cahiers spéciaux
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BRUNO ST-DENIS, UN COURTIER IMMOBILIER QUI A LE VENT DANS LES VOILES! Ê tre courtier immobilier fait partie de la personnalité de Bruno St-Denis. En effet, il possède toutes les qualités requises : honnête, fiable, dynamique, passionné et travaillant. Sa plus grande marque de commerce : établir une relation de confiance et offrir un bon service. Bruno St-Denis est capable de donner un service rapide et efficace à ses clients. “Pour moi, c’est très important d’être disponible, de répondre au téléphone et de faire rapidement mes suivis téléphoniques auprès de mes clients”, indique-t-il. Bruno St-Denis caressait depuis longtemps le rêve de devenir courtier immobilier. C’est en 2008 qu’il fait le saut en allant suivre sa formation au Collège d’enseignement en immobilier à Montréal. Puis en 2009, il fait ses débuts chez Remax Vision avec l’objectif de se tailler rapidement une place sur le marché. Pour y arriver, il ne compte pas ses heures, il y met beaucoup de volonté et de passion. Son travail est récompensé puisque l’année suivante, soit en 2010, il devient le courtier ayant enregistré le plus grand nombre de transactions au cours de cette même année au bureau Remax de Buckingham. “Pour moi, j’attribue mes résultats à un principe de base très simple: le travail, l’honnêteté, la transparence et le service à la clientèle”, mentionne-t-il. Avec ses clients, il joue toujours franc jeu, il mise sur la communication. Bruno St-Denis le dit ouvertement: “Le courtier et son client doivent faire une équipe, ils doivent travailler ensemble afin d’atteindre de façon agréable leurs objectifs. Si quelque chose ne va pas, j’en informe mes clients. Je les invite également à m’aviser s’ils se sentent inquiets ou déçus concernant la vente ou l’achat de leur propriété. Je suis toujours prêt à les écouter. Je veux qu’on me le dise si une situation ne va pas afin qu’on puisse y remédier rapidement. C’est comme un couple; il faut communiquer et dire les vraies choses au fur et à mesure”. Selon ses clients, Bruno St-Denis est un courtier qui a et qui offre ce petit quelque chose de plus. S’il peut faire une action pour valoriser une propriété avant une visite, il le fera. Avec les acheteurs, il met autant d’effort; par exemple s’ils se questionnent au sujet de l’entre-toit, il ira voir. Quand vient le temps des négociations, l’agent se doit de savoir bien œuvrer afin d’arriver à une entente qui plaira autant à l’acheteur qu’au vendeur. Bruno St-Denis aime ces moments-là et il agit comme un as. Bruno St-Denis tient à profiter de cette occasion pour remercier tous ses clients qui lui ont fait confiance depuis ses débuts. Il demeure à leur disponibilité et c’est toujours un grand plaisir de les revoir. Il tient également à souligner et à remercier l’aide constante de son assistante, sa conjointe Isabel Blais qui fait pour lui un travail inestimable. De plus, Bruno démontre une grande fierté envers ses enfants: Alexis et Jahel. “Ils sont très compréhensifs envers les exigences de mon travail” confiera-t-il. Bruno conclut en disant: “Je suis un homme choyé, chanceux et bien entouré”. BRUNO ST-DENIS UN COURTIER DÉVOUÉ, HONNÊTE ET DYNAMIQUE! Cahier 50 ans La Petite-Nation 2 - www.lapetitenation.com re/max vision (1990) inc. www.brunostdenis.com 819 983-8607 3781759 Bruno St-Denis connaît bien la Petite-Nation. Il y habite depuis 43 ans. Il a même construit sa résidence sur la terre paternelle à Papineauville. Avant de se lancer dans l’immobilier, Bruno a étudié les mathématiques à l’université pour ensuite travailler 12 ans dans le domaine de la construction, suivi d’une dizaine d’années au Parc Oméga où les projets de construction ne manquaient pas. Son expérience dans ce domaine est aujourd’hui pour Bruno un très grand atout. “Mes connaissances en bâtiment rassurent souvent mes clients. Si je vois un problème, je suis en mesure de le leur montrer et de trouver des solutions avec eux. Mes clients, acheteurs et vendeurs, apprécient énormément cette façon de faire”, confirme-t-il. La Petite-Nation : la petite histoire d’un grand journal! Sylvain Dupras [email protected] C’est un véritable groupe de presse que Gérald Bonicalzi a créé en fondant La Vallée de la Petite-Nation en 1961, trois ans après le lancement du Bulletin de Buckingham et deux ans après celui de La Revue de Gatineau. Ce nouveau journal, qui porte aujourd’hui le nom de La Petite-Nation, couvre la région de la Petite-Nation, dans l’est de l’Outaouais, autour de la municipalité de Saint-André-Avellin. Le premier numéro est publié le jeudi 9 novembre 1961. Dans son message publié à la une, M. Bonicalzi évoque les conclusions d’une commission d’enquête sur les publications, rendue publique en 1960, pour expliquer la publication de ce journal. «Le rapport recommande la fondation d’hebdomadaires dans les milieux ruraux d’une certaine importance», écrit-il. Et c’est le cas dans la Petite-Nation avec plus d’une vingtaine de petites municipalités. «La direction offre aux commerçants et aux hommes d’affaires le moyen de se faire connaître de leurs concitoyens et d’annoncer leurs produits à des prix et à un tarif qui leur seraient prohibitifs dans les quotidiens à fort tirage », écrit le propriétaire en rajoutant que son journal «ouvre aussi ses pages aux organismes sociaux, religieux et autres ». À la une du premier numéro, le vice-président de la Chambre de commerce de la PetiteNation, Romuald Aubry, se réjouit de l’arrivée de ce nouveau journal. “Les raisons de se réjouir sont multiples. D’abord, cette naissance comble l’absence d’un journal régional. C’est un moyen de publicité moderne lequel rapport assurément de gros bénéfices si on en juge par les sommes énormes allouées par tous les journaux. Un journal c’est aussi un moyen d’information très puissant.” Dans ce premier numéro, on remarque également que le nom de la ville de Buckingham apparaît comme ville d’identification sous le logo bien que la distribution soit effectuée dans la vallée de la Petite-Nation. Abonnements et tirage Le nouvel hebdomadaire d’expression française et d’inspiration catholique lance aussi sa campagne d’abonnements qui atteint les 300 pour le lancement du premier numéro. Le coût de l’abonnement est de 3$ par année en 1965 et de 5$ en 1975. Le tirage du journal est de 2 000 exemplaires en 1962 et de 3 500 en 1975. La distribution gratuite du journal débute dans les années 80 et le tirage grimpe à 8 800 exemplaires en 1985. En 2006, le tirage est toujours semblable à 8 825 exemplaires. L’histoire de ce journal en est une également de nom. En 1972, il est rebaptisé La Petite-Nation jusqu’en 1984, avec une période de six mois sous le nom de Tam-Tam de l’Outaouais en 1979. En 1984, il devenait, le temps d’un mois, La Petite-Nation Plus, pour ensuite reprendre son nom de La Vallée de la Petite-Nation, de février 1984 à juillet 1985. Puis, avec la fusion avec La Revue de Papineau, en 1985, le journal devient La Revue de la Petite-Nation. Quelques années plus tard, il prendra le nom définitif de La PetiteNation. En 1974, la compagnie Les Entreprises Commerciales Outaouaises devient propriétaire de La Petite-Nation avec Robert Lévesque à la direction générale, Serge Lamarche au poste de présidentdirecteur général et Jacques Lamarche, rédacteur en chef. En 1985, Les Hebdos de l’Outaouais, groupe constitué par Publications Dumont de ville LaSalle, achète La PetiteNation et Serge Lamarche en demeure directeur jusqu’au début des années 90. Michel Blais, également éditeur du Bulletin de la Lièvre, devient alors le nouvel éditeur. En 1988, le groupe Cogéco acquiert les journaux de Publications Dumont et le groupe Transcontinental fait de même en 1996. Parmi les rédacteurs de ce journal, outre Jacques Lamarche, il y a eu entre autres Paul Cadieux, Claude Chénier, Suzanne Hudon, Ernest Whissell, Jacqueline Lalonde, Thérèse Gagnon, Roméo Chartrand, Sylvain Dupras, Paul Gauthier, Stéphanie Verner,Yan Proulx et Jessy Laflamme. Par et pour la région Sous la férule de Jacques et Serge Lamarche, La Petite-Nation est un journal d’opinion et la page éditoriale tient une place prédominante. Dans l’édition du 23 avril 1985, Serge Lamarche signe un éditorial revendiquant la construction de l’autoroute 50 afin de relier l’Outaouais avec le reste du Québec avec ce lien est-ouest. «Et la solution n’est pas d’élire un nouveau gouvernement; elle est de bâtir cette autoroute 50 tant réclamée, tellement désirée, tellement nécessaire», écrit M. Lamarche. Vingt-six ans plus tard, ce lien routier n’est toujours pas complété. Le 19 mai 1986, Serge Lamarche se questionne sur la présence du député provincial Mark Assad. «Fraudra-t-il comprendre que le député Mark Assad ne peut rien faire pour notre (et sa) circonscription et, en particulier, pour notre vallée de la Petite-Nation?». Au début des années 2000, Yan Proulx aborde le même thème dans une chronique d’humeur sur Mark Assad, alors député fédéral. Il le qualifie de «chaise » pour souligner ses absences. En plus des nouvelles municipales, les informations culturelles tiennent une place importante dans La Petite-Nation. La Petite-Nation a aussi innové en adhérant à la publication de L’Étudiant Outaouais, un mensuel entièrement rédigé par les élèves du secondaire de l’Outaouais. En 2004, le journal concentre ses efforts avec la publication de La Petite-Nation Étudiant produite par les élèves du secondaire de son territoire. Un gala d’excellence a lieu à la fin de l’année scolaire pour reconnaître les meilleurs textes des jeunes journalistes, la relève de demain. Une façon également d’intéresser les jeunes à la lecture. Félicitations! À toute l’équipe de la Revue de la Petite-Nation, j’offre mes plus sincères félicitations pour ce 50e anniversaire. La revue de La Petite-Nation est au coeur de l’actualité locale, communautaire, culturelle et sportive de la Petite-Nation. Depuis 50 ans, elle a toujours su informer avec exactitude la population de la région qu’elle dessert. Bravo pour l’excellent travail que vous effectuez depuis les 50 dernières années. Norm MacMillan lll#eVgadchfX#dg\ Député de Papineau Ministre délégué aux Transports Mario Laframboise Candidat Bloc Québécois d’Argenteuil-Papineau-Mirabel 542, rue Principale, Lachute, Québec J8H 1Y3 450-562-4445, 1-855-395-0088 Télécopieur: 450-566-5566 Courriel : [email protected] Ministre responsable de la région de l’Outaouais 3845304 Circonscription 122-6, rue Principale St-André Avellin Québec 29e étage J8L 2H1 J0V 1W0 Tél. : 819 983-6868 Téléc. : 819 983-2806 3859651 Félicitations au journal La Petite-Nation pour votre implication depuis 50 ans Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 3 fondateur Le de La revue de La Petite-Nation a légué un journal en santé Dernière photo de Gérard Bonicalzi. On le voit ici avec un exemplaire du cahier souvenir du 40e anniversaire du Bulletin de Buckingham. (Photo: Serge Boisvert) Patrick Voyer [email protected] Gérard Bonicalzi vivait depuis longtemps sous les écrans radars lorsque rejoint l’année dernière peu avant son décès, mais le sympathique homme de 81 ans était encore prêt à échanger avec ses amis francophones de l’Outaouais en se rappelant du bon vieux temps! Dernier entretien avec le fondateur de votre journal. Aujourd’hui, quand on veut devenir journaliste ou espérer obtenir un poste de cadre dans une entreprise médiatique, on doit étudier dans ce domaine et gravir les échelons. Mais en 1958, les réalités étaient bien différentes et quelle ne fut pas la surprise des francophones de la Lièvre de voir un contracteur en construction fonder le premier journal français de Buckingham! Devant le succès de ce journal, La Revue de Gatineau naît un an plus tard et celle de la Petite-Nation, deux ans après. C’était le début d’une ère prospère pour les publications locales en Outaouais. «Au début, c’était pour donner le service aux francophones, car c’était anglicisé à Buckingham. Ça créait une certaine tension (chez l’élite anglophone et le lectorat du Buckingham Post), mais les Canadiens-français méritaient d’avoir un journal francophone, vu qu’ils représentaient 80% de la population!», confie Gérard Bonicalzi, au bout du fil, dans son havre de paix quelque part sur la rive-sud de Montréal. C’est lors d’une séance du conseil municipal de Buckingham que Gérard Bonicalzi a eu l’idée d’offrir ce cadeau à ses concitoyens. «Il y avait un anglophone sur sept échevins et quand il se mettait à parler anglais, tout le monde parlait anglais jusqu’à la fin!», relate-t-il. C’est la goutte qui fait déborder tous les vases: M. Bonicalzi n’en peut plus de cette injustice, de cette absurdité; il prend donc le mors aux dents et dénonce ce dont tous se plaignent tout bas. L’ardent défenseur de la culture québécoise et amateur d’écriture suscite alors l’intérêt de quelques citoyens et prend la tête de ce projet. À cette époque, l’informatique ne simplifiait pas la tâche aux artisans des journaux! «Le problème qu’on avait c’était l’ouverture des chemins, on pouvait pas toujours se rendre. Pour imprimer, il fallait se rendre à une telle heure à Gatineau ou à Hull, sinon le journal était nul (n’était pas publié)», explique M. Bonicalzi. Outre les moyens techniques évolués, les choses ont peu changé en 50 ans: les trois publications fondées par M. Bonicalzi sont encore ancrées dans la communauté malgré la faillite personnelle que l’aventure médiatique lui aura causée. Gérard Bonicalzi laissait toutefois aller sa plume de temps en temps afin de “faire triompher la plus belle langue”, tel qu’il le spécifie, privilège du directeur du journal qui n’est plus coutume de nos jours. Il a de plus écrit deux bouquins au cours de sa vie, dont un sur son grand-père, un ancien maire de Notre-Damedu-Laus. M. Bonicalzi goûtait depuis longtemps à une retraite bien méritée en compagnie de son épouse avec laquelle il était marié depuis 61 ans! Il était bien fier de ses neuf enfants (un est malheureusement décédé) et de ses 14 petits-enfants. Partenaire du journal depuis 1978 D EPUIS 1978, Jean Daniel Clément, agent immobilier et, depuis 1989, les courtiers de l’Agence immobilière J. D. Clément Inc. annoncent des maisons à vendre dans le journal La Petite-Nation. Encore aujourd’hui, il fait partie du paysage chaque semaine. Le propriétaire Jean Daniel Clément profite de ce 50e anniversaire de La PetiteNation pour souligner l’esprit entrepreneurial et le dévouement des gens qui ont participé à la création de l’hebdomadaire et à son cheminement, dont Gilles Lanthier, Jacques Lamarche, Serge Lamarche et Denis Legault. Il pense aussi à Marie-Andrée Bérard qui travaille à La Petite-Nation depuis 35 ans. Pour Jean Daniel Clément, le journal est une façon de rejoindre les gens, leur montrer que l’agence immobilière Jean Daniel Clément existe. En fait, cette agence a été la première agence immobilière à installer son siège social sur le territoire de la Petite-Nation. Récemment il y a eu un déplacement de courtiers. Nous offrons toujours la même qualité de services sur laquelle s’est construite la réputation de l’agence. En fait, Jean Daniel Clément reste entouré des mêmes courtiers immobiliers depuis fort longtemps. Ainsi, ce n’est pas l’expérience qui manque dans cette agence au grand avantage des vendeurs et acheteurs. «Grâce aux relations qu’on tisse, c’est toujours un plaisir d’aider les gens à réaliser leur rêve», affirme M. Clément. Cahier 50 ans La Petite-Nation 4 - www.lapetitenation.com De gauche à droite, Danielle Payer, Lucie Brazeau, Lise Laflamme, Michel Chabot, Line Bélanger, Pierre-Yves Fournier, Jean Daniel Clément et Cathie Bussières. Tout comme le monde de la publication, l’immobilier a vécu plusieurs modifications au cours des années, il suffit de penser au taux d’intérêt. L’agence JD Clément a toujours su tirer son épingle du jeu en étant avant-gardiste. «Nous avons été l’une des premières agences à concevoir un site Internet», précise M. Clément. C’est d’ailleurs le moment de revisiter ce site puisqu’il a changé d’image récemment! M. Clément en profite pour remercier tous les gens qui, au fil des ans, ont cru et encouragé l’entreprise pour acheter ou vendre des propriétés. Nous gagnons notre salaire grâce à vous et nous vous en remercions. www.jdclement.com 3845300 «Le journal a joué et joue toujours un rôle au point de vue économique et communautaire dans la Petite-Nation, souligne M. Clément. Ça n’a pas toujours été facile et malgré tout, ces gens ont donné leur énergie et leur créativité. Ils y ont vraiment cru.» Comme le démontre cette publicité des années 70, nous vous conduisons avec Toyota depuis 40 ans! EN 2011 PROFITEZ de nos OFFRES de 0% NS O I T ITA rnal u n FÉLIC au jote-Nations ti a La Puer ses 50ce! po existen d’ LA VENTE ÉTIQUETTES ROUGES DE FINANCEMENT À L’ACHAT JUSQU’À 36 MOIS SUR CES QUATRE MODÈLES* MATRIX 2011 LA NOUVELLE COROLLA 2011 VENZA 2011 3846125 RAV4 2RM 2011 Toyota est le premier fabricant d’une gamme complète de véhicules à inclure tous les éléments du Système de sécurité StarMC dans l’équipement de série de chaque véhicule 2011 neuf. Cette intégration de six caractéristiques de sécurité active a pour but de protéger les occupants en aidant le conducteur à éviter un accident dès le départ. ** VSC TRAC ABS BA EBD SST Dispositif de contrôle de la stabilité du véhicule Régulateur de traction Système de freins antiblocage Assistance au freinage Répartiteur électronique de force de freinage Technologie d’arrêt intelligent Offre de financement à l’achat jusqu’à 0% allant jusqu’à 36 mois sur les modèles Corolla 2011, Matrix 2011, RAV4 2011 et Venza 2011 neuf en stock. À titre d’exemple, un montant de 20 000$ financé sur 36 mois à 0% donne des mensualités de 555,56$ pour des frais de crédit de 0$ et une obligation totale de 20 000$. AUGER TOYOTA 1205, rue Odile-Daoust (rue entre MacDonald et Subway) Gatineau, secteur Masson-AngersTél. : 819-986-2224 Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 5 Éric Lafleur mise sur le local Éric Lafleur est l’éditeur de La Petite-Nation depuis deux ans. Jessy Laflamme [email protected] Éric Lafleur est l’éditeur de La Petite-Nation depuis maintenant près de deux ans. Il a commencé sa carrière au Bulletin comme conseiller publicitaire en 1994. Après huit ans, il s’est retrouvé à la Revue à Gatineau. «On m’a alors placé sur le plan de relève où j’ai commencé à suivre des cours de gestion pour prendre la relève de Michel Blais à sa retraite, raconte-t-il. Michel Blais était un homme patient, toujours positif et de bonne humeur qui trouvait une solution pour chaque situation. J’essaie maintenant de m’inspirer de lui.» Éric Lafleur connaissait peu le territoire de la Petite-Nation lorsqu’il est devenu éditeur des deux journaux. «J’ai été surpris de constater la fierté des gens pour leur coin de pays, affirme-t-il. Ils défendent vraiment leur région. D’ailleurs, je suis convaincu que si tout le monde travaillait dans la même direction, on pourrait facilement concurrencer les Laurentides, car la région possède des paysages splendides et la proximité des centres urbains.» Côté travail, l’implication des employés a étonné l’éditeur lors de son arrivée. «L’équipe, même si elle est peu nombreuse, est très autonome et travaille jour après jour afin de livrer chaque semaine un produit de qualité, souligne-t-il. Il faut dire qu’avec un des meilleurs taux de lecture au Québec, c’est motivant pour les employés. C’est grâce à eux, mais aussi au dynamisme des gens de la région qui veulent savoir ce qui se passe sur leur territoire que le journal atteint ce taux.» En plus de livrer chaque semaine un journal et plusieurs cahiers spéciaux pendant l’année, l’équipe du journal s’implique également dans la communauté. «L’Étudiant Petite-Nation permet aux jeunes journalistes de publier des textes cinq fois par année dans le journal alors que le Gala Ados Petite-Nation récompense ces adolescents et leur donne droit de parole, (Crédit photo : Jessy Laflamme) indique M. Lafleur. Nous chapeautons ces projets, car la richesse d’une région passe notamment à travers sa jeunesse. Nous voulons leur permettre de vivre de réelles expériences, et qui sait, peut-être leur donner le goût de continuer dans cette voie.» Selon M. Lafleur, la force du journal reste le local. «À la télévision et à la radio, on coupe les salles de nouvelles locales, explique-t-il. De notre côté, on mise justement sur les nouvelles de proximité, et c’est certain que nous garderons cette niche.» Le journal La Petite-Nation évolue aussi avec ses consommateurs. «Nous devons suivre les tendances, c’est pourquoi nous avons mis en place le site www.lapetitenation.com. Ainsi, nous permettons à nos annonceurs et lecteurs de nous suivre au quotidien», mentionne M. Lafleur. La Petite-Nation tient aussi à laisser une voix à ses lecteurs, notamment avec la publication de tribunes libres ou d’articles citoyens dans le journal et sur le web. «Ce volet est très présent sur le site puisqu’il est très interactif. Les gens peuvent rédiger des commentaires et voter sur une question d’actualité. Ils visionnent également le journal de façon électronique. De leur côté, les entrepreneurs affichent les produits et services par l’entremise de bannières.» Depuis un an, la section Merkado sur le site offre la chance aux lecteurs de dénicher des aubaines de produits locaux, régionaux et provinciaux. Selon M. Lafleur faire partie de la famille Transcontinental est rassurant. «C’est une compagnie qui a ses employés à cœur et qui en prend soin. Elle offre aussi une formation continue. Avec plus de 60 hebdos au Québec, nous trouvons toujours quelqu’un qui peut nous aider ou nous conseiller pour de meilleures façons de faire.» Le défi d’Éric Lafleur : «continuer de livrer un produit de qualité tout en gardant une amélioration constante et continuer à adapter notre site Internet avec notamment des vidéos.» Chose certaine, l’éditeur aimerait bien terminer sa carrière aux journaux La Petite-Nation et au Bulletin. Une chaleur et un standard de qualité bien de chez nous M ulti Meubles Desrochers, une entreprise bien de chez nous, fête ses 25 ans d’existence et d’excellence, dans la vente de meubles de bonne qualité. Son secret, un service personnalisé. Fondée en 1967 par M. François Desrochers, l’entreprise fonctionnait alors sous la bannière B.V. (Bonne Valeur). Depuis 1986, l’entreprise a changée de mains et grandit. Et c’est maintenant, depuis 20 ans, sous la bannière Multi Meubles qu’elle évolue. L’entreprise a subi, au fil des ans, bien des transformations. En 1989, l’extérieur du bâtiment a été rénové et en 1998, c’est l’intérieur du magasin qui fut refait du tout au tout, pour y incorporer des décors chaleureux et divisés en départements spécialisés. La vente de meubles serait incomplète chez Multi Meubles Desrochers, sans la livraison et l’installation de A à Z par nos employés. Mais ce qui fait la différence, selon Mme Labrosse : « C’est le service personnalisé : nos conseillers se font un plaisir de guider la clientèle dans les choix possibles de configurations, de styles et de couleurs. Multi Meubles Desrochers, c’est un beau décor à la portée de chacun! Et tout cela sous le sceau de la qualité et du design des produits québécois et canadiens. Cahier 50 ans La Petite-Nation 6 - www.lapetitenation.com Ghislain Guindon et Andrée Labrosse, propriétaires L’entreprise compte 25 employés à temps plein. Une quinzaine sont en poste chez Multi Meubles Desrochers. « Car le siège social se situe à Plaisance, explique M. Guindon et c’est à partir de la Petite-Nation que l’entreprise gère également son second point de vente : La Détente à Gatineau qui offre des produits encore plus haut de gamme. » Juste au cas où vous en voudriez encore plus. En ce qui concerne l’avenir, des projets sont dans l’air et d’ici quelques mois, le bâtiment sera de nouveau complètement revampé. 229, rue Principale, Plaisance, Qc (819) 427-5111 3845302 Sur deux étages, vous y trouverez donc un vaste choix de meubles de salon, de salle à manger, de chambres d’adultes et d’enfants, de matelas et sans oublier la gamme des électroménagers, des appareils électroniques et de tout pour la décoration. La Caisse Desjardins au Cœur-des-vallées partenaire de sa communauté L a Caisse populaire Desjardins du Coeur-des-vallées a vu jour en janvier 2001, elle fête donc ses dix ans cette année.. À ses débuts, la Caisse aurait dû obtenir des résultats plutôt modestes mais c’est tout le contraire qui s’est produit. Alors qu’à ce moment les actifs se situaient à 160 millions $, ils ont rapidement grimpé pour atteindre 340 millions $ en 2010. « C’est une croissance incroyable », soutient le directeur général, Monsieur Luc Grandmont. Les cinquante-deux (52) employés motivés ont décerné à leur employeur un taux de mobilisation de 94%, c’est tout à fait remarquable ! Siège social (Masson) — 63, chemin Montréal Est Gatineau (Secteur Masson) (819) 986-3364 Les ristournes ont été nombreuses et généreuses depuis 2001, avec un total de 9 229 000 $. « Les résultats financiers sont excellents », d’ajouter le directeur général. La croissance à l’épargne et aux prêts hypothécaires est aussi très notable. Par ailleurs, Desjardins demeure le plus grand groupe financier au Québec. Quant à la Caisse populaire Desjardins du Cœur-des-vallées, elle se distingue à plusieurs niveaux, notamment grâce à la qualité de ses services. Le sondage annuel effectué auprès des membres le confirme, «Desjardins est l’institution financière numéro un sur notre territoire », soutient M. Grandmont. L’implication de la Caisse Desjardins du Cœur-des-vallées dans la communauté ne fait aucun doute. Que ce soit à caractère social, humanitaire, communautaire, culturel, éducatif, pastoral ou sportif, elle n’hésite pas à investir et s’impliquer dans différentes causes. Depuis les 6 dernières années, c’est plus de 911 028 $ qui ont été généreusement remis en dons, commandites et fonds d’aide au développement du milieu. La Caisse populaire Desjardins du Cœur-des-vallées peut également compter sur 9 dirigeants et un dirigeant stagiaire au Conseil d’administration ainsi que 3 dirigeants au Conseil de surveillance. Ce sont eux aussi, des gens impliqués dans leur communauté, qui connaissent les membres, qui représentent bien leurs intérêts et qui ont à cœur le bien-être de leurs employés. Centre de services Angers — 1205, rue de Neuville Gatineau (Secteur Angers) (819) 986-3542 Centre de services Plaisance — 275 rue Principale Plaisance (819) 427-6254 Caisse populaire du Coeur-des-vallées Centre de services Thurso — 116, rue Galipeau Thurso (819) 985-2289 3846083 En 2001, la Caisse comptait quelque 12 000 membres, un nombre qui s’est enrichi puisque c’est maintenant plus de 15 000 personnes qui en sont membres. