.ca
3784476
année, en font la clé de son succès et provoque la croissance de
son développement.
Le Festival Western Saint-AndréAvellin rodéo professionnel est
maintenant l’évènement country
incontournable de l’Outaouais.
À ce titre, le Festival espère contribuer à maximiser les retombées économiques et touristiques
de la municipalité de SaintAndré-Avellin avant tout, pour les
étendre simultanément à la MRC
Papineau et l’ensemble de la
région de l’Outaouais.
Certes, un tel évènement ne se
réalise qu’à la condition de pouvoir compter sur l’implication et
le travail passionné d’un grand
nombre d’hommes et de femmes
de la communauté. Il faut le
souligner et surtout les remercier.
3777089
L
es membres du conseil
d’administration du Festival
Western Saint-André-Avellin
offrent leurs félicitations au journal La Petite-Nation à l’occasion
de son 50e anniversaire. La portée d’un média a une très grande
importance dans la vie et le
rayonnement de la communauté.
Bravo à tous les artisans pour ce
fabuleux travail!
Pour sa part, le Festival Western
Saint-André-Avellin rodéo professionnel a su se tailler une place
au sein de la belle région de la
Petite-Nation depuis maintenant
onze ans. Organisme à but non
lucratif, le Festival a pour mission
de produire des rodéos professionnels et amateurs ainsi que d’offrir
des activités culturelles pour
tous les goûts et tous les âges. La
qualité de son organisation et des
spectacles présentés, à chaque
enis Houle pensait s’établir à Duhamel
pour prendre sa retraite. Son fils,
Nicolas Houle, a complètement
changé ses plans en décidant lui aussi de venir
s’établir dans la Petite-Nation.
Deux étages d’Exode
THURSO,VILLE D’AVENIR
Les membres du conseil municipal, au nom des citoyennes
et citoyens de la ville de Thurso, se joignent à l’équipe de la
revue, ainsi qu’à ses nombreux bâtisseurs, pour fêter ce
L
ors de son dernier passage au Théâtre
des Quatre Sœurs, Peter McLeod a
commencé son spectacle en révélant
une vérité… «J’ai acheté mes jeans pour
ce soir chez Exode. Vous êtes vraiment
chanceux de posséder un tel magasin,
c’est encore mieux qu’en ville», avait-il
affirmé.
50E ANNIVERSAIRE DE FONDATION
DE LA REVUE LA PETITE-NATION
Il avait raison. Les citoyens de la PetiteNation sont privilégiés de compter sur la espadrilles ou des « gougounes » Etnies,
présence d’une telle boutique.
Skechers ou DVS. Depuis peu, le propriétaire, Patrick Fleury, tient un inventaire
junior pour habiller les préadolescents.
Des bijoux, ceintures et des portes-feuilles
sauront agrémenter tout look.
Nous tenons à souligner le niveau de professionnalisme
du personnel, ainsi que la présence exemplaire du journal
quant à son implication dans notre communauté
au fil de toutes ces années.
Évidemment, les dernières tendances sont
toujours disponibles dans cette boutique.
«Présentement, on reçoit du nouvel inventaire toutes les deux semaines», souligne
M. Fleury.
Le premier étage met en vedette des vêtements populaires pour tous les genres et
les styles. Guess, Parasuco, Point Zéro,
Kärv ne sont que quelques exemples des
marques de vêtements qu’on retrouve
dans la première section du magasin.
À cela s’ajoute des souliers Noblez et
Skechers.
Pour ce qui est des prix, M. Fleury est prêt
à offrir 10% à quiconque trouvera un article de même marque à prix plus bas dans
une autre boutique.
De plus, nos prix sont comparables ou
moins élevés qu’ailleurs, de quoi satisfaire différents budgets.
Au sous-sol, les adolescents seront com- Finalement, l’unique but de M. Fleury
blés avec les marques Bench, Billabong et c’est la satisfaction du client.
O’Neil. Ils peuvent aussi se procurer des
3791866
VILLE DE THURSO
3849977
162 B, rue Principale
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
www.boutiqueexode.com
Le Centre d’alignement St-André ouvre toujours ses portes
e client peut toujours aller dans le garage vérifier ce que nous
sommes en train de faire, explique le propriétaire de Centre
d’alignement St-André, Sylvain Bertrand. Nous n’avons rien
à cacher. On prend toujours le temps d’expliquer les changements à effectuer et nous ne procédons jamais sans avoir reçu l’autorisation préalable
du client.»
«L
Sylvain Bertrand a ouvert son entreprise le 1er novembre 2004. «Après
avoir gravi tous les échelons au niveau des pneus pendant 22 ans, j’ai décidé
d’ouvrir mon propre garage.» On peut ainsi affirmer sans se tromper que M.
Bertrand possède une expérience complète dans ce domaine.
Présentement, ce garage se spécialise dans l’alignement, les pneus et le
traitement antirouille. Pour répondre à la demande, M. Bertrand a embauché le mécanicien Robert Gratton.
Un troisième employé pourrait travailler au Centre d’alignement St-André
puisque M. Bertrand désire offrir le service de traitement antirouille mobile
aux municipalités. «Ainsi, nous sommes en mesure de traiter les camions
d’incendie ou les charrues», précise M. Bertrand. Les municipalités de Lachute et de Grenville-sur-la-Rouge ont déjà fait appel à l’entrepreneur pour
ce service.
clients.
«Pour nous
l’honnêteté
c’est important, indique
M. Bertrand.
On travaille
toujours avec
des estimés
et on montre
les pièces à
changer aux
propriétaires
du véhicule.
Bref, la porte
du
garage
est toujours
grande
ouverte.»
1, rue St-François-Xavier
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
Téléphone : 819 983-4333
Télécopieur : 819 983-4332
3825667
Le Centre d’alignement St-André affiche la bannière Tech Net de Car Quest
qui propose une garantie au niveau des pièces et de la main-d’œuvre aux
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 33
Des petites abeilles
Chaque semaine l’équipe de La Petite-Nation butine afin d’offrir aux lecteurs et aux annonceurs
non pas du miel, mais un journal de qualité. Qui se cache derrière La Petite-Nation ?
reconnaissante envers Sylvie et Marie-Andrée qui m’aident quotidiennement à bien accomplir
mon travail.»
Jessy Laflamme
Jessy Laflamme travaille maintenant à La Petite-Nation depuis cinq ans. Passionnée par
l’écriture et sa région natale, elle désirait ardemment travailler pour ce journal. Selon Jessy, le
rôle du journal est avant tout d’être la voix, les oreilles et les yeux des citoyens.
Marie-Andrée Bérard
Marie-Andrée Bérard connaît le journal comme le fond de sa poche. Après 36 ans d’emploi,
on peut vraiment dire qu’elle a La Petite-Nation tatouée sur le cœur. En effet, Marie-Andrée a
commencé sa carrière en 1975. Elle a commencé comme secrétaire. Ensuite, elle s’occupait de
la typographie. Elle a connu l’évolution du montage au journal. Maintenant, Marie-Andrée
occupe le poste de coordonnatrice aux ventes. Encore aujourd’hui, elle possède le feu sacré. «Je
suis toujours enthousiaste de travailler avec l’équipe du journal afin d’en apprendre encore plus
pour guider nos annonceurs et lecteurs», affirme-t-elle. Elle a déjà gagné le prix employée de
l’année au sein de Transcontinental. Selon elle, le rôle de La Petite-Nation est de permettre à
chaque résidant de la région d’obtenir de l’information locale et profiter des produits offerts chez
les annonceurs.
François Lemery
François Lemery s’est joint à l’équipe de La Petite-Nation en 1985 à la suite de la fusion de
deux rivaux : La Petite-Nation et La Revue de Papineau. Il a donc commencé dans le domaine
de la vente de publicité en 1983. François ne peut oublier tous ceux et celles qui, au cours des
années, ont fait partie de l’équipe du journal. «Il y a bien entendu, mon ancien complice, Denis
Legault et mes patrons Michel St-Louis, Serge Lamarche et Michel Blais. Je n’oublie pas les
journalistes Paul Gauthier, Stéphanie Verner et Yan Proulx et les gens de l’atelier, Claude
Lamarche, Louise Falstrault, Louis-Dominique Lamarche et Myriam Moreau. Je me souviens
aussi de Denise Verner, Julie Martel, Gisèle Barbeau et tous les autres dont le nom m’échappe»,
affirme François. Selon ce conseiller publicitaire, le rôle du journal a toujours été le même, soit
être le miroir des communautés de notre belle région. «La Petite-Nation fait le lien entre elles
pour que la région continue de grandir et de prendre de plus en plus de place dans le cœur des
gens.»
Nathalie Gauthier
Nathalie Gauthier travaille à La Petite-Nation depuis 15 ans. Elle a été embauchée par son
ami Denis Legault. «Il m’a reçu dans son salon pour une entrevue, et au bout de quelques
questions et discussions, je lui ai tout simplement dit : arrête de chercher, c’est moi qu’il te faut!»,
se souvient Nathalie. Le lundi suivant, elle mettait les pieds au journal. «Je suis toujours heureuse
d’y être, affirme-t-elle. J’aime la créativité que le travail de conseillère publicitaire m’apporte.
J’adore aussi le contact avec les gens, j’essaie de les aider du mieux que je peux dans l’évolution
de leurs entreprises.» Nathalie a chaussé les souliers de Denis Legault lors de son départ. Elle est
ainsi passée de coordonnatrice aux ventes à conseillère publicitaire. «Il a travaillé fort pour
acquérir sa clientèle. Je me sentais bien petite face à ce nouveau défi, mais avec tous les bons
conseils qu’il m’a donnés et qu’il me donne encore aujourd’hui, je m’efforce toujours de donner
un service de qualité.» Nathalie apprécie beaucoup l’équipe de La Petite-Nation. «Je suis très
Éric Lafleur
Éric Lafleur occupe le poste d’éditeur de la Petite-Nation et du Bulletin depuis deux ans.
«Même si je ne fais que débuter, j’essaie d’apporter de nouvelles idées dans le but de continuer
la belle tradition de ce journal», affirme-t-il. Lors des deux dernières années, il a passé beaucoup
de temps à échanger avec le dernier pilier du journal, Denis Legault. «Ça reste mon meilleur
souvenir», précise-t-il.
