bulletin departemental - Conseil départemental de l`ordre des
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www.medecinsdebourgogne.org ORDRE D É PA RT E M E N TA L D E S M E D E C I N S DE LA COTE D’OR JANVIER 2011 BULLETIN DEPARTEMENTAL DANS CE NUMÉRO : • LES METIERS DE LA MEDECINE • LA PROTECTION DE L’ENFANCE • LA PERSONNE DE CONFIANCE • REGLES DE PRESCRIPTION ET D’INJECTION DE LA TOXINE BOTULIQUE POUR DES ACTES A VISEE ESTHETIQUE • LE DIAGNOSTIC ET DIABETE CHEZ L’ENFANT ET L’ADOLESCENT EST UNE URGENCE • OSTEOPATHIE • DERNIERE MINUTE : ARRETS DE TRAVAIL EN FORTE HAUSSE EN COTE D’OR • ASSURANCE EN RCP • PLATEFORME REGIONALE DE LA SANTE • DEPASSEMENT D’HONORAIRES : NOTE EXPLICATIVE AU PATIENT • FABLE • LES ENFANTS TROP GROS ONT LE DROIT D’ETRE SOIGNES • REPERTOIRE PARTAGE DES PROFESSIONNELS DE SANTE • RESEAU BOURGUIGNON DE PRISE EN CHARGE DES HEPATITES • RESEAU DE SOINS, DE FORMATION ET DE RECHERCHE BOURGOGNE-AVC • VALDUC ET RADIOACTIVITE—FORMATION 2011 • PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE • CENTRE DE REFERENCE : ANOMALIES DU DEVELOPPEMENT ET SYNDROMES MALFORMATIFS • POSTES A POURVOIR • PENSE BETE • MOUVEMENT DES MEDECINS • AFEM www.medecinsdebourgogne.org ORDRE DÉPARTEMENTAL DES MEDECINS DE LA COTE EDITORIAL DU PRESIDENT : LES METIERS DE LA MEDECINE D’OR Composition du bureau Président d’honneur : Dr Président Jacques CHAUSSADE : Dr MOURAUX Président : Présidents d’honneur Dr Jean-Pierre MOURAUX Dr PANSIOT Dr CHAUSSADE Vice-Présidents: Secrétaire Générale : Dr SAINTE BARBE Dr Dominique RICHARD Dr Philippe STRAUSS Secrétaires Généraux Adjoints : Secrétaire Général : Dr PERRET Dr Catherine SAINTE BARBE Dr TAVERNIER-VIDAL SecrétairesTrésorier Généraux: Adjoints : Dr Béatrice TAVERNIER VIDAL Dr TAINTURIER Dr Thierry PERRET Trésorier Adjoint : Dr LUCET Trésorier : Dr Jean-Luc TAINTURIER Vices-Présidents : Dr STRAUSS TrésorierDrAdjoint RICHARD : Dr Alain LUCET Il est coutumier d’entendre les médecins se plaindre de leurs conditions de travail. Pour les uns, l’activité trop intense ne leur permet pas de prendre un recul salutaire ou un repos réparateur, pour d’autres, c’est la responsabilité, la baisse des revenus, la charge administrative, les exigences des patients, le mépris des pouvoirs publics, l’isolement professionnel, les tracasseries juridiques ou judiciaires…etc. C’est vrai que ce métier comporte des servitudes mais sontelles rédhibitoires au point de démotiver les seniors et de dissuader les jeunes de s’y engager ? Or, nous assistons à un déséquilibre inquiétant en matière démographique, aussi bien sur la distribution géographique que sur le choix de spécialités. Les disciplines très techniques séduisent plus que les spécialités cliniques pour des raisons variées. La permanence des soins, la crainte de l’erreur, le caractère PAGE 1 irréversible de ces erreurs, l’impact imprévisible sur la personne malade sont autant de peurs primaires qu’ils convient de comprendre, de respecter, voire de souhaiter. Car la responsabilité en matière médicale est entière et impose une vigilance de tous les instants. Mais ces inconvénients font toute la noblesse de notre corporation. On ne peut guérir, soulager ou consoler sans cette part d’humanité qu’il faut conserver et honorer. L’Ordre des Médecins s’est donné pour mission de communiquer aux étudiants en médecine, cette dimension particulière de la profession qu’ils apprennent. Chaque année désormais, en début de deuxième année, une réception est organisée par la corporation des étudiants en médecine afin d’exposer à nos jeunes les nécessaires vertus et devoirs qui ponctueront leur avenir. Nous projetons d’aller plus loin en demandant aux médecins heureux de venir témoigner des satisfactions que leur exercice leur apporte. Nous envisageons donc d’organiser un carrefour des métiers de la médecine au cours du deuxième cycle des Etudes Médicales afin d’éviter des choix souvent hâtifs et irréfléchis de carrières inadaptées. Si nous voulons demain croiser des « right men in right place », cessons de râler sur la vacuité du verre à demi plein et goûtons à ce grand cru du terroir humain que la Médecine nous propose. A ce vœu élémentaire sinon naïf, s’associent ceux de bonheur et de santé que, au nom du conseil, je formule à chacun. JP MOURAUX www.medecinsdebourgogne.org PAGE 3 Rapport adopté lors de la session du Conseil National du 08 Octobre 2010 A RETENIR Gravité : Signalement au Procureur de la République Enfant en Danger ou en risque de l’être CRIP Dérogation légale au secret médical : protection du médecin s’il se limite à signaler ou à communiquer uniquement les faits. Retrouvez l’intégralité du Rapport sur le Site du Conseil National de l’Ordre des Médecins LA PROTECTION DE L’ENFANCE Signalement et information préoccupante « Mieux prévenir, mieux signaler, mieux intervenir » Drs Irène KAHN-BENSAUDE, Jean-Marie FAROUDJA Dans le but de mieux définir le terme « d'information préoccupante », d'en préciser les conditions de transmission par une coordination efficace des prérogatives et actions des différents partenaires, le CNOM a participé aux travaux des Etats Généraux de l'Enfance (EGE) au cours du premier semestre 2010. A cette occasion ont été rappelés les différents textes de loi permettant à chacun, et aux médecins en particulier, d'intervenir opportunément et efficacement dans le cadre de la protection de l'enfance. Ce rapport fait le point sur : . le signalement . la définition de l'information préoccupante . le rôle de La cellule départementale de recueil et d'évaluation de l'information préoccupante (CRIP) . le signalement, l'information préoccupante et le secret médical . les références légales et réglementaires < Le signalement est un terme juridique réservé à la transmission au Procureur de la République de faits graves nécessitant des mesures appropriées dans le seul but de protéger l’enfant. En pratique, le médecin doit signaler directement au Procureur, éventuellement dans l’urgence par téléphone et courrier à suivre, dès qu’il estime que les faits dont il a été témoin, ou qui lui ont été rapportés, revêtent un caractère de gravité. Il doit utiliser « le signalement type » (site du CNOM) et le remplir en fonction de ce qu’il a constaté uniquement. < Qu’est-ce que l’information préoccupante ? L’information préoccupante est une information transmise à la cellule départementale pour alerter le Président du Conseil Général sur l’existence d’un danger ou risque de danger pour un mineur : - soit que les conditions de son éducation ou de son développement physique, affectif, intellectuel et social soient considérées être gravement compromises ou en risque de l’être. < La cellule départementale de recueil et d’évalutation de l’information préoccupante est au centre du dispositif créé par la loi puisqu’elle est chargée de recueillir et d’évaluer les informations. Elle est en général pluridisciplinaire, composée d’un pôle social et d’un pôle administratif, mais on constate de grandes disparités selon les départements. Elle a pour rôle d’évaluer TOUTES les informations dont elle est destinataire et soit de mettre en route une action médico-sociale, soit une mesure de protection de l’enfant, soit de signaler elle-même au Procureur de la