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 7 Gilles Lanthier a démarré La PetiteNation en 1961. (Crédit photo : Jessy Laflamme) Gilles Lanthier dévoile des anecdotes Jessy Laflamme [email protected] Le propriétaire du Bulletin, Gérard Bonicalzi, a fait appel à Gilles Lanthier pour démarrer le journal La Petite-Nation en 1961. «Je devais trouver 1500 abonnés pour voir apparaître le premier journal nommé à l’époque La Vallée de la Petite-Nation. Les gens, même s’ils étaient septiques, ont bien aimé l’idée et ont embarqué dans le projet.» L’abonnement du journal coûtait à l’époque 2$ par année. Selon M. Lanthier, les gens faisaient la file au bureau de poste pour voir le premier exemplaire de huit pages. Sur la une, on apercevait notamment Benoit Whissell qui vendait de la boisson gazeuse et le boulanger Réal Boyer. Les articles étaient rédigés par des correspondants postés dans chacun des villages. M. Lanthier effectuait la tournée le lundi matin de ces journalistes citoyens pour préparer le montage du journal. «Un lundi matin, je suis arrivé sur les lieux d’un accident, une collision frontale. J’ai pris des photos et sorti la nouvelle. C’était très frais comme article», se souvient M. Lanthier. En fait, en plus d’avoir démarré le journal, M. Lanthier écrivait quelques textes. «Je rédigeais surtout des bas de vignettes. D’ailleurs, une fois, on a inversé deux photos sur la une du journal où l’on annonçait le décès d’un homme et la retraite d’un autre homme. Imaginez la réaction de la population…», raconte-t-il. Les Automobiles Baurore 2000 : un concessionnaire honnête et fiable ! où on le fait bien mieux ondé en 1975 par André Bédard, les Automobiles Baurore 2000 continuent de prendre de l’ampleur. L’entreprise familiale est maintenant dirigée par Denis Bédard depuis son déménagement au 975, chemin de Masson, en 1999. L’entreprise compte sur une équipe fiable et chevronnée de 32 employés qui est prête à vous offrir un service hors-pair. Avec près de 25% du personnel qui possèdent plus de 20 ans d’ancienneté au sein de Baurore Auto, soyez assuré que votre expérience d’achat ou d’entretien sera des plus amicales. Magasiner une voiture n’aura jamais été aussi facile! L’équipe de chez Baurore, qui tient à cœur le bien-être de ses clients, saura vous démontrer que notre devise «On le fait bien mieux!» n’est pas seulement un slogan mais bien aussi une façon de faire avec nos clients. Ce n’est pas pour rien que les slogans de l’entreprise sont «Honnête et fiable!» et «On le fait bien mieux!». En traitant avec les Automobiles Baurore 2000, vous vous assurez de bénéficier de tous les rabais et options possibles afin d’obtenir le meilleur prix, que ce soit pour un achat ou pour une réparation. Pour ce qui est du choix de véhicules disponibles, ne vous inquiétez guère. Les Automobiles Baurore 2000 est le seul concessionnaire dans la région de Gatineau à vous offrir Chevrolet, GMC et Buick sous un même toit. Toutes les nouvelles gammes de modèles sont offertes: Chevrolet Cruise, Chevrolet Camaro (disponible cette année en modèle cabriolet), Buick Regal, Buick Lacrosse, Chevrolet Malibu, GMC Terrain, Chevrolet Equinox, ainsi qu’un large q g inventaire de camions GMC Cahier 50 ans La Petite-Nation 8 - www.lapetitenation.com et Chevrolet, pour ne nommer que ceux-ci. Le département de service de Baurore est à la fine pointe de la technologique en matière d’équipement et de formation afin de vous donner le meilleur service possible. Sans compter que nous avons aussi notre centre d’alignement. Les Automobiles Baurore 2000 répareront votre GM de manière professionnelle. Vous n’avez pas de souci à vous faire, car nos maîtres techniciens sont directement formés par GM. Notre département des pièces vous offre un grand choix d’accessoires ainsi qu’une large sélection de pièces à prix compétitifs pour votre véhicule neuf ou usager Les Automobiles Baurore 2000 est votre centre de référence par excellence pour l’achat ou la location de votre prochaine automobile neuve. Nous avons aussi un département de véhicules usagés qui saura vous plaire. Rien ne vaut mieux qu’un détour pour constater le tout! 975 Chemin Masson, Gatineau, Qc J8M 1R4 819-986-6714 3862478 F Romuald Aubry et le notaire Robert rédigeaient des éditoriaux. À l’époque, une publicité coûtait 5 cents la ligne agate. «Les gens payaient 10$ par année pour s’annoncer dans le bulletin paroissial. De notre côté, ça coûtait 104$ pour l’année, se remémore M. Lanthier. Nous avons travaillé fort au début pour convaincre les commerçants.» À l’époque, les vendeurs de bières étaient de bons annonceurs : Molson, O’Keefe et la 50 achetaient fréquemment de la publicité. Une petite annonce coûtait 0,50¢. Pendant six ans et demi, M. Lanthier a travaillé au journal. Il a quitté cet emploi pour s’occuper de son bureau d’assurance qu’il avait ouvert le 11 avril 1961. «J’ai occupé les deux postes pendant six ans, puis j’ai décidé de me consacrer à mon entreprise», explique-t-il. Il ne regrette pas du tout ses six années à La Petite-Nation. «À l’époque, les carnavals étaient très populaires, on en retrouvait dans presque chaque village, et je devais tous les couvrir. Il faut dire que les hôteliers étaient très contents de me voir… Alors, quand j’arrivais au carnaval pour le défilé vers 13h et que je devais rester jusqu’au couronnement vers 19h, j’avoue que parfois, je suis arrivé à la maison un peu abimé sur les bords. Les lois étaient beaucoup plus permissives lors de cette période.» M. Lanthier se souvient aussi des photos et des histoires de la semaine que les gens lui envoyaient. «Une fois j’avais publié mon fils avec une patate de dix livres cultivée à NotreDame-de-la-Paix.» Comme l’ancien journaliste aime beaucoup les sports, on voyait fréquemment des portraits de joueurs de hockey et de quilles. Il a aussi travaillé avec un dactylographe hyper efficace, même trop efficace. «Une dame m’avait mentionné à la fin de son texte son souhait de voir l’article paraître la semaine suivante. Le dactylographe a transcrit cette phrase qui s’est retrouvée dans le journal. C’était incroyable de le voir aller, il tapait toute la journée sans s’arrêter», raconte M. Lanthier. Jacques Lamarche a impressionné notre fondateur. «Il écrivait beaucoup et était capable de prendre des notes tout en discutant avec quelqu’un», se souvient-il. La merveilleuse histoire du Fairmont Le Château Montebello E n février 1930, l’endroit où se dresse maintenant Fairmont Le Château Montebello, on ne trouvait qu’une clairière dans la forêt. À peine quatre mois plus tard, le monumental pavillon de cèdre rouge que nous connaissons aujourd’hui était terminé; un exploit qui n’avait pas manqué à l’époque de frapper l’imagination populaire. Ce projet était l’œuvre d’un Américain d’origine suisse, Harold Saddlemire. Les travaux commencèrent par la construction d’une voie ferroviaire de desserte, raccordée à la ligne transcontinentale de Canadien Pacifique. Cette ligne allait permettre le transport de 1200 wagons de bois et de matériaux de construction. On érigea des camps pour loger les ouvriers, qui au plus fort de la construction, étaient au nombre de 3500. Les maîtres charpentiers manipulèrent plus de dix mille billots de cèdres rouges de l’Ouest pour ériger les trois bâtiments principaux. Les ailes du Château qui abritent les chambres sont érigées autour d’un atrium central haut de trois étages où trône un massif foyer hexagonal. Les galeries des deux étages supérieurs, aux rampes élégamment sculptées, offrent une vue plongeante sur l’âtre. Ce foyer central hexagonal est le pilier de l’architecture du Château, dont les six ailes se déploient comme les rayons d’une roue. Les chambres et suites occupent les ailes et elles offrent des panoramas de la rivière ou des forêts voisines. Jusqu’en 1970, le Château servit de retraite au Seigniory Club, dont les membres étaient principalement issus du monde des affaires et de la politique canadienne, tel que le premier ministre Lester Pearson ou des personnalités étrangères telles que la Princesse Grace de Monaco. En 1970, The Seigniory Club a été pris en charge par la compagnie hôtelière Hôtels Canadien Pacifique qui le baptisa Le Château Montebello et ouvrit pour la première fois ses portes au public. Ainsi, Le Château Montebello ne tarda pas à s’imposer comme l’un des centres de villégiature les plus notoires de l’Est du Canada. 80 ANS PLUS TARD En 80 ans, le Fairmont Château Montebello a subi plusieurs transformations. L’une des plus récentes est certainement le nouveau centre de congrès qui a nécessité un investissement de 6,2 millions$. Ce centre vient ajouter 500m2 (6000 pi2) aux 1050m2 (11300pi2) pouvant déjà servir à des réunions, des congrès ou des réceptions. Situé à l’extrémité est de l’hôtel, ce pavillon autonome est relié à l’édifice principal par un tunnel. Afin de conserver le même style et l’ambiance du Fairmont Le Château Montebello ce nouvel ajout a été soigneusement conçu de manière à reprendre les extérieurs de bois uniques en leur genre et tout à fait caractéristiques de l’hôtel. CETTE ANNÉE, C’EST LE GOLF QUI FÊTE SES 80 ANS ET POUR CETTE OCCASION, NOUS OFFRONS GOLF EN FÊTE! Effectivement le golf à 80$, valable du dimanche midi au vendredi midi tout le mois de mai et jusqu’au 10 juin 2011. Comprend une ronde de golf pour deux incluant voiturette. Taxes en sus. Chambre et golf illimité à 80 $ par personne en occupation double. Valable du dimanche au jeudi tout le mois de mai et jusqu’au 9 juin 2011. Taxes en sus. 392, rue Notre-Dame Montebello (Québec) J0V 1L0 819 423-6341 www.fairmont.com 3776682 Le Château est construit sur les terres d’une ancienne seigneurie, achetée en 1674 de la Compagnie des Indes occidentales par l’Évêque Laval, le premier prélat du Québec et acquise en 1801 par la célèbre famille Papineau. Elle y construisit le Grand Manoir qui se dresse toujours sur la propriété. Le manoir renferme un musée, ouvert au public en été. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 9 Qui ne se souvient pas de Jacques Lamarche? Jessy Laflamme [email protected] Dans le cadre de l’écriture de ce cahier, j’ai eu l’occasion de rencontrer plusieurs anciens travailleurs à La Petite-Nation. La majorité d’entre eux m’ont parlé de Jacques Lamarche, cet homme qui en 1978 achète La Petite-Nation pour la somme de 25 000$. Comme on peut lire dans la biographie de Jacques Lamarche, Un homme une époque rédigée par sa fille, Claude Lamarche, c’est par un jour d’hiver que Jacques Lamarche informe ses enfants de son intention d’acquérir le journal La Petite-Nation et leur demande au même moment d’investir dans ce projet. Les enfants acquiescent et le projet va de l’avant. On y lit que ce projet n’est pas facile, M. Lamarche y investit beaucoup d’argent, pour peu de retombées. En 1985, il vend le journal aux Publications Dumont. «Ce deuil, il le vit seul. Plus sombre est le deuil, plus loin est la lumière. Je n’aime pas voir mon père ivre, je n’aime pas voir ma mère le lui reprocher», écrit Claude Lamarche pour relater cette vente. Heureusement, Jacques se trouve rapidement d’autres rêves à réaliser. Il se lance avec passion dans l’histoire et publie coup sur coup plusieurs fascicules. Ses œuvres sont énumérées dans quatre pages recto verso dans la biographie, c’est peu dire combien il a écrit et travaillé. En fait, Jacques Lamarche était fort reconnu comme historien. En 1992, Colette Duhaime rédigeait un texte Un homme qui n’a pas besoin de présentation : Jacques Lamarche. Cette journaliste a rédigé un portrait à la suite d’un prix bénévole qu’il a reçu. Voici un extrait du texte : Monsieur Lamarche, qui s’était vu accorder le prix du mécénat culturel dans la circonscription Argenteuil-Papineau-Mirabel ne s’attendait cependant pas du tout à ce que son nom soit retenu pour celui du Québec. Il ne cache pas d’ailleurs que cela l’a rendu très heureux puisque c’est la première fois que l’on reconnaît son travail d’écrivain. Car s’il est un habitué des prix littéraires, Jacques Lamarche n’avait jamais obtenu de reconnaissance officielle pour ses nombreuses heures de bénévolat investies dans le milieu. Car, même s’il n’a pas toujours fait l’unanimité autour de lui, une réalité qu’il reconnaît d’ailleurs, tout le monde reconnaît que monsieur Lamarche n’a jamais compté son temps lorsqu’il s’agissait de défendre les dossiers de la région. Malheureusement, Jacques Lamarche est décédé le 13 août 2006. La Petite-Nation lui a rendu un hommage à ce moment qui se lit comme suit : Écrivain, historien, développeur, Cahier 50 ans La Petite-Nation 10 - www.lapetitenation.com 3768917 Jacques Lamarche reste une légende pour la PetiteNation. (Crédit photo : sergeroyphoto.com) pionnier, fondateur, généreux, bon vivant, chaleureux, ouvert d’esprit, chacun se souviendra à sa façon de Jacques Lamarche décédé le 13 août dans son sommeil. À une certaine époque, alors qu’il était propriétaire de La revue de La Petite-Nation, M. Lamarche se servait de son journal pour défendre ses opinions à l’aide d’éditoriaux. Pour cette raison, La Petite-Nation tient à lui rendre un dernier hommage digne de l’homme qu’il a été. Établi dans la région depuis 1970, M. Lamarche a rédigé près d’une centaine de volumes. C’est tout à fait par hasard qu’il a commencé sa carrière dans l’écriture. Ses enfants, Claude et Serge Lamarche, désiraient partir en Europe. M. Lamarche travaillait à cette époque pour Desjardins, il a offert à ses patrons de rédiger un livre sur le mouvement Desjardins, ce qui lui a permis d’effectuer le voyage tant désiré. Grisé par cette expérience, il a décidé de poursuivre cette nouvelle passion. Une très bonne idée puisqu’il a reçu plusieurs distinctions dont, entre autres, le Prix Jean-Béraud-Molson pour la Saison des feuilles mortes en 1979 et le Prix Henry Desjardins pour l’ensemble de son oeuvre en 1980. Il a également assisté au premier Salon du livre de Paris en 1981. Il s’est aussi découvert une passion pour l’histoire de la Petite-Nation et de la famille Papineau. Son livre Les enfants Papineau lui a valu, en 1999, le titre de membre honoraire de la Société historique Louis-Joseph-Papineau. Il a d’ailleurs été le fondateur de la Corporation des affaires culturelles de Saint-André-Avellin, association qu’il présidait depuis deux ans… Selon Serge Lamarche, son père aurait mis la Petite-Nation sur la mappe grâce notamment à son implication au Conseil régional de développement de l’Outaouais (CRDO). Le dernier bébé de Jacques Lamarche aura été la construction d’une voûte pour les archives de Saint-André-Avellin, projet qui s’est concrétisé après son décès. Source : Jacques Lamarche, Un homme, une époque rédigée par Claude Lamarche et publiée aux Éditions Collection Outaouais. 50 ans ça se fête ! Un anniversaire, un moment pour apprécier le chemin parcouru et entamer d’un pas confiant la route qui nous mènera vers l’avenir. MUNICIPALITÉ DE SAINT-ANDRÉ-AVELLIN un petit coin de pays où il fait bon vivre Le journal La Petite-Nation, un collaborateur essentiel pour la diffusion de l’information concernant les projets municipaux. Bravo et merci! En 1989 L’océan de la vie pour les élèves de Providence par François Lemery C’est le 6 octobre dernier que les élèves de cinquième année de l’école Providence se lancaient sur l’océan de la vie. L’océan était la rivière et leur vie était symbolisée par un bateau qu’ils ont fabriqué avec coeur. Cette activité fait partie d’un programme d’éducation religieuse. Le journal La Petite-Nation, une vitrine importante pour nos activités et évènements que ce soit culturel, sportif ou communautaire. Bravo et merci! Le journal La Petite-Nation, une présence constante sur laquelle la municipalité a toujours su compter Le journal de la Petite-Nation, une équipe accueillante et professionnelle. Continuez votre excellent travail Enfin, voici quelques réflexions apportées par ceux qui ont participé à ce lancement mémorable. - Moi, je ne peux pas vraiment parler de mon bateau parce qu’il a coulé. Mais je l’imagine avec les poissons au fond de l’eau. Ce n’est pas grave, ça arrive souvent... alors! - J’étais heureux et j’avais un peu de peine parce que je l’ai fabriqué de mes mains. Je l’aimais bien, mais j’étais content qu’il parte à l’aventure pour découvrir le nouveau monde. - Dès que j’ai lancé mon bateau à l’eau, jai eu de la peine et après je me suis dit : «Tout le travail que j’ai fait va vivre une très belle aventure». Richard Parent, André Dupuis, Germain Charron, Michel Forget, Marc Ménard, Lorraine Labrosse, Thérèse Whissell et Claire Tremblay. 3795856 Au nom des citoyennes et des citoyens de Saint-AndréAvellin, les membres du conseil municipal félicitent le journal La Petite-Nation pour ses 50 ans au service de notre population. - Moi, quand j’ai lancé mon bateau, j’étais un peu triste de le voir partir. Mais j’ai aussi ressenti la vie. C’était pour moi comme une aventure de vie. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 11 Votre air c’est notre affaire Tout commence par la confiance L P romutuel l’Outaouais est fier de féliciter La Petite-Nation pour leurs 50 ans de service dans la communauté. Ainsi, les 30 employés retrouveront des locaux neufs situés à l’ancien emplacement sur la route 321 d’ici 1er octobre. Ce sera avec plaisir qu’ils accueilleront les membres Cette coopérative, référence dans assurés. le conseil en assurance, profite Promutuel l’Outaouais désire de l’occasion pour annoncer la d’ailleurs remercier ses membres. construction de son nouveau siège «Grâce à leur appui, les employés social à Saint-André-Avellin. ont passé à travers cette épreuve es propriétaires de RM, Réfrigération Dave Wright et Roy Lévesque, possèdent ensemble près de 50 ans dans le d’expérience monde de la climatisation et de la réfrigération. difficile», souligne le directeur général, Gary Thompson. Robin Saint-Jalmes, gérant et Dave Wright, président «L’entreprise existe depuis 1981, raconte M. Wright. Nous l’avons acheté en 1991. Nous avons résidé plusieurs années sur la route 321, puis nous avons acheté le bâtiment actuel en 2006.» LOGO Réfrigération RM jouit donc d’une salle de démonstration efficace et possède aussi un département de pièces pour appareils ménagers. Toujours à l’affût de nouveaux défis, l’entreprise vend maintenant une gamme complète de produits de chauffage aux granules, sans oublier le comptoir Sears qui se trouve aussi à cet endroit. «Nous sommes toujours présents pour trouver une solution à un problème. Il suffit de nous téléphoner ou de venir nous visiter», souligne M. Wright. 3845287 Réfrigération RM offre plusieurs services autant au particulier qu’au commercial: unité murale et centrale, fournaise électrique, thermopompe, infrarouge et purificateur d’air. Pour voir, toucher et entendre ces produits, il est possible de visiter la salle d’exposition dans les locaux de Réfrigération RM situé au 3, rue Principale à Saint-André-Avellin. 3795847 «Pour nous, c’est important d’offrir un service personnalisé à nos clients. Nous possédons d’ailleurs un service d’urgence 24 heures», précise Dave Wright. 629 Rte 321 Saint-André-Avellin J0V 1W0 819 983-6141 3, rue Principale suite 80 Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-6555 Luc, Lucie et le Canard Blanc Les défis sont grands pour ce couple d’expérience. Luc Poupart a été avocat pendant 25 ans et a fait partie des petites équipes qui ont fondé ReMax Québec ainsi que La Capitale par la suite. De son côté, Lucie Bélanger possède une maîtrise en traduction et a travaillé en logistique pendant de nombreuses années. Pour son travail elle a voyagé en Asie, en Europe et en Amérique du Sud. M. Poupart ne connaissait pas du tout la Petite-Nation avant de rencontrer Lucie. «Ma première idée était de m’installer dans les Laurentides, mais Lucie connaissait bien la région et comme nous voulions quitter la ville, c’était le meilleur endroit pour la poursuite de notre carrière et éventuellement notre retraite. Elle m’a convaincu un jour de visiter. À force de découvrir le coin et le potentiel futur de la région avec l’arrivée de l’autoroute 50, je me suis laissé séduire…» Tout naturellement, le couple s’est lancé dans l’immobilier. «Ce domaine nous permet de nous intégrer dans la communauté et d’apporter aide et soutien à tous nos clients peu importe leurs besoins et sans distinction entre eux. Nous aimons rencontrer les gens. Le couple possède une histoire, mais la maison qu’ils habitent depuis 2 ans a une belle histoire aussi. La partie avant de cet édifice du 71, rue Principale, a été érigée en 1912. Ce bâtiment a abrité de nombreuses familles et commerces, dont la famille Filion, un magasin général, un barbier et plus récemment l’Ébénisterie Bianchi. La propriété a subi plusieurs transformations et agrandissements au fil des ans. Luc et Lucie l’ont rénové afin de créer une atmosphère conviviale pour leurs invités et clients. Les quatre suites sont décorées aux couleurs des saisons et possèdent chacune une salle de bain. Les clients bénéficient d’un gymnase privé, d’un salon avec écran géant et de deux bibliothèques et du pub privé « Canard Blanc ». LUCIE BÉLANGER Cahier 50 ans La Petite-Nation 12 - www.lapetitenation.com et LUC POUPART «Nous voulons être contributifs pour la Petite-Nation, nous souhaitons créer quelque chose, combler des besoins, affirme le couple. Et comme nous ne voulons pas n’être que deux courtiers dans le sens traditionnel du terme, nous avons pensé au gîte. De cette façon, quand des clients désirent visiter plusieurs propriétés, pour éventuellement s’installer dans la région, nous les invitons à demeurer dans notre gîte. La région est grande et la découvrir prend du temps. Avec ces équipements nous transformons la recherche en une expérience agréable. De plus, avec le temps, les résidants de la région ont vu dans le gîte un endroit sympathique pour y loger leurs visiteurs, parents et amis». Même son de cloche pour le centre de formation. Le couple a développé un cours pour les futurs courtiers immobiliers. «C’est un cours intensif de douze semaines par correspondance. Une fois par semaine, nous offrons une période de questions virtuelle. Par la suite, une fois par mois, les élèves viennent passer une fin de semaine de cours intensif dans notre Gîte», précise M. Poupart. Voir : www.ifci.ca Évidemment, les produits du terroir sont à l’honneur au gîte. Que ce soit pour la décoration où la nourriture, les artistes et les commerces locaux sont mis en valeur. Le Club privé « Canard Blanc » s’adresse d’ailleurs aux principaux acteurs des municipalités environnantes. «Nous voulons développer un tissu social et économique et favoriser la visibilité et le réseautage par des activités hebdomadaires qui seront organisées au Club Canard Blanc. Ainsi, nous prêtons nos locaux pour l’organisation de vernissages, de conférences et autres. Chaque mois, les membres recevront l’horaire des activités à venir.» ajoute Lucie Bélanger. Et pourquoi le nom Canard Blanc? Encore une fois, l’histoire refait surface. Un Algonquin natif d’Oka vint s’installer dans la Petite-Nation lorsqu’il se maria avec une Iroquoise originaire de Lac-Simon. Ils vécurent toute leur vie sur l’île du Canard-Blanc au LacSimon et l’Algonquin prit alors le nom d’Amable Canard Blanc. À la mort de sa femme, il s’installa au village de Chénéville. «Pour survivre, il aurait vendu des souvenirs aux touristes devenant ainsi l’ancêtre des entrepreneurs de la région», mentionne M. Poupart. Amable Canard Blanc a été enterré au cimetière de Chénéville. Pour en connaître davantage sur cette belle histoire, il suffit de faire un arrêt à Chénéville… et de lire le merveilleux livre de Jean-Guy Paquin « Le pays de Canard Blanc ». 71, rue Principale Chénéville (Québec) J0V 1E0 819 428-4050 www.gitecanardblanc.com www.ifci.ca www.lucetlucie.com 3777025 Il était une fois un couple nommé Luc et Lucie. Ces deux êtres passionnés décidèrent de s’installer dans la Petite-Nation, plus précisément à Chénéville. Non seulement, ils ont ouvert un bureau de l’agence immobilière Via Capitale, mais en plus, ils ont créé un gîte du passant, le Gîte Canard Blanc et un centre de formation. Bon Anniversaire au Journal de la Petite Nation! Déjà 50 ans! Matériaux Bonhomme et Le Journal Au coeur de la Petite-Nation 0HUFL HW IpOLFLWDWLRQV DX -RXUQDO GH OD 3HWLWH 1DWLRQ SRXU UDFRQWHU HW SUpVHUYHU QRV KLVWRLUHV SHQGDQW OHV GHUQLqUHV DQQpHV 0DWpULDX[ %RQKRPPH HVW ILHU G DYRLU VHV UDFLQHV IHUPHPHQW pWDEOLV GDQV FH PDJQLILTXH WHUURLU Notre expérience à votre service! 