Sylvie Major
Sylvie Major est préposée à l’entrée de données depuis deux ans. Pour Sylvie, il est
encourageant de constater que le pourcentage de lecture du journal est très élevé et qu’il est
attendu chaque semaine par les gens de la communauté. Le premier journal auquel a participé
Sylvie reste un bon souvenir. «Dès lors, j’ai constaté tous les efforts déployés par les employés des
différents secteurs pour en assurer son succès, raconte-t-elle. L’effervescence ressentie m’a ramené
au temps où j’ai œuvré en radiodiffusion; ce n’est pas le même médium, mais le type d’énergie
qui y converge vers l’heure de tombée est semblable.» Selon cette employée, le journal est outil
privilégié de rapprochement. «Notre journal, c’est le pouls de notre communauté, un moyen
indispensable pour faire connaître ses gens, ses activités, sa culture et ses entreprises», soulignet-elle.
Michèle Marchand
Michèle Marchand remplace Jessy Laflamme pour une période de neuf mois. Les mots la
passionnent depuis sa tendre enfance et elle écrit depuis qu’elle a 12 ans. Elle a été rédactrice en
chef de Ciel Variable magazine
de photographies et textes,
documentaliste pour Avataq le
centre culturel inuit à Montréal
puis durant six ans rédactriceréviseure pour Clin d’œil
magazine de mode et beauté. À
la pige depuis de longues
années, elle a écrit dans toutes
sortes de magazines québécois,
santé,
beauté,
mode,
horticulture, etc.
Sylvie Major, François Lemery, Éric Lafleur, Marie-Andrée Bérard, Nathalie Gauthier, Jessy
Laflamme et Michèle Marchand. (Crédit photo : Aline Carrière)
Le Garage Jean-Claude Whissell est là pour rester
L
e 31 mars dernier, le Garage Jean-Claude Whissell fêtait ses 17 ans d’existence.
L’an dernier, les propriétaires, Jean-Claude Whissell et Robert Louis-Seize, ont
agrandi leur bâtiment situé au 195, rue Principale à Saint-André-Avellin afin
d’y aménager une nouvelle porte de garage et une salle d’attente. Les entrepreneurs
qui ont commencé avec deux bais de service en compte maintenant cinq. «Nous
avons investi pour répondre à la demande et satisfaire davantage notre clientèle»,
indiquent-ils.
Une des particularités de ce garage, outre le service personnalisé, est la stabilité des
mécaniciens. «Trois de nos employés sont avec nous depuis plus de 10 ans, mentionnent les propriétaires. Si on ajoute nos années de service, on compte près de 125 ans
expériences à cinq mécaniciens.»
Le Garage Jean-Claude Whissell se spécialise dans plusieurs domaines, dont les radiateurs. «Nous sommes les seuls dans la Petite-Nation à pouvoir fabriquer des radiateurs
sur mesure.»
Le garage offre aussi l’entreposage de pneus et le gonflage à l’azote et possède
l’équipement nécessaire pour entretenir et réparer le système d’air climatisé.
Les propriétaires ont aussi investi dans une nouvelle machine qui permet de
changer l’huile pour les transmissions de voitures importées et nord-américaines. Ils
ont également les chartes électriques qui permettent de donner des diagnostics précis.
Les mécaniciens possèdent donc l’équipement à la fine pointe de la technologie pour
offrir le meilleur service possible.
D’ailleurs, en plus de prioriser le service à la clientèle, les propriétaires misent
sur l’honnêteté. «Avant d’entreprendre des travaux sur un véhicule, on appelle
toujours le client pour lui donner une estimation. Le client a toujours le dernier mot
puisque c’est sa voiture. On ne veut pas le voir ici une seule fois, on veut le garder
pour longtemps», affirment les deux propriétaires.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
34 - www.lapetitenation.com
De plus, récemment, le garage a changé de fournisseur leur donnant maintenant
accès la journée même au plus vaste inventaire de pièces automobiles de la région.
Le garage Jean-Claude Whissell affiche la bannière Unipro élite. Il est d’ailleurs
en nomination pour le garage Unipro de l’année du Québec. Grâce à Unipro, les
mécaniciens peuvent suivre une formation trimestrielle avec Uni Select afin de se
tenir à jour.
Ce garage de Saint-André-Avellin a aussi développé un marché pour la clientèle
anglophone. «Plusieurs touristes viennent ici, car ils peuvent être servis dans leur
langue», indique M. Whissell.
Les deux propriétaires ont toujours quelques idées en tête pour développer leur entreprise. Ils veulent rafraîchir l’affichage sur leur bâtiment. D’autres projets pourraient
aussi voir le jour dans quelques années. À suivre…
En attendant, il est toujours possible de donner vos suggestions à Jean-Claude ou
à Robert. «On s’adapte à notre clientèle. Nous avons maintenant quatre véhicules
de courtoisie pour répondre à la demande des clients, nous voulons toujours
combler leurs besoins.»
195, rue Principale, Saint-André-Avellin
(Québec) J0V 1W0 819 983-1447
[email protected]
3756376
Le fils de Jean-Claude Whissell, Jean-François, s’est joint à l’équipe au printemps puisqu’il vient tout juste de terminer avec succès son cours de mécanique à
Papineauville.
L’histoire se poursuit
au Garage André Parisien
Sésame, ouvre-toi!
T
«Tout souriant dans sa face rubiconde, éclatante de franchise
Diane Parisie
et d’espoir, André Parisien acn
cueille ses nombreux visiteurs»,
peut-on lire lors dans La Petite-Nation de mai 1981 lors de l’inauguration du
Garage André Parisien.
n
André Parisie
L’auteur de cet article écrivait aussi qu’il faut plus que de l’expérience pour se
lancer en affaires, il faut de l’initiative, de l’entregent, du courage et un sens
quotidien de l’effort. Ceux et celles qui connaissent et apprécient les qualités de
cet enfant de la vallée savent qu’André Parisien n’en manque pas.
Avec un inventaire de 2 millions$, on peut affirmer sans se tromper que l’article
de 1981 est toujours actuel.
«Notre marque de commerce est notre service à la clientèle. Nous avons toujours
voulu répondre au besoin de la population en général », affirme M. Parisien.
On retrouve au Garage André Parisien une vingtaine de tracteurs neufs et plusieurs pièces. En effet, l’entreprise embauche 10 mécaniciens. «Nous offrons de
la machinerie pour toutes les sortes de culture, soya, maïs, érablière, et aussi
pour les villégiateurs», précise M. Parisien.
Bronzage, pose d’ongles, perçage
corporel et fleuriste sont des services
que Ninon Gagné et Robert Roy offrent
dans leur entreprise de Chénéville. Ils
ont même déjà proposé un petit coin
(«sex shop»).
De plus, à partir du mois de mai,
Place 76 recevra plusieurs collections
de bijoux prêtes à embellir toutes les
femmes. Christophe Poly, bijoux Zinzi,
bijoux Elle, SteelX et Citizen sont des
marques qui sauront plaire à tous.
De plus, l’accueil chaleureux des
propriétaires vous incitera à revenir les
rencontrer plusieurs fois...
PLACE
76
3783681
Du savon à vaisselle jusqu’au verre Riedel…
B
Serveuse au Café du Bistrot, elle en jase
avec Patrick et il craque pour l’idée,
l’endosse et s’y implique. Autre affinité
entre les deux, Sophie, qui a étudié en
gestion hôtelière à l’Institut de tourisme
et d’hôtellerie du Québec s’intéresse elle
aussi aux vins. Le concept inclut donc un
autre volet: «Patrick fait la palette de vins
que les clients n’ont qu’à aller acheter en
succursales», explique- t-elle.
«Bistrot, ça veut dire marchand de vin,
explique Patrick. On propose un menu et
une palette de vins, on fait de la cuisine
gastronomique mais comme à la maison, on fait le service et on apporte tout,
de la vaisselle au savon en passant par
les chaudrons jusqu’aux verres Riedel,
un verre spécial, plus mince, en cristal.»
«Ce qu’on veut, c’est faire de la belle
cuisine. On fait beaucoup de cocktails
dinatoires, on organise des mariages
Bistrot Le Trotteur, c’est en fait le
jusqu’à 150 personnes. On fait aussi des
petit frère, ou faut-il dire la petite sœur,
méchouis, des soirées, des réunions»,
du Café du Bistrot. À la barre, Patrick
complète Sophie.
Leblanc, propriétaire du Café du Bistrot, bien sûr, mais aussi Sophie Bisson «On veut que les gens parlent de nous.
Dambremont:
«J’ai Ça rend l’entreprise encore plus vivante»,
toujours eu ça dans de conclure Patrick. Quand on sait que
l’idée, déclare-t-elle, tout ça ne marche que par le bouche à
mais je ne l’aurais pas oreille depuis le début, on peut dire que
parti toute seule.»
oui, les gens en parlent, et en bien.
198, Principale, Saint-André-Avellin
www.bistrotletrotteur.com
819 983-1343
3857278
Bistrot le Trotteur
Traiteur à domicile
76, rue Principale
Chénéville (Québec) J0V 1E0
819 428-1700
La SADC de Papineau, votre partenaire
en développement économique
depuis plus de 25 ans !
Bistrot Le Trotteur
istrot Le Trotteur, un traiteur pas
comme les autres, c’est comme
avoir un chef à domicile. De
l’élaboration du menu en passant par la
vaisselle et les suggestions de vin… Ils
fournissent tout et font tout. Vous recevez
chez vous, tel un seigneur d’antan.
Fleuriste
Art Floral Nynon
L
a Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) de
Papineau appuie le développement économique de la collectivité
grâce à une variété d’outils financiers et
techniques, mais se traduit à l’essentiel
par la création d’emplois et le soutien à
l’entreprenariat.
Depuis 1985
La SADC de Papineau a, grâce à son
Fonds d’investissement SADC, investi
près de 18.5 millions de dollars qui
ont permis au cours des 25 dernières
années la réalisation de projets d’une
valeur globale de près de 60 millions $.