République. En pratique, le médecin prend contact avec la CRIP et si possible avec le médecin de la cellule afin de lui exposer son problème. Si besoin, il peut interpeller directement le Président du Conseil Général qui a toute compétence pour intervenir. Les règles déontologiques sont les mêmes que dans le cas d’un signalement au Procureur. Nul tiers ne doit être mis en cause. < Signalement, information préoccupante et secret médical La loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance donne un cadre légal au partage d’informations concernant « les mineurs en danger ou risquant de l’être ». Elle aménage le secret professionnel pour permettre de mettre en place des mesures de protection. La dérogation légale au respect du secret médical les met à l’abri de toute poursuite pour violation du secret à la condition expresse de ne dénoncer que les faits et non leurs auteurs allégués. - soit que la santé, la sécurité ou la moralité de ce mineur soient considérées être en danger ou en risque de danger, http://www.conseil-national.medecin.fr/ www.medecinsdebourgogne.org LA PERSONNE DE CONFIANCE Drs Irène KAHN-BENSAUDE La loi du 4 mars 2002 a institué la personne de confiance. Cette notion s'inscrit dans un contexte qui fait référence explicitement à deux valeurs éthiques centrales : la dignité de la personne et le respect de l'autonomie de la personne. Ce rapport rappelle : . Qui peut être désigné personne de confiance . Comment désigner la personne de confiance . En quelles circonstances . Prise en charge en hospitalisation . Prise en charge dans le cadre d'un réseau de santé ou de soins . Dans le cadre de la recherche biomédicale . Dans le cadre de la recherche des caractéristique ou d'empreintes génétiques d'une personne. . Dans le cadre de la recherche des caractéristique ou d'empreintes génétiques d'une personne. . Dans le cadre de la loi n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades en fin de vie dite Loi Léonetti < Introduction L’article 1111-6 du Code de la Santé Publique, créé par Loi N° 2002-303 du 4 mars 2002, a institué la personne de confiance. Il convient de noter que cette notion s’inscrit dans un contexte qui fait référence explicitement à deux valeurs éthiques centrales : 1) 2) La dignité de la personne et en l’occurrence de la personne malade : « la personne malade a droit au respect de sa dignité » Le respect de l’autonomie de la personne. < Qui peut désigner ? Le majeur : Seule une personne majeure peut désigner une personne de confiance. Le mineur : Le mineur est considéré comme civilement incapable et est représenté par ses parents ou tuteur. < Qui peut être désigné ? Selon les termes de la loi, il peut s’agir d’un parent, un proche, ou du médecin traitant. < Comment désigner la personne de confiance ? Il suffit de le nommer par écrit. Sa disposition ne fait pas l’objet d’une procédure particulière. Faut-il une carte comme pour les dons d’organe ? Le médecin qui en est informé doit le consigner dans son dossier ou y conserver le document signé. PAGE 4 < En quelles circonstances ? La désignation de la personne de confiance peut intervenir à tout moment. Elle n’est pas limitée dans le temps et peut être révoquée à tout moment. - Prise en charge en hospitalisation : lors de l’hospitalisation, et pour la durée de celle-ci, il est proposé au malade de désigner une personne de confiance. - Prise en charge dans le cadre d’un réseau de santé ou de soins : Le législateur d’une part à prévu, dans le cadre de la loi de 2005 la prise en charge des soins dans le cadre des réseaux (Titre III, chap. 5), et d’autre part la possibilité que la personne de confiance y ait sa place. - Dans le cadre de la recherche biomédicale L’Art. L. 1122-1-2 du code de la santé publique, inséré par Loi N° 2004-806 du 09 août 2004 prévoit en effet qu’en cas de recherches biomédicales à mettre en œuvre dans des situations d’urgence qui ne permettent pas de recueillir le consentement préalable de la personne qui y sera soumise, le protocole présenté à l’avis du comité mentionné à l’article L. 1123-1 peut prévoir que le consentement de cette personne n’est pas recherché et que seul est sollicité celui des membres de sa famille ou celui de la personne de confiance mentionnée à l’article L. 11110-6 dans les conditions prévues à l’article L. 1122-1-1, s’ils sont présents ». < Quel rôle joue cette personne ? La personne de confiance accompagne le patient, 1. la personne de confiance assiste aux entretiens 2. peut aider le patient à prendre des décisions, 3. la personne de confiance ne peut que s’exprimer au nom du patient et non en son nom mais parfois, alors que le patient n’ose pas ou est sous le choc d’une annonce, la personne de confiance peut poser des questions que le patient aurait souhaité poser et recevoir du médecin des explications qu’elle pourra répéter au patient. 4. elle ne se substitue pas au patient. En d’autres termes, le fait de se conformer à l’avis de la personne de confiance ne saurait écarter, sur le plan médico-légal, la responsabilité du professionnel de santé. La personne de confiance ayant accepté se doit de savoir ce que le patient désire et faire observer ses volontés. www.medecinsdebourgogne.org LA PERSONNE DE CONFIANCE (Suite) < Le secret médical Le secret médical n’est pas levé vis-àvis de la personne de confiance et elle n’a pas accès au dossier médical ; mais elle assiste, à la demande du patient, aux entretiens ; elle ne devrait pas assister à l’examen médical du patient. Celui-ci devrait rester un colloque singulier permettant aussi au médecin d’affiner la relation médecin/malade. Le personne de confiance est par là même soumise au secret ensuite. < Personne de confiance et famille La situation peut être conflictuelle en fonction du choix fait de la personne de confiance par rapport aux membres de la famille qui se sent alors exclue. REGLES DE PRESCRIPTION ET D’INJECTION DE LA TOXINE BOTULIQUE POUR DES ACTES A VISEE ESTHETIQUE Le Conseil National de l’Ordre des médecins est régulièrement interrogé à propos des injections de « Botox » dans le cadre du traitement des rides. Sa section Santé publique souhaite rappeler les conditions de prescription et d’injection strictement définies par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS). Seuls deux produits ont reçu une autorisation de mise sur le marché pour cette indication : le Vistabel et l’Azzalure (le botox étant réservé au domaine de la neurologie) : La prescription de Vistabel et d’Azzalure ne peut être faite que par un médecin de l’une des cinq spécialités suivantes : En conclusion : Il s’agit d’une modification majeure. On ne peut plus parler d’une relation médecin-malade, d’un face à face relationnel, mais d’une relation à trois. Le médecin doit savoir qu’il doit rechercher l’avis de cette personne et avoir la preuve qu’il l’a fait, donc tout inscrire sur le dossier du patient, sa responsabilité pouvant être engagée. Pour autant, ces dispositions qui renvoient à des principes éthiques centraux, tels que rappelés plus haut, doivent davantage faire appel à son éthique de responsabilité plutôt qu’à une nécessité d’ordre purement administratif qui pèserait sur lui. Retrouvez l’intégralité du Rapport sur le Site du Conseil