6L YRXV DYH] XQ SURMHW GH FRQVWUXFWLRQ RX GH UpQRYDWLRQ XQ SHWLW WRXU FKH] 0DWpULDX[ %RQKRPPH HVW GH PLVH / DPELDQFH FKDOHXUHXVH GH QRWUH PDJDVLQ HVW MXPHOp j XQH pQRUPH FRXU D ERLV TXL RIIUH GHV VHUYLFHV HW GH O H[SHUWLVH TXL UHIOqWH ELHQ OHV EHVRLQV GH OD 3HWLWH 1DWLRQ G DXMRXUG KXL 6HUYLFH SURIHVVLRQQHO G¶HVWLPDWLRQ GH SURMHW *DPPH FRPSOqWH GH SURGXLWV GH SD\VDJHPHQW HW GH PDoRQQHULH SDYpV EULTXH SLHUUH SODFDJHV &HQWUH GH SHLQWXUH HW GH WHLQWXUH 6DOOH GH PRQWUH GH PDWpULDX[ UHYrWHPHQWV SRUWHV HW IHQrWUHV SRUWHV LQWpULHXUHV 6pOHFWLRQ pQRUPH GH PDWpULDX[ HW GH TXLQFDLOOHULH ([SHUWFRQVHLO (Q HIIHW GH OD IRQGDWLRQ j OD WRLWXUH QRWUH H[SpULHQFH HVW j YRWUH VHUYLFH GHSXLV DQV 0HUFL Bois de construction * Planchers d'ingénierie * Maçonnerie * Paysagement * Fondations isolées Revêtement extérieur * Toiture * Portes et fenêtres * Plomberie * Électricité * Portes intérieures * Moulures Planchers * Placoplâtre * Quincaillerie 5RXWH 3DSLQHDXYLOOH 3799141 Au coeur de la petite nation Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 13 Ce positif Michel Blais Jessy Laflamme [email protected] «Si j’ai réussi, c’est grâce aux clients, aux lecteurs et aux employés, souligne d’emblée l’ancien éditeur de La Petite-Nation, Michel Blais. Comme j’ai été bien entouré, cela explique pourquoi je suis demeuré aussi longtemps en poste.» Michel Blais a commencé sa carrière comme conseiller publicitaire au Bulletin en 1983. Dix ans plus tard, il devient éditeur de La Petite-Nation. «Quand je suis venu rencontrer mon équipe pour une des premières fois, ça me rappelait mon enfance où lorsque je sortais de l’autobus, je prenais le journal et l’amenait à mon père», se souvient cet homme natif de Papineauville. L’ancien éditeur se considère chanceux. «Devenir éditeur était une opportunité. J’aimais bien rencontrer les gens et travailler dans le public.» Michel Blais se souvient des Lamarche. «C’est moi qui ai remplacé Serge au moment de son départ pour Joliette. J’ai travaillé avec sa sœur, Claude Lamarche qui s’occupait de l’atelier. Nous avons toujours bénéficié d’une excellente collaboration de cette famille.» Le journaliste Paul Gauthier a été engagé par Michel Blais. «Il était excellent. Quand il a commencé, je lui ai expliqué que je désirais une couverture de toutes les municipalités même les plus petites. Après tout, en 52 semaines, il est possible de faire la une avec un Michel Blais a occupé le poste d’éditeur de La Petite-Nation pendant 16 ans. événement de chaque village.» Ainsi, grâce à ce conseil, le taux de lecture de La PetiteNation est passé de 73% à 93%, taux maintenu depuis l’ère Paul Gauthier. D’ailleurs, côté rédaction, Michel Blais se considère chanceux. J’ai toujours embauché de bons employés, que ce soit Paul Gauthier, Yan Proulx ou Jessy Laflamme.» Denis Legault reste aussi un incontournable pour Michel Blais. «C’est un gars travaillant, qui possède la Petite-Nation dans les tripes, autant le journal que la région.» Souvenirs plus sombres pour l’éditeur : le déménagement dans les locaux actuels de La Petite-Nation et le changement de distribution du journal. Malgré tout, Michel Blais garde de bons souvenirs de ses 16 années à la barre de La PetiteNation. Normal puisqu’il est avant tout un être positif. Il pouvait passer une heure avec une personne choquée dans son bureau à essayer de lui redonner un sourire. De plus, selon lui chaque problème trouve sa solution et on peut tirer du positif de chaque situation. Paternel à ses heures, l’éditeur n’aimait pas dire non. «J’ai toujours essayé de faire mon travail du mieux que j’ai pu. Si j’ai déçu des gens, j’en suis désolé.» Michel Blais est maintenant à la retraite depuis deux ans. Il profite de ces moments pour passer du temps de qualité avec ses petits-enfants et faire un voyage à Cuba par année. Que représente pour vous La Petite-Nation ? Jessy Laflamme et Michèle Marchand Le maire de Boileau, Henri Gariépy Ce journal est important, car c’est le seul qu’on reçoit dans notre municipalité. Ainsi, c’est le journal local dans lequel on retrouve un peu les nouvelles de la région et tout ce qui nous touche. Le maire de Chénéville, Gilles Tremblay Le maire de Duhamel, David Pharand Le journal La Petite-Nation est un diffuseur d’information écrit de premier plan pour nos municipalités. Semaine après semaine il renseigne nos citoyens sur tout ce qui se passe dans notre belle région. Longue vie à ce beau journal. Le journal est une belle source d’information et exprime un sens d’appartenance à la région, C’est un journal communautaire qui fait éloge des efforts des citoyens qui s’impliquent dans leur communauté. Suite à la page 16 Plaisance : municipalité verte A vec les Chutes et le Parc national de Plaisance, la municipalité de Plaisance est sans contredit la municipalité idéale pour profiter du plein air. Il faut dire que Plaisance est la municipalité qui recycle le plus dans la MRC de Papineau. «En 1997, nous avons fourni un bac de 360 litres à toutes les propriétés de la municipalité, et ce, gratuitement. Cette décision nous a permis d’économiser de belles sommes au niveau des ordures», affirme la maire. La municipalité mise sur l’arrivée de l’autoroute 50 en 2012 pour se développer davantage et attirer de nouvelles familles. Le ministère des Transports du Québec reprend les routes Papineau et le chemin de la Presqu’île à partir d’octobre 2011, bonne nouvelle qui permettra à la municipalité de prendre de l’expansion. «Comme on désire garder notre école ouverte, nous devons travailler à attirer de nouvelles familles, souligne Mme Lalande. La maison des jeunes est d’ailleurs en rénovation présentement et certains vendredis soirs, nous proposons des soirées jeux de société pour les gens de 30 ans à 60 ans avec un service de gardiennage.» Cahier 50 ans La Petite-Nation 14 - www.lapetitenation.com Les aînés possèdent aussi une place privilégiée à Plaisance. Présentement, la municipalité s’affaire à aménager une maison pour eux. «Le Complexe funéraire Shields et Berthiaume nous a donné son bâtiment que nous rénovons présentement pour permettre à nos personnes d’expérience de se réunir», explique Mme Lalande. On retrouve aussi à Plaisance, le Centre d’interprétation du patrimoine qui permet à la population et aux visiteurs d’en apprendre davantage sur l’histoire de ce village. Bref, Plaisance est une municipalité verte qui mise sur le bien-être de tous les citoyens et citoyennes à tous les niveaux. Plaisance rend hommage à La Petite-Nation «Un journal dans une région est un élément important pour vendre les villages. Si la municipalité de Plaisance a présentement le vent dans les voiles, c’est grâce aux gens de chez nous, mais aussi au journal La Petite-Nation qui nous a toujours appuyée», mentionne Mme Lalande. Selon cette politicienne, La Petite-Nation est un journal près des citoyens et citoyennes qui donne toujours l’heure juste autant au niveau économique que social. «Que la vérité soit bonne ou mauvaise à entendre, le journal la donne toujours, mentionne-t-elle. Il possède un sens de la fidélité essentiel dans les petites communautés. Ainsi, les membres de l’équipe municipale et la population de Plaisance s’unissent à moi pour rendre hommage à ce média et médium qui nous a toujours bien servi, et ce, depuis 50 ans.» www.ville.plaisance.qc.ca 3782067 «On veut offrir un cadre de vie vert à nos citoyens, explique la maire de Plaisance, Paulette Lalande. Il suffit de penser aux pistes cyclables et à toutes les installations mises en place pour prôner l’environnement comme les bacs de recyclage, le compostage et la journée de ramassage annuelle de produits électroniques.» Qui n’a jamais besoin d’un crayon? C ’est à la suite d’un souper entre amis que la Papeterie PetiteNation est née. «À cet instant, je n’avais pas d’emploi et nous voulions obtenir un revenu supplémentaire puisque notre fille entrait au Cégep», raconte la propriétaire de la Papeterie Petite-Nation, Céline Guindon. Ainsi, en juillet 1998, la Papeterie Petite-Nation ouvre ses portes au 106 rue Principale à Saint-André-Avellin. « Ce type de commerce m’attirait car, ayant suivi une formation en secrétariat, j’ai toujours aimé le papier et le matériel de bureau. J’aimais aussi beaucoup magasiner à la Papeterie qui appartenait à Aline Carrière. Aline nous a d’ailleurs beaucoup aidés à nous lancer en affaires.» Au début de l’entreprise, Céline Guindon et son conjoint, François Lemery, s’associent avec Alain Sabourin et Ginette Lavigne. Un an plus tard, les parts du deuxième couple sont achetées par Monique Guindon, la sœur de Céline. C’est à ce moment que la Papeterie Petite-Nation devient une entreprise familiale. En 2008, Karine Lemery, la fille du couple, a racheté les parts de Monique. Karine poursuit toujours des études en traduction à l’Université Laval tout en travaillant au ministère des Transports. Elle prévoit reprendre les rênes de l’entreprise familiale dans quelques années. «Nous sommes vraiment partis de rien! C’est grâce au soutien de notre famille et de la Société d’aide au développement de la collectivité de Papineau (SADC) que nous avons réussi à bâtir cet édifice situé en plein cœur du village», explique Mme Guindon. L’intérieur de la Papeterie Petite-Nation est haut en couleur et stimulant, créant une atmosphère accueillante. On y retrouve évidemment tous les articles pour l’école, mais aussi tout ce qui touche la papeterie, le matériel de bureau et de classement. «Nous misons beaucoup sur la variété des produits. L’année dernière, nous avions près de trente modèles de sacs d’école pour satisfaire tous les goûts, dont deux lignes exclusives Louis Garneau. Évidemment, on se fie beaucoup sur les commentaires des clients pour effectuer nos choix année après année.» De plus, si le client cherche un objet non disponible en magasin, la Papeterie Petite-Nation garantit de répondre à la demande dès le lendemain. «Nous commandons dans la journée afin de recevoir l’item recherché dans les 24 heures.» La Papeterie Petite-Nation offre la livraison pour les entreprises et est en contact constant avec les écoles du territoire pour répondre le mieux possible aux besoins des parents à la rentrée scolaire. « Nous fournissons également les cahiers d’activités pour les écoles des environs», précise Mme Guindon. La Papeterie offre également un service de photocopies couleur, de télécopieur et une section cadeau où on peut dénicher des jeux de société, éducatifs ou des casse-têtes. Les clients peuvent également bénéficier d’une section d’accessoires informatiques. «Nous avons tout ce qui est connexe à l’informatique : souris, claviers, CD et des cartouches d’encre à prix compétitifs.» La Papeterie Petite-Nation tient à offrir tous ces services à sa clientèle. «C’est important pour nous que le client trouve ce dont il a besoin localement. Grâce à leur soutien, nous engageons deux employés l’été et l’argent reste dans la région, ce qui est important pour le développement», indique la propriétaire. Pour ce faire, les propriétaires donnent leur 150% pour satisfaire leur clientèle. «Plus les gens achètent localement, plus nous sommes en mesure d’offrir des prix compétitifs et des services particuliers.» La Papeterie Petite-Nation s’adresse à tout le monde, car «Qui n’a jamais besoin d’un crayon?» 115, rue Principale Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-1544 3747712 Le commerce se développe et l’emplacement au 106 rue Principale devient trop petit. Les propriétaires décident donc, en 2008, de déménager et de s’installer dans leurs locaux actuels, au 115 rue Principale. Le terrain appartenant déjà au couple, ils y font construire un bâtiment correspondant à leurs besoins, la conception et le design étant confiés à Erik Maillé et les plans à Pier-Luc Legris. La construction a été confiée à Construction LC de SaintAndré-Avellin. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 15 Que représente pour vous La Petite-Nation ? Suite de la page 14 Le maire de Fassett, Michel Rioux Le journal est notre porte-parole, une porte d’entrée, pour tous nos citoyens. En fait, ce sont nos sauveurs, sans eux, on ne pourrait pas rejoindre les gens. Je vais tous les jours sur le site www.lapetitenation.com pour lire les dernières nouvelles et je lis le journal électronique une fois par semaine. Je l’envoie à tous mes proches. Le maire de Lochaber Canton, Georges Leduc Le maire de Namur, Gilbert Dardel. Je considère que ce journal me donne toutes les informations pertinentes de notre région. Concernant l’actualité, ce journal me renseigne très bien sur tous les développements et actions de mon environnement. Alors, un franc merci! La Petite Nation c’est un média régional et local qui nous donne l’heure juste et nous tient à coeur parce qu’il nous rappelle ce qui se passe dans notre région. J’aime rester local et régional. Le maire de Lochaber-PartieOuest, Michel Labrecque La moitié de la population de ma municipalité reçoit le Bulletin alors que l’autre 50% reçoit La PetiteNation. De mon côté, je reçois La Petite-Nation. J’aime bien ce journal, car il sent chez nous. C’est le seul journal que je lis d’un bout à l’autre La maire de Lac-des-Plages, Josée Simon C’est une source d’informations et d’inspiration parce que c’est une petite région. On est chanceux d’être couvert. On retrouve dans La Petite-Nation autant de la culture, des nouvelles et des publicités. Bref, tout ce qui fait partie de la Petite-Nation est publié. C’est un journal de proximité facile à se servir pour véhiculer les bonnes comme les mauvaises nouvelles. Il s’est créé un lien important entre le citoyen de Lac-des-Plages et le journal. Les gens trouvent ça important et le demandent quand il n’y en a pas. Le maire de Montebello, Pierre Bertrand Le journal Petite-Nation représente pour moi un moyen de s’exprimer sur ce qui se passe chez nous dans le domaine culturel, sportif, politique ou autre. Bravo pour ce 50e anniversaire et longue vie au journal. La maire de Lac-Simon, Louise Houle Richard Le maire de Montpellier, Pierre Bernier Le journal est le moyen de communication pour la population de la Petite-Nation. Je reste ici depuis 2009 et je lis fréquemment ce journal. Sans lui, la coordination de tout ce qui se passe dans le coin serait difficile. Le journal La Petite-Nation est extrêmement important dans une région comme la nôtre, car c’est le seul organisme qui parle essentiellement de nous. Il contient toutes les informations sur notre région et nos municipalités. Le maire de Notre-Dame-deBonsecours, Denis Beauchamp C’est notre journal régional hebdomadaire de la Petite-Nation pour qu'on sache tout ce qui se passe dans la région. On en a besoin sinon on ne saurait pas ce qui se passe. Le maire de Papineauville, Gilles Clément Le journal est un excellent outil de promotion, c’est d’ailleurs, lors des dernières années, le principal outil de communication de la municipalité. Nous jouissons d’une bonne collaboration pour faire connaître le milieu et ses activités. Le journal soutient les organismes et met de la vie dans les municipalités. Bref, c’est un excellent outil. Je tiens à féliciter toute l’équipe pour leur excellent travail qui me permet d’être bien informé de ma région. Le maire de Plaisance, Paulette Lalande Le journal La Petite-Nation est tout pour moi. C’est le médium pour donner des nouvelles et pour dire au monde ce que l’on fait. Suite à la page 20 Trente ans de vision pour Iris Papineauville Comme c’est bien connu, on fait les choses sérieusement à cette clinique, mais on ne se prend pas au sérieux. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui poussent cette femme d’affaires et optométriste, Diane G. Bergeron à aimer encore son travail après 30 ans de pratique. «Chaque client est différent et on ne peut pas parler de routine. Les enfants que l’on examinait à leur entrée à l’école sont devenus adultes et viennent maintenant avec leurs propres enfants et souvent aussi leurs parents. On côtoie ainsi différentes générations», précise-t-elle. L’ambiance est tellement agréable chez Iris Papineauville qu’une de leurs employées, Mme Carole Méley, y travaille depuis 30 ans. «L’esprit du bureau est très convivial autant avec les patients qu’entre les cinq membres du personnel, précise Dre Bergeron. La clinique a déménagé deux fois pendant ses trente ans de vie. «J’ai commencé dans les locaux de la clinique dentaire Bergeron Payette Rail, raconte-t-elle. Ensuite, nous avons déménagé dans le petit centre commercial à côté du Centre local d’emploi de Papineau. En 2004, comme nous avions besoin d’espace supplémentaire, nous avons déménagé dans notre local actuel situé au 301, rue Papineau à Papineauville.» Cette entreprise s’est Cahier 50 ans La Petite-Nation 16 - www.lapetitenation.com Diane G. Bergeron, o.d. Optométriste démarquée à quelques occasions. En 2005, elle a remporté la catégorie Meilleure entreprise de service lors du Gala de la Chambre de commerce Vallée de la Petite-Nation, prix aussi gagné lors du gala 2010. En plus d’être repartie avec ce trophée, le Dre Diane Bergeron s’est aussi méritée celui de Meilleure entreprise de moins de dix employés en 2010. Afin d’être à la fine pointe de la technologie, le Dre Bergeron a investi près de 100,000$ en instrumentation depuis 5 ans; ainsi il est plus facile de dépister les problèmes de santé oculaire comme le glaucome ou les complications du diabète. Les patients peuvent également effectuer certains examens de contrôle ophtalmologiques à Papineauville au lieu de se déplacer continuellement à Gatineau, Ottawa, Laval ou Montréal. Dre Bergeron tient à sensibiliser la population sur l’importance des yeux. «Ce sont deux petits diamants irremplaçables dont il faut absolument prendre soin, indique-t-elle. On peut arrêter un problème, limiter les dégâts mais on ne peut pas redonner ce qui est perdu quand le patient consulte trop tard…» Même si Dre Bergeron désire alléger son horaire, elle espère pouvoir encore pratiquer une bonne dizaine d’année. «Je suis présentement à la recherche de relève pour partager la gestion de la clinique et ainsi pouvoir me concentrer davantage sur les consultations puisque j’adore toujours le contact avec le public.» 301, rue Papineau Papineauville (QC) J0V 1R0 819 427-5838 1-888-427-5838 Courriel : [email protected] www.iris.ca 3756239 L a Clinique d’Optométrie Iris Papineauville a fêté ses 30 ans d’existence en janvier dernier. «On ne réalise pas toujours que les années passent si vite, la première fois que nous en avons pris conscience, c’est quand nous avons engagé une assistante qui était plus jeune que la clinique… » indique à la blague Dre Bergeron. L’expérience au service des gens L es pièces d’autos, la famille Piché est tombée dedans depuis leur naissance. Et c’est fort de leur grande expérience et de leur service de première main qu’ils continuent de répondre aux besoins des gens de l’Outaouais. Pièces Piché est présent en Outaouais depuis 57 ans quand le premier commerce a ouvert à Maniwaki. Les enfants de la famille ont pris la relève dès leur jeune âge pour poursuivre le travail amorcé. Deux autres établissements se sont joints à la famille depuis, soit une succursale dans le secteur de Buckingham en 2000 et à Papineauville en 2008. Pierre Piché 42 ans d’expérience Tout est donc mis en de l’avant pour répondre aux moindres besoins de la clientèle de Pièces Piché. C’est ce qui a permis à l’entreprise de poursuivre ses activités depuis maintenant 57 ans, un exploit important. FÉLICITATIONS! L’entreprise de pièces d’auto sait donc ce qu’il faut pour survivre 50 ans dans un milieu commercial. Elle en profite donc pour saluer le travail de la Petite-Nation au cours des cinq dernières décennies. «On se doit de féliciter La Petite-Nation qui est là depuis 50 ans. Un journal, c’est important. La Petite-Nation a toujours été là pour offrir un service aux commerçants et à la population de la région.» Rock Piché 39 ans d’expérience Ayant grandi dans ce domaine, la famille Piché a vu évoluer le milieu automobile et des pièces et peut ainsi répondre rapidement et surtout spécifiquement aux questions des clients qui cherchent la bonne pièce pour réparer leur véhicule. Sylvain Piché 32 ans d’expérience C’est ce qui a toujours fait la fierté de Pièces Piché. «Pour nous, c’est important que le client ait la bonne pièce au bon moment, soutient Pierre Piché. Il n’est pas obligé d’attendre ou de revenir parce que ce n’est pas correct.» SUCCURSALE DE GATINEAU 925, CH. DE MASSON - 819 986-7805 Cette satisfaction du service passe en grande partie par l’excellence des employés de la compagnie, dont plusieurs sont fidèles à l’entreprise depuis plus de 20 ans. «Ce sont des gens qui connaissent leur métier et qui aiment leur profession», affirme M. Piché. Et cet amour et connaissance du métier se traduit dans le service offert aux clients qui l’apprécient. «C’est avec ça qu’on a réussi à fidéliser notre clientèle. On donne satisfaction au client.» Simon Piché 27 ans d’expérience PIÈCE DE QUALITÉ Le service est important, mais la marchandise offerte est aussi un atout majeur pour Pièces Piché. L’entreprise est affiliée depuis son ouverture avec UAP, devenu depuis quelques années NAPA. Grâce à cette association avec cette entreprise de renom, Pièces Piché offrent donc à sa nombreuse clientèle une gamme de pièces dont la qualité est reconnue dans le milieu de l’automobile. Des pièces solides, durables et à bon prix. Et avec ses trois succursales partout en Outaouais, Pièces Piché compte sur un inventaire de près de deux millions de pièces automobiles à porter de main. L’entreprise est donc en mesure de répondre rapidement aux demandes des clients, toujours dans le but d’assurer un service rapide et professionnel. SUCCURSALE DE MANIWAKI 145, RUE PRINCIPALE SUD - 819 449-3630 3846112 Daniel Piché 10 ans d’expérience SUCCURSALE DE PAPINEAUVILLE 359, PAPINEAU - 819 427-6257 Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 17 Fidèle depuis 1961 T out comme La Petite-Nation, le Tigre Géant de Papineauville fête ses 50 ans cette année. Ce Tigre Géant fait partie d’une chaîne de magasins d’escompte familial franchisés canadiens par excellence. Pour souligner leur demi-siècle d’existence, une fête avec barbecue et musique sera organisée le 7 mai prochain. Cela donnera l’occasion aux consommateurs de découvrir les produits de base reconnus que nous vendons tous les jours à petits prix. Notre vaste sélection de produits nous permet de répondre aux besoins familiaux et ménagers de nos clients à Papineauville. L’année 2011 a commencé, pour les vingt-trois employés de Papineauville, dans le réaménagement. Du 1er au 21 janvier, le magasin a tout simplement changé de décor. « Nous avons réaménagé les rayons de vêtements pour hommes, femmes et enfants et avons repensé nos nouvelles cabines d’essayage, précise Daniel Paquet, propriétaire du magasin. Nous avons effectué tous ces changements dans le but de simplifier l’expérience de magasinage de nos clients et de rendre les allées plus accessibles. Plusieurs personnes ont l’impression, lorsqu’ils entrent dans notre magasin, que nous l’avions agrandi. Nous avons simplement permis à nos clients de mieux respirer pendant qu’ils font leurs emplettes. » Après tout, l’objectif principal du Tigre Géant de Papineauville est d’être attentif à la clientèle dans toutes les facettes de l’entreprise. La compétence, la contribution et l’esprit d’équipe des employés, ainsi que leur dévouement envers l’entreprise ne peuvent qu’être des avantages pour notre clientèle. « Notre entreprise a pour but d’être le chef de file en matière de rapport qualité-prix dans les communautés que nous desservons, tout en offrant à notre clientèle une expérience de magasinage rapide, chaleureuse et amusante », affirme M. Paquet. ! Célébrons 50 ans de succès! Merci à tous! Daniel Paquet, propriétaire PAPINEAUVILLE 2011 3845309 1961 3844702 "# 144, rue Papineau Papineauville (Québec) J0V 1R0 819 427-8163 Pour la demeure qui vous tient à cœur À l’âge de 25 ans, Nathalie Laflamme prévoyait déjà devenir courtière immobilière à 40 ans. Les circonstances de la vie l’ont poussé à réaliser son rêve avant le temps soit en 2005. Consacrée meilleure agent vendeur en 2010 dans l’équipe Remax de Buckingham, on peut affirmer sans se tromper qu’elle a pris la bonne décision. «À 25 ans, mes priorités étaient ailleurs, raconte-t-elle. Aujourd’hui, je suis plus disponible, car il faut se l’avouer, l’immobilier, c’est du sept jours sur sept. Chaque matin, elle se lève dans l’espoir d’aider une famille ou des gens à réaliser leur rêve : l’achat d’une première maison. «C’est un métier passionnant puisqu’il touche à plusieurs aspects de la vie, dont le côté humain, le marketing, l’aspect légal et même parfois la psychologie.» Son objectif à long terme est de promouvoir la Petite-Nation afin d’attirer de nouvelles familles et garder celles déjà établies dans la région. Selon la courtière, pour ce faire, il faut axer sur le fait que la Petite-Nation est le pivot qui relie Montréal, Gatineau et Tremblant, un fort avantage! Il faut dire que Nathalie Laflamme a la Petite-Nation tatouée sur le cœur. «Même si je suis Franco-Ontarienne, j’ai décidé d’élever mes enfants ici. Chaque matin, je prends le temps de parcourir les sentiers pédestres tout près de chez-moi. La Petite-Nation est, selon moi, synonyme d’une belle qualité de vie.» Évidemment, la courtière n’a pas remporté le titre de meilleur agent vendeur sans effort. «Je suis des formations de façon continue afin d’être toujours à jour et d’offrir un bon suivi auprès de ma clientèle avant, pendant et après la vente.» Et j’ai obtenue depuis peu une certification de la qualité au service à la clientèle (QSC), j’en suis très fière. Toujours dans le but d’offrir un excellent service à la clientèle, Nathalie Laflamme a engagé une adjointe récemment. «J’essaie d’éviter que mes clients tombent sur une boîte vocale, maintenant, ils seront en mesure d’obtenir une réponse. Le contact humain est très important pour moi.» Pourquoi Remax? «C’est une bannière internationale avec le site le plus visité au Québec. Elle offre une visibilité intéressante et elle est impliquée dans Opération enfant soleil, une cause qui me tient à cœur» Cahier 50 ans La Petite-Nation 18 - www.lapetitenation.com 819 773-0131 [email protected] www.remaxquebec.com 3768865 La marque de commerce de Nathalie Laflamme : la constance, la disponibilité et l’honnêteté. La Fondation Santé de Papineau et La Petite-Nation : une collaboration essentielle! D epuis 1990, la contribution de la Fondation Santé de Papineau est indispensable. Ayant vu le jour il y a un peu plus de 20 ans, la Fondation se charge d’établir, organiser, solliciter, maintenir et administrer des fonds pour promouvoir l’amélioration des soins et des services de santé à l’Hôpital de Papineau. Représentatif des gens qu’elle sert, la Fondation Santé de Papineau compte sur un conseil d’administration dévoué et composé de gens de la Vallée-de-la-Lièvre et de la Vallée de la Petite-Nation qui connaissent plus que bien les enjeux liés à la santé sur le territoire. Le travail de la Fondation Santé de Papineau donne un sérieux coup de main au Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Papineau. Depuis ses débuts, la Fondation a recueilli 5,5 M $ à travers diverses activités de levées de fonds. À titre d’exemple, la campagne annuelle de l’organisme a permis de récolter à elle seule 2 080 233 $. Le tournoi de golf V.I.P., organisé annuellement, représente un profit total de 1 038 750 $. La course de canards totalise 363 615 $. Ce sont 80 352 $ qui ont pu être amassés grâce à la vente d’un sou. La Boutique « Juste pour toi » a pu récolter 648 566 $ qui ont été remis à la Fondation. De plus, la Fondation a lancé une nouvelle activité cette année, le souper gastronomique, qui lui a permis d’amasser 6 208 $. Tout cet apport a permis l’acquisition de plusieurs équipements médicaux spécialisés qui sont maintenant disponibles à l’Hôpital de Papineau. Entre autres, on compte parmi ces appareils, un tomodensitomètre, un appareil de radioscopie, un appareil d’échographie, des lits électriques, un respirateur de transport et la liste est encore très longue. Au sein des nouveaux équipements, il est primordial de noter l’ouverture en février 2012 de l’unité satellite d’hémodialyse qui prendra place à l’Hôpital de Papineau et qui assurera un service de proximité pour toute la population de la Vallée de la PetiteNation. Les personnes aux prises avec des problèmes d’ordre rénal n’auront plus à se déplacer au centre-ville de Gatineau. Tout ne s’arrête pas là alors que la campagne annuelle 2011 vise à permettre la mise en place d’un laboratoire pulmonaire au sein de l’établissement, ce qui s’ajoute à la liste des services de proximité offerts par l’Hôpital de Papineau. Par ailleurs, l’Hôpital de Papineau est aussi avantgardiste grâce à la Fondation qui affiche un tableau de reconnaissance électronique qui permet à la fois de remercier les donateurs et de diffuser les objectifs et réalisations des activités de la Fondation. Il s’agit d’un projet innovateur à l’ère de la technologie, le premier du genre au Québec. La capacité de la Fondation Santé de Papineau à soutenir le CSSS de Papineau dépend de ses fidèles donateurs et du support constant et précieux de ses bénévoles. Leur loyauté et leur dévouement permettent à la Fondation de prendre encore plus d’ampleur. Avec des besoins en santé de plus en plus criants, la population est consciente qu’en plus d’un personnel médical compétent, il faut compter sur des équipements à la fine pointe de la technologie. Voilà où la Fondation Santé de Papineau entre en jeu. La Fondation Santé de Papineau tient à féliciter La PetiteNation, son fidèle partenaire depuis un peu plus de 20 ans, pour ce louable 50e anniversaire. Meilleurs vœux de santé, longévité et sincères remerciements pour son appui continu. 