Au total, le Fonds a permis la création
de 805 emplois ainsi que le maintient
de 1707 autres.
Depuis 1998
Pour sa part, le programme Stratégie
jeunesse a permis un investissement de
1 685 201 $ dans la collectivité, permettant ainsi la réalisation de projets d’une
valeur totalisant plus de 8 457 087 $ en
région et la création ou le maintien de
411 emplois sur le territoire.
variées et innovantes qui occupent
une place importante dans le travail
de l’équipe de la SADC auprès des
entrepreneurs et de la collectivité de la
Petite-Nation. Par son appui et ses interventions sur son territoire, la SADC
de Papineau contribue ainsi au maintien de la population tout en permettant à celle-ci une plus grande liberté
économique.
La SADC de Papineau tient à féliciter
le journal La Petite-Nation pour son
50e anniversaire ! La détermination,
la persévérance et la passion des
équipes passées ainsi que de l’équipe
actuelle permettent, depuis 50 ans,
d’offrir à la population une couverture
ces évènements et des enjeux qui marquent le territoire chaque jour.
Depuis ses débuts
La SADC s’implique également en
développement local dans de nombreux Développement
économique
Canada
projets mis sur pied sur l’ensemble du appuie financièrement la SADC de
territoire de Papineau. Les interventions Papineau.
WWW.SADCPAPINEAU.CA
819-986-1747 | 1-888-986-SADC
3859272
440, St-Joseph ouest
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-2016
www.garageandreparisien.com
Ninon et Robert
Il faut absolument visiter cet endroit,
y découvrir les parfums de fleurs, le
confort des salles de bronzage et le
bien-être de la pose d’ongles.
Le couple est confiant pour l’avenir. «L’entreprise poursuivra sa lancée avec
notamment notre fils Richard», souligne-t-il.
Garage André Parisien inc.
out comme la caverne d’Ali
baba, la Place 76 à Chénéville
offre une panoplie de trésors.
3854691
A
ndré et Diane Parisien
accueillent leurs clients depuis 32 ans à
l’entreprise familiale située dans
le rang St-Joseph-Ouest à SaintAndré-Avellin.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 35
La revue de La Petite-Nation…
Stéphanie Verner
Le Garage Jean-Claude Major inc.
à la hauteur de sa réputation
J
ean-Claude Major est devenu
propriétaire de son garage à Montebello en 1965. Un premier agrandissement devient nécessaire en 1979.
À partir de l’âge de 12 ans, son fils,
Paul, apprend les rouages du métier. La
priorité pour le père et le fils : le service
à la clientèle.
En 1989, le fils prend les rênes de
l’entreprise. Encore aujourd’hui, c’est
un plaisir pour Paul Major de se rendre
au travail. «J’aime le contact avec la
clientèle et la résolution de problèmes.
C’est une fierté et une satisfaction de
pouvoir aider.»
C’est pourquoi mes trois employés et
moi suivons constamment de la formation.» Ce garage se démarque surtout
pour l’alignement de véhicules.
Depuis 1984, le Garage Jean-Claude
Major inc. affiche la bannière Unipro,
une façon pour l’entreprise de donner
La réputation est très importante pour notamment de la garantie prolongée
M. Major surtout en ce qui a trait à à la clientèle. En 1992, Paul Major a
l’honnêteté. «La clientèle nous perçoit ajouté un lave-auto à son commerce.
comme des mécaniciens honnêtes, ce
que nous sommes et je tiens à ce que Ce garage possède aussi un côté
ça reste… On essaie toujours d’être le vert. «On effectue de la récupération
meilleur possible. De plus, possédons d’absorbant de plancher, d’huile, de
de l’équipement à la fine pointe de la plastique, etc. Comme je suis conscient des dégâts que ça peut causer,
technologie.»
je tente de faire attention», explique
Selon l’entrepreneur, la mécanique M. Major.
a beaucoup évolué au cours des
années. «On parle davantage aujourd’hui En 2007, le garagiste a investi près de
35 000$ pour décontaminer son terrain
de technique.
par souci d’environnement.
Jean-Claude
Major Inc.
725, rue Notre-Dame
Montebello (QC) J0V 1L0
819 423-6979
3756250
GARAGE
Quand j’ai reçu la demande de l’actuelle journaliste de
La Petite-Nation, Jessy Laflamme, j’ai eu deux réactions :
la première en a été une de fierté, d’y avoir travaillé bien
sûr! Ma deuxième réaction en a été une d’étonnement :
50 ans, juste ca? Il me semble que le journal fait partie
du paysage de la région depuis toujours! Mais en même
temps, je réalise que 50 ans c’est tout un exploit, surtout
quand on tient compte de tous les changements qui
modifient sans cesse le monde des médias.
Bien sûr, on m’a demandé de vous parler des
évènements et des dossiers qui ont marqué mon passage
à titre de journaliste au sein de l’équipe de La PetiteNation. J’aurais très bien pu vous parler du virage
technologique qu’a pris le journal avec l’arrivée de
lapetitenation.com et d’Info07. Ou encore de comment
l’informatisation du journal a considérablement changé
notre travail. Parce que croyez-le ou non, à mes débuts
au journal, je développais moi-même les photos dans
une chambre noire improvisée dans la salle de bain et
on collait littéralement les textes et les publicités sur de
grandes feuilles que l’on envoyait ensuite par messager
chez l’imprimeur! Aujourd’hui, tout est informatisé : les
textes sont écrits à l’ordinateur puis transférés à l’atelier
de production qui s’occupe de la mise en page et qui à
son tour transfert le produit virtuel final à l’imprimerie.
Mais après mûre réflexion, j’ai plutôt décidé de parler de
ce que je retiens vraiment de mes années à La PetiteNation : les gens qui se dévouent chaque semaine pour
vous offrir un produit de qualité que même les plus gros
hebdos ne peuvent envier!
Par où ou plutôt par qui commencer? Allons-y avec
le vrai patron du journal, la maman de l’équipe : MarieAndrée Bérard. Véritable pionnière du journal, Marie-
Andrée aurait certainement beaucoup plus de choses à
vous raconter que moi sur l’histoire de La Petite-Nation.
Toujours souriante et patiente, Marie-Andrée est
toujours prête à partager ses connaissances et donner un
coup de main aux autres membres de l’équipe. Grâce à
elle, j’ai eu la chance d’apprendre l’aspect plus
« technique » de mon métier.
Et qui ne connait pas François Lemery? Pas besoin
de présentation pour ce «vieux de la vieille» qui s’affaire
chaque semaine à représenter le mieux possible les
commerçants du coin. Toujours de bonne humeur,
Francois est véritablement à l’écoute de ses clients et de
ses collègues. De François, j’ai appris à garder mon
calme et le sourire en toutes circonstances!
Appréciée de tous pour son entrain, Nathalie
Gauthier rejoindra bientôt le club sélect des «anciens»
du journal! Il faut croire qu’une fois qu’on a la chance
de travailler avec une équipe si exceptionnelle, il devient
impossible de la quitter. Au contact de Nathalie, j’ai
compris l’importance d’aimer vraiment ce que je fais et
de toujours y prendre plaisir.
Impossible de parler de La Petite-Nation sans penser
à Denis Legault. Tout comme pour mon ancien collègue
Yan Proulx, Denis a été le premier à me donner « ma »
chance. J’ai eu le privilège de collaborer et d’apprendre
de lui. Il m’a appris à toujours voir l’aspect positif des
choses, et ce même dans les situations les plus négatives.
Que dire de l’ancien éditeur, Michel Blais? Que de
divergences d’opinons et de discussions nous avons eues!
Michel a été le premier patron que j’ai osé contredire
voire même confronter… Même s’il ne le croira
sûrement pas, il a été un très bon patron. Toujours à
l’écoute et disponible pour ses employés, Michel a su
faire ressortir le meilleur en nous.
Un grand pas pour Hawkesbury Honda
H
awkesbury Honda a
récemment changé
le cours de son histoire en déménageant dans
un bâtiment flambant neuf à
Hawkesbury.
Fier membre du groupe
Gagné, qui compte six concessions dans la région,
Hawkesbury Honda offre
maintenant un service d’entretien unique permettant aux automobilistes d’entrer dans le garage à l’aide de porte automatique.
De plus, Hawkesbury Honda n’offre que les meilleurs véhicules neufs
et véhicules d’occasion. Au total, on retrouve près d’une centaine
d’automobiles neuves en stock, dont la Honda Civic, la voiture la plus
vendue au Canada, et ce, depuis les 13 dernières années. Hawkesbury
Honda tient aussi en magasin une trentaine de véhicules d’occasion.
Ce concessionnaire fait des affaires depuis 1988 afin d’offrir à ses clients dans la région de Grenville et de Hawkesbury une expérience
d’achat hors du commun. Vingt-deux employés travaillent d’arrachepied pour satisfaire la clientèle.
Que vous soyez étudiant, travailleur professionnel, amateur de plein
air ou que vous cherchiez un véhicule pour des moments en famille
inoubliables, les conseillers d’Hawkesbury Honda prendront le temps
de vous guider afin de trouver le modèle Honda qui convient à tous
vos besoins.
Grâce à une atmosphère amicale, un service de vente personnalisé
et sans pression et des prix imbattables, Hawkesbury Honda vous fait
gagner gros!
Cahier 50 ans La Petite-Nation
36 - www.lapetitenation.com
Hawkesbury Honda
Nord-Sud Honda à Saint-Jérôme
Toyota Lachute
Honda Lachute
Kia Grenville
Toyota Sainte-Agathe
455, County Road 17, Hawkesbury (Ontario) K6A 2R2 Téléphone : 1 866 974-0318
www.hawkesburyhonda.ca
3783686
Le groupe Gagné c’est
50 ans déjà!