National de l’Ordre des Médecins PAGE 5 • Chirurgie plastique reconstructive et esthétique • Dermatologie • Chirurgie de la face et du cou • Chirurgie maxillo faciale • Ophtalmologie Seuls ces spécialistes sont autorisés à injecter ces produits pour le traitement des rides sourcillières. http://www.conseil-national.medecin.fr/ Rapport adopté lors de la session du Conseil national de l’Ordre des médecins du 8 octobre 2010 Le Conseil national souligne que l’on peut s’assurer qu’un médecin est bien titulaire de l’une de ces cinq spécialités en consultant d’abord son annuaire en ligne ou en interrogeant le Conseil Départemental du lieu d’exercice. www.medecinsdebourgogne.org PAGE 6 LE DIAGNOSTIC DE DIABETE CHEZ L’ENFANT ET L’ADOLESCENT EST UNE URGENCE Communication de l’AJD (Aide aux Jeunes Diabétiques) Diabétiques (AJD) lance une l ’ é d u c a t i on thérapeutique campagne dont l’objectif est de nécessaire à la prise en charge Les enfants aussi peuvent réduire le nombre de dia- du traitement, et en offrant aux avoir un diabète, et dans gnostics tardifs de diabète, soignants des formations 95% des cas c’est un diatrop souvent causes d’acido- spécifiques et des supports bète de type 1, d’origine cétoses et pouvant entraîner d’éducation. auto-immune, nécessitant la mort. un traitement quotidien à vie. Cette campagne ciblera les Le nombre de jeunes atteints familles et les professiond’un diabète de type 1 est en nels de santé : Pour en savoir plus sur le forte augmentation, principalediabète de l’enfant et de l’adoment chez les enfants de moins les familles, pour qu’elles lescent, consultez le site de de 5 ans. soient attentives aux prel’AJD : miers signes de révélation Le diagnostic du diabète de du diabète de l’enfant que www.diabete-france.net type 1 se fonde sur des sisont : la soif intense, les gnes facilement reconnaisurines abondantes, la resables associant une soif inprise du pipi au lit, et qu’eltense et des urines fréquenles consultent très rapidetes (l’enfant se lève la nuit ment leur médecin ou se remet à faire pipi au (affiche) ; lit), mais peu connus du les professionnels de santé, grand public et des profespour qu’ils prennent conssionnels de santé. cience de l’urgence à diriLa recherche de sucre dans le ger les familles vers les sang ou les urines réalisée par centres pédiatriques (fiche un médecin, si elle est positive, d’aide au diagnostic du diaconfirme le diagnostic et doit bète de type 1). conduire à une prise en charge Notre campagne a reçu le parhospitalière immédiat de l’enrainage du ministère de la sanfant. té et du ministère de l’éducaUn traitement par des injections tion nationale, de l’ordre des d’insuline est inévitable et permédecins, de l’Association mettra aux jeunes de vivre Française de Pédiatrie Ambulacomme les autres, malgré les toire (AFPA), de la Société contraintes du traitement. Française de Pédiatrie (SFP), de Un retard au diagnostic de la l’Association Française de Promaladie évolue en un temps motion de la Santé Scolaire et très court vers l’acidocétose. Universitaire (AFPSSU), de la Mutualité Française, des assoAujourd’hui, en France, 40 % ciations de parents d’élèves des enfants pour lesquels un (FCPE, PEEP, A.P.E.L.), de maidiabète est diagnostiqué arriries, ainsi que le soutien des vent à l’hôpital en état d’acidolaboratoires pharmaceutiques cétose (pH<7,40). Pour 14% impliqués dans le diabète. Ces d’entre eux, l’acidocétose est partenaires seront les relais sévère (pH<7,10), causes de d’une diffusion la plus large plusieurs cas de décès chaque possible de nos messaannée. ges.L’association Aide aux Encore aujourd’hui, l’acidocé- Jeunes Diabétiques (AJD) a tose est donc une complication pour but d’aider les jeunes à grave et fréquente du diabète. vivre le mieux possible avec le L’association Aide aux Jeunes d i a b è t e , en apportant www.medecinsdebourgogne.org PAGE 7 OSTEOPATHIE La Section Santé Publique et Démographique Médicale a présenté, lors de la session de Septembre de la loi de 2002. Il lui a semblé important, dans un souci de santé publique, de rappeler un certain nombre de points aux médecins qui seraient sollicités par leurs patients pour bénéficier d’actes d’ostéopathie pratiqués par des non-médecins. Vous voudrez bien trouver, cidessous, les éléments essentiels sur lesquels il convient d’attirer l’attention des médecins de votre département : Circulaire CNOM N° 10095 Section Publique et Démographie Médicale 2/ de même, la responsabilité du médecin est engagée dans la remise d’un certificat attestant de l’absence de contre indication à des manipulations : • du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, • du rachis cervical. tions de l’exercice de l’ostéopathie interdisant aux ostéopathes non-médecins d’effectuer les actes suivants : - les manipulations gynéco-obstétricales, - les touchers pelviens. 3/ Pour éviter toute confusion dans l’esprit des patients, le Conseil National de l’Ordre des Médecins préconise : • d’interdire le partage des locaux entre médecin et ostéopathe exclusif, de vérifier dans les pages 1/ le médecin est seul juge de • jaunes de l’annuaire, y la pertinence d’une prescripcompris sa version intertion médicale et des examens net, l’absence d’ostéopacomplémentaires qu’il convient thes exclusifs dans la rude mettre en œuvre. La presbrique des médecins oscription d’un examen sollicité téopathes. par un patient à la demande d’un ostéopathe engage la responsabilité pleine et entière du médecin s’il se « limite à exé- 4/ La section santé publique tient cuter la demande de son pa- à rappeler les dispositions de tient » ; l’article 3 du décret du 25 mars 2007 relatif aux actes et condi- DERNIERE MINUTE : ARRETS DE TRAVAIL EN FORTE HAUSSE EN COTE D’OR La CPAM vient d’adresser une lettre à chaque médecin prescripteur pour indiquer l’évolution inquiétante des indemnités journalières dans notre département (+ 11,1% en Côte d’Or contre +6,9% en Bourgogne, +4,8% en France). Cette information de l’Assurance Maladie rappelle fort justement que l’arrêt de travail est une prescription thérapeutique comme une autre, dont le surdosage peut avoir des conséquences néfastes psychologiques, physiques et, bien sûr, économiques. Le médecin doit apprendre à dire NON ! Le « non » prend plus de temps que le « oui » et crée des mécontentements ; mais il faut savoir que le médecin gagne en crédit ce qu’il perd en complaisance. Le non est aussi l’occasion de faire un minimum de pédagogie auprès de patients qui ne sont pas toujours conscients de leurs droits et devoirs Il convient donc de réserver la plus grande attention au courrier reçu de l’Assurance Maladie et des accompagnements qu’elle propose. www.medecinsdebourgogne.org PAGE 8 ASSURANCE EN RCP—05/11/2010 A l’occasion de l’examen du PLFSS 2011 l’Ordre attend du législateur que soit réglée la question de l’assurance en responsabilité civile professionnelle des médecins pratiquant des actes à risque. Une lettre commune de l’Académie nationale de médecine, du CNGOG, du SYNGOF et de l’Ordre a été envoyée au Président de la République en avril 2010 afin de solliciter son intervention pour que la loi règle définitivement ce problème tant à l’égard des obstétriciens qu'à l’égard de tous les médecins