3830498 FONDATION SANTÉ DE PAPINEAU Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 19 Que représente pour vous La Petite-Nation ? Suite de la page 16 Tout le monde lit La Petite-Nation de la première à la dernière page. Au cours des années, ce journal a acquis une notoriété pour informer les gens de façon véridique autant dans le monde municipal, sportif, économique et communautaire. L’équipe de rédaction trouve toujours l’article adéquat qui décrit bien les situations qui se passent sur notre territoire. C‘est un gros avantage d’avoir un médium à l’affût de tout ce qui se passe et de pouvoir compter sur leur présence à tous les événements. C’est d’ailleurs pour ces raisons qu’ils sont vrais. La maire de Ripon, Luc Desjardins C’est un bel outil de communication pour notre région. Il est indispensable pour la MRC pour que les liens se fassent entre les communautés. C’est un outil important. La maire de Saint-André-Avellin, Thérèse Whissell. Le maire de Saint-Sixte, André Bélisle Un journal, ça représente beaucoup, c’est de l’information que l’on peut faire parvenir à tout le monde de la Petite-Nation. Je trouve que c’est très important pour une région. Le journal répond à mes attentes et nous vivons, avec l’équipe, une très bonne collaboration. C’est une entité ancrée dans notre quotidien. Je me fais un devoir de le regarder. J’aime bien éplucher ce journal, car ça sert à beaucoup de choses. Le maire de Saint-Émile-deSuffolk, Michel Samson Le maire de Thurso, Maurice Boivin Je souhaite à La Petite-Nation de se concevoir pendant les 50 prochaines de années comme un outil communication pour l’ensemble de la communauté. Pour l’instant, on imagine mal comment une seule journaliste sur tout le territoire peut accomplir cette mission. Selon moi, la Petite-Nation mérite mieux. Les 50 prochaines années de La Petite-Nation devraient être synonymes de développement dans l’esprit de ce que la Petite-Nation représente pour nous. Depuis 50 ans, le journal La PetiteNation a accompagné les citoyennes et citoyens de notre région en terme d’informations. À ce titre, le journal fut et est la courroie de diffusion, par excellence, des activités de nos communautés. Bon 50e. Qu’ont en commun la Binerie, l’Aubergine et Calypso’s ? E M. Marakis n’est pas avare sur la quantité. Les assiettes de ses restaurants sont bien remplies. On peut toujours compter sur de bonnes portions. Ensuite, il s’est exilé à Thurso pour s’occuper de la cuisine à l’Escale. Puis, l’opportunité de devenir propriétaire s’est présentée à lui en 2004. C’est à ce moment qu’il a acheté la Binerie. La qualité du service est aussi primordiale pour le chef et sa partenaire, Nathalie Vallée. En 2009, toujours passionné par la restauration, il décide d’ouvrir l’Aubergine à SaintAndré-Avellin. La qualité des aliments est une priorité pour ce chef. Il tient à toujours offrir des assiettes de qualité. Cahier 50 ans La Petite-Nation 20 - www.lapetitenation.com Aubergine 81, rue Principale Saint-André-Avellin (Qc) J0V 1W0 819 983-3311 Les spécialités de ces deux restaurants sont les plats grecs et italiens, mais aussi les petits déjeuners. En fait, Emmanuel Marakis a été le premier à offrir des déjeuners autres que des œufs et du bacon. Encore aujourd’hui, ses menus proposent plusieurs choix. Le chef cuisinier ouvrira bientôt son troisième restaurant Le Calypso’s à Hawkesbury dans Binerie 109, rue Galipeau Thurso (Québec) J0X 3B0 819 985-3311 l’ancien local du Mikes. M. Marakis est certain de tirer son épingle du jeu à cet endroit grâce notamment à son bon emplacement. Ce nouveau restaurant se spécialisera dans les pâtes et les grillades et, évidemment, les petits déjeuners. M. Marakis invite les gens de la Petite-Nation à découvrir son nouveau menu lors de leur passage à Hawkesbury. Ces trois restaurants comptent sur une équipe de près de 60 employés. M. Marakis et Mme Vallée tiennent à remercier tous les clients qui les ont encouragés au cours des années. Calypso’s 358, Main Hawkesbury (On) 613 632-2888/2899 3773810 mmanuel Marakis est arrivé au Canada en 1982 puis en 1992 à Saint-AndréAvellin où il a travaillé dans une cuisine pendant 4 ans. Une entreprise en béton R aymond Asphalte est une entreprise familiale créée il y a maintenant 39 ans. «J’ai toujours travaillé dans ce domaine, j’ai commencé cette carrière à l’âge de 19 ans. Quand j’ai décidé d’ouvrir à mon compte, je travaillais au pic et à la pelle», raconte le propriétaire, Raymond Ladouceur. s"ÏTONPRÏPARÏ s#OMMERCIAL s2ÏSIDENTIEL s!GRICULTURE Jamais M. Raymond Ladouceur et Mme Diane Gagnon n’auraient pensé que leur entreprise prendrait une telle ampleur. Aujourd’hui, leurs fils Daniel, Marco et Dominic travaillent à leurs côtés. « Quand j’ai commencé, c’était une toute petite entreprise, si je suis rendu là, comme tout homme d’ailleurs, c’est parce qu’il y avait une femme derrière moi…», souligne M. Ladouceur. Concrètement, Raymond Asphalte effectue du pavage, de l’excavation, des fosses septiques, du concassé, de la démolition, de la distribution de sable et de la pierre de drainage. Elle est la seule carrière de la Petite-Nation productrice de pierres concassées. « On s’arrange toujours pour offrir un service rapide. Grâce à nos sept camions de livraison ainsi que nos excellents employés, nous sommes en mesure de satisfaire la clientèle. Nous possédons aussi un camion spécialisé pour étendre de la pierre dans les caves ». 4ERRASSEMENTsEXCAVATIONsGRAVIER sCONCASSÏsSABLEsTERRE En 2007, Raymond Ladouceur a réalisé l’un de ses rêves : mettre sur pied une entreprise en béton. Effectivement, Béton Petite-Nation a vu le jour il y a quatre ans. «Nous sommes les seuls à offrir du béton préparé en usine complètement informatisée sur le territoire, ce qui assure une qualité constante du béton», affirme M. Ladouceur. « Raymond Asphalte est fier d’être le plus vieil annonceur du journal La Petite-Nation.» Cette entreprise offre du béton pour les projets résidentiels, commerciaux et agricoles et différents ajouts pour les bétons spéciaux tels que la fibre structurale, accélérant, retardant, air entraîné et super plastifiant. Raymond Asphalte est fier d’être le plus vieil annonceur du journal La Petite-Nation. Depuis 39 ans, cette entreprise publicise fréquemment ses services. 3848593 Raymond Asphalte Béton Petite-Nation 695, ch. Philias-Ladouceur Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2223 Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 21 À l’époque où Jessy Laflamme 3851379 [email protected] Un nouveau point de vente de Nautique (Bateau de marque Legend, Mercury) au 403 des Oblats Maniwaki (J9E-1H1) 819-449-5325 1087, Chemin de Montréal, Gatineau (Qc) 819-986-3595 www.chartrandyamaha.com Encore aujourd’hui, on se souvient des Lamarche, ancienne famille propriétaire de La Petite-Nation pour leurs opinions parfois tranchantes. Le père, Jacques Lamarche, a commencé à rédiger des éditoriaux en 1974. En 1977, il achète le journal. Le 1er janvier 1979, son fils Serge Lamarche prend la barre du journal. «En bon père de famille, il m’a laissé la place», raconte Serge. Pour les Lamarche, il était primordial d’écrire un éditorial par semaine. «Comme nous sommes des intellectuels, c’était important de nous impliquer et de donner des opinions dans le journal, c’était notre façon de nous impliquer et de nous engager», raconte Serge. Les fusions municipales, certaines décisions du CLSC et l’incapacité de la MRC à agir sans subvention ou pression sont des exemples de sujets qu’a épluchés Serge Lamarche à plusieurs reprises. «La plus grosse folie dont je me rappelle est la fois où la Maclaren (Fortress Cellulose Spécialisée maintenant) offrait à la MRC gratuitement tous leurs sentiers de chemins de fer de Thurso à Duhamel. Les propriétaires de ces terrains se sont offusqués et ont demandé à la Maclaren de leur recéder leurs terres à cause d’une possible nuisance de bruit. Les maires ont soutenu les citoyens et ont laissé tomber cette opportunité de posséder, gratuitement, un futur corridor touristique.» Serge Lamarche se souvient aussi de l’implication du journal dans le Mont Grand Pic, aujourd’hui nommé les Montagnes noires. «C’est la première fois qu’on voyait un projet régional prendre autant d’ampleur», affirme M. Lamarche. Sa seule tristesse est justement l’échec de celui-ci. L’ancien éditorialiste et éditeur se considère chanceux d’avoir pu exprimer ainsi son opinion au cours des années. «Les maires avaient pour mentalité, parlezen en bien ou en mal, mais parlez-en. Ils me laissaient donc aller. C’est certain que j’attaquais toujours les idées et non les gens directement. J’avais vraiment du plaisir, car je pouvais écrire ce que je voulais.» Encore aujourd’hui, M. Lamarche possède des opinions. «C’est certain qu’avoir été en poste, j’aurais pris position contre la fusion du CLSC. Perdre des hauts dirigeants dans une région comme la nôtre nuit au développement local et économique.» Par contre, Serge Lamarche ne regrette pas son départ du journal. Il a terminé sa carrière comme enseignant à l’école Louis-Joseph-Papineau, ce qui l’a comblé. Maintenant à la retraite, il profite du temps pour voyager. Les Lamarche ont aussi effectué un saut vers Buckingham. En 1980, ils ont acheté le journal Le Bulletin. Ils l’ont revendu moins de deux ans plus tard. Ensuite, plusieurs propriétaires ont pris la barre du journal : Publications Dumont, Cogeco et Transcontinental. Serge Lamarche est resté éditeur pendant 16 ans à La Petite-Nation malgré tous ces changements. «Nous avions vendu à cause de la concurrence en 1985, nous n’étions plus en mesure de survivre», relate M. Lamarche. Une évolution technologique Serge Lamarche se rappelle encore avoir investi près de 16 000$ en 1977 pour imprimer des textes et des Une visite égale plusieurs découvertes Aujourd’hui, on y retrouve toujours des cours d’aqua-gym, un sauna et deux salles de bronzage l’une avec une machine couchée et l’autre avec une machine debout. En 2006, M. Dupuis fait l’acquisition d’une entreprise d’importation. Il crée l’entreprise Import Action. Puis en 2009, le gymnase se transforme en salle de démonstration pour les objets achetés en Indonésie et revendus dans plusieurs boutiques du Québec et de l’Ontario. «J’achète les produits en Indonésie, car je sais que les enfants ne sont pas exploités à cet endroit. Tous les enfants vont à l’école. De plus nous pratiquons seulement du commerce équitable et nous remettons un don à la fin de l’année à un organisme venant en aide aux enfants de là-bas», explique M. Dupuis. «Les gens n’ont pas à être gênés. Ils peuvent venir nous v i s i t e r. Que ce soit pour voir la piscine, les salles de bronzage, le sauna ou encore la salle de démonstration, nous sommes toujours ouverts et prêts à les accueillir», affirmet-elle. Import Action vend des objets de décoration tel que cadres, lampes, arrangements floraux, masques, sculptures, meubles, Il est aussi possible de découvrir les objets importés sur le site www.importaction.ca. En 2002, Santé vous bien se greffe à l’entreprise puisque Sylvie Lavarière a terminé un cours de naturopathe axé sur la Nutrition et l’alimentation saine ainsi qu’un cours de Massothérapie et de soins corporels. «J’offre aux gens des programmes de pertes de poids. Je m’assoies avec eux pour connaître leurs habitudes de vie et leur proposer une méthode sur mesure à chacun d’eux», explique-t-elle. Cahier 50 ans La Petite-Nation 22 - www.lapetitenation.com miroirs et bien plus encore. Mme Lavarière achète également des bijoux, des foulards et des paréos de la Thaïlande et de l’Indonésie qu’elle revend dans plusieurs boutiques et dans sa salle de démonstration à Papineauville. Mi-Syl Santé et Import Action 154, St-Denis Papineauville (Québec) J0V 1R0 3841602 S ylvie Lavarière et Michel Dupuis ont installé Mi-Syl Santé à Papineauville sur la rue St-Denis en 1997. l’opinion réglait Serge Lamarche a occupé le poste d’éditeur de La Petite-Nation pendant 16 ans. Les dirigeants, la direction générale et les employés de la Caisse populaire Desjardins de la Petite-Nation se joignent à toute l’équipe du journal pour célébrer ses 50 ans d’existence! Ce journal local est présent dans la région depuis 50 ans … Ce rendez-vous hebdomadaire est un engagement et une responsabilité envers plus de 10 000 lecteurs … L’expérience, bien qu’enrichissante, n’aura pas duré. Ainsi, l’ancien éditeur de La Petite-Nation, est revenu dans son patelin pour y enseigner, prendre sa retraite et partir : «les deux pieds devant.» Félicitations!!! Relève Le fils de Serge Lamarche, Louis-Dominique a commencé sa carrière en montage à La Petite-Nation. Maintenant, il est un patron au Journal de Montréal. SIÈGE SOCIAL Comme le respect de la vérité assure celui de la liberté, slogan qu’on retrouve sur la une du journal, a été créé par les Lamarche. 105, rue Principale, Saint-André-Avellin Qc J0V 1W0 819 983-7313 www.desjardins.com/caissedelapetitenation.com 3768925 titres. «Notre priorité était de produire le journal de façon locale, explique-t-il. C’est pourquoi nous effectuions le montage directement dans nos bureaux à Saint-André-Avellin.» Seule l’impression s’effectuait à Gatineau. Un délai de 36 heures était nécessaire entre le moment d’envoyer le journal et de le recevoir. Aujourd’hui, le même travail s’effectue en moins de 12 heures. La famille avait aussi conçu une chambre noire pour le développement des photos. «Pour ce faire, nous avions acheté une machine qui pesait 900 livres au coût de 20 000$», se souvient M. Lamarche. À l’époque, lorsque La Petite-Nation est devenue gratuite, les journaux étaient distribués directement par la poste. «J’avais engagé Pierre Massicotte, se remémore, M. Lamarche. Chaque semaine, il allait chercher les 8000 journaux à l’imprimerie. Ensuite, il faisait le tour des bureaux de poste. Ainsi, le lendemain, tout le monde recevait sa copie.» Serge Lamarche a quitté La Petite-Nation lorsque ses patrons lui ont demandé de s’occuper d’un autre journal : celui de Joliette. «Je ne pouvais pas refuser cette offre et comme cette ville est la capitale de la musique, ma femme Marthe y voyait aussi une occasion», explique-til. TV Gauthier Stéréo Plus toujours en évolution En 1977, son fils Gaétan a pris les rênes de l’entreprise. «J’aime bien le domaine de l’électronique, car c’est en constante évolution, il faut toujours se mettre à jour, suivre les tendances et relever de nouveaux défis», affirme-t-il. Au départ, le magasin comptait 450 pieds carrés. En 1987, Gaétan Gauthier agrandit et grimpe ce chiffre à 1200 pieds carrés afin d’ajouter des matelas Sealy et des électroménagers General Electric. «Il faut dire qu’à l’époque, tout prenait plus de place, raconte-t-il. Il suffit de penser aux grosses chaînes stéréos et les télévisions en bois.» Toujours en constante évolution, TV Gauthier s’associe à Stéréo Plus en 1996. «Grâce à cette franchise, nous sommes en mesure d’offrir une plus grande gamme de produits à des prix compétitifs », précise le propriétaire. Pour TV Gauthier, l’année 96 rimait aussi avec l’arrivée de l’informatique et des ordinateurs portatifs. «Nous étions la seule entreprise de la région à offrir un service en informatique complet à ce moment », mentionne M. Gauthier. En 2007, le comptoir de service Télébec s’installe au 169, rue Principale. TV Gauthier Stéréo Plus offre maintenant une panoplie de cellulaires, mais aussi un service de téléphonie et Internet pour le domicile. Actuellement, l’une des grande force de cette entreprise est la vente et l’installation, avec technicien sur place des produits de réception par satellite Shaw Direct et Bell Télé Évidemment, TV Gauthier Stéréo Plus offre toujours la vente et la réparation d’appareils électroniques, l’informatique, la vente et service de cellulaire en plus de la vente de matelas et d’électroménagers. TV Gauthier compte sur l’expertise de quatre employés pour bien répondre aux besoins de la clientèle. « Comme nous sommes une petite surface, nous pouvons offrir un service personnalisé à nos clients. Nous pouvons les guider dans leur démarche d’achat. Nos conseillers prêtent un attention particulière à leurs besoins et à leurs problèmes. De plus, nous offrons un service complet, soit la livraison, l’installation et le service après-vente sur tous nos produits », précise M. Gauthier. Un arrêt au 169, rue Principale surprend toujours. On y retrouve un vaste choix d’électroménagers et d’appareils électroniques. Une visite vous convaincra. Gauthier TV Stéréo Plus 169, rue Principale Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2133 3756387 T V Gauthier a vu le jour en 1964. Robert Gauthier réparait des télévisions dans son sous-sol tout en travaillant ailleurs. Puis, en 1970, il a décidé de s’établir à l’emplacement actuel au 169, rue Principale à Saint-André-Avellin. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 23 Déjà plus de 20 ans...et to Rossignol a fêté ses 20 ans en 2010. C’est impressionnant de constater l’évolution de cette entreprise. C’est par la force du travail et le leadership que les propriétaires Nancy Fontaine et Martin Rossignol ont réussi à faire grandir leur entreprise. extérieures. Inspiration et satisfaction garanties, voilà la vision des propriétaires. Le couple a lancé l’entreprise à Gatineau en 1990. Seulement onze années s’écoulent avant qu’ils acquièrent des terres agricoles à Saint-André-Avellin afin de favoriser l’intégration verticale de l’entreprise. Maintenant, Rossignol produit leur gazon, leurs arbres et arbustes. Ils sont conscients d’avoir une bonne équipe autour d’eux qui s’élève à plus de 40 employés en haute saison. L’entreprise possède également plusieurs camions et équipements pour satisfaire à la demande croissante de l’Outaouais. La mission de Rossignol est de rendre concrets les rêves et les projets d’aménagement paysager de leurs clients en leur procurant les meilleures idées, les meilleurs produits, les plus belles conceptions et réalisations En effet, chez Rossignol on trouve de tout pour l’extérieur et les services offerts sont nombreux et de qualité; conception de plans, et réalisation de : rocailles, patios, engazonnement, bassins d’eau, trottoirs, ainsi que la plantation de végétaux et la pose de pavés unis. Bref, un service clé en main qui comblera certainement les désirs de chacun et ce, en toute tranquillité d’esprit. Paysagiste certifié membre de l’Association des Paysagistes, Professionnels du Québec et membre de la bannière Maître Paysagiste, Rossignol met tout en œuvre pour que les plus hauts standards de qualité soient respectés à tous les niveaux. Rossignol possède également un centre jardin affilié à la bannière Passion Jardins. On y retrouve une quantité impressionnante de végétaux de qualité; annuelles, vivaces, arbres et arbustes, plantes aquatiques, Cahier 50 ans La Petite-Nation 24 - www.lapetitenation.com 453, Ste-Julie Est Saint-André-Avellin (QC) J0V 1W0 Téléphone : 819 983-4900 Télécopieur : 819 983-4850 oujours aussi passionnés! la chambre de Commerce Vallée de la PetiteNation. plantes comestibles, sans oublier ses articles de décoration tendances tous plus attrayants les uns que les autres. De tout pour embellir votre extérieur et rendre jaloux vos voisins. D’ailleurs, le centre jardin est ouvert sept jours sur sept à partir de la mi-avril jusqu’à la fin octobre toujours par souci d’offrir un service de qualité hors pair. 2007 : prix MÉRITAS de la bannière Passion Jardins 2008 : prix pour CATÉGORIE DE LA MATIÈRE AU NATUREL remis par l’Association des Paysagistes Professionnels du Québec. 2008 : Mérite Agricole, 2e en Outaouais et 4e au Québec 2011 : Prix MEILLEUR SERVICE À LA CLIENTÈLE de la bannière Maître Paysagiste «Nous sommes reconnus pour notre dynamisme et pour notre ambiance chaleureuse, affirment les propriétaires. Nous adorons côtoyer nos clients et être à leur écoute car leurs projets nous passionnent ». Ainsi, que nous réservera Rossignol pour les prochaines années ? À suivre… Félicitations à La Petite-Nation pour votre 50e En 20 ans, l’entreprise s’est démarquée à quelques occasions prix pour COMMERCE DE DÉTAIL (moins de 10 employés) au gala de la Chambre de commerce Vallée de la Petite-Nation. 2004 : prix pour ENTREPRISE DE PRODUCTION au gala de la Chambre de commerce Vallée de la Petite-Nation 2004 : prix pour COMMERCE DE DÉTAIL (plus de 10 employés) au gala de [email protected] www.paysagesrossignol.com 3765460 2003 : Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 25 Question de relations avec Jessy Laflamme [email protected] Pneus Daniel (Station Daniel): tout pour satisfaire D enis Sabourin ouvre une stationservice à Ripon en 1986. Dix ans plus tard, son frère Daniel prend la relève. «L’entreprise a vécu plusieurs agrandissements au cours des années», racontet-il. Daniel Sabourin a effectué tous ces changements pour répondre à la demande de ses clients. «Si on veut grossir, il est essentiel d’écouter sa clientèle», affirme-t-il. Maintenant, Pneus Daniel offre un service de vente et d’installation de pneus et de vidange d’huile. Elle est même membre Alliance Michelin. Pendant que les clients attendent après leurs voitures, ils peuvent déguster un café et un muffin dans une section aménagée dans le dépanneur. «Nous sommes le magasin général de Ripon, explique M. Sabourin. Ainsi, il est aussi possible de louer des vidéos, de se procurer du propane et de trouver des articles cadeaux. Le midi, on vend des sandwichs maison. Depuis peu, grâce à la demande des clients, on vend du pain chaud. Ma devise : si on ne l’a pas, on va l’avoir!» appelés à offrir un bon service à la clientèle. De son côté, Daniel Sabourin se sent comme un poisson dans l’eau dans son entreprise. «Servir un client et le revoir est un réel plaisir», exprime-t-il. Daniel Sabourin pense à quelques projets d’expansion pour son entreprise. Il est par contre encore trop tôt pour en parler. À suivre… Comme plusieurs touristes se retrouvent chez Pneus Daniel, les huit employés sont 92, chemin Montpellier Ripon (Québec) J0V 1V0 819 983-6472 3793153 Denis Sabourin Fondateur Les relations étaient au cœur des préoccupations de l’ancien conseiller publicitaire, Denis Legault qui a pris sa retraite en 2009. Ainsi, pendant 32 ans, il a tissé des liens de confiance avec ses clients, les intervenants du territoire et ses collègues. Le parcours de cet homme est assez spécial. M. Legault est arrivé dans la région avec peu de moyens. «Je me suis installé à l’âge de 30 ans dans la Petite-Nation avec presque rien puisque je venais de me séparer. J’avais par contre une tête enflée et je croyais à l’adage : mieux vaut être un roi dans un petit pays qu’un valet dans un grand», raconte-t-il. C’est dans cette optique qu’il organise un souper à l’hôtel Seigneurie afin de peut-être changer sa vie. «J’avais invité toutes les personnes importantes de la Petite-Nation, se souvient-il. J’avais dépensé une énorme somme alors que je n’avais pas un sou.» À la fin de la soirée, le jeune homme est découragé, sa vie reste la même. Ce n’est que plus tard que le téléphone sonne. «C’était Jacques Lamarche. Il recherchait un conseiller publicitaire pour remplacer Claude Chénier, raconte M. Legault. À l’époque, un conseiller publicitaire empochait 80$ de salaire de base plus 10% de commissions sur les ventes. De mon côté, j’ai dit à Jacques Lamarche de m’essayer pendant trois mois et qu’on renégocierait après. Finalement, j’ai obtenu 20% sur toutes les ventes…» Déjà, à ce moment, M. Legault adore rencontrer des gens qui ont des rêves. «Les entrepreneurs croient en quelque chose. C’est un privilège de les accompagner.» Il faut dire que pour Denis, le client était essentiel. «La compagnie me donnait l’occasion de travailler, mais mon réel patron était mon client, c’est lui qui me faisait vivre. Sans lui, il n’y aurait même pas de journal.» En travaillant 32 ans à La Petite-Nation, Denis Legault a vécu toutes sortes de situations. «Que ce soit les Publications Dumont, Cogeco ou Transcontinental, jamais je n’ai senti un manque de respect.» Élément surprenant quand on sait que Denis a déjà travaillé contre son propre employeur. «À une certaine époque, il était question de fusionner Le Bulletin et La Petite-Nation. Les patrons analysaient la situation. De mon côté, j’ai mis en place une pétition à Buckingham. Finalement, la fusion n’a jamais eu lieu. J’avais eu à ce moment la chance de m’exprimer clairement avec le responsable de cette décision, je me suis senti écouté et jamais ça ne m’a porté préjudice.» La même situation s’est reproduite des années plus tard. «Cette fois-ci, il était question de fusionner les locaux du Bulletin et de La Petite-Nation à Thurso. Nous avions écrit une lettre collective qu’on a envoyée chez Transcontinental. Nous trouvions important de préserver le journal, qu’il garde son identité.» Denis Legault regrette un peu l’époque des Lamarche justement pour la notion d’engagement. «Lorsque les Lamarche écrivaient des éditoriaux, je pouvais facilement dire aux gens, le journal est peut-être contesté, mais il est lu. Aujourd’hui, c’est différent. Quand les éditoriaux ont cessé, je savais que c’était un virement pour le journal. Un média a pour but d’informer, mais aussi de tisser un lien entre la population.» Denis Legault pense notamment au cahier Réalité devenir ou encore celui intitulé Chez nous d’abord mis en place avec la Chambre de commerce Vallée de la Ébénisterie Bianchi É Plus de quarante ans d’expérience à votre service. tabli dans la Petite Nation depuis maintenant 23 ans, René Bianchi, ébéniste artisan est un grand amoureux du bois. Il a entraîné dans son sillage ses deux fils, Sébastien et Benjamin qui, à eux deux cumule 35 ans d’expérience. Vous trouverez la salle de montre ainsi que l’atelier au centre de Chénéville. Le tout occupe une superficie de 15,000pieds carrés et on y compte onze employés. L’excellence du travail fourni par ces artisans fait en sorte que personne ne manque de travail. Ébenisterie Bianchi est un spécialiste de la personnalisation de meuble. Que ce soit pour un salon, une cuisine, une chambre à coucher, une salle de bain ou tout autre , ils créeront des meubles au style et au goût du client. Si vous n’avez pas de plan ou d’idée, René se fera un plaisir d’aller vous rencontrer et d’en discuter avec vous et ce, sans frais. Si