Jeu - Concours

Scaax, au 9 rue du Languedoc, une
boutique de pièces uniques, des créations made in
Midi-Pyrénées que l’on ne voit pas partout!
Lubie Lulle, au 28 rue des Polinaires, pour
découvrir l’univers haut en couleur d’une boutique
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8 rue Rivals
31000 Toulouse
Tel: +33 5 61 21 17 91
36 rue Gambetta
31000 Toulouse
* Ô LABO
Auto-École
Daurade-Capitole
7 rue Jean Suau
31000 Toulouse
ses alentours
Carmes, et
Les Toulousains ont longtemps alimenté le culte de
Clémence Isaure : femme imaginaire, fondatrice ou
protectrice des jeux floraux ? Le mystère persiste. Elle
demeure toutefois le symbole des concours littéraires institués au Moyen Âge et abrités sous le prestigieux Hôtel
d’Assézat.
La mystérieuse Clémence Isaure
de l’Hôtel d’Assézat
Cette expression provient de la polémique liée à François
de Clary, accusé d’avoir volé les pierres du Pont neuf
pour construire l’hôtel de Clary dont il était propriétaire.
Surnommé l’Hôtel de pierre, l’édifice s’imposa comme
une réelle nouveauté dans la ville aux briques roses.
« Il y a plus de pierres du pont à l’hôtel de
pierre que de pierres au pont ! »
Anecdotes
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C’est dans le quartier des Carmes
qu’est créé au milieu du XVIème siècle le
parlement de Toulouse. Ainsi, les riches parlementaires s’installent dans ses environs en
édifiant de magnifiques hôtels particuliers et
laissant d’abord peu de place aux commerces.
Déambulez dans le quartier des Carmes aujourd’hui et vous apprécierez prendre un verre
sur ses places animées, puis vous glisser dans
les petites rues truffées de trésors architecturaux. Appréciez également sa tendance artistique en y dénichant des petites boutiques
d’artisans et de créateurs.
Enfin, laissez-vous surprendre par le calme et
le charme du quartier St Etienne !
Jeu - Concours
Rue des Filatiers : C’était la rue des
fabricants et vendeurs de tissus. Elle a gardé
un peu de son esprit puisque de nombreuses
boutiques vestimentaires jalonnent encore la
rue.
Rue Pharaon : Rien à voir avec le souverain
d‘Egypte, cette appellation provient du nom
du comte Ramundi D’Alfaro qui, comme le
nom de nombreuses familles toulousaines, a
subi plusieurs transformations !
Place Sainte Scarbes : Elle s’appelait autrefois « place Sainte Carbas », traduit par
« Sainte Gerbe », car un oratoire y avait été
construit au XVIème siècle, à la suite d’un
double meurtre, et on venait lui présenter en
offrande les premières gerbes de la moisson.
Choisissez un point clé de la to do-list,
laissez parler votre imagination et réalisez la
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La fontaine St Etienne
rendue pudique
4 marmousets de bronze semblables à des Manneken-Pis
entouraient cette fontaine, la plus ancienne de Toulouse.
Au 17ème siècle, les mœurs évoluèrent et on décida de
la rendre pudique. Désormais, l’eau s’écoule donc par
la gueule de petits dauphins qu’ils tiennent dans leurs
mains.
Alerté par des chutes de briques dans le clocher de l’église,
le curé de la Dalbade fit appel à un architecte parisien.
Peu alarmant, celui-ci annonça 100 ans de pérennité pour
le clocher, avant d’apprendre le lendemain sa tragique
chute... C’est ainsi que Toulouse perdit son plus haut clocher en 1926 !
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L’église de la Dalbade
et son clocher
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Trouver le Bon Sauvage Gardant, ce petit bonhomme
brandissant une massue à l’entrée de la rue de l’Homme
armé autrefois malfamée et truffée de maisons closes
2
Emprunter la rue de la Dalbade qui détient le record
du nombre d’hôtels particuliers de Toulouse et s’arrêter
devant l’imposante façade de l’hôtel de Clary.
3
Se balader un matin le long des allées du marché couvert
des Carmes et s’enivrer des couleurs et des saveurs
qui s’en échappent.
4
Sur la place de la Trinité, loin du brouhaha, c’est le
moment de prendre un café en terrasse et d’admirer
les rares Bow Windows de Toulouse.
5
Trouver l’erreur rue Saint Jacques.
6
Faire une pause sur les bancs au design original du pont
qui enjambe l’étang du Jardin Royal.
7
S’arrêter devant les volets bleus d’une ancienne
boutique rue Mage pour contempler l’œuvre qui y figure.
Anecdotes
Un fait surnaturel au 6, rue Darquier ?
En 1990, quatre amis sont témoins chez eux d’un fait surprenant : un tableau de la Vierge accroché au mur se met
à « pleurer » des larmes d’huile parfumée. Cet évènement
attire de nombreux visiteurs qui viennent récupérer un
bout de coton imbibé d’huile, croyant au miracle.
L’incendie de 1463 : la faute du boulanger !
Ce terrible incendie prit naissance accidentellement dans
l’arrière-cour d’un boulanger, rue Maletache. Condamnés
à la pendaison, le boulanger et sa femme furent finalement
graciés par le roi Louis XI qui, vu l’ampleur des dégâts, décida également de supprimer les impôts à Toulouse pour
100 ans !