Stéphanie Verner
Ancienne
publicité
Groupe Yves Gagnon synonyme d’expansion
À titre indicatif seulement
D
La dernière addition du Groupe Yves
Gagnon est l’usine de fabrication de
fermes de toit, Structure JB à Saint-André-Avellin. « C’est un complément à
notre entreprise, notre but étant de toujours donner un meilleur service à nos
clients », affirme Geneviève. Et elle
ajoute : « Ce ne sont pas les projets qui
Du départ avec le magasin général à manquent pour cette acquisition, nous
Chénéville, le Groupe Yves Gagnon voulons moderniser l’équipement et
compte aujourd’hui 4 centres de rénova- lancer de nouvelles productions ».
tion situés à Chénéville, Mont-Tremblant,
Saint-Jean-sur-Richelieu et Saint-André- Elle en profite pour souligner le travail des
Avellin. C’est d’ailleurs à cet endroit que 250 personnes travaillant pour le Groupe
le Groupe a choisi d’investir 4 millions$ Yves Gagnon. « Nous pouvons croître et
pour construire le 1er BMR de la nou- évoluer grâce au soutien de notre fidèle
velle génération au Québec. « Ce sera clientèle et l’apport de nos employés »,
du jamais vu et nous sommes fiers que ce termine Geneviève Gagnon.
projet prenne forme dans notre patelin! »
affirme la directrice générale du Groupe,
Félicitations à l’équipe de
Geneviève Gagnon. La construction
La Petite-Nation pour
débutera au printemps et se terminera à
votre implication dans le
l’automne. Les services seront toujours
développement de la région.
maintenus et le magasin sera ouvert
7/7 jours.
epuis ses débuts en 1942, Groupe
Yves Gagnon ne cesse d’évoluer!
À travers les années, les générations se sont succédées pour former
aujourd’hui une entreprise rayonnant
bien au-delà des frontières de la PetiteNation.
3845307
Je garderai également toujours une
place très spéciale dans mon cœur pour
mon ancien collègue, Paul Gauthier.
Malgré ses airs de journaliste bourru,
Paul a été un véritable mentor et ami.
Passionné de son métier, il était surtout
fier de pouvoir, à sa manière, aider notre
belle région, ses gens et ses organismes à
se faire connaitre. De lui, je retiens donc
toute la fierté et le sentiment
d’appartenance à ma région natale.
Alors voilà ce que je retiens de mon
passage au journal La Petite-Nation. Un
excellent 50e anniversaire à tous ceux et
celles qui ont contribué de près ou de
loin au succès du journal. Et à vous chers
lecteurs, merci d’être au rendez-vous à
chaque semaine…en espérant que vous
continuerez d’y être pour un autre 50
ans! Bonne fête à tous!
Groupe Yves Gagnon
Chénéville 888 428-3903
Mont-Tremblant 800 850-7662
Saint-André-Avellin 819 983-2449
Saint-Jean-sur-Richelieu 450 359-1311
Un service personnalisé avec Nadine Lavictoire
Cette courtière offre le service pour l’achat. «Je peux aider les
acheteurs à combler leurs désirs. Je peux effectuer des visites avec eux
même si la propriété qui les intéresse ne fait pas partie de ma liste et
même si la propriété est mise en vente par un autre courtier ou même
par une autre bannière. Je suis là avant tout pour les guider et bien les
conseiller. L’important c’est la satisfaction des clients.
De cette façon, cette courtière
assure un suivi rapide à ses
clients ainsi qu’une plus grande
disponibilité. «C’est important
pour moi de développer un lien
de confiance», précise-t-elle.
Toujours dans un souci d’offrir un bon service, elle se garde à jour en
suivant plusieurs formations.
Cette courtière de Montebello
est passionnée par son métier. «C’est un privilège de pouvoir partager
le plus gros achat d’une vie avec les gens, c’est toujours une étape
importante l’acquisition d’une nouvelle résidence.»
Elle se trouve également chanceuse de travailler dans sa région natale.
«J’habite à Montebello depuis 30 ans, je n’ai jamais bougé et je n’ai
pas l’intention de le faire non plus. C’est un avantage, car je connais le
territoire de fond en comble.»
L’absence de routine et la possibilité de rencontrer des personnes différentes poussent Nadine Lavictoire à poursuivre son travail. L’immobilier
c’est ma PASSION.
re/max vision (1990) inc.
Évaluation complète, mise en marché et taux compétitifs sont des
avantages qu’elle propose aux vendeurs.
En plus de s’occuper de résidences familiales, la courtière peut se
charger des multilogements et guider les villégiateurs pour le choix
de leur deuxième résidence. Elle étend également son marché jusqu’à
Masson et Buckingham afin de satisfaire sa clientèle à la recherche de
propriétés situées près de la ville.
Nadine Lavictoire travaille comme courtière immobilière depuis
2006 auprès de la bannière Remax. «Comme c’est une bannière
internationale, elle possède une bonne visibilité et le site le plus visité
au Québec. De plus, il existe de bons échanges entre les courtiers.»
Nadine Lavictoire c’est l’efficacité,
la ponctualité et un suivi rapide.
NADINE
LAVICTOIRE
Bureau : 819 986-3011
Cellulaire : 819 775-5859
[email protected]
3768912
J
e ne veux pas travailler avec
une liste de 60 résidences,
j’aime mieux m’occuper d’une
douzaine de propriétés et être en
mesure d’offrir un meilleur service», affirme d’entrée de jeu la
courtière immobilière, Nadine
Lavictoire.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 37
Sous les charmes de la
Yan Proulx
Au plaisir de continuer à
vieillir ensemble, en SANTÉ!
Avec un service personnalisé, courtois et une livraison à domicile
sans frais, nous sommes présents et à votre écoute dans les bons
comme dans les moins bons moments. Notre nouveau laboratoire
permet un meilleur service, avec espace confidentiel et bureau de
consultation afin de répondre à vos besoins.
156, rue Galipeau, Thurso
819 985-2252
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Hotte, Prud’homme et Carbonneau, Pharmaciens
Lorsque Jessy Laflamme m’a approché pour raconter
mes cinq années comme journaliste à La Petite-Nation,
j’aurais pu vous rappeler les grands dossiers locaux.
Toutefois, ce n’est pas nécessairement la fusion des
établissements de santé avec ceux de la Lièvre,
l’ouverture du Théâtre des Quatre Sœurs ou encore
l’annonce pour de bon du parachèvement de
l’autoroute 50 qui me reviennent en tête de mes années
comme journaliste. J’ai donc décidé de vous raconter
l’histoire d’un ti-cul de 19 ans qui est véritablement
tombé sous les charmes d’une région…
Il y a de ces rencontres qui changent le parcours
d’une vie à 360 degrés. Celle avec Michel Blais, éditeur
du Bulletin et de La Petite-Nation, un 31 octobre 2000,
est certainement une des plus importantes de ma vie et
ce, autant sur le plan personnel que professionnel.
Jeune père de famille à 19 ans, j’étais extrêmement
nerveux à la veille de cet entretien d’embauche avec
Michel. Gagnant ma croûte derrière un bureau et une
caisse enregistreuse en tant qu’assistant-gérant d’un
Ultramar à Gatineau, je rêvais d’avoir la chance de faire
mes preuves en journalisme. Après quelques minutes
d’entretien avec Michel, mon entrevue la plus facile à
vie en passant, Michel m’annonce que je serai son
prochain journaliste pour son hebdomadaire de
la….Petite-Nation. «Petite quoi», cette phrase résonnait
dans ma tête de Gatinois n’ayant aucune espèce d’idée
où se trouvait cette région pourtant à 30 minutes
seulement de ma ville natale.
Vint le moment de partir à la recherche d’un
appartement dans cette région que je n’allais pas tarder
à découvrir. Parce que pour moi, il n’était pas question
que je sois les yeux et les oreilles de cette région sans y
avoir mon pied à terre. Fassett, voilà ma première
destination alors que je déniche une maison à louer
dont le loyer équivaut à un 3 et demi à Gatineau.
Toute ma vie, je vais avoir en mémoire ma première
visite à Saint-André-Avellin. Arrivant de Papineauville
par la route 321, je me suis rendu près du CLSC de la
Petite-Nation en croyant réellement que c’était la fin de
la rue Principale. Heureusement pour le gars urbain
que j’étais, j’ai finalement découvert qu’il fallait tourner
à droite pour découvrir le centre de cette superbe
municipalité avec la Banque nationale, la Caisse et le
Metro.
Dès mon entrée dans les bureaux de La PetiteNation, je me suis senti chez moi grâce en grande partie
à l’accueil chaleureux de mes futurs collègues de travail.
Je profite d’ailleurs de l’occasion pour remercier
sincèrement Denis Legault, Marie-Andrée Bérard,
François Lemery, Nathalie Gauthier, Julie Martel et
Myriam Moreau qui m’ont immédiatement accepté, ce
qui a fait en sorte de faciliter grandement mon
adaptation.
D’ailleurs, de 2000 à 2006, j’ai apprécié côtoyer ce
petit groupe de collègues. Chaque semaine, nous
donnions tout ce que nous avions pour informer la
population en faisant paraître ce journal au meilleur
taux de lecture pour un hebdomadaire au Québec. Je
n’ai jamais caché que grandir auprès de collègues
exceptionnels comme Denis et Marie-Andrée ont fait
de moi un meilleur journaliste, mais aussi une
meilleure personne. Voilà deux grands professionnels
qui auront toujours une place de choix dans mon cœur.
Après cinq ans à parcourir les municipalités de la
Petite-Nation à la recherche de nouvelles, j’ai
finalement décidé de tirer ma révérence pour de
nouveaux défis en ventes au Bulletin de la Lièvre. Il faut
VOTRE VISION EST IMPORTANTE : PIERRE PELLETIER Y VOIT
“La vision est le sens dont on se sert le plus. Il faut s’assurer d’en
prendre soin” souligne l’optométriste Pierre Pelletier.
Ce professionnel de l’optique opère un bureau à Saint-André-Avellin
depuis 1993. “Je possédais déjà une Clinique à Gatineau et une à
Maniwaki. J’ai décidé de me départir de celle de Maniwaki pour me
rapprocher de Gatineau. Saint-André-Avellin, situé à seulement 45
minutes de chez moi était une belle opportunité. “
Depuis 5 ans, le Dr Pelletier compte sur l’aide d’une autre optométriste,
Marie-Josée Deschamps . Le bureau est ouvert cinq jours par semaine.
