La face cachée de L`assurance de dommages

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La face cachée de L`assurance de dommages
cahier publicitaire | professions en Assurance de dommages
Je ne suis
pas une
vedette
de cinEma
mais...
Je ne suis
pas un
super
héros
mais...
J e n e su i s
pas une
rockstar
mais...
La face cachée de
l'assurance de dommages dans ce cahier :
2Honneur à la relève
3Démographie et
croissance économique
Avec 1.4 million d’emplois
à combler au Québec d’ici
2020, comment répondre
à la demande ?
4Portraits
Des professionnels de
l’assurance de dommages
témoignent de leur parcours
Près de 100% de chances
de trouver un emploi
Bien gagner sa vie
Relever des défis variés
Plus de 2000 postes
disponibles chaque année
Travailler en équipe
Conseiller le public
Vous êtes de ceux qui pensez que l’assurance de dommages c’est du porte-à-porte, un univers
monotone et routinier, ou bien juste une affaire de gros sous ? Détrompez-vous !
Bien que de nombreux mythes persistent encore,
l’assu­rance de dommages est essentielle et pro­
tège les biens des individus en cas de sinistre.
Elle facilite notamment le remplacement des
objets de valeur assurés pour éviter de repartir à
zéro. Feu, vol, vandalisme, catastrophe naturelle :
personne n’est à l’abri.
de compétences : entregent, attrait pour les défis,
capacité à bien réagir dans toutes sortes de si­
tuations, esprit d’analyse et de synthèse, empa­
thie, etc. En somme, l’assurance de dommages
ouvre toutes grandes ses portes aux personnes
à la recherche de défis stimulants, sans demeu­
rer au bas de l’échelle.
Il n’y a pas qu’auprès des particuliers que l’as­ Agents, courtiers, experts en sinistre, souscrip­
surance de dommages est importante. Elle joue teurs… qui fait quoi ? Pour assurer sa maison, sa
voiture ou son entreprise, on fait ap­
également un rôle social considé­
rable auprès des PME en leur per­ L’assurance de dommages pel à un agent ou un courtier en
mettant de continuer à rémunérer ouvre toutes grandes ses assurance de dommages. Son rôle
leurs employés, reconstruire leurs portes aux personnes à est de bien cerner les besoins de son
installations, remplacer le matériel la recherche de défis client et de s’assurer d’avoir un por­
trait complet de sa situation afin de
perdu et couvrir les pertes d’exploi­ stimulants.
lui offrir une protection adéquate au
tation subies en cas de sinistres.
Ces PME comptent d’ailleurs pour 90 % des en­ meilleur tarif possible.
treprises créatrices d’emplois au Québec.
Maison centenaire, voiture accidentée ou entreprise
Au-delà de la protection des biens et de son risquée? Voilà des particularités qui nécessitent une
rôle social, l’assurance de dommages c’est analyse plus exhaustive. Le dossier est donc trans­
2000 postes à combler chaque année, un taux de féré à un souscripteur qui en évaluera le risque.
placement de 97 %, des perspectives d’emploi Grâce à une multitude de données techniques, il en
excellentes et des possibilités d’avancement viendra notamment à décider si la maison est assu­
quasi-infinies. Le tout, au sein d’une industrie rable et à combien s’élèvera la prime.
solide, dont le chiffre d’affaires annuel est de
Un vol, un incendie ou une inondation survient ?
8 milliards de dollars qui emploie plus de
L’expert en sinistre entre en jeu pour s’occuper
33 000 personnes dont les conditions de travail
de la réclamation. Que s’est-il passé ? Quels
sont plus qu’enviables. Malgré tout, la crois­
sont les dommages causés ? À combien s’élève
sance de l’industrie et les nombreux départs à la
les pertes ? Autant de questions qui lui serviront
retraite font que l’assurance de dommages vit une
à déterminer le coût global du sinistre et le mon­
pénurie de main-d’œuvre importante qui se pour­
tant d’indemnisation qui peut être versé.
suivra dans les années à venir.
Pour en découvrir davantage sur les possibilités
Quatre professions en demande
de carrières, poursuivez votre lecture et visitez
Loin d’être monotones et routinières, les car­ prosdelassurance.ca, le site internet de la
rières en assurance de dommages sont stimu­ Coalition pour la promotion des professions en
lantes et font appel à une panoplie d’aptitudes et assurance de dommages.
page 2 | cahier publicitaire | professions en Assurance de dommages
Prix
é
Marcel-Tass
2012
Je ne suis pas spiderwoman, mais...
Je protège le public
« Quand j’étais jeune, je voulais être policière. Je voulais sauver le monde et je me souviens même que mon amie et moi prenions des voitures de police en
filature durant de longues heures pour admirer leur travail. Je me voyais en Spiderwoman ! »
Jessica Désilets s’est bien vite rendu compte qu’elle
ne pouvait voler au secours des gens en sautant d’un
immeuble à l’autre ! Elle a parcouru un long chemin
avant de trouver sa voie : sciences humaines, droit,
politique, soins infirmiers. La seule priorité qui la
guidait sans cesse était son désir de protéger les
gens, d’être près d’eux. Un objectif qu’elle réalise
pleinement depuis qu’elle est courtier en assurance
de dommages.
