la nouvelle façon de mincir
Transcription
la nouvelle façon de mincir
Médaille d’argent au Salon International de l’Innovation de Genève. LA NOUVELLE FAÇON DE MINCIR Déstockage des graisses & Action ventre plat UNE NOUVELLE FAÇON DE MINCIR SylviaSlim est un complément alimentaire à action minceur dont les 2 composants sont : ■ Du rebaudioside A extrait de stévia, actif de l’édulcorant de table Sylvia. ■ De l’inuline extraite de racine de chicorée, FOS (Fructo-Oligo-Saccharide). SylviaSlim se présente sous forme cristallisée, selon un processus qui est une innovation mondiale d’un intérêt considérable dans le domaine de la nutrithérapie. La galénique du futur maîtrisée au présent par PHYSIOFORM. Le rebaudioside A est en inclusion dans une matrice fibreuse vitrifiée d’inuline. Le processus de fabrication exclusif de SylviaSlim est décrit ci-contre. Le suc minceur cristallisé qui en résulte est 100% naturel. Pourquoi suc minceur ? ■ L’action chélatrice de l’inuline induit un amincissement en capturant graisses et glucides du bol alimentaire, évitant leur assimilation, facilitant leur élimination. ■ L’action prébiotique de l’inuline régule l’écosystème intestinal, supprimant les putréfactions qui sont source de ballonnements, véritable effet « ventre plat ». De plus, l’inuline a une incidence sur la réduction du cholestérol et la diminution de la valeur glycémique des aliments. Ceci s’ajoutant à l’action propre du rebaudioside A qui est une « clé » de l’amincissement en stimulant le déstockage des graisses tout en régulant la glycémie (ce qui en fait un nutriment précieux du régime des diabétiques). Une authentique nouvelle façon de mincir. Et un mode d’utilisation simple : ■ 1 cuillerée à moka pour l’édulcoration des yaourts, des fromages blancs … ■ 1 cuillerée à moka pour l’incorporation à 1 bouteille d’eau minérale, à boire dans la journée, entre les repas, pour une action minceur continue. Action minceur garantie pour SylviaSlim qui est une réelle INNOVATION galénique. INNOVATION MONDIALE Le processus de fabrication de SylviaSlim est une innovation galénique d’un grand intérêt dans le domaine de la nutrithérapie amincissante. Il se déroule en 3 étapes successives : Première étape Dans un réacteur clos, en atmosphère anaérobie (absence totale d’oxygène) on mélange longuement le rebaudioside A dans le substrat de fibres alimentaires hydrosolubles, Fructo-Oligo-Saccharides (FOS) extraits de la racine de chicorée : l’inuline. Un brassage prolongé se fait sans aucun solvant, aucun additif, ni même de l’eau. Puis un malaxage entraîne peu à peu : ■ Une dispersion du rebaudioside A dans le maillage moléculaire de la masse fibreuse. ■ Une homogénéisation progressive du mélange qui devient un gel épais. Deuxième étape Lorsque le mélange est parfaitement homogène, il est poussé à travers une filière réfrigérée. Ce refroidissement instantané entraîne un flash produisant : ■ Une solidification de la phase fibreuse du mélange, authentique vitrification. ■ Une inclusion du rebaudioside A dans la matrice vitrifiée. Troisième étape La matière obtenue après le passage dans la filière est calibrée par : ■ Un broyage pour obtenir des particules selon la granulométrie voulue. ■ Un tamisage terminal, le produit fini étant sous forme de poudre cristallisée. La forme galénique innovante de SylviaSlim permet la protection optimale du rebaudioside A au sein de l’inclusion et sa parfaite conservation dans le temps ayant pour conséquence la restitution de ses caractères organoleptiques lors de la prise et la préservation de ses propriétés. On a ainsi une cohésion et une stabilité au sein du produit fini dont l’absorption se fait par dissolution de la poudre cristallisée hydratée (incorporée à de l’eau lors de la prise) pendant son tractus digestif. Une fragmentation de la matrice entraîne la dispersion du rebaudioside A