Les examens se déroulent les mardis et les jeudis.
“J’aime cet aspect de ma pratique qui fait que mes journées sont toujours
différentes. Un jour je travaille à Gatineau avec mes 6 employés, le
lendemain je suis à
Saint-André-Avellin
avec mes autres
assistantes. “
L’optométrie
est
un domaine de la
santé
passionnant
et varié. Dans un
même examen le
Dr Pelletier doit
évaluer la vision de
son patient, mais
aussi et bien sûr sa
santé oculaire. La recherche de cataracte, de glaucome, de dégénérescence occupe une partie essentielle et critique de l’examen. Ensuite les
assistantes Sandy et Johanne s’assurent que le patient soit confortable avec
sa nouvelle monture et qu’elle lui fait comme...un gant!
L’optométriste Pierre Pelletier est fier de travailler dans la Petite-Nation.
“ Les gens apprécient d’avoir accès à des services et des produits haut
de gamme à prix compétitif près de chez eux.”
Cahier 50 ans La Petite-Nation
Sur la photo : Joanne Mc Namara, Pierre Pelletier et Sandy Sabourin
38 - www.lapetitenation.com
Absente de la photo : Dre Marie-Josée Deschamps
122-2 rue Principale
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-1475 819 669-2019
3816927
Votre vision pour l’optométriste, c’est important!
Petite-Nation
dire que la relève me poussait assez fort dans le derrière pour que je laisse ma place.
Une jeune femme de la région, Jessy Laflamme, caressait le rêve depuis quelques
années de s’asseoir à son tour dans cette chaise unique occupée par les Serge
Lamarche, Paul Gauthier et Stéphanie Verner avant moi.
Je ne regretterai jamais mon départ de La Petite-Nation et la raison est simple.
Ce changement de carrière m’a permis de découvrir Jessy, la femme qui partage ma
vie depuis cinq ans. Je suis tombé carrément sous les charmes de celle qui a pris ma
relève et j’ai pu, lors des dernières années, grâce à ses yeux et à ses oreilles, avoir
l’impression de poursuivre ma carrière de journaliste. Une petite Zoé viendra bientôt
grossir les rangs de la famille Proulx et on ne sait jamais, elle prendra peut-être la
relève de ses parents un jour…
Je souhaite longue vie à La Petite-Nation en espérant que des gens bien implantés
de ce coin de pays continueront, malgré cette ère de convergence, à tenir
Yan Proulx. (Crédit photo : Jessy Laflamme)
à bout de bras ce journal si important. La population de cette belle
région mérite un journal local avec des artisans locaux.
Toutes nos
félicitations
e
pour ce 50
anniversaire!
De toute l’équipe de
3756373
45,
Ancienne
publicité
Pneus Séguin offre autre chose que des pneus
L
uc Guévremont est propriétaire de Pneus Séguin à Saint-AndréAvellin depuis trois ans. La mécanique a toujours été une passion
pour lui.
Il travaillait chez Pneus Séguin à Gatineau lorsque l’occasion d’acheter
l’entreprise de Saint-André-Avellin, existante depuis près d’une dizaine
d’années, s’est présentée.
«Comme je pratique la mécanique chez moi depuis plusieurs années
et que j’en faisais maintenant à temps plein, j’ai décidé d’aller de
l’avant», raconte M. Guévremont.
Contrairement à la croyance populaire, on ne s’occupe pas que des
pneus chez Pneus Séguin. «J’ai investi près de 100 000$ pour acheter
une machine d’alignement. J’ai aussi acheté plusieurs outils et une
soudeuse pour faire de l’entretien mécanique : freins, lumière, batterie,
suspension. Bref, tout ce qui ne touche pas le moteur.»
Évidemment, Pneus Séguin reste l’endroit idéal pour toute question de
pneus. «On offre toutes les marques de pneus et on effectue de la pose
et de la réparation. On s’occupe aussi de l’entreposage», précise Luc.
de Saint-André-Avellin
Le propriétaire précise par contre qu’il est impossible d’obtenir des
bons pneus à prix abordables. «C’est une question de qualité, expliquet-il. Pour obtenir de bons pneus, il faut payer le prix. C’est une question
de choix, c’est au client de décider ce qu’il désire réellement.»
L’entreprise mise beaucoup sur le service à la clientèle. «On ne retrouve jamais de problèmes ici. Un client peut toujours venir me voir
pour m’indiquer ce qui ne va pas et on trouvera une solution. Je tiens
à ce que le client sorte de chez nous satisfait.»
Pneus Séguin c’est de bons prix et le meilleur service après-vente.
C’est encore le temps de changer ses pneus d’hiver pour les pneus
d’été. Alors, n’attendez pas, prenez un rendez-vous!
Merci à La Petite-Nation pour les 50 ans d’information.
373, route 321 sud
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-2482
3756249
Son fils, Raphael s’est greffé à lui. Il termine présentement son
cinquième secondaire et travaille souvent dans l’entreprise maintenant
devenue familiale. Quand Luc est absent, c’est lui qui prend les rênes.
D’ailleurs, Pneus Séguin pourrait éventuellement s’appeler Guévremont et fils.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 39
Une histoire
Lauzon félicite les artisans du journal
La Petite-Nation
Jessy Laflamme
[email protected]
N
situés dans la Petite-Nation : son siège
social, une usine de lamelles et une
usine de bois énergétique recyclée à
Papineauville ; une scierie à Thurso et
une société de commercialisation à
Fassett.
LAUZON jouit d’une réputation mondiale pour la notoriété de ses produits
et figure parmi les cinq plus importants
manufacturiers de planchers de bois en
Amérique du Nord. Cinq de ses sites sont
Avec le savoir-faire d’une équipe forte
et engagée de 700 employés à travers
le Québec, LAUZON contribue avec
fierté au développement économique
de la Petite-Nation.
www.plancherslauzon.com
3845388
de
la
atif
Petite-Nation
en Outaouais,
David Lauzon fonde
une entreprise qui
célèbre cette année
26 années de croissance continue. Dès ses
débuts, l’entreprise se
exclusiveconsacre
ment à la fabrication de
planchers de bois haut
de gamme. Depuis la
forêt jusqu’au produit
fini, en passant par le
recyclage des résidus
de bois qu’elle convertit en énergie verte,
LAUZON est parmi les rares entreprises de son secteur à avoir réalisé une
intégration verticale complète, depuis
la gestion forestière jusqu’à la mise en
marché de produits finis certifiés FSC.
Je travaille depuis maintenant cinq ans à La PetiteNation ce qui représente 10% de l’existence du journal.
C’est quand même pas pire.
Ce chiffre pourrait tout de même être beaucoup plus
élevé si ce n’était de mon prédécesseur, Yan Proulx…
Dès mon entrée à la Cité collégiale en journalisme, je
savais que je voulais travailler à La Petite-Nation. Loin
de moi l’idée de travailler ailleurs. Je voulais développer
ma carrière dans ma région natale, la Petite-Nation.
Déjà à cette époque, je savais que le métier de
journaliste m’intéressait, mais je possédais surtout la
certitude que d’écrire à propos de ma région et des gens
qui l’habitent me passionneraient totalement. Disons
les vraies affaires, quoi de mieux que d’être payé pour
découvrir sa propre région et sa population. C’est ce que
je vis quotidiennement depuis cinq ans.
Mais, il y avait un hic. Yan Proulx, tout jeune, tout
fringuant venait tout juste d’entrer en poste à La PetiteNation comme journaliste. Le poste étant déjà occupé,
je me dois de trouver autre chose. J’aurais pu m’exiler,
mais non, je voulais m’établir dans la Petite-Nation.
Alors j’ai occupé différents emplois dans plusieurs
entreprises : Parc national de Plaisance, Gestion ACL,
Centre d’accès communautaire Internet, Centre
d’interprétation du patrimoine de Plaisance, etc.
J’obtenais toujours des contrats ou des emplois
saisonniers. J’ai appris beaucoup, mais je voulais de la
stabilité.
Le Centre local de développement (CLD) de
Papineau me l’a offerte. Je suis devenue agente de
développement touristique. Un seul poste pouvait me
convaincre de partir. Devinez lequel…
Un beau jour, après seulement six mois à l’emploi
du CLD, le téléphone sonne. Yan Proulx m’apprend
qu’il quitte son emploi. Imaginez ma surprise. J’avais
perdu espoir.
Deux semaines plus tard, je m’assoyais dans mon
bureau de La Petite-Nation, wow!
Depuis ce jour, j’ai le plaisir de rencontrer des gens
dynamiques et impliqués qui me poussent à
m’améliorer chaque jour et à donner le meilleur de
moi-même toujours dans l’esprit de plaire aux lecteurs.
J’ai eu la chance de couvrir la venue de Georges
Bush à Montebello, un événement majeur. Ce n’est par
contre pas mon meilleur souvenir. Mes événements
marquants pour moi, sont toutes ces rencontres avec les
gens : Gala sportif, Gala de la Chambre de commerce
Vallée de la Petite-Nation, Secondaires en spectacle, le
Gala Ados Petite-Nation (évidemment), bref, tous les
événements qui me permettent de rencontrer et de
parler des gens de la Petite-Nation. Parlant de gens
extraordinaire, je ne peux passer sous silence, Denis
Legault, mon ancien collègue. Cet homme rempli de
sagesse a agrémenté et agrémente toujours ma vie.
J’adore discuter avec lui de n’importe quel sujet et à
plusieurs reprises je me remémore ses belles paroles.
C’est un homme vrai et sensible. Bref, il s’en fait peu
comme lui.
J’ai une pensée aussi pour Marie-Andrée Bérard qui
travaille à La Petite-Nation depuis plus de 36 ans.
J’apprécie énormément cette femme exceptionnelle,
ma mommie…
FÉLICITATIONS
pour les 50 ANS
de la revue de
la Petite-Nation!
Publisac Outaouais est fier de contribuer au
succès de la revue de la Petite-Nation en vous
livrant semaine après semaine ce journal de
qualité à l’image de sa communauté.
