en savoir plus - Veille info tourisme

Transcription

en savoir plus - Veille info tourisme
Le secteur de l’hôtellerie et du
tourisme au Guatemala, El
Salvador, Honduras,
Nicaragua, Belize
Actualisation au 2 avril 2007
Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001
© MINEFI – DGTPE
Le tourisme, un secteur dynamique
Entre 2005 et 2006, le nombre de touristes dans les
pays du nord de l’Amérique centrale a augmenté de
21%
Nombre de touristes (en millions)
2005
2006
Evolution
GU
1,31
1,50
+ 14,2%
ES
1,15
1,40
+ 21%
HN
0,75
1,10
+ 47%
NI
0,70
0,77
+ 10%
BZ
0,23
0,25
+ 5%
Source : Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
Board
Source : UNWTO
Entrées de devises liées au tourisme
Progression du nombre de touristes
de 1995 à 2004
GU
+8,6%
ES
+17%
HN
+10,6%
NI
+9,1%
BZ
+6,5%
GU
ES
HN
NI
BZ
2005
868
644
431
186
174,7
2006
1 012
862
473
293
nc
(en MUSD)
Evolution
+16,6
+34%
+9,7%
+57%
nc
Source : Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
Board
Participation du tourisme à la formation du PIB
Guatemala
El Salvador
Honduras
Nicaragua
Belize
PIB 2006
(Mds USD)
35
17,6
8,4
5,1
1,1
Revenus du
tourisme/PIB
2,8%
4,8%
5,6%
5,7%
16%
1. La croissance soutenue du secteur
Depuis quelques années, le tourisme est devenu l’une des principales sources de
revenus des pays de l’isthme, dépassant les recettes d’exportation des produits
traditionnels tels le café, le sucre ou les bananes. Les entrées de devises que
génèrent le tourisme et les transferts des travailleurs immigrés, permettent
d’atténuer le déséquilibre de la balance des transactions courantes lié au déficit
commercial structurel de ces pays.
Ce dynamisme s’inscrit dans la durée : de 1995 à 2004, la croissance du nombre
de touristes dans les pays du nord de l’Amérique centrale a été en moyenne de
10% (+17% pour El Salvador). Les années 2002 et 2003 ont été marquées par un
certain ralentissement, mais l’activité a redémarré en 2004 à un rythme soutenu
pour des raisons essentiellement conjoncturelles (la dépréciation du Dollar des
Etats-Unis face à l’Euro a rendu la région plus attractive pour les touristes
européens ; les crises épidémiologiques et le tsunami en Asie ont contribué à
détourner les flux touristiques vers l’Amérique). En 2006, ces cinq pays ont
accueilli plus de 5 millions de visiteurs, contre 4,1 millions en 2005, soit une
augmentation de 21%. Le Honduras a enregistré la progression la plus forte
(+47%). Cette évolution est particulièrement remarquable alors que le tourisme
mondial a progressé de seulement 4% entre 2005 et 2006.
2. Des performances néanmoins hétérogènes
Si la croissance du secteur touristique dans les pays du nord de l’Amérique
centrale semble s’accélérer, la part de cette région dans la captation des flux
mondiaux reste faible. Sur l’ensemble des touristes en direction du continent
américain, l’Amérique centrale capte à peine 3% des flux (1,5% en 1995) contre
8% pour l’Amérique du sud, 14,5% pour les Caraïbes et 74,5% pour l’Amérique
du nord. Le Guatemala accueille 30% des touristes dans la région, El Salvador
28%, le Honduras 22%, le Nicaragua un peu plus de 15% et le Belize 5%.
Les revenus du tourisme ont également fortement progressé en 2006, d’un peu
moins de 10% au Honduras et à 57% au Nicaragua. La participation du tourisme
dans la formation du PIB diffère également entre les pays. Le Belize se détache
largement des autres, le secteur touristique générant environ 16% du PIB. A
l’autre extrémité se trouve le Guatemala, dont le secteur touristique ne contribue
qu’à hauteur de 2,8% à la formation du PIB, bien qu’étant le pays attirant le plus
de touristes de la région.
Source : Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
AMBASSADE DE FRANCE AU GUATEMALA - MISSION ÉCONOMIQUE
Le secteur de l'hôtellerie et du tourisme au Guatemala, El Salvador, Honduras,
N i c a r a g u a , B e l i z e - 3 1 / 0 1 / 2 0 0 7 © MINEFI - DGTPE
Board
Au Guatemala, le tourisme représente environ 17% des entrées de devises. Dans
tous les pays, les revenus du tourisme sont supérieurs à ceux des exportations