Jessica s’estime également très chanceuse de tra­
vailler au sein de l’équipe dynamique de PMT Roy,
composée de gens passionnés par leur travail. « Mes
collègues ne sont pas blasés et travaillent très fort
pour réussir à offrir le meilleur produit à leurs clients. »
« Il faut être très proactif dans le domaine de l’assu­
rance et les clients, surtout en région, apprécient
beaucoup le contact direct avec leur courtier. Per­sonne
n’imagine le travail colossal qui se fait derrière une
proposition d’assurance intéressante. »
« Je n’avais pas réalisé à quel point nous jouons un
rôle important auprès du public avant qu’un ami me
parle de son travail comme expert en sinistre, Pour assurer le meilleur service qui soit aux clients, tout
en répondant aux aspirations des employés, la formation
explique la jeune femme. Il m’a trans­
mis sa passion et j’ai découvert un monde Aujourd’hui, elle a retrouvé est très encouragée par les employeurs
dans le domaine des assurances. « La
fascinant. »
cette montée d’adrénaline et porte est grande ouverte pour les profes­
Tellement qu’elle s’est investie corps et
sionnels qui désirent se perfectionner. Il
âme dans ses études pour terminer en ce goût de relever les défis est possible de poursuivre des études au
décembre 2011 avec un dossier acadé­ qui l’animaient enfant.
cégep et à l’université, tout en étant à
mique impeccable. Son excellence a
l’emploi d’un cabinet. C’est tellement
ensuite été récompensée en mars dernier par la stimulant d’évoluer dans un tel contexte ! »
Chambre de l’assurance de dommages (ChAD) qui lui
Prix Marcel-Tassé
a décerné le prestigieux prix Marcel-Tassé.
Ce prix fait bien sûr la fierté de Jessica Désilets, mais Chaque année depuis janvier 2000, la ChAD décerne
le travail qu’elle effectue tous les jours auprès de ses le prix Marcel-Tassé à une personne œuvrant dans le
clients la rend encore plus fière. Aujourd’hui, elle a domaine, afin d’encourager et d’honorer la relève en
retrouvé cette montée d’adrénaline et ce goût de relever assurance de dommages. Ce prix, assorti d’une
bourse de 1000 $, représente pour tous les finissants
les défis qui l’animaient enfant.
une reconnaissance et une carte de visite exception­
« Tu ne sais jamais de quoi sera faite ta journée, car nelle au sein de l’industrie. Jessica Désilets s’est
elle est toujours différente de la veille. Mon travail va démarquée cette année par sa personnalité, son par­
au-delà de la vente. Je conseille mes clients et cours scolaire et ses aspirations professionnelles.
j’apprends toujours quelque chose de nouveau. En
assurance, la monotonie n’existe pas. »
Je ne suis pas
spiderwoman
QU’EST-CE QUE LA CHAMBRE DE L’ASSURANCE DE DOMMAGES ?
La Chambre de l’assurance de dommages (ChAD) est un organisme d’autoréglementation qui a pour mission d’assurer la protection du public en
matière d’assurance de dommages et d’expertise en règlement de sinistres. Elle veille à la formation continue obligatoire et à la déontologie de plus
de 14 000 agents et courtiers en assurance de dommages, ainsi que d’experts en sinistre. Elle encadre de façon préventive et discipline la pratique
professionnelle des individus oeuvrant dans ces domaines. Une des principales obligations des professionnels encadrés par la ChAD est de conseiller le public en matière de protection du patrimoine, et à ce titre ils
sont soumis à un code de déontologie destiné à veiller à ce qu’ils mènent à bien leur pratique avec compétence et intégrité.
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Démographie et croissance économique :
double défi pour l’assurance de dommages
Bien que l’assurance de dommages soit une industrie essentielle et porteuse d’avenir, elle peine depuis plusieurs années à recruter une main-d’œuvre de
qualité et en quantité suffisante pour répondre à la demande. « Notre plus grand défi pour les années à venir sera sans contredit le remplacement de la maind’œuvre, explique Maya Raic, présidente-directrice générale de la Chambre de l’assurance de dommages (ChAD), l’organisme qui encadre les professionnels
certifiés. En ce moment, 50 % de nos membres ont 45 ans et plus. Pour combler les postes que ces personnes laisseront vacants d’ici quelques années à
peine, il faut agir dès maintenant. »
Près de 2000 postes sont à combler chaque année en
assurance de dommages seulement et la situation
pour le Québec est préoccupante. Selon les estimations
d’Emploi-Québec, d’ici 2020, la province devra combler
1,4 million d’emplois, dont 75 % représenteront des
remplacements de départs à la retraite et 25 % de
nouveaux postes liés à la croissance économique.
En 2002, la ChAD, de concert avec l’industrie, a créé
la Coalition pour la promotion des professions en
assurance de dommages (Coalition) afin d’intéresser
un nombre grandissant de gens aux carrières dans le
domaine. « Nous avons vu venir les problèmes démo­
graphiques et nous avons décidé d’agir, explique
Me Robert LaGarde, président de la Coalition. Que ce
soit par l’entremise d’événements liés à l’emploi, de
campagnes promotionnelles, d’outils pédagogiques
et même de jeux sur Internet, nous mettons tout en
œuvre pour attirer davantage de candidats en assu­
rance de dommages. » Malgré tous les efforts investis,
la problématique demeure.
Une relève aux multiples visages
Pour combler ces besoins, la Coalition compte orienter
ses efforts de recrutement auprès de quatre profils
d’individus puisque les aspirants à la profession ne
sont plus uniquement concentrés au niveau secon­
daire. La relève prend également le visage des adultes
en réorientation de carrière qui cherchent à se rap­
procher de leurs aspirations tout en améliorant leur
qualité de vie, des retraités qui souhaitent demeurer
actifs à un rythme plus modéré, de même que des
nouveaux arrivants stimulés à se tailler une place sur
le marché du travail. « Ces personnes représentent
un bassin de main-d’œuvre extraordinaire pour
l’assurance de dommages, précise Me LaGarde.