pratiquant des actes à haut risque. « Monsieur le Président de la République, La gynécologie obstétrique libérale est en voie d’extinction et c’est un cri d’alarme que nous vous adressons (seuls 14 % des gynécologues obstétriciens exercent en libéral dans la tranche d’âge 3035 ans contre 51 % pour l’ensemble de la spécialité). Cette situation menace l’attractivité de la discipline dans son ensemble et pourrait induire une diminution de la sécurité des femmes et des nouveaux nés. Malgré l’intense mobilisation de la profession, le problème crucial de l’assurance en responsabilité civile professionnelle des praticiens de la naissance n’a toujours pas trouvé une solution globale. Les dispositions adoptées par la récente loi de financement de la sécurité sociale démontrent que les parlementaires sont aujourd’hui sensibilisés à cette question. Pour autant, le risque qu’un praticien et sa famille soient ruinés, en raison de son activité, demeure. En effet, les assureurs ont proposé et obtenu un plafonnement légal des indemnisations qui ne s’impose pas aux tribunaux. S’il est heureux que l’ONIAM prenne en charge la différence entre le plafond assuré et le montant de l’indemnité accordé par les tribunaux, il n’en demeure pas moins que l’ ONIAM peut se retourner contre le praticien. Même si les cas où le montant de l’indemnisation dépasse le plafond sont heureusement limités et si le recours de l’ONIAM n’est qu’une simple faculté, la menace qui plane sur les obstétriciens et les conduit à cesser, l’un après l’autre, l’exercice de l’obstétrique et de plus en plus de jeunes médecins formés refusent d’entrer dans cette spécialité, diminuant ainsi les possibilités des futures mères souhaitant accoucher avec le praticien de leur choix. Les obstétriciens demeurent attachés au principe d’indépendance professionnelle et entendent assumer la responsabilité de leurs actes au plan civil, pénal, voire disciplinaire. Ensemble, ils ont mis en place des procédures de prévention des risques. Pour autant, il y a lieu de constater qu’eu égard à la nature même de leur activité, l’importance de l’indemnisation accordée est sans commune mesure avec l’importance des fautes ou des erreurs commises. Ils souhaitent simplement que soit réglé raisonnablement le problème de la couverture de leurs risques professionnels. Face à l’urgence de la situation, l’Académie de médecine, le Conseil National de l’Ordre des Médecins, le Collège national des gynécologues obstétriciens français et le Syndicat des gynécologues obstétriciens de France représentant les obstétriciens du public et du privé sollicitent votre intervention pour que la loi règle définitivement le problème, à l’égard des obstétriciens comme à l’égard de tous les médecins pratiquant des actes à haut risque. Nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en l’assurance de notre haute considération ». www.medecinsdebourgogne.org PAGE 9 PLATEFORME REGIONALE DE LA SANTE L’une des missions des Agences Régionales de Santé, créées le 1er avril 2010, est de collecter, d’analyser et de traiter les signaux et les alertes pouvant présenter un risque de santé publique. Dans ce cadre, l’ARS de Bourgogne met en place une plateforme régionale unique de réception et de traitement des alertes sanitaires en rapport avec : • des maladies infectieuses : maladies à déclaration obligatoire, cas groupés d’une pathologie transmissible en collectivité, fréquence inhabituelle d’une pathologie… • des intoxications : monoxyde de carbone, toxiinfections alimentaires collectives…, • des pollutions environne- mentales, des évènements impactant l’activité des structures de soins ou médico-sociales : déclenchement d’un plan blanc, d’un plan bleu, conséquences d’un événement climatique, épidémique, technique, • des évènements impactant l’activité biologique ou pharmaceutique, • des évènements atypiques ou exceptionnels ayant un impact sanitaire. A l’exception des signalements entrant dans le cadre des vigilances réglementaires (hémovigilances, matériovigilance, réactovigilance, biovigilance), tout signalement répondant aux critères ci-dessus doit désormais être communiqué à cette plateforme. • NOTE EXPLICATIVE AU PATIENT - MODELE— Cette plateforme a été activée le 15 novembre 2010. Les jours ouvrés, de 08h30 à 18h00 aux coordonnées suivantes : Tél : 03 80 41 99 99 Courriel : [email protected] Fax : 03 80 41 99 50 Les jours non ouvrés, et tous les autres jours à partir de 18h00, Vous contacterez la plateforme exclusivement par téléphone au numéro ci-dessus. N TIO IRES A M A FOR ONOR N I H R ’ POU ENT D M E ASS DEP Madame, Monsieur, Ayant adhéré à la Convention entre les caisses d’Assurance Maladie et les Syndicats Médicaux, et ayant choisi le secteur conventionné à Honoraires Différents, je bénéficie du droit légal au choix du montant de mes honoraires, par un dépassement autorisé en sus du tarif de responsabilité de la Sécurité Sociale. Ainsi, pour l’intervention prévue prochainement, et comme cela vous a été expliqué oralement, il vous sera demandé pour mes honoraires personnels, un complément d’honoraires d’ un montant de : Complément d’honoraires à prévoir euros Type d’intervention prévue : Code CCAM : Cette somme devra être réglée par tout moyen à votre convenance à mon secrétariat en consultation post-opératoire Ce complément d’honoraires est souvent PRIS EN CHARGE par les Mutuelles. Dans le but d’en obtenir le remboursement, une FACTURE (Note d’honoraires) acquittée vous sera remise après règlement. Cette somme sera inscrite sur la facture globale du patient (Bordereau 615), déclarée à la Sécurité Sociale et au Fisc. Nota Bene : Comme vous avez été prévenu AVANT votre hospitalisation de ce complément d’honoraires, votre accord pour l’intervervention et votre entrée en clinique valent CONTRAT TACITE. Je vous engage à m’exposer CLAIREMENT une éventuelle situation financière difficile avant votre hospitalisation afin que je puisse précisément la prendre en compte, et moduler le cas échéant le montant de mes honoraires, avec le tact et la mesure nécessaires. Avec mes sentiments dévoués, Docteur X A Dijon, le Mme M Signature à faire précéder de la mention manuscrite « lu et approuvé » (Double donné au patient le …………………………………………..) www.medecinsdebourgogne.org PAGE 10 « Soit, mon jeune ami, ce choix est pertinent « Laisse-moi te souhaiter une belle carrière « Au revoir et prends tout, c’est un cadeau sincère « Mais n’oublie pas surtout tous tes engagements « En effet, comme contrat, tu auras je l’espère « A cœur de me régler les mois d’émoluments « Du loyer du local quitté si prestement « Afin que je retrouve quelqu’un pour cette affaire. ». FABLE Le local fut vidé car il était prévu Des travaux fort utiles à sa rénovation ; Grâce à des artisans de toute la région Ils furent rapidement faits et on n’en parla plus. (P.C.C. JEAN DE LA FONTAINE Ainsi donc et s’étant quitté bons amis Les deux confrères reprirent le chemin de leur vie ; Mais un jour, et quel jour ! Le retraité reçoit De son jeune successeur un billet fort ingrat : « Monsieur, dit la missive, vous êtes entré chez moi « Et bien que tout vidé, ce local est mon toit « Vous avez donc violé les règles de la loi « Et j’entends faire justice sur cette question