inclus dans la masse. Il s’ensuit plusieurs avantages : ■ ■ ■ ■ ■ Biodisponibilité maximale du rebaudioside A et de l’inuline. Possibilité de microdosage. Précision de la prescription minceur. Innocuité toxicologique. Sécurité d’utilisation. a obtenu en AVRIL 2010 la médaille d’argent nt au Salon Internationale de l’Innovation de Genève. LA CLÉ DE L’AMINCISSEMENT Les glucides sont appelés sucres. Leur composition est une combinaison d’hydrogène, d’oxygène et de carbone. On les appelle donc également hydrates de carbone. On en distingue deux sortes : ■ Les sucres simples, dits sucres rapides à cause de la rapidité de leur absorption, comprenant : ■ Les monosaccharides, dont les principaux sont le glucose et le fructose. ■ Les disaccharides, dont les principaux sont le sucre de canne ou de betterave, appelé saccharose, qui se fragmente pendant la digestion en une molécule de glucose et une de fructose. ■ Les sucres composés, dits sucres lents à cause de leur absorption lente, encore appelés polysaccharides, dont le principal est l’amidon des céréales. Seuls les sucres simples sont assimilés directement par l’organisme. Les sucres composés, avant leur assimilation, doivent être transformés en sucres simples dans le tube digestif. Cette digestion se fait dans la bouche (sous l’action de la ptyaline), l’estomac, le duodénum. Les sucres simples, au terme de ce métabolisme, franchissent la muqueuse de l’intestin grêle. Transportés par le sang jusqu’au foie, le glucose et le fructose se transforment en glycogène. Le glycogène constitue la principale source d’énergie indispensable au fonctionnement des cellules du corps humain. C’est le « carburant » qui est brûlé dans les mitochondries cellulaires. Or si nous manquons de sucre, notre organisme a la capacité de tirer l’énergie dont il a besoin pour fonctionner dans la combustion des graisses qu’il a mis en réserve dans les cellules où elles sont stockées (les adipocytes). La clé de l’amincissement est là : priver l’organisme de sucres afin que celui-ci puise dans les réserves de graisses la source de son énergie vitale. Il s’ensuit un déstockage des graisses. Voilà pourquoi tous les régimes amincissants préconisent en premier lieu la réduction drastique de la consommation de sucres. D’où le succès de l’édulcorant de table Sylvia sur le marché de la minceur. Parce qu’il permet de remplacer au quotidien le sucre, Sylvia entraîne le déstockage des graisses afin de produire l’énergie permettant le fonctionnement de l’organisme. Sylvia est donc bien la véritable « clé » de l’amincissement. ACTION CHÉLATRICE DES FIBRES D’INULINE DE SYLVIASLIM Les Fructo-Oligo-Saccharides (FOS) d’inuline constituant SylviaSlim ont une fonction active dans le processus de la perte de poids : ces FOS emprisonnent littéralement les particules alimentaires avec lesquelles ils entrent en contact dans le tube digestif. Elles sont prises au piège. C’est un phénomène de chélation. Un chélate est une structure comprenant un élément (atome de charge positive) pris en « pince » par deux autres éléments (atomes de charge négative) liés à un radical organique. De même, quand deux molécules de FOS rencontrent une molécule alimentaire, elles la retiennent dans les mailles du filet de leur configuration moléculaire. Il y a une analogie entre cette chélation et la phagocytose, processus par lequel certaines cellules englobent d’autres cellules, les absorbent et les digèrent. A la différence près que les molécules de FOS ne digèrent pas les molécules qu’elles absorbent : elles favorisent leur élimination (excrétion dans les selles) puisque les fibres ne sont pas digérées pendant le transit gastro-intestinal. Cette action chélatrice des FOS d’inuline est double. Elle concerne en premier les lipides. Autant il y a de graisses capturées en amont du tube digestif (au niveau de l’estomac et du