traditionnelles telles que le café, le sucre, les produits de la pêche ou les fruits et
légumes.
Principales sources de devises
( MUSD 2006)
5000
4000
3000
Exportations
2000
Remesas
Tourisme
1000
0
GUA
HN
ES
NIC
Une région à vocation touristique
Des plages volcaniques du littoral Pacifique à celles
de sable blanc de la côte Atlantique, des
communautés noires caribéennes aux villages
indigènes de l’intérieur, l’Amérique centrale brille par
sa diversité
Source: FAMSI
Source: FAMSI
1. Les atouts touristiques
Le slogan sous lequel le Honduras développe sa politique touristique, « un pays,
trois mondes », résume bien les ressources que les Etats du nord de l’Amérique
centrale peuvent faire valoir (deux littoraux et un arrière-pays montagneux).
Chaque pays a cependant mis en avant ses propres avantages comparatifs.
• Guatemala
Première destination de la région, le Guatemala est reconnu pour sa richesse
culturelle : l’héritage de la culture précolombienne, les vestiges de la période
coloniale, la vivacité des traditions indigènes. Le Guatemala compte ainsi 3 sites
classés au patrimoine mondial de l’Unesco : Antigua (1979), le Parc national de
Tikal (1979) et le Parc archéologique et ruines de Quirigua (1981). Le site maya
de Tikal, Tikal, situé en plein cœur de la forêt tropicale du Petén, regroupe plus
de 3 000 temples et stèles sur une superficie de 17 km2 et accueille à lui seul
environ 18% des touristes dont une majorité d’étrangers. En outre, le Guatemala
a su exploiter ses ressources naturelles au service d’un tourisme écologique, une
niche qui se développe de plus en plus dans la région (El Salvador et le
Nicaragua ont créé des circuits de randonnée dans les plantations de café) et
sportif : le Guatemala est la capitale mondiale de la pêche à l’espadon voilier.
Considéré comme une terre d’aventures, le Guatemala a accueilli le tournage du
jeu télévisé « Survivor » dans lequel, à l’instar de l’émission « Les aventuriers
de Koh-Lanta », les candidats sont livrés à eux-mêmes dans un environnement
sauvage.
• Honduras
Bien que ce pays possède d’importantes réserves forestières (la Mosquitia) et un
remarquable site archéologique maya (Copán, visité par 23% des touristes), les
principales zones touristiques sont constituées par le littoral Atlantique (Tela et
La Ceiba) et les îles de la mer des Caraïbes (Roatán et Utila). L’île d’Utila attire
particulièrement les adeptes de la plongée sous-marine car il s’agit d’un des
endroits les moins onéreux du globe pour pratiquer ce sport.
AMBASSADE DE FRANCE AU GUATEMALA - MISSION ÉCONOMIQUE
- 2 -
Le secteur de l'hôtellerie et du tourisme au Guatemala, El Salvador, Honduras,
N i c a r a g u a , B e l i z e - 3 1 / 0 1 / 2 0 0 7 © MINEFI - DGTPE
Source: FAMSI
Source: INTUR
• El Salvador, Nicaragua, Belize
Le tourisme balnéaire constitue la principale attraction de ces pays, qui comptent
également plusieurs biens inscrits sur la liste du patrimoine mondial de
l’Unesco : site archéologique salvadorien de Joya de Cerén (1993 ), ruines de
León Viejo au Nicaragua (2000) et réseau de réserves du récif de la barrière du
Belize (1996). Ce pays est réputé pour son archipel d’atolls (« Cayes ») qui
attirent davantage de touristes que ses sites archéologiques ou ses réserves
naturelles. Le littoral Pacifique du Nicaragua attire la plupart des visiteurs et
concentre la majeure partie des hébergements même si les Iles du Maïs (« Islas
de Maíz ») de la côte caribéenne présentent un fort potentiel encore sousexploité.
La région est également une destination prisée par le tourisme de croisière. Alors
que le Honduras et le Belize font partie des circuits proposés dans les Caraïbes
(le nombre de passagers ayant fait escale au Belize a doublé de 2002 à 2004 pour
atteindre 985 949 visiteurs), le Guatemala et El Salvador accueillent de plus en
plus de navires. Ce segment du marché témoigne d’un développement rapide : 48
bateaux de croisière ont ainsi fait escale au Guatemala en 2006 (contre 37 en
