Ecole Boulle

Ecole Boulle
Lycée des Métiers des métiers d’art, de l’architecture intérieure et du design.
9-21 rue Pierre Bourdan
75012 Paris
Marché passé selon une procédure adaptée
(article 28 du code des marchés publics)
CAHIER DES CHARGES
VALANT
CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
Objet : Création de l’identité visuelle de l’Ecole Boulle.
Partie 1 : le print
Le présent document comporte 10 pages.
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SOMMAIRE
1. LE CONTEXTE :
1.1 Présentation succincte de l’Ecole Boulle
1.2 La communication et l’identité visuelle actuelles
2.
2.1
2.2
2.3
2.4
2.5
LA NOUVELLE IDENTITE VISUELLE
Objectifs donnés à la nouvelle identité visuelle de l’Ecole Boulle
Le nom
le logotype
l’univers graphique
les contraintes
3. LES PRESTATIONS ATTENDUES
ANNEXES :
Annexe 1. La brochure de l’Ecole
Annexe 2. Extrait de la politique de l’Ecole Boulle
Annexe 3. Le site actuel
Annexe 4. Reportage photos de journées portes ouvertes/ DVD
Annexe 5. Worshops/ travaux d’étudiants/ Echanges avec l’étranger
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1.LE CONTEXTE
1.1 Présentation succincte de l’Ecole Boulle :
L’Ecole Boulle, établissement public, défend et promeut un enseignement pré et post-bac
d’excellence, dans les domaines des Métiers d’Arts, et ceux du Design (voir liste des diplômes
dispensés ci après).
L’école Boulle a été fondée en 1886 et tire son nom du plus célèbre ébéniste français du XVIIe siècle
(André-Charles Boulle : 11 novembre 1642-29 février 1732). C’est une des raisons de l’appellation de
ce lycée comme Lycée des Métiers des métiers d’art, de l’architecture intérieure et du design.
En 2012, cet établissement aura fini sa rénovation. Les formations du Lycée Flamel (Bijouterie) et du
Lycée professionnel de l’ameublement (site Faidherbe) seront intégrées dans le site Bourdan en
reconstruction.
La notoriété de l’Ecole est nationale et internationale. Ses engagements dans les milieux
professionnels et universitaires (français et étrangers) imprègnent les projets des étudiants à travers des
partenariats industriels et culturels renouvelés : partenariats professionnels de type prospectifs à
l’international en design produit, workshops inter universitaires en Architecture Intérieure, mise en
cohérence des savoir-faire liés aux métiers d’art de l’école sur des missions patrimoniales nationales,
etc.
La force des
enseignements des différentes formations repose sur l’alliance d’acquisitions
respectueuses des gestes et de méthodes d’apprentissage ancestrales, alliée et ouverte à une
réflexion prospective et systémique en design.
Certaines formations sont portées davantage à s’appuyer sur les traditions, d’autres sont orientées
fortement vers l’anticipation et l’expérimentation. L’école Boulle place ainsi dans une même synergie
la gestuelle et les outils traditionnels de certains savoir-faire avec les outils numériques et
technologiques d’aujourd’hui et demain comme autant de ressorts qui interrogent le processus
créatifs et la dimension de projet. La volonté de l’Ecole est par conséquent de renforcer ces liens, ces
transversalités, qui permettent à chacun de s’enrichir des valeurs de l’autre.
La force et la faiblesse de l’Ecole Boulle reposent ainsi sur ce passé et son histoire. L’Ecole boulle est à
la fois une Ecole « Musée », un trésor gestuel vivant, un lieu d’expérimentation, un terrain
d’anticipation en design de produit et d’espace, un lieu chargé d’histoire, une famille ;
D’autre part, cet établissement transmet et dépasse sa propre culture à travers l’investissement
d’outils technologiques et numériques de pointe. Cette culture se ressent dans les projets des
étudiants qui se reconnaissent par une « écriture » qui lui est propre. L’histoire de cet établissement
étant très forte, la vigilance des enseignants repose sur une remise en question constante dans la
conduite de projets afin d’éviter « le poids » de cette histoire dans les réalisations.
Aucun établissement en France ne possède autant de formations spécialisées comme l’Ecole Boulle,
sur un même site.
L’établissement reçoit 4000 dossiers de candidatures toutes filières confondues.