Notre industrie va devoir s’adapter à ces nouveaux
professionnels en offrant, par exemple, des horaires de
travail assouplis et la possibilité d’être en télétravail
pour les retraités. »
Maya Raic, présidente-directrice générale de la Chambre
de l’assurance de dommages (ChAD)
Me Robert LaGarde, président de la Coalition pour la
promotion des professions en assurance de dommages
Ce changement de profil de la relève soulève trois
grandes préoccupations pour la ChAD. « Tout d’abord,
l’écart générationnel nous obligera à revoir nos façons
de faire. Ensuite, il faudra s’assurer d’une bonne trans­­
mission de connaissances en raison de l’écart d’expé­
rience qui va se créer. Enfin, le gouvernement devra
faire des efforts afin de reconnaître les compétences
acquises par les nouveaux arrivants dans leur pays
d’origine », souligne Mme Raic.
assurance de dommages représente également un
défi, tant pour la Coalition que pour l’ensemble de
l’industrie », ajoute Maya Raic. Heureusement, la per­
ception des gens face à l’industrie se modifie de plus
en plus favorablement et différents sondages omni­
bus menés entre 2006 et 2010 ont fait état d’une amé­
lioration des perceptions de 25 %. « En 2010, l’Indice
relatif du bonheur a même classé l’assurance de
dommages au 1er rang des professions en termes de
bien-être des employés », ajoute Me LaGarde.
« Comme quoi la profession gagne à être connue ! »,
conclut Mme Raic.
Avez-vous
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profil
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❏ Je suis du style à calculer les risques que je prends.
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❏ Je suis plus du style à « prendre les devants » qu’à attendre qu’on me dise quoi faire.
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serré.
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❏ Je démontre un intérêt pour le secteur des finances, de la comptabilité et tout ce
qui touche au domaine juridique.
❏ J’ai la réputation d’être persévérant.
❏ Lorsque quelqu’un me parle de son expérience, je suis du style à vouloir tout
savoir, même les détails.
Si certains des énoncés ci-dessus correspondent à votre personnalité, vous avez peut-être le profil d'un pro. Pour découvrir si vous possédez les attitudes et les
aptitudes dans l’une ou plusieurs des quatre professions de l’assurance de dommages, remplissez le questionnaire en ligne sur www.questionnaire.chad.qc.ca. Qui sait,
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Je ne suis pas une actrice, mais...
J’ai décroché le rôle de ma vie!
Toute petite, dans ses Philippines natales, Reina Ricci Suarez rêvait de devenir une grande actrice. Découragée par sa mère, elle oriente plutôt sa carrière vers
le domaine financier. Arrivée au Québec il y a 5 ans, elle a relevé le double défi d’apprendre le français tout en réussissant avec brio ses études en assurance
de dommages.
Elle obtient même la meilleure note de toute sa essentielles pour exceller dans son domaine. Il faut
promotion; la direction et les professeurs de son école avoir une bonne capacité d’analyse, bien conseiller les
lui décernent un prix pour souligner l’excellence clients et avoir de l’entregent. « Ma personnalité dyna­
de son parcours scolaire. « J’ai en fait été
mique et extravertie me permet d’entrer
choisie meilleure étudiante de toute l’île Ma personnalité dyna- facilement en contact avec les gens. »
de Montréal dans mon domaine d’études »,
mique et extravertie me « Les gens croient souvent à tort que le tra­
précise-t-elle.
vail de courtier se résume à un travail de
Pour y arriver, elle avoue avoir travaillé permet d’entrer facile- bureau mais c’est tout le contraire. Nous
d’arrache-pied. Mais les défis ne font pas ment en contact avec avons des déjeuners d’affaires, nous partici­
peur à Reina. Non contente d’avoir si bien
pons à des activités avec des compagnies
les gens.
réussi, elle décide de pousser ses connais­
d’assurance, nous assistons à des confé­
sances encore plus loin. Elle met à profit
rences et nous sommes en contact avec
les connaissances en droit acquises dans son pays beaucoup de personnes. »
pour se spécialiser dans le domaine juridique appliqué
aux entreprises en devenant courtier en assurance « Il y en a pour tous les goûts en assurance : si votre
commerciale pour le cabinet Seymour Alper. « Ce que force est dans la vente, vous pouvez vous y consacrer
je veux faire, c’est analyser tous les aspects légaux des entièrement, mais si vous préférez l’analyse de
polices d’assurance qui sont proposées à mes clients, dossiers, vous pouvez ne faire que cela également. De
toute la terminologie parfois compliquée qu’on y re­ plus, ça peut devenir un travail très lucratif puisque
trouve. Et je me bats pour eux; si une compagnie hésite vous êtes rémunéré à la commission », poursuit-elle.
à accepter la réclamation d’un de mes clients, je né­ En plus de sa personnalité, les qualités d’actrice de
gocie avec elle pour parvenir à une entente. »
Reina ont également été mises à profit puisque son
De toute évidence, Reina est une négociatrice hors-pair. cabinet lui a demandé de participer à une publicité, ce
Mais elle doit également combiner d’autres qualités qu’elle a accepté avec joie !
Je ne suis pas
une actrice
Je ne suis pas un golfeur professionnel, mais...
J’analyse le terrain
Sportif dans l’âme, François Paquet rêvait de se mesurer aux Tiger Woods, Rory McIlroy et Adam Scott de ce monde. Le golf était sa passion : analyser le terrain,
la force du vent et peaufiner sa stratégie pour arriver le plus efficacement possible à son but, voilà ce qui l’animait. Ces qualités, il les met aujourd’hui à profit dans
sa nouvelle profession : courtier en assurance de dommages.