2005) et 86 navires sont attendus en 2007. Au Nicaragua, le nombre de bateaux
accueillis devrait passer de 38 en 2006 à 44 en 2007. Par ailleurs, la compagnie
Carnival Corporation & PLC a annoncé d’importants investissements dans la
région : 50 MUSD au Honduras pour la construction et l’exploitation, avec un
partenaire local (M. Jerry Hynds, propriétaire de l’hôtel Coral Bay), d’un
terminal de croisière sur l'île de Roatán ( « Mahogany Bay- Roatan ») et 40
MUSD au Guatemala afin de construire avec l’Etat un terminal de croisière sur
la côte Atlantique (Puerto Izabal).
2. Le parc hôtelier
Source: FAMSI
Evolution du nombre d’hôtels entre 2004 et 2005
2004
2005
Evolution
GU
691
nc
nc
ES
215
270
+25%
HN
871
908
+4,2%
NI
266
345
+30%
BZ
510
557
9,2%
Source : Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
Board
Evolution du nombre de chambres
entre 2004 et 2005
2004
2005
Evolution
GU
17 774
nc
nc
ES
4 766
5 756
+20,7%
HN
19 519
20 453
+4,7%
NI
4 795
5 335
+11%
BZ
5 139
5 593
+8,8%
Source: Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
Board
GU
ES
HN
Statistiques 2006
Durée
Taux d’occupation
moyenne
hôtelière
séjour
7
nc
6
73,2%
9
nc
L’offre hôtelière est diversement développée selon les pays. El Salvador et le
Nicaragua affichent des capacités d’hébergement inférieures à celles des autres
pays de la région mais plusieurs projets hôteliers sont envisagés localement. Au
Guatemala, le nombre de chambres a progressé de 84% entre 1992 et 2002. Les
principales chaînes hôtelières internationales sont présentes (Westin, Hilton, Best
Western, InterContinental, Holiday Inn, Crowne Plaza, Radisson). Le groupe
Accor a ouvert fin 2006 un hôtel Mercure à la capitale. Le groupe espagnol
Barceló, déjà présent au Nicaragua, prévoit, à l’instar de la chaîne colombienne
Decameron (600 chambres ouvertes depuis 2005 à Salinitas), de s’implanter sur
la côte salvadorienne (projet d’hôtel de 200 chambres représentant un
investissement de 7 MUSD) et de prendre en gestion un établissement dans
l’agglomération de San Salvador, afin de capter une partie du nombre croissant
des voyageurs d’affaires.
De façon générale, l’offre hôtelière est mal répartie (au Guatemala, 7 régions
seulement concentrent la totalité des hôtels et 48% des hôtels salvadoriens sont
situés à San Salvador). Les hôtels de luxe, en particulier sont presque tous
regroupés dans les grandes villes. La capitale guatémaltèque et les
agglomérations honduriennes de Tegucigalpa et San Pedro Sula regroupent ainsi
80% des hôtels 5 étoiles (normes locales). Depuis 2003, les opérateurs
développent des concepts différents qui combinent hébergement traditionnel,
installations consacrées aux activités de loisir (pêche sportive, sports aquatiques,
golf, régate) et zone résidentielle secondaire (« Amatique Bay Resort & Marina »
et « Juan Gaviota, Marina del Sur » au Guatemala, « Barillas Marina Club » à
San Salvador et « Marina Puesta del Sol » au Nicaragua et le projet « North
Drowned Caye » au Belize).
AMBASSADE DE FRANCE AU GUATEMALA - MISSION ÉCONOMIQUE
- 3 -
Le secteur de l'hôtellerie et du tourisme au Guatemala, El Salvador, Honduras,
N i c a r a g u a , B e l i z e - 3 1 / 0 1 / 2 0 0 7 © MINEFI - DGTPE
NI
nd
nc
BE
nd
40,6%
Source: Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
Board
Nationalité des touristes visitant les pays
du nord de l’Amérique Centrale
Amérique
EtatsEurope
Centrale
Unis
GU
54,5%
30%
9,5%
ES
70%
24%
2,6%
HN
57%
30%
7,2%
NI
56%
22%
7,2%
BZ
7%
67%
14%
Source: Inguat, Corsatur, Intur, IHT, Belize Tourism
Board
3. Un tourisme essentiellement régional
Les touristes visitant les pays hispanophones du nord de l’Amérique centrale
viennent principalement de la région (49%), des Etats-Unis (34,6%) et d’Europe
(8,1%). Au Belize, les visiteurs sont essentiellement originaires des Etats-Unis
(67%) et d’Europe (14%), à l’instar des autres destinations caribéennes.
L’importante communauté salvadorienne aux Etats-Unis (plus de 2 millions de
personnes, soit un tiers de la population du pays) influe sur les statistiques :