vous avez des idées et ou des plans, qu’ils soient de votre cru ou de celui d’un designer, il vous préparera une soumission sans frais. Cahier 50 ans La Petite-Nation 26 - www.lapetitenation.com RUE0RINCIPALE#H£N£VILLE*6%s 3854463 Une visite vous entraînera dans le monde merveilleux du meuble fait sur mesure. Denis Legault Petite-Nation (CCVPN) pour vanter l’achat local. «C’était de belles façons pour le journal de s’impliquer dans la communauté et de créer des liens avec les organismes», affirme-t-il. Denis Legault a assuré la présidence de la CCVPN pendant six ans. Encore aujourd’hui, il est un homme engagé. Il siège à l’Association de chasseurs, pêcheurs, trappeurs et archers de la Petite-Nation (ACPTA) où il milite notamment contre la privatisation des cours d’eau. La décision de prendre sa retraite n’a pas été facile. «Ça été extrêmement difficile, je n’avais pas le goût d’arrêter, mais finalement ça va bien. Il faut dire que j’éprouvais de la difficulté à m’adapter à la nouvelle technologie…» Lorsque Denis Legault a commencé sa carrière, il a appris que la vente se déroulait de personne à personne. «J’avais lu dans un manuel que deux bedons égalent deux nombrils, qu’il fallait être en relation pour vendre. Ce qui n’est plus vraiment le cas aujourd’hui avec l’ère Internet.» En plus d’avoir travaillé au journal, Denis Legault a suivi une formation pour devenir thérapeute. «J’aime beaucoup aider les autres. Mon idole de jeunesse était le Père Ambroise, un missionnaire. J’ai essayé de pratiquer pendant quelques années avec des gens de l’extérieur de la Petite-Nation puis j’ai cessé.» Sa formation de thérapeute lui a permis de devenir un mentor pour ses collègues. Les employés se souviennent encore aujourd’hui de quelques paroles sages qu’il a pu échapper… Grâce à son cours, il s’est d’ailleurs rapproché de Marie-Andrée Bérard, employée du journal depuis 36 ans. «J’ai toujours dit que c’est mon âme sœur, car c’est la femme qui me connaît le plus. Elle sait tout sur moi puisqu’elle a tapé mes textes de thérapie, mes synthèses. Et 32 ans, c’est une relation plus longue qu’avec aucune autre femme.» Denis Legault a toujours avoué son besoin de reconnaissance. «J’ai été amplement satisfait à ce niveau. Il suffit de me remémorer mon départ, j’ai reçu tellement de reconnaissance et de messages. Je pense aussi au prix Ovation que j’ai reçu au sein de Transcontinental parmi 12 000 employés.» Selon Denis, la plus grande richesse de l’homme, ce sont les relations. «L’argent rend le malheur confortable, mais les relations véritables, c’est ce qui nous reste.» Compétences et expérience à la Clinique dentaire Bergeron-Payette-Rail T rente ans plus tôt, un bâtiment est érigé sur la rue St-Denis à Papineauville. Les initiateurs de ce projet, René Bergeron et François Payette, construisent leur clinique dentaire alors qu’ils n’ont même pas encore terminé leurs études. Ces deux jeunes étudiants voyaient grand et ils avaient raison, car en trente ans ils sont passés de deux associés et trois employés à trois associés et onze employés. «Natifs de Montréal, René Bergeron et moi voulions pratiquer notre métier pas trop loin de notre ville natale, raconte Dr Payette. Un an auparavant, un projet de clinique avait avorté à Papineauville. Nous avons repris l’idée et jamais nous n’avons regretté notre choix. Nous avons bénéficié d’une belle qualité de vie et d’une pratique généralisée.» M. Payette se souvient d’ailleurs de sa première patiente âgée alors de douze ans. «Certaines de nos premières clientes sont maintenant devenues des grands-mères. Le contact humain est important dans notre métier, c’est un privilège de côtoyer ainsi des générations.» Dre Marie-Ève Rail est arrivée dans l’équipe en 2002. Les trois dentistes gèrent plus de 3500 dossiers actifs. «La beauté de notre métier est de pouvoir améliorer la qualité de vie des gens en leur prodiguant le meilleur traitement possible et en nous adaptant à leurs besoins», souligne M. Payette. Clinique dentaire Bergeron-Payette-Rail 190, rue St-Denis, bureau 201 Papineauville (Québec) J0V 1R0 819 427-6202 3760433 Le contact humain a poussé Denis Legault à travailler à La PetiteNation pendant 32 ans. Félicitations 50 ans c’est un beau bout de chemin de parcouru Serge et son équipe s’unissent pour féliciter La Petite-Nation pour ses 50 ans. Ils souhaitent à l’hebdomadaire de la région encore une longue vie. Comptoir Sears 819 427-1114 3817580 367, rue Papineau, Papineauville Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 27 Paul Gauthier Le légendaire Boutique Lambert : Paul Gauthier la ville à la campagne L a boutique Lambert existe depuis 1967. Au cours des années, elle a subi plusieurs changements. À sa création, elle se basait sur la fourrure, le remodelage et les services connexes à la fourrure. Jessy Laflamme [email protected] En 1991, Nathalie Lambert rachète l’entreprise pour lui faire subir une cure de rajeunissement. Dès lors, du prêt-à-porter pour dames et jeunes dames y est inauguré. Des produits tels que manteaux, vêtements et accessoires modes y sont présentés. Depuis, la vente de chaussure s’est ajoutée à ses cordes. Nathalie et Magali sont toujours à l’affut de nouveaux produits d’origine canadienne et abordables qui sauront plaire à la clientèle. 538, rue Notre-Dame, Montebello (Québec) J0V 1L0 L L’ACPTA veille sur les lacs ’Association des chasseurs, pêcheurs, trappeurs et archers de la PetiteNation (ACPTA) travaille au bien-être récréotouristique et économique de la région par le biais de l’ensemencement de rivières et de lacs accessibles au public et de l’aménagement de ruisseaux, de rivières et de lacs en collaboration avec les ressources du milieu. Concrètement, l’ACPTA a ensemencé 371 615 truites dans plusieurs lacs accessibles à tous. Cet organisme sans but lucratif veille aussi à l’amélioration de la qualité des cheptels de chasse et à la promotion de la protection de la faune, de la flore et de l’environnement. «Amateurs de plein air, de pêche, si nous désirons conserver pour nous et pour nos enfants le privilège d’avoir accès à des plans d’eau, lacs et rivières, nous devons être présents et à l’écoute des tendances et des mouvements engendrés par différents groupes ayant des visions différentes des nôtres», mentionne le président de l’ACPTA, Serge Pilon. L’association organise différentes activités sociales et sportives de chasse et pêche, dont son traditionnel souper de doré qui a attiré 500 personnes en 2010 et des cours de maniements d’armes à feu. Cahier 50 ans La Petite-Nation 28 - www.lapetitenation.com Texte complet de Claude Lamarche disponible sur le site www.despagesetdespages.com. 3756242 Afin de récompenser sa clientèle fidèle, la Boutique Lambert vous offre maintenant une carte privilège. Ce sysÀ la Boutique Lambert, le but est de re- tème permet aux clientes d’accumuler joindre une clientèle variée en offrant des points-rabais. des produits mode qui se démarquent L’équipe vous invite à suivre l’évolution des grandes boutiques urbaines. des collections et des promotions en Vous y trouverez des collections boutique via leur page Facebook. différentes et flamboyantes que vous pourrez vous procurer dans les tailles Nathalie et son équipe se feront un de 2 à 18 ans. Des nouveautés vous y plaisir de vous accueillir. Saisissez l’occasion, venez découvrir! attendent à chaque mois. Pour ce faire, l’ACPTA a créé plusieurs collaborations avec différents partenaires, dont le comité de loisirs de Montpellier, la municipalité de Duhamel, la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) et les résidants de Duhamel. Dans le cadre du projet du Plan de développement intégré de la rivière Petite-Nation (PDI), l’ACPTA analyse les possibilités d’implication et d’ensemencement de la rivière. L’association croit que la rivière Petite-Nation peut avoir un impact important sur le taux d’appréciation de la pêche dans la région, et ceci, tant pour les résidants de toutes les municipalités que les villégiateurs et les touristes. L’ACPTA recherche activement des membres prêts à prendre en main différents dossiers : ensemencement, accès aux lacs et cours d’eau, amélioration des accès existants, activités d’autofinancement, signalisation, carte routière pour pêcheurs, création d’un site Internet, formation, aménagements fauniques, membership, gestion de cheptels de chasse, etc. «L’ACPTA a non seulement survécu au temps, elle a acquis une reconnaissance des amateurs de plein air, de la population en général et par des instances supérieures, souligne M. Pilon. Il est important de continuer en ce sens.» Comme vous pouvez voir, ce ne sont pas les projets qui manquent pour cette association fondée en 1992 qui a maintenant le vent dans les voiles. Devenez membre de l’ACPTA au coût de 15$. Votre adhésion est un encouragement et un témoignage stimulant aux actions et aux démarches réalisées par l’association. ACPTA 264, rue Bissonnette Papineauville (Québec) J0V 1R0 819 983-4358 Petite-Nation 3756237 Nathalie et son équipe vous offrent une expertise de styliste designer et un service des plus personnalisé, qui saura vous charmer. Leurs petites attentions font de votre séance de magasinage un moment de détente. Que dire de Paul Gauthier! Même s’il était reconnu principalement pour ses escapades dans les hôtels de la Petite-Nation, jamais l’équipe du journal n’a attendu après lui. «Il était toujours à temps dans ses textes. Il pouvait écrire le journal pendant toute la nuit et disparaître ensuite plusieurs jours, mais nous n’avons jamais retardé la publication à cause de ses absences», se rappelle l’une de ses anciennes collègues, Marie-Andrée Bérard. De son côté, son ancien collègue Denis Legault se souvient de la tendance de Paul Gauthier à fumer. «Il en produisait de la boucane, c’était terrible.» Selon M. Legault, Paul était un bon vivant très généreux. «Il donnait toujours plus qu’il recevait, sa parole était sacrée et il était très bon pour synthétiser dans ses textes.» En fait, l’ancien conseiller publicitaire se rappelle avoir assisté à une rencontre avec Paul Gauthier à la Maclaren. «Je le voyais prendre des notes dans son petit calepin et lorsque nous sommes sortis, j’avais des doutes concernant son article, et finalement je l’avais mal jugé. Je m’en veux encore d’ailleurs. Il avait très bien rédigé son texte.» Lors de son décès le 29 avril 2002, son ancienne collègue, Claude Lamarche lui a rendu hommage en publiant un texte sur Internet. Voici ce court écrit qui en dit beaucoup. Je suis de celles qui croient qu’on vient sur terre pour faire l’expérience de la vie. J’ai travaillé avec Paul Gauthier pendant de nombreuses années au journal La Petite-Nation. Il arrivait très tôt le matin et il écrivait. Abondamment, facilement. Nous produisions un hebdomadaire, il aurait pu remplir un quotidien. Ça lui brisait le cœur de devoir choisir les textes à publier. Pour réussir à en faire paraître le plus possible, il a développé un talent inouï du condensé. Il avait l’amour et le respect des mots. C’est par écrit qu’il parlait le mieux. Paul Gauthier a quitté La Petite-Nation à une certaine époque pour LeDroit. Même s’il ne travaillait plus à La Petite-Nation, il n’avait pas oublié ses racines. Il collaborait quelquefois à des cahiers spéciaux, dont celui sur l’agriculture. Comme il devait donner l’exclusivité au journal LeDroit, il changeait tout simplement sa signature… Un parcours à l’envers pour Colette Duhaime [email protected] Après avoir interviewé Jacques Brel, Nana Mouskouri et Marc Carbonneau, un membre de la Fédération de libération du Québec (FLQ), Colette Duhaime s’est retrouvée journaliste à La Petite-Nation. «Une de mes amies m’a déjà dit que je terminerais ma carrière comme rédactrice en chef du journal des Cercles de fermières», raconte-t-elle. Il faut dire que Colette Duhaime a effectué un parcours assez particulier comme journaliste. Elle a commencé sa carrière à La Patrie, un journal à diffusion provinciale. «Je voulais ardemment devenir journaliste, alors à chaque trois semaines, je téléphonais au responsable du personnel, Yves Michaud. Finalement, il m’a embauché comme commis aux horaires de la télévision, jusqu’au jour où il m’a envoyée couvrir Émile Genest lors de l’Exposition universelle. Je tremblais des pieds à la tête, car c’était une grosse vedette», se souvientelle. Après ce test, Mme Duhaime devient officiellement journaliste. Ensuite, elle se retrouve quelques années plus tard au Journal de Montréal pour une période de quatre ans. Elle rencontre, dans la même période, son futur mari qui travaille à Ottawa. Ainsi, Mme Duhaime tente d’obtenir un emploi au journal LeDroit, mais malheureusement son anglais n’est pas assez fort. Elle déménage quand même dans la Capitale nationale. Débrouillarde, elle décroche un poste au Service canadien de la faune. «J’étais en train de mourir comme fonctionnaire, se remémore-telle. J’étais habituée d’écrire entre deux à trois papiers par jour et là je rédigeais un communiqué de presse aux trois semaines.» Grâce à cet emploi, Mme Duhaime a publié un article dans le magazine Actualité. «On m’avait envoyé à Ungava pour la migration des caribous. Mon article est resté six mois sur la glace au Service canadien de la faune. Je me suis tannée et me suis tournée vers l’Actualité…» Comme le métier de journaliste lui manque, Mme Duhaime tente de nouveau sa chance au journal LeDroit, un essai qui porte fruit. C’est quelques années plus tard soit vers la fin des années 1970 que Colette Duhaime travaille à La Petite-Nation. «Mon mari et moi voulions nous établir en campagne. Alors, quand j’ai entendu parler d’un emploi dans la Petite-Nation, j’ai sauté sur l’occasion», explique-t-elle. L’ancienne journaliste se rappelle de plusieurs cahiers sur lesquels elle a travaillé : un économique et un sur le tourisme. Mme Duhaime a couvert le Sommet économique de Montebello en 1981. «J’avais réussi à prendre des photos des pâtisseries grâce à un employé et à obtenir le petit livre rouge de la GRC. Quand j’ai sorti ces nouvelles, j’entendais les autres journalistes se demander comment j’avais réussi à obtenir des informations. C’était normal puisque je connaissais bien mon territoire.» Par la suite, Mme Duhaime décide de travailler à la pige. À un certain moment, elle voit des chèvres dans un endroit. Elle tombe en amour. «Mon mari et moi en avions acheté deux puis, elles ont eu des bébés. Rapidement, nous nous sommes retrouvés avec 25 chèvres. Comme ça commençait à coûter cher, nous nous sommes renseignés et nous avons décidé de produire des fromages.» Vers la fin des années 1980, Mme Duhaime ouvre les portes de la Biquetterie, son commerce situé au bord de la route 315. Entreprise qu’elle ferme en 2009 tout juste après son second mariage. «Mon premier mari est décédé en 2003, raconte-t-elle. J’ai tenu la fromagerie à bout de bras pendant six ans, mais je n’en pouvais plus. De plus, j’ai rencontré un autre homme. On s’est marié, puis une semaine après, je fermais mon entreprise.» Aujourd’hui, Mme Duhaime a laissé l’écriture de côté pour faire place à la peinture et au bricolage. Elle voyage beaucoup et caresse même le projet de traverser l’Atlantique. Colette Duhaime a déjà écrit dans La Petite-Nation. La CCVPN Se regrouper pour mieux se développer! C Les deux principales activités de la CCVPN sont : la Classique de Golf annuelle, tenue habituellement en mai, et le Gala Reconnaissance, plus tard en octobre. Ces deux évènements sont des incontournables pour tous ceux qui désirent se faire connaître davantage dans le milieu des affaires de leur terriPar l’organisation d’activités de réseau- toire, tisser des liens étroits et créer une tage, la CCVPN offre l’opportunité à synergie importante avec leurs pairs. ses quelques 200 membres de briser l’isolement et créer des liens d’affaires La Classique de Golf de 2011 se tiendra entre eux. Avec l’éclatement des mar- le 13 mai prochain, la même journée chés, demeurer compétitif est primor- que l’assemblée générale annuelle. dial en affaires de nos jours. De concert avec ses partenaires annuels, la Vous pouvez joindre votre Chambre Chambre de commerce organise des de commerce au 819 427-8450 ou à sessions de formations selon les besoins l’adresse suivante : [email protected] actuels de ses membres. La CCVPN, la Chambre de commerce ontribuer au développement économique de ses membres et de son territoire, par l’exercice de son leadership ainsi que son pouvoir de représentation et d’action », telle est la mission de la Chambre de commerce Vallée de la Petite-Nation (CCVPN). « de chez vous, pour vous ! Félicitations au journal La Petite-Nation pour ses 50 ans à œuvrer dans notre communauté et son implication significative! Partenaires officiels 3853456 Jessy Laflamme Action Aide Loisir Papineau Sport, loisirs, activités culturelles et de plein-air, danse, café-rencontres, sorties, voyages, cuisines collectives, éducation, répit-dépannage Historique Au début des années 1970, un groupe de parents voulait offrir des services et des activités de jour à leur enfant, devenu adulte et ayant un handicap. Le mouvement prit forme et c’est en 1977 que l’on fonde l’Association pour les Personnes Handicapées de la Petite-Nation (APHPN). L’année 1984 s’avère la pierre angulaire dans l’évolution des services puisqu’un organisateur communautaire sera embauché par le C.L.S.C.. Sa tâche est d’étudier et de prioriser certains dossiers tels qu’un centre de jour, des services de réadaptation et de maintien à domicile, en collaboration avec le Pavillon du Parc, La RessourSe et autres partenaires. Le droit à l’éducation et le transport adapté font aussi partie des dossiers prioritaires. L’Association négocie également le bail avec le Centre d’accueil Petite-Nation dans le but d’aménager dans un local permanent appelé « l’Atelier Petite Boutique ». Par la suite sont nés, grâce aux demarches soutenues de l’APHPN, l’Atelier de formation Socio-Professionnelle Petite-Nation en 1987 et le service de transport adapté en 1988. Graduellement, la demande de service se diversifie. En 2004, l’Association déménage sur la rue Rossy, avec l’organisme qui lui est tributaire, l’AFSPN, afin de mieux répondre à la demande. En 2008, dans le souci de cerner davantage sa mission, l’Association devient Action Aide Loisir Papineau et fait l’acquisition, en 2010, d’un immeuble adapté à ses besoins. Il est situé au 1165, route 321 nord à Saint-André-Avellin. Cette acquisition permettra d’apporter un changement positif et significatif dans la vie de plusieurs personnes handicapées de la MRC Papineau. Grâce à ce déménagement, Action Aide Loisir Papineau accueille, depuis le 14 mars dernier, le centre de jour du Pavillon du Parc dans ses nouveaux locaux et renforce ainsi son partenariat avec des ressources essentielles du milieu. Aujourd’hui, en plus d’offrir une panoplie d’activités et de loisirs à sa clientèle habituelle, l’organisme, fort de ses 34 années d’expérience, offrira, dès juin prochain, un service de répit dépannage aux proches aidants des aînés, 50 ans et plus, présentant des limitations fonctionnelles permanentes et persistantes. Perspectives Notre approche s’inscrit dans un contexte d’amélioration continue de l’accès et de la qualité des services en contribuant significativement au mieux-être des personnes de notre communauté. Outre le fait que la Petite-Nation détient le plus grand nombre de personnes handicapées du Québec, notre démarche se fait également dans un contexte où le vieillissement rapide de la population (près de 22 %) devient une priorité au regard des services requis. Elle se veut novatrice, innovatrice et concertée et, nous nous le souhaitons, en mouvance continue. 1165, Route 321 nord, St-André-Avellin, QC, J0V 1W0 Tél. : (819)983-2648 Télec. : (819)983-1469 Courriel : [email protected] 3780501 A ction Aide Loisir Papineau est un organisme sans but lucratif fondé en 1977. Il a pour mission d’offrir des services et des activités de loisirs aux personnes vivant avec des limitations fonctionnelles permanentes et persistantes et demeurant sur le territoire de la MRC Papineau. Son rôle consiste aussi à sensibiliser la population aux différents handicaps que vivent ces personnes et d’aider et d’accompagner ces gens et leurs proches aidants dans la défense de leurs droits. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 29 Un demi-siècle au coeur de sa communauté Clément Riopel gaz propane Un service clés en main D epuis onze ans, Clément Riopel offre à ses clients un service de haute qualité, fiable et complet. En fait, le chauffage au gaz, résidentiel ou commercial, c’est son affaire. Vente, service, réparation en passant par l’installation et le remplissage de propane, rien ne lui échappe. En fait, ce qui fait la différence chez Clément Riopel gaz propane, c’est justement ça, nous dit-il: «le service. Nous faisons quasiment tout de A à Z. La vente, l’installation, le branchement et le service après vente.» Personne ne se relance la balle pour vous donner le service auquel vous avez droit. Ici, vendeur, installateur et réparateur ne font qu’un. Pour le suivi, c’est plus facile. les gros vendeurs, mais il y a toujours moyen de commander l’article de votre choix en le choisissant sur Internet. Depuis un an, Clément Riopel propane vend aussi des revêtements intérieurs et extérieurs en pierres ou en brique Arthek, un produit québécois fait à Montréal. 300, rte 315 Montpellier (Québec) J0V 1M0 819 428-3134 3854665 Clément Riopel Gaz propane et ses quatre employés sont prêts En ce qui concerne les cui- à vous recevoir! sinières, les poêles, les barbecues, les réchauds et autres appareils du genre, il ne tient que Clément Riopel Gaz Propane L’information locale et régionale occupe encore plus que jamais une place importante dans le paysage médiatique où règne l’omniprésence du Web. Or, ce 50e anniversaire du journal La Petite-Nation témoigne sans contredit d’un véhicule d’information et publicitaire qui non seulement s’est solidement enraciné dans son milieu mais aussi représente un hebdomadaire bien contemporain et rempli de promesses pour des années à venir. Tous les artisans qui ont défilé ces cinq dernières décennies et l’équipe actuelle du journal ont fait de La Petite-Nation un fidèle et précieux témoin du quotidien de cette communauté et un complice efficace des gens d’affaires locaux. Distribué gratuitement semaine après semaine dans chacun des foyers, La Petite-Nation offre un contenu unique en soi, des nouvelles de proximité qui ont un rayonnement extraordinaire grâce au prolongement qu’offre le site Internet rattaché à ce journal. Alors que les quotidiens vendus affichent un recul de leur tirage et de leur lectorat, la presse hebdomadaire montre une excellente santé. À preuve, un récent sondage de Léger Marketing révèle que 80 % des Québécois estiment qu’un hebdomadaire est un rouage important dans une démocratie. Voilà un résultat très représentatif de l’intérêt et de l’attachement d’une communauté à la nouvelle locale, à la vie sociale et économique de son milieu comme l’offre si bien La Petite-Nation depuis maintenant 50 ans. Encore une fois, bravo à tous ces artisans qui y ont contribué, y contribuent et s’ajouteront au fil des ans ! Serge Lemieux Vice-président Groupe des journaux, Québec et Ontario Transcontinental Médias Serge Lemieux À votre service depuis 1957 C arrière et Poirier Equipment Ltée est au service de sa clientèle depuis 1957 à Alfred en Ontario. L’entreprise, fondée par le grand-père René Carrière sous la bannière Massey Ferguson, se spécialise dans la vente de tracteurs depuis ses débuts. Tâche ardue au départ puisqu’il devait convaincre les agriculteurs d’utiliser de l’équipement plus industrialisé et productif. En 1966, sa fille Monique et son futur gendre André Poirier se joignent à l’entreprise pour former une équipe qui remporte plusieurs prix dont le meilleur volume de vente en Ontario pour la marque Massey Ferguson. La crise du baril de pétrole aux États-Unis et la baisse de demande d’équipement agricole dans la région oblige l’entreprise à trouver une nouvelle ligne de produit. C’est ainsi que la marque Kubota fait son entrée chez Carrière et Poirier Equipment Ltée. Les tracteurs compacts à 4 roues motrices répondaient à la demande des consommateurs résidentiels qui rêvaient de posséder des petits tracteurs afin de réaliser divers travaux sur leur propriété. Depuis ce temps. Michel (fils) s’est joint à l’entreprise. La compagnie est devenue un des plus grands détaillants des produits Kubota au Canada. Avec une gamme complète (tondeuse, tracteur, excavatrice…), ils ont plus de 100 unités Kubota en inventaire. Ils sont également détaillant des tondeuses commerciales et résidentielles Exmark depuis 1991. Ils ont remporté multiples reconnaissances avec Exmark dont le plus gros détaillant au Canada. Ils ont plus de 40 unités en inventaire. Cahier 50 ans La Petite-Nation 30 - www.lapetitenation.com Carrière et Poirier Équipement Ltée Ils sont depuis 2010 détaillant de la marque Terex. Si vous cherchez chargeur sur roues ou sur chenilles, pépine (backhoe) ou chargeur articulé, ils ont plus de 25 unités en inventaire. Ils ont également gagné le prix du plus gros détaillant compacte Terex en Amérique du nord à leur première année de vente! Du jamais vu chez Terex. Avec une équipe de 18 employés et un service de réparation routier, André et Michel peuvent répondre à la plupart de vos besoins. Vous voulez voir de l’équipement, vous serez surpris! Une visite vaut le détour! 5024, county Road 17, Alfred (Ontario) K0B 1A0 1-888-414-2630 www.carrierepoirier.com 3837636 En 1983, André devient l’unique propriétaire de la compagnie René Carrière Compagny Ltd. Le nom change alors pour Carrière et Poirier Equipment Ltée. Quelques années plus tard, à cause de la diminution continuelle du nombre d’agriculteurs, André décide de délaisser la ligne Massey Ferguson pour se concentrer sur la ligne de produits Kubota. Hommage aux artisans de La Petite-Nation! Musée des Pionniers Félicitations n à La Petite-Natio Au cours de ses 50 ans, notre “petit“ journal a publié de nombreuses histoires à propos de personnes, d’événements, de réussites, de succès, d’implications, de tragédies et encore plus. e Merci et bon 50 ! 