« Quand j’ai terminé mon secondaire, je ne savais pas
trop dans quel domaine me diriger, raconte-il. Je me
suis donc inscrit en sciences humaines. J’ai vite décou­
vert que la sociologie, l’anthropologie et les autres
matières enseignées n’étaient pas faites pour moi. »
Il décide donc de prendre un temps de réflexion et se laquelle on se trouve car chaque nouveau cas est diffé­
lance sur le marché du travail dans le domaine de la rent du précédent.
vente où il excelle pendant trois ans. « Ce que j’aimais
de ce travail était le contact direct avec les gens et sur­ Il faut également faire preuve d’un bon contrôle de soi
tout d’être toujours à la recherche de la meilleure solu­ pour réagir avec calme à une situation difficile. « Et
comme un mauvais trou au golf, il faut savoir reprendre
tion pour répondre à leurs besoins. Mais
je ne voulais pas en faire une Comme un mauvais trou le dessus rapidement si quelque chose ne
tourne pas comme on l’aurait souhaité ».
carrière à long terme. »
au golf, il faut savoir Il faut surtout vouloir apprendre sans
François, qui a toujours été
entouré de personnes œuvrant reprendre le dessus rapi- cesse afin de développer de meilleures
dans le domaine de l’assu­ dement si quelque chose stratégies et se maintenir à jour. « Je
rance, décide donc de rejoin­ ne tourne pas comme on songe éventuellement à parfaire ma for­
mation, soit en m’inscrivant à un certificat
dre l’un de ses amis déjà
à l’université ou à toute autre formation
l’aurait
souhaité.
inscrit à un programme en
qui me permettrait de progresser dans
assurances au collégial.
mon domaine. Je ne vois pas quand je cesserai d’exer­
« Je suis immédiatement tombé en amour cer cette profession tellement elle est stimulante »,
avec le DEC Conseil en assurances et ser­ affirme ce courtier de 25 ans.
vices financiers et j’ai tout de suite su que
je voulais devenir courtier en assurance de
dommages dans le domaine commercial. »
Durant ses études, il effectue ses stages au
cabinet Gagnon, Rochette et associés de
Donnacona, où il est engagé après l’obten­
tion de son diplôme en 2010.
« Ce que j’aime particulièrement dans le
domaine commercial c’est que j’en ap­
prends toujours plus : fermes, garages,
commerces de détail, on devient vite poly­
valent. Comme je suis très curieux, je
­m’intéresse beaucoup aux particularités
de chaque industrie. »
Programme financé par le ministère de l’Éducation du Québec et offert à toute personne désirant
étudier à temps complet (clientèle d’Emploi Québec ou admissible aux prêts et bourses)
3017217
Votre courtier d’assurances,
un spécimen rare
Il a opté pour un cabinet de courtage afin,
croit-il, de mieux répondre aux besoins de
ses clients qu’il rencontre directement sur
leur lieu de travail. L’accès aux produits de
plusieurs compagnies d’assurance est un
avantage selon lui.
Pour François Paquet, il existe de nom­
breuses similarités entre les qua­
lités
essentielles pour devenir un bon golfeur et
un excellent courtier en
assurance de dommages.
Il faut tout d’abord faire
preuve d’une excellente
concentration afin de bien
analyser la situation devant
Je ne suis pas
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du client. Entrepreneur, il peut être propriétaire de
son cabinet.
Spécialité Capacité d’analyse, esprit d’initiative, service à la
clientèle, curiosité, empathie, communication.
Employeur
Cabinet de courtage.
Préalable Obtenir un certificat de représentant d’assurance
de dommages émis par l’Autorité des marchés
financiers.
Le courtier peut acquérir des titres professionnels tels courtier d’assurance
associé (C.d’A.Ass.) ou courtier d’assurance agréé (C.d’A.A.). Ces titres sont
délivrés par la Chambre de l’assurance de dommages. Voilà une carrière qui
offre des possibilités d’avancement !
cahier publicitaire | professions en Assurance de dommages | page 5
Je ne suis pas carrossière, mais...
Je protège les voitures
Nancy Labonté-Mercier a toujours voulu être carrossière automobile. Toute jeune, elle était attirée par l’esthétisme créé par les constructeurs a­ utomobiles
et elle voulait redonner un second souffle aux pièces usées ou endommagées. « J’aimais suivre l’évolution entre le moment où la pièce commence à être
réparée et celui où elle est redevenue comme neuve. »
Elle entreprend donc un stage d’un mois dans un ate­ Ce que Nancy apprécie le plus de son environnement
lier de débosselage et peinture. « J’aimais vraiment de travail c’est l’ambiance familiale et l’esprit
le travail que je faisais, mais c’était un
d’entraide qui règnent au sein de son
­
travail très exigeant pour le corps et j’ai Avant, je voulais re- équipe. « De plus, lorsqu’on devient vrai­
décidé de transformer cette passion en
ment à l’aise dans les tâches que l’on oc­
donner une seconde cupe, on nous fait progresser en nous
passe-temps. »
confiant des tâches plus complexes. Tout
Elle choisit ainsi de suivre l’attestation vie aux a­utomobiles, ça à notre rythme, sans nous mettre de
d’études collégiales en assurance de aujourd’hui, mon rôle pression. »
dommages pour devenir expert en sinistre. est de les protéger!
À peine a-t-elle débuté sa formation que
Nancy avoue aussi qu’elle était bien
ses aspirations professionnelles se défi­
­préparée pour le marché du travail grâce
nissent encore un peu plus lorsqu’elle s’aperçoit à des professeurs compétents qui œuvraient active­
qu’elle a beaucoup plus d’aptitudes pour le métier ment dans le domaine. La transition études-travail
d’agent ou de courtier, que celui d’expert.
s’est donc faite sans surprise ni heurt. « Je travaille
fort et j’ai des objectifs à atteindre, sans que cela
Une fois ses cours terminés, elle s’attaque rapide­ devienne un stress constant. En fait, j’aime tellement
ment au marché du travail. « J’ai été très chanceuse, ce que je fais, que je participe maintenant à des évé­
car lors d’une visite d’entreprise à notre école, j’avais nements liés à l’emploi pour promouvoir l’assurance
pressenti la compagnie La Capitale comme futur em­ de dommages ! »
ployeur. J’ai postulé juste au moment où je terminais
ma formation et, deux semaines plus tard, j’avais le Bref, Nancy ne s’est pas éloignée de son rêve d’enfant.
poste ! »
« Avant, je voulais redonner une seconde vie aux auto­
mobiles, aujourd’hui, mon rôle est de les protéger ! »
Je ne suis pas
carrossière
je ne suis pas musicien, mais...