35,3% des touristes qui visitent El Salvador sont en fait des Salvadoriens vivant
à l’étranger.
En moyenne, les dépenses des touristes nord-américains et européens
oscillent entre 200 et 800 USD par séjour. En revanche, celles des touristes
centraméricains sont inférieures et la durée de leur séjour est relativement courte,
ce qui explique la volonté affichée par les pays de la région d’attirer davantage
de touristes d’Amérique du nord ou d’Europe en construisant des complexes
touristiques de luxe.
Le défi principal de la région : assurer la poursuite des
investissements
Les pays de la région ont adopté des législations qui
encouragent les investissements dans le secteur du
tourisme moyennant l’application d’un régime fiscal
plus favorable comme le prévoient notamment la
« Loi 306 » au Nicaragua et le « Décret No. 899 » en
ce qui concerne El Salvador.
1. La concertation régionale pour le tourisme
Différentes initiatives ont été adoptées au niveau régional dans la perspective
d’un développement accru du tourisme. Ainsi, les autorités en charge de ce
secteur ont décidé de promouvoir la région dans son ensemble sous le slogan
« Centroamérica : tan pequeña, tan grande » (« l’Amérique centrale : si petite et
pourtant si grande »), ce qui permet de proposer aux visiteurs 70 options.
De même, dans le cadre du plan Puebla Panama1, la Commission Régionale de
l’Initiative Méso-Américaine de Tourisme (CRIMAT) a été créée par la fusion
de l’organisation Mundo Maya et du Conseil Centraméricain de Tourisme
(CCT). Son objectif est de tirer profit du patrimoine archéologique de cette
région (territoire de 500 000 km2 habité par 5,1 millions de descendants des
mayas) en conduisant des actions communes afin de développer cette activité. En
outre, l’Agence de Promotion Touristique de l’Amérique Centrale (CATA) a été
constituée en février 2003 à Madrid afin de promouvoir la région auprès des
touristes européens et asiatiques. Cette agence fonctionne avec les fonds (31,8
MUSD) apportés à parts égales par les Etats de la région et bénéficie de l’appui
du secteur privé.
2. Les grands projets touristiques
Investissements touristiques à court terme
Nombre de
Montant des
projets
investissements
(en MUSD)
GU
17
172
ES
3
191,6
HN
4
63,6
NI
9
293,5
Source : Inguat, Corsatur, Intur, IHT
Le principal projet d’investissement touristique de la région centraméricaine est
celui de la Baie de Tela sur la côte Atlantique du Honduras. Le projet, d’un
coût de 300 MUSD, comprendra sur 311 ha 7 hôtels de luxe, dont 2 de 5 étoiles
et 5 de 4 étoiles totalisant plus de 2 000 chambres, 168 villas et 1 terrain de golf
de 27 trous. Ce projet devrait permettre d’accueillir 200 000 touristes
supplémentaires et générer des recettes annuelles estimées à plus de 100 MUSD.
Par ailleurs, l’objectif de « Bahía de Tela » est de réorienter les flux de touristes
vers les îles de la mer des Caraïbes et Copán, et de mieux répartir le
développement de cette activité dans le pays. En plus de l’apport des
investisseurs privés locaux, l’Etat s’est engagé à investir 18 MUSD et a obtenu
un prêt de la Banque Interaméricaine de Développement (BID) de 35 MUSD. La
1
Initiative du Président Mexicain, Vicente Fox, visant à promouvoir un développement culturel, économique et social des Etats fédéraux du
sud mexicain et de l’isthme centraméricain, qui bénéficie de l’appui des organismes financiers multilatéraux et régionaux.
AMBASSADE DE FRANCE AU GUATEMALA - MISSION ÉCONOMIQUE
- 4 -
Le secteur de l'hôtellerie et du tourisme au Guatemala, El Salvador, Honduras,
N i c a r a g u a , B e l i z e - 3 1 / 0 1 / 2 0 0 7 © MINEFI - DGTPE
Banque Centraméricaine d’Intégration Economique (BCIE) participe également
au financement de ce projet. L’inauguration du premier hôtel « Los Micos Beach
& Golf Resort » devrait intervenir à l’horizon 2008.
En ce qui concerne El Salvador, les investissements se focalisent
essentiellement sur le développement de complexes balnéaires le long du littoral
Pacifique. Le projet le plus ambitieux est celui de la plage « El Tamarindo » où