de droit. » Un praticien chenu ayant atteint cet âge Dont volontiers on dit qu’il est bien le troisième Voulut, et c’est normal, selon le bon adage Se retirer d’affaires et changer tous ses thèmes. Il voulut par ce biais, ô fallacieux prétexte, Soutirer de l’argent à son gentil bailleur Ne payant plus ses termes comme écrit dans le texte De trois recommandés envoyés au Docteur. Il quémanda alors les avis fort notoires De ses pairs en ce lieu où il a exercé Pour que sa succession ne fut son désespoir Mais il en fut bien vite et mal récompensé. Alors tout ébranlé par cette ingratitude Le vieux médecin prit soin, dans une belle attitude, De ne point rétorquer à de telles vilenies Considérant cela comme basse avanie ; Après que les barbiers et tous les Diafoirus Eurent donné leurs avis à ce fils d’Hippocrate Il reçut une réponse, une seule et pas plus, La saisit aussitôt de peur qu’il ne la rate ! Mais le jeune insista et quémanda « La Rousse » En portant plainte comme plus haut annoncée ; Le vieux docteur blessé et d’ire courroucé Attendit de pied ferme, sans angoisse et sans frousse. Ainsi donc un beau jour il vit un carabin Qui lui sembla sincère, compétent, tout en bien Et lui dit, tout de go, sans remettre à demain « Topez là ! Mon garçon, je vous prends comme dauphin. Le dauphin fit si bien qu’il commit un « bavard » Mais la cause était nulle et fort croquignolette Et, devant l’ineptie de cette piètre requête Le juge classa : « sans suite » au fond de son tiroir. « Voici, mon jeune ami, mon local, mes patients « Et tout le matériel de métal et des draps « Clystères et lançettes, charpies et onguents « Et pour le prix de tout, un merci suffira ; Avec l’ingratitude à ce point consommée En regrettant le temps des confraternités Le vieil homme déçu par la médiocrité De ce jeune dauphin à qui tout fut donné « Et pour faire bon poids, je vous présenterai « A tous ces organismes dont je fus médecin « Ce qui dès le début où vous exercerez « A votre bourse vide fera le plus grand bien » S’en alla tout meurtri et fort désappointé Mais réagit vivement et, plein d’aménités Il commit cette fable pour que l’on puisse en rire Plûtot que de souffrir des affres de mauvaise ire. De concert ils étaient convenus c’était sage Que pour les premiers mois ils se consulteraient En de nombreux avis qu’ils s’échangeraient Afin de s’entraider comme il en est d’usage. Le jeune donnant au vieux les dernières notions De la médecine du temps de ses études en fac Et, réciproquement, l’ancien à l’unisson Lui contant de nombreuses anedoctes « tout à trac » Ce fut pendant des mois une vraie lune de miel On se voit, se tutoie, sans une goutte de fiel Mais un jour : « Patatras ! Le charme tombe en miettes Car en fait le dauphin ne valait pas « tripette ». Un beau jour en effet le jeune à l’air pressé Dit à son bienfaiteur : « Monsieur je me retire « Je quitte votre local et, il faut bien le dire « J’emporte avec moi ce que vous me donnez. . MORALITE « Méfiez-vous, chers confrères, en prenant un dauphin « Ouvrez lui bien la gueule, c’est peut-être un requin ! » www.medecinsdebourgogne.org PAGE 11 LES ENFANTS TROP GROS ONT LE DROIT D’ETRE SOIGNES Souvent, l’enfant trop gros souffre. On se moque de lui. Il ne peut pas s’habiller comme il voudrait. Son excès de poids est un handicap lorsqu’il se déplace. C’est un handicap au sens premier, turfiste (il porte une surcharge), comme au sens moderne d’infirmité désavantageuse (il supporte une charge). Comme tout enfant qui souffre, l’enfant trop gros a le droit d’être soigné. Son handicap n’est pas définitif. Il peut guérir. Quelquefois l’enfant trop gros ne souffre pas. Mais son excès de poids peut empirer, se pérenniser à l’âge adulte et favoriser la survenue de maladies graves. L’enfant trop gros a droit à la correction de ce facteur de risque par des soins appropriés, au même titre qu’une pression artérielle ou une glycémie élevées. L’excès de poids de l’enfant est bien dépisté. Mais pourquoi dépister si on ne soigne pas ? La mention « Poids à surveiller » dans le carnet de santé d’un enfant trop gros, signifie que le dépistage a été fait et qu’on envisage de… le refaire. On n’écrit pas « Acuité visuelle à surveiller » pour un enfant malvoyant. Par rapport à l’adulte, l’enfant trop gros a deux atouts. objectif n’est pas un traitement. « Il faudrait lui un diagnostic, un pronostic et un traitequ’il ne prenne pas de poids » est un objec- ment. Le diagnostic est facile. Le pronostic est connu : plus d’un enfant trop gros sur tif. Ce n’est pas une prescription. deux devient un adulte trop gros. Cela justiSecundo l’enfant gros est un enfant. Il a fie de traiter et d‘assurer le suivi pour évadonc le droit, non pas de se soigner, mais luer les résultats et ajuster la prescription. d’être soigné. Lui dire « t’as qu’à (manger moins, bouger plus…) », c’est lui demander Certains médecins ne sont pas à l’aise avec de se soigner. L’enfant allergique ou muco- les enfants trop gros. Ils ne savent pas comviscidosique est soigné. Pourquoi l’enfant ment s’y prendre ; ils craignent d’être trop trop gros devrait-il se soigner ? Il a le droit directifs ou laxistes : ils sont refroidis par d’être pris en charge et non le devoir de se des échecs antérieurs ; ils manquent de temps… Ils peuvent alors botter en touche prendre en charge. (« ça s’arrangera avec la croissance »), être « Mon cher collègue, je vous adresse cet minimalistes (« fais attention à ce que tu enfant pour prise en charge de son obési- manges et fais davantage d’activités physité » est un raccourci ambigu. Car c’est aux ques »), se former (avec 16 enfants trop parents qu’incombe cette prise en charge. gros par médecin généraliste, cela vaut le Le traitement nécessite une double maîtrise, coup) ou adresser les parents et l’enfant celle des apports énergétiques, donc de (cet ordre n’est pas innocent) vers un l’alimentation, et celle de la dépense éner- confrère mieux formé ou plus expérimenté. gétique, donc des déplacements et des Passer la main n’est pas honteux quand loisirs. Or, ce sont les parents qui sont ges- l’enfant est asthmatique ou épileptique… tionnaires des approvisionnements, cuisi- Pourquoi le serait-ce quand l’enfant est trop niers, éducateurs, chauffeurs, animateurs gros ? de loisirs et confidents aimants. Ils sont les soignants naturels de leur enfant. C’est Il y a, en Côte-d’Or, 15 000 enfants et adolescents qui ont un excès de poids. Ils ont le d’ailleurs légal et moral. droit d’être soignés soigneusement. Certains parents, savants ou simplement Vincent Boggio astucieux, se débrouillent seuls. Ils font le Pédiatrie 1 diagnostic, décident du traitement et assuCHU Dijon rent le suivi. D’autres en appellent au médecin. Celui-ci Primo il grandit. Stabiliser le poids peut est écoutant, mobilisateur, prescripteur et donc être un objectif suffi- sant. Mais un accompagnateur. Les parents attendent de T AN T R PO IM REPERTOIRE PARTAGE DES PROFESSIONNELS DE SANTE Dans quelques mois, après la connexion complète au RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé) et la mise en œuvre de la simplification administrative, l’Ordre des médecins deviendra le guichet unique pour l’enregistrement, l’inscription et le suivi des médecins en alimentant