Je crée au quotidien
Maxime Dorval avait plusieurs passions lorsqu’il était petit. Tout ce qui touchait les arts l’attirait, surtout la musique. Pour lui, c’était une manière d’entrer
en contact avec les gens. « Lorsque je joue une pièce, j’ai l’impression de communiquer en quelque sorte », explique-t-il.
Vers la fin de son secondaire, son choix s’est pourtant « C’est à ce moment qu’un ami qui travaille chez
porté vers le métier de pompier. Il souhaitait venir en Bélair Direct m’a proposé d’essayer l’assurance de
dommages. Avec mon expérience déce­
aide aux gens. Aujourd’hui, il se dit que
c’est une chance que les cours ne lui Sa créativité, il la met vante en assurance-vie, j’hésitais, mais
aient pas été accessibles à ce moment, maintenant au service de je me suis laissé tenter et j’ai découvert
un tout autre monde que celui auquel je
car cela lui a permis de suivre un tout
autre chemin que celui qu’il prévoyait ses clients afin de leur m’attendais. »
prendre.
offrir une protection d’asCe que Maxime apprécie le plus dans son
« La musique était vraiment une pas­ surances adaptée à leurs nouveau travail d’agent en assurance
de dommages, c’est la flexibilité de son
sion, mais je savais que j’aurais plus de besoins spécifiques.
horaire de travail, ce qui est idéal quand
difficulté à gagner ma vie. J’ai décidé
de conserver cet art comme passe-temps et de choi­ on a une jeune famille ! « L’entre­prise nous propose
sir un autre métier. J’ai alors décidé de faire des un plan de conciliation travail-famille adapté à la
études en dessin de bâti­
ment, pour combler mon
besoin d’expression artis­
tique. J’ai vite déchanté, car
durant les quatre années où
j’ai travaillé comme estima­
teur de structures d’acier,
j’ai fait bien plus de calculs
que de création. »
réalité des travailleurs d’aujour­d’hui. C’est vraiment
génial ».
Maxime a trouvé sa voie. Il a maintenant une carrière
qui lui permet de travailler au quotidien avec la clien­
tèle. Sa créativité, il la met maintenant au service de
ses clients afin de leur offrir une protection d’assu­
rance adaptée à leurs besoins spécifiques. Et tout ça,
en arrivant à la maison suffisamment tôt pour s’occu­
per de ses trois enfants et jouer de la musique !
2997401
Maxime s’est ensuite tourné
vers le domaine de l’assu­
rance-vie. Ce ne fut pas
concluant, une fois encore.
« Par contre, j’y ai découvert
un aspect de ma personna­
lité que j’ignorais et c’est ma
facilité à interagir avec les
gens, à leur proposer des
solutions. Le service à la
clientèle était ma plus
grande force. »
Ne se décourageant pas,
Maxime a décidé de mettre
son talent pour le service à la
clientèle à profit, tout en vi­
vant une autre de ses pas­
sions : les voitures. Il a ainsi
travaillé pour une entreprise
de location de voitures pen­
dant 6 ans, jusqu’à devenir
directeur de succursale. Là
s’arrêtaient les possibilités
d’avancement.
Je ne suis pas
musicien
C’est votre talent
qui fait avanCer le MouveMent
faites carrière en assurance de dommages
Parce que votre vie n’est pas que le travail et
parce que votre passion se vit dans un environnement
dynamique et stimulant.
Agent en assurance
de dommages
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Analyser. Conseiller. Vendre.
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Travailler dans un centre d’appels en relation
directe avec le public. Proposer un produit adapté
aux besoins du client.
Spécialité
Service à la clientèle, dynamisme, capacité de
persuasion, écoute, habileté de vulgarisation,
aptitude à relever des défis.
Employeur
Compagnie d’assurance.
Préalable
Obtenir un certificat de représentant en assurance de
dommages émis par l’Autorité des marchés financiers.
Allant de l’assurance des biens des particuliers à l’assurance des entreprises, en
passant par l’assurance automobile, la liste de produits qu’un agent peut vendre est
exhaustive. Voilà une carrière qui permet de relever des défis variés !
Qualité de vie. Conditions avantageuses. Carrière.
il est possible de tout avoir!
Desjardins Groupe d’assurances générales
vous ouvre ses portes.
Postes d’agent en assurance de dommages,
d’agent exclusif, d’expert en sinistres et
plusieurs postes en assurance des entreprises.
desjardins.com/carriere
page 6 | cahier publicitaire | professions en Assurance de dommages
Je ne suis pas un croque-mort, mais...
Je soutiens les gens dans
des moments difficiles
Yves Boucher voulait devenir entrepreneur de pompes funèbres. Non pas que la mort l’attirait, bien au contraire. Ce qui l’interpellait, c’était plutôt
les vivants; ceux qui avaient besoin d’aide et de soutien pour traverser cette épreuve difficile. Son côté entrepreneurial était également titillé
à l’idée d’être son propre patron.