20 rue Bourgeois, Saint-André-Avellin 819 983-1491 3773790 En mon nom personnel et au nom de la direction du groupe Transcontinental, je désire rendre hommage aux artisans de La Petite-Nation qui célèbrent leur 50e anniversaire de publication. Nos employés sont à pied d’œuvre, semaine après semaine depuis plus d’un demi siècle, afin de vous offrir le meilleur média d’information local possible. Nous sommes également très reconnaissants envers nos fidèles lecteurs et annonceurs qui rendent possible cette belle aventure: c’est tout à votre honneur et nous vous en sommes très reconnaissants. Au fil des ans, La Petite-Nation a su s’adapter aux nouvelles réalités des marchés du monde de l’information. Lorsque l’on regarde le succès que connaît le portail de nouvelles associé à La Petite-Nation, www.lapetitenation.com, cela confirme nos choix du passé. Transcontinental en Outaouais représente une force économique incroyable qui génère de nombreux emplois pour la ville de Gatineau et la région de la Petite-Nation. La Petite-Nation est également imprimée localement à l’imprimerie Qualimax et distribuée par Publi Sac, deux autres fleurons de Transcontinental. Longue vie à La Petite-Nation! Marc-Noël Ouellette Vice-président principal/Senior Vice President Groupe des solutions aux communautés locales/Local Solutions Group Médias Transcontinental S.E.N.C./Transcontinental Media G.P. Marc-Noël Ouellette Le Centre nautique Lac Simon fête ses 30 ans L ’entreprise familiale Centre nautique Lac Simon souligne ses 30 ans cette année. Cette entreprise est concessionnaire de marques prestigieuses telles que les embarcations Princecraft, munies des moteurs Mercury, ainsi que la gamme des moteurs hors-bord et VTT Yamaha. Le Centre nautique Lac Simon offre aussi de l’entreposage intérieur et extérieur pour les bateaux et effectue de la location d’embarcations et de moteurs hors-bord notamment à la marina du Lac Simon. Elle vend également de l’essence directement sur le lac Simon. Même avec ses modifications, l’édifice reste trop petit. Quelques projets pourraient voir le jour puisque le Centre nautique Lac Simon possède un autre bâtiment à l’entrée du village qui sert présentement à l’entreposage. «Chose certaine, nous aimerions revamper la devanture du magasin, pour le reste, nous analysons différentes possibilités», précise Serge Hamelin du Centre nautique Lac Simon. Le service personnalisé est la marque de commerce de l’entreprise. «Avec les années, les clients deviennent des amis et on commence même à servir la deuxième génération, affirme M. Hamelin. Le contact avec les gens est ce qui nous pousse à continuer à toujours offrir le meilleur service.» Le Centre nautique Lac Simon est un endroit à découvrir, il suffit de pousser la porte pour s’en rendre compte! Pour tout amateur de plein air c’est le rêve devenu réalité. 111, rue Principale Chénéville (Québec) J0V 1E0 819 428-3097 www.centrenautiquelacsimon.com 3823165 Au cours des ans, cette entreprise située au 111, rue Principale à Chénéville a subi plusieurs changements. Le bâtiment a été agrandi afin de pouvoir aménager une salle de montre contenant pontons, bateaux et quelques VTT. Il est aussi possible de se procurer des accessoires pour bateaux, des tubes et des skis nautiques directement au magasin. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 31 Un courant familial à Duhamel Félicitations pour vos 50 ans d’implication en tant qu’entreprise dans la région de la Petite-Nation ! Vous avez ouvert la voie au développement de la région, une région que nous pouvons être fiers de développer ! Le CLD Papineau, acteur principal du développement socioéconomique de la MRC de Papineau peut vous aider à réaliser vos rêves ! Nous vous invitons à soumettre votre projet ! Cahier 50 ans La Petite-Nation 32 - www.lapetitenation.com Le développement passe par ici ! 266, rue Viger, Papineauville (Québec) J0V 1R0 Tél. : 819 427-6243 www.papineau.ca «Même s’il a grandi à Montréal, il déteste la ville. Il a décidé de me suivre ici et m’a demandé de l’aider à démarrer une entreprise en électricité, raconte M. Houle. Duhamel Électrique a donc vu le jour en 2006.» Présentement, Duhamel Électrique compte trois employés sur le terrain et un dans le bureau. «Si la demande continue de croître, nous engagerons sans problème.» Avant de s’installer dans la région, le père de famille était propriétaire de Génératec à Montréal, une entreprise de confection de génératrices qui avait pour principal client Bell Canada. Duhamel Électrique travaille dans le résidentiel, l’industriel et le commercial. L’entreprise installe aussi des génératrices et des systèmes d’alarme et de surveillance. Le père et le fils rendent des maisons intelligentes grâce à la domotique. Les systèmes de contrôle en domotique permettent la gestion d’une quantité d’activités dans la maison dont l’éclairage, le chauffage, le système de surveillance, les stores motorisés, les équipements audio vidéo, tout cela, à partir de contrôle d’ordinateur. Possédant une accréditation Hydro-Québec et une nacelle, Duhamel Électrique peut faire l’entretien des lumières de rue. Voici quelques réalisations de Duhamel Électrique : la bibliothèque municipale de Chénéville, la garderie Minizamis de Chénéville et le pavillon de la Société d’établissement de plein air du Québec (SEPAQ). M. Houle n’éprouve aucun regret quant à sa décision de s’installer à Duhamel. «On y retrouve une qualité de vie et une tranquillité. Je suis bien ici, le stress n’est pas présent. Je ne sais pas si je serais encore de ce monde si j’étais resté à Le service à la clientèle distingue Duhamel Montréal…» électrique. «Je réponds toujours au téléphone 4776, chemin Lac Gagnon Ouest Duhamel Électrique inc. Duhamel (Québec) J0V 1G0 Téléphone : 819 428-2212 Télécopieur : 819 428-1988 [email protected] 3756246 149 Principale, Saint-André-Avellin 819 983-1166 www.rodeostandreavellin.org D et nous donnons un service 24 heures sur 24. C’est important pour nous. Également, quand nous prenons un rendez-vous, les gens peuvent se fier sur notre parole. C’est certain que nous serons présents et à l’heure.» Félicitations à notre fleuron régional, le journal La Petite-Nation ! C’est grâce à la création du journal « La Vallée de la Petite-Nation en 1961 » que l’encre s’est mise à couler sur le territoire de la MRC de Papineau ; Le journal qui couvre la région de la Petite-Nation auquel s’est ajouté au fil des ans le Bulletin couvrant la région de La Lièvre a permis à la MRC de Papineau de faire connaître tous ses services pour que la population puisse en bénéficier et ce, depuis 1983. Depuis ce jour, nous avons une identité régionale en Outaouais ! Merci au journal La Petite-Nation ! 266, rue Viger, Papineauville (Québec) J0V 1R0 Tél. : 819 427-6243 www.papineau.ca 3784476 année, en font la clé de son succès et provoque la croissance de son développement. Le Festival Western Saint-AndréAvellin rodéo professionnel est maintenant l’évènement country incontournable de l’Outaouais. À ce titre, le Festival espère contribuer à maximiser les retombées économiques et touristiques de la municipalité de SaintAndré-Avellin avant tout, pour les étendre simultanément à la MRC Papineau et l’ensemble de la région de l’Outaouais. Certes, un tel évènement ne se réalise qu’à la condition de pouvoir compter sur l’implication et le travail passionné d’un grand nombre d’hommes et de femmes de la communauté. Il faut le souligner et surtout les remercier. 3777089 L es membres du conseil d’administration du Festival Western Saint-André-Avellin offrent leurs félicitations au journal La Petite-Nation à l’occasion de son 50e anniversaire. La portée d’un média a une très grande importance dans la vie et le rayonnement de la communauté. Bravo à tous les artisans pour ce fabuleux travail! Pour sa part, le Festival Western Saint-André-Avellin rodéo professionnel a su se tailler une place au sein de la belle région de la Petite-Nation depuis maintenant onze ans. Organisme à but non lucratif, le Festival a pour mission de produire des rodéos professionnels et amateurs ainsi que d’offrir des activités culturelles pour tous les goûts et tous les âges. La qualité de son organisation et des spectacles présentés, à chaque enis Houle pensait s’établir à Duhamel pour prendre sa retraite. Son fils, Nicolas Houle, a complètement changé ses plans en décidant lui aussi de venir s’établir dans la Petite-Nation. Deux étages d’Exode THURSO,VILLE D’AVENIR Les membres du conseil municipal, au nom des citoyennes et citoyens de la ville de Thurso, se joignent à l’équipe de la revue, ainsi qu’à ses nombreux bâtisseurs, pour fêter ce L ors de son dernier passage au Théâtre des Quatre Sœurs, Peter McLeod a commencé son spectacle en révélant une vérité… «J’ai acheté mes jeans pour ce soir chez Exode. Vous êtes vraiment chanceux de posséder un tel magasin, c’est encore mieux qu’en ville», avait-il affirmé. 50E ANNIVERSAIRE DE FONDATION DE LA REVUE LA PETITE-NATION Il avait raison. Les citoyens de la PetiteNation sont privilégiés de compter sur la espadrilles ou des « gougounes » Etnies, présence d’une telle boutique. Skechers ou DVS. Depuis peu, le propriétaire, Patrick Fleury, tient un inventaire junior pour habiller les préadolescents. Des bijoux, ceintures et des portes-feuilles sauront agrémenter tout look. Nous tenons à souligner le niveau de professionnalisme du personnel, ainsi que la présence exemplaire du journal quant à son implication dans notre communauté au fil de toutes ces années. Évidemment, les dernières tendances sont toujours disponibles dans cette boutique. «Présentement, on reçoit du nouvel inventaire toutes les deux semaines», souligne M. Fleury. Le premier étage met en vedette des vêtements populaires pour tous les genres et les styles. Guess, Parasuco, Point Zéro, Kärv ne sont que quelques exemples des marques de vêtements qu’on retrouve dans la première section du magasin. À cela s’ajoute des souliers Noblez et Skechers. Pour ce qui est des prix, M. Fleury est prêt à offrir 10% à quiconque trouvera un article de même marque à prix plus bas dans une autre boutique. De plus, nos prix sont comparables ou moins élevés qu’ailleurs, de quoi satisfaire différents budgets. Au sous-sol, les adolescents seront com- Finalement, l’unique but de M. Fleury blés avec les marques Bench, Billabong et c’est la satisfaction du client. O’Neil. Ils peuvent aussi se procurer des 3791866 VILLE DE THURSO 3849977 162 B, rue Principale Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 www.boutiqueexode.com Le Centre d’alignement St-André ouvre toujours ses portes e client peut toujours aller dans le garage vérifier ce que nous sommes en train de faire, explique le propriétaire de Centre d’alignement St-André, Sylvain Bertrand. Nous n’avons rien à cacher. On prend toujours le temps d’expliquer les changements à effectuer et nous ne procédons jamais sans avoir reçu l’autorisation préalable du client.» «L Sylvain Bertrand a ouvert son entreprise le 1er novembre 2004. «Après avoir gravi tous les échelons au niveau des pneus pendant 22 ans, j’ai décidé d’ouvrir mon propre garage.» On peut ainsi affirmer sans se tromper que M. Bertrand possède une expérience complète dans ce domaine. Présentement, ce garage se spécialise dans l’alignement, les pneus et le traitement antirouille. Pour répondre à la demande, M. Bertrand a embauché le mécanicien Robert Gratton. Un troisième employé pourrait travailler au Centre d’alignement St-André puisque M. Bertrand désire offrir le service de traitement antirouille mobile aux municipalités. «Ainsi, nous sommes en mesure de traiter les camions d’incendie ou les charrues», précise M. Bertrand. Les municipalités de Lachute et de Grenville-sur-la-Rouge ont déjà fait appel à l’entrepreneur pour ce service. clients. «Pour nous l’honnêteté c’est important, indique M. Bertrand. On travaille toujours avec des estimés et on montre les pièces à changer aux propriétaires du véhicule. Bref, la porte du garage est toujours grande ouverte.» 1, rue St-François-Xavier Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 Téléphone : 819 983-4333 Télécopieur : 819 983-4332 3825667 Le Centre d’alignement St-André affiche la bannière Tech Net de Car Quest qui propose une garantie au niveau des pièces et de la main-d’œuvre aux Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 33 Des petites abeilles Chaque semaine l’équipe de La Petite-Nation butine afin d’offrir aux lecteurs et aux annonceurs non pas du miel, mais un journal de qualité. Qui se cache derrière La Petite-Nation ? reconnaissante envers Sylvie et Marie-Andrée qui m’aident quotidiennement à bien accomplir mon travail.» Jessy Laflamme Jessy Laflamme travaille maintenant à La Petite-Nation depuis cinq ans. Passionnée par l’écriture et sa région natale, elle désirait ardemment travailler pour ce journal. Selon Jessy, le rôle du journal est avant tout d’être la voix, les oreilles et les yeux des citoyens. Marie-Andrée Bérard Marie-Andrée Bérard connaît le journal comme le fond de sa poche. Après 36 ans d’emploi, on peut vraiment dire qu’elle a La Petite-Nation tatouée sur le cœur. En effet, Marie-Andrée a commencé sa carrière en 1975. Elle a commencé comme secrétaire. Ensuite, elle s’occupait de la typographie. Elle a connu l’évolution du montage au journal. Maintenant, Marie-Andrée occupe le poste de coordonnatrice aux ventes. Encore aujourd’hui, elle possède le feu sacré. «Je suis toujours enthousiaste de travailler avec l’équipe du journal afin d’en apprendre encore plus pour guider nos annonceurs et lecteurs», affirme-t-elle. Elle a déjà gagné le prix employée de l’année au sein de Transcontinental. Selon elle, le rôle de La Petite-Nation est de permettre à chaque résidant de la région d’obtenir de l’information locale et profiter des produits offerts chez les annonceurs. François Lemery François Lemery s’est joint à l’équipe de La Petite-Nation en 1985 à la suite de la fusion de deux rivaux : La Petite-Nation et La Revue de Papineau. Il a donc commencé dans le domaine de la vente de publicité en 1983. François ne peut oublier tous ceux et celles qui, au cours des années, ont fait partie de l’équipe du journal. «Il y a bien entendu, mon ancien complice, Denis Legault et mes patrons Michel St-Louis, Serge Lamarche et Michel Blais. Je n’oublie pas les journalistes Paul Gauthier, Stéphanie Verner et Yan Proulx et les gens de l’atelier, Claude Lamarche, Louise Falstrault, Louis-Dominique Lamarche et Myriam Moreau. Je me souviens aussi de Denise Verner, Julie Martel, Gisèle Barbeau et tous les autres dont le nom m’échappe», affirme François. Selon ce conseiller publicitaire, le rôle du journal a toujours été le même, soit être le miroir des communautés de notre belle région. «La Petite-Nation fait le lien entre elles pour que la région continue de grandir et de prendre de plus en plus de place dans le cœur des gens.» Nathalie Gauthier Nathalie Gauthier travaille à La Petite-Nation depuis 15 ans. Elle a été embauchée par son ami Denis Legault. «Il m’a reçu dans son salon pour une entrevue, et au bout de quelques questions et discussions, je lui ai tout simplement dit : arrête de chercher, c’est moi qu’il te faut!», se souvient Nathalie. Le lundi suivant, elle mettait les pieds au journal. «Je suis toujours heureuse d’y être, affirme-t-elle. J’aime la créativité que le travail de conseillère publicitaire m’apporte. J’adore aussi le contact avec les gens, j’essaie de les aider du mieux que je peux dans l’évolution de leurs entreprises.» Nathalie a chaussé les souliers de Denis Legault lors de son départ. Elle est ainsi passée de coordonnatrice aux ventes à conseillère publicitaire. «Il a travaillé fort pour acquérir sa clientèle. Je me sentais bien petite face à ce nouveau défi, mais avec tous les bons conseils qu’il m’a donnés et qu’il me donne encore aujourd’hui, je m’efforce toujours de donner un service de qualité.» Nathalie apprécie beaucoup l’équipe de La Petite-Nation. «Je suis très Éric Lafleur Éric Lafleur occupe le poste d’éditeur de la Petite-Nation et du Bulletin depuis deux ans. «Même si je ne fais que débuter, j’essaie d’apporter de nouvelles idées dans le but de continuer la belle tradition de ce journal», affirme-t-il. Lors des deux dernières années, il a passé beaucoup de temps à échanger avec le dernier pilier du journal, Denis Legault. «Ça reste mon meilleur souvenir», précise-t-il. Sylvie Major Sylvie Major est préposée à l’entrée de données depuis deux ans. Pour Sylvie, il est encourageant de constater que le pourcentage de lecture du journal est très élevé et qu’il est attendu chaque semaine par les gens de la communauté. Le premier journal auquel a participé Sylvie reste un bon souvenir. «Dès lors, j’ai constaté tous les efforts déployés par les employés des différents secteurs pour en assurer son succès, raconte-t-elle. L’effervescence ressentie m’a ramené au temps où j’ai œuvré en radiodiffusion; ce n’est pas le même médium, mais le type d’énergie qui y converge vers l’heure de tombée est semblable.» Selon cette employée, le journal est outil privilégié de rapprochement. «Notre journal, c’est le pouls de notre communauté, un moyen indispensable pour faire connaître ses gens, ses activités, sa culture et ses entreprises», soulignet-elle. Michèle Marchand Michèle Marchand remplace Jessy Laflamme pour une période de neuf mois. Les mots la passionnent depuis sa tendre enfance et elle écrit depuis qu’elle a 12 ans. Elle a été rédactrice en chef de Ciel Variable magazine de photographies et textes, documentaliste pour Avataq le centre culturel inuit à Montréal puis durant six ans rédactriceréviseure pour Clin d’œil magazine de mode et beauté. À la pige depuis de longues années, elle a écrit dans toutes sortes de magazines québécois, santé, beauté, mode, horticulture, etc. Sylvie Major, François Lemery, Éric Lafleur, Marie-Andrée Bérard, Nathalie Gauthier, Jessy Laflamme et Michèle Marchand. (Crédit photo : Aline Carrière) Le Garage Jean-Claude Whissell est là pour rester L e 31 mars dernier, le Garage Jean-Claude Whissell fêtait ses 17 ans d’existence. L’an dernier, les propriétaires, Jean-Claude Whissell et Robert Louis-Seize, ont agrandi leur bâtiment situé au 195, rue Principale à Saint-André-Avellin afin d’y aménager une nouvelle porte de garage et une salle d’attente. Les entrepreneurs qui ont commencé avec deux bais de service en compte maintenant cinq. «Nous avons investi pour répondre à la demande et satisfaire davantage notre clientèle», indiquent-ils. Une des particularités de ce garage, outre le service personnalisé, est la stabilité des mécaniciens. «Trois de nos employés sont avec nous depuis plus de 10 ans, mentionnent les propriétaires. Si on ajoute nos années de service, on compte près de 125 ans expériences à cinq mécaniciens.» Le Garage Jean-Claude Whissell se spécialise dans plusieurs domaines, dont les radiateurs. «Nous sommes les seuls dans la Petite-Nation à pouvoir fabriquer des radiateurs sur mesure.» Le garage offre aussi l’entreposage de pneus et le gonflage à l’azote et possède l’équipement nécessaire pour entretenir et réparer le système d’air climatisé. Les propriétaires ont aussi investi dans une nouvelle machine qui permet de changer l’huile pour les transmissions de voitures importées et nord-américaines. Ils ont également les chartes électriques qui permettent de donner des diagnostics précis. Les mécaniciens possèdent donc l’équipement à la fine pointe de la technologie pour offrir le meilleur service possible. D’ailleurs, en plus de prioriser le service à la clientèle, les propriétaires misent sur l’honnêteté. «Avant d’entreprendre des travaux sur un véhicule, on appelle toujours le client pour lui donner une estimation. Le client a toujours le dernier mot puisque c’est sa voiture. On ne veut pas le voir ici une seule fois, on veut le garder pour longtemps», affirment les deux propriétaires. Cahier 50 ans La Petite-Nation 34 - www.lapetitenation.com De plus, récemment, le garage a changé de fournisseur leur donnant maintenant accès la journée même au plus vaste inventaire de pièces automobiles de la région. Le garage Jean-Claude Whissell affiche la bannière Unipro élite. Il est d’ailleurs en nomination pour le garage Unipro de l’année du Québec. Grâce à Unipro, les mécaniciens peuvent suivre une formation trimestrielle avec Uni Select afin de se tenir à jour. Ce garage de Saint-André-Avellin a aussi développé un marché pour la clientèle anglophone. «Plusieurs touristes viennent ici, car ils peuvent être servis dans leur langue», indique M. Whissell. Les deux propriétaires ont toujours quelques idées en tête pour développer leur entreprise. Ils veulent rafraîchir l’affichage sur leur bâtiment. D’autres projets pourraient aussi voir le jour dans quelques années. À suivre… En attendant, il est toujours possible de donner vos suggestions à Jean-Claude ou à Robert. «On s’adapte à notre clientèle. Nous avons maintenant quatre véhicules de courtoisie pour répondre à la demande des clients, nous voulons toujours combler leurs besoins.» 195, rue Principale, Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-1447 [email protected] 3756376 Le fils de Jean-Claude Whissell, Jean-François, s’est joint à l’équipe au printemps puisqu’il vient tout juste de terminer avec succès son cours de mécanique à Papineauville. L’histoire se poursuit au Garage André Parisien Sésame, ouvre-toi! T «Tout souriant dans sa face rubiconde, éclatante de franchise Diane Parisie et d’espoir, André Parisien acn cueille ses nombreux visiteurs», peut-on lire lors dans La Petite-Nation de mai 1981 lors de l’inauguration du Garage André Parisien. n André Parisie L’auteur de cet article écrivait aussi qu’il faut plus que de l’expérience pour se lancer en affaires, il faut de l’initiative, de l’entregent, du courage et un sens quotidien de l’effort. Ceux et celles qui connaissent et apprécient les qualités de cet enfant de la vallée savent qu’André Parisien n’en manque pas. Avec un inventaire de 2 millions$, on peut affirmer sans se tromper que l’article de 1981 est toujours actuel. «Notre marque de commerce est notre service à la clientèle. Nous avons toujours voulu répondre au besoin de la population en général », affirme M. Parisien. On retrouve au Garage André Parisien une vingtaine de tracteurs neufs et plusieurs pièces. En effet, l’entreprise embauche 10 mécaniciens. «Nous offrons de la machinerie pour toutes les sortes de culture, soya, maïs, érablière, et aussi pour les villégiateurs», précise M. Parisien. Bronzage, pose d’ongles, perçage corporel et fleuriste sont des services que Ninon Gagné et Robert Roy offrent dans leur entreprise de Chénéville. Ils ont même déjà proposé un petit coin («sex shop»). De plus, à partir du mois de mai, Place 76 recevra plusieurs collections de bijoux prêtes à embellir toutes les femmes. Christophe Poly, bijoux Zinzi, bijoux Elle, SteelX et Citizen sont des marques qui sauront plaire à tous. De plus, l’accueil chaleureux des propriétaires vous incitera à revenir les rencontrer plusieurs fois... PLACE 76 3783681 Du savon à vaisselle jusqu’au verre Riedel… B Serveuse au Café du Bistrot, elle en jase avec Patrick et il craque pour l’idée, l’endosse et s’y implique. Autre affinité entre les deux, Sophie, qui a étudié en gestion hôtelière à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec s’intéresse elle aussi aux vins. Le concept inclut donc un autre volet: «Patrick fait la palette de vins que les clients n’ont qu’à aller acheter en succursales», explique- t-elle. «Bistrot, ça veut dire marchand de vin, explique Patrick. On propose un menu et une palette de vins, on fait de la cuisine gastronomique mais comme à la maison, on fait le service et on apporte tout, de la vaisselle au savon en passant par les chaudrons jusqu’aux verres Riedel, un verre spécial, plus mince, en cristal.» «Ce qu’on veut, c’est faire de la belle cuisine. On fait beaucoup de cocktails dinatoires, on organise des mariages Bistrot Le Trotteur, c’est en fait le jusqu’à 150 personnes. On fait aussi des petit frère, ou faut-il dire la petite sœur, méchouis, des soirées, des réunions», du Café du Bistrot. À la barre, Patrick complète Sophie. Leblanc, propriétaire du Café du Bistrot, bien sûr, mais aussi Sophie Bisson «On veut que les gens parlent de nous. Dambremont: «J’ai Ça rend l’entreprise encore plus vivante», toujours eu ça dans de conclure Patrick. Quand on sait que l’idée, déclare-t-elle, tout ça ne marche que par le bouche à mais je ne l’aurais pas oreille depuis le début, on peut dire que parti toute seule.» oui, les gens en parlent, et en bien. 198, Principale, Saint-André-Avellin www.bistrotletrotteur.com 819 983-1343 3857278 Bistrot le Trotteur Traiteur à domicile 76, rue Principale Chénéville (Québec) J0V 1E0 819 428-1700 La SADC de Papineau, votre partenaire en développement économique depuis plus de 25 ans ! Bistrot Le Trotteur istrot Le Trotteur, un traiteur pas comme les autres, c’est comme avoir un chef à domicile. De l’élaboration du menu en passant par la vaisselle et les suggestions de vin… Ils fournissent tout et font tout. Vous recevez chez vous, tel un seigneur d’antan. Fleuriste Art Floral Nynon L a Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) de Papineau appuie le développement économique de la collectivité grâce à une variété d’outils financiers et techniques, mais se traduit à l’essentiel par la création d’emplois et le soutien à l’entreprenariat. Depuis 1985 La SADC de Papineau a, grâce à son Fonds d’investissement SADC, investi près de 18.5 millions de dollars qui ont permis au cours des 25 dernières années la réalisation de projets d’une valeur globale de près de 60 millions $. Au total, le Fonds a permis la création de 805 emplois ainsi que le maintient de 1707 autres. Depuis 1998 Pour sa part, le programme Stratégie jeunesse a permis un investissement de 1 685 201 $ dans la collectivité, permettant ainsi la réalisation de projets d’une valeur totalisant plus de 8 457 087 $ en région et la création ou le maintien de 411 emplois sur le territoire. variées et innovantes qui occupent une place importante dans le travail de l’équipe de la SADC auprès des entrepreneurs et de la collectivité de la Petite-Nation. Par son appui et ses interventions sur son territoire, la SADC de Papineau contribue ainsi au maintien de la population tout en permettant à celle-ci une plus grande liberté économique. La SADC de Papineau tient à féliciter le journal La Petite-Nation pour son 50e anniversaire ! La détermination, la persévérance et la passion des équipes passées ainsi que de l’équipe actuelle permettent, depuis 50 ans, d’offrir à la population une couverture ces évènements et des enjeux qui marquent le territoire chaque jour. Depuis ses débuts La SADC s’implique également en développement local dans de nombreux Développement économique Canada projets mis sur pied sur l’ensemble du appuie financièrement la SADC de territoire de Papineau. Les interventions Papineau. WWW.SADCPAPINEAU.CA 819-986-1747 | 1-888-986-SADC 3859272 440, St-Joseph ouest Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2016 www.garageandreparisien.com Ninon et Robert Il faut absolument visiter cet endroit, y découvrir les parfums de fleurs, le confort des salles de bronzage et le bien-être de la pose d’ongles. Le couple est confiant pour l’avenir. «L’entreprise poursuivra sa lancée avec notamment notre fils Richard», souligne-t-il. Garage André Parisien inc. out comme la caverne d’Ali baba, la Place 76 à Chénéville offre une panoplie de trésors. 