UN JOURNAL D’ICI
POUR DES GENS D’ICI
LIVRÉ PAR DES GENS D’ICI
Cahier 50 ans La Petite-Nation
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Bonne continuité !
d’amour
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Une histoire
d’amour
Certes, je vis une
d’amour
histoire
avec La PetiteNation, autant le
journal que la
région depuis ce
fameux 26 février
2006. Mais, surtout,
grâce à cet emploi,
j’ai connu le vrai
amour.
Comme je le dis
souvent, quand je suis entrée en poste à La Petite-Nation,
je n’ai pas seulement pris l’emploi de journaliste, j’ai
sauté sur l’occasion… Je ne pouvais pas passer à côté; j’ai
pris le gars aussi.
Ainsi, depuis cinq ans, je suis amoureuse d’un ancien
journaliste, un père formidable et surtout un homme
extraordinaire. Et comme si ce n’était pas assez, il m’a
offert dès le départ de notre relation, une famille de deux
enfants. Ces deux petits êtres sont des petites boules
d’amour, ils me font grandir chaque jour.
Comme ce n’est jamais assez puisque je veux goûter
à la vie et à tous ses bonheurs, à ce moment même où
vous lisez ces lignes, je suis en congé de maternité,
probablement avec ma petite fille dans les bras et mon
homme à mes côtés.
Quoi dire de plus outre que je suis une femme
comblée autant sur le plan professionnel que personnel!
Ainsi, je ne peux dire qu’une chose par rapport au
journal La Petite-Nation : MERCI!
L
STORES MAHEU
Stores
verticaux
avec voile
UÊ-̜ÀiÃ
verticaux et
horizontaux
UÊ/œˆiÃ
UÊ,ˆ`i>ÕÝ
UÊÀ>«iÀˆiÃ
UʜՈiÌÌiÃ
UÊ6>i˜ViÃ
en bois
/œˆi
solaire
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3830581
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>̈˜i>ÕÊn£™‡™nȇÈÇÇä
Ã̜ÀiÓ>…iÕJ}“>ˆ°Vœ“
Ventes, réparation, location et
acériculture dans un même bâtiment
déménagera bientôt...
L
es Équipements St-André proposent à leur clientèle plusieurs
services depuis le 28 septembre 1978.
a propriétaire de Vitaforme, Micheline Cloutier désire vous annoncer que son entreprise déménagera prochainement. En effet,
l’ancienne infirmière auxiliaire devenue
massothérapeute déménage son entreprise Vitaforme à Plaisance cet été.
«Nous avons commencé par réparer
et vendre des scies à chaîne et des
tondeuses, puis en 1996, nous avons
ajouté le centre de location», explique
Alain Léger.
« Puisque c’est une nouvelle construction, il est difficile de donner une date
précise. Ce sera probablement en
août ou septembre et évidemment ma
clientèle actuelle sera mise au courant
au moment venu.»
Massothérapie, soins des pieds et soins
corporels sont des services offerts par
Vitaforme. Micheline Cloutier peut ensuite décidé de devenir travailleuse
émettre des reçus pour les soins de autonome et de lancer Vitaforme.
pied et la massothérapie. Des chèquescadeaux sont aussi disponibles.
Elle a notamment développé son
expérience durant plus de 3 ans au
Avant de démarrer son entreprise, Mme Château Montebello.
Cloutier a travaillé 25 ans au Centre
d’hébergement de soins de longue « Au plaisir de vous recevoir dans mes
durée à Saint-André-Avellin. Elle a nouveaux locaux avec les mêmes bons
services auxquels vous avez droit! »
Saint-André-Avellin
819 983-7890
3799150
Toujours sur rendez-vous
Chaque année, les propriétaires
achètent de l’équipement supplémentaire à la demande des clients
afin de renouveler leur inventaire et de
toujours offrir des produits de qualité.
«Il est possible de louer un peu de tout,
du chaudron à blés d’Inde à la rétrocaveuse, précise M. Léger. Cette année,
on ajoutera une machine pour enlever
la tourbe, car plusieurs clients nous
l’ont demandée.»
Évidemment, pour offrir ses services,
plusieurs agrandissements ont été
effectués au cours des années. «Nous
avons réaménagé le bâtiment au
moins quatre fois en plus d’ajouter des
remises», souligne M. Léger.
Sur la photo : Caroline Marcotte, Alain
Léger, Bruce Bissonnette, Alain Sabourin,
André Léger et Nicole Léger.
Plus récemment, l’entreprise a ajouté
la vente de produits d’acériculture
dans son commerce.
Selon M. Léger, si l’entreprise existe
toujours après 32 ans, c’est grâce à la
qualité des produits et du service à la
clientèle.
Ainsi, les Équipements St-André peuvent combler vos besoins en matière
de jardins, pelouse, location et acériculture.
Les Équipements St-André inc.
363, Rte 321 sud
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-2229
3823716
Jessy
Laflamme
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 41
Félicitations!
Les meilleurs matelas de
l’Outaouais à Papineauville
L
es Matelas Labelle situé à Papineauville vendent des matelas fabriqués
directement en Outaouais chez
Matelas Lapensée.
Abattoir
Charron
Pour Gérard Labelle, il est primordial
de bien conseiller le client. «Je connais
chacun des matelas. Je sais exactement
comment il est fabriqué et pourquoi il
se vend à tel prix comparativement à un
autre. Chose certaine, ce sont des matelas
de qualité», affirme-t-il.
M. Labelle dirige son entreprise depuis
8 ans à Papineauville. Déjà propriétaire
d’une succursale à l’Encan Larose, il avait
décidé d’ouvrir cet autre magasin afin de
répondre aux besoins des clients de la
Petite-Nation.
Magasin du
Cultivateur
Le 2 avril dernier, la succursale de Masson
a été déménagée aux Galeries de Buckingham afin d’offrir un excellent service sept
jours sur sept. Pour ce qui est de celle à
Papineauville, elle est ouverte du lundi au
vendredi et le soir sur rendez-vous.
L’Abattoir Charron et le Magasin du Cultivateur
soulignent ce 50e en remerciant La Petite-Nation pour
sa présence et lui souhaitent une longue continuité.
Tél. : 819
983-2331
Téléc. : 819
983-1729
Endroit idéal pour la famille
à Montpellier
Comme le Motel Riopel se trouve près
des plages et d’un terrain de golf, c’est
une place propice où passer la nuit. En
effet, Motel Riopel propose à sa clientèle un choix de huit unités doubles
pour hébergement.
En plus du restaurant et du motel, le
Cahier 50 ans La Petite-Nation
42 - www.lapetitenation.com
Municipalité
Notre-Dame-de-Bonsecours
Motel Riopel offre un bar où il est possible de jouer au billard, de prendre
une bière calmement et d’écouter la
télévision. Il est d’ailleurs possible de
louer une section du restaurant pour
une fête de famille ou une réception.
Les services Internet sont disponibles
dans le restaurant et dans les chambres.
En tout temps, les serveuses chez Salon-Bar-Restaurant Riopel affichent un
beau sourire. Évidemment, les propriétaires Angélique et Steeve se feront un
plaisir de vous servir!
819 428-3635
www.restaurantleriopel.com
Le conseil et employés de
la Municipalité Notre-Dame-de-Bonsecours
félicitent le journal La Petite-Nation pour ses 50 ans.
Longue vie et poursuivez votre beau travail.
35, rue Principale
Montpellier (Québec) J0V 1M0
3834685
L
e Motel Riopel se prépare à accueillir les touristes estivaux. Avec
sa grande terrasse, ce restaurant
familial est l’endroit idéal pour relaxer
et déguster de bons plats de fruits de
mer, des steaks cuits à point ou de
bonnes pâtes faites maison.
Galeries Buckingham
999, rue Dollard, Gatineau
819 281-4493
3831069
349 Ste-Julie est
Saint-André-Avellin
Matelas Labelle propose aussi une
gamme de lits électriques et de métal.
«Un bon matelas, c’est très important
pour bien dormir et être en forme le lendemain, mentionne M. Labelle. C’est un
investissement essentiel pour une bonne
qualité de vie.»
3825931
351 Ste-Julie est
Voulant offrir un service personnalisé à
ses clients, M. Labelle s’occupe lui-même
de la livraison qui est gratuite partout
dans la région. Il peut même repartir avec
votre vieux matelas.
Papineauville
259, Henri Bourassa
819 427-5231
Abattoir Charron
Abattage à forfait
Poulets entiers et en morceaux
3848712
Magasin du cultivateur
Service, moulées,
engrais, semences, etc.
En plus de la grande qualité de sa quinzaine de modèles de matelas en magasin,
M. Labelle offre un service très apprécié
par les clients sur le territoire: des matelas
sur mesure. «Si quelqu’un désire un mo-
dèle particulier, que ce soit pour la maison ou un motorisé, on peut lui préparer.
Il recevra son matelas livré gratuitement
dans un délai de deux à trois jours», souligne M. Labelle.
Histoire de fusions
Merci au journal
La Petite-Nation
pour toutes ces années
de collaboration!
Jessy Laflamme
[email protected]
Centre d’interprétation
du patrimoine
Chutes de Plaisance
www.ville.plaisance.qc.ca
SOINS et
BEAUTÉ
3853469
Cet été au Centre… l’exposition itinérante
Les sentiers de la forêt.
Pour tout savoir sur la forêt québécoise!
Le Victoria
Félicitations
pour votre 50ième anniversaire
La Petite-Nation compte aujourd’hui 20 municipalités. À l’époque, elle en regroupait 24. Où sont disparues les
quatre manquantes?
En 1996, les municipalités de Chénéville et Vinoy fusionnent et forment dorénavant la municipalité de
Chénéville. «Ça faisait environ quinze années qu’on essayait de se regrouper, maintenant c’est fait», a déclaré le
maire de Vinoy, Jean-Paul Dinel à La Petite-Nation à la suite de la fusion. On peut lire cet extrait dans l’édition
du 16 septembre 1996.
En 1997, c’est au tour de Saint-André-Avellin village et paroisse de s’unir pour former la municipalité actuelle
de Saint-André-Avellin.
En 2000, Ripon suit le pas en fusionnant le village et le canton.