Yves a pourtant mis son rêve d’enfant en veilleuse et
a travaillé pendant 20 ans dans des commerces de
détail en milieu rural. « Ce que j’aimais en travaillant
dans une quincaillerie de campagne, c’était le contact
avec les gens et la polyvalence que cela exige, expli­
que l’homme dans la quarantaine. Mais mon esprit
entrepreneurial s’est réveillé en 2010 et j’ai démarré
une compagnie de nettoyage sous pression d’exté­
rieur de bâtiment. »
Pub Ass CLL_Asura
L’entreprise ne fournissant de travail que sur trois d’analyse, développer notre côté négociateur et être
»,
saisons, il n’était pas question pour cet homme actif ouvert d’esprit pour bien réaliser notre travail et dynamique de gâcher ce temps libre ! Yves décide admet celui qui espère poursuivre sa carrière très
longtemps.
d’en tirer profit en effec­
tuant un retour aux études. L’empathie qu’il ressentait déjà envers les personnes
Une carrière en assurance
Son choix se porte immé­
endeuillées
lorsqu’il
était
jeune,
son
désir
de
venir
en
de dommages peut s’entre­
diatement sur un cours en
assurance de dommages aide aux gens, la compréhension et l’écoute dont il prendre à n’importe quel
­
des particuliers. « Quand je sait faire preuve lui servent maintenant auprès des âge et Yves Boucher est la
preuve vivante qu’il n’est
travaillais en quincaillerie,
jamais trop tard pour se
j’ai suivi un cours gens sinistrés qu’il accompagne au quotidien.
réaliser pleinement dans un
d’évaluation de
emploi qui comble notre
dommages après sinistre dans le domaine
désir
de
relever
un
nouveau
défi professionnel et
de l’habitation. Après tout, je devais sou­
notre
besoin
de
se
dépasser
au
plan personnel.
vent accompagner des clients dans leurs
rénovations. Plusieurs d’entre eux étaient
aux ­
prises avec des dégâts causés par
l’eau ou le feu. »
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votre expérience
en diplôme!
Départ : 7 janvier 2013
AEC en assurance
de dommages (RAC)
www.cll.qc.ca/dfc
Sa formation, Yves décide de la suivre à
distance afin de maximiser son temps. Il
la termine en 13 mois, passe son examen
à l’Autorité des marchés financiers et
effectue un stage de six semaines chez
Promutuelle Beauce, où il est engagé im­
médiatement comme commis à l’indem­
nisation trois jours par semaine. Quelques
semaines plus tard, il est officiellement
engagé à plein temps comme expert en
sinistre. « J’ai tout de suite senti que j’étais
à ma place ! »
Je ne suis
pas un
croque-mort
Pour Yves Boucher, son travail est une
véritable passion. « Je dis souvent à mon
épouse que je ne vois pas passer les
journées. Tous les cas que je traite sont
uniques, les réclamations sont différentes,
et je peux enfin exploiter pleinement mes
qualités. » L’empathie qu’il ressentait déjà
envers les personnes endeuillées lorsqu’il
était jeune, son désir de venir en aide aux
gens, la compréhension et l’écoute dont il
sait faire preuve lui servent maintenant
auprès des gens sinistrés qu’il accom­
pagne au quotidien.
« Il faut aussi être curieux, aimer effectuer
des enquêtes, posséder un bon esprit
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Expert en sinistre
Mission
Enquêter. Estimer. Négocier.
Au quotidien Établir les faits et les circonstances d’un sinistre afin d’établir le rè­gle­
ment. Conseiller et accompagner l’assuré tout au long du processus.
Spécialité
Sens de l’observation, empathie, capacité à établir des liens, esprit
critique, discipline, gestion des urgences.
Employeur
Compagnie d’assurance, cabinet d’expertise indépendant.
Préalable
Obtenir un certificat d’expertise en règlement de sinistres émis par
l’Autorité des marchés financiers.
Les experts en sinistre peuvent travailler dans un bureau ou sur la route. Voilà une carrière qui offre
des possibilités intéressantes !
Les principaux organismes
de l’industrie
Association des experts en sinistre
indépendants du Québec (AESIQ)
Corporation des assureurs directs de
dommages (CADD)
L’AESIQ est un organisme visant à maintenir le
leadership des experts en sinistre indépen­
dants du Québec en étant leur porte-parole.
La mission de la CADD est de promouvoir les
intérêts de ses membres en les représentant
auprès des ­divers organismes de l’industrie de
l’assu­rance de dommages, des gouvernements
et des consommateurs.
www.cadd.ca
Autorité des marchés financiers (AMF)
Portes Ouvertes
Mardi 30 octobre
de 17h à 20h30
Les cours débutent
le 14 janvier 2013
Admission gratuite !
Pour tous les candidats qui
s’inscrivent sur place durant
les Portes ouvertes.
(Valeur 50$)
L’AMF est mandatée par le gouvernement du
Québec pour encadrer les marchés financiers
québécois et prêter assistance aux consomma­
teurs de produits et services financiers. Sa mis­
sion est de veiller à la protection du public en
appliquant les lois et règlements qui régissent
le secteur financier.
www.lautorite.qc.ca
Bureau d’assurance du Canada (BAC)
Le BAC, qui regroupe la majorité des assureurs
de dommages au Canada, offre différents ser­
vices aux consommateurs afin de les informer
et de les accompagner lors de la souscription
de leurs assurances automobile ou habitation
ou encore lors d’un sinistre.
www.bac-quebec.qc.ca
Chambre de l’assurance de dommages
(ChAD)
La ChAD assure la protection du public en ma­
tière d’assurance de dommages et d’expertise
en règlement de sinistres. Elle veille à la forma­
tion continue obligatoire et à la déontologie des
14 000 agents et courtiers en assurance de
dommages, ainsi que des experts en sinistre.