3854691 A ndré et Diane Parisien accueillent leurs clients depuis 32 ans à l’entreprise familiale située dans le rang St-Joseph-Ouest à SaintAndré-Avellin. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 35 La revue de La Petite-Nation… Stéphanie Verner Le Garage Jean-Claude Major inc. à la hauteur de sa réputation J ean-Claude Major est devenu propriétaire de son garage à Montebello en 1965. Un premier agrandissement devient nécessaire en 1979. À partir de l’âge de 12 ans, son fils, Paul, apprend les rouages du métier. La priorité pour le père et le fils : le service à la clientèle. En 1989, le fils prend les rênes de l’entreprise. Encore aujourd’hui, c’est un plaisir pour Paul Major de se rendre au travail. «J’aime le contact avec la clientèle et la résolution de problèmes. C’est une fierté et une satisfaction de pouvoir aider.» C’est pourquoi mes trois employés et moi suivons constamment de la formation.» Ce garage se démarque surtout pour l’alignement de véhicules. Depuis 1984, le Garage Jean-Claude Major inc. affiche la bannière Unipro, une façon pour l’entreprise de donner La réputation est très importante pour notamment de la garantie prolongée M. Major surtout en ce qui a trait à à la clientèle. En 1992, Paul Major a l’honnêteté. «La clientèle nous perçoit ajouté un lave-auto à son commerce. comme des mécaniciens honnêtes, ce que nous sommes et je tiens à ce que Ce garage possède aussi un côté ça reste… On essaie toujours d’être le vert. «On effectue de la récupération meilleur possible. De plus, possédons d’absorbant de plancher, d’huile, de de l’équipement à la fine pointe de la plastique, etc. Comme je suis conscient des dégâts que ça peut causer, technologie.» je tente de faire attention», explique Selon l’entrepreneur, la mécanique M. Major. a beaucoup évolué au cours des années. «On parle davantage aujourd’hui En 2007, le garagiste a investi près de 35 000$ pour décontaminer son terrain de technique. par souci d’environnement. Jean-Claude Major Inc. 725, rue Notre-Dame Montebello (QC) J0V 1L0 819 423-6979 3756250 GARAGE Quand j’ai reçu la demande de l’actuelle journaliste de La Petite-Nation, Jessy Laflamme, j’ai eu deux réactions : la première en a été une de fierté, d’y avoir travaillé bien sûr! Ma deuxième réaction en a été une d’étonnement : 50 ans, juste ca? Il me semble que le journal fait partie du paysage de la région depuis toujours! Mais en même temps, je réalise que 50 ans c’est tout un exploit, surtout quand on tient compte de tous les changements qui modifient sans cesse le monde des médias. Bien sûr, on m’a demandé de vous parler des évènements et des dossiers qui ont marqué mon passage à titre de journaliste au sein de l’équipe de La PetiteNation. J’aurais très bien pu vous parler du virage technologique qu’a pris le journal avec l’arrivée de lapetitenation.com et d’Info07. Ou encore de comment l’informatisation du journal a considérablement changé notre travail. Parce que croyez-le ou non, à mes débuts au journal, je développais moi-même les photos dans une chambre noire improvisée dans la salle de bain et on collait littéralement les textes et les publicités sur de grandes feuilles que l’on envoyait ensuite par messager chez l’imprimeur! Aujourd’hui, tout est informatisé : les textes sont écrits à l’ordinateur puis transférés à l’atelier de production qui s’occupe de la mise en page et qui à son tour transfert le produit virtuel final à l’imprimerie. Mais après mûre réflexion, j’ai plutôt décidé de parler de ce que je retiens vraiment de mes années à La PetiteNation : les gens qui se dévouent chaque semaine pour vous offrir un produit de qualité que même les plus gros hebdos ne peuvent envier! Par où ou plutôt par qui commencer? Allons-y avec le vrai patron du journal, la maman de l’équipe : MarieAndrée Bérard. Véritable pionnière du journal, Marie- Andrée aurait certainement beaucoup plus de choses à vous raconter que moi sur l’histoire de La Petite-Nation. Toujours souriante et patiente, Marie-Andrée est toujours prête à partager ses connaissances et donner un coup de main aux autres membres de l’équipe. Grâce à elle, j’ai eu la chance d’apprendre l’aspect plus « technique » de mon métier. Et qui ne connait pas François Lemery? Pas besoin de présentation pour ce «vieux de la vieille» qui s’affaire chaque semaine à représenter le mieux possible les commerçants du coin. Toujours de bonne humeur, Francois est véritablement à l’écoute de ses clients et de ses collègues. De François, j’ai appris à garder mon calme et le sourire en toutes circonstances! Appréciée de tous pour son entrain, Nathalie Gauthier rejoindra bientôt le club sélect des «anciens» du journal! Il faut croire qu’une fois qu’on a la chance de travailler avec une équipe si exceptionnelle, il devient impossible de la quitter. Au contact de Nathalie, j’ai compris l’importance d’aimer vraiment ce que je fais et de toujours y prendre plaisir. Impossible de parler de La Petite-Nation sans penser à Denis Legault. Tout comme pour mon ancien collègue Yan Proulx, Denis a été le premier à me donner « ma » chance. J’ai eu le privilège de collaborer et d’apprendre de lui. Il m’a appris à toujours voir l’aspect positif des choses, et ce même dans les situations les plus négatives. Que dire de l’ancien éditeur, Michel Blais? Que de divergences d’opinons et de discussions nous avons eues! Michel a été le premier patron que j’ai osé contredire voire même confronter… Même s’il ne le croira sûrement pas, il a été un très bon patron. Toujours à l’écoute et disponible pour ses employés, Michel a su faire ressortir le meilleur en nous. Un grand pas pour Hawkesbury Honda H awkesbury Honda a récemment changé le cours de son histoire en déménageant dans un bâtiment flambant neuf à Hawkesbury. Fier membre du groupe Gagné, qui compte six concessions dans la région, Hawkesbury Honda offre maintenant un service d’entretien unique permettant aux automobilistes d’entrer dans le garage à l’aide de porte automatique. De plus, Hawkesbury Honda n’offre que les meilleurs véhicules neufs et véhicules d’occasion. Au total, on retrouve près d’une centaine d’automobiles neuves en stock, dont la Honda Civic, la voiture la plus vendue au Canada, et ce, depuis les 13 dernières années. Hawkesbury Honda tient aussi en magasin une trentaine de véhicules d’occasion. Ce concessionnaire fait des affaires depuis 1988 afin d’offrir à ses clients dans la région de Grenville et de Hawkesbury une expérience d’achat hors du commun. Vingt-deux employés travaillent d’arrachepied pour satisfaire la clientèle. Que vous soyez étudiant, travailleur professionnel, amateur de plein air ou que vous cherchiez un véhicule pour des moments en famille inoubliables, les conseillers d’Hawkesbury Honda prendront le temps de vous guider afin de trouver le modèle Honda qui convient à tous vos besoins. Grâce à une atmosphère amicale, un service de vente personnalisé et sans pression et des prix imbattables, Hawkesbury Honda vous fait gagner gros! Cahier 50 ans La Petite-Nation 36 - www.lapetitenation.com Hawkesbury Honda Nord-Sud Honda à Saint-Jérôme Toyota Lachute Honda Lachute Kia Grenville Toyota Sainte-Agathe 455, County Road 17, Hawkesbury (Ontario) K6A 2R2 Téléphone : 1 866 974-0318 www.hawkesburyhonda.ca 3783686 Le groupe Gagné c’est 50 ans déjà! Stéphanie Verner Ancienne publicité Groupe Yves Gagnon synonyme d’expansion À titre indicatif seulement D La dernière addition du Groupe Yves Gagnon est l’usine de fabrication de fermes de toit, Structure JB à Saint-André-Avellin. « C’est un complément à notre entreprise, notre but étant de toujours donner un meilleur service à nos clients », affirme Geneviève. Et elle ajoute : « Ce ne sont pas les projets qui Du départ avec le magasin général à manquent pour cette acquisition, nous Chénéville, le Groupe Yves Gagnon voulons moderniser l’équipement et compte aujourd’hui 4 centres de rénova- lancer de nouvelles productions ». tion situés à Chénéville, Mont-Tremblant, Saint-Jean-sur-Richelieu et Saint-André- Elle en profite pour souligner le travail des Avellin. C’est d’ailleurs à cet endroit que 250 personnes travaillant pour le Groupe le Groupe a choisi d’investir 4 millions$ Yves Gagnon. « Nous pouvons croître et pour construire le 1er BMR de la nou- évoluer grâce au soutien de notre fidèle velle génération au Québec. « Ce sera clientèle et l’apport de nos employés », du jamais vu et nous sommes fiers que ce termine Geneviève Gagnon. projet prenne forme dans notre patelin! » affirme la directrice générale du Groupe, Félicitations à l’équipe de Geneviève Gagnon. La construction La Petite-Nation pour débutera au printemps et se terminera à votre implication dans le l’automne. Les services seront toujours développement de la région. maintenus et le magasin sera ouvert 7/7 jours. epuis ses débuts en 1942, Groupe Yves Gagnon ne cesse d’évoluer! À travers les années, les générations se sont succédées pour former aujourd’hui une entreprise rayonnant bien au-delà des frontières de la PetiteNation. 3845307 Je garderai également toujours une place très spéciale dans mon cœur pour mon ancien collègue, Paul Gauthier. Malgré ses airs de journaliste bourru, Paul a été un véritable mentor et ami. Passionné de son métier, il était surtout fier de pouvoir, à sa manière, aider notre belle région, ses gens et ses organismes à se faire connaitre. De lui, je retiens donc toute la fierté et le sentiment d’appartenance à ma région natale. Alors voilà ce que je retiens de mon passage au journal La Petite-Nation. Un excellent 50e anniversaire à tous ceux et celles qui ont contribué de près ou de loin au succès du journal. Et à vous chers lecteurs, merci d’être au rendez-vous à chaque semaine…en espérant que vous continuerez d’y être pour un autre 50 ans! Bonne fête à tous! Groupe Yves Gagnon Chénéville 888 428-3903 Mont-Tremblant 800 850-7662 Saint-André-Avellin 819 983-2449 Saint-Jean-sur-Richelieu 450 359-1311 Un service personnalisé avec Nadine Lavictoire Cette courtière offre le service pour l’achat. «Je peux aider les acheteurs à combler leurs désirs. Je peux effectuer des visites avec eux même si la propriété qui les intéresse ne fait pas partie de ma liste et même si la propriété est mise en vente par un autre courtier ou même par une autre bannière. Je suis là avant tout pour les guider et bien les conseiller. L’important c’est la satisfaction des clients. De cette façon, cette courtière assure un suivi rapide à ses clients ainsi qu’une plus grande disponibilité. «C’est important pour moi de développer un lien de confiance», précise-t-elle. Toujours dans un souci d’offrir un bon service, elle se garde à jour en suivant plusieurs formations. Cette courtière de Montebello est passionnée par son métier. «C’est un privilège de pouvoir partager le plus gros achat d’une vie avec les gens, c’est toujours une étape importante l’acquisition d’une nouvelle résidence.» Elle se trouve également chanceuse de travailler dans sa région natale. «J’habite à Montebello depuis 30 ans, je n’ai jamais bougé et je n’ai pas l’intention de le faire non plus. C’est un avantage, car je connais le territoire de fond en comble.» L’absence de routine et la possibilité de rencontrer des personnes différentes poussent Nadine Lavictoire à poursuivre son travail. L’immobilier c’est ma PASSION. re/max vision (1990) inc. Évaluation complète, mise en marché et taux compétitifs sont des avantages qu’elle propose aux vendeurs. En plus de s’occuper de résidences familiales, la courtière peut se charger des multilogements et guider les villégiateurs pour le choix de leur deuxième résidence. Elle étend également son marché jusqu’à Masson et Buckingham afin de satisfaire sa clientèle à la recherche de propriétés situées près de la ville. Nadine Lavictoire travaille comme courtière immobilière depuis 2006 auprès de la bannière Remax. «Comme c’est une bannière internationale, elle possède une bonne visibilité et le site le plus visité au Québec. De plus, il existe de bons échanges entre les courtiers.» Nadine Lavictoire c’est l’efficacité, la ponctualité et un suivi rapide. NADINE LAVICTOIRE Bureau : 819 986-3011 Cellulaire : 819 775-5859 [email protected] 3768912 J e ne veux pas travailler avec une liste de 60 résidences, j’aime mieux m’occuper d’une douzaine de propriétés et être en mesure d’offrir un meilleur service», affirme d’entrée de jeu la courtière immobilière, Nadine Lavictoire. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 37 Sous les charmes de la Yan Proulx Au plaisir de continuer à vieillir ensemble, en SANTÉ! Avec un service personnalisé, courtois et une livraison à domicile sans frais, nous sommes présents et à votre écoute dans les bons comme dans les moins bons moments. Notre nouveau laboratoire permet un meilleur service, avec espace confidentiel et bureau de consultation afin de répondre à vos besoins. 156, rue Galipeau, Thurso 819 985-2252 3830587 Hotte, Prud’homme et Carbonneau, Pharmaciens Lorsque Jessy Laflamme m’a approché pour raconter mes cinq années comme journaliste à La Petite-Nation, j’aurais pu vous rappeler les grands dossiers locaux. Toutefois, ce n’est pas nécessairement la fusion des établissements de santé avec ceux de la Lièvre, l’ouverture du Théâtre des Quatre Sœurs ou encore l’annonce pour de bon du parachèvement de l’autoroute 50 qui me reviennent en tête de mes années comme journaliste. J’ai donc décidé de vous raconter l’histoire d’un ti-cul de 19 ans qui est véritablement tombé sous les charmes d’une région… Il y a de ces rencontres qui changent le parcours d’une vie à 360 degrés. Celle avec Michel Blais, éditeur du Bulletin et de La Petite-Nation, un 31 octobre 2000, est certainement une des plus importantes de ma vie et ce, autant sur le plan personnel que professionnel. Jeune père de famille à 19 ans, j’étais extrêmement nerveux à la veille de cet entretien d’embauche avec Michel. Gagnant ma croûte derrière un bureau et une caisse enregistreuse en tant qu’assistant-gérant d’un Ultramar à Gatineau, je rêvais d’avoir la chance de faire mes preuves en journalisme. Après quelques minutes d’entretien avec Michel, mon entrevue la plus facile à vie en passant, Michel m’annonce que je serai son prochain journaliste pour son hebdomadaire de la….Petite-Nation. «Petite quoi», cette phrase résonnait dans ma tête de Gatinois n’ayant aucune espèce d’idée où se trouvait cette région pourtant à 30 minutes seulement de ma ville natale. Vint le moment de partir à la recherche d’un appartement dans cette région que je n’allais pas tarder à découvrir. Parce que pour moi, il n’était pas question que je sois les yeux et les oreilles de cette région sans y avoir mon pied à terre. Fassett, voilà ma première destination alors que je déniche une maison à louer dont le loyer équivaut à un 3 et demi à Gatineau. Toute ma vie, je vais avoir en mémoire ma première visite à Saint-André-Avellin. Arrivant de Papineauville par la route 321, je me suis rendu près du CLSC de la Petite-Nation en croyant réellement que c’était la fin de la rue Principale. Heureusement pour le gars urbain que j’étais, j’ai finalement découvert qu’il fallait tourner à droite pour découvrir le centre de cette superbe municipalité avec la Banque nationale, la Caisse et le Metro. Dès mon entrée dans les bureaux de La PetiteNation, je me suis senti chez moi grâce en grande partie à l’accueil chaleureux de mes futurs collègues de travail. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour remercier sincèrement Denis Legault, Marie-Andrée Bérard, François Lemery, Nathalie Gauthier, Julie Martel et Myriam Moreau qui m’ont immédiatement accepté, ce qui a fait en sorte de faciliter grandement mon adaptation. D’ailleurs, de 2000 à 2006, j’ai apprécié côtoyer ce petit groupe de collègues. Chaque semaine, nous donnions tout ce que nous avions pour informer la population en faisant paraître ce journal au meilleur taux de lecture pour un hebdomadaire au Québec. Je n’ai jamais caché que grandir auprès de collègues exceptionnels comme Denis et Marie-Andrée ont fait de moi un meilleur journaliste, mais aussi une meilleure personne. Voilà deux grands professionnels qui auront toujours une place de choix dans mon cœur. Après cinq ans à parcourir les municipalités de la Petite-Nation à la recherche de nouvelles, j’ai finalement décidé de tirer ma révérence pour de nouveaux défis en ventes au Bulletin de la Lièvre. Il faut VOTRE VISION EST IMPORTANTE : PIERRE PELLETIER Y VOIT “La vision est le sens dont on se sert le plus. Il faut s’assurer d’en prendre soin” souligne l’optométriste Pierre Pelletier. Ce professionnel de l’optique opère un bureau à Saint-André-Avellin depuis 1993. “Je possédais déjà une Clinique à Gatineau et une à Maniwaki. J’ai décidé de me départir de celle de Maniwaki pour me rapprocher de Gatineau. Saint-André-Avellin, situé à seulement 45 minutes de chez moi était une belle opportunité. “ Depuis 5 ans, le Dr Pelletier compte sur l’aide d’une autre optométriste, Marie-Josée Deschamps . Le bureau est ouvert cinq jours par semaine. Les examens se déroulent les mardis et les jeudis. “J’aime cet aspect de ma pratique qui fait que mes journées sont toujours différentes. Un jour je travaille à Gatineau avec mes 6 employés, le lendemain je suis à Saint-André-Avellin avec mes autres assistantes. “ L’optométrie est un domaine de la santé passionnant et varié. Dans un même examen le Dr Pelletier doit évaluer la vision de son patient, mais aussi et bien sûr sa santé oculaire. La recherche de cataracte, de glaucome, de dégénérescence occupe une partie essentielle et critique de l’examen. Ensuite les assistantes Sandy et Johanne s’assurent que le patient soit confortable avec sa nouvelle monture et qu’elle lui fait comme...un gant! L’optométriste Pierre Pelletier est fier de travailler dans la Petite-Nation. “ Les gens apprécient d’avoir accès à des services et des produits haut de gamme à prix compétitif près de chez eux.” Cahier 50 ans La Petite-Nation Sur la photo : Joanne Mc Namara, Pierre Pelletier et Sandy Sabourin 38 - www.lapetitenation.com Absente de la photo : Dre Marie-Josée Deschamps 122-2 rue Principale Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-1475 819 669-2019 3816927 Votre vision pour l’optométriste, c’est important! Petite-Nation dire que la relève me poussait assez fort dans le derrière pour que je laisse ma place. Une jeune femme de la région, Jessy Laflamme, caressait le rêve depuis quelques années de s’asseoir à son tour dans cette chaise unique occupée par les Serge Lamarche, Paul Gauthier et Stéphanie Verner avant moi. Je ne regretterai jamais mon départ de La Petite-Nation et la raison est simple. Ce changement de carrière m’a permis de découvrir Jessy, la femme qui partage ma vie depuis cinq ans. Je suis tombé carrément sous les charmes de celle qui a pris ma relève et j’ai pu, lors des dernières années, grâce à ses yeux et à ses oreilles, avoir l’impression de poursuivre ma carrière de journaliste. Une petite Zoé viendra bientôt grossir les rangs de la famille Proulx et on ne sait jamais, elle prendra peut-être la relève de ses parents un jour… Je souhaite longue vie à La Petite-Nation en espérant que des gens bien implantés de ce coin de pays continueront, malgré cette ère de convergence, à tenir Yan Proulx. (Crédit photo : Jessy Laflamme) à bout de bras ce journal si important. La population de cette belle région mérite un journal local avec des artisans locaux. Toutes nos félicitations e pour ce 50 anniversaire! De toute l’équipe de 3756373 45, Ancienne publicité Pneus Séguin offre autre chose que des pneus L uc Guévremont est propriétaire de Pneus Séguin à Saint-AndréAvellin depuis trois ans. La mécanique a toujours été une passion pour lui. Il travaillait chez Pneus Séguin à Gatineau lorsque l’occasion d’acheter l’entreprise de Saint-André-Avellin, existante depuis près d’une dizaine d’années, s’est présentée. «Comme je pratique la mécanique chez moi depuis plusieurs années et que j’en faisais maintenant à temps plein, j’ai décidé d’aller de l’avant», raconte M. Guévremont. Contrairement à la croyance populaire, on ne s’occupe pas que des pneus chez Pneus Séguin. «J’ai investi près de 100 000$ pour acheter une machine d’alignement. J’ai aussi acheté plusieurs outils et une soudeuse pour faire de l’entretien mécanique : freins, lumière, batterie, suspension. Bref, tout ce qui ne touche pas le moteur.» Évidemment, Pneus Séguin reste l’endroit idéal pour toute question de pneus. «On offre toutes les marques de pneus et on effectue de la pose et de la réparation. On s’occupe aussi de l’entreposage», précise Luc. de Saint-André-Avellin Le propriétaire précise par contre qu’il est impossible d’obtenir des bons pneus à prix abordables. «C’est une question de qualité, expliquet-il. Pour obtenir de bons pneus, il faut payer le prix. C’est une question de choix, c’est au client de décider ce qu’il désire réellement.» L’entreprise mise beaucoup sur le service à la clientèle. «On ne retrouve jamais de problèmes ici. Un client peut toujours venir me voir pour m’indiquer ce qui ne va pas et on trouvera une solution. Je tiens à ce que le client sorte de chez nous satisfait.» Pneus Séguin c’est de bons prix et le meilleur service après-vente. C’est encore le temps de changer ses pneus d’hiver pour les pneus d’été. Alors, n’attendez pas, prenez un rendez-vous! Merci à La Petite-Nation pour les 50 ans d’information. 373, route 321 sud Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2482 3756249 Son fils, Raphael s’est greffé à lui. Il termine présentement son cinquième secondaire et travaille souvent dans l’entreprise maintenant devenue familiale. Quand Luc est absent, c’est lui qui prend les rênes. D’ailleurs, Pneus Séguin pourrait éventuellement s’appeler Guévremont et fils. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 39 Une histoire Lauzon félicite les artisans du journal La Petite-Nation Jessy Laflamme [email protected] N situés dans la Petite-Nation : son siège social, une usine de lamelles et une usine de bois énergétique recyclée à Papineauville ; une scierie à Thurso et une société de commercialisation à Fassett. LAUZON jouit d’une réputation mondiale pour la notoriété de ses produits et figure parmi les cinq plus importants manufacturiers de planchers de bois en Amérique du Nord. Cinq de ses sites sont Avec le savoir-faire d’une équipe forte et engagée de 700 employés à travers le Québec, LAUZON contribue avec fierté au développement économique de la Petite-Nation. www.plancherslauzon.com 3845388 de la atif Petite-Nation en Outaouais, David Lauzon fonde une entreprise qui célèbre cette année 26 années de croissance continue. Dès ses débuts, l’entreprise se exclusiveconsacre ment à la fabrication de planchers de bois haut de gamme. Depuis la forêt jusqu’au produit fini, en passant par le recyclage des résidus de bois qu’elle convertit en énergie verte, LAUZON est parmi les rares entreprises de son secteur à avoir réalisé une intégration verticale complète, depuis la gestion forestière jusqu’à la mise en marché de produits finis certifiés FSC. Je travaille depuis maintenant cinq ans à La PetiteNation ce qui représente 10% de l’existence du journal. C’est quand même pas pire. Ce chiffre pourrait tout de même être beaucoup plus élevé si ce n’était de mon prédécesseur, Yan Proulx… Dès mon entrée à la Cité collégiale en journalisme, je savais que je voulais travailler à La Petite-Nation. Loin de moi l’idée de travailler ailleurs. Je voulais développer ma carrière dans ma région natale, la Petite-Nation. Déjà à cette époque, je savais que le métier de journaliste m’intéressait, mais je possédais surtout la certitude que d’écrire à propos de ma région et des gens qui l’habitent me passionneraient totalement. Disons les vraies affaires, quoi de mieux que d’être payé pour découvrir sa propre région et sa population. C’est ce que je vis quotidiennement depuis cinq ans. Mais, il y avait un hic. Yan Proulx, tout jeune, tout fringuant venait tout juste d’entrer en poste à La PetiteNation comme journaliste. Le poste étant déjà occupé, je me dois de trouver autre chose. J’aurais pu m’exiler, mais non, je voulais m’établir dans la Petite-Nation. Alors j’ai occupé différents emplois dans plusieurs entreprises : Parc national de Plaisance, Gestion ACL, Centre d’accès communautaire Internet, Centre d’interprétation du patrimoine de Plaisance, etc. J’obtenais toujours des contrats ou des emplois saisonniers. J’ai appris beaucoup, mais je voulais de la stabilité. Le Centre local de développement (CLD) de Papineau me l’a offerte. Je suis devenue agente de développement touristique. Un seul poste pouvait me convaincre de partir. Devinez lequel… Un beau jour, après seulement six mois à l’emploi du CLD, le téléphone sonne. Yan Proulx m’apprend qu’il quitte son emploi. Imaginez ma surprise. J’avais perdu espoir. Deux semaines plus tard, je m’assoyais dans mon bureau de La Petite-Nation, wow! Depuis ce jour, j’ai le plaisir de rencontrer des gens dynamiques et impliqués qui me poussent à m’améliorer chaque jour et à donner le meilleur de moi-même toujours dans l’esprit de plaire aux lecteurs. J’ai eu la chance de couvrir la venue de Georges Bush à Montebello, un événement majeur. Ce n’est par contre pas mon meilleur souvenir. Mes événements marquants pour moi, sont toutes ces rencontres avec les gens : Gala sportif, Gala de la Chambre de commerce Vallée de la Petite-Nation, Secondaires en spectacle, le Gala Ados Petite-Nation (évidemment), bref, tous les événements qui me permettent de rencontrer et de parler des gens de la Petite-Nation. Parlant de gens extraordinaire, je ne peux passer sous silence, Denis Legault, mon ancien collègue. Cet homme rempli de sagesse a agrémenté et agrémente toujours ma vie. J’adore discuter avec lui de n’importe quel sujet et à plusieurs reprises je me remémore ses belles paroles. C’est un homme vrai et sensible. Bref, il s’en fait peu comme lui. J’ai une pensée aussi pour Marie-Andrée Bérard qui travaille à La Petite-Nation depuis plus de 36 ans. J’apprécie énormément cette femme exceptionnelle, ma mommie… FÉLICITATIONS pour les 50 ANS de la revue de la Petite-Nation! Publisac Outaouais est fier de contribuer au succès de la revue de la Petite-Nation en vous livrant semaine après semaine ce journal de qualité à l’image de sa communauté. UN JOURNAL D’ICI POUR DES GENS D’ICI LIVRÉ PAR DES GENS D’ICI Cahier 50 ans La Petite-Nation 40 - www.lapetitenation.com 189 rue Deveault, Gatineau www.publisac.ca/annonceurs 819 595-5899 3853450 Bonne continuité ! d’amour Ancienne publicité Une histoire d’amour Certes, je vis une d’amour histoire avec La PetiteNation, autant le journal que la région depuis ce fameux 26 février 2006. Mais, surtout, grâce à cet emploi, j’ai connu le vrai amour. Comme je le dis souvent, quand je