duodénum) par les FOS, graisses qui sont ensuite excrétées dans les selles, autant il y en a en moins qui sont absorbées puis qui rejoignent les adipocytes, facteur majeur d’excès pondéral. Elle concerne aussi les glucides. Autant il y a de sucres capturés par les FOS, puis éliminés dans les selles, autant il y en a en moins qui sont absorbés, autre facteur de surpoids. Grâce à l’action chélatrice des FOS d’inuline, SylviaSlim est un atout majeur pour la réussite d’un programme amincissant. INCIDENCE DES FIBRES D’INULINE DE SYLVIASLIM SUR LA DIMINUTION DE LA VALEUR GLYCÉMIQUE DES ALIMENTS L’index glycémique d’un aliment est son réel pouvoir sucrant, ce dont il faut tenir compte dans un protocole amincissant fondé sur la réduction calorique. On classe habituellement à ce sujet les aliments en 5 groupes : ■ Aliment à index glycémique très élevé : le glucose. ■ Aliments à index glycémique élevé : ■ Le sucre (de canne, de betterave). ■ Le miel. ■ Les confiseries. ■ Les confitures. ■ Les sirops de fruits. ■ Aliments à index glycémique moyen : ■ Le pain. ■ Les céréales (grains, flocons, farines). ■ Les pâtes. ■ Les pommes de terre. ■ Les féculents (haricots, lentilles, pois chiches ...). ■ Aliments à index glycémique faible : ■ Les fruits. ■ Les légumes. ■ Aliments à index glycémique très faible : ■ La viande. ■ Le poisson. Or s’il est consommé en présence de fibres, l’index glycémique d’un aliment est diminué très sensiblement. En effet, les fibres (telles les FOS de l’inuline contenue dans SylviaSlim) emprisonnent les sucres préalablement fragmentés par la ptyaline dans la bouche. La structure fibreuse particulière des FOS, avec leur maillage moléculaire spécifique, permet de « capturer » une certaine partie des molécules issues du catabolisme glucidique dès la vidange gastrique et l’émergence du bol alimentaire dans le duodénum. Ces molécules de sucre « captives » sont entraînées vers le côlon par les FOS, puis excrétées dans les selles. Elles ne sont pas assimilées au niveau de l’interface des villosités de l’intestin grêle. L’absorption calorique est ainsi sensiblement diminuée. Les fibres d’inuline (FOS) de SylviaSlim apportent une excellente réponse à une question que peuvent à bon droit se poser les personnes désirant perdre du poids : comment agir directement sur un aliment pour atténuer son pouvoir de nuisance calorique. SylviaSlim est la réponse à cette question. MIEUX CONNAÎTRE LA STÉVIA Origine La stévia (Stevia rebaudiana, de la famille des Astaracées) est originaire de la région de l’actuel Paraguay peuplée par les indiens Guaranis. C’est un arbuste qui pousse à l’état sauvage dans les prairies recouvrant les vallées et plus en altitude sur les plateaux du massif montagneux qui couvre cet espace au climat tropical, au nord-est du Paraguay, les Monts Amambay. Pour alimenter le marché mondial des édulcorants en quête de stévia, la culture s’est dans un premier temps étendue à toute l’Amérique du sud (principalement au Brésil) et au nord jusqu’au Mexique et à l’ensemble de l’Amérique centrale. Dans un second temps, la stévia a émigré en Asie et on la cultive aujourd’hui en Chine, au Japon, en Corée, en Malaisie et en Thaïlande, le premier pays producteur mondial actuel étant devenu la Chine. Etymologie Les ethnobotanistes font remonter l’utilisation de la stévia à 2 000 ans dans les pratiques culinaires indiennes des régions où elle pousse à l’état sauvage. Pour une bonne raison : sucrer les aliments, tout simplement, en broyant les feuilles séchées de l’arbuste pour en faire une épice sucrée capable d’adoucir la saveur de certaines préparations culinaires. Et aussi pour neutraliser l’amertume du maté, leur boisson reine. « Caà-êhê » : c’est ainsi que les Guaranis nomment la stévia, mot qui signifie littéralement l’herbe sucrée. Cette expression se passe de commentaires ! Culture La stévia