Elle encadre de façon préventive et discipline la
pratique des professionnels œuvrant dans ces
domaines.
www.chad.ca
Groupement des assureurs automobiles
(GAA)
Le GAA est responsable d’établir et de mainte­
nir les mécanismes permettant de garantir
l’accès à l’assurance automobile, de simplifier
et d’accélérer le règlement des sinistres en
plus d’en contrôler les coûts.
www.gaa.qc.ca
Institut d’assurance de dommages du
Québec (IADQ)
L’IADQ offre deux programmes distincts de for­
mation qui conduisent à l’obtention des titres
de Professionnel d’assurance agréé (PAA) et de
Fellow Professionnel d’assurance agréé (FPAA),
de même que plusieurs cours répondant aux
exigences de formation continue obligatoire
pour les professionnels.
www.iadq.qc.ca
Regroupement des cabinets de courtage
d’assurance du Québec (RCCAQ)
Le RCCAQ a pour mission de défendre les inté­
rêts économiques de la profession de courtier,
d’appuyer ses membres dans l’exercice de
leurs fonctions, de promouvoir le caractère
distinctif de la profession et de favoriser la
­
­cohésion entre les partenaires du réseau.
www.rccaq.com
cahier publicitaire | professions en Assurance de dommages | page 7
Je ne suis pas pilote, mais...
J’ai pris mon envol
Samy Bechikhi a toujours été fasciné par le domaine de l’aviation. Petit, il se demandait bien comment ces gros oiseaux de fer pouvaient s’élever dans le
ciel avec autant de grâce et il s’imaginait devenir pilote d’avion.
En vieillissant, il a bien compris que, derrière ces
décollages majestueux et ces atterrissages à couper
le souffle, il n’y avait pas de magie : beaucoup de gens
avaient travaillé pour concevoir, construire et piloter
ces avions. Son rêve de transporter ses
passagers en toute sécurité a pris une Sa passion
tournure pour le moins inattendue.
Excellent en mathématique et entouré de
gens dans le domaine financier, Samy
s’est progressivement orienté vers l’as­
surance maritime, domaine dans lequel il
a travaillé pendant quatre ans en Algérie.
considérer que c’est un défi qui me stimule sans
cesse ». Le travail de Samy le met surtout en contact
avec de nombreux courtiers qui cherchent le meilleur
produit pour leur client, souvent des importateurs et
exportateurs de produits divers. Une fois
de l’analyse le travail du courtier réalisé, c’est-à-dire
déterminer les besoins spécifiques de
du risque, il la vit son client, Samy prend le relais.
maintenant à titre de
« Je dois tout d’abord déterminer si ma
compagnie offre le produit qui convient
au client. Si oui, je dois ensuite analyser
compagnie Intact.
tous les aspects qui doivent être assurés,
de la prise de possession du colis jusqu’à
En 2004, il immigre au Québec. « Mon intégration n’a sa destination finale. En plus de voir à assurer le
pas été facile au début parce que j’avais peu de con­ navire : naufrage, bris, vandalisme, collision, piratage,
naissances en anglais, mais je n’ai pas abandonné ». tout doit être analysé ».
Travaillant en centre d’appels, puis comme courtier,
Samy a ainsi pu acquérir une expérience de travail Samy a pris un nouvel envol au Québec. Si certaines
canadienne tout en perfectionnant son anglais. Puis, pratiques sont différentes que dans son pays, il n’y
un poste de souscripteur en assurance des particu­ voit que du bon. « Il existe ici des produits que je ne
liers s’ouvre pour une période d‘un an. Samy fonce et connaissais pas et nous avons plus de marge de
obtient le poste. Sa passion de l’analyse du risque, il manoeuvre. De plus, nous pouvons participer à de
la vit maintenant à titre de souscripteur pour la com­ nombreuses formations qui nous tiennent à jour dans
pagnie Intact. Sa spécialité : l’assurance maritime.
plusieurs domaines. C’est très stimulant et j’encou­
rage fortement les gens qui ont des ambitions en
« Enfin, l’expérience que j’ai acquis dans mon pays assurance à faire preuve de détermination! »
me sert tous les jours. Le domaine maritime est
tellement passionnant, il y a tellement d’aspects à
souscripteur
pour
la
Je ne suis
pas un pilote
Souscripteur
Mission
Analyser. Souscrire. Former.
Au quotidien
Étudier les propositions faites par les courtiers ou les agents. Évaluer le risque et fournir une soumission appropriée.
Spécialité
Esprit de synthèse, jugement, sens du calcul, recherche d’information, volonté d’apprendre, entregent.
Employeur
Compagnie d’assurance.
Les souscripteurs agissent comme personne-ressource auprès des courtiers ou des agents et travaillent en étroite collaboration avec les différents services de son entreprise.
Voilà une carrière qui permet de travailler en équipe !
3015592
Plus qu’une carrière...
un milieu de vie !
Évoluez dans un milieu
où respect mutuel,
intégrité, excellence
et responsabilité sociale
sont à l’honneur,
au quotidien.
Plusieurs possibilités de carrières s’offrent à vous chez Intact à Saint-Hyacinthe,
Montréal et Québec, que vous soyez nouvellement diplômé ou plutôt
expérimenté, et ce, dans différents secteurs, dont :
Indemnisation • Souscription • Actuariat • Marketing
Technologies de l’information • Finances • Investissements
et encore plus !
Intact vous offre plus qu’un travail : un environnement stimulant où les avantages
sont nombreux !
 Vous aurez la possibilité de relever des défis excitants et de faire avancer
votre carrière !
 Vous aurez accès à des programmes de formation qui vous permettront
de développer votre talent.
 Vous bénéficierez de conditions de travail concurrentielles
et d’aménagements de travail flexibles.