Puis, le 29 novembre 2000, la Paroisse Sainte-Angélique et Papineauville deviennent Papineauville. «Je me
réjouis de la constitution de cette municipalité qui, avec près de 2400 habitants, pourra mieux prendre en charge
son développement et davantage tirer profit de son potentiel économique. Ce regroupement générera des
retombées positives aussi bien pour l’ensemble de la MRC que les deux anciennes municipalités», avait déclaré
le ministre responsable de la région de l’Outaouais, Joseph Facal. Cette citation se retrouve dans l’édition de La
Petite-Nation du 10 décembre 2000.
Plus récemment, en 2007, les citoyens de Lac-Simon ont parlé… et ils ont dit non au projet de fusion entre
Lac-Simon et Chénéville lors du référendum qui se tenait le 2 septembre. «Plus de 76% des citoyens de LacSimon ont participé à ce référendum d’importance pour l’avenir de ces deux villes de la Petite-Nation. Le camp
du «non» a obtenu un pourcentage semblable pour assurer le rejet du projet», peut-on lire sur le site web du
journal La Petite-Nation, www.info07.com.
Voici la liste actuelle des 20 municipalités de la Petite-Nation: Boileau, Chénéville, Duhamel, Fassett, Lac-desPlages, Lac-Simon, Lochaber Canton, Lochaber-Partie-Ouest, Montebello, Montpellier, Namur, Notre-Damede-Bonsecours, Notre-Dame-de-la-Paix, Papineauville, Plaisance, Ripon, Saint-André-Avellin, Saint-Émile-deSuffolk, Saint-Sixte et Thurso.
Une forêt aménagée
selon vos objectifs
«
Que ce soit un petit ou un gros
projet, je suis là pour le réaliser et
rendre le client heureux», mentionne
d’emblée le propriétaire de Dryade,
Serge Raposo.
L’équipe du Victoria
6ICTORIA4HURSOs
3854650
Merci d’être dans nos vies
Promotions B. Pilon
à votre service depuis 1983
«J’ai constamment besoin de relever de
nouveaux défis. Je désirais mettre mon
expérience au profit des propriétaires de
terrains. Ainsi, je prends toujours le temps
de discuter avec eux pour bien cerner
leurs besoins», affirme le propriétaire.
Bruno Pilon a lancé Promotions B. Pilon avec son
père Bernard en 1983.
Pour Serge Raposo, il est important
d’établir un lien de confiance avec le
client avant d’entreprendre des travaux.
«Chaque personne possède une vision de
sa terre. Une forêt n’est pas un mur qu’on
bâtit et qu’on peut démolir par la suite.
Quand j’entame un projet, je m’assure
que tout soit prêt et que mes équipes
soient bien au courant des détails. C’est
d’ailleurs ma force.»
Cette entreprise d’articles publicitaires et de cadeaux
corporatifs s’adresse à quiconque veut mettre son
logo sur des produits pour s’identifier.
«En fait, j’offre le service de préparation graphique
aux produits finis, indique le propriétaire, Bruno Pilon. Je prends toujours le temps de conseiller mon
client afin de lui trouver un produit de qualité et à
un prix abordable. Bref, je prends le temps de magasiner pour lui.»
Du simple stylo à la montre, en passant par la gamme
complète de vêtements et casquettes, je suis en
mesure d’identifier ou personnaliser les items à votre
image. Je travaille avec plus de 100 fournisseurs différents donc je suis assuré de trouver l’article parfait
pour vos activités. Pour savoir comment je peux vous
conseiller dans vos projets ou pour connaître la liste
des articles disponibles, il suffit de donner un petit
coup de fil. Ce sera un plaisir de travailler avec vous.
De plus, j’aime bien les
chines. Bref, c’est vraiment
domaine.»
mamon
Dryade a travaillé pour le projet d’HydroQuébec, la ligne Chénier-Outaouais. Plus
précisément, l’entreprise de gestion forestière s’est chargée de deux tronçons de
Thurso à Buckingham.
Serge Raposo a choisi le nom Dryade pour
son entreprise par hasard. «Je cherchais
une appellation quand je suis tombé sur
ce mot dans le dictionnaire. Je le trouvais
accrocheur et quand j’ai vu la définition :
dans la mythologie grecque, une nymphe
protectrice des arbres, j’ai su que c’était
Coupe de bois, élagage, plan d’aménale bon choix.»
gement forestier ou riverain, plantation,
débroussaillage, défrichage, déboisement En plus de travailler fort à satisfaire sa
sont tous des services qu’offre Dryade.
clientèle, Serge Raposo enseigne à la
Cité collégiale. «Ils m’ont téléphoné pour
«Ce que j’aime de mon travail est justeenseigner à quelques reprises. J’ai donné
ment la diversité. J’adore me retroules cours de survie en forêt, dendrométrie
ver dans le bois, ça me calme et me
et mesurage des bois abattus.»
rappelle mes aventures d’enfance.
38, rue Guay, Ripon (Qc) J0V 1V0
s
[email protected]
3760470
Promotions B. Pilon saura mettre votre logo en valeur!
122-4, rue Principale, Saint-André-Avellin
(Québec) J0V 1W0
Tél. : 819-983-6615 Téléc. : 819-983-2052
3861471
L’objet promotionnel sert à créer ou à appuyer
une campagne ou un événement. « Que ce soit
une campagne de financement, un programme de
reconnaissance, un tournoi sportif, un festival, le
lancement d’un nouveau produit, un déménagement ou que vous vouliez remercier votre clientèle
ou vos employés, j’ai un large éventail d’articles ou
vêtements qui répondront à chaque projet.
Serge Raposo est diplômé de la Cité
collégiale depuis 2000 en foresterie et est
mesureur des bois abattus licencié. Depuis,
il travaille dans ce domaine. En 2008, il a
décidé de lancer sa propre entreprise.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 43
NOEL JOANISSE
Municipalité de Ripon
l’amour du quartier,
la passion de l’immobilier
I
l est difficile de parler de l’immobilier
sans mentionner le rôle important de
votre courtier immobilier. Vous avez
pris l’importante décision de vendre ou
d’acheter une propriété, confiez-moi le
soin de vous offrir un service professionnel et personnalisé.
Je m’engage personnellement à utiliser
toutes mes connaissances professionnelles afin de répondre à vos attentes
et de réaliser vos rêves.
[email protected]
Personnalité de l’année 2007
Chambre immobilière de l’Outaouais
819 923-2155
3854323
NOEL JOANISSE Courtier immobilier
Au service de vos cheveux depuis…..
C
’est en 1970 que Micheline a ouvert
son salon de coiffure dans un local
adjacent à sa résidence. En 1998 une
deuxième coiffeuse se joint à elle pour répondre au besoin grandissant de la clientèle. Le
commerce prend toujours de l’expansion et
vu le manque d’espace pour une troisième
coiffeuse, en 2007 le salon de coiffure déménage dans un nouveau local tout neuf situé au
90C Albert-Ferland.
Elles sont maintenant trois pour prendre soin
de vous. Que se soit en technique de couleur,
en coiffure ou en soin du cuir chevelu, vous
aurez un service très professionnel. Vous
y trouverez une belle gamme de produits,
accessoires et bijoux en coiffure, perçage
d’oreilles et rallonges de cheveux naturels.
Bon 50e à La Petite-Nation !
Merci de nous tenir informés
Les Goudrons Outaouais
Membre de l’APCHQ
RBQ 8268-3061-21
819-983-7742
3823674
Micheline, Brigitte et Marie Pier
forment une belle équipe
professionnelle
De toute l’équipe
3828780
Impliquée à fond dans la diffusion
d’informations ! La municipalité
de Ripon est fière de souligner les
50 ans d’existence du journal
La Petite-Nation.
Félicitations et encore
plusieurs années de succès !
3855154
La Chouette : un rêve réalisé
I
«
l n’y a vraiment pas d’âge pour réaliser
ses rêves, il suffit d’y croire et de foncer»,
affirme la propriétaire du restaurant La
Chouette, Huguette Manning.
Elle et son conjoint, Vianney Bérard, ont démarré ce restaurant le 10 février 2010. Bien
que le restaurant La Chouette offre un menu
complet et des déjeuners, leur spécialité est
sans contredit les côtes levées. Certains clients
viennent même de Toronto pour en déguster.
«On aimerait d’ailleurs, dans quatre ou cinq
ans, en distribuer à Montréal ou Lachute.»
Bon 50e
Notre hebdomadaire nous apporte les nouvelles de
toute la région. Merci d’être là.
44 - www.lapetitenation.com
Marc Patrice
Arpenteur-géomètre
Saint-André-Avellin
819 983-2277
3829907
Cahier 50 ans La Petite-Nation
La décoration vaut le
coup d’œil : on y retrouve des figurines à l’effigie de chouettes, mais
aussi d’autres bibelots ou accessoires échangeables contre des chouettes. «J’aime bien
troquer mes objets décoratifs pour des chouettes ou des hiboux, ça crée des liens avec la
clientèle», souligne Mme Manning.
La direction du restaurant La Chouette
profite de l’occasion pour remercier sa précieuse clientèle et ses employés. Nous tenons
à féliciter et souhaiter une bonne continuité
au journal La Petite-Nation.
56, rue Desjardins Ripon (Québec) J0V 1V0
819 983-1040
3784420
L’accueil chaleureux des propriétaires est
aussi une marque de commerce. «On veut
que les gens se sentent
comme dans leur deuxième résidence», précise
Mme Manning.
Les reconnaissez-vous?