un consortium italien envisagerait d’investir 400 MUSD.
Les projets au Guatemala sont de moindre envergure, et visent au
développement touristique du Petén, d’Antigua (programme immobilier « La
Reunión » porté par des investisseurs privés, d’un montant compris entre 20 et
30 MUSD et qui sera doté d’un golf), de la région des hauts plateaux (Quiché)
ou encore de l’ouverture d’un musée à Livingston, sur la côte Atlantique.
Quant au Belize, un projet intitulé « Ocean View Grand Development », d’un
montant de 250 MUSD, sur les atolls North Drowned Caye et Stake Bank Caye,
visant à construire un complexe de 3 hôtels 5 étoiles, un casino, une marina, un
quartier résidentiel ainsi qu’une autoroute vers la capitale est à l’étude, mais se
heurte à des contraintes environnementales.
Contacts Utiles
Instituto Guatemalteco de Turismo (INGUAT)
7ª avenida n°1-17 Zona 4
Ciudad de Guatemala, Guatemala, C.A
Téléphone : (502) 24 21 28 00
Télécopie : (502) 24 21 28 79
Site Internet : www.visitguatemala.com
Instituto Hondureño de Turismo (IHT)
Corporación Salvadoreña de Turismo
(CORSATUR)
Avenida El Espino nº68, Urbanización Madre
Selva, Santa Elena ,
Antiguo Cuscatlán,
La Libertad, El Salvador, C.A.
Téléphone : (503) 22 43 78 35
Télécopie : (503) 22 43 78 34
Site Internet : www.elsalvadorturismo.gob.sv
Belize Trade Investment Development Service
14 Orchid Garden St, Belmopan Belize
Téléphone : (501) 822 37 37
Télécopie : (501) 822 05 95
Courriel : [email protected]
Sites Internet : www.belizetourism.org ; www.travelbelize.org
Instituto Nicaragüense de Turismo (INTUR)
P.O. Box5058
Managua, Nicaragua, C.A.
Téléphone : (505) 222 33 33 / 254 51 91
Télécopie : (505) 222 6610
Sites internet : www.intur.gob.ni
www.visitanicaragua.com
Colonia San Carlos Edificio Europa 29-41
Tegucigalpa, Honduras, C.A.
Téléphone : (504) 222 21 24 / 238 31 64
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.letsgohonduras.com
Secretaría de Integración Turística Centroamericana (SITCA)
Boulevard Orden de Malta nº 470
Urbanización Santa Elena, Antiguo Cuscatlán,
La Libertad, El Salvador
Téléphone : (503) 22 48 88 37
Télécopie : (503) 22 48 88 97
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.sgsica.org
Auteur :
Mission Économique
Adresse : 11 Calle 0-69 Zona 14
Apartado Postal 162 A
GUATEMALA 01014
GUATEMALA
Copyright
Tous droits de reproduction réservés, sauf autorisation expresse de
la Mission Economique de GUATEMALA (adresser les demandes à
[email protected]).
Clause de non-responsabilité
La ME s’efforce de diffuser des informations exactes et à jour, et
corrigera, dans la mesure du possible, les erreurs qui lui seront
signalées. Toutefois, elle ne peut en aucun cas être tenue
responsable de l’utilisation et de l’interprétation de l’information
contenue dans cette publication qui ne vise pas à délivrer des
conseils personnalisés qui supposent l’étude et l’analyse de cas
particuliers.
Rédigée par : Pacôme ZIEGLER et Patrice POUS
Revue par : Jean-Pierre GASTAUD
Date de parution :
Version originelle du 22 février 2001
Version n°4 du 31 janvier 2007
AMBASSADE DE FRANCE AU GUATEMALA - MISSION ÉCONOMIQUE
- 5 -

Documents pareils

Guatemala

Guatemala et culturels; http://fourdirections.travel), proposera pour 2012 un itinéraire archéologique et culturel unique, combinant le patrimoine ancien et les Mayas d’aujourd’hui. L’entreprise est égalemen...

Plus en détail

5.tourisme - Invest in Guatemala

5.tourisme - Invest in Guatemala pour yachts et voiliers, dans des endroits comme Amatique Bay, Rio Dulce et du lac Izabal. Près de Izabal, les touristes peuvent également visiter d'autres endroits intéressants comme les ruines de...

Plus en détail

La commission tourisme du CE ALE vous propose un voyage au

La commission tourisme du CE ALE vous propose un voyage au Départ en autocar pour la visite du site archéologique de Tikal, au cœur d'une jungle épaisse, où vivent jaguars, pumas fourmiliers, singes hurleurs et serpents. Tikal est situé au nord de la Répub...

Plus en détail