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page 8 | cahier publicitaire | professions en Assurance de dommages
Devenir un professionnel
Pour devenir agent ou courtier en assurance de dommages ou encore expert en sinistre, vous devez être titulaire du certificat approprié, délivré par l’Autorité
des marchés financiers. Pour ce faire, vous devez satisfaire aux exigences de formation minimale, réussir les examens liés à la profession de votre choix et
réussir une période probatoire. Voici les étapes à suivre :
Étape 1 : Satisfaire aux exigences de formation
minimale
Étape 2 : Réussir les examens de l’Autorité des
marchés financiers
Les formations minimales acceptées sont :
Pour les candidats qui n’ont pas suivi de formation
spécialisée, l’Autorité des marchés financiers offre des
manuels et des outils pour se préparer aux examens.
Le Regroupement des cabinets de courtage d’assurance
du Québec offre également des formations intensives et
interactives pour devenir courtier : RCCAQ-Courtier 101
(pour l’assurance des particuliers) et RCCAQ-Courtier
102 (pour l’assurance des entreprises).
Diplôme d’une formation collégiale spécialisée reconnue
par l’Autorité des marchés financiers, soit le diplôme
d’études collégiales (DEC) Conseil en assurances et
services financiers ou l’Attestation d’études collégiales
(AEC) en assurance de dommages;
Diplôme d’études collégiales du Québec, baccalauréat,
diplôme d’études supérieures spécialisées, maîtrise,
doctorat ou deux certificats universitaires de 30 crédits
chacun délivrés par une université canadienne;
Scolarité de base (DES, DEP ou AENS) comptant pour
11 ans d’études, accompagnée de deux années
d’études supplémentaires calculées selon le référen­
tiel publié sur le site Internet de l’Autorité des marchés
financiers;
Diplôme d’études secondaires (DES) ou un niveau
d’études équivalant en plus d’avoir occupé un emploi à
temps plein (dans n’importe quel domaine) pendant au
moins trois ans.
Inscription aux examens ou commande de manuels:
Autorité des marchés financiers Montréal : 514 395-0337
Québec : 418 525-0337
Sans frais : 1 877 395-0337
www.lautorite.qc.ca
Étape 3 : Effectuer une période probatoire
Effectuer un stage supervisé de 6 ou 12 semaines,
selon la discipline ou la catégorie de discipline choisie.
Le stagiaire doit effectuer un minimum de 28 heures
de travail par semaine.
Étape 4 : Obtenir le certificat de l’Autorité des
marchés financiers
Présenter une demande de certification auprès de
l’Autorité des marchés financiers afin d’obtenir le sta­
tut de professionnel et le droit de pratiquer au Québec.
Après l’obtention du certificat, les agents, courtiers
et experts en sinistre deviennent automatiquement
membres de la Chambre de l’assurance de
dommages.
Formations du RCCAQ
Regroupement des cabinets de courtage
d’assurance du Québec
450 674-6258
www.rccaq.com
Collèges offrant la formation
DEC Conseil en assurances AEC en assurance de
et services financiers
­dommages seulement
et AEC en assurance
Cégep Beauce-Appalaches
de dommages
(formation interactive sur Internet)
www.cegep-beauce-appalaches.qc.ca
418 228-8896
Cégep de Lévis-Lauzon
www.clevislauzon.qc.ca
418 833-5110
Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue
www.cegepat.qc.ca
819 762-0931
Cégep de Sainte-Foy
www.cegep-ste-foy.qc.ca
418 659-6600
Cégep de Jonquière
www.cjonquiere.qc.ca
418 547-2191
Cégep du Vieux Montréal
www.cvm.qc.ca
514 982-3437
Collège Lasalle (DEC seulement)
www.collegelasalle.com
514 939-2006
Collège Montmorency
www.cmontmorency.qc.ca
450 975-6100
Collège régional de Lanaudière
www.collanaud.qc.ca
450 470-0911
Cégep de l’Outaouais
www.cegepoutaouais.qc.ca
819 770-4012
Cégep de Rimouski
www.cegep-rimouski.qc.ca
418 723-1880
Cégep de Saint-Hyacinthe
www.cegepsth.qc.ca
450 773-6800
Cégep de Saint-Jérôme
www.cegep-st-jerome.qc.ca
450 436-1580
Cégep de Sorel-Tracy
www.cegep-sorel-tracy.qc.ca
450 742-6651
Collège O’Sullivan de Montréal
www.osullivan.edu
514 866-4622
Centre d’études collégiales
de Varennes
www.cegep-sorel-tracy.qc.ca
450 929-0852
Collège O’Sullivan de Québec
www.osullivan-quebec.qc.ca
418 529-3355
Centre matapédien d’études
collégiales
www.centre-matapedien.qc.ca
418 629-4190
Collège CDI
www.collegecdi.ca
866 789-1904
Collège Édouard-Montpetit
www.college-em.qc.ca
450 679-2631
Collège Laflèche
www.clafleche.qc.ca
819 378-1123
Collège de Valleyfield
www.colval.qc.ca
450 373-9441
Groupe Collegia
(formation interactive sur Internet)
www.collegia.qc.ca
1 866 715-6702
Institut Teccart
www.teccart.qc.ca
514 526-2501
Séminaire de Sherbrooke
www.seminaire-sherbrooke.qc.ca
819 563-2050
Vanier College (anglais)
www.vaniercollege.qc.ca
514 744-7500
Cégep de Thetford
www.cegepth.qc.ca
418 338-8591
Collège Gérald-Godin
www.cgodin.qc.ca
514 626-2666
Ce cahier est une réalisation des Publications spéciales leSoleil
Édition : Yvan Dumont • Conception graphique : Diane Frigon • Direction : Frédéric Morneau • Publicité : 418 686-3435
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