Les étudiants comme les enseignants sont très attachés à un outil de communication annuel qu’est le
catalogue « Empreintes ». Celui-ci a six années d’existence ; il est important qu’à l’aube de cette
rénovation complète, l’Ecole Boulle acquière une identité de qualité, contemporaine et unique :
- Renouvellement de son logo, sur ses supports de communication internes et externes
(1ère phase d’appel d’offre)
- Renouvellement de son site (2ème phase d’appel d’offre).
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Les formations dispensées :
L’Ecole BOULLE comprend 3 principales filières :
Métiers d’Art (13 diplômes), Design (5 diplômes), Agencement (2 diplômes).
La filière Métiers d’Art :
-CAP : sertissage, joaillerie, ébénisterie, monture en bronze
-BMA : bijou, ébénisterie, tapisserie
-DFESMA : FMA (formation aux Métiers d’Art)
-MANMA : Mise à Niveau Métiers d’Art
-DMA : Arts de l’habitat
Menuiserie en sièges,
Restauration de mobilier,
Sculpture sur bois,
Tapisserie /décoration,
Tournage d’art
Arts du bijou et du joyau
Marqueterie,
Gravure ornementale,
Gravure en modelé,
Ébénisterie,
Décors et traitements de surfaces,
Conception application métal,
Ciselure.
La filière Design :
-BAC :
STI Arts appliqués : sur 3 ans
-MANAA : Mise à Niveau Arts Appliqués
-BTS :
Design d’Espace (DE)
Design de communication Espace et Volume (DCEV)
Design de Produits (DP)
-DSAA :
Design Produit Mobilier (DPM)
Architecture Intérieure (AI)
La filière agencement :
-BTS Agencement de l’Environnement Architectural
-Licence professionnelle : sur 1 an, en partenariat avec Marne –la-Vallée
Les passerelles entre les filières pré bac permettent à de nombreux élèves d’accéder à des formations
Bac + 2 ou/et +4 (équivalent master 1) en interne.
Voir aussi
annexe 1 ; La brochure de l’Ecole
Annexe 2. Extrait de la politique de l’Ecole Boulle.
Verbatim sur l’identité et l’image de l’Ecole Boulle :
« Tout se qui concerne l’Ecole est fort mais peu visible »
« les sections et projets ne sont pas mis en valeur surtout les sections supérieures »
« les élèves et étudiants respectent les engagements et évitent les débordements »
« de l’extérieur on ne voit pas vraiment ce qui est fait réellement »
« on a une étiquette de techniciens du bois et pas de créateurs »
« on est fier d’appartenir à cette Ecole »
« on a une image vieillotte »
« notre site ne correspond pas à une image contemporaine de cette Ecole et des projets »
« les Métiers d’arts ont leur importance, certaines autres filières sont trop dans l’ombre de ceux-ci »
« le site est fermé »
« il n’est pas international »
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Extrait de la politique de l’Ecole (décembre 2010)
Le corps enseignant compte 130 professeurs de l’éducation nationale (certifiés, agrégés, contractuels
ou titulaires en zone de remplacement), sur les sections principalement du secondaire et du supérieur
en arts appliqués.
L’enseignement des ateliers est assuré par des contractuels professionnels, qui exercent aussi, pour
certains, à leur compte. Cette deuxième dominante professionnelle continue à inscrire les lettres de
noblesse de cet établissement dans les métiers du bois et du métal.
C’est à travers les projets personnels qu’arts appliqués et métiers d’arts se complètent, se rencontrent,
et s’interfèrent.
Faute jusque là de projet d’établissement, la reconnaissance des uns et des autres, la transversalité
des domaines reposent sur des « habitudes », sans assise réelle et définition des enjeux pédagogiques
définis des différentes sections de ce lycée des métiers, validés par les différents corps représentatifs
de la communauté de l’Ecole.
Le projet d’établissement verra le jour en 2011.
L’Ecole Boulle voit régulièrement en son sein la présence de professionnels dans le cadre de
partenariats industriels, culturels, ou institutionnels spécifiques et souvent exclusifs, mais également des
rencontres avec des étudiants et équipes pédagogiques étrangères.
La volonté de l’équipe administrative est ici de renforcer ces liens, et de communiquer davantage sur
les bilans et compte rendus de ces expériences à travers la mise en place d’une stratégie de
communication donnant écho à la vie de l’École et ainsi permettant d’en renouveler et d’en
intensifier l’image.
Parmi les outils participants à cette communication, un support mixte (pdf / web + print) de type
newsletter périodique sera à envisager.
Ce support mettra par conséquent en évidence le « poul » de l’Ecole, et permettra à tous, aussi bien
en interne que le public extérieur intéressé, de prendre conscience des enjeux et projets fédérant
l’ensemble des acteurs de l’école.