suis entrée en poste à La Petite-Nation, je n’ai pas seulement pris l’emploi de journaliste, j’ai sauté sur l’occasion… Je ne pouvais pas passer à côté; j’ai pris le gars aussi. Ainsi, depuis cinq ans, je suis amoureuse d’un ancien journaliste, un père formidable et surtout un homme extraordinaire. Et comme si ce n’était pas assez, il m’a offert dès le départ de notre relation, une famille de deux enfants. Ces deux petits êtres sont des petites boules d’amour, ils me font grandir chaque jour. Comme ce n’est jamais assez puisque je veux goûter à la vie et à tous ses bonheurs, à ce moment même où vous lisez ces lignes, je suis en congé de maternité, probablement avec ma petite fille dans les bras et mon homme à mes côtés. Quoi dire de plus outre que je suis une femme comblée autant sur le plan professionnel que personnel! Ainsi, je ne peux dire qu’une chose par rapport au journal La Petite-Nation : MERCI! L STORES MAHEU Stores verticaux avec voile UÊ-ÌÀià verticaux et horizontaux UÊ/ià UÊ,`i>ÕÝ UÊÀ>«iÀià UÊÕiÌÌià UÊ6>iVià en bois /i solaire `ëLi " -1//" Ê Ê" Ê,/1/tt 3830581 {ääÊ>ÛiÕiÊ`iÊÕV} >]Ê >Ìi>ÕÊn£nÈÈÇÇä ÃÌÀiÃ> iÕJ}>°V Ventes, réparation, location et acériculture dans un même bâtiment déménagera bientôt... L es Équipements St-André proposent à leur clientèle plusieurs services depuis le 28 septembre 1978. a propriétaire de Vitaforme, Micheline Cloutier désire vous annoncer que son entreprise déménagera prochainement. En effet, l’ancienne infirmière auxiliaire devenue massothérapeute déménage son entreprise Vitaforme à Plaisance cet été. «Nous avons commencé par réparer et vendre des scies à chaîne et des tondeuses, puis en 1996, nous avons ajouté le centre de location», explique Alain Léger. « Puisque c’est une nouvelle construction, il est difficile de donner une date précise. Ce sera probablement en août ou septembre et évidemment ma clientèle actuelle sera mise au courant au moment venu.» Massothérapie, soins des pieds et soins corporels sont des services offerts par Vitaforme. Micheline Cloutier peut ensuite décidé de devenir travailleuse émettre des reçus pour les soins de autonome et de lancer Vitaforme. pied et la massothérapie. Des chèquescadeaux sont aussi disponibles. Elle a notamment développé son expérience durant plus de 3 ans au Avant de démarrer son entreprise, Mme Château Montebello. Cloutier a travaillé 25 ans au Centre d’hébergement de soins de longue « Au plaisir de vous recevoir dans mes durée à Saint-André-Avellin. Elle a nouveaux locaux avec les mêmes bons services auxquels vous avez droit! » Saint-André-Avellin 819 983-7890 3799150 Toujours sur rendez-vous Chaque année, les propriétaires achètent de l’équipement supplémentaire à la demande des clients afin de renouveler leur inventaire et de toujours offrir des produits de qualité. «Il est possible de louer un peu de tout, du chaudron à blés d’Inde à la rétrocaveuse, précise M. Léger. Cette année, on ajoutera une machine pour enlever la tourbe, car plusieurs clients nous l’ont demandée.» Évidemment, pour offrir ses services, plusieurs agrandissements ont été effectués au cours des années. «Nous avons réaménagé le bâtiment au moins quatre fois en plus d’ajouter des remises», souligne M. Léger. Sur la photo : Caroline Marcotte, Alain Léger, Bruce Bissonnette, Alain Sabourin, André Léger et Nicole Léger. Plus récemment, l’entreprise a ajouté la vente de produits d’acériculture dans son commerce. Selon M. Léger, si l’entreprise existe toujours après 32 ans, c’est grâce à la qualité des produits et du service à la clientèle. Ainsi, les Équipements St-André peuvent combler vos besoins en matière de jardins, pelouse, location et acériculture. Les Équipements St-André inc. 363, Rte 321 sud Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2229 3823716 Jessy Laflamme Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 41 Félicitations! Les meilleurs matelas de l’Outaouais à Papineauville L es Matelas Labelle situé à Papineauville vendent des matelas fabriqués directement en Outaouais chez Matelas Lapensée. Abattoir Charron Pour Gérard Labelle, il est primordial de bien conseiller le client. «Je connais chacun des matelas. Je sais exactement comment il est fabriqué et pourquoi il se vend à tel prix comparativement à un autre. Chose certaine, ce sont des matelas de qualité», affirme-t-il. M. Labelle dirige son entreprise depuis 8 ans à Papineauville. Déjà propriétaire d’une succursale à l’Encan Larose, il avait décidé d’ouvrir cet autre magasin afin de répondre aux besoins des clients de la Petite-Nation. Magasin du Cultivateur Le 2 avril dernier, la succursale de Masson a été déménagée aux Galeries de Buckingham afin d’offrir un excellent service sept jours sur sept. Pour ce qui est de celle à Papineauville, elle est ouverte du lundi au vendredi et le soir sur rendez-vous. L’Abattoir Charron et le Magasin du Cultivateur soulignent ce 50e en remerciant La Petite-Nation pour sa présence et lui souhaitent une longue continuité. Tél. : 819 983-2331 Téléc. : 819 983-1729 Endroit idéal pour la famille à Montpellier Comme le Motel Riopel se trouve près des plages et d’un terrain de golf, c’est une place propice où passer la nuit. En effet, Motel Riopel propose à sa clientèle un choix de huit unités doubles pour hébergement. En plus du restaurant et du motel, le Cahier 50 ans La Petite-Nation 42 - www.lapetitenation.com Municipalité Notre-Dame-de-Bonsecours Motel Riopel offre un bar où il est possible de jouer au billard, de prendre une bière calmement et d’écouter la télévision. Il est d’ailleurs possible de louer une section du restaurant pour une fête de famille ou une réception. Les services Internet sont disponibles dans le restaurant et dans les chambres. En tout temps, les serveuses chez Salon-Bar-Restaurant Riopel affichent un beau sourire. Évidemment, les propriétaires Angélique et Steeve se feront un plaisir de vous servir! 819 428-3635 www.restaurantleriopel.com Le conseil et employés de la Municipalité Notre-Dame-de-Bonsecours félicitent le journal La Petite-Nation pour ses 50 ans. Longue vie et poursuivez votre beau travail. 35, rue Principale Montpellier (Québec) J0V 1M0 3834685 L e Motel Riopel se prépare à accueillir les touristes estivaux. Avec sa grande terrasse, ce restaurant familial est l’endroit idéal pour relaxer et déguster de bons plats de fruits de mer, des steaks cuits à point ou de bonnes pâtes faites maison. Galeries Buckingham 999, rue Dollard, Gatineau 819 281-4493 3831069 349 Ste-Julie est Saint-André-Avellin Matelas Labelle propose aussi une gamme de lits électriques et de métal. «Un bon matelas, c’est très important pour bien dormir et être en forme le lendemain, mentionne M. Labelle. C’est un investissement essentiel pour une bonne qualité de vie.» 3825931 351 Ste-Julie est Voulant offrir un service personnalisé à ses clients, M. Labelle s’occupe lui-même de la livraison qui est gratuite partout dans la région. Il peut même repartir avec votre vieux matelas. Papineauville 259, Henri Bourassa 819 427-5231 Abattoir Charron Abattage à forfait Poulets entiers et en morceaux 3848712 Magasin du cultivateur Service, moulées, engrais, semences, etc. En plus de la grande qualité de sa quinzaine de modèles de matelas en magasin, M. Labelle offre un service très apprécié par les clients sur le territoire: des matelas sur mesure. «Si quelqu’un désire un mo- dèle particulier, que ce soit pour la maison ou un motorisé, on peut lui préparer. Il recevra son matelas livré gratuitement dans un délai de deux à trois jours», souligne M. Labelle. Histoire de fusions Merci au journal La Petite-Nation pour toutes ces années de collaboration! Jessy Laflamme [email protected] Centre d’interprétation du patrimoine Chutes de Plaisance www.ville.plaisance.qc.ca SOINS et BEAUTÉ 3853469 Cet été au Centre… l’exposition itinérante Les sentiers de la forêt. Pour tout savoir sur la forêt québécoise! Le Victoria Félicitations pour votre 50ième anniversaire La Petite-Nation compte aujourd’hui 20 municipalités. À l’époque, elle en regroupait 24. Où sont disparues les quatre manquantes? En 1996, les municipalités de Chénéville et Vinoy fusionnent et forment dorénavant la municipalité de Chénéville. «Ça faisait environ quinze années qu’on essayait de se regrouper, maintenant c’est fait», a déclaré le maire de Vinoy, Jean-Paul Dinel à La Petite-Nation à la suite de la fusion. On peut lire cet extrait dans l’édition du 16 septembre 1996. En 1997, c’est au tour de Saint-André-Avellin village et paroisse de s’unir pour former la municipalité actuelle de Saint-André-Avellin. En 2000, Ripon suit le pas en fusionnant le village et le canton. Puis, le 29 novembre 2000, la Paroisse Sainte-Angélique et Papineauville deviennent Papineauville. «Je me réjouis de la constitution de cette municipalité qui, avec près de 2400 habitants, pourra mieux prendre en charge son développement et davantage tirer profit de son potentiel économique. Ce regroupement générera des retombées positives aussi bien pour l’ensemble de la MRC que les deux anciennes municipalités», avait déclaré le ministre responsable de la région de l’Outaouais, Joseph Facal. Cette citation se retrouve dans l’édition de La Petite-Nation du 10 décembre 2000. Plus récemment, en 2007, les citoyens de Lac-Simon ont parlé… et ils ont dit non au projet de fusion entre Lac-Simon et Chénéville lors du référendum qui se tenait le 2 septembre. «Plus de 76% des citoyens de LacSimon ont participé à ce référendum d’importance pour l’avenir de ces deux villes de la Petite-Nation. Le camp du «non» a obtenu un pourcentage semblable pour assurer le rejet du projet», peut-on lire sur le site web du journal La Petite-Nation, www.info07.com. Voici la liste actuelle des 20 municipalités de la Petite-Nation: Boileau, Chénéville, Duhamel, Fassett, Lac-desPlages, Lac-Simon, Lochaber Canton, Lochaber-Partie-Ouest, Montebello, Montpellier, Namur, Notre-Damede-Bonsecours, Notre-Dame-de-la-Paix, Papineauville, Plaisance, Ripon, Saint-André-Avellin, Saint-Émile-deSuffolk, Saint-Sixte et Thurso. Une forêt aménagée selon vos objectifs « Que ce soit un petit ou un gros projet, je suis là pour le réaliser et rendre le client heureux», mentionne d’emblée le propriétaire de Dryade, Serge Raposo. L’équipe du Victoria 6ICTORIA4HURSOs 3854650 Merci d’être dans nos vies Promotions B. Pilon à votre service depuis 1983 «J’ai constamment besoin de relever de nouveaux défis. Je désirais mettre mon expérience au profit des propriétaires de terrains. Ainsi, je prends toujours le temps de discuter avec eux pour bien cerner leurs besoins», affirme le propriétaire. Bruno Pilon a lancé Promotions B. Pilon avec son père Bernard en 1983. Pour Serge Raposo, il est important d’établir un lien de confiance avec le client avant d’entreprendre des travaux. «Chaque personne possède une vision de sa terre. Une forêt n’est pas un mur qu’on bâtit et qu’on peut démolir par la suite. Quand j’entame un projet, je m’assure que tout soit prêt et que mes équipes soient bien au courant des détails. C’est d’ailleurs ma force.» Cette entreprise d’articles publicitaires et de cadeaux corporatifs s’adresse à quiconque veut mettre son logo sur des produits pour s’identifier. «En fait, j’offre le service de préparation graphique aux produits finis, indique le propriétaire, Bruno Pilon. Je prends toujours le temps de conseiller mon client afin de lui trouver un produit de qualité et à un prix abordable. Bref, je prends le temps de magasiner pour lui.» Du simple stylo à la montre, en passant par la gamme complète de vêtements et casquettes, je suis en mesure d’identifier ou personnaliser les items à votre image. Je travaille avec plus de 100 fournisseurs différents donc je suis assuré de trouver l’article parfait pour vos activités. Pour savoir comment je peux vous conseiller dans vos projets ou pour connaître la liste des articles disponibles, il suffit de donner un petit coup de fil. Ce sera un plaisir de travailler avec vous. De plus, j’aime bien les chines. Bref, c’est vraiment domaine.» mamon Dryade a travaillé pour le projet d’HydroQuébec, la ligne Chénier-Outaouais. Plus précisément, l’entreprise de gestion forestière s’est chargée de deux tronçons de Thurso à Buckingham. Serge Raposo a choisi le nom Dryade pour son entreprise par hasard. «Je cherchais une appellation quand je suis tombé sur ce mot dans le dictionnaire. Je le trouvais accrocheur et quand j’ai vu la définition : dans la mythologie grecque, une nymphe protectrice des arbres, j’ai su que c’était Coupe de bois, élagage, plan d’aménale bon choix.» gement forestier ou riverain, plantation, débroussaillage, défrichage, déboisement En plus de travailler fort à satisfaire sa sont tous des services qu’offre Dryade. clientèle, Serge Raposo enseigne à la Cité collégiale. «Ils m’ont téléphoné pour «Ce que j’aime de mon travail est justeenseigner à quelques reprises. J’ai donné ment la diversité. J’adore me retroules cours de survie en forêt, dendrométrie ver dans le bois, ça me calme et me et mesurage des bois abattus.» rappelle mes aventures d’enfance. 38, rue Guay, Ripon (Qc) J0V 1V0 s [email protected] 3760470 Promotions B. Pilon saura mettre votre logo en valeur! 122-4, rue Principale, Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 Tél. : 819-983-6615 Téléc. : 819-983-2052 3861471 L’objet promotionnel sert à créer ou à appuyer une campagne ou un événement. « Que ce soit une campagne de financement, un programme de reconnaissance, un tournoi sportif, un festival, le lancement d’un nouveau produit, un déménagement ou que vous vouliez remercier votre clientèle ou vos employés, j’ai un large éventail d’articles ou vêtements qui répondront à chaque projet. Serge Raposo est diplômé de la Cité collégiale depuis 2000 en foresterie et est mesureur des bois abattus licencié. Depuis, il travaille dans ce domaine. En 2008, il a décidé de lancer sa propre entreprise. Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 43 NOEL JOANISSE Municipalité de Ripon l’amour du quartier, la passion de l’immobilier I l est difficile de parler de l’immobilier sans mentionner le rôle important de votre courtier immobilier. Vous avez pris l’importante décision de vendre ou d’acheter une propriété, confiez-moi le soin de vous offrir un service professionnel et personnalisé. Je m’engage personnellement à utiliser toutes mes connaissances professionnelles afin de répondre à vos attentes et de réaliser vos rêves. [email protected] Personnalité de l’année 2007 Chambre immobilière de l’Outaouais 819 923-2155 3854323 NOEL JOANISSE Courtier immobilier Au service de vos cheveux depuis….. C ’est en 1970 que Micheline a ouvert son salon de coiffure dans un local adjacent à sa résidence. En 1998 une deuxième coiffeuse se joint à elle pour répondre au besoin grandissant de la clientèle. Le commerce prend toujours de l’expansion et vu le manque d’espace pour une troisième coiffeuse, en 2007 le salon de coiffure déménage dans un nouveau local tout neuf situé au 90C Albert-Ferland. Elles sont maintenant trois pour prendre soin de vous. Que se soit en technique de couleur, en coiffure ou en soin du cuir chevelu, vous aurez un service très professionnel. Vous y trouverez une belle gamme de produits, accessoires et bijoux en coiffure, perçage d’oreilles et rallonges de cheveux naturels. Bon 50e à La Petite-Nation ! Merci de nous tenir informés Les Goudrons Outaouais Membre de l’APCHQ RBQ 8268-3061-21 819-983-7742 3823674 Micheline, Brigitte et Marie Pier forment une belle équipe professionnelle De toute l’équipe 3828780 Impliquée à fond dans la diffusion d’informations ! La municipalité de Ripon est fière de souligner les 50 ans d’existence du journal La Petite-Nation. Félicitations et encore plusieurs années de succès ! 3855154 La Chouette : un rêve réalisé I « l n’y a vraiment pas d’âge pour réaliser ses rêves, il suffit d’y croire et de foncer», affirme la propriétaire du restaurant La Chouette, Huguette Manning. Elle et son conjoint, Vianney Bérard, ont démarré ce restaurant le 10 février 2010. Bien que le restaurant La Chouette offre un menu complet et des déjeuners, leur spécialité est sans contredit les côtes levées. Certains clients viennent même de Toronto pour en déguster. «On aimerait d’ailleurs, dans quatre ou cinq ans, en distribuer à Montréal ou Lachute.» Bon 50e Notre hebdomadaire nous apporte les nouvelles de toute la région. Merci d’être là. 44 - www.lapetitenation.com Marc Patrice Arpenteur-géomètre Saint-André-Avellin 819 983-2277 3829907 Cahier 50 ans La Petite-Nation La décoration vaut le coup d’œil : on y retrouve des figurines à l’effigie de chouettes, mais aussi d’autres bibelots ou accessoires échangeables contre des chouettes. «J’aime bien troquer mes objets décoratifs pour des chouettes ou des hiboux, ça crée des liens avec la clientèle», souligne Mme Manning. La direction du restaurant La Chouette profite de l’occasion pour remercier sa précieuse clientèle et ses employés. Nous tenons à féliciter et souhaiter une bonne continuité au journal La Petite-Nation. 56, rue Desjardins Ripon (Québec) J0V 1V0 819 983-1040 3784420 L’accueil chaleureux des propriétaires est aussi une marque de commerce. «On veut que les gens se sentent comme dans leur deuxième résidence», précise Mme Manning. Les reconnaissez-vous? Claude Quesnel Entraîneur Denis Legault Ancien conseiller publicitaire Desmond Murphy Ancien préfet de la MRC de Papineau Fernand Bissonnette Ancien préfet de la MRC de Papineau Ghislain Ménard Directeur général de la MRC de Papineau Jean-Yves Guindon Peintre Jean Daniel Clément Entrepreneur Mario Laframboise Député d'ArgenteuilPapineauMirabel Martin Blanchet Peintre Nathalie Gauthier Conseillère publicitaire Carl Labelle Une famille qui a du chien! un endroit pour gâter tous vos animaux de compagnie M 3856958 Labelle Tonte et Toilettage est donc en opération depuis trois ans et comprend maintenant quatre volets: le magasin, le toilettage, la pension animale en mi- bientôt nommée cynologue attestée. lieu familial et les cours d’obéissance. Elle œuvre dans le domaine depuis ses 15 ans et c’est elle qui s’occupait auCarl, qui s’occupe lui-même du maga- trefois de la pension en milieu familial. sin et du toilettage aidé par sa femme Les cours d’obéissance se donnent en Natacha Massé, a été formé par un vé- groupes mais sont assortis d’un volet térinaire. C’est pourquoi: «La santé de consultation privée à domicile. l’animal passe dans la mesure du possible avant le désir du client», explique- Et quant à la pension, vous l’aurez t-il. Cependant, bien qu’il puisse laver, deviné, c’est maintenant Jade, 18 ans, brosser, faire la coupe et la tonte, les forte d’une formation en soins anigriffes, les oreilles et les yeux, il ne fait maliers, qui prend la relève. pas, en général, d’actes vétérinaires. Il Leur force? Aucun cas ne les rebute. De n’emploie pas non plus de calmants et caractère franc et direct, ils vous donsoigne les animaux dans leur état norneront l’heure juste, sans vous conter mal en appliquant la technique de la d’histoire. Ne vous attendez pas à des mère/chiot. Une technique douce mais miracles, mais quand même, il y a bien ferme qui a fait ses preuves. Dans son le cas de Maya, ce chien si agressif que magasin, il vend de tout et s’accorde personne n’en voulait et qui, une fois aux besoins de ses clients. Avec deux passé entre leurs mains, est devenu si livraisons par semaine, il est certain de coopératif que Théa le réquisitionne pouvoir satisfaire tout son monde. pour donner l’exemple aux récalciLes cours d’obéissance, c’est l’affaire trants. Comme quoi, un caractère de de Théa, l’aînée de 21 ans, qui sera chien, ça se dompte. ichelle Villeneuve s’est donnée comme mandat de gâter les chiens et chats de Papineauville, mais aussi leur maître avec un service courtois et attentionné. En effet, cette entrepreneure dynamique offre la plus grande variété de gâteries pour chien de la région, incluant un comptoir de pâtisseries naturelles pour satisfaire tous les goûts. Mme Villeneuve possède plus de 15 ans d’expérience dans le domaine canin. Elle détient un diplôme de Maître chien, de Super Chien, de trouble de comportement canin et un diplôme de la Cité collégiale en Loi et Sécurité. Elle a déjà mis sur pied une école de dressage. «Mes connaissances sont approfondies et c’est un plaisir de conseiller mes clients. Mon expertise ne se limite pas aux chiens et chats, mais aussi à tous les autres animaux de compagnie. Évidemment, les chiens sont les bienvenus dans mon commerce.» Marché Animo se démarque particulièrement pour son service à la clientèle. La propriétaire affiche dès les premiers moments un sourire charismatique. Elle est toujours prête à répondre aux questions. Vous pourrez trouver au Marché Animo de la nourriture pour chats et chiens à prix abordable, des accessoires ex : des jouets, lits, articles de toilettage, bols, colliers et laisses. Une section est dédiée à la mode canine avec bijoux, lunettes, robes, foulards. Bref, tout pour que toutou soit à la mode. Il y a aussi une section oiseaux, rongeurs et aquarium. Mme Villeneuve tient d’ailleurs à préciser que son commerce est 100% québécois. Pendant 10 ans, Mme Villeneuve s’est occupée de son commerce Marché Animo à Gatineau. «J’ai décidé de m’installer à Papineauville pour offrir un nouveau service à la population et pour élever ma famille», raconte-t-elle. Mme Villeneuve suit les tendances et s’adapte aux saisons. Ainsi, on retrouve présentement dans le commerce des manteaux pour chiens, des bottes d’hiver, des vestes de flottaison pour l’été et pendant l’Halloween, on peut même acheter un déguisement pour chien. Si elle ne peut offrir l’article désiré immédiatement, elle peut le commander et l’obtenir dans un délai de 48 heures. Mme Villeneuve entend souvent le commentaire suivant des clients : «ça fait longtemps que je pensais arrêter, mais je reportais toujours ma visite à plus tard.» Elle répond à ceci : «c’est dommage, car c’est en encourageant l’achat local que nous allons développer la municipalité, et dans mon cas, mes clients permettent à une famille québécoise de survivre à Papineauville.» Mme Villeneuve vous attend donc à son commerce avec son sourire accueillant et son inventaire impressionnant. Après tout, il faut bien gâter vos animaux! 317A, rue Papineau, Papineauville (Québec) J0V 1R0 819 308-0559 3773780 D ans le but de se créer un emploi, Carl Labelle décide d’ouvrir un centre de toilettage pour animaux auquel se greffe bientôt toute sa famille! Petit à petit chacun et chacune trouve sa place et son rôle, même les chiens et les chats à problèmes! 388 Rte 148, Plaisance Tél. : (819) 427-8032 Téléc. : (819) 427-6510 Stéphane Richer Ancien joueur des Canadiens de Montréal Cahier 50 ans La Petite-Nation www.lapetitenation.com - 45 Félicitations Trois générations chez Auto-Rénov F rançois Bourgeois a lancé le garage spécialisé dans le débosselage et la peinture Auto-Rénov à Saint-AndréAvellin. Son fils Paul Bourgeois a pris la relève et, maintenant, son fils Francis suit les traces. et longue vie à La PetiteNation Récemment, le garage a pris le tournant vert et se sert de peinture à l’eau, question de protéger l’environnement. Francis et Paul, en plus de débosseler et de peinturer, réparent et remplacent des parebrise et effectuent du rafraîchissement de lumière. Dans un avenir rapproché, le père et le fils, pourront transformer l’intérieur d’un véhicule grâce à une teinture particulière. «On pourra changer les couleurs intérieures des portes et réparer des bancs de cuir», précise Paul Bourgeois. «Le respect de la vérité assure celui de la liberté» Auto-Rénov possède huit autos de courtoisie pour combler sa clientèle. Roch Sue Sandy Claude Jean-Pierre Rock Sur la photo : Josée Bisson, Paul et Francis Bourgeois. Nicholas Animalerie À Tous Léz’ards, ça vaut le déplacement! L ’animalerie À Tous Léz’ards est née de sa passion des reptiles de la copropriétaire Christine Beauchamp. Ce qui l’a amenée à acquérir plusieurs espèces et différents équipements. 180, Principale Saint-André-Avellin (Québec) J0V 1W0 819 983-2464 3823720 1030, ave. SPENCE, HAWKESBURY, ON. K6A 3H9 613.632-0941 Après deux ans d’opération, l’animalerie s’est adaptée à la réalité de son milieu et est devenue une animalerie plus générale. À Tous Léz’ards garde toujours la même vocation en plus d’offrir d’autres animaux à des prix imbattables, accessoires et nourriture de qualité. «Nous toilettons les chats et toutes les races de chiens, peu importe la grosseur», précise M. Lahaye. Étant donné le manque d’espace, l’idée de partir une animalerie spécialisée a vu le jour. «Nous avons démarré cette entreprise dans le but de combler un manque dans la Petite-Nation», raconte le copropriétaire, Jean-François Lahaye. Une visite s’impose! 3837489 Mario Merci et félicitations Merci au journal La Petite-Nation pour avoir été présent dans la vie de la région. Depuis 1961, sa présence nous a tenu informés des nouvelles et des évènements passés ou à venir dans notre belle région. Longue vie ! E DENTUROLOGISTE 122-3, rue Principale, Saint-André-Avellin, Qc J0V 1W0 Tél. : (819) 983-2763 Bon anniversaire! Un endroit unique à Thurso n seulement cinq ans, 5$-10$-15$ Boutique Variété est passée de 1000 pieds carrés à 7000 pieds carrés. Germain Charron d.d. 3854677 3760818 299-3, rue Principale, Grenville, Qc J0V 1J0 Tél. : (819) 242-3618 qu’ils peuvent dénicher me convient parfaitement, affirme Guylaine. C’est certain que nous les accueillerons avec un sourire.» «Je voulais créer une boutique unique à Thurso de décoration et d’accessoires modes pour dame», raconte la propriétaire Guylaine Giroux. Pour se démarquer, Guylaine offre un service personnalisé et des meilleurs prix qu’en ville. De plus, afin de toujours offrir les dernières tendances, 5$-10$-15$ renouvelle sans cesse son inventaire et offre plusieurs variétés. Par exemple, on peut dénicher près de 300 sacs à main différents dans ce magasin. Rien n’est plus agréable que de savourer un bon repas en lisant La Petite-Nation. Sur la photo : Amy Thayer, Guylaine Giroux et Johanne Gosselin. Cahier 50 ans La Petite-Nation 46 - www.lapetitenation.com 315, Victoria, Thurso (Québec) J0X 3B0 819 985-1364 3848507 Il n’est pas essentiel d’acheter à cette boutique. «Tant que les gens viennent voir ce 40, Albert-Ferland Chénéville 428-2828 3823122 Cette boutique vend aussi des bijoux, des porte-monnaie, des étuis à cellulaire, des chandelles, bref une visite vaut le coup d’œil. Cahier 50 ans La Petite-Nation 3846570 www.lapetitenation.com - 47 BAURORE AUTO André Bédard 36 ans d’évolution d’hier à aujourd’hui Denis Bédard Toujours aussi présent!! Que votre budget soit petit ou grand, il y en a pour tous les goûts… Honnête et fiable Cahier 50 ans La Petite-Nation 48 - www.lapetitenation.com On le fait bien mieux! 3851376 975, chemin de Masson, Gatineau 819 986-6714 www.baurore.com