le RPPS qui servira de référence à vos interlocuteurs, dont l’Assurance Maladie, le Ministère chargé de la Santé et l’ASIP Santé pour les Cartes de Professionnels de Santé. C’est pourquoi nous vous invitons à vous assurer que les données concernant votre situation d’exercice sont bien connues de l’Ordre, en vous connectant sur le site du Conseil National de l’Ordre des Médecins : http://www.conseil-national.medecin.fr/ Après vous être connecté (en créant un compte si vous vous connectez pour la première fois), vous aurez la possibilité d’accéder à votre fiche ordinale en cliquant sur l’onglet « RPPS—Ma fiche ordinale », situé dans la partie « Profil ». Cette évolution a pour but de simplifier vos démarches administratives, notamment en supprimant le passage en DT-ARS (ex- Vous pourrez, via cette application, signaler une éventuelle modifiDDASS) pour l’enregistrement du diplôme et en remplaçant le nu- cation à votre conseil départemental. Celui-ci vous recontactera méro ADELI par le numéro RPPS, numéro unique et pérenne pour pour obtenir les pièces nécessaires et finaliser votre demande. toute votre vie professionnelle. Nous vous communiquerons la date de simplification adminisPar ailleurs, au cours de l’année 2011, l’ensemble des méde- trative dès que celle-ci sera définitivement arrêtée par les parcins inscrits au Tableau de l’Ordre seront dotés d’une nou- ties prenantes du projet. velle CPS (Carte de Professionnel de Santé), dite CPS 3, qui sera éditée à partir du RPPS et reprendra donc les données Docteur Michel LEGMANN connues de l’Ordre. Les médecins qui disposaient déjà d’une carte verront celle-ci renouvelée à l’identique et ceux qui n’en détenaient pas encore en recevront une. Il est donc primordial pour pouvoir accéder à toutes les applications actuelles et futures accessibles par la CPS, que les renseignements fournis au Conseil National de l’Ordre soient les plus exacts possibles. www.medecinsdebourgogne.org PAGE 12 RÉSEAU BOURGUIGNON DE PRISE EN CHARGE DES HÉPATITES C (REBOHC). Communiqué Les nouveaux cas d’Hépatite B et d’Hépatite C des patients résidant en Côte d’Or sont recensés par le registre des Hépatites Virales. Ce registre a obtenu sa qualification par le Comité National des Registres sous la tutelle de l’INSERM et l’INVS. C’est pourquoi les attachés de recherche vous sollicitent régulièrement afin d’obtenir des informations indispensables à la réalisation d’études épidémiologiques. Melle Carré Estelle Secrétariat REBOHC FACULTE DE MEDECINE 7 Boulevard Jeanne d’Arc BP 87900 21079 DIJON CEDEX Tél : 03 80 39 34 29 Ce Registre des Hépatites virales B et C de Côte d’Or regroupe 2 054 cas : 70 % d’hépatite C et 30 % d’hépatite B. Parmi ces patients, 13 % ont une hépatopathie grave au stade de cirrhose et/ou de cancer. Nous vous remercions pour votre active collaboration. Anne MINELLO RESEAU DE SOINS, DE FORMATION ET DE RECHERCHE BOURGOGNE-AVC Le réseau de Soins, de Formation et de Recherche-AVC a reçu les Victoires de la Médecine 2010 dans la rubrique des réseaux de soins. Le prix a été remis au Pr Giroud (ci-dessus), chef du service de neurologie de Dijon, par le nouveau ministre de la santé Xavier Bertrand. © Les Victoires de la Médecine 2010. Derrière ce prix, c’est tout le système sanitaire bourguignon qui est mis en valeur avec d’une part le CHU au centre de la prise en charge des AVC aigus en lien avec les CHG, grâce à l’outil de Télémédecine, et d’autre part les médecins libéraux neurologues et généralistes dans la prévention primaire et secondaire reliés par le réseau d’infirmières—cliniciennes assurant un suivi téléphonique des patients. Le 2ème intérêt de ce réseau est qu’il a été capable d’en évaluer l’impact en terme de santé publique au bout de 7 ans grâce au Registre Dijonnais des AVC existant depuis 25 ans. 3 résultats majeurs sont à retenir : baisse de la mortalité en phase aigue de 9 % (impact du réseau interhospitalier) • Baisse des taux de récidives (impact de la prévention secondaire) • Recul de l’âge d’apparition des AVC illustrant l’allongement de l’espérance de vie sans AVC (impact de la prévention primaire). Nous devons dédier ce prix aux malades, aux soignants et aux collectivités locorégionales qui nous ont fait confiance. Amicalement, • Pr M. GIROUD Secrétaire Général du Réseau—Bourgogne AVC www.medecinsdebourgogne.org VALDUC ET RADIOACTIVITE Ce qu’il faut savoir—FORMATION 2011 PAGE 13 Professionnels de santé, vos patients vivent à proximité de Valduc ? Ils vous posent des questions, vous vous en posez vous-même ? La SEIVA, consciente que vous êtes les premiers relais d’information de la population, que ce soit au quotidien ou en cas de crise, vous propose 1 h 30 d’échanges autour de la radioactivité à proximité du centre du Commissariat à l’Energie Atomique de Valduc. Une exposition atypique Ce centre classé « secret » manipule des matières nucléaires—plutonium, uranium, tritium principalement—et dispose d’autorisations de rejets atmosphériques. En bout de chaîne, habitants et travailleurs sont donc exposés à une radioactivité chronique d’origine artificielle. L’éternelle question des faibles doses Quelles conséquences pour leur santé ? Il existe une zone d’ombre concernant les faibles doses de radioactivité : rien ne prouve qu’elles ont un effet sur la santé, mais rien ne prouve le contraire non plus. Dès lors, que répondre ? Thèmes L’exposition autour de Valduc Le tritium, ses particularités Limites de toxicité et normes sanitaires Doser la contamination Accident nucléaire : quelle information délivrer ? Pastilles d’iode stable : qu’en faire ? Ces points seront présentés par une personnalité compétente indépendante du CEA, qui répondra à toutes vos questions. Informations pratiques Renseignements et inscriptions à la SEIVA Maison des Associations Boîte FF4—2 rue des Corroyeurs 21068 DIJON CEDEX—France Qu’est-ce que la SEIVA ? La Structure d’ Echanges et d’Information sur Valduc est une association indépendante, créée en 1996 à l’initiative du Préfet de Côte d’Or, Jacques Barel, présidée par un scientifique de l’univfersité de Bourgogne. Plus d’infor sur www.seiva.fr Par téléphone : 03 80 65 77 40 Par mail : [email protected] Plus d’information sur le site de l’Ordre www.medecinsdebourgogne SEIVA—Maison des Associations—Boîte FF4—2 rue des Corroyeurs—21068 DIJON CEDEX Tél : 03 80 65 77 40—mails : [email protected]—[email protected]—Internet : www.seiva.fr www.medecinsdebourgogne.org MANIFESTATIONS PAGE 14 PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE SAMEDI 26 MARS 2011 FACULTE MEDECINE DE DIJON Ce congrès de Médecine s’adresse à tous les médecins de la région Bourgogne. Cette journée entre dans le cadre de la formation continue des Médecins et favorise des rencontres conviviales entre médecins libéraux, hospitaliers et hospitalo-universitaires. Au cours de celle-ci, les médecins auront la possibilité d’assister à différentes communications et travaux pratiques. Pour obtenir le programme complet : site internet : www.printemps-medical-bourgogne.fr 20 rue des Frères Montgolfier—21300 CHENOVE Tél : 03 80 70 38 78—Fax : 03 80 70 38 30 CENTRE DE REFERENCE—Anomalies du développement et Syndromes malformatifs Informations pratiques : Centre de Génétique