est donc un arbuste d’une cinquantaine de centimètres de haut, pouvant atteindre jusqu’à 1 mètre dans certaines conditions propices. Ce sont les feuilles que l’on récolte pour leur pouvoir sucrant, feuilles opposées poussant sur les tiges ligneuses de la plante. Ces feuilles se récoltent à la fin de l’été, époque où la concentration en molécules sucrantes (rébaudioside A) est maximum. La stévia prospère au soleil mais craint la sècheresse, car ses racines poussent non pas en profondeur mais près de la surface du sol. Elle se reproduit par germination mais le pouvoir germinatif de ses graines est faible. Environ 25% seulement des graines qui sont semées germent. Ainsi, on pratique aujourd’hui le bouturage mais il y a un problème : il faut environ 80 000 plants de stévia pour couvrir 1 hectare, ce qui nécessite une abondante main d‘œuvre pour mettre en terre les boutures. Une fois récoltées, on fait sécher les feuilles de stévia avant de les réduire en poudre pour en extraire le rébaudioside A édulcorant. Composition Les feuilles de stévia contiennent plusieurs glycosides au pouvoir sucrant qui représentent de 5 à 20% de leur poids sec selon les conditions de culture : stéviosides, rébaudioside A, rébaudioside E, ducloside A. C’est le rébaudioside A qui a le pouvoir sucrant le plus élevé, 300 fois plus que le saccharose de référence. C’est pourquoi on ne prend en compte que cet élément là comme édulcorant. Le rebaudioside A mis en œuvre pour l’élaboration de SylviaSlim est pur à 97%. UNE LONGUE HISTOIRE Le « père » de la stévia, il y a plus de 100 ans, est un botaniste d’origine italienne nommé Moisès Santiago Bertoni qui parcourait le Paraguay à la recherche de plantes rares non encore recensées et qui écrivit en 1905 dans le « Bulletin de l’académie d’agriculture d’Asunción : « Quand on observe cette plante, on ne retient rien de particulier, mais lorsqu’on place ne serait-ce qu’un petit morceau de feuille dans sa bouche, on est impressionné par son goût sucré qui persiste plus d’une heure. » Il entreprit des études sur la stévia et publia en 1918 dans les « Anales cientificos paraguayos » ce qui fut l’acte de naissance de la plante en tant qu’édulcorant : « La Stevia Rebaudiana, nueva substancia edulcorante. » Ce fut alors un réel engouement pour cette plante capable de se substituer au seul édulcorant existant à cette époque, la saccharine chimique, alors que la stévia est naturelle. C’est le Japon, dépendant à 100% de ses importations de sucre, qui fut le propagandiste majeur de la stévia, l’autorisant dès 1970, la stévia étant reconnue par eux pour son innocuité à l’inverse des édulcorants de synthèse que le Japon ne voulait pas voir commercialisés sur son territoire. Le chemin fut long pour que la stévia soit enfin reconnue en Europe, les embûches ne manquant pas, à l’initiative des deux puissants groupes de pression ayant un intérêt à faire prolonger son interdiction, celui des sucriers et celui des fabricants d’édulcorants de synthèse. Sylvia On trouve sur le marché européen depuis février 2010 à la marque Sylvia un édulcorant de table naturel à base de rébaudioside A extrait de Stevia rebaudiana. Cet édulcorant Sylvia est conforme à l’arrêté ministériel français du 26 août 2009 publié au Journal Officiel du 15 janv janvier 2010, c’est-à-dire que le rébaudioside A qu’il contient est pur à 97%. Il se présente e en comprimés destinés à édulcorer le café, le thé, les infusions … Présenté en boît boîtes à gâchette one by one, nul doute que l’édulcorant est appelé à remplacer la saccharine, l’acésulfame K et de table Sylvia es l’aspartame dans toute l’Europe. A découvrir sans faute … Sy s en France par Sylvia & SylviaSlim sont fabriqués l’ IN INSTITUT 16 Promenade J.B. Marty - 34200 SETE – France Tél Téléphone : 00 (33) 04 11 91 61 48 Fax : 00 (33) 04 67 78 92 20 E-m E-mail : [email protected]