D’autre part et actuellement unique « objet » de communication annuel, le catalogue « Empreintes »
de l’Ecole Boulle regroupe les projets des Métiers d’art, des BTS et des DSAA ; y apparaissent
également les nombreux partenaires extérieurs affiliés à ces projets.
À la fois exhaustif et peu précis, ne répondant à aucune ligne graphique propre à l’école (parce
qu’elle n’existe pas), ce document apparaît aujourd’hui comme insuffisant pour assurer la
communication vers des partenaires spécifiques et le public en général.
Dans le but avoué de penser une réelle stratégie de communication qui lui fait actuellement défaut,
à la fois auprès du public scolaire (élèves, étudiants, parents, enseignants) mais également et
principalement auprès de ses partenaires professionnels, institutionnels et culturels (entreprises,
prestataires, écoles/universités, international), l’Ecole Boulle désire mettre en place un autre outil de
communication adapté et signifiant. Ce support sera susceptible de mettre en avant la diversité des
contenus de production des sections ainsi que la spécificité et l’identification de chacune d’elle
(élément notable lors de partenariats professionnels spécifiques).
Le recrutement des étudiants est très sélectif. Plus de 4000 dossiers parviennent à l’établissement,
toutes orientations confondues. L’étudiant qui postule pour une section ne le fait pas par hasard ou à
défaut de. Enthousiasme, passion, plaisir d’apprendre et de créer caractérisent les étudiants et les
élèves. Les projets de fin d’étude en sections supérieures d’arts appliqués sont souvent des
commandes extérieures de milieux professionnels.
Le taux de réussite aux examens est très élevé. Les poursuites d’études sont importantes en France et
à l’étranger.
L’attention portée à la dimension « innovation » ne doit jamais se faire à l’encontre de ce qui est aussi
source de la qualité reconnue des formations d’arts appliqués de l’Ecole : l’importance donnée à la
culture générale, artistique, à la maîtrise de l’expression graphique, au travail de conceptualisation
qui doit précéder et accompagner toute démarche créative appliquée.
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1.2 La communication et l’identité visuelles :
L’ensemble des supports de communication fait le constat d’une absence de ligne graphique
déterminée et cohérente, d’un déficit de contemporanéité dans son identité et plus globalement
d’une absence de stratégie de communication globale propre à un établissement de cet
envergure. Seul le logo apparaît en entête de page comme élément un temps soit peu
significatif.
L’École Boulle est amenée à participer très régulièrement à de nombreuses manifestations hors et
intra muros, à des colloques, … (voir paragraphe ci dessus). Aussi, l’affirmation d’une identité
graphique marquée propre à l’école s’avère-t-elle d’autant plus nécessaire.
L’identité visuelle n’est pas à la hauteur de la qualité de l’enseignement donné dans cet
établissement ; le logotype, un grand B réalisé par une série de lignes, de couleur sépia, date d’une
dizaine d’années et n’est pas aisément déclinable.
Ce logotype a besoin d’être renouvelé, changé, pour marquer ainsi l’entrée de l’Ecole dans une
nouvelle identité : architecturale (fin des travaux de restructuration en 2012) et structurelle (intégration
des sites Flamel + Faidherbes).
Le site a une arborescence simple, pas toujours compréhensible. Aucun lien entre le logo et une ligne
graphique d’ensemble n’apparaît.
Il sera nécessaire de traduire en anglais certaines parties pour l’international.
En interne, nous n’avons pas de section de communication visuelle option édition qui pourra prendre
le relais pour la « construction » technique des différents supports de communication. Il faudra donc
définir l’ensemble des documents qui devra être réalisé dans le cahier des charges de ce concours
(voir plus bas).
En clair, l’Ecole Boulle a besoin d’une ligne graphique nouvelle, de nouveaux supports de
communication (logo, cartes , papiers à entête, revue…) à usage interne et externe.
Cet ensemble devra répondre au renouvellement géographique, à la rénovation architecturale et
structurelle de l’école, soit à l’entrée de l’Ecole dans une nouvelle ère. Mais il devra également
combiner, avec élégance, la volonté de mettre en valeur son patrimoine d’excellence et celle
d’autres dans le monde contemporain des arts appliqués et du design.
C’est de cette double postulation, contemporaine et classique, dynamique et immuable, qu’il faudra
rendre compte.
2. LA NOUVELLE IDENTITÉ VISUELLE
2.1 objectifs donnés à la nouvelle identité visuelle de l’Ecole Boulle :
La nouvelle identité visuelle de l’École Boulle doit être exemplaire.