appartenant au Pôle Pédiatrie CHU Dijon Le secrétariat est ouvert du lundi au vendredi de 08h30 à 13h00 et de 14h à 17h30. Tél. 03 80 29 53 13. Le Centre de référence des maladies rares se situe au rez-de-chaussée haut de l'Hôpital d'Enfants. REUNION DEFICIENCE INTELLECTUELLE— DIAGNOSTIC ET ACCOMPAGNEMENT (Coordinateur : Pr Laurence Olivier-Faivre) VENDREDI 11 Février 2011 De 13 h 30 à 17 h 00 Salle des Séances Séances— —Conseil Régional de Bourgogne POSTES A POURVOIR LE CONSEIL GENERAL DE LA COTE D’OR recrute Par voie statutaire : UN MEDECIN (H/F) Pôle Solidarité et Famille—Direction Enfance, famille et insertion Pour son Service et Protection Maternelle et Infantile et son Centre de Planification Missions : Participe aux missions médicales de santé maternelle et infantile sur ses pôles d’intervention, en coordination avec les médecins cadres techniques tout en étant garant de l’application du Code de déontologie. Assure l’encadrement technique de proximité du personnel paramédical de l’Accueil Solidarité et Famille (Chenôve et Saulieu), en coordination avec le médecin cadre de santé maternelle et infantile de l’Agence. Effectue des consultations en gynécologie et peut intervenir pour l’information sur la vie affective et sexuelle dans les collèges. Profil : Formation de base en pédiatrie, gynécologie santé publique et communautaire. Connaissance du dispositif administratif et judiciaire de protection de l’enfance et des dispositifs d’aide et d’action sociale. Capacité à élaborer un projet global d’intervention médico-social intégrant l’environnement partenarial et socio-économique suite à l’analyse des informations recueillies (intégrer une dimension collective de l’action médico-sociale). Capacité à établir un diagnostic et une orientation appropriée. Merci d’adresser votre candidature + CV + photo à : Monsieur le Président du Conseil Général de la Côte d’Or—Direction des Ressources Humaines—53 Bis rue de la Préfecture BP 1601—21035 DIJON CEDEX URGENT : L’Inspection Académique Côte d’Or RECRUTE MEDECINS Préalable : < Etre thésé (e) Activité : < A temps partiel (à partir de 30 heures par mois) ou complet < Bilans médicaux scolaires à la demande (mise en place de projets d’accueil individualisés en cas de pathologie au long cours notamment) et systématiques (bilans de grande section de maternelle) < Poste disponible à Dijon, ou sur autre secteur du département selon convenance. Conditions : < Frais de déplacement remboursés. Formation initiale rémunérée. Possibilité de titularisation par la suite. Contacter : Madame le Docteur Hélène LILETTE, médecin responsable départemental A l’Inspection Académique—9 Rue des Normaliens fusillés et de leur camarade à DIJON Tél : 03 80 68 13 17 ou 03 80 68 13 20 Courriel : [email protected] www.medecinsdebourgogne.org PAGE 15 PENSE BETE DOSSIER MEDICAL CERTIFICATS Qui peut le demander ? De son vivant - L’intéressé, - Le tuteur - Le médecin désigné Après son décès Un certificat n’est jamais un jugement C’est un constat ou une prescription Le médecin ignore les causes et ne peut que rapporter les propos de la personne entre guillemets. Un certificat ne peut être refusé que lorsqu’il y a conflit d’intérêt. On peut constater qu’il n’y a aucune lésion au moment de l’examen. Ne peut être antidaté L’ITT détermine la compétence du tribunal - Ses ayants droit (3 motifs) Combien de temps le conserver ? 10 ans HOSPITALISATION SOUS CONTRAINTE A la demande d’un tiers (HDT) (Art. L3212-1) Ses troubles rendent impossibles son consentement. Son état impose des soins immédiats assortis d’une surveillance constante en milieu hospitalier. (Risques pour lui) Demande manuscrite et signée par un proche. 1er Certificat par le médecin hors établissement 2ème certificat par un médecin pouvant être de l’établissement d’accueil. SIGNALEMENT Le signalement est obligatoire en cas de soupçon de maltraitance d’un mineur ou d’une personne vulnérable. La personne n’a pas le pouvoir d’attaquer le médecin qui signale mais peut attaquer celui qui ne signale pas. Formulaire sur le site du CNOM MEDECIN AGRESSÉ Toute agression physique ou verbale doit être signalée (répertoire national) Permis de détention d’une arme Je soussigné, certifie que M. X ne présente ce jour aucun trouble incompatible avec la détention d’une arme. Hospitalisation d’office (Article L 3213 et suivants) Ses troubles nécessitent des soins et compromettent la sûreté des personne ou portent atteinte de façon grave à l’ordre public. Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins Téléphone 03 80 60 92 00 Certificat circonstancié du médecin confirmé par maire ou Fax : 03 80 70 92 62 E mail : [email protected] OPJ. www.medecinsdebourgogne.org PAGE 16 MOUVEMENT DES MEDECINS Inscription octobre 2010 Dr BEL Blandine Dr DUBOS DOMINICI Yvette Qualifié en DERMATOLOGIE VENEROLOGIE Qualifié en MEDECINE GENERALE et GERONTOLOGIE CHU BOCAGE CPAM Médecin Conseil Dijon Dr ENGEL Agnès Qualifié en PEDIATRIE Aucune activité professionnelle Dr HANSEN Stéphane Qualifié en CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET TRAUMATOLOGIE Installation au Point Médical DIJON Dr ROUDIERE Bernard Qualifié en MEDECINE GENERALE Médecin retraité Inscription novembre 2010 DR BACHIR EL Khair Qualifié en ANESTHESIE REANIMATION CHU BOCAGE DR BECK Nicolas Qualifié en ORL ET CHIRURGIE CERVICO FACIALE HOPITAL GENERAL DR BINOIS Raphaelle Qualifié en DERMATOLOGIE VENEREOLOGIE CHU BOCAGE DR CHAMBERT Catherine Qualifié en PSYCHIATRIE et PSYCHIATRIE OPTION ENFANT ET ADOLESCENT CHS DE LA CHARTREUSE DR CHASSIN Emmanuelle Qualifié en ANESTHESIE REANIMATION HOPITAL GENERAL DR CHATEL Ludovic Qualifié en PSYCHIATRIE CHU BOCAGE DR CREVISY Elodie Qualifié en ENDOCRINOLOGIE DIABETE MALADIES METABOLIQUES CHU BOCAGE DR DAGUET Edouard Qualifié en RADIODIAGNOSTIC ET IMAGERIE MEDICALE Médecin remplaçant DR DARMENCY STAMBOUL Véronique Qualifié en PEDIATRIE CHU BOCAGE DR DE MORELOS Rémy Qualifié en MEDECINE GENERALE HOPITAL GENERAL DR DEFFAR Nordine Qualifié en CHIRURGIE GENERALE CHU BOCAGE DR FASSA IDRISSI Nadia Qualifié en GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE CHU BOCAGE DR FAVROLT Grégory DR GARNIER Fabien Qualifié en RADIODIAGNOSTIC et IMAGERIE MEDICALE Qualifié en CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES Installation à FONTAINE LES DIJON CHU BOCAGE DR GLOAGUEN Aurélie Qualifié en MEDECINE GENERALE HOPITAL GENERAL DR GUERIN Anne Qualifié en CHIRURGIE GENERALE CHU BOCAGE DR GUIU Boris Qualifié en RADIODIAGNOSTIC et IMAGERIE MEDICALE CHU BOCAGE Dr GUIU Séverine Qualifié en ONCOLOGIE OPTION MEDICALE CENTRE GEORGES FRANCOIS LECLERC DR HAMEL Maël Qualifié en ANESTHESIE REANIMATION CHU BOCAGE DR HERMITE Laure Qualifié en ANESTHESIE REANIMATION CENTRE GEORGES FRANCOIS LECLERC DR HERVIEU BEGUE Marie Qualifié en NEUROLOGIE CHU BOCAGE DR HUMBERT Olivier Qualifié en MEDECINE NUCLEAIRE CENTRE GEORGES FRANCOIS LECLERC DR JACQUEL Alexandre Qualifié en CHIRURGIE GENERALE CHU BOCAGE DR JACQUIOT Nicolas Qualifié en ANESTHESIE REANIMATION HOPITAL GENERAL DR KHOURY Cédric Qualifié en ONCOLOGIE OPTION RADIOTHERAPIE CENTRE GEORGES FRANCOIS LECLERC DR KOUTLIDIS Nicolas Qualifié en CHIRURGIE GENERALE Médecin remplaçant www.medecinsdebourgogne.org PAGE 17 DR LAGNEAU Edouard