Claude
Quesnel
Entraîneur
Denis Legault
Ancien
conseiller
publicitaire
Desmond
Murphy
Ancien
préfet de
la MRC de
Papineau
Fernand
Bissonnette
Ancien
préfet de
la MRC de
Papineau
Ghislain
Ménard
Directeur
général de
la MRC de
Papineau
Jean-Yves
Guindon
Peintre
Jean Daniel
Clément
Entrepreneur
Mario
Laframboise
Député
d'ArgenteuilPapineauMirabel
Martin
Blanchet
Peintre
Nathalie
Gauthier
Conseillère
publicitaire
Carl Labelle
Une famille qui a du chien!
un endroit pour gâter tous
vos animaux de compagnie
M
3856958
Labelle Tonte et Toilettage est donc en
opération depuis trois ans et comprend
maintenant quatre volets: le magasin,
le toilettage, la pension animale en mi- bientôt nommée cynologue attestée.
lieu familial et les cours d’obéissance. Elle œuvre dans le domaine depuis ses
15 ans et c’est elle qui s’occupait auCarl, qui s’occupe lui-même du maga- trefois de la pension en milieu familial.
sin et du toilettage aidé par sa femme Les cours d’obéissance se donnent en
Natacha Massé, a été formé par un vé- groupes mais sont assortis d’un volet
térinaire. C’est pourquoi: «La santé de consultation privée à domicile.
l’animal passe dans la mesure du possible avant le désir du client», explique- Et quant à la pension, vous l’aurez
t-il. Cependant, bien qu’il puisse laver, deviné, c’est maintenant Jade, 18 ans,
brosser, faire la coupe et la tonte, les forte d’une formation en soins anigriffes, les oreilles et les yeux, il ne fait maliers, qui prend la relève.
pas, en général, d’actes vétérinaires. Il
Leur force? Aucun cas ne les rebute. De
n’emploie pas non plus de calmants et
caractère franc et direct, ils vous donsoigne les animaux dans leur état norneront l’heure juste, sans vous conter
mal en appliquant la technique de la
d’histoire. Ne vous attendez pas à des
mère/chiot. Une technique douce mais
miracles, mais quand même, il y a bien
ferme qui a fait ses preuves. Dans son
le cas de Maya, ce chien si agressif que
magasin, il vend de tout et s’accorde
personne n’en voulait et qui, une fois
aux besoins de ses clients. Avec deux
passé entre leurs mains, est devenu si
livraisons par semaine, il est certain de
coopératif que Théa le réquisitionne
pouvoir satisfaire tout son monde.
pour donner l’exemple aux récalciLes cours d’obéissance, c’est l’affaire trants. Comme quoi, un caractère de
de Théa, l’aînée de 21 ans, qui sera chien, ça se dompte.
ichelle Villeneuve s’est donnée
comme mandat de gâter les chiens
et chats de Papineauville, mais
aussi leur maître avec un service courtois
et attentionné.
En effet, cette entrepreneure dynamique
offre la plus grande variété de gâteries pour
chien de la région, incluant un comptoir de
pâtisseries naturelles pour satisfaire tous les
goûts.
Mme Villeneuve possède plus de 15
ans d’expérience dans le domaine canin.
Elle détient un diplôme de Maître chien, de
Super Chien, de trouble de comportement
canin et un diplôme de la Cité collégiale en
Loi et Sécurité. Elle a déjà mis sur pied une
école de dressage.
«Mes connaissances sont approfondies
et c’est un plaisir de conseiller mes clients.
Mon expertise ne se limite pas aux chiens et
chats, mais aussi à tous les autres animaux
de compagnie. Évidemment, les chiens sont
les bienvenus dans mon commerce.»
Marché Animo se démarque particulièrement pour son service à la clientèle.
La propriétaire affiche dès les premiers
moments un sourire charismatique. Elle est
toujours prête à répondre aux questions.
Vous pourrez trouver au Marché Animo de la nourriture pour chats et chiens
à prix abordable, des accessoires ex : des
jouets, lits, articles de toilettage, bols, colliers et laisses. Une section est dédiée à la
mode canine avec bijoux, lunettes, robes,
foulards. Bref, tout pour que toutou soit à
la mode. Il y a aussi une section oiseaux,
rongeurs et aquarium. Mme Villeneuve tient
d’ailleurs à préciser que son commerce est
100% québécois.
Pendant 10 ans, Mme Villeneuve s’est
occupée de son commerce Marché Animo
à Gatineau. «J’ai décidé de m’installer à
Papineauville pour offrir un nouveau service à la population et pour élever ma famille», raconte-t-elle.
Mme Villeneuve suit les tendances et
s’adapte aux saisons. Ainsi, on retrouve
présentement dans le commerce des manteaux pour chiens, des bottes d’hiver, des
vestes de flottaison pour l’été et pendant
l’Halloween, on peut même acheter un déguisement pour chien.
Si elle ne peut offrir l’article désiré immédiatement, elle peut le commander et
l’obtenir dans un délai de 48 heures.
Mme Villeneuve entend souvent le
commentaire suivant des clients : «ça fait
longtemps que je pensais arrêter, mais je
reportais toujours ma visite à plus tard.»
Elle répond à ceci : «c’est dommage, car
c’est en encourageant l’achat local que
nous allons développer la municipalité, et
dans mon cas, mes clients permettent à une
famille québécoise de survivre à Papineauville.»
Mme Villeneuve vous attend donc à son
commerce avec son sourire accueillant et
son inventaire impressionnant. Après tout,
il faut bien gâter vos animaux!
317A, rue Papineau, Papineauville (Québec) J0V 1R0
819 308-0559
3773780
D
ans le but de se créer un emploi,
Carl Labelle décide d’ouvrir un
centre de toilettage pour animaux auquel se greffe bientôt toute sa
famille! Petit à petit chacun et chacune
trouve sa place et son rôle, même les
chiens et les chats à problèmes!
388 Rte 148, Plaisance
Tél. : (819) 427-8032
Téléc. : (819) 427-6510
Stéphane
Richer
Ancien
joueur des
Canadiens
de
Montréal
Cahier 50 ans La Petite-Nation
www.lapetitenation.com - 45
Félicitations
Trois générations chez Auto-Rénov
F
rançois Bourgeois a lancé le garage
spécialisé dans le débosselage et la
peinture Auto-Rénov à Saint-AndréAvellin. Son fils Paul Bourgeois a pris la relève
et, maintenant, son fils Francis suit les traces.
et
longue
vie à
La PetiteNation
Récemment, le garage a pris le tournant vert
et se sert de peinture à l’eau, question de
protéger l’environnement.
Francis et Paul, en plus de débosseler et de
peinturer, réparent et remplacent des parebrise et effectuent du rafraîchissement de
lumière. Dans un avenir rapproché, le père
et le fils, pourront transformer l’intérieur d’un
véhicule grâce à une teinture particulière.
«On pourra changer les couleurs intérieures
des portes et réparer des bancs de cuir»,
précise Paul Bourgeois.
«Le respect de la vérité assure celui de la liberté»
Auto-Rénov possède huit autos de courtoisie
pour combler sa clientèle.
Roch
Sue
Sandy
Claude
Jean-Pierre
Rock
Sur la photo : Josée Bisson,
Paul et Francis Bourgeois.
Nicholas
Animalerie À Tous Léz’ards,
ça vaut le déplacement!
L
’animalerie À Tous Léz’ards est
née de sa passion des reptiles
de la copropriétaire Christine
Beauchamp. Ce qui l’a amenée à acquérir plusieurs espèces et différents
équipements.
180, Principale
Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0
819 983-2464
3823720
1030, ave. SPENCE, HAWKESBURY, ON.
K6A 3H9
613.632-0941
Après deux ans d’opération,
l’animalerie s’est adaptée à la réalité
de son milieu et est devenue une
animalerie plus générale. À Tous
Léz’ards garde toujours la même
vocation en plus d’offrir d’autres
animaux à des prix imbattables, accessoires et nourriture de qualité.
«Nous toilettons les chats et toutes
les races de chiens, peu importe la
grosseur», précise M. Lahaye.
Étant donné le manque d’espace,
l’idée de partir une animalerie spécialisée a vu le jour. «Nous avons
démarré cette entreprise dans le
but de combler un manque dans la
Petite-Nation», raconte le copropriétaire, Jean-François Lahaye.
Une visite s’impose!
3837489
Mario
Merci et
félicitations
Merci
au journal La Petite-Nation pour
avoir été présent dans la vie de la région.
Depuis 1961, sa présence nous a tenu informés
des nouvelles et des évènements passés ou à
venir dans notre belle région. Longue vie !
E
DENTUROLOGISTE
122-3, rue Principale,
Saint-André-Avellin, Qc J0V 1W0
Tél. : (819) 983-2763
Bon anniversaire!
Un endroit unique à Thurso
n seulement cinq ans, 5$-10$-15$ Boutique Variété est passée de 1000 pieds
carrés à 7000 pieds carrés.
Germain Charron d.d.
3854677
3760818
299-3, rue Principale,
Grenville, Qc J0V 1J0
Tél. : (819) 242-3618
qu’ils peuvent dénicher me convient parfaitement, affirme Guylaine. C’est certain que
nous les accueillerons avec un sourire.»
«Je voulais créer une boutique unique à
Thurso de décoration et d’accessoires modes
pour dame», raconte la propriétaire Guylaine
Giroux.
Pour se démarquer, Guylaine offre un
service personnalisé et des meilleurs prix
qu’en ville. De plus, afin de toujours offrir
les dernières tendances, 5$-10$-15$ renouvelle sans cesse son inventaire et offre plusieurs variétés. Par exemple, on peut dénicher
près de 300 sacs à main différents dans ce
magasin.
Rien n’est plus agréable
que de savourer un
bon repas en lisant
La Petite-Nation.
Sur la photo : Amy Thayer, Guylaine Giroux
et Johanne Gosselin.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
46 - www.lapetitenation.com
315, Victoria, Thurso (Québec) J0X 3B0
819 985-1364
3848507
Il n’est pas essentiel d’acheter à cette
boutique. «Tant que les gens viennent voir ce
40, Albert-Ferland
Chénéville
428-2828
3823122
Cette boutique vend aussi des bijoux, des
porte-monnaie, des étuis à cellulaire, des
chandelles, bref une visite vaut le coup
d’œil.
Cahier 50 ans La Petite-Nation
3846570
www.lapetitenation.com - 47
BAURORE AUTO
André Bédard
36 ans d’évolution
d’hier à aujourd’hui
Denis Bédard
Toujours aussi présent!!
Que votre budget soit petit ou grand,
il y en a pour tous les goûts…
Honnête et fiable
Cahier 50 ans La Petite-Nation
48 - www.lapetitenation.com
On le fait bien mieux!
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Gatineau 819 986-6714
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