> Se distinguer des trois autres écoles supérieures d’arts appliqués parisiennes.
C’est l’école d’arts appliqués la plus ancienne, celle qui possède une légitimité historique
incontournable qui lui donne une aura nationale et internationale, celle qui comporte le plus de
sections en son sein, bref une « institution ». À travers ce terme nous insistons sur le fait que l’école est
une « référence » communément admise par l’ensemble du secteur professionnel et du public. Par
conséquent, sa nouvelle identité visuelle doit avant tout supporter cette image.
Parallèlement, la nouvelle identité visuelle se doit d’être contemporaine, sans répondre aux effets de
« tendances » mais tout en conjuguant un minimum d’audace. Elle doit anticiper et pouvoir s’inscrire
dans les quinze prochaines années.
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Cette identité visuelle doit par conséquent permettre d’installer une nouvelle image de l’École,
représentative de sa restructuration ainsi que des forces vives qui la constituent (étudiants + corps
enseignants + administration = une équipe). L’esprit de l’École est ancré non seulement dans un
historique très ancien et fort mais également dans une contemporanéité revendiquée et assumée.
L’identité visuelle doit par conséquent fédérer les différents secteurs d’activités de l’établissement,
allier tradition et ouverture sur le monde contemporain : deux axes forts de réflexions et de
productions de l’Ecole. Traduire certes la force qui se dégage de certains secteurs (mais Boulle n’est
pas seulement l’école du bois et de l’habitat), et affirmer simultanément l’engagement et la
fédération des réalisations contemporaines dans les domaines du design.
Donc l’identité visuelle doit :
 Rassembler et s’exprimer au nom des deux grands départements d’École : Métiers d’Art et Arts
Appliqués (Design)
 Exprimer une double postulation : tradition et contemporanéité, dynamisme et immuabilité (c’est
à dire comprendre l’assise et le rayonnement historique de l’École avec une dimension innovante
et anticipatrice)
 Être saisie et comprise par les acteurs internationaux (bilingue)
2.2 Le nom :
-le nom de l’Ecole à promouvoir dans le logotype est
École Boulle
(avec obligatoirement un accent aigu sur le e de École)
Remarque : Le mot « école » semble nécessaire dans l’écriture du logotype (mais non dans la formule
parlée), du moins au vue des nombreux exemples étrangers qui intègrent le mot « School »,
« College » ou « University » dans leur appellation officielle.
Quand on est à l’Ecole Boulle , on dit « je suis à Boulle ». Quand on en sort, on dit « je viens de l’Ecole
Boulle » ou « j’ai fait l’Ecole Boulle ».
Le mot doit cependant apparaître : Une capitale pour le E avec un accent aigu.
Autres informations complémentaires, dissociées du logotype :
-Ecole Supérieure des Arts Appliqués, Lycée des Métiers d’Art,
de l’Architecture Intérieure et du Design
L’intitulé complet de l’École doit être mentionné dans le pavé adresse ou à proximité, mais il ne doit
pas faire partie du logotype.
-La Mairie de Paris :
Cette Ecole est un établissement public local d’enseignement dont la collectivité de rattachement
est la Ville de Paris ; son financement et sa restructuration architecturale sont gérées par la Mairie de
Paris (endossement typographique uniquement, sans charte à respecter).
-Le Ministère de l’Éducation Nationale :
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Mention qui souligne le caractère « public » de l’établissement (une majorité du public pense que
l’École Boulle est une école privée). (Endossement typographique uniquement, sans charte à
respecter).
2.3 le logo :
Le logo doit être fonctionnel, pouvoir vivre seul ou dans un univers graphique plus complexe.
Option 1 : Un logotype basé uniquement sur de la typographie et reprenant les mots « école Boulle ».
Cette option s’inscrit dans un certain classicisme typographique mais les mots « école Boulle » sont un
symbole en eux-mêmes : signifiant de leur histoire, de leur permanence passée et à venir.
Le logotype reste par ailleurs parfaitement « lisible et explicite » (par rapport à un symbole graphique)
si celui-ci est associé à un événement extérieur à l’école.
Enfin, celui-ci pourrait également s’envisager dés lors comme un « label historique » (au même titre
qu’un musée ou un grand vin…). Remarque : souligner la dimension contemporaine.
Option 2 : Un logotype basé sur l’association des mots « école Boulle » et d’un symbole graphique.