Qualifié en ONCOLOGIE OPTION RADIOTHERAPIE ET CANCEROLOGIE Installation DIJON DR LE RAY FERRIERES Isabelle Qualifié en GYNECOLOGIE ET OBSTETRIQUE FACULTE DE MEDECINE 1 DR LO BIANCO Vincent DR MAMBRINI Olivia Qualifié en PSYCHIATRIE Qualifié MEDECINE GENERALE Qualifié en CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE et TRAUMATOLOGIQUE Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en MEDECINE INTERNE Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE CHS DE LA CHARTREUSE CHU BOCAGE Qualifié en OPHTALMOLOGIE Qualifié RADIODIAGNOSTIC et IMAGERIE MEDICALE Qualifié en PNEUMOLOGIE Qualifié en CHIRURGIE MAXILLO FACIALE ET STOMATOLOGIE CHU BOCAGE CHU BOCAGE DR PICARD BOLATRE Anne Qualifié en GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE CHU BOCAGE DR PITON Gaël Qualifié en GASTRO ENTEROLOGIE ET HEPATOLOGIE Qualifié en GYNECOLOGIE ET OBSTETRIQUE CHU BOCAGE DR MARTIN DES PALLIERES Thierry DR MATHURIN Christophe DR MAUSSERVEY Christelle DR MICHELOT Adeline DR MILOJEVITCH Esther DR MOURTIALON Pascal DR MUSELIER Aurore DR NEZZAL SALEM Nassima DR NGUYEN BARANOFF Danièle DR PARMENTIER Jérôme DR POUGET Nicolas DR RIPERT VIGNON Cathy DR SCALICI Joël DR SICILIANO Iole DR SIMONET Anne Laure DR TARHINI Ziad DR VEUILLOTTE Isabelle Installation à DIJON HOPITAL GENERAL CHU BOCAGE Médecin remplaçant HOPITAL GENERAL CHU BOCAGE CHU BOCAGE Installation à DIJON CENTRE GEORGES FRANCOIS LECLERC CHU BOCAGE Qualifié en DERMATOLOGIE et VENEREOLOGIE Qualifié en CHIRURGIE GENERALE Qualifié en CHIRURGIE GENERALE Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en PNEUMOLOGIE Qualifié en MEDECINE GENERALE CHU BOCAGE CHU BOCAGE Aucune activité médicale Installation à BLIGNY LES BEAUNE CHU BOCAGE Inscription décembre 2010 DR GALLON-HAASER Claire DR FRISCOURT-MARION Gaëlle Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en MEDECINE GENERALE DR LAJANTE Geneviève DR MEXIS Romain DR PASSEMARD Marie DR THEVENOUD Romain Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en MEDECINE GENERALE Qualifié en OPHTALMOLOGIE Qualifié en MEDECINE GENERALE Médecin remplaçant Association avec le Dr TAVERNARI à MIREBEAU SUR BEZE CHU BOCAGE Médecin remplaçant CHU BOCAGE INSTALLATION SOS MEDECINS DR TICA Mihaela Talida Qualifié en ANESTHESIE REANIMATION CHU BOCAGE Transferts Dr AANEI Carmen Mariana NIEVRE Dr GALLIOT REPKAT Chrystele VILLE DE PARIS Dr BERNE Jean Pierre GARD Dr GREVOUL FESQUET Julie VILLE DE PARIS Dr BIDOT Samuel VILLE DE PARIS Dr HAILAUD Yves Marie POLYNESIE FRANCAISE Dr BOTTOLIER LEMALLAZ Elodie MEURTHE ET MOSELLE Dr KHARDOUCHE Hadda SAONE ET LOIRE Dr CIEZAREK Martin HAUTE VIENNE Dr LANCELIN Marie Pierre VILLE DE PARIS Dr CHAUFFERT Bruno SOMME Dr LENFANT François VILLE DE PARIS Dr CHULLIAT Pierre Antoine SAONE ET LOIRE Dr LE MENEC Maryvonne FINISTERE Dr COCHET Alexandre ETRANGER Dr MICONNET Virginie SAONE ET LOIRE Dr COLOMB Benoit MEURTHE ET MOSELLE Dr ROCHER François SAONE ET LOIRE Dr CREMILLIEUX CELARD Clara DOUBS Dr DYGAI COHET Inna ETRANGER Dr SERAPHIN JEAN CHARLES Jacqueline Dr SOUCHIER Maxime Dr FORTIER Simon SAONE ET LOIRE Dr SOUTENET Véronique SAONE ET LOIRE Dr FRANCOIS CHERVET Catherine ILLE-ET-VILAINE Dr VADANICI Ligia AIN Dr TIXIER Hervé SAONE ET LOIRE POLYNESIE FRANCAISE RHONE www.medecinsdebourgogne.org Retrait sur demande DR MIGNOTTE Jean Claude Retraités Retraités Purs Retraités actifs DR EMERY Alain DR GOGUEY Alain DR LORENZINI Jean Louis DR MARTIN DEMOULIN Dominique DR ROHMER Jean François DR ROGRIGUEZ Daniel DR SELLIER Catherine DR VAILLANT Martine DR GUARD Olivier DR LEPORI Rémy DR RICHARD Dominique Cumul retraite – activité libérale DR BOURGEOIS Maurice Cessation activité libérale DR CIEZAREK Martin Fin de contrat de collaboration libérale au 2 octobre 2010 avec le Dr MARTIN GOUSSET DR GUINCHARD Annika Fin de contrat de collaboration libérale au 30 septembre 2010 avec les Drs LUCET et PISTRE Reprend une activité de médecin remplaçant Installations DR MONTAGNA Emmanuel Installation à ST COLOMBE SUR SEINE au 18 octobre 2010 en MEDECINE GENERALE DR PONTIROLI Stéphanie Installation au 3 janvier 2011 au 2 place des trois Saffres à FONTAINE LES DIJON en MEDECINE GENERALE DR ZAFRANI Yaelle Installation au 18 octobre 2010 au 15 Rue Charles Dumont à DIJON en GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE Diplômes DESC DR BLANCATO Eric CHIRURGIE VISCERALE ET DIGESTIVE DR PAVON Arnaud REANIMATION MEDICALE DR VIDAL Nicolas CHIRURGIE MAXILLO FACIALE ET STOMATOLOGIE Capacité DR MASSE BROGNIART Hélène GERONTOLOGIE DR SALEM Tewfik ANGEIOLOGIE DIU DR HILAIRE Pascal MEDECINE MANUELLE ET OSTEOPATHIE DR ROUDIERE Bernard MEDECINE MANUELLE ET OSTEOPATHIE DR BRONDEL Laurent EXPLORATION FONCTIONNELLES DIGESTIVES DR JOBARD Didier MEDECINE MANUELLE ET D’OSTEOPATHIE DR REJUS Nadège MESOTHERAPIE www.medecinsdebourgogne.org Décès Dr ALIXANT Jean Décédé le 28 Novembre 2010 Né le 04 Mai 1924 - Ancien conseiller Ordinal départemental Médecin généraliste à la retraite Dr CARTIER Humbert Décédé le 29 Septembre 2010 Né le 29 Mars 1931 Médecin généraliste à la retraite Dr CHEHADE Philippe Décédé le 20 Octobre 2010 Né le 02 Août 1954 Médecin généraliste à Saint-Jean de Losne Dr LAUNOY François Décédé le 24 Novembre 2010 Né le 15 Juillet 1937 Médecin généraliste à la retraite Dr REPOLT Jacqueline Décédé le 18 Octobre 2010 Née le 06 Décembre 1933 Médecin généraliste à la retraite Dr REYGET DEGAT Olivier Décédé le 29 Octobre 2010 Né le 20 Septembre 1943 Médecin retraité Dr TESSE BICHON Françoise Décédé le 21 Octobre 2010 Née le 20 Juin 1926 Médecin généraliste à la retraite Nous présentons aux familles et aux proches de ces confrères nos plus sincères condoléances. A.F.E.M (Aide aux Familles en Entraide Médicale) 168, rue de Grenelle—75007 PARIS Tél : 01 45 51 55 90 Fax : 01 45 51 54 78 E-mail : [email protected] www.afem.net C.C.P. 8162-82 U Paris L’AFEM (Aide aux Familles et Entraide Médicale) vient en aide aux familles de médecins confrontées à un décès ou une maladie invalidante. Leurs sollicitations sont de plus en plus nombreuses. Grâce aux dons des médecins convaincus de la nécessaire solidarité médicale, l’AFEM soutient financièrement les enfants dans le désarroi moral et financier et ce jusqu’à la fin de leurs études. L’AFEM A BESOIN DE VOUS ! Vous pouvez répondre à leur appel : par chèque Ou paiement en ligne sécurisé (www.afem.net) Que vous soyez ancien ou nouveau donateur, au nom de toutes les familles secourues, l’AFEM vous remercie très vivement. www.medecinsdebourgogne.org PAGE 20 ORDRE DES MEDECINS DE LA COTE D’OR Immeuble Apogée C 07 Boulevard Rembrandt 21000 DIJON Tél : 03 80 60 92 00 Fax : 03 80 70 92 62 Messagerie : [email protected] http : medecinsdebourgogne.org NOS HORAIRES D’OUVERTURE : Lundi : 9 h à 17 h sans interruption Mardi : 9 h à 17 h sans interruption Mercredi : Fermé au public le matin 14 h—17 h Jeudi : 9 h à 14 h Fermé au Public l’après-midi Vendredi : 9 h à 17 h sans interruption PERMANENCES CONSEILLERS ORDINAUX Docteur Mouraux : Docteur Sainte Barbe : Docteur Perret : Docteur Mallez : Docteur Jacquot : Docteur Strauss : Docteur Richard : Lundi après après--midi Mardi matin Jeudi matin Jeudi matin Jeudi matin Mardi matin Mardi matin Jeudi matin Jeudi matin MEILLEURS VŒUX POUR L’ANNEE 2011