Alliance possible de la dimension « historique » de l’école à travers l’intitulé intelligible de son nom
avec le potentiel contemporain d’un signe graphique associé.
Option 3a : un graphisme ou image qui reflète une « structure image » contemporaine de l‘Ecole ?
Ce logotype aurait l’avantage de marquer l’avènement de l’école sous une nouvelle ère, mais quid
de sa légitime historicité ? Peu d’acteurs internes à l’école se reconnaîtraient dans une proposition
« déracinée » de son ancrage historique.
Option 3b : Un nouveau symbole seul. À écarter, au même titre que l’option 3. « École Boulle » est déjà
un symbole en soi et le signifiant de son histoire plus que séculaire. Un nouveau symbole seul semble
ici superflu et éliderait toute référence historique.
Quelques exemples de logos existants d’écoles d’arts appliqués à Paris et à l’étranger à consulter :
L’écal, duperré, ensaama, estienne, royal college of art….
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2.4. l’univers graphique:
Autant le logotype de l’École nécessite une application rigoureuse, autant il ne peut pas tout
exprimer par lui-même. L’univers graphique auquel il est inévitablement lié permettra de donner cette
souplesse de déclinaison et de renforcer la résonance graphique de l’ensemble.
Les candidats seront ainsi très attentifs aux composantes de cet univers graphique. Il doit être
fonctionnel, simple, et susceptible d’être facilement décliné sur les multiples supports d’édition
internes et externes de l’École.
C’est donc aux candidats de répartir le plus intelligemment possible les messages clefs entre le
logotype et l’univers graphique choisi, sachant que le logo doit durer 10 ans ou plus…
Les principales valeurs exprimées par cet univers graphique sont globalement les mêmes que celles
annoncés plus haut (cf. point 2.1) :
 tradition et contemporanéité (rayonnement historique des métiers d’arts + esprit actuel et
prospectif tous départements design confondus)
 dimension institutionnelle
 ouverture à l’international
Le système graphique :
Doit servir de cadre pour assurer une cohérence et donner de la visibilité à tous les supports émis par
l’Ecole. Il doit pouvoir accueillir en permanence des créations nouvelles, à l’occasion des évènements
de l’école et ses futures parutions d’informations.
La répartition entre les éléments fixes et variables doit être pensée, bien définie selon les documents et
facile à utiliser.
Les documents de communication internes (liste suit) doivent avoir leur ligne graphique établie et
immuable.
Deux types de sources iconographiques :
- Les réalisations abouties et finalisées des projets élaborées dans l’école par les étudiants :
diplômes, prototypes, boards.
- La vie de l’école (espaces + acteurs) : photos des bâtiments, des ateliers, des étudiants +
enseignants, des workshops et des partenaires invités dans l’écoles, des conférences.
2.5. les contraintes :
> Il n’y a pas de contrainte de nombre de couleurs mais l’on évitera la sémantique « couleur = art »
(l’École Boulle est dans sa définition une école d’arts appliqués et non d’art plastique).
> Le logotype doit être livré au format vectoriel, proportionnel aux supports définis, en couleur,
niveaux de gris, et noir.
> Application souvent en (très) petit format du logotype : vérifier sa capacité à supporter la réduction
d’échelle : propositions.
> Respecter les endossements demandés (voir + haut) : Mairie de Paris, Ministère de l’Education
Nationale.
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3. LES PRESTATIONS ATTENDUES
Répondant au positionnement présenté dans le cahier des charges :
3.1. dans la tranche ferme :
A. nomination de 5 candidats maximum à partir des points traités : 1 mois après la date
d’ouverture du concours au journal officiel, puis
B. nomination du candidat retenu.
> création , finalisation , exécution du logotype de l’Ecole Boulle
> création, finalisation, exécution d’application pour les communications en interne : papier à entête,
carte de visite, invitation A5, carte de correspondance (simple et double), enveloppe, tampon,
chemise, bulletins scolaires, bulletins de commande, affiches,
> création du dépliant « taxe d’apprentissage » (2 à 4 pages) : en français /et en anglais
> création d’un support type newsletter (4 à 8 pages) en français /et en anglais
> charte graphique du logotype et des premières applications
3.2. dans les tranches conditionnelles :
> création de gabarits pour les autres supports édition : invitations particulières, affiches…
3.3 Brochures de l’Ecole en français et en anglais : voir + haut
Reportage photos de workshops, journées portes ouvertes,
ANNEXES :
1 le logo actuel
2 voir le site actuel pour organigramme: www.ecole-boulle.org